Archive pour avril 2016

Tatiana Smelova, piano

10 mai 2016 à 20h00

en l’église St Germain l’Auxerrois, Paris 1er

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Au programme :
Franz Schubert – Sonate en Sol op.78
César Franck – Prélude , Choral et Fugue
Dmitri Chostakovitch – Prélude et Fugue op.87 N°24

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Née près de Moscou, Tatiana Smelova joue du piano dès son plus jeune âge. À cinq ans, elle est l’élève de Mme Artobolevskaya, professeur de grande notoriété à Moscou. La même année, elle fait sa première apparition devant le public moscovite. Fascinée par la langue estonienne, qu’elle apprend en trois mois, elle quitte sa famille à l’âge de neuf ans pour entrer à l’Ecole Spéciale de Musique de Tallinn (Estonie).
En 1983, elle termine brillamment ses études et entre au Conservatoire Supérieur National de Tallinn dans la classe du professeur Bruno Lukk (élève de Hindemith et de Kreuzer) disciple d’Arthur Schnabel pour le piano et de Paul Hindemith pour le contrepoint et la fugue. Cinq ans plus tard, elle y obtient le titre de Pianiste concertiste.

Séduite par la culture française, Tatiana Smelova vient à Paris en 1989 pour se perfectionner auprès de Pascal Devoyon.

A Paris, elle est invitée à se produire entre autres Salle Pleyel, Salle Gaveau, Salle Cortot, Hôtel de Crillon, Schola Cantorum et au Festival Chopin, ainsi que dans de nombreux festivals en France (La Chaise-Dieu, Pierrefonds, Festival Cziffra à Unieux, Meung-sur-Loire, Piano en Saintonge, etc.), avec un accueil enthousiaste tant du public que de la critique.

Tatiana Smelova est lauréate du concours international “Virtuosi per musica di pianoforte'”en Tchécoslovaquie (1977), du Concours de pianistes en Estonie (1988) et du Concours International Rameau (1991) et remporte le Premier prix du Concours Georges Cziffra (1992).
Elle est boursière de l’International Rotary Club (1992-1993) et de la Fondation Grüner-Schlumberger (2000).
Elle réalise de nombreux enregistrements, parmi ses enregistrements discographiques, deux sont actuellement disponibles : “Oeuvres de Franz Liszt” (Solène/Distribution Sokadisc 1996) et “Le Cycle du Ciel Étoilé” de Urmas Sisask (Pianovox/Sony 1999). Ce dernier a été salué par les critiques (” Choc ” du Monde de la Musique ; ” 10 ” de Répertoire, qui le choisit aussi parmi les meilleurs disques de l’année).

Tatiana Smelova a créé en France un grand nombre dœuvres inédites, dont les œuvres d’Arvo Pärt (dédiées à Bruno Lukk), qui feront l’objet d’un prochain enregistrement discographique. Depuis septembre 1999, elle est en résidence à l’Abbaye de La Prée, en France.


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L’existence de l’église est attestée au VIIème siècle (époque mérovingiénne) car c’est le lieu de sépulture deSaint Landri, évêque de Paris, mort vers 655 ou 656.
L’Abbé Lebeuf  croit qu’il en faut attribuer la première origine à une chapelle, la chapelle de Saint-Vincent, qui aurait été construite peu de temps après la mort de Saint Germain, évêque d’Auxerre Elle est l’une des quatre églises marquant les points cardinaux de Paris en 581. L’église Saint-Germain l’Auxerrois est, depuis l’Ancien Régime où les artistes étaient logés au Louvre, la « paroisse des artistes ».

 

ÉGLISE ST GERMAIN L’AUXERROIS
2, place du Louvre
75001 PARIS

Réservation: 01 47 57 46 88

Tarifs:

Placement libre
Normal 20€
Enfant et moins de 25 ans 12

Billeterie sur place le jour du concert
Sur le site de la FNAC

 

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La station « TSAR » à Tsarskoïe-Selo.

Prenez un taxi, allez à la gare de Vitebsk sur le canal Vvedensky, pénétrons dans le pavillon impérial, asseyons-nous dans l’un des cinq trains, profitons de la banlieue sud de la capitale Saint Pétersbourg, ses champs, le village de Grand Kuzmolovo, des vues sur Tsarskoïe Selo … Prochain arrêt: «Tsar ». Sur le quai, nous sommes accueillis par un homme chaleureux et accueillant avec une barbe soignée, n’est ce pas Nikolaï Alexandrovich Romanov, l’empereur de Russie, roi de Pologne et Grand-Duc de Finlande ? Nous dormons … Nous sommes bien …

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Le tsar Nicolas II passe les troupes en revue à la station “Tsar”

Nous nous réveillons devant l’ordinateur portable où l’écran montre la ligne de chemin de fer de sa Majesté, vers Tsarskoïe Selo. Un embranchement qui a été créé en 1887, en premier lieu, parce que Nicolas II de tous les autres moyens de locomotion préférait le chemin de fer. Cette ligne était confortable et avec une légère brise pour se rendre à Saint -Pétersbourg, de Gatchina (lieu de résidence favori de la mère de l’empereur, Maria Feodorovna) et vers Europe, par exemple, vers les domaines de chasse polonais. La durée du parcours de Saint – Pétersbourg à Tsarskoïe Selo, n’est pas connu, le rapport établi par la Commission impériale pour la construction d’une «troisième voie» indique que la voie susmentionnée a été créée pour accèder à des trains de plus grande importance à une vitesse de 42 verstes à l’heure, ce qui correspond à voyager 30 minutes. La voie partait de la gare de Vitebsk du pavillon impérial construite par S.A. Brzhozovsky en parallèle à celle de Moscou-Rybinsk et la route de Vindava, pour atteindre un quartier du village de Shushary traversant la route aux portes égyptiennes de Tsarskoïe Selo, à l’approche de la station. En outre, avant la «troisième voie» ont été construites, respectivement, la «première» et la «seconde», une sorte de «moustaches» pour rejoindre le chemin de fer de Varsovie, et donc à Gatchina et les destinations européennes.

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Croquis de l’embranchement impérial 1887.

Tout au long de cet embranchement de chemin de fer, il y avait onze ponts, dont deux servent toujours au public, trois ont complètement disparu, il reste encore six traces que l’on peut encore observer. Ce nombre de ponts résulte de l’existence d’un grand nombre de cours d’eau à l’est des collines Pulkovo avec la rivière Kuzminki qu’il faut traverser, pour se rendre à la station Tsar.

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Les troupes rendant les honneurs, à la station “Tsar”.

Cette voie de chemin de fer reçut son nom officiel de « l’Impériale » le 21 Décembre 1901, quand elle était prête à recevoir les trains impériaux mais, apparemment à cause de deux problèmes cette voie n’a été mise en service qu’un an plus tard, le 6 décembre 1902. Pour emprunter cette voie de chemin de fer, comme son nom l’indique, seul le train impérial avec le tsar, sa famille, sa cour, les délégués étrangers, pouvait l’emprunter. Par exemple, le 15 Mars 1914, le prince héritier Ferdinand et son épouse, la princesse Marie et son fils , le prince Carl l’empruntèrent.

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Carte des voies de cheminsde fer.

En conséquence, lorsque l’ensemble des lignes ont été achevées, le tsar avec ses invités n’étaient pas soumis à se croiser avec les voyageurs des autres lignes.

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 La station “Tsar” ou “Pavillon impérial”, gare du train royal (située de nos jours : Academic Prospect, 31), a été construite par l’architecte V.A. Pokrovskov avec la participation de l’artiste M. Kurilko en 1911.

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Entrée du salon du Pavillon de la Station “Tsar”.

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Intérieur du salon de réception de Pavillon à la station “Tsar”

Il reste encore des vestiges de la splendeur des fresques et du bâtiment , que nous pouvons observer encore aujourd’hui. Avant cette reconstruction, le tsar admira la gare en bois, mais au début de 1911 le bâtiment a brûlé, et rapidement une nouvelle gare fut reconstruite. Dieu merci, en pierre.

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Equipage Impérial allant à Pouchkine.

Avec le style néo-russe, favori de Nikolaï Alexandrovich,  toit à pignons, porche avec une tente avec de vieux motifs russes, tels que “kokoshniki” (détail architectural, conçu pour “masquer” la transition entre le volume cubique de la tour, avec son sommet en forme de cône ) et “barils” (renflement) sur les poteaux de la véranda. Cependant, le bâtiment de la gare reste encore une noble ruine en triste état . Heureusement, le fondement architectural du pavillon, les sculptures en pierre sont conservés sur la façade, et même des fresques peintes dans les arcs du porche d’entrée en façade, et quelques unes à l’intérieur.

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Porche d’entrée de la gare “Tsar” (2002)

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Vestiges des fresques intérieures (2002)

Le gare fut  démantelée après la révolution, ses éléments récupérés pour d’autres gares ou vers d’autres lignes de chemins de fer comme les quais, (plate-forme). En 1918, la station “Tsar” a été rebaptisé “Le pavillon Uritskogo” où il y avait une salle à manger, le  “Point de réparation des locomotives » puis  au milieu du XX ème siècle elle resta à l’abandon. Pendant la seconde guerre mondiale  le  bâtiment a été gravement endommagé, ainsi que par la souffrance causée par son abandon et l’indifférence de tous. En 2008-2011, une ​​partie fut utilisée pour créer le chemin de fer de la petite Oktyabrskaya, et maintenant avec les trains “Pegasus” ou “Fairytale”, vous pouvez rejoindre la station “Tsarskoïe Selo”, et passant au nord de la ville de Pouchkine.

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Ce bâtiment historique est depuis 2015 en cours de restauration.

 

Strasbourg fait son Cinéma Russe

du 20 avril au 17 mai 2016

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CONCERT EXCEPTIONNEL

DE MUSIQUE D’ORGUE

Lada Labzina et Baptiste-Florian Marle-Ouvrard

ÉGLISE St EUSTACHE au profit de la

RESTAURATION de la CATHÉDRALE RUSSE

DE LA RUE DARU.

JEUDI 28 AVRIL 2016 À 19H 30

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Lada Labzina

Lada Labzina, artiste émérite de la République du Tatarstan et maître de conférences à la faculté des études d’orgue et de clavecin au Conservatoire d’État de Kazan Zhiganov, représentante de l’école d’orgue Kazan. Lada Labzina est diplômée du conservatoire de piano et d’orgue dans la classe d’interprétation de l’orgue du  professeur R.K.Abdullina et improvisation à l’orgue avec le professeur O.G.Yanchenko. En 1991, elle a été lauréate du Concours Organ All-Union II à Kazan, en 1994, elle a été au Concours International d’Orgue à Genève (Suisse), en 1999, a remporté le Concours International Franz Liszt dans l'” Improvisation catégorie “à Budapest (Hongrie) et, en 2001, elle  remporte le 1er prix au Concours international d’orgue II Mikael Tariverdiev à Kaliningrad.

Lada Labzina se produit régulièrement en récital à travers la Russie et à l’étranger. Elle a donné des concerts à Moscou, Saint-Pétersbourg, les grandes villes de la région de la Volga, l’Oural et de la Sibérie ainsi que l’Arménie, l’Azerbaïdjan, l’Ukraine, le Kazakhstan, la Grande-Bretagne, l’Allemagne, la France, la Suisse, la Pologne, la Norvège et le Japon. L’organiste a participé à la première Jazz festival international Big Organ à Chelyabinsk et le Festival de Pâques de Moscou. En Juin 2011, elle a réalisé à l’Eglise de Norvège à Longyearbyen (île Spitzberg).

En 2009 Labzina est devenu directeur artistique de la salle de concert Salikh Saidashev État Grand à Kazan. Elle a été la directrice artistique de la deuxième musique de Faith festival international de musique religieuse dans le cadre de l’Universiade culturelle de Kazan en 2013.

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Baptiste-Florian Marle-Ouvrard, débute le piano à l’âge de 4 ans au conservatoire russe de Paris. Il intègre quelques années plus tard le chœur d’enfant de la Maîtrise de Radio France.
Après un premier de prix de piano à l’âge 14 ans, il cesse son activité de choriste et se tourne vers l’orgue. Il poursuit ses études au CNSM de Paris où il a reçu notamment l’enseignement d’Olivier Latry, Thierry Escaich, Philippe Lefèvre, Pierre Pincemaille, Jean-François Zygel et François-Xavier Roth. Il y a obtenu 8 prix dans les cursus d’Orgue, Improvisation au clavier, Composition et Direction d’Orchestre.

Il a été primé à différents concours internationaux: -1er Prix et prix du public au concours international d’improvisation de Leipzig – 2009, -1er Prix et prix du public au concours international d’improvisation de Luxembourg – 2011, -Lauréat du concours M.Tariverdiev à Kaliningrad (Russie) – 2011, -2ème Prix ex-aequo et prix du public du Grand Prix d’Improvisation de Chartres (Grand-Prix non décerné) – 2012, -Lauréat du concours de Longwood Gardens (USA) – 2013

 Organiste titulaire des grandes orgues de l’église Saint Vincent-de-Paul de Clichy-la-Garenne (Paris) depuis 2001, il vient d’être nommé sur concours en mars 2015 organiste titulaire des grandes orgues de l’église St Eustache à Paris. Il poursuit parallèlement une carrière internationale de concertiste en Europe ainsi qu’en Russie et aux USA. Il enseigne régulièrement lors d’académies et de master-class. Il a crée en 2007 son Oratorio « L’Arche de Noé », pour chœurs, orchestre et orgue, la même année la revue allemande Organ le nomme « Organist of the Year ». Il collabore régulièrement avec la cinémathèque française, ou il a été artiste en résidence pour le Festival 2015 « Toutes les Couleurs du Monde ».

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Les Orgues: de 1559 à aujourd’hui, plusieurs instruments se sont succédés à St-Eustache. On ne sait presque rien sur le premier orgue. L’orgue de facture classique de l’église de St Germain des Près fut attribué à St-Eustache (cet orgue de St-Germain-des-Prés fut démonté par François-Henri Clicquot et transféré à St-Eustache). Cet instrument classique français fut remanié par les facteurs Daublaine-Callinet, puis malheureusement incendié en 1844 (pour un exemple d’orgue Daublaine-Calinet, voir l’orgue de la cathédrale de Saint Claude dans le Jura). L’orgue fut reconstruit par le facteur Ducroquet, en 1854, dans un immense buffet planifié par l’architecte V.Baltard (18 m de haut sur 10.50 m de large). Baltard fut également chargé de refaire l’ornementation intérieure de l’église (chaire, maître-autel). L’orgue Ducroquet fut inauguré en mai 1854 par César Franck. Le buffet fut, selon certains, dénaturé par une restauration en 1978. En 1985, la Ville de Paris met en place une compétition européenne pour reconstruire l’orgue de St-Eustache, grâce aussi à l’impulsion de l’organiste Jean Guillon, titulaire. C’est finalement la manufacture néerlandaise des frères Van den Heuvel (Dordrecht) qui obtient le chantier.

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Commencée en 1986, la construction du nouvel orgue fut achevée en été 1989 (inauguration en septembre 1989, par J. Guillou). Cet orgue est donc neuf à l’exception du buffet historique et ses tuyaux de Montre + quelques jeux réutilisés comme leCor de Basset 8′ (jeu offert par le fameux facteur anglais Henry Willis à l’organisteJospeh Bonnet, organiste à St-Eustache de 1906 à 1943). L’orgue de St-Eustache a représenté, au 20ème siècle, l’un des premiers instruments construits dans une grande église européenne avec un système dedoubles consoles: la console en tribune avec traction mécanique et la console mobile, dans la nef, avec une transmission électrique/électronique. La transmission mécanique de la console en tribune est directe pour le Positif et le Grand Orgue, et mécanique avec assistance de machines ouleviers Barker pour les autres divisions de l’instrument. La machine Barker, introduite essentiellement par Cavaillé-Coll au 19ème s., est un dispositif pneumatique d’aide à la traction mécanique pure, lorsque l’orgue devient important et que les jeux se multiplient (effort mécanique toujours plus important). Une particularité de cet orgue: il est l’un des rares instruments à posséder, dans sa composition, 3 jeux d’anche de 32 pieds. La console en tribune est disposée entre le Positif de dos et le Grand Buffet. L’orgue comprend actuellement 101 jeux, à remarquer aussi que le buffet actuel est haut de 18 m et que des escaliers internes, dans l’instrument, permettent d’accéder à tous les niveaux de la partie instrumentale de l’orgue (accord, nettoyage, harmonisation…).

Cathédrale Saint Alexandre Nevsky rue Daru.

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Crédits: Archives du musée Carnavalet

Consacrée en 1861 et dédiée au héros russe saint Alexandre de la Néva (1219-1263), Grand Prince Alexandre Nevsky, il avait su gagner le cœur de ses sujets grâce à l’humanité pratiquée durant son régne. Succés militaires contre les envahisseurs (suédois sur les bords de la Neva le 15 juillet 1240 et les Chevaliers Teutoniques sur le lac des Tchoudes en avril 1242 ), pacificateur, fin diplomate pour exemple avec les occupants Tartares, mais surtout homme pieux possédant une profonde foi chrétienne….Lire la suite dans la rubriques articles de fond: ( https://artcorusse.org/cathedrale-alexandre-nevsky/)

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Cathédrale orthodoxe Russe Alexandre Nevsky © Ambroise Becchio

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Église St Eustache.

Les origines de l’église Saint-Eustache remontent au début du XIIème siècle. Une chapelle consacrée à  sainte Agnès fut le premier édifice construit. Une crypte portant ce nom jouxte encore l’église côté oriental. Cette chapelle serait le don d’un bourgeois de Paris, Jean Alais, qui l’aurait fait bâtir en remerciement du droit que le roi Philippe Auguste lui avait octroyé de prélever un denier sur chaque panier de poisson qui arrivait aux Halles. En 1754, l’ancienne façade occidentale, dont les tours étaient restées inachevées, fut fragilisée par la construction de deux chapelles commandées en 1665 par Colbert qui était paroissien et premier marguillier de Saint-Eustache. Le sous-œuvre devant être repris, il fut décidé de rebâtir la façade après sa démolition ainsi que celle de la première travée de la nef et des bas-côtés. Un nouveau projet fut dessiné par Louis Le Vau dont Colbert devait assurer le financement.

Concert de compositeurs russes, Entrée libre.

Église St Eustache

2 impasse Saint-Eustache – 75001 Paris

Renseignements: 06 07 52 17 21

 

162 cinémas présentent

“La Bayadère”

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Ballet en trois actes et sept tableaux
Chorégraphie de Marius Petipa
Musique de Ludwik Minkus
Durée : 2h33 dont un entracte de 15 minutes inclus
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Michel-Victor-Marius-Alphonse Petipa (en russe Marius Ivanovitch Petipa, Мариус Иванович Петипа, né à Marseille le 11 mars 1818 et mort à Gourzouf en Crimée le 14 juillet 1910) est un danseur, maître de ballet et chorégraphe français qui vécut en Russie de 29 ans jusqu’à sa mort.

SYNOPSIS

L’histoire se passe en Inde. Solor, un noble guerrier, et Nikiya, gardienne du feu sacré, s’aiment d’un amour sincère. Mais cet amour est mis à mal car Solor est promis à Gamzatti la fille du rajah. De plus, le grand brahmane est également pris de passion pour Nikiya. Jaloux il va confier au rajah que les deux amants se sont mutuellement jurés une fidélité éternelle. Une rivalité naît entre Gamzatti et Nikiya, éprises du même homme. Lors de la célébration des fiançailles la Bayadère reçoit un bouquet de fleurs qu’elle pense venir de Solor mais un serpent est caché dans ce dernier et mord Nikiya. Le grand brahmane lui propose un remède qu’elle refuse car elle préfère la mort à une vie sans amour…

Cliquez pour voir tous les  CINÉMAS PARTICIPANTS

À Paris

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CINÉMA CHAPLIN DENFERT

24 place Denfert Rochereau
75014 Paris France
Téléphone :01 43 21 41 01
Métro:  Denfert Rochereau (lignes 6, 4 et RER B)
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113 Boulevard Saint-Germain
75006 Paris

Téléphone: 08 92 69 84 84

Métro: Odéon (lignes 4 et 10)

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CINÉMA CHAPLIN ST LAMBERT

Adresse : 6 Rue Peclet, 75015 Paris
Téléphone :01 42 50 23 32
Métro Vaugirard (ligne 12)

Samedi 23 avril 2016

15 heures

Club Cinéma Russe à Bordeaux présente

“Bonjour, c’est moi!” 

(Здравствуй, это я!)

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Frunze Dovlatyan (Фрунзе Вагинакович Довлатян 1927–1997), réalisateur et scénariste, il est né le 26 mai 1927 à Nor-Baïazet (actuellement Gavar) en Arménie. Il commenca comme acteur dans les théâtres de province d’Arménie de 1941 à 1952. Après une carrière théâtrale, en 1947 il est diplômé de l’école d’art dramatique  à Erevan, qui le mènera jusqu’à Moscou, il étudie à la prestigieuse VGIK où il obtient le diplôme de réalisateur en 1959 (atelier Gerasimov et T. Makarova). Pendant ses études il tourne plusieurs courts-métrages et en 1961, son film d’étude “La carrière de Dima Gorin”.  Il travaille aux Studios Gorki puis à Mosfilm avant de rejoindre en 1964 les sudios Armenfilms. Il mène en parallèle une carrière d’acteur et de réalisateur. Lauréat du Prix d’Etat de la RSS d’Arménie en 1967, pour le film “Bonjour, c’est moi!“, puis en 1970, pour son rôle dans le film “Saroyan Brothers”. Artiste du peuple de l’URSS (1983). Diplôme d’honneur du prix “Pour la contribution au cinéma” au Festival du cinéma russe “Fenêtre sur l’Europe” 1997 à Vyborg.

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Il est mort le 30 août 1997 à Erevan en Arménie, il est enterré au cimetière Tohmahskom.

Bonjour, c’est moi (1965),”1941, la guerre a commencé. Artiom Manvelian et Oleg Ponomarev sont étudiants à l’Université. Ils ont pour amies Loussia et Tania. Artiom aime Loussia qui part au front et y laisse la vie. Les années passent. Artiom, physicien reconnu, travaille en Arménie alors qu’Oleg est chercheur atomiste dans un institut à Moscou. Apprenant que son ami est atteint d’un mal incurable, Artiom se rend à Moscou où il revoit Tania, devenue une belle jeune femme. La mort d’Oleg va les rapprocher.”
Frounze Dovlatian  éclairait ces thèmes éternels : l’amour et la mort, la guerre et la création, le problème de la mémoire !

Médiathèque de Castaniéra de Talence

1 AvenueMaréchal Leclerc, 33400  Talence

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Exposition au siège de l’Association

Amitiés Russes de Provence

du 22 avril – 6 mai 2016

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Exposition sur la première Guerre Mondiale, vue du côté russe, avec des documents, photos, journaux et objets d’époques, certains inédits.

L’ARRIVÉE DU CORPS EXPÉDITIONNAIRE RUSSE À MARSEILLE

UNE ARRIVÉE TRIOMPHALE.

Conformément à l’accord signé lors de la conférence de Chantilly, du 8 décembre 1915, et suite aux revers militaires russes de l’année 1915, qui ont engendré la perte d’importants territoires et moyens de production de guerre, la Russie répond aux demandes incessantes exprimées par les gouvernements français et britannique, via les actions de missions diplomatiques dès 1914, sur l’envoi sur le front français de troupes.

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Qualifiée de « réservoir d’hommes inépuisable » par Paul Doumer, la Russie doit, dès août 1914, faire face à la demande d’envoi de troupes sur le front occidental par les gouvernements français et britanniques. Obtenant du Tsar la promesse de la constitution d’un corps expéditionnaire russe sur le sol français, les gouvernements alliés fournissent l’armée du Tsar en matériel militaire. Ainsi débute l’histoire de la première brigade russe du général Lokhvitsky, qui, comprenant huit mille hommes, embarque en Mandchourie pour rejoindre le port de Marseille en avril 1916.

Le 21 avril 1916, le « Latouche-Treville », navire amiral du corps expéditionnaire russe, mouille dans le port de Marseille après un périple de quarante-cinq jours. Débarquant à la tête de ses troupes, le général Lokhvitsky reçoit les honneurs militaires des autorités civiles et militaires de Marseille venues accueillir le chef de la première brigade russe.

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Acclamant les troupes russes, la population de Marseille assiste au défilé de ces dernières sur les avenues de la cité phocéenne. Conduits au camp Mirabeau, où ils assistent à leur première Pâques russe en territoire français, les hommes de la première brigade russe prennent quelques jours de repos avant de rejoindre le front.

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En échange, Français et Britanniques fournissent les armes et les munitions qui manquent cruellement à l’armée du tsar pour lutter contre les assauts allemands. En réalité, le gouvernement russe ne mobilise que deux brigades pour partir en France et sur le front d’Orient à Salonique.

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L’Association des Amitiés Russes de Provence est fière de vous proposer une exposition dans son local au 371 avenue de la République – 83000 TOULON – sur la venue à Marseille du corps expéditionnaire Russe. Il y a tout juste 100 ans, 40 000 soldats Russes sont venus soutenir l’effort de guerre de la France.

ENTRÉE LIBRE

 Ouverte tous les lundis et samedis après-midi de 14 à 18 heures, et sur demande particulière (Télé: 06 62 03 23 16)

VERNISSAGE

Vendredi 22 avril 2016 à 18h30

371 avenue de la République 83000 TOULON

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© Armen Catanasian

Varduhi Yeritsyan

Née en Arménie le 1er mai 1981 et vivant en France depuis l’âge de vingt ans, Varduhi Yeritsyan occupe une position singulière dans le paysage pianistique actuel,pianiste franco-arménienne au répertoire vaste et diversifié. Par sa double culture héritée de grands maîtres comme Vladimir Krainev, Mstislav Rostropovitch, Claire Désert ou Denis Pascal, elle est à la fois une grande spécialiste du répertoire russe et une interprète régulière de Claude Debussy ou de Maurice Ravel. Après s’être formée à l’Ecole Spécialisée de Musique Tchaïkovski pour enfants surdoués puis au Conservatoire National  Supérieur de Musique d’Erevan, elle intègre le Conservatoire National Supérieur de Musique  de Paris où elle obtient les plus hautes récompenses en piano et en musique de chambre. Elle participe au cycle de perfectionnement dans ces deux disciplines, respectivement auprès de Brigitte Engerer qui a été son véritable mentor depuis son arrivée en France, et de Pierre-Laurent Aimard.
Sélectionnée en 2006 pour la tournée du « Holland music Session », elle se produit dans des salles prestigieuses comme le  Concertgebouw d’Amsterdam, le théâtre de Den Haag aux  Pays-Bas, la Philharmonie Tchèque de Prague, l’académie Sibelius à Helsinki, le Théâtre Estonia de  Tallin…
Révélation Classique de l’ADAMI 2007, elle parcourt de nombreuses scènes françaises comme l’auditorium du Louvre, la salle Pleyel, la Cité de la musique, l’Opéra National de Lorraine, l’Opéra-Théâtre d’Avignon,  l’Arsenal de Metz, l’Opéra de Vichy, la Salle Cortot à Paris, le Théâtre Impérial de Compiègne.
En 2007, Varduhi Yeritsyan remporte le concours  “Avant-Scènes” du Conservatoire de Paris, lauréate du concours international de  piano d’Ile de France, et des fondations Tarazzi, Nadia et Lili Boulanger, et Meyer en 2008. Depuis 2009 elle est lauréate de la fondation Natixis Banque Populaire en duo avec la violoncelliste Aurélienne Brauner.

Elle a joué le Concerto de son compatriote Aram Khatchatourian à la Cité de la musique, a été invitée à plusieurs reprises au Festival international de violoncelle de Beauvais, aux Flâneries Musicales de Reims, au festival de Sully sur Loire, à la Roque d’Anthéron , et va faire ses débuts en 2010 au festival des Serres d’Auteuil, Piano aux Jacobins de Toulouse ainsi qu’à l’Opéra de Paris.
Désireuse d’aborder un large répertoire, elle se consacre aussi à la musique contemporaine (elle a créé Dédale de Bruno Mantovani aux Flâneries de Reims en 2009).
Chambriste recherchée, elle a partagé la scène avec les violonistes Saténik Khourdoïan, Jean-Marc Phillips-Varjabédian et Jan Talich, les violoncellistes Giorgi Kharadze et Aurélienne Brauner, les quatuors Danel et Tercea, les pianistes François-Frédéric Guy et Brigitte Engerer.
Varduhi Yeritsyan apparaît comme une artiste singulière sur la scène internationale. A l’aise aussi bien dans la musique de Jean-Sébastien Bach que dans la création, défendant avec la même ardeur Robert Schumann et la musique russe, elle s’accomplit sur scène où sa générosité s’exprime totalement. C’est ce goût du partage qui fait d’elle une artiste éminemment actuelle.

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Trio Wanderer Photo: Marco Borggreve

© Marco Borggreve

Jean-Marc Phillips-Varjabédian

” Je suis né à Paris le 21 octobre 1965, l’année du cinquantenaire du génocide des Arméniens, raconte Jean-Marc Phillips. Mon grand-père paternel a émigré d’Istanbul adolescent, juste après le génocide, dont il avait réchappé, caché par sa mère et sa sœur. Il a pris le premier bateau pour venir en France, et s’est établi à Sevran, en Seine-Saint-Denis, où nous avions de la famille.” 
Il a commencé ses études de violon à l’âge de 5 ans. Il obtient un premier prix de musique de chambre au Conservatoire National Supérieur de Musique de Parisien 1984 et l’année suivante un premier prix de violon. Il suit deux cycles de perfectionnement dans les classes de Gérard Poulet et de Jean-Claude Bernède. Jean-Marc Phillips-Varjabédian étudie ensuite à Crémone en Italie sous la direction de Salvatore Accardo puis à la Julliard School of Music de New-York avec Dorothy Delay durant un an. Il a remporté de nombreux prix dans les concours internationaux de violon Carl Flesch, Zino Francescatti, Lipizer, Palm Beach.

Parallèlement à  sa carrière avec le Trio Wanderer, Jean-Marc Phillips-Varjabédian se produit en tant que soliste avec de nombreux orchestres tels l’ochestre de Lille, d’Avignon, de Bretagne, de Caen, de Poitou-Charentes, de Cannes et l’orchestre des Siècles. Il joue régulièrement en duo avec la paniste Marie-Joseph Jude.
Avec l’accordéoniste Richard Galliano, il a fondé un septuor autour d’un programme Piazzolla qui s’est produit à  travers le monde.

Jean-Marc Phillips-Varjabédian est professeur au Conservatoire national supérieur de Musique de Paris. Avec ses collègues du Trio Wanderer, il a ouvert une classe de trio avec piano au CRR de Paris pour la préparation de concerts et des concours internationaux. Il joue sur un violon de Petrus GUARNERIUS (Venise 1748).

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Lussine Levoni 

Elle est née à Erevan en 1981. En 2004 elle a obtenu le diplôme de pianiste concertiste au Conservatoire d’Etat d’Erevan, puis en 2008, celui de chanteuse d’opéra, sous la direction de Gayané Grigoryan. A partir de 2009, Lussine Levoni a travaillé comme artiste invitée au Studio d’Opera d’Erevan, où elle a interprété le rôle de Fanny dans La cambiale di matrimonio de Rossini, celui de Lisette dans L’Hirondelle de Puccini, et de Lucia, dans Lucia di Lammermoor de Donizetti. Lussine Levoni a participé à de nombreux festivals et concours de chant internationaux. En 2009 elle a été finaliste du “Gohar Gasparyan Singing Competition” en Arménie. En 2010 elle a reçu le Prix du Public ainsi que le Prix Soroptimisti, lors du Concours International “Gian Battista Viotti” en Italie. En 2013 elle a été finaliste du concours “Premio Etta Limiti” à Milan. Entre 2011 et 2013, elle a été membre de l’Opera-Studio International de Nuremberg, où elle a interprété les rôles de Despina dans Cosi Fan Tutte, Vénus (Orphée aux Enfers, d’Offenbach), la grande prêtresse (Aïda, de Verdi), la cinquième servante (Elektra, de Richard Strauss), Junon (Platée, de Rameau) et Frasquita dans le Carmen de Bizet. Catégorie Soprano.

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Palais Bondy

La salle Molière est située dans le Palais de Bondy , à côté de la Salle Witkowski, plus petite, construite à l’origine pour les concerts du Conservatoire de Lyon  et inaugurée en 1912, la salle Molière avait une capacité initiale de neuf cents spectateurs répartis en plusieurs niveaux, entre parterre, loges, amphithéâtre et galerie. Sa décoration a été réalisée par Louis Bardey, professeur à l’école nationale des Beaux Arts de Lyon et celle des escaliers accédant aux salles d’exposition sont dues à Alexandre Baudin. Elle ne compte plus aujourd’hui que sept cent places.

Le nom de la salle rend hommage à Molière qui s’était installé avec sa troupe à Lyon en 1652. Il y a écrit l’Étourdi, joué pour la première fois en 1655 dans le Jeu de Paume, aujourd’hui détruit, qui était situé à l’emplacement du Palais Bondy.

Salle Molière

18 Quai Bondy, 69005  Lyon 5

Tarifs: 25€, réduit: 15€, gratuit moins de 12 ans.

Réservation: Tél: 06 72 99 85 22

APECLE (association pour les échanges entre Lyon &Erevan: 04 78 29 01 84

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Gouliaveva concert

 

Née en 1988, Anna Gouliaeva, étudie le domra dès l’âge de sept ans dans sa ville natale de Prokopievsk (Sibérie). En 2003, elle continue son apprentissage auprès de la prestigieuse domriste, Yelena Yankovskaya au sein de l’école spéciale de musique de Novossibirsk. Après l’obtention de son Master, elle prolonge son cursus par un doctorat de musique au conservatoire d’état de Novossibirsk.

Lauréate de nombreux concours nationaux et internationaux (Krasnoairsk, Novossibirsk, Bratsk, Rostov-sur-le-Don, etc) elle est décorée en 2015, de « l’Etoile Charoitovaja » jeune talent de la Russie.

Depuis 2009, soliste et ensembliste de domra pour l’orchestre folklorique de Novosisibrisk, elle se produit principalement en Sibérie : Krasnoairsk, Novossibirsk, Irkousk, Tchita, Oulan-Oude, Barnaoul etc, ainsi qu’au festival de musique russe “Russenko” au Kremlin Bicetre en France.

En 2012, elle se forme avec les éminents mandolinistes Marga Wilden-Hüsgen et Daniel Ahlert pour, dès 2015, jouer de la mandoline dans le répertoire soliste de l’orchestre folklorique de Novossibirsk.

Par ailleurs, elle est professeur titulaire en “histoire du jeu des instruments folkloriques russe” à l’école de musique spéciale de Novossibirsk. Elle enseigne le domra pour les enfants et adolescents dont la plupart sont lauréats de concours régionaux et nationaux pour jeunes domristes.

Soliste, chambrise et pédagogue, Anna Gouliaeva de part son jeu et son interprétation, fait partager sa passion de la musique classique et traditionnelle russe.

Exposition de photographies

d’Anna Krieps

du 14 au 29 avril  2016

“SPACE DREAM”

au Centre Culturel et Scientifique de Russie

au Luxembourg

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Le projet de la photographe Anna Krieps se concentre sur ce passage du désir intime au rêve collectif (et vice versa), de l’infiniment petit a l’infiniment grand : Cosmic dream est un travail sur la relation humaine avec l’univers, sur le désir d’en savoir plus sur l’univers infini et de pouvoir quitter cette terre.

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Anna Krieps obtient son diplôme en photographie et art médiatique à l’AKI aux Pays-Bas en 2012. En 2011, elle effectue une année d’échange au MassArt de Boston, où elle suit notamment les cours de Matt Connors. Elle possède également un master en direction artistique de l’ECAL à Lausanne. Son travail traite de la différence entre la réalité vraie et la fausse utopie, influencée par les médias.

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Centre culturel et scientifique de Russie
Rue Goethe, 32
L-1637 Luxembourg

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Les frères Dominicains, installés depuis 1224 dans un quartier de Strasbourg à la fois peu habité et infesté de marais, ressentent le besoin de s’établir dans un endroit plus salubre et, surtout, plus central. Ils s’établissent au centre de la cité strasbourgeoise, sur le site actuel du Temple Neuf : à partir de 1254, ils y bâtissent un couvent et une église, consacrée en 1260. Foyer de la mystique rhénane  au xive siècle, ce couvent accueillera des penseurs de renom tels que Maître Eckart  (1260-1328) et Jean Tauler (1300-1361).
Les relations des Dominicains avec le chapitre cathédral, le clergé de la ville et la population ont été souvent orageuses – en raison notamment de legs jugés trop nombreux –, à tel point qu’une émeute en 1287 oblige les religieux à quitter temporairement la ville. Ils y reviennent toutefois en 1290, sans avoir cédé aux exigences de la ville. En 1311-1312, soutenus par le pape Clément V , les Dominicains décident d’élargir leur église : commencée en 1308, elle n’est consacrée qu’en 1345. Cette église, avec une double nef, est de conception profondément originale. De par sa taille, elle devient la deuxième église de Strasbourg – après la  cathédrale, et marque fortement l’esprit des habitants de la cité.

Le Temple Neuf à Strasbourg est devenue une église de culte protestant, rattachée à l’Union des église protestantes d’Alasace et de Lorraine (UEPAL), située en plein cœur de Strasbourg . L’église actuelle a été construite à la suite de l’ incendie du 24 août 1870, qui a réduit à néant l’église des Dominicains qui se trouvait alors à cet emplacement.

Temple Neuf,   Place du Temple Neuf
67000  Strasbourg
Tél: 03 88 32 89 89

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La salle du Paon à l’Ermitage

Horloge de nouveau visible au public

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Après un mois et demi de restauration, la salle de Paon, qui conserve la plus grande horloge automate au monde, l’horloge de paon, devenue l’un des symboles du musée, est de nouveau accessible au public. Il s’agit en fait, d’une grande horloge automate animée comportant des animaux mécaniques grandeur nature, enfermés dans une cage de cristal, dorée et ornées de pierres précieuses, on y voit un paon, un coq, une chouette, une libellule posée sur un champignon (indiquant l’heure) et un écureuil qui entrent en mouvement toutes les heures avec une sphère à carillon sonnant d’un son cristallin les heures.

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Fin des travaux de rénovation avril 2016

Cette horloge a été imaginée et construite par James Cox vers 1775 au Royaume-Uni et achetée pour Catherine II en 1781 par le Prince Grigori Potemkine, l’un des favoris de Catherine II. L’horloge de paon est exposée de manière permanente dans le musée de l’Hermitage, de nouveau visible à partir du 4 avril 2016.

Admirez le mouvement de l’horloge automate (CLIQUEZ)

Soirée exceptionnelle

NATACHA et NUIT DES PRINCES

samedi 16 avril 2016 à 20h50

au CROSS- DINER BAR

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(De gauche à droite): Olivier Cahours, Thierry Colson, Natacha, Natalia Trocina et Pascal Stroch

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Tout commence quand la jeune Natacha, chanteuse au fameux cabaret Balalaïka de Marc de Loutchek décide de fonder un groupe qui prend comme nom le titre du roman très coloré de Joseph Kessel Nuits de Princes relatant les folles nuits des cabarets russes à Paris dans les années 1920. Si le nom du groupe s’impose comme une évidence, trouver des partenaires est moins aisé car Natacha veut à la fois conserver cette musicalité et cette ambiance sentimentale si bien décrite par Kessel, tout en y apportant comme une traduction, quelque chose de différent, y insuffler un sang neuf, mélanger les cultures tout en gardant ses racines. Il faudra attendre l’année 1999 pour parvenir à partager avec les musiciens idoines l’aventure musicale qu’est le groupe désormais intitulé Natacha & Nuits de Princes. Natacha commence alors à écrire des chansons en collaboration avec Olivier Cahours qui en compose les musiques, ou à adapter des chansons russes méconnues revisitées par des arrangements et une orchestration originale sans en trahir l’esprit.

Olivier Cahours : Guitare, arrangements et composition Au départ musicien de jazz, mais jouant sur une guitare classique, Olivier Cahours écrit des mélodies « sur mesure » pour Natacha & Nuits de Princes. Il parvient avec ingéniosité à mettre chaque instrument en valeur et à dégager le son du groupe. Compositeur, interprète et arrangeur, il […]

Pascal Storch : Guitare, chant et cavaquinho De formation  classique et brésilienne, Pascal fonde tout d’abord le groupe brésilien Parioca. Il rencontre Joao Bosco, Les Etoiles, Roland Dyens, Tonino Ramos…. Suite à une rencontre fortuite avec Natacha qui l’embarque dans le Chœur Kazansky, puis dans Natacha et Nuits de Princes, il se tourne alors vers […]

Natalia Trocina : Domra Née à Obnisk, Natalia a commencé comme toutes les petites filles russes à étudier la domra à 7 ans au conservatoire. A 15 ans, en revanche, elle intègre le prestigieux conservatoire Gnessine à Moscou. Après avoir obtenu ses diplômes, elle devient lauréate de concours de musique traditionnelle russe à Moscou, Kalouga, […]

Thierry Colson : Contrebasse Musicien de jazz, complice d’Olivier Cahours depuis l’enfance, il se retrouva bientôt avec lui au sein de Natacha et Nuits de Princes. Formé au CIM auprès de Pierre-Yves Sorin puis Jean-françois Jenny Clarck et Thierry Barbé, Thierry Colson a joué avec Daniel Mille, Glenn Ferris, François Cotineau, Bertrand Renaudin, Enrico Rava, […]

Plus de renseignements sur “Natacha Nuits des Princes”: (CLIQUEZ)

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Le Cross Diner est l’endroit parfait pour venir se restaurer dans une ambiance des années 50, avec sur place et à emporter, des burgers maison, de véritables cafés expresso, de la bonne bière de brasseur dans un cadre unique.

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CROSS DINER

1, Avenue de la Résistance

93100  Montreuil.

Métro:  ligne 9 (direction mairie de Montreuil)
Station Croix de Chavaux, (Sortie centre commercial)

Réservation :01 43 63 30 97

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Concert exceptionnel de chants orthodoxes russes sera donné en l’église Saint-Germain de Hanches (28130), non loin de Chartres et de Rambouillet le dimanche 10 avril 2016 à 16h00 par l’ensemble vocal masculin « Chantres Orthodoxes Russes ».
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 Chants sacrés russes liés à la passion du Christ ainsi qu’à la lumineuse fête de Pâques et goûter à la beauté, à la profondeur et à la force de ces chants qui perpétuent la tradition russe aux mélodies vibrantes de profondeur.
Le panorama de la musique liturgique et monastique russe, qui sera interprété, illustre la riche histoire de la musique orthodoxe russe depuis l’abandon du chant byzantin à la fin du XVIe siècle.
Depuis leur création en 2013, les « Chantres Orthodoxes Russes » se consacrent au répertoire liturgique russe et plus particulièrement aux œuvres des grands centres spirituels comme la laure de Kiev, mais surtout la laure de la Sainte-Trinité- Saint-Serge ou certains des chantres ont fait leurs classes.
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Intérieur de l’église St Germain de Hanches.
L’église de Hanches, dite parfois église du Paty, dite église Saint-Germain, a la particularité d’être à l’écart du centre de Hanches. Elle est située dans un lieu resté longtemps isolé, dans les champs, entourée d’un petit cimetière. On la voit de partout, surtout depuis la ligne de train Paris-Chartres. Elle est constituée d’une tour fort massive et d’une toiture basse, massive elle aussi. A première vue, elle donne l’apparence d’une tour de bastion ayant servi de refuge aux habitants durant le moyen-âge.
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Église Saint-Germain

Rue de l’Église
28130 Hanches
Réservation: 06 70 49 08 02
Horaire : Dimanche 10 avril 2016 à 16h00
Entrée gratuite – Libre participation aux frais.

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Colloque de l’association Courtine

Samedi 30 avril 2016 de 10h à 18h

Musée d’Histoire de Marseille

“L’épopée des soldats russes en France de 1916 à 1920”

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A son accostage le 20 avril 1916 à 14 heures, le Latouche-Tréville fut salué par l’hymne russe auquel répondirent les hourras des soldats de la 1ère Brigade massés à bord.

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Il y a un siècle, le 20 Avril 1916, dix mille soldats russes débarquaient dans le port de Marseille. À la suite d’une demande du gouvernement français qui propose à l’Empire russe du matériel de guerre contre l’envoi d’hommes en France l’état-major russe du général Alkseïev forme en janvier 1916 la 1re brigade spéciale d’infanterie, composée de deux régiments (fort chacun de trois bataillons), sous le commandement du général-major Nikolaï Alexendrovitch  Lokhvitski.

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Débarquement des troupes russes de l’Himalaya 20 avril 1916.

Par voie ferrée les 8 942 hommes rejoignent Dalian, sur le golfe de Corée, où ils montent à bord de navires français (dont le Latouche-Tréville, l’Himalaya…) qui les emmènent à Marseille qu’ils atteignent le 16 avril 1916.Puis dans les années qui suivirent, ils ont connu en France l’atrocité de la guerre.

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Le camp de Courtine, chef-lieu de canton du département de la Creuse, dans l’arrondissement d’Aubusson, sur la route d’Ussel. Le camp militaire, créé en 1902, situé au nord du village, s’étend sur 6 000 hectares. Il sert à “l’instruction collective et à l’entraînement de tous types d’unités”. Des soldats russes y ont été cantonnés en 1917 afin de les dissuader d’adhérer à la Révolution, ce qui n’a empêché ni révoltes ni de sanglantes répressions.

Après s’être mutinés au printemps 1917 et avoir été parqués et réprimés au camp militaire de La Courtine en Creuse, après avoir connu les compagnies de travail forcé en France et les déportations en Algérie, après s’être engagés pour quelques centaines dans la « Légion russe pour la France » et pour quelques centaines d’autres avoir fondé une famille en France, c’est entre 1919 et 1920 que l’immense majorité des anciens soldats du corps expéditionnaire russe regagnèrent la Russie. Un pays totalement transformé par la guerre et la Révolution de 1917.

Conférenciers.

Jean-Yves Le Naour Docteur en histoire, spécialiste de la Première Guerre mondiale et de l’histoire du XXe siècle. Il est l’auteur de nombreux livres, de plusieurs films documentaires et de bandes dessinées portant sur la Grande Guerre ainsi que sur le XXe siècle.

Jean-Jacques Marie Agrégé de lettres classiques, licencié d’histoire et diplômé en russe de l’INALCO. Il est spécialiste de l’histoire soviétique. Auteur de plusieurs biographies et nombreux autres ouvrages.

Rémi Adam Diplômé de Sciences politiques et docteur en histoire contemporaine. Il est spécialiste de l’histoire du corps expéditionnaire russe en France durant la Première Guerre mondiale, auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet.

Programme du Colloque

10h : Accueil

10h15 : Ouverture du colloque

10h30-11h15 : Jean-Yves Le Naour : « L’arrivée des soldats russes à Marseille le 20 avril 1916 ». Lectures de lettres et poèmes de soldats russes sur leur arrivée à Marseille

11h15-12h : Jean-Jacques Marie : « De la conférence de Kienthal d’avril 1916 au déclenchement de la révolution russe »

12h-13h45 : Pause déjeuner libre

13h45-14h15 : Dédicaces

14h15-15h : Rémi Adam : « L’histoire des soldats russes en France et la mutinerie de La Courtine.

15h-15h15 : Pause, dédicaces.

15h15-16h : Interventions d’invités, questions, réponses des historiens…

16h-17h : Projection du film « 20 000 moujiks sans importance » Ce film de Patrick Le Gal, produit par FR3 Limousin, retrace le voyage et l’arrivée en France en 1916, ainsi que le combat au front et la mutinerie des soldats du corps expéditionnaire russe en 1917

17h-17h 50 : Discussion, conclusion du Colloque

Bulletin de réservation au Colloque Accès libre, dans la limite des places disponibles :

préinscriptions au 06 88 69 84 18 ou par courriel : lacourtine1917@gmail.com

Musée d’Histoire de Marseille

2 rue Henri Barbusse, Centre Bourse

13001 Marseille

 Auditorium du Musée d’Histoire de Marseille

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4ème saison de

L’EXPOSITION ” EN ROUTE”

du 2 au 21 avril 2016

Hall d’Exposition du District de Moscou

Saint Petersbourg.

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 Exposition de peintures et de graphiques  de 9 artistes plasticiens dans le cadre du projet «Petite ville russe.”

Valentina Guilazuidinova, Elena Dubskaya, Lev Dutov, Boris Jikov, Dmitri Levitine, Natalia Pouchnina, Igor Soukhov, Iouri Tkatchev et Olga Chaiunova.

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Discours inaugural au cours du vernissage.

Lev Dutov

Leo Dutov “Nikolskaya Street”, huile sur toile, 2013

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Dmitry Levitine “Midi,Grande Oustioug”, huile sur toile, 2013

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Olga Shayunova “Une soirée à Souzdal”, Aquarelle sur papier 2015


 CBG Moskovsky District, Art.

Chernyshevskogo Sq., 6, Saint-Pétersbourg,

Métro Victory Park

Horaire : tous les jours de 10h à 20h

Samedi et dimanche de 11h à 18h

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12ème Festival de Culture Russe «Cosmos»

20-23 avril 2016 à 20:30

Théâtre de l’Atalante

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Programme:

Mercredi 20 avril:

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Programme de VITALII KIS « LA MUSIQUE SUR LES CORDES DE L’ESPRIT »
ouverture du 12ème festival de culture russe « COSMOS »:
Avec le soutien du Festival International du Cinéma Documentaire « Les Souffrance de Saratov »

1ère Partie
1.Noël. 2.Fantaisie Russe. 3.La fileuse. Vysotsky. 4.La nuit claire. 5.La fantaisie de Bukivine. 6.Schedrik. 7.Gopak. 8.L’initiation 9.Вейся,вейся. 10.Масленица.

2ème Partie
Tango Solinass. Terra incognita. La gitane. Made in France. La foule. Tango au ciel. Les eux noirs. Boogie. Le départ. Венгерка.

Cocktails pour l’ouverture du festival

LE VIRTUOSE RUSSE, SOLISTE DE LA PHILARMONIE D’ÉTAT DE MOSCOU! Lauréat des concours russes et internationaux. Membre permanent du programme de télévision « Romance romantique » sur la chaine « Rossia-K ». Musicien des projets d’Aleksande Malinine, Alsou, Valeria, Demis Roussos, Soprano-10, festival « Ethnopsphère »

Jeudi 21 avril:

Spéctacle musical de Boris Pétrouchanski – régisseur, décorateur et directeur du célèbre théâtre « Licédeï » et son spéctacle « Semianyki » et d’une merveilleuse actrice de Saint Petersbourg – Elena Spiridonova:

TENDRE, ENCORE PLUS TENDRE

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C’est spectacle musical – concert à propos du passé d’une petite fille qui est devenu le présent. Tout est né de l’enfance. En ayant aimé Paris, elle a embrassé le monde. Yves Montand a toujours chanté avec la voix de son père. « Les feuilles mortes » tombaient du matin au soir. Spectacle autobiographique pour ceux qui aimeront son âme mise à nu. C’est une discussion d’une chanteuse à la recherche du sens. La voix sent le vécu, les cordes vocales sont tendues par son âme. Das cette âme il y a la sagesse d’Alexeï Khvostenko, la légèreté de Natalia Pivovarova et l’amour pour une ville qui lui a inspiré un deuxième souffle. Cette ville – c’est Paris, ou peut-être Saint-Pétersbourg.

Les auteurs – Boris Petrouchanski et Eléna Spiridonova
Régisseur et décorateur – Boris Petrouchanski
Actrice – Eléna Spiridonova
Accordéon – Foma Egorytch
Invité – Alexis Batoussov

Vendredi 22 avril:

Concert d’Olga Volodina – une chanteuse russe en France:

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Présentation de son troisième album « Au seuil de Bonheur » avec le guitariste Sosso Chamel et Nicolaï Kedrov – balalaïka enregistré en Russie dans la ville de Tver’.

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Cet album ainsi que l’album précédent « Drago » les adorateurs du talent d’Olga Volodina pourront acheter après le concert.

Samedi 23 avril:

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« Novaia Avstralia » au théâtre de L’ATALANTE
Après une tournée en Russie qui s’est terminés par deux concerts en décembre à Saint-Peterbourg, le groupe est heureux de présenter son dernier album « La Ville d’Asphalte » en version acoustique produit par le plus grand label du nord de la Russie « Bomba-Piter Music Company ». Une partie de cet album sera utilisée pour la bande son d’un fim franco-russe avec les groupes célèbres russes « Picnic», «Nautilus » et « Kino ». L’album sera présenté en version acoustique avec une percussionniste virtuose Farida Tadjen, le guitariste parisien Andrei Miroshnicov et le guitariste virtuose Anton Aristov.

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Natalia Pallin & Kirill Terr en concert.
Kirill Terr – fondateur du groupe, auteur de la musique et des textes (www.youtube.com/user/kirillterr) et l’inspiratrice du groupe, l’actrice célèbre du « Théâtre de Jeunesse de Fontanka » de Saint-Pétersbourg – Natalia Pallin, donc un de ces derniers films « L’héritière » a dépassé 12 millions de vues: (http://www.youtube.com/watch?v=Rjh0l7-96cg).

Théâtre de l’Atalante : 

 10, pl Charles Dullin (18e) M°Abesses(12), Anvers(2)

Informations :

Tel: 06.78.32.24.92 (informations et réservations) 01.42.23.17.29 (informations concernant le lieu)

Prix:

20,21 et 23 avril: 15€ (12€ étudiant) 22 avril: 20€ (15€ enfants)

 

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Que diriez-vous d’une escapade à Nice pour admirer la Cathédrale Saint Nicolas, somptueusement rénovée.

Cathedrale-Russe-St-Nicolas restaurée

Après une balade dans le parc avec une vue magnifique sur les bulbes vernissés avec Elizaveta Sergeeva comme guide-conférencière, diplômée de l’école du Louvre et qui racontera l’histoire de cette Cathédrale et fera découvrir les icônes et les fresques qui ornent les murs de l’édifice.

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Auto portrait de la princesse Kotchoubey.

Puis visite du Musée des Beaux-arts installé dans le palais de la princesse Kotchoubey et découverte de superbes toiles : et une sculpture de cette artiste aux multiples talents, prématurément décédée, par l’artiste Michel de Tarnowsky né à Nice le 20 avril 1870, mort dans la même ville en mai 1946 est un sculpteur français. Il est le fils de Wasilievitch Tarnowsky, médecin russe immigré en Allemagne vers 1845 puis en France. Ce dernier se fixe à Nice où il épouse en 1869 une jeune artiste peintre américaine, Juliana Oakley.

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Monuments aux morts à Cimiez, Sculpture de Tarnowsky.

Départ 8 h : Parking de la piscine du jas de Bouffan
Retour vers 18h

Un coin agréable sera choisi dans un parc ou chacun pourra sortir son pique-nique du panier.

TARIF: 63€

Renseignements et réservations
04 42 92 68 78 / 06 20 97 35 68
contact@datcha-kalina.com
www.datcha-kalina.com

 

I-GALLERY

présente

Anna Polikarpova

du 5 au 16 avril 2016

“Métamorphose”

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Anna Vitalevna Polikarpov

Anna Polikorpova est née à Moscou en 1982.

Son exposition combine ses différentes mutations à travers les périodes et les années de création. Le titre de l’exposition ” Métamorphose” reflète le changement dans son style.  Les oeuvres sont marquées par cette diversité de styles et de recherches des tâches artistiques.

Anna Polikarpova
Vie et travaille à Moscou et à Paris.
Travaille actuellement à l’Atelier Artistique de l’académicien et professeur E.N. Maksimov et à l’Académie des Artistes de la Fédération de Russie.
Membre de l’Union des Artistes de Russie depuis 2010
Membre de l’Union des Artistes de Moscou depuis 2010
Formation :
2009 /2003 : Diplômée avec Mention Très Bien de l’Institut d’Etat de Moscou de
l’Académie des Arts V. Sourikov.
1993/2000 : Obtention du Bac dans le Lycée spécialisé « Etudes Artistiques »
Tomsky,  section Beaux-Arts.
Expositions/Galeries :
Moscou :
Académie des Beaux-arts, Administration du Président de la République,
Conseil de la Fédération, Ministère de la Culture, Place du Manège,
Maison Centrale de la Culture, Kouznetskij Most, Touchino,
Na Kachirke,  Académie Diplomatique, Ambassade des Etats-Unis,

Ambassade de Grande Bretagne Galerie Zurab Tsereteli.Expositions/Galeries Etranger :
Ambassade de la Fédération de Russie à Londres, Mairie du Fort-Bernard en France, Espace Pierre Cardin (Paris)
Expositions personnelles/collectives :
2014 – « Carnet russe », au Centre de Russie pour la Science et la Culture à Paris, dans le cadre du projet « Carnet russe 2014 ».
2013 – « 2A », Centre culturel, Luxembourg.
2013 – « 2AB » (en coproduction avec Andrey Tyrtyshnikov (sculpture), Galerie Russkiy Mir.
2012 – « C’est la vie ». Galerie Russkiy Mir (Paris)
Présence dans les Centres culturels russes de Vienne, Milan, Copenhague, New York, Washington, Paris, Cannes.
Lauréate aux expositions suivantes:
2014 : Grand Prix de Fourges, catégorie ” Professionnelle” – Concours international de peinture grand format en plein air.
2011 : Prix Spécial du Comité du BIE (Bureau International des Expositions) au concours international organisé par la mairie du Fort-Bernard (France)
2008 : 2eme prix au concours du « Pinceau d’or » organisé par la Maison Centrale des Artistes  (Moscou)
2007 : 3eme prix au concours des « Jeunes Artistes 2007»
1er et 2eme prix au concours des « meilleurs peintures et dessins » en fin de semestre à l’Institut.
2005 : 1er Prix au concours organisé par le fonds de Bienfaisance du Ministère de la Culture de la Fédération de Russie.
Récompenses :
2008 : Médaille d’Or de l’Académie des Artistes de la Fédération de Russie pour l’année scolaire 2008.
Bourse du Maire de Moscou.
Bourse K.A. Toutevol
Bourse V.I. Sourikov
Bourse  « La palette de la Neva »
Bourse de la Galerie « HiartGallery ».
Les œuvres se trouvent :
Dans les Collections publiques :
Musée Vladimir Vissotsky, Moscou.
Fonds de l’Institut d’Etat de Moscou de l’Académie des Arts V. Sourikov.
Musée de l’Art contemporain, Moscou.
Dans des Collections privées : Moscou, Londres, Vienne, Copenhague, Milan, New-York, Paris

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Vernissage le jeudi 7 avril 2016 de 18.00 à 21.00.

La Galerie d’art I-GALLERY est située au coeur de Paris, à Montmartre.
I-GALLERY participe à la promotion d’oeuvres contemporaines.
La Galerie soutient des artistes internationaux
et propose différents styles et orientations artistiques.

I-Gallery

12, rue Durantin

75018 Paris France

Métro: Abbesses (ligne 12)

Horaires d’ouverture:  du mardi au dimanche  de 16h à 20h et sur rendez-vous

Tél: 06 76 38 05 67

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L’Amour célébré par un mariage, une fête qui bat son plein malgré le destin déjà en marche..Pétia Iourtchenko adapte l’histoire passionnelle des “noces de sang “de Federico Garcia Lorca au sein de familles tziganes d’aujourd’hui , révélant tout l’éclat de l’âme de ce peuple..”

Cette histoire, tellement contemporaine, traite de sujets éternels comme l’amour, la mort, le destin .

J’ai voulu rendre hommage aux femmes tziganes pour leur force, leur dévotion et
pour raconter leur dignité et leur courage. Ainsi, les personnages de la mère, de la
femme de Léonardo, et bien sur la fiancée elle même, sont toutes des femmes fortes
et pleines de caractère.
Mais elles ont chacune leur façon de se battre pour ce qui leur est cher.

Dans ce spectacle, j’ai voulu, aussi, montrer l’importance de la voyance chez les tziganes, voyance que l’on peut retrouver à travers la poésie de Lorca …symbole de
la lune, de la mendiante et du destin .

Par sa voix puissante et pleine d’émotions, Matrena Yankovskaïa ( chanteuse tzigane) interprétera le rôle du destin. Je vois en elle « Sara Kali » ( «Sara la Noire ») , déesse vénérée par les tziganes .

Le travail chorégraphique, ainsi que la mise en scène que j’ai réalisés se basent toujours sur le respect des traditions tziganes, mais sans en oublier l’évolution dans le temps.

J’ai donc voulu en faire un spectacle de danse, théâtre et chant qui parlerait des tziganes d’aujourd’hui.

Pétia Iourtchenko

Retrouvez Pétia Iourtchenko et sa compagnie de danse tzigane

Romano Atmo

Pétia IOURTCHENKO est né à Donetzk en 1957, dans la tribu des «Vlach». A l’âge de 16 ans, il passe le concours du prestigieux «Théâtre Romen» de Moscou. En 1988, il joue avec la troupe pour la première fois à Paris au «Théâtre Mogador». En 1989, il quitte le «Théâtre Romen» et revient à Paris, où il se produit dans différents cabarets. En particulier au «Balalaïka», où tous les artistes de l’Est sont passés. Il rencontre Pascal De Loutchek, chanteur, guitariste d’origine russe; et Lilia Dalskaïa, chanteuse et ex-comédienne du «Théâtre Romen». Ils forment alors le trio «Arbat». Le trio se produit à New-York, Londres, Oslo, Madrid, Budapest … dans différents festivals et enregistre trois albums.

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Fabienne Novikoff.

Plus de renseignements sur la Compagnie de danse tzigane Romano Atmo: (CLIQUEZ)

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Compagnie de danse tzigane Romano Atmo ©Tony Lallenec

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Cirque Romanez

Square Parody, Boulevard de l’Amiral Bruix,  75016  Paris

Métro: Porte Maillot, Porte Dauphine

Tarif: 20€

Pour réserver(CLIQUEZ)

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Forte des succès remportés pour l’organisation des jeux olympiques d’hiver de Sotchi en 2014 et la Coupe du Monde de la FIFA 2018, la Russie tient à continuer à affirmer sa présence dans le monde en essayant à nouveau de convaincre les pays membres du Bureau International des Expositions (BIE), établi à Paris, de confier cette fois à  Ekaterinbourg, capitale de l’Oural et quatrième ville de Russie selon les décomptes, pour accueillir les visiteurs de l’Exposition Universelle en 2020.

Paris proposera comme pavillon français certains monuments comme:

  • Le Château de Versailles avec ses meubles et tableaux, afin de montrer le savoir faire français.
  • Le Sacré Cœur avec la Savoyarde (la plus grosse cloche de Paris)
  • Le pont d’Avignon que l’on finira de construire sur place.

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Tous les trois seront déplacés à cette occasion.

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Il a été proposé la Tour Eiffel, mais compte tenu qu’elle a en son sommet les antennes de télécommunications (radio, télévision et autres), le projet a reçu un refus catégorique  du ministère de la Culture et de la Communication, ainsi que de la DGPT.

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