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Juin

Exposition d’Icônes du moine Kroug au CSCR

   Publié par: artcorusse   dans Evenements

Exposition d’Icônes

“Un prophéte de la Beauté incrée”

du moine Grégoire ( KROUG )

Mardi 11 mai au 30 juin 2019

Centre spirituel et Culturel Russe, Paris

 

À l’occasion du 50e anniversaire de son rappel à Dieu en 1969 d’un prophète de la beauté incrée du moine Grégoire (Kroug)

Une exposition d’icônes et de l’œuvre du moine iconographe Grégoire (Kroug),  Georges Ivanovitch Krug naquit à Saint-Pétersbourg le 5 janvier 1908. Fils d’un industriel protestant d’origine suédoise et d’une mère russe et orthodoxe, il fut élevé dans la religion luthérienne. Il passa son enfance à Narva en Esthonie où sa famille s’installa en 1921. Études secondaires, suivit au  lycée russe. Là, il commença sa formation artistique en s’initiant à la technique de l’aquarelle, dans l’atelier du peintre Semionov. Ses études terminées, il entra en 1926 à l’Ecole des Arts et Métiers de Tallin dans l’atelier graphique dirigé par Reindorf. Il y réalisa une série de gravures qui furent exposées parmi les meilleurs travaux des élèves diplômés de l’Ecole. Le Musée National de Tallin remarqua son talentueux travail et acheta deux de ces eaux-fortes. C’est le thème urbain qu’il choisit à cette époque pour illustrer son oeuvre : “ville moderne aux murs sinistres, des maisons sombres, rues désertes, enserrées comme dans un labyrinthe”.

En 1931 il part à Paris pour perfectionner ces techniques artistiques auprès de N.D.Milioti avec un groupe d’étudiants de l’Académie Russe de Peinture qui avait dû fermer à ce moment là à cause de problèmes financiers. C’est alors qu’il fait la connaissance avec Léonide Ouspensky, iconographe et théologien russe, dont il gardera en amitié jusqu’à la fin de sa vie.
Les années 30 apportent à Gueorguiï beaucoup de rencontres artistiques, il participe à des studios à Granville auprès de K.A. Somov, fait la connaissance des peintres d’avant garde N.Goncharova et M.Larionov. Ces dessins et études de ce période sont conservés au musée Ashmolean d’ Oxford. Il peint de paysages des environs de Paris, de dessins de vieilles églises, d’un cycle d’aquarelles pour illustrer «Le Nez» de N.Gogol, de panneaux décoratifs (peints avec Goncharova ).
 A la fin des années 30 il peint avec Ouspensky la chapelle de la Protection de la Vierge dans une ferme russe à Grosrouvre. Cette chapelle a disparu, son iconostase et ses peintures murales sont connues grâce aux photos d’archive de Léonide A. Ouspensky.
En 1948 suivant les conseils du recteur de la paroisse de Vanves et de son père spirituel, le père Serge (Chevitch), il prend l’habit et le nom de Grégoire (en l’honneur de l’iconographe Saint Grégoire de la Laure de Kiev). Après la prise d’habit il s’installe à l’ermitage du St Esprit au Mesnil St Denis, qu’il décore avec de remarquables icônes, qui ont été restaurées  à partir du début des années 50 jusqu’à 1968.
Intérieur du skit du Saint Esprit à Mesnil Saint Denis.
Les plus grandes compositions qu’il affectionnait particulièrement, ornent les murs des églises orthodoxes de Saint-Séraphin de Sarov, rue Lecourbe à Paris, de la Paroisse des Trois Saints Docteurs rue Patel à Paris 15e, de Moisenay, de la Sainte-Trinité à Vanves, mais aussi à Clamart, à Mongeron, à Hauteville en Bretagne et de La Haye (Pays-Bas).

Sa plus belle iconostase est celle qu’il réalisa pour la maison de retraite de Noisy-le-Grand. Mais le couronnement de son œuvre est l’église du Saint-Esprit au Mesnil-Saint-Denis où le Père Grégoire fit pratiquement toute l’ornementation intérieure. Ses “Carnets d’un peintre d’icônes” ont été publiés en 1983.

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COLLOQUE
Le samedi 8 juin, de 10h à 17h, commémoration du cinquantième anniversaire du rappel à Dieu du père Grégoire Kroug – Six conférences, à l’auditorium du Centre Culturel et Spirituel Orthodoxe Russe.

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EXCURSIONS
En complément de l’exposition consacrée à l’oeuvre du père Grégoire Kroug, sont proposées des visites commentées par Mr. Grégoire Aslanoff dans les églises et chapelles qu’il a ornées d’iconostases et de peintures murales. C’est l’occasion de découvrir ou de revoir un pan essentiel de son travail. Pour chacun des sanctuaires dont il a eu la charge, le père Grégoire a conçu des programmes originaux, adaptés à la spécificité de ces différents lieux.

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PUBLICATIONS
– Rééditions des Carnets d’un peintre d’icône en français ;
– Réédition des Pensées sur l’icône en russe ;
– Réédition du recueil d’articles composé par l’archimandrite Barsanuphe (Ferrier) Le
père Grégoire, moine du skite du Saint Esprit ;
– Réédition du fascicule consacré au père Grégoire en 2009 pour le 40ième anniversaire
de son rappel à Dieu : Le père Grégoire Kroug, un prophète de l’icône.

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UN FILM
Le père Grégoire, la voie vers la Lumière”, réalisé par Alexis Vozniuk

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VISITES DE L’EXPOSITION
Tous les dimanches à 16h nous vous proposons les visites commentées de l’exposition (durée 1h30). Participation aux frais de 10 euros.
Le nombre de participants étant limité, l’inscription est obligatoire par e-mail : expokrug@gmail.com

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Centre culturel et spirituel Orthodoxe russe du quai Branly

1 quai Branly, 75007,  Paris

Métro : Alma Marceau,  RER : Pont de l’Alma
Ouvert: de 10h à 13h et de 14h à 19h tous les jours sauf lundi.

Du samedi 26 novembre au mercredi 14 décembre 2016

Centre culturel et spirituel Orthodoxe russe, du quai Branly

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Des icônes parmi les chefs-d’œuvre du père Grégoire (Kroug) et de Léonide Ouspensky

Sont exposée au Centre culturel et spirituel Orthodoxe russe, du quai Branly, entrée 2 avenue Rapp

Les peintres d’icône, souvent appelés iconographes, car ce terme provient du grec ancien ikon : image, et graphein : écrire.

Le Père Grégoire Krug, dans la vie Gueorguiï Ivanovitch Krug, est né le 23 décembre 1906/ 5 janvier 1907 en Russie à St Petersbourg dans une famille d’un industriel d’origine suédoise. Sa mère était orthodoxe (née à Mourom, nom de jeune fille Souzdalsteva) mais son père était protestant et le jeune garçon est élevé dans la foi luthérienne.

Entre 1916-1917 il fait ses études au lycée K.Mai de St Petersbourg. En 1921 la famille déménage en Estonie. Le garçon étudie l’art graphique auprès du professeur G.G.Rheindorf (de 1926 à 1928) et reçu parmi les meilleurs à l’école des Arts appliqués de Tallinn. Deux de ses eaux-fortes peintes pour l’exposition de fin d’études sont alors acquises par le musée de la ville de Tartu. Il poursuit les études de peinture dans la classe du professeur Rink à l’école privée d’Arts graphiques « Pallas ». Gueorguiï étudie parallèlement la musique classique ayant hérité de sa mère une oreille parfaite (la presse souligne à l’époque son interprétation de J.S. Bach).

Père Grug
Il est attiré par la vie spirituelle et intègre l’Association des Etudiants Chrétiens Russes en Estonie. A 19 ans sous l’influence de ses rencontres avec l’archiprêtre Lev Liperovsky du monastère de la Dormition de la Mère de Dieu de Pétchory de Pskov, il se convertit à l’orthodoxie (1926). En 1931 il part à Paris pour perfectionner ces techniques artistiques auprès de N.D.Milioti avec un groupe d’étudiants de l’Académie Russe de Peinture qui avait dû fermer à ce moment là à cause de problèmes financiers. C’est alors qu’il fait la connaissance avec Léonide Ouspensky, iconographe et théologien russe, dont il gardera en amitié jusqu’à la fin de sa vie.

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Il peint de paysages des environs de Paris, de dessins de vieilles églises, d’un cycle d’aquarelles pour illustrer «Le Nez» de N.Gogol, de panneaux décoratifs (peints avec Goncharova ).En 1935 avec l’aide d’Ouspensky, il participe à la 1ère étape de la peinture des fresques de l’église des Trois Saints Heriarques à Paris. A la fin des années 30 il peint avec Ouspensky la chapelle de la Protection de la Vierge dans une ferme russe à Grosrouvre. Cette chapelle a disparu, son iconostase et ses peintures murales sont connues grâce aux photos d’archive de Léonide A. Ouspensky.En 1948 suivant les conseils du recteur de la paroisse de Vanves et de son père spirituel, le père Serge (Chevitch), il prend l’habit et le nom de Grégoire (en l’honneur de l’iconographe Saint Grégoire de la Laure de Kiev). Après la prise d’habit il s’installe à l’ermitage du St Esprit au Mesnil St Denis.

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L’œuvre la plus importante de sa vie sont les fresques de l’église du Saint Esprit de Le Mesnil Saint Denis qui ont connus énormément de retouches et d’améliorations à partir du début des années 50 jusqu’à 1968.

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Léonide Ouspensky

Léonide Ouspensky est né le 8 août  1902 à Golaya Snova (aujourd’hui Golosnovka) dans la partie Nord du gouvernement de Voronèje, à soixante-dix kilomètres de la ville de Zadonsk, en Russie. On lui donna le nom d’un saint commémoré en Russie le jour de sa naissance.

Membre d’une famille de propriétaires terriens, Léonide Ouspensky s’était engagé dans les rangs de l’Armée Rouge. Fait prisonnier par les Blancs, il échappe de peu à la mort. Il travaille un temps comme ouvrier en Bulgarie, puis s’installe en France en 1926. Il est venu s’établir à Paris en 1929 à la suite de la révolution russe.

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Léonide Alexandrovitch Ouspensky, au travail, dans son petit appartement atelier du 36, rue Bréguet, dans le XIème arrondissement à Paris.

Il résida à Paris où il fut artiste-peintre à Montparnasse; il s’y fit connaître comme un peintre de talent avant de redécouvrir l’icône (par Georges Ivanovitch Krug, le futur moine Grégoire ( Krug)) et de lui consacrer toute sa vie.

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Pendant quarante ans, Léonide Ouspensky enseigna l’art de l’icône à des élèves venus du monde entier. Il a laissé de nombreuses icônes dispersées dans des collections privées et des fresques, notamment celles de l’église russe des Trois Hiérarques de la rue Pétel (Paris) et de l’église de la paroisse “Notre Dame Joie des Affligés et Sainte Geneviève” (Paris). Son épouse Lydia (décédée à Paris en octobre 2006 à l’âge de 99 ans) fut sa fidèle collaboratrice pour ses publications. Il est mort dans la nuit du 11 au 12 décembre 1987.

 Centre culturel et spirituel Orthodoxe russe du quai Branly

entrée: 2 avenue Rapp 75007 Paris

Métro : Alma Marceau,  RER Pont de l’Alma
Ouvert: de 10h à 17h tous les jours sauf lundi.

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11
Nov

Visite du skit, Le Mesnil St Denis

   Publié par: artcorusse   dans Informations

Visite guidée exceptionnelle

du Skit du Saint Esprit

“Les Yvelines russes”

Samedi 11 décembre 2021 à 15h

 Le Mesnil St Denis, 78320

Découvrez ce « bijou » situé dans le Département des Yvelines, son histoire et ses icône du Père Grégoire.

Le Skit du Saint-Esprit se compose d’un narthex ou en
trée en pierre, ouvert sur son pourtour par des arcades et d’une nef centrale prolongée par un sanctuaire et flanquée de 2 nefs latérales constituant des chapelles. Il se présente comme 3 églises accolées surmontées d’un dôme vert et trois bulbes bleus alignés.

Le 19 mars 2013, le Skit du Saint-Esprit a reçu le label « Patrimoine du XXème siècle » décerné par le Ministère de la Culture et de la Communication.

Père Grégoire

Possibilité de covoiturage au départ de Poissy.

Cette visite est organisée par l’association Linguarik avec le soutien de la ville de Poissy, du Département des Yvelines, du Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères de France et de la banque Crédit Mutuel, agence de Poissy dans le cadre de l’Année franco-russe de la coopération décentralisée.

Plus de renseignements sur les icônes du moine Grug : CLIQUEZ

“Skit du Saint-Esprit”
 
7 avenue des Bruyères
78320 LE MESNIL SAINT DENIS

Tarif : 10 € (inclut les frais de réservation)

Inscription : https://www.weezevent.com/skit-du-saint-esprit

18
Nov

exposition “Léonid Ouspensky, mystère de l’Icône”

   Publié par: artcorusse   dans Informations

Exposition

“MYSTÈRE de L’ICÔNE”

Léonide Alexandrovitch Ouspensky (1902-1987)

5 décembre 2017 au 27 janvier 2018

 

Première exposition consacrée à l’œuvre de Léonide Ouspensky, l’initiateur du renouvellement de l’art sacré et du retour à l’icône traditionnelle au XXième siècle.

Grâce à lui, par son enseignement, d’abord – il a des élèves dans le monde entier – puis par ses écrits – son ouvrage fondamental, La théologie de l’icône dans l’Eglise Orthodoxe est traduit dans un grand nombre de langues – ensuite par sa création picturale, l’art liturgique de l’Eglise Orthodoxe tout entière a retrouvé la splendeur inhérente à son authentique théologie mystique.
De l’œuvre picturale, certains aspects sont moins connus, comme les images réalisées pour l’Orthodoxie occidentale, d’autres en revanche le sont mieux mais trop partiellement. Il faut aussi rappeler l’œuvre sculptée ainsi que le travail sur métal repoussé auquel il consacra les premiers efforts de sa vie ecclésiale.

Léonide Ouspensky (Леонид Александрович Успенский, Leonid Aleksandrovitch Ouspenski) est un iconographe et iconologue orthodoxe, né en Russie 1902 à Golaya Snova (aujourd’hui Golosnovka) région de Voronej, il est décédé à Paris en 1987.

 À partir de 1918 il combattit dans l’armée rouge , avant d’être fait prisonnier en 1920, et d’être évacué par l’Armée blanche de Sébastopol à Gallipoli puis d’être envoyé en Bulgarie, où il fit divers travaux dont celui de mineur, jusqu’en 1926. Suivant des recruteurs français, il signa un contrat avec les usines Schneider du Creusot et arriva en France en 1926. Victime d’un accident en travaillant dans les hauts-fourneaux,  il se rend à Paris où il trouva du travail dans une usine qui fabriquait des pièces de bicyclettes.

En 1929, il suivit parallèlement les cours de l’Académie de peinture qui venait d’être fondée par Tatiana Lvovna Soukhotina, fille de Léon Tolstoï, et où enseignaient des peintres renommés, comme Nicolas Milliot et Constantin Somov. Il y fit la rencontre de Georges Ivanovitch Kroug (le futur moine et célèbre iconographe Grégoire), avec lequel il allait se lier d’amitié jusqu’à la mort de ce dernier. Il militat pour l’implantation de l’Orthodoxie en France par l’utilisation du français comme langue liturgique. Il s’y lia particulièrement avec Vladimir Lossky et les fères Kovalevsky, .

Lorsque vint l’Occupation, les autorités allemandes mobilisèrent L. Ouspensky pour travailler en Allemagne. Il déserta et mena une vie clandestine, ce qui lui donna la possibilité de se consacrer entièrement à la peinture et à la restauration d’icônes, ainsi qu’à la sculpture sur bois et sur pierre et à l’art du métal repoussé dans le style iconographique.

Père Gégoire, Georges Ivanovitch Kroug, (1907 Saint Petersbourg – 1967 Paris)

Avec le moine Grigory (Krug), il participa à la décoration intérieure des fresques et icônes de l’église des Trois-Saints Docteurs à Paris rue Pétel, dans le VXème, dont il était l’un des fondateurs depuis 1931. En 1942, il épousa Lydia Alexandrovna Miagkov, qui allait être désormais pour lui un fidèle soutien.

Église des Trois-Saints Docteurs, rue Pétel, Paris XV°

À la fin de 1944, il devint l’un des fondateurs del’Institut thélogique de Saint Denis  , professeur de peinture d’icônes où il y enseigné là jusque dans les années 1980. En 1948, Ouspensky publia une petite brochure en français, expliquant la nature de l’icône : L’Icône, quelques mots sur son sens dogmatique.

La Vierge de Kazan,  L. Ouzpensky

En 1952 il publia, en collaboration avec V. Lossky, Le sens des icônes, édité en Suisse simultanément en allemand et en anglais. Il écrivit aussi un article sur l’Église et l’icône orthodoxes pour l’encyclopédie allemande [Symbolisme des religions].

Christ en Gloire, L. Ouspensky

Le cours d’iconologie que dispensait Ouspensky servirent de base au livre La Théologie de l’icône qui fut édité par l’Exarchat en 1960 en français, puis en anglais à New York en 1977.

Les années suivantes, Ouspensky compléta ce cours par des articles qui parurent dans le Messager de l’exarchat du patriarche russe en Europe occidentale.

L’originalité des icônes d’Ouspensky est d’avoir fait des icônes modernes qui rendaient l’abîme des siècles dans le moment présent. Elles étaient imprégnées de tout ce qui les avait précédées, mais elles étaient actuelles, à la fois immédiates et immémoriales.

On ne trouve pas cet esprit dans les icônes russes actuelles qui semblent souvent des reconstitutions dont la spontanéité, la vie, cette sève qui monte jusqu’à nous depuis les racines de l’arbre, sont souvent absentes. Elles sont « bien peintes » et bien dorées. Les gens choisissent leur style : byzantin, quatorzième siècle, dix-septième siècle… 

Léonide Ouspensky est décédé dans la nuit du 11 au 12 décembre 1987. Il est enterré au cimetièrede Sainte Geneviève des Bois.

LISTE DES MANIFESTATIONS RELATIVES À L’EXPOSITION OUSPENSKY 
DU 5 DÉCEMBRE 2017 AU 14 JANVIER 2018

* PROJECTION DU FILM DE NATALIA SERGUEEVA:

Léonide Ouspenky, l’histoire de la transfiguration et de l’amour”.
Леонид Успенский. История преображения и любви.

Tous les mercredi, jeudi et samedi, au 2ème étage du Diocèse, à 16h30:
Les 6, 7, et 9 décembre 2017; les 13, 14, et 16; les 20, 21, et 23; les 27, 28, et 30.
Les 3, 4, et 6 janvier; les 10, 11 et 13 janvier 2018.

* CONFERENCES

 Mardi 12 décembre 2017, à 20h au 2ème étage du Diocèse:

Marie Chantal Savinkov
Chef de chœur, spécialiste en anthropologie sociale, iconologie:
” Ouspensky, passeur de la Tradition”
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Mardi 19 décembre 2017 à partir de 15h,dans l’auditorium du Centre:

Archiprêtre Nicolas Ozoline
Professeur d’histoire de l’art chrétien et d’iconologie; doyen émérite de l’Institut de Théologie Orthodoxe Saint Serge:
L’actualité de l’iconologie de Léonide Alexandrovitch Ouspensky”

Grégoire Aslanoff
Historien de l’art au CNRS; chargé de l’enseignement d’iconologie à l’Institut de Théologie Orthodoxe Saint-Serge:
” Un aspect méconnu de l’œuvre de L. A. Ouspensky : présentation des rares peintures et dessins profanes conservés”

Anne Philippenko
Restauratrice d’icônes et de tableaux; peintre d’icônes et professeur d’iconographie:
” Léonide Ouspensky, mon professeur”
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Entre le 7 et le 12 janvier 2018
( la date précise sera communiquée ultérieurement):

Xénia Muratova
Historienne d’art; professeur émérite des universités françaises; Président du Centre international d’études “Pavel Muratov”:
” Ouspensky et l’icône en exil”

 

Centre Culturel et Spirituel Orthodoxe Russe

1 quai Branly, 75007,  Paris