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Présentations des trois derniers ouvrages
de Pierre Rosniansky
Samedi 25 juin 2016 à 18h
Centre de l’Espérance à Genève.
Pierre Rosniansky
– Le terrorisme sous Stolypine ( complément aux Mémoires du Gl Kourloff)
(CLIQUEZ)
Soirée de lecture, déclamation de vers poétiques , danses et chant.
Entrée minimum CHF 5.-
Centre de l’Espérance
Salle B, rue de la Chapelle 8,
1207 Genève, Suisse
Arrêt de tram: entre Terrassière et Villereuse
“Nuit de Montmartre”
Ciné 13 Théâtre
Jeudi 30 juin 2016 à 19 h
Pascal Monge: comédien
Natacha Fialkovsky: chant, balalaïka
Olivier Cahours: guitare
Pascal Storch: guitare, chant
Spectacle musical théâtralisé d’après Joseph Kessel de l’Académie Française
En 1927, Joseph Kessel a 30 ans lorsqu’il écrit « Nuits de Princes » et « Nuits de Montmartre ». Ces deux romans correspondent à une période de sa vie – de ses jours et de ses nuits –, où l’écrivain se laisse happer par les romances, les polyphonies russes et les chants tsiganes échevelés des cabarets Montmartrois.
Aujourd’hui, un comédien, une chanteuse-balalaïkiste et un guitariste ouvrent le rideau sur une aventure d’une heure dix, mélange bondissant de la musique au texte, de la vie au conte. Kessel décrit avec force et tendresse ces personnages émouvants et drôles dans un monde haut en couleur.
« Il me fallait ces mélodies, ces accents qui, pour exprimer joie et détresse, possèdent une frénésie, une brûlure que l’on ne trouve nulle part ailleurs. » Joseph Kessel
Pascal Monge – comédien
Elève de Jacques Mauclair, Teddy Bilis et Yves Gasc au Centre de la rue Blanche (ENSATT), après le Cours Jean Périmony (Prix Henri Rollan), Pascal complète sa formation théâtrale par des études musicales lors de concerts avec l’Ensemble vocal et instrumental de l’Oratoire Massillon. Pascal a joué entre autres Scapin dans « les Fourberies de Scapin », Pasquin dans « le Jeu de l’Amour et du Hasard » , « Voulez-vous jouer avec Moa » , au Théâtre Montansier à Versailles, « Architruc » de Robert Pinget, au Festival du Marais la pièce de Goldoni « L’Eventail » mise en scène de Daniel Ceccaldi, au Studio des Champs-Elysées « l’Exil » de Henry de Montherlant, et la pièce de Marc-Gilbert Sauvajon, « 13 à Table » dans la mise en scène de Pierre Palmade. Il a également travaillé avec la Compagnie Antoine Bourseiller-Chantal Darget, puis au Théâtre de la Huchette, au Théâtre de la Potinière et Edouard VII, et au Théâtre Saint-Georges. Il participe à la lecture de textes sur France 2 (Le Jour du Seigneur), sur Fréquence Protestante (dernièrement quatre émissions sur Michael Lonsdale) ainsi que des textes de Martine Lecoq. Il est le narrateur de romans policiers de Tito Taupin et de « La Femme de trente ans » d’Honoré de Balzac (Editions Frémeaux) et de Nuits de Montmartre d’après Joseph Kessel. Pour le cinéma, Il a tourné avec Pierre Boutron : Le Rainbow Warrior, Robin Davis : La Pompadour, Pascal Chaumeil : L’Etat de grâce.
Pascal est cofondateur avec Maxime Mardoukhaev de l’Association Artistique Constantin Stanislavski, au sein de laquelle il propose plusieurs spectacles : le groupe « Natacha et Nuits de Princes », « l’Ensemble Kalina » ainsi que « Nuits de Montmartre » d’après les textes de Joseph Kessel
Natacha Fialkovsky – chant et balalaïka
Issue d’une famille de Russes blancs, Natacha se passionne pour la musique russe depuis sa plus tendre enfance. Après des études de balalaïka au conservatoire Rachmaninov de Paris, et une formation de chant auprès de Galina Danilina, Nadia Golovikhina, Marie France Lahore et Martina Catella, elle se produit avec les formations slaves les plus connues : Bratsch, le Cabaret Raspoutine, Ivan Rebroff, Marc de Loutchek, le Chœur tzigane Kazansky, l’Orchestre de balalaïkas Saint-Georges. En 1998, Natacha fonde simultanément « l’Ensemble Kalina » chants polyphoniques traditionnels russe à capella, ainsi que le groupe « Natacha et Nuits de Princes » tourné vers le jazz et les musiques du monde avec lesquels elle se produit régulièrement sur scène. Elle participe à la Bande originale de plusieurs films dont « Rire & Châtiment » d’Isabelle Doval avec José Garcia et « Hell » de Bruno Chiche avec Sarah Forestier http://www.nuitsdeprinces.com/
Au départ musicien de jazz, mais jouant sur une guitare classique, Olivier Cahours écrit des mélodies “sur mesure” pour Natcha & Nuit des Princes. Il parvient avec ingéniosité à mettre chaque instrument en valeur et à dégager le son du groupe. Compositeur, interprète et arrangeur, il l’est également pour ses propres formations (Solo, Duo, Trio et Sur la Route). Olivier Cahours est l’invité de nombreux festivals: Parc floral de Paris, Flâneries de Reims, Grenoble Jazz Festival, Jazz en touraine, Masters Guitare de Pau…… Il a joué avec Jean-François Jenny Clark, Eric Barret, Peter King, Bertrand Renaudin, Enrico Rava, Palle Danielson, Sharon Evans…
Pascal Storch : Guitare, chant
D’origine russe, polonaise, roumaine et française, Pascal étudie tout d’abord la guitare classique et brésilienne puis fonde le groupe brésilien Parioca. Il côtoie alors Joao Bosco, Les Etoiles, Roland Dyens et Tonino Ramos…. Suite à une rencontre fortuite avec Natacha qui l’embarque d’abord dans le Chœur Kazansky, puis dans le groupe « Natacha & Nuits de Princes », puis enfin dans le spectacle « Nuits de Montmartre », il se tourne définitivement vers les musiques de l’Est et joue également dans des formations de musiques judéo-espagnoles et Klezmer avec Yankélé, Marlène Samoun et Eve Grumer.
HISTORIQUE DE L’ASSOCIATION
L’Association Artistique Constantin Stanislavski a été créée à Paris en 1987 sous la présidence de Monsieur Antoine VITEZ.
Nous avons réalisé à Paris « Les Journées du Conservatoire d’Art Dramatique » et invité les artistes Mikhail OULIANOV, Oleg TABAKOV, Alla DEMIDOVA, à l’occasion du 50ème anniversaire de la disparition de Constantin STANISLAVSKI
Des archives furent réunies, des films documentaires de l’époque rassemblés. Ce fut la première étape de l’Association : l’inventaire du fond documentaire existant.
Sous l’impulsion de notre nouveau Président , Dimitri TOLSTOI, nous avons organisé depuis 1997 des concerts de Musique Russe-Tsigane.
Il fut un temps où Paris chantait et dansait à la mode russe ; c’étaient les années 1920-1930, les années cabarets. A Montparnasse, Pigalle, aux Champs-Elysées ou au Quartier Latin, les musiciens russes et tsiganes côtoyaient facilement le public. C’était l’époque de Joseph KESSEL, de Blaise CENDRARS, de Pierre MAC-ORLAN et Francis CARCO. Ils se retrouvaient dans ces lieux où boire, danser, rire et pleurer signifiait Aimer.
Pour que cette musique puisse de nouveau être écoutée et que pour cette ambiance magique renaisse, l’Association Artistique Constantin Stanislavski vous convie et vous offre tous les talents du Théâtre.
Dimitri TOLSTOI
Ciné 13 Théâtre
1, avenue Junot, 18ᵉ arrondissement de Paris sur la butte Montmartre.
Métro: Lamarck-Caulaincourt
Tarifs: 22€ Etudiants & Collectivités: 18€
Réservation: 06 70 02 73 10
Présente
Le traitement systématiquement négatif de la Russie dans les médias français et occidentaux est indiscutable : corruption, guerres dans le Caucase, atteinte aux droits de l’homme, opposition politique interdite, attentats à Moscou, discothèques qui brûlent, démographie qui s’effondre, minorités sexuelles menacées… Même lorsque la Russie mène seule une guerre juste en Syrie contre ce danger pour la France qu’est l’Émirat islamique, comme les derniers attentats nous l’ont démontré, les médias s’en prennent au Kremlin qui serait une menace pour la paix et la sécurité.
Ce traitement médiatique n’est pas le fruit du hasard. Il est en réalité l’une des facettes de la guerre totale menée contre la Russie renaissante. Une guerre qui monte en intensité au même rythme que le réveil russe bouscule l’agenda voulu par des élites occidentales souhaitant imposer à la Russie, comme à l’Afrique ou l’Amérique du Sud, une occidentalisation forcée sous domination morale, politique, économique et spirituelle américaine. Une guerre qui traduit l’emprise quasi totale sur le monde médiatique, politique et intellectuel français d’une nouvelle idéologie, l’atlantisme, cette variante européenne du néoconservatisme américain.
Pour Alexandre Latsa, la France doit briser cette dynamique qui l’engage sur une trajectoire extrêmement risquée pouvant mettre en péril sa sécurité et même son existence. La France doit ressurgir par une nouvelle trajectoire stratégique et historique qui lui permette d’initier son retour dans l’histoire. Elle pourrait pour cela prendre modèle sur la Russie dont chacun pensait, au cœur de cet hiver 1999, qu’elle était au bord de la disparition, alors que le pays allait, au contraire, connaître une incroyable renaissance, que l’on peut qualifier de printemps russe.
Alexandre Latsa lors de la présentation de son livre à l’Association Dialogue Franco-Russe le 22 juin 2016.
Alexandre Latsa est un français qui réside et travaille en Russie comme chef d’entreprise, blogueur, commentateur, auteur également de livres en anglais et en russe. Dans cet ouvrage, son premier en langue française, il témoigne, chiffres à l’appui, sur la réalité de la Russie d’aujourd’hui, bien éloignée des clichés habituels véhiculés par les médias français.
Et s’il insiste sur une meilleure compréhension de la Russie, c’est pour en appeler surtout à la réconciliation continentale et au renouveau de l’amitié franco-russe : “La France et la Russie sont deux pays qui, par-delà les aléas de l’histoire, sont éternellement liés. Liés par leur position géographique stratégique, qui fait d’eux les façades du continent eurasien. Liés sur le plan spirituel, car la fille aînée de l’Église et la Troisième Rome représentent les deux formes de la grande tradition de l’Église, l’orientale et l’occidentale. La France et la Russie sont par conséquent les deux poumons d’un seul et même organisme. Liés aussi car la France et la Russie sont des géants culturels, illustrant à merveille le génie de la civilisation paneuropéenne. Liés enfin car nos deux pays sont, par leur statut de géants économiques et de puissances nucléaires, les garants de la paix sur le continent et les pierres angulaires d’un potentiel nouvel ordre mondial, multipolaire et pacifique dont les contours restent, en cette année 2016, encore à définir.”
“Un printemps russe” est de ce point de vue un livre salutaire proposant, pour la France et l’Europe, un nouveau modèle de civilisation. Site de l’auteur: (CLIQUEZ)
Éditions des Syrtes
Quai Bezanson-Hugues 14
CH – 1204 Genève
ISBN 9782940523429 (mai 2016)
305 pages, tarif: 20€
Editions des Syrtes: (CLIQUEZ)
organise une présentation du livre d’Yves Gauthier
mardi 28 juin à 18h30.
Librairie Kléber à Strasbourg
Yves Gauthier, spécialiste de la Russie a traduit en français une cinquantaine d’ouvrages de langue russe, dont Ermites dans la taïga de Vassili Peskov et plusieurs ouvrages de l’écrivain tchouktche Youri Rytkheou. Il est auteur d’un récit sur l’exceptionnel tour de la Russie effectué par Gleb Travine à vélo, Le Centaure de l’Articque. Il est en outre coauteur avec Antoine Garcia — entre autres ouvrages — de L’Exploration de la Sibérie et de L’Air et le feu….
Yves Gauthier est membre sociétaire de la Socièté des gens de lettres.
Librairie Kleber
Dimitri de Kochko décoré par S.E. l’ambassadeur de la Fédération de Russie en France Alexandre Orlov, et Igor Soloviev attaché culturel auprès de l’ambassade.© Artcorusse
Dimitri de Kochko, Président fondateur de France Oural, Président d’honneur du Conseil de coordination du Forum des russes en France, co-fondateur de l’Union des Russophones de France, ancien journaliste à l’AFP….., a reçu des mains de S.E. l’Ambassadeur de la Fédération de Russie en France, Alexandre Orlov, mardi 21 juin 2016 , la plus haute distinction civile russe, décernée par décret, signé de la main du président Vladimir Poutine : l’Ordre de l’Amitié.
L’Ordre de l’Amitié ( Орден Дружбы, Orden droujby) est une distinction civile russe décernée en Russie, depuis le 22 mars 1992, décerné par oukaze du Président de la Fédération de Russie. Rare sont les étrangers qui l’ont reçue, citons pour mémoire Maurice Druon de l’Académie Française.
Dimitri de Kochko et Igor Shpynov (directeur du CRSC Centre de Russie pour la Science et la Culture à Paris)©Artcorusse
Assistées à cette cérémonie plus d’une centaine d’amis et présidents d’Associations.
Dimitri de Kochko avec Nicolas Tikhobrazoff, président d’Arcorusse.
Artcorusse était présent à cette occasion à la résidence de S.E. l’Ambassadeur de Russie à Paris, ainsi qu’un grand nombre de photographes venus pour immortaliser cette cérémonie .
©Artcorusse
Présentation à l’Hôtel Pershing Hall
Vendredi 24 juin 2016 à 18h
du livre d’art
Le photographe Chayan Khoï offre un voyage en images à travers l’immensité de la Russie. Photographe et peintre iranien mondialement connu, Chayan Khoï expose son travail dans de nombreux pays, notamment à la galerie Artcurial, à Paris.
Il se partage entre ses domicile et atelier parisiens et de très fréquents séjours itinérants. Ancienne élève de l’Ecole normale supérieure, Kathy Rousselet est directrice de recherche à Sciences Po, au Centre de recherches internationales. Elle travaille sur la Russie, et en particulier sur les questions religieuses.
Des grandes capitales russes européennes à l’extrême orient, en passant par l’immensité des steppes de Sibérie, Chayan Khoi a sillonné à moto les 18 000 kilomètres qui séparent Kiji du Kamtchatka, il a fait plus de 40 000 photos.
Des paysages hallucinants, des bâtiments en ruines, des restes de l’empire soviétique, il a tout photographié a réalisé près de quarante mille photographies.
Comme des balises, il en a retenu des églises, monastères et chapelles, témoins de la Russie éternelle.
En traversant villes et villages, par des routes ou des chemins boueux, il a découvert des églises monumentales comme des petites chapelles en bois peint, nichées au bout du monde. Il restitue avec poésie les mystères et la complexité de l’âme russe, le passé des Tsars comme celui des soviets, dans une étrange continuité avec le renouveau spirituel du pays.
Kathy Rousselet, directrice de recherche à Sciences Po, sociologue et spécialiste des religions en Russie, ponctue le parcours de repères et enrichit le propos par son éclairage passionnant sur l’évolution de la foi dans ce pays attachant, déroutant et pétri d’émotions fortes. Kathy Rousselet travaille sur la Russie, et en particulier sur les questions religieuses.
Reliure: Relié sous jaquette
Page : 259p Format : 30x30cm
Prix: 39€ 95
Hôtel Pershing Hall
49 rue Pierre Charron 75008 Paris
La balalaïka est le symbole de la Russie. Instrument magique de forme triangulaire à trois cordes, son jeu est fascinant et inimitable, exprimant tantôt la gaité tantôt la mélancolie du peuple russe.
Créé en 2001 et dirigé par Nicolas Kedroff, balalaïkiste de réputation internationale, l’ Ensemble de Balalaïkas Kedroff est l’une des deux principales formations du genre en France. Originale et simple, il se compose uniquement de balalaïkas dites PRIMAs, la “soprano” de la famille des balalaïkas.
Initialement conçu dans un but pédagogique, l’ensemble dont la configuration est aujourd’hui multiple, comporte trois à dix (voire plus) musiciens de tous niveaux et âges, et sa vocation peut être amatrice comme professionnelle.
Les membres de l’Ensemble de Balalaïkas Kedroff sont d’origine russe ou non, réunis par l’amour de l’instrument et de la musique russe.
L’ensemble compte aujourd’hui à son actif une trentaine de concerts et s’est produit entre autres à l’Ambassade de Russie, au Conservatoire russe Serge Rachmaninov, en l’Eglise Saint-Germain l’Auxerrois à Paris et au Musée des Cosaques de la Garde Impériale à Courbevoie.
Il est accompagné par une guitare.
Plus de renseignements sur Nicolas Kedroff: (CLIQUEZ)
Maison de l’ACER
91 rue Olivier de Serres, 75015 Paris
Métro porte de Versailles.
I-GALLERY
12, rue Durantin 75018 Paris
Métro Abbesses, ligne 12/bus 95 et 80
Plan d’accès : http://www.i-gallery.fr/
Ouverture de la Galerie du mardi au samedi
de 16 à 19 heures et sur rendez-vous 06 76 38 05 67
Unique concert
Auteur-compositeur-interprète
ALEXANDRE SCHERBINA chante ses compositions et d’autres chansons bien connues en russe, en ukrainien et en français.
Il chante ses poèmes accompagnés de sa guitare. Auteur et soliste dans le duo « Adrian et Alexandre », depuis 2013 il dirige le groupe « Pauses Stanislavski » («ПаYзы им. Станиславского»). Plusieurs CD et livres sont à son actif. Actuellement, il poursuit une tournée en Russie, à travers l’Europe, aux Etats-Unis où il présente ses concerts en solo.
Depuis 2013 il dirige le groupe « Pauses Stanislavski » («ПаYзы им. Станиславского»). Plusieurs CD et livres sont à son actif. Actuellement, il poursuit une tournée en Russie, à travers l’Europe, aux Etats-Unis où il présente ses concerts en solo.
Yuliy Kim (célèbre barde russe) considère Alexandre comme une nouvelle étoile dans le monde musical : « Je ne dis pas « le monde des bardes » ou « le monde du rock » car ses chansons sont inclassables. Alexandre Scherbina est ancré dans le monde contemporain, urbain et ce que j’admire le plus c’est son sens de l’humour ».
Ses compositions sont à la fois modernes et classiques, fines et émouvantes à vous donner la chair de poule. Certaines sont teintées de subtilité et d’ironie telles que «Песня о Безумной Маше», «Я умею смотреть…», «Соул для Юлии», «Импровизация на тему», «Back in, или Возвращение в 60-е», «Кофточка тчк» (« Chanson sur Masha la Folle », « Je sais regarder… », « Soul pour Yulia », « Impromptus sur un sujet », « Back in, ou le Retour aux années 60 », « Petite veste, etc ») … Recherchez ces titres sur Internet et vous découvrirez une chanson qui vous séduira.
Le portail musical de Russie ZVUKI.RU écrit suite à un concert d’Alexandre : « La poésie lyrique de Scherbina transperce l’âme, ses mélodies sont éclectiques, son style musical passe du rock et des ballades jusqu’au folk et romances. Il ne s’impose aucune contrainte, au-delà des paroles et de la musique, c’est une improvisation absolue ».
Renseignements Datcha-Kalina
Datcha-Kalina
315, chemin des petites fourques, 13510 Eguilles
Participation aux frais: 13€
Adhérents Datcha et Kibitka: 12€
Renseignements et réservations
04 42 92 68 78 / 06 20 97 35 68
5 Sens Editions
Genève, Suisse
Tél. +41 (0)76 789 05 92
Registre du Commerce – IDE : CHE-293.511.358
contact@5senseditions.ch
5 Sens Editions
Genève, Suisse
Tél. +41 (0)76 789 05 92
Registre du Commerce – IDE : CHE-293.511.358
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Suite à l’ouvrage de Paul Kourloff
“Mémoires du Général Paul Kourloff”
Projection exeptionnelle
Lundi 27 juin 2016 à 19h 30
à la Librairie du Globe
Pendant une semaine sur les îles, l’équipe de RBTH s’est entretenue avec les représentants du clergé, les autochtones et les personnes venues y travailler. Natalia Samover, historienne, a raconté en détail à l’équipe de tournage le côté obscur de l’histoire de l’archipel, c’est à dire son camp de travail soviétique SLON (acronyme russe de « Camp du Nord à vocation spéciale »), le plus terrible camp de travail du système du goulag. En décembre 2015, l’équipe multimédia de RBTH a bouclé un projet-vidéo documentaire consacré aux îles Solovki, à leur histoire et à leur présent.
Après la séance, les spectateurs auront la possibilité de découvrir les photos de Lioudmila Averianova, qui a accompagné l’équipe de RBTH pendant le tournage, pour immortaliser dans ses clichés les îles de Solovki telles qu’elles sont aujourd’hui. En outre, les spécialistes de l’agence Tsar Voyages viendront apporter leur expertise et évoquer les spécificités des voyages en Russie, et notamment à destination des îles Solovki.
Librairie du Globe
67 Boulevard Beaumarchais, 75003 Paris
Renseignements: +33 (0)1 42 77 36 36
Еntrée libre et gratuite dans la limite des places disponibles
Plus de renseignements : (CLIQUEZ)
Consulat Général de Russie de Strasbourg.
* Place Sébastien Brant *
Renseignements : 06.10.20.29.37
I-GALLERY
Présente
Anna Polikarpova
et
Andrey Tyrtychnikov
‘‘D’après les motifs ‘‘
Exposition du 7 au 18 juin 2016
Vernissage le mardi 7 juin 2016 de 18.00 á 21.00
La Galerie d’art I-GALLERY est située au coeur de Paris, à Montmartre.
I-GALLERY participe à la promotion d’oeuvres contemporaines.
La Galerie soutient des artistes internationaux
et propose différents styles et orientations artistiques.
L’exposition “D’après les motifs” est basée sur les oeuvres de deux artistes, qui sont unies par une idée commune :
Les oeuvre se sont soit inspirées par des sources concrètes de l’histoire de l’art, soit elles deviennent leurs interprétation artistique, ou bien elles ont été créés d’après des motifs des oeuvres des Maîtres soit d’après l’ensemble de leur création.
“L’homme de Giacometti “, “La Dame à l’hermine”, “And music goes crazy…” – les oeuvres, dont les titres évoquent directement l’influence des sujets concrets et des auteurs.
Ambassade de Grande Bretagne Galerie Zurab Tsereteli.Expositions/Galeries Etranger :
Ambassade de la Fédération de Russie à Londres, Mairie du Fort-Bernard en France, Espace Pierre Cardin (Paris). Une série graphique d’Anna Polikarpova se formait d’après les tableaux des impressionnistes : Édouard Manet, Félix Vallotton, James Tissot, Alfred Stevens et d’autres. Aussi que sous l’influence des revues de mode de la fin du XIX siècle.
Andrey Tyrtyshnikov, il est né en 1980 à Moscou.
Lauréat de la Médaille d’or de l’Académie des Beaux-Arts de Russie, édition 2002, pour l’œuvre « Mon grand-père » ainsi que du Premier Prix du 3e Concours national Tretiakov, édition 2006, en 2007 il obtient le doctorat à l’Institut des Beaux-Arts Sourikov et du Premier Prix du concours « Vera », .édition 2010, pour l’ œuvre « Le Corbusier ». Il a participé à de nombreuses expositions internationales à Moscou, Saint-Pétersbourg, Paris, Prague, Florence, New-York. Les sculptures d’Andrey Tyrtyshnikov se trouvent dans les collections privées des dirigeants de plusieurs pays, y compris la France.
Ses activités professionnelles sont très variées : il est membre-correspondant de l’Académie des Beaux-Arts de Russie, membre de l’Union nationale des artistes, enseignant senior à l’Institut Sourikov de l’Académie d’Etat des Beaux-Arts de Moscou et conseiller pour l’éducation artistique du directeur du Lycée des arts de Moscou de l’Académie des Beaux-Arts de Russie. Andrey Tyrtyshnikov a participé au concours national pour la création du monument « La femme du marin » à Saint-Pétersbourg et au projet de la décoration de la façade du théâtre Mariinsky, en coréalisation avec Serguei Essoyan. Il est auteur du monument dédié à Saint-Georges-le-Victorieu
Actuellement, Andrey Tyrtyshnikov est Membre de l’Union des Artistes de Moscou, membre-correspondant de l’Académie des Beaux-Arts de Russie, chargé de mission Culture au CRSC à Paris.
Dans la sculpture d’Andrey Tyrtychnikov “les motifs” se trouvent beaucoup plus profondément et des sources concrètes de l’inspiration ne sont pas aussi évidentes, elles existent plutôt à travers des styles divers, comme l’archaïque et le primitivisme ou, au contraire, la classique et le réalisme académique.
C’est ensuite, à l’intérieur de ces influences stylistiques on peut voir les sources d’inspiration : Rodin et Bourdelle, et, certes, l’École russe académique de la sculpture.
Et si on peut parler du vingtième siècle comme le siècle du modernisme et le postmodernisme, le vingt premier siècle pourrait devenir “d’après les motifs” du postmodernisme…
Olga Khlopova directrice d’I-Gallery entourée d’Anna Polikarpova et d’Andrey Tyrtyshnikov
I-GALLERY
12, rue Durantin 75018 Paris
Métro Abbesses, ligne 12/bus 95 et 80
Plan d’accès : http://www.i-gallery.fr/
Ouverture de la Galerie du mardi au samedi
de 16 à 19 heures et sur rendez-vous 06 76 38 05 67
Dans le cadre de l’Année franco-russe du tourisme culturel, le musée POLENOVO célébrera, du 19 au 26 juin 2016, la Semaine de la Francophonie !
La grande maison actuellement musée de V. Polenov, façade donnant sur Taroussa.
Le programme des festivités s’annonce riche et varié, allant des rencontres littéraires aux concerts de rock français en passant par les spécialités françaises à la carte du restaurant « Mark et Lev » tout au long de la semaine. Et surtout, à ne pas manquer : l’exposition « Vassily Polenov et ses amis artistes : peindre la France en plein air », une opportunité unique de voir les œuvres originales issues des collections du Musée POLENOVO, pour la première fois sorties des réserves et présentées au grand public. Vous pourrez y contempler les tableaux et œuvres graphiques de V.Polenov, I.Repine, V.Vasnetsov, A.Bogolioubov, K.Savitskiï, E.Polenova, M.Yakountchikova, réalisés en France ou bien inspirés de la nature, de l’architecture et des traditions de ce beau pays. Un an après l’inauguration du square Vassily Polenov à Veules-les-Roses, M. Jean-Claude Claire, maire de la ville, nous fera l’honneur d’être présent pour le vernissage de l’exposition.
Le Musée-mémorial national d’histoire et des arts et réserve naturelle Vassily Dmitrievitche Polenov est dirigé encore aujourd’hui, par les descendants du célèbre peintre Vassily Polenov. Le musée est très actif, il promeut l’œuvre du peintre à l’international et organise, dans cette optique, des expositions-itinérantes à travers le monde. Le musée accueille également en résidence des chercheurs et représentants du monde culturel. Située à 140 km au sud de Moscou.
Rives de la Oka, vue de la propriété.
Séduit par la beauté des paysages, Vassily Polenov s’installa avec sa famille sur les rives de l’Oka à la fin des années 1880. Il fit construire de nombreux bâtiments destinés à accueillir ses amis peintres, son propre atelier et une galerie de peinture.
PROGRAMME
19 juin: “Concert-lecture ” Chopin et Georges Sand” avec Bassiniya Shulman au p piano et Yossi Tavor, lecteur de l’échange épistolaire quelque peu fantaisiste entre Gerorges Sand et Frédéric Copin.
Bassiniya Shulman grande lauréate de concours internationaux et Yossi Tavor journaliste et critique musical.
22 juin: Rencontres-débats avec un écrivain français contemporain Olivier Bleys, auteur de 29 œuvres (romans, essais, récits de voyage, roman graphique et récit d’anticipation), il n’écrit pas seulement en prose mais également en bande dessiné.
En 2014, il est fait Chevalier des Arts et Lettres. Son travail a été récompensé par de nombreux prix, ses ouvrages sont traduits dans une dizaine de langues. Les rencontres auront lieu à POLENOVO ainsi qu’à la “Datcha de Tsiferblat” à Dvorianinovo où il animera un atelier d’écriture ouvert à tous. Il parlera de sa profession d’écrivain et du rôle des nouvelles technologies.
24 juin: “Poésie sonore: l’accent français”. Projets humanitaire et éducatif consacré aus enregistrements sonores de textes littéraires et poètiques.
Pavel Krioutchkov, chercheur émérite du musée National de la Littérature, adjoint à la rédaction du journal “Novyi Mir”, animateur de télévision et de radio, lauréat de nombreux prix littéraires et artistiques, présentera un patrimoine oral d’une grande richesse culturelle. Cela sera l’occasion d’entendre les voix de quelques illustres auteurs français et russes: Léon Tolstoï, Emile Verhaeren, Boris Pasternak, Guillaume Apollinair, Anna Akhmatova, Antoine de Saint Exupery, Albert Camus, Youri Kazakov, René Char ainsi que d’autres traducteurs remarquables de la littérature française.
25 juin : Ouverture de l’exposition “Vassily Polenov et ses amis peintres: peindre la France en plein air“.
Le cheval blanc. V. Polenov, Normandie, 1874, huile sur toile, 24,7 x 30 cm
Opportunité unique de voir les œuvres originales issues des collections du Musée POLENOVO, pour la première fois sorties des réserves et présentées au public, exposition rassemblant tableaux et œuvres graphiques de V. Polenov, I. Répine, V. Vasnetsov, A. Bogoliubov, K. Savtskii, E. Polenova, M. Yakountchikova, réalisée en France ou bien inspirés de la nature, de l’architecture et de traditions françaises.
La vieille porte de Veules. V. Polenov, Normandie, 1874, huile sur toile, 24 cm x 30 cm
Les 22, 23, 24 et 25 juin: Concert du groupe français STAMP. A la croisée de multiple influences, du rock à l’électro en passant par le jazz et les musiques du monde, STAMP associe l’informatiquer musicale à la spontanéité, organique des instruments acoustiques. Le groupe transcende les genres avec, pour seul objectif,de créer une musique riche, originale et contemporaine. Le groupe interprétera des morceaux de son nouvel album enregistré fin 2015, et dévoilera en exclusivioté ses dernières créations composées à POLENOVO, inspirées e l’atmosphère qui règne dans ce lieu.
Durant toute cette semaine le restaurant “Marc et Lev” proposera des plats typiquement français cuisinés à partir des produits de la ferme. Sorbets, sodas, quiches, flanc et tartelettes aux fruits.
Natalya Polenova arrière-petite-fille du peintre et directrice du musée-réserve
L’association Vassily Polenov a été crée à Paris en 2007. Ses objectifs couvrent plusieurs domaines: la présentation à un large public étranger à l’héritage du peintre Vassily Polenov et de ses amis artistes ainsi que l’organisation de la coopération scientifique et culturel entre la france et la russie. Pour plus d’informations, consultez le site officiel: (CLIQUEZ)
Plan géographique du Musée Vassily Polenov.
Visite panoramique interactive de Polenovo (CLIQUEZ)
Musée-réserve naturelle POLENOVO
Strakhovo,(région de Toula, Russie)
Téléphone :+7 487 342-11-80
QUATRE JOURNÉES INCONTOURNABLES
Du 13 au 19 Juillet 2016 !
Dès l’édition 92, les fêtes maritimes ont mis à l’honneur toutes les marines du monde en invitant de nombreux pays. Cette année, les pays invités seront :
Journée le 15 juillet avec la Russie: Nombreuses animations proposées par le village russe. Immense, le littoral de la Russie s’étire le long de l’océan Arctique à l’océan Pacifique, mais inclut aussi les côtes de la mer Baltique, de la mer Noire et de la mer Caspienne. La nation russe a une forte histoire maritime. Au XIIe siècle, le Prince Igor voyage jusqu’à Constantinople en ladia (barque) et en tcheln (canot). Le premier trois-mâts construit en Russie fut lancé en 1636 sous le règne de Michel Ier de Russie. Le tsar Pierre le Grand crée la marine impériale vers 1703 et fonde la ville de Saint-Pétersbourg où il installe l’état-major et fait construire les premières frégates de sa flotte.
Kruzenshtern (ex MAGDALENE VINNEN.)
À son apogée, dans les années cinquante, la marine soviétique est la deuxième puissance militaire maritime du globe. La Russie moderne perpétue cette grande tradition à travers sa Marine, sa recherche océanographique de pointe, ses célèbres académies navales et, aujourd’hui, le développement d’un intérêt croissant pour son patrimoine maritime.
À 11h inauguration Place Charles De Gaulle de l’obélisque russe Corps expéditionnaire à l’occasion du 100e anniversaire de l’arrivée en France du corps 3e brigade avec la participation de l’ Ambassadeur de Russie en France, une délégation russe de haut niveau et les autorités françaises.
Le projet a été réalisé par une équipe de sculpteurs russes – D.N.Levinym, I.N.Fёklinym, N.N.Fёklinym dirigés par académicien de l’Académie russe des Arts A.V.Tyrtyshnikova et mis en œuvre par la société de l’ histoire militaire russe avec le soutien de l’Ambassade de la Russie en France, la ville de Brest, la société ” Tatneft “groupe bancaire” Zenith “, l’Union de la mémoire russe de la force expéditionnaire en France.
Sedov (ex KOMMODOR ENSEN)en honneur de l’explorateur polaire russe Gregoriy SEDOV (1877-1914) .
Les spectateurs pourront admirer les expositions de 2 photographes-marinistes moscovites Yuri Maslyaev et Alexandre Lvov, présentant des photos magnifiques des répliques historiques des bateaux russes retraçant l’histoire maritime de la Russie, commençant par des Lodya anciennes jusqu’aux voiliers modernes. Ensuite, allez découvrir la carnettiste et écrivaine Vivi Navarro(originaire de Sète) qui présente ses travaux réalisés à la suite de ses différents séjours à bord de grands voiliers russes.
Elle porte une affection sans limite à la Russie, et présentera à l’occasion de Brest 2016 plus particulièrement ses œuvres sur son coup de cœur : le Kruzenshtern. Désireuse de partager sa passion, elle animera un atelier de peinture pour enfants.
Baladez-vous dans ce village afin de découvrir nombreuses autres animations tout en profitant de l’ambiance festive russe ; une programmation musicale est prévue pour tous les jours tous les après-midi: un groupe venant de la ville ancienne russe de Kostroma, très riche en traditions étonnera avec ses chants cosaques et russes, la démonstration des traditions cosaques !
Ouverture du site: de 10h à minuit
Renseignements et tarifs: (CLIQUEZ)
« Compiègne Aéro Classic » édition 2016
Samdi 11 et dimanche 12 juin
Thème principal le… Normandie-Niemen
Le « Compiègne Aéro Classic » édition 2016 se déroulera les 11 et 12 juin sur l’aérodrome de Compiègne-Margny (LFAD). Les équipes du Cercle des Machines Volantes (CMV) ont retenu comme thème principal le… Normandie-Niemen. Les animations comprendront la reconstitution d’un camp militaire où seront présentés des engins blindés de la Seconde Guerre mondiale, d’origine américaine, russe et allemande, avec uniformes et équipements d’époque. Un rassemblement de voitures et de motos anciennes est également au programme.
Polotniane Zavod, premier terrain de guerre du “Normandie”.
Dès l’invasion de l’URSS par l’Allemagne en juin 1941, le général de Gaulle envisage d’envoyer des soldats français combattre sur le front de l’est. Quinze mois plus tard, en septembre 1942, une troisième unité de chasse des Forces aériennes françaises libres (après la formation un an plus tôt des groupes Alsace et Île de France) voit le jour : le Groupe de chasse n° 3 Normandie. Constitué à Damas, sous les ordres du commandant Pouoliquen et du commandant Tulasne, le groupe est rapidement informé qu’il a été choisi pour marquer la présence de la France auprès des Soviétiques et aller combattre sur le Front de l’Est.
En novembre 1942, les premiers pilotes et mécaniciens partent du Liban pour l’Union soviétique qu’ils atteignent après un périple de plus de quinze jours. La première base se trouve à Ivanovo, à 250 kilomètres au nord-est de Moscou. Là, les Français vont percevoir des avions russes et s’entraîner sur Yak 7 biplace et Yak 1 monoplace. Le choix, laissé à l’appréciation du commandement français, se porte sur le Yak 1.
Les conditions climatiques, très rudes, sont difficilement supportables, les températures variant entre -25° et -30°. L’entraînement des 58 Français, pilotes et mécaniciens se prolonge jusqu’au mois de mars 1943. Le 22 mars 1943, l’unité s’envole avec ses 14 Yak pour s’installer à une centaine de kilomètres au sud-ouest de Moscou, sur la base de Polotniane Zavod. Le dégel rend les décollages et les atterrissages très périlleux, d’autant plus que les pistes ne sont, le plus souvent, que de simples champs ; il faut trois hommes sous chaque aile pour rouler les avions sur la piste. Le terrain de Polotniane Zavod est distant de 50 km du front.
Autour de ces journées:
Côté présentations en vol, est déjà prévue la présence de Pitts, Piper (J-3 et L-4J), Luscombe Silvaire, Travel Air 4000, plusieurs Beech 17 Staggerwing, Caudron Luciole, Morane-Saulnier MS-181 et MS-230, North American T-6, plusieurs Stampe SV-4, Pilatus P-2, Nord Noralpha, Cessna 195, plusieurs Yak-50 et 52, Bücker Bü-131 Jungmann, plusieurs Boeing Stearman, Fairchild 24W, Curtiss P-40, North American P-51D Mustang, Yak-11, Yak3, Waco YMF…Yak-11
Toutes les 40 minutes, les visiteurs du salon pourront accéder au territoire de l’aérodrome suivant un itinéraire spécial où des guides russophones, anglophones et francophones commenteront les scènes et répondront aux questions du public. Les spectateurs pourront également discuter avec les participants, parmi lesquels figure même un Japonais.
Une surprise attend les visiteurs, des figurants russes sont venus accompagnés d’une équipe de sportifs parachutistes dirigée par Sergueï Trouchine, champion de Russie et maître ès sports de classe internationale. Avec leurs collèges français, ils ouvriront la fête samedi à 14h par un saut groupé de démonstration et déploieront dans le ciel de l’aérodrome de Compiègne-Margny des drapeaux de la France, de la Russie, du régiment Normandie-Niemen et le drapeau rouge de la Victoire, identique à celui déployé à Berlin sur le Reichstag en mai 1945.
Pour acheter vos places, rendez vous sur le lien ci-dessous :
Cercle des Machines Volantes – CMV
2089 Av. Octave Butin
60280 Margny les Compiègne.
Renseignements:
Larissa Noury les Couleurs et les Harmonies Film https://www.youtube.com/watch?
Larissa Noury: Portrait https://www.youtube.com/watch?
Les Couleurs De l’Automne Larissa Noury http://www.telemontmartre.
Les Tableaux Vivants: la Haute Couture et le Nouvel Impressionnisme par Milau K. Lutumbahttps://www.youtube.com/watch?
« ARTESIENNE »
20, rue Tholozé, 75018, PARIS,
Métro. Abbesses ligne12 et métro Blanche, ligne 2
En partenariat avec Artcorusse
Avec le soutien de l’Ambassade de la Fédération de Russie en France.
Deux soirées “Véra Stroeva” durant ce 2ème Festival
Jeudi 9 et mardi 14 juin 2016
Vera Stroeva (en russe: Вера Строева, 21 septembre 1903 à Kiev – 26 août 1991 à Moscou), réalisatrice, scénariste et comédienne soviétique.
Elle est la fille d’un conseiller de tribunal, qui a changé en 1915 son nom de Richter en Stroyev. En 1920-1922 , elle a étudié au département acteur de l’Institut supérieur de musique et de théâtre, puis en 1924 elle a terminé les ateliers de théâtre pédagogiques. De 1925-1927 ans, elle est actrice, dramaturge, metteur en scène et professeur de théâtre du centre de Moscou. En 1925 elle est directrice du studio de cinéma “Soyuzkino” (maintenant “Mosfilm “). Elle a travaillé comme réalisatrice au studio de cinéma d’Odessa “Ukrainfilm” de 1928 à 1931. Elle épousa, l’auteur et co-scénariste réalisateur Grigory Roshal. Elle est tout d’abord co-scénariste puis co-réalisatrice de plusieurs films dirigés par son mari. Après 1945, elle réalise seule une dizaine de films, souvent des adaptations d’œuvres classiques. Vera Stroeva est décédée le 26 août 1991 à Moscou et elle est enterrée auprès de son mari au cimetière Kuntsevo.
Vera Stroeva montre un intérêt particulier pour la musique. Ses deux films d’opéras d’après Moussorgski sont considérés comme des classiques : Boris Godounov est montré au Festival de Cannes et Khovantschina reçoit une nomination aux Oscars.
Jeudi 9 juin à 20h
La Khovantchina, de Moussorgski
Un film réalisé par Vera Stroeva (1959, couleur)
Avec Mark Reizen, Aleksei Krivchenia, Anton Grigoriev,
Maïa Mlissetskaia. Orchestre et choeurs du Bolchoï, dirigés
par Evgueni Svetlanov, 2h10
Cinq ans après son fameux Boris Godounov et huit ans après son Prince Igor partiel, Vera Stroeva réalisa son dernier film d’opéra et saisit « l’opéra national russe » tel que l’on ne pourra sans doute plus jamais le reproduire. La caméra individualise puis réunit les
visages d’un peuple simple, manipulé mais fort, qui passe en un instant de l’inquiétude à l’espoir. Quelques années après lamort de Staline, on sent que l’art permet tant aux solistes
qu’aux membres du choeur, d’exprimer ouvertement le désarroi ou les ambitions
que crée la fin relative d’une dictature. Svetlanov, âgé de trente ans, donne des couleurs
splendides à la partition révisée par Chostakovitch et la danse de Maïa Plissetskaïa,
jeune liane aux yeux immenses, ensorcelle le prince Ivan et les spectateurs.
Mardi 14 juin à 20
Boris Godounov, de Moussorgski
Un film réalisé par Vera Stroeva (1954, couleur)
Avec Alexander Pirogov, Nikandr Khanayev, Georgi Nelepp,
Maxim Mikhailov, Ivan Kozlovsky, Larisa Avdeyeva, 1h50
Avec son Boris Godounov, Stroeva transforme le monde en un opéra aussi vaste que l’imagination. Nous croyons être assis aux côtés de l’innocent tragique et doux de Kozlovsky, au milieu d’une forêt de bras levés qui réclament du pain. Et lorsqu’il dit doucement qu’il ne peut prier pour le roi Hérode, on croirait que le monde
entier a entendu son chuchotement; et le tsar Boris effrayé ne peut que
cacher son visage et se détourner lentement. L’année même de la mort
de Staline, Stroeva nous plonge en apparence dans la Russie de l’an
1600, pour nous montrer un peuple généreux, porté par la foi et prêt à
remettre en question l’autorité des puissants.
La caméra saisit les regards dubitatifs du peuple lors de la profession de foi de Boris, et encourage les femmes à malmener les hommes. Le tsar criminel fuit la folie en s’enfermant dans les vastes architectures de ses palais et ses costumes magnifiques, pendant que l’innocent pleure la Russie affamée au milieu de l’incendie allumé par les luttes pour le pouvoir.
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Opéra-Film-Art: 2e édition!
Les spectateurs de la première édition du festival l’ont tous
remarqué: lorsqu’un grand cinéaste réalise un film d’opéra, les grands moments
d’opéra deviennent de grands moments de cinéma: le foisonnement baroque des
images d’Ophuls et la pureté de celles de Straub (dont nous verrons cette année le
puissant Moïse et Aaron) sont restés longtemps dans les mémoires. Lors de ce deuxième
festival, les langues se succéderont de nouveau, le noir et blanc alternera avec
la couleur, nous mêlerons des films méconnus avec les films célèbres de Losey et de
Mitterrand… La plupart des opéras seront montrés dans de rares copies 35 mm, avec
leur chaleur et leur fragilité (le beau Rigoletto de Carmine Gallone a le charme des vieilles
eaux-fortes). Nous ferons l’expérience de présenter un opéra chinois, grâce au Centre
culturel de Chine, puisque après le Goethe Institut, déjà présent en 2015, plusieurs
centres culturels étrangers participeront à Opéra-Film-Art: le Forum culturel autrichien,
l’Institut culturel italien… Nous bénéficierons également du soutien de l’Ambassade
de la Fédération de Russie en France. Les amateurs d’opéra russe auront la rare
chance de voir le diptyque Moussorgski, réalisé par Vera Stroeva. Ils revivront une grande
époque de l’opéra russe, à la fois grandiose et touchante, qui semble avoir été gravée dans
le souple technicolor des studios soviétiques. La Belle Hélène d’Offenbach, de 1956, montre
ce qu’il est possible de faire à la télévision: ses extraordinaires interprètes procurent un
enivrement loufoque en se laissant totalement aller sous la joyeuse protection de
l’oreille infaillible de Gérard Calvi. Le festival s’achèvera avec un ciné-concert particulier
avec le grand pianiste Pierre-Alain Volondat, enthousiasmé par le dramatisme de Pola
Negri dans la Carmen de Lubitsch, accompagnera pour la première fois un film muet.
Calendrier-programme du 2ème Festival Opéra-Film-Art
Plus de renseignemenst sur le 2ème Festival Opéra-Film-Art: (CLIQUEZ)
Cinéma Le Balzac – 1 rue Balzac 75008 PARIS
Métro: George V ou Etoile
RER ligne A, Charles de Gaulle Etoile
Bus 22 – 30 – 31 – 52 – 92
Station Velib juste en face du cinéma
Parking Etoile-Friedland (avenue Friedland)
Jeudi 30 JUIN 2016 à 20h 30
L’étoile russe de Rock
Chef de groupe des “Snipers de nuit”
DIANA Arbenina !!!
Elle est née le 8 juillet 1974 à Volozhin (Biélorussie). Lorsque Diana avait 3 ans, sa famille déménage à Borisov, région de Minsk, puis en Russie dans l’état de Magadan. En1992 et 1993, Diana Arbenina a étudié à l’ Institut pédagogique d’État de Magadan à la faculté des langues étrangères, de 1994 à 1998 à la Faculté de philologie (département de langue russe) de Saint Pétersbourg
Diana avec son amie Svetlana Surganova créent le groupe ” Nuits des Smipers “. Après le départ du groupe en 2002 de Svetlana Surganova Diana Arbenina reste la seule responsable du groupe.
Aujourd’hui, Diana est l’auteur de plus de 200 chansons et des dizaines de poèmes, qu’elle préfère appeler “antipesnyami”.
Nochnye Snaipery ( Ночные Снайперы , littéralement “Night Snipers”) est un groupe de rock russe, fondée en 1993 par Diana Arbina (Диана Сергеевна Арбенина ) et Svletlana Surganova ( Светлана Яковлевна Сурганова) duo acoustique, guitare, violon voix . Ces musiciennes jouaient respectivement de la guitare et du violon , partageant les fonctions vocales et de compositions instrumentales. Depuis sa création , le groupe avait participé à une variété de festivals musicaux russes comme Babye Leto et Moguchaya Koutchka et pour des événements majeurs ( Nashestvie, Maxidrom, Krylya), ainsi que de nombreuses tournées en Russie et à l’étranger.
Les plus connus des enregistrements sont Tridtsatpervaya Vesna ( “31 printemps”), Rubezh ( «Frontier»),Stolitsa ( “Capital”), Asfalt ( «Asphalte»), et Aktrisa ( “Actrice”). La majorité des chansons dans le répertoire des compositions sont écrite par Arbenina et Surganova, mais certains utilisent la poésie de ces auteurs célèbres comme Joseph Brodsky, Anna Akhmatova et Federico Garcia Lorca.
En 2002 Svetlana Surganova a quitté le groupe pour créer son propre groupe Diana est restée la tête d’ affiche de la nuit Snipers .
” BLACK LEGEND”