Archive pour avril 2018

Les Rhapsodies sont très représentatives du grand style pianistique de Liszt, car pour tout amateur de musique le nom de Liszt égale Le Piano.
 
Entrée libre
Renseignements et réservations :
04 42 92 68 78 / 06 20 97 35 68
contact@datcha-kalina.com
Fondation Vasarely
Jas de Bouffan
13096 Aix-en-Provence

 

Duo Anna  et Peter

Anna Novokshenova, guitare et chant, depuis 2012, elle est étudiante à l’Université Aix-Marseille et au Conservatoire Darius Milhaud. Après avoir fini le Licence de l’Administration public et le Master du Droit International, Anna a decidé de retourner vers sa passion – la musique. Elle a eu son Master de Musicologie où elle a soutenu son mémoire sur la musique russe.

Anna interprétera des chants traditionnels ainsi que du rock russe et des chansons contemporaines.

Fidèle à Promotion Musique depuis des années, Peter Bishop, musicien bien connu à Aix et en Pays d’Aix se consacre à la pratique de la guitare sèche et de la guitare basse, et c’est avec plaisir qu’on le retrouve dans les différents lieux branchés de la région. De plus il s’offre maintenant d’initier et de perfectionner à la guitare, à la guitare basse et au clavier ceux qui souhaiteraient partager sa passion pour la musique.

Libre participation aux frais

Renseignements et réservations :
04 42 92 68 78 / 06 20 97 35 68
contact@datcha-kalina.com

 

« MARINA TSVETAEVA, Moscou-Paris aller-retour. »

Samedi 12 et dimanche 13 mai 2018 à 20h30.

L’Association « Marina Tsvetaeva. Étoiles-Averse » avec le soutien de la ville de Vanves vous invite au spectacle « Marina Tsvetaeva. Moscou-Paris aller-retour ».

Conception et réalisation : Maya de Lacoste, Edwige Morf et Emmanuelle Sacchet.
Avec Edwige Morf, Maya de Lacoste et Florent Delporte.

Durée: 1H45

Création collective, réalisée en 2013 à Moscou, dans la maison-même de Marina Tsvetaeva, grande poète russe du début du XXe siècle.
Avec :
Edwige Morf, comédienne, sensible à la vie à travers les mots, la rejoignait dans la soif d’être en lien avec tout ce qui dépasse la vie terrestre.
Emmanuelle Sacchet, scénographe, se laissait emmener par Marina dans ses recherches pour faire avec les mains ce qu’on voit et ne voit pas.
Maya de Lacoste s’est livrée toute entière à sa passion absolue pour celle qui ne savait faire qu’une chose : écrire.
Florent Delporte, pianiste amoureux de la littérature, ne se doutait de rien en achetant un jour un appartement à Vanves.

 

Marina Ivanovna Tsvetaïeva (en russe : Марина Ивановна Цветаева, souvent écrit Tsvetaeva) est une poétesse russe, née à Moscou le 08/10/1892, décédée à Ielabouga , le 31/08/1941.

Le spectacle évoque la vie tourmentée de Marina Tsvetaeva, emportée par les événements historiques qui vont la pousser à quitter son pays. À Moscou, elle connaîtra l’amour, la maternité, le bonheur d’écrire. Tout change à la révolution de 1917 : sa maison est confisquée, sa famille dispersée, sa vie repoussée aux extrémités.

La vie de Tsvetaeva est une fresque dont nous avons recousu entre eux quelques fragments, dans un voyage entre la Russie et la France où Marina retourne enfin dans ses maisons.

 Buffet russe ouvert 1h avant et après la représentation
Spectacle en français avec certaines lectures et chansons en russe.

 

Théâtre de Vanves
12, rue Sadi Carnot
92170 Vanves
Tarifs: 14 &18 euros, Caisse du théâtre le jour du spectacle
Billets/réservation: 06 10 01 40 97
http://www.billetreduc.com/208807/evt.htm?nr=1

Accès: Métro ligne 13 : Malakoff – Plateau de Vanves (puis 8 mn à pied)
ligne 12 : Corentin-Celton (puis 8 mn à pied)
Bus 126 (arrêt Mairie de Vanves-Centre administratif)

“La Nuit des Musées”

Samedi 19 mai de 18h au dimanche 6h

En 2018, la «Nuit au Musée» aura lieu le 19 mai. L’action commence à 18h00 le samedi et se termine à 6h00 le lendemain….

La première “Nuit des musées” a eu lieu en 1977, en Allemagne. L’idée était au goût des pays voisins, et l’année suivante les musées de beaucoup de pays européens ont organisé une nuit ouverte. Actuellement, l’événement culturel a lieu dans plus de 150 pays et ce chiffre augmente chaque année…. Depuis plusieurs années, la Nuit des musées se déroule en Russie: à Moscou, Saint-Pétersbourg, Ekaterinbourg, Orenbourg et d’autres villes et villages de notre pays du Kamtchatka à Kaliningrad.

Nous ne mentionnerons qu’une courte liste de musées qui seront prêts à rencontrer des visiteurs à Moscou:

Hall d’exposition central “Manege” Chaque année pour ses clients organise un programme avec des excursions, des expositions de thèmes divers et des concerts….

Le Kremlin de Moscou La liste exacte des événements prévus pour la nuit du 19 mai au 20 mai dans les murs des palais et des musées n’a pas encore été présentée, mais les invités attendent sûrement quelque chose d’intéressant.(

La galerie Tretyakov Un ensemble d’événements est toujours préparé pour l’action. Les visiteurs ne sont pas seulement disponibles dans les chambres avec des œuvres d’art, mais aussi diverses conférences et séminaires. (Lavrushinsky Lane, 10.)

 

  Musée

 

Musée de Streletskiye Cet endroit vaut la peine de visiter ceux qui aiment écouter l’histoire militaire et qui admirent la technologie et les armes.( Lavrushinsky Lane, 17,)

Musée Biologique nommé d’après Timiryazev Les clients apprendront l’histoire du domaine et pourront voir les salles du musée de leurs propres yeux, pour faire une visite guidée.( st. Malaisie Gruzinskaya, 15.)

 “Systèmes vivants” En règle générale, chaque année conduit diverses conférences, des classes de maître et des excursions fascinantes. (st. Butyrskaya, 46/2)

….

 “Garage” Prépare quelque chose d’intéressant pour ses visiteurs. Par exemple, l’année dernière, le festival “lectures poétiques en Nouvelle-Hollande” a eu lieu ici. ( st. Krimsky Val, 9 )

Musée  A.S. Pouchkine Des quêtes intéressantes, des expositions insolites et bien d’autres choses intéressantes attendent les visiteurs du Musée des Beaux-Arts. ( st. Volkhonka, 12.)

     Polytechnique Dans le cadre de l’événement, des visites gratuites sont prévues. (Volgogradsky prospect, 42 )

     Histoire moderne de la Russie Excursions, concerts, performances musicales et bien plus seront à la disposition de tous les invités. (st. Tverskaya, 21.)

     Zoologique Des excursions gratuites et des conférences cognitives attendent les visiteurs des halls la nuit…. (st. Bolshaya Nikitskaya, 6)

Pour les fans de la littérature, un programme spécial est préparé par le musée littéraire national, qui est situé à: Trubnikovsky Pereulok, 17. Des soirées thématiques et des lectures de créations d’auteurs favoris auront  lieu dans la plupart des maisons-musées d’écrivains et de poètes.

Parmi eux:

A.S. Pushkin: st. Prechistenka, 12/2. M. A. Bulgakova: st. Greater Sadovaya, 10. Bibliothèque-salle de lecture. Tourgueniev: Bobrov pereulok, 6, p.1, 2. S. Esenina: Bolshoy Strochenovsky Lane, 24, bâtiment 2 A. Rublyova: Place Andronievskaya, 10. A.N. Ostrovsky: st. Petite Ordynka, 9/12, p.6. AP Tchekhov: st. Sadovaya-Kudrinskaya, 6. Marina Tsvetaeva: Borisoglebsky Lane, 6. LN Tolstoï: st. Léon Tolstoï, 21….

Pour les amateurs de musique, de nombreux lieux préparent des programmes de concerts, donc ceux qui aiment la musique auront aussi un endroit où aller:

Appartement El. F. Gnesina: st. Cuisiner, 30-36. Domaine commémoratif de FI Chalyapin: boulevard Novinsky, 25-27. Appartement A.B. Goldenweiser: st. Tverskaya, 17 ans, apt. 110 Maison de Stanislavski: Leontief Lane, 6. Musée de SS Prokofiev: Kamergersky Lane, 6. Musée des harmoniques russes: st. Le 2 ème Tverskaya-Yamskaya, 18….

Nuit des musées à Saint Petersbourg

Cette année, pour la 12ème «Nuit des musées» plus de 110 musées, bibliothèques et galeries seront à la disposition des résidents et des invités de Saint-Pétersbourg de 18h à 6h du matin. Cela a été rapporté par le service de presse de l’événement.

Le thème “Nuit des musées” en 2018 – “Métamorphose”. Cette année, 17 nouveaux exposants rejoindront les espaces d’exposition qui participent à cet événement chaque année: le musée des chemins de fer et le parc historique “La Russie est mon histoire”, dans le Jardin Botanique, ils montreront comment les plantes deviennent les prototypes de solutions architecturales et architecturales parfaites. Le musée de l’avant-garde de Saint-Pétersbourg présentera un programme sur les futuristes, et le musée russe organisera un programme en soirée au château Mikhaïlovski.

Catalogue: CLIQUEZ

Programme de la “Nuit des Musées” (CLIQUEZ)

Tous les musées travailleront sur un seul billet, dont le prix sera de 400 roubles par personne. Vente des billets à partir du 1er mai 2018. Les transports en communs fonctionneront sans interruption, afin de faciliter les déplacements en ville.

 

Rétrospective des toiles d’Ossip Lubitch

Galerie Les Montparnos Paris

“D’Odessa à Montparnasse”

 

Pour sa grande exposition des printemps du Montparnasse, la galerie Les Montparnos est heureuse d’accueillir sur ses murs et cimaises les œuvres du peintre Ossip Lubitch (1896 -1990). Exposition retraçant au travers d’œuvres choisis, cette vie de peintre au cœur du Montparnasse de la grande époque.

Ossip Lubitch  est né à Grodno dans l’Empire russe (aujourd’hui la Biélorussie), il est une figure majeure et historique des peintres ruse d’origine juive de l’École de Paris et du Montparnasse de l’entre-deux-guerres. Proche du peintre Georges Rouault avec lequel il a travaillé sur le thème du cirque, et parrainé par le sculpteur Antoine Bourdelle dans les grands salons de l’époque. À Montparnasse, ses compagnons de route et amis étaient Soutine, Krémègne, Kikoïne, Indenbaum, Volovick…

Notre-Dame de Paris, 1926 – Huile sur toile – Signée en bas à gauche – 73 x 54 cm

En 1923, Lubitch s’installe à Paris où il rencontre Antoine Bourdelle et Pavel Chlischchev. Ici, il a étudié les œuvres des anciens maîtres comme Goya, et les nouveaux maîtres comme Degas. En 1925, il est accepté au Salon des Tuileries et, en 1934, il publie le «Cirque» qui présente des croquis et des poèmes de scènes de cirque.Une peinture sur l’âme slave de Montparnasse, toute de sensibilité profonde et de chaleur. Le peintre était un homme timide et silencieux, reflet d’une vie souvent difficile. Des oeuvres qui ont conservé une tendresse lumineuse, pleine d’humanité, un regard sur le monde d’une incroyable douceur, une palette intimiste sur la joie.

L’arlequin au chevalet, 1946 – Huile sur toile – Signée en bas à gauche – 65 x 40 cm

 

En 1948, la galerie Zack fait une rétrospective de ses œuvres. On notera la critique de René Guilly dans le journal Combat (28/4/1948) – « Une recherche constante d’un réalisme simple et direct, personnel et sans aucune concession aux ‘trucs’ qui font la peinture d’avant ou d’arrière garde… ce qui frappe le plus dans cette rétrospective, c’est une remarquable et régulière progression vers la plénitude de l’expression et l’ampleur de la composition ».

Fontenay aux Roses – huile sur toile – 46X33cm -1932

Dans l’atelier de la rue d’Odessa on surprend la pose d’une danseuse, le ballet des clowns, des jongleurs et des acrobates sous le chapiteau du cirque, une péniche qui passe sous les ponts de Paris et le paysage lointain de la Russie de son enfance. Cette enfance c’était la musique, le violon, la guitare et la clarinette.

Peintre faussement tranquille, un invisible sourire au coin des lèvres, quel bonheur offert en ses œuvres d’harmonie et de lumière.

Posé sur un guéridon, un vase, une fleur, un marbre à l’antique et un masque. Le peintre est un personnage jouant le rôle de la peinture.

Ossip Lubitch publie, en 1976, un recueil rétrospectif de dessins et lavis (Éditeur P.J. Balbo). « Si les dessins présents pouvaient toucher quelques amis, j’y trouverais la récompense de mon travail » écrit-il modestement dans la préface. Ses dernières expositions sont organisées en 1967, à la galerie Durand-Ruel, en 1983 dans les Salons de la rose-Croix (époque 81-84) et à la galerie Colette Dubois en 1983, au Musée des Années Trente à Boulogne, au Musée du Montparnasse. Il est décédé le 27 novembre 1990 à Paris à l’âge de 93 ans, il est enterré au cimetière du Montparnasse.

 

Catalogue édité à cette occasion (version papier 10€ à la galerie) : CLIQUEZ

La galerie Les Montparnos est ouverte en 2009 par Mathyeu Le Bal,  est une galerie de peinture parisienne implantée au coeur du quartier du Montparnasse dans le VI ème arrondissement. Spécialisée en premier lieu dans la peinture de l’école de Paris des années 20 et la redécouverte des « grands oubliés » du Montparnasse de l’entre-deux-guerres.
En second lieu, elle assure la promotion de peintres d’aujourd’hui qui s’inscrivent dans la continuité de l’histoire et des grandes traditions de la peinture. Constituée d’une équipe de peintres professionnels réunis autour d’un vaste projet commun, celui de défendre un art libre, spirituel et sensuel et qui redonne à la peinture sa grâce, sa force et sa beauté.

Galerie les Montparnos

5 rue Stanislas, 75006 Paris

Tel 06 33 38 95 25

Ouverte du lundi au samedi inclu de 11h à 19h

“La joie des naïfs”


Exposition jusqu’au 30 septembre 2018

Maison des Cultures du Monde – CFPCI

 

L’’exposition présentée à la Maison des Cultures du Monde à Vitré invite à découvrir des cultures étrangères par le biais de la peinture et à porter un regard neuf sur l’art grâce à une centaine d’œuvres naïves inédites issues d’Amérique du Sud, d’Europe, d’Asie et d’Afrique.

Katia Medvedeva est née en 1937 dans une famille paysanne du village de Golubino dans l’oblast de Belgorod. Orpheline à neuf ans elle est élevée dans un orphelinat du Nagorno Karabakh en Azerbaïdjan. Après avoir exercé différents petits métiers, elle se met à la peinture à l’âge de trente-neuf ans.


Sa deuxième exposition personnelle a lieu en 1993 au Théâtre du Rond-Point à l’invitation de la Maison des Cultures du Monde.

Ses œuvres sont ensuite présentées au Musée international d’art naïf Anatole Jakovsky de Nice. Depuis elle a participé à différentes expositions à travers le monde.

S’il est un art qui symbolise la liberté de la création humaine, c’est bien celui des artistes dits « naïfs », lesquels n’ont pourtant rien de la naïveté enfantine ou d’un dilettantisme du dimanche. Au contraire de leurs confrères initiés, les artistes naïfs ne cherchent pas, en effet, à imiter le monde qui les entoure : ils le créent, dans un geste libéré de toute convention académique. Des peintures rupestres des premiers hommes au célèbre Douanier Rousseau, sans oublier les œuvres à destinée publicitaire commanditées dès le 17e siècle, l’art naïf, que les Québécois préfèrent appeler l’art « indiscipliné », est si vaste, si généreux qu’il est impossible de lui attribuer une définition universelle comme on pourrait le faire pour le cubisme ou l’impressionnisme. La diversité de la production laisse néanmoins entrevoir un dénominateur commun : l’élan spontané du plaisir de peindre.

Loin de chercher à analyser ou à classer, l’exposition « La joie des naïfs » présentée par la Maison des Cultures du Monde à Vitré s’attache justement à montrer la variété des formes que peut revêtir le plaisir de la création artistique aux quatre coins du monde. Les œuvres mystiques de Katia Medvedeva côtoient les premiers travaux de Moke et Emma Valle, des enseignes réalisées par des anonymes jouxtent des œuvres du 19e siècle… Plus d’une centaine d’œuvres provenant d’une vingtaine de pays sont ainsi réunies avec la volonté de faire découvrir des artistes inconnus ou désormais reconnus, des œuvres d’art dont on pourrait croire qu’elles n’en sont pas, des légendes et traditions populaires ou encore des usages de ce medium dans certaines cultures.

ENTRÉE LIBRE

Maison des Cultures du Monde – CFPCI
Prieuré des Bénédictins – 2 rue des Bénédictins – 35500 Vitré

Ouvert du mardi au dimanche de 14h à 18h

PROLONGATION

Exposition jusqu’au 9 Mai 2018


Nouvelle soirée avec les artistes

jeudi 3 Mai de 18h à 21 h.

 De l’abstrait avec Riccardo Licata dont l’oeuvre est présente dans de

grands musées internationaux d’art moderne ( Paris, New York, Chicago, Milan,Venise, Vienne…),  Jean-Pierre Tanguy et Bruno Mathon

– du dessin figuratif avec Dominique Le Marois ancien

pensionnaire de la  Villa Médicis à Rome et  de jeunes artistes de talent Elaine Arruda et Nelly Stetenfeld,

 

– de la sculpture avec Patricia Byrs Lasquier et un nouvel artiste à la galerie Vladimir Hofmann.Vladimir vient de rejoindre la galerie et nous aurons l’occasion de vous faire découvrir son oeuvre dans notre prochaine Newsletter.

Vladimir Hofmann sera de retour à Paris le 5 mai

Plus de renseignements sur ARTCORUSSE (CLIQUEZ)

GALA RUSSE : Boris Eifman Ballet de Saint Petersbourg

Grimaldi Forum Monaco

 Samedi 2 juin 2018 à 20 h

 Boris Eifman nous propose une nouvelle création chorégraphique originale qui correspond aux possibilités artistiques et techniques modernes du ballet : Tchaïkovski. PRO et CONTRA.

PRO et CONTRA est le fruit d’une longue réflexion du chorégraphe sur la personnalité et le monde créatif du grand compositeur russe. Pour cette nouvelle création, la compagnie Boris Eifman Ballet de Saint-Pétersbourg a reçu le prix spécial du comité des experts du Golden Soffit.

« Depuis de nombreuses années, j’ai découvert l’univers musical de Piotr Ilitch Tchaïkovski et j’ai réalisé à quel point le monde du compositeur était profond et infini. J’ai compris en m’imprégnant de sa musique, une multitude de thèmes liés à sa création musicale, à son identité psychique, et aux relations avec ses proches. Mais, je n’avais pas ressenti cette immense richesse plus tôt, et je souhaitais plonger encore plus profondément dans l’environnement du tourment créatif de Tchaïkovski », reprend Boris Eifman.


La narration chorégraphique de la nouvelle production PRO ET CONTRA de Boris Eifman Ballet, fait corps avec la musique du compositeur dans une grande et précise émotion dramaturgique.

 

 

GRIMALDI FORUM
10, av Princesse Grace
98000 MONACO

Billeterie: CLIQUEZ   Réservation: 00377.99.99.30.00

Concert dédié au Jour de la Victoire dans la Grande Guerre Patriotique.

avec Tatyana YURKOVA, soprano

 
Konstantin SHIRYAEV, pianoforte

Dimanche 6 mai 2018 à 16h 30 

Auditorium Paul Arma, Antony

 

Un concert festif dédié au Jour de la Victoire dans la Grande Guerre Patriotique.

Tatyana YURKOVA, soprano
Konstantin SHIRYAEV, pianoforte

 

Tatiana Yourgova a démarré sa carrière dans le chœur d’enfants de la télévision et de la radio de Léningrad. Elle est chanteuse lyrique diplomée du Conservatoire National Supérieur de Rimsky-Korsakov de Saint Petersbourg. Après avoir travaillé au Théâtre d’Opéra de Moussorsky et participé aux concerts et spectacles au théâtre d’Opéra du Mariinsky elle s’installe en France où elle se perfectionne au CNR de Saint Maur et obtient son prix de chant. Elle collabore avec l’Opéra de Paris, le théâtre du Châtelet, l’orchestre d’Orléans, l’Ocp de Verteuil et le théâtre Impérial de Compiègne et participe aux festivals  à L’Abbaye du Thoronet et à Louvie-Juson avec “Exsultate Jubilate” de Mozart et le programme de musique sacrée russe.

 

 Konstantin Shiryaev, pianiste, est diplômé du conservatoire Tchaikovski de Moscou. Il a poursuivi une carrière d’enseignant en pratique et en théorie musicale,  d’accompagnateur et d’arrangeur, d’abord à Moscou, puis à Paris à l’Ecole normale Alfred Cortot en tant que pianiste. Konstantin Shiryaev est de nationalité russe.

Avec la participation des membres de l’Association “Monde russe-français” et Alexander BERLIN, violon

 

Le violoniste Alexandre Berlin, exprime avec une ferveur différente les mélodies, accentuant les effets avec l’archet, intensifiant les nuances et le rubato, tenant en haleine le public par l’intensité expressive de son jeu. Même si les positions ne sont pas toujours académiques, les mouvements parfois exagérés, le souffle musical habite ce jeune musicien et personne ne se pose la question d’un doigté ou d’un démanché mettant parfois à mal la justesse. Conquis par la quasi-danse de l’interprète qui virevolte et enrichit son jeu d’une riche palette expressive, de la tendresse la plus suave à la sévérité et au drame, le public en redemande.

Au programme:

Les œuvres de Tchaïkovski, Rachmaninov, Dupark, Foret et chansons populaires du 20ème siècle.

Buffet russe.

 

Auditorium Paul Arma
140 av. De La Division Leclerc,  92160 Antony

Tarifs:  10 et 5 euros. Entrée gratuite pour les enfants.

Renseignements et réservation: fenestachelucive@gmail.com
06 99 64 08 39

Accès : R.E.R B Station Antony,  Bus R.A.T.P 197 (arrêt Blanche de Castille)

Ouverture des Fontaines de Peterhof

à partir du 28 avril pour le système fontainier

 Inauguration officielle samedi 19 mai 2018 à 13h

Les fontaines du parc de”Peterhof” commenceront à fonctionner le 28 avril. Ce jour-là, l’institution passera au régime d’été.

Dans le parc de Nijni, l’exploitation des complexes a été testée, en premier les fontaines romaines.

Une des fontaines romaines

L’inauguration des fontaines aura lieu le 19 mai. Il sera dédié au 100e anniversaire de la vie des musées de Peterhof, Pavlovsk, Tsarskoïe Selo et Gatchina. En 2018, le 19 mai, une performance appelée “The Palace Saga” aura lieu. L’événement sera consacré au 100e anniversaire du palais en tant que musée-réserve. La présentation multimédia vous montrera plusieurs périodes de la vie du palais à Peterhof: les dernières bals sous la Russie tsariste, la révolution, le transfert des palais au peuple, la destruction de la Grande Guerre Patriotique, la restauration et l’état actuel.

Ce jour-là, vous verrez comment marchaient les troupes militaires à l’époque de Catherine. À la fin, des coups de fusil seront entendus et le lancement solennel des fontaines sera effectué sous l’hymne de Peterhof. La partie solennelle du programme durera environ une heure.

Les images des balles impériales ramèneront le spectateur à l’atmosphère du palais pré-révolutionnaire. Les affiches de propagande déployées sur la cascade rappelleront les changements cardinaux qui ont eu lieu dans les palais au début du XXe siècle. Le public apprendra comment les résidences impériales se sont transformées en centres de loisirs pour les citoyens soviétiques », a déclaré le service de presse de Peterhof, Komsomolskaya Pravda.

Le parc du bas est agrémenté de fontaines et de jets d’eau dont un certain nombre à surprises. Elles se déclenchent lors du passage du visiteur ou encore à intervalles irréguliers. Dans une allée bordée d’arbres les jets surprises sont si nombreux qu’on en ressort mouillé.

La fierté de Peterhof sont ses célèbres fontaines et tout particulièrement la Grande Cascade qui s’étale au pied du palais. Encadrées de jets et de statues de bronze doré.  Tout ceci, uni aux nombreux éléments architecturaux (arcs, corbeilles, balustrades, vases) réalisés en marbre, crée l’impression d’une décoration unie et artistiquement exécutée. Une sculpture en bronze dorée représentant Samson déchirant la gueule d’un lion se dresse sur un piédestal en pierre rustique au centre du vasque qui termine la cascade.

Soixante-quatre fontaines, deux cent cinquante-cinq statues, bas-reliefs, vases et autres ouvrages décoratifs en bronze composent la cascade. Elle fut réalisée en 1715-1724 par les architectes Jean-Baptiste Leblond, Niccholo Michetti, Mikhail Zemtsov et les sculpteurs Carlo Bartolomeo Rastrelli et Conrad Osner. Au début du XIX siècle, au cours de la restauration de cette composition complexe, de nombreux éléments furent changés. Les sculptures de plomb furent remplacées par des sculptures en bronze. L’architecte Voronikhine, les sculpteurs Ivan Martos, Ivan Prokofiev, Fedot Choubine et d’autres contribuèrent à ce travail. Le groupe de Samson fut coulé en plomb par Rastrelli en 1735, puis en bronze par Kozlovski en 1802. Chaque seconde, ce sont 34 000 litres d’eau qui sont projetés par les 150 fontaines et cascades de Peterhof. Les fontaines de Peterhof ont été mises en service pour la première fois le 26 août 1723.

Renseignements: +7 (812) 450-56-52

Carte du palais de Peterhof et des jardins avec les fontaines.

Youri Petrochenkov

” Le bruit du temps”

du 4 au 28 avril 2018

Yuri Petrochenkov est né le 12 juin 1942, lorsque sa famille a été évacuée pendant la Seconde Guerre mondiale à Alma-Ata. Après la guerre, en 1945 “est revenu” avec sa famille à Leningrad, où il a ensuite reçu l’éducation secondaire et supérieure. En 1966, Yuri est  diplômé de l’Institut de mécanique de Leningrad, spécialisé dans la production d’avions,  en 1971 il est diplôméde l’École supérieure d’art de Leningrad  Mukhina, Faculté de Design.
De 1970 à 1990 il a travaillé dans le domaine du design industriel dans le système de la RSFSR Art Fund, mais c’est un graphiste né et pendant de nombreuses années, il a travaillé dans le dessin et le chevalet graphique.

Depuis 1978 il se rend souvent dans les pays d’Europe de l’Ouest et les Etats-Unis, où il expose et donne “l’ancienneté” dans la technique de la peinture sur porcelaine et de nouvelles méthodes de conception.  “Le monde parallèle de Yuri Petrochenkov”, il vit dans le centre de Saint-Pétersbourg, dans un bâtiment d’une architecture éclectique bizarre du 19ème siècle, avec des tours et des baies vitrées, des dragons et des flèches. Il se spécialise dans la peinture sur porceleine.

Pour Youri Petrochenko la porcelaine d’Europe de l’Ouest, était avant et aujourd’hui purement décorative: la plus haute qualité technique et l’ornementation exquise. La porcelaine française est une utilitaire, la plupart du temps et prestigieuse. En Russie, la porcelaine, est un révélateur pour montrer l’art – La porcelaine russe est un art d’état plein d’allégories et d’enseignements, c’est didactique, est basé sur des “images” et des “slogans” significatifs.

I-Gallery. Intelligence présente les oeuvres du maître qui nous renvoient il y a un siècle, à la période de la révolution russe. Pourquoi la porcelaine ? C’est que seule la porcelaine, matériau artistique fragile, le plus proche à l’être humain, peut incarner de façon la plus précise « le bruit du temps ». Ce n’est ni la peinture, ni le dessin, ni la sculpture, ni la décoration des couverts de table ordinaires, mais tout cela mis ensemble. Voilà pourquoi la porcelaine « propagandiste » russe a fait son entrée dans le monde d’art et y a trouvé sa place bien méritée. Ce phénomène n’a pas d’analogues artistiques. Il a été créé par des artistes libres et expérimentateurs, venus de la rue révolutionnaire, sans l’aide des maîtres travaillant traditionnellement dans ce domaine. Pour eux, la peinture sur porcelaine n’était pas un métier, même exquis, mais une oeuvre vivante, réagissant aux sujets d’actualité.


Youri Petrotchenkov appartient aussi à cette tradition. Maître inventif de la ligne, calligraphe brillant de style « frisé » rappelant des objets historiques de collection, il n’essaie point de rendre des choses « appétissantes ». Il préfère attirer l’attention du visiteur, le déstabiliser, le faire rire parfois.

Comme il y a cent ans, à l’époque de la révolution russe, lui, avec sa langue brute de post-constructivisme, avec son ironie à propos de la fragilité et de la non-longévité de la porcelaine, il se moque des passions éternelles. Il se rappelle bien que la céramique, ce matériau artistique le plus ancien , absorbe tous les éléments naturels – terre, air, eau et feu.

 

IG Gallery Intelligence

1 quai Voltaire, 75007 Paris

Tél: 09 50 44 99 10

Horaires: Mardi au Dimanche de 14h – 19h

Métro: Palais Royal, RER Musée d’Orsay.

 

En vente :

Centre Spirituel et Culturel Russe, Quai Branly, 75007 Paris
Au Théâtre Lucernaire, 53 rue Notre Dame des hamps, 75006 Paris
Sur Amazon et à la Librairie du Globe, 67 Boulevard Beaumarchais, 75003 Paris

 

 

40 000 RUSSES PAR MOIS
L’envoi de troupes russes en France ne sera plus évoqué au cours de l’année 1915, jusqu’à la conférence interalliée de Chantilly des 6, 7 et 8 décembre qui décide d’une aide matérielle importante à destination de la Russie ; la capacité industrielle des Occidentaux le leur permet. À cette occasion resurgit l’idée de faire appel à la Russie pour fournir des troupes.
Le principe retenu est celui d’unités formées et instruites en Russie mais équipées et armées par la France. Les Alliés souhaitent l’arrivée de 40 000 hommes par mois. Vidéo conférence par Andréï Korliakov, historien-iconographe.

Plus de renseignements sur le conférencier: CLIQUEZ

 

Le Potager du Dauphin est un ensemble comprenant un parc, une maison principale et ses dépendances, se trouvant au centre de Meudon dans le département des Hauts de Seine bordant l’avenue du Château. Créé au XVIIème siècle il devient domaine royal, lorsqu’il a été acheté par Louis XIV pour le Grand Dauphin. Vendu comme bien national à la Révolution française, il passe entre diverses mains avec son parc de 15 000 m², puis est acquis par les Jésuites  en 1946 qui en font un internat pour jeunes russes en exil, y rajoutant une chapelle de style bysantin en 1950.  En 2002 suite à l’arrêt des activités du Centre culturel de St Georges, la ville de Meudon en devient propriétaire et ouvre au public le parc.

Le bâtiment principal de deux étages, a été réhabilité en ateliers d’activités. Quinze artisans d’art bénéficient d’un atelier dans un cadre prestigieux pour exercer leurs savoir-faire traditionnel.

La Ville met à disposition de lithographe, relieur, créateurs de bijoux, de vêtements, de mode, un atelier de 12 à 50 m2 au loyer modéré pour maintenir le secteur d’activité de l’artisanat d’art et faire découvrir aux Meudonnais le travail d’orfèvre de ces petites mains. Les ateliers sont ouverts lors des Journées européennes des métiers d’art et sur rendez-vous.

Potager du Dauphin

15 rue Porto Riche

92190  Meudon

Réservation obligatoire avant le 10 mai: 06 62 42 03 06   et   06 10 15 44 19

Accés: Gare de Bellevue, gare de Meudon ( départ de Paris par Montparnasse)

Bus: 169 arrêt Place Stalingrad.

 

Concert exceptionnel de

l’Orchestre Philarmonique de Monte Carlo

Direction Kazuki Yamada

Maxim Vengerov, violon

Lundi 7 mai 2018 à 20h30

Ne manquez pas cette occasion unique d’entendre l’immense violoniste Maxime Alexandrovitch Vengerov dans le Concerto pour violon de Tchaïkovski. Également au programme, la Symphonie fantastique de Berlioz…

Dirigé par Kazuki Yamada, l’ORCHESTRE PHILHARMONIQUE DE MONTE-CARLO occupe une place de choix dans le monde musical international. Grace à sa capacité de savoir conjuguer tradition et modernité, il joue un rôle de premier plan dans l’interprétation des oeuvres symphoniques du grand répertoire, le renouveau des oeuvres rares et contemporaines et la création lyrique et chorégraphique.

 

Dénommé Orchestre du Nouveau Cercle des étrangers à sa création en 1856, puis Orchestre national de l’Opéra de Monte-Carlo en 1958, l’Orchestre philharmonique de Monte-Carlo (qui a ce nom depuis 1980) occupe une place de choix dans le monde musical international. Conjuguant tradition et modernité, il joue un rôle de premier plan dans l’interprétation du grand répertoire, le renouveau des œuvres rares, la musique contemporaine et la création lyrique et chorégraphique. Depuis la fin du XIXe siècle, on ne compte plus les partitions données en première audition mondiale à Monte-Carlo.

Parmi les chefs qui se sont succédé à sa tête, citons Léon Jehin, Paul Paray, Henri Tomasi, Louis Frémaux, Igor Markevitch, Lovro von Matačić, Lawrence Foster, Marek Janowski, Yakov Kreizberg et Gianluigi Gelmetti (chef honoraire). Depuis septembre 2016, Kazuki Yamada en est le directeur artistique et musical.

Le CONCERTO POUR VIOLON EN RÉ MAJEUR de Tchaïkovski est l’un des plus célèbres et les plus appréciés de tout le répertoire. Son thème principal, à la fois épique et romantique, est sans doute responsable de cette popularité. Il s’agit pourtant du seul concerto pour violon jamais composé par Tchaïkovski.

Revenu sur le devant de la scène après une parenthèse de trois ans, le violoniste russe MAXIM VENGEROV semble mériter plus que jamais son titre de « meilleur violoniste du monde », il sera ici l’interprète de ce concerto.Il joue avec un Stradivarius de 1727, le sublime « Kreutzer » qui a appartenu au célèbre virtuose autrichien, dont il est le propriètaire depuis 1998. Mais il pourrait jouer n’importe quel morceau de bois et en tirer des miracles. Vengerov a commencé le violon à l’âge où ses petits camarades faisaient leurs premières boules de neige à Novossibirsk (Sibérie), où il est né le 20 août 1974. Il a enfilé, dès son premier concert à 5 ans, avec la même aisance fiévreuse gammes, doubles cordes, prix internationaux et une carrière propulsée d’emblée au plus haut niveau. Le 30 octobre 2009,  il a annoncé qu’il lâchait l’archet de son violon au profit de la baguette pour prendre la direction du futur Gstaad Festival Orchestra. Maxime Vengerov a repris sa carrière de violoniste le 2 mai 2011, pour un premier concert à Bruxelles.

 

En 2007, une blessure à l’épaule marque une cassure nette dans un parcours sans faute, entamé presque vingt-cinq ans plus tôt. Mais Maxim Vengerov a su profiter de cette période incertaine pour se lancer dans une carrière de chef tout en préparant son grand retour en tant que soliste sur les scènes internationales. Aujourd’hui, le violoniste est au faîte de sa virtuosité, pas moins prestidigitateur qu’il y a dix ans ; les événements lui ont aussi apporté une concentration inédite, une nouvelle maturité, une profondeur inégalée.

 

En composant la SYMPHONIE FANTASTIQUE, souvent qualifiée de première « Cathédrale Sonore », Hector Berlioz donnait la preuve qu’il était un musicien à l’imagination démesurée qui grandissait considérablement l’échelle de la musique et ouvrait des voies où allaient s’engouffrer tous les grands orchestres futurs… La Symphonie Fantastique n’est pas seulement un chef d’oeuvre de la musique symphonique. C’est aussi l’œuvre manifeste du mouvement romantique, qui pose d’emblée la question du rapport entre l’artiste et la société.

La Cité des Congrès de Nantes

5 Rue de Valmy, 44000 Nantes

Tarifs de 32 à 7€

Réservation : 02 51 25 29 29

Accés: Située en centre-ville, face à la gare TGV (sortie Sud) et à 20 minutes de l’aéroport

Tramway:  ligne 1 – station « Duchesse Anne – Château des Ducs de Bretagne », à une station de la gare TGV (sortie Nord).

 

Exposition

“Toutes les COULEURS du MONDE”

“Nous sommes différants, nous sommes ensemble”

19 avril au 12 mai 2018

Académie Stieglitz, Saint Petersbourg

 

L’exposion “Toutes les couleurs du monde“, se déroule dans la grande salle d’exposition de l’académie Schtiglitz, surmontée d’une verrière, accueillant une exposition-concours international d’œuvres créatives d’enseignants, d’étudiants et d’artistes professionnels de Russie et d’autres pays.

 

Le but de l’exposition-concours est d’encourager l’activité créatrice des étudiants, des professeurs et le personnel de l’Académie, ainsi que le soutien et la promotion des arts contemporains et des arts décoratifs, de favoriser l’interaction et l’enrichissement des différentes écoles d’art et de la culture. En outre, l’exposition comprendra le travail des étudiants qui ont été choisi par le comité d’exposition de l’Académie.

 

Discours d’ouverture de l’exposition le 19 avril, en présence des artistes et de nombreuses personnalités invitées du monde des arts à cette occasion .

 

Quelques œuvres présentées sur les cimaises de l’exposition:

(Crédit photos: Gleb Drapkin)

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Fronton de la façade de l’Académie Stieglitz.

 

Baron Alexandre Stieglitz

L’école est fondée par décret du tsar Alexandre II en 1876, grâce aux moyens financiers de son fondateur, le  baron von Stieglitz  (1814-1884), banquier et industriel. Il a laissé à sa mort un capital de sept millions de roubles pour assurer le fonctionnement de l’école qui prépare des dessinateurs industriels et techniques et de futurs professeurs de dessin des écoles secondaires techniques.  Son premier directeur, de 1879 à 1896, est l’architecte M.E. Messmacher .

L’école reçoit sa dénomination actuelle en 2006. Elle enseigne aujourd’hui à environ 1 500 étudiants répartis en trois facultés, art monumental, design et arts décoratifs. Son corps professoral compte quelque deux cent-vingt enseignants. L’Académie à célèbré son 140 ème anniversaire en 2016.

Pour visiter l’exposition “Toutes les couleurs du monde“, il est nécessaire d’acheter un billet à la billetterie du  Musée. Avec ce billet il sera possible de passer par le hall d’entrée du bâtiment éducatif (Solyany Pereulok 13). Se munir d’ une carte d’identité (passeport, permis de conduire). La billetterie du musée est ouverte de 11h00 à 16h30.

Musée des Arts Appliqués, Académie Stieglitz

Solyanoi pereulok  15 , Saint- Pétersbourg 191028

Téléphone :+7 812 273-38-04

 

Avec Ralph Fiennes: Mikhail Rakitin un ami de la maison, Larissa Malevannaya: Anna Semenovna , Sylvie Testud: Elisavetta Bogdanovna une compagne, Anna Astrakhantseva: Natalya Petrovnaépouse d’Islaev, Alexandre Baluev: Arkady Islaev  riche propriètaire foncier, Nikita Volkov: Alexey Belyaev étudiant 

Au XIXe siècle, en Russie, amitié, rivalités, jalousie et tourbillon amoureux se cotoient dans une belle propriété, celle du hobereau Arkadi Islaev et de sa femme Nathalie Petrovna. Le jeu est basé sur un d’amour à quatre. Natalia Petrovna, l’épouse du riche propriètaire terrien Arkady Sergeich Islaev, tombe amoureuse d’Alexeï Nikolayevich Belyaev, un étudiant, enseignant du fils de Kolya. Mikhail Aleksandrovich Rakitin – un ami de la famille, a longtemps aimé Natalya Petrovna. Vera – une élève de Natalia Petrovna tombe également amoureuse d’un jeune étudiant professeur, qui va bouleverser la vie de la famille Islaiev et les deux femmes, Nathalia Petrovna et Verotchka sont prises au piège de l’amour… Belyaev et Rakitin finissent par quitter le domaine …

Réservation: 06 42 00 12 80

Exposition

“Une maison d’édition russe à New-York :

Les Editions Tchekhov

(1951-1956)”.

du lundi 23 avril au 19 mai 2018

Librairie Les Éditeurs Réunis, Paris

 

Lundi 23 avril, à 18 h 30, inauguration de l’exposition, 

avec la conférence de  Pavel Tribunski, commissaire de l’exposition,

ENTRÉE LIBRE.

Pavel Alexandrovitch Tribunski, né en 1974, chercheur principal de la Maison des Russes à l’étranger. A. Solzhenitsyn. En 1997, il est diplômé de la Faculté d’Histoire et de l’Université Pédagogique d’Etat de Ryazan. S.A. Yesenin. En 2002, le RSUH a soutenu sa thèse sur le sujet “P.N. Milioukov en tant qu’historien de la pensée historique russe. “

Projet de recherche en cours: “L’ère des années 1960. dans la correspondance des écrivains émigrés russes: la collection de G.A. Khomyakova, le magazine “Mosty” et “Association des écrivains étrangers” (à partir des archives de la Maison de Russie à l’étranger du nom de A. Soljenitsyne).

Domaine d’intérêts scientifiques : Histoire de la science; L’histoire du libéralisme russe; Patrimoine archivistique des scientifiques.

Il a reçu la Médaille de l’Académie des sciences de Russie pour les meilleurs travaux scientifiques.

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11 rue de la Montagne Sainte Geneviève, 75005 Paris

Métro: Maubert-Mutualité

Horaires du mardi au samedi inclus de 10h à 18h30 

“DEUX FEMMES”

Jeudi 3 mai 2018à 20H45

Film de Vera Glagoleva d’après la pièce d’Ivan Tourguéniev

Théâtre du Grenier, Bougival 

 

 

DEUX FEMMES
d’après la pièce d’Ivan Tourguéniev, “Un mois à la campagne”

 


Avec Ralph Fiennes: Mikhail Rakitin un ami de la maison, Larissa Malevannaya: Anna Semenovna 
, Sylvie Testud: Elisavetta Bogdanovna une compagne, Anna Astrakhantseva: Natalya Petrovna épouse d’Islaev, Alexandre Baluev: Arkady Islaev  riche propriètaire foncier, Nikita Volkov: Alexey Belyaev étudiant
VO sous-titrée français – 2014 durée 1h40

Au XIXe siècle, en Russie, amitié, rivalités, jalousie et tourbillon amoureux se cotoient dans une belle propriété, celle du hobereau Arkadi Islaev et de sa femme Nathalie Petrovna. Le jeu est basé sur un d’amour à quatre. Natalia Petrovna, l’épouse du riche propriètaire terrien Arkady Sergeich Islaev, tombe amoureuse d’Alexeï Nikolayevich Belyaev, un étudiant, enseignant du fils de Kolya. Mikhail Aleksandrovich Rakitin – un ami de la famille, a longtemps aimé Natalya Petrovna. Vera – une élève de Natalia Petrovna tombe également amoureuse d’un jeune étudiant professeur, qui va bouleverser la vie de la famille Islaiev et les deux femmes, Nathalia Petrovna et Verotchka sont prises au piège de l’amour… Belyaev et Rakitin finissent par quitter le domaine …

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Vera Glagoleva, actrice de cinéma et de théâtre soviétique et russe, réalisatrice, scénariste et productrice. Artiste du peuple de la Fédération de Russie. Elle est née le 31 janvier 1956 à Moscou et décédé le août 16, 2017 (61 ans), à Baden-Badem. Elle a tourné le film dans le cadre magnifique de la propriètée du domaine de Glinka à Smolensk, ayant le style du classicisme russe du milieu du XIXe siècle.

Tous les accessoires sont authentiques, ils proviennent de collections privées et de salons d’antiquités. La Maison française Guerlain  spécialement pour le tournage du film a envoyé une copie exacte de la bouteille de parfum “Imperial” du milieu du XIXème siècle. Pour le personnage principal ont été fabriqué des bijoux dans le style de l’époque. Pour la décoration intérieure et les costumes, des tissus naturels sont utilisées de l’ancienne collection anglaise, le lin, le coton, la soie, la laine, la batiste, la soie shantung, qui n’est  plus utilisée de nos jours, et la soie naturelle. 

Au total, 27 costumes pour les personnages principaux ont été réalisés.

À la fin de l’année 2014, les costumes pour le film ont été présentés à l’exposition «Deux femmes. Avant-propos “, qui a eu lieu au Musée d’État Pouchkine à Moscou.

Vera Galgoleva lors de l’exposition des costumes

Tous les costumes, illustrations et matériaux manuscrits associés au film, croquis de costumes et autres objets présentés à l’exposition ont été donnés au musée Tourgueniev de Moscou, rue Ostozhenka, connu sous le nom de “Maison Moumou”.

Le film reçu de très nombreux prix et distinctions.


Théâtre Grenier, 

7 rue du Général Leclec, 78380  Bougival
Tarifs: 5€, gratuit pour les détenteurs d’un Pass saison ou Pass saison russe
Billeterie: reservation.grenier@ville-bougival.fr
Téléphone: 01 39 69 03 03

ALDE Paris & Gamaliy

Exposition du 12 au jeudi 26 avril 2018

Librairie Giraud Badin, rue Guynemer VI° paris

Vente le vendredi 27 avril à 17h

Salle Rossini, rue Rossini IX° Paris

Il existe des collections légendaires qui incitent des personnes à se livrer à la tâche ô combien noble de collectionneurs d’art et de livres anciens. Ainsi en Russie les collections de Ghennady, du comte Butourline, d’Ostroglasov, d’Oulianinski, de Smirnov-Sokolski et bien d’autres ont-elles grandement stimulé plusieurs générations de bibliophiles passionnées. Or, pour qu’une collection puisse rester comme évènement culturel, il faut qu’un catalogue en ait été dressé. En 1741 lorsque se préparait la vente de la collection du banquier Pierre Crozat, Pierre-Jean Mariette eut l’heureuse idée d’en rédiger un catalogue commenté.

Extraits du catalogue:

TOUROVEROFF, Nicolas Nicolaevitch. 1899-1972.
Lettre aux membres de l’Association des poètes Cosaques. 1945. ТУРОВЕРОВ Nicolas (1899-1972) une Lettre aux membres de la Tasse de cosaques-lettrés. Paris, le 23 février 1945 – 1 l. ; 20,5 x 13,5 voir – Tapuscrit avec l’encre inserts N. Туроверова (marron d’encre). Туроверов informe les membres de la Tasse sur le plan de l’édition littéraire de la collection, consacré à cosaques (éditeur – «camarade» de Jean Linceul) et vous invite à y participer. ЧЕКУНОВ Ivan Stepanovitch (1874-1956). Docteur en médecine, cosaque village Razdorskaïa Don région. Partie de la guerre mondiale et la guerre Civile, en tant que médecin. Intéressant document de l’histoire des activités de la Tasse de cosaques-lettrés. Провенанс: de l’héritage de N. N. ТУРОВЕРОВА (1899-1972).
Portrait de Pougatchev dans la captivité.
Gravure de HILLERS, vers 1780. 24,1 x 15,8 cm. Rare. Emelyan Pougatchev dans la cellule. 4-je une activit. XVIIIE siècle le Graveur HILLERS Cartouche gravure sur cuivre Dans le monde: 24,1 x 15,8 Inscription: Jemelia Pugatschew / Rebelle in Russland unter dem angenommenen Namen Czaar Peters des im dritten Orenburgischen Gouvernement, etc.; signature: Hillers. Sc. «L’image de Pougatchev dans une cage, dans laquelle il se montrait au peuple, dans les anciens locaux de la 2e Département de Moscou de la Cour de Comté. La cellule et les fers se trouvent actuellement dans le Public du musée. Dans une Prison de Moscou, en outre, était «chanterelle», — un gros prout avec des menottes, à laquelle Pougatchev a été enchaîné dans le temps» (Ровинский). Dans le passe-partout dans un cadre sous verre. La perte de незначит. fragments d’inscriptions sur la marge inférieure. Selon Ровинскому, figure parmi les trois gravé l’image de Pougatchev, qui sont particulièrement rares («Les trois gravures sont très rares»). Poésie: Ровинский, Matériaux de russe de l’iconographie, 1891, t. XII, n ° 450.
Premier grand concert gala.
Paris, 1933.L’affiche: «le Premier concert de gala». Paris, 1933 – Russes chansons populaires, de la musique et de la danse avec la participation de l’universel de l’idole d’émigration Blanche Espoir Плевицкой, condamnée en 1937 par un tribunal français à 20 ans de travaux forcés pour sa participation à l’enlèvement du général Eugène Miller. Est morte en prison en 1940, 27 x 21 voir une Grande rareté.
Ensemble de 5 numéros du journal « Za Rodinou ! [Pour la patrie !] ».
Riga, juillet, août, décembre 1943. Très rare. [RUSSE de l’ARMÉE de LIBÉRATION] un ensemble de cinq numéros du journal «POUR la PATRIE!». №№ 172, 174, 186, 201 et 284. Riga, juillet, août, décembre 1943. Chap. éditeur: G. СТЕНРОС (nast. Macready, 1902-1982), membre d’un mouvement Blanc (первопроходник), un dessinateur. Dans une collection état. D’une grande rareté.
Catalogue réalisé par: Arthur & Alexandra Gamaliy 
Commissaire de l’exposition: Alexandra Gamaliy
Commissaire-priseur: Jérôme Delcamp
Experts: Arthur Gamaliy et Nicolas Tchernetsky

Catalogue complet: (CLIQUEZ)

Exposition Librairie Giraud Badin jusqu’au jeudi 26 avril,

22 rue Guynemer, 75006 Paris Téléphone: 01 45 48 30 58

Horaires: 9h à 13h et 14h à18h

 

Exposition publique Salle Rossini,  7  rue Rossini 75009 Paris,  vendredi 27 avril de 10h à 12h

Tél: 01 53 34 55 01

Vente à 17h, par ALDE, Maison de ventes spécialisée Livres-Autographes-Monnaies

Un sceau en plomb du 13ème siècle en Russie

Des fouilles archéologiques menées en été 2017, dans le centre de la ville russe de Yaroslavl avant l’installation d’un nouveau système d’égouts ont mis au jour un ancien sceau en plomb du début du 13ème siècle au Mitropolichy Palat (Chambre Métropolitaine des Évêques), la plus ancienne structure de la ville. Il avait appartenu à l’épouse de Vladimir Sviatoslavitch (ou Vladimir Le Grand) et mère de Iaroslav le Sage.

Yaroslav Vladimirovitch, le Sage, ou le Boîteux, est né très certainement en 979, à Vychhorod (région de Kiev). Il est décédé le 19 ou 20 février 1054

Grâce à cette découverte, on connait maintenant le nom de la Grande Duchesse qui était Maria.

« Dans la Russie médiévale, tous ceux qui avaient une position d’autorité (grands princes et princesses, et les hauts rangs du clergé) avaient leur propre sceau, qui était apposé sur tous les documents officiels et décrets. Nous avons plusieurs milliers de tels sceaux datant de l’ère pré-mongole, mais en trouver un ayant appartenu à une femme est cependant très remarquable » précise le Dr Pyotr Gaidukov, directeur adjoint de l’Institut d’Archéologie.Le Dr Gaidukov fait autorité sur les timbres et les sceaux de la Rus’ de Kiev, et est responsable de cette récente découverte.

Cette découverte donne aux archéologues des raisons de croire que près de la Chambre Métropolitaine, qui date du 17ème siècle, devait se tenir la célèbre cour du Prince Vsevolod. Il avait été tué en 1238 au cours de la légendaire bataille contre le chef de guerre mongol Batu-Khan sur les rives de la rivière Sit.

Chef mongol Batu-Khan (1205, mort en 1255 à Saraï, dans l’actuelle Russie), petit-fils de Gengis Khan, est le premier khan de la Horde d’or 

Le sceau en plomb a été trouvé en bon état, près des fondations de la structure en bois; il porte les images de Saint Constantin et Marie. Il a été mise au jour dans une couche culturelle datant du tournant du XIIIe siècle.

Le Dr Gaidukov a expliqué que les sceaux royaux au 12ème et 13ème siècles en Russie portaient généralement les images des saints patrons du propriétaire, d’après lesquels les dirigeants tiraient leur prénom.

Le fait que ce sceau montre à la fois un saint homme et femme signifie qu’il a appartenu à une princesse royale, puisque l’image de l’autre saint se référait à son mari. « La datation exacte de ce sceau, ainsi que de son lieu de découverte, nous donne des raisons de croire qu’il appartenait à la femme de Vladimir Le Grand (1186-1218) » rapporte le chercheur. Le nom de sa femme était inconnu jusqu’à présent. Tout ce que l’on savait sur elle était que, après la mort de son mari, elle avait pris le voile sous le nouveau nom d’Agafya (Agatha).

« Cependant, l’image de Sainte Marie sur le sceau prouve que son nom de baptême était Marie. Enfin, la princesse mystérieuse a repris son nom. » ajoute le Dr Gaidukov, « ce type de sceau en plomb était essentiel pour un dirigeant, il donnait autorité à tous les documents légaux, comme ceux qui confirmaient la propriété des terres. Une duchesse qui avait son propre sceau avait automatiquement le droit d’accorder des droits de propriété en son nom propre ».

 

Des archéologues ont trouvé une «Vénus paléolithique» datant de la période de glaciation dans la région de Briansk (l’ouest de la Russie). Le site est situé près du canal moderne de Desna, à 25 kilomètres de Bryansk.

Cette statuette est sculptée dans une défense de mammouth date de l’ère de glaciation a été trouvée par des scientifiques de l’Institut d’archéologie de l’Académie des sciences de Russie lors de fouilles dans la région de Briansk, dans l’ouest de la Russie. D’après le service de presse de l’Institut d’archéologie, cette découverte est très importante, car il n’y aurait que quelques dizaines de figurines semblables dans le monde entier.

La « Vénus » en question n’est pas très grande — un peu plus de 5 cm. Sculptée dans une défense de mammouth, elle représente une femme corpulente, a le ventre plutôt gros — peut-être est-elle enceinte — et une bonne poitrine. Une partie de son ventre et de sa poitrine s’est effritée le long d’une lézarde naturelle dans la défense. La figurine a été découverte à côté d’un entassement de grandes plaques de silex et des fragments d’ossements de mammouths colorés avec de l’ocre. Apparemment, elle a été placée à côté des os d’un mammouth, sur le sol, et non pas « enterrée » comme les autres « Vénus ». 

D’après le chef de l’expédition, Constantin Gavrilov, cette statuette remontrait au milieu du Paléolithique supérieur, et la couche d’occupation où elle a été trouvée serait vieille de 23 000 ans.

À l’époque, le glacier en Europe avait déjà reculé au nord et couvrait seulement le territoire de la péninsule Scandinave et de la région Baltique.

Les statuettes des « Vénus paléolithiques » sont typiques de la phase du Gravettien du Paléolithique supérieur. Après cette époque, qui a pris fin il y a environ 19 à 20 000 ans, ce type de figurine est rarissime. La première découverte d’une statuette semblable a été faite en 1864, lors de fouilles à Laugerie-Basse, dans le sud-ouest de la France. Depuis, on en a souvent trouvées en Europe, en Russie centrale et en Sibérie. Leur taille varie de 5 à 15 cm. Certaines sont en argile cuite et en calcaire, mais le plus souvent elles étaient sculptées dans des défenses de mammouth.

“Vladimir Hofmann”

expose du jeudi 19 au samedi 28 avril 2018

Galerie E. De Causans

Vladimir Hofmann sculpteur d’origine russe né et vivant à Paris comme il aime à le dire “Je suis Russe parisien“, français de papiers mais russe de cœur. Le russe que toute la famille parlait à la maison fut sa première langue, il n’a appris le français qu’à l’école. Dès son enfance il s’intéressait à la sculpture, qu’il pratiquait avec de la pâte à modeler.

Plus tard il étudia dans les ateliers d’ Annenkov peintre avantgardiste et du sculpteur Zadkine. Il termina les Beaux-Arts dans la classe d’Etienne Martin. Vladimir exposa pour la première fois avec son frère jumeau, André dit “Sadko” (10 novembre 1945 – 18 décembre 2016) dans un petit restaurant du Quartier Latin  (près de St Germain des Prés à Paris) le coin des étudiants en 1970. Dès lors, il fit de très nombreuses expositions. Il exposa également dans sa ville préférée en Russie : Saint Petersbourg, ville où se trouvaient ses racines familiales. Ses œuvres se trouvent dans les musées de la ville de Paris, à la Bibliothèque Nationale de France, en Russie et dans des collections privées à travers le monde. Il reçut de nombreuses distinctions comme: la médaille d’Or de la Ville de Paris.
A partir de 2002 Vladimir avec son frère André, ont organisé de nombreuses  expositions en Russie.
En 2007 le public russe a pu admirer les œuvres des frères Hofmann au musée Akhmatova, sur la Fontanka. En 2010 ont eu lieu des expositions au Palais Constantin à St Ptersbourg et au musée Bourganov à Moscou.

 

Sculpture représentant le cheminement de l’homme au travers de lui-même.  Vladimir traite de la destinée humaine a travers deux thèmes essentiels: le « Train de la vie », c’est-à-dire la mosaïque du quotidien, et le « Parcours intérieur » de l’Homme a la recherche de soi.

Il travaille sur l’ombre, qui est fragile, car l’ombre est éphémère, sa présence n’existe que par l’œuvre qui arrête la lumière. C’est le présent, pivot insaisissable qui nous entraîne vers l’éternité. L’attachement d’un regard fixe l’équilibre du temps qui passe de l’ici à la Vie Éternelle.

Plus de renseignements sur l’artiste: (CLIQUEZ)

Vernissage le 20 Avril 2018 à partir de 18h

 

Galerie Étienne De Causans

25, rue de Seine, 75006 Paris

Horaires: du lundi au samedi de 11h-13h et 14h30-19h

Métro: St Germain ds Pfrès (ligne 4), Mabillon (ligne 10

Parking: 27 rue Mazarine, 75006 Paris

Renseignements: 01 46 83 19 50

 

Exposition de Volodia Popov-Massiaguine

“Paris, Changaï, Moscou”

Galerie Artefact, Moscou.

du mercredi 18 avril au jeudi 10 mai 2018

Volodia Popov-Massiaguine artiste français d’origine russe. Il est né en 1961 dans la ville de Michurinsk. En 1980, il est diplômé de Abramtsevo School of Art Industriel im.Vasnetsova, 1988 – Art et de l’Académie de l’industrie im.Muhinoy, Saint-Pétersbourg, Département de l’art monumental. Depuis 1993 – membre de l’Union des artistes de Russie. Depuis 2000 – vit et travaille à Paris. Depuis 2002 – membre de l’Union des Artistes de France. Participation à plus d’une centaine d’expositions personnelles et collectives en Europe, en Amérique, au Japon, en Corée du Sud, en Chine et en Russie. Il est l’enfant le plus légal qui soit du post-modernisme, en commençant par son nom artistique.
Son évolution, ses recherches, procédés, passions, thèmes et allusions respirent la gravitation même de ce courant. 
 Volodia s’est très bien installé dans ce créneau, il y est demandé, il a du succès, il convient parfaitement avec son langage, ses images, ses personnages – il y est bien à sa place. Le talent de Volodia s’est toujours tendu vers des expressions paradoxales. 
Et qui dit “paradoxal” dit “excentrique”.
Il est excentrique dans ses personnages féminins transpercées par une émotion érotique, dans ses nature-mortes où les objets se rivalisent farouchement loin de l’indifférence statique et paisible, il est excentrique dans ses autoportraits et les compositions où ces autoportraits jouent avec l’entourage.
 Même quand il ne fait que contempler, son regard n’est jamais impassible ou lointain, mais il crée de l’intrigue partout sur son chemin.
Et cela ne saurait être autrement car Volodia possède, à part son talent d’artiste, un autre don rare et inné – un charisme, un incroyable rayonnement d’énergie.
C’est d’autant plus important pour un artiste né au fond de la province russe, parmi tant de facteurs plûtot hostiles à la formation d’une personnalité créatrice.
Et tous ces dons sont couronnés d’un précieux trésor en plus – d’une école.
Volodia est issu de la filière monumentaliste de l’Académie de l’art industriel de St-Petersbourg (dite Ecole Moukhina).
La qualité de cette formation permet de se positionner en bon professionnel dans n’importe quel style.
Dans un de ses interviews Volodia avoue avoir une chance inouïe de se trouver quelquefois au bon endroit au bon moment.
La bonne chance n’est jamais inutile, mais pour en bénéficier aujourd’hui Volodia a du entreprendre au milieu des années 1990 une série d’efforts presque héroïques.
Il l’a fait et vécu la première moitié de sa vie avec telle efficacité qui lui garantie aujourd’hui son status quo.

Cela fait déjà plus de dix ans que Volodia vit en France.
Est-il devenu pour autant “artiste français” ou bien est-il resté russe ?
Le langage d’expression pictural est universel depuis les ornements préhistoriques, ainsi que les thèmes.
Formation: École Abramtsevo d’art-industriel, région de Moscou (1976-1980) Ecole supérieure des Beaux Arts Moukhina, Leningrad (1980 – 1988).
Vernissage le 17 avril 2018
Galerie Artefact Center
Rue Pretchistenka  д.30/2
119034 Moscou
Highlights info row image: +7 495 933-51-73

Horaires:  11:00 – 21:00

 

C’est l’histoire d’une adoption en Russie, le parcours chaotique d’un couple vers un enfant qui l’attend dans l’Oural, à l’autre bout de l’Europe. C’est une rencontre avec la Russie moderne qui garde des traces de son histoire soviétique et une aventure humaine. Parallèlement, dans des temps différents, se dessine le parcours de deux autres femmes : Elisabeth Vigée Lebrun, portraitiste de Marie-Antoinette qui fuit la France révolutionnaire jusqu’en Russie et Marina Tsvétaïéva, poétesse russe qui fuit la révolution de 1917 jusqu’en France, chacune des deux accompagnées de leur fille.

L’auteur Gwenola Leroux, née en Bretagne, s’intéresse depuis longtemps à la Russie, sa culture et son histoire. Elle propose ici une autofiction, genre qu’elle a plusieurs fois exploré à travers ses autres romans: Nuit bleu horizon, Pierre blanche Enquête sur une dispersion, Seul, pluriel et 2.

Anna Tébo graphiste, formée à l’École Estienne, a mêlé dans l’ouvrages des interventions plastiques faisant écho symbolique au texte.

ISBN 979-10-9346-27-9

273 pages, 23€

Il y a fort longtemps, des petits-enfants se moquèrent de la lune. Celle-ci, furieuse, descendit sur terre pour les dévorer. Alors leur grand-mère décida de les dissimuler dans un petit sac…

À travers les textes de ce recueil, vous découvrirez la vision de la vie et la relation à la nature du peuple mansi sur les rives de l’Ob, en Sibérie occidentale.
Ainsi, dans les 18 contes de ce recueil, vous appendrez: pourquoi, selon les Mansis, l’écureuil a le dos rayé ; pourquoi le lièvre a les lèvres coupées, de longues oreilles et une courte queue ; comment l’homme a doté le renne de bois et comment le corbeau est devenu noir; pour quelle raison le chien et l’homme sont devenus amis; qui est Moshnê, fille et soeur des ours…

Ces contes ont été traduits par Charlotte Boucault qui s’est rendue dans la région de Khanty-Mansiïsk afin de rencontrer les communautés autochtones qui peuplent ce territoire, et ainsi mieux comprendre leur culture. Traductrice du russe, passionnée par la Sibérie et la littérature, Charlotte Boucault est partie séjourner dans la région de Khanty-Mansiïsk pour mieux connaître le mode de vie des Mansis. S’imprégnant de l’atmosphère des contes qu’elle traduisait, elle a découvert la vie des éleveurs de rennes dans la taïga. C’est là, dans les forêts de Sibérie occidentale, qu’elle a eu l’étrange sensation de se retrouver en pays familier, retrouvant les éléments de la culture mansie qu’elle avait d’abord rencontrés dans les textes : le tchoum, le narta, le tchouval…

L’illustrateur estonien Jüri Mildeberg a déjà conquis nombre d’admirateurs à l’étranger, charmés par son humour et sa fantaisie. Ses tableaux font aujourd’hui partie des fonds de la Bibliothèque Nationale d’Estonie ainsi que de nombreuses collections privées.
Les peintures souvent qualifiées de surréalistes de Jüri Mildeberg laissent une interprétation ouverte à celui qui les contemple. Pour cet artiste qui se désigne lui-même comme un hédoniste passionné par son travail, c’est dans le détail parfois insignifiant que se situe l’essence des choses, de sorte que ce détail devient alors objet existentiel. Aussi l’illustrateur s’est-il imprégné de la symbolique de chaque conte avant d’en faire le dessin, œuvre originale réalisée pour ce recueil.

ISBN 979-10-93466-28-6

Prix 13€

Contes Éditeur BOREALIA

 

Le film a remporté le XXVII Festival International du Film Documentaire d’ Amsterdam IDFA dans le “Meilleur film documentaire ” 2014.

A propos du réalisateur:

Julia Mironova est née en 1977 dans la ville d’Abakan en République de Khakassie. Elle est diplômée de l’Université d’Etat de Khakas (1999) et de l’Académie des Arts de Théâtre de l’Etat de Saint-Pétersbourg (2007). Vit et travaille à Saint-Pétersbourg.

Le Bistrot russe de Paris

Le ZAKOUSKI

Restaurant russe, au cœur du 14ème arrondissement parisien que Le Zakouski vous ouvre ses portes. Dans l’ambiance chaleureuse de ce petit bistrot russe à l’ancienne. Accordez-vous une pause culinaire dépaysante et profitez d’un décor au mobilier simple et aux couleurs chatoyantes. Dernier bastion de la culture russe à Paris où il fait bon vivre comme à l’époque de nos parents et grands – parents ces non moins célèbres “RUSSES BLANCS.

Nicolas et Fabienne, sa femme travaillent à l’ancienne. Les blinis sont faits maison et à la main.

zakouski-patron

Nicolas est né à Paris de parents russes, un de la vieille école, celle des Russes blancs, du Raspoutine, un représentant de cette infinie mélancolie slave qui s’est longtemps répandue sur les trottoirs de Paris, lorsque les Soviets étaient au Kremlin. 

Nicolas Novikoff en a vu dans Paris, «Je suis le dernier représentant d’une culture russe blanche à Paris», proclame t-il.

De très nombreuses photos rares et uniques ornent les murs, et pour certaines nous font souvenirs des : Aliocha Dimitrievitch et sa sœur Valia,  qui chantaient au Raspoutine, Yul Brynner s’accompagnant à la guitare et chantant en duo avec Aliocha, l’orchestre de Saint Georges sous la baguette de  Paul Valochine ,  Kotlarov, Marc de Lutchek, Lopato, et de biens d’autres qui firent la renommée des folles soirées et nuits russes et tziganes à Paris.

 

Véritable cuisine russe de notre enfance dans ce cocon ou “Nicolas et son épouse Fabienne ” garde l’âme, l’esprit russe  et cette convivialité que seuls les russes connaissent. Menu à la carte: délicieux Bortsch avec pirochki (petits friands à la viande au choux ou à la pomme de terre), blinis aux harengs, pelmenis, kotleti (boulettes de bœuf et Kasha) et en dessert Vatrouchka (gâteau au fromage blanc) où Blinchiki crême et confiture et, bien entendu comme boisson outre du vin il y a de la vodka servie bien glacée.

Ambiance russe tous les vendredis soir , avec les  artistes jouant dans les différents cabarets de Paris. Ces derniers viennent après ou avant leur prestation se détendre et se retrouver entre eux, et finir la nuit au son de leurs balalaïkas, guitare russe (à sept cordes) en chantant de vieilles romances et en dansant au son des chants russes et tziganes ! Où bien tout simplement pour se retrouver et jouer ensemble pour notre plus grand plaisir.

OUVERT QUE LE SOIR sur RÉSERVATION 

 

Le Zakouski

127, rue du Château 75014 Paris France
Réservation : ‭06 08 94 01 91‬
Métro: Pernety

Découverte en Altaï.

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Un berger découvre un morceau de métal rouillé !

Non loin du village de Klyuchi, sur le territoire de l’Altaï, le berger a trouvé un morceau de fer rouillé et l’a emporté le vendre comme ferraille; pendant deux semaines, la découverte a été laissée sans surveillance jusqu’à ce qu’elle attire l’attention du propriétaire du centre d’accueil, elle ressemblait beaucoup à une épée, il a décidé de porter la découverte au musée, et il s’est avéré que le métal indéfinissable est une épée scythique unique datant du 6ème siècle avant JC.

Longue de plus de 80 cm, elle est en fer et le manche est orné d’une tresse en fil d’or et de calques recouverts d’applications de feuille d’or.
Cette arme appartenait fort probablement à un noble guerrier, voire à un chef.  L’épée de fer est scythienne avec des griffons sur le pommeau, les archéologues reconnaissent facilement le style traditionnel scythian-sibérien.

Certaines tribus scythes habitaient le territoire de Gorny Altai. La première fouille a commencé avec l’archéologue Sergei Ivanovich Rudenko, qui a découvert la caserne de Pazyryk en 1924, il a étudié,et décrit la culture de Pazyr.

L’épée découvert, selon les hypothèses des archéologues, a été fabriquée au Moyen-Orient, l’artefact est très bien conservé, il se commence de trois feuilles de métal.

Concert exceptionnel de 

Charles Aznavour

Mercredi 25 avril 2018 à 19h

Salle de concert Oktyabrsky, Saint Pétersbourg

 

Le 25 avril, le chanteur légendaire, l’auteur de plus de mille chansons, Charles Aznavour, qui n’est pas découragé et ne vieillit pas, se produira sur la scène de la salle de concert Oktyabrsky.

Charles Aznavour (en arménien: Շառլ Ազնաւուր), né Shahnourh Varinag Aznavourian (en arménien : Շահնուր Վաղինակ Ազնաւուրեան) le22 mai 1924 à Paris, auteur, compositeur, interprète, acteur et écrivain français d’origine arménienne. Au cours d’une carrière commencée en 1946, il a enregistré plus de mille deux cents chansons interprétées en plusieurs langues : en français, anglais, italien, espagnol, allemand, arménien, en russe. Il a écrit plus de huit cents chansons, que ce soit pour lui-même ou d’autres artistes. Charles Aznavour a été consacré « chanteur de variété le plus important du xxe siècle ». Selon sa maison de disques, il a vendu plus de 180 millions de disques dans le monde.

Sans renier la culture française ni son appartenance à la France, il représente l’Arménie dans plusieurs instances diplomatiques internationales à partir de 1995, et obtient la nationalité arménienne en 2008. Il est nommé au poste d’ ambassadeur d’Arménie enSuisse (son pays de résidence) et il est le représentant permanent de ce pays auprès de l’ ONU.

A 93 ans, il a donné plus de mille concerts, ses chansons ont été chantées par Sir Elton John, Bob Dylan, Sting, Julio Iglesias, Céline Dion et bien d’autres. Il est reconnu comme le meilleur artiste pop du siècle  . Mais les chiffres et les titres ne suffisent pas à décrire son incroyable carrière.
Le maestro reconnaît lui – même que maintenant pour lui le plus difficile est de trouver une nouvelle histoire pour une chanson, parce que depuis de nombreuses années , il a écrit tant d’histoires sur l’amour, la jalousie, la séparation, des sentiments et tout le reste. Mais l’amour est éternel, et la chose la plus importante, comme l’artiste lui-même l’admet, c’est de ne pas perdre l’enthousiasme et l’amour du travail à son âge, son concert en Russie en est la meilleure preuve.

En concert en 2014

Charles Aznavour chante des chansons en 7 langues, y compris le russe. Parmi ses compositions les plus célèbres sont “Amour Eternel”, “Bohème”, “Ave Maria” .
Il appartient à son public à chacun de ses concerts, dans chaque pays avec une grande responsabilité, parce que, comme il dit  – il est de son devoir, de partager sa meilleure partie, la sincérité et l’affection, parce qu’il n’existe que grâce à son public.
Il dit qu’un jour à sa femme qui lui a demandé: “Peut-être est-il temps de finir ta carrière?”. A quoi il a répondu: “Soit je chanterai, soit je mourrai” . Elle a dit: “Alors chante . 

 

La salle de concert Oktyabrsky a été construite en 1967, cette salle de concert donne toujours la sensation industrielle glorieuse de la puissance gouvernementale soviétique. L’accueil des stars d’antan ne fait que renforcer les impressions nostalgiques de la salle, bien que des musiciens étrangers et des troupes de spectacle apparaissent régulièrement de nos jours.

Salle de concert Oktyabrsky

Ligovsky pr., 6. st.m. “Place de la rébellion”, Saint Peterbourg

Tarifs des billets: de 3 500 – 14 000 roubles

Réservation billetCLIQUEZ

l: (+7) 812 275 13 00

 

“Nuits de Montmartre”

Dimanche 8 avril 2018 à 16h

Ciné 13 Théâtre

« Il me fallait ces mélodies, ces accents qui pour exprimer joie et détresse, possèdent une frénésie, une brûlure que l’on ne trouve nulle part ailleurs.» Joseph Kessel.

Kessel, aventurier, journaliste, reporter et romancier français, né le 10 février 1898 à Villa Clara (Argentine) il est décédé le 23 juillet 1979 à Avernes (Val d’Oise), dont la famille est originaire de Lituanie (qui faisait à leur époque partie de la Russie tsariste) raconte dans « Nuits de Princes » et « Nuits de Montmartre », la vie incertaine et aventureuse de ces expatriés ayant fui la révolution d’octobre, obligés pour certains de pratiquer n’importe quels métiers pour survivre, mélange interlope d’anciens nobles affreusement riches ou ruinés, d’intellectuels, d’artistes et d’incroyables fabulateurs, une faune bigarrée qui se retrouvait en ce début de 20ième siècles dans quelques bars et cabarets de la butte où ils se ressourçaient de danses, de chants et de vodka.

En 1927, Joseph Kessel a 30 ans lorsqu’il écrit ” Nuits de Princes ” et ” Nuits de Montmartre “. Ces deux romans correspondent à une période de sa vie – de ses jours et de ses nuits -, où l’écrivain se laisse happer par les romances, les polyphonies russes et les chants tsiganes échevelés des cabarets Montmartrois.

Aujourd’hui, un comédien, une chanteuse-balalaïkiste et deux guitaristes ouvrent le rideau sur une aventure d’une heure dix, mélange bondissant de la musique au texte, de la vie au conte. Kessel décrit avec force et tendresse ces personnages émouvants et drôles dans un monde haut en couleur.Ils vous racontent avec force et tendresse, textes de Kessel, musiques russes et tsiganes, ces personnages: princes ou voyous!

Adaptation et mise en scène Pascal Monge
Avec Pascal Monge (Narrateur), Natacha Fialkovsky (chant, balalaïka et conception musicale), Pascal Storch (Guitare, chant) Olivier Cahours (Guitare), création lumière Victor Veyron, collaboration artistique Maxime Mardoukhaev.

Pascal Monge Comédien.

Elève de Jacques Mauclair, Teddy Bilis et Yves Gasc au Centre de la rue Blanche (ENSATT), après le Cours Jean Périmony (Prix Henri Rollan), Pascal complète sa formation théâtrale par des études musicales lors de concerts avec l’Ensemble vocal et instrumental de l’Oratoire Massillon. Pascal a joué entre autres Scapin dans « les Fourberies de Scapin », Pasquin dans « le Jeu de l’Amour et du Hasard » , « Voulez-vous jouer avec Moa » , au Théâtre Montansier à Versailles, « Architruc » de Robert Pinget, au Festival du Marais la pièce de Goldoni « L’Eventail » mise en scène de Daniel Ceccaldi, au Studio des Champs-Elysées « l’Exil »  de Henry de Montherlant, et la pièce de Marc-Gilbert Sauvajon, « 13 à Table » dans la mise en scène de Pierre Palmade. Il a également travaillé avec la Compagnie Antoine Bourseiller-Chantal Darget, puis au Théâtre de la Huchette, au Théâtre de la Potinière et Edouard VII, et au Théâtre Saint-Georges. Il participe à la lecture de textes sur France 2 (Le Jour du Seigneur), sur Fréquence Protestante (dernièrement quatre émissions sur Michael Lonsdale) ainsi que des textes de Martine Lecoq. Il est le narrateur de romans policiers de Tito Taupin et de « La Femme de trente ans » d’Honoré de Balzac (Editions Frémeaux) et de Nuits de Montmartre d’après Joseph Kessel. Pour le cinéma, Il a tourné avec Pierre Boutron : Le Rainbow Warrior, Robin Davis : La Pompadour, Pascal Chaumeil : L’Etat de grâce.

Pascal est cofondateur avec Maxime Mardoukhaev de l’Association Artistique Constantin Stanislavski, au sein de laquelle il propose plusieurs spectacles : le groupe « Natacha et Nuits de Princes », « l’Ensemble Kalina » ainsi que “Nuits de Montmartre”

Natacha Fialkovsky – chant et balalaïka

Issue d’une famille de Russes blancs, Natacha se passionne pour la musique russe depuis sa plus tendre enfance. Après des études de balalaïka au conservatoire Rachmaninov de Paris, et une formation de chant auprès de Galina Danilina, Nadia Golovikhina, Marie France Lahore et Martina Catella, elle se produit avec les formations slaves les plus connues : Bratsch, le Cabaret Raspoutine, Ivan Rebroff, Marc de Loutchek, le Chœur tzigane Kazansky, l’Orchestre de balalaïkas Saint-Georges. En 1998, Natacha fonde simultanément « l’Ensemble Kalina » chants polyphoniques traditionnels russe à capella, ainsi que le groupe « Natacha et Nuits de Princes » tourné vers le jazz et les musiques du monde avec lesquels elle se produit régulièrement sur scène. Elle participe à la Bande originale de plusieurs films dont « Rire & Châtiment » d’Isabelle Doval avec José Garcia et « Hell » de Bruno Chiche avec Sarah Forestier http://www.nuitsdeprinces.com/

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Pascal Storch : Guitare, chant

D’origine russe, polonaise, roumaine et française, Pascal étudie tout d’abord la guitare classique et brésilienne puis fonde le groupe brésilien Parioca. Il côtoie alors Joao Bosco, Les Etoiles, Roland Dyens et Tonino Ramos…. Suite à une rencontre fortuite avec Natacha qui l’embarque d’abord dans le Chœur Kazansky, puis dans le groupe « Natacha & Nuits de Princes », puis enfin dans le spectacle « Nuits de Montmartre », il se tourne définitivement vers les musiques de l’Est et joue également dans des formations de musiques judéo-espagnoles et Klezmer avec Yankélé, Marlène Samoun et Eve Grumer.

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Olivier Cahours: Guitare classique

Au départ musicien de jazz, mais jouant sur une guitare classique, Olivier Cahours écrit des mélodies “sur mesure” pour Natcha & Nuit des Princes. Il parvient avec ingéniosité à mettre chaque instrument en valeur et à dégager le son du groupe. Compositeur, interprète et arrangeur, il l’est également pour ses propres formations (Solo, Duo, Trio et Sur la Route). Olivier Cahours est l’invité de nombreux festivals: Parc floral de Paris, Flâneries de Reims, Grenoble Jazz Festival, Jazz en touraine, Masters Guitare de Pau…… Il a joué avec Jean-François Jenny Clark, Eric Barret, Peter King, Bertrand Renaudin, Enrico Rava, Palle Danielson, Sharon Evans…

 

Ciné 13 Théâtre

1, avenue Junot,  18ᵉ arrondissement de Paris sur la butte Montmartre.

Métro: Lamarck-Caulaincourt

Tarifs: 22€ Etudiants & Collectivités: 18€ (et adhérent Artcorusse sur présentation de la carte)

Réservation: 06 70 02 73 10

Au coeur de la Sibérie, le Baïkal est un lac grand comme la Belgique. Conquis par Gengis Khan, offert quatre siècles et demi plus tard par les Cosaques à la Sainte Russie, il est aussi la Mer sacrée du chamanisme. Banquise durant cinq mois, il prend des airs de Méditerranée pendant le bref été. Lac le plus profond du monde, il contient un cinquième de l’eau douce de la planète. Agé de 25 millions d’années, il est peut-être un océan en formation. La Sibérie, le lac Baïkal continuent à susciter des opinions ambivalentes. Le froid, le goulag s’imposent immédiatement à l’esprit. En même temps surgissent le souvenir des aventures de Michel Strogoff et le mythique Transsibérien. En 1996, l’Unesco inscrit le lac au patrimoine de l’humanité. A travers une approche originale, sous la forme d’un dictionnaire illustré, l’auteur vous invite à la découverte de ce grand lac et de tout ce qui compose son environnement.

Maison des Associations

17 Rue Emile Tavan, 13100 Aix-en-Provence

Renseignements et réservations: 06 20 97 35 68

Exposition “L’aventure spatiale russe”

Samedi 7 au dimanche 22 avril 2018

à  Poissy

 

Les samedi 7 et dimanche 8 avril, invité d’honneur  Guennadi Padalka, cosmonaute  qui détient le record du temps passé en orbite: séance de dédicace à partir de 15 heures, conférences samedi à 18h00 et dimanche à 16h: « 878 jours dans l’espace, une expérience à raconter ! » 

L’occasion de revivre la belle histoire de Valentina Terechkova, première femme cosmonaute à avoir volé en solitaire, et marraine de cette exposition.

Cet événement s’annonce comme l’un des temps forts de cette année dédiée à la Russie dans la cité saint Louis. Il retrace les grandes dates de l’exploration spatiale russe, des travaux de Constantin Tsiolkovski, père de l’astronautique, à nos jours. Cette balade historique passe notamment par le vol de Youri Gagarine le 12 avril 1961, 1er vol spatial d’un homme, et celui de Valentina Terechkova du 16 au 19 avril 1963.

À travers l’exposition, des conférences, des documents et objets présentés, le visiteur découvrira le quotidien des cosmonautes, leur alimentation, leur entraînement… Qu’il soit enfant ou adulte, il pourra participer à un concours de dessin. Le premier lauréat de chacune des 4 catégories  (– de 6 ans, 6-14 ans, 14-18 ans, + de 18 ans) verra son œuvre rejoindre l’espace lors d’un prochain vol d’un équipage russe.

Cette exposition est organisée par la ville de Poissy et l’association Linguarik en partenariat avec le Parc aux Étoiles installé à Triel-sur-Seine, la communauté urbaine Grand Paris Seine & Oise, le Département des Yvelines, le musée de l’histoire astronautique de Kalouga, l’agence fédérale Roscomos, le musée Cosmos de Yaroslavl, les archives nationales russes de la documentation scientifique et technique.

 

Gennady Ivanovitch Padalka (Геннадий Иванович Падалка),  est né le 21 juin 1958 à Krasnodar (Russie), il est officier de  l’armée de l’air russe et cosmonaute de l’Agence spatiale Russe. Padalka a passé 879 jours dans l’espace, record mondial de durée dans l’espace. Il a travaillé sur Mir et la Station spatiale internationale. Guennadi Padalka a effectué sa première mission à bord de la station Mir en 1998 avant d’accomplir quatre missions en tant que commandant de bord de l’ISS. Il bat le précédent record établi par son compatriote Sergueï Krikalev, qui s’élevait à 803 jours. Dernier vol en 2015.

Le dimanche 8 avril des animations avec Nikita Popov, animateur du Club de cosmonautique de Saint-Pétersbourg.

TEMPS FORTS

Samedi 7 avril de 14h à 18h : Spaceball (effets de l’impesanteur) ;conférence avec G. Padalka et dédicace à 15h.

à 18h : conférence d’Elena Timochenkova, responsable de la Maison musée Tsiolkovski de Kalouga.

Dimanche 8 avril de 14h à 17h : animations avec Nikita Popov, directeur du club de la cosmonautique Gagarine à Saint-Pétersbourg et G. Padalka à 16h.

à 18h :conférence

de 14h à 18h : Spaceball.

Samedi 14 avril : journée avec un spécialiste de la préparation des cosmonautes ;

à 17h30 : projection du film Les premiers dans l’espace (tout public).

Dimanche 15 avril à 14h : projection du film Les premiers dans l’espace (tout public).

Dimanche 22 avril : journée avec Andreï et Elena Emelianov, membres de la fédération de la cosmonautique de Russie (table-ronde, animations autour de Spoutnik) ;

à 18h : conférence sur les 20 ans de l’ISS.

ENTRÉE LIBRE DE 14H À 19H.

 

Forum Armand-Peugeot

 45 Rue Jean Pierre Timbaud
78300 Poissy

Renseignements: CLIQUEZ

 

Club Culturel Belgo-Russe

Jeudi 5 avril 2018 à 19h

Projection en larges extraits commentés de l’opéra
Fedora d’Umberto Giordano

Principaux rôles
Princesse Fédora Romazov, soprano
Comte Loris Ipanov, ténor
Comtesse Olga Sukarev, soprano
De Siriex, diplomate, baryton
Desiré, serviteur, Ténor
Dimitri, serviteur, contralto
Grech, Inspecteur de police, basse
Lorek, chirurgien, baryton
Cirillo, cocher, baryton
Borov, médecin, baryton
Boleslao Lazinski,, pianiste

Chanté en italien avec sous-titres français Introduction par Michel De. Le manuscrit date de fin 1878 ou 1879. On ne trouve trace de ce projet de nouvelle ni dans la correspondance de Tourguéniev, ni dans les souvenirs laissés par ses amis. Cela tient peut-être à la prudence, vu le côté audacieusement autobiographique et les passages difficiles à faire accepter par la censure. Bien qu’inachevé et sans nom, c’est un texte qui vaut la peine qu’on s‘y arrête parce qu’il montre sa méthode de travail. L’action écrit-il, devra respirer les odeurs d’un Paris galant, avec ses boutiques suspectes du Palais Royal, une chiromancienne, un thé à l’hôtel Vouillemont, une sortie au Théâtre Français, etc. Les ambiances sont plantées et précises.

Tourguéniev nous a laissé plusieurs exemples de ce schéma d’un homme pris entre deux femmes archétypiques et antithétiques (femme fatale qui en fait délaisser une autre, pleine de qualités), notamment dans Une Correspondance (1856), Nid de gentilshommes (1859), Fumée (1867) et Eaux printanières (1871). Spécialiste de Tourguéniev, André Mazon a étudié ce manuscrit et le commente comme suit: «La nouvelle abandonnée par Tourguéniev s’achève sur l’évocation d’un bonheur de famille qui mûrira loin de l’influence de l’aventurière énigmatique, délaissée et oubliée. Cette trame rapide, qui nous montre une fois de plus combien Tourguéniev est prisonnier d’un petit nombre de formules, est peu apte à se renouveler, et ne répond pas aux laborieux préparatifs qui semblent nous annoncer un grand roman». Ce «Don Juan connu», comme écrit Tourguéniev à propos de son père, a rencontré Adèle en 1922, de passage à Paris (le père de Tourguéniev s’y trouvait effectivement). Là où l’histoire se corse, c’est que Travine n’hésite pas seulement entre Sabine et Macha, mais aussi entre cette dernière et sa mère, Sofia Lanina, 40 ans, veuve à la sensualité décrite comme charmante et excitante, et qui «sait faire l’amour» de manière surprenante, et avec un grand style (Le mot russe, assez cru, figurant dans le brouillon, n’est présent que par son initiale, et n’était sans doute pas destiné à la publication).

Fédora (rôle-titre), princesse russe entourée d’autres pétersbougeois et d’un pianiste-espion polonais, un compositeur italien, un livret fondé sur une pièce française créée par Sarah Bernardt, une intrigue digne d’un roman policier anglais, une mise en scène de l’opéra de Barcelone, reprise par le Metropolitan de New York, trois actes qui se passent respectivement à Saint-Pétersbourg, à Paris et dans le décor alpin de l’Oberland bernois… Pour notre plus grand bonheur, l’art déborde des frontières et s’enrichit de ces coopérations et de ces osmoses.

Après avoir présenté cinq opéras de compositeurs russes (Rimski-Korsakov, Tchaïkovski, Moussorgski, Prokofiev et Glinka), le choix porte cette fois sur un regard sur la Russie, vue de l’extérieur, avec une œuvre de 1898, à l’apogée de l’art nouveau, dans le style vériste qui prolonge le réalisme littéraire, un courant né en Russie avec Gogol, Pouchkine, Tourguéniev et quelques autres. Le livret se fonde sur une pièce française de Sardou qui date de 1882. L’intérêt de celui-ci pour la Russie s’explique par la vague russe qui déferle sur l’Europe à la faveur des réformes d’Alexandre II et de sa mort tragique dans un attentat en 1881, mais aussi par la découverte de la littérature russe grâce notamment à Ivan Tourguéniev qui vivait en France, a traduit des auteurs russes en français et a même écrit quelques œuvres en français.

Cette époque a vu la construction d’un des plus beaux ponts de Paris, le pont Alexandre III, inauguré pour l’Exposition universelle de 1900, fruit et symbole de la féconde amitié franco-russe signée en 1891 par Alexandre III et le président de la République française.

La première pierre du pont fut posée par Nicolas
II, l’impératrice Alexandra Fedorovna et le président Félix Faure le 7 octobre 1896. Peu après, Paris a découvert les Ballets russes dans cette période extraordinairement productive sur le plan artistique, à laquelle le conflit de 1914-1918 déclenché par François-Joseph a mis fin pour le malheur des peuples et notamment du sien dont l’empire a été rayé de la carte. Comme la marée, l’histoire est faite de flux et de reflux, mais elle ne pourra jamais nous priver de la richesse de ces échanges culturels.
Si nous avons choisi cet opéra, c’est aussi très symboliquement pour saluer un autre constructeur de ponts et un autre Alexandre, à savoir, Alexandre Razoumov, directeur du Centre Culturel et Scientifique de Russie à Bruxelles, qui arrive malheureusement pour nous en fin de mandat, et que nous voulons remercier par ce petit clin d’œil pour le travail remarquable qu’il a accompli avec son équipe au service de toutes les disciplines artistiques: de la musique classique ou populaire jusqu’à l’artisanat, en passant Il a toujours soutenu les projets de notre Club Culturel Belgo-Russe, notamment quand nous avons organisé à Bruxelles la commémoration du tricentenaire du passage de Pierre-le- Grand dans notre capitale. Grand érudit, homme chaleureux,animateur inlassable, il ne laissera à Bruxelles que des amis et que des regrets dans le cœur de tous. Cette projection de Fédora sera donc pour nous le moment de le remercier et de lui souhaiter «Bonne chance» dans ses nouvelles fonctions. Nous espérons vous y voir d’autant plus nombreux pour la projection de cet opéra composé dans le style de l’époque, et chanté notamment par Placido Domingo, avec de magnifiques décors et costumes.

ENTRÉE LIBRE

 

Club Culturel Belgo-Russe
21 Rue du Méridien, 1210, Bruxelles

De Grave, président: 02 469 28 76 / 0478 53 73 73

3e Salon du Livre Orthodoxe

vendredi 13 et samedi 14 avril 2018

à la Mutuelle Saint-Christophe assurances

Conférences, dédicaces, stands, concert.

Vendredi

Conférence à 18h30  de Jean-François Colosimo : “Repenser le religieux“,

 

 Né en 1960 à Avignon, est un historien, essayiste, théologien, éditeur et enseignant français, auteur de plusieurs livres et films. Il est directeur général des Éditions su Cerf, après avoir été président du Centre National du livre   de 2010 à 2013. Maître de conférence à l’Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge.

Samedi

Conférence à 11h du P. Marc-Antoine Costa de Beauregard:  “Le témoignage et les défis de l’orthodoxie en France aujourd’hui“.

 

Né en 1947 (11 mai), marié (1972), prêtre de l’Eglise orthodoxe roumaine (1977), Recteur de la paroisse orthodoxe Saint-Germain-et-saint-Cloud (Louveciennes), doyen du Doyenné Orthodoxe Roumain de France de la Métropole Orthodoxe Roumaine d’Europe Occidentale et Méridionale.

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Conférence à 11h45 [sous réserve], de Jean-Claude Larchet: “Les défis de la francophonie dans la liturgie, la pastorale et l’édition.

né len 1949 à Badonviller (Meurthe et Moselle), dans un famille catholique, il s’est convertie à l’âge de 22 ans à l’orthodoxie,  il est patrologue et théologien orthodoxe français, docteur en philosophie (1987) et docteur en théologie de l’université de Strasbourg (1994), auteur de nombreux ouvrages publiés aux Éditions du Cerf et traduits dans dix-sept langues. Il est notamment un spécialiste de Maxime le Confesseur, auquel il a consacré trois essais. Il est l’un des rares auteurs contemporains capables de combiner la rigueur scientifique et un sens vibrant de la vie intérieure de l’Église. Président laïc de sa paroisse et chef de chœur.

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Conférence à 14h30 de Michel Stavrou:  “La confrérie Saint-Photius et la naissance de l’orthodoxie francophone“.

 

Né le 14 janvier 1960 à Paris. Laïc, marié, un enfant. De 1977 à 1980, étudie à Paris en Mathématiques Supérieures et Mathématiques Spéciales (Lycée Saint-Louis). En 1980-1983, étudie à l’Ecole Centrale de Lyon, dont il sort ingénieur (promotion 1983). Titulaire d’un DEUG de Littérature grecque moderne (Université Lyon II). Assistant du P. Boris Bobrinskoy en février 1997, il est, depuis octobre 2007, professeur titulaire de la chaire de Théologie des dogmes.

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Concert et chants à 14h

 

Mutuelle Saint-Christophe assurances

277, rue Saint-Jacques, 75005 Paris

Mètro: St Jacques (Ligne 6)

RER B: Port Royal

Mercredi 11 et jeudi 12 avril 2018

Vente d’Art Russe

 

Mercredi 11 avril à 14h.

Collection du comte Alexandre von Kotzbue (1876 – 1945)
Souvenirs historiques
Collection du comte Alexis Igniatieff (1874 – 1948)
Bijoux, étuis à cigarettes, argenterie niellée, émaux cloisonnés.
Collection du général Nicolas Tretiakow (1854 – 1917)

EXTRAITS du CATALOGUE

Collection du comte Alexandre von Kotzbue , colonel au régiment des lanciers de l’Impératrice, aide de camp du Grand Duc Nicolas Nicolaïevitch de Russie et de son épouse la comtesse Nadejda Sergueëvna Tolstoï (1882 – 1924), dame d’Honneur des Impératrice Maria Féodorovna et Alexandre Féodorovna.

GRANDE ICÔNE VIERGE FEODOROVSKAÏA ET L’ENFANT JÉSUS.
Par OVTCHINIKOFF, Moscou, 1908-1917 Tempera sur bois, conservée sous riza en argent à décor repoussé, et encadrée d’un motif floral et nimbe en argent. Gravée sur la partie basse d’un texte historique et explicatif en caractères cyrilliques : «En 1778 cette icône fut copiée de l’icône miraculeuse de Sainte-Mère de Dieu Féodorovskaïa dans la ville de Kostroma. L’apparition de cette Icône médicinale eut lieu le 16 août 1239. La célébration de cette icône est le 14 mars. Cette icône miraculeuse est apparue au grand-duc Vassili Georguiévitch Kvashnia de Kostroma et de Galitzia, fils du grand-duc Georges Yiaroslovitch, arrière-petit-fils du prince Alexandre Newsky ».
Usures du temps et petits manques, mais bon état dans l’ensemble.
Poinçon titre : 84, Moscou, 1908-1917. Poinçon d’orfèvre : Michel Ovtchinikoff avec marque du privilège impérial. H. : 65 cm – L. : 49, 5 cm. Poids : 2 k 50 grs.

 

ICÔNE SAINT GRAND-DUC ALEXANDRE NEVSKY. Par FABERGÉ, Saint-Pétersbourg, 1908-1917.
Tempera sur cuivre, conservée dans un encadrement en argent à décor finement ciselé représentant une frise de feuilles de palmier. Avec anneau rétractable de suspension en vermeil au dos. Usures du temps, petites restaurations, accidents, en l’état. Poinçon titre : 88, Saint-Pétersbourg, 1908-1917.
oinçon d’orfèvre : ФАЬЕРЖЕ : (Fabergé), porte le n° d’inventaire 19957. Poinçon de maître orfèvre : Karl Armfelt (1873-1959). H. : 13, 5 cm – L. : 9, 5 cm. Poids brut : 231 grs. 6 000 / 8 000 €
Provenance : collection de la grande-duchesse Hélène Wladimirovna de Russie (1882-1957), épouse du prince Nicolas de Grèce (1872-1938), puis transmise par héritage à leur petit-fils, le prince Alexandre de Yougoslavie (1924-2016).

CHIFFRE DE DEMOISELLE D’HONNEUR. Monture argent et vermeil, formant les initiales en caractères cyrilliques M. A. sous couronne impériale serties de diamants et de roses de diamant (« M » : pour l’impératrice Maria
Féodorovna ; « A » : pour l’impératrice Alexandra Féodorovna).
Ce bijou fut offert à la comtesse Nadjeda Serguievna Tolstoï (1882-1924), à l’occasion de sa majorité en 1900, comme distinction officielle au titre de demoiselle d’honneur des impératrices de Russie. A l’origine ce chiffre était brodé sur un noeud en taffetas de soie moiré bleu ciel, couleur de l’ordre de Saint-André. Il fut malheureusement transformé durant l’émigration et monté sur une boîte rectangulaire en bois noirci. Aucun poinçon, ni n° d’attribution ne sont visibles, car ils se trouvaient sur l’anneau amovible retenant le ruban qui fut enlevé. On y joint un portrait photographique signé A. Novaro à Cannes représentant la comtesse en tenue de demoiselle d’honneur portant sur l’épaule gauche le chiffre que nous présentons. Bon état général, petits manques et pliures à la photo. Travail russe, probablement de la Maison Hahn à Saint-Pétersbourg, circa 1896-1903. Chiffre : H. : 8 cm – L. : 4, 5 cm. Boîte : H. : 4 cm – L. : 13, 5 cm – P. : 10 cm.

 

Médaillons et œufs pendentifs en ambre, or et argent .

 

GARNITURE DE TOILETTE. Par GRATCHEFF, Saint-Pétersbourg, 1899-1908. Comprenant un ensemble de dix pièces en cristal taillé à décor d’étoiles et de motifs floraux, avec montures en argent, ornées de branches feuillagées en relief, intérieur vermeil. Composé de quatre flacons à parfums, d’un miroir à main, d’une boîte à poudre, d’une boîte à onguents et de quatre boîtes de forme rectangulaire. Formats divers. Bon état.
Poinçon titre : 84, Saint-Pétersbourg, 1896-1908. Poinçon d’orfèvre : Gratcheff avec marque du privilège impérial. Poids totale brut : 1 k 300 grs.

N° 31 SAUCIÈRE EN ARGENT. Par OVTCHINIKOFF, Moscou, 1881. De forme ovale, avec prise ajourée, reposant sur piédouche, gravée sur chaque face d’un monogramme entrelacé en caractères cyrilliques N. K. (comtesse Nadjeda von Kotzebue, née Tolstoï) sous couronne princière, intérieur vermeil. Poinçon titre : 84, Moscou, 1881.

N° 32 COUPELLE EN ARGENT. Par OVTCHINIKOFF, Moscou, avant 1896. De forme ronde, reposant sur socle circulaire en bois, gravée sur chaque face du monogramme entrelacé en caractères cyrilliques N. K. (comtesse Nadjeda von Kotzebue.  Usures du temps, bosses. Poinçon titre : 84, Moscou, avant 1896.

N° 33 PAIRE de SALERONS, N° 34 PARTIE DE SERVICE À THÉ EN ARGENT, Par OVTCHINIKOFF, Moscou, avant 1896. Composée d’un pot à lait et d’un sucrier, de forme bombée, reposant sur une base circulaire, gravés sur une face d’un monogramme entrelacé en caractères cyrilliques N. T. sous couronne comtale (comtesse Nadjeda Tolstoï). Usures du temps, bosses. Poinçon titre : 84, Moscou, avant 1896. Poinçon d’orfèvre : Michel Ovtchinikoff

Linge de maison, de table, serviette à thé…..

 

GRAND VERRE COMMÉMORATIF SOUVENIR DU CENTENAIRE DE LA MORT DE L’IMPÉRATRICE ANNA DE RUSSIE (1693-1740). De forme évasée, reposant sur une base circulaire, à décor gravé et doré sur une face de l’aigle bicéphale des Romanoff et sur l’autre face de l’inscription en allemand et lettres d’or « Es
ebe die grosse Anna souveraine Kayserin von allen Reussen », dans un entourage de frises et de guirlandes stylisées. Usures du temps, mais bon état général. Travail étranger du milieu du XIXe siècle. H. : 16 cm – L. : 9 cm.

 

MARIA FÉODOROVNA, impératrice de Russie (1759-1828), née princesse Sophie-Dorothée de Wurtemberg, épouse de l’empereur Paul Ier. Buste en terre cuite représentant la souveraine portant le ruban et la plaque de l’ordre de Sainte- Anne, reposant sur un socle carré en marbre noir. Petits accidents, mais bon état général.
Travail français du XIXe siècle. H. : 35 cm – L. : 16 cm.

 

Exceptionnelle paire de grands portraits officiels représentant le tsar Nicolas Ier et son épouse la tsarine Alexandra Féodorovna.

PETITE COUPELLE EN VERMEIL. De forme ronde, reposant sur une base circulaire, ornée sur les côtés de deux anses ajourées, à décor d’aigles bicéphales en émaux polychromes cloisonnés sur fond émaillé blanc.
Poinçon titre : 84, Moscou, 1896. Poinçon d’orfèvre : C. Б., non identifié, Poinçon du maître essayeur : Oleg Lev, actif de 1890 à 1894. H. : 5, 5 cm – Diam. : 5 cm

 

LOT DE ONZE CUILLÈRES À THÉ EN VERMEIL. Par KUZMICHOFF, Moscou, avant 1896. À décor d’un motif floral perlé en émaux polychromes cloisonnés, manche plat en partie émaillé. Modèle dépareillées. Poinçon titre : 88, Moscou, avant 1896. Poinçon d’orfèvre : André Kuzmichoff, actif de 1856 à 1897. L. : 13, 5 cm. Poids total brut : 270 grs

Décorations et distinctions militaires du général d’infanterie et ingénieur général Nicolas Alexandrovitch Trétiakow (1854 – 1917)

Jeudi 12 avril 14h

Militaria, miniatures, porcelaines, bronzes, icônes, art populaire, tableaux, école danoise, livres.

ORDRE DE SAINT STANISLAS. Ensemble de commandeur, modèle de 1ère classe. Composé de son insigne en or et émail rouge et de sa plaque en vermeil et émaux polychromes. Très bon état. Poinçon titre : 84, Saint-Pétersbourg, avant 1899. Poinçon d’orfèvre : Alexandre Keibel (1882-1910). Insigne : H. : 6 cm – L. : 6 cm – Poids brut : 27 grs. Plaque : H. : 9 cm – L. : 9 cm – Poids brut : 48 grs.

GRAND VASE EN PORCELAINE DURE. De forme balustre, à décor central sur une face d’une scène romantique représentant des enfants à la pêche et sur l’autre face d’un bouquet de fleurs. Chaque scène est surmontée d’une tête de Poséidon en biscuit retenue par une guirlande de raisins. Les prises sur les côtés forment des angelots en biscuit tenant dans leurs mains des guirlandes de feuilles de chêne dorées, l’ensemble repose sur une base circulaire à décor de feuilles d’acanthe. La partie haute est bordée d’une guirlande de feuilles de chêne enrubannées dorées retenues par des clous dorés. Ce vase a sans aucun doute été produit d’après un dessin d’Auguste Karl Spiess (1817-1904) pour la manufacture impériale de porcelaine. Selon la légende familiale cette pièce proviendrait de la collection des princes Youssoupoff. Montage à l’électricité, légères usures du temps, mais très bon état général. Marque en lettres bleues au chiffre de l’empereur Alexandre II « A. II. » sous couronne impériale, et marque en creux « ф б ». Manufacture impériale de porcelaine, Saint-Pétersbourg, vers 1860-1870. H. : 33 cm – L. : 20 cm.

CABARET EN PORCELAINE. Composé d’une cafetière, d’une théière, d’un sucrier et de trois tasses et leurs sous-tasses. Chaque pièce est ornée de différentes scènes polychromes représentant des vues de Moscou : « la Tour Soukharev », « l’Hôpital du comte Cheremetieff », « le Palais des Armures », « l’Arsenal », « la Halle des marchands », « la Villa Albini » « le château Avdeff », « la Cathédrale Saint-Antoine » et le « Théâtre Petrovsky », encadrés d’une large bordure or, sur fond bleu foncé. Usures, accidents, restaurations, manque son plateau, en l’état. Manufacture Gardner, Moscou, vers 1830/1850. H.: 28cm, H.: 15 cm ; H.: 13 cm.

ICÔNE DE SAINT SÉRAPHIN DE SAROFF. Par KONOFF, Moscou, 1908-1917. Tempera sur panneau de bois, de forme triangulaire, conservée sous riza en vermeil à décor d’un motif filigrané ajouré et nimbe en vermeil, avec anneau de suspension. Poinçon titre : 84, Moscou, 1908-1917. Poinçon d’orfèvre : Kosima Konoff, actif de 1891 à 1917. H.: 12 cm – L.: 12 cm. Poids brut : 154 grs.

PATROIS Isidore (1814-1884). Moujik jouant de la balalaïka avec sa femme dansant. Huile sur toile, conservée en bas à gauche conservée dans un encadrement en bois doré à décor sculpté de palmettes. Bon état. À vue : H. : 64 cm – L. : 53 cm. Cadre : H. : 93 cm – L. : 82 cm.

 

Ensemble de vingt-six ouvrages de formats divers dont : NOVIK D. et V. LLona, Pierre le Grand ; GRAHAM Stephen, Ivan le Terrible, le premier Tsar ; WERKMAN Baron Charles de, Le calvaire d’un Empereur ; KLUTCHEVSKI V., Pierre le Grand et son oeuvre ; BIKOV P. M., Les derniers jours des Romanov ; RADZIWILL Princesse Catherine, La malédiction sur les Romanov ; TCHOULKOV G., Les derniers tsars autocrates ; RATHLEF-KEILMANN Harriet von, Anastasie ? Enquête sur la survivance de la plus jeune des filles du tsar Nicolas II ; WALISZEWSKI K., Le roman d’une impératrice, Catherine II de Russie ; PALÉOLOGUE Maurice, La Russie des Tsars pendant la Grande guerre ; S.A.I. Marie de Russie, Une princesse en exil ; VIROUBOVA Anna, Souvenirs de ma vie ; Panorama de Moscou ; PINGAUD Léonce, Les Français en Russie et les Russes en France ; POURTALÈS Comte F., Mes dernières négociations à Saint-Pétersbourg en juillet 1914 ; SOUVORINE Alexis, Journal intime ; GILLIARD Pierre et Constantin Savitch, La fausse Anastasie ; RADZIWILL Princesse Catherine, Alexandra Feodorovna la dernière tsarine ; Histoire de l’empereur Nicolas II ; YABLONOSKI Serge et Vladimir Boutchik, Pour bien savoir le russe ; DONNER Kai, La Sibérie ; SOKOLOV Iouri, Le folklore russe ; Dictionnaire franco-russe. L’ensemble en l’état.

Expositions publiques Salle 9
Mardi 10 avril de 11h00 à 18h00
Mercredi 11 avril de 11h00 à 12h00
Jeudi 12 avril de 11h00 à 12h00

Paris – Hôtel Drouot – Salle 9
9, rue Drouot – 75009 Paris
Tél. de la salle : 00 33 (0)1 48 00 20 09

Expert:  Cyrille Boulay
Membre agréé de la F.N.E.P.S.A
Tél. : + 33 (0)6 12 92 40 74
E-mail : cyrille.boulay@wanadoo.fr
Site web : www.cyrilleboulay.com

Prenez vos billets de suite avant fermeture pour travaux: La Tour Eiffel se prépare pour le plus grand lifting de son histoire, les travaux dureront d’octobre 2018 à fin 2021 et devraient coûter 300 millions d’euros sur 15 ans ( Le Parisien du 22 sept 2017) . Le cahier des charges prévoit dans un premier temps que les ouvriers démontent la “vieille dame” pièce par pièce , et ainsi nettoyer un par un chaque boulon et son écrou. Les divers antennes disposées au sommet seront placées sur le dôme du Sacré Cœur, emplacement le plus haut de la capitale.

Puis une autre équipe remontera cet immense “mécano”. Les pièces en surplus seront vendues au profit d’une association caritatives, dont le nom est tenue encore secret.

(Informations Mairie de Paris)

 

Prenez vos billets dès maintenant: De nombreuses compagnies d’aviation et pas des moindres, ont décidé de faire voyager gratuitement les supporters voulant se rendre en Russie pour la Coupe du Monde qui se tiendra du 14 juin  au 15 juillet 2018.  Afin de s’excuser des trop nombreux désagréments duent aux grèves et aux nombreux retards de ces derniers temps.

Programme des matchs de la Coupe: (CLIQUEZ)

Plus de renseignements et réservation auprès des compagnies aériennes:  (CLIQUEZ)