LE CHŒUR RUSSE DE PARIS ZNAMÉNIE :
Cet ensemble a été formé depuis 2009, sous la direction d’Ekaterina Anapolskaya.
Le répertoire de l’ensemble est constitué de plus de soixante pièces de musique liturgique russe bien souvent écrites par les plus illustres compositeurs russes (Tchaïkovski, Rachmaninoff, Balakirev, Tchesnokov, Gretchaninoff, …) mais aussi de musique profane : chœurs d’opéra, musique de chambre, chants populaires.
Le choeur se produit régulièrement en concert (le plus souvent à Paris) dans le cadre de manifestations consacrées à la musique liturgique orthodoxe russe : concerts de Noel et de Pâques, célébration des 150 ans de la cathédrale orthodoxe russe de Paris, heures musicales de Saint-Roch… .
De plus, la présence en son sein de nombreux solistes permet à l’ensemble d’assurer l’interprétation d’extraits d’opéra. C’est ainsi que l’ensemble a pu proposer récemment des soirée-concerts plus spécifiquement consacrées à l’ exécution de larges extraits (chœurs et ensembles) de certaines œuvres phares du répertoire : Rigoletto et la Traviatta de Verdi, Eugène Onéguine et La Dame de Piques de Tchaïkovski, Prince Igor de Borodine, Roussalka de Dargomijski.
EKATERINA ANAPOLSKAYA est diplômée de l’université pédagogique de Moscou-faculté de musique. Elle est également titulaire d’un master en musicologie à la Sorbonne (Paris IV) et prépare actuellement un doctorat. Ekaterina compte parmi ses professeurs : Maya Pouchkina, soliste du Bolchoï et de la troupe de l’Opéra du conservatoire Tchaïkovski de Moscou et Luciana Serra (professeur à l’Académie de la Scala de Milan) dont Ekaterina suit le master class.
De 1992 à 1998, elle participe à des tournées et festivals avec l’ensemble des solistes « Slavianski Lik » en Russie comme à l’étranger. Entre 1994 et 2004, elle a interprété les rôles de Madame Larina (Eugène Onéguine – Tchaïkovski), de Yaroslavna (Prince Igor – Borodine), de Liza (La Dame de Piques – Tchaïkovski) à l’occasion de représentations et concerts. Au sein de « Slavianski Lik », Ekaterina reçoit en 1998, le prix de la « Voix d’ange de Russie ». Récemment, elle a participé à des concerts en Italie à Ancone (théâtre Del Muse – 2011 et 2012) et au festival Val d’Eure musical (2012).
Ekaterina est également à la tête de l’association artistique «ADEA» qui organise des concerts de musique classique avec différents chanteurs et instrumentistes. En plus de l’organisation et de la direction artistique, elle participe à ces concerts en tant que soliste et chef du chœur russe de Paris Znamenie.
Temple protestant Passy-Annonciation
19, rue Cortemberg
75016 Paris
Métro: Rue de la Pompe
Les 6e Journées Européennes du Livre Russe et des Littératures russophones, désormais bien implantées au cœur de Paris, face au Panthéon, proposent cette année de décliner l’idée de russophonie à travers la littérature de l’Europe russophone.
Outre de nombreux auteurs venus notamment des Pays Baltes et de Biélorussie on retrouvera des d’écrivains très connus et de toutes tendances comme Boris AKOUNINE, Zakhar PRILEPINE, et les représentants d’une jeune génération très prometteuse : Liza ALEXANDROVA, Alexander ILICHEVSKY, Sergueï LEBEDEV, Marina STEPNOVA, Yana VAGNER avec lesquels les Journées célèbreront le grand retour du roman russe.
En tout, c’est une quarantaine d’auteurs que l’on retrouvera souvent à côté de leur traducteur lors de rencontres et de tables-rondes auxquelles participeront également des écrivains français, parmi lesquels Danièle SALLENAVE et Sylvain TESSON. Une vingtaine de tables-rondes aborderont entre autres les thématiques suivantes :
– Ailleurs, la poésie russe se réinvente – Langue et culture en Russie et au-delà : évolution et tendances – L’écrivain doit-il être engagé ? – Gogol et Chevtchenko : dialogue littéraire russo-ukrainien – Le retour du roman russe – Ecrivains russophones des Pays Baltes : sources d’inspiration et héritage culturel (…)
Depuis plusieurs années ce riche programme littéraire s’élargit avec un programme de films aux cinémas La Clef et Grande Action : Le Thème de Gleb Panfilov, Veillées du village de Dikanka de Alexandre Rohou, Vij ou l’esprit du mal de Konstantin Erchov, Le territoire de la Liberté d’A. Kouznetsov, L’africain du tsar Pierre d’Alexandre Mitta, Requiem pour un massacre d’Elem Klimov. Des expositions (KirillTCHELOUCHKINE ; Volha SAVITCH et une présentation du Musée Gogol de Moscou). Un concert du célèbre Quatuor Elysée, unelecture bilingue de Tarass Boulba de Gogol et 3 ateliers pédagogiques (didactique du russe, initiation à la traduction littéraire) complètent cette programmation.
Cette année encore, c’est la remise duPrix Russophonie, pour la meilleure traduction du russe vers le français, qui viendra clore le festival (Salle des Fêtes – Mairie du 5e – samedi 31 janvier à 18h30).
Les Journées Européennes du Livre Russe et des Littératures Russophones offrent aux visiteurs un panorama annuel de la vie littéraire et culturelle russe. Vous trouverez le programme complet des Journées sur son site: (CLIQUEZ )
Horaires des rencontres:
Vendredi 30 janvier 2015
Samedi 31 janvier 2015
Plan de cette manifestation dans le Vème arrondissement.
Avec Natacha Fialkovsky, chant et balalaïka Olivier Cahours, guitare, arrangements et composition Pascal Storch, guitare, chant, cavaquinho, cajon Natalia Trocina, domra Thierry Colson, contrebasse
& leurs invités Karine Salfati, Arman Vossougui, Clothilde Fortin, danseurs
Sophie Ménissier, chorégraphe
Jean-Claude Camors, direction artistique
Tout a été dit ou presque sur l’âme slave et sa mélancolie longue comme le Transsibérien, qu’accompagnerait une pluie de balalaïkas. C’est vrai, estime la chanteuse Natacha Fialkovsky. Le nom de son groupe lui-même Natacha et Nuits de Prince rend hommage à Joseph Kessel, écrivain-voyageur d’origine russe, et ce bal sera un aller simple à lui tout seul. Chansons, romances d’amour et d’exil et chants à danser composeront une soirée haute en couleurs. Et tout slavophile débutant ou confirmé peut entrer dans la danse sans modération. Avant d’aborder cette longue nuit, le russophile consciencieux pourra toutefois s’initier à la danse, un stage est prévu !
Le TRIDENT
place du Général de Gaulle, Cherbourg-Octeville
Avant le bal et les danses, possibilité de dîner au Café Pouchkine Assiette salée 7.50€ On peux réserver une assiette en même temps que la place pour le bal.
Le festival est co-organisé par Univerciné (cycle de festivals européens lié à l’Université de Nantes), l’association russophile interculturelle Russies étonNantes et le cinéma Katorza.
Pour son grand retour, Festival Univerciné Russe propose un voyage dans le temps et les grands espaces…
Un voyage dans le temps qui vous mènera des tout débuts du cinéma (avec des films vieux de cent ans !) à un panorama condensé de la production cinématographique russe contemporaine, sans oublier quelques classiques soviétiques.
Un voyage à travers les grands espaces qui déroulera devant vous la vie de Nenets dans la toundra, de villageois de la Russie profonde, de vacanciers farfelus en Crimée, d’un hors-la-loi poursuivi par des chasseurs de tête dans la taïga sibérienne, de jeunes Russes à Moscou ou à Paris…
Festival Univerciné Russe est coorganisé par l’Université de Nantes, le cinéma Katorza et l’association interculturelle russophile Russies étonNantes, et soutenu par Gosfilmofond.
En ouverture
Drame de Dmitri TIOURINE
Avec : Mikhaïl Groubov, Roman Kourtsyne, Alekseï Gouskov
“Kostia, jeune peintre talentueux, revient de Tchétchénie défiguré et plein de rancœur envers la société. Apprenant un jour que Sérioja, un camarade qui lui a sauvé la vie sur le champ de bataille, a disparu, il part à sa recherche avec deux amis. Et reprend peu à peu contact avec le monde extérieur…“
Adapté du célèbre roman d’ Andreï Guélassimov, auteur du scénario.
Inédit — Mercredi 4, 19h30 / Vendredi 6, 14h
Horaires
LES FILMS PRÉSENTÉS
C’était il y a 100 ans…
Russie, 1914-1915, 1h17
Ce programme anniversaire regroupe trois oeuvres rares, un moyen métrage et deux courts métrages, traitant toutes trois du monde en guerre. Le Roi, la loi et la liberté (Король, закон и свобода)
1914, de Piotr Tchardynine, 59 min.
Adaptation d’une pièce de Leonid Andreev, dont l’action se déroule en Belgique au début de la guerre. Le Lys de Belgique (Лилия Бельгии)
1915, de Vladislav Starevitch, 13 min.
Un lys abîmé évoque à un vieil homme l’histoire de la Belgique. La dernière petite journée d’aujourd’hui (Последний нынешний денечек)
1915, de Nikolaï Larine, 5 min.
Adaptation d’une chanson populaire. Mercredi 4, 14h30
Duel Pouchkine – Lermontov Дуэль Пушкинъ – Лермонтовъ
Russie, 2014, 1h51 – Fantaisie historique de Denis Bannikov
Avec : Aleksandr Karpov, Guennadi Iakovlev, Elena Soloviova
Nous sommes en 1857. Mais Nicolas Ier est toujours empereur, et ni Pouchkine, ni Lermontov ne sont morts en duel. Les deux poètes ont, dans cette dimension historique parallèle, suivi des chemins et connu des destins différents…
Le film explore les relations entre l’artiste et le pouvoir et nous plonge dans les salons de la Russie impériale.
Inédit — Samedi 7, 20h15 — En présence de l’actrice Elena Soloviova
L’espion Шпион
Russie, 2012, 1h39 — Film d’aventures d’Alekseï Andrianov Avec : Danila Kozlovski, Fiodor Bondartchouk, Anna Tchipovskaïa
Quelques mois avant le début de la Seconde Guerre mondiale en Russie, dans un Moscou revisité, le commandant Oktiabrski recrute le jeune Egor Dorine, habile de ses poings, souriant et un peu naïf. Ils vont s’opposer aux services de renseignement allemands qui tentent de persuader les Soviétiques que la guerre n’est pas pour demain.
Une atmosphère rétrofuturiste pour ce film à gros budget, adapté d’un roman du talentueux Boris Akounine.
Inédit — Vendredi 6, 22h15
Fidélité Верность
URSS, 1965, 1h27, noir et blanc — Drame de Piotr Todorovski — Avec : Vladimir Tchetverikov, Galina Polskikh, Evgueni Evstigneev
Novembre 1943, libération de Kiev par l’armée soviétique… Un jeune homme apprend la mort de son père et abandonne ses études pour partir au front. Peu de temps avant son départ, il s’est épris d’une jeune fille. Le film dépeint ces premiers sentiments, pudiques, puissants et fragiles, sur fond d’une guerre qui n’épargne rien ni personne.
Avec la collaboration du barde Boulat Okoudjava au scénario.Prix du meilleur premier film à la Mostra de Venise 1965. Dimanche 8, 14h
L’interdiction Запрет
Russie, 2014, 1h32 — Drame d’Alekseï KozlovAvec : Anna Moltchanova, Natalia Tkatchenko, Sergueï Iatseniouk
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, quatre personnes se retrouvent sur une île du lac Ladoga : une religieuse, un capitaine de l’Armée Rouge, une jeune fille et le soldat italien naufragé dont elle est éprise. Chacun a sa propre vérité et ses convictions : la foi, le patriotisme et l’amour. Tous ont un même but : survivre.
Inédit / Première française — Mercredi 4, 16h15
Le lichen des caribous
Белый ягель
Russie, 2014, 1h40 — Drame de Vladimir Toumaev
Avec : Evgueni Sangadjiev, Galina Tikhonova, Irina Mikhaïlova
Aliocha vit dans un campement dans la toundra, entouré de rennes et de quelques familles. Sa mère le marie. Mais Aliocha espère toujours le retour d’Aliko, son amour d’enfance, partie étudier à la ville… Une intrigue qui pourrait être classique si elle n’avait pour protagonistes des Nenets, peuple autochtone du Grand Nord partagé entre traditions et modernité.
1er film russe à recevoir le prix du public au Festival international de Moscou.
Inédit — Dimanche 8, 18h30
Marussia Маруся
France, Russie, 2013, 1h22 — Drame d’Eva Pervolovici Avec : Dinara Droukarova, Marie-Isabelle Shteynman, Sarunas Bartas
Ancienne journaliste mondaine en Russie, Lucia vit maintenant à Paris avec Marussia, sa fille de 6 ans. Mais elles se retrouvent à la rue et doivent chaque soir trouver un toît. Cela n’empêche pas la jeune femme de garder une certaine insouciance et de nourrir des projets ambitieux. Vendredi 6 février, 20h15 — En présence de son actrice principale, Dinara Droukarova
Morozko (Le père Frimas) Морозко
URSS, 1964, 1h24 — Film de fiction pour enfants d’Aleksandr Roou — Avec : Aleksandr Khvylia, Gueorgui Milliar, Inna Tchourikova
Une belle histoire hivernale tirée de contes russes où se croisent les personnages traditionnels du folklore slave (Baba Yaga, le vieux Borovitchok, le Père Frimas…). La belle et gentille Nastienka est chassée de sa maison par sa méchante marâtre. Mais elle sera hébergée et récompensée de sa bonté par Morozko. L’amour, l’amitié, la paresse, l’égoïsme… autant de thèmes universels évoqués dans ce film.
Un bijou du cinéma soviétique pour enfants réalisé par le légendaire Aleksandr Roou. À partir de 5 ans
Inédit — Samedi 7, 16h, suivi d’un goûter russe
Les nuits blanches du facteur Alekseï Triapitsyne Белые ночи почтальона Алексея Тряпицына
Russie, 2014, 1h41 — Conte documentaire d’Andreï Kontchalovski — Avec : Alekseï Triapitsyne, Irina Ermolova, Timour Bondarenko
Dans ce coin perdu de la région d’Arkhangelsk, on vit coupé du monde. Comme dans beaucoup de villages de Russie, seul le facteur assure le contact avec le reste de la société. Dans ce film à mi-chemin entre documentaire et fiction, Kontchalovski nous montre la campagne russe telle qu’elle est, dans toute sa beauté et toute sa dureté…
Avant-première — Dimanche 8, 20h30
Shapito Show Шапито-Шоу
Russie, 2012 — Comédie dramatique musicale en quatre chapitres de Sergey Loban — Avec : Alekseï Znamenski, Piotr Mamonov, Alekseï Podolski
Partie 1 : « Amour » et « Amitié », 1h40
Partie 2 : « Respect » et « Association », 1h47
Quatre histoires parallèles de jeunes gens en vacances en Crimée s’entrecroisent pour fusionner en un final apocalyptique et surréaliste, un Chapiteau Show. Au centre de chacune d’elles, un personnage emblématique de son époque traversant un moment critique de sa vie et un thème principal : l’amour, l’amitié, le respect et l’association. Le film mêle humour et drame, absurde et réel, clips musicaux et paysages de la mer Noire.
Les deux parties peuvent être regardées indépendamment. Vendredi 6, 18h30, partie 1 / Dimanche 8, 11h, partie 2
Territoire de la liberté Территория Свободы
France, Russie, 2014, 1h08 — Documentaire d’Alexander Kuznetsov
Non loin de Krasnoïarsk se dressent d’impressionnants pitons rocheux : les stolby. C’est là que, comme dans une autre dimension, se retrouvent des professeurs, artistes, sauveteurs… Ils s’adonnent à l’escalade sans cordes ni protection, surmontent leurs peurs, respirent à pleins poumons, discutent et festoient, renouant ainsi avec une pratique vieille de près de 150 ans : le stolbisme. Mercredi 4, 18h — En présence de Rebecca Houzel, productrice / Jeudi 5, 14h.
Une gare pour deux Вокзал для двоих
URSS, 1982, 2h21 — Mélodrame d’Eldar Riazanov —
Avec : Lioudmila Gourtchenko, Oleg Bassilachvili, Nikita Mikhalkov
Véra est serveuse dans un restaurant. Platon est pianiste, et il est mis en cause dans une histoire d’accident. Tout, et en particulier les circonstances de leur première rencontre, semblait devoir les séparer. Et pourtant…
Un des films les plus populaires du cinéma soviétique, réalisé par le grand Eldar Riazanov. Une énorme bouffée d’optimisme et une vraie ode à l’amour ! Dimanche 8, 15h45, présentation par Louis-Jean Ropars
Un miracle ordinaire Обыкновенное чудо
URSS, 1978, 2h18 — Comédie dramatique de Marc Zakharov — Avec : Aleksandr Abdoulov, Evgueni Leonov, Andreï Mironov, Oleg Yankovski
Un des films cultes de l’époque soviétique, d’après la pièce de Evgueni Schwartz. Une tendre et drôle histoire d’amour impossible entre un ours, transformé en jeune homme, et une princesse. Mais si la princesse embrasse le jeune homme, celui-ci redeviendra ours…
Les rôles sont interprétés par les plus grands acteurs de l’époque, les chansons et la musique du film sont devenues aujourd’hui des classiques.
Inédit — Jeudi 5, 20h — En présence d’Irina Shabalova et Maria Serenko.
FILMS EN COMPÉTITION
Encore une année Ещё один год
Russie, 2015, 1h47 — Comédie sentimentale d’Oksana Bytchkova — Avec : Alekseï Filimonov, Nadejda Loumpova
Egor et Génia sont beaux et amoureux. Lui se satisfait de faire le taxi la nuit. Elle, embauchée dans un journal à la mode, découvre une nouvelle vie, de nouvelles relations. Que sera devenue leur histoire d’amour dans un an ?
Oksana Bytchkova excelle à montrer avec une grande humanité les petits riens du quotidien et nous donne à voir la vie des Moscovites aujourd’hui.
Inédit — Jeudi 5, 16h / Samedi 7, 18h
Le miracle Чудо
Russie, 2013, 1h12 — Comédie dramatique d’Anton Dorine Avec : Vadim Afanassiev, Anna Ovsiannikova, Ioulia Nazarenko
Naturalisme et surnaturel se mêlent dans chacune des cinq nouvelles qui composent ce film. Ainsi, dans un petit village de Russie, on rencontre un vacher, plus préoccupé de sa bouteille que de ses vaches, deux petites vieilles qui se rendent en se chamaillant à un mystérieux rendez-vous…
La truculence des personnages et la beauté des images sont une déclaration d’amour du réalisateur aux personnages comme au paysage russes.
Un premier film jamais montré en France.
Inédit / Première française — Vendredi 6, 16h15 / Samedi 7, 14h30
La soif Жажда
Russie, 2013, 1h42 — Drame de Dmitri Tiourine — Avec : Mikhaïl Groubov, Roman Kourtsyne, Alekseï Gouskov
Kostia, jeune peintre talentueux, revient de Tchétchénie défiguré et plein de rancoeur envers la société. Apprenant un jour que Sérioja, un camarade qui lui a sauvé la vie sur le champ de bataille, a disparu, il part à sa recherche avec deux amis. Et reprend peu à peu contact avec le monde extérieur…
Adapté du célèbre roman d’ Andreï Guélassimov, auteur du scénario.
Inédit — Mercredi 4, 19h30 / Vendredi 6, 14h
Les fugitifs Беглецы
Russie, Kazakhstan, 2014, 1h35 — Film d’action de Roustam Mossafir — Avec : Piotr Fiodorov, Elizaveta Boïarskaïa
1907. Dans les espaces infinis de la Sibérie, des bagnards en fuite sont poursuivis par des moujiks (paysans) brutaux. Pavel, un jeune révolutionnaire qui a réussi à s’évader, trouve refuge chez un chercheur d’or et sa femme, Oustia la muette. Oustia conduit Pavel à travers la taïga vers un endroit plus sûr, mais les chasseurs de têtes sont à leurs trousses…
Certaines scènes peuvent heurter la sensibilité du public.
Inédit — Jeudi 5, 18h / Samedi 7, 22h30
Léviathan est le quatrième long-métrage réalisé par Andreï Zviaguintsev.
Son premier long-métrage, Le Retour, a été récompensé par deux Lions d’or à la Mostra de Venise 2003. Son deuxième film, Le Bannissement, a obtenu le Prix d’interprétation masculine au Festival de Cannes 2007 et son troisième film, Elena, a reçu le Prix spécial du jury de la section Un certain regard au Festival de Cannes 2011.
Léviathan figure parmi les nominés à l’Oscar 2015 du meilleur film en langue étrangère. Ce drame, qui relate l’histoire d’un habitant d’un village reculé du nord de la Russie confronté à la corruption régionale, a auparavant obtenu le Golden Globe du meilleur film étranger et le prix du meilleur scénario au 67e festival de Cannes.
En 2014, ce film a été récompensé lors des festivals de cinéma à Munich, à Londres, à Palic (Serbie), à Abu-Dhabi, à Goa, à Séville, à Haïfa, lors du festival de l’art de la photographie de cinéma Camerimage en Pologne. Il également a reçu le prix de meilleur long-métrage étranger de 2014 de la Fédération internationale des critiques de films (FIPRESCI).
Le film Léviathan du réalisateur russe Andreï Zviaguintsev a reçu dimanche le Prix du London Film Critics Circle (LFCC), une association britannique de critiques de cinéma, lors de la 35e cérémonie de remise des prix à Londres.
Le film russe Léviathan figure parmi les nominés à l’Oscar 2015 du meilleur film en langue étrangère, a annoncé jeudi l’Académie américaine des arts et des sciences du cinéma sur son site internet.
Léviathan est le troisième long-métrage russe candidat à l’Oscar du meilleur film étranger après les films de Nikita Mikhalkov Soleil trompeur (primé en 1994) et 12 (2007).
“Merci, nous sommes follement heureux!”, a déclaré le réalisateur lors de la remise des Golden Globes
Après avoir été primé à Cannes, le film d’Andreï Zviaguintsev “Léviathan” a remporté vendredi la Perle noire, Grand prix du Festival international du film d’Abou Dhabi, ainsi que le Prix de la meilleure interprétation masculine.
Le festival s’est déroulé du 23 au 31 octobre 2014 dans la capitale émiratie. Le magazine américain The Hollywood Reporter a nommé le film russe Léviathan le meilleur de l’année, rapporte lundi soir la société A Company Russia.
“Le film Léviathan se retrouve en tête du classement des meilleurs films de 2014 établi par le magazine américain The Hollywood Reporter”, lit-on dans le communiqué.
Poétesse, philologue, théologienne est née à Moscou en 1949. Elle est une des figures les plus remarquables et singulières de la poésie russe actuelle.
Une partie de son enfance s’est déroulée en Chine, où son père, ingénieur militaire, travaillait comme coopérant.
De 1967 à 1973 elle a étudié la philologie et l’ethnographie slaves à l’Université de Moscou. Sa thèse portait sur les rites funéraires archaïques des Slaves du Sud et de l’Est. De ces années d’étude elle écrira plus tard « Je suis reconnaissante au destin d’avoir eu pour professeurs les plus grands savants et chercheurs en sciences-humaines de notre pays, les philologues structuralistes de l’École de Tartu et de Moscou ainsi que Sergeï Averintsev, qui a fait découvrir aux gens de ma génération les vastes espaces de l’Europe antique et chrétienne ». A noter également l‘influence sur Olga Sedakova de Youri Lotman, fondateur de l’école de sémiotique de Tartu-Moscou.
Parallèlement à ses études et ses recherches Olga Sedakova lit la poésie russe classique, et la poésie européenne (dans l’original) : Dante, Goethe, Hölderling, Baudelaire, Claudel, Eliot, Pound…
Elle écrit depuis son plus jeune âge. Son œuvre est largement diffusée par les réseaux parallèles du « samizdat », et lors de lectures semi-clandestines dans les instituts de recherche ou des appartements privés.
Son premier recueil – Vorota, Okna Arkhi, (Fenêtres, portes, arcades) – est publié à Paris aux éditions YMCA-press en 1986. À partir de cette date, les publications se multiplient, aussi bien en Russie qu’à l’étranger où elle est traduite dans plus de quinze langues.
Membre depuis 1996 du comité de patronage de l’institut orthodoxe Saint-Philarète, Olga Sedakova est docteur en théologie honoris causa de l’université de Minsk.
Elle a reçu de nombreux littéraires. Sa venue à Paris pour une conférence à la maison de l’ACER-MJO le lundi 2 février est un véritable événement.
Nataliya, Vera et Alia, ces trois ravissantes et talentueuses artistes nous inviteront le temps d’un concert exceptionnel dans un salon musical de st Petersbourg du XIXe.
Nataliya Brazkhina : Soprano
Vera Senkovskaja : Soprano
Alia Sabirova : Piano
Sabirova Aliya
Pianiste russe, lauréate des concours internationaux. Elle est née 28 juillet 1989 à Moscou. A l’age de 5 ans Alia suit les cours de musique et de piano. Dès son enfance elle est lauréate des concours nationaux et internationaux. Elle a fait ses études à l’Univertsité d’Etat de musique Schnittke et obtenu son diplôme de pianiste (classe de Mozdikov A.V.). Elle a donné des nombreux concerts, participé aux plusieurs féstivals et concours. Actuellement, elle est aussi professeur de musique dans une école musicale à Moscou.
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Nataliya Brazhkina
Née à Moscou en 1992 lauréate de concours internationaux.
Elève de Tibere Rafalli (conservatoire d’Aix en Provence) et d’Ekaterina Oblezova, artiste émérite de la Fédération de la Russie, Université d’Etat de Culture et d’Art de Moscou
Depuis 2012 Nataliya a entamé une carrière internationale grâce au mécénat de la famille Escudier.
Nataliya se produit en Russie, France, Italie et Allemagne.
Actuellement Nataliya est en stage au Piccolo-Opera et se produit sur la scène de l’ Helikon Opera de Moscou.
Son répertoire est riche de musique russe, française, allemande, italienne, tchèque et anglaise avec des compositeurs tels que Tchaikovskiy, Gounod, Mozart, Dvorak, Hendel.
Nataliya enseigne le chant dans la classe des jeunes de la Maison de la Culture et de la Créativité à Moscou..
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Vera Senkovskaja
Née à Irkutsk, en Sibérie, non loin du Baïkal, Vera fait ses études de chant lyrique et de chef de choeur à Moscou à l’Institut de musique de A.Shnittke. Attirée par l’opéra français elle étudie au Conservatoire d’ Aix-en-Provence pour apprendre le répertoire français dans la classe de Tibere Raffalli et Alexandra Delannoy. Admise au Conservatoire (Musikakademie ) de Kassel en Allemagne elle chante dans le Choeur du Theater Municipal de Kasse .
Son répertoire est très vaste, Handel, Vivaldi, Pergolesi, Mozart, Rossini, Puccini, Bellini, Tchaikovsky, Rachmaninov, R.Strauss, Schumann,Wolf, Gounod, Duparc, Faure, Ravel, Poulenc et Britten
Datcha Kalina
315 Chemin des Petites Fourques
13510 Éguilles
Sur le stand de LarissaNoury (membre d’Artcorusse), artiste peintre et auteur de l’ouvrage “Couleurs dans la ville” et de Linda Bastide poète qui presente ses poëmes traduit en russe par Larissa Noury. Plus de renseignements sur Larissa Noury: ( CLIQUEZ ) Renseignements sur Linda Bastide: ( CLIQUEZ ).
(De gauche à droite) Larisssa Noury et Linda Bastide.
Jury composé de : Evgueni Bounimovitch, agnès Desarthe, Gérard Conio, Françoise Genevray et Irène Sokologorsky. La cérémonie s’est déroulée en présence de S. E. l’Ambassadeur de la Fédération de Russie Monsieur Alexandre Orlov, avec en ouverture le discours de monsieur Casanova responsable de la culture à la Mairie du V° arrondissement ( Debout à gauche sur la photo).
La remise du prix Russophonie s’ est déroulé dans la salle des fête de la Mairie du V° en présence de très nombreuses personnalitées du monde des lettres français et russes venus tout spécialement de Russie et d’un nombreux public.
Discours de félicitation du S.E. Monsieur Alexandre Orlov.
Le Prix Russophonie 2015 a été décerné à Hélène Sinany, agrégée de russe.
Normalienne, agrégée de russe Hélène Sinany a enseigné à la Sorbonne
avant de travailler pendant de nombreuses années comme traductrice à l’ONU. En 2014, elle traduit le livre Le Persan d’Aleksandre Ilichevski (Ed. Gallimard).
“Ilia Doubnov rentre dans sa ville natale, en Azerbaïdjan, après de nombreuses années passées à l’étranger. Devenu un géophysicien reconnu, il retrouve son grand ami d’enfance nommé Hachem, d’origine iranienne, qui avait dû fuir son pays pour rejoindre cette zone frontalière après la révolution de 1979. Les deux protagonistes sont passionnés depuis toujours par la science et y consacrent leur vie, chacun à sa manière : Ilia travaille pour un grand groupe pétrolier alors que Hachem essaie de fonder une société utopique où règnerait une harmonie parfaite entre l’homme et la nature. Dans cette région extrêmement polluée, Ilia décide de rejoindre le combat de Hachem et de tout faire pour sauver de l’extinction l’outarde houbara, un oiseau chassé par les fauconniers arabes jusque dans les contrées les plus éloignées de l’Asie centrale. Lorsque des émirs arrivent et essaient d’attraper les dernières outardes pour satisfaire «le Prince», l’utopie se transforme peu à peu en combat… “
Alexandre Viktorovitch Ilitchevski (Александр Иличевский) (né le 25 novembre 1970, à Soumgaït, en République socialiste soviétique d’Azerbaïdjan) est un écrivain et poète de langue russe, lauréat du Prix Booker russe en 2007 pour son livre Matisse et du prix Bolshaïa Kniga en 2010 pour Le Persan. Entre 1985 et 1987, Ilitchevski étudie à l’École de physique et mathématiques Andreï Kolmogorov, rattachée à l’Université d’État de Moscou. En 1993, il reçut son diplôme de théorie physique de la Faculté de physique générale et appliquée de l’Institut de physique et de technologie de Moscou1. Entre 1991 et 1998, il mène des recherches scientifiques en Israël et en Californie. En 1998, il retourne à Moscou pour se consacrer exclusivement à la littérature, et réside actuellement en Israël.
“Le Persan” est un récit poétique et rythmé dans lequel Alexander Ilichevsky nous conduit en Azerbaïdjan où se cristallisent la plupart des enjeux de notre monde contemporain : le rôle de la science, la place de l’écologie, les confrontations sociales et le fondamentalisme religieux. Le Persan est un roman aussi ambitieux qu’envoûtant, une très belle découverte.
Gleb Anatolievitch Panfilov (en russe : Глеб Анатольевич Панфилов), né le 21 mai 1934 à Magnitogorsk, est un réalisateur et scénariste soviétique et russe.
“Le Thème” a obtenu en 1979 , l’Ours d’Or à Berlin
Cinéma Le Grand Action
5 rue des Écoles 75005 Paris
Tél: 01 43 54 47 62
Métro : Cardinal Lemoine ou Jussieu
Après une répétition au “Potager du Dauphin” à Meudon, anciennement Internat St Georges. On peut voir: Sacha Vikouloff, Micha Iaremenko, Nicolas Komaroff-Kourloff, Mariamna Lodygensky Selezneff, Aliona Jacquet Apreleff, Micha Tcherkassky, Marie Kalinine, Nastassia Zvouk, Alexis Moussine-Pouchkine, André Chestopaloff, Marie Pri, Natalia Trocina, Nat Mp et Ivan Cherkassof, sous la direction de Pétia Jacquet-Pritkoff
Ancien élève de ce collège, Pétia Jacquet-Pritkoff dirige et compose les arrangements et orchestrations en s’inspirant de mélodies traditionnelles. Ces arrangements mettent en valeur les différents timbres des instruments de l’orchestre.
L’Orchestre de balalaïkas Saint-Georges réunit aujourd’hui vingt-trois musiciens qui se partagent six registres pour six tailles d’instruments (piccolo, prima, secunda, alto, basse chantante, contrebasse). L’originalité de l’orchestre est d’être uniquement constitué par la famille des balalaïkas ce qui est un phénomène rare, même dans le pays de la balalaïka, la Russie. La balalaïka prima est la soliste de l’orchestre, elle se joue au doigt et non au plectre ce qui permet d’obtenir une riche palette de sonorités. Sa technique est d’autant plus surprenante que deux de ses trois cordes sont accordées à l’unisson (mi, mi, la).
Plus de renseignements sur l’orchestre de St Georges: ( CLIQUEZ )
Dans le folklore russe, en cuisinant et en mangeant des blinis, les Slaves marquaient l’éveil de la nature et le retour de la chaleur. La forme et la couleur des blinis rappellent le disque du soleil qui irradie. Fête héliocentrique donc, païenne et chrétienne comme la chandeleur. Elle équivaut aussi à notre mardi gras ou carnaval.
Maslenitsa est toujours célébrée au cours de la semaine qui précède le Grand jeûne, c’est-à-dire le Grand Carême orthodoxe (les sept semaines avant Pâques, les 40 jours que Jésus passa dans le désert). L’année liturgique orthodoxe comprend de nombreux jeûnes associés aux différents interdits alimentaires.
« Un duo qui fonctionnait au quart de mesure avec des chants traditionnels russes et des compositions plus contemporaines. Au fil du concert, Véronika traduit et explique ses chansons avec humour, gentillesse et un grand professionnalisme. » / Ouest France, 2014
Leur rencontre consacre l’amitié séculaire qui unit la France et la Russie
L’ensemble ukrainien de danses populaires BARVINOK, sous la direction de son directeur artistiques Vladimir Dilchuk. Spectacles d’une rare beauté et d’une extrème fraîcheur, avec 20 danseurs de l’âge de nos collégien et lycéens avec des costumes chatoyants, une musique entraînante, des acrobaties, des prouesses dansées, des sourires et une énergie débordantes, pour la plus grande joie et admiration du public. Un émerveillement, une forte émotion et un vrai bonheur pour les yeux et l’âme…
Dans l’Essonne:
ETAMPES, salle des fêtes Samedi 7 février à 20h30
BREUILLET, Gymnase Ruiz Vendredi 13 février à 20h30
SAINT – VRAIN, Gymnase Beltoise Samedi 14 février à 20h30
ITTEVILLE, Espace G. Brassens Dimanche 15 février à 17h
En Charente – Maritime:
SAUJON (17600) Mardi 17 février à 21h
SAINT GERMAIN de LUSIGNAN (17500)Mercredi 19 février à 20h30
Le Dît de la campagne d’Igor: le manuscrit fut découvert en 1795. Le comte Alexis Moussine- Pouchkine, collectionneur dilettante était passionné par toutes sortes d’antiquités. L’un de ses commissaires se rendit chez l’archimandrite IOÏL, qui assurait la garde du monastère Saint-Pantelejmon de Pskov. Il lui vendit un recueil relié intitulé «Le chronographe» qui comprenait deux compilations d’histoire générale et d’histoire russe, une œuvre d’origine byzantine, l’autre d’origine arabe et trois fragments des «exploits de Digénenis Akritas», épopée byzantine du Xème siècle. Parmi ces œuvres se trouvait «La Geste de l’Ost d’Igor».
Jean Blankoff, professeur émérite à l’université libre de Bruxelles depuis 1996, membre de l’Académie Royale d’Archéologie depuis 1985, en a réalisé la traduction française retenue par les Editions d’Art du Rameau d’Or. Il livre à l’appréciation des bibliophiles cette version revue par ses soins en 1997. Il nous permet d’entonner ce Chant, captivant comme celui du grand poète-devin Boïan, majestueux et puissant comme un fleuve russe, souple comme une herbe de la steppe et plaintif comme l’incantation de la princesse Iaroslavna.
Rencontre organisée par Jean-Paul Martin, Galerie JPM, 55 Av. Marceau 75116 Paris
Le festival a le plaisir d’ouvrir cette nouvelle année sa dixième édition. Afin d’illustrer le thème Corps et âmes, il a été choisi d’inaugurer 2015 avec la magnifique adaptation du livre de Boulgakov, qui en donne une version magistrale.
“Coeur de chien”(Собачье сердце)
de Vladimir Bortko
Avec Evgeni Evstigneev, Vladimir Tolokonnikov, Boris Plotnikov.
“Un professeur et son assistant prélèvent l’hypophyse d’un chien pour la mettre dans le cerveau d’un SDF. Ce dernier devient alors despotique avec son entourage”. Fable sociale et politique des années 20 à Moscou, d’après une nouvelle de Mikhaïl Boulgakov.
La nouvelle Cœur de chien a été écrite pour le journal littéraire Les Entrailles (Niedra) en 1925, mais elle ne sera pas publiée alors car elle est jugée contre-révolutionnaire.
Publiée à l’étranger, elle le sera pour la première fois en URSS dans le numéro 6 du journal L’Etendard (Znamia) en 1987.
L’entrepôt: 7 Rue Francis de Pressensé, 75014 Paris – M° Pernety – Velib 61 rue Pernety
Tarif 8€ / Tarif R éduit6,5€ / gratuit pour les membres de l’AAFEE (pass à 50€ / 20€ pour les étudiants
Les 6èmes Journées Européennes du Livre Russe et des Littératures Russophones se dérouleront à Paris.
En avant-première de notre manifestation, nous vous proposons une invitation au voyage avec
Sylvain TESSON, Cédric GRAS, Astrid WENTLANDT, Philippe GUICHARDAZ, Irina MUZYKA
et Emeric FISSET, à travers les grands espaces de la Russie.
“SUR LES TRACES DE MICHEL STROGOFF”
ENTRÉE LIBRE
La 6èmes édition des Journées du Livre Russe vous invite également pour un autre voyage au cœur de la
RUSSOPHONIE : une MOSAÏQUE EUROPÉENNE
que nous visiterons avec des écrivains de l’Europe. Voir sur le site ( CLIQUEZ)
En 2015, cet événement accueillera de nombreux écrivains russophones ainsi que leurs traducteurs,
artistes et russophiles remarquables comme Danièle SALLENAVE, Boris AKOUNINE, Zakhar PRILEPINE,
Yana VAGNER, Max FREI, Marina STEPNOVA, Alexandre ILICHEVSKY, Léna ELTANG, Mihail
CHEMIAKIN, Sylvain TESSON, André MARKOWICZ, Anne COLDEFY-FAUCARD, Luba JURGENSON,
Bernard KREISE, Paul LEQUESNE ….
Un riche programme de tables-rondes et de rencontres marquera cette 6ème édition.
Les Journées ont pris au fil du temps l’ampleur d’un festival avec des expositions, des ateliers, des
lectures, des concerts et un festival de cinéma au studio La Clef (Paris 5e).
Les Journées Européennes du Livre Russe et des Littératures Russophones se dérouleront à la Mairie du Vème
les 30 et 31 janvier 2015 (Mairie du Ve – 21, place du Panthéon, Paris).
Vous trouverez le programme complet des Journées sur notre site : www.journeesdulivrerusse.fr
Traditionnelle soirée du Nouvel An russe au Balzac avec la projection d’un classique de la comédie russe : “Les douze chaises”, de Leonid Gayday (URSS, 1972, 161’) “Un ancien aristocrate Ippolit Vorobyaninov mène une vie misérable en Union Soviétique. Sa belle-mère lui confie (sur son lit de mort) où elle aurait caché ses précieux diamants. Elle les aurait caché dans une des douzes chaises du salon, maintenant dispersées dans tout le pays à cause du partage des biens orchestré par le régime soviétique. Vorobyaninov et un pseudo-artiste Ostap Bender commence un long périple à la recherche des diamants, dans une ambiance burlesque”.Un film adapté du roman satirique d’Ilf et Petrov paru en 1928.
A l’entracte, musique, vodka et dégustation de spécialités russes.
Mardi 13 janvier à 19h30
Soirée opéra sur grand écran avec “La Khovantchina”, de Moussorgsky, filmé en 2012 au Théâtre Mariinsky de Saint-Petersbourg, sous la direction musicale de Valery Gergiev, mise en scène : Leonid Baratov (1960), Yuri Alexandrov (2000). Avec Sergei Aleksashkin, Vladimir Galuzin, Yevgeny Akimov.
“Epopée tragique et bouleversante aventure humaine, La Khovantchina n’est pas le nom de l’héroïne de cet opéra (à l’instar de La Traviata, La Tosca ou La Norma) : le mot signifie « l’affaire Khovansky » et désigne un complot du prince Ivan Khovansky contre le tsar Pierre le Grand. C’est donc dans les affres de l’histoire tourmentée de la Russie que se déploie cette formidable épopée liée au destin du peuple russe – d’où la place très importante des chœurs qui expriment l’âme de ce peuple dans son combat jamais terminé pour la liberté. Mais cette fresque brutale animée d’un souffle lyrique peu commun refuse toute théâtralité conventionnelle : c’est ce qu’a bien compris le grand metteur en scène russe Dmitri Tcherniakov dans ce spectacle filmé à l’Opéra de Munich. Inscrivant l’histoire de la Khovantchina dans l’univers russe qui est à la fois celui d’un certain présent et celui d’un passé qui rôde dans ce présent, il éclaire avec une rare puissance tragique tous les climats de cette œuvre aux éclats multiples”.
Écrite entre 1872 et 1880, l’œuvre était incomplète et n’avait pas encore été jouée à la mort du compositeur en 1881. Nikolaï Rimski-Korsakov reprit le matériau laissé par Moussorgski et y apporta de nombreux changements ; cette version remaniée est restée pendant longtemps celle qui fut le plus souvent jouée. Mais en 1958-59, Dmitri Chostakovitch réorchestra l’œuvre d’après l’édition critique de l’original : sa version, révélée par une représentation au Théâtre Mariinsky de Saint-Petersbourg en 1960, est plus respectueuse de l’esprit de l’œuvre. La représentation donnée en 2012, sous la direction musicale de Valery Gergiev, s’inscrit dans la continuité de cette recréation.
Avec accueil champagne ! Zakouskis en vente à l’entracte.
Samedi 17 et jeudi 22 janvier à 11h
Nouveau au Balzac !Nous vous emmenons visiter les plus grands musées du monde, sans quitter le confort de votre fauteuil… Première escale : Saint-Petersbourg et le musée de l’Ermitage. Deux séances : samedi 17 ou jeudi 22 janvier à 11h. Tarif unique 15 euros.
Mardi 20 janvier à 20h30
“L’Homme à la caméra”, de Dziga Vertov. Le ciné-oeil de Dziga Vertov parcourt en toute liberté la ville d’Odessa. Ce grand classique du cinéma soviétique ressort dans une magnifique version restaurée en numérique 2K avec, pour la première fois, l’image plein cadre.
“Je suis un œil Un œil mécanique Moi, c’est-à-dire la machine, je suis la machine qui vous montre le monde comme elle seule peut le voir Désormais je serais libéré de l’immobilité humaine Je suis en perpétuel mouvement Je m’approche des choses, je m’en éloigne / Je me glisse sous elles, j’entre en elles / Je me déplace vers le mufle du cheval de course / Je traverse les foules à toute vitesse, je précède les soldats à l’assaut, je décolle avec les aéroplanes, je me renverse sur le dos, je tombe et me relève en même temps que les corps tombent et se relèvent…Voilà ce que je suis, une machine tournant avec des manœuvres chaotiques, enregistrant les mouvements les uns derrière les autres les assemblant en fatras. Libérée des frontières du temps et de l’espace, j’organise comme je le souhaite chaque point de l’univers. Ma voie, est celle d’une nouvelle conception du monde. Je vous fais découvrir le monde que vous ne connaissez pas.” (Extrait du manifeste du Ciné-Œil – 1923)
Le film sera accompagné au piano par Nicolas Worms. Tarif normal 10 euros – Moins de 26 ans 7 euros.
Cinéma Le Balzac,
1 rue Balzac, 75008 PARIS www.cinemabalzac.com
Possibilité d’achet des billets sur le site
Courriel : info@cinemabalzac.com
Le Consulat Honoraire de Russie à Lyon et son équipe ont le plaisir de vous informer de l’événement organisé à l’occasion de
«L’ANCIEN NOUVEL AN RUSSE» le mardi 13 janvier 2015
Nous vous proposons de vous joindre à nous lors de la soirée thématique le soir du 13.01.2015 à 19h30 au restaurant Viva Bodega !
ATTENTION! Adresse de l’événement : Restaurant VIVA BODEGA au 22 Rue du Progrès, 69800 Saint-Priest
Ne manquez pas une excellente occasion de communication!
Vous pouvez réserver votre table d’entreprise et organiser une sortie corporative pour vos collègues et leurs familles !
Le tarif «Soirée+dîner» 55€ inclus les animations pour les grands et les petits :
* Ambiance russe typique
* Dîner festif du Nouvel An fourni par le traiteur 100% Sainte Russie
* Vodka traditionnelle de 40° à partager entre amis – et à consommer avec la moderation!
* Espace discothèque avec notre DJ Deduchka Moroz (le Père Noël russe)
La réservation est obligatoire !
Nous restons à votre disposition pour tout renseignement complémentaire,
Samedi les 10 et 24 janvier, 7 février, 7 et 21 mars 2015 à 17h
LA JEUNE FILLE AU CARTON À CHAPEAU en russe : Дeвущка с кoрoбкой (film de Boris Barnet, 1927) comédie burlesque et lyrique, chef d’oeuvre du cinéma soviétique, sur une musique composée par le pianiste Vadim Sher, avec la violoncelliste Marie Gremillard
“Natacha Korosteleva fabrique des chapeaux à domicile qu’elle livre ensuite à Madame Irène, modiste à Moscou. Au cours d’un de ses déplacements, elle fait la connaissance d’Ilia Snegirev, un jeune ouvrier d’origine provinciale. Afin de lui venir en aide, elle contracte avec lui un mariage fictif. Ilia pourra ainsi être logé dans une des chambres de Madame Irène. Un jour, celle-ci paie Natacha au moyen d’une obligation d’emprunt à lots. Au tirage au sort, l’obligation vaut 25 000 roubles. La propriétaire du magasin et son époux tentent alors d’influencer Natacha afin de récupérer la somme d’argent. En pure perte. Natacha constate, dans le même temps, l’attitude désintéressée d’Ilia. Elle choisit alors de devenir réellement son épouse.”
Samedi les 17 et 31 janvier, 21 et 28 février, 28 mars 2015 à 17h
FLORILÈGE AU FIL DES NEIGES (sept dessins animés de 1927 à 1997) où se croisent clowns, danseurs, ours, tortue, personnages tendres et drôles au rythme de musiques traditionnelles d’Europe de l’Est, d’œuvres de Tchaïkovski, Prokoviev, Khatchatourian… avec le pianiste Vadim Sher et le violoniste Dimitri Artemenko
“Une sélection de sept films d’animation présentant une large palette d’époques et de techniques. La Mouffle, entourée de marionnettes en laine, s’anime en basculant d’une sonatine de Dvorzàk vers une mélodie de Prokofiev. Parassolka au cirque, dessiné à la manière de Disney, installe son chapiteau dans le tourbillon virtuose d’une danse traditionnelle roumaine, puis entre en piste sur les accords de Fritz Kreisler. La gouache saisissante de la Fantaisie de Noël nous dépeint l’histoire de Pétrouchka qui cherche sa bien-aimée au son d’une composition originale et la retrouve sur un thème de Tchaïkovski… Un joyeux collage musical où les morceaux classiques glissent vers les airs traditionnels sur la neige si fréquente dans ces films….”
L’esprit de Noël se poursuit avec la célébration du Noël orthodoxe
le mercredi 7 janvier 2015 (accueil à partir de 20h).
A cette occasion, la paroisse russe de Tous les Saints à Strasbourg et l’Académie de musique et d’Arts « Konsonance » en partenariat avec l’église Saint-Guillaume et avec le soutien du Consulat général de Russie de Strasbourg, proposent un concert caritatif exceptionnel au profit de la construction de l’église orthodoxe russe à Strasbourg.
Au programme, œuvres de :
· Tchaïkovski
· Rachmaninov
· Boudachkine
· Beljaev
· Tsigankov
Interprétées par des solistes internationaux :
· Tatiana Ciobanu, piano (Moldavie)
· Kristina Fish, domra (Russie)
· Maxime Ganz, violoncelle (France)
· Svetlana Katchour, soprano (Allemagne)
· Inga Kazantseva, piano (France)
Paroisse Saint-Guillaume
1 rue Munch
67000 Strasbourg
Trio MAKARENKO
Anne Makarenko, piano
Micha Makarenko, balalaïka
Pierre Makarenko, hautbois
Musique de Tchaïkovski, Andreïev, Rachmaninov, Volochine…
Le Voyage à St Pétersbourg
La balalaïka, russe, le piano, orchestral, le hautbois, aérien, ce trio de musique de chambre tout à fait hors du commun vous entrainent au cœur de l’âme tourmentée et joyeuse de la Russie.
Le Voyage à St Pétersbourg, avec ses musiques traditionnelles et classiques transcrites et interprétées par le Trio Makarenko, vous donne à entendre un répertoire tout à découvrir.
La lune brille, Valse russe, Le bouleau, Je vous ai rencontrée, Seul sur la route, Kalinka… dressent devant vous leurs paysages de neige et de rêve pour vous inviter au voyage.
Depuis quand… ou plutôt… n’avez-vous jamais déjà entendu le son d’une balalaïka ? Vous savez, cet instrument triangulaire, à seulement trois cordes…vous ne pouvez imaginer l’amplitude et la richesse de sa palette sonore sous les doigts d’un véritable virtuose de la balalaïka, Micha Makarenko.
Berliner Philharmonie
Herbert-von-Karajan-Str. 1
10785 Berlin
DEUTSCHLAND
Tel.: +49 (0)30 254 88-0
Jérôme Lefranc et Maryvonne Pellay vous invitent à fêter
le nouvel an russe au Kremlin-Bicêtre.
17 heures : concert avec le trio Makarenko Anne : piano Micha: balalaïka Pierre: hautbois
Musique classique et traditionnelle russe (Rachmaninov, Tchaïkovski, Chalov, etc.)
Plus de renseignements sur le trio : http://www.triomakarenko.com/
19 heures : buffet et boissons franco-russes, chant et danse à volonté.