Une plaque va être apposée 84 rue de Lourmel 75015 Paris
La Maire de Paris a fixé la date de l’inauguration de la rue Marie Skobtsov à 11h15 jeudi 31 mars (jour anniversaire de sa mort à Ravensbrück le 31 mars 1945 et 125e anniversaire de sa naissance) à 11h 15.
Cette rue créée récemment est située au niveau du 84 rue de Lourmel presque face au 77 rue de Lourmel
Paru une première fois en 2000 chez un autre éditeur, la biographie de Marie Skobtsov reparaît actualisée ; en effet, depuis, en 2004 exactement, Mère Marie Skobtsov a été canonisée par le Patriarcat de Constantinople et est donc appelée aujourd’hui par de nombreux orthodoxes Sainte Marie de Paris !
Un appétit de vivre incroyable
Mère Marie Skobtsov ou sainte Marie de Paris, en russe Мать Мария (Скобцова), née Elisabeth Pilenko le 8 (21) décembre 1891 à Riga, dans le gouvernement de Livonie qui faisait alors partie de l’Empire de Russie et morte le 31 mars 1945 à Ravensbrück, est une poétesse, mémorialiste et membre de la résistance française, devenue religieuse orthodoxe. Elle a été canonisée comme martyre de la Foi par l’Eglise orthodoxe (Patriarchat de Constantinople) le 16 janvier 2004, fille d’un procureur de Riga, elle montre dès sa jeunesse un appétit incroyable de vivre et comprendre le monde. Éprise à 15 ans d’un des plus grands poètes russes de l’époque Alexandre Block, hélas ! inaccessible, elle épouse à 18 ans l’un de ses compagnons,un juriste féru de littérature, Dimitri Kouzmine-Karavaïev, quatre ans plus tard elle a un enfant avec un inconnu, divorce de son premier mari qui deviendra catholique, puis prêtre, spécialiste de l’orthodoxie, elle se remarie en pleine révolution russe avec un officier russe blanc, Danili Skobtsov, qui lui donne très vite deux autres enfants.
Après bien des péripéties, la petite famille aboutit à Paris, dans le XV° où Lisa va rencontrer Serge Boulgakov et Nicolas Berdiaev au sein de la jeune Action chrétienne des étudiants russes (l’ACER, toujours bien vivante aujourd’hui !) Elle va alors entamer un approfondissement spirituel qui la conduira à demander la consécration religieuse à Mgr Euloge, évêque orthodoxe de l’immigration russe. Elle prend en 1932 le voile sous le nom de Mère Marie, sans toutefois jamais divorcer de son cosaque qui restera toujours amoureux d’elle… Deux ans plus tard, elle ouvre un foyer à Paris, 77 rue de Lourmel (15°) pour accueillir plus d’une centaine de russes dans le besoin. Jusqu’en 1938, le fameux père Lev Gillet (le « moine d’Orient », si bien décrit plus tard par Elisabeth Behr-Sigel), en sera le chapelain, le père Dimitri Klépinine lui succèdera.
Déportée après une lâche dénonciation
Puis, quand arrive la guerre, Mère Marie, femme au tempérament de feu, « fougueuse etincontrôlable moniale » (p.119), se dépensera sans compter, aidée du Père Dimitri, pour sauver des Juifs. Mais, après une lâche dénonciation, ils seront arrêtés par la Gestapo le 10 mars 1943, de même que Youri, le fils de 19 ans de Mère Marie qui se destinait à devenir prêtre et un quatrième ami. Ils seront déportés tous quatre et mourront dans un camp, les hommes à Dora, Mère Marie à Ravensbrück ; elle y sera gazée au printemps 1945, en prenant la place d’une femme juive, peu de temps avant la libération du camp, mais non sans avoir fortement impressionné par sa bonté, sa force et sa foi nombre de ses compagnes de captivité, dont une certaine Geneviève de Gaulle…
Ce livre, dont le style s’apparente parfois à celui d’un roman, peut être une première introduction intéressante au lecteur qui ne connaît pas encore cette Mère Marie, à la vie aussi bien remplie qu’originale ! Un film sur sa vie a été tourné en 1982, avec Lioudmilla Kassatkine dans le rôle principal.
Inauguration officielle le 31 mars 2016 à 11h 15.
Marie Skobtsov. Sainte orthodoxe victime du nazisme (1891-1945)
Découvrez une exceptionnelle sélection de dessins du Musée des beaux-arts Pouchkine
Zinaide SEREBRIAKOV (1884-1967) Autoportrait à l’écharpe, 1911 Aquarelle,détrempe sur papier 368 x 296 mm
À l’occasion de son 25ème anniversaire, le Salon du dessin prévoit une programmation exceptionnelle et invite pour la première fois dans ses murs un musée étranger à présenter une partie de son fonds de dessins. Pour la première fois un ensemble de dessins provenant uniquement du Musée d’État des Beaux-Arts Pouchkine sera dévoilé en France.
– Exposition inédite en France –
Alexandre Kouprine (1880-1960) Architecture de l’ancienne Russie, 1918 Aquarelle, gouache, crayon, encre de Chine, pinceau sur papier
1927 : Schtchoukine donne au Cabinet de Gravure une collection de dessins français datant des XVIIe et XVIII e siècles et comprenant des œuvres d’Antoine Watteau, Jean-Honoré Fragonard, Jean-Baptiste Greuze, ou encore Hubert Robert. 1930 :Le musée de l’Ermitage remet au Cabinet de Gravure 626 dessins de Rubens, Poussin et autres, la plupart des œuvres provenant de collections européennes et russes bien connues, comme la collection de Karl Cobenzl ou celle d’Heinrich von Bruhl, respectivement acquises en 1768 et 1769 par Catherine II de Russie. De nombreuses feuilles reçues de l’Ermitage présentent les marques des collectionneurs parisiens Alfred Beurdeley et Charles-Eugène Bérard.
1948 : À la suite de la dissolution du Musée d’Art Moderne de Moscou, le Musée des Beaux-Arts Pouchkine reçoit plus de 600 dessins de maîtres occidentaux de la fin du XIXe siècle et du début du XX e siècle : des dessins de Renoir, Degas, Van Gogh, Modigliani, Matisse, Picasso, Kandinsky, Klee, Mark, Nolde, et d’autres artistes majeurs.
1966 : Le Cabinet de Gravure est déplacé dans un bâtiment séparé du musée appelé “Maison des Arts Graphiques”.
1969 :Le professeur Alexey Sidorov (1891-1978) fait don de sa collection de 616 dessins et gravures européens au Musée. Le don de Sidorov est non seulement le plus grand des années d’après-guerre, mais aussi le plus précieux par la qualité des dessins, la plupart de maîtres allemands et italiens. Les chefs-d’œuvre de cette collection sont un rarissime dessin de Albrecht Dürer de 1495, Putti dansant et jouant de la musique, et des feuilles d’Hendrick Goltzius, Allaert van Everdingen, Charles-Joseph Natoire ou encore d’Adolph von Menzel.
1972 : Le Musée achète une remarquable collection de l’écrivain Ilya Ehrenbourg comprenant notamment des dessins d’Henri Matisse, Fernand Léger, George Grozs, Jean (Ivan) Puny et de Jules Pascin.
À partir de 1946: Lydia Delektorskaya, collaboratrice et modèle d’Henri Matisse et grande amie du Musée, fait don de 96 dessins de l’artiste (y compris les croquis et les albums). Parmi les autres personnalités qui ont réalisé un don au Département depuis cette date, figurent Marc Chagall, sa fille Ida qui a offert les premiers dessins de Chagall ainsi que Nadia Kho
Vassily KANDINSKY (1866-1944), Composition ” Ж ” (“Voix”), 1916
Le commissaire de l’exposition, Vitaly Michine, conservateur des dessins français, a sollicité tous les conservateurs de deux des départements du musée pour sélectionner les 26 dessins qui seront montrés à l’occasion de l’exposition : le département des collections privées et la collection du département des arts graphiques du Musée d’État des Beaux-Arts Pouchkine.
Parmi les 26 dessins, 17 dessins russes, dont 3 issus de la Collection privée Zilberstein, et 9 dessins occidentaux.
En 2016, 4 galeries rejoindront pour la première fois les allées du Palais Brongniart, qui viendront confirmer l’excellence de la sélection des dessins modernes et contemporains montrés au Salon : Hélène Bailly Gallery Galerie Jacques Elbaz Éric Gillis Fine Art Martin Graessle Kunsthandel D’autres exposants reviennent au Salon du dessin, il s’agit de (les noms des galeries sont suivis des dates de leur dernière participation) : Galerie AB (2014) Galerie de la Béraudière (2014) Galerie Karsten Greve (2014) Galerie Haboldt • Pictura (2013)
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Le Palais Brongniart inauguré en 1826, le lieu abritera les activités boursières françaises pendant plus d’un siècle et demi, et a donc été en quelque sorte, l’équivalent de Wall Street à New York ou encore du London Stock Exchange à Londres en tant que siège de la Bourse française.
Cependant l’informatique ayant fait peu à peu son entrée, les actions sont désormais négociées en continu par le biais d’un système informatique mis en place depuis juin 1986, les sociétés de Bourse étant toutes reliées entre elles et bénéficiant des cotations en temps réel.
Palais de la Bourse– Palais Brongniart
28 Place de la Bourse, 75002 Paris
Métro : Place de la Bourse (ligne 3)
Horaires : 12h00 – 20h00 du mercredi 30 mars au lundi 4 avril 2016 inclus
Fermeture le lundi 4 avril à 20h00
Nocturne le jeudi 31 mars jusqu’à 22h00
Tarifs :
15 €, catalogue offert dans la limite des stocks disponibles
étudiants jusqu’à 25 ans et les groupes : 7,50 € et gratuit pour les moins de 18 ans
Projection du film documentaire “Le cercle évangélique de Vassily Polenov“. Le film sera présenté par Natalya Polenova, arrière-petite-fille du peintre Vassily Polenov et directrice du Musée Vassily Polenov en Russie.
Portrait de Vassily Dimitrievitch Polenov par Répine
Vassily Dmitrievitch Polenov (1844-1927), fut membre du mouvement réaliste des Ambulants en Russie auprès d’Ilia Répine, Viktor Vasnetsov, Ivan Kramskoï, Ivan Chichkine. Grand peintre de paysage, il voyagera en France, à Paris, en Normandie. En 1891, il entreprend un voyage au Moyen-Orient pour réaliser un cycle d’oeuvres sur la vie de Jésus Christ. La plus célèbre de ces oeuvres, Le Christ et la Pécheresse, se trouve aujourd’hui au Musée Russe de Saint Petersbourg. Ce documentaire vous propose de revenir sur les pas de Vassily Polenov lors de son voyage au Moyen Orient.
Plus de renseignements sur l’association V. Polenov: (CLIQUEZ)
Ciné club de l’Ecole du Louvre
Amphithéâtre Michel-Ange de l’École du Louvre
Palais du Louvre, Place du Carrousel, 75001 Paris, (entrée Porte Jaujard, Aile de Flore, par le Jardin du Carrousel,
Métro : Palais-Royal/Musée du Louvre, Tuileries, Pyramides.
Réservation obligatoire: Les personnes non élèves de l’Ecole du Louvre sont également les bienvenues, en envoyant leur noms et prénoms à l’adresse suivante ; cineclubecoledulouvre@gmail.com
À l’occasion du prochain centenaire de la révolution russe, Vladimir Fédorovski, écrivain d’origine russe le plus édité en France, nous propose un passionnant récit truffé d’anecdotes et de révélations sur ces événements majeurs qui ont bouleversé le siècle, du coup d’état bolchevique à l’ère de Vladimir Poutine.
Conférence à 16h, entrée gratuite.
CUM Centre Universitaire Méditerranéen 65, Promenade des Anglais 06000 Nice
Article 1 : Dans le cadre de son action de promotion des langue et culture russes, un concours est organisé par l’Association Française des Russisants (AFR), avec le soutien du Centre de Russie pour la Science et la Culture (Paris), de l’agence de voyages Tsar voyages (Paris & Moscou), des Editions Zlatooust (Saint-Petersbourg), des Editions Ophrys, des Editions L’Asiathèque, de l’association « Lettres russes » (Paris), de la Librairie du Globe (Paris), de la Librairie des Editeurs Réunis (Paris), de l’Association France-Oural, de l’épicerie russe Prestige (Paris), du Restaurant « Le Zakouski » (Paris), du Théâtre des Champs-Elysées (Paris) et des cinémas Gaumont Pathé Live intitulé “Écris une nouvellepolicière russe” (en français).
Ce concours est destiné aux élèves des établissements scolaires français, publics et privés, qu’ils apprennent ou non le russe.
Trois catégories de participants sont ouvertes, selon le niveau scolaire:
– Elèves des classes de CM1 et CM2 des écoles primaires
– Elèves des collèges, de la 6e à la 3e
– Elèves des lycées, de la seconde à la Terminale
Article 2 : Conditions de participation. Les participants composeront en français un texte de fiction dans le genre policier, en lien avec la Russie, dans lequel ils devront utiliser un certain nombre de mots (liste jointe). Ces mots devront être soulignés dans le texte. Le texte est limité à 15 000 caractères (espaces non compris) en police Times New Roman, taille 12. Les pages seront numérotées et le nombre de caractères indiqué à la fin du texte. Le texte devra être envoyé uniquement par courrier électronique et sous deux formats : – Un exemplaire au format .DOC ou .ODT avec le nom de l’élève
Un exemplaire au format .PDF ne comportant pas le nom de l’élève (pour préserver l’anonymat) L’envoi doit être fait avant le samedi 30 avril 2016 à l’adresse suivante : concours2016@afr-russe.fr. Chaque participant joindra à son envoi le formulaire ci-joint contenant : nom, prénom, adresse postale, adresse électronique (courriel), téléphone, lieu d’études, âge, – ainsi que la phrase suivante : « J’autorise l’AFR à publier l’intégralité ou un extrait de mon texte sur son site, dans ses publications, dans une publication à part sous forme de recueil, et à le montrer dans des expositions publiques itinérantes. », le tout suivi de la date et de la signature du participant. Remarque à l’attention des élèves de collèges et lycées : en cas de participation de plusieurs élèves d’une même classe dans le cadre d’un travail collectif, nous demandons au professeur de présélectionner cinq textes au maximum et de les envoyer dans les mêmes conditions.
Article 3 : Sélection et publication des œuvres. Un jury compétent sera réuni par l’AFR. Il sélectionnera les meilleurs textes, appréciera la qualité et l’originalité de l’œuvre ainsi que le respect du thème et des consignes. Toute tentative de plagiat entraînera le rejet du texte. L’AFR avisera directement les lauréats par courrier électronique. Les œuvres primées paraîtront sur le site de l’AFR et pourront éventuellement être montrées dans des expositions publiques itinérantes et faire l’objet d’une publication à part sous forme de recueil.
Article 4 : Récompenses
Chaque catégorie de participants se verra décerner trois prix (Premier prix, Deuxième prix, Troisième prix) : livres, DVD, CD, bons d’achat, cadeaux divers, tous liés à la Russie. IMPORTANT: il ne sera décerné qu’une seule récompense par œuvre. En tenir compte en cas de travail en groupe.
Article 5 : Réclamations La participation à ce concours implique l’acceptation pleine et entière du présent règlement par les participants
Liste de mots imposés:
Les élèves devront obligatoirement utiliser dans la liste ci-dessous :
– 10 mots pour les élèves des écoles primaires .
– 15 mots pour les élèves des collèges .
– 20 mots pour les élèves des lycées.
Ces mots devront être soulignésdans le texte final.
2) Noms propres (géographiques ou autres): Moscou, Saint-Petersbourg, Irkoutsk, Sotchi, Kremlin, Loubianka, Bolchoï, Oural, Sibérie, Kamtchatka, Baïkal, Volga, Transsibérien, Jigouli, Pravda, Pierre le Grand, Catherine II, Fabergé, Tchaïkovski, Tolstoï, Malevitch, Plissetskaïa, Noureev, Gagarine, Michel Strogoff.
Les élèves sont libres d’insérer des notes de bas de page à l’attention des lecteurs (les notes de bas de page ne comptent pas dans le nombre de caractères) et restent libres d’utiliser en plus d’autres mots de la réalité russe.
Bulletin d’inscription:
au concours “Écris une nouvelle policière russe”
Ce bulletin d’inscription et l’œuvre associée sont à envoyer, avant le samedi 30 avril 2016 minuit,par courrier électronique à l’adresse : concours2016@afr-russe.fr
Numéro de téléphone de l’établissement : ……………………………………………………………………..
Eventuellement nom du professeur de russe (si l’élève étudie le russe) : …………………………….……….
Eventuellement nom du professeur de français (si travail dans le cadre scolaire) : ………………………….
Adresse personnelle de l’élève :
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…………………………………………………………………………………………………………………..
…………………………………………………………………………………………………………………..
Numéro de téléphone des parents :…………………………………………………………………… ……….
Adresse électronique des parents : ……………………………………………………………………………..
En cas de coordonnées différentes :
Numéro de téléphone de l’élève :……………………………………………………………………….……….
Adresse électronique de l’élève :……………………………………………………………………….……….
Je confirme mon inscription au concours ” “Ecris une nouvelle policière russe” organisé par l’Association Française des Russisants (AFR). Je déclare que le texte que je présente est une création personnelle et réalisée spécialement pour ce concours.
Titre de la nouvelle: ……………………………………………………………………..………..………..…..
…………………………………………………………………………………………………………………..
Important : afin d’assurer l’anonymat, ne mettez pas votre nom sur le document PDF !
J’accepte les conditions énoncées dans le règlement du concours. J’autorise l’AFR à publier l’intégralité ou un extrait de mon texte sur son site, dans ses Bulletins de l’AFR, dans une publication à part sous forme de recueil, et à le montrer dans des expositions publiques itinérantes.
Date :…………………………………………………………………………………………………………….
Signature de l’élève : Signature des parents :
(précédées de la mention manuscrite : « Lu et approuvé »)
“Le bâtiment du Bolchoï” a été pendant de nombreuses années considéré par tous comme l’une des principal attractions de Moscou, il est réouvert au public le 20 Octobre 1856 lors du couronnement d’Alexandre II.
Place du Bolchoï avant la révolution.
Le 29 octobre 2002 la troupe de théâtre aura une nouvelle scène sur laquelle se déroulait et ses activités au cours de la rénovation complète d’un bâtiment historique, “- rapporté sur le site du théâtre. La modernisation et la restauration du bâtiment historique a duré 6 ans jusqu’en 2011.
Il est à l’identique de l’ancien Théâtre du Bolchoï, avec ses colonnes sumonté d’un quadrige de bronze d’Apollon Pyotr Klodt.
Au Bolchoï se sont produites les plus grandes légendes de l’opéra et de ballet, comme une ballerine Maya Plissetskaïa, Galina Ulanova, les chanteur d’opéra Galina Vishnevskaya et Irina Arkhipova, ainsi que bien d’autres étoiles.
Théâtre Bolchoï en 1895
Voir sur Artcorusse plus de renseignements et la restauration:
Conférenceà 15h30, animée par Ariane Dollfus expliquera l’argument du ballet, ses origines, sa composition, son histoire au fil des années, la place que l’oeuvre occupe dans le répertoire du Bolchoï, qui en furent les grands interprètes… Ariane Dollfus est journaliste, historienne de la danse et auteur d’une biographie de référence, “Noureev, l’insoumis” (Ed. Flammarion)
BALLET EN DIRECT DU THEATRE DU BOLCHOÏ DE MOSCOU, EN HD ET SON 5.1
Ballet d’Alexeï Fadeyechev (d’après Marius Petipa et Alexandre Gorski) Durée : 3h10 avec entracte(s)
Le farfelu Don Quichotte part à l’aventure accompagné de son fidèle ecuyer Sancho Panza à la recherche de la femme idéale. En chemin, Don Quichotte fait la rencontre de Kitri, fille d’aubergiste qu’il s’imagine être une princesse…
“Le panache et l’excellence du Bolchoï se combinent dans la version acclamée de Fadeyechev de cette oeuvre exaltante sur une musique de Léon Minkus. De nouveaux décors et des costumes inédits accompagnent cette production riche en couleurs et en prouesses, incontournable du répertoire de la troupe russe !”
Musique : Léon Minkus Livret : Marius Petipa (d’après Miguel de Cervantes)
Chorégraphie : Alexeï Fadeyechev (d’après Marius Petipa et Alexandre Gorski)
Avec les Etoiles, les Solistes et le Corps de ballet du Bolchoï
qui vient de paraître aux éditions Alain Baudry &C°.
Dans un temps incertain, dans un pays liontain il était une fois…. une princesse Grenouille, une Poule qui pondait des œufs d’or dont personne en voulait, un Gâteau roulé qui avait du mal à rester sur place, une jeune fille promise au Bel-Aigle, un Héron qui vooulait é pouser une Grue, les deux frères Ivan, Ivan qui … Et alors? Mais encore? Qui peut y resister?? Personne, ni adulte ni enfant! C’est qu’en les écoutant, l’enfant devient adulte et l’adulte, en les lisant se transforme en enfant. Ainsi ils se retrouvent. C’est ainsi en Russie. Et pourquoi pas ailleurs? “Le soir j’écoute les contes et comble les défauts de ma maudite éducation. Que de charmes dan ces contes! Chacun est un poème!” écrivait Pouchkine. Car avant tout, ou après tout, un conte est une leçon de littérature. Et cette dernière est une leçon de Plaisir.
Olga Medvedkova
Elle est né à Moscou, vit depuis 1990 à Paris et écrit en français. Historienne d’art, écrivain et traductirice, elle est directrice de recherches au CNRS. Elle a publié de nombreux livres sur l’histoire de l’art, des traductions, une pièce de théâtre, un roman “L’Education soviètique ” Prix révélation 2014 à la Société des Gens de Lettres….
Exposition des dessins originaux de Philippe Malgouyres.
Espace TRIARTIS 19, rue Pascal, 75005 Paris
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Samedi 30 avril
Chez PIPPA Editions-Librairie-Galerie
14h- 19h: Signature et exposition des dessins originaux.
15h et 18h : Lectures.
PIPPA Editions -Librairie-Galerie 25, rue du Sommerard, 75005 Paris
Elena Koupaliantz nait à Tbilissi en 1963.
La situation politique délicate installée en Géorgie à la fin des années 80, l’oblige à quitter sa ville natale en 1991, pour aller àSaint Petersbourg.
En 1995 son destin l’emmène en France, plus précisemment en Haute Savoie, qu’elle ne quittera plus.
Études à l’École nationale supérieure des Beaux-arts de Tbilissi (Géorgie).
Depuis 2011 – membre de SLBA (Société Lyonnaise des Beaux Arts).
Depuis 2007 – membre d’A.L.A.F. (Association Les Artistes Français) soutenue par l’ONU.
Ses œuvres font partie des collections privées en France et à l’étranger (Belgique, Suisse, Angleterre, Canada, Portugal, Pays-Bas, Russie, États-Unis, Chine …).
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Larissa Mayorova est née en Russie, à Sterlitamak, elle a reçu une formation classique de peinture et de décorateur de théâtre, comme le dit son mari: “Les artistes russes ont une formation universitaire et académique très forte“. Durant de nombreuses années Larissa enseigné dans l’école d’art à Ufa, à la frontière de l’Europe et de l’Asie,elle s’installe en France en 2003, à Thonon les Bains. Elle crée ses peintures pour refléter l’environnement naturel à son sujet. Elle a été inspirée par l’art du Moyen Age, les châteaux médiévaux, son environnement français, et ses chats.
Peintre, décorateur scénographe, professeur des Beaux-Arts. Elle a fait un cycle complet d’éducation en art académique.
Pour enrichir son apprentissage, elle a aussi étudié la peinture d’icônes russes et l’art populaire.
Pris part à plusieurs salons français et expositions collectives et personnelles en Russie et en France. Ses œuvres sont dans des collections privées dans plusieurs pays.
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Svetlana Arefiev née à Moscou, en Russie, fait ses études à l’École de Beaux Arts. Travaille comme restauratrice d’oeuvres d’arts au Musée d’Architecture de cette même ville. Arrivée en France en 1994, continue à travailler dans ces deux métiers: restauratrice à Lyon, dans le riche patrimoine français et comme peintre
Peintre à l’inspiration classique et moderne, attirée par l’usure du temps sur les œuvres ancienne.
Sensible à la beauté de couleurs et plastique de peintres de la Renaissance.
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Volodia Popov-Massiaguine né en septembre 1961 à Mitchourinsk, dans la région de Tambov en Russie. Il est diplômé de l’Académie d’art industriel de Moukhina où Stieglitz (faculté de peinture monumentale) de Saint Petersbourg, dont on vient de célèbrer le 140ème anniversaire de sa création par le baron Stieglitz: (CLIQUEZ)
Voilà déjà quinze ans que Volodia vit et travaille à Paris avec sa femme française et sa fille. Il se rend souvent en Russie et pas seulement pour des expositions mais également pour se ressourcer et travailler à Riazan ou il possède un atelier et il y créé la plupart de ses œuvres.
La Chorale Russe de Paris – IZBOR existe depuis 2010 et réunit des chanteurs amateurs de tous âges férus de culture russe, russophones ou russophiles. La chorale est dirigée par Olga Rusakova, diplômée du Conservatoire Supérieur de Musique d’URSS, lauréate du concours international de chorale, médaillée et artiste émérite de la culture russe.
Olga Rusakova.
Elle a étudié la conduite de choeur au conservatoire d’Almaty et de Novossibirsk. Elle a enseigné à Krasnoyarsk où elle a dirigé plusieurs chorales dont le choeur de l’église russe orthodoxe et a fondé le choeur des enfants et de la jeunesse.
Chorale russe Izbor, sous la direction d’ Olga Rusakova, au programme : œuvres de Rachmaninov, Gretchaninov, Kedrov et Glazounov
Artistes : Valeria Michina et Edoardo Milanello (piano), Yulia Verbitskaya (violon), Ernesto Anderson Gino (violoncelle)
L’association « Art Concept » vous propose un concert consacré cette fois aux compositeurs russes ayant vécu à Paris. Fuyant le régime communiste dès les années 20, de nombreux compositeurs russes furent contraints d’émigrer vers différentes capitales occidentales, en premier lieu à Paris. Certains n’y feront qu’un passage, d’autres s’y installeront définitivement. Ce concert permet de rendre hommage à certains de ces compositeurs illustres ayant choisi la Ville Lumière comme lieu de repos et d’inspiration.
Notre programme, associant chants liturgiques et profanes et pièces musicales classiques, réunit des œuvres de compositeurs russes ayant vécu ou composé en France parmi lesquels S. Rachmaninov (1873-1943), A. Gretchaninov (1864-1956); A. Glazounov (1865-1936) et N. Kedrov (1870-1940).
Sergueï Rachmaninov, l’un des plus grands compositeurs russes, créateur de symphonies, de concerts pour piano, d’opéras, et de musiques pour chœur vécut en France de manière discontinue au début du XXe siècle, dans les années 20 et 30. Son œuvre reste très attachée à la tradition romantique russe. Il participa notamment à la création du conservatoire russe de Paris, puis en devint le président d’honneur.
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Alexandre Gretchaninov a passé la majeure partie de sa vie à composer des opéras, des symphonies ainsi que pour des chœurs, à partir de romans et de poèmes dont ceux de Pouchkine. Il résida en France de 1925 à 1939 et travailla activement avec des chœurs d’enfants. Ces créations ont malheureusement été oubliées du public, pour la plupart.
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Nicolas Kedrov, compositeur liturgique orthodoxe, professeur et chanteur, fut membre des « ballets russes » de Paris sous la direction de Serge Diaghilev. Il est l’un des fondateurs du conservatoire russe de Paris et est l’auteur de plusieurs cantiques d’église. Il vécut à Paris à partir de 1917.
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Alexandre Glazounov, dernier grand compositeur russe romantique, a écrit notamment des poèmes symphoniques, des symphonies, des ouvertures, concerti et des ballets. En 1887, il travaille avec Rimski-Korsakov pour le fameux opéra « Le Prince Igor » de Borodine.
PROGRAMME.
En première partie, des chants liturgiques et classiques composés par S.Rachmaninov, A.Gretchaninov et N.Kedrov seront interprétés par La Chorale Russe de Paris IZBOR dirigée par O. Rusakova et accompagnée de V. Michina au piano.
En seconde partie, le trio à cordes venu d’Italie EYE (violon Y. Verbitskaya, violoncelle E.A. Gino, piano E. Milane) présentera deux pièces de S. Rachmaninov et de A. Glazounov.
Venez partager ces pièces inestimables et parfois méconnues de la musique russe, une façon de re-découvrir toute la richesse de l’âme russe !
Concert : durée 1h30 environ
Temple de Pentemont : 106 rue de Grenelle – 75007 PARIS Métro: ligne 12 (Solférino / Rue du Bac) – ligne 13 (Varenne) – RER C (Orsay)
L’Homme à la caméra (en ruse : Человек с киноаппаратом) est un film soviétique réalisé par Dziga Vertov en 1929. Tourné à Odessa et d’autre villes soviétiques, le synopsis de ce film muet repose sur le quotidien de ses habitants, du matin au soir, explorant toutes les facettes du travail, des loisirs, de la ville.
Réalisateur : Dziga Vertov, de son vrai nom David Abelevich Kaufman
Scénario : Dziga Vertov
Cadreur : Mikhaïl Kaufman, son frère
Le film est célèbre surtout par son approche très éclatée, la musicalité de son montage (pour un film muet), les nombreuses techniques cinématographiques utilisées (surimpression, superposition, accééré, ralenti, etc …). Il est aussi célèbre pour sa mise en abyme (le film dans le film) : on suit l’opérateur tournant le film, on montre le montage d’une séquence de ce film et une autre scène présente un public regardant l’Homme à la caméra sur grand écran….
Ce classique du cinéma d’avant-garde russe, revu par RadioMentale, célèbre la vie quotidienne d’une grande cité soviétique, (les images ont été tournées à Odessa mais aussi à Kiev et Moscou). Cette cité moderne, ce monde industriel et urbain, ce monde de la machine et de la vitesse est filmé à travers la caméra témoin de Dziga Vertov et de son frère Michael Kaufmannà laquelle fut laissée une totale liberté d’expression. Virevoltant aux quatre coins de la ville au rythme naturel d’une journée, L’homme à la caméra parcourt un espace quotidien qu’il transfigure et réinvente. Surimpressions, trucages, poésie et innovations visuelles se conjuguent merveilleusement dans ce chef d’œuvre inoubliable.
Jean-Yves Leloup et Eric Pajot ont créé en 1992 RadioMentale, à la fois Djs et créateurs sonores, issus de la génération de l’électronique et du mixage, des influences électro et pop, s’inspirant du classique, de la musique de film comme du jazz, renouant parfois avec une certaine tradition expérimentale et avant-gardiste ; ils parviennent à créer pour chaque film sur lequel ils travaillent une bande-son unique, au service de la narration et des personnages. Mais au moment de sa sortie il n’a pas fait l’unanimité. Sergueï Eisenstein qualifie ces images de « coq-à-l’âne formalistes et de pitreries gratuites dans l’emploi de la caméra »
Centre des arts – 12-16 rue de la Libération – 95880 Enghien-les-Bains
Scène conventionnée, membre du réseau arts numériques (RAN) www.cda95.fr
Tarif: 12€
Tarif réduit pour les membres d’Artcorusse( demandez le mot de pass à ARTCORUSSE)
Samedi 19 mars 2016 en présence du Prince Dimitri Romanov et des instance religieuses orthodoxes, Mgr Nestor, Mgr Michel, parmi les officiels qui ont pris la parole lors de la cérémonie de pose figuraient, côté français, le secrétaire d’État chargé des relations avec le Parlement, Jean-Marie Le Guen, et, côté russe, l’ambassadeur de Russie Alexandre Orlov ainsi que le vice-premier ministre russe Sergueï Prikhodko, il y a eu la bénédiction des croix et la pose la plus grande des coupoles sur les cinq coupoles prévues sur le toit de cette future église (cathédrale) orthodoxe de la Sainte Trinité, quai Branly. C’est l’élément clé de l’architecture du bâtiment, celle qui accrochera en premier le regard des passants. Jean-Michel Wilmotte, l’architecte, en parle comme « un phare urbain dans le paysage parisien »… Construites par Multiplast, une entreprise vannetaise et acheminées par convoi exceptionnel à Paris, ces coupoles sont constitués de vingt pétales qui ont été dorés.
Ce samedi, uniquement la coupole centrale a été posée à 37 mètres, elle pèse neuf tonnes, fait 12 mètres de haut et 11 m de diamètre, dorée à la feuille d’or. Il a fallu une semaine pour la plus grande des coupoles et pas moins de 90 000 feuilles d’or, larges de 8 cm sur 8 cm, pour couvrir une surface de 600 m2. Technique très particulière menée par deux salariées des ateliers parisiens Robert Gohard, qui ont travaillé sur le dôme de l’Hôtel des Invalides et la place de la Concorde à Paris, ou encore la statue de la Liberté à New York. L’opération de la pose a pris toute la matinée, les quatre autres coupoles de six mètres de diamètre et de six mètres de haut seront posées ultérieurement.
Voir sur Youtube le reportage filmé de RT France : (CLIQUEZ)
A 45mn 40, discours officiels : Bernard Mounier président de la société Bouygues Bâtiment Ile de France, le vice-premier ministre russe Sergueï Prikhodko (à 52mn30), Jean-MichelWilmotte architecte du projet (à 1h00mn37), Jean Marie Le Guen, secrétaire d’état auprès du Premier ministre (à 1h08mn53).
Ivan Viripaev est né à Irkourtsk (Sibérie) en 1974, il est l’un des dramaturges russes les plus marquants de sa génération.Il commence à travailler en Sibérie comme comédien, où il fonde sa compagnie: “Espace du jeu“. En 2000, avec son premier texte, “Les Rêves” il apparaît pour la première fois à Moscou ou il s’installe en 2001, il participe à la fondation du”Teatr.doc”. En 2008 il réalise son premier long métrage “Oxygène”, en mars 2013 il reprend la direction du Théâtre Praktika.
Le metteur en scène.
GalinStoev, né en Bulgarie, metteur en scène à 23 ans au Théâtre national de Sofia, acquiert très vite une notoriété internationale. Il découvre l’auteur russe IvanViripaev, symbole du renouveau théâtral, et signe la première mise en scène d’un de ses textes en 2002 : Les rêves, joué au Festival International de Varna. Il montera par la suite Oxygène,Genèse n°2 au Festival d’Avignon et Danse « Delhi » à La Colline, théâtre national de Paris. En juin 2013, dans le cadre du Festival des Écoles du Théâtre Public, il met en scèneIllusions avec les élèves comédiens de l’École Supérieure d’Art Dramatique de la ville de Paris ( ESAD).
L’histoire
Albert marié à Margaret, Denis est marié à Sandra. Deux vieux couples parfaits, aimants. Qui sont aussi les meilleurs amis du monde depuis 50 ans. Sauf qu’à l’article de la mort, Sandra avoue àDenis avoir toujours aimé Albert qui révèle aimer secrètement Margaret qui, en fait, aimait ……. À force d’aveux et de révélations, qui aime réellement qui dans dans cette histoire, où les fictions s’emboîtent les unes dans les autres jusqu’au vertige ? Tout en jeu de reflets, de flashback et de chansons, la pièce fait virevolter nos certitudes dans un mélange explosif, drôle et terrible à la fois.
Scéances
Du mardi au samedi à 20h30, le dimanche à 16h
la Cartoucherie, Route du Champ de Manoeuvre, 75012 Paris
Tarifs de: 22€ à 10€
Tarif spécial pour les membres d’Artcorusse.
12€ au lieu de 22€ en réservant avec le code “ARTCORUSSE”
au 01 43 74 99 61 “
Billeterie: 01 43 74 99 61 ou sur le site: www.theatredelaquarium.com
Accés: En métro
À 4 stations de Nation !
Ligne 1, arrêt Château de Vincennes (sortir en tête de rame)
Suivre la sortie n°6 Bois de Vincennes/Cartoucherie
En bus
Les bus 46, 56, 112, 114, 115, 118, 124, 210, 318, 325 et 328
mènent à la station RATP « Château de Vincennes »
puis vous avez le choix
Navette blanche de la Cartoucherie (gratuit)
Gratuite, elle vous attend à la sortie n°6 « Bois de Vincennes » (en tête de rame), juste derrière la station de taxi.
Premier départ : 1h avant le spectacle. Elle tourne ensuite régulièrement jusqu’à son dernier passage, 10mn avant le début du spectacle. Durée du trajet 6 mn.
Retour assuré au métro à la fin du spectacle, 1 heure durant.
Christine Legoff, depuis toute petite, Christine Le Goff joue et jongle avec les mots comme tata sans tonton. Contes russes et du monde pour enfants.
Ses pas la mènent sur le chemin du théâtre avec l’école Charles Dullin où elle explore les Mille et une Nuits.
Elle découvre les récits traditionnels avec la comédienne Maryse Poulhe. Elle se forme alors au conte avec Catherine Zarcate.
Grande voyageuse et passionnée par la culture russe, Christine Le Goff a une prédilection pour les récits de ce pays de neige. Christine Le Goff tricote des histoires mêlées de chants russes. Elle en invente aussi.
Elle conte des récits semés de fantaisie, de poésie, de malice: un crocodile se transforme en île, un loup idiot perd sa queue, un caillou devient une soupe délicieuse…
Des histoires des quatre coins du monde, pour les petites et grandes oreilles.
Parution de:
“Les Cornes d’Ogaïlo“conte du Baïkal, voir rubrique livre: (CLIQUEZ)
Olga Kataeva ‘‘Entre ciel et mer‘‘ du 19 au 30 avril 2016
Olga Kataeva
Elle est née le 22 Mars 1986 à Leningrad (Saint-Pétersbourg).
En 2010 , diplômé de la Faculté des Beaux – Arts RGPU pour l’excellence de ses activités créatives et éducatives décerné par l’ Université Madalena.
Participante active aux expositions professionnelles dessin et la peinture, organisées par l’Union des artistes de la Russie. Elle est lauréate du concours urbain, inter-régional, national d’art. En 2009. Lors de l’exposition réunissant le travail des élèves,de toute la Russie, Olga Kataeva a remporté outre le diplôme de l’exposition, 2 grand prix: Grand Prix dans la nomination “peinture” et le Grand Prix dans la catégorie «Figure». En 2009 , elle a été invitée comme professeur de dessin et de peinture à l’École d’Art Lanchzhou en Chine. Ses œuvres figurent dans la collection de graphiques les maisons. DA Rovinsky (Moscou), ainsi que dans des collections privées en Russie, en France et en Chine.
Sa peinture se fait ici méditation.
Méditation qui permet de voir au-delà de la première impression et d’aller à l’essence des choses dans une dimension sensible et esthétique du langage.
Olga Kataeva exprime ici la poésie du paysage en détendant la tension entre les éléments : la lumière, l’eau, le ciel, la pierre.
Dans ce mélange du réel et de l’imaginaire sur différents plans,
toute préoccupation d’ordre logique disparaît et l’artiste s’abandonne à une sorte de repos contemplatif qui apaise l’effervescence intellectuelle.
Dans ces horizons merveilleux de ceux d’un instant, Olga nous invite à nous explorer nous-mêmes.
L’univers où ces éléments muets : la lumière, l’eau, le ciel, la pierre – obtiennent le don de parole.
L’univers où l’homme et la nature se réconcilient et découvrent, émus, le visage l’un de l’autre.
Le visage qui fait le reflet du visage de l’autre
Vernissage le jeudi 21 avril 2016 de 18.00 à 21.00
La Galerie d’art I-GALLERY est située au coeur de Paris, à Montmartre.
I-GALLERY participe à la promotion d’oeuvres contemporaines.
La Galerie soutient des artistes internationaux
et propose différents styles et orientations artistiques.
I-GALLERY,
12, rue Durantin 75018 Paris
Métro Abbesses, ligne 12/bus 95 et 80
Ouverture de la Galerie du mardi au samedi
de 16 à 19 heures et sur rendez-vous
06 76 38 05 67
olgakhlopova@yahoo.fr www.i-gallery.fr
Samedi 19 mars 2016 dans le cadre de l’action écologique:
“Une heure pour la planète”
Plus de 900 édifices moscovites seront dans le noir.
Plus de 170 pays participeront samedi à la 10e édition de l’action écologique en faveur de la lutte contre le réchauffement climatique, qui se déroulera de 20h30 à 21h30 (heures locales) sur l’initiative du Fonds mondial pour la nature (WWF).
La Russie se joindra également à l’opération écologique. Le président russe Vladimir Poutine a décidé pour l’occasion de faire éteindre les lumières du Kremlin, sa résidence officielle.
L’action débutera aux îles Fidji puis gagnera ensuite l’Asie, l’Europe et l’Amérique. A cette occasion, plus d’un millier d’édifices et monuments célèbres à travers le monde seront plongés dans le noir. Parmi ces édifices prestigieux figurent notamment la tour Eiffel de Paris, l’Empire State Building de New York et le Golden Gate Bridge de San Francisco.
En Russie, au moins 80 villes et 20 millions de personnes se joindront à l’action, selon Igor Tchestine, directeur du WWF Russia. A Moscou, près de 300 édifices et monuments parmi lesquels le Kremlin, les cathédrales de Basile-le-Bienheureux et du Christ-Sauveur, le théâtre Bolchoï et les sept célèbres gratte-ciels de l’époque soviétique éteindront leurs lumières.
Toutefois, les éclairages de la sécurité publique: feux de balisage des aéroports, feux tricolores dans les rues et les éclairages de secours seront toujours opérationnels.
En 2015, près de 2 milliards de personnes de 172 pays ont participé à la plus grande action annuelle en faveur du climat.
SALLE DE LA COLOMBIERE Rue de la Colombière 18 L’œuf est depuis toujours un symbole. Pour les chrétiens, il est associé aux fêtes de Pâques et synonyme de renaissance et, plus généralement, il symbolise le renouveau de la vie et le retour du printemps. Depuis les temps les plus reculés, l’œuf est au centre d’une activité artistique foisonnante et les techniques employées pour sa décoration sont multiples et très variées. Nous pouvons citer par exemple la peinture, le grattage, la calligraphie, la perforation, la broderie, la gravure, l’incrustation, le collage, l’émaillage, la pyssanki, le batik et la décalcomanie, parmi les plus connues.
Les créations sont réalisées en général sur des œufs de poules, d’autruches, de cygnes ou de cailles, mais certains artistes utilisent également le bois ou la porcelaine. Les ovo miniaturistes sont de vrais artistes et, compte tenu de l’extrême fragilité du support, leurs œuvres sont des pièces uniques. C’est ainsi que le temps d’un week-end, les 19 et 20 mars 2016, promeneurs, acheteurs, collectionneurs ou amateurs d’art pourront découvrir et admirer ces véritables œuvres d’art. Des prix seront mis à disposition des artistes, notamment:
≈ Un prix de l’Association pour l’Animation du Quartier de Rive,
≈ Le prix du public
≈ Parmi les votants issus du public plusieurs prix seront tirés au sort.
Un atelier sera installé et le public pourra découvrir et participer à la décoration de son propre œuf. Le même week-end, dans la rue de Rive, aura lieu le traditionnel Marché de Pâques, un marché artisanal avec produits du terroir, articles de Pâques et artisanat local qui est arrivé à ça 10eme édition !!!!! Ne manquez pas ce rendez-vous !!!!
Le succès du festival «QUAND LES RUSSES RIENT» nous permet d’élargir le festival à quatre salles de cinéma indépendantes, le Grand Action, le Reflet Médicis, le Balzac et le Max Linder. Nous offrirons deux soirées de prestige au cinéma Le Balzac, sur les Champs-Elysées, suivies de sept films de Boris Barnet, maître du cinéma muet au Reflet Médicis et d’un panorama de classiques et d’avant-premières au Grand Action. Nous rendrons hommage en leur présence à Andreï Kontchalovski, réalisateur et à Alexandre Adabachian, scénariste et décorateur russe. Le Max Linder proposera une sélection de courts métrages inédits, en compétition. Après Paris, nous présenterons un festival à Moscou puis à Nantes et Annecy… Avec la volonté affirmée par Macha Méril: “Ouvrir grand les portes du cinéma russe à un large public“. Après l’Humour, place à l’Amour ! (Marc Ruscart – Jean Radvanyi)
Macha Méril.
“Aujourd’hui plus que jamais, la Russie reste un mystère, mais son charme opère : pas un voyageur n’en revient indemne, on est envoûté, troublé. Le cinéma nous transmet cet enchantement, de l’amour à la cruauté, de la beauté à l’horreur. Il faut entendre les cinéastes, il faut les remercier. Leurs chefs-d’œuvre nous éclairent sur cette vaste terre de culture et d’humanité. J’aime le cinéma russe”. Macha Méril. Marraine du Festival.
Soirée inaugurale au Cinéma Le Balzac
Lundi 14 mars
Inspirée de Tchekov, une magnifique fable psychologique et sociale dans la Russie noble et décadente du XIXème siècle.
L’argument :A l’occasion d’une réception, un instituteur de village retrouve son amour de jeunesse.
L’inauguration a eu lieu présence de Macha Méril marraine du festival, du Président de la République française, de SE l’ambassadeur de la Fédération de Russie et de hautes personnalités du monde du cinéma russe, telles que Karen Gueorguievitch Chakhnazarov, Alexandre Adabachian ….
Mardi 15 mars à 20h30 –
Avant-première du film inédit au
Ciné Le Balzac
Présentation du film, par Marc Ruscart, Dimitri de Kochko, président de France-Oural et par Jean Radvanyi représentant le réalisateur Alexandre ROGOJKINE
Septembre 1944, dans la presqu’ile de Kola. Les Allemands reculent et laissent derrière eux un sniper finois, l’ancien étudiant Beïko enchaîné à un rocher. De son côté Ivan, capitaine de l’Armée rouge est blessé dans un bombardement. Il est recueilli par une éleveuse saami, Anni. Parvenu à se libérer, Beïko arrive aussi chez Anni et entre les trois rescapés du conflit commence une étrange relation. Les deux hommes tombent amoureux de la femme mais aucun ne parle la même langue… Le film a reçu de nombreux prix (St Pétersbourg, Nika, Grand prix à Honfleur en 2003).
Alexandre Rogojkine (Алекса́ндр Влади́мирович Рого́жкин), est né le 3 octobre 1949 à Léningrad , il a suivi à l’Institut National de la Photographie la classe de S.Guerassimov. Auteur de nombreux films pour la TV et le cinéma dont “Karaoul” (1990,couronné du Prix Alfred-Bauer au 40ème Festival International du film de Berlin),”Le Tchékiste” (1992, montré à Cannes dans “Un certain regard”), “Aspects de la chasse en Russie” (comédie, 1995), “Blokpost” (1998 sur la guerre en Tchétchénie). “Aphrodite” (2012).
Soirée organisée en partenariat par l’Association Rivages Russie Evénements et l’Association France Oural.
Le 2ème Festival du Cinéma Russe de Niort est sur les rails, il se déroulera du mardi 29 mars au dimanche 3 avril 2016 au cinéma CGR. C’est ce que confirme Jean-Marc Batsch, de l’association organisatrice EDA FR.
Gabrielle Lazure est l’invitée d’honneur du festival 2016.
Gabrielle Lazure, née le 28 avril 1957 à Philadelphie (Pennsylvanie, USA), est une actrice québécoise. Elle a passé une grande partie de sa jeunesse à Montréal au Québec.
Bilingue, elle vient passer des vacances en France en 1980 et décide d’y rester et de tenter sa chance dans le cinéma. Elle débute la même année dans Arcole ou la Terre promise de Marcel Moussy puis apparaît l’année suivante dans Enigma, une coproduction internationale aux côtés de Martin Sheen, Brigitte Fossey et Sam Neill.
En 1981, Maurice Failevic l’engage pour son téléfilm d’anticipation coscénarisé avec Jean-Claude Carrière Le jardinier récalcitrant. En 1982, Alain Robbe-Grillet, écrivain-metteur en scène à l’univers très personnel, sensible à sa « beauté diaphane », en fait le centre fantasmatique de son film La belle captive. Cette aura de perfection, parfois mystérieuse, restera le trait distinctif de ses personnages, qu’elle accompagne d’une fragilité (Sarah) ou au contraire d’une certaine dureté dans Les fauves de Jean-Louis Daniel, où elle forme avec Daniel Auteuil un couple de cascadeurs téméraires.
Le programme du deuxième Festival de cinéma russe de Niort, du 29 mars au 3 avril au cinéma CGR, se précise. Dix films russes sous-titrés en français seront à l’affiche dont trois inédits en France : « Pluie de juillet », « Des femmes » et « Je vous aimais », une histoire d’amour dans l’univers des ballets russes, prix de la Jeunesse à la Mostra de Venise en 1968. Le film monumental « Guerre et paix » sera programmé en 2 parties samedi 2 et dimanche 3 avril, oscar 1969 des meilleurs films étrangers. Quant à la soirée Gabrielle Lazure, invitée d’honneur du festival, elle se tiendra vendredi 31 mars à partir de 18 heures. Deux films seront diffusés à 18 h 30 et 20 h 15 : « Passer l’hiver » et « La Crime ».
Horaires et programation:
Mardi 29 mars :
Scéance à 16 heures,« La Dame au petit chien »
(1960) de Iossif Kheifits
“Près de la mer Nire, à Yalta, Dimitri rencontre Anna, une femme élégante et triste qui promène son petit chien. Dimitri collectionne les aventures et Anna est mal mariée. Une histoire d’amour commence à naître. À la fin des vacances, Anna rentre chez elle à Saratov et Dimitri à Moscou. Mais ce qui devait être une simple amourette se transforme en véritable amour. Ils se retrouvent et cherchent à ne plus se cacher, ni se mentir.”
Scéance à 18 heures, « Femmes »
(1964) de Pavel Loubinov.
“L’une des graves conséquences de la guerre était le manque de la population masculine, et le sort difficile de femmes ordinaires qui travaillent. Environ trois générations de femmes – travailleurs d’une usine de meubles – film relatant leur amour, les joies simples et les peines.”
Scéance à 20 heures, « Anna Karenine »
(1967) d’Alexandre Zarkhi.
Le film est une adaptation du roman Anna Karénine de Léon Tolstoï. Nous plongeons dans la haute société russe de la fin du xixe siècle. Anna Karénine est une jeune femme mariée à Alexis Karénine, un important homme d’État. Cependant, elle entretient une liaison secrète avec le Comte Vronsky, malgré les risques d’une telle relation dans cette sphère de la société. Mais leur relation est bientôt connue de tous à la cour. Anna, hésitant entre son cœur et sa raison, décide de quitter son mari et son fils pour suivre son amant.
Mercredi 30 mars :
Scéance à 13 h 30, « Bataille de Sébastopol »
(2015) de Sergueî Mokritski
“En 1941, alors que l’Allemagne nazie envahit l’URSS, Lyudmila Pavlinchenko, une jeune étudiante soviétique, s’enrôle dans la 25e division d’infanterie de l’Armée Rouge où elle se distingue en devenant un incroyable tireur d’élite. Voyant en elle une véritable menace, les allemands ordonnent de l’éliminer…”
Scéance à 16 heures, « Je vous aimais »
(1967) d’Ilia Frez
“L’histoire romantique du premier amour de Koli Golikova avec l’étudiante Ballet School Nadia Naumchenko. Fièrement Nadia, l’une des meilleurs élèves de l’école, est agacé par Kolia simple et modeste, contrairement à ses amis lesquel jaloux de sa facilité à communiquer avec les filles. Elle dit à Kolia qu’il était sans intérêt et d’arrêter de la courtiser. Mais quand, après une longue période à l’une des représentations, à laquelle elle participe, elle apprend que kolia est dans le public, il se trouve qu’elle n’est pas insensible aux sentiment qu’il éprouve pour elle.”
Scéance à 18 heures: « L’Homme amphibie »
(1961) de Guennadi Kazanski et Vladimir Tchebotariov.
“Un mystérieux monstre des mers sème la panique chez les pêcheurs d’une petite ville portuaire. Un jour, il sauve une femme attaquée par un requin et s’éprend d’elle… Un des grands classiques du cinéma populaire soviétique, variation sur le thème de « La Belle et la Bête », sur fond de savant fou rêvant de fonder une république sous-marine parfaite.”
Scéance à 20 heures: « L’Amiral ».
(2008) d’Andreï Kravtchouk.
“Au cours de l’année 1916, l’amiral Koltchak, officier de la marine russe mais également océanographe réputé, commande des opérations de minage en territoire allemand sur la mer Baltique, quand il est mis en difficulté par un croiseur allemand. La seule solution pour échapper à son piège est de passer par la zone qui vient d’être minée. L’opération réussit et le croiseur qui les poursuit a moins de chance et explose. Peu après, sur une base en Finlande, Anna Timiriova, la femme d’un de ses subordonnés et ami, lui est présentée. Un sentiment très fort naît entre eux. Mais la révolution bolchevique à laquelle il s’oppose survient et les sépare…”
Jeudi 31 mars :
Scéance à 16 heures: « Le Bras de diamant”
(1968) de Léonid Gaïdaï
“Dans un petite bourg du littoral sud, agit une bande de trafiquants de devises dirigée par le Chef et son aide Graf. Ce dernier, chargé d’une mission par le Chef, part en voyage touristique à l’étranger et se trouve en compagnie du paisible et modeste économiste Semion Semionovitch. Les événements vont se poursuivre de telle façon que Graf ne peut absolument plus se séparer de son nouvel ami sans faillir à sa mission.”
Scéance 18 heures:
Scéance à 20 heures: « Bataille de Sébastopol ».
Vendredi 1 avril:
Scéance à 16h: « Pluie de juillet »
(1966) de Marlen Khoutsiev
“Sur le point de se marier, Léna découvre que son fiancé est un être vil et bas. Elle le quitte et rencontre Jenia pendant une averse qui balaie tout le superflu de sa vie passée. Ce film jumeau de “J’ai vingt ans” marque un désenchantement que définit son scénariste Anatoli Grebnev : “Les idéaux pour lesquels certains avaient souffert devenaient une monnaie d’échange dans la vie quotidienne des autres. Bref, nous voyions s’éliminer de soi-même ce en quoi nous croyons.”
Soirée Gabrielle Lazure
Scéance 18h 30: « Passer l’hiver »
(2014 France ) d’Aurélia Barbet
“La vie de Martine n’est pas guillerette, entre les heures passées au chevet de sa mère mourante et son travail de caissière dans une station-service. Le soir de la Saint-Sylvestre, un inconnu lui propose de l’emmener voir la mer. De son côté, Claire ne se remet pas de décès de sa fille Estelle. C’était le septième jour des vacances, il faisait chaud et elle avait voulu aller à la plage. Claire ne l’avait pas accompagnée. D’où un sentiment de culpabilité tenace. Elle se rend dans un hôtel qui donne sur cette fameuse plage là où se trouve également Martine également.”
Scéance à 20 h 15 : « La Robe Bleue »
Avec Gabrielle Lazure et Kévin Boise
(2016) d’Igor Minaev
« L’orphelin veut se confronter aux secrets de sa mère en ayant conscience que cela est risqué. Il veut comprendre et peut-être s’approprier un pan d’histoire dont elle n’a jamais parlé. Elle était actrice en Union soviétique et amoureuse éperdue d’un homme qui l’a quitté pour une autre. Cet homme, Dimitri, était réalisateur de films qui ont été refoulés par la censure. Elle a quitté la Russie et cet homme mais ne semble ne jamais avoir «dépassé » ces événements douloureux. Alors à la mort de ce dernier, fidèle à la mémoire, elle se trouve légataire des films, du journal intime et de documents de cet homme. Elle en meurt”. Un récit tragique d’un personnage féminin jusqu’au-boutiste, fidèle au passé et qui aurait enseveli le passé avec sa mort si son fils n’avait cherché à comprendre.
Igor Minaev est né en URSS en 1954 à Kharkov.
Après des études à l’Institut National du Théâtre et de Cinéma de Kiev, il commence sa carrière de metteur en scène à Odessa, à l’époque de la perestroïka, dont il incarne parfaitement l’esprit par deux longs-métrages,Mars froid (1988) et Rez-de-chaussée (1990), tous deux sélectionnés à Cannes à la Quinzaine des réalisateurs. Depuis la fin des années 80, il vit et travaille en France où il réalise L’inondation (1993), interprété par Isabelle Huppert et produit par Daniel Toscan du Plantier, puis Les Clairières de lune (2002), Lin de Sunset et Boulevard (2006) et La robe bleue (2016), sélectionné à la Berlinale.
Par ailleurs, il enseigne à la Fémis, à Acting International, et met en scène plusieurs spectacles à Paris, dont l’Histoire du soldat de Charles-Ferdinand Ramuz, et Les Nuits florentines d’après Marina Tsvetaeva.
Scéance à 14 heures: « Je vous aimais »
Scéance à 16 heures: « Guerre et paix » 1
Scéance à 18 heures: « Guerre et paix » 2.
Dimanche 3 avril
Scéance à 14 heures: « Le Bras de diamant »
Scéane à 16 heures: « Guerre et paix » 3,
Scéance à 18 heures: « Guerre et paix » 4.
Scéance 18h 30: « Passer l’hiver »
Concert exceptionnel
Samedi 2 avril à 20 h 30, le concert du duo Vesna à l’église Saint-Hilaire.
Cinéma MEGA CGR
Place de La Brèche rue du 14 juillet NIORT
Tél :08 92 68 85 88 Tarifs : Pass festival incluant la soirée Gabrielle Lazure et tous les films du festival, 20 €;tous les films du festival, 15 €; séance 1 film, 5 €, étudiants et moins de 18 ans, 2,50 €, la soirée Gabrielle Lazure, 6 €. Pass et billets en vente au cinéma CGR de Niort. Concert : billets en vente à l’office du tourisme de Niort, 10 € (réduit 6 €).
Renseignements : association EDA France, 06 30 58 50 93.
Véronika Bulycheva, Stéphanie Acquette et Jean-Emmanuel Fatna.
Plus de renseignements sur Véronika Bulycheva: (CLIQUEZ)
VESNA, un printemps russe
Duo franco-russe de Veronika Bulycheva et Stephanie Acquette
VESNA est un groupe de musique pop-folk russe qui a pour ambition de faire “groover” en chanson la langue russe.
Basé en région parisienne, VESNA se compose de Veronika Bulycheva, compositeur-chanteuse-guitariste et Stéphanie Acquette, chanteuse et bassiste. Sur scène elles sont accompagnées d’un percussionniste, Jean-Emmanuel Fatna ou Thomas Bourgeois (en alternance)..
Dans la mythologie slave, les “Vesnas” sont l’incarnation de la féminité et du printemps. A la manière de la première fleur du printemps, la musique de VESNA brise la couche de givre sous laquelle couve le feu de l’âme slave…
Trois fois primé au Festival du Cinéma Russe à Honfleur 2015
(meilleur Début, meilleur rôle masculin, prix du Public), il vient de recevoir au festival d’Univerciné à Nantes en mars 2016, le Prix du public et prix du jury Univerciné. Ce qui frappe avant tout c’est le jeu de l’acteur Alkseï Guskov, que nous avions découvert dans “le Concert” et la beauté des images.
“Trofim Rusanov est un garde-pêche dur et intraitable. Il estime qu’il est la Loi et que les autres sont des “salauds et des voleurs”. A la suite d’une mésaventure il se retrouve isolé dans la taïga, à des dizaines de kilomètres de toute habitation humaine. La trouvaille qu’il va faire dans ce milieu hostile va changer radicalement sa vision de l’existence”.
Régisseur et scénariste Il est né en 1966 à Moscou, il a terminé l’Institut de théâtre Gitiss en 1993. Il a travaillé pour le théâtre et la télévision, en 2004 il est régisseur de films de science fiction et participe à des festivals de cinéma de science fiction. Il a terminé l’Institut VGIK en 2009, il réalisé des courts-métrages, des films publicitaires ainsi que poour la télévision. “La trouvaille” est son premier long métrage devenu “Criminel“.Le changement de titre s’est imposé de manière évidente. Le mot « trouvaille », en français comme en russe d’ailleurs, semblait bien trop léger pour l’utiliser pour le film. Le film est une adaptation d’une nouvelle de Vladimir Tendriakov, « La Trouvaille » écrite en 1965. Tendriakov a profité du thème « campagnard » de sa nouvelle pour y glisser une réflexion morale sur le crime et la rédemption. En lisant la nouvelle, on compriend que l’écrivain n’avait probablement utilisé le titre « Nakhodka » (La Trouvaille) que pour éviter la censure de l’époque. D’une certaine manière, on n’a fait que rétablir ce qui aurait dû être le titre pour Tendriakov,
La Trouvaille de Tendriakov (Editions Borealia) qui a inspiréCRIMINEL.
Traduction Bernadette du Crest, 82 pages Prix : 5€
Режиссер, сценарист. Родился в Москве в 1966 году. Окончил ГИТИС им. А. В. Луначарского (актерский факультет, мастерская Е. Н. Лазарева, 1985– 1993), работал в театрах, на телевидении. С 2004 года – режиссер неигрового кино. Участник международных фестивалей неигрового кино. Окончил ВГИК ( ЦДПО , режиссерский факультет, мастерская М. М. Хуциева, 2006–2009). Снимал короткометражные фильмы, рекламу, фильмы для телевидения. « Находка » – дебют в полнометражном игровом кино.
Les acteurs
Aleksei GUSKOV
Alexeï Guennadievitch GouskovАлексей Геннадьевич Гуськов), né le 2à mai 1958 à Brzeg acteur et producteur russe. Il a été nommé artiste émérite de Russie en 2001 et Artiste du peuple e Russie en 2007.Acteur de premier plan en Russie, Aleksei Guskov joue en France depuis 1985. On le connaît notamment pour son interprétation du chef d’orchestre du film LE CONCERT de Radu Mihaileanu, qui remporte un énorme succès en 2009 avec 1,8 millions d’entrées en France.
Nadezhda MARKINA
Nadejda Konstantinovna Markina (Наде́жда Константиновна Маркина) (née le 29 janvier 1959 à Dmitrievka, District de Nikiforovski, oblast de Tambov. Comédienne de théâtre à Moscou, Nadezhda Markina a notamment joué dans le film LA NOCE de Pavel Lounguine (France-Russie 2012). Récemment remarquée pour son interprétation de l’héroïne du film ELENA d’Andreï Zvaginystev présenté à Cannes en 2011, elle a reçu plusieurs prix d’interprétation pour son rôle dans CRIMINEL.
Anastasia SHEVELEVA
Originaire de Sibérie, Anastasia Sheveleva est une comédienne de cinéma et de théâtre issue de l’Université Dostoïevski de la ville d’Omsk.
Distribution BOREALIA FILMS, 130 rue de Belleville 75020 Paris
Sylvain Tesson.
Qui mieux que Sylvain Tesson pourrait parler de la Russie, de son immensité, de la vie solitaire sur les rives des grands lacs ! Le mardi 15 mars, pour inaugurer la programmation du film CRIMINEL au 3 Luxembourg aura lieu une première exceptionnelle, suivie d’un débat avec l’écrivain, auteur de «Dans les forêts de Sibérie».
Linguiste d’origine russe, ayant passé ses diplômes universitaires dans cinq pays différents et maîtrisant huit langues, elle est la spécialiste des idiomes et expression populaires qu’elle compare d’un pays à l’autre.
Comment noyer le poisson ?
Comment vivre comme un coq en pâte ?
Contes de Natania
Comment peser les mots ?
Ce bloc-notes d’expressions s’adresse à tous ceux qui souhaitent enrichir leurs
connaissances lexicales et culturelles :
lycéens, étudiants, autodidactes et autres curieux.
Ce recueil d’expressions usuelles répond à des objectifs multiples : DÉCOUVRIR – fiches des proverbes et d’expressions classées par thème,
avec traduction littérale, et équivalents en français et parfois explication de leurs
origines. APPRÉHENDER – exercices et dialogues, textes et jeux pour apprendre et
pratiquer la richesse populaire des expressions idiomatiques. ENRICHIR – vocabulaire de la vie quotidienne, pour mieux comprendre sa
langue maternelle et parler plus aisément le russe. PRATIQUER – devinettes, jeux de rôle, dialogues, histoires drôles et
anecdotes pour les mettre en action dans la vie courante.
Les jeux de “faux proverbes” ont été réalisés à partir de vrais proverbes. Ceux-ci se prêtent en effet souvent à ce genre de manipulation : ils sont tellement connus et expriment des idées communes qu’il est facile de les contester ou de les modifier en ne changeant ne serait-ce qu’une lettre.
Une variante de ce jeu peut consister à écrire un nouveau proverbe en se
servant des moitiés de deux autres.
C’est l’avantage de remettre certains proverbes et expressions au goût du jour et d’être à l’origine d’un échange.
Dans ce recueil ont trouvé place des proverbes et expressions proverbiales, des
dictons, préceptes, virelangues, devinettes, ainsi que de nombreuses expressions
(auxquelles on ne saurait attribuer une appellation générale), entrées
conventionnellement dans l’usage.
Nous devons admettre que les expressions idiomatiques, les proverbes ne
s’inventent pas, mais ne peuvent naître que par la force des circonstances. Un
recueil de proverbes est un livre de sagesse et de croyances populaires.
C’est un florilège de l’esprit populaire, de son essence et de son originalité.
C’est la vérité populaire pratique, une manière de code que personne ne
remettra en question :
“Le proverbe, comme l’idiot, échappe à la sentence du juge”. Vladimir Dal
“J’aime peu les proverbes en général, parce que ce sont des selles à tous chevaux ; il n’en est pas un qui n’air son contraire”. Alfred de Musset
Plus de 2 000 expressions idiomatiques de la langue russe d’aujourd’hui.
Cet ouvrage de 193 pages comprend 35 fiches de travail et 38 textes, il est accompagné de deux CD l’un comprenant,vocabulaire et exercices et l’autre des textes.
Cette méthode est à l’usage des français qui veulent apprendre le russe, mais également pour des russes qui veulent apprendre le français.
les photographies de Dimitri Tolstoï, de l’ancienne raffinerie de Petit-Couronne du 15 au 24 mars 2016
Né le 29 janvier 1959 à Neuilly-sur-Seine, Dimitri Tolstoï est élevé dans la pure tradition russe, il fréquente dès son plus jeune âge la communauté artistique et littéraire que ses parents côtoient. Dès son enfance et peut-être par atavisme, son arrière-grand-mère étant photographe, Dimitri Tolstoï se sent attiré par cet art. Il découvre la photographie en réalisant des portraits et des natures mortes dans sa chambre qui devient son premier studio de photo.
Il apprend son métier en tant qu’assistant, avant d’ouvrir son propre studio photographique. L’artiste s’est depuis illustré dans la publicité. Parallèlement à son travail commercial, le photographe développe sa propre écriture photographique au travers de séries personnelles. Influencé par le peintre Nicolas de Staël, d’origine russe comme lui, il se tourne vers l’abstraction, en simplifiant ses compositions pour y sublimer la couleur, la lumière, la vie, l’espace.
Par goût expérimental et esthétisant, il crée des filtres naturels, pour se jouer de l’hyperréalisme photographique et faire plonger le spectateur dans les méandres de sa sensibilité artistique.
Incroyables images de l’ancienne raffinerie de Petit-Couronne, près de Rouen, réalisées pour la Fondation Valgo dont la mission première est la sensibilisation des industriels et des citoyens à la protection de l’environnement.
De gauche à droite,Olivier Mousson, Claude Bébéar, Dimitri Tolstoï, Céline et François Bouché le jour du vernissage.
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Le 17 mars, la société d’encouragement illuminera l’Hôtel de l’Industrie pour mettre à l’honneur, pendant la cérémonie des Montgolfier, huit lauréats Montgolfier 2016, des femmes et des hommes entrepreneurs qui sont des valeurs montantes et méritent, dans l’intérêt de la France, d’être plus largement connus.
Plus de renseignements sur la Socièté d’encouragement: (CLIQUEZ)
Hôtel de l’Industrie
4, Place Saint-Germain-des-Prés, Paris 6e
Parking/Autolib : 188, Bd. Saint-Germain
Pour cette 2e édition, des exposants du monde entier sont rassemblés pour présenter des œufs décorés pour tous les goûts, de toutes les formes, de toutes les matières, de toutes les tailles et de toutes les couleurs. Ils exposent leurs œuvres et font des démonstrations de leur savoir-faire.
Inés Keltchewsky présentera ses œuvres avec entre autres la pissanka (CLIQUEZ)
Invité d’honneur:Dominique Stutz avec ses créations en raku.
MJC ALKIRCH1A Rue des Vallons, 68130 Altkirch
Samedi de 10h à 19h et dimanche 13 mars 2015 de 10h à 18h.
Tarifs:Entrée à 4€, Gratuit pour les moins de 12 ans.
Buvette sur place
Première partie: les balalaïkistes de l’ensemble Kedroff au répertoire composé de mélodies populaires russes. La balalaïka est un des symboles de la Russie, un instrument magique à trois cordes dont le jeu est fascinant et inimitable exprimant tantôt la gaité, tantôt la mélancolie du peuple russe. Créé en 2001 et dirigé par Nicolas Kedroff, balalaïkiste de réputation internationale, l’ Ensemble de Balalaïkas Kedroff est l’une des deux principales formations du genre en France. Originale et simple, il se compose uniquement de balalaïkas dites PRIMAs, la “soprano” de la famille des balalaïkas.
Entracte: Buffet russe
Seconde partie: « Radouga » le spectacle du corps du ballet « Le Prince Igor » avec ses danseurs, chanteurs slaves…
Centre Georges Brassens
100, rue Jules Rein, Le Mesnil le Roi (78600) Tarifs: 10€ et 8€
Réservation obligatoire au : 01 34 93 26 00
Ouverture des portes à 20h
née à Saint Petersbourg ou elle fait l’ Ecole Supérieurs d’Arts Décoratifs Appliqués de 1981 à 1990. Peintre et céramiste, elle vit et travaille à Paris depuis 1991, reconnue pour son travail original et extrêmement varié, Anna Doumler a été exposée à Paris, Berlin, Beijing, Philadelphie et Saint Petersbourg.
À l’aube du XXe siècle, Carl Gustavovitch Fabergé est à la tête d’un empire de luxe employant plus de deux cents personnes, comptant quatre filiales en Russie et une à Londres.
En quelques années, cet artiste exceptionnel a révolutionné l’orfèvrerie et transformé la bijouterie de son père en un lieu mythique où se retrouvent têtes couronnées et milliardaires de passage en Russie. En suivant l’ascension extraordinaire du jeune Carl Fabergé à Saint-Pétersbourg, à Londres et sur la Côte d’Azur, le lecteur plonge au cœur d’une époque en pleine mutation, à la vie artistique et culturelle foisonnante, aux idéaux sociaux et politiques exacerbés.
Forte de son succès, lors de sa parution en 2010, cette biographie palpitante écrite à la manière d’un roman, est rééditée avec en plus, un cahier de photos et des documents inédits fournis par la famille Fabergé.
Journaliste et auteur, Caroline Charron a fait plus d’un an de recherche avant de se lancer dans cette biographie romancée de Carl Fabergé, orfèvre de génie au destin intimement lié à celui de Saint-Pétersbourg, de la famille Romanov et de la Russie éternelle.
Lauréate du prix Dynamique au Fémin’Ain 2011.
Retrouvez l’auteur sur son blog : http://auteurcarolinecharron.wordpress.com
Avec le soutien de Tatiana Fabergé :
Ce livre bénéficie du soutien de Madame Tatiana Fabergé arrière petite fille de l’orfèvre :
«Grâce à un minutieux travail de recherche et de reconstitution de la Russie d’avant la Révolution de 1917, Caroline Charron a réussi à redonner vie à mon arrière-grand père, sa famille, son travail et le contexte dans lequel ces événements se sont passés.»
Quand le chœur des Nouvelles Voix de Saint-Pétersbourg fut créé en 1999, il s’agissait de rassembler en un chœur de chambre certains des anciens membres du Chœur d’Enfants de la Radio-Télévision de Saint-Pétersbourg.
Depuis lors, ils sont devenus des étudiants de collèges et d’universités.
Aujourd’hui le chœur des Nouvelles Voix de Saint-Pétersbourg est composé d’étudiants du Conservatoire Rimsky-Korsakov et de l’Université d’Etat des Arts et de la Culture de Saint-Pétersbourg.
Cinq années de concerts à Saint-Pétersbourg et au-dehors ont établi la réputation du chœur aussi bien auprès des professionnels que du public.
Le Chœur a pris part à de nombreux événements, se présentant dans les meilleures salles de concert de la ville avec un répertoire aussi bien russe qu’occidental et couvrant une vaste période de l’histoire de la musique chorale.
Dirigé par Yulian Danshin, le Chœur des Nouvelles Voix de Saint-Pétersbourg interprète un répertoire aussi bien russe qu’occidental et couvrant une vaste période de l’histoire de la musique chorale.
Depuis 1999, le Chœur des Nouvelles Voix de Saint-Pétersbourg s’est fait l’ambassadeur de la musique liturgique russe, à la fois puissante et prenante. La beauté des voix et le chant a capella font passer sur l’auditoire le souffle du sacré qui s’épanouit dans l’allégresse ou la supplication. Composé d’étudiants du conservatoire Rimsky-Korsakov et de l’Université d’Etat des Arts et de la culture de Saint-Pétersbourg ainsi que de jeunes professionnels, le choeur s’est imposé dans de nombreuses manifestations musicales avec un répertoire aussi bien russe qu’occidental couvrant une large période de l’histoire de la musique chorale.
RÉSERVATION OBLIGATOIRE: 01 44 62 00 55
Église Saint Louis en l’Ile
19 bis rue Saint-Louis-en-l’Île
75004 Paris 4e
Métro : Pont Marie (7)
Église Notre-Dame des Blancs Manteaux.
Au 12 de la rue des Blancs Manteaux, dans le 4ème arrondissement, on trouve l’égliseNotre Dame des Blancs Manteaux. Elle tient ce nom d’un ordre de fidèles appelés les Serfs de Marie, qui portaient un habit blanc et suivaient les règles de Saint Augustin. Une parcelle de terrain leur fut donnée en 1254 pour y construire un monastère et une église, au retour des Croisades, par Louis IX. Les Blanc Manteaux, comme les autres ordres de confession mendiante, ont été dissous en 1274. Les occupants suivants, les « Guillemites », étaient connus sous le sobriquet de « mal nommés » : on les appelait toujours les Blancs Manteaux alors qu’ils portaient une robe noire… On aperçoit sur le cliché ancien la rue des Guillemites, qui a été amputée de quelques dizaines de mètres pour laisser la place à un square.
Les 5 et 6 mars 2016 : 28ème Salon International des Œufs Décorés organisé par l’Office de Tourisme de l’Agglomération de Compiègne dans le gymnase du manège, rue d’Ulm. Entrée payante 5 € et gratuit pour les – 12 ans.
40 artistes internationaux exposent chaque année des milliers d’œufs décorés, sculptés, incrustés, brodés, émaillés, gravés, perlés. Inés Keltchewskyprésenterat ces créations réalisées sur des œufs de poules, d’oies, d’autruches, de canes, de cygnes, de nandous, d’émeus ou sur du bois.
Créations d’Inés Keltchewsky
Chaque pièce étant unique, les collectionneurs satisfont leur passion à partir de 23 Euros jusqu’à 450 Euros et plus. S’ils ne sont pas acheteurs, tout au moins pourront-ils admirer ces véritables œuvres d’art.
Voir sur le site des œuvres et la technique d’Inés Keltcewsky (CLIQUEZ)
Des ateliers de sensibilisation aux arts plastiques initient gratuitement les enfants à partir de 7 ans et les adultes au delà de 12 ans, aux techniques de décoration des œufs à partir d’un demi œuf en polystyrène. CULTURA est notre partenaire pour la cinquième année consécutive …
Professionnel ou visiteur, ne manquez donc pas ce rendez-vous de l’ingéniosité, de la beauté et de l’insolite. Plus de 4 000 visiteurs y sont attendus.
Gymnase du Manège Rue d’Ulm 60200 COMPIEGNE Téléphone : +33 3 44 40 01 00
L’écrivain d’origine russe Andreï Makine, lauréat du prix Goncourt et du Médicis pour Le testament français, a été élu jeudi à l’Académie française au fauteuil d’Assia Djebar,disparue en février 2015. Une consécration pour ce romancier longtemps boudé par les éditeurs et qui dut batailler pour obtenir la nationalité française.
Andreï Makine, né le à Kranoïarsk en Sibérie, petit-fils d’un émigré français, qui a vécu en Russie depuis la révolution de 1917. Bien qu’ayant eu une scolarité erratique, brillant élève de philosophie et de français qu’il étudie depuis l’école primaire, en URSS. Boursier, il rédige une thèse de doctorat sur la littérature française à l’Université de Moscou. Il collabore à la revue Littérature contemporaine à l’étranger (современная художественная литература за рубежом), et enseigne la philologie à l’Institut Novgorod. Au cours d’un voyage en France en 1987, il obtient l’asile politique, âgé de 30 ans, il s’installe à Paris, professeur de russe, dépose une thèse de doctorat sur Ivan Bounine à la Sorbonne.
Premier roman La Fille d’un héros de l’Union soviétique (1990). Choisit le français comme langue scripturale.
Prix Goncourt, Prix Médicis, Prix Goncourt des Lycéens 1995 (Le Testament français) ;
Prix Eeva Joenpelto (Finlande) 1988 (Le Testament français); Prix RTL-Lire 2001 (La Musique d’une vie); Prix de la Fondation Prince Pierre de Monaco 2005 (pour l’ensemble de son œuvre); Prix Lanterna Magica du Meilleur Roman Adaptable à l’Ecran 2005 (La Femme qui attendait).
Andreï Makine vit actuellement à Paris mais se tient, autant que possible, à l’écart de la vie littéraire, se consacrant entièrement à la littérature. L’obtention du Goncourt lui valut, entre autres, la nationalité française préalablement refusée en 1991
À 58 ans, Andreï Makine, Russe naturalisé français en 1996, est l’auteur de seize livres publiés sous son nom et quatre sous le pseudonyme de Gabriel Osmonde. Ces romans sont traduits dans plus de 40 langues y compris en russe.
Sa grande maîtrise du français lui a valu de rallier tous les suffrages des critiques, le comparant à un « Proust russe » ou à un « Tolstoï français ».
Andreï Makine a aussi publié plusieurs romans sous le pseudonyme de Gabriel Osmonde. Cela lui permet de faire passer un autre message dans un tout autre style. Ses romans sont traduits dans plus d’une trentaine de langues.
Makine est ainsi le cinquième immortel d’origine russe, emboîtant ainsi le pas aux Troyat, Kessel, Druon et Hélène Carrère d’Encausse, secrétaire perpétuel de l’Académie, laquelle a consacré toute son œuvre à la Russie. Il est élu au premier tour par quinze voix sur 26 votants.
Election d’Andreï Makine
L’Académie française (26 votants), dans sa séance du jeudi 3 mars 2016, a procédé à l’élection au fauteuil de Mme Assia Djebar (F5). Les voix obtenues au premier tour sont les suivantes :
M. Michel Carassou : 0
M. Yves-Denis Delaporte : 0
M. Éric Dubois : 0
M. Andreï Makine : 15
M. Olivier Mathieu : 0
M. Valentin Ogier : 0
M. Eduardo Pisani : 0
M. Arnaud-Aaron Upinsky : 2
Bulletins blancs : 3
Bulletins blancs marqués d’une croix : 6
M. Andreï Makine est élu au premier tour par 15 voix. Il devra patienter pendant au moins un an avant de revêtir l’habit vert et d’être officiellement reçu sous la Coupole.