Archive pour février 2013

Après le succés de cette exposition  au Musée  Saint Remy de Reims , les visiteurs de Bazancourt découvriront au travers du regard des artistes russes et français sur le roman de Léon Tolstoï, Mikhaïl Sergueievitch Bashilov, Léonid Osipovitch Pasternak, Aleksendr Petrovitch Apsit, Konstantin Ivanovitch Rudakov……. l’histoire de sa création, des prototypes  des principaux personnages, dans les salles de l’Espace Culturel de “La Filature”.

Présentation de l'œuvre de Tolstoï "Guerre et Paix".

L’exposition est une occasion unique de mettre en avant un roman, considéré comme majeur dans

l’histoire de la littérature, grâce à la richesse et au réalisme de ses détails historiques et de ses

descriptions psychologiques.

Quelques panneaux parmi la quinzaine de l'exposition.

L’exposition célèbre le bicentenaire de la Campagne de Russie, sans froisser les susceptibilités nationales,
et dans le cadre de l’Année Croisée “France-Russie 2012 Langue et Littérature”.
Il est apparu nécessaire de prendre comme sujet le chef d’œuvre de Tolstoï :
” La Guerre et la Paix”
qui se déroule sur une période allant de 1805 à 1820.

L’exposition se compose de 15 panneaux et de vitrines .


Le nerf de l’art, c’est la passion de l’artiste pour son  sujet …
( Léon Tolstoï)

Espace Culturel “La Filature”

1 rue de la Filature

51110 Bazancourt

Entrée libre.

Ouverture :

mardi – 16h – 18h,
mercredi – 10h-19h,
jeudi 16h – 18h,
vendredi 14h – 19h,
samedi 9h – 16h

Renseignements: 03.26.48.65.00

http://www.bazancourt51.fr/culturel.php

7 ème PRIX RUSSOPHONIE 2013

à la Mairie du Vème Arrondissement du Paris

Sculpture de  Victor Krioutchkov

Le Prix Russophonie a été créé en 2006 par la Fondation Eltsine et l’Association France-Oural, pour récompenser la meilleure traduction du russe vers le français d’un ouvrage littéraire originellement écrit en russe, quelle que soit la nationalité de l’auteur ou de l’éditeur.

Il est destiné à mettre en valeur la production littéraire en langue russe des 19ème, 20ème et 21ème siècles, à travers le travail des traducteurs, dont le rôle est prépondérant pour la découverte des littératures étrangères. Il peut s’agir de textes publiés pour la première fois, contemporains ou non, comme d’ouvrages  repris dans une traduction nouvelle.

Depuis sa création, le Prix a récompensé aussi bien des traducteurs chevronnés que de très jeunes traducteurs, pour des traductions d’œuvres de la littérature classique ou contemporaine, publiées en France, en Suisse, en Belgique ou au Canada francophone.

Il a contribué à faire connaître des auteurs russophones non seulement en France, mais aussi en Russie, comme cela a été le cas, par exemple, pour Vassili Golovanov, dont « L’éloge des voyages insensés » (éditions Verdier) n’a été publié dans son pays qu’après l’attribution à sa traductrice du Prix Russophonie.

En Janvier 2012, le 6ème Prix Russophonie a été l’occasion du lancement, par Hélène Carrère d’Encausse, des Saisons russes, qui ont mis à l’honneur, tout au long de l’année, la langue et la littérature russes.

Cinq traducteurs sont pour le 7ème prix Russophonie 2013 en lice :

Henri Abril, pour La baignoire d’Archimède, (éditions Circé

Hélène Henry, pour Boris Pasternak, de Dmitri Bykov, (éditions Fayard)

Luba Jurgenson, pour Schubert à Kiev, de Léonid Guirchovitch, (éditions Verdier)

Jean-Claude Schneider, pour Le bruit du temps, d’Ossip Mandelstam, (éditions

le Bruit du temps)

Nadine Duboussieux, Luba Jurgenson et Véronique Lossky, pour Récits et essais (tome 2) de Marina Tsvetaïeva, (Le Seuil)

Les Journées du livre russe et des littératures russophones à l’issue desquelles le 7ème prix russophonie a été décerné ont attiré près de deux mille visiteurs. Plus de renseignements ( Cliquez )
La cérémonie du Prix a été ouverte en présence de la vice-Première ministre russe Mme Olga Golodets, en visite à Paris.

Mme Olga Golodets, vice-Première ministre russe.

Du maire du 5ème arrondissement, M. Jean Tibéri

M. Jean Tibery, maire du Vè arrondissement de Paris.(© Artcorusse)

Des ambassadeurs de Russie, Alexandre Orlov et de l’ambassadeur du Kazakhstan auprès de l’UNESCO

Son Excellence l'Ambassadeur de la Fédération de Russie 
en France, Alexandre Orlov (© Artcorusse)

M. Elzhaz Suleimeinov,  poète et président des ambassadeurs russophones auprès de l’Unesco.

 Elzhas Suleimeinov. (Photo Renat Tashkinbaev)

L’ordre de Pouchkine, une décoration d’Etat russe a été remise à la directrice du Prix russophonie, Mme Christine Mestre, par M.Alexandre Orlov.

Christine Mestre recevant l'ordre de Pouchkine des mains
d'Alexandre Orlov ambassadeur de la Fédération de Russie (Photo DdK)

Un hommage a été rendu à l’auteur russe le plus traduit en français, Boris Akounine, entouré de ses traducteurs.

(De gauche à droite) Discours de M. Orlov ambassadeur de la Fédération de Russie
et les membres du jury:Dimitri de Kochko président de France-Oural, Inna Khemelevskaya,
 Amexandre Drozdov president de la Fondation Eltsine, Agnès Desarthe,
Christine Mestre directrice du Prix russophonie,Gérard Conio, Françoise Genevray,
Evgueni Bounimovitch et Irène Sokologorsky.

Les nombreux officiels présents ont souligné l’importance d’un prix qui depuis déjà 7 années contribue à faire connaître la littérature russe et russophone, le travail des traducteurs et des éditeurs.

Prix Russophonie 2013 à Héléne Henri – Safier pour Boris Pasternak de Dmitri Bykov

Alexandre Drozdov directeur de la Fondation Eltsine, remettant le Prix Russophonie 2013,

derrière le jury (de gauche à droite) Agnes Deshartre, Christine Mestre (directrice du Prix Russophonie), Gérard Conio, (à l’extrème droite ) Irène Sokologorsky.(Photo DdK.)

Dimitri de Kochko président de France Oural remettant la “mallette” avec sculpture de  Victor Krioutchkov.

Héléne Henri – Safier lauréate 2013 du Prix Russophonie.

Professeur agrégé Université de la Sorbonne (Paris, France). Elle a publié de nombreux articles et de plusieurs livres sur la littérature russe et le théâtre, ainsi que de nombreuses traductions des poètes russes, dont Innocent Annenski, Anna Akhmatova, Boris Pasternak, Ossip Mandelstam, etc. En 2005, Hélène Henry- Safier reçue le titre de Chevalier des Arts et des Lettres pour ses traductions de la littérature russe vers le français. Actuellement, Hélène prépare un livre sur souterraine culturelle et littéraire de Leningrad en 1965-1990.

Traductrice littéraire depuis 1975 Hélène Henri – Safier a notamment traduit Mandelstam, Pasternak, Tsvetaieva, Brodsky, une Anthologie de la poésie russe contemporaine. Elle enseigne la traduction à la Sorbonne est co-responsable du comité russe à la Maison Antoine Vitez et formatrice à l’Ecole de traduction de Bruxelles et à l’ETL (Paris, CNL).

La traductrice et son éditeur (éditions Fayard) se sont vu remettre une dotation financière et l’Institut Français a offert un billet d’avion pour un voyage en pays russophone.

КОММЮНИКЕ

16 февраля 2013 г. 7-ой Премии «Русофония» была удостоена Элен Анри – Сафье за перевод биографии Бориса Пастернака, автор Дмитрий Быков.

Перед величественным зданием Пантеона, вместе с проведением «Дней русской книги и русскоязычных литератур», в субботу 16 февраля 2013 г. жюри вручило 7-ю Премию «Русофония».

Её обладательницей стала Элен Анри-Сафье, награждённая за перевод  биографии Бориса Пастарнака (автор Дмитрий Быков), уже отмеченной российской премией «Букер». Аньес Десарт, член жюри, подчеркнула исключительный труд переводчицы, сумевшей передать поэтический стиль Пастернака в отрывках, цитируемых автором биографии.

Среди работ Элен Анри-Сафье, литературного переводчика с 1975 года – переводы произведений О. Мандельштама, Б. Пастернака, М. Цветаевой, И. Бродского, вошедшие в сборник « Антология современной русской поэзии ». Преподаватель Сорбонны, Высшего института переводчиков (г.Брюссель) и Парижского Национального Центра Книги, Э. Анри-Сафье также является со-председателем Русского Комитета в Международном Центре театральных переводов Антуана Витеза.

Переводчица и издательство « Файяр » были удостоены денежных премий.

В этом году члены жюри отвели почётное место поэзии. Так, номинантами премии также стали:

– Анри Абриль за перевод антологии «Ванна Архимеда», издательство «Сирсе»

– Люба Юргенсон: перевод «Шуберт в Киеве» Л.Гиршовича, издательство «Вердье»

– Жан-Клод Шнайдер: перевод «Шум времени» О.Мандельштама, издательство «Ле бруи де там»

– Надин Дюбурвье, Люба Юргенсон, Вероника Лосская: перевод сборника прозы (том 2) Марины Цветаевой, издательство «Сей».

Торжественную церемонию вручения почтил своим присутствием несколько писателей в том числе Борис Акунин, самый переводимый российский писатель во Франции, а также переводчики его произведений.

Многочисленные гости  –  официальные лица и общественные деятели, среди которых Ольга Голодец, заместитель Председателя Правительства Российской Федерации – подчеркнули исключительную роль премии «Русофония», которая вот уже в течение семи лет способствует распространению и популяризации русской и русскоязычной литературы и освещению деятельности переводчиков и издателей.

Учреждённая в 2006 г. по инициативе Фонда первого президента России Б.Н. Ельцина и Ассоциации «Франция-Урал», Премия «Русофония»  вручается за лучший литературный перевод с русского языка на французский, независимо от национальности автора или издателя.

EXPOSITION DU 6 FÉVRIER AU 3 MARS

Salle d’expositions des Archives Fédérales MOSCOU.


Artcorusse le 27 novembre a présenté l’exposition exceptionnelle à l’Ecole des Beaux Arts de Paris.

( CLIQUEZ )

Batiments des archives Fédérales

L’inauguration a été faite par le chef adjoint de l’Agence VP archives fédérale Tarasov, le Représentant spécial du Président pour la coopération culturelle internationale ME Chvydkoï, l’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la France en Russie Jean de Gliniasty, le professeur à l’Jaubert Sorbonne Véronique, directeur du ministère français des Affaires étrangères des archives diplomatiques du Laurens Frédéric Baleyn.

L’exposition, intitulée “Les intellectuels. Entre la France et la Russie. Inédit archives XX siècle “s’est tenue avec succès en 2012 à Paris, c’est la version russe d’un nom différent et a ajouté une section sur le développement de la coopération scientifique entre la Russie et la France. Parmi les nombreuses expositions uniques de documents présentés par les archives russes et français, et les musées. Certains d’entre eux sont présentés  pour la première fois.

Actuellement les salle d’exposition des Archives fédérales  accueille l’exposition documentaire historique “Les écrivains et intellectuels en Russie et en France: une promenade dans les archives du XXe siècle», préparé dans le cadre de  l’année «France – Russie 2012:. langue et la littérature

L’exposition couvre la période de 1917 à 1980.


Les organisateurs se sont fixé la tâche de tout dire et de répondre à toutes les questions soulevées sur les facettes multiples et complexes que les relations russo-françaises culturelles et intellectuelles du XXe siècle ont suscitées.

Tout d’abord, l’exposition raconte l’histoire de l’interpénétration et l’interaction entre les deux idéologies, les deux cultures, dans leur rapprochement et dans leurs contradictions. La dernière partie présente le travail d’un grand nombre de l’élite intellectuelle française et russe du siècle dernier  formés aux traditions culturelles nationales.Selon l’ambassadeur de France en Russie Jean de Gliniasty l’idée de l’exposition est née de la question qui préoccupe aujourd’hui beaucoup de monde :

Le coup d’envoi a été donné par la question de savoir quels liens intellectuels existaient entre nos pays à une époque difficile entre 1917 et la fin de l’époque de l’Union soviétique. La majorité des documents confirment l’existence de rapports intellectuels très intenses, à peine imaginés. Ces documents reflètent des débats, parfois âpres, des rencontres, des voyages, des flots migratoires. Bref, un riche entrecroisement de nos liens réciproques.

L’exposition couvre la période de 1917 à 1980. Le sujet – liens littéraires, philosophiques et scientifiques entre la Russie et la France.

Avec des photos et des documents exposition raconte les dissidents soviétiques et samizdat, voyage en Union soviétique des écrivains et intellectuels français – Henri Barbusse, Romain Rolland, Jean-Paul Sartre, les relations de Nikita Khrouchtchev et intellectuels sur les processus en France contre le communisme.

Hall d’exposition des Archives fédérales d’Etat

(ул. Большая Пироговская, 17) ( 17 rue. grande Pirogovskaya )

Ouvert de 12h à 18h, sauf lundi et mardi.

Le monument du corps Expéditionnaire russe venu en France soutenir les Alliés lors de la première Guerre mondiale a été vandalisé!

Non loin du pont Alexandre III et du Grand Palais, place du Canada sur le Cour de la Reine,
le monument à la gloire des soldats du corps expéditionnaire russe qui combattit aux côtés de la France pendant la Première Guerre mondiale le 21 juin.

En 1916, le gouvernement impérial russe a mis sur pied un corps expéditionnaire composé de quatre brigades. Deux brigades ont ensuite débarqué à Thessalonique. Les deux autres, fortes de plus de 20.000 soldats et officiers, luttaient sur le front franco-allemand, en Champagne, aux côtés de la France.
Le monument est réalisé par le sculpteur russe Vladimir Surovtsev

Communiqué du CCFRF

Le 8 février dernier, le monument parisien à la mémoire du corps expéditionnaire russe, venu appuyer les armées françaises pendant la I ère guerre mondiale de 14-18 au prix de quelque 5.000 morts, a été souillé par des vandales qui l’ont peinturluré.
Aucun écho ou si peu dans la presse française, aucune protestation des autorités, pas d’indignation contre un acte qui pourtant vise explicitement par la provocation l’amitié franco-russe et une nationalité en tant que telle, que les vandales en soient conscients ou non. Qu’on imagine un seul moment ce qu’on aurait entendu s’il se fût agi d’un monument d’une autre nationalité ou d’une autre religion !
Ce monument a été élevé pour commémorer le combat des 20.000 hommes envoyés sur le front français participer, et périr pour un quart d’entre eux, dans la grande boucherie du début du siècle dernier. Ces soldats ont manqué sur le front russe à la même époque. De même que des dizaines de milliers de soldats et officiers russes se sont retrouvés sacrifiés dès le début de la guerre, en 1914, pour mener une offensive hâtive en Galicie, afin de permettre aux armées françaises de résister et de vaincre sur la Marne. Non, la victoire de la Marne n’est pas due aux seuls taxis….
Les vandales qui se sont attaqués au monument, situé sur les quais de la Seine, se distinguent bien sûr par leur ignorance crasse de ces anciennes solidarités et sacrifices mutuels franco-russes. Seule une xénophobie issue d’un politiquement correct soigneusement entretenu contre tout un peuple en tant que tel, de son histoire et de sa culture peut expliquer ce geste ridicule et criminel.
Et l’allusion aux singeries anti-religieuses qui eurent lieu à Moscou en l’église du Christ Sauveur l’an dernier, dissimule bien mal la nature réelle de cet acte odieux qui relève sans doute d’une certaine russophobie ambiante. Les pauvres soldats de 1916-1917, enfin reconnus par l’Etat russe, n’ont rien à voir avec la politique actuelle du gouvernement russe, quelle que soit l’opinion qu’on puisse en avoir.
Que cette farce grotesque se produise au moment où sont commémorés les centaines de milliers de morts de la bataille de Stalingrad, qui a grandement contribué à sauver l’Europe du nazisme, auraient dû pour le moins mériter quelques entrefilets dans une presse prompte à dénoncer d’autres profanations et la manifestation d’une émotion, au moins de circonstance, de la part des autorités françaises devant un acte déplacé et honteux.

Conseil de Coordination du Forum des Russes de France  février 2013

Du 14 au 16 février 2013 auront lieu

les “Journées du livre russe et des littératures russophones”.

Elles débuteront le 14 février à la BULAC (Bibliothèque universitaire des langues et civilisations)

dans le 13e arrondissement
plus de renseignements (CLIQUEZ)

Les journées du livre russe présentent un Festival de Cinéma d’Asie Centrale

Tous renseignements des films et des scéances: (CLIQUEZ)

Bande annonce de la pièce (CLIQUEZ)

Douce est un drame, d’après F. M. Dostoïevski (à partir de 16 ans) : un théâtre d’incarnation et d’action, avec une plongée dans la situation. Ce spectacle se démarque par sa portée spirituelle. Confronté à l’événement tragique, le personnage principal en cherche les raisons et les buts;
en l’espace d’une nuit il parviendra à la paix intérieure par la rédemption. Fruit d’une coopération franco-russe, ce spectacle est joué en français.
La Compagnie Zertsala est née le 19 août 2012 à Saint Pétersbourg avec la première de La Pelisse. Ce spectacle d’après Gogol et Douce d’après Dostoïevski constituent un diptyque.
Ce projet a pour but de faire découvrir le théâtre russe au public français.


Page facebook de ZERTSALA Theatre:( Cliquez )

Présentation par les Editions Galerie JPM

Le Prince Igor

Illustrations de Pierre Joubert

et la Dame de Pique

En russe ( Cliquez ) en français ( Cliquez )

Programme

Vendredi 15 février

Samedi 16 février

Salle Arago……………………………………………… Salle des Mariages

Salle des Fêtes ……………………………………………..Salle Raymond Pédrot

La Salle des Mariages et la Salle des Fêtes se situent au Ier étage de la mairie, à droite en venant de l’escalier d’honneur. Pour les personnes en fauteuil roulant, accés par ascenseur. La Salle Raymond Pédrot est également au Ier étage, accés par le vestibule situé à gauche en venant par l’escalier d’honneur. La Salle Arago se trouve en rez-de-jardin, prendre le couloir à gauche dans le hall de la mairie.

Les auteurs invités.

Zinziver, le roman de Victor Slipentchouk paru à Moscou en 2000 puis en 2001, fait revivre les tumultes et les contradictions de la «perestroïka», la période qui a précédé l’effondrement de l’Union soviétique et la naissance de la Nouvelle Russie, lorsque tout semblait possible. Il raccorde les maillons entre le déclin de l’Empire et des lendemains qui ne chantent plus. Et, en s’appuyant sur sa riche expérience de la vie soviétique, il restitue toute la saveur fantastique et grotesque d’une réalité enfouie sous les décombres de l’histoire. Roman d’apprentissage, roman d’amour fou, Zinziver passionnera surtout le lecteur en lui donnant à voir et à sentir le climat d’opéra-bouffe de ces années folles où le parfum de la décadence se mêlait aux espoirs de renouveau.

Victor Slipentchouk (à gauche) présentant son ouvrage le 15 fev à la Mairie du V)
et (second en partant de droite) Gérard Conio son traducteur.

Présentation de l’ouvrage “Zinziler”par son auteur Victor Slipentchouk lors de la présentation desécrivains russes contemporains, débat organisé par les éditions l’Âge d’Homme  sur le thème “Image de la Russie Contemporaine“. (salle Arago vendredi 15 à 16h) animé par Lydwine Helly.

Lydwine Helly (au centre en rouge) “Ed. L’Âge d’Homme”

Poète, romancier, essayiste, Victor Slipentchouk est né le 22 septembre 1941 dans le village de Tchernigovka, dans la région de Primorie. Après avoir été successivement géologue, ouvrier, zoo-technicien, marin, pisciculteur, constructeur et journaliste, il entre en 1982 à l’Union des écrivains soviétiques et se consacre dès lors exclusivement à la création littéraire. Les traductions de plusieurs de ses romans, de ses récits et de ses poèmes lui ont valu une notoriété internationale. Son roman Zinziver a été édité en Russie deux fois avec succès et traduit en ukrainien et en chinois. En Chine, il est au programme des études supérieures de russe. Au Théâtre des Nations de Moscou, on a créé une pièce d’après les thèmes de Zinziver sous le titre d’un roman sans didascalies et elle n’a pas quitté l’affiche de 2006 à 2009.

Les modérateurs
Les rencontres et tables rondes sont animées par Alexandre Artamonov (journaliste à La Voix de la Russie), Sophie Benech (traductrice et directrice des éditions Interférences), Hélène Châtelain (traductrice et directrice de collection aux éditions Verdier), Gérard Conio (traducteur et ancien professeur d’université), Alain Couanon (ancien ambassadeur en Asie centrale), Yves Gauthier (traducteur), Dimitri de Kochko (journaliste), Nadine Laïk (éditrice aux éditions TriArtis), Christine Mestre (directrice du Prix Russophonie), Irène Sokologorsky (rédactrice en chef de Lettres russes) et Marie Starynkevitch (responsable des Journées).

Le Prix RUSSOPHONIE  2013

La poésie à l’honneur

Pour la 7e édition le jury a retenu trois traducteurs de textes poétiques parmi les cinq d’une sélection qui reflète la place toute particulière de la poésie en Russie :
–    HENRI ABRIL pour La Baignoire d’Archimède, éditions Circé ;
–    HELENE HENRY pour Boris Pasternak de Dmitri Bykov, éditions Fayard ;
–    LUBA JURGENSON pour Schubert à Kiev de Léonid Guirchovitch, éditions Verdier ;
–    JEAN-CLAUDE SCHNEIDER pour Le Bruit du temps d’Ossip Mandelstam éditions Le Bruit du temps ;
–    NADINE DUBOURVIEUX, LUBA JURGENSON , VERONIQUE LOSSKY pour Récits et essais, Œuvres T 2 de Marina Tsvetaeva, éditions du Seuil.

Le jury, composé d’Agnès Desarthe, Evgueni Bounimovitch, Gérard Conio, Françoise Genevray et Irène Sokologorsky dévoilera le nom du (ou de la) lauréat(e) le 16 février 2013

Partenaires
Les Journées du livre russe et des littératures russophones sont organisées par l’Association France-Oural, avec le soutien de la Mairie du 5e arrondissement, de la Sofia, du Centre national du livre, de la Direction régionale des Affaires culturelles d’Île-de- France, de la Fondation Eltsine, de la Fondation Russkyi Mir, du Conseil régional d’Île-de-France, de l’ambassade de France en Russie, de l’ambas- sade de France au Kirghizstan et du Centre de Russie pour la Science et la Culture à Paris.
La revue Lettres russes (LRS) et sa directrice Irène Sokologorsky, Afficha Paris-Europe et sa présidente Ekaterina Bogopolskaïa, le Cercle Kondratieff et son président Gérard Lutique, Artcorusse, l’Union des Russophones de France et sa présidente Irina Krivova nous ont accompagnés dans la préparation de ces Journées ; qu’ils en soient ici remerciés. Lettres russes a en particulier publié à l’occasion des Journées un numéro spécial consacré à la littérature kirghize ainsi que la traduction d’un roman de Talip Ibrahimov.


Le festival de cinéma d’Asie centrale, associé aux Journées, a été organisé en partenariat avec le cinéma La Clef, que nous tenons à remercier pour son aide.
Nous adressons nos remerciements les plus chaleureux à Natacha Cagnat, Chantal Ferando-Durfort, Alexandre Keltchewski, Aïcha Kherroubi et Irène Sokologorsky, qui ont tous dans une large mesure contribué à la prépara- tion de ces Journées 2013.
L’équipe de France-Oural
14, rue des Tapisseries 75017 Paris
Dimitri de Kochko, présidentde l’Association France-Oural.
Marie Starynkevitch, responsable des Journées du livre russe et des littératures russophones.
Christine Mestre, directrice du Prix Russophonie.
Yulia Bushnina, chargée de projets. Natacha Cagnat, chargée du volet Asie Centrale. Lila Soudant, chargée de projets.

Mairie du 5e

Place du Panthéon

75005 Paris

Accés: RER Station Luxembourg, Métro Station Cardinal Lemoine (ligne 10)

ENTREE LIBRE

Renseignements:

Tél: 01 46 22 55 18

http://www.journeesdulivrerusse.fr/

http://www.prix-russophonie.org/

Cinéma La Clef 34, rue Daubenton, Paris 5e (M° Censier-Daubenton)

Tarifs de 5 € à 7,50 €

Evgueni Alexandrovitch Evtouchenko

Le 30 janvier dernier à Paris, à l’ambassade de la fédération de Russie, un hommage a été rendu au grand poète russe, Evgueni Alexandrovitch Evtouchenko. Une foule nombreuse s’est rendue à l’invitation de l’ambassadeur, Monsieur Orlov, à tel point qu’il fallut rajouter des banquettes et des chaises dans la grande salle de spectacle du boulevard Lannes. Ce fut une belle soirée littéraire et musicale auquel le public a répondu avec ferveur. Est-il besoin de rappeler que Evgueni Evtouchenko est l’un des poètes majeur de la Russie des XXe –XXIe  siècles ? Sa notoriété fut même pendant un temps, aussi importante en Occident que le fut plus tard celle de Soljenitsyne. Son courage, sa lucidité et son inspiration en ont fait une sorte de porte-drapeau de l’intelligentsia de son pays, et certains même ont vu en lui « un nouveau Maïakovsky ».

Evgueni Alexandrovitch Evtouchenko sur la scène
de la salle spectacle Bd Lannes (© DdK)

Né en Sibérie le 18 juillet 1933, à Zima, dans l’oblat d’Irkoust, il fut un des représentants emblématiques de la génération du « dégel » intellectuel qui a suivi la mort de Staline. Il est alors une des premières voix humanistes à s’élever en URSS pour la défense des libertés individuelles. Poète précoce, il publie son premier recueil, Perspectives d’avenir à l’âge de19 ans et rejoint l’Institut de Littérature Gorky à Moscou, avant d’en être rapidement expulsé, pour « individualisme » .

Evgueni Alexandrovitch Evtouchenko en 1961.

En 1961, vingt ans après le drame, il écrivit son  poème Babi Yar sur le massacre de plusieurs dizaines de milliers de juifs, attribué aux nazis. Dimitri Chostakovitch utilisant ce poème (traduit en 72 langues) dans sa 13e symphonie, opus 113, en fit une de ses œuvres les plus poignantes, comme a pu le constater le public de la salle Pleyel, le 8 janvier dernier lors de son interprétation par l’orchestre du théâtre Marinsky, sous la direction de Valery Guergiev.

Statue de Babi Yar à Kiev commémorant le massacre.

A l’âge de 20 ans, après la parution de son premier livre, Evgueni Evtouchenko, devient le plus jeune des membres de l’Union des Ecrivains de l’URSS. Il est alors adulé par les uns pour son franc-parler et réprouvé par les autres qui lui reprochent son opportunisme.
Figure emblématique du « dégel » des années 60 du siècle dernier, et en compagnie de Robert Rojdes tvenski, de Boulat Okoudjava et d’autres poètes, il faisait les salles pleines au Musée Polytechnique de Moscou où il anime toujours des soirées poétiques. Evtouchenko se positionne aujourd’hui comme poète, prosateur, publiciste et réalisateur qui a autant d’adeptes que de détracteurs. Dans les années 70 et 80, il s’était consacré surtout au cinéma, comme acteur et comme réalisateur.

Evgueni Alexandrovitch Evtouchenko sur la scène
de la salle spectacle Bd Lannes (© DdK)

En 1989, il est élu au Parlement où il soutient Gorbatchev puis Eltsine qu’il entourera durant les soixante heures que dura le putsch, à l’intérieur du Parlement. En 2000, profitant de la liberté retrouvée, il partage son temps entre la Russie et les USA où il enseigne dans plusieurs universités.

Evgueni Alexandrovitch Evtouchenko et Richard Nixon

Grand et mince, avec de magnifiques yeux bleus, Evtouchenko, impressionne par sa stature et son charisme. En Russie il attirait à ses lectures des foules de 30 000 personnes. Il se considère comme « le petit-fils spirituel de Pouchkine » rapportait en 1995 Anthony Wilson-Smith dans The  Cnadian Encyclopédie.
La soirée du mercredi 30 janvier a donc été un grand moment d’art et d’émotion. Après que Monsieur Orlov ait accueilli et présenté le poète, se sont succédés sur la scène, des lectures de poèmes en russe et en français par Svetlana Krioutchkova et Youri Vassiliev Merkoulva, les étudiants de l’atelier théâtre de Limoges ainsi que son directeur, Anton Kouz netsov. Le chanteur Oleg Pogoudine, artiste émérite de Russie, et le pianiste Igor Ouriach ont également interprété une chanson de Jacques Brel qui fut l’ami de Evtouchenko qui lui avait dédié un long poème. Pour clôturer la soirée, le poète a remercié tout le monde par la déclamation d’un long poème en prose qui lui valut un tonnerre d’acclamations par le public debout, l’un d’eux allant même jusqu’a crier avec fougue un retentissant «Spassiba ».

Evgueni Alexandrovitch Evtouchenko sur la scène
de la salle spectacle Bd Lannes remerciant le public(© DdK)

(La voix de la Russie)
 

Sadko” né en 1945, originaire d’une famille russe émigrée en France, Sadko réside et travaille à Paris et à    Saint Pétersbourg.  Aux Beaux-Arts,    il    fréquente    l’atelier    de sculpture d’Etienne-MARIN et étudie le dessin avec Yuri Annenkov, peintre de l’avant-garde révolutionnaire russe.
Il expose régulièrement dans des galeries, salons et centres d’art, en France et à l’étranger. Ses œuvres sont présentes dans les collections du Fonds Municipal d’Art Contemporain de la ville de Paris, de la Bibliothèque Nationale de France, du Palais Constantin de Saint Pétersbourg.

“Les Mariés”, Sculpture murale bronze.

Les sculptures de Sadko sont légères et aériennes, se développant à la manière d’un dessin dans l’espace, recherchant dans la simplicité et le dépouillement un maximum    d’intensité.    « Dans    mes sculptures, dit-il, le vide est plus important que la matière ».
L’artiste recherche une expression de l’Homme dans son rapport à l’univers, sujet principal et obsessionnel de son œuvre. En éternel errant, il arpente l’horizon, les cimes des arbres ; emportant son sac de rêves, de réflexions et de souvenirs.
Explorant un univers de poésie et de spiritualité, l’Homme est représenté dans sa dimension véritable, c’est-à-dire petit par rapport aux éléments qui l’entourent. Fragile et cependant solide, habité par une pensée intérieure.

GALERIE INSULA

29 RUE MAZARINE 75006 PARIS

Tél: +33 (0)1 71 97 69 57

Découvertes de deux vases impériaux russes

en Oklahoma.

Ces vases monumentaux de 1,37 mètres datant de 1832 comptent certainement parmi les plus belles pièces de porcelaine russe sous du régne de Nicolas Ier, présentées sur le marché ces dernières années. Ils viennent d’être authentifiés par le musée de l’Ermitage et vont être mis en vente le 17 avril prochain par la Dallas Auction Gallery au Texas. Leur estimation s’élève à 1,5/2,5 millions de dollars chacun.

Les remarquables peintures sont signées M. Golov et M. Meschcheriakov, indéniablement les meilleurs copistes sur porcelaine de leur temps », souligne Ekaterina Khmelnitskaïa, conservatrice du département de porcelaine du musée de l’Ermitage de Saint-Pétersbourg, chargée de l’authentification de ces pièces.

. « Et quelle surprise de retrouver ces trésors du tsar en plein Far West ».

(Source La Russie d'Ajourd'hui)

4o œuvres de premiers ordres d’Illya Kabakov

achetaient par Abramovitch aux USA

Roman Abramovitch (à g.) son amie Daria Joukova, Emilia et Illya Nabokov

Le milliardaire Roman Abramovich et son amie la fondatrice du Centre d’Art “Garage” Daria Zhukova ont acheté une collection d’une quarantaine d’œuvres de Ilya Kabakov, rapporte Bloomberg.

Le vendeur Américain est  John Stewart fait (John L. Stewart), qui a recueilli des œuvres d’art conceptuel Moscou d’environ 20 ans. Le montant de la transaction n’est pas connu, mais les experts estiment entre 30 à 60 millions de dollars.
Illya Nabokov est l’un des pères fondateurs de l’école conceptuelle de Moscou. On peut dire qu’il est l’un des chefs de file de l’art russe moderne. Ses œuvres ont été exposées dans les plus grands musées de Russie, d’Europe et des États-Unis.

Emilia Kabakov a dit que c’est une des plus grandes collections, de haute qualité et artistiquement importante d’œuvres de son mari dans le monde. Pour Illya Kabakov, sa préoccupation première était que cette précieuse collection depuis longtemps sur le marché, soit sauvée.

Ilya Kabakov, détient le titre d’artiste russe vivant à l’étranger comme le plus cher depuis 2008, lorsque son “Bug” a été vendu aux enchères pour 2,9 millions de livres (5,8 millions de dollars).

Rappelons qu’en 2008, Daria Zhukova dans le Centre d’Art “Garage” a organisé la première rétrospective en Russie de Kabakov.

L'ancien dépôt de bus Bakhmétiev, désormais le "CCC Moscou", le "Garage"
1926-1927
Konstantin Melnikov (architecte) et Vladimir Choukhov (ingénieur)
(19a, rue Obraztsov, Moscou)

COMMUNIQUE

Il y a 70 ans, près d’un million de morts à Stalingrad ont sauvé l’Europe du nazisme

Le 2 février 1943 prenait fin la bataille de Stalingrad, l’une des plus sanglantes de l’histoire, mais qui grâce au sacrifice de près d’un million de Russes et d’autres peuples de ce qui était alors l’URSS, ont renversé le cours de la seconde guerre mondiale et redonné espoir à tous ceux qui résistaient au nazisme dans l’Europe occupée.

© RIA Novosti. Emmanuel Evzerihin

Cette bataille qui a duré plus de six mois, 200 jours, du 17 juillet 1942 au 2 février 1943 et détruit totalement une des grandes villes historique de Russie, a coïncidé et facilité pour la France la libération de l’Afrique du Nord, prélude au débarquement en Provence, puis à celui des alliés anglo-saxons en Normandie. Leur réussite doit beaucoup aux gens sacrifiés de diverses croyances et nationalités, morts à Stalingrad. Ce nom même ajoute au destin tragique des berges de la Volga, labourées de tant de fer, de feu et de sang.
Le devoir de mémoire ne peut être à géométrie variable : nous le devons aux morts de Stalingrad qui malgré le régime de répressions qu’ils subissaient ont évité à l’Europe et au monde des exterminations pires encore.
Souvenons nous !

Nous devons tout faire pour que la mémoire de la bataille de Stalingrad, la vérité sur ses combats, ne se ternissent jamais. Nous devons nous opposer fermement aux tentatives de dénaturer les événements de la Seconde Guerre mondiale (…), de nier l’exploit de ceux qui ont libéré le monde”, a déclaré le chef de l’Etat  V. Poutine lors d’une réception solennelle donnée au Kremlin à l’occasion du 70e anniversaire de la victoire de Stalingrad.

“La bataille de Stalingrad est le symbole le plus éclatant de la Grande guerre patriotique (nom donné à la Seconde guerre mondiale en Russie), la guerre est toujours vivante dans la mémoire des gens qui l’ont vécue et celle de leurs proches”, a noté l’historien Vitali Dymarski.
2 février 1943 : les troupes du maréchal allemand Friedrich von Paulus capitulent, encerclées par l’Armée rouge au terme d’une bataille acharnée engagée en juillet 1942 dans cette ville, point de passage essentiel vers le Caucase et ses riches ressources en pétrole.
Cette reddition est la première de l’armée nazie depuis le début de la guerre, et changera le cours du conflit aussi bien sur le plan stratégique que psychologique en Union soviétique, démoralisée jusque-là par plusieurs défaites cuisantes.
Mais la bataille est aussi l’une des plus meurtrières de l’histoire : rasée dès le début par des bombardements aériens allemands, Stalingrad est ensuite, pendant plus de six mois, le théâtre de combats de rue d’une violence inouïe, opposant les troupes nazies aux soldats et civils soviétiques, auxquels Staline avait ordonné peu avant “Pas un pas en arrière!”. Pendant cette période, les combattants doivent aussi lutter contre d’autres ennemis redoutables, l’hiver russe et la famine.
Au total, la bataille a fait jusqu’à deux millions de morts, tous camps confondus, selon des chiffres officiels russes.
Tsarytsine à l’époque impériale, la cité avait été rebaptisée du nom du dirigeant soviétique Joseph Staline en 1925, avant de devenir Volgograd, en 1961, au cours de la déstalinisation entamée par Nikita Khrouchtchev.

Une cérémonie est prévue samedi à 14heures30 place de la bataille de Stalingrad à Paris avec des anciens combattants et résistants qui tiennent à empêcher l’hydre fasciste de renaître, comme le voudraient des nostalgiques dans certains pays d’Europe aujourd’hui. Des représentants diplomatiques de la Fédération de Russie  et des pays issus de l’ancienne Union soviétique participent à cette commémoration.

Colline de Mamayev (Volgograd anciennement Stalingrad)

Le Conseil de Coordination du Forum des Russes de France s’associe à cette manifestation.

www.conseil-russes-france.org
contact : 0753422509