Archive pour juillet 2018

RECITAL

ANNA NETREBKO & YUSIF EYVAZOV

Opéra Garnier de Monte-Carlo

Jeudi 23 août 2018

 

Une célébration des plus belles voix de l’opéra, Anna Netrebko (soprano) et Yusif Eyvazov (ténor), en concert à l’Opéra Garnier de Monte-Carlo.

Anna Netrebko a redéfini ce qu’est une star de l’opéra. Elle est née en 1971 à Krasnodar (Russie), Anna Netrebko a fait ses études au Conservatoire de Saint-Pétersbourg. Depuis ses débuts au Festival de Salzbourg en 2002 dans le rôle de Donna Anna de Don Giovanni, elle a été l’invitée de toutes les grandes scènes lyriques internationales. Elle revient régulièrement au Théâtre Mariinski de Saint-Pétersbourg, où elle poursuit sa collaboration avec Valery Gergiev. Cette prima donna assoluta est aujourd’hui la reine incontestée du chant lyrique et la tête d’affiche des plus grandes productions dans les plus prestigieux opéras du monde. Elle fut la première musicienne classique à faire partie du « Time 100 », la liste des personnalités les plus influentes selon le Time magazine. Grâce à sa voix unique et envoûtante, à son charisme naturel et à sa présence incroyable sur scène, chacun de ses rôles reste inoubliable.

 

Sur scène, elle et son mari, Yusif Eyvasov, forment un couple époustouflant. Né en Algérie de parents enseignants  Azerbaïdjanais en mission en Algérie. L’éducation musicale Yusif a commencé avec l’Académie de musique de Bakou, il a développé son professionnalisme en Italie où il s’installe en 1998, il s’installe pour poursuivre ses études à Milan. Les critiques le qualifient de « ténor formidable dont la pure voix, formée à réaliser des choses incroyables nous atteint comme nulle autre… ». Sa voix de stentor est métallique et dans la plus pure tradition italienne. Yusif Eyvazov s’est produit sur la scène de nombreux opéras, dont le Metropolitan Opera, le Wiener Staatsoper, l’Opéra de Paris, le Staatsoper Berlin et le Mariinsky Theater.

Venez profiter d’une soirée unique en compagnie de la soprano Anna Netrebko et du ténor Yusif Eyvazov. Le temps d’une soirée, l’Opéra Garnier de Monte-Carlo accueille en exclusivité les deux plus grandes stars de l’opéra pour un récital dans une ambiance exceptionnelle. Le public pourra profiter d’airs éblouissants composés par Verdi, Puccini, Strauss, Rimsky-Korsakov et bien d’autres encore. Les plus grandes voix de l’opéra chanteront leurs morceaux préférés, qu’ils ont personnellement choisis pour ce récital unique.

L’opéra de Monte-Carlo ou Salle Garnier est une salle de spectacle attenante au Casino de Monte-Carlo à Monaco avec 524 sièges, commandé par prince Charles III. Le nouveau casino et l’opéra ont été conçus par l’architecte Charles Garnier sous l’impulsion de Marie Blanc (veuve de François Blanc, surnommé le magicien de Monte-Carlo initiateur des jeux de hasards). Il fut construit en 8 mois seulement. L’opéra fut inauguré le 25 janvier 1879 avec un spectacle de Sarah Bernardt, plus tard avec les Ballets russes de Serge Diaghilev à partir de 1911 jouèrent sur cette scène.

Les maîtres décorateurs attitrés par cette scène qui a vu se produire tant d’artistes reconnus, ont été tout d’abord le maître italien Visconti, jusqu’en 1937, puis le peintre français L.L. Charles Roux, qui a signé un nombre considérable de scénographies jusqu’à sa retraite en 1962.

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Intérieur de l’opéra vers 1878-1879.

Parmi les artistes contemporains qui ont contribué à la renommée de la salle dessinée par Charles Garnier, on peut citer Léon Barsacq, Pablo Picaso, Léon Bakst (Stenka Razine), Yves Brayer (Aïda), Paul Roux ( L’Amour des trois oranges)

Il doit fermer en 2000, pour des travaux de restauration pour un coût total de vingt-six millions d’euros. L’opéra a été entièrement rénové et rendu au public lors de sa réouverture par le Prince Albert II de Monaco, le mercredi 16 novembre 2005.

 Le théâtre a servi à trois reprises comme lieu de dîners de gala. Pour la première fois pour la célébration de l’événement solennel en 1966 du centenaire de Monte-Carlo, organisé par Grace Kelly et Rainier III. La deuxième fois le théâtre a accueilli des invités à l’occasion du mariage royal d’ Albert II avec Charlène Whittstock et pour “Boule d’ amour, événement social, afin de recueillir des fonds pour construire des terrains de jeux et  pour le soutien aux familles qui élèvent des enfants handicapés en Russie (L’événement a permis de lever 3,2 millions d’euros.)

Opéra Garnier de Monte-Carlo

Salle Garnier
Place du casino
98000 – MONACO

INFORMATIONS & RÉSERVATIONS

Par téléphone :  +377 98 06 41 59 de 10 h à 19 h, 7 jours/7
Par mail : ticketoffice@sbm.mc

 

EXPOSITION

“LA PALETTE RUSSE”

du mercredi 1er août au jeudi 30 août 2018

“Ce n’est pas tant leur origine qui unit ces artistes de la Palette Russe, et moins encore un filon artistique auquel ils se réfèreraient, c’est leur vécu et leur parcours communs. Un parcours quasiment identique pour les différentes générations qui la composent, si bien qu’on est tenté de parler d’un « destin russe ». En effet, tous ont traversé des épreuves similaires et ont dû réapprendre à vivre ailleurs et autrement. Chacun à sa manière a traduit et continue de traduire ce difficile cheminement en le sublimant dans son travail artistique. C’est pourquoi, au-delà de leur indéniable et féconde diversité, ils composent bien une « palette russe » qui reflète cette longue histoire d’arrachement et de résilience »

Oscar Rabine

Oscar Rabine né en 1928 dans l’Union soviétique de Staline, consacre sa peinture à la défense de la liberté d’expression dans ce monde muselé. Il participe à la fondation du groupe d’art informel et non-officiel Lianozovo. Cette communauté d’artistes, qui tire son nom d’un district de Moscou, défend un art indépendant et un expressionnisme libéré. Français après s’être vu destitué de sa nationalité par l’État soviétique, Oscar Rabine partage désormais sa vie entre ses deux pays et expose dans de nombreuses institutions moscovites et parisiennes. Paris. Montmartre. Rabine présente l’oeuvre de ce témoin et acteur des événements et des agitations du XXe siècle.

Katia Zoubtchenko

Katia Zoubtchenko née à Léningrad en 1937 a rencontré le peintre André Lanskoy en 1958 et a collaboré avec lui jusqu’à sa mort en 1976. Elle a participé à la plupart des grands Salons parisiens ( Indépendants, Automne, Réalités Nouvelles … ) et fait partie des peintres russes de Paris.

Vladimir Titov

Vladimir Titov né en 1950 à Moscou, il s’est consacré à la peinture dès son enfance et sa formation artistique a suivi plusieurs étapes. Cependant, c’est l’année 1982 qui voit le début de son véritable parcours artistique. Rejetant ses opinions précédentes sur son évolution, il réalise alors sa percée actuelle dans le Grand Art.

Vladimir Sichov

Vladimir SICHOV né en 1945 à Kazan, il s’installe à Moscou en 1972 et se rapproche des milieux artistiques non officiels de la ville. Il devient le premier photographe soviétique qui a quitter l’URSS avec ses archives. Dès son arrivée à PARIS, en février 1980 la presse mondiale publie ses reportages sur la vie quotidienne en Union Soviétique. Il rencontre Helmut NEWTON qui le présente à Vogue ou il collabore pendant deux ans. Ses photos sont publiées dans Paris Match, People, Stern, Life…  Passionné par le noir et blanc, il réalise des photographies de PARIS et de nombreux portraits d’artistes. 

Vladimir Kara

Vladimir Kara est né à Moscou en 1956, c’est à Moscou qu’il étudie aux Beaux-Arts dont il sort diplômé “peintre scénographe” en 1979 – Parallèlement, il fréquenta, quatre année durant, l’atelier underground du peintre Abraham Nitsberg dans des caves dont l’entrée étaient protégée par un buste de Lénine – Sage précaution…-

En 1985, c’est l’émigration et la découverte de Paris – Le début d’une carrière internationale qui le verra exposer dans de nombreux lieux comme le Palazzo Lenzi à Florence, le Musée MOCA à Pékin, le Musée Cocteau à Villefranche sur Mer et dans de prestigieuse galeries à New-York, La Haye, Genève, Paris ou Berlin –

Masha Schmidt

Masha S. Schmidt est née à Moscou et vit en France depuis 1990. Elle a fait ses études à l’Académie des Beaux-Arts de Moscou, puis les a poursuivies à l’École des Beaux-Arts de Paris. Artiste-peintre, scénographe et créatrice de costumes de théâtre, elle est aussi chef décoratrice pour le cinéma.
Elle expose régulièrement son travail à Paris où elle réside, et à l’étranger.

Tatiana Lysak- Polischuk

Tatiana Lysak-Polischuk membre correspondant de l’Académie des Scienses Naturelles de Russie.
Née en Ukraine, dans le région Soumskaïa. Après les études au Géléznogorsky art college et le diplôme de l’Institut Répine de Saint-Pétersbourg, vit et travaille entre Paris et Saint-Pétersbourg. Depuis 1994 Tatiana est membre de l’Union des artistes et des critiques d’art de Saint-Pétersbourg. Les œuvres de l’artistes se trouvent dans la collectiondu Musée de l’Académie des Beaux-Arts de Saint-Pétersbourg et dans de nombreuses collections privées en France et en Europe.

Jana Yakovleva

Elle est née le 7 avril 1963 à Moscou.et travaille à Moscou. Son parcours est sans faute: 1980 École d’art secondaire de Moscou Sourikov 1990 Ecole Supérieure d’Art de Moscou Industrial College (b. Stroganov.) Au cours de ses études en 1976 et 1978 lui ont  été décernés des diplômes de l’Académie des Beaux-Arts pour son travail créatif. Depuis 1991 elle a participé à plus de 100 expositions en Russie et à l’étranger. Elle a travaillé à Paris à la Cité des Arts.

Lela Migirov

Lela Migirov vit et travaille à Paris, membre de l’Académie Européenne des Arts (de France), prix internationaux de Da Vinci, Jules César, Titien et Rafaello, médaille d’or des artistes contemporains 2017 et 2018. Lela est une artiste éclectique, participante de nombreuses expositions personnelles et collectives à Paris. Ces dernières années, son travail est lié à l’héritage littéraire de Franz Kafka et Georges Pereс. “L’inspiration pour toutes mes créations me sont données par des gens que j’aime, que je rencontre, la musique que j’écoute, les livres que je lis, la ville dans laquelle je vis, la pluie, la tristesse, la joie“, écrit Lela. Les œuvres de Lela Migirov sont un voyage fantastique dans le monde des rêves, des émotions, de l’expression, dans le monde mystérieux des pouvoirs magiques.

Andreî Tyrtyshnikov

Andreî Tyrtyshnikov est né en 1980 à Moscou. Diplômé de l’Institut d’Etat Académique des Beaux-Arts V.I.Sourikov à Moscou, sculpteur. Membre de l’Académie des Beaux Arts de Russie, membre de l’Union des artistes-peintres de Moscou et l’Union des artistes-peintres de Russie, membre de la Fondation Taylor.

Anna Polikarpova

Anna Polikarpova Vie et travaille à Moscou et à Paris. Travaille actuellement à l’Atelier Artistique de l’académicien et professeur E.N. Maksimov et à l’Académie des Artistes de la Fédération de Russie.
Membre de l’Union des Artistes de Russie depuis 2010 Membre de l’Union des Artistes de Moscou depuis 2010

Sveta Ivanova

Elle vit et travaille à Saint-Pétersbourg, où elle est née. Elle a fait ces études à l’Ecole des Beaux-Arts de l’académie Répine à Léningrad. Membre de l’Union des Artistes russes à partir de 1994. Elle pratique des diverses techiniques artistiques comme la peinture à l’huile, l’aquarelle, l’encre de Chine, le collage, la monotypie. Elle aime jouer avec les formes et les astuces du métier. Les sujets préférés de l’artiste dans la peinture et dans le dessin sont les paysages des villes et les fragments de l’architecture d’autrefois. Elle voit la ville comme un organisme vivant qui préserve les souvenirs du passé dans ses murs et ses pierres et, d’une certaine façon, préfigure l’avenir de ses habitants…

Alexeï Kirianov

Alexeï Kirianov est né en 1955, il vit et travaille à Saint-Pétersbourg. Il est vu à partir d’un de ses tableaux lors de la première vente aux enchères de Sotbie’s à Moscou en 1991. La nature de son œuvre est, sans doute, le mieux expliquée par Mikhail Guerman, docteur en arts plastiques, membre de l’Académie des sciences humaines (Russie), membre de l’AICA, chercheur auprès du Musée Russe (Saint-Pétersbourg, Russie) : “Les héros d’Alexeï Kirianov sont souvent des bouffons, des cabotins qui cachent une sagesse étrange et amère sous leur bonnet de fou. Ses oursons dissimulent leurs soucis terrestres sous les visages malins….”

Vernissage jeudi 2 août de 18 à 21h.

 

 

I-GALLERY Intelligence
1, Quai Voltaire 75007 Paris, France

Ouvert de 14h à 19h du mercredi au dimanche

Tél: 09 50 44 99 10

Métro: Palais Royal, RER: Musée d’Orsay

Bus: 24, 27, 39,48,68, 75, 95

Bateaubus: Musée d’Orsay

 

Georges Artemoff

“Les années d’avant-guerre”

Du 19 mai au 16 septembre 2018

Musée de Lavaur (Tarn)

 80 œuvres de Georges Artemoff réunies pour la 1ère fois, dans la Chapelle du Musée.

 

Georges Artemoff né à Ouryoupinsk (Russie) en 1892, décédé à Revel (France) en 1965 artiste peintre et sculpteur d’origine russe. Témoin des évolutions artistiques de la première moitié du XXe siècle en France, il est aussi un artiste majeur reconnaissable à son trait vif et précis. Formé à Rostov puis à Moscou entre 1906 et 1912, une bourse d’études lui permettra de se rendre à Paris. Ami avec Zadkine, il rencontre aussi : Picasso, Soutine, Gris, Modigliani.

Il retourne en Russie entre 1917 et 1922 puis devant l’échec de la contre-Révolution retourne à Paris. Jusqu’en 1939 il va produire toute une série de décors (films, décor du Caveau Caucasien), de peintures inspirées par des séjours en Corse mais surtout d’admirables sculptures sur panneau ou en ronde-bosse très marquées par le style Art Déco.

Ainsi « La Chasse au sanglier » obtient la médaille d’or au Salon des Artistes Décorateurs en 1928. L’une des caractéristiques majeures de cette production demeure la thématique animalière ainsi que la perfection du rendu des formes.

“La Colère” huile sur carton ©Marie-Artemoff-Testa

Parmi ses compositions les plus célèbres on peut citer « La Chasse au tigre » (1932 et 1934), l’ensemble des « Faunes musiciens et danseuses » (collection particulière, Paris, v. 1930), « La Biche » (collection particulière, Paris, 1930), « Le Poisson enchanteur » (Centre Pompidou, Paris, 1930, en dépôt au Musée Goya, Castres).

 

“Faune à la flûte” sculpture sur bois © Marie Artemoff-Testa
 Ayant perdu sa première épouse en 1938, Georges Artemoff est forcé de se cacher durant la Seconde Guerre Mondiale dans le Tarn (Sorrèze et Revel).
Il y demeure jusqu’à sa mort en 1965, abandonnant la sculpture pour se consacrer à la peinture de style expressionniste ainsi qu’au dessin et aux papiers grattés.
“L’Espagnole”, huile sur toile, 0,55 x 0,38 m

Réfugié dans le Tarn (Sorèze puis Revel) durant la Seconde Guerre mondiale, il y demeurera jusqu’à sa mort, en 1965.

 

Artemoff abandonnera peu à peu la sculpture pour se consacrer à la peinture de style expressionniste ainsi qu’ aux papiers grattés et aux dessins .

 

“La chasse de Saint-Hubert”, bois polychrome © Marie Artemoff-Testa

Cette exposition, première en son genre en France,  présente des oeuvres de l’artiste réalisées à Istanbul, Paris, Ajaccio et Sorèze entre 1913 et 1940.

Une exposition en son hommage lui sera consacré du 10 au 12 juin  dans sa vie natale d’Ouryoupinsk ( région de Volgograd) , à l’occasion du festival d’art du projet «Artemoff», qui met en œuvre “Ouryoupinsk Art” et le musée d’histoire locale et un groupe actif de maîtrise des peuples de l’Université d’amitié avec le soutien du programme « mosaïque culturelle des petites villes et villages “de la Fondation Timchenko et de notre Centre de ressources pour le développement social. Festival au court duquel il sera débattu des moyens pour trouver des fonds extrabudgétaires et le bénévolat des jeunes, sorte d’ascenseur social.

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Musée de Lavaur, anciennement Maison des Sœurs du Christ.

Un premier Musée a été créé à Lavaur en 1898, au sein même de l’Hôtel de Ville. Il bénéficia alors de quelques dépôts de l’État. Abandonné, il est relancé en 1952 par la Société Archéologique de Lavaur et dénommé Musée du Pays Vaurais. Il s’enrichit alors de nombreux dons et dépôts. En 2002, l’établissement semi-associatif devient définitivement municipal.
Aujourd’hui, le musée est situé dans l’ancienne maison des Sœurs du Christ, vaste édifice acheté par la municipalité en 2001.

Musée de Lavaur

1 rue Jouxaygues
81500 Lavaur
Tél. : 05 63 58 56 55
musee@ville-lavaur.fr

HORAIRES: Du 15/07 au 31/08/2018, tous les jours de 10h à 18h.
Du mardi au vendredi : de 10h à 12h et de 14h à 18h.
Du samedi au lundi : de 14h à 18h.Du 01/09 au 16/09/2018, tous les jours de 14h à 18h.
Ouvert du mardi au dimanche (sauf le jeudi) de 14h à 18h.

Tarifs: Plein tarif : 4 €, Tarif réduit : 3 €, Etudiant : 2 €.

Gratuit pour les moins de 12 ans.

 

Salle des Fête

6 Route de la Vallée du Roy, 95510 Vienne-en-Arthies

Exposition des œuvres

de Nikolaï Dronnikov

du vendredi 13 au samedi 28 juillet 2018

Mairie du VIème arrt de Paris

« Depuis l’âge de 13 ans je suis un peintre français », c’est ainsi que se définit Nikolai Egorovitch Dronnikov — peintre russe, né en 1930 dans le village perdu de Boudki, (région de Toula).

« J’ai estimé qu’il était de mon devoir d’immortaliser tous ceux qui vivaient ou venaient en France ».

Nikolai Dronnikov a appris les couleurs dans les pierres charriées par l’Enissei et qui dans l’eau retrouvaient toute la pureté de leur couleur, retrouvées plus tard dans la peinture des icônes. Ses couleurs préférées, noir et blanc de neige, blanc et bleu d’été, un mur d’église sur le ciel, l’ocre et le bleu, le blé mur et le ciel d’automne. Il dessine depuis des dizaines d’années pour se faire la main et arriver à brosser un portrait en deux ou trois traits. Il pratique tout pour développer sa main : la hache, la guitare, le croquis. L’amour qu’il porte très tôt à Matisse et Van Gogh le sauvera pendant la période du réalisme socialiste et ses longues années d’études aux Beaux-Arts de Moscou.

L’art russe ancien l’attire, peinture et architecture qu’il connaitra mieux au cours d’expéditions dans les coins les plus reculés de Russie. Il étudiera tout particulièrement la couleur dans l’art russe populaire (icône et art traditionnel). C’est l’un des premiers qui peindra l’architecture ancienne pour y faire le lien avec le paysage russe. Les fresques, les icônes et l’architecture d’avant Pierre le Grand, cet art à mi-chemin de l’Europe et de l’Asie, influencera sa grande série de tableaux « Paysage russe » réalisés entre 1963 et 1972.

Dès son arrivée à Paris en 1972, Nikolai Dronnikov entreprend une grande série de portraits de dissidents d’URSS dont une partie est publiée dans son album « Un russe à Paris ». Suivant les conseils de Chagall il croque, peint et sculpte inlassablement Rostropovitch, Lifar, Maximov, Siniavski, Soljenitsyne, Brodsky, Tarkovski….

Des portraits en quelques lignes d’après nature. Pour lui l’art ne vieillit pas et s’appuie dans son œuvre, aussi bien sur l’héritage des grands maitres que sur les recherches des jeunes. Il expose peinture, dessin et sculpture sans pouvoir dire qu’il s’est trouvé complètement.

C’est en France qu’il prend conscience de l’importance de l’art russe et devient un ardent défenseur de l’art et de l’histoire de la Russie. Il manifeste dans la peinture une adhésion plus évidente aux traditions figuratives, de couleurs et de tons, de l’Occident sans perdre de vue les motifs qui caractérisent le paysage de sa terre. Dans ses sculptures on remarque un effort de synthèse et une certaine charge populaire. Installé dans son pavillon d’Ivry sur Seine en banlieue parisienne, Nicolas se consacre à la peinture de chevalet, la gravure, le dessin, la sculpture.
Le jardin de son pavillon est constellé de sculptures représentant souvent des figures marquantes de l’émigration russe de la « troisième vague »

Mairie VIème
Place St Sulpice, 75006 Paris
Entrée libre du lundi au vendredi
10h30 – 17h, samedi 10h – 12h

 

Cinq solistes constituent l’Ensemble Cyrillique crée en 2004 : Nadezda Snegova, Nadezda Isaeva, Daniil Sokolov, Ilya Demutskiy et Alexander Minchenko. Le chef artistique du groupe, Ilya Demutskiy est lauréat de plusieurs Concours Internationaux (notamment aux Etats Unis, en Italie ou le Président de la République l’a décoré personnellement). L’ensemble se produit trois fois par an en France dont l’objectif est de porter la culture musicale russe à l’occident

L’ensemble chante a capella. Le groupe est composé de solistes, ce qui lui permet d’interpréter également des soli de soprano, mezzo-soprano, de ténor et basse accompagnés de chants du groupe. Perpétuant ainsi les traditions russes du chant d’ensemble, « Cyrillique » inclut dans son répertoire les meilleures œuvres de musique sacrée, des mélodies de célèbres compositeurs russes, des chants populaires faisant partie du patrimoine folklorique russe. Plusieurs oeuvres interprétées par l’ensemble sont arrangées par son chef musical Ilya Demutski,

Ilya Demutskiy baryton et chef de chœur de l’ensemble a gagné le masque d’or et a été déclaré « Meilleur compositeur de Russie en 2016 ». Il a composé un  ballet à la demande du théâtre Bolchoï, nommé   le meilleur ballet contemporain en juillet 2015. Devant ce succès le Bolchoï a passé commande pour un deuxième ballet.

D’après « Antiquités de la Vallée de l’Arc en Provence », le château de La Fare possédait une chapelle dès le Xe ou XIe siècle.

Elle était située au-dessous du Castellas actuel, mais à l’intérieur de l’enceinte : le plus ancien document l’attestant date de 1371. En 1613, l’église est en très mauvais état -toujours dans l’enceinte du château- de plus elle est devenue trop petite et difficile d’accès pour les habitants des sept ou huit bastides qui constituent La Fare à l’époque, ce qui amène l’archevêque à ordonner son agrandissement.

En 1625, le Consul Jauffret déclare au Conseil « qu’il a été requis de l’agrandissement de l’église pour laquelle la Communauté, à faute de satisfaire pourrait connaître de gros dommages… »

Il faut une nouvelle église, une cloche, des fonds baptismaux, une maison curiale, un prêtre et un diacre…En septembre 1626, le Consul déclare que le Seigneur – Jean de Forbin (fils de Vincent) baron d’Oppède , seigneur de La Fare  – aurait accordé au baille que pour leur contentement. En 1734, on décide de construire une nouvelle église, ce sera l’église actuelle, mais qui mettra plus d’un siècle à prendre sa forme définitive, telle que nous la voyons aujourd’hui.

 

 

 

Église Saint Sauveur
19, av Louis Pasteur
13580 La Fare-les-Oliviers

Renseignements et réservations :

04 42 92 68 78 / 06 20 97 35 68

Présente les ouvrages

“L’Art des Mots” de Nathalie Gigounova

Jeudi 19 juillet 2018 à 17h

Nathalie Gigounova-Komarova

Linguiste d’origine russe, ayant passé ses diplômes universitaires dans cinq pays différents et maîtrisant huit langues, elle est la spécialiste des idiomes et expression populaires qu’elle compare d’un pays à l’autre.

Comment noyer le poisson ?

Comment vivre comme un coq en pâte ?

Contes de Natania

Comment peser les mots ?

Ce bloc-notes d’expressions s’adresse à tous ceux qui souhaitent enrichir leurs connaissances lexicales et culturelles :
lycéens, étudiants, autodidactes et autres curieux. Ce recueil d’expressions usuelles répond à des objectifs multiples :
DÉCOUVRIR – fiches des proverbes et d’expressions classées par thème, avec traduction littérale, et équivalents en français et parfois explication de leurs origines.
APPRÉHENDER – exercices et dialogues, textes et jeux pour apprendre et pratiquer la richesse populaire des expressions idiomatiques.
ENRICHIR – vocabulaire de la vie quotidienne, pour mieux comprendre sa langue maternelle et parler plus aisément le russe.
PRATIQUER – devinettes, jeux de rôle, dialogues, histoires drôles et anecdotes pour les mettre en action dans la vie courante.

Les jeux de “faux proverbes” ont été réalisés à partir de vrais proverbes. Ceux-ci se prêtent en effet souvent à ce genre de manipulation : ils sont tellement connus et expriment des idées communes qu’il est facile de les contester ou de les modifier en ne changeant ne serait-ce qu’une lettre.
Une variante de ce jeu peut consister à écrire un nouveau proverbe en se servant des moitiés de deux autres.
C’est l’avantage de remettre certains proverbes et expressions au goût du jour et d’être à l’origine d’un échange.

Dans ce recueil ont trouvé place des proverbes et expressions proverbiales, des dictons, préceptes, virelangues, devinettes, ainsi que de nombreuses expressions (auxquelles on ne saurait attribuer une appellation générale), entrées conventionnellement dans l’usage.
Nous devons admettre que les expressions idiomatiques, les proverbes ne s’inventent pas, mais ne peuvent naître que par la force des circonstances. Un recueil de proverbes est un livre de sagesse et de croyances populaires. C’est un florilège de l’esprit populaire, de son essence et de son originalité.
C’est la vérité populaire pratique, une manière de code que personne ne remettra en question :
Le proverbe, comme l’idiot, échappe à la sentence du juge”. Vladimir Dal
J’aime peu les proverbes en général,
parce que ce sont des selles à tous chevaux ;
il n’en est pas un qui n’air son contraire”. Alfred de Musset

 

Pendant l’exposition des Toiles d’Amir Timergaleev, voir sur Artcorusse (CLIQUEZ)

 

IG Gallery Intellegence

1 Quai Voltaire 75007 Paris, France
Métro: Palais Royal,

RER: Musée d’Orsay

Projection débat du film “Anna Karenina”

Mercredi 11 juillet 2018 – 20h

Cinéma Odyssée, Strasbourg.

en présence du réalisateur russe Karen Shakhnazarov. 

 

L’Odyssée a l’immense privilège d’accueillir le réalisateur Karen Shakhnazarov à l’occasion d’une projection-débat de son film Anna Karenina (Vronsky’s Story).

“Un hôpital de campagne, en 1904, en Mandchourie, en pleine guerre russo-japonaise. On amène un officier blessé au médecin commandant l’unité sanitaire, Sergueï Karénine. Celui-ci reconnaît le colonel Vronski qui fut l’amant de sa mère, Anna Karénine. Lorsque son malade est ranimé, Sergueï ne peut s’empêcher de lui demander des explications sur la mort de sa mère. Vronski raconte l’éclosion d’une passion amoureuse que rien ne pouvait empêcher, puis son étiolement inéluctable dans un monde qui les avait mis au ban”.

Karen Shakhnazarov réalisateur russe qui a souvent scénarisé et produit lui-même ses films. Il est né le 8 juillet 1952 à Krasnodar, alors en Union soviétique, sa carrière commence en 1984, date de son premier long métrage: We Are from Jazz, à aujourd’hui, White Tiger en 2012, est hélas très méconnue en France. L’empire perdu (The Vanished Empire) a obtenu le prix de l’Aigle d’Or pour la meilleure réalisation en 2009 en Russie. Le thème de ce film est fort: la jeunesse, tout ce qu’elle comporte de rêves qui, arrivés à l’âge adulte, sont souvent tombés en poussière. Nous suivons l’itinéraire d’un jeune homme optimiste qui a envie de s’amuser et de profiter de sa vie mais qui n’a pas encore réalisé la gravité de l’existence qui va le rattraper. Il est face à des choix, face aux choses pour lesquelles il peut se battre et à celles qu’il doit accepter car il n’y peut rien. Ce film montre toute la beauté et toute la mélancolie de la Russie mais aussi il parlera à tous les spectateurs car il raconte leurs propres vies, les difficultés de chacun à passer de l’adolescence à l’âge adulte et tous ces rêves, cet empire perdu d’optimisme que l’on doit laisser derrière soi. Une œuvre magistrale, belle, puissante, lyrique avec de beaux plans et d’excellents interprètes. Le film le plus grand public du grand réalisateur russe.

Karen Shakhnazarov a notamment réalisé Le tigre blanc (2012), Le garçon de la course (1986) et La ville zéro (1988). Il n’est pas seulement réalisateur de films, il est aussi directeur des importants studios Mosfilm. Les studios Mosfilm ont produit de grands classiques du cinéma russe tels que Le cuirassé Potemkine (1925) ou bien Requiem pour un massacre (1985), sans oublier les films Le Miroir, Solaris et Stalker de Tartovski.

Le film Anna Karenina (Vronsky’s Story) a déjà été diffusé le mois dernier lors du 17e Mois Russe à l’Odyssée. Ce sera une chance d’assister à la projection de ce film en présence du réalisateur, ce qui découlera évidemment sur un débat avec le public.

Durée du film 2h 18mn.

L’ODYSSÉE, CARREFOUR DES CINÉMAS D’EUROPE

Le Cinéma autrement

Salle prestigieuse qui a ouvert en décembre 1913 avant de fermer, faute de rentabilité, en 1987 puis de rouvrir en 1992 sur la base d’un projet culturel européen et alternatif élaboré par les RCA et adopté par la Ville de Strasbourg. Du coup, c’est la renaissance d’un cinéma miraculé de la vie et porté par une ligne éditoriale indépendante et affranchie des lois du marché. L’espace de manœuvre de l’Odyssée est donc plus ténu et marginal certes, mais aussi complémentaire par rapport au modèle économique dominant. C’est le sens de l’accord passé avec UGC Ciné-Cité qui permet aux détenteurs de la carte UGC Illimité d’accéder à la programmation de l’Odyssée.

Cinéma Odyssée
3 Rue des Francs Bourgeois
67000 Strasbourg

 

Renseignements :

Tarifs : Tarif plein : 7.50€, Etudiant : 6€
Carte Culture/A tout voir : 5€
Jeunes : 4€, demandeurs d’emploi : 6€

TZIGANE

“Une invitation au voyage”

Théâtre du Roi Renè, Avignon

du vendredi 6 au dimanche 29 juillet 2018 à 18h20

 

DISTRIBUTION:

Petia Iourtchenko, Maxim Campistron, Alissa Doubrovitskaïa, Cécile Joseph, Mary Landret, Simon Renou, Kevin Souterre, Angélique Verger, Lilia Roos-Dalskaïa

Création lumières : Cyril Manetta, Scénographie : Nathalie Rigaux-Ortenz, Costumes : Sarah Colas, Régie : Arnaud Bilheude

Metteur en scène: Johanna Boyé.

C’est au cœur de la ville historique d’Avignon que s’élève le Théâtre du Roi René, derrière les halles. Ce lieu phare du festival off dispose de deux salles aux atmosphères singulières mais à la vocation commune de présenter des spectacles innovants.

Un spectacle dans lequel le chorégraphe Petia Iourtchenko et la metteure en scène Johanna Boyé ont décidé de créer un univers qui revisite, modernise et réinvente les idées reçues sur ce peuple nomade.

Petia Iourtchenko intègre le « Théâtre Romen » de Moscou à l’âge de 16 ans. Entre 1974 et 1988 il se produit dans toute la Russie et à l’étranger (Japon, Inde, Etats-Unis, Yougoslavie..) et collabore avec les plus grands chorégraphes russes et d’Europe de l’Est (Maïa Plissetskaïa, Mstislav Rostropovitch ou encore Nicolas Nikolaïslitchenko). Il est le créateur de la première méthode de danse tzigane, et développe son lexique et son répertoire chorégraphique dans des master-class internationales. En 1994, il crée sa propre compagnie : Romano Atmo, dans l’objectif de préserver la culture, la tradition et la danse tzigane. En 1988, il joue avec la troupe Théâtre Romen pour la première fois à Paris au Théâtre Mogador. En 1989, il quitte cette troupe et revient à Paris, où il se produit dans différents cabarets, en particulier au Balalaïka et au Raspoutine. Avec Pascal De Loutchek et Lilia Dalskaïa, il forme le trio Arbat, qui se produit à New-York, Londres, Oslo, Madrid, Budapest … Petia est le créateur de la première méthode de danse tzigane. Il y développe son lexique chorégraphique, puisant dans la tradition de son pays d’origine, la Russie, et dans la culture tzigane d’Europe. Il l’enrichit par de nouveaux pas, utilisant pour les nommer le dialecte tzigane ainsi que les langues russe et française. Il présente sa méthode et son répertoire chorégraphique dans des master-classes internationales notamment au Brésil, au Portugal, en République Tchèque, en Allemagne.

 

Johanna Boyé se forme à l’école Les Ateliers du Sudden, dirigée par Raymond Acquaviva.
Elle débute comme metteur en scène avec Les cafés des jours heureux en 2006, qui tournera 4 ans au Festival d’Avignon. En 2013, elle présente le concours Prix / Théâtre 13, dont elle sera doublement lauréate, remportant le Premier Prix du Jury, et le Prix du Public, avec la pièce Le cas de la famille Coleman, de Claudio Tolcachir.Elle a récemment mis en espace Les intrépides (Festival In, Avignon 2016), un spectacle qui réunit 9 auteures sélectionnées, dont Coraly Zahonero de la Comédie Française, Sedef Ecer et Noëlle Chatelet. En 2017, elle adapte et met en scène La dame de chez Maxim de Feydeau pour le Festival d’Avignon, repris à Paris au Théâtre 13 puis au Théâtre Rive Gauche, et nommé aux Molières 2018. Cette année elle met en scène Virginie Hocq et Zinedine Soualem dans C’était quand la dernière fois au Théatre Tristan Bernard et Est-ce que j’ai une gueule d’Arletty ? pour le Festival d’Avignon 2018.

C’est au travers d’une dizaine de tableaux inspirés d’artistes tels que Hugo, Le Caravage, Mérimée, Picasso, Manet ou Pouchkine, qu’un vieux peintre nous raconte l’histoire de sa vie et de son peuple : un voyage initiatique et poétique entre danse et théâtre, entre liberté et fascination ; des rencontres de femmes fières, impudentes, lascives et passionnées et d’hommes bagarreurs, jaloux et possessifs ; un voyage rythmé par le son des chaussures martelant le sol, les volants des jupes virevoltantes et la voix chaude, profonde et enivrante de la chanteuse Lilia Roos-Dalskaïa.

Lilia Roos-Dalskaïa de père tzigane musulman venu de Crimée et de mère russe de Moscou, tout deux chanteurs et musiciens de romances, Lilia Roos-Dalskaïa a durant dix années participé à toutes les tournées du Théâtre Romen comme comédienne, danseuse et chanteuse, avant de suivre un mari français vers l’ouest. Elle arrive à Paris dans les années 80, et en 1989 à Paris, elle découvre des airs disparus à Moscou et préservés par la mémoire des exilés de la révolution de 1917. Elle participe, avec notamment Petia Iourtchenko, à la création de l’ensemble Arbat (en hommage au quartier bohème moscovite), avec lequel elle tourne sur des scènes françaises aussi prestigieuses que les Opéra de Lyon et de Montpellier, l’Olympia ou encore le Château de Versailles, mais également dans le monde entier. C’est en 2005 que Marie-Claude Pietragalla fait appel aux artistes d’Arbat pour participer au spectacle « Ivresse ». Lilia poursuit, depuis la séparation du groupe, une carrière en solo, se produisant dans de nombreux concerts et festivals. Elle a récemment participé à la création « Opéra Rom » des frères Ferré, avec des artistes comme Biréli Lagrène et Richard Galliano.

Alissa Doubroviskaïa prend ses premiers cours de danse à l’âge de 12 ans avec Petia Iourtchenko. Elle participe à toutes les créations de Romano Atmo depuis 2003, devenant l’une des assistantes chorégraphiques de Petia. Sa passion pour la culture tzigane l’amène naturellement vers le flamenco, lui permettant ainsi d’approfondir son approche rythmique et musical de la danse. Elle se produit régulièrement dans des cabarets et lors de concerts accompagnée des meilleurs musiciens tziganes de Paris. Elle collabore régulièrement avec le Cirque Romanes et signe les chorégraphies de leur nouvelle création.

Cécile Joseph se forme très jeune à la gymnastique et à la danse classique. Elle intègre simultanément l’école de danse de jazz de Matt Mattox et le Conservatoire Régional de Danse de Perpignan, puis part à New-York pour se perfectionner. C’est en 2006, après sa rencontre avec Petia Iourtchenko, qu’elle rejoint la compagnie Romano Atmo ; elle en devient rapidement une des solistes et participe depuis 10 ans à toutes ses créations, dont elle signe certaines chorégraphies.

C’est en tant que comédienne que Mary Landret fait ses premiers pas sur scène en 2007. Elle n’a alors que 15 ans, et découvre notamment le festival d’Avignon avec la compagnie ATV. Elle poursuit sa formation d’interprète à l’EICAR et aux conservatoires des XVème et XXème arrondissements. Elle suit parallèlement des cours de danse classique, contemporaine et orientale et se produit régulièrement sur scène avec la compagnie « Art Scénik’». Elle intègre la compagnie Romano Atmo en tant que danseuse, et en devient une de ses solistes. Depuis 2016 elle est une des assistantes de Petia Iourtchenko

Angélique Verger commence sa formation au Centre International de Danse Rick Odums, puis se spécialise en danse contemporaine chez ATCS. Sur scène depuis son plus jeune âge, elle signe très tôt des spectacles jeune public puis part danser à l’étranger (notamment en Israël et au Québec). Elle crée la compagnie WAO, au sein de laquelle elle développe ses propres projets , et collabore avec la compagnie «Remue Ménage». C’est en 2016 qu’elle intègre la compagnie Romano Atmo, lors de sa création « Avant nous étions des oiseaux » dans laquelle elle tient le premier rôle féminin.

Maxim Campistron se forme à l’Ecole Tilt à Bordeaux (en modern jazz, jazz et danse classique) puis au Centre Rick Odums et à ACTS à Paris. Il part ensuite à l’étranger (en Israël, au Canada et en Russie) pour se perfectionner en danse contemporaine. C’est en 2014 qu’il rejoint la compagnie Romano Atmo ; il participe à toutes ses créations depuis et en devient l’un des solistes. En parallèle, en 2016, il danse dans la pièce « Huis Clos », avec la compagnie « Les yeux qui sonnent », qui remporte le prix de la meilleure mise en scène aux P’tits Molières. Il participe à la création, au sein de la compagnie WAO, de la pièce « BRUT-E », qui remporte, en 2017, le concours « les Synodales ».

Simon Renou débute très jeune le théâtre; il a tout juste 4 ans. C’est avec Les Enfants de la Comédie, école qui forme des apprentis comédiens pour des projets professionnels, qu’il côtoie la scène avec Jacque Weber dans « Une journée particulière » d’Ettore Scola, tourne au cinéma dans « Un monde presque paisible » de Michel Deville. Il joue ensuite dans de nombreuses pièces, qui l’emmèneront en tournée dans toute la France et à international. Il se forme en parallèle aux danses jazz, classique et moderne au centre Rick Odums. C’est en 2013 qu’il rencontre Petia Iourtchenko, se forme à la danse tzigane et rejoint la Compagnie Romano Atmo. Il tourne également avec la compagnie Remue Ménage.

Kevin Souterre est un artiste pluridisciplinaire. Il se forme en tant que comédien à l’EICAR puis au conservatoire du XXème arrondissement. Il se produit régulièrement sur scène avec la compagnie «Art Scenik’», dont il est l’un des cofondateurs. Pratiquant le kung-fu depuis l’âge de 4 ans, c’est tout naturellement qu’il se tourne vers la cascade et la chorégraphie de combat. Il fait partie de la compagnie «Les Accrobattants » qui regroupe des cascadeurs professionnels. C’est lors d’un stage de danse tzigane à l’EICAR qu’il rencontre Petia Iourtchenko. Il se passionne rapidement pour cette danse rythmique et percussive. Il intègre la compagnie Romano Atmo en 2011 et en devient l’un des solistes.

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Théâtre du Roi René, Salle de la Reine

4 bis rue Grivolas 84000 Avignon

Tél: 04 90 82 24 35

Jours de relâches : les 9, 16 et 23 juillet.

Réservation Billet réduc: (CLIQUEZ)

 

 

Aliya Sabirova est née  à Moscou en 1989, elle suit des cours de musique et de piano dès l’âge de 5 ans. Dès son plus jeune âge elle est lauréate de concours nationaux et internationaux.

Elle a étudié à l’Univertsité d’Etat de musique Schnittke et obtenu son diplôme de pianiste (classe de Mozdikov A.V.) Aliya a donné de nombreux concerts et participé à plusieurs festivals et concours. Actuellement, en plus des concerts elle est aussi professeur de musique à Moscou.
Aliya nous a déjà fait le plaisir et l’honneur de se produire à la Datcha à Eguilles.

Lors d’un  concert du Salon russe , elle accompagnait les sopranos Nataliya Brazhkhina et Vera Sankovskaya et avait interprété avec brio une œuvre de Rachmaninov, en octobre 2015 le Salon russe de la Datcha Kalina a accueilli Alya Sabirova qui interprétait avec brio les œuvres de Chopin, Scriabine, Debussy et Rachmaninov.

 

Datcha Kalina
315 chemin des Petites Fourques
13510 Eguilles

Contribution aux frais

Renseignements et réservations :
04 42 92 68 78 / 06 20 97 35 68

L’association Animation et Culture présente

6ème édition du Festival de Musique Romantique de Salviac

mercredi 1er, vendredi 3 et dimanche 5 août 2018

PROGRAMME

Mercredi 1er/08 : Récital de piano avec le soliste Jean-Marc Luisada (Chopin, Schubert)

– Vendredi 03/08 : Duo Papadopoulos (Grieg, Sarasate, Schumann)

 

Mario Hacquard et la pianiste Anna Zassimova

– Dimanche 05/08 : Duo avec le barython Mario Hacquard et la pianiste Anna Zassimova : “Mélodies romantiques” (Liszt, Chopin, Moussorgski) suivi d’un repas sur la place de l’Oratoire (préparé par l’Auberge du Quercy).

Anna Zassimova a été formée à l’école Gnessin de renommée mondiale à Moscou à l’âge de six ans. Pendant ses études de premier cycle (en piano, à l’Académie Gnessin, enseigné par Vladimir Tropp), elle a vécu les traumatismes de l’effondrement de l’Union soviétique, une expérience qu’elle attribue à “l’engager” l’art comme le seul point stable dans ce qui était, pour elle, un moment de grande instabilité. Son éducation, explique-t-elle, a formé les mains et les esprits des pianistes, presque dès la naissance. C’était à ce moment que le piano devenait son âme. Les circonstances personnelles l’ont amenée à quitter la Russie pour l’Allemagne durant cette période. Elle a reçu une bourse du DAAD pour ce faire et a étudié à l’Université de Musique de Karlsruhe (sous la direction de Michael Uhde et Markus Stange) où elle enseigne actuellement.

Audacieux et romantique, mais aussi clair et précis” – critiques de CD classiques, Royaume-Uni.

Les lignes de sa musique ont de l’élégance mais aussi une forme clairement définie – des déclamations plutôt que de la sentimentalité” (Klavier.de).

Au cours de la dernière décennie, elle a captivé le public dans une pléthore de festivals et de grandes salles de concert, à la fois avec ses récitals solo et ses concerts. Ses enregistrements de CD solo, mettant en vedette des œuvres romantiques et contemporaines, et publié sur Antes, ont suscité des éloges incontrôlés de chaque trimestre. Ces enregistrements ont porté sur Chopin, son grand amour «non-russe», sur les compositeurs russes Brahms et fin-de-siecle. Vergessene Weisen (“Forgotten Ways”), son album de musiques et de sentiments sentimentaux romantiques et modernistes disparus, mettant en vedette Medtner, Catoire, Scriabin et Roslavets est largement considéré comme son plus grand enregistrement. Sa suite, Sonata Reminiscenza, est actuellement en cours de mixage. Elle a également figuré sur des enregistrements de chambre de Tanejew et Catoire, publiés par cpo.

 

L’église St Jacques est un édifice du XIIIe, XIVe, XVe siècles, possédant vitraux, retables, peintures, statuaire. Jalon sur le chemin de pélerinage Rocamadour-Compostelle. Une des seules églises du Lot consacrées au patron des pèlerins. A côté de l’itinéraire principal de Saint-Jacques de Compostelle qui part du Puy en Velay, Salviac devient une étape du chemin secondaire menant à Rocamadour Malmenée et transformée en « temple de la raison » pendant la Révolution, l’église est dans un état déplorable tout au long du XIXème siècle. Elle est cependant classée parmi les Monuments historiques en 1913, point de départ de presque un siècle de restauration. Trapue, l’église de Salviac est une des rares du Lot à être recouverte en lauzes calcaires. Vandalisés pendant la Révolution, les vitraux ont été recomposés en 1870 par un verrier improvisé, rendant difficile l’identification des personnages, mais certains sont reconnaissables par leurs attributs (le Christ, Saint Eutrope, Saint Blaise). Les retables sont les témoins de l’âge Baroque. Du maitre-autel consacré à Saint-Jacques ne subsistent que les trois statues monumentales de Saint Pierre et Saint Paul, repeintes au XIXème siècle, et celle de Saint Jacques dont la restauration en 2007 mérite d’être relatée

Eglise St Jacques

46340 SALVIAC

  • – Tarif adulte – par concert : 16 €
  • 2- Tarif abonné – abonnement aux 3 concerts : 42 €

Lauréat de nombreux concours internationaux, le Chœur de la Société Philharmonique de Saint Petersbourg, (anciennement Nouveau Chœur de Chambre de Saint Petersbourg) a été créé en 1992 par Yulia KHUTORETSKAYA réunissant des étudiants et des diplômés de toutes les grandes écoles musicales de Saint-Pétersbourg.

Depuis sa création, on ne compte plus les concerts donnés par le Chœur dans le cadre de la programmation des festivals de musique ayant lieu à Saint-Pétersbourg. Il a été engagé aux « Etoiles des Nuits Blanches », au Festival « Arts Square », au « Printemps Musical de Saint-Pétersbourg », aux Festivals « Sound Waves », « de l’Avant-garde à Aujourd’hui », « Swing of White Nights » et a chanté au « Festival de Pâques » de Moscou.
Parallèlement à ses activités en Russie, le Chœur a effectué de nombreuses tournées en Lettonie, Allemagne, Suisse, Espagne, aux Etats-Unis et au Japon, tournées durant lesquelles le public a pu apprécier le talent de ses jeunes interprètes et admirer l’originalité des programmes proposés.

Le Chœur possède un très vaste répertoire qui inclue le répertoire habituel des formations chorales russes mais également de nombreuses œuvres de compositeurs occidentaux couvrant une très vaste période de l’histoire de la musique. Il est en effet très rare de trouver en Russie un chœur qui interprète avec autant d’aisance et de style le chant grégorien et les motets de Lotti, Palestrina, Gesualdo ou Bach. De nombreux oratorios de Haydn, Mozart, Brahms sont régulièrement au programme des concerts du chœur qui aborde également les œuvres des grands maîtres de la seconde moitié du XXe siècle, russes ou occidentaux, tels Messiaen, Hindemith, Rachmaninov, Stravinsky, Schnittke, Part ou Sviridov.
Les compositeurs de Saint-Pétersbourg d’aujourd’hui ne sont pas oubliés par le Chœur qui inclue souvent dans le programme de ses concerts les œuvres de Gavrilin, Uspensky, Falik, Belov, Banevich, Kortchmar, Korolev, Slonimsky, Smirnov, Brincken, Desyatnikov et Ekimov.
Le Nouveau Chœur de Chambre de Saint-Pétersbourg a eu la chance de collaborer avec de grands maîtres de l’art musical. Il a réalisé des enregistrements sous la direction de Sir Georg Solti et Vladimir Ashkenazy. Il a chanté sous la direction de Yuri Temirkanov, Alexander Titov, Valéry Guerguiev et s’est produit en concert avec Montserrat Caballé, Lioubov Kazarnovskaya, Katia Ricciarelli et d’autres étoiles du monde musical d’aujourd’hui.
Depuis peu, le Chœur collabore avec l’ensemble baroque moscovite « The Pocket Symphony » créé et dirigé par Nazar Kojukhar, soliste de l’Orchestre Philarmonique de Moscou. Ils ont donné ensemble plusieurs concerts notamment dans la Grande Salle de la Philarmonie Chostakovitch de Saint-Pétersbourg.
En 2003, le Nouveau Chœur de Chambre de Saint-Pétersbourg a été l’une des quatre formations chorales de la ville choisies par l’Union des Compositeurs de Saint-Pétersbourg pour participer au Printemps Musical qui a célébré le 300e Anniversaire de la Fondation de la Capitale des Tsars.
Récemment, le Chœur a réalisé la création en Russie de l’œuvre du compositeur français Dynam Victor Fumet (1867-1941) « Les Saisons ». Cette œuvre a été créée dans le cadre du Festival « De l’Avant-garde à Aujourd’hui » qui s’est tenu à la Philarmonie de Saint-Pétersbourg en mars 2005.
Un quotidien suisse commentait ainsi un des concerts du Chœur :

« Merveilleux dans ses nuances, magnifique dans sa qualité ; la puissante unité et la pureté des voix du Chœur nous ont envoûté ; avec quelle authentique musicalité et quelle virtuosité ! »

Tournée été 2018 en France

Mercredi 15 août Alby sur Chéran (74) à 20h30, Eglise Notre Dame de Plaimpalais. Avec l’ensemble vocal mixte de la ville d’Oxford.Tarifs de 16€ à 21€. Réservation: (CLIQUEZ)

Jeudi 16 août Menthon Saint Bernard (74) à 20h30église de Saint Menthon Saint Bernard . Tarifs de 16€ à 21€. Réservation: (CLIQUEZ)

Samedi 18 août Annecy (74) à 20h30, Basilique de la Visitation. Tarifs de 18€ à 25€. Réservation: (CLIQUEZ)

Jeudi 23 août Tulle (19) à 20h30, dans le cadre du Festival de la Vezere, Cathédrale de Tulle. Avec le  Choeur d’hommes basque Anaïki Jean-Marie Guezala, direction musicale.Tarifs de 17€ à 30€. Réservation: (CLIQUEZ)

 

 Tournée du Choeur des Nouvelles Voix

de Saint-Pétersbourg

du 21juillet au 26 août 2018 en France

Direction : Yulian DANSHIN
Choeur mixte de la ville de Saint-Pétersbourg. Russie.

Le programme chanté durant la tournée de l’été 2018 retrace l’histoire musicale de la Capitale des Tsars depuis sa fondation par Pierre Le Grand jusqu’à nos jours.
Des premiers chants orthodoxes du Monastère Saint-Alexandre Nevsky aux oeuvres des jeunes compositeurs d’aujourd’hui, toute l’histoire de la ville défile, ponctuée par les grands événements qui ont façonnés le caractère et l’âme de cette cité exceptionnelle et notamment ceux du 20e siècle avec la Révolution et le blocus durant la Grande Guerre Patriotique.

Quand le chœur des Nouvelles Voix de Saint-Pétersbourg fut créé en 1999, par Mikhaïl Golikov,
il est, depuis 2011, dirigé par Yulian Danshin. Il s’agissait de rassembler en un chœur de chambre certains des anciens membres du Chœur d’Enfants de la Radio-Télévision de Saint-Pétersbourg.
Depuis lors, ils sont devenus des étudiants de collèges et d’universités.
Aujourd’hui le chœur des Nouvelles Voix de Saint-Pétersbourg est composé d’étudiants du Conservatoire Rimsky-Korsakov et de l’Université d’Etat des Arts et de la Culture de Saint-Pétersbourg.
Cinq années de concerts à Saint-Pétersbourg et au-dehors ont établi la réputation du chœur aussi bien auprès des professionnels que du public.
Le Chœur a pris part à de nombreux événements, se présentant dans les meilleures salles de concert de la ville avec un répertoire aussi bien russe qu’occidental et couvrant une vaste période de l’histoire de la musique chorale.
Dirigé par Yulian Danshin, le Chœur des Nouvelles Voix de Saint-Pétersbourg interprète un répertoire aussi bien russe qu’occidental et couvrant une vaste période de l’histoire de la musique chorale.
Depuis 1999, le Chœur des Nouvelles Voix de Saint-Pétersbourg s’est fait l’ambassadeur de la musique liturgique russe, à la fois puissante et prenante. La beauté des voix et le chant a capella font passer sur l’auditoire le souffle du sacré qui s’épanouit dans l’allégresse ou la supplication. Composé d’étudiants du conservatoire Rimsky-Korsakov et de l’Université d’Etat des Arts et de la culture de Saint-Pétersbourg ainsi que de jeunes professionnels, le choeur s’est imposé dans de nombreuses manifestations musicales avec un répertoire aussi bien russe qu’occidental couvrant une large période de l’histoire de la musique chorale.

Samedi 21 juillet TOURNUS (71) à 20h45 Abbaye Saint-Philibert Place de l’Abbaye 71700
OT Place de l’Abbaye 71700 Tournus : 03 85 27 00 20 (Tarif : 20 € – 16 € – 12 €)

Dimanche 22 juillet ISSOIRE (63)à 17h Abbatiale Saint-Austremoine Place Saint-Paul 63500
(Tarif : 17 € – 9 €) Bertrand Music 10, Boulevard de la Manlière 63500 Issoire
Tél. 04 73 89 22 86
Fnac. Carrefour. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com

Lundi 23 juillet MARCILLAC-LANVILLE (16)  à 19h Eglise Prieurale 16140 Marcillac-Lanville
(Tarif : 16 €) OT Place Gambetta 16170 Rouillac : 05 45 21 80 05
Fnac. Carrefour. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com

Mardi 24 juillet AUBUSSON (23)  à 20h30 Eglise Sainte-Croix
Place de l’église 23200 Aubusson (Tarif : 16 € – 9 €) Frais de rés. en sus.
OT Aubusson 63 rue Vieille 23200 Tél. : 05 55 66 32 12
Fnac. Carrefour. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com

Mercredi 25 juillet  ROYAN (17) à 21h Eglise Notre-Dame du Parc
Avenue Emile Zola 17200 Royan (Tarif : 18 € – 12 € Tarif réduit)
OT Royan 1, rue de la Grandière 17200 Tél. : 05 46 08 33 03
Fnac. Carrefour. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com

Jeudi 26 juillet BISCARROSSE (40) à 21h Eglise Saint-Martin (Bourg)
Place Général de Gaulle 40600 Biscarrosse (Tarif : 16 € – 9 €) Frais de rés en sus.
Bureau d’information Biscarrosse 55 Place Georges Duffau 40600 Tél. : 05 58 78 20 96
Bureau de Parentis en Born Tél. : 05 58 78 43 60
Bureau de Sanguinet Tél. : 05 58 78 67 72
Fnac. Carrefour. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com

Samedi 28 juillet GUITRES (33) à 21h Abbatiale (33230)
Festival de l’Abbaye de Guîtres. OT : 05 57 51 15 04
(Tarif : 15 € – 7,50 €)


Dimanche 29 juillet PARIS (75) à 16h. Eglise Saint-Louis-en-l’Ile.
Paris 75004 (Tarif : 23 € – 19 € – 14 €)
Festival Musique en l’Ile Paris La Toison d’Art : 01 44 62 00 55
Fnac. Carrefour. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com
Auchan. Leclerc. Cultura Tél. 0892 390 100 (0,45 € TTC/min.) www.ticketmaster.fr
Mardi 31 juillet SAINT-JEAN-de-MUZOLS (07) à 20h45 Eglise 07300

(20 € – 15 € en prévente – 12 € tarif réduit) Festival Vochora
OT Tournon-sur-Rhône Tél. : 04 75 08 10 23

Mercredi 1er août BUIS-LES-BARONNIES (26) à 20h30 Eglise Notre-Dame de Nazareth
Place de l’église 26170 (Tarif : 18 € – 12 €)
OT Buis-les-Baronnies 14 Bd Michel Eysseric 26170 Tél. : 04 75 28 04 59
Fnac. Carrefour. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com

Jeudi 2 août MARSEILLE (13) à 21h Abbaye Saint-Victor rue Sainte 13007
(Tarif : 20 € – 15 €) Frais de Rés. en sus. Organisé par Musique et Esprit
OT Marseille 11, la Canebière 13211 Tél. : 0826 500 500 (0,15 €/mn depuis un fixe)
Fnac. Carrefour. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com

Vendredi 3 août MENDE (48) à 20h30 Cathédrale Notre-Dame et Saint-Privat
Place Chaptal 48000 Mende (Tarif : 17 € – 9 €)
OT Mende Place du Foirail 48000 Tél. : 04 66 94 00 23
Fnac. Carrefour. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com

Samedi 4 août CORDES-SUR-CIEL (81) à 18h Eglise Saint-Michel
22, Place Saint-Michel 81170 (Tarif : 19 € – 16 €)
OT Maison Gaugiran 38 – 42 Grand Rue Raimond VII 81170 Tél. : 05 63 56 00 52
Fnac. Carrefour. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com
Dimanche 5 août FIGEAC (46) à 18h Eglise Saint-Sauveur 6, rue du Monastère 46100
(Tarif : 19 € – 16 €)
OT du Grand Figeac Hôtel de la Monnaie Place Vival 46100 Tél. : 05 65 34 06 25
Fnac. Carrefour. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com

Mardi 7 août CAHORS (46) à 20h30 Eglise Saint-Barthélémy Rue de la Tour du Pape Jean
XXII 46000 (Tarif : 19 € – 14 €) OT Place François Mitterrand : 05 65 53 20 65
Fnac. Carrefour. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com

Jeudi 9 août TOURS (37) à 20h30 Eglise Notre-Dame La Riche Rue Courteline 37000 Tours
(Centre Ville) (Tarif : 16 € – 9 €) Frais de rés. en sus.
OT 78-82 rue Bernard Palissy 37000 Tours Tél. : 02 47 70 37 37
Fnac. Carrefour. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com

Samedi 11 août ARCACHON (33) à 20h30 Basilique Notre-Dame
Place de la Basilique 33120 Arcachon (Tarif : 20 € – 14 €) Frais de Rés. en sus.
Office de Tourisme Théâtre Olympia 21, Ave du Général de Gaulle 33120 Arcachon
Tél. : 05 57 52 97 97
Fnac. Carrefour. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com

Dimanche 12 août MONTPELLIER (34) à 20h30 Eglise Saint-Roch Place Saint-Roch
34000 (Tarif : 16 € – 9 €) Frais de rés. en sus. OT Montpellier 30 Allée Jean de Lattre de Tassigny 34000 Tél. : 04 67 60 60 60
www.montpellier-tourisme.fr
Fnac. Carrefour. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com

Lundi 13 août ALES (30) à 21h Eglise Saint-Joseph Place Henri Barbusse 30100
(Tarif : 16 € – 9 €)
Office de Tourisme Place de l’hôtel de Ville 30100 Alès Tél. : 04 66 52 32 15
Fnac. Carrefour. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com

Mardi 14 août ALBI (81) à 20h30 Collégiale Saint-Salvy 81000 Albi
(Tarif : 20 € – 16 €) Office de Tourisme, Place Sainte-Cécile Tél. : 05 63 49 48 80
Info et résa par tél : 05 63 55 97 08
Auchan. Leclerc. Cultura. Tél. : 0892 390 100 (0,45 €/mn) www.ticketmaster.fr
Fnac. Carrefour. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com

Mercredi 15 août LA FLECHE (72) à 17h Eglise Saint-Thomas Place Henri IV 72200
(Tarif : 16 € – 9 €) Frais de Rés. en sus.
Espace Culturel Leclerc 7 rue Henri Dunant 72200 La Flèche. Tél. 0892 390 100 (0,45 €/mn)
www.ticketmaster.fr
Fnac. Carrefour. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com

Jeudi 16 août PERROS-GUIREC (22)à 21h Eglise Saint-Jacques
Place de l’église 22700 (Tarif : 17 € – 9 €)
Office de Tourisme 21, Place de l’Hôtel de Ville 22700 Perros-Guirec
Tél. : 02 96 23 21 15
Fnac. Carrefour. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com

Vendredi 17 août SAINT-MALO (35) à 20h30 Eglise de Rocabey
Notre-Dame des Grèves Place de Rocabey 35400 (Tarif : 16 € – 9 €) Frais de Rés. en sus.
OT Esplanade St-Vincent 35400 : 0825 13 52 00
Cultura. Centre Commercial La Madeleine 35400 Saint-Malo
Tél. : 02 99 21 34 00 –
Fnac. Carrefour. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com

Dimanche 19 août POITIERS (86) à 20h30 Collégiale Notre-Dame la Grande
Place Charles de Gaulle 86000 (Tarif : 18 € – 12 €)
Informations La Toison d’Art Tél. : 01 44 62 00 55
Réservations :
Fnac. Carrefour. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com

Lundi 20 août QUIMPER (29) à 20h en l’Eglise Notre-Dame de Locmaria
Place Bérardier 29000 Quimper (Tarif : 16 € – 9 €) Frais de rés. en sus.
Office du Tourisme 8 rue Elie Freron 29000 Quimper Tél. : 02 98 53 04 05
Fnac. Carrefour. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com

Mardi 21 août VANNES (56) à 20h30 Eglise St-Patern Place Ste Catherine 56000
(Tarif : 16 – 9 €) Frais de Rés. en sus. Informations La Toison d’Art : 01 44 62 00 55
Locations et informations :
Fnac – Géant – Carrefour : 08 92 68 36 22 (0,40 € TTC/mn) www.fnac.com

Mercredi 22 août GRANVILLE (50)  à 20h30 Eglise Notre-Dame du Cap Lihou
Haute Ville 50400 Granville (Tarif : 17 € – 9 €)
Office de Tourisme 4, Cours Jonville 50400 Tél. : 02 33 91 30 03
Fnac. Carrefour. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com

Jeudi 23 août NOIRMOUTIER-EN-L’ILE (85)  à 21h Eglise St-Philbert 85330
(Tarif : 16 € – 9 €)
Office du Tourisme de Noirmoutier-en-l’Ile rue du Général Passaga 85330
Et Office du Tourisme Rue des Polders 85630 Barbâtre Tél. : 02 51 39 80 71
Fnac. Carrefour. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com


Vendredi 24 août PARIS (75) à 15h Eglise Saint-Louis-en-l’Ile.
Paris 75004 (Tarif : 23 € – 19 € -14 €)
Festival Musique en l’Ile Paris La Toison d’Art : 01 44 62 00 55
Fnac. Carrefour. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com
Auchan. Leclerc. Cultura Tél. 0892 390 100 (0,45 € TTC/min.) www.ticketmaster.fr

Samedi 25 août REDANGE (Luxembourg) à 20h Eglise
Festival Musique dans la Vallée Tél. : 00 32 63 22 78 55


Dimanche 26 août PARIS (75) à 16h Eglise Saint-Louis-en-l’Ile.
Paris 75004 (Tarif : 30 € – 23 € – 19 €)
Le Choeur des Nouvelles Voix de Saint-Pétersbourg. Voix mixtes.
Le Choeur du Festival Musique en l’Ile. L’Académie de l’Ile Saint-Louis. Dir : Yulian Danshin
Choeurs orthodoxes russes. Requiem de Mozart.
Festival Musique en l’Ile Paris La Toison d’Art : 01 44 62 00 55
Fnac. Carrefour. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com
Auchan. Leclerc. Cultura Tél. 0892 390 100 (0,45 € TTC/min.) www.ticketmaster.fr

Organisateur

La Toison d’Art est une association musicale spécialisée dans l’organisation et la diffusion de concerts de musique vocale et particulièrement de musique sacrée.
Depuis plusieurs années, La Toison d’Art collabore avec des solistes, des ensembles vocaux et des chœurs français et étrangers pour faire connaître le répertoire vocal dans lequel ces artistes ou ces formations désirent se présenter au public ou aux programmateurs d’événements musicaux français.
Les différents aspects du chant orthodoxe russe, la musique vocale anglaise ou polonaise, les oratorios, les polyphonies corses ou basques sont proposés régulièrement par les formations qui travaillent avec La Toison d’Art lors de concerts à Paris ou à l’occasion de tournées en France.
A Paris, La Toison d’Art organise la Saison Musique en l’Ile, centrée sur la programmation de concerts en l’Eglise Saint-Louis-en-l’Ile et qui se décline tout au long de l’année avec deux temps forts :

– le Festival Musique en l’Ile en juillet et août
– les Musicales de Décembre, incluant les concerts de Noël et fin d’année.
Pâques, l’été et décembre sont également chaque année les périodes de programmation de tournées, permettant à de nombreux festivals, associations et collectivités locales de recevoir les troupes d’artistes proposées par La Toison d’Art.

25è anniversaire de l’Orchestre de Chambre de
Krasnoyarsk

Jeudi 12, vendredi 13 et dimanche 15 juillet 2018

Trois concerts (gratuits) de l’Orchestre de Chambre de Krasnoyarsk à Paris avec
trois programmes différents.

Le 12 juillet, 16h – Paroisse de Madeleine

 

Le 13 juillet, 19h – Centre Culturel du Quai Branly

Le 15 juillet, 15h, concert familial – Centre Culturel du Quai Branly

Avec les solistes :
Maria Christiany, violon,
Anna Soukhoroukova, flûte,
Larissa Markosyan, piano,
Ilya Nikolaev, violoncelle, Rafael Jiminez, violon
▪ Sous la direction de Mikhail Benyumov

 informations et inscription se font UNIQUEMENT,

par courriel voir en fin d’article .

Mikhaïl Benyumov

Fondateur, Directeur Artistique, Chef Principal de l’Orchestre de Chambre de Krasnoïarsk, Artiste émérite de Russie, Professeur.

A commencé ses études avec G.E. Yampolsky à Kiev et a continué l’éducation à Moscou avec M. A. Garlitsky à l’école de musique spéciale Gnessin de Moscou, puis au cours de troisième cycle avec M. I. Fikhtengolts. Ensemble et quatuor de chambre étudiés avec v. K. Tonkha et R. D. Dubinsky.

De 1982 à 2010, il dirigea le département des cordes de l’Institut des arts de Krasnoïarsk. Parmi ses diplômés, il y a des lauréats de concours internationaux, nationaux et régionaux. Il est le fondateur, directeur artistique permanent et chef d’orchestre de l’Orchestre de chambre de Krasnoïarsk. Depuis 2001, Michael Benyumov est le directeur artistique du Festival International de musique de chambre orchestrale «Asie – Sibérie – Europe».

En tant que violoniste et chef d’orchestre, il dirige des concerts intensifs en Russie et à l’étranger.

Il y a un certain nombre d’œuvres spécialement écrites pour lui par des compositeurs contemporains russes et étrangers. «Concerto pour violon et orchestre» de O. Prostitov, «Concerto pour orchestre à cordes, flûte et accordéon» et «Trois blagues pour orchestre de chambre» de I. Battiston sont parmi eux. Lauréat des prix du maire de Krasnoïarsk.

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Une master-class de M. Benyumov, violon, est prévue pour le dimanche 15 juillet à 17h30. Les violonistes, souhaitant profiter des conseils de ce musicien reconnu, sont invités à s’inscrire: intercordes@gmail.com

Concerts organisés par l’association franco-russe ArtimA : www.centre-artima.com

Cente Culturel russe Quai Branly
1 quai Branly, 75007 Paris
RER: Alma Marceau

Entrée libre sur réservation, Libre participation

Madeleine

Place de la Madeleine 75008 Paris 8e

Métro : Madeleine (8/12/14)

Entrée libre

 

Informations et inscription à intercordes@gmail.com
Téléphone : 06 40 11 18 47