Archive pour septembre 2018

 

Il est marié et père d’un adolescent. Sa femme et son fils sont partis en vacances pour la semaine. Lui n’a pas pris de vacances, il travaille. Il est resté cloué à Paris. Célibataire donc !

Elle, jolie brune souriante et esseulée, elle était ce soir-là dans ce bar, tout comme lui. Ils ont vite sympathisé et, assez vite, il lui a proposé de venir boire un dernier verre chez lui. Il n’a pas exactement son âge, mais disons qu’il a le physique avantageux des hommes qui grisonnent avec élégance.

 

 

Théâtre de l’Atalante

10 place Charles Dullin – 75018 Paris
M° Anvers, Abbesses, Pigalle
Bus 30 ou 54 (arrêt Anvers)

Réservation: 01 46 06 11 90

Exposition Alexander Danov

“Le Temps”

du mercredi 26 septembre au dimanche 21 octobre 2018

 

Alexander Danov est né en 1941 à Makhatchkala (République du Daghestan, Russie). De 1961 à 1967 il fait ses études supérieures à l’École supérieure d’art et d’industrie Moukhina de Léningrad où, étant diplômé, il enseigne de 1967 à 1978 la peinture et préside l’Organisation des arts monumentaux et décoratifs en architecture de Leningrad. Plus tard il devient membre de l’Union des peintres soviétiques.


En septembre 1975 Alexander Danov participe à la fameuse exposition de peinture, sculpture et des arts graphiques au Palais de la Culture ”Nevsky” où il présente 8 céramiques. En 1978 l’artiste quitte l’URSS car, en tant qu’artiste, il ne peut se réconcilier avec le système soviétique répressif.. Actuellement il réside à Düsseldorf (Allemagne) et à Paris à la Cité des Arts, via le programme de l’Association des artistes de Düsseldorf.

Alexandre Danov est souvent décrit comme l’un des plus grands représentants des ”russes exilés”. Déjà dans les années 60, il exploite activement son talent artistique.

Clown-ange

Cependant, Danov a adopté beaucoup d’éléments du réalisme socialiste. Mais la doctrine de Staline, qui exigeait le langage monumental et souvent constructiviste de l’œuvre, était extrêmement autoritaire pendant ses années d’études. Le peintre se tourne alors vers l’art figuratif, appelant son propre style la ”Nouvelle Renaissance” et créant ainsi un nouveau courant artistique. Ce nouveau style représente le caractère du temps, l’individualité et la maîtrise, basée sur l’héritage du tournant du bimillénaire.


Danov sait que l’artiste ne doit pas s’arrêter dans son développement : il travaille, interprète et re-flète la modernité dans ses peintures en permanence. Néanmoins, pour lui  personne ne peut renoncer à son passé, ni personnel, ni historique (y compris artistique). Depuis l’arrivée de l’artiste en Allemagne le sujet de sa peinture a beaucoup changé. Cependant, il aime toujours le romantisme et apprécie l’art déco.

Il est également passionné par les collages: avec des journaux, auparavant russes et désormais internationaux, symbole pour lui de l’anthropocentrisme.

Collage et Tempera. 127 x 127

Sous l’appellation générale de ”Art”, il y a une tendance à mélanger la créativité, l’installation, la performance, la photographie et d’autres choses qui n’ont souvent rien de commun avec les Beaux-Arts. Ces formes de créativité peuvent exister et se développer de manière indépendante.

Alexande Danov dans son atelier.
En outre, les figures chrétiennes apparaissent de plus en plus dans les oeuvres de l’artiste, bien que Danov, qui a grandi à l’époque soviétique, n’appartienne à aucune religion: ”Là-bas, en Union soviétique, nous étions plutôt des pionniers que des esclaves de Dieu”, plaisante-t-il.

Cependant, son interprétation subtile des questions philosophiques et éthiques dans ses œuvres a déjà suscité un vif intérêt. Par exemple, dans le musée de la ville de Kevelaer (Allemagne), on peut voir des portraits de son pinceau représantant les saints patrons et la Mère de Dieu avec son fils.

 La cène Tempera. 200 x 450 (280 x 450)

Depuis 1960, les œuvres de l’artiste ont été exposées lors de plus de 400 expositions internationales. Environ 500 oeuvres sont dans 18 musées  dans tout le monde.

Vernissage jeudi 27 septembre en présence de l’artiste de 18 à 21h.

 

I-GALLERY Intelligence
1, Quai Voltaire 75007 Paris, France

Ouvert de 14h à 19h du mercredi au dimanche

Tél: 09 50 44 99 10

Métro: Palais Royal, RER: Musée d’Orsay

Bus: 24, 27, 39,48,68, 75, 95

 

“SAUVAGES”

Artistes animaliers contemporains

Vendredi 28 septembre au dimanche 9 décembre 2018

Atelier Grognard – Rueil Malmaison

Réunion des oeuvres de grands artistes animaliers contemporains, ils allient patience, sens de l’observation et sensibilité pour capturer la puissance des animaux sauvages, qui pour certains sont en voie de disparition. Comme la “panthère des neiges” de Mongolie, représentée sur l’affiche, œuvre de Danielle Beck. Cet animal se trouve encore en Altaï (Russie),  et en Chine; ou l’ours blanc de l’Arctique toile de Rémi Bourquin.

Vous y découvrirez des œuvres de Michel Bassompierre, Danielle Beck, François Blin, Franz Bodo, Rémi Bourquin, Michel d‘Oultremont, Patrick François, Bernard Frigière, Hélène Legrand, Philippe Tallis, Pierre Yermia.

Danielle Beck
« Le thème de mes travaux s’est porté sur les grands félins pour leur grâce, leur beauté. Chaque voyage pour observer la faune sauvage, que ce soit en Afrique, en Asie ou en Amérique du Sud, m’a permis d’acquérir les notions fondamentales de l’anatomie et des comportements des félins.
Chacune de mes toiles a son histoire. Je cherche à traduire l’émotion du court instant, du face à-face merveilleux avec les félins, mélange de douceur apparente et de puissance.
Pour reconnaître chacun de mes modèles, je les personnalise avec de petits détails saisis sur le vif. J’aime mettre le nom latin de l’espèce ou le lieu d’observation comme gravée sur la toile. J’aime travailler les matières des pelages, les textures des peaux ou des plumages pour donner une impression tactile. J’attache beaucoup d’importance à la lueur du regard des fauves pour les voir naître sous mon pinceau. Leurs regards traduisent leurs intentions et leurs réflexions, parfois troublantes. Mais je traduis leur biotope par une tonalité du lieu d’observation, pour laisser libre place au rêve. » Déclare Danielle Beck, plus de renseignements CLIQUEZ.

Le défi de cette exposition est de taille : exposer les plus grands artistes animaliers du moment,
héritiers des maîtres qui ont forgé les caractéristiques de l’art animalier.
Tous comptabilisent des centaines d’heures d’observation à leur actif. De leur étude attentive,
de leur intimité avec leurs sujets, de la sacralisation des animaux représentés, transparaissent certains des grands enjeux contemporains : la relation qui unit l’Homme aux animaux, la préservation des espèces, l’exploitation des animaux par l’Homme.

 

La panthère des neiges, également  appelée Léopard des neiges, Once ou Irbis, insaisissable, il est  l’un des grands félins les plus secrets au monde, en raison de l’inaccessibilité de son habitat, il est très difficile de l’observer dans la nature.

De la Chine à la Mongolie, dans les vallées des hautes montagnes d’Asie centrale, de Sibérie centrale et de l’Altaï, en passant également par le Népal et le Pakistan, le territoire de la panthère des neiges est immense, il s’étend sur plus de 1 800 000 km². Localement, les animaux se déplacent au cours de l’année entre les hautes prairies alpines des montagnes en été et les rares forêts de conifères en hiver.

La panthère des neiges est très bien adaptée à son habitat naturel de haute montagne et au climat très froid. Elle se rencontre à de très hautes altitudes, entre 2500 mètres et 5400 mètres, mais également à pas plus de 500 mètres en Russie. Grâce à sa splendide fourrure tachetée elle est presque invisible dans son environnement, se confondant avec les rochers enneigés et les pierres.

De nos jours l’espèce est en péril. Présente dans douze pays, la panthère des neiges est menacée dans chacun d’entre eux ! Avec la dégradation et la disparition de son habitat au profit de l’activité humaine, le braconnage et l’accroissement des conflits avec les communautés locales, la population du félin a décliné de plus en plus ces 20 dernières années.La Panthère des neiges est chassée illégalement pour sa fourrure, très prisée en Asie centrale, en Europe de l’Est et en Russie sous forme de manteau et autres vêtements. Dans les années 1920, environ un millier étaient tuées pour leur peau. Elle a été chassée pour sa fourrure de façon intense durant les années 1970. Protégée sur l’ensemble de son aire de répartition, la fourrure de la Panthère des neiges se négocie à présent environ 10 000 $ sur les marchés clandestins kazkhtanais. Dans les années 2000, les manteaux en Panthère des neiges se vendent encore à la vue de tous dans les magasins de souvenirs au Népal. Les os et d’autres parties du corps sont également très demandés dans la médecine chinoise traditionnelle en remplacement de ceux du tigre.

Vernissage jeudi 27 septembre à 19h.

ATELIER GROGNARD
6, Avenue du Château de Malmaison 92500 Rueil-Malmaison
Renseignements : 01 47 14 11 63

Tous les jours de 13h30 à 18h (fermeture les lundis)
Tarif unique : 4€

Concert unique au Théâtre des Champs Élysées

“Wiener Philharmoniker”

Valery Guerguiev direction & Denis Matsuïev piano

Mardi 9 octobre 2018 à 20h

Il s’agira pour ces deux fortes personnalités musicales de Saint-Pétersbourg de nous donner à entendre en trois temps la palette d’un compositeur malmené par l’histoire et pourtant l’un des maillons essentiels de la musique du XXe siècle. La réunion de Valery Gerguiev, Denis Matsuïev et du Philharmonique de Vienne est assez exceptionnelle. Ils ont choisi un programme russe dédié à Prokofiev

Valeri Abissalovitch Guerguiev (Валерий Абисалович Гергиев) Les extraits les plus célèbres de son ballet Roméo et Juliette, renouant avec cet art typiquement russe du grand ballet classique à argument, seront suivis de son Concerto pour piano n° 2, parfaite démonstration de la pleine maîtrise de son écriture concertante interprété par Denis Matsuïev. Enfin la Symphonie n° 6, l’avant-dernière de son catalogue symphonique et rarement donnée au concert sera l’occasion d’y (re)découvrir une écriture ambitieuse et de se laisser emporter par son climat émotionnel exacerbé. Le maître du Mariinsky est l’un des plus grands défenseurs actuels de Prokofiev, dont il a déjà donné à Paris avec différentes formations une grande partie de son catalogue symphonique et concertant. Peu présent en revanche au répertoire des Wiener, il sera donc passionnant d’entendre cette rencontre au sommet entre Gerguiev et les musiciens viennois.

Programme

Prokofiev Les Montaigus et les Capulets, Juliette jeune fille, Masques, Roméo sur la tombe de Juliette,extraits de Roméo et Juliette
Concerto pour piano n° 2 op. 16
Symphonie n° 6 op. 111

Valeri Abissalovitch Guerguiev (en russe : Валерий Абисалович Гергиев) né en 1953 en Ossétie   est un des chefs d’orchestre les plus charismatiques de notre époque. Initié à la musique par le piano, il étudie la direction d’orchestre au Conservatoire de Léningrad (Saint-Pétersbourg) dans la classe du célèbre pédagogue Ilya Musin. Après un début sur la scène de l’Opéra Kirov(aujourd’hui le Théâtre Mariinsky ), il y est nommé chef assistant de Yuri Temirkanov, et peu après il débute une carrière internationale qui prend rapidement son envol et le mène sur les scènes les plus prestigieuses, de Londres à New York, en passant par Vienne et Paris.

Depuis 1988, alors âgé de seulement 35 ans, il est à la tête du Théâtre Mariinsky, dont il a considérablement élargi et modernisé le répertoire : les classiques du répertoire lyrique (MozartVerdiPucciniRichard StraussBritten) côtoient les créations et les grandes pages du répertoire russe (MoussorgskiTchaïkovskiChostakovichProkofiev), sans oublier les compositeurs incontournables du XXe siècle (MessiaenDutilleuxGubaidulina ou Giya Kancheli ).

Il a dirigé plus de 200 concerts par an, ainsi que des festivals en Russie et ailleurs (Stars des Nuits blanches de Saint-Pétersbourg ), participe aux jurys de différents concours et s’engage auprès des jeunes interprètes et compositeurs. Très exposé médiatiquement, il a été nommé en août 2010 Artiste de l’UNESCO pour la paix, a pris position dans des conflits politiques (le conflit entre la Russie et l’Ossétie du Sud), mais s’est également impliqué dans différents projets à vocation sociale liés à la musique (Building on Excellence: Orchestras for the 21st century au Royaume-Uni). Il a reçu de nombreuses récompenses pour l’ensemble de sa carrière.

Denis Leonidovitch Matsouïev (en russe Денис Леонидович Мацуев) né le 11 juin 1975 à Irkoutsk, dans une famile musicien,pianiste russe, il commence l’étude du piano sous la tutelle de son père puis poursuit ses études musicales à l’école de musique d’Irkoutsk jusqu’à l’âge de 15 ans. À côté de ses activités musicales, Denis Matsouïev pratique des activités sportives.

En 1990, Matsouïev part avec ses parents pour Moscou , où il parfait son éducation à l’école centrale de musique de Moscou. En 1993, il participe à son premier concours international de piano en Afrique du Sud, où il remporte le premier prix. La même année, il entre au Conservatoire Tchaïkovski de Moscou, en 1998, à 23 ans il gagne le premier prix au prestigieux Concours international Tchaïkovski , événement qui marque le tournant de sa carrière. Par la suite, Matsouïev donne des concerts à travers le monde, jouant avec de célèbres chefs d’orchestre tels que : Ivegueni Svletlanov, Vladimir Spivakov Claudio Abbado, Valeri Guergueiev…

Matsouïev donne aujourd’hui près de 150 concerts par an. Il se produit dans des salles prestigieuses: du monde entier: Salle Gaveau, Salle Pleyel, Carnegie Hall, Mozarteum, ou encore le Tokyo Opera City et bien sûr le Théâtre desChamps Élysées. Il est l’organisateur de deux festivals en Russie : Stars on Baikal et Crescendo.

La Directrice générale de l’UNESCO, Irina Bokova a nommé, le 2 avril 2014 Denis Matsuev: Ambassadeur de bonne volonté de l’UNESCO.

 

Sergueï Prokofiev (Сергей Сергеевич ПрокофьевSergueï Sergueïevitch Prokofiev, né le 11 avril 1891 à Sontsivka ukraine région d’Ekatarinoslav, (Empire Russe) il est mort le 5 mars 1953 à Moscou (URSS), compositeur ukrainien et soviétique de musique classique, pianiste et chef d’orchestre. Auteur de nombreuses œuvres musicales allant de la symphonie au concerto, de la musique de film à des opéras ou des ballets et a été reconnu de son vivant comme un artiste d’avant-garde très créatif. Élève du Conservatoire de Saint Petersbourg. De 1918 à 1936, il passa de nombreuses années en dehors de son pays avant de se laisser convaincre de revenir en URSS où il fut à la fois honoré et persécuté. Il mourut le même jour que Josph Staline.

Dès l’enfance, Prokofiev montre des facilités pour l’apprentissage de la musique et pour la composition. Il étudie l’orchestration avec Rimski-Korsakov et affirme très tôt son anticonformisme. Il remporte le prix Anton Rubinstein en tant que meilleur étudiant de piano. A l’occasion d’un concert, il joue devant Stravinski, puis quitte Saint-Pétersbourg pour Paris où il rencontre Diaghilev avec qui il monte plusieurs ballets. Au moment de la Révolution russe en 1917, Prokofiev choisit l’exil, ce qui lui permet de trouver le temps de composer. Après avoir écrit sa première symphonie, il crée à Chicago une œuvre essentielle dans sa carrière, l’opéra L’Amour des trois oranges, qui connait tout de suite un grand succès. Il continue à composer des œuvres nombreuses et diverses en Europe (concertos, symphonies).

En 1933, il décide de rentrer en Russie devenu l’URSS, attiré par les promesses que lui fait le gouvernement. C’est une autre période fructueuse (Roméo et Juliette, Cendrillon, Ivan le Terrible ) qui prend fin avec la guerre. Après de graves problèmes de santé, persécuté par l’URSS, Prokofiev s’éteint presque dans l’oubli, effacé par la mort de Staline le même jour.

Excepté la musique religieuse, Prokofiev a abordé tous les genres. Il a donné le meilleur de lui-même dans la musique pour piano et dans les œuvres chorégraphiques et cinématographiques. Et pourtant, réaliste, volontaire, tourné vers le concret et l’avenir, spirituel et provocateur, il n’en est pas moins un lyrique qui a toujours su adapter son invention mélodique aux divers styles qu’il a pratiqués.

Prokofiev en six dates :

• 1900 : à neuf ans, Prokofiev compose un opéra destiné aux enfants,Le Géant.
• 1906 : rencontre de Miaskovski, compositeur russe qui devient son ami le plus intime.
 1914 : à la suite de ses études au conservatoire de Saint-Pétersbourg, Prokofiev reçoit le prix Rubinstein en tant que pianiste-compositeur pour son Concerto pour piano n°1.
• 1927-28 : à Paris, coopération avec les Ballets russes de Diaghilev au moment de la création du Pas d’Acier puis du Fils prodigue ; rencontres artistiques et littéraires (Picasso, Matisse, Poulenc, Ravel) et querelle avec Stravinski.
• 1938 : début de la collaboration de Prokofiev avec le réalisateur Eisenstein avec la mise en musique du film Alexandre Nevski (par la suite Tonia ou encore Ivan le Terrible en 1942).
• 1947 : nommé Artiste du peuple de la République socialiste fédérative soviétique de Russie ; cela n’empêche pas Prokofiev d’être victime d’autres attaques de la part du régime stalinien.

Prokofiev en six œuvres :

• 1913 (réécriture en 1923) : Concerto pour piano n°2, en 4 mouvements ; créé à Saint-Pétersbourg.
• 1916 : Concerto pour violon n°1 en ré majeur ; première en 1923 à Paris.
• 1921 : L’Amour des trois oranges, opéra en un prologue et 4 actes créé à Chicago, d’après la pièce de Carlo Gozzi.
• 1935 : Roméo et Juliette, ballet en 3 actes fondé sur la pièce de Shakespeare.
• 1945 : Symphonie n°5, en 4 mouvements ; œuvre patriotique avec des accents guerriers qui marque la victoire sur l’Allemagne ; réception triomphale. Prokofiev obtient un prix de l’ordre de Staline.
• 1952 Symphonie concertante pour violoncelle, créée à Moscou.

 

Théatre des Champs Élysées

15 av Montaigne, 85008 Paris

Tarifs :

CAT. 1: 165 €, CAT. 2: 110 €, CAT. 3: 75 €
CAT. 4: 35 €, CAT. 5: 10 €, CAT. : 65 €
Réservations:
En ligne: (CLIQUEZ)
Tél:+33 1 49 52 50 50

Orchestre de Chambre Nouvelle Europe

Concert “RUSSIE ÉTERNELLE

C.D.A. Enghien-Les-Bains

Vendredi 19 octobre 2018 à 20h30

 

Un voyage musical au cœur de l’âme russe. L’Orchestre de Chambre Nouvelle Europe né d’un pari audacieux et anbitieux: repérer et réunir de jeunes solistes et chambristes européens pour les révéler sur les plus grandes scènes internationales. Agés de 18 à 30 ans, les musiciens de l’Orchestre de Chambre Nouvelle Europe sont pour la plupart lauréats de concours internationaux. Fort des leurs expériences musicales variées en Europe, ils ont rejoint à Paris l’OCNE comme membres tuttistes mais aussi pour certains régulièrement comme solistes. Ils partagent généralement leur carrière entre musique de chambre, orchestre au plus haut niveau et engagement en tant que solistes.

En quinze ans, Nicolas Krauze, chef d’orchestre français et initiateur du projet, a réussi à faire de cette formation originale, un orchestre reconnu à la fois pour son excellence, sa virtuosité et l’esprit de renouveau qu’il insuffle à la musique classique.

Nicolas Krauze, né en 1974 à Angers, diplômé de l’Institut Gnessin et du Conservatoire Tchaïkovski de Moscou d’où il est sorti avec cinq premiers prix. Il a suivi l’enseignement et les conseils de chefs tels que Gennady Cherkassov, Edward Ambartsoumian, Nicolas Brochot, Zsolt Nagy et Christoph Eschenbach.

Au-delà de sa carrière de chef invité, Nicolas Krauze est directeur musical et artistique de l’Orchestre de Chambre Nouvelle Europe avec lequel il a donné plus de quatre cent concerts et enregistré deux disques.

Par ailleurs il a été nommé à l’unanimité chef principal invité de l’Orchestre National du Kazakhstan à Almaty pour les saison 2014-2015-2016. A présent, tous les ans il est réinvité par l’orchestre.

Enfin à partir de septembre 2018 il prendra ses fonctions de premier chef invité à la l’Orchestre de Chambre National de Kiev en Ukraine, premier non-ukrainien de l’histoire du pays nommé à ce poste.

En France il a récemment a été invité à diriger l’Orchestre National d’Île de France, l’Orchestre et Opéra National de Montpellier Languedoc-Roussillon, l’Orchestre National de Lorraine, l‘Orchestre d’Avignon-Provence,l’Orchestre Lamoureux, l’Orchestre de Chambre de Versailles et l’Orchestre Symphonique régional de Limoges.

Pour ce concert, l’OCNE présentera un programme instrumental aux contrastes passionnés et flamboyants autour de deux siècle de grand répertoire russe.

PROGRAMME

1ère partie
Dmitri Chostakovitch : Symphonie de Chambre Op.110A
Sergueï Rachmaninov : Vocalises

2ème partie
Piotr Ilitch Tchaïkovski : Sérénade pour cordes

Le CDA Centre des arts a été crée en 2002: 3 000 m2 réparti sur 3 niveaux Auditorium : 383 places, surface scénique intégrée de 250m2, équipé d’une console de dernière génération permettant les enregistrements live. Hall d’exposition : sur deux niveaux il est d’une surface totale de 263 m2 Salle noire : salle de répétition, boîte noire de 200 m2, configuration entièrement modulable Studio de danse : 110 m2 modulable en salle de conférence, de répétition et d’atelier Studio numérique : créé en 2011, il s’agit d’un centre de création numérique et un lieu de production audiovisuelle. Scène flottante : installée sur une barge flottante sur le lac d’Enghien-les-Bains c’est une structure de 400 m2 unique en Europe

Centre Des Arts

12-16 Rue de la Libération,  95880 Enghien-les-Bains

Tarifs: plein 22€, réduit 16€

Billeterie: 01 30 10 85 59 et sur internet: cda95.fr

Horaires: Mardi-Vendredi 11h – 19h

Samedi: 14h – 19h Dimanche 14h – 18h.

 

Ciné club CinéRussia de Niort

projection de  “Classe à part” d’Ivan Tverdovsky

Lundi 15 octobre à 20H

film sera suivi d’un débat sur l’handicap.

 

Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs.
“Lena est une adolescente brillante, qui se déplace en fauteuil roulant, pressée de retourner sur les bancs de l’école après des années de déscolarisation. Elle rejoint une classe adaptée aux élèves atteints de troubles physiques ou mentaux. La jeune fille s’intègre à la vie de l’école, mais le bonheur qu’elle affiche avec Anton, l’un de ses camarades de classe, n’est pas du goût de tout le monde, non seulement de l’administration, mais aussi des idées rétrogrades de leurs familles et de la cruauté de leurs camarades….”
Le premier long métrage du jeune cinéaste russe Ivan I. Tverdovsky n’est simple, ni dans son sujet, ni dans la façon dont il l’approche. En suivant le parcours de Lena, adolescente ambitieuse privée de l’usage de ses jambes par une myopathie, Ivan I. Tverdovsky établit d’emblée un fossé entre le monde de ces adolescents pas comme les autres et celui des adultes.

Ivan Ivanovitch Tverdovski (Иван Иванович Твердовский), né en 1988 à Moscou, réalisateur, scénariste, opérateur, peintre russe. En 2011 il termine sa maîtrise en ralisation expérimentale est réalisée à l’ Institut national de la cinématographie. Depuis 2012, il est organisateur du programme de court métrage au sein du Festival International du film de Moscou. Il est lauréat de festivals internationaux russes dans le domaine documentaire et de séries télévisés (Rameau de Laurier).

Il est actif dans le domaine de la peinture à l’École d’aquarelle Sergueï Andriak. En long métrage, il débute avec son film Classe à part. En 2014, lors du 25ème Festival KInotavr à Sotchi ce film reçoit deux prix: celui du jury des distributeurs et le prix du meilleur film de débutant. Ce film a encore reçu d’autres prix lors de festivals russes et internationaux divers comme par exemple au Festival du cinéma à Honfleur 2014, lauréat du Festival international du film de Karlovy Vary en 2014.

En 2015, Tverdovski est membre du jury de À l’Est de l’Ouest lors du 50e anniversaire du festival de Karlovy Vary et aussi du jury du concours de court métrage du festival Kinotavr.

En 2016, il reçoit le prix de la Guilde des critiques de cinéma russe et le prix Slon pour son film zoologie. au 27ème Festival Kinitrav. Son film Jumpman (Подбросы) est sélectionné en compétition officielle de ce  festival,  en 2018  il reçoit une mention spéciale du jury.

CGR Cinéma

Place de la Brèche, 79000 Niort

Réservations: 08 92 68 85 88

” AU PARADIS TOUTES LES FEMMES SONT TZIGANES ! “

Cirque Romanes

Jeudi 29 SEPTEMBRE 2018 à 20h30

Un Spectacle Inédit sous le chapiteau du Cirque Romanès à Porte Maillot, Paris 16e !
Trois Magnifiques Danseuses tziganes rebelles, qui se rencontrent dans un voyage dansé et rendent hommage à la Culture Nomade et à la FEMME !
SENU SAPERA (danse Kalbelya)
KARINE GONZALEZ (flamenco)
NURIA ROVIRA SALAT (danses Tziganes des Balkans et d’Egypte)

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 Senu Sapera est né dans cette grande communauté et avait l’habitude de danser depuis l’enfance. Kalbelia est une danse gitane très dynamique et expressive, qui appartient à la communauté Kalbelia, connue sous le nom de nomades et de charmeurs de serpents. Quand Senu Sapera avait 7 ans, elle a commencé à faire des programmes de danse en Inde, elle se débattait pour ça, elle avait perdu ses parents plus tôt, elle avait six frères et soeurs, elle s’occupait de la famille des trous. Depuis 2006, elle était accompagnée de M. Hameed Khan Kawa, directeur du groupe de Jaipur Kawa Brace, de Musafir Gypsy du Rajasthan et de Kawa Circus en Europe et en Inde. Après cela, elle enseignait la danse en Europe et en Inde.


En Inde, elle se produisit au Festival du tourisme du Rajasthan à Marwar, au Festival Maru et récompensera le meilleur danseur. Elle se produira également au Festival de Chatisgarh avec l’actrice Hema Malini. Elle joue avec le célèbre joueur de Sitar du monde, Pandit Kishan Mohan Bhatt, et le célèbre chanteur du Rajasthan, Bundu Khan Langa, de la Fondation Virasat, à Jawahar Kala Cendra-Jaipur. Elle se produit dans la maison du président – Delhi avec 150 interprètes.
En Europe, elle s’est produite au Festival de Glastonbury au Royaume-Uni avec le Jaipur Kawa Brace Band, le Festival Arts et Festins du Monde en France avec le Jaipur Kawa Brace Band et le Vilanova Festival en Espagne avec le Jaipur Kawa Brace Band.


Senu Sapera est une danseuse internationale qui partage la scène avec différents groupes traditionnels du Rajasthan. Elle enseigne différentes sortes de danses du Rajasthan partout dans le monde, notamment en France, en Italie, en Belgique, au Canada, aux États-Unis, au Japon, en Malaisie.

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Karine Gonzalez connaît une activité artistique foisonnante. Entre ses propres créations et les divers projets pour lesquels chorégraphes et musiciens font appel à son talent, elle ne manque pas d’occasions d’explorer et d’affiner les mille et une facettes d’un art qu’elle vit avec passion. Ainsi, au cours de cette saison, on peut la découvrir ou la retrouver sur un éventail de productions…En Andalousie, chaque arrêt du train régional qui relie Séville à Cadix marque une ville caractéristique d’un type de chant. Karine Gonzalez nous invite à monter à bord de ce véritable train du flamenco pour la suivre sur la carte du pays andalous, dans un voyage chanté et dansé à travers les paysages chers à Garcia Lorca.

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Nuria Rovira Salat après un voyage à Paris, et la rencontre avec la danseuse libanaise Lamia Saffiedine, la poussent à quitter l’Espagne dont elle est originaire pour approfondir la danse orientale. Elle se professionnalise en danse arabo-berbère auprès de Saïda Naït-Bouda, Sâadia Souyah et Agnès Denis et rencontre alors les danses traditionnelles maghrébines. Elle découvre alors la danse tsigane avec Pétia Iourtchenko et Simona Jovic, avec laquelle elle développe les danses des Tsiganes du Rajhastan, d’Egypte, des Balkans et de Turquie. Elle poursuit son apprentissage avec Béatrice Lavielle et rencontre Karine Gonzalez, danseuse de flamenco et l’amène à collaborer avec elle dans cette voie.

Chapiteau du Cirque Romanes
Square Parodi, entrée face au 31 Bd de l’Amiral-Bruix
75016 PARIS
Réservations : 01 40 09 24 20 ou 06 99 19 49 59

TARIF UNIQUE : 20 €
TOUT PUBLIC
Durée 1h30 sans entracte

Ouverture des portes à 19h00 : ( Restauration possible sur place ….)

Métro: Porte Maillot ( ligne 1-sortie 5)

 

Eugéniya Zharaya Rouennaise depuis 2004, Eugéniya s’interesse à toutes formes d’art depuis son plus jeune âge. Diplômée de l’École des Beaux Arts d’Omsk en 1979, elle intègre en même temps l’Académie du soir, dont elle suivra les cours durant 8 ans. Ses premières expositions personnelles ont eu lieu en 1990 et 1993 au cours de ses études supérieures à l’Université Pédagogique en Russie où elle avait obtenu son second diplôme, celui de la faculté linguistique. L’année 2000 est marquée par la création de son atelier et son exposition personnelle dans le Centre Culturel MAYAK/“PHARE” à Omsk.

Par la suite de son choix personnel, elle s’est installée en France où elle continue à apprendre et à enseigner et à partir de 2006 à participer à des manifestations d’arts plastiques collectives et personnelles.

         Son esprit créatif a besoin d’apprendre et de s’exprimer en permanence. Derrière les techniques du dessin, de la peinture et de la sculpture, cet artiste cherche toujours en modèle, en paysage ou en objet, une touche de sensibilité qu’elle essaie de transférer aux spectateurs. C’est l’Homme dans toute sa complexité, dans toutes ses expressions visibles ou pas, qui reste pour elle un puits infini d’inspiration et le thème principal de ses œuvres. Scènes de vie, temps présent et époques passées, histoires réelles et imaginaires, gestes et regards sont capturés par ses lignes et couleurs. Son art est un reflet de sa vie intérieure, de la Route de sa propre expérience.

    À partir de 2014, E. Zharaya est fondatrice de l’événement artistique “Remise-à-Neuf” qu’elle renouvelle tous les ans dans divers endroits.

       E. Zharaya expose et vend ses œuvres en France, Belgique, Turquie, Russie, Hollande, Lituanie, Allemagne, Finlande, Espagne.

      Formations 

 Diplôme de l’École des Beaux Arts – Omsk – RUSSIE

          Académie du soir /dessin & peinture/– École des Beaux Arts – Omsk  RUSSIE

        Diplôme de L’Université Pédagogique – Omsk – RUSSIE

        Cours de dessin et de peinture à Paris – FRANCE

           Formation en Communication Visuelle et Design Graphique Multimédia – École MEDIA PHOSPHENE Rouen-FRANCE

 Stage en Design Graphique Multimédia 3ci Viga /Atelier Communication & Fabrication PLV/-Tourville-là-Rivière-FRANCE

                      Académie Libre / peinture-dessin-sculpture-céramique / École des BeauxArts Rouen- FRANCE

 

Moulin de Pannevert

C’est un vieux moulin situé dans la vallée de la Pannevert au bord du Robec, à Rouen qui a longtemps servi à produire de la farine, sa roue a été restaurée en juillet 2016 grâce à une association l’ASMP , créée en 2004 pour la sauvegarde du bâtiment dans son ensemble , ainsi que son environnement.

En tous les cas des documents anciens attestent de son existence dès le XIIe siècle. il s’appelait alors le moulin du Val et d’aussi loin qu’il s’en souvienne des ânes en file indienne venaient lui apporter les sacs de blé. Il appartenait la famille des Deschamps, jusqu’au xvie siècle. il a connu ensuite plusieurs propriétaires, .
Au XIXe siècle, le moulin de la Pannevert est l’objet de soins attentifs et son propriétaire, Ferdinand legras, lui fait subir d’importants travaux de rénovation : remplacement de la roue, modification du mur de tampanne, travaux de menuiserie et de charpente. puis, en 1878, un teinturier s’y installe. C’en était fini de la belle farine blanche. En 1952, il appartenait à un antiquaire qui s’en servait de débarras. En 1980, le Centre d’Histoire Sociale s’intéresse au moulin et se charge de reconstituer la roue et de remettre en valeur les mécanismes intérieurs du moulin avec le concours financier de la Ville de Rouen obtenu grâce à l’action des Amis des Monuments Rouennais.

Moulin de la Pannevert

1 rue de la Pannevert, 76000 Rouen

Clôture du catalogue le vendredi 5 octobre 2018

pour la vente Coutau-Bégarie & Associés

du mercredi 7 novembre 2018

Contacts:

Étude Coutau Bégarie & Asociés: 01 45 56 12 20

Expert Cyrille Boulay: 06 12 92 4O 74

 

 

Veronica Bulycheva – originaire de la région de Perm, elle a grandi en Oudmourtie, alors étudiante de l’Institut de la Culture de Leningrad, où elle a étudié au département pop de la guitare jazz, il est en France avec toute la richesse et la diversité des étendues russes.

Connue en tant que compositrice et interprète en Russie, Veronika a poursuivi ses expériences musicales et son chant à Paris. Ici, peu à peu, son genre original s’est formé, l’intonation de l’auteur s’est développée et a pris forme.

Aujourd’hui, après quatre albums studio, Veronica Bulycheva offre maxi single «de l’Oural» (en sens russe “Over-Oural”) dans le style folk-électro-pop (© Sketis Music).

Le violoniste Alexandre Berlin, exprime avec une ferveur différente les mélodies, accentuant les effets avec l’archet, intensifiant les nuances et le rubato, tenant en haleine le public par l’intensité expressive de son jeu. Même si les positions ne sont pas toujours académiques, les mouvements parfois exagérés, le souffle musical habite ce jeune musicien et personne ne se pose la question d’un doigté ou d’un démanché mettant parfois à mal la justesse. Conquis par la quasi-danse de l’interprète qui virevolte et enrichit son jeu d’une riche palette expressive, de la tendresse la plus suave à la sévérité et au drame

DATCHA KALINA

315 Chemin Des Petites FourquesEguilles 13510

PAF: 14€, adhérent: 12€

Réservation: 06 20 97 35 68  et  04 42 92 68 78

 

PUBLICATION 18 OCTOBRE 2018

Éditions Syrtes

Ce livre rassemble les enseignements et les épisodes de la vie de spirituels orthodoxes récents,
mais aussi de Pères et de saints orientaux et occidentaux du premier millénaire qui sont le patrimoine
commun de tous les chrétiens. Empreints de sagesse et souvent de merveilleux, ces textes nous
permettent de comprendre ce qu’étaient idéalement, au paradis des origines, les relations de l’homme
avec les animaux ; pourquoi ces relations se sont ensuite dégradées ; ce que les animaux selon la diversité
de leurs espèces peuvent nous apprendre sur la nature, sur nous-mêmes et sur Dieu ; comment les saints
ont réussi à rétablir avec tous les animaux, même les plus sauvages, des relations non seulement pacifiées
et harmonieuses, mais familières et amicales, qui nous replacent dans une atmosphère paradisiaque.
Les nombreuses illustrations de ce beau livre viennent témoigner de ces relations idéales.
Respectant les canons iconographiques orthodoxes, ou libres représentations de l’art religieux chrétien de
différents pays et de différentes époques, toutes expriment l’importance et la valeur que le christianisme,
dans ses fondements communs, reconnaît aux animaux.

L’auteur:

Jean Claude LARCHET est né en 1949, dans une famille catholique, il s’est converti à l’Orthodoxie à l’âge 22 ans  théologien orthodoxe français, docteur en philosophie et en théologie, auteur trente livres traduits en dix-sept langues. Il est l’un des rares auteurs contemporains capables de combiner la rigueur scientifique et un sens vibrant de la vie intérieure de l’Église. Il a enseigné la philosophie pendant une trentaine d’années, développant parallèlement son œuvre patrologique et théologique, donnant des cours et des conférences et participant à des colloques dans de nombreux pays. Il vit dans le nord-est de la France où il est engagé depuis plusieurs décennies dans la vie de sa paroisse  comme président laïc et chef de chœur.

 

Éditions Syrtes

Collection Syrtes Images

EAN139782940523863 – ISBN978-2-940523-86-3

Broché, dimensions 25 x 18 x 1 cm

Prix public: 25€

288 pages Poids 780 g

 

Bon de commande prix 23€

VERONIKA BULYCHEVA

Romance moderne – “Avec tout mon coeur”

Vendredi 5 octobre 2018 à 20h00

à L’Eolienne, Marseille

 

Veronika BULYCHEVA – chant, guitare 
Alexander BERLIN – alto

Un voyage au sein de l’âme slave, où l’on sait rire d’un drame autant qu’en pleurer, et que l’on porte longtemps en soi.

Veronica Bulycheva – originaire de la région de Perm, elle a grandi en Oudmourtie, alors étudiante de l’Institut de la Culture de Leningrad, où elle a étudié au département pop de la guitare jazz, il est en France avec toute la richesse et la diversité des étendues russes.

Connue en tant que compositrice et interprète en Russie, Veronika a poursuivi ses expériences musicales et son chant à Paris. Ici, peu à peu, son genre original s’est formé, l’intonation de l’auteur s’est développée et a pris forme.

Aujourd’hui, après quatre albums studio, Veronica Bulycheva offre maxi single «de l’Oural» (en sens russe “Over-Oural”) dans le style folk-électro-pop (© Sketis Music).

Alexandre Berlin découvre la magie du violon à l’âge de 3 ans. Sa vie est déjà tracée : à 9 ans, il se produit déjà en concert, à 10 ans il participe à des concours et des émissions télévisées. En 2007 il remporte le Concours National Musical des jeunes talents à Moscou.
Admis au Conservatoire National de Moscou en 2009, il est ensuite appelé à l’armée pour suivre le service militaire obligatoire. En 2014, Alexandre est invité en Allemagne à l’Ecole Nationale de la Musique de Gifhorn ainsi qu’à Glocken-Palast Gifhorn Center, à l’initiative de M. Horst Wrobel et du Professor Doktor Hans Jürgen Stümpel. En 2015, il s’installe à Paris.

 

L’EOLIENNE 
5 Rue Meolan et du Père Blaize 
13001 Marseille

Prix unique : 10€
Métro: Vieux Port ou Noailles 
Tramway: (1) Noailles, (2) Canebière capucins, (3) Saint-Louis

Macha Méril et L’association Rivages Russie Evènements
présentent

“BRÈVES RENCONTRES” (Короткие встречи) de Kira Mouratova

Jeudi 20 septembre 2018 à 20h 30

Cinéma Grand Action

 

Le film, en hommage à Kira Mouratova, disparue le 6 juin 2018 sera présenté par Eugénie Zvonkine, biographe.

Une première partie musicale sera consacrée à Vladimir VYSSOTSKI.

BRÈVES RENCONTRES

Avec Vladimir VYSSOTSKI
Kira MOURATOVA, Lidia BAZILSKAIA, Valeri ISSAKOV, Nina ROUSLANOVA, Alekseï GLAZYRINE,  Svetlana NEMOLIAEV, Olga VIKLAND
Durée 1h36 – 1967

Le film est tourné à l’époque où le métier de géologue est à la mode. L’intrigue était basée sur les histoires de Leonid Zhukhovitsky et Leonid Fomin sur les difficultés sociales et interpersonnelles. Nadia, une serveuse dans un salon de thé , fait connaissance du géologue Maxim. Il a un métier efficace, un look “romantique”, une guitare, une attitude facile vis-à-vis de l’argent, la capacité de se soumettre. La fille tombe amoureuse et il part. Cette histoire, est sous la forme d’un come back où se croise constamment une autre histoire, dans laquelle vit Valentina Ivanovna, l’épouse de Maxim, qui le voit comme un casse-tête entre les expéditions.

Valentina Ivanovna est membre du comité de district, elle signe des papiers, faisant face à ceux qui attendent un logement, à la corruption qui règne. Valentina est tellement épuisée par les visites et les départs constants et imprévisibles de Maxim, il part “pour toujours”. Mais il appelle à nouveau, dit qu’il va venir et Valentina Ivanovna, même si elle l’a chassé, est heureuse qu’il réapparaisse. Et Nadia, la serveuse,  met la table, y pose des plats de fête,  et elle part, laissant cette maison pour toujours, pour ne pas gêner leur amour …

 Un cinéma de la dissonance

Kira Gueorguievna Mouratova est née le 5 novembre 1934 à Soroca en Bessarabie (actuellement Bessrabie) elle est décédée le 6 juin 2018 à Odessa, elle est diplômée de l’Institut fédérale d’État du Cinéma ( VGIK) de Moscou en 1962  elle se met à travailler pour le studio d’Odessa.

Dans ce premier long-métrage réalisé seule, le premier de ses “mélodrames provinciaux”, nous découvrons déjà une cinéaste dont la liberté et la virtuosité nous enchantent et nous touchent au plus profond. Cinéaste des petites gens et de leurs destins chaotiques, Kira Mouratova porte ici également le personnage féminin principal qu’elle incarne avec sensibilité et talent.

Un fillm sur la subjectivité, construit à travers les souvenirs et les rêveries des protagonistes,En 1967, son second film Brèves rencontres est censuré, film que les spectateurs découvrent vingt ans après ouvrant la voie d’une des œuvres les plus singulières de l’URSS et de l’ère postsoviétique Elle tourne avec peu de moyens, des acteurs non-professionnels, et privilégie le noir et blanc. Kira Mouratova interprète dans Brèves rencontres l’un des deux rôles principaux, celui d’une femme qui partage sa vie entre ses responsabilités dans la gestion des immeubles locaux, soumise aux magouilles des constructeurs, à la corruption et aux demandes de milliers de locataires, et son amant; ce dernier, faisant fi de l’idéal socialiste, se souciant moins de fonder une famille que d’organiser sa propre liberté. Le rôle est joué par Vladimir Vyssotski, chanteur extrêmement populaire qui participera au succès du film et du début de la carrière de la réalisatrice… « C’est avec Brèves rencontres que commence ma biographie ». Cinéaste rebelle dont la plupart des films finirent, selon elle, «sur des étagères», Kira Mouratova, réalisatrice ukrainienne, filmera après la Perestroïka plusieurs œuvres majeures dont Le Syndrome asthénique.

Cinéma Le Grand Action
 5 rue des écoles 75005 Paris

Métro: Cardinal Lemoine (ligne 10)

Hommage à Marius Petipa

par Elena Dolgouchine

Jeudi 11 octobre, à 18h30

Hôtel de ville d’Aix-en-Provence

 

Hommage pour le bicentenaire de la naissance du célèbre chorégraphe.

Marius Petipa, un marseillais, symbole de gloire du ballet impérial russe, né à Marseille le 11 mars 1818, mort à Gourzouf en Crimée le 14 juillet 1910.

En 2018, le monde de la danse fête le bicentenaire de naissance du danseur, chorégraphe et maître de ballet français Marius Petipa (1818-1910), né à Marseille. En 1847, Marius Petipa arrive à Saint-Pétersbourg et il est engagé comme premier danseur  au Ballet impérial. Il y devient maître de ballet et vit et travaille à Saint-Pétersbourg  jusqu’à sa mort. Aujourd’hui, les danseurs des meilleurs ballets de Saint-Pétersbourg, héritiers de son travail, viennent en France et offrent un spectacle d’extraits des ballets les plus connus et les plus romantiques. En solo, en couple et en groupe, la performance de danseurs russes de laissera personne indifférent. Il y crée l’école russe de ballet et ses magnifiques chorégraphies des ballets mondialement connus aujourd’hui comme Belle au bois dormant, Casse-Noisette, Lac des cygnes.

Entrée libre

 

Installé depuis le XIVe siècle au pied de la Tour de l’horloge, l’Hôtel de ville fut reconstruit en deux campagnes de 1655 à 1660 et de 1665 à 1678. La conception d’ensemble inspirée des palais italiens est l’oeuvre de Pavillon, assisté des sculpteurs Rambot et Fossé. Deux séries de peintures se trouvent dans la salle des Etats de Provence, au premier étage : d’une part, les portraits des comtes de Provence et des rois de France, de l’autre, des tableaux retraçant l’histoire d’Aix et de Provence.

Le temps et la Révolution ont dépouillé la façade de sa riche ornementation : statues d’anges, bustes de comtes de Provence, monogrammes du roi. En octobre 1868, on procèdera à une réfection de toiture et à des restaurations des façades. Au XIXe siècle dans la cour intérieure est installée la statue de Mirabeau, réalisée par le sculpteur aixois Truphème, aujourd’hui placée dans le Palais de Justice.

Salle des mariages, Hôtel de ville d’Aix-en-Provence

Renseignements et réservations :
04 42 92 68 78 / 06 20 97 35 68
contact@datchakalina.com
www.datchakalina.com

Thème : LE GRAND NORD 

Nouvel eldorado glacé, regorgeant de gisements en tous genres, nouvelle route maritime entre l’atlantique et le pacifique, le Grand Nord est le lieu de toutes les convoitises, des conquêtes les plus folles et des paris les plus insensés. Sur terre comme sur les mers, que d’aventures périlleuses à vivre et  d’histoires racontées. Nous iront à la rencontre d’auteurs, de géographes et d’aventuriers qui nous feront toucher du doigt la surface des glaciers majestueux ou celle des toundras prises dans la neige.

Également, Terres de traditions ancestrales, ce Grand Nord est le refuge de peuples aux cultures fragilisées (Nenets, Komis, Taimyr, Evenes, Iakoutes, Tchouktches, Koriaks), que les nouvelles générations, baignées dans les nouvelles technologies, commencent à raconter sur leur propre tempo.

D’Ouest en Est, de Kaliningrad à Vladivostok, Le Grand Nord s’étend sur plus de 9000 km et traverse onze fuseaux horaires. Raison pour lequel on l’appelle aussi Le Grand Est.

VENDREDI 5 OCTOBRE 2018

17H00 : RENCONTRE AVEC DAVID FOENKINOS qui présentera son dernier roman « Vers la beauté ».

18H30 : INAUGURATION DU SALON

SAMEDI 6 OCTOBRE 2018

L’ATELIER LITTERAIRE DES ENFANTS

10H00-12H30:

En compagnie des auteurs: Svetlana FADEEVA, Ludmila SOUHKOVETS, Elena JOURECK, Kira SAPGUIR

JOURNEE IVAN TOURGUENIEV

Bicentenaire de sa naissance

13H30: « Dostoïevski et Tourgueniev : histoire d’une inimitié ». Conférence de Igor VOLGINE, écrivain, historien, auteur de l’émission télévisé Le jeu des perles en verre , Président de la Fondation de Feodor Dostoïevski, professeur de l’Université d’état de Moscou, vice- Président de PEN – Centre de la Russie.

15H00: « Dialogue entre deux géants. Autour de la correspondance d’Ivan Tourgueniev et de Gustave Flaubert », conférence de Nelly ANTOIN.

16H00 : Lecture des extraits de l’œuvre d’Ivan Tourgueniev par Marc SEBBAH.

      16H30: Table ronde: Les succès littéraires de Russie en 2017/2018 avec la participation German SADOULAEV et Igor VOLGINE. Modérateur Alexandre ARCHANGELSKY.

17H30 : Le Grand Nord : terres de bagnards et déportés. Débat autour des œuvres de Fiodor Dostoïevski (Souvenirs de la Maison des morts) présenté par Igor VOLGINE.

18H30: Table ronde: « La littérature d’exploration » avec la participation d’Astrid Wendlandt et d’autres auteurs dont les confirmations sont en cours.

DIMANCHE 7 OCTOBRE 2018

L’ATELIER LITTERAIRE DES ENFANTS

10H00-12H3:0

En Compagnie des auteurs: Svetlana FADEEVA, Ludmila SOUHKOVETS, Elena JOURECK, Kira SAPGUIR

14H00: « Alexandre SOLJENITSYNE , Centenaire de sa naissance » par Igor VOLGINE, poète, animateur des émissions télévisées Le Jeu des perles de verre et Contexte.

PLACE AUX EDITEURS

15H00: Igor SOKOLOGORSKY présente sa maison d’édition  avec la participation d’Eric BOULATOV.

16H 00: Table ronde sur le chamanisme

17H00: Table ronde « Le Grand Nord de la Russie vu par les écrivains voyageurs» avec la participation de Christian de MARLIAVE , historien, voyageur, explorateur, Cedric GRAS, écrivain voyageur.

Plus de renseignements: CLIQUEZ

Centre Spirituel et Culturel Orthodoxe russe de Paris

1-5 Quai Branly, 75007 Paris

Métro : Alma Marceau.

RER: Pont de l’Alma, Musée du quai Branly.

Bus: 63, 80.

Entrée libre

Vendredi 5 octobre 2018:  15h00-19h00

Samedi 6 et Dimanche 7:  10h00-19h00

INAUGURATION D’UNE PLAQUE COMMÉMORATIVE

31 Rue Véron 75018 Paris

Vassily Polenov et Ilya Repine

Samedi 6 octobre 2018

Le 6 octobre 2018, sera inaugurée une plaque commémorative à Paris en l’honneur de deux artistes peintres russes : Vassily Polenov et Ilya Repine. Cette plaque sera apposée sur la façade de l’immeuble du 31 rue Véron dans le 18ème arrondissement. L’association Vassily Polenov est à l’origine de ce projet commémoratif. L’initiative s’inscrit dans la lignée de l’ouverture du Passage des Artistes Russes en 2005 et la création du Square Vassily Polenov dans la ville normande de Veules-les-Roses en 2015. C’est par le décret préfectoral n°75-2018-01-11-009 au début de l’année 2018, que les détails du projet ont été publiés. Le texte de la plaque commémorative sera le suivant : Vassily Polenov et Ilya Repine, peintres russes, travaillèrent ici de 1873 à 1874. Plaque par l’Association Vassily Polenov et les descendants des artistes.

Vassily Polenov et Ilya Repine (voir sur ARTCORUSSE: CLIQUEZ)sont des artistes réalistes, des explorateurs et des réformateurs de l’Art Russe. Ils ont transmis leurs connaissances à des générations d’étudiants et certains d’entre eux sont même devenus des artistes avant-gardistes. Leurs oeuvres sont l’une des fiertés de la Galerie Tretiakov à Moscou et du Musée National Russe à Saint-Pétersbourg. Leurs domaines privés sont devenus des maisons-musées fédéraux: Musée-mémorial national d’histoire et des arts et réserve naturelle Vassily Dmitrievitch Polenov, connu sous le nom de POLENOVO (au sud de Moscou, dans la région de Toula) et le Musée-domaine Ilya Repin « Pénates » (au nord de Saint-Pétersbourg).

Polenov et Repine étaient des amis de longue date et sont arrivés à Paris à l’aube de leur trente ans. Tous deux lauréats du concours de l’Académie Impériale des Beaux-Arts de Saint-Pétersbourg, ils ont passé trois ans en France (1873-1876). Cette période de voyages et de découvertes a eu un impact majeur sur leur formation artistique. C’est à son arrivée dans la capitale française, en septembre 1873, que Repin a installé son atelier au 31 rue Véron à Montmartre. Polenov, arrivé un peu plus tard, a passé ses premières semaines parisiennes dans l’atelier de Repin, en attendant de trouver son propre lieu de travail. Cet atelier était situé sous les toits, logement typiquement réservé aux artistes et autres professions libérales. La chambre avait une hauteur sous plafond importante ainsi que des grandes fenêtres, conditions idéales pour les peintres. Aujourd’hui, le bâtiment est bien différent de celui de l’époque des artistes même si la rue Véron reste tranquille et calme, à l’écart du tumulte de Montmartre.

L’aspect actuel de la maison est moderne et représente un défi pour l’installation de la plaque commémorative: la présence de volets aux fenêtres du premier étage. En effet, ces volets réduisent l’espace disponible et la visibilité sur la façade. C’est le sculpteur Boris Katz qui a été force de proposition pour donner une visibilité constante sur le projet, volets ouverts ou fermés, en créant une plaque originale en forme de “T”. La plaque, représentant le portrait des deux artistes, est aussi en soi une oeuvre d’art, faite de bronze. Dès le début du projet, les descendants de Vassily Polenov et d’Ilya Repin ainsi que les dirigeants des musées respectifs ont soutenu l’idée de l’Association Vassily Polenov de mettre en avant le travail des artistes au travers de cette plaque commémorative.

A propos du sculpteur, créateur de la plaque commémorative Boris Katz est un artiste peintre et graphique, il est aussi reconnu pour ses sculptures céramiques. Il est diplômé de la Faculté de Céramique de l’Institut des Beaux-Arts de Leningrad (aujourd’hui l’Académie des Arts et des Industries de Saint-Pétersbourg). Avant son déménagement en Israël, il a travaillé en tant qu’artiste à l’usine expérimentale de produits d’art de Pskov. Suite à son arrivée à Jérusalem, il a commencé à participer à des expositions aussi bien en Israël que dans d’autres pays. Il prendra part à plusieurs biennales de céramique (en 2004, 2014 et 2016). En 2007, à la Biennale Internationale d’Ocarina à Marciano (Italie), Boris Katz a remporté le Grand Prix. En 2013, il a tenu son exposition personnelle à la galerie “8 In Jaffa” (Jaffa, Israël). Ses oeuvres se trouvent aujourd’hui dans des musées en Italie et en Slovaquie mais aussi dans des collections privées du monde entier.

 

Programme indicatif du 6 octobre 2018

11h00 – Inauguration de la plaque commémorative au 31 rue Véron 75018 Paris

12h00 – Cocktail

15h00 – Visite de Montmartre guidée par Tatiana Mojenok-Ninin, docteur en Histoire de l’Art

18h00 – Ouverture de l’exposition dans la galerie Atelier Véron (31 rue Véron)

(Exposition du 6 au 20 octobre)

Instigateurs du projet

 


Le Musée-mémorial national d’histoire et des arts et réserve naturelle Vassily Dmitrievitch Polenov fondé en 1892 en Russie. Seul musée russe qui est encore à ce jour géré par les descendants de son créateur. Il se trouve dans la région de Toula, au sud de Moscou, couvrant une superficie de 14 hectares, comprennant 17 bâtiments historiques. Les visiteurs peuvent y découvrir des expositions permanentes et temporaires sur le travail de Vassily Dmitrievitch Polenov et de ses amis-peintres, ainsi que des oeuvres d’artistes contemporains. Le musée est très actif et développe de nombreuses interactions avec la communauté locale. Le musée mène aussi un vaste travail éducatif y compris au niveau international par la diffusion de contenus sur le domaine, par l’organisation d’expositions et de festivals internationaux. Le domaine accueille aussi des stagiaires du monde entier et reçoit des chercheurs et des scientifiques ainsi que des personnalités culturelles étrangères. POLENOVO fait partie du réseau international des maisons-musée (Artist’s Studio Museum Network). En 2018, il a été nominé pour le prestigieux prix du Musée européen de l’année (EMYA).
www.polenovo.ru, www.facebook.com/polenovo


L‘Association Vassily Polenov a été fondée à Paris en 2007 par des descendants de l’artiste et des amis du musée POLENOVO. Les objectifs de l’association sont variés et couvrent de nombreux domaines: de la connaissance de l’héritage de Vassily Polenov par des publics étrangers à l’organisation d’échanges internationaux. Des représentants de l’association donnent régulièrement des présentations, organisent des excursions, participent à des conférences scientifiques. L’Association attire des spécialistes de tous les domaines artistiques pour organiser des expositions, réaliser des documentaires, publier des livres. Avec la participation de l’association, le programme international de résidence d’artistes (POLENOVO-AIR-PROGRAM) a pu être lancé.

 La Semaine de la Francophonie, qui s’est tenue en 2016 à Polenovo (Voir sur ARTCORUSSE: CLIQUEZ) a marqué le début de la tradition des festivals d’art d’été au domaine. D’autres étapes particulièrement importantes peuvent être notées : en 2015 dans la ville normande de Veules-les-Roses (France) a été solennellement inauguré le Square Vassily Polenov.

 

Expostion du 6 octobre au 20 octobre

du mardi au samedi de 11h à 19h

31 Rue Véron 75018 Paris

Accés Métro: Abbesses (ligne 12), Place Blanche (ligne 2)

Contact parisien: Natalia Leybina, 06.62.47.62.88, vassilypolenov.asso@gmail.com

Exposition rétrospective

Youri Vichnevski 50 ans de peinture

vendredi 28 septembre – dimanche 28 octobre 2018

Club du Vieux Manoir, Abbaye Royale du Moncel

Youri Vichnevski un peintre russe né en 1946 à Kharkov (ex-URSS, actuelle Ukraine)) , habite et travaille à Paris depuis 1992. Diplomé des Beaux ART de Kharkov, il a une tendance « Abstrait Lyrique » suivant des compositions abstraites à l’huile, l’acrylique, le pastel et l’encre. Youri peignait dans son atelier des toiles qui ne correspondaient pas à la propagande officielle et ne pouvait pas exposer ses oeuvres. Ce n’est que dix ans après avoir obtenu son diplôme qu’il a pu participer à des expositions collectives. Il est installé en France depuis vingt-cinq ans où il est devenu membre de la Maison des Artistes et il a exposé dans les galeries en France, Allemagne, Italie.  Six oeuvres ont été achetées par les Musées des Beaux Arts des villes de Belgorod et Stary-Oskol (Russie). Les thèmes de prédilections de Youri étaient le paysage et le couple. Faisant connaissance plus approffondie de l’histoire de l’art, Youri cherche de nouveaux moyens d’expression. Il travaille en utilisant comme support la toile et le papier.

Il est actif à Paris depuis les débuts des années 90, ses paysages urbains renvoient à une figuration géométrique empreinte de lyrisme.

Fondée par Philippe IV le Bel en 1309, l’Abbaye Royale du Moncel accueille une communauté de sœurs Clarisses de 1337 jusqu’à la Révolution. Aujourd’hui, le site est restauré et animé par le Club du Vieux Manoir. Située dans l’Oise, aux portes de Pontpoint et de Pont-Ste-Maxence, l’Abbaye Royale du Moncel s’étend sur 6 hectares de terrain, cernée d’un mur d’enceinte en pierres appareillées et contreforté sur une large section longeant l’Oise.

 

Ancienne Abbaye du Moncel
Club du Vieux Manoir
60700 PONTPOINT

Tél. : 03 44 72 33 98

E-Mail : abbayedumoncel@clubduvieuxmanoir.fr

Accès: Autoroute A1 sortie Senlis suivre Fleurines puis Pont Sainte Maxence puis Abbaye du Moncel

SNCF: Gare de Pont Sainte Maxence puis 15 minutes à pied à travers la ville.

Une exposition étonnante, riche et haute en couleurs à absolument découvrir !
Une grande palette d’artistes présentant une diversité de styles, de techniques et de modes d’expression.

L’ association fondée par Stella Kalinina est un véritable lien entre les artistes et le public. Les artistes vous proposent de découvrir une exposition diversifiée de l’art contemporain… Stella Art International est une association à but non lucratif, fondée en 1999 à l’initiative de Stella Kalinina, passionnée d’art.

L’association est située au cœur de Paris, à deux pas de l’Arc de Triomphe, au Centre de Russie pour la Science et la Culture, partenaire de l’association pour la plupart des grands évènements. Son but est de favoriser la création artistique et culturelle, en organisant un grand nombre d’évènements internationaux dans le domaine des arts : peinture, musique, mode, littérature, cinéma, théâtre et danse. Elle présente une grande diversité de styles, de techniques et de modes d’expression, toujours à la recherche de nouveaux talents.

Les artistes qui exposent :

· Michel GAUTHIER –  Peintre

· Patrice KAUFFMANN – Sculpteur

· Elana – Peintre

· Galya DIDUR – Peintre

· Nigar NARIMANBEKOVA – Peintre

· Valentina PAVLOVA – Peintre

· Afsaneh AFKHAMI – Photographe

· Anna POLIKARPOVA – Peintre

· Rose Gabriel DE LA LYRE – Peintre

Le Villare

26 rue du Général de Gaulle, 14640 Villers sur Mer

Tél: 02 31 14 51 65

Horaires: 10h00 à 12h00 et de 14h00 à 18h00

Dans le cadre des Journées du Patrimoine 2018

Concert et lectures autour de la correspondance

de Marina Tsvetaïeva et de Rainer Maria Rilke

vendredi 14 septembre 2018 à 20h30

Mairie de Vanves.

 

Marina Tsvétaïéva (1892-1941) reconnue comme l’une des grandes poètesse du XXe siècle. Femme de tous les paradoxes, à la fois russe et universelle, prosaïque et sublime, elle commence très jeune à écrire et à publier. Prise dans la tourmente révolutionnaire dans laquelle son mari s’était engagé comme officier, elle vit un douloureux exil de dix-sept ans à Berlin, à Prague, puis à Paris, à Meudon et à Vanves . De retour dans son pays natal en 1939, elle se suicide deux ans plus tard. Elle est des talents si impétueux que les évènements les plus dévastateurs de l’histoire ne sauraient les étouffer. Réduite à néant par la terreur stalinienne, Marina Tsvétaïéva ne cesse aujourd’hui de revivre et de rayonner. Cette « Danseuse de l’âme », ainsi qu’elle se nommait, traverse, subit et transcende les malédictions de l’Histoire comme une comète fracassée. Par sa poésie, fulgurante, rétive et exaltée, elle fraternise d’emblée avec toutes les victimes. La singularité tragique de son itinéraire, d’une indestructible intégrité, garde aujourd’hui toute sa charge libératrice.Pendant l’été 1926, Marina Tsvetaïeva, Boris Pasternak, Rainer Maria Rilke, correspondent à trois. Ils font exploser le schéma du triangle amoureux. Cette correspondance  amoureuse est souterraine et sublimée, remplacée par de l’admiration ardente et réciproque. L’échange entre les deux premiers, précède et succède au trio incandescent qu’ils formeront le temps de l’été 1926. Près de cinquante lettres dont la tension vers l’absolu prennent source dans la littérature, explosant en vol, précèdant de quelques mois la mort de Rilke.

« Je reviens à la maison, non pour tromper
ni pour servir –  je n’ai pas besoin de pain.
Je suis ta passion, ta renouée du dimanche, 
Ton septième ciel et ton septième jour. » – Marina Tsvétaeva
« Ceux qui l’ont vu vivre
ne se doutaient pas combien
il faisait un avec toute chose ;
car tout ceci : ces profondeurs, ces prés
et ces eaux étaient son visage. » – Rainer Maria Rilke 

 

Rainer Maria Rilke (de son nom patronymique René Karl Wilhelm Johann Josef Maria Rilke) est un écrivain autrichien (1875 – 1926). Il est surtout connu comme poète, bien qu’il ayant écrit un roman, « Les cahiers de Malte Laurids Brigge », ainsi que des nouvelles et des pièces de théâtre. En 1897, il change de prénom : de René Maria, il devient Rainer Maria. Il voyage en Italie puis en Russie avec Lou et son mari. Il rencontre à cette occasion en 1899 Léon Tolstoï. En 1901, il épouse Clara Westhoff, une élève d’Auguste Rodin avec qui il aura une fille, Ruth. Le couple se sépare un an plus tard et Rilke se rend à Paris, où il devient en 1905 le secrétaire de Rodin. Il rompt avec ce dernier et voyage à travers toute l’Europe et au-delà de 1907 à 1910 (Afrique du Nord, Égypte, Berlin, Espagne, Venise, Aix-en-Provence, Arles, Avignon). Il abandonne peu à peu la prose pour se consacrer à la poésie, plus apte selon lui à restituer les « méandres de l’âme ». À partir de 1919, il s’installe en Suisse où il  retrouve Baladine Klossovska qu’il avait connue en 1907 à Paris. Elle vit à présent seule, avec ses deux fils, Pierre Klossowski et Balthazar dit Balthus, (le futur artiste peintre). Elle a onze ans de moins que lui, ils deviennent amants. C’est par son intervention auprès d’André Gide qu’est publiée la première plaquette de dessins intitulée « Mitsou » faite par Balthus à quatorze ans, illustrant les étapes de sa recherche désespérée de son chat qu’il croyait perdu. Rilke préface et suit de près la fabrication de cette sorte de « bande dessinée ». La liaison de Rilke avec Baladine dure environ six ans.

Lettre posthume de Tsvétaïeva à Rilke

« L’année s’achève sur ta mort ? Une fin ? Un commencement. (Très cher, je sais que maintenant ― Rainer, voilà que je pleure ― que maintenant tu peux me lire sans courrier, que tu es en train de me lire. Cher, si toi, tu es mort, il n’y a pas de mort, la vie – n’en est pas une. Quoi encore ? La petite ville de Savoye ― quand ? où ? Rainer, et le nid (le filet*) de sommeil ? Maintenant, tu sais aussi le russe, tu sais que nid se dit gnezdό, et bien d’autres choses encore.

Je ne veux pas relire tes lettres, sinon je ne voudrai plus « vivre » (ne le « pourrai » plus ? Je « peux » tout ― ce n’est pas de jeu), je voudrais te rejoindre, pas rester ici. Rainer, je sais que tu seras tout de suite à ma droite, je sens presque, déjà, ta tête claire. As-tu pensé une fois à moi ? C’est demain l’an nouveau, Rainer-1927. 7. Ton chiffre préféré. Tu es donc né en 1875 (le journal) ? 51 ans ? Jeune.

Ta pauvre petite fille, qui ne t’a jamais vu.

Pauvre moi.
Pourtant, il ne faut pas être triste ! Aujourd’hui, à minuit, je trinquerai (oh ! très doucement, nous n’aimons pas le bruit, toi et moi) avec toi.

Très cher, fais que je rêve de toi quelquefois.

Nous n’avons jamais cru à une rencontre ici ; pas plus qu’à l’ici, n’est-ce pas ? Tu m’as précédée pour mettre un peu d’ordre ― non pas dans la chambre, ni dans la maison ― dans le paysage, pour ma bienvenue.

Je te baise la bouche ? La tempe ? Le front ? Plutôt la bouche [car tu n’es pas mort], comme à un vrai vivant.

Très cher, aime-moi, autrement et plus que personne d’autre. Ne sois pas fâché contre moi ― habitue-toi à moi, c’est comme ça que je suis.

Quoi encore ?

Trop haut, peut-être ? Ni haut, ni loin.

…un peu trop en face de ce spectacle émouvant, pas encore, encore trop proche, front contre épaule.

Non, cher grand garçon ― ô

Rainer, écris-moi (est-elle assez bête, cette prière ?) 

Meilleurs vœux et beau paysage de l’an nouveau du ciel !

Marina.   
Bellevue, Meudon, le 31 décembre 1926, dix heures du soir

 

MAIRIE DE VANVES

23 rue Mary Besseyre
92170 Vanves

Métro ligne 13 : Malakoff – Plateau de Vanves (puis 12 mn à pied)

ligne 12 : Corentin-Celton (puis 12 mn à pied)

Bus 126 (arrêt Mairie de Vanves-Centre administratif)

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Visite les samedis 15 et dimanche 15 septembre 2018

de l’appartement de Marina Tsvetaeva à Vanves

De 1934 à 1938 la grande poétesse russe Marina Tsvetaeva (1892-1941) a vécu avec son fils Mour, au deuxième étage de la maison. Elle y a écrit plusieurs œuvres majeures, notamment le poème “La Maison” (1935), qui immortalise ce lieu. Une plaque commémorative a été apposée en 2010 sur la façade de cette émouvante demeure.


Horaires : 

Samedi 15 septembre : 11h00 à 12h00, 14h00 à 15h00, 16h00 à 17h00
Dimanche 16 septembre : 11h00 à 12h00, 14h00 à 15h00,  16h00 à 17h00

 

Découvrant la poétesse russe, Florent Delporte tomba à tel point amoureux de son œuvre qu’il commença à apprendre la langue russe et monter des spectacles à son nom qui, maintenant, sont présentés en Russie et en France.

Quant à son appartement, les fenêtres dont la vue est la même que celle il y a cent ans, est entièrement dédiée à Marina Tsvetaeva.

En 2014, « L’Observateur Russe » proposa à la chaîne télévisée russe RTVI, de consacrer un sujet au destin insolite de l’appartement et sur l’amour inattendu du français. Un film a été réalisé.

Appartement de Marine Tsvetaeva,  2ème étage

65, rue Jean-Baptiste Potin, 92170 Vanves.

Sur Inscription: associationmarinatsvetaeva@gmail.com

Tél: 09 77 71 48 06

 

Concert exceptionnel

TRIO MAKARENKO

Salle polyvalente de Chevannes

Dimanche 23 septembre 2018 à 16h

Une des formations les plus étonnantes, ou virtuosité, rythme et instruments qui sont si différents: piano, balalaïka et  hautbois forment un mariage surprenant pour l’auditoire.

Le Duo Piano avec Anne et à la balalaïka Micha a été crée en 1981,  qui devient un Trio lorsque Pierre au hautbois leur fils, les rejoint en 2000 à l’occasion du festival du millenium à Louxor, organisé par France Clidat. Depuis, c’est en Trio qu’ils parcourent le monde. Ils ont donné des concerts à travers la France ainsi qu’à l’étranger, entre autres un récital à la Philharmonie de Berlin.

Plus de renseignements sur le trio: (CLIQUEZ)

Salle polyvalente de Chevannes

1 rue du parc Chevannes 89240

Réservation: 03 86 41 78 39

Tarif: 10€ (incluant concert thé et patisseries russes)

 

 

Reprise des cours le 1er octobre 2018

 

L’art de l’icône est une forme de prédication. L’icône est l’incarnation de la prière et de l’enseignement de l’Église, la manifestation de l’unité et de la catholicité de celle-ci, puisée dans l’expérience liturgique. Son statut théologique et dogmatique impose aux iconographes de nombreuses exigences spirituelles et morales, comparables à celles du clergé.

Il est évident qu’avant d’être capable de guider la prière des autres fidèles, un iconographe doit y avoir lui-même été initié.

L’icône n’est pas une simple image religieuse ; avant tout elle est un phénomène « liturgique » et « théologique ». Un peintre d’icônes doit être familiarisé avec les différents aspects de la théologie

Lundi 1er octobre : “moleben” à 18h00 en la cathédrale Saint-Alexandre-Nevsky à Paris.
Les cours redémarrent le mardi 2 octobre pour les 2e-3e années et le vendredi 5 octobre pour les 1e années.
Inscriptions toujours ouvertes !

Начало занятий нашей школы иконописи:
В понедельник 1-го октября в 18:00 в соборе Святого Александра Невского в Париже.
Уроки начинаются во вторник 2-го октября для 2-го и 3-го курсов, и в пятницу 5 октября для 1-го курса.
Запись продолжается!

Cathédrale Saint Alexandre Nevsky

12 rue Daru, 75008,  Paris

Renseignements et inscription:  06 24 43 09 75

Plus de renseignements: http://saint-andre-roublev.com/

Métro:  Courcelles, Ternes.

Concert exceptionnel

“Denis Matsuev”

Lundi 17 septembre 2018 à 20h

Théâtre des Champs Elysées

Après son récital triomphal l’année dernière au Théâtre des Champs-Elysées, Denis Matsuev poursuit son 
exploration du piano beethovénien, avec la 3ème sonate, à la fois mutine et profonde, et la colossale
Appassionata, avant de s’attaquer à un monument du piano russe : la Grande Sonate de Tchaïkovsky.
Programme:
Beethoven
Sonate n°3 opus 2 n°3
Sonate n°23 opus 57 Appassionata
Tchaïkovsky
Grande Sonate opus 37

Denis Léonidovitch Matsuev (Денис Леонидович Мацуев) est né à Irkoutsk en 1975, dans une famille de musiciens, sa mère professeur de piano et son père est compositeur et pianiste reconnu. Il commence l’étude du piano sous la tutelle de son père puis poursuit ses études musicales à l’école de musique d’Irkoutsk jusqu’à l’âge de 15 ans. À côté de ses activités musicales, Denis Matsuïev pratique le hockey sur glace et le football.

En 1990, Matsuïev part avec ses parents pour Moscou, où il parfait son éducation au conservatoire de musique de Moscou. En 1993, il participe à son premier concours international de piano en Afrique du Sud  où il remporte le premier prix. La même année, il entre au Conservatoire Tchaïkovski de Moscou sous la direction d’Alekseï Nassedkine puis de Sergueï Dorenski.

À l’âge de 23 ans, en 1998, il gagne le premier prix au prestigieux  au Concours International  Tchaïkovski, événement qui marque le tournant de sa carrière. Par la suite, Matsuïev donne des concerts à travers le monde, jouant avec de célèbres chefs d’orchestre tels que Ievgueni Sveltlov, Vladimir Spivakov et Claudio Abbado.

Matsuïev donne aujourd’hui près de 150 concerts par an. Il se produit dans des salles prestigieuses telles que la Salle Gaveau, la Salle Pleyel, le Carnegie Hall, le Mozarteum, ou encore le Tokyo Opera City. Il est l’organisateur de deux festivals en Russie : Stars on Baikal et Crescendo. Il est Ambassadeur de bonne volonté de l’UNESCO depuis avril 2014.

Le Théâtre des Champs Elysées est un bâtiment construit en 1913 de style mixte art déco et classique abritant trois salles de spectacle et un restaurant au sommet aligné sur les immeubles voisins de trois niveaux.

Initialement prévu en acier Van de Velde fait la connaissance d’Auguste Perret et c’est en 1911 que la structure fut envisagée en béton. Ayant fait appel à l’entreprise Perret pour l’ossature en béton, qui a ici habillé la façade de plaques de travertin et le cadre de scène de plaques de marbre de l’Allier, où sont intégrés les exceptionnels bas-reliefs en marbre blanc de Bpourdelle. Les quatre groupes de poteaux intérieurs ont été laissés visibles. La façade est classée aux monuments historiques.

Le bâtiment comporte trois salles de spectacles : une grande salle à l’italienne de 1905 places, dédiée à l’opéra et à la musique ; une salle moyenne de 601 places (la Comédie) et une petite de 230 places (le Studio), toutes deux consacrées au théâtre.

 

Théâtre des Champs-Élysées

15 avenue Montaigne
75008 Paris 8e

  • Métro : Alma – Marceau (9)
  • Réservation : 01.49.52.50.50 lun au ven 11h-18h, sam 14h-18h
Renseignements et réservations
Tél: 01.49.52.50.50
Tarifs : de 5 à 75 €

Concert hommage

Evgeny Svetlanov (1928-2002)

jeudi 6 septembre 2018 à 20h

lors du IVème Concours international de chefs d’orchestre 

Auditorium Radio-France

 

À l’occasion de la IVème du Concours international de chefs d’orchestre Evgeny Svetlanov, l’Orchestre Philharmonique célèbre la mémoire du grand chef d’orchestre né il y a quatre-vingt-dix ans, jour pour jour, grand musicien du 20ème siècle, chef d’orchestre et compositeur.

Evgeny Svetlanov (1928-2002). Le concert donné le 6 septembre, par l’Orchestre Philharmonique, rappellera que ce chef hors du commun fut aussi compositeur. Il a donné son nom à un concours de direction d’orchestre dont la 4e édition aura lieu du 4 au 8 septembre à Radio France.
Mais le chef était aussi compositeur. « La période créatrice de Svetlanov s’étend sur trente années, depuis son Quatuor à cordes de 1948, jusqu’à sa Rapsodie pour orchestre n°2, qu’il écrivit à la mémoire de son ami Pantcho Vladigerov, décédé le 8 septembre 1978, explique François-Xavier Szymczak. Ayant dirigé et enregistré plusieurs œuvres de ce compositeur bulgare d’origine juive, Svetlanov sous-titra sa partition hébraïque en y intégrant des éléments de musique traditionnelle juive, en particulier des danses kletzmorim ». Cette œuvre, ainsi que sa Rhapsodie espagnole, ont été interprétées en France, et la création française de sa Première Symphonie a été assurée en 1999 par l’Orchestre Philharmonique de Radio France.
Evgeny Svetlanov (à gauche) avec la violoniste Liana Isakadze et Maxime Chostakovitch 

UNE STATURE PUISSANTE, UNE VESTE BLANCHE, des gestes de démiurge, une serviette de coton accrochée au pupitre, avec laquelle il s’épongeait méticuleusement après chaque mouvement. Et bien sûr son exigence musicale impitoyable, doublée d’un instinct de la scène : voilà qui faisait d’Evgeny Svetlanov une figure hors du commun. Régulièrement invité à diriger les formations de Radio France, il déclenchait des tempêtes sans jamais rien céder de la rigueur et de la précision qui font les grands chefs d’orchestre. Son enregistrement du Poème de l’extase de Scriabine, à cet égard, reste dans toutes les mémoires .Il a déclaré, à propos de sa musique : « Elle peut paraître aujourd’hui conservatrice, mais j’ai confiance en la postérité : voyez le regain d’intérêt actuel pour Miaskovski et Medtner. Tout me porte à croire que ma musique connaîtra un sort comparable. J’aime les grands arcs mélodiques, les harmonies claires, riches, savoureuses, et la polyphonie qui en procède – ou l’inverse comme chez Mahler, mon compositeur préféré depuis toujours. Ma rythmique est en revanche simple, subordonnée à la mélodie. Sur ce terrain, j’ai réussi à trouver un ton personnel, un peu à la manière de Miaskovski, mais sans la découpe tranchante d’un Chostakovitch, que l’on reconnaît au premier coup d’oreille. »

Evgeny Svetlanov fut toujours soucieux de transmettre, et c’est pourquoi il avait inscrit dans son testament sa volonté de voir créer un concours de direction qui porterait son nom. La 4e édition de ce concours, comme la précédente, aura lieu à Radio France, du 4 au 8 septembre.

Concert excptionnel avec des célèbres musiciens russes, Boris Berezovsky (piano), Vadim Repin (violon), Dmitri Makhtin (violon), Alexandre Kniazev (violoncelle) et Andrei Korobeinikov (piano), se réunissent à cette occasion. Un événement unique qui se termine en apothéose avec l’Orchestre Philharmonique de Radio France sous la direction d’Andris Poga  premier prix du Concours International de Chefs d’orchestre Evgeny Sveltanov 2010 dans « Romeo et Juliette » de Tchaïkovski

Au programme :

Medtner: Sonate pour piano “Réminiscence”,

Rachmaninov: Trio élégiaque n°2,

Tchaïkovski tant aimées par Evgeny Svetlanov: Roméo et Juliette,

et une très belle œuvre de sa composition : « Poème pour violon et orchestre à la mémoire de David Oïstrakh ».

 

OFFRE SPECIAL

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* Catégories 1, 2, 3. Offre valable jusqu’au 03/09/2018 inclus, limitée à 2 billets par personne et dans la limite des places disponibles.

 

Radio France : 116 avenue du Président Kennedy – 75016 Paris

Billeterie par téléphone : 01 56 40 15 16

Voiture : Parking à proximité rue Gros, rue de Boulainvilliers et parking du pont de Grenelle.
RER C : station Avenue du Pdt Kennedy – Maison de Radio France
Métro : Ligne 6 station Passy – Ligne 9 station Ranelagh – Ligne 10 station Javel-André Ci troën
Bus : Lignes 22, 52, 62, 70 et 72.
Vélib’ : stations Kennedy-Ranelagh (16024), Maison de Radio France (16029) et Fontaine-Raynouard (16025).

La Gatomaquia

“La bataille des chats”
Cirque Romanes
du 12 au 22 septembre 2018

Rare spectacle à ne pas manquer  sous le chapiteau du Cirque Romanes à la Porte Maillot, Paris 16e !
Israel Galvàn, immense danseur de Flamenco gitan lui aussi comme les Romanés
Leur inspiration commune est la tradition culturelle Tzigane et Gitane et leur expression emprunte des couleurs très diverses.

Israel Galván de los Reyes est né le 12 juillet 1973 à Séville, fils du chanteur et danseur José Galvan et de la danseuse gitane andalouse Eugenia de los Reyes. Après l’école familiale il intègre en 1984, la Compagnie Andalouse de Danse (Compana Andaluza de Danza) dirigée par Mario Maya. Il sort du lot en proposant un style novateur et sophistiqué. Les récompenses ne tardent pas à pleuvoir. En 1995, il se voit attribuer le premier prix Vicente Escudero lors du concours National d’Art Flamenco à Cordoue. Un an plus tard, il remporte le prix du concours des jeunes interprètes au Festival Flamenco bisannuel de Séville puis il est récompensé au Festival international du Cante de Las Minas.
Pour ses spectacles, Israël Galvan travaille avec de nombreuses personnalités du monde du flamenco telles que Vicente Amigo, son partenaire dans “Vivencias imaginadas”, créé en 1996, ou encore d’autres bailaores comme Manuela Carrasco et Mario Maya. Dans ses créations, Israël Galvan aborde des thèmes divers, mais conserve une préférence particulière pour ceux qui ont trait à la vie, la mort ou tout simplement à l’homme. En 1998, il marque les esprits avec son spectacle “Mira ! Los zapatos rojos” au dixième Festival de Flamenco de Séville. Deux ans plus tard, il monte, en partenariat avec Estrella Morente et Lagartica, une chorégraphie inspirée de Kafka, intitulée “La Méthamorfosis”. En 2002, avec le trio Gerardo Nuñez, il crée “Galvanicas”. Cette complicité continue au-delà de ce spectacle, et le duo participe ensemble à de nombreux festivals de jazz dans le monde entier. En 2004, Il obtient le Prix Giraldillo du meilleur danseur flamenco pour sa performance livrée dans “Arena”, un spectacle présenté à Séville qui porte sur l’histoire de la tauromachie. Pour avoir apporté une touche de modernisme dans l’art du flamenco, Israël Galvan voit son avant-gardisme récompensé avec l’obtention du Prix National de Danse 2005, que lui décerne le ministère de la culture espagnol dans la catégorie Création. En 2006, le danseur espagnol apparaît dans le film “Morente suena la Alhambra” de José Sanchez-Montes aux côtés d’autres artistes comme Estrella Morente, le guitariste Juan Habichuela, ou encore la danseuse Blanca Li. Il est également à l’origine de la chorégraphie de ce documentaire, orchestré autour d’une musique signée par Enrique Morente e Pat Metheny. En 2010, Israël Galvan obtient le Grand Prix de la danse du Syndicat de la critique pour “El final de este estad de cosas redux.
Danseur et chorégraphe de flamenko depuis 1994, en 1998, il fonde sa propre compagnie et est invité l’année suivante par le Ballet Nacional de Espana à chorégraphier une farruca pour la pièce Oripandó. Il est devenu célèbre dans le milieu de la danse flamenco,  plus reconnu à l’étranger, notamment en France, que dans son propre pays par son approche contemporaine hétérodoxe et très théâtrale de la danse, faisant appel à de nombreuses sources d’inspiration qui dépassent le champ traditionnel du flamenco. En utilisant des mouvements de pieds très compliqués, il fait évoluer la gestuelle traditionnelle, de la frappe de pied virile aux passes de torero. Il a participé au Festival d’Avignon 2009 à la carrière de Boulbon et à nouveau en 2017 dans la cour d’Honneur.
Alexandre Romanés et Israel Galvan sous le chapiteau du cirque Romanes

Israel Galvan est tombé amoureux du Cirque Romanés et il va associer pour son solo, Alexandre Romanès et les artistes de la Famille Romanés…et aussi les chats… Surprise !

Israel Galvan regardant Délia Romanes danser, Photo Jean Couturier

Dernier cirque tzigane dans le monde, pour des raisons poétique et de convivialité le chapiteau de la famille Romanès est volontairement petit et permet au duende d’être au rendez-vous.

Pour Israel et pour les Romanes , une confrontation avec la création contemporaine !

Israel Galván dansant pour quatre chats : le sous-titre de la nouvelle fantaisie du grand danseur de flamenco promet de belles surprises ! La langue populaire ne dit-elle pas que « danser pour quatre chats », c’est être seul avec soi-même? Or, au cirque Romanès, on n’a jamais vu d’autre animal en piste que les chats de la famille.

Ce nouveau spectacle dont il est le chorégraphe est d’abord un emprunt au grand poème de Lope de Vega, empli d’humour et relatant une bataille burlesque en royaume félin. Mais c’est surtout le nouveau solo du génial Israel Galván, enfant terrible mais aussi chouchou du flamenco d’aujourd’hui, à qui on passe toutes les audaces.

C’est grâce au Théâtre de la Ville que ce merveilleux projet de création a pu naiîre !

 

Cirque Romanès
Square Parody, boulevard de l’Amiral Bruix 75016 Paris

Tél. : 01 42 74 22 77.

Entrée face au 31 Bd de l’Amira-Bruix , 75016 Paris

Renseignements : 01 40 09 24 20 / 06 99 19 49 59
Métro : Porte Maillot ( ligne 1-sortie 5)

Réservation en ligne : https://www.theatredelaville-paris.com/…/la-gatomaquia-o-is…

Le métropolitain de Moscou compte à présent 222 stations, réparties sur 14 lignes. En effet, le 30 août, y ont été inaugurées 7 nouvelles stations sur la ligne jaune Kalininsk-Solntsevskaya: Mitchourinski prospekt, Oziornaïa, Govorovo, Solntsevo, Borovskoïé chossé, Novoperedelkino et Rasskazovka.

Leur design s’inscrit par ailleurs parfaitement dans le concept du « plus grand musée souterrain du monde ».

Mitchourinski prospekt

Son hall rouge-orangé a été réalisé en forme de fenêtre panoramique offrant une vue sur le parc voisin.

Oziornaïa

Le nom de cette station se traduit par « du lac », et c’est  pour cette raison qu’elle a été décorée avec des représentations de nénuphars, avec des tons verts et bleus relaxants, tandis que le plafond à proximité de l’entrée rappelle les cercles présents à la surface de l’eau lorsque l’on y jette une pierre.

Govorovo

Le trait distinctif de cette station est l’éclairage en forme de labyrinthe sur le plafond noir, qui se conjugue avec des illuminations similaires dans des rainures du sol de granit.

Solntsevo

Les pavillons de cette station se dressent telles de petites maisons de campagne au toit en pente, qui devraient apaiser les esprits des habitants de cette bouillonnante mégalopole. Le plafond et les murs de la station sont réalisées avec des ouvertures laissant pénétrer la lumière naturelle, d’où cette impression de gruyère.

Borovskoïé chossé

Ce n’est pas une station mais une véritable autoroute ! Décoration avec des lignes abruptes en forme de flèches et intérieur orange vif donnent en effet une impression de vitesse, tandis que sur le plafond figurent de futuristes bolides.

Novoperedelkino

L’entrée de cette station pourrait être comparée à un décor impérial. Le plafond illuminé retombe en colonnes élégantes, ornées de reliefs rouges et blancs.

Rasskazovka

Cette station est un hommage à la littérature russe : à la place des murs se trouvent en effet de fausses étagères de livres, tandis que les colonnes apparaissent comme des casiers sur lesquels figurent les noms des plus illustres écrivains nationaux.

Le plus étonnant est que tous les romans représentés sont consultables gratuitement. Il suffit de scanner le code QR présent dessus et de télécharger la version numérique de l’ouvrage sur son téléphone ou sa tablette.

Crédit photo: ©Kirill Zykov/Moskva agency Igor Ivanko

Synthèse globale sur la Guerre Civile (1917-1922), qui ne se focalise pas sur la geste communiste mais interroge tous les acteurs de cette tragédie russe.

1917. La révolution de Février, puis le coup d’Etat bolchevique en octobre plongent l’ancien empire des tsars dans une tragique guerre civile. Les rouges, partisans de la révolution mondiale et d’une dictature du prolétariat aussi messianique que totalitaire ; les blancs combattant d’abord et avant tout pour la défense de la patrie russe ; les paysans, essentiellement préoccupés par la propriété de la terre ; les Alliés et les Allemands, pour lesquels la Russie n’est qu’un théâtre de rivalités et d’intérêts : autant d’acteurs, souvent divisés dans leur propre camp, d’un chaos indicible. Dans une Russie aux distances continentales et à la nature indomptable, le conflit, cinq ans durant, désintègre l’Etat et la société dans une violence inouïe qui totalise environ 10 millions de victimes.
Pour mieux cerner les implications profondes de cet événement dantesque, et le raconter, il fallait la connaissance intime de l’âme russe d’Alexandre Jevakhoff. Sous sa plume se lisent l’immensité et la diversité d’un champ de bataille où se déroule une guerre de mouvements, où s’impose un système terroriste, où s’affrontent des hommes que tout semble opposer. Alors que les dirigeants rouges – Lénine, Trotski, Dzerjinski, Staline – portent partout le fer et le feu de la révolution, les généraux blancs – Alekseiev, Kornilov, Denikine, Koltchak, Vranguel – découvrent les intransigeances d’une guerre civile à laquelle ils n’ont pas été préparés et qui les oblige, comme nombre d’intellectuels et d’hommes politiques, à accepter un bouleversement mental et moral.
Le résultat de ce travail de longue haleine, alimenté en particulier par des archives russes, est exceptionnel : il s’agit de la première étude complète et dépassionnée de ce moment méconnu mais essentiel de l’histoire du XXe siècle.

Alexandre Jevakhoff est issu de la diaspora des Russes blancs fuyant l’avancée des bolchevics lors de la guerre civile russe. Ses deux grands-pères étaient officiers de la flotte impériale. Ils quittent la Crimée en novembre 1920, avec le général Vrangel par le port de Sébastopol pour immigrer en France. Il est titulaire d’un diplôme de l’Homme, 1979-1981). Alexandre Jevakhoff appartient au corps des inspecteurs des finances depuis 1981, il est inspecteur général depuis 2001. Il est également Président de l’Association CMIR ( Cercle de la Marine Impériale Russe), anciennement AAOMIR. (Association des Anciens Officiers de la Marine Impériale Russe). Il est l’auteur de trois essais historiques : « Kemal Atatürk » plusieurs fois réédités, « les Russes blancs » et « le Roman des Russes blancs ».

 

Musée d’Aquitaine, Auditorium

20 cours Pasteur 33000 Bordeaux
05 56 01 51 00

Dans le cadre des Journées du Patrimoine,
l’Association Meudonsk et Maya De Lacoste presentent une conférence théâtrale “Marina Tsvetaeva à Meudon“. Le spectacle aura lieu le 15 septembre à 17H à la salle de conferences  au Potager du Dauphin à Meudon.

Maya De Lacoste

Au programme : poèmes, chant, piano, projection des photos…

Participation libre au frais

 

Expose

Masha S. Schmidt & Valdimir Kara

“Habiter l’Espace”

du mardi 4 au dimanche 23 septembre 2018

Vladimir Kara d’origine russe, est né à Moscou en 1956, d’une mère scientifique et d’un père peintre. Il étudie aux Beaux-Arts de Moscou d’où il sort diplômé en 1979 section “peintre scénographe”. Parallèlement, il fréquenta, quatre années durant, l’atelier underground du peintre Abraham Nitsberg dans des caves dont l’entrée était protégée par un buste de Lénine .Il vit et travaille à Paris depuis 1995.

Vladimir Kara s’inscrit dans une tradition figurative, mêlant thèmes religieux à de nombreuses références à l’Antiquité, imprégnée d’une atmosphère mélancolique et contemplative.

Présentant son projet artistique, il déclare : « Faisant appel à un vocabulaire symbolique et figuratif, je tente de résoudre la perpétuelle problématique posée par la surface picturale. Dans une importante partie de mon œuvre, je cherche à mettre en lumière la manière dont les sujets mythologiques et bibliques – toujours contemporains – sont construits en reposant aujourd’hui les questions éternelles ».

Vladimir Kara a exposé dans des lieux prestigieux comme le Palazzo Lenzi, l’Institut français à Florence, le Centro per l’arte contemporanea Luigi Pecci à Prato, le musée MOCA à Beijing, le musée Jean-Cocteau à Villefranche-sur-Mer; mais aussi dans de nombreuses galeries dans le monde : l’Inter Art Gallery à New York, la Galerie Modevormgeving à La Haye, la Galerie Dialogue à Genève, la Galerie Anderes Ufer à Berlin. Plusieurs de ses tableaux appartiennent à différentes collections privées et institutions culturelles françaises dont l’Alliance française de Paris et La Grande Loge de France.

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Masha S. Schmidt,née en 1968 à Moscou, elle est diplômée de l’Académie des Beaux-Arts de Moscou avant de suivre des cours à l’École Supérieure des Beaux Arts de Paris et à la faculté d’Arts Plastiques de la Sorbonna fait ses études à l’Académie des Beaux-Arts de Moscou, puis les poursuit à l’École supérieure des Beaux-Arts de Paris et à la faculté d’Arts plastiques de la Sorbonne (gravure). Artiste peintre, scénographe et créatrice de costumes de théâtre, elle est aussi chef décoratrice pour le cinéma. Elle expose régulièrement son travail à Paris, où elle réside, et à l’étranger. Sa recherche picturale est consacrée à la construction d’un monde multiple basé sur sa perception de la nature, de ses phénomènes et de sa multiplicité. Elle vit et travaille à Paris depuis 1990

Masha S. Schmidt a présenté son travail dans divers lieux tels que le Musée d’Art contemporain de Moscou, Fondazione di Fiori (Florence, Italie), Musée des Beaux-Arts de Bogota, de Dniepropetrovsk, le Toit de la Grande Arche de la Défense, la Foire d’Art contemporain Art-Manej en Russie, ST-ART (Foire européenne d’Art contemporain de Strasbourg), XUDGRAF (Foire internationale des Arts graphiques à Moscou). Ses œuvres sont présentes dans de nombreuses collections privées à travers le monde, ainsi que dans plusieurs institutions culturelles.

Le travail de Masha Schmidt depuis une dizaine d’années peut être considéré comme une étude d’un paysage dont les éléments se succèdent sous forme de variations picturales et graphiques.

 Cette première décennie a été marquée par le travail avec des artistes de l’ « école russe » vivant en Russie et d’ailleurs qui ont réussi à garder un lien solide entre les traditions et une vision novatrice, entre le passé et le futur dans l’espace culturel et spirituel de l’art mondial.

Des dizaines d’artistes du monde entier ont vu leurs œuvres présentées à la galerie. Ces créateurs ont constamment exposé leurs œuvres dans le cadre des projets internationaux : concours, salons, biennales. Nombreux sont ceux qui ont atteint la célébrité grâce à leur collaboration avec la galerie et ont obtenu des prix prestigieux : le Premier Prix Leonard de Vinci, les diplômes Art Spoletto (Italie), le Premier Prix de la Fondation Taylor. Ils ont également reçu des nominations à la Toile d’Or et au Pinceau d’Argent (France).

Parmi les artistes de la galerie, on peut voir les personnalités reconnues dans les milieux artistiques dont Oscar Rabine, Mihail Chemiakin, Rustam Khamdamov, ainsi que des jeunes talents prometteurs qui ont déjà fait parler d’eux. La directrice de la galerie, Olga Khlopova, est une critique d’art et commissaire d’exposition expérimentée. Son travail a permis à la galerie d’obtenir les récompenses suivantes : le Diplôme d’honneur de l’Académie des Beaux-Arts (Russie) pour les mérites dans le développement de l’art russe et le Diplôme de l’Académie Constantin (Italie) pour le développement de la collaboration artistique internationale.

En 2017 la galerie a quitté la butte Montmartre pour s’installer sur la Rive Gauche et a ajouté le mot « Intelligence » en déchiffrant ainsi la mystérieuse lettre « I » sur son enseigne. Le nouvel espace a exigé du sang nouveau dans l’équipe : les idées novatrices et le regard neuf de Nina Ryzhkova ont renforcé l’expérience et la maîtrise d’Olga Khlopova.

Aujourd’hui, la galerie ouvre son espace aux artistes de tous les pays, proposant une grande diversité de styles, genres et courants artistiques.

La galerie travaille  autant avec les maîtres reconnus qu’avec les jeunes artistes de talent. Ses projets comprennent beaucoup de noms qui sont nouveaux pour les amateurs d’art et donc à découvrir.

IG-Gallery Intelligence
1 Quai Voltaire 75007 Paris.
 
RER: Musée d’Orsay,
Bateaubus: Musée d’Orsay
Métro: Palais Royal, Solferino, St Germain des Près.
Bus:24, 27, 39, 48, 68, 75, 95

Ouverture: Mardi – Dimanche 14h – 19h

Tél:033 9 50 44 99 10

o.khlopova@i-gallery.fr

 

 

Présente

du 15 septembre au 15 novembre 2018

Larissa Noury,

artiste peintre, coloriste, architecte designer

Vernissage samedi 15 septembre de 18h30 à 22:h30

Dans le cadre des Journées du Patrimoine

 

Partout en Fance plus de 18 000 ouvrent leurs portes presentant au public près de 25 000 animations, avec la thématique ” L’Art du partage”. Le lieu historique de Donzy en 2018 accueille l’expostion des œuvres de Larissa Noury

Larissa Noury est née en Biélorussie, elle vit et travaille à Paris-Montmartre. Docteur en Architecture de l’école polytechnique de Minsk et de l’académie des Beaux-Arts de Saint-Pétersbourg, docteur en Histoire de l’Art de l’Université de Montaigne de Bordeaux. Chercheur-coloriste, créatrice et innovatrice, cette artiste nous entraîne dans son univers qui relie le ciel à la terre, le rêve au réel, l’intuition à la science… Ses tableaux tactiles explosent de magnifiques couleurs, de sentiments… le public pourra les toucher pour mieux les « sentir ».

Larissa Noury : www.larinoury.fr

 

 La Turbule, Galerie d’art

4 place du vieux marché 58220 Donzy

Renseignements au 06 82 97 23 51