Archive pour mai 2011

Musique classique et Danse :

deux évènements culturels passionnants, présentés à Bordeaux par

le Cercle Stravinski,

les 6 et 8 juin 2011

Le premier évènement est une séance spéciale de projection au multiplexe UGC de Bordeaux, le lundi 6 juin à 18 heures : il s’agit de cinq courts métrages d’archives inédites sur les toutes premières tournées à l’Ouest de la troupe du Théâtre Bolchoï de Moscou dans les années 50, époque de la  Guerre froide, « du rideau de fer » et sur les troupes de ballet occidentales accueillies alors à Moscou.

Ces archives seront présentées à l’UGC par leur auteur, Stanislav Vlassov, qui fut pendant 20 ans danseur étoile au Ballet du Bolchoï. Ces documents uniques ont été tournés en 16 mm, ils sont présentés pour la première fois en France, à l’état brut : ils étaient destinés à être vus par un large public soviétique qui, contrairement aux artistes du Bolchoï ‘encadrés’ par leurs accompagnateurs, n’avait pas la possibilité de sortir du pays, et regardait ces témoignages avec l’espoir d’y lire l’admiration de l’Occident pour les artistes d’Union Soviétique. Il s’agit donc là de faire, entre les images proprement artistiques et la précieuse fenêtre de reportage ouverte sur le monde occcidental, une deuxième lecture entre les lignes. Stanislav Vlassov, viendra de Moscou et, 60 ans après avoir réalisé ces films, répondra avec clarté et non sans émotion aux questions du public à l’issue de la projection.

UGC Ciné Cité, 13-15 rue Bonnac, 33000-Bordeaux, salle 6, 18 heures précises le 6 juin.

Prix unique : 10 euros.


Le Cercle Stravinski, qui présente là son troisième concert en Bordelais, a pour objectif la collaboration dans le domaine de la musique et de la danse entre artistes russes, français et américains sur le terrain de rencontre enrichissant qu’a toujours été la France pour les créateurs de tous les pays, comme le fut le musicien Igor Stravinski, génie précurseur de nationalité russe, puis française, puis américaine.

Ce concert-ballet réunira des danseurs de l’Opéra National de Bordeaux, dirigé par Charles Jude, qui fut danseur étoile de l’Opéra de Paris sous la direction de Rudolf Noureev, et des danseurs du Théâtre Moscowia de Moscou, dirigé par Stanislav Vlassov et Liliya Sabitova, ‘narodnij artist’. Les musiciens – le violoniste français Olivier Charlier, le violoncelliste américain Josef Feigelson, et le pianiste d’origine russo-tatare Roustem Saitkoulov – accompagneront le ballet autour d’oeuvres de Stravinski dont l’Oiseau de Feu et Apollon Musagète, de Saint-Saens, Debussy, Bizet, Shchedrine, Prokofiev et Gershwin.

Le programme intégral est indiqué sur le site internet www.cerclestravinski.org

Théâtre Jean Vilar, Le Plateau, 33320-Eysines, à 20 heures 30 le 8 juin. Billetterie Fnac, Tourisme de Gironde et à l’entrée du concert.

Prix des billets : 25 et 15 euros, offerts aux moins de 12 ans.

Andréï KORLIAKOV est né en URSS mais il n’a pas vécu son démantèlement et peut être que cela a son importance. En tous cas, ou bout de 20 ans d’exil, il fait partie de ces émigrés russes d’aujourd’hui qui aiment respirer la poussière d’autrefois. Andréï Korliakov qui, dans une première vie voulait être professeur d’espagnol et vivre à Cuba, s’est découvert dans une deuxième vie une passion pour la recherche photographique. A la lumière de milliers de clichés pris dans un passé parti en fumée enterrées à jamais dans les valise de l’exil ou de l’exode de l’entre deux guerres cet iconographe historien raconte en photos le quotidien de ses compatriotes qui souvent ont sut recréer une “petite Russie” sur leur terre d’accueil.

Ouvrages actuellement disponibles. D’autres ouvrages relatant l’histoire de la Russie sont en cours de préparation.

Renseignements: ( CLIQUEZ )

Nicolaï Nikolaïevitch Gay (1831-1894)

Peintre russe réaliste de la génération des ambulants, d’origine fançaise, il est né à Voronej . Il entre à l’académie impériale des Beaux-Arts de Saint Petersbourg en 1850 et suit les cours de Piotr Bassine. Il reçoit en 1857 la médaille d’or et une bourse pour suivre des cours à l’étranger.

Il consacre la fin de sa vie à une série sur la Passion du Christ, bien que n’étant ni croyant ni pratiquant.

A l’occasion du 155 ème anniversaire de la création de la Galerie Trétiakov,

55 œuvres de cet artiste ont été remis au musée.

Rapellons que ce musée à été crée par Pavel Tretiakov (1832-1898) industriel et grand amateur d’art.

C’est une donation très importante pour notre anniversaire, parce que les objets d’art de la période classique coûtent actuellement très cher et que le musée est incapable de les acheter. De plus, il s’agit de la restitution d’excellentes œuvres de Nikolaï Gay à la Russie“, a indiqué Mme Lebedeva directrice du musée.

La plupart des œuvres de Nicolaï Gay ont été emportées en Suisse par son fils au moment de la révolution.  Elles ont été offertes en présence du ministre russe de la culture  Alexandre Avdeev, du vice-premier ministre Dmitri Kozak, de Ekaterina Khokhlova, arrière-petite-fille de Pavel Tretiakov, fondateur de la galerie, et d’autres personnalités.

Le public pourra admirer les toiles pour la première fois en automne 2011.

“Elena” , d’Andreï Zviaguintsev

Prix Spécial du Jury  “Un certain Regard”


Elena et Vladimir (Nadiejda Markina et Andreï Smirnov) 

Synopsis: Elena et Vladimir forment un couple d’un certain âge. Ils sont issus de milieux sociaux différents.

Vladimir est un homme riche et froid, Elena une femme modeste et docile. Ils se sont rencontrés tard dans la vie et chacun a un enfant d’un précédent mariage.

Le fils d’Elena, au chômage, ne parvient pas à subvenir aux besoins de sa propre famille et demande sans cesse de l’argent à sa mère.

La fille de Vladimir est une jeune femme négligente, un peu bohème, qui maintient son père à distance. Suite à un malaise cardiaque, Vladimir est hospitalisé.

A la clinique, il réalise qu’il pourrait mourir prochainement.

Un moment bref mais tendre, partagé avec sa fille le conduit à une décision importante :

c’est elle qui héritera de toute sa fortune. De retour à la maison, Vladimir l’annonce à Elena.

Celle-ci voit soudain s’effondrer tout espoir d’aider financièrement son fils.

La femme au foyer timide et soumise élabore alors un plan pour offrir à son fils et ses petits-enfants une vraie chance dans la vie. (Durée 1h49).

Le réalisateur russe Andreï Zviaguintsev est de retour à Cannes quatre ans après le succès de son film  L’Exil. Il s’agit du troisième long métrage du réalisateur russe auquel on doit déjà L’ Exil et Le Bannissement. C’est au tout dernier moment que les organisateurs de la 64ème édition du Festival de Cannes ont ajouté son nouveau film Elena  à la catégorie « Un certain regard ».

Le réalisateur Andreï Zviaguintsev , Elena Lyadova, Nadejda Markina et le producteur Alexandre Rodnianski.

Jeudi 16 juin à 20h 30

Chorales orthodoxes


Façade Eglise Saint Roch 

Construite dans un quartier prospère à partir du milieu du XVIIème siècle, l’église Saint-Roch a su préserver certains éléments de son décor exceptionnel de style baroque.

Elle est connue comme la paroisse des artistes, par allusion au nombre d’entre eux qui y ont été

inhumés ou dont on y a célébré les obsèques,

et de la riche collection d’œuvres d’art qui y est conservée.

On peut encore y voir les cénotaphes de :

Henri de Lorraine-Harcourt (comte d’Hartcour), Corneille, André Le Nôtre, Catherine de Rougé du Plessis-Bellière, Madame Geoffrin, etc.

Eglise Saint-Roch

296 rue Saint Honoré

75001 Paris

Métro: Pyramides, Tuileries

Bus: 95, 27, 21, 68

Réservation: 01 42 44 13 20

Cathédrale russe de Nice.

La justice française a confirmé jeudi 19 mai 2011 en appel, que la Fédération de Russie était bien propriétaire de la cathédrale russe Saint-Nicolas de Nice, revendiquée par une association cultuelle orthodoxe qui entend se pourvoir en cassation.
En janvier 2010, le tribunal de grande instance de Nice avait en première instance donné à l’Etat russe la propriété intégrale du terrain, du bâtiment et de toutes les oeuvres d’art et biens se trouvant à l’intérieur de la cathédrale, bâtie au début du XXe siècle par le tsar Nicolas II.

La splendide cathédrale de Nice, actuellement sous protection du Patriarcat de Constantinople, est le symbole de ces guerres de chapelles.

Plaque commémorative.

Lors de l’audience, l’avocat avait estimé que les substantiels bénéfices produits par les droits d’entrée (3 euros par visiteur), n’étaient pas étrangers à l’attitude intransigeante, selon lui, de l’association cultuelle. La cathédrale  accueille chaque année 100.000 à 150.000 visiteurs. Du côté de l’association, on affirme que ces revenus servent exclusivement à payer des travaux et les neuf salariés des lieux.


Classée monument historique, la cathédrale Saint-Nicolas de Nice renferme de nombreux trésors, dont une superbe iconostase et quelque 300 icônes, pour certaines offertes par les familles de russes blancs, venus en France au moment de la Révolution russe de 1917.

La Paroisse Saint-Nicolas a 150 ans !

Le 12 janvier 1860 était consacrée l’église Saint-Nicolas-et-Sainte-Alexandra de la rue Longchamp.

Le 24 mars 1868 était inaugurée la Chapelle commémorative (le “Mausolée Impérial”) du Grand Duc Héritier, le Tsarévitch Nicolas décédé à Nice en 1865.

En mars 1868 sur le territoire du Cimetière récemment fondé était consacrée une chapelle, elle aussi dédiée à Saint Nicolas, en souvenir du Tsarévitch.

En décembre 1912 eut lieu la consécration solennelle de la cathédrale, érigée sur le terrain dit “du Mausolée Impérial”, en l’honneur de Saint-Nicolas et de Sainte-Alexandra.

Le Grand duc Nicolas Alexandrovitch Romanov

Avant la Révolution de 1917, la noblesse russe aimait à séjourner à Nice, où s’est installée par la suite une importante communauté exilée.

17 janvier 1912, inauguration de la cathédrale de Nice

Le chœur et son chef, M. Solar (tchèque). Près du porche,la grande-duchesse Anastasia
Mikhailovna, et près d’elle le prince Alexandre Gueorguievitch Romanovsky, duc de Leuchtenberg.

Espace Massaï Mara

du 2 juin au 2 juillet

Anna Doumler

née à Saint Petersbourg ou elle fait l’ Ecole Supérieurs d’Arts Décoratifs Appliqués  de 1981 à 1990. Peintre et céramiste, elle vit et travaille à Paris depuis 1991, reconnue pour son travail original et extrêmement  varié, Anna Doumler  a été exposée  à Paris, Berlin, Beijing, Philadelphie et Saint Petersbourg.

Séduite par le lieu et l’ambiance du Massaï Mara elle a, avec la complicité d’Alice,  conçue une exposition originale mêlant différents aspects de son travail personnel ainsi que des créations issues de l’atelier  d’art thérapie qu’elle anime.

Renseignements sur Anna Doumler ( CLIQUEZ )

Espace Massaï Mara

66 rue Armand Carrel

75019, Paris

Métro:  Jaurés

Exposition du 2 juin au 2 juillet 2011

Contact artiste : www.anna-doumler.co

La Fondation russe pour le soutien du cinéma et le Centre national de la cinématographie (CNC) de France créent une académie du cinéma russo-française, a annoncé vendredi à Moscou la Fondation russe.

Selon le président de la fondation russe Sergueï Tolstikov, l’académie sera mise en place après que les ministres russe et français de la Culture auront signé les documents nécessaires dans la deuxième quinzaine de juillet à Saint-Pétersbourg. Le projet russo-français a déjà été présenté à Cannes, en France.

En février dernier, la Russie est devenue membre du Fonds “Eurimages” du Conseil de l’Europe pour l’aide à la coproduction, à la distribution et à l’exploitation d’œuvres cinématographiques européennes.

Sergueï Narychkine

La Russie et la France créeront ensemble une station de radio bilingue afin de soutenir et de promouvoir les relations culturelles, a déclaré le chef de l’administration présidentielle russe, Sergueï Narychkine, au terme de négociations à Paris avec le secrétaire général de l’Elysée, Xavier Musca.

Xavier Musca

L’idée de créer une station radio commune est née lors des préparatifs des saisons culturelles croisées“, a indiqué M. Narychkine avant d’ajouter que les bureaux seraient implantés dans les deux pays et que la diffusion serait effectuée en russe et en français.
Les relations entre la France et la Russie sont marquées par un vrai partenariat. Par conséquent, il est important de soutenir l’intérêt mutuel pour les langues russe et française. Cela favorisera le développement des contacts bilatéraux dans toutes les domaines de la coopération“, a insisté le responsable russe.

Ekatérina Kamenskaya

Soprano première soliste à l´Opéra National de Perm(Russie).Diplomée du consevatoire national supérieur de Russie(Moscou),

Ekatérina Kamenskaya sera accompagnée à l’orgue par Juan R. Biava, né en Argentine, titulaire des orgues de Saint-Germain l’Auxerrois de Pantin où il a créé en 1993 les concerts des Matinées Musicales qui sont maintenant dans leur XVII saison. Depuis 1993 il tient la classe d’orgue au Conservatoire de la Ville de Livry-Gargan. Depuis 1997 il est titulaire des orgues de Saint-Pierre de Montmartre.

En 2005, il est élu président du Syndicat National Professionnel des Artistes Musiciens des Cultes.


Depuis 2006 , il est Maître de chapelle à Saint-Pierre de Montmartre.

Eglise Saint Pierre de Montmartre

(Prés de la Place du tertre)

2 rue du Mont Cenis

75018 Paris

Métro: Abbesses ou Lamarck Caulaincourt

Montmartrobus.

Parade sur la Place Rouge

9 mai 2011

66 ème anniversaire de la Victoire


Pour la parade du 9-Mai, la Russie a invité les représentants des armées alliées à défiler à Moscou. États-Unis, Grande Bretagne et la France à participer aux festivités. Soixante-douze hommes du régiment Normandie-Niemen ont été choisis pour ce défilé historique.

Le défilé militaire s’est déroulé lundi sur la place Rouge à Moscou pour le 66e anniversaire de la Victoire dans la Grande guerre patriotique de 1941-1945.
Quelque 20.000 soldats et élèves d’écoles militaires russes ont défilé sur la place et un orchestre de 2 000 musiciens. Plus de 100 véhicules ont été engagés dans la parade, notamment les systèmes antiaériens Pantsyr-S1, qui participaient au défilé de la Victoire pour la première fois. Cinq hélicoptères de transport et de combat Mi-8 transportant les drapeaux de Russie et des Forces armées ont survolé la place Rouge.

Les comérorations  sont déroulées dans toutes la Russie et dans les Pays d’Europe.

Coincidant à la commémoration de la proposition relative à une organisation politico-économique et sociale de l’Europe, il y a 25 ans, le  9 mai 1950.

Du 11 au 22 mai

Présence en compétition des films russes «Generation P» de Victor Ginzburg et «Elena» d’Andrei Zviaguintsev

Renseignements sur le Festival: ( CLIQUEZ )

Soirée russe au Balzac

Mardi 10 mai à 20h30

Ciné-Concert, avec l’Orchestre National de Jazz improvisation sur “Aelita”, de Jacob Protazanov (1924).

Film noir et blanc muet de 70 minutes. Tiré du roman d’Alexei Tolstoï, servant la propagande bolchévique afin de faire la comparaison entre la Russie de 1921 et Mars devenue une planéte capitaliste !!


L’action se déroule pendant les années difficiles du communisme de guerre. L’ingénieur Los est las de la vie sur Terre et de ses innombrables tracas, c’est avec enthousiasme qu’il construit un appareil destiné à aller jusqu’à la planète Mars. Après une scène de jalousie avec sa femme, il la tue et il s’envole sur Mars accompagné de deux personnes : Goussev, un soldat de l’Armée Rouge démobilisé qui rêve d’exporter la Révolution sur la planète Mars et un détective à la poursuite de Los.

Sur Mars, Los est séduit par Aelita, la reine de la planète. Mais Los et ses compagnons sont arrêtés et emprisonnés avec les esclaves. Grâce à l’aide d’Aelita, Goussev réussit à s’enfuir et il organise une révolte des esclaves…

Protazanov mélange divers genres sans jamais en laisser prédominer un seul. Ainsi, Aelita est toujours considéré comme un film de science-fiction, le premier film de science-fiction soviétique. Ce qu’il est, de par son épisode martien dont les décors et les costumes constructivistes ont fait la renommée.  Pour continuer dans le registre du film policier, plus burlesque que noir, avec la fuite de Los après le meurtre de sa femme…

Cinéma Le Balzac

1 rue Balzac

75008 Paris

Métro George V

Tarif normal: 9,50€, Réduit: 7,50€

Renseignements  ( CLIQUEZ )

Du 3 mai au 2 juillet 2011
Théâtre du Rond-Point

Metteur en Scène :  Valery Mineev
Compagnie :  Compagnie Teatr Licedeï

par le  Théâtre Semianyki, clown-mimes de Saint Petersbourg

Directeur de la compagnie : Boris Petrushanskiy

avec

Olga Eliseeva:  la mère

Alexander Gusarov:  le père

Marina Makhaeva : la fille aînée

Kasyan Ryvkin : le fils aîné

Elena Sadkova : le bébé

Yulia Sergeeva: la cadette

Scénographie : Boris Petrushanskiy. Plateau et effets spéciaux : Ravil Baygeldinov. Lumières :   Valery Brusilovskiy. Son: Sergey Ivanov. Plateau:   Nikolay Orlov, Murad Kutuev. Habilleuse:  Anna Mamontova

Ce spectacle réunit une famille dans une humeur joviale et laisse place aux rires sans frontière.

Ces six comédiens sont issus de la première promotion de l’Ecole de Théâtre de Clown et Mime, fondée en 1990 par les Licedei.

Le spectacle Semianyki est leur création de fin d’école, en 2003. A l’origine une cascade de sketchs de 20 minutes.

Le spectacle est présenté en 2005 en France au Festival d’Avignon, depuis, Semianyki à fait plusieurs apparition en France.

En 2006 – 2007 il entame une folle tournée et s’installe au Théâtre du Rond-Point jusqu’au 8 juillet 2007.

La troupe parcours les continents et le monde entier, avec ce spectacle unique en son genre.

Le spectacle est de nouveau à Paris, pour le plus grand bonheur des spectateurs.

Il parle de la complexité des relations familiales, de ses travers et utilise un langage universel, le mime……le grotesque, le burlesque pour interpeller le public et le faire rire “sans limites” avec l’art et la manière des artistes russes.

Dans un immense éclat de rire, ces clowns russes délirants mettent les salles sens dessus dessous, au propre comme au figuré !

Une grosse tranche de rire, de bonheur et d’émotion faite de gags sans parole, de trucs, de gestes et de dégaines outrancières,

tranche d’hilarité, et de sourires, sur la Vie d’une famille ordinaire, ou presque !

A voir absolument.

Crédit photos: ©Teatr Licedei et ©Franck Girard

Théâtre du Rond-Point des Champs Elysées

2bis, avenue Franklin D. Roosevelt

75008 Paris

Métro: Franklin Roosevelt ( ligne 1 et 9 ) ou Champs Elisées ( ligne 1 et 13 )

Durée du spectacle: 1h40

Plein tarif salle Renaud-Barrault:  34 euros
Tarifs réduits : groupe (8 personnes minimum) : 20 € / plus de 60 ans:  25 €
demandeurs d’emploi 16 € / moins de 30 ans: 14 € / carte imagine  : 10 €.

Réservations 01 44 95 98 21 – 0 892 701 603 – www.theatredurondpoint.fr

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Tournée:

28 au 30 avril 2011: Le Wolubilis à Bruxelles

6 juin 2011: Festival de théâtre de Tomblaine

août – octobre 2011: Tournée en Amérique latine

Concert du pianste russe

Denis Matsuev

vendredi 20 mai

au Théâtre des Champs Elysées

Denis Matsuev s’est imposé comme l’un des plus grands pianistes de son temps.

Né le 11 juin 1975 à Irkoutsk. Il a remporté le premier prix au prestigieux “Concours international Tchaïkovski” de 1998 à Moscou.

« Cette fois ci, je m’envole avec un programme romantique. Une sonate de Schubert, la sonate №23 de Beethoven dite l’« Apassionata », une Mephisto-Valse de Liszt, et la deuxième sonate de Rachmaninov”.

La France, pour Matsuev, c’est aussi le jour ou Alexandre, le petit-fils de Serguei Rachmaninov, lui a proposé d’interpréter les pièces inédites du grand compositeur russe. Composées pendant ses annees d’études au conservatoire, Rachmaninov aurait envoyé les pièces a Tchaikovksi, mais son secrétaire les auraient perdues.

« Je les ai enregistrées sur le piano de Rachmaninov, dans sa propriété en France. Le disque a eu un succès fou, et il a marqué le début de ma collaboration à la Fondation Rachmaninov ».

Théâtre des Champs Elysées

15 avenue Montaigne
75008 PARIS

Métro : station Alma-Marceau ou Franklin-Roosevelt (ligne 9)
RER : station Pont de l’Alma (ligne C)
Bus : lignes 42, 63, 72, 80, 92

Parc de stationement : Alma-George V
Entrée angle avenue George V et avenue Montaigne

Réservations:

Tél: 01 49 52 50 50

Courriel: rp@theatrechampselysees.fr