Le trio Tricord’ parcourt l’histoire, la tradition et l’évolution de cet instrument très riche malgré ses trois cordes qui est passé du milieu paysan aux oreilles aristocratiques pour gagner sa place dans la musique actuelle, tant populaire que savante. Le trio Tricord’ arrange pour leur formation légère des airs traditionnels et des compositions russes, mais aussi des mélodies des Balkans et même quelques emprunts à d’autres genres musicaux.
Serge Vlassenko etAlexandre Vallaeys, tous deux d’origine russe, ont été bercés par les sonorités de la balalaïka dont ils jouent depuis leur enfance. La passion pour cet instrument a poussé Serge Vlassenko à se rendre à Moscou en pleine ère soviétique pour l’étudier dans l’école « Révolution d’Octobre », fleuron de l’académie Gnessine.
Alexandre Vallaeys est musicien pluri-instrumentiste (guitare, contrebasse…). Il a étudié la balalaïka contrebasse au conservatoire russe Rachmaninov. Ses compétences en lutherie en font un des rares à pouvoir remettre en état et entretenir cette famille d’instruments.
Marianne Entat a étudié le violon classique puis s’est tournée vers les musiques traditionnelles. C’est d’abord en Roumanie, grâce à un apprentissage par transmission directe, à l’oreille, qu’elle s’est familiarisée avec un répertoire très riche. Elle y a découvert un usage du violon tourné vers les fêtes, l’expression des émotions quotidiennes et l’accompagnement de danse, et appris des techniques particulières qui ont suscité l’intérêt de musicologues et compositeurs comme Bela Bartok. Ensuite, elle a élargi son répertoire vers le Nord et l’Ouest (Russie et Hongrie) et vers le Sud (Grèce et Balkans).
Le Trio sera accompagné de l’accordéoniste Victor Korsakov avec qui, ils partagent leur passion pour la musique russe.
À partir de la fin du XIXe siècle, les Russes de la jet-set sont si nombreux à Biarritz qu’un quart de la population de la ville parle la langue du tsar. Chaque mois de septembre s’ouvre la “Saison Russe”. Des cortèges d’aristocrates et leurs familles arrivent en trains wagons-lits de Saint-Pétersbourg pour respirer le bon air marin atlantique avant de retourner affronter les rigueurs de l’hiver dans la Russie Impériale. Constantin, Wladimir, Alexis, Boris, Cyrille, aucun Grand-Duc ne manque à l’appel. Cette “Saison Russe” offre à la ville des fêtes somptueuses dont le faste reste encore dans les mémoires et Biarritz est alors le théâtre d’une vie insouciante et raffinée.
Il était temps qu’une boutique russe rouvre ses étales !
Vous pouvez trouver les produits traditionnels russes: des produits alimentaires comme le caviar , vodka, selëdka, semechki, pelmeni, vareniki, sarrasin, le halva, le zéfir, kefir, souchki et beaucoup d’autres produits de Russie, Biélorussie, Bulgarie, Ouzbékistan, Kazakhstan, Pologne….. BIENVENUE.
La “Bibliothèque Tourguéniev” fut et reste «la» bibliothèque de l’émigration russe. L’idée avait été suggérée à Tourgueniev par un jeune nihiliste contraint à l’exil, Herman Lopatine.
En 1900 la bibliothèque compte 3 500 volumes, en 1925 il y en a dix fois plus. De Berberova à Tsvetaeva, bien des Russes émigrés viendront emprunter des livres dans cette précieuse officine qui change plusieurs fois d’adresse sans jamais trop s’éloigner du Quartier latin. En 1939, sise 13 rue de la Bûcherie (un local attribué par la préfecture de la Seine deux ans plus tôt), la bibliothèque Tourgueniev compte près de 100 000 volumes, tous fruit de dons. En septembre 1940, dans Paris occupé, l’Allemand Rosenberg met la main sur ce trésor. Dans 900 caisses, la bibliothèque part pour l’Allemagne. Et disparaît.
Une partie semble avoir brûlé à Berlin. Un soldat russe de l’armée Rouge ramassa même un livre encore intact (un catalogue de l’Ermitage) portant l’estampille de la bibliothèque il en fera don ultérieurement au musée Tourgueniev de Bougival où on peut le voir près d’un autre, une traduction russe de Baudelaire, les deux portant le même cachet: «bibliothèque Tourgueniev du Val-de-Grâce» (le 9, rue du Val-de-Grâce fut l’une de ses adresses).
Grâce aux dommages de guerre, la bibliothèque emménage dans de nouveaux locaux au 11 rue de Valence (en bas de Mouffetard dans 5e arrondissement), où elle est toujours. De nouveaux dons constituent le début d’un nouveau fonds, l’Etat français aide à l’achat de quelques collections et la bibliothèque ouvre de nouveau au public vers 1960.
Expositions Mairie du 16ème du jeudi 17 au dimanche 20 septembre, de 10h00 à 18h00
Exposition Toutounov.
– La Russie vue de la fenêtre du train.
Grilles de la mairie et hall d’entrée, RDC / Entrée libre
– Moscou, de 1900 à 2000.
Salle de la rotonde, 2e étage / Entrée libre
– « La guerre et la paix » au travers du regard des artistes russes.
Hall 2e étage / Entrée libre
– Peinture deSerguei Toutounov.
Salle des commissions, 2e étage / Entrée libre
Musique Vendredi 18 septembre Nikita Mndoyants (piano) Salle des fêtes, 2e étage à 20h / Entrée libre
Conférences:
Vendredi 18 septembre – “Le siècle Russie” Salle des fêtes, 2e étage à 15h / Entrée libre
Samedi 19 septembre
– “Les saintes demeures de l’âme russe”
Salle des mariages, 2e étage à 16h / Entrée libre
– “Poutine”
Salle des fêtes, 2e étage à 17h / Entrée libre
Dimanche 20 septembre à 14h00 – De la guerre à la paix : la vie et l’œuvre de Léon Tolstoï
Salle des mariages, 2e étage / Entrée libre
Table ronde Jeudi 17 septembre de 9h00 à 12h00 Partenariat France-Russie : hier, aujourd’hui, demain Assemblée Nationale, 101 rue de l’Université Paris 7e / Entrée sur inscription obligatoire à partir du 1er septembre en précisant nom, prénom, date et lieu de naissance, organisme et fonction / Inscription après confirmation sous réserve des places disponibles / Pièce d’identité exigée à l’entrée.
Samedi 19 septembre Comment le dit-on en russe ? Salle de la rotonde, 2e étage à 14h00 et à 15h00 / Entrée libre
Inscription conseillée auprès de la Mairie au 01 40 72 16 35
Master-class Vendredi 18 septembre à 16h00 et dimanche 20 septembre
Peinture d’icônes, par Alla et Serguei Smirnov, membres de l’Union des peintres de Russie. Cours de la mairie, RDC à 17h / Entrée libre,
Inscription conseillée auprès de la Mairie au 01 40 72 16 35
Chant/Danse Samedi 19 septembre à 20h00 et dimanche 20 septembre à 16h00 Nuits moscovites Salle des fêtes, 2e étage / Entrée libre
Spectacle pour enfants Dimanche 20 septembre Voyage dans le monde des contes russes Salle des fêtes, 2e étage à 15h00 Entrée libre
Cinéma Vendredi 18 septembre à 11h00 Sélection « Quand les Russes rient »
« La nuit du carnaval » (Карнавальная ночь) Majestic Passy, 18 rue de Passy, Paris 16e /
Entrée gratuite sur présentation du dépliant.
Samedi 19 septembre à 11h00
Sélection « Quand les Russes rient » « Romance de bureau » (Служебный роман)
Majestic Passy, 18 rue de Passy, Paris 16e
Entrée gratuite sur présentation du dépliant
Dimanche 20 septembre à 11h00
Sélection « Quand les Russes rient » « Moscou ne croit pas aux larmes » (Москва слезам не верит) Majestic Passy, 18 rue de Passy, Paris 16e
Entrée gratuite sur présentation du dépliant.
Marché russe Du jeudi 17 au dimanche 20 septembre, de 10h00 à 18h00 Rousskaïa iarmarka (Русская ярмарка):
– ÉPICERIE ET TRAITEUR
– LIBRAIRIE
– ARTISANAT ET SOUVENIRS
– ICONES
– VOYAGES
Cours de la mairie, RDC / Entrée libre
Organisé par
Association Dialogue Franco-Russe 120, avenue des Champs Elysées 75008 Paris Tel. 01 53 89 60 16 / Fax 01 53 89 60 17
Au programme : 10 films de fiction et 2 documentaires, dont 6 avant-premières.
L’avant-première, à l’ouverture du festival, du nouveau film d’Alexandre Sokourov « Francofonia » sera sans doute un événement marquant. Le réalisateur et scénariste russe, Maître émérite des arts de Russie, Artiste du peuple de Russie sera présent à la cérémonie d’ouverture et à la soirée « Leçon de cinéma » que propose la cinémathèque de Nice.
Programme du Festival
Lundi 21 septembre
19:00 – Cinémathèque de Nice
« Leçon de cinéma » d’Alexandre Sokourov
Mardi, 22 septembre
16:00 – Cinémathèque de Nice Avant-première en présence de l’équipe du film Souschinski : la vérité sur la guerre Réalisation : Anna Dorob 2015, studio Vozrojdenie, 41 min, documentaire Le film parle du travail difficile de Vladimir Souschinski, caméraman de guerre. Il réunit des chroniques de la Seconde guerre mondiale filmées par Souschinski et ses collègues ainsi que des témoignages de cette terrible période de guerre. Dans ce documentaire sont également inclus des interviews avec le caméraman de guerre, Boris Sokolov, des vétérans de la Seconde guerre mondiale et des caméramans d’aujourd’hui.
20:00 – Cinéma Variétés Cérémonie d’ouverture
Avant-première en présence d’Alexandre Sokourov Francofonia, le Louvre sous l’occupation
Réalisation : Alexandre Sokourov
Scénario : Alexandre Sokourov
Avec Louis-Do de Lencquesaing, Vincent Nemeth, Benjamin Utzerath, Johanna Korthals Altes
2014, France/Allemagne/Russie, 88 min, couleur, docu-fiction
Voilà qu’un siècle encore a passé dans le Vieux Continent… De lourdes armées foulent le cœur de la civilisation et de nouveaux canons frappent les villes. Dans le massacre et les ruines, le beau, le magnifique, le sacré, créé au cours de millions de minutes et d’heures de labeur obstiné, est anéanti… A travers l’histoire de la collaboration de Jacques Jaujard et du Comte Franziskus Wolff Metternich pour la préservation des trésors du Musée du Louvre, Sokourov explore les rapports entre l’art et le pouvoir, et questionne ce que l’art nous dit de nous-mêmes au cœur même de l’un des conflits les plus meurtriers qu’ait connu le monde.
Mercredi 23 septembre
16:00 – Cinémathèque de Nice L’Arc-en-ciel
Réalisation : Mark Donskoï
Scenario : Vanda Vassilevska
Avec Natalia Oujvi, Nina Alissova, Valentina Ivacheva, Gans Klering
1943, studio de Kiev, 86 min, noir et blanc, fiction
Ce film, réalisé dans des conditions très difficiles pendant la guerre, raconte la lutte héroïque des habitants du village ukrainien de Nova Lebedivka contre les nazis à travers le destin d’Olena Kostiouk, une femme ukrainienne qui, malgré les tortures inhumaines subies, n’a pas dénoncé ses camarades partisans. Le destin de ce personnage, symbole du courage et de la force du peuple, ne laisse personne indifférent. Le film a pour origine une vieille croyance russe qui assure que les arcs-en-ciel sont un heureux présage.
18:00 – Cinémathèque de Nice
Film inédit Le Printemps dans la rue Zaretchnaïa
Réalisation : Félix Mironer et Marlen Khoutsiev
Scénario : Félix Mironer
Avec Nina Ivanova, Nikolaï Rybnikov
1956, studio d’Odessa, 90 min, noir et blanc, fiction
Tatiana est une jeune diplômée de l’institut pédagogique. Fraîchement nommée, elle doit enseigner la langue russe et la littérature à des adultes, dans un cours du soir. L’un de ses élèves, Sacha Savtchenko, est le meilleur fondeur de l’usine mais, trop sûr de lui-même, il n’est pas habitué à ce que les filles lui résistent… Or Tatiana refuse ses avances. Dépité, Sacha abandonne les cours, il joue l’indifférent mais il comprend peu à peu qu’il est vraiment amoureux… Le film, qui connut un grand succès populaire à sa sortie, est aujourd’hui encore considéré par les historiens et les critiques du cinéma, non seulement comme l’un des films majeurs de la période du dégel, mais comme l’un des chefs-d’œuvre du cinéma soviétique.
20:00 – Cinéma Pathé Masséna
Soirée commémorative dédiée à l’escadrille Normandie-Niémen
Avant-première en présence de l’équipe du film Normandie-Niémen. Monologue
Réalisation : Iegor Klimovitch
Scénario : Kristina Abramian
2015, studio Kedr, 52 min, couleur, documentaire
Le film consacré à l’histoire de l’escadrille légendaire franco-soviétique Normandie-Niemen est construit sur des monologues. Toutes les histoires évoquées sont racontées par les acteurs de ces événements ou par leurs proches. Qui sont ces gens, devenus des légendes de l’aviation franco-russe ? Quelles histoires humaines, parfois les plus extraordinaires, composaient l’histoire générale du célèbre régiment ?
Jeudi 24 septembre
10:00 – Cinémathèque de Nice
Gosfilmofond de Russie, pour le jeune public
Réservé aux scolaires sur réservation Projection de dessins animés.
En présence de Garri Bardine
16:00 – Cinémathèque de Nice
Hommage à Alexandre Alexeïeff, graveur, illustrateur et réalisateur de films d’animation, inventeur de l’écran d’épingles Films d’animation d’Alexandre Alexeïeff
Une Nuit sur le Mont Chauve, 1933, 9 min
En Passant, 1944, 1 min 32
Le Nez, 1963, 12 min
Tableaux d’une exposition, 1972, 10 min
Trois Thèmes, 1980, 8 min
Pure Beauté, 1954, 1 min
18:00 – Cinémathèque de Nice Quand passent les cigognes
Réalisation : Mikhaïl Kalatozov
Scénario : Victor Rozov
Avec : Tatiana Samoïlova, Alexeï Batalov
1957, studio Mosfilm, noir et blanc, fiction
La guerre sépare Boris et Veronika, deux jeunes Moscovites amoureux. Toujours amoureuse de Boris, mais sans nouvelles de lui, Veronika épouse Mark, cousin de Boris.
Le film connut un triomphe à Cannes en 1958 et remporta, par ailleurs, des prix prestigieux dans de multiples festivals internationaux. Tatiana Samoïlova dans le rôle de Veronika eut une grande part dans son succès. Avec un naturel bouleversant, elle exprime la complexité des sentiments qui la torturent : un amour sans faille pour Boris, amour insouciant et confiant au début, obscurci soudain par la séparation qu’impose la guerre, et devenu tragique par la trahison que constitue son mariage.
20:00 – Cinéma Pathé Masséna
Avant-première Le lichen des caribous
Réalisation : Vladimir Toumaev
Scénario : Valeri Bakirov, Savva Minaev
Avec Evgueni Sangadjiev, Galina Tikhonova, Irina Mikhaïlova, Piotr Basnaïev
2014, studio DC-Film, 98 min, couleur, fiction
L’histoire se déroule dans la toundra du Grand Nord, au-delà du Cercle Polaire, et montre de manière authentique le quotidien et les traditions du peuple Nenets. Le jeune Aliocha se marie pour céder à l’insistance de sa mère : le foyer familial ne doit pas être vide, la lignée ne doit pas s’éteindre. Mais son cœur bat depuis dix ans pour une jeune fille qui est allée vivre sur le continent. Pourtant, chaque jour, Aliochka scrute la route. Chaque jour, il attend son amour impossible.
Vendredi 25 septembre
10:00 – Cinémathèque de Nice
Gosfilmofond de Russie, pour le jeune public
Réservé aux scolaires sur réservation Projection de dessins animés.
En présence de Garri Bardine.
14:00 – Cinémathèque de Nice
70e anniversaire de la fin de la Seconde guerre mondiale
Film inédit Les meurtriers sont en chemin
Réalisation : Vsevolod Poudovkine, Iouri Taritch
Scénario : Manuel Bolchintsov, Vsevolod Poudovkine
Avec Mikhaïl Astangov, Boris Blinov, Alexandre Violinov
1942, studio TsOKS, 64 min, noir et blanc, fiction
Le film, réalisé d’après la pièce de Bertolt Brecht « Grand-peur et misère du IIIe Reich », essaie d’expliquer le mécanisme d’oppression de la personnalité dans un Etat totalitaire despotique et de recréer l’atmosphère d’hypocrisie et de peur dans laquelle était plongé le peuple allemand. Le propos du film ne rentrait pas dans la ligne officielle de l’URSS, c’est pourquoi il a été relégué aux oubliettes pendant de longues années. Il est toutefois un des films inscrits à jamais dans l’histoire du cinéma soviétique.
16:00 – Cinémathèque de Nice
Film inédit Le traînard du ciel
Réalisation : Semion Timochenko
Scénario : Semion Timochenko
Avec Nikolaï Krutchkov, Vassili Merkouriev, Vassili Neschiplenko
1945, studio Lenfilm, 82 min, noir et blanc, fiction
Ce film est l’histoire de trois pilotes, amis de combat, qui ont juré de ne pas tomber amoureux « même des filles les plus belles » avant la fin de la guerre. Mais, après avoir fait connaissance avec les pilotes de l’ « escadrille des femmes », les trois pilotes oublient, l’un après l’autre, leur promesse. Les chansons de cette comédie musicale ont été enregistrées en URSS sur des disques vinyle en des millions d’exemplaires.
18:00 – Cinémathèque de Nice
Film inédit Une fois la nuit
Réalisation : Boris Barnet
Scénario : Fiodor Knorre
Avec Boris Andreïev, Ivan Kouznetsov, Nikolaï Doupak, Irina Radtchenko
1944, studio d’Erevan, 77 min, noir et blanc, fiction
C’est la guerre. Sur une petite ville soviétique occupée par les Allemands tombe un avion en flammes. Une jeune fille d’un milieu modeste décide, au risque de sa vie, de cacher et d’aider des pilotes soviétiques sérieusement blessés. Barnet est considéré, à l’instar de Tarkovsky, comme un cinéaste ayant l’expression la plus complexe et singulière du cinéma soviétique
20:00 – Cinéma Pathé Masséna
Avant-première en présence de l’équipe du film La Bataille pour Sébastopol
Réalisation : Sergueï Mokritski
Scénario : Iegor Olessov, Maxime Dankevitch, Maxime Boudarine, Léonid Korine
Avec Julia Peresild, Ievguéni Tsyganov, Nikita Tarassov, Joan Blackham, Vitali Linetski, Vladimir Lilitski
2015, Russie-Ukraine, 118 min, couleur, fiction
Le film retrace la véritable histoire de Ludmila Pavlitchenko, femme tireur d’élite devenue une légende. Sur les champs de bataille elle a vu la mort et les souffrances, mais c’est l’amour qui est devenu pour elle l’épreuve la plus sérieuse, l’amour que la guerre pouvait lui prendre. Le slogan du film Une femme qui a changé le cours de l’Histoire rappelle son rôle dans l’ouverture d’un second front en Europe. Pendant sa tournée dans les villes américaines, organisée par Eleanor Roosevelt, Ludmila a prononcé à Chicago ces mots devenus célèbres : « J’ai vingt-cinq ans et j’ai déjà tué trois cent neuf nazis. Ne croyez-vous pas, gentlemen, que vous vous cachez depuis trop longtemps derrière mon dos ? »
Samedi 26 septembre
14:00 – Cinémathèque de Nice
Gosfilmofond de Russie, pour le jeune public
Projection de dessins animés
En présence de Garri Bardine La Nounou
Réalisation : Garri Bardine
Scénario : Garri Bardine
1997, studio Stayer, 25 min, animation poupées
Une nuit de Nouvel An, dans une maison huppée, un petit garçon dont personne ne s’occupe invente avec des bouts de chiffons, un gant de boxe et une paire de patins à roulettes, une nounou idéale pour meubler sa solitude. Et comme dans les contes de fées, la poupée prend vie et prépare une fête à la hauteur de l’émerveillement de l’enfant.
La Nounou et les pirates
Réalisation : Garri Bardine
Scénario : Garri Bardine
2001, studio Stayer, 26 min, animation poupées
De joyeuses aventures sur la mer, parfois dangereuses, du Garçon et de Nounou.
16:00 – Cinémathèque de Nice Il était une petite fille
Réalisation : Viktor Eisymont
Scénario : Vladimir Nedobrovo
Avec : Nina Ivanova, Natalia Zaschipina
1944, Soyouzdetfilm, 69 min, noir et blanc, fiction
La vie de deux petites filles, Nastia et Katia, dans le blocus de Leningrad. Le froid, la famine, les traversées de la ville pour aller chercher l’eau dans la Neva, la mort de la mère, une blessure : les enfants ont supporté tous les tourments de la guerre, à côté des adultes. Malgré la guerre et le blocus, Nastia et Katia reviennent toujours dans leur monde des enfants avec des poupées et des chansons enfantines. Le film a été en partie tourné dans Leningrad soumis au blocus.
18:00 – Cinémathèque de Nice
En présence de Garri Bardine Fioritures
Réalisation : Garri Bardine
Scénario : Garri Bardine
1987, Soyouzmoultfilm, 10 min, film d’animation
D’un petit fil de fer naissent tous les ingrédients ou ornements du récit – un homme, des arbres et des fleurs, une maison, un chien, une femme, une palissade… et des barbelés !
Le Vilain petit canard
Réalisation : Garri Bardine
Scénario : Garri Bardine
2010, studio Stayer, 75 min, film d’animation
Adapté du conte éponyme d’Andersen et décliné sur le mode de la comédie musicale, l’histoire se déroule dans une basse-cour où un oisillon bien différent des autres voit le jour. Coqs, poules, canards et oies se moquent de lui et le mettent rapidement à l’écart. Le vilain petit canard est chassé des lieux. Il découvre plus tard qu’il est en réalité un beau cygne. La musique de Tchaïkovski, des ballets « Le lac des cygnes » et « Casse-Noisette », est arrangée par le compositeur Sergueï Anachkine.
20:00 – Cinéma Pathé Masséna Cérémonie de clôture
Avant-première en présence de Renat Davletiarov Ici les aubes sont calmes
Réalisation : Renat Davletiarov
Scénario : Iouri Korotkov, Artem Vitkine, Renat Davletiarov
Avec Piotr Fiodorov, Anastassia Mikoultchina, Genia Malakhova, Agnia Kouznetsova, Sofia Lebedeva, Kristina Asmous, Iekaterina Vilkova, Anatoli Bely, Daria Moroz, Viktor Proskourine
2015, studio « Real-Dakota », « Interfest » et « Nache kino », 115 min, couleur, fiction
D’après le récit éponyme de Boris Vassiliev. Mai 1942, la guerre fait rage. Quelque part en Carélie, les cinq servantes d’une batterie de D.C.A., qui pour la plupart n’ont pas encore vingt ans, et leur supérieur, l’adjudant-chef Vaskov, doivent faire face à une situation imprévue : un commando allemand a débarqué en ce lieu éloigné de la ligne de front. Il importe d’en informer d’urgence l’État-Major. Mais la liaison est coupée, le petit groupe se retrouve dans l’isolation complète et ne peut plus compter que sur lui-même pour agir. L’ennemi a pour mission de s’enfoncer aussi loin que possible dans les arrières soviétiques, et de détruire tous les objectifs vitaux qu’il trouvera sur son trajet. Vaskov et ses cinq filles livrent un combat inégal contre les commandos allemands armés jusqu’aux dents…
ENTREE GRATUITE
Les projections des films auront lieu avec la participation d’artistes, de régisseurs, producteurs, historiens et critiques du cinéma.
• Cinéma Pathé Masséna
31 Avenue Jean Médecin, 06200 Nice
• Cinéma Variétés
5 Boulevard Victor Hugo, 06000 Nice
A partir du 20 août (jeudi) à 15h00 dans le château Saint-Michel débute l’exposition “Estampes populaires laïques” “Светский лубок” de la fin du XVIII au début du XX siècles de la collection du Musée russe.
Cette exposition du Musée russe de sa collection d’estampes populaires, la première exposition a été consacrée à l’image spirituelle du peuple en 2012. Ces estampes (Loubok) décoraient aussi bien les appartements bourgeois que ceux des marchands les plus pauvres, les maison d’artisans, les stations urbaines ainsi que les chambres d’officiers dans les salles du château Mikhaïlovski.
Cette exposition présente environ 100 œuvres retraçant l’histoire de l’estampe laïque qui était commune dans la moitié du XIX iècles. Malgré le fait que le nombre des estampes soit faible, ces œuvres se distinguent par une surprenante variété de genres et de sujets (y compris le fabuleux, épique, combat et ménages), qui à notre époque attire l’attention des experts et le public. Sont présentés aussi des estampes et lithographies originales uniques, qui ne se trouvent pas dans d’autres collections. Beaucoup d’entre elles n’ ont jamais été affichées auparavant.
L’exposition présente les différents types d’impression populaire à partir des chiffres nationaux avec des histoires et des poèmes sur les vacances, pour les thèmes de campagne, les blagues sur le thème de la vie quotidienne, y compris obscènes le plus populaire.
En fait, l’estampe est une étape intermédiaire entre l’art populaire et des impressions professionnelles. Des histoires basées sur les motivations des festivités et des personnages connus dans de nombreuses parties du pays, caricaturés avec des textes caustiques et parfois inconvenantes, à condition de l’unité du genre de “domaine culturel” entre les paysans et la population dans différentes régions de l’Empire russe.
Mais peu à peu l’estampe laïque devient un moyen de propagande de l’idée nationale. Blagues populaires, lignes modifiées de Pouchkine, Koltsov et de la fable, et des images colorées qui deviennent de plus en plus attrayantes au fur et à mesure de l’amélioration de la technologie de fabrication.
Le visiteur de cette exposition au Château Mikhaïlovski, verra des sujets traditionnels (tels que les souris et chat funéraires) et les estampes patriotique, consacré à la guerre russo-japonaise de 1904.
L’exposition durera jusqu’en octobre 2015
Château des ingénieurs, (Mikhaïlovski)
Rue Sadovaya Saint Pétersbourg
Ouverture :
Lun, mer, ven, sam, dim – 10h00-18:00 nocturne les Jeu – 13h00-21 heures 00
Guéorgui Chichkine est un artiste-peintre russe, résidant à Monaco depuis de 1998. Il est connu notamment comme l’auteur du cycle des tableaux “Rêves Russes”, comme maître du portrait et comme dessinateur de timbres-poste pour la Principauté de Monaco. Il vit entre Monaco, Moscou et Paris. Guéorgui vient d’exposer à l’Atrium Raignier III, ami du Prince Albert II et de la Princesse Charlène et de très nombreuses personnalités du monde artitiques, il a le privilège d’exposer ses œuvres dans la cathédrale Notre-Dame-Immaculée de Monaco jusqu’à la fin septembre.
Guéorgui Chichkine faisant visiter son exposition.
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La cathédrale Notre-Dame-Immaculée a succédé à l’église Saint-Nicolas qui fut détruite en 1874. La première pierre de la cathédrale a été posée le 6 janvier 1875. Les travaux ont été achevés le 12 novembre 1903, mais elle n’a été consacrée qu’en 1911. Elle est visitée toute l’année par de très nombreux touristes venant du monde entier, elle abrite quelques trésors artistiques remarquables comme le retable de saint Nicolas réalisé par l’artiste niçois Louis Bréa en août 1500. Elle renferme également les tombes de la plupart des Princes, dont celles de Rainier III et son épouse la Princesse Grace.
Les Voix de la Néva. Chœur mixte de la Ville de Saint-Pétersbourg
Direction : Serguey Svoysky
“Nuit Blanche à Saint-Pétersbourg”. Liturgie et chœurs orthodoxes. Chants poétiques et populaires de Russie.
Autres concerts en France:
Lundi 24 août à 20h30.
Vierzon (18) Eglise Notre-Dame
Place de l’Eglise Notre-Dame 18100 (Tarif 0 : 16-12-9 €)
Espace Culturel Leclerc 48, Ave de la République 18100 Vierzon Tél. : 02 48 83 00 43
L’église Notre-Dame de Villeneuve l’Archevêque a été commencée au XIII° siècle ; la première travée, dont le somptueux portail nord et son abondant décor sculpté, ainsi que le clocher et les murs des bras de transept datent de cette époque. Les travaux se sont poursuivis vers 1530-1540 avec l’achèvement du transept et la construction du choeur.
Le 22 août est la Journée du Drapeau de la Russie conformément au décret présidentiel de 1994. Le drapeau tricolore a officiellement remplacé le drapeau rouge de l’URSS en août 1991, suite au putsch de Moscou. Le 22 août 1991, le président de la République socialiste fédérative soviétique de Russie (RSFSR) Boris Eltsine a proclamé le drapeau bleu-blanc-rouge nouveau drapeau de la Russie.
L’histoire commence avec le drapeau russe en 1698, quand le drapeau tricolore a flotté sur le premier navire de guerre russe “Eagle”.Plus tard, en 1705, Pierre Ier légalisat le drapeau tricolore russe comme le drapeau des navires marchands de l’Empire russe. Le 7 mai 1883, son utilisation fut autorisée à terre et il devint le drapeau national lors du couronnement de Nicolas II en 1896. Symboliquement les trois bandes sont interprétées comme le tsar (blanc), le ciel (bleu) et le peuple (rouge). La couleur rouge signifierait « la souveraineté, la puissance », le bleu – la couleur de la Vierge Mère, protégeant la Russie, le blanc – la couleur de la liberté et de l’indépendance. Ces couleurs signifieraient aussi la communauté des trois Russies : blanche, petite et grande.
Le 22 août est un jour férié en Russie.
Drapeau avec les armoiries russes flottant sur le Kremlin.
Pour cette édition 2015, le Festival de l’Art Russe nous revient pour la 18e année avec une programmation toujours aussi éclectique, véritable panorama des arts et expressions artistiques de la Russie. En nous dévoilant les talents de ses artistes et ses séduisants folklores et traditions, le Festival nous mène aux origines de cette fameuse “âme russe”, si complexe à appréhender et si attachante.
Une coproduction Ville de Cannes, Palais des Festivals et des Congrès, Direction des Programmes Internationaux – Avec le concours des Ministères de la Culture et des Affaires Etrangères de la Fédération de Russie – Producteur général : Tatiana Shumova.
DURÉE ET TARIFS:
23 et 27 août : 1re série : Public 36 € – Réduit 33 € – Abonné 30 €
2e série : Public 30 € – Réduit 27 € – Abonné 24 € – Jeunes -25 ans 12 € 26 août : Public 25 € – Réduit 22 € – Abonné 19 € – Jeunes -25 ans 12 €
BILLETTERIE
Du lundi au samedi de 10h à 18h Tél: +33 (0)4 92 98 62 77
et 1 heure avant chaque représentation sur le lieu du spectacle
Forfait parking à 5,5 € la soirée (18h à 2h) : Parking Palais des Festivals et des Congrès.
Lors de ce second Festival de la Confiture, après le succés de celui de 2014, il y aura des grands événements à travers Moscou, qui se dérouleront avec le soutien de la municipalité.
Traditionnellement, le festival mettra en vedette des chefs du monde entier et Moscovites qui vous feront à cette occasion goûter aux confitures d’outre-mer préparée selon des recettes les plus exotiques. Les participants du festival des chefs de 40 régions russes de Carélie à la Crimée, et de Tver à Krasnoyarsk, ainsi que des invités étrangers de 15 pays: Italie, Thaïlande, Azerbaïdjan, Espagne, Lettonie, Mexique, Arménie, Belgique, Grèce, France, Israël, du Bélarus et d’autres. Le Festival sera situé dans tout Moscou. Il y aura 173 chalets et 67 restaurants. En outre, les visiteurs seront divertis par cinq chalets avec animation, 21 chalets de ventes, quatre scènes et sept maisons avec des animaux. Les résidents et les visiteurs seront en mesure de faire un voyage savoureux grâce à “la pomme de carré”, “Grape Street”, “Raspberry Lane”, “front de mer gras”, “pont de noix” et d’autres endroits avec des noms appétissants.
Les principaux événements auront lieu sur la place Pouchkine, le site du festival prendra environ 4 mille mètres carrés. Cette année, les invités du festival une fois encore feront une énorme tarte aux pommes pesant 250 kilogrammes. La largeur des friandises géantes sera au moins deux mètres, et la longueur et d’atteindre quatre mètres de hauteur. Bon appétit!
Vous pourrez acheter, goûter et apprendre à cuisiner des confitures avec divers fruits et baies sucrées, participer à des concours et des flash mobs, écouter des musiciens et même apprendre à danser.