Archive pour avril 2013

Alexis Sergueïevitch Begov, peintre russe  né le 27 mars 1951 dans la ville Kozine Région de Kiev en Ukraine. Il a fait ses études de 1969 à 1972, à l’Académie d’Alma Atinsk de peinture dans l’atelier de G. P. Kabatchovo. Il vit en Ukraine de 1951 à 1961 puis au Kazakhstan de 1961-1974, au Kyrgyzstan de 1974 à 1978 de nouveau au Kazakhstan de 1978 à 1983, puis à Moscou jusqu’en 1998 et il arrive à Paris.

Alexey Begov à Paris en 1994

Il fit dés 1980 de nombreux voyages en Russie et dans les anciennes républiques de l’Union soviétiques (il a été sur le lac Baïkal en Géorgie en Crimée et sur le lac de Senetch). Dans les années 1990 il fait de courts voyages aux USA et en Europe. Il devient membre des peintres d’URSS en 1969.  En 1995 il a une exposition personnel à la Galerie Trétiakov de Moscou puis il enseigne à l’institut pédagogique au Kyrgyztan, section de dessin de 1974 à 1978, puis de 1978 à 1979 à l’académie des Beaux Arts de Alma Ata. De 1999 à 2004 il vit en France ou il a travaillé sur les murs de la chapelle St Nicolas  près du château de Gilloisin aux environs de Paris .

Le Mirage.

Dans les années 1990, il a créé un tableau de 10 mètres intitulé  «La fin du XX e siècle» dans le cadre de la communauté internationale “Mur de la Paix”. C’était une occasion rare de créer en un espace unique, une seule image, En 2006 il revient dans sa patrie pour exposer au Manège à Moscou. En 2007 il est nommé membre de l’Académie des peintres de Russie.

La mère et l'Enfant.

A partir de 2008 il vit dans son atelier de Montmartre à Paris.

Espace Culturel La Filature

1 rue de la Filature.

51100 Bazancourt.

Renseignements : 03 26 48 65 00

Pélérinage à Saint Hilaire le Grand à Mourmelon

Chapelle russe dessinée par Alexandre Benoit à St Hilaire le Grand.

Soldats portant les uniformes d'époque © DdK 

Un pélerinage  pour commémorer les quelque 5.000 Russes morts au combat en terre française lors de la Première guerre mondiale s’est déroulé comme chaque année, le dimanche de la Pentecôte au cimetière militaire russe de saint-Hilaire le Grand, près du camp militaire de Mourmelon, dans l’est de la France (département de la Marne).

Soldats russes chantant la liturgie en 1914.

Un peu moins d’un millier de soldats russes du corps expéditionnaire de quelque 50.000 hommes qui fut envoyé en France et dans les Balkans de 1916 à 1918, y sont enterrés autour d’une chapelle orthodoxe et d’un monument aux morts, qui existe depuis 1916 et est entretenu depuis 1925 par les autorités françaises. Une association des officiers, anciens combattants du corps expéditionnaire, remplacée depuis la disparition du dernier survivant, dans les années 90, par l’association pour le souvenir, organise chaque année un pélerinage et veille à la mémoire du rôle du Corps expéditionnaire en France et pour les relations franco-russes. La Russie a délaissé durant toute la période soviétique la mémoire de ses quelque trois millions de morts dans l’effroyable guerre de 14-18.

Soldats russes lors d'une prise d'armes en France vers 1914.

Oubli qui a commencé à être réparé avec la participation d’ambassadeurs de la Russie, après la Perestroïka, aux cérémonies annuelles à Mourmelon.

Cette année, l’ambassadeur de Russie en France, Alexandre Orlov, a rappelé que dorénavant le 1er août serait en Russie jour de mémoire des victimes de la Ière guerre mondiale et qu’une collecte auprès des Russes du monde est lancée pour édifier un monument aux morts à Moscou.

(Au premier plan) Georges de Brevern Pdt de l'association. © DdK

La journée de commémoration a vu deux cérémonies : une première « russe » le matin au cimetière à forte participation religieuse autour de l’association pour le souvenir du Corps expéditionnaire, présidée par M. Georges de Brevern (ITW)  et avec la participation de nombreux jeunes Vitiaz, une organisation de jeunesse russe créée dans l’émigration.

Jeunes Vitiaz. © DdK


Défilé devant la chapelle russe dessinée par Alexandre Benoit

La seconde, en présence du sous-préfet de Reims, M. Michel Bernard, de la maire de saint-Hilaire, Mme Agnés Person, de l’ambassadeur de Russie et de nombreux officiers supérieurs français. Le sous-préfet a rappelé le rôle détérminant de la Russie pour la victoire de la Marne au début de la guerre.

Taxis de la Marne, Le dernier survivant de ces chauffeurs 
de la Marne fut Kléber Berrier.

Si les légendaires taxis ont joué un rôle, ce dernier est plus symbolique que le retrait de plusieurs divisions allemandes contraintes d’aller faire face à l’offensive que la Russie a lancé à la demande de la France contre la Prusse orientale, alors que son armée n’était pas prête ce qui lui a valu des pertes considérables. C’est pourquoi, la Russie sera associée l’an prochain  aux commémoration du centenaire de l’infernale guerre civile européenne du début du siècle dernier. Près de 500 personnes ont bravé la pluie pour participer à la commémoration qui perpétue la mémoire des morts russes pour la France et la Russie.

Dimitri de Kochko.(Russie d'Aujourd'hui)

Il a été rappelé dans le discours du président Georges de Brevern le récent décès du Prince Obolensky (https://artcorusse.org/?p=4402) qui fut le président de l’ACERF et ensuite son président d’honneur .

Après plusieurs anneées de queête de documents visuels inédits, témoins vivants de l’exil russe, l’historien et iconographe Andrei Korliakov livre, dans son nouvel ouvrage Culture russe en exil, Europe 1917-1947, un récit émouvant, destiné à tous ceux qui s’intéressent à la culture et à l’émigration russes en Europe, mais aussi à ceux qui se passionnent pour l’art.
Ce recueil de documents visuels, pour la plupart rarissimes, paru aux éditions YMCA-PRESS le 12 mars 2013, est le cinquième et le plus gros volume de la série l’Émigration russe en photos, 1917-1947 ; 2 100 images de tous genres, évoquant ceux qui contribuèrent à conserver et à développer en exil leur culture d’origine, s’étalent sur les 720 pages de ce nouveau volume.
Des photographies professionnelles ou d’amateurs, des dessins, des cartes postales, mais encore des images publicitaires, des affiches, des coupures de presse et des négatifs sont mis au cœur de Culture russe en exil, Europe 1917-1947, composé autour de huit volets thématiques. Ce sont la photographie et le théâtre, le cinéma et les arts plastiques, la musique, le ballet et les danses populaires russes, la littérature, les maisons d’édition et la presse, les expositions et les journées de la culture russe.

Andrei Korliakov est l’auteur de cinq albums de photographies sur l’émigration russe :
Histoire illustrée de l’émigration russe, 1917-1947, Paris, YMCA-PRESS, 1999, 250 photos (N/B), 160 p.
Honneur et dignité maintenus, 1917-1947, Paris, YMCA- PRESS, 2001, 750 photos (N/B), 410 p.
Vers le succès, 1917-1947, Paris, YMCA-PRESS, 2005, 1 000 photos (N/B), 464 p. – Prix VERITAS 2005.
Le Grand Exode russe, Europe 1917-1939, Paris, YMCA- PRESS, 2009, 1 650 photos (N/B), 720 p.
Culture russe en exil, Europe 1917-1947, Paris, YMCA- PRESS, 2013, 2 100 photos (trichromie), 720 p.
Il est coauteur avec Gérard Gorokhoff de l’album Le Corps expéditionnaire russe en France et à Salonique, 1916-1918, Paris, YMCA-PRESS, 2003, 1 005 photos (N/B), 656 p.
Depuis 1996, il a organisé vingt-cinq expositions sur l’histoire illustrée de l’émigration russe en France, 1917-1947.

CULTURE RUSSE EN EXIL, EUROPE 1917-1947 par Andrei Korliakov, PARIS, YMCA-PRESS, 2013, 2 100 photos (trichromie), 720 pages. • Livre relié • 2 100 photographies en trichromie • Textes en français ou en russe • 720 pages • Format : 24 × 29 cm • Poids : 3,5 kg • Prix : 80 € • ISBN : 978-2-85065-275-2 • Sortie : 12 mars 2013
www.emigrationrusse.com

Montmartre en deuil.

André Roussard nous a quitté le samedi 20 avril 2010

(de gauche à droite) N. Tikhobrazoff, André Rousssard, V. Tchernychev et C. Bogrow.

André Roussard présenta les peintres de Montmartre depuis 1945, dans sa galerie de la rue du Mont Cenis. Nous l’avons connu depuis les années 1973, véritable puis de connaissances, une des clés de voûte de Montmartre, un ami fidèle et sincère . Nous avons eu l’honneur d’être dans un des ses ouvrages  “Dictionnaire des peintres à Montmartre” sortie en  1999, aux Éditions André Roussard, véritable encyclopédie ou le chercheur, l’historien, le lecteur pourra trouver les artistes qui vécurent à Montmartre, soit près de 4285 biographies, sur une période allant de 1800 à 1999, comprenant les peintres d’avant-garde depuis le Romantisme jusqu’au Surréalisme, les peintres académiques et les petits maîtres, ainsi que les peintres d’aujourd’hui. De nombreuses biographies sont inédites et jamais encore publiées (CLIQUEZ). Lors de l’exposition en 2010 “Le peintres russes à Montmartre”, André exposa dans sa galerie du 13 rue du Mont Cenis, trois peintres russes: Catherine Bogrow ( calligraphe), Vladimir Tchernichev ( peintre et illustrateur) et Nicolas Tikhobrazoff ( peintre) au milieu des peintres de sa galerie: Marko Stupar, Lanskoy, Delval, Gen Paul…….. ( Voir photo ci-dessus)

André Roussard et Nicolas Tikhobrazoff.

Personnage haut en couleur qui fut non seulement un galeriste découvreur de talent, mais également un mécène, un expert et spécialiste de certains peintres. Il eut sur Montmartre des responsabilités tel que Directeur du Syndicat d’Initiative de la Butte, membre de nombreuses associations comme “Les Amis de Francisque Poulbots”, “La République de Montmartre”, “Les P’tits Poulbots”, ” Montmartre à la Une”, “Paris Montmartre”, Le Clos Montmartre” ainsi que bien d’autres associations….

André Roussard à droite expertisant une toile d'aprés photo, à gauche Raymond Lansoy
rédacteur en chef de "Montmartre à la Une" et un collectionneur.

Montmartre et le monde des Arts viennent de perdre une mémoire et un Ami d’Artcorusse.

Nous nous associons à la douleur de son épouse Maryse, son fils Julien, sa belle-fille,  ainsi qu’à tous ses amis.

“Voyage de Yaroslav à Saint Petersbourg” en bâteau sur la Volga. Visites insolites hors de chemins touristiques. Permettant de visiter le monastère de Spasski restauré, on peut même dire reconstruit, puisqu’il servi pendant l’ère soviétique de prison, redevenu depuis 1997 un convent de nonnes orthodoxes.

Monastère Cyrille-Bièlozierski

Le monastère Cyrille-Bièlozierski, construit en 1397 par Saint Cyrille dominant le lac Siverskoïe. Ce monastère à partir du XVème siècle devint un centre religieux influent avec une interruption pendant près de 70ans , durant la période soviétique.

Monastère de Féropontov

Le merveilleux monastère de Féropontov, construit à partir de 1398 par le Féropontov. L’on pourra admirer des fresques peintes par Dionissi en 1502.

Monastère Saint Alexandre Svirrski

Le monastère Saint Alexandre Svirrski, qui construit ce monastère après avoir eu la visite des Saints Archanges en 1485. Ce monatère servie à l’ère soviétique d’hopital psychatrique. Béatifié en 1547, on verra ses “reliques” .

Espace Culturel La Filature.

Ciné-Conférences”Les monatères de Yaroslav  Saint Petersbourg

Samedi 20 avril à 15h 30

Conférencier et réalisateur du film: N. Tikhobrazoff

Espace Culturel “La Filature”

1, rue de la Filature

5110 Bazancourt

Renseignements  CLIQUEZ et réservation: 03 26 48 65 00

ENTRÉE LIBRE.

Spectacle musical illustré
d’après Pouchkine et Korsakov

durée 1h tout publics

Percussion Claviers de Lyon

Alexandre Pouchkine

Malgré la renommée mondiale d’Alexandre Pouchkine, ses contes restent peu connus en France. Le Coq d’Or, le roi Saltan, Rousslan et Ludmilla, pour ne citer que ces trois titres, sont dans notre pays, des oeuvres rarement entendues, en dehors des versions opératiques de Nicolaï Korsakov pour les deux premiers, et Mikhaïl Glinka pour le troisième.
Les Percussions Claviers de Lyon invitent Jean Lacornerie à revisiter Le Coq d’Or, une lecture inédite, une adaptation contemporaine, une nouvelle trame musicale, la recréation d’une complicité entre deux géants de la culture russe, pour proposer au final un spectacle musical, une nouvelle production dédiée à un public jeune et familial.
Après Trois Contes qui réunit Ravel et Perrault, une nouvelle aventure musicale, moderne et spectaculaire pour de nouvelles émotions.
Gérard Lecointre, novembre 2011
Si Rimsky Korsakov s’est inspiré du Coq d’Or pour en faire un opéra, la version ici proposée n’est pas une adaptation de cet opéra. Nous nous emparerons du texte originale de pouchkine, l’adapterons pour notre spectacle, en inventant une forme ou des musiques choisies du compositeur croiseront une nouvelle fois l’oeuvre de l’écrivain.

Rimsky Korsakov

L’HISTOIRE
Dans ce conte, un roi guerrier, un mage, un coq en or, une reine mystérieuse sont les principaux personnages d’une histoire merveilleusement curelle et drôle. Le Roi Dadon utilise pour protéger les frontières de son royaume un coq magique, donné par un mystérieux castrat et mage de son état, en échange de la réalisation d’un voeu. Le coq d’or chante à chaque fois qu’une armée ennemie se présente et le roi a tout le temps d’organiser son armée pour résister à l’envahisseur. mais un jour le coq signale l’arrivée de la reine Sharagale. Le Roi tombe éperdument amoureux de cette femme mystérieuse et décide de l’épouser. C’est alors que le mage vient formuler le coeu que le Roi lui avait promis d’exhausser en échange du coq d’or. Il réclame la Reine elle-même. Mais que pourrait bien faire un castrat d’une si belle femme ?
LA MUSIQUE

Musiciens percussionnistes : Raphaël Aggery, Sylvie Aubelle, Gilles Dumoulin, Jérémy Daillet et Geérard Lecointe.
Pour ce nouveau Coq d’Or, la trame musicale se nourrira bien sûr d’extraits de l’opéra, mais la musique seule de cette oeuvre ne pourrait servir complètement le propos de cette nouvelle production. Il ne s’agit plus ici d’une version chantée. Alors de l’oeuvre complète du compositeur russe seront extraites les pages les plus imagées et les plus signifiantes pour couvrir l’intégralité du récit ; musique dramatique, musique guerrière, musique pour la danse, musique féérique et onirique… Et l’on entendra des extraits de Shéhérazade, du Conte du Tsar Saltan, de La Grande Pâque Russe, de La Demoiselle des neiges… et du Coq d’Or bien sûr.
SUR SCENE

Le récit sera porté essentiellement par l’image et la musique. Seuls les cinq musiciens des Percussions Claviers de Lyon seront sur scène. Le public pourra suivre l’histoire grâce à la projection des dessins de l’illustrateur Etienne Guiol.

Théâtre Chatillon

3 rue Sadi Carnot

92320 Châtillon

Réservation: 01 55 48 06 90

ACCÈS
: Ligne 13 terminus Châtillon-Montrouge. Sortie Montrouge : navette gratuite à 20h (réservation indispensable 48h avant la représentation).

: 388arrêtMairiedeChâtillon 162/194 arrêt d’Estienne d’Orves – Division Leclerc 195/295 arrêt J-P. Timbaud.

VOITURE : De la Porte de Châtillon, direction Versailles. Dans Châtillon : direction Centre Ville, puis Mairie. 1ère à gauche dans la rue de la Mairie.


OFFRE DE STAGE A L’OCDE à Paris au mois de Mai 2013.

URGENT

Ce stage est d’une durée d’un mois, lieu de ce stage
www.oecdbetterlifeindex.org au siège de paris. Il est nécessaire d’ avoir le russe comme langue maternelle ou la parler couramment.

Disponibilité à plein temps être étudiant savoir maîtriser Word Press être disponible à partir du 2 mai 2013.

Travail :

≈ formation sur Word Press,  une demie journée

≈ Vérification de la traduction en russe. 4 jours.

≈ mise en pages des textes russes sur Word Press, 10 jours

≈ Soutien de l’équipe (BLI) indicateur du vivre mieux durant la semaine à l’OCDE. 4 jours

Si vous ètes interessé écrire à:      Nyaika.kamurasi@oecd.org

URGENT

1 month internship at the OECD working on www.oecdbetterlifeindex.org
<http://www.oecdbetterlifeindex.org/>. Native / fluent Russian speaker. Full time availability working at the OECD Headquarters in Paris for the month of May. You have to be a student, WordPress experience is preferable and be available from May 2.

Tasks include:

.         Training on WordPress (content management system):                            0.5 day
·         Check Russian text after translation:                                                                 4 days
·         Upload Russian text onto WordPress:                                                             10 days
·         Support the BLI team during OECD week:                                                      4 days

If you are interested please email:      Nyaika.kamurasi@oecd.org

Irina Antonova Directrice du Musée Pouchkine à Moscou.

Le ministre de la Culture Vladimir Medina a annoncé que le directeur du Musée des Beaux Arts Pouchkinede Moscou, Irina Alexandrovna Antonova, a été nommée Conservateur en chef des Musées d’Etat russes. Il est à noter que le poste de conservateur en chef est un honneur.
Irina Antonova représentera la Russie au cours des conférences à l’étranger et elle est chargée d’organiser et de superviser des expositions itinérantes.

De plus, elle est conseil consultatif relevant du ministère de la Culture pour les marchés publics d’œuvres d’art pour les musées et elle est chargée de développer l’image de la culture de la Russie à l’étranger.

Irina Antonova agée de 91 ans, reste conservatrice et directrice du Musée des Beaux Arts Pouchkine ou tout simplement du Musée Pouchkine qu’elle dirige depuis 1961 .

Irina est née le 20 mars 1922 àMoscou, elle a grandi dans une famille où tout le monde aimait l’art, la musique, la littérature, le théâtre. Sa mère est diplômée du Conservatoire de Kharkov en tant que pianiste, mais n’a pas pu réaliser une carrière professionnelle. Son père est originaire de Saint-Pétersbourg,  un participant actif lors de la révolution de 1917, il a travaillé comme électricien à bord du navire, plus tard  il est devenu un expert pour les vitres et il est devenu le directeur de l’Institut du verre expérimentale. Très friand de théâtre, dans les premières années il a  joué dans la pièce “Les Bas-fonds” de Maxime Gorki dans le troupe ou joué le célèbre acteur Skorobogatov. Il aimé avec sa fille  assister aux représentations de théâtres, d’opéras et des ballets.
En 1929, son père a été envoyé pour travailler en Allemagne, Irina et ses parents y vécurent jusqu’en 1933. Durant ces 4 ans, elle a appris l’allemand lisant dans le texte Goethe, Heine, Schiller. Immédiatement après l’arrivée des nazis au pouvoir, la famille est retournée en  URSS.

Elle voulait faire de la Mécanique et des mathématiques à la Faculté de l’Université de Moscou, mais son amour pour l’art était trop fort, elle étudia à l’Institut Antonov puis après sa fermeture  Irina est devenu étudiante de l’Université. Pendant la guerre, elle a pris des cours d’infirmière travaillant à l’hôpital. En 1945, elle est diplômée de l’Université et elle est invitée à travailler au Musée Pouchkine. Le champ d’application de ses recherches était l’art de la Renaissance italienne. Et 1961 on lui proposa de devenir le directeur du musée, considéré comme un des musée les plus importants en Russie et dans le monde.

Pendant de nombreuses années l’opinion générale était que le Musée russe de Saint-Pétersbourg et  la Galerie Tretiakov à Moscou se spécialisaient uniquement dans les œuvres d’artistes russes, et l’Ermitage et le Musée Pouchkine des œuvres de type occidental. On demandait au nouveau directeur du courage et de bravoure pour aller à l’encontre des principes idéologiques de ces années-là, et de faire de grandes expositions.
Les années d’or du musée sont la seconde moitié des années 60 aux moment de sa rénovation. Les designs innovant du musée peuvent être comparées à ceux du théâtre Taganka de ces années. Ainsi, en 1966, malgré les objections de la ministre de la Culture E. Furtsevoy, le musée organise une exposition Tischler. Plus tard, une exposition d’œuvres de Matisse. Dans les murs du musée Irina Antonova organise des concerts de musique,  difficile d’imaginer cela à cette époque, même au conservatoire: Stravinsky, “Vêpres” de Rachmaninov. Depuis 1967, il a lancé chaque année des lectures de Vipperovskie et des conférence à la mémoire de l’ancien directeur de musée Professeur B.R.Vippera.

I. Antonova 1965©Ozersky

Irina Antonova en 1965 © Ozersky

Elle a,  lors du centième anniversaire du musée Pouchkine en 1912 :

“« Le père fondateur du musée, c’était Ivan Tsvetaïev c’était son premier directeur. Il a commencé sont musée de zéro, il n’avait ni de collection ni d’argent, il n’avait rien. Mais il avait cette idée : créer un musée d’art mondial. Près de lui il y avait le mécène Youri Nechaev-Malcov, je dois prononcer ce nom, car c’est un nom très important pour le musée. Et le troisième héros, fondateur du musée c’était Roman Klein, qui a crée ce magnifique bâtiment.

Je dois dire que le développement du musée était très dynamique et actif. Tsvetaïev était obligé de commencer avec un musée de moulages de plâtres et le musée était au départ un musée universitaire, pour l’éducation des jeunes gens. Avec le temps c’est la peinture et le graphisme qui ont été introduits dans le musée ».

En 1974, sous la direction de I.A.Antonovoy elle réorganise radicalement le musée en orgisant des expositions mixtes, par exemple, une exposition de portraits, où les voisins sont  de Renoir et Serov ou des portraits de la même personne, réalisées par des artistes russes et étrangers. Cela permet aux visiteurs de comparer la façon dont les maîtres  apparaissent dans le contexte de la culture mondiale. Ces expositions font une forte impression sur le public.
En 1981, le musée organisé une grande exposition “Moscou – Paris“. Elle a eu lieu tout d’abord au Centre Pompidou à Paris, puis  au musée Pouchkine à Moscou. Elle était l’une des expositions les plus avant-gardiste  du XX siècle. Ont montré les travaux de Malevitch, Kandinsky, Filonov … Elle reçu des milliers de visiteurs. Dans les années 90 eu lieu une exposition unique – «Moscou –. Berlin Art totalitaire” – russe et allemand, qui a  présenté  que les Allemands avaient peur. L’exposition a été une percée de l’isolationnisme …
À la fin des années 80 à l’initiative et avec la participation directe d’Irina Antonova un programme national de développement du musée s’engage. Dans le cadre du programme en 1995 au musée Pouchkine a été ouvert des collections personnelles. Maintenant il y a plus de quarante collections.
En 1996 I.A.Antonova initie l’ouverture du Musée d'”Art Formation” nommé I.V.Tsvetaeva, qui est déployée dans le bâtiment de l’Université d’Etat russe pour les sciences humaines. Il a été créé un département  collections  sur les  sculptures de l’Antiquité, du Moyen Age et de la Renaissance.

En 1998, le musée a célébré son 100e anniversaire. Jusqu’à présent, la date d’ouverture du musée était consideré en  1912. Cependant, il a été décidé de faire de la date anniversaire du musée  en 1898  effectuée en présence de Nicolas II. Les manisfestations de cet anniversaire  se déroulèrent dans les locaux du Théâtre du Bolchoï. Ce fut l’événement de la vie culturelle de la Russie moderne en présence de Maya Plissetskaïa, Yuri Bashmet, de nombreuses personnalités de la culture et de l’art.
Une réalisation remarquable dans le travail du musée -depuis 1980, l’organisation du festival “Les Nuits de décembre». Une série de programmes intéressants sont conçus avec S.T.Rihterom, ainsi que Irina Arkhipova, E.Nesterenko, E.Kisin. Les mêmes parties “soirées” étaient G. Kremer, M. Pletnev, O.Kogan, V. Tretiakov, N. Gutman, Yuri Bashmet, E. Virsaladze. En 2000, “Nuits de décembre» fêtera  le vingtième anniversaire du festival.
Dans  la première moitié des années 60,elle  participe au Conseil international des musées près UNESCO ( I. Antanova fut pendant plus de 12 ans – Vice-Président, et en 1992 – membre honoraire). Pendant 6 ans, elle a dirigé le Comité international pour le travail éducatif. Depuis plus de 30 ans, elle a participé aux travaux du Conseil national des musées soviétiques.
I.A.Antonova – auteur de plus de 100 publications (catalogues, des articles, des albums, des émissions de télévision, des scripts de films populaires). Au fil des ans, elle a occupé un poste d’enseignant au Département de  histoire de l’art à l’Institut de la Cinématographie, à l’Institut des langues orientales à Paris….
I.A.Antonova est Membre de l’Académie russe des arts, académicien de l’Académie russe de l’Education, membre de l’Académie de San Fernando à Madrid (Espagne), Docteur de l’Université d’Etat russe pour les sciences humaines, ell a un degré Honoris Causa, le titre de “Artiste émérite de Russie.” Est membre du Conseil présidentiel pour la nomination du prix d’Etat. Avec Tabakov, Voznesensky, Z. Boguslawska, A. Bitov, Vassiliev, V.Abdrashitovym, V.Aksenovym, E. Neizvestny, Yuri Bashmet. Elle est membre permanent du jury du prix «Triumph» nationale et membre du conseil du Théâtre du Bolchoï.

En 1995, elle reçoit le Prix d’Etat de la Fédération de Russie puis l’Ordre de la Révolution d’Octobre, la distinction du Drapeau Rouge du Travail, «Pour Services rendus à la Patrie” degré III, ainsi que Commandeur de l’Ordre de la littérature et de l’art en France.
Irina Antonova, parle couramment l’allemand, le français et l’italien, et un peu anglais. Elle aime le théâtre, le ballet et la musique. (en particulier Chopin, Wagner, Mahler, des chanteurs préfèrent Montserrat Caballe). Activité favorite depuis son enfance – la lecture de livres classiquse et modernes. Elle aime la poésie et de la prose, apprécie particulièrement Astafieva, Soljenitsyne, Bitov, Akhmadoulina .
Parmi ses passions: conduire une voiture, ceci depuis 1964. Comme elle le dit: “pas ma maison, mais  ma voiture est mon château», ce qui signifie que la voiture est un espace clos dans lequel on  se détend seul avec vous-même, pouvoir penser, rêver sur la route, ce qui est très important pour une personne dont le travail est lié au contact permanent avec un grand nombre de personnes. Elle aime la natation.
Vit et travaille à Moscou.

( Diaporama du Musée Pouchkine )

Jour des Mécènes et des Bienfaiteurs

Célébré en Russie le 13 avril

Théâtre de l'Ermitage à Saint Petersbourg.

Cela fait la huitième année que la Russie fête, le 13 avril “La Journée des Mécènes et des Bienfaiteurs“.

Date choisie en raison de l’anniversaire de l’aristocrate romain, un ami des poètes, des artistes et des musiciens: Cilnius Patron.  Le lieu de cet évènement  aussi ne peut pas être changé: l’Hermitage expose un tableau de Giovanni Battista Tiepolo “Mécène Présentation des arts libéraux à Auguste» (1745), c’est dans ce contexte qui se tient traditionnellement la cérémonie depuis 2005.

"Mécène Présentation des arts libéraux à Auguste" (1745) de Giovanni Battista Tiepolo

Comme l’ont souligné, les initiateurs: le  Directeur général du musée  d’Etat de l’Ermitage Mikhaïl Piotrowski et le rédacteur en chef de l’anthologie “russe Mécène”, AJ. Sosnov: “…… avec un déficit du soutien législatif pour les activités philanthropiques (subventions) en Russie, notre gouvernement et la société devraient au moins apprendre à dire MERCI aux donateurs . C’est pourquoi un autre nom est donné à cette journée : ” MERCI”, mot  informelle à ce jour.

Il y a  nécessité d’édicter  une loi «sur les activités philanthropiques et le mécénat”. Cette question a été soulevée lors du Forum international sur la Culturelle à Saint-Pétersbourg à la fin de l’année dernière. Un des auteurs du projet de loi auprès du premier vice-président de la commission de la culture de la Douma d’Etat de la Fédération de Russie, l’artiste du peuple de l’URSS Joseph Kobzon a déclaré:

– ” Nous vivons actuellement aucun projet de li et nous ne pouvons réduire au silence ce qui est de notoriété publique, tous s’accordent à dire que le déclin de la culture intellectuelle, les bibliothèques, les musées et autres centres d’éducation ….”

Bilan et Projets:

Avec le soutien actif du “Groupe Ilim», la société «Rusenergosbyt” et  JSC “Baltstroy” est arrivée à terme la  restauration  de l’iconostase de la Cathédrale Pierre et Paul – l’une des reliques principales de Saint-Pétersbourg à la Forteresse Pierre et Paul. Avec le soutien de JSC “Gazprom” fut restaurée l’église de la Sainte Vierge à Gatchina, région de Leningrad. Il a été décidé la mise en œuvre du programme d’aide  pour les  orphelinats avec la  Sberbank de Russie. Philips  travaille avec de l’Ermitage, la société AFK “Système” – avec le Musée Russe, le fonds “Yamal” soutient  les projets artistiques basés sur les sentiments et la liberté. Ces actions encours et d’autres projets seront discutés dans le cadre de cette journée commémorative.

A cette occasion le peintre Nikolai Martynov, présentera cinq de ses peintures exécutées lors de son voyage en 1964 dans la péninsule de Yamal.

Parmi les participants de cette journée l’on pouvaient voir des citoyens d’honneur de Saint-Pétersbourg, des dirigeants des organismes gouvernementaux, des institutions culturelles, des ONG et des représentants du corps diplomatique.

Sont associés  également à ces fêtes du 13 avril 2013, le réseau russe du Pacte mondial des Nations Unies réunissant des entreprises et des organisations partageant les dix principes dans le domaine des droits de l’homme, du travail, de l’environnement et de lutte contre la corruption.

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Pour enregistrement de Voix Off.

Nous sommes un studio d’enregistrement et de mixage situé à Montreuil.

Comme notre nom l’indique, nous sommes spécialisé dans tout ce qui fait appel à la voix : pub radio et télé, film institutionnel, audiotel, voice-over, doublage, e-learning… et cela dans toutes les langues !
Pour nos futures productions, nous cherchons sur Paris des Hommes (en priorité) et des Femmes Russes de TOUS ÂGES dont la langue maternelle est le Russe et sachant le lire parfaitement.
Contactez-nous par mail :
coraline2@voix-off-agency.com
ou par téléphone :
09 81 61 40 41
Voix Off Agency
76 rue Marceau 93100 Montreuil
www.voix-off-agency.com

Nas zdarovié !

Samedi 20 avril à 21h

Soprano : Anne Baquet

Trio Fontanarosa:
Piano : Frédérique Fontanarosa
Violon : Patrice Fontanarosa
Violoncelle : Renaud Fontanarosa

À la fois populaire, mélodique, opératique, symphonique… Mineure ou majeure, la musique russe nous transporte. Ce n’est pas Anne Baquet qui nous contredira, elle, qui après cinq années d’études musicales passées à Saint-Pétersbourg, a complété son appétit de la scène par une formation de danseuse et de comédienne. Si son goût pour la diversité l’a conduite dans un premier temps à participer à la Cie Karine Saporta, au Cirque Barbarie (Berlin), à travailler avec Marcel Azzola, Elisabeth Wiener, Mickael Nyman, ou encore à interpréter Offenbach, Chostakovitch, Britten ou Dutilleux, c’est en tant que chanteuse de ses propres récitals qu’Anne Baquet, soprano, se révèle au public. Elle crée ici à Suresnes son sixième récital, autour du répertoire russe de chansons classiques ou populaires, pour nous faire entendre cette terre si froide et si grande, mélange de joie, de tristesse, de folie ou de haine et lever notre verre à cette eau de vie qu’est la Russie. À votre santé !

Bons baisers de Russie

Dimanche 21 avril 2013 à 17h

Madame Brigitte Engerer devait nous faire la joie de sa présence lors de ce programme. L’Orchestre National d’Ile de France, Enrique Mazzola, directeur musical et Alexander Anissimov, chef invité pour ce programme souhaitent rendre hommage à cette artiste d’exception, dévouée à la musique, attachée à sa transmission, en vous présentant l’une de ses plus proches élèves formée également à l’école Russe : Varduhi Yeritsyan. Sa carrière déjà brillante suit les pas de Brigitte Engerer.
‘Il y a quelque chose qui tient de l’indicible dans la relation qui lie un maître à un élève. A la fois mentor, professeur, modèle, le premier tente de façonner le second, tout en lui donnant les outils pour devenir autonome. Mais il y avait bien plus que cela dans ce que j’ai partagé avec Brigitte Engerer depuis mon arrivée en France jusqu’à sa tragique disparition. Sa générosité, son amour quasi-excessif des autres et de la vie, son goût du plaisir et son sens aigu de la psychologie faisaient d’elle un être d’exception, et un maître dont les conseils guideront à jamais ma vie de musicienne. C’est avec beaucoup d’émotion et d’humilité que je vais donc lui rendre hommage en interprétant la Fantaisie de Tchaikovski, oeuvre rare au concert que chérissait la plus russe des pianistes françaises’. Varduhi Yeritsyan

Piotr Ilyitch Tchaïkovski :  Fantaisie de concert pour piano op. 56

Serge Rachmaninov :  Symphonie n°2 en mi mineur op. 27

Ensemble : Orchestre national d’Ile de France
Direction : Alexander Anissimov
Piano : Varduhi Yeritsyan

Théâtre de Suresnes

Jean Vilar
16, place Stalingrad • 92150 Suresnes
Administration : 01 41 18 85 85  •

Réservation : 01 46 97 98 10

Tarifs:

Plein : 27€ – 22€

Réduit: 23€ – 18€

ACCES
Navette gratuite* Paris – Suresnes – Paris
De Paris à Suresnes
• départ de la navette : 45 mn précises avant l’heure de la représentation, à l’angle de l’avenue Hoche et de la place Charles de Gaulle-Etoile, à proximité du métro et du RER (pour une représentation à 21h, départ de la navette à 20h15).
• arrêt à Suresnes : arrêt du bus bd Henri Sellier, pour les Suresnois et les usagers du Tram (Val-de-Seine, gare Suresnes-Longchamp), 25 mn précises avant l’heure de la représentation.

NB : la navette du Théâtre ne fonctionne ni pour les spectacles Jeune Public, ni pour les rencontres autour des spectacles (répétitions publiques…)

Retour assuré après la représentation
Au retour uniquement, en plus de l’arrêt Suresnes-Longchamp, la navette dessert à la demande trois arrêts à Suresnes : bd de Lattre de Tassigny (arrêt Bons Raisins), place Marcel Legras et place Henri IV.

* dans la limite des places disponibles (1 navette par représentation, 60 places disponibles). En aucun cas, le Théâtre de Suresnes Jean Vilar ne saurait être tenu pour responsable du manque de places dans la navette mise gracieusement à disposition du public.


En voiture
depuis Paris
10 mn depuis les Portes Maillot, d’Auteuil, de la Muette, de Passy. Direction Bois de Boulogne, Pont de Suresnes puis Cité Jardins et Théâtre de Suresnes Jean Vilar.

Autolib’
3 stations sont à proximité du Théâtre
• Place Stalingrad (5 places),
• Avenue Jean Jaurès : (face au magasin Casino, 10 mn à pied, 6 places
• Place de la Paix : 6 places, 5 mn à pied
Parking du Théâtre

Situé dans l’enceinte du stade Maurice Hubert (accès par la rue Victorien Sardou à Rueil-Malmaison), un parking surveillé est accessible au public du Théâtre les jours de représentation. Suivre le fléchage «Parking du Théâtre».

Exposition du 11 avril au 10 mai 2013

Maria Lvova et Svetlana Amova

La Galerie Russkiy Mir présente pour la première fois les œuvres d’arts décoratifs avec une présentation  de Peintures, dessins de costumes, peintures sur soie et Joaillerie.

Maria Lvova est une artiste à la généalogie artistique étonnante, artistes, architectes, compositeurs.Depuis 1965 elle a intégré le projet commun du Bureau artistique et de design du Ministère de l’industrie légère et de la Maison de couture Dior. Elle a suivie les cours du Musée des Beaux-Arts Pouchkine, de l’Institut Sourikov et ceux de la Haute école d’art et de design de Genève. Membre de l’Union des peintres de Russie et de l’union internationale des peintres. Elle enseigne actuellement l’histoire de l’art au Centre International de l’Universtité d’Etat Lomonossov de Moscou à Genève.

www.lvova./art.com

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Svetlana Amova est la fondatrice de la maidon de joaillerie Amova Jewelry, présente ici à Paris sur le thème “Art et Parenté. Elle présente des bijous contezmporains fabriqués avec des procédés anciens comme le travail des pierres et l’incrustation d’émail faite à la main. L’amour de la joaillerie lui vient de son grand père fournisseur de pierres précieuses de la Maison Fabérgé. Elle étudia d’abord à l’Université Strogonov spé”cialisé dans le design architectural et restauration des métaux, puis à Barcelone elle continue ses études à l’Université des Beaux Arts.

www.amovajewelry.com

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Le premier défilé de mode de Christian Dior à Moscou a eu lieu en 1959. Vera Nikolaïevna Lvova a eu la chance de participer à ce projet commun de stylistes français et russes. Elle travaille durant de nombreuses années à la Maison de la Mode de l’URSS en qualité de styliste principale.

Russkiy Mir

7 rue de Miromesnil

75008 Paris

Du mercredi 15 mai au dimanche 26 mai prochain, aura lieu le 66ème Festival de Cannes. Cette année le réalisateur américain Steven Spielberg est le président du jury et il paraîtrait même que la sublime actrice Nicole Kidman soit à ses côtés.

En attendant l’annonce de la sélection officielle – le 18 avril prochain-, voici les dernières rumeurs sur les films retenus en compétition et dans les autres sections. Nous croisons les doigts pour une présence commune du russe Ilya Khrzhanovsky avec «Dau», projet fou dont nous vous parlons depuis trois ans déjà, des Roumains Marian Crisan («Rocker») et Corneliu Porumboiu («Nine Minute Interval»), de l’Anglais Steve McQueen («Twelve Years of Slave») ou encore du documentariste autrichien Hubert Sauper («Le Cauchemar de Darwin») avec son nouveau film, «We come as friends», le deuxième volet de sa trilogie esclavage – colonisation – globalisation. Que des réalisateurs jamais passés par la case de la compétition. Pour les confirmés, les mêmes noms reviennent: le Danois Nicolas Winding Refn («Only God Forgives»), le Suisse Jean-Luc Godard («Adieu au langage» et “3x3D”) et le Russe Alexei Guerman («Il est difficile d’être un Dieu»).

Un film russe de Taisia Igumentseva, Otdat Koncy (Lâcher la rampe), sera projeté en séance spéciale lors de la 66e édition du Festival de Cannes en mai, a annoncé l’équipe du festival sur son Twitter officiel .
Le film parle des habitants d’un petit village russe qui apprennent à la radio qu’une comète frappera la Terre dans 24 heures. Les gens organisent leur dernière fête et commencent à se préparer à la mort et à prendre des décisions qu’ils ont toujours remis à plus tard. La fin du monde n’arrive pas, mais les habitants du village comprennent qu’ils ne peuvent plus vivre comme avant.
La réalisatrice russe Taisia Igumentseva a reçu le Premier Prix de la Cinéfondation à Cannes en 2012 pour son court métrage Doroga Na (En Chemin).

Voyages insensés de Moscou aux confins sibériens

Concert-lecture autour d’Éloge des voyages insensés de Vassili Golovanov



Chant, accordéon, guitare Sylvia Vadimova Lectures Leïla Lemaire Conception Les Ateliers du Monde
Écrit en russe, mais d’abord édité en France, Éloge des voyages insensés est une œuvre fabuleuse, véritable épopée contemporaine, où Vassili Golovanov fait le récit de ses expéditions de la Russie occidentale à l’île polaire de Kolgouev. L’auteur marche sur les cendres des temps mythiques à la rencontre des peuples nomades du grand Nord – les Nénets en particulier -, montrant les désastres infligés par la civilisation industrielle et le communisme à cette terre et à ses hommes. A la fois chant intérieur, poésie des espaces et des hommes, ce livre est une formidable plongée, bien loin de tout exotisme, dans la réalité sibérienne. En écho aux lectures choisies, et suivant le fil d’Ariane tissé par le récit, Sylvia Vadimova interprétera chants populaires russes, chants tziganes et des minorités sibériennes dont des chants Nenets, nous offrant un voyage sensible dans les sonorités des musiques de ce continent nommé Russie.

Ce concert-lecture sera suivi d’un atelier d’initiation à la pratique des chants populaires russes et sibériens avec Sylvia Vadimova, ouvert à tous publics. Dimanche 14 avril, de 11h à 14h, à la Cité Internationale des arts. Renseignements et inscriptions : contact@lesateliersdumonde.com / 06 33 02 06 55
Tarifs du concert : plein 15 € / réduit 10 € / abonnés 5 € ; Informations et réservations au 01 40 24 00 55
Contact presse : Hélène Laurain – 01 40 24 00 55 – communication@sildav.org Maison d’Europe et d’Orient – Pôle culturel européen 3, passage Hennel – 75012 Paris – M° Gare de Lyon (accès par le 105/107 avenue Daumesnil) ou Reuilly-Diderot (accès par le 140/142 rue de Charenton) www.sildav.org

Après l’achat par la Fédération de Russie des bâtiments et du terrain de la Méteo, quai Branly, pour créer un centre cultuel et culturel. Pour boucher une partie du déficit  de la  France, le gouvernement a décidé, en secret de vendre une partie de la Tour Eiffel.

La  Mairie de Paris a refusé qu’un des piliers de la Tour Eiffel, plus exactement le pilier Nord, ne soit acheté par un oligarque russe de la région de Sverdlovsk, en janvier 2013. Ce dernier dont le nom n’est pas communiqué, souhaite présentée aux jeux olympique de Sotchi et en 2020 installé définitivement pour l’Exposition Universelle à Ekaterinbourg un morceau de la Tour Eiffel.

Tour Eiffel après démontage du 3ème étage.

Après de longues négociations il s’est décidé à acheter l’intégralité du troisième étage, avec la vue sur Paris.  Cet oligarque a l’intention d’offrir les retransmissions grâce aux antennes qui y sont installées, aux télévision du monde entier et ceci gratuitement et organiser dans le bar des réceptions.

Troisième étage avec le bar et les antennes de transmissions.

Le démontage va commencer au mois de juin, les travaux dureront 15 jours .