29
Mar

Exposition S.P. Diaghilev, MRSC Paris

   Publié par: artcorusse   dans Evenements

Exposition de photos

150ème anniversaire naissance S. P. Diaghiliev
(1872 -1929)

du vendredi 1er au 30 samedi 30 avril 2022

Grille de la Maison Russe des Sciences et de la Culture, 75016 Paris

Du 1er au 30 avril, la Maison russe des sciences et de la culture à Paris propose aux parisiens sa nouvelle exposition documentaire d’auteur, qui ouvre une série d’événements de la Maison consacrés au 150e anniversaire de la naissance du grand Diaghilev (fêté le 19 mars en fonction du calendrier ).

L’activité de Serguei Pavlovich Diaghilev (1872 à Selichtchi – 1929 à Venise) est entrée dans l’histoire du monde comme un phénomène tout à fait unique, exceptionnel et multiforme.

La figure théâtrale et artistique russe, le personnage exceptionnel de S.P. Diaghilev, a présenté de manière vivante et avec une compétence sans précédent l’opéra, le ballet et la peinture russes à l’étranger. Le succès des ballets russes est si écrasant qu’il contribue à la vague de mode “pour tout ce qui est russe” qui s’empare de l’Europe au début du XXe siècle.

Il a ressenti et pressenti l’esprit du temps, compris et identifié avec précision les talents, ainsi il leur a donné la possibilité de se réaliser et de se développer. Il a su réunir des personnes complètement différentes, mais en même temps exceptionnellement douées pour un objectif commun.

Les panneaux extérieurs de la Maison russe présenteront des photographies de ballerines exceptionnelles et de danseurs, acteurs et compositeurs célèbres, des reproductions de peintures, des dessins, des croquis de costumes et de décors de théâtre, des affiches et des programmes créés par des artistes exceptionnels du début du XXe siècle. La mémoire de tous ceux qui, sous la direction et l’inspiration de Diaghilev, ont créé un véritable miracle qui est entré dans l’histoire sous le nom de “Saisons russes de Diaghilev“.

S.P. Diaghilev est né dans la province de Novgorod dans la famille d’un militaire de carrière. Son enfance et son adolescence se sont déroulées à Saint-Pétersbourg, où son père a servi à un moment donné, et à Perm, où toute la famille a déménagé après sa démission. Selon les souvenirs de camarades de classe du gymnase (l’école) de Perm, Diaghilev s’intéressait déjà assidument à la littérature russe et étrangère, au théâtre, parlait couramment l’allemand et le français et jouait de la musique.

En 1890, Diaghilev arriva à Saint-Pétersbourg et entra à la Faculté de droit, mais il n’était pas intéressé par les études. Mais il consacre beaucoup de temps à son éducation musicale, prend des cours de chant, compose des compositions musicales. Et bien que Diaghilev ne soit pas devenu compositeur ou musicien professionnel, toutes ces activités ont joué un rôle important – il connaissait bien le patrimoine musical mondial, il ressentait subtilement le travail des compositeurs contemporains.
Au cours des mêmes années, Diaghilev a fait une connaissance significative de la jeunesse talentueuse de son temps – A.N. Benois, L.S. Bakst, K.A. Somov, V.F. Nouvel et d’autres, qui ont ensuite formé le noyau de l’association artistique “Le Monde de l’Art”.

En 1898, avec A.N. Benois, Diaghilev a commencé à publier le magazine “Le Monde de l’Art”, il a participé à l’organisation d’expositions de peintures d’artistes faisant partie de l’association. En 1905, il organise une grande exposition historique et artistique de portraits russes (plus de 2 000 œuvres) des XVIIIe et XIXe siècles.
Diaghilev a fait plusieurs voyages à travers l’Europe, après quoi il s’est imposé l’idée qu’il était nécessaire de donner la possibilité de voir l’art russe à l’étranger. Il croyait que seul l’art avec un caractère national russe prononcé pouvait obtenir une reconnaissance internationale et contribuer au développement de la culture d’autres pays. La tâche était extrêmement difficile, et Diaghilev l’a bien compris.

C’étaient des entreprises à ses risques et périls, au prix d’énormes efforts, avec de nombreuses difficultés à surmonter.

Depuis 1906, la longue histoire de la mission Diaghilev a commencé – la connaissance des pays étrangers avec l’art russe.
En 1906, il organise une exposition de peinture russe à Paris, en 1907 il donne cinq concerts de musique russe avec la participation de S.V. Rakhmaninov et F.I. Chaliapine. En 1908, “Boris Godounov” avec la participation de F.I. Chaliapine est présenté sur la scène de l’Opéra de Paris. En 1909, il montra des spectacles de ballet russe à Paris.

De cette époque jusqu’à la mort de Diaghilev en 1929, à Venise, une série de «saisons russes» a ouvert à l’Europe les hautes réalisations de la culture russe: sa peinture, sa musique, sa chorégraphie, sa danse et sa performance de pantomime. Ce fut une véritable révélation pour l’Occident.

Diaghilev a présenté aux Européens les classiques musicaux russes – les œuvres de Glinka, Moussorgski, Borodine, Tchaïkovski, Rimski-Korsakov. De nombreux spectacles ont été créées selon son plan et sous son influence. I.F. Stravinsky, S.S. Prokofiev, Claude Debussy, Maurice Ravel, Francis Poulenc, Manuel de Falla et d’autres ont écrit de brillantes musiques de ballets. Les œuvres créées par eux ont enrichi le trésor mondial du patrimoine musical.

Des stars du ballet telles que M.M. Fokine et A.P. Pavlova, T.P. Karsavina et Vatslav Nijinsky, Ida Rubinshtein ont brillé dans les spectacles de Diaghilev. Il a nourri toute une galaxie de grands maîtres de la danse : L.F. Myasine, G.M. Balanchine, S.M. Lifar.

La conception théâtrale et décorative de ses spectacles a été réalisée par des artistes de premier ordre: B.I. Anisfeld, L.S. Bakst, A.N. Benois, I.Ya. Bilibine, A.Ya. Golovine, N.S. Dobuzhinsky, KA Korovine, MF Larionov, NK Roerich, FF Fedorovsky. Diaghilev a également attiré des maîtres étrangers : Georges Braque, André Derain, Henri Matisse, Pablo Picasso. Il a créé le maximum d’opportunités pour révéler leurs talents dans ce domaine.

« Je suis un charlatan, d’ailleurs plein de brio – Un grand Charmeur – Un Insolent – Un Homme possédant beaucoup de logique et peu de préjugés –Un être affligé, semble-t-il, d’une absence totale de talent. Du reste, je crois avoir trouvé ma véritable vocation : c’est le mécénat. Pour cela j’ai tout ce qu’il fut, sauf l’argent. Mais çà viendra !… » , disait-il.

Le public étranger attendait invariablement quelque chose de nouveau et de surprenant de la part de Diaghilev. Il a répondu aux attentes : il en a surpris plus d’un, sans jamais se répéter.

L’art russe, si brillamment présenté à l’étranger, a eu un impact significatif sur la culture de l’Occident dans son ensemble. Le théâtre et l’école de ballet russes n’avaient pas de rivaux. Grâce aux “saisons”, le ballet a progressivement commencé à renaître en Europe occidentale et en Amérique. Leurs propres écoles et troupes ont commencé à y apparaître, généralement associées aux noms de diverses figures de la chorégraphie russe.
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Maison Russe des Sciences et de la Culture
61 Rue Boissière, 75016 Paris

Contacts : info@crsc.fr

Métro : Boissière (6), Victor Hugo (2)
Bus : 22, 30, 52, 82
Parking : Victor Hugo, Kléber, Longchamp.

10
Nov

Diaghilev et les Ballets russes 24 novembre à Neuilly

   Publié par: artcorusse   dans Evenements

14
Oct

Diaghilev à l’Hôtel Cail

   Publié par: artcorusse   dans Expositions

Mairie du 8e arrondissement

Salle des conférences

Mardi 3 novembre 2009, à 18 heures.

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Dans le cadre des “Echanges artistiques franco-russes”

François Lebel, maire du 8e arrondissement, Christine Piredda, adjointe au maire chargée de la culture et Danièle Prévost, présidente de la Société Historique et Archéologique des 8e et 17e arrondissements, ont invité le président fondateur du Club franco-russe de la Culture et des Arts (ARTCORUSSE) N. Tikhobrazoff, pour évoquer les débuts artistiques russes en France.

Vidéo-conférence sur le thème des Ballets russes: Diaghilev, Nijinsky, Fokine, Lifar, et leurs partenaires féminines, Anna Pavlova, Tamara Karsavina, les compositeurs, les artistes décorateurs, les stylistes costumiers …

Pour Serge Diaghilev, une des grandes figures cosmopolites de son époque, Paris est la ville élue, berceau et couronnement de son entreprise artistique. Il s’attaquera ensuite à toute l’Europe occidentale en passant par Monaco, de 1909 à 1929.

Je suis: un charlatan, d’ailleurs plein de brio – Un grand Charmeur – Un insolent – Un homme possédant beaucoup de logique et peu de préjugés – Un être affligé, semble-t-il, d’une absence totale de talent. Du reste, je crois avoir trouvé ma véritable vocation: c’est le mécénat. Pour cela, j’ai tout ce qu’il faut, sauf l’argent. Mais ça viendra!… “ disait-il.

Mairie du VIII° arrondissement, Hôtel Cail

Salle des conférences

3, rue de Lisbonne, Paris 75008

Métro St Augustin.

Entrée libre.

12
Juil

Diaghilev et les Ballets Russes

   Publié par: artcorusse   dans Reportages filmés

Cours résumé de l’histoire de Serge Diaghilev et des Ballets Russes.


Diaghilev et les Ballets Russes
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27
Fév

Programme de mars MRSC àParis

   Publié par: artcorusse   dans Informations

.

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La Maison russe des sciences et de la culture à Paris,
regrette de vous annoncer, que la MRSC est contrainte de reporter les événements à une date ultérieure.
Pour des raisons administratives les portes de la Maison russe seront également temporairement fermées.
 
 

Exposition extérieure

“Le Ballet et l’Architecture”

Du Mardi 1 au jeudi 31 mars 2022

La Maison russe des sciences et de la culture à Paris présente sur ses panneaux extérieurs une exposition unique d’œuvres d’un photojournaliste spécial de l’agence de presse internationale et de la radio “Spoutnik” Valery Melnikov.

Le ballet russe est traditionnellement associé à la Russie dans la culture mondiale. Ce projet s’appuie sur la grande tradition chorégraphique russe présentée à travers le prisme de la photographie, l’un des arts les plus marquants de l’époque moderne. Le projet «Le ballet et l’architecture» présente plus de 20 œuvres de Valeri Melnikov, lauréat de plusieurs concours russes et internationaux, notamment du prix le plus réputé de la photographie mondiale le World Press Photo.

Ces images illustrent le passé triomphal et l’histoire contemporaine de la danse russe dans le décor des villes russes, notamment de Moscou et de Saint-Pétersbourg. Les photos de l’exposition s’accompagnent d’extraits d’œuvres des poètes russes célébrant la beauté de la danse et de l’architecture.

L’exposition est associée par ses organisateurs à la Journée mondiale du ballet, fêtée le 2 octobre.

La Maison russe à Paris tiens à consacrer cette exposition au 150e anniversaire de la naissance de l’éminente figure théâtrale et artistique russe Sergueï Diaghilev (le 19 mars), dont le nom est inextricablement lié au développement du ballet russe et français.

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Rencontre avec Christelle Louri.

Pour les Journées de la femme

” AMOUR, TENDRESSE, SOUVENIRS “

Jeudi 10 mars 2022 à 19H

 

Christelle Lourie, célèbre chanteuse française, lauréate du Concours international de télévision vocale “Route pour Yalta” (2020), participante à de nombreux concerts à Moscou et dans d’autres villes de Russie, présentera un programme spécial de 15 œuvres françaises les plus romantiques.

Le concert “Amour, Tendresse, Souvenirs” est un cadeau de l’actrice aux femmes – le public de la Maison Russe à Paris – pour les Fêtes de Printemps et de la Femme .

J’ai choisi un nouveau format. L’idée est de laisser les chansons vivre d’elles-mêmes et que le public puisse ressentir les paroles des chansons. Je veux faire appel aux différents sentiments que les femmes éprouvent : joie, passion, amour, tendresse, solitude, souvenirs d’enfance, liberté et affirmation de soi ….. Je veux parler avec eux de nos principales pensées et préoccupations, de ceux qui nous sont chers ... ” a déclaré Christel Lourie.

Jean-Christophe Cotsiras (piano) se produira en tant qu’accompagnateur.
La Maison Russe invite tout le monde à une soirée musicale festive.

Entrée libre. Nombre de places limité.

Une pré-inscription est obligatoire (crsc.paris@crsc.fr).

L’admission s’effectue avec le port obligatoire du masque et le respect des règles sanitaires établies, dont la présentation obligatoire d’un certificat de vaccination (pass-vaxinal).

Projection et rencontre avec l’auteur

Film documentaire de 

Cédric Gras

” Oural, à la poursuite de l’automne ”

Lundi 28 mars à 18 h

REPORT à UNE DATE ULTÉRIEURE

Centre de la Société Russe de Géographie à la Maison Russe des Sciences et de la Culture à Paris rassemble les passionnés de voyages et les spectateurs du célèbre Paris Film Club « Firebird ».

Voyageur passionné, écrivain, membre de la Société Française des Explorateurs Cédric Gras, qui a vécu plus de 10 ans en Russie et en Ukraine, et son co-auteur. Présentation du film par Christian Reylat.

Les spectateurs verront une vue française de l’un des endroits les plus significatifs de Russie – la ligne de partage des eaux entre l’Europe et l’Asie, le berceau des contes de fées de P.P. Bazhov, la source des richesses incalculables extraites des profondeurs de ces montagnes légendaires. L’Oural est très varié. Les paysages de l’Oural, saisissants par leur beauté, la vie des peuples autochtones locaux du nord de l’Oural, le sud industriel – tout cela est présenté dans le film.

Après la projection, le public rencontrera son auteur Cédric Gras et des Uralologues russes – voyageur, blogueur et le photographe Oleg Chegodaev et géographe, membre de la branche Oural de la Société géographique russe O.Yu Gouryevskikh.

La conversation aidera les téléspectateurs à regarder l’Oural de différents points de vue, à comprendre sa place dans la culture et la conscience du soi russe, et découvrir son riche potentiel touristique.

La prochaine session du ciné-club aura lieu dans la salle de conférence avec une diffusion en ligne avec traduction en russe et en français.

Entrée à l’événement sur rendez-vous. Nombre de places limité.

Pour participer à la conférence en ligne, vous devez également vous inscrire.

Maison Russe des Sciences et de la Culture
61 Rue Boissière, 75016 Paris
Tél : 01 44 34 79 79
Contacts : info@crsc.fr

Métro : Boissière (6), Victor Hugo (2)
Bus : 22, 30, 52, 82
Parking : Victor Hugo, Kléber, Longchamp.

31
Jan

Programme Février, MRSC

   Publié par: artcorusse   dans Informations

 

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Conférence avec

Ioury Vaguin

” Harry Potter , comme guide de psychologie
des profondeurs “

Mardi 1er février 2022 à 19h

Salles des conférences et site de la MRSC

Rencontre avec un psychologue de renom : “Harry Potter comme guide de la psychologie des profondeurs

Le 1er février, la Maison russe des sciences et de la culture à Paris invite les téléspectateurs à une conférence avec la participation du célèbre scientifique russe, auteur d’études et d’une série de livres sur la psychologie populaire Yuriy Vaguin.

Un psychothérapeute, psychologue clinicien, candidat en sciences médicales dira comment, à première vue, un conte de fées ordinaire révèle non seulement des problèmes psychologiques profonds, mais offre également des solutions, parfois plus équilibrées et adéquates que les manuels de psychologie.

En utilisant l’exemple du célèbre livre pour enfants, une conversation avec un spécialiste se concentrera sur la façon de nouer des relations correctement, ce qu’est la véritable amitié, comment les souvenirs de moments heureux de la vie aident une personne à faire face à la dépression.

En tant que psychothérapeute, psychologue clinicien, candidat ès sciences médicales, Iouri Vaguine parlera de la façon dont un conte fantastique, à première vue, ordinaire nous révèle non seulement des problèmes psychologiques profonds, mais propose également des solutions, parfois plus équilibrées et adéquates que celles exposées dans les manuels de psychologie.
A l’exemple du célèbre livre pour enfants, le spécialiste se focalisera sur la façon de construire correctement des relations, sur ce qu’est la véritable amitié et la façon dont le souvenir de moments heureux de la vie aide une personne à faire face à la dépression. Il abordera également ce que signifie réellement la peur de mourir, pourquoi il ne faudrait pas avouer son amour hâtivement, sans omettre de parler de la trahison, des valeurs de la vie, du danger des fantasmes et de plusieurs autres points psychologiques importants.

« Au début, je pensais que c’était un livre ordinaire pour enfants et adolescents, mais quand j’ai constaté avec surprise que non seulement les enfants lisaient Harry Potter, mais aussi les “ sorciers de la sagesse ”, à savoir les professeurs et enseignants dans les universités et lycées professionnels, quand j’ai découvert que ils trouvaient un sens profond dans le roman, des idées brillantes et des leçons pour la vie réelle, j’ai prudemment pris le premier volume, je l’ai ouvert et j’ai vu de brillantes étincelles de sagesse luire à chaque page », écrivait le célèbre philosophe américain contemporain Tom Morris.

L’univers magique créé par Joanne Kathleen Rowling cohabite avec nous depuis vingt ans. Il y a suffisamment de secrets, d’énigmes et de magie, mais ce qui constitue le miracle, la magie et le mystère majeurs, c’est le roman lui-même et son auteur.
Depuis plus de vingt ans, Iouri Vaguine se sert du roman de Joanne Kathleen Rowling pour travailler avec lui-même, ses clients et ses patients. Les sujets qu’y sont abordés (l’amour, l’amitié, la fidélité, le courage, le choix, la solitude, le désespoir, la trahison, le sacrifice, l’injustice) sont toujours d’actualité et pour de très nombreux.

L’invité de la Maison russe racontera en détail tout ce qu’il a identifié professionnellement dans cette oeuvre surprenante.

En 2021, Iouri Vaguine a sorti son livre « Docteur, pourquoi Harry Potter ? » à la maison d’édition moscovite « AST ». La première édition a été épuisée instantanément, et actuellement le livre est à nouveau réimprimé.

Iouri Vaguine répondra aux questions du public présent dans la salle et en ligne. La conférence sera organisée en français et diffusée en direct sur Zoom et sur la chaîne YouTube de la MRSC à Paris.

La conférence avec cet expert en psychologie de l’enfant serait particulièrement intéressante à de nombreuses écoles russes d’enseignement complémentaire en France et d’autres établissements d’enseignement pour enfants.

Entrée libre, sur inscription préalable. Nombre de places limité.

L’entrée à la MRSC s’effectue à condition de port obligatoire du masque et de respect des règles sanitaires établies, dont la présentation obligatoire d’un passe sanitaire.

Iouri Robertovitch Vaguine (brève notice biographique)

1988 — diplômé de l’Académie de médecine d’Etat de Perm. (AMEP)
1990 — résidanat clinique auprès du Département de psychiatrie et de psychologie médicale, AMEP.
1990–2004 — assistant au Département de psychiatrie et psychologie médicale, AMEP.
1994 — soutenance de la thèse à Novossibirsk sous la direction du professeur César Korolenko pour le diplôme de candidat ès sciences médicales. Le thème de la thèse est « Particularités des conduites addictives chez les adolescents qui abusent des inhalants ».
1994–2004 — activités pratique, théorique et pédagogique au sein du centre psychothérapeutique MUZ 7 GB à Perm.
2004–2006 — professeur associé à l’Institut de psychologie de l’Université pédagogique de Perm.
2006–2009 — professeur agrégé de l’AMEP.
2009 – jusqu’à présent — directeur du Centre psychologique du docteur Vaguine à Perm.

Exposition des peintres français et russes

“Échanges croisés entre Tikhvine et Hérouville

autour de l’eau”

Du lundi 7 au lundi 21 février 2022

Dans la salle de marbre de la MRSC

A l’occasion des 30 ans du jumelage de Tikhvine avec les Français d’Hérouville – une exposition croisée d’artistes des deux pays

Parmi la cinquantaine de couples jumelés entre les villes de Russie et de France, il y a ceux qui ont atteint une véritable amitié, ayant réussi à remplir le programme des relations intercommunales avec des événements bilatéraux vraiment intéressants et pratiques qui sont nécessaires d’un point de vue pratique .

Tikhvine et Hérouville-Saint-Clair font partie de ces ensembles partenaires depuis maintenant trente ans. Depuis 30 ans, environ 500 événements communs ont été mis en place entre les villes. Certains d’entre eux sont suivis par la Maison Russe à Paris.

A l’aube du partenariat, ses initiateurs ne pouvaient ignorer le fait que les deux villes – la ville clé en 1942 pour la défense de Leningrad et Hérouville, banlieue cannoise, sont unis par une histoire mémorielle militaire pour chérir la mémoire des ancêtres, dans l’histoire française de la Seconde Guerre mondiale , Chaque année, des jeunes et des vétérans organisent des actions commémoratives et rendent hommage à leurs libérateurs.

Un tissu d’interaction très dense d’actions culturelles sont réalisées avec la participation des deux villes. Un programme culturel spécial, dans le cadre duquel pendant un mois entier (15 novembre – 15 décembre), les citadins se sont vu proposer divers événements dédiés au 30e anniversaire de l’établissement des relations entre villes sœurs, qui a été célébré en 2021.

Le 7 février, la Maison russe des sciences et de la culture à Paris accueillera l’inauguration d’une exposition d’art croisé avec la participation de maîtres des beaux-arts de Tikhvine et d’Hérouville. Le sujet d’inspiration créative des auteurs russes et de leurs collègues français était l’élément eau.

L’exposition, présentée précédemment à l’Hôtel de Ville et au Conservatoire d’Hérouville-Saint-Clair, associe des œuvres de peintres de Tikhvine et d’Hérouville.

La peinture à l’huile est techniquement plus difficile… mais beaucoup plus belle esthétiquement que les peintures à l’eau… Mais c’est “l’eau” qui est devenue le principal thème fédérateur de l’exposition. Après tout, l’eau est un élément vital qui, de par sa nature, ne peut être représenté qu’en mouvement, ou plutôt dans les effets qu’il produit sur l’environnement. Le spectateur de la Maison russe devra découvrir comment les artistes des deux pays ont fait face à cette tâche.

Notre rendez-vous culturel à Paris revêt une grande importance dans les deux villes – une importante délégation conduite par le maire d’Hérouville, Rodolphe Thomas, prévoit d’arriver spécialement pour le vernissage à la Maison Russe. Des membres de l’administration municipale et des artistes, auteurs des peintures exposées l’accompagneront.

Parmi les invités, la présidente de l’Association d’amitié et de solidarité avec Tikhvine, Nina Hervie, et ses proches, membres de cet organisme public, qui a été la principale « courroie de transmission » pour le développement de la coopération entre villes jumelées, sont attendus.

Des représentants de l’administration municipale de la ville de Tikhvine, avec qui les partenaires français auront à nouveau un dialogue direct et intéressé, ont été invités à l’ouverture pour s’exprimer en ligne.

L’exposition est disponible pour des visites individuelles et de groupe.

Entré sur inscription gratuite: CLIQUEZ

L’admission au RDNC s’effectue avec le port obligatoire du masque et le respect des autres règles sanitaires établies.


Concert exceptionnel

Arseny Mun, lauréat des concours internationaux (piano)

Jeudi 10 février 2022 à 19 h

Salle de musique de la MRSC à Paris

Arseny Mun est né en 1999 à Saint-Pétersbourg.
À l’âge de six ans, il a commencé à jouer du piano sous la direction d’Eléna Ziabréva.
Entre 2010 et 2017, il a fait ses études auprès d’Alexandre Sandler : d’abord à l’école secondaire spéciale de musique du Conservatoire national Nikolaï Rimski-Korsakov à Saint-Pétersbourg, ensuite au Conservatoire.

Actuellement il est élève de Sergueï Babayan à la Juilliard School de New York. En 2009, il a fait ses débuts avec un orchestre symphonique à l’Orchestre philharmonique de Saint-Pétersbourg, et en 2014, il a donné son premier concert solo à la Maison Mozart à Vienne.

Il est lauréat de nombreux concours internationaux.

Il a remporté le IIIe prix et le prix spécial au concours pour jeunes e-Piano à Minneapolis (Etats-Unis), le IIe prix Van Cliburn à Fort Worth (Etats-Unis), le Ier prix au Concours International de Piano Arthur Rubinstein in memoriam à Bydgoszcz (Pologne), le 1er Prix au Concours International de Piano à Saint-Priest (France).
Il est également lauréat du prix du gouvernement de Saint-Pétersbourg. Entre 2010 et 2016, il a gagné la bourse Sviatoslav Richter de la Fondation Mstislav Rostropovitch. En 2016, il a reçu le prix personnel de Iouri Temirkanov. La même année, il reçoit le prix spécial du meilleur pianiste de la Verbier Festival Academy.

Il s’est produit au Festival international Iouri Bachmet à Minsk, aux festivals « Visages de pianistes contemporains » (Saint-Pétersbourg), « Visite chez Larissa Guerguieva » (Vladikavkaz), « Moscou accueille ses amis ». Il est participant régulier aux programmes de la Maison de la musique de Saint-Pétersbourg.

Il a joué entre autres avec l’Orchestre de chambre de Tallinn, l’Orchestre symphonique académique d’État de Saint-Pétersbourg, le Grand orchestre symphonique Piotr Tchaïkovski, l’Orchestre symphonique d’État « Nouvelle Russie », l’Orchestre de chambre de Lituanie, l’Orchestre de l’Ermitage, l’Orchestre symphonique de Fort Worth, l’Orchestre du Minnesota et l’Orchestre « Symphonie du Nord ». Il a collaboré avec les chefs d’orchestre Alexandre Titov, Dmitri Liss, Alexandre Skulski, Fabio Mastrangelo, Stanislav Kotchanovski, May-Ann Chen, Mark Russell Smith, Ian Hobson, Zaürbek Gougkaev, Yaroslav Zaboyarkin et bien d’autres.

Il se produit avec des orchestres et en solo dans de grandes salles en Europe, aux États-Unis et en Russie (salle de concert du théâtre Mariinsky, Centre Krannert pour les arts du spectacle (Urbana, Illinois), Salle Cortot à Paris, etc.). A l’automne 2019, il a effectué une tournée dans les villes européennes (Strasbourg, Luxembourg, Paris, Bruxelles), et a également donné un concert sur Radio France. Parmi ses engagements pour la saison 2020–2021 figurent des concerts solo en Russie, en Suisse, en France et en Pologne.

Depuis 2019, il est artiste officiel de la compagnie Yamaha.

Au programme :

  • Sonate n° 31 op. 110
  • Impromptu op. 90 n° 3
  • Andante spianato et Grande Polonaise brillante op. 22
  • Mazeppa

Entrée sur inscription préalable. Nombre de places limité.

L’entrée à la MRSC s’effectue à condition du port obligatoire du masque et le respect des règles sanitaires établies, dont la présentation obligatoire d’un pass sanitaire.

INSCRIPTION PRÉALABLE : CLIQUEZ

Conférence dans le cadre des
13èmes Journées du livre russe

” La France, la deuxième Patrie Littéraire
d’Alexandre Zinoviev “

avec Olga Ziniviev son épouse
et des écrivains contemporains

Dimanche 13 février 2022 à 14 h

Salle de Conférences et sur le site de la MRSC

Programme spécial dédié à Alexandre Alexandrovitch Zinoviev.

En 2022, tout le monde célébrera le 100e anniversaire de la naissance d’Alexandre Alexandrovitch Zinoviev (1922-2006), écrivain, philosophe, logicien, sociologue, poète, artiste, idéologue, combattant, patriote et citoyen d’exception. Capitaine des gardes des avions d’attaque de la Grande Guerre patriotique, a reçu des ordres militaires.

Le monde découvre le phénomène d’Alexandre Zinoviev – une personnalité de type Renaissance, l’un des mystères les plus frappants et les plus attrayants des XXe et XXIe siècles, un héros de notre temps, un homme du futur.

Il a consacré toute sa vie au service de la Vérité. Récompensé par l’étoile d’or de l’Université d’État de Moscou “Pour la fidélité à la vérité“.

Membre des Académies des sciences de Finlande, d’Italie, de l’Académie bavaroise des beaux-arts, de nombreuses académies russes ; prix internationaux et européens – Médicis, 1978; Tevere, 1992; Prix ​​de littérature française du meilleur roman, 1979 ; Prix ​​européen du meilleur roman de science-fiction, 1980 ; le seul lauréat soviétique et russe du prix international Alexis de Tocqueville pour l’humanisme (reçu pour la création de la théorie du communisme réel), 1982 et autres.

Nominé en 1984 et 1999 pour le prix Nobel de littérature en tant que créateur d’un nouveau genre (ne l’a pas accepter en raison d’une position ferme sur le bombardement de la Serbie).

Citoyen d’honneur des villes de France et d’Italie (Avignon, Orange, Ravenne), à ​​titre posthume – Kostroma.

Le président russe V.V. Poutine classe Alexander Zinoviev parmi la galaxie des écrivains russes exceptionnels.

Le génie d’AA Zinoviev a été admiré par Mstislav Rostropovich, Vladimir Ashkenazy, Mikhail Shemyakin, Eugene Ionesco, Federico Fellini, Valery Giscard d’Estaing, Jorge Luis Borges, Daniel Barenboim, Ekaterina Maksimova, Vladimir Vasiliev, Ernst Neizvestny, Valery Panov, Kirill Kondrashin , Friedrich Dürrenmatt, Mikhail Rud, Gidon Kremer, Hans Magnus Enzentsberger, Cardinal Gianfranco Ravasi, Raymond Aron, Simone Weil, Karl Popper, Max Gallo, Jurgen Habermas…

Au cours des événements à la Maison russe, une série de rencontres aura lieu le 13 février, avec des écrivains russes contemporains et l’épouse du philosophe O.M. Zinovieva. Des films documentaires et une exposition consacrée à la vie et à l’œuvre du brillant écrivain seront projetés.

L’entrée est gratuite, sur rendez-vous. Nombre de places limité.

L’admission au RDNC s’effectue avec le port obligatoire du masque et le respect des règles sanitaires établies, dont la présentation obligatoire d’un certificat sanitaire (pass-sanitaire).
En ce qui concerne les films, nous ne pouvons certainement pas faire de traduction. YouTube a la capacité de traduire automatiquement les sous-titres. La traduction n’est pas importante mais à mon avis il sera possible de l’utiliser. Nous aimerions un film de Shargunov 12 min et Grigoriev 26 min.

Jusqu’ici, les noms de deux scénaristes avec qui on va échanger sur zoom ne suffisent pas.

VOIR la CONFÉRENCE : CLIQUEZ

Concert avec le maestro
Andreï Chevtchouk

« Enfants à l’Opéra »

Mardi 15 février à 19 h  

Ce concert était prévue le 18 janvier a été reporté à mardi 15 février.

Maestro Andreï Shevtchouk et le chœur d’enfants de l’Académie SheremetyevGrad sous la direction d’Ekaterina Ferrari présenteront à votre attention une conférence – concert “Les enfants à l’opéra”.

L’art lyrique est-il réservé aux adultes ? Bien sûr que non. De nombreuses sujets d’opéra ont des choses en commun avec le folklore, avec des histoires romantiques, il y a beaucoup d’imaginaire en eux, ce qui est si proche des enfants. D’ailleurs, si vous regardez bien, il y a beaucoup d’enfants sur les scènes d’opéra. Ils participent à l’action comme des acteurs à part entière : ils jouent leurs rôles, dansent et chantent.

Vous découvrirez les personnages d’enfants dans des opéras célèbres, parmi lesquels Boris Godounov de Moussorgski, Madame Butterfly de Puccini et bien d’autres, et vous serez également surpris par la variété des chœurs d’enfants que l’on entend et dans « Roussalka » de Dargomyzhsky et dans « La Dame de piques » de Tchaïkovski et , bien sûr, dans ” Carmen ” Bizet. Les enfants, dont on ne remarque souvent pas la présence, se concentrant sur les artistes adultes, occupent une place importante sur la scène lyrique.

Si vous vous posez la question « comment attirer les enfants vers l’opéra classique ? – venez écouter cette conférence avec eux. Vos enfants feront connaissance avec des œuvres célèbres de l’opéra en interprétation classique, auront l’occasion de voir comment les autres enfants chantent et, pourquoi pas, ils s’imagineront dans la peau de vrais artistes.

La Maison russe invite à la soirée musicale qui se déroulera, comme d’habitude, en russe et en français.

L’entrée à l’événement est gratuite. L’inscription préalable à paris@rs.gov.ru est obligatoire, le nombre de places est limité.

INSCRIPTION : CLIQUEZ

L’entrée à la MRSC s’effectue avec le port obligatoire du masque et le respect des règles sanitaires établies, dont la présentation obligatoire d’un pass sanitaire.

Concert Conférence avec le maestro
Andreï Chevtchouk

” Le Monde musical d’ Alexandre Scriabine “

avec la participation du professeur Igor Lazko

REPORTÉ le Jeudi 14 avril  2022 à 19h

Salle de musique de la MRSC

Dans les murs de la Maison russe à Paris, où le Conservatoire Alexandre Scriabine existe depuis plus d’une décennie, le maestro Andreï Chevtchouk, auteur et présentateur permanent de l’Encyclopédie musicale, parlera de la vie et du parcours créatif de Scriabine, de son séjour en France, puis s’entretiendra avec le célèbre pianiste et professeur exceptionnel, Igor Lazko, sur la musique de Scriabine.
 
Des pianistes jeunes, mais déjà reconnus, lauréats de concours internationaux, Josquin Otal, John Gade et Elizaveta Frolova, interpréteront les oeuvres du grand compositeur, dont les sonates n° 3 et n° 5, «Deux poèmes» op.32 et le poème «Vers la Flamme» op.72.

Alexandre Nikolaïevitch Scriabine ou Skriabin ( Александр Николаевич Скрябин) est un pianiste et compositeur russe né à Moscou en 1871 (6 janvier 1872 dans calendrier grégorien), mort à Moscou le 14 avril 1915 ( 27 avril dans calendrier grégorien)

Personnalité singulière par le symbolisme flamboyant de son langage musical et atypique par le refus de toute référence au folklore national, il n’en demeure pas moins un compositeur marquant de la musique russe de la fin du xixe siècle. Longtemps incompris des critiques et du public, ce mystique de l’extase influencé par la théosophie et la synesthésie laisse une œuvre profondément originale d’où se détachent son corpus imposant de dix soniates pour piano, son Poème de l’extase pour grand orchestre, son Prométhée ou Poème du feu et de nombreux préludes et études  au style virtuose et coloré.

Dans les murs de la Maison russe à Paris, où le Conservatoire Alexandre

Inscription préalable souhaitée : CLIQUEZ

Point de vue des juristes russes et français

” Problèmes actuels du droit Russe et Français “

Lundi 21 février 2022 à 15h

 

La Maison Russe des Sciences et de la Culture à Paris accueille sur sa plateforme virtuelle la présentation d’une monographie collective d’auteurs russes et français intitulée « Problèmes actuels du droit en Russie et en France : le point de vue des juristes russes et français ». L’ouvrage est consacré à l’étude des problèmes d’actualité du droit en Russie et en France dans le contexte des transformations socio-économiques contemporaines au niveau mondial.

La conférence en ligne est organisée dans le cadre d’un accord de coopération signé en octobre 2021 entre l’Université d’État juridique de Moscou Oleg Koutafine (angl. MSAL) et Rossotroudnitchestvo.

La monographie est publiée sous la direction du professeur Victor Blajeïev, recteur de la MSAL, juriste émérite de la Fédération de Russie, coprésident de l’Association des juristes de la Russie, membre du Conseil russe des affaires internationales (CRAI), et sous la direction de la professeure Maria Egorova, chef du Département de coopération internationale de la MSAL, coprésidente de l’Alliance internationale des Juristes et Economistes (France), membre du Conseil russe des affaires internationales (CRAI).

La publication a été préparée avec le soutien de Rossotroudnitchestvo et de l’Ambassade de France en Russie.

Renforçant l’intérêt mutuel envers l’étude du droit russe et français, les chercheurs en droit portent une attention particulière aux méthodes appliquées dans la régulation juridique de nouveaux domaines, tels que l’intelligence artificielle, les crypto-monnaies, les technologies numériques en droit médical, environnemental et en droit d’auteur.

Le livre est destiné aux enseignants, chercheurs et praticiens, fonctionnaires, étudiants en Licence, Master et Doctorat, ainsi qu’à tous ceux qui s’intéressent aux problèmes et orientations du développement de la science juridique contemporaine.

Parmi les participants à la présentation de la monographie seront :

  • Polikanov Dmitri, chef adjoint de Rossotroudnitchestvo ;
  • Benjamin Danlos, Magistrat de liaison en Russie à l’Ambassade de France en Russie ;
  • Alain Duflot, avocat, maître de conférences à l’Université Jean Moulin Lyon 3, coprésident de l’Alliance internationale des Juristes et Economistes (France) ;
  • Béatrice Espesson-Vergeat, docteur en droit, maître de conférences à la faculté de droit de l’université Jean Monnet (Saint-Etienne) et de l’université de Lyon, membre du Centre d’études juridiques critiques, membre de l’UMR 5137 du Centre national de la recherche scientifique ;
  • Evdokimova Maya, docteur en philosophie, vice-recteur à la recherche de l’Académie d’État russe de la propriété intellectuelle ;
  • Claude Ferry, docteur en droit, professeur à la faculté de droit du Centre du droit de l’entreprise de l’Université de Montpellier (France) ;
  • Koubychkine Alexeï, avocat au cabinet d’avocats « SanktaLex » (n° 36) du barreau « Ordre des avocats de barreau de Moscou », partenaire de la collaboration scientifique « Alliance des développements juridiques dans le domaine du génome (LeGenDA) », docteur en droit ;
  • Marine Michineau, docteur en droit, Maître de conférences à l’Université Paris Nanterre, Directrice du Master 2 Analyse et pratique du droit des affaires ;
  • Ponomareva Daria, docteur en droit, chef adjoint du département de droit pratique de l’Université d’État juridique de Moscou Oleg Koutafine (MSAL) ;
  • Slepak Vitaliy, docteur en droit, professeur associé au Département d’intégration et de droit européen, l’Université d’État juridique de Moscou Oleg Koutafine (MSAL) ;
  • Tsitoviеch Lyubo, docteur en droit, professeur associé, département de droit civil et commercial de l’Académie russe de la propriété intellectuelle.

En outre, des scientifiques de Russie et de France représentant de grandes universités russes et françaises, des enseignants l’Université d’État juridique de Moscou Oleg Koutafine (MSAL), le Conseil russe des affaires internationales, l’Association des diplomates russes, des scientifiques d’Italie et d’Espagne ont reçu une invitation à la conférence.

Pour participer à la conférence, l’inscription est obligatoire : https://us02web.zoom.us/webinar/register/WN_XLfRX71oS0iG0ssSmbUHMA.

La conférence Zoom sera organisée en russe et en français avec traduction simultanée et possibilité de communication directe avec les invités.

La diffusion en direct peut être visionnée sur la chaîne de la MRSC à Paris sur YouTube (sans traduction).

A partir de 15h (heure de Paris) / 17h (heure de Moscou).

L’enregistrement complet de la réunion sera publié en deux versions linguistiques sur les sites Internet et des réseaux sociaux de la MSAL et de la MRSC.

Conférence

” Secrets français des russes à l’étranger “

Sépultures russes en France

Mardi 22 février à 18 h 

Salle de conférence et sur le site de MRSC

la Maison russe des sciences et de la culture à Paris poursuit les discussions sur les lieux culturels et historiques russes d’une valeur particulière.

L’une des directions importantes du travail historique et mémoriel complet de Rossotrudnichestvo est la préservation des lieux de sépulture d’une importance historique et mémorielle particulière situés à l’étranger.

Les mesures d’entretien et de préservation de ces lieux à l’étranger sont prises dans le cadre d’une liste spéciale du gouvernement de la Fédération de Russie, qui comprend aujourd’hui des cimetières situés dans 14 pays.

Deux de ces lieux spéciaux sont situés en France : « Le secteur russe du cimetière municipal de Sainte-Geneviève-des-Bois, Léo Lagrange » et « Ivry-sur-Seine”, lieu de sépulture des artistes Natalya Sergeevna Goncharova et Mikhail Fedorovich Larionov …..

Dans le même temps, il est évident que pour la “capitale de la diaspora russe“, qui est à juste titre considérée comme la France, la liste gouvernementale des tombes russes particulièrement précieuses dans ce pays doit être recontituée. Dans le même temps, le travail d’évaluation et de sélection de ces lieux doit être systématiquement organisé et réfléchi. Une expertise scientifique sérieuse et un débat public responsable sont nécessaires. C’est pour tenter de réaliser un projet d’inventaire de nos sépultures particulièrement précieuses, à savoir cette catégorie de monuments historiques russes, à l’exception des sépultures militaires, que Rossotrudnichestvo a été chargé de traiter, la MRSC a invité les hommes les plus éminents de Russie et de France pour parler.

T.V.Anguladze (Marseille), spécialiste du domaine de la danse
D.B. de Koshko, journaliste et personnalité publique
F. Kutseff, Président de l’Association des Russes de Provence, écrivain 
A.N. Miller de la Cerda, historien, consul honoraire de Russie à Biarritz 
K.I. Mogilevsky, Membre du Présidium du Conseil, Président du Conseil d’administration de la Société historique russe, Directeur exécutif et Président du Conseil d’administration de la Fondation Histoire de la Patrie
V.A. Moskvin, Directeur de la Maison des Russes de l’étranger 

T.E. Mozhenok, écrivain, chercheur, historien de l’art 
D.M. Shakhovskoy, historien, président de l’Assemblée des Nobles de Russie 
A. Shevchuk,  chercheur du patrimoine musical russe en France, le maestro A. Shevchuk – telle est la composition des experts invités à cette passionnante conférence.

Le résultat devrait être des propositions sélectionnées pour l’inclusion d’un projet dans la liste gouvernementale, en tenant compte de la discussion sur la signification historique, la valeur spirituelle, l’état de conservation et la hiérarchisation approximative des sépultures russes.
La conférence sera organisée dans un format hybride (en salle et en ligne) en russe et en français, avec traduction simultanée et diffusion en direct sur Zoom et sur la chaîne YouTube MRSC  à Paris.

Des experts répondront aux questions des invités dans le hall et des téléspectateurs en ligne.

L’entrée est gratuite, sur rendez-vous. nombre de places limité.

 RV à 18h00 (Paris).

L’admission à la MRSC s’effectue avec le port obligatoire du masque et le respect des règles sanitaires établies, dont la présentation obligatoire d’un certificat sanitaire (pass-sanitaire).

INSCRIPTION à LA DISCUSSION : CLIQUEZ

Inscription pour assister dans la salle : CLIQUEZ

Stella International expose

” ESPRIT RENCONTRE “

12 artistes 

du mardi 22 au lundi 28 février 2022

Salle de marbre de la MRSC

L’association « Stella Art International », association fondée par Stella Kalinina est un véritable lien entre les artistes et le public. Les artistes vous proposent de découvrir une exposition diversifiée de l’art contemporain…

Stella Art International est une association à but non lucratif, fondée en 1999 à l’initiative de Stella Kalinina, passionnée d’art.

L’association est située au cœur de Paris, à deux pas de l’Arc de Triomphe, au Centre de Russie pour la Science et la Culture, partenaire de l’association pour la plupart des grands évènements. Son but est de favoriser la création artistique et culturelle, en organisant un grand nombre d’évènements internationaux dans le domaine des arts : peinture, musique, mode, littérature, cinéma, théâtre et danse.

Elle présente une grande diversité de styles, de techniques et de modes d’expression, toujours à la recherche de nouveaux talents.

” L’effervescence créative du début du XX siècle russe doit énormément à une brillante pléiade de connaisseurs inspirés qui ont accompagné et soutenu bon nombre d’artistes.
Que serait cette prodigieuse époque sans Tretiakov, Morozov, Diaghilev? Véritables passeurs entre les créations et le grand public, ils savaient qu’au savoir-faire d’un artiste il fallait ajouter le “Faire-Savoir” d’une médiation. Aujourd’hui quand la pression de la culture de masse devient écrasante, l’artiste a plus que jamais besoin de ces interprètes passionnés qui traduisent sa démarche créatrice auprès d’un monde de plus en plus sourd et technocratique.
C’est une noble mission que se donne Stella Kalinina.
Stella Art International est devenue un trait d’union irremplaçable entre les artistes et le public. La vivifiante synergie que naître son activité a déjà donné des exemples très convaincants.
Le ballet, la peinture, la musique, la poésie trouvent, grâce à cette médiatrice engagée, un champ d’action plein de promesses.”
Andreï Makine

Maison Russe des Sciences et de la Culture
61 rue Boissière, 75116 Paris
Tél : 01 44 34 79 79

Contacts : info@crsc.fr

Métro : Boissière (6), Victor Hugo (2)
Bus : 22, 30, 52, 82
Parking : Victor Hugo, Kléber, Longchamp

4
Mai

Vente Art Russe, Versailles

   Publié par: artcorusse   dans Informations

Vente ART RUSSE

Versailles

Samedi 12 & Dimanche 13 juin 2021

Samedi 12 juin à 10 h Lots de 1 à 77

EXTRAITS du CATALOGUE

LIVRES RARES
DES XVIIIE ET XIXE SIÈCLES
Pусские книги
XVIII-XIX веков

Lot 3 : [Franc-Maçonnerie russe]
Les discours des maçons libres racontés lors des réunions des frères du Système de la croix rose dorée. Circa 1810-1820. [Manuscrits].
106 pp., in-8, reliure en tissu bardeau du début du XXe siècle. Texte entièrement manuscrit à l’encre marron. B.E.
Le manuscrit reprend le texte du livre des francs-maçons allemands, traduit par Nicolas Novikov et édité en 1784. Le livre fait
partie de textes interdits par Catherine II. La quasi totalité du tirage fut détruite. Les anciens manuscrits maçonniques russes sont
très rares.

[Русское масонство]
Вольнокаменщические речи, говоренные в собраниях братьев Златого-Розоваго Креста древней системы. 1810-1820-е гг. [Рукопись]. 106 л.
21,8 х 15 см. В бордовом цельнотканевом переплете начала ХХго века, наклейка из черной кожи с золотым тиснением по корешку, тройной
золоченый обрез.
Каллиграфический рукописный текст, выполненный коричневыми чернилами, декоративные каллиграфические заголовки и названия.
Во второй половине XVIII века значительная часть деятелей русского Просвещения состояла в масонских ложах, среди них Михаил Херасков
(1733-1807), Николай Новиков (1744-1818), Иван Шварц (1751-1784), Иван Лопухин (1756-1816) и др. Причастность Новикова к масонству
наиболее известна и связана с привлечением масонского капитала в книжное дело. Несмотря на существенный вклад его в издание обычной
литературы, выпускавшейся для отвода глаз, следует отметить, что основной целью Новикова оставалось издание переводов английских
и немецких мистических и философских произведений. Данная книга – пример русской масонской рукописи, воспроизводит текст печатного
издания (ок. 1784, находится только в РГБ). Автор Ганс Генрих фон Эккер унд Экхоффен (1750-1790) – немецкий масонский писатель,
розенкрейцер, который занимал должность мастера Венской ложи и лоббировал свой собственный тайный « Орден рыцарей и Братьев
света », который, что примечательно, был открыт для приема евреев.
Печать книги, очевидно, была прервана, текст обрывается на с. 192, и рукопись также содержит только шесть из одиннадцати
выступлений, найденных в немецком оригинале.
В 1790-х годах Екатерина II начинает решительное преследование масонского движения, называя их “противонелепым обществом”.
Издания Новикова были конфискованы, некоторые масоны – арестованы или изгнаны. Известно, что во время обыска дома Новикова в 1792
году “Вольнокаменщические речи” были среди многочисленных книг, конфискованных и сожженных по приказу Екатерины.
Очевидно, что несколько копий удалось сохранить, но только одна из них документально зафиксирована и хранится в РГБ (см. Сводный
каталог 8581). Ранние масонские рукописи очень редки.
1 500 / 2 000 €

t

LOT 7 : Enseignement de base pour un homme souhaitant
apprendre la Bible. St-Pétersbourg, éd. de Sinod, 1857,
64 pp., in-12, reliure de l’éditeur en papier. B. E.

Начальное обучение человеком, хотящим учитися книге
Божественного писания. СПб.: в Синодальной тип., 1857. – 64 с.,
17х11 см. Бумажная типографская обложка. Бледный развод по
обложке, незначительные надрывы корешка. Хорошая сохранность.
Издание содержит русско-славянскую азбуку, некоторые молитвы,
чтения из Священного Писания в форме катехизиса, а также
церковный счет.
100 / 200 €

t

LOT 9 : POUCHKINE Alexandre (1799–1837)
Eugène Onéguine. Roman poétique d’Alexandre Pouchkine. Sixième chapitre. Ed. de la typographie du département d’éducation.
Saint-Pétersbourg, 1828. 46 pp., in-12, reliure demi-cuir d’époque. B.E. (tache au bord sur les pages 1-11). Cachet de la Société sociale de Kiev sur la page du titre (1913) et même cachet sur la page 7.
Alexandre Pouchkine a commencé à écrire Eugène Onéguine sans vraiment espérer que le roman soit publié un jour. Le roman a été pensé comme une vision satirique de la société de l’époque et Pouchkine avait raison de penser que la censure n’accepterait jamais une oeuvre semblable. Le premier chapitre a été achevé assez rapidement, mais le roman dans sa totalité a nécessité huit ans de travail du poète.
Pouchkine décide de publier « Eugène Onéguine » par chapitre sans attendre de terminer l’oeuvre. Le succès est extraordinaire.
Les petits livres qui étaient assez chers partent en vente très rapidement. L’éditeur pense que ce roman permettra probablement de sauver la situation financière du poète et décide de publier Boris Godounov qui est presque terminé aussi. Le fait que Pouchkine soit parvenu à publier entièrement Eugène Onéguine par chapitre est assez surprenant car au cours de ces huit années il a rencontré de nombreux problèmes avec la censure et avec le tsar Nicolas Ier lui-même pour d’autres poèmes. En
1833, le roman est publié dans son intégralité.
Le sixième chapitre du roman présenté aux enchères a été publié en tirage de 1200 exemplaires qui sont pratiquement introuvables aujourd’hui. Eugène Onéguine est sans aucun doute l’une des oeuvres les plus marquantes de toute la littérature russe.

ПУШКИН АЛЕКСАНДР (1799–1837)
Евгений Онегин. Роман в стихах. Сочинение Александра Пушкина. Глава шестая. СПб.: в типографии Департамента Народного Просвещения, 1828. 46 стр. 16,3х10,5 см. В полукожаном переплете эпохи. В хорошем состоянии, временное пятно сбоку блока на с.1-11.
На титуле штамп Киевского Общественного Собрания (1913). На с.7 еще один штамп Киевского Общественного Собрания.
« Пушкин начал писать « Евгения Онегина », не надеясь увидеть это произведение в печати. Роман был задуман как сатирическое изображение современного общества, и поэт имел все основания полагать, что цензура не пропустит подобного сочинения. Первые главы
« Евгения Онегина » писались довольно быстро, но общая работа над романом заняла у Пушкина почти восемь лет, восемь лет лучшей поры его творчества. » (Ник.Смирнов-Сокольский)
Издавался роман в своем первом тиснении также не сразу, а отдельными главами, выходившими из печати раз в год. Книги разбирались в продаже практически сразу. Издание романа по главам с достаточно высокой ценой каждой « главы » было принято Пушкиным на свой страх и риск. Как писал издатель глав П.А. Плетнев: « Вообрази, что тебе надобно будет иметь уже капитал, когда ты и роман напишешь:
иначе не на что будет его печатать. Это ведь не глава Онегина в два листика, где и в долг поверят бумагу, набор и печатание. У тебя и
Годунов растет для печати. А из каких доходов мы его отпечатаем? » Главы он старался сдавать в печать максимально быстро, в надежде
выровнять свое финансовое положение. Как пишет Н.Смирнов-Сокольский: « С особенным удовольствием Плетнев напечатал вслед за сдвоенной книжкой с четвертой и пятой главами отдельно главу шестую и, вероятно, был уверен, что Пушкин не задержится и со
следующей — седьмой. Увы! Седьмую главу Пушкин передаст ему для издания только через два года, а последнюю — через четыре. » Факт
того, что Онегина-таки удалось издать по главам в период, когда А.Пушкин регулярно имел проблемы с цензурой и лично Николаем Iм за другие произведение – практически чудо. Первое полное издание выйдет только в 1833 году. Представленная на торги шестая глава вышла, как и предыдущие, тиражом 1200 экземпляров. На рынке они чрезвычайно редки. Важность романа « Евгений Онегин » для русской литературы – не оспорима.

16 500 / 20 000 €

t

LOT 16 : STREMOUKHOV M., SIMANSKI P.
La vie d’Alexandre Souvorov. Recueil de portraits, des tableaux,
des gravures, des dessins, des caricatures, des statues, des
médailles, etc. Ed.A.Livenson, Moscou, 1900. 388 pp., 18 pl.
d’illustrations, in-folio, reliure demi-cuir (garde reliure de
l’éditeur). B.E. (traces de frottements).

СТРЕМОУХОВ М.Б., СИМАНСКИЙ П.Н.
Жизнь Суворова в художественных изображениях. Собрание
портретов, картин, гравюр, рисунков, карикатур, снимков со
статуй, медалей и других произведений живописцев, граверов,
скульпторов и других художников. Изд. Т-во скоропечатни А.А.
Левенсон, Москва, 1900. 388 стр., 18 л. ил., 32,9 х 25,7 см. В
издательском полукожаном переплете, верхняя переплетная
крышка украшена портретом Суворова. Сохранена издательская
обложка. Хор.сост. (потертости корешка, надрывы)
Богато иллюстрированное издание, подготовлено к празднованию
100-ой годовщины смерти А.В. Суворова. Составители книги
офицеры Генерального Штаба М.Б. Стремоухов и П.Н. Симанский,
занимаясь изучением деятельности великого русского полководца
Александра Суворова (1730-1800).

1 000 / 1 500 €

t

LOT 20 :   4 lithographies sur le sujet
de l’Armée Impériale. 25 x 20,5 cm. C.1930.

ЛОТ из 4х литографий на тему Русской Императорской Армии.
25 х 20,5 см. Ок.1930е гг.
100 / 200 

t

DOCUMENTS HISTORIQUES
Редкие исторические документы

LOT 27 : [SOUVENIRS DE LA VISITE DE L’ESCADRE
RUSSE à Paris en 1893]
Lot comprenant : MENU du dîner officiel, le 19 octobre 1893
à l’Hôtel de Ville. Exemplaire de Ch. Fouquet (homme politique, préfet, sénateur, ministre et président du Conseil). Reliure en cuir rouge et blanc, ornée d’or. In-12. T.B.E. ; CARNET DE BAL. Bal donné à l’Hôtel de Ville en l’honneur des Officiers de l’Escadre Russe. Le 20 octobre 1893. 4 pp., in-18 , reliure en papier avec des blasons russes. Nous y joignons deux cartes
décorées des portraits de l’Empereur Nicolas II et de l’Impératrice
Alexandra Feodorovna. Souvenir de leur visite à Paris en 1896.
15 x 7,5 cm. Parfait état.

[РУССКАЯ ЭСКАДРА во Франции]
Сувениры по случаю визита русской эскадры во Францию в 1893 году. Лот включает: Меню званого ужина в Мэрии Парижа 19 октября 1893 года. В кожаном оригинальном переплете с золотым тиснением. Экземпляр CH.Floquet (политический деятель, адвокат и министр Совета). 20 х 13,5 см. Хор.сост.; Бальная книжка. Бал в мэрии Парижа 20 октября 1893 г. по случаю визита русской эскадры во Францию. 4 стр., 13 х 8 см., оригинальный бумажный переплет с тиснеными гербами, переплетен шелковым шнуром с кисточкой.
Прилагаем две карточки по случаю визита Императора Николая II и
Императрицы Александры Федоровны в Париж в 1896 году. 15 х 7,5
см. Украшены портретами царствующей четы. Отл.сост.

1 500 / 1 800 €

t

LIVRE D’OR DE LA BALERINE MATHILDE KSCHESSINSKA ET DU GRAND DUC ANDREÏ VLADIMIROVITCH DE RUSSIE.
PROVENANT DE LA VILLA « ALAM » A CAP D’AIL.

ГОСТЕВАЯ КНИГА МАТИЛЬДЫ КШЕСИНСКОЙ И ВЕЛИКОГО КНЯЗЯ АНДРЕЯ ВЛАДИМИРОВИЧА
ИЗ ВИЛЛЫ « АЛАМ » В КАП Д’АЙ ВО ФРАНЦИИ.

Mathilde Kshessinska – danseuse étoile des théâtres impériaux de Saint Pétersbourg de 1890 à 1917 (elle obtient le statut de danseuse étoile en 1896). Après son spectacle final de l’École de danse, Mathilde fait la rencontre du tsarévitch Nicolas Alexandrovitch (futur empereur Nicolas II). Alexandre III l’invite à leur table en disant : « Soyez la gloire de notre ballet.» Ce soir-là, le jeune tsarévitch tombe amoureux de la belle danseuse. A compter de ce jour, Nicolas Alexandrovitch ne manquera aucun spectacle de Kshessinska, il lui offrira un hôtel particulier à Saint-Pétersbourg et restera en relation avec la ballerine jusqu’à la mort d’Alexandre III. Plus tard, Mathilde racontera dans ses mémoires comment le tsarévitch dansait les parties du ballet « Le Petit chaperon rouge » dans le salon de sa nouvelle maison.
La romance s’arrête à la mort d’Alexandre III quand Nicolas Alexandrovitch doit reprendre le règne et annonce son mariage avec Alix de Hessen-Darmstadt (future Alexandra Feodorovna). Malgré la rupture, ils ont pu garder de bonnes relations et Mathilde a dansé lors des spectacles accompagnant le couronnement de Nicolas II.
Peu après, la ballerine deviendra la maitresse du petit-fils du Nicolas Ier – le grand-duc Sergeï Mikhailovitch. Le grand général ne cacha jamais son amour pour Mathilde et vécut plusieurs années avec elle. Pendant la soirée des dix ans de sa carrière, Mathilde fait une rencontre avec un cousin de Nicolas II – le grand-duc Andreï Vladimirovitch et tombe amoureuse de lui. Elle passe l’automne 1901 avec lui en Europe d’où elle revient enceinte. La famille impériale n’accepte pas cette union et Mathilde reste pendant plusieurs années avec Sergeï Mikhailovitch qui élève son fils comme le sien. Après la Révolution, les bolcheviks confisquent son hôtel particulier et Mathilde décide quitter Petrograd pour rejoindre Andreï Vladimirovitch au sud à Kislovodsk. Peu après son départ, Sergeï Mikhailovitch est assassiné à Alapaievsk.
En 1920, Andreï Vladimirovitch prend la décision douloureuse de quitter la Russie et part avec Mathilde et leur enfant. Ils s’installent à la villa « Alam » en France et se marient en 1921. Mathilde et Andreï resteront ensemble jusqu’à la mort du grandduc à Paris en 1956.

LOT 30 : KSCHESSINSKA Mathilde (1872-1971) – Autographe
Andreï Vladimirovitch de Russie, grand-duc (1879-1956) – Autographe
Livre d’or de la villa « Alam » à Cap d’Ail sur la Côte d’Azur. Reliure en cuir rouge, orné d’or, dos aux nerfs, « Villa Alam » orné au dos. Les pages sont numérotées au crayon jusqu’à la page 133 et contiennent du texte, ensuite
les pages sont blanches. In-8, B.E. (légères traces de frottement sur la reliure). Accompagné de son coffret d’origine en bois et cuir rouge foncé. En l’état (il manque du cuir au dos du coffret, salissures). 29 x 6 x 21,5 cm.
Nombreuses notes autographes des invités de la famille venus à la villa à l’occasion de différentes soirées entre 27 février/12 mars 1914 et 20 janvier 1929. Une interruption des notes du 2/15 mai 1914 et au 12/25 mars 1920 quand la famille reste bloquée en Russie à cause de la Révolution russe. Le grand-duc Andreï Vladimirovitch écrira dans ce livre le 12/25 mars 1920 : « Retour à la maison, après une longue absence, à la Villa Alam. Andreï, Malitchka, Vova ».

КШЕСИНСКАЯ Матильда (1872-1971) – Автограф Андрей Владимирович (1879-1956), Великий Князь – Автограф Гостевая книга из виллы « Алам » в Кап Д’Ай на Лазурном берегу Франции. Цельнокожаный красный переплет с золотым тиснением. На корешке указание « Villa Alam ». Страницы до 133 нумерованы карандашом и содержат текст, остальные пустые. 26,5 х 20 см. Хор.сост. (легкие потертости по корешку, небольшая деформация крышки).
Представлена с оригинальным кофром (дерево, темно-красная кожа с золотым тиснением), 29 х 6 х 21,5 см., в состоянии (отсутствует кожа по корешку, потертости, загрязнения). Многочисленные записи с 27 февраля/12 марта 1914 года по 20 января 1929 года. Перерыв в записях с 2/15 мая 1914 г. по 12/25 марта 1920 г. Запись от 12/25 марта 1920 г.:
« Приезд домой, после долгой разлуки à Villa Alam. Андрей, Маличка, Вова ».

2 000 / 3 000 €

t

LOT 37 :[Ballets russes]
Programme pour l’opéra Boris Godounov au théâtre des Champs-Elysées, 8e saison de Serge Diaghilev (1912-1913), 27 mai. F. Chaliapine chante la partie principale. 46 pp., in-4, reliure illustrée de l’éditeur. Parfait état.

[Русские сезоны]
Программа к постановке оперы « Борис Годунов » в театре на Елисейских полях. 8й сезон Дягилевских сезонов 1912-1913 гг, постановка 27 мая, в главной партии Ф.Шаляпин. В программе представлены репродукции оформления сцены К.Юона, фотографии артистов. 46 стр., 28,5 х 19 см., издательская иллюстрированная обложка. Коллекционная сохранность.

500/600 €

t

LOT 42 : ALLILOUÏEVA Svetlana (Lana Peter) (1926-2011), fille de Joseph STALINE. – Autographe Lettre autographe signée à deux journalistes du Figaro. 6 pp. in-4 en anglais sur papier bleu. Enveloppe autographe.
Londres, 4 avril 1993.
Très intéressante lettre de la fille de Staline, préparant une autobiographie et livrant ses pensées sur son père, les Américains et les Russes. « Que mon interlocuteur soit homme ou femme m’est égal (…) mais s’il vous plait (…) qu’il ne soit pas « contaminé » ni par la nostalgie russe, ni par le concept américain du « super man ». (…) les médias soviétiques, comme américains, ont cherché à me présenter comme une femme au foyer névrosée ne sachant rien sur rien. »

АЛЛИЛУЕВА Светлана (1926 – 2011), дочь Иосифа Сталина. – Автограф
Письмо-автограф, с подписью Lana Peters к журналисту газеты « Le Figaro » Морису Далинвалю (Maurice Dalinval). 6 стр. in-4° на английском, на светло-голубой бумаге. Прилагается конверт с адресами. Лондон, 4 апреля 1993г.
« Ни в коем случае мы не должны пытаться создать новую биографию Иосифа Сталина. Оставим это Академикам и историкам. »
Большое и подробное письмо к известному журналисту газеты « Le Figaro » Морису Далинвалю, где Светлана посвящает его в свое видение ее биографии, которую предполагается писать совместно. Неизбежность обсуждений личности отца расстраивает Светлану « Нам не нужна еще одна биография Сталина и нам не нужно делать его центром книги (…) ». В надежде, наконец, представить себя, как космополита и личность, прошедшую через много тяжелых историй. « (…) советская пресса, как и американская, пытались выставить меня невротичной домохозяйкой, совершенно ничего не зная (…) ». Светлана хочет, хотя бы в своей последней биографии решать  амостоятельно о чем она будет. « Я уже не терплю, что бы мне говорили, как делали это американцы, что писать и как писать, потому что я должна решать это, как автор. ». По ходу письма,
Светлана неоднократно делиться своими взглядами на американцев и Советы. « (…) и пожалуйста, что бы она (***книга) не была заражена ни ностальгией по России, ни американским концептом « супер мена ». Я устояла! Концепт американского превосходства в мире, для меня смешон ». Представленное письмо относится к достаточно позднему периоду жизни Светланы Аллилуевой, на тот момент находящейся во второй эмиграции в Великобританию (после временного пребывания в СССР и повторного отказа от гражданства). Периодически след ее теряется, а пресса все чаще упоминает ее, как полусумасшедшую интриганку. Но личность столь необычной женщины продолжает интересовать современников. Работа над статьями в « Le Figaro » выливается в идею совместной работы над биографией, что становится для Светланы своеобразной отдушиной и возможностью показать публике себя настоящую.

1 500 / 2 000 €

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LOT 46 : Album de « L’Exposition rétrospective des objets d’art en 1904 à Saint-Pétersbourg », sous le patronage de l’impératrice Alexandra Feodorovna. Texte par A.Prakhov, éd. Goliké et Vilborg,
Saint-Pétersbourg, 1907 (1908 sur la couverture). En russe et en français.
273 pp., 19 ills., in-folio. En l’état (il manque le dos, déchirures). Rare.

Альбом исторической выставки предметов искусства, устроенной в 1904 году в Санкт-Петербурге, под августейшим покровительством Ее Императорского Величества Государыни Императрицы Александры Федоровны в пользу раненых воинов. Текст А.Прахова, издательство товарищества Р. Голике и А. Вильборг, Санкт-Петербург, 1907 г. (1908 г. на обложке). Издание отпечатано параллельно на русском ифранцузском языках. 19 иллюстраций, 273 стр., 35,5 х 29 см. В состоянии (утрата корешка, надрывы). Историческая выставка предметов искусств проводилась с февраля по март 1904 г. в выставочном зале музея барона Штиглица в Санкт-Петербурге. На выставке были представлены предметы прикладного искусства из частных собраний России и Австрии.

350 / 450 €

t

LOT 49 : DOBOUZHINSKI Mstislav (1875-1957)
Biarritz Chiberta. Ed. Le golf les villas, Paris, 1929. Les horstexte
et dessins d’après un projet de M. Dobouzhinski. En français, 21 pp., papier velin, in-folio, reliure de l’éditeur. A.B.E. (taches sur les pages).

ДОБУЖИНСКИЙ Мстислав (1875-1957)
Biarritz Chiberta. Ed. Le golf les villas, Париж, 1929. Рисунки по
проектам М.Добужинского. На французском языке, веленевая
бумага, 21 стр., 37 х 28 см., издательская обложка. Общ.хор.сост.
(пятна на страницах).

200 / 300 €

t

LOT 58 : GRIGORIEFF Boris (1886-1939) LOT de deux livres : 1) Visages de la Russie. Texte de Louis Réau, Clare Sheridan, André Levinson, Claude Farrère et André Antoine. London, 1924. – 100, [8] p .: il. In-folio. Exemplaire numéro 78 (sur 500). En français.
Nombreuses planches des illustrations réalisées dans la technique de la zincographie et de l’autotypie coloriée. Reliure d’origine demi-cuir beige
(légères salissures). B. E. Boris Grigorieff (1886-1939) – peintre de l’avant-garde russe. En 1922 – 1923 Grigoriev travaille sur une série de portraits des acteurs du théâtre MHT de Moscou (le plus avant-gardiste de l’époque). Une partie de cette série rejoindra l’album « Les Visages de la Russie ».
2) Rasseja. Potsdam, Mueller & Co.; Petersburg-Berlin, S. Efron Verlag, 1921. En allemand, reliure de l’éditeur, 52 pp., 46 ill., in-4. A.B.E. (traces d’eau sur un coin de plusieurs pages à la fin).

ГРИГОРЬЕВ Борис (1886–1939) ЛОТ из ДВУХ КНИГ: 1) Лики России; текст Луиса Рео, Клэр Шеридан, Андрэ Левинсона, Клода Фаррера и Андрэ Антуана. Лондон, 1924. На французском. 100, [8] с.: ил.; 34,5х27 см. – 500 экз., номер 78. Многочисленные полностраничные иллюстрации воспроизведены в технике цинкографии и цветной автотипии. Листы с иллюстрациями защищены папиросной бумагой. В издательском полукожаном переплёте с золотым тиснением по верхней крышке и корешку. Хор.сост. (незначительные загрязнения переплёта).
Григорьев, Борис Дмитриевич (1886–1939) – живописец, график, художник книги, художник театра, педагог и литератор, блестящий мастер рисунка, соединивший академическую традицию с авангардом. В 1922–1923 годах Б. Григорьев исполнил серию, в которой отобразил культурную среду современной России через портреты актеров Московского Художественного театра: К.С. Станиславского, В.И. Качалова, В.В. Лужского, О.Л. Книппер и др. Эти и некоторые другие работы вошли в альбом « Лики России ».
2)[Рассея]. Берлин: С. Ефрон, 1921. – 52 c.: ил., 46 л. ил.; 25,5 x 20 см. – На нем. яз. Издательский переплет. Сборник статей Оскара Бие, Павла Барнаха, А. Бенуа и самого Б. Григорьева, 70 репродукций в тексте и на отдельных листах с картин и рисунков Б. Григорьева. Общ.хор.сост.
(следы влаги на уголках последних страниц).

800 / 1 500 €

t

60. DELAUNAY Sonia (1885-1979)
Tract publicitaire formant invitation permanente à son atelier. 1927.
1p., in-4, impression en rouge et noir, en-tête à ses noms, adresse et
activité : « Robes, manteaux, écharpes, sac-tapis, tissus, « simultané ».
T.B.E.
« Faire de votre vie une oeuvre d’art » : « femme…amie ! Si vous sentez
que le rythme de l’existence a changé : si vous cherchez vainement les
éléments d’un cadre pour une vie d’aujourd’hui : allez voir, « Sonia
Delaunay procéder à la réforme du costume » (« Guillaume Apollinaire,
la femme assise »).
Nous y joignons une carte postale de la série Exposition des arts
décoratifs. Paris, 1925. Vue photographique d’un manteau et une
automobile constructivistes. B.E. Très rare.
Sonia Delaunay (1885-1979) fit deux longues incursions dans les arts
de la mode, d’abord à Madrid (1918-1921), avec ses activités de la « Casa
Sonia », puis à Paris (1921-1930). Pour présenter à Paris ses créations
inspirées du constructivisme russe et de l’ornementation Art Déco.

ДЕЛОНЕ Соня (1885-1979) Рекламная листовка, приглашение в ателье Делоне. 1927 г. На французском, 1 стр., 27 х 21 см., печать черными и красными красками. С указанием имени художницы и адреса ателье, а так же «Платья, пальто, шарфы, умки-ковры, ткани, ¢симультанэ¢ ». Хор. сост. Редка.
« Сделать из вашей жизни произведение искусства »: « женщина…
друг! Если вы чувствуете, что ритм жизни изменился: если вы
ищите новые рамки для жизни сегодняшней, приходите посмотреть
« Соня Делоне приступает к реформированию костюма ».
Прилагаем почтовую открытку из серии Выставка декоративного
искусства. Париж, 1925 г. Фотопредставление конструктивистского
пальто и автомобиля. Хор.сост. Редка.

300 / 400 €

t

LOT 66 : REMCHKIN M.D. – Autographe
Arrière-front de l’armée pendant la Grande Guerre. La lutte avec l’espionnage, l’alcoolisme et la prostitution. D’après les souvenirs du chef de la police de Riga. Cannes, 1935.
Recueil d’ articles.

РЕМЧКИНЪ М.Д. – Автограф Изнанка тыла Действующей Армии в Великую войну. Борьба со шпионажем, пьянством и проституцией – из воспоминаний последнего полицеймейстера г.Риги за 1915-1917 гг. Канны, 1935 г. Подборка статей по тематики.

200 / 300 €

t

LOT 69 : Les nouvelles de la littérature étrangère.
Ed. Bureau de la littérature révolutionnaire. Moscou, 1930.
№ 2. 215 pp., in-8. Tirage 4500 exemplaires. Reliure de l’éditeur.
A.B.E.

Вестник иностранной литературы. Орган Международного бюро
революционной литературы. 1930. № 2. М.: Гос. изд-во, 1930. 215
стр., ил.; 24,9 × 17,6 см; тираж 4500 экз. В издательской
иллюстрированной обложке работы художника С.Б. Телингатера
(?). Хор.сост. (надрывы по корешку).

200 / 300 €

t

LOT 76 : SOKOLOFF N. Enquête judiciaire sur l’assassinat de la famille impériale russe. Édition complétée, avant-propos de N. Sakhanovsky. Ed. de
l’ordre impérial russe (éditeur N.Skhakovsky), Buenos Aires, 1978. 299 pp., in-8, reliure de l’éditeur en papier (traces d’eau). Nous y joignons une carte postale représentante la maison d’Ipatiev où l’empereur et sa famille furent assassinés. Rare (interdite après l’impression).

СОКОЛОВ Н. Убийство Царской Семьи. Дополненное издание судебного следователя Н. Соколова, изданная Н.И. Сахновским. С
предисловием Н. Сахновского. Изд. российского императорского союза ордена, Буэнос-Айрес, 1978 г. 299 стр., 21,5 х 17,5 см., издательская обложка (следы влаги). Помимо материалов следователя Соколова, впервые опубликованных в первом издании, в данное издание вошли, ранее не публиковавшиеся приложения. Хор. сост. Редка.
Издатель Н.И.Сахновский – бывший капитан 5-й штурмовой
бригады Ваффен-СС, после войны руководитель Российского
Имперского Союза. Прилагаем почтовую карточку с изображением дома Ипатьева в г. Екатеринбурге, где был заключен и расстрелян Император Николай II и его Семья. Редка (запрещена в СССР почти сразу после издания)

150 / 200 €

t

Samedi 12 juin à 14 h Lots de 78 à 213

ICÔNES
Иконы

LOT 92 : Icône « Archange Michael présente Le Mandylion »
Tempera sur bois Russie, XIXe siècle 35 x 31 cm. En l’état.

Икона « Архангел Михаил представляет Спас Нерукотворный »
Дерево, темпера Россия, XIX век 35 х 31 см
В состоянии

500 / 700 €

t

LOT 104 : Icône « Les Douze Fêtes » Tempera sur bois
Russie, XIXe siècle 31 x 26,5 cm.

Икона « 12 праздников и Воскресение Господне »
Дерево, темпера Россия, XIX век 31 х 26,5 см

500 / 700 €

t

LOT 105 :  Icône « Crucifixion ». Tempera sur bois, croix en laiton. Russie, XIXe siècle. 36 x 28 cm. Icône « Le Ménologe pour le mois de février ». Tempera sur bois. Russie, XIXe siècle. 36 x 28 cm.

ЛОТ: Икона « Распятие Христово » Дерево, темпера, медь
Россия, XIX век 31 х 26 см. В состоянии.
Икона « Месяцеслов на февраль » Дерево, темпера Россия, XIX век
36 х 28 см

400 / 500 €

t

LOT 107 : Icône « Christ Pantocrator » Tempera sur bois, oklad en argent
Poinçons : C Г, 84 et tête de femme tournée à gauche Russie, XXe siècle
26,5 x 22 cm. Peinture accidentée

Икона « Христос Вседержитель » Дерево, темпера, оклад из серебра
Клейма: C Г, 84 и голова в кокошнике влево Россия, XХ век
26,5 х 22 см. В состоянии

400 / 600 €

t

LOT 118 : Icône ouvrante en trois parties.
« Christ Pantocratore, Vierge Marie, Jean le Baptiste ». Laiton,
émail bleu et blanc. Russie, XVIII – XIXe siècle. 15 x 40 cm.
(ouvert).

Медный трехчастный складень. Христос Вседержитель в окруже-
нии Богоматери и Иоанна Предтечи. Медь, белая и голубая эмаль
Россия, XVIII – XIX век 15 х 40 см. (открытый)

150 / 200 €

t

OBJETS D’ART
Предметы ДПИ

LOT 119 : PORTRAIT de NICOLAS Ier, Bronze France, XIXe siècle
31 x 17 x 13 cm.

Бюст Николай I Бронза Франция XIXй век
31 х 17 х 13 см.

1 500 / 2 000 €

Lot 120 :  Jeton pour le couronnement d’Alexandre Ier
1801, argent 4,8 g., d : 2,3 cm. B. E.

Жетон в память коронации Александра I, 1801 г.
Серебро, 4,8 гр., Д: 2,3см., хор.сост.

200 / 300 €

t

LOT 124 : OMERTH Georges (1895-1925) Cosaque brandissant son fusil
Bronze doré Signé sur la terrasse
H : 32,5 cm.

ОМЕРТ Жорж (раб. 1895–1925) Казак с поднятым ружьем
Бронза, золочение Подпись на основании
Высота: 32,5 см.

300 / 400 €

t

LOT 131 :  PLAT de présentation du service ordinaire avec un petit aigle bicéphale. Porcelaine Marque verte « НII » под короной
61 x 31 cm. XXe siècle.

БЛЮДО презентационное из ординарного сервиза с малым
двуглавым орлом Фарфор. Марка зеленая надглазурная « НII » под короной 61 х 31 см. XXй век.

200 / 300 €

t

LOT 137 :  Théière. Porcelaine peinte. Manufacture
M.S. Kouznetsov. 1900. 12 cm ; Théière. Porcelaine peinte.
Manufacture M.S.Kouznetsov. 1900. 11 cm ; Théière. Porcelaine
peinte. Manufacture Gardner à Moscou. 1880-1890. 11 cm ;
Théière. Porcelaine peinte. Manufacture M.S. Kouznetsov. 1900.
9,5 cm ; Tasse et sa sous-tasse. Porcelaine peinte. Manufacture
M.S. Kouznetsov. 1900. ; Paire de tasses et sous-tasses.
Manufacture M.S. Kouznetsov à Doulevo. 1880-1890.

ЛОТ: ЧАЙНИК. Фарфор, роспись. Т-во М.С.Кузнецова. 1900е гг.
12 см.; ЧАЙНИК. Фарфор, роспись. Т-во М.С.Кузнецова. 1900е гг.
11 см.; ЧАЙНИК. Фарфор, роспись. Фабрика Гарднера в
Москве. 1880-1890е гг. 11 см.; ЧАЙНИК. Фарфор, роспись. Т-во
М.С.Кузнецова. 1900е гг. 9,5 см.; ЧАШКА с БЛЮДЦЕМ. Фарфор,
роспись. Т-во М.С.Кузнецова. 1900е гг.; КОФЕЙНАЯ ПАРА.
Фабрика М.С.Кузнецова в Дулеве. 1880-1890е гг.

100 / 150 €

t

LOT 151 : SAMOVAR, Cuivre, Toula, 1878. Manufacture des frères Batachev.
Avec son plateau et bol d’origine. 67 x 40 cm. T.B.E.

САМОВАР Тула, 1878 г. Василий, Александр и Павел Баташевы
С подносом, чашей и дымоотводом. Отл.сост. 67 х 40 см.

400 / 600 €

t

LOT 157 : POIGNARD Avec son fourreau d’origine
Géorgie, fin XIXe siècle. 51 cm. B.E.

КИНЖАЛ С оригинальными ножнами
Грузия, конец XIX века. 51 см. Хор.сост.

800 / 1 200 €

LOT 158 : POIGNARD Avec son fourreau d’origine en argent. Décoré d’un motif ottoman.
Caucase, XIXe siècle. 52 cm. A.B.E.

КИНЖАЛ С оригинальными ножнами из серебра. Украшен оттоманским мотивом. Кавказ, XIX век. 52 см. Общ.хор.сост.

1 200 / 1 500 €

t

COLLECTION DE MONTRES OFFERTES POUR
DES FAITS MILITAIRES
(Collection d’un amateur parisien).
Подарочные армейские часы (Частная коллекция, Париж).

LOT 180 : MONTRE DE GOUSSET cadeau « Pour la compétition de tir »
Henri Khan à Saint-Pétersbourg (fournisseur de la cour impériale)
D’après l’année 1911, offerte à Kuzma Shanker
Argent gravé, Poinçons : 84 0.875; 564435; 163 (gravé)
5,5 х 5,5 cm., avec la chainette, 64 g.

Подарочные часы « За отличную стрельбу »
Генрих Канъ СПб (Поставщик частей Императорской гвардии)
За 1911 год Л.Гв. Гренадерского п. 2 подпрапорщик Кузьма Шакранъ.
Серебро гравировка, Клейма: 84 0.875; 564435; 163 (гравирован)
5,5 х 5,5 см., с цепью, 64 гр.

300 / 400 €

t

LOT 183 : KOVSH Argent, émail cloisonné
Poinçons : 84 et tête de femme tournée à gauche, НЗ. 10 cm.

КОВШ Серебро, перегородчатая эмаль
Клейма: 84 и голова в кокошнике влево, НЗ. 10 см.

400 / 500 €

t

LOT 184 : BOL par FABERGE
Argent, repoussage Poinçons : tête de femme tournée à droite et 84 ;
K.Fabergé sous l’aigle bicéphale 8 x 20 x 13 cm., 585 g. Moscou, 1908-1917

ЧАША ФАБЕРЖЕ Серебро Клейма: голова в кокошнике вправо и 84, К.Фаберже под двуглавым орлом 8 x 20 x 13 см., 585 гр. Москва, 1908-1917

5 000 / 8 000 €

t

LOT 186 : POT A LAIT Argent, émail cloisonné
Poinçons : tête de femme tournée à droite et 88, 6A
8,5 x 10 cm.

МОЛОЧНИК Серебро, перегородчатая эмаль
Клейма: голова в кокошнике вправо и 88, 6А
8,5 х 10 см.

400 / 500 €

t

LOT 196 : SUCRIER Argent, vermeil, gravé
Poinçons : 84 И(СПб)Е 1884, МН 11 x 15 cm. Saint-Pétersbourg, 1884.

САХАРНИЦА Серебро, вермей, гравировка
Клейма: 84 И(СПб)Е 1884, МН 11 х 15 см. Санкт-Петербург, 1884 г.

300 / 400 €

t

LOT 200 : LOT d’argenterie de table
Argent gravé. Poinçons différents. Russie, XIX-XXe siècle.

ЛОТ СЕРЕБРА 2 кольца для салфеток; ложка для сахара и маленькая вилочка; Две ложки и две вилки; 3 ложки для сахарной пудры; 8 чайных ложек Серебро, гравировка Клейма разных мастеров
Россия, XIX-XX в.

200 / 300 €

t

LOT 203 : ENSEMBLE comprenant un POT A LAIT et une PINCE A SUCRE
Argent, vermeil ciselé et gravé
Poinçons : 1875, Tête de femme tournée à gauche ; Н Ф Л, 84, 255 gr.

МОЛОЧНИК и ЩИПЦЫ для сахара Серебро, вермей, гравировка
Клейма: 1875, голова в кокошнике влево, Н Ф Л, 84, 255 гр.

150 / 200 €

t

LOT 208 : Verre à vodka. Argent gravé
Poinçons : П Д, 84 et Odessa ? 63 gr. Russie, début du XXe siècle

Cтопка для водки Серебро, гравировка
Клейма: П Д, 84 и Одесса 63 гр. Россия, начало ХХ века

150 / 200 €

t

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23
Jan

Conférence-Concert solistes Opéra de Moscou

   Publié par: artcorusse   dans Brèves

 

Conférence de Maestro Andreï Chevtchouk

Concert des solistes

du nouvel Opéra de Moscou

Samedi 30 janvier 2021

Sur le site web du CRSC : crsc.fr

 

 

Les traditions des entrepreneurs théâtraux russes, si brillamment poursuivies par Sergei Diaghilev en Europe, ont été posées en Russie au XIXe siècle, loin des sentiers battus des théâtres impériaux officiels de Saint-Pétersbourg et de Moscou.

Il y en avait beaucoup de petits, n’apparaissant que pour une saison ou deux, et disparaissant tout aussi vite, «entreprise», comme on les appelait alors à la française. Dans son nouveau programme, le maestro Andrei Chevtchouc parle des théâtres musicaux les plus grands et les plus célèbres, à savoir: l’Ermitage d’été de Moscou de Mikhail Lentovsky, l’opéra privé de Moscou de Savva Mamontov et, bien sûr, l’imagination impressionnante, le jardin d’été reconstruit et le nouvel Ermitage. “- la création de Yakov Chtchoukine, où des stars européennes sont venues se produire. Au même endroit à la fin du XIXe et au XXe siècles. avant le départ définitif de la Russie, la remarquable basse russe Fyodor Chaliapine a brillé.

Au XXe siècle, le Théâtre d’été de Moscou, rue Karetny Ryad, a poursuivi ses activités. Cependant, ce lieu vraiment emblématique est devenu un symbole théâtral à l’époque de la nouvelle Russie, lorsque, dans les années 90, grâce à l’énergie du chef-symphoniste, figure théâtrale Evgeny Vladimirovich Kolobov, le théâtre d’opéra Novaya a été lancé dans le jardin d’été.

L’attachée de presse de ce théâtre unique Oksana Volkova nous racontera l’histoire de son origine et sa continuité créative.

L’auteur et animateur du cycle, le maestro Andrey Chevtchouc, présentera au public les solistes du Nouvel Opéra, parlera du patrimoine culturel musical, des traditions et de la modernité, chefs-d’œuvre de la musique russe et française.

Le programme montrera des vidéos rares d’archives personnelles, gracieusement fournies par l’artiste émérite de Russie Vitaly Efanov (bsse), Irina Kostina (soprano).  En outre, des rencontres auront lieu avec la soprano Irina Kostina (Efinova), chef du département du répertoire du théâtre, et le chef invité du New Opera, président de l’Artistic College, le maestro Jan Latham-Kœnig (Grande Bretagne).

 

                      Vitaly Efanov, Irina Kostina, Irina Kostina & Jan Latham-Kœnig

 

Le chef d’orchestre et pianiste Andreï Chevtchouc, né à Saint-Pétersbourg en 1970. Après une solide formation de chef d’orchestre et de chef de chœur, Andreï Chevtchouk exerce ses fonctions en Russie, en Allemagne, en Belgique, puis en France où il réside actuellement.

Si la direction d’orchestre symphonique est sa principale vocation, tous types de formations lui offrent l’occasion de livrer un art accompli de chef d’orchestre : la valorisation des œuvres et des musiciens de l’orchestre, la pédagogie, l’énergie et l’investissement auprès du public, sont les maîtres mots de ce chef d’orchestre charismatique et polyvalent.

Dans le domaine lyrique, il est invité régulièrement au festival d’opérettes d’Aix les Bains, à Grenoble, à Boulogne sur Mer, et s’est produit au festival de Lamalou. Le désir de partager son expérience de professionnel de haut niveau le conduit à donner régulièrement des conférences en France et à l’étranger. Il collabore avec des solistes nationaux et internationaux.

 

 

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Nouvel Opéra de Moscou

 

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En 1991 Evgueni Kolobov, chef d’orchestre  démissionne du Théâtre académique musical de Moscou et il trouve un appui auprès du maire de Moscou qui donne son accord pour la fondation du « Nouvel Opéra », dont il devient le chef d’orchestre et le directeur artistique. Son épouse, Natalia Popovitch, est nommée chef des chœurs.

La programmation s’ouvre à de grandes œuvres en version concert, comme Le Trouvère, La Pucelle d’Orléans ou Le Prince Noir. Le Nouvel Opéra fait de nombreuses tournées à l’étranger et s’est produit en France au Théâtre des Champs Elysées.

 

 

 

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Déc

Programme CRSC de Paris en février

   Publié par: artcorusse   dans Informations

Activités du CRSC Paris

Février  2021

Site-Web du CRSC, Paris

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Dimanche 28 février à 16 h

 Conférence d’ Andreï Chevtchouk     

Film-Découverte  

” Chaliapine en France”

Sur le site Web CRSC

Rencontre en russe et en français

Le Centre de Russie pour la science et la culture à Paris invite son publique à la première d’un nouveau film-découverte créé par le maestro Andreï Chevtchouk dans le cadre de son cycle d’auteur «Encyclopédie musicale».

Les thèmes abordés par le CRSC dans le format de ce cycle culturel et éducatif, représentent une palette de faits historiques et d’œuvres musicales qui, à leur tour, reflètent la richesse du patrimoine musical russe en France et la biographie de l’art français en Russie.

Andreï Chevtchouk est connu comme directeur artistique des festivals d’opéra, dirigeant de l’association des chorales, qui travaille depuis plus de vingt ans en Russie, France, Belgique, Allemagne et dans d’autres pays.

Les conférences musicales, les conférences-concerts, qu’il prépare, sont toujours accompagnés d’une histoire fascinante, de références historiques bien rares, de photographies d’archives et d’enregistrements vidéo précieux.

Article ci-dessous :

INSCRIPTION : CLIQUEZ

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PROGRAMME  COMPLET  CI-DESSOUS

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Du lundi 1 au dimanche 28 février 2021

EXPOSITION EXCEPTIONNELLE

“La parole créatrice de l’artiste”

Exposition extérieure et en ligne sur le site : crsc.fr

Année croisée de la coopération interrégionale Russie—France.

Exposition photo-documentaire pour le 100e anniversaire (2020) de l’écrivain russe, d’une personnalité publique éminente Fiodor Alexandrovitch Abramov, originaire de la région d’Arkhangelsk.

Fiodor Abramov est un célèbre écrivain soviétique et russe, critique littéraire, publiciste, officier de contre-espionnage militaire, professeur de philologie et personnalité publique du XXe siècle.

Avec Vassili Choukchine, Victor Astafiev et Valentin Raspoutine, il était l’un des principaux représentants de la « prose rurale » — un mouvement significatif dans la littérature russe des années 1960–1980.

Les œuvres les plus célèbres de Fiodor Abramov sont des romans du cycle « Les Priasline » (« Frères et Sœurs », « Deux hivers et trois étés », « À la croisée des chemins », « La Maison »), où sont dépeintes toutes les épreuves endurées par les villageois pendant la Grande guerre Patriotique (1941) : les années de famine, la réception des avis de décès de soldats, les dures journées de travail.

Le credo de vie d’Abramov est « Faire lever, par tous les moyens, faire lever l’Humain dans l’homme ». Cet appel est aussi important aujourd’hui qu’il l’était à l’époque.

Le CRSC à Paris présente une exposition photo-documentaire sur les panneaux d’affichage exterieurs « La parole créatrice de l’artiste », qui raconte la vie de l’écrivain Fiodor Abramov — son enfance troublée, ses études à l’université, son service militaire, son cheminement créatif difficile et son activité publique. Mais aussi ses inquiétudes sur le sort du pays et de son village natal, sur le sort d’un simple ouvrier. Elle raconte le patrimoine et les messages moraux qu’il nous a laissés, sa position citoyenne, littéraire et de vie.

Ce récit est enrichi de citations tirées des œuvres et des discours publics de Fiodor Abramov, il est illustré avec des photographies de l’écrivain, de ses parents, de ses compatriotes et de ses amis, ainsi que de son village natal de Verkola.

La présentation de l’exposition à l’étranger ne relève pas du hasard. L’œuvre de Fiodor Abramov est connue non seulement des lecteurs russes, mais aussi des lecteurs étrangers. Ses livres ont été publiés dans de nombreux pays du monde — aux États-Unis, en Allemagne, en Angleterre, aux Pays-Bas, en Serbie, en Chine et en France. L’écrivain lui-même a beaucoup voyagé à l’étranger.

Cette exposition, organisée par le CRSC à Paris en coopération avec l’Administration de la région d’Arkhangelsk, s’inscrit dans le cadre du programme de l’Année croisée de la coopération interrégionale Russie-France et a pour ambition de faire découvrir la contribution littéraire et autres richesses de cette belle région russe.

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Jeudi 4 février 

vidéo avec Mikhaïl Veller

sur le site Web CRSC 

Mikhail Iossifovitch Veller est né en 1948 en Ukraine dans un milieu médical. Jusqu’à 16 ans il change souvent d’école, en fonction des affectations de la famille, en 1969 sur un différend familial il part de Léningrad pour se rendre au Kamtchatka. En 1971 il réintégre l’université, il publie son histoire pour la première fois dans le journal du mur de la faculté “Philolog”. En 1972, il défendit à deux reprises sa thèse de fin d’étude sur le thème: “Types de composition de l’histoire soviétique russe moderne” .

De 1973 à 1986 il travaille dans différents secteurs ( ouvrir du baâtiment, guide, correspondant de presse, chasseur, pêcheur, archéologue…). De 1987 à 1990 il est chef du département de littérature russe du magazine Raduga à Tallinn. De 2006 à 2014, il a animé une émission hebdomadaire sur Radio Russie  “Parlons avec Mikhail Veller” et du 18 octobre 2015 au 27 avril 2017 – l’émission de l’auteur “Think Only” à la radio ” Echo Moscou “.

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Lundi 8 février 2021 à 14h

Conférence internationale

” Le Futur et la Pandémie “

Sur ZOOM

En partenariat avec :
La Mission culturelle russe au Danemark;
L’Association dano-russe;
La Représentation de Rossotroudnitchestvo en France

Les défis de la nouvelle décennie :

LES ÉPIDEMIES ET LES PANDÉMIES.

Les approches innovantes à la prévention et la lutte contre la propagation des virus et infections.
Les impacts sociaux .

Recherchez des moyens de prévenir et de combattre la propagation de nouvelles infections.

L’événement réunira des spécialistes et des experts de premier plan, des scientifiques et des travailleurs médicaux, de grands instituts scientifiques et universités d’État en Russie, au Danemark, en France et aux États-Unis.

En russe et en anglais.

Le lien : https://us02web.zoom.us/j/82365607497

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Vendredi 12 février 2021

Conférence  de Victor Erofeev

Antioche Cantemir

sur le site Web CRSC 

Le prince Antioche Dimitriévitch Cantemir, fils du souverain moldave Dimitri Cantemir, il est né en 1708 à Constantinople, considéré comme le fondateur de la poésie russe moderne. Ambassadeur de Russie à Paris de 1738 à 1744, il avait une parfaite connaissance de la langue française, il a poursuivi se travaux littéraires, et composa ses dernières satires  sur le modèle d’Horace et de Boileau, et où l’inspiration des Caractères de La Bruyère se fait nettement sentir. Leurs premières édition russe ne date que de 1762. Dans ses œuvres poétiques, Cantemir utilise des vers syllabiques qui, après la «Lettre sur les règles de la poésie russe» de Lomonosov (1739), cèdent progressivement la place à la  vérsification syllabo-tonique.

Le prince fait ce qu’on appellerait aujourd’hui la « diplomatie culturelle », qui est particulièrement remarquable. Sa prestance et son aménité font merveille dans les salons. Par sa formation et ses écrits, il est un « digne fils des Lumières », recherché par les philosophes, comme Voltaire avec qui il correspond. Il renforce les échanges entre savants russes et français, fait entrer son ami Maupertuis à l’Académie russe, et tente la même démarche en faveur du mathématicien Clairaut. Il fréquente également les artistes, appuyant ceux que tentent les opportunités offertes par la Russie. Mais sa santé fragile se détériore de plus en plus, malgré des cures à Plombières, et il meurt le 11 avril 1744.

Victor Erofeev est lauréat du prix Vladimir Nabokov (1992), titulaire de l’Ordre des Arts et des Lettres de France (2006) et de l’Ordre de la Légion d’honneur (2013). Il est l’auteur d’ouvrages sensationnels tels que « La Belle de Moscou », « La vie avec un idiot », « Le dernier jugement », « L’encyclopédie de l’âme russe », « La souris rose », dont beaucoup ont été traduits et publiés en dizaines des langues.

L’écrivain a passé une partie de son enfance en France, à Paris, où son père Vladimir Erofeev a travaillé dans le service diplomatique. L’écrivain a conservé une attitude très chaleureuse et personnelle envers ce pays.

À l’invitation du CRSC, Alexandre Miller de la Cerda, le Сonsul honoraire de Russie à Biarritz, a aimablement accepté de faire entendre la version française du podcast sur le diplomate russe exceptionnel. Qui plus est, Monsieur Miller de la Cerda a préparé son propre commentaire sur le podcast de l’histoire du service diplomatique russe en France d’antan.

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Mardi 17 février de 16 h à 17 h

” Séminaire méthodique … “

Natalia Soldatkina

sur le site Web CRSC 

▪ Apprentissage rapide de la perception des matériaux sonores auditifs
▪ Étudier la grammaire, le vocabulaire et les études régionales basé sur des documents audios

Thème « La météo ».

Natalia Soldatkina, professeur de russe langues étrangère. Expérience professionnelle de plus de 20 ans.

Auteur de plusieurs méthodes didactiques du russe langue étrangère :
▪ grammaire appliquée,
▪ littérature russe,
▪ civilisation russe.

Travaille avec des enfants ainsi qu’avec des adolescents et adultes. Quelle que soit leur maitrise de la langue russe (А1–С2).

La géographie de carrière professionnelle : France, Suisse, Italie.

En russe.

INSCRIPTION : CLIQUEZ

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Jeudi 18 février à 16 h

Rencontre avec

Kirill Privalov

” L’arme secrète de l’Histoire “

sur le site Web CRSC 

 

Kirill Privalov, journaliste de renom, spécialiste littéraire sur Radio Cultura et Chevalier de l’ordre des Arts et des Lettres, est aujourd’hui une personnalité respectée dans le milieu intellectuel russe. Il est l’auteur de plusieurs livres en russe et en français dont l’essai satirique Un Soviet au pays de Tonton, publié en 1991 chez Robert Laffont – premier livre avec le nouveau drapeau russe paru en France, vendu à plus de 5 000 exemplaires. Il a vécu plus de vingt ans en France, il a été correspondant de plusieurs médias russes, mais a également collaboré avec des médias français comme Courrier du dimanche, Paris Match ou Le Monde.

Si, en 2018, l’affaire Skripal a rappelé au monde l’existence du poison comme arme mortelle, son utilisation est pourtant récurrente à travers les siècles.

La mort de Hannibal, la malédiction d’Alexandre le Grand, la vengeance de Gengis Khan, Les poisons de la “sainte famille” Borgia, le principe toxique de Talleyrand, le Novitchok aux origines ouzbèkes — ce livre est un recueil d’histoires liées aux intrigues et aux complots de pouvoir.

C’est un essai qui foisonne d’une multitude de faits historiques, d’histoires liées aux intrigues et complots politiques, est une mine d’informations qui se lit comme un roman. Aboutissement d’une longue recherche documentée. En levant le voile sur les coulisses de notre mémoire collective, ce livre vous fait découvrir les événements réels parfois très sombres à l’origine de ces bouleversements qui ont façonné notre Histoire, et vous révèle le rôle incontournable et stratégique joué par l’utilisation de poisons en tous genres, à l’origine de bouleversements majeurs qui ont façonné notre Histoire. Éditions Macha.

Voir sur Youtube : CLIQUEZ

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Vendredi 19 février à 10 h

Visioconférence pour les jeunes

” L’Éspace de la Réunion “

en direct

Youtube CRSC Bratislava

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Mardi 23 février à 19 h

film documentaire de 

Didier Feldman

” Chroniques de Volga “

sur le site Web CRSC 

” Chroniques de la Volga ” de Didier Feldman est un hommage à la mémoire des soldats, du peuple soviétique, qui ont vaincu les nazis. En mai 2020, le monde a célébrer le 75e anniversaire de la fin de la Seconde Guerre mondiale. Les Chroniques de la Volga ont le devoir de se rendre compte que c’est l’URSS qui a joué un rôle décisif dans la victoire sur le fascisme et a payé le prix le plus élevé pour la libération de l’Europe du nazisme: avec 16 millions de civils et 10 millions de soldats.
Didier Feldman a souligné que «Chroniques de la Volga» est un reflet cinématographique de la guerre passée «sans images d’archives, sans pathos ni performances». Et les formes scéniques et les émotions seront véhiculées par des mots.
L’auteur présente le film comme un souvenir de ses ancêtres – arrière-grands-mères et grands-pères, ainsi que d’un grand-père du côté de son père, né dans la ville de Nikolaev en Ukraine.
Le titre  “Chroniques de la Volga” est un manifeste nécessaire à la société moderne pour rappeler les jours tragiques de l’histoire du monde et la grande victoire sur le mal mondial sur les rives de la Volga dans l’héroïque Stalingrad.
Le film est une vue d’un citoyen français sur la bataille de Stalingrad, sur son rôle et son importance dans le sort de ses proches, dans le sort de son pays et du monde entier.
Le film a été tourné avec le soutien actif de l’organisation à but non lucratif de Volgograd, la Battle of Stalingrad Foundation.
L’histoire de la création du film a commencé en février 2018. La Fondation de la bataille de Stalingrad a présenté l’exposition «Stalingrad dans le sort de la France» au Centre spirituel et culturel orthodoxe russe à Paris. L’un des visiteurs de l’exposition était le parisien Didier Feldmann. Lors d’une conversation avec les dirigeants de la Fondation de la bataille de Stalingrad, il a parlé de son rêve de faire un film sur la bataille de Stalingrad.

Ce film a reçu le Grand Prix du Festival “Flamme de Volgograd” en septembre 2020

La projection du film en première était prévue en janvier à Paris au cinéma St-André-des-Arts, mais repoussée vers juin prochain à cause des restrictions contre la pandémie.

Nous vous invitons à l’avant-première du film de Didier Feldmann sur le web-site du CRSC à Paris en vous souhaitant un bon visionnage.

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Mercredi 24 février à 11 h

Rencontre avec

Sergueï et Nikita Zimov

” Le Futur de l’Antartique “

sur le site Web CRSC

Rencontre en russe et en français

Le parc du Pléistocène  est une réserve naturelle au nord-est de la Yakoutie dans le cours inférieur de la rivière Kolyma, à 30 kilomètres au sud du village de Chersky, à 150 kilomètres au sud de la côte de l’océan Articque. Le créateur et responsable scientifique de la réserve est l’écologiste russe Sergueï Afanassievitch Zimov.

Une expérience est en cours dans la réserve pour recréer l’écosystème toundra-steppe mammouth du pléistocène qui existait dans de vastes zones de l’hémisphère nord lors de la dernière glaciation.

Unir les efforts pour la “préservation des écosystèmes arctiques”, mis en œuvre par notre association avec le soutien du forum civil “Trianon Dialogue” et du Centre Russe pour la Science et la Culture à Paris.

Réunion en ligne aura lieu avec les scientifiques Sergueï et Nikita Zimov, qui mettent en œuvre le projet de parc du Pléistocène sur la côte de l’océan Arctique, où la tâche grandiose de restaurer la «forêt-toundra mammouth» – un paysage naturel écologiquement équilibré.

S.A. Zimov est chercheur principal à la branche Extrême-Orient de l’Académie russe des sciences, l’un des scientifiques russes les plus cités dans le domaine des sciences de la terre.
Les événements se déroulent à distance et seront accompagnés d’une traduction simultanée en deux langues (russe et français). Après une brève présentation des conférenciers principaux, les participants pourront poser des questions.

L’objectif du projet est de faire découvrir l’Arctique et de vous familiariser avec des projets environnementaux et scientifiques uniques mis en œuvre dans cette région par des organisations à but non lucratif russes.
Les participants pourront obtenir des informations de première main sur les défis auxquels sont confrontés les habitants de l’Arctique russe, y compris ceux liés au changement climatique, ainsi que sur les efforts déployés par l’État et la société civile.

Voir sur Youtube : CLIQUEZ

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JEUDI 25 février 2021 à 16 h

Présentation du livre Patrimoine

” Philanthrope russe Princesse Maria Tenicheva”

par Irina Alekséevna Kenia et René Guerra

 

Présentation d’un nouveau livre Patrimoine de M.K.Tenicheva.

” Philanthrope russe Princesse Maria Tenicheva “

Maria Klavdievna Tenisheva par I. Répine (1896)

La princesse Maria Klavdievna Tenisheva, née en 1858 Saint Petersbourg décédée  à Paris en 1928 (née Pyatkovskaya ), noble , figure publique, artiste travaillant l’émail , professeur, philanthrope et collectionneur. Fondatrice d’un studio d’art à Saint Petersbourg , d’une école de dessin et d’ un musée sur l’Antiquité russe à Smolensk,  d’une école d’artisanat à Bejiitsa, ainsi que d’ateliers d’art et d’industrie sur son propre domaine de Talachkino. 

Elle  épousa Rafail Nikolaevich Nikolaev en 1876, le mariage battant de l’aile Maria Klavdievna avec sa petite fille partit pour Paris pour étudier le chant elle était mezzo soprano, elle y rencontre I. Tourguenev, K. Makovsky et A. Rubinstein. De retour en Russie elle s’installe à Talashkino et fonde sur les conseils d’Ilya Repin, un atelier d’atelier, où les étudiants étaient préparés à être admis à l’Académie des Arts. La princesse a également cofondé le magazine “Le Monde de l’Art”, parrainant des expositions du monde de l’art. En parallèle, elle a commencé à collectionner des peintures, elle a ensuite transféré de nombreuses peintures au Musée russe. En 1893, elle acquiert un domaine à Talashkino et en fait un centre culturel, non inférieur aux ateliers d’Abramtsevo. Repin, Bakst, Vroubel, Serov et d’autres artistes célèbres sont venus ici. Elle crée également une école pour enfants de paysans. A Moscou elle rencontre le prince  le prince Viacheslav Nicolaïevitch Tenishev, un grand industriel russe, Maria l’épousa en 1892.

Elle eut un grand succès en travaillant l’émail qu’elle remit au goût du jour, sa véritable passion était les antiquités russes qu’elle collectionnait, exposée à Paris. Elle fit en 1911 don de sa collection qui est devenue la base du Musée de l’antiquité russe à Smolensk. A Talashkino elle développe le concept de «domaine idéologique», c’est-à-dire un centre de lumières, de renaissance de l’art populaire traditionnel et, en même temps, de développement de l’agriculture, elle ouvre une école d’agriculture unique à l’époque, rassemblant d’excellents professeurs et une riche bibliothèque. L’utilisation des réalisations les plus avancées de la science agricole a permis à l’école de former des agriculteurs très efficaces, stimulée par la réforme de Stolypine.En 1903 so époux décéde et  bientôt toutes ses créations bien-aimées périrent. Après la révolution, la vie dans «l’Athènes russe», comme on l’appelait Talashkino, a cessé. Les pommes de terre étaient stockées dans l’église construite par la princesse et peinte par Rœrich, la tombe de Tenishev a été détruite, les ateliers ont été fermés.

En 1919 en raison des évènement révolutionnaires elle quitte la Russie pour Paris. Maria Tenisheva organise avec Serge Diaguilev une exposition d’objets d’art décoratif et appliqué de sa collection  Paris était submergé par la mode des motifs russes. Lors de la première guerre mondiale, la princesse a vu la trahison des élites en Russie, elle s’est fermement prononcée sur les positions du peuple, même lorsque ce n’était pas à la mode et provoquait le ridicule de certaines personnes arrogantes. Parmi les nombreux artistes avec lesquels M.K.Tenisheva est entré en contact, il y avait Vrubel et Rœrich qui étaient  très proches et particulièrement agréables.

Les auteurs :

René Guerra, célèbre professeur des études slaves, collectionneur et conservateur du patrimoine culturel russe à l’étranger;

Irina Alekséevna Kenia, Doctorat en droit, Maître de la conférence de la filiale de l’Académie russe de l’économie nationale et du service public à Briansk, Président de l’administration de la Fondation caritative frères Moguilevtsev.

En russe et en français.

INSCRIPTION obligatoire : CLIQUEZ

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Vendredi 26 février 2021 à partir de 9h

1er Forum franco-russe sur l’intelligence artificielle 

en visioconférence

Dans le cadre de l’événement, il est prévu de discuter l’application des technologies utilisant l’intelligence artificielle dans des domaines suivants: Santé, Environnement, Industrie, Transports, Energie.

Les représentants des milieux d’affaires français et russes, des organisations scientifiques, des instituts du développement et des autorités exécutives chargées de ce sujet, ainsi que des représentants de l’Alliance pour le développement de l’intelligence artificielle des deux pays sont invités à participer au Forum.

Le Forum est organisé à l’initiative de la Mission commerciale de Russie en France avec le soutien du Ministère russe du Développement économique , sous la tuttelle de la plateforme franco-russe des sociétés civiles «Dialogue de Trianon» et en partenariat avec le Centre de Russie pour la science et la culture à Paris.

Langues de travail: russe et français.

Pour participer au Forum l’inscription préalable est obligatoire:

CLIQUEZ

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Dimanche 28 février 2021

Conférence d’ Andreï Chevtchouk

Film

” Chaliapine en France “

sur le site Web CRSC

Rencontre en russe et en français

Février 2021 marque le 148e anniversaire de la naissance de l’artiste russe de génie — Féodor Chaliapine.

Issu d’une famille paysanne, grâce à son talent, sa persévérance et le soutien des entrepreneurs du théâtre russe (Lentovsky, Mamontov, Diaghilev), le plus grand basse d’opéra russe, Féodor Chaliapine brilla dans des théâtres les plus prestigieux du monde — le Bolchoï, Mariinsky, La Scala, L’Opéra Garnier, le Metropolitan Opera et autres. Il incarna sur scène des personnages tels qu’Ivan Susanin et Méphistophélès, Boris Godunov et Dosifei, Don Quichotte et Don Basilio, Konchak et Galitsky, Ivan le Terrible et Varlaam, qui sont à jamais restés dans l’histoire de l’opéra mondial.

Une histoire de longue date relie Féodor Chaliapine à l’art français et à la France. Maestro Andreï Chevtchouk découvrira cette histoire passionnante, à commencer par la première visite du jeune artiste à Paris qui l’a tellement impressionné, sa participation aux célèbres Ballets russes de Diaghilev et, bien sûr, la période d’émigration de 1922 jusqu’à la mort du célèbre chanteur.

Pour reproduire les événements de la fin du XIXe et de la première moitié du XXe siècle, les émotions des participants de ces événements, les souvenirs de Féodor Chaliapine lui-même ainsi que les témoignages de ses amis et contemporains nous serviront de base.

Comment il a été possible il y a plus de 30 ans, malgré toutes les difficultés, de faire accorder la rapatriation de France en Russie des cendres du grand chanteur? Cette histoire sera dévoilée par Olga Semenova, fille de l’écrivain ruse Julian Semenov, qui fut le principal initiateur de ce projet.

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CALENDRIER du PROGRAMME COMPLET

Centre de Russie pour la Science et la Culture  à Paris

61, rue Boissière, 75116, Paris 

Téléphone : 01 44 34 79 79

Site:  https://crsc.fr/

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Sep

CRSC Paris en septembre

   Publié par: artcorusse   dans Informations

 

Activités du CRSC Paris

Septembre 2020

Site-Web du CRSC, Paris

 

 

Plus de renseignement plus bas.

La participation avec la possibilité de poser une question dans le chat de la téléconférence nécessite l’inscription, qui sera ouverte sur le site web du CRSC à Paris.

Dans le même temps, une diffusion en direct sans inscription préalable sera effectuée sur la page Facebook du CRSC.

Sur le site : https://crsc.fr/

 

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Exposition d’ouvrages des Éditeurs russes, dans les salons du Centre.

Du Mercredi 16 septembre au vendredi 16 octobre 2020

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Sur le site : https://crsc.fr/

 

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Mercredi 2 septembre 2020

DICTÉE en RUSSE

” VICTOIRE” – “ПОБЕДЫ”

sur le site du CRSC, Paris

Mercredi 2 septembre à partir de 11h

 

 

Voir sur le site ARTCORUSSE : CLIQUEZ

 

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Mercredi 3 septembre 2020

 

 

A voir sur le Site  : https://crsc.fr/

 

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Mardi 8 septembre 2020 à 19 h

Pour le 150ème anniversaire

IVAN BOUNINE

Soirée exceptionnelle :

Vidéo-conférence, artistes, musiciens, récitants

 

Voir sur ARTCORUSSE : CLIQUEZ

 

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Exposition

Du lundi 14 septembre au mercredi 14 octobre 2020

“Le chemin vers la victoire”

 

Une exposition intéractive exceptionnelle.

 Le projet est élaboré par la Fondation « Blavatnik Archive » (New-York Etats-Unis) et l’Agence Rossotrudnichestvo avec le soutien de mécènes à l’occasion du 75ème anniversaire de la Grande Victoire sur le fascisme. La Fondation « Blavatnik Archive » est une organisation à but non lucratif fondée en 2005 par L.Blavatnik, philanthrope et industriel américano-britannique.

 

Léonid Valentinovitch Blavatnik (Леонид Валентинович Блаватник),

dit Len Blavatnik.

L’activité de la fondation vise à rassembler, préserver et disséminer un large éventail de documents et de mémoires destinés au grand public. Ils recouvrent des aspects divers de l’histoire juive et mondiale du XXème siècle où la période de la Seconde guerre mondiale occupe une place particulièrement importante.

Des histoires personnelles inoubliables d’anciens combattants sont présentées dans des entretiens vidéo, des photographies, des lettres et des journaux intimes issus de la collection des « Archive Blavatnik ».

A voir sur le Site  : https://crsc.fr/

 

 

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100ème anniversaire de l’Exode de la Crimée

Mardi 15 septembre 2020

Film

” Des russes blancs” d’ Yves Riou

 

 

Au lendemain de la révolution d’octobre, 400 000 « russes blancs » arrivent en France. Un exil souvent douloureux pour ces princes et princesses déchus. L’ « âme russe » va ainsi rencontrer le coeur français par le biais des cabarets, de la littérature, ou de la musique. Une immigration qui va bouleverser la vie artistique française…

 

 

Qui sont ces 400 000 russes surnommés sommairement “russes blancs” qui débarquèrent en France après octobre 1917 ? Des aristocrates certes, mais aussi des membres de la grande et petite bourgeoisie ainsi que des juifs, des artistes et toutes sortes de gens qui, fuyant la guerre civile et la Russie des soviets.  ils trouvèrent des emplois comme ouvriers dans les usines Renault, Nina Berberova raconte ces princes embauchés comme manœuvres, qui recréèrent une petite Russie autour des usines. Joseph Kessel, l’amoureux des tziganes et amateur de vodka, nous fait revivre la folie des cabarets russes de la capitale. Macha Méril nous décrit “l’âme russe” en exil, cette nostalgie galopante et cette croyance chevillée au corps d’un retour au pays débarrassé des Bolcheviks. Marina Vlady n’oublie pas que ses concitoyens se faisaient traiter de “sales russkofs”. Malgré cela, l’historien Ralph Shor nous dépeint cette mode russe qui déferla sur Paris dans les années 20 : la musique avec Stravinsky, la danse avec Diaghilev, la littérature avec Henri Troyat, mais aussi les beautés russes devenues mannequins, les spectacles, les actrices…. Une princesse russe ayant eu 50 personnes à son service dut se reconvertir en dame pipi, d’autres en péripatéticiennes, au point qu’il était du plus chic de “se faire une princesse russe”. Mais lesquelles étaient véritables ?

Yves Riou.

Auteur et réalisateur, il a signé avec Philippe Pouchain de très nombreux documentaires sur le monde artistique, parmi lesquels Entre deux Mai 1968-1981 – Les artistes et la politique et Des artistes au pouvoir ? 1981-1988 (sélections compétition, Pessac 2015 et 2016) ou Michel Audiard. “J’parle pas aux cons, ça les instruit” (2015). Metteurs en scène, acteurs, ils ont joué dans des films au cinéma et à la télévision et présenté leurs propres spectacles dans de nombreux théâtres et festivals.

Sur le site : https://crsc.fr/

 

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Exposition de livres

Du mercredi 16 septembre au vendredi 16 octobre 2020

 

Exposition et présentation de livres par l’association des Éditeurs russes

 

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Conférence

Mardi 22 septembre 2020 à 19 h

” Histoire de la photo russe “

 

Olga Sviblova Lvovna (né le 6 Juin 1953 à Moscou. Critique d’art soviétique et russe, documentaire cinéaste , docteur en histoire de l’ art, professeur. Initiateur de la création et directeur de la Maison de la photographie de Moscou, aujourd’hui Multimédia Art Muséum).

Depuis 1984, elle a été le commissaire de nombreuses expositions d’art et de photographie, y compris à l’étranger. Depuis 1986, elle réalise des films sur l’art (réalisateur, scénariste); quatre films ont été récompensés par des festivals internationaux de films documentaires entre autres en 1995 – “Dina Verny” (prix du Festival du film de l’UNESCO. En 2007 et 2009, elle a été commissaire des pavillons russes des 52ème et 53ème Biennale d’art de Venise.

Le cycle de conférences en ligne sera consacré à l’art photographique russe de la fin du IXe siècle à nos jours. Il révèlera de nombreux aspects historiques : comment s’est développé l’art de la photographie en Russie, à quoi ressemblaient les communautés photographiques internationales, les œuvres de quels photographes russes ont été présentés lors d’expositions de l’époque, les nouvelles tendances et perspectives dans le contexte des réalités contemporaines, etc.

La première conférence sera dédiée à Alexandre Grinberg, l’un des représentants les plus brillants et les plus talentueux du « pictorialisme », une tendance stylistique populaire dans la photographie russe de la fin du XIXe et du début du XXe siècle.

L’idée de ce fascinant projet en ligne est née lors d’une rencontre avec Olga Sviblova au CRSC à Paris, à laquelle elle a participé en tant qu’experte lors d’une soirée artistique d’une figure centrale de l’art contemporain, Erik Boulatov.

Il ne serait pas exagéré de dire que tout ce qui est associé au nom d’Olga Sviblova est synonyme d’excellence. Elle fait partie des 50 personnes les plus influentes de l’art russe contemporain et classée parmi les 100 personnes les plus influentes du monde de l’art. C’est une chance d’avoir un tel conférencier.

Son histoire personnelle est étroitement liée avec Paris. Outre l’exposition d’Alexandre Grinberg, dont elle était la commissaire en 1996, nombreux autres projets internationaux, ainsi qu’un véritable amour l’unit avec cette ville.

La rencontre aura lieu sur la plateforme Zoom.

La participation avec la possibilité de poser une question dans le chat de la téléconférence nécessite l’inscription, qui sera ouverte sur le site web du CRSC à Paris.

Dans le même temps, une diffusion en direct sans inscription préalable sera effectuée sur la page Facebook du CRSC.

Sur le site : https://crsc.fr/

 

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Dialogue musical

Jeudi 24 septembre 2020 à 19 h

” Tchaïkovski et la France “

animé par le maestro Andreï Chevtchouk

et le pianiste Igor Alekseevich Lazko

 

 

Cette rencontre musicale, qui sera consacrée au 180e anniversaire de la naissance du grand compositeur Piotr Tchaïkovski, promet d’être exceptionnelle.

Les œuvres du compositeur seront interprétées en ligne par le pianiste de renom, professeur au Conservatoire Russe Alexandre Scriabine, Igor Lazko (voir plus bas). Le célèbre cycle pour piano de Piotr Tchaïkovski Les Quatre Saisons deviendra une sorte de reflet du cycle temporel avec des chroniques biographiques de la vie du compositeur.

Même du vivant du compositeur, les journaux ont parlé de son « impressionnante puissance de maestria ». Piotr Tchaïkovski est entré dans l’histoire de la musique classique mondiale en tant qu’auteur d’opéras, de ballets et de symphonies.

Lors de cette nouvelle conférence musicale, l’auteur et animateur immuable du projet Andreï Chevtchouk présentera la biographie du compositeur à travers le prisme de sa relation avec la France, où il venait souvent et où il aimait composer et créer.

Au cours de la conférence Tchaïkovski et la France, le Maestro mettra la lumière sur les racines françaises du grand compositeur russe, ses projets et son inspiration créatrice.

 

 

Pyotr Ilitch Tchaïkovski  est né le 25 avril – (7 mai) 1840,  province de Vyatka  – décédé le 25 octobre – (6 novembre) 1893, Saint Petersbourg. Compositeur, enseignant, chef d’orcjestre et critique musical russe.

En tant que compositeur professionnel, Tchaïkovski a émergé dans les années 1860-1870, marqué par une grande recrudescence de la vie sociale et culturelle de l’Empire russe : le développement multiforme de la musique, de la littérature et de la peinture russes, l’épanouissement des sciences naturelles rusesdes russes et des réalisations marquantes dans le domaine de la philosophie et de l’esthétique.

Fin décembre 1875, Tchaïkovski se rend en Europe avec son frère Modeste, que les parents de son futur élève Kolya Konradi envoient à Lyon pendant un an pour étudier les méthodes d’enseignement des sourds-muets. Les frères ont passé environ deux semaines à Berlin, Genève et Paris, puis se sont séparés. A Paris, le compositeur a entendu l’opéra “Carmen” de Bizet, qui a été frappé par sa simplicité et sa sincérité, il «l’a appris presque par cœur, du début à la fin ».

En été 1876, après un traitement sur les eaux de Vichy, de Tchaïkovski , avec la famille de Modest Ilitch, se reposa en France dans la ville de Palavas sur la mer Méditerranée.

 

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Maestro Andreï Chevtchouk est né à Saint-Pétersbourg en 1970. Après une solide formation de chef d’orchestre et de chef de chœur, Andreï Chevtchouk exerce ses fonctions en Russie, en Allemagne, en Belgique, puis en France où il réside actuellement.

Si la direction d’orchestre symphonique reste sa principale vocation, tous types de formations lui offrent l’occasion de livrer un art accompli de chef d’orchestre.

Réside à Lyon, il est actuellement directeur musical du grand chœur classique lyonnais la Schola Witkovski, du festival Opéra et Châteaux de la Drôme, du Festival Opéra des Champs en Charente et du chœur Crescendo d’Amiens.

 

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Igor Alekseevich Lazko (né en 1949, Leningrad) – pianiste soviétique et français. À l’âge de 14 ans, il devient lauréat du Concours International. JS Bach à Leipzig. Il est diplômé de l’École secondaire spéciale de musique du conservatoire de Lénimgrad, puis du Conservatoire de Moscou (classe du professeur Y. Zak). Il a donné de nombreux concerts à travers le monde. En 1981, il devient lauréat du Concours International de Musique Contemporaine de Saint-Germain-en-Laye,

Il est professeur au Conservatoire russe. A. Scriabine et à la “Schola Cantorum” à Paris. Fondateur et organisateur en France des concours internationaux de pianiste eux. Nikolai Rubinstein (1996), nommé d’après Alexander Scriabin (2001) et le concours international nommé d’après A.K. Glazunova (violon, alto, violoncelle) depuis 2000.

Une rencontre en ligne sera organisée sur le site web du CRSC à Paris.

Le site : https://crsc.fr/

 

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Conférence

Mercredi 30 septembre 2020 à 19 h

” La Science et les défis mondiaux”

 

 

Le membre correspondant de l’Académie des Sciences Vladimir Viktorovich Ivanov est l’invité du premier numéro. Ses intérêts de recherche comprennent la recherche sur les processus mondiaux, la théorie de la révolution humanitaire et technologique, l’écologie de la technologie et le développement de systèmes nationaux d’innovation.

V. V. Ivanov a accordé beaucoup d’attention au développement de territoires à forte concentration de potentiel scientifique et technique. Ces dernières années, il a travaillé sur les prévisions, la planification stratégique, la science, la technologie et la politique d’innovation.

Le thème de son discours est «La science. Global Challenges of Our Time »est plus que jamais d’actualité: crises économiques, changement climatique, catastrophes d’origine humaine, la pandémie COVID-19 a particulièrement mis l’accent sur le rôle de la science dans la société moderne, appelée à trouver des réponses aux défis et menaces majeurs. Aujourd’hui, les enjeux de la vie humaine dans les nouvelles conditions économiques, dans l’environnement changé sont en train de prendre le dessus.

Pour cette conférence, vous devez vous inscrire sur le site Web du RCSC et recevoir un lien d’invitation. La conversation aura lieu sur les plateformes Zoom en russe et en français. Ainsi, les participants auront l’opportunité de recevoir des réponses de nos invités à leurs questions.

À la fin de la téléconférence, des liens vers le dossier complet seront affichés sur le site Web et les pages des médias sociaux du RCSC de Paris.

Inscriptions sur le site : https://crsc.fr/

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L’Inscription préalable est obligatoire : coursderusse@fra.rs.gov.ru

 

Centre de Russie pour la Science et la Culture  à Paris

61, rue Boissière,75116, Paris 

Téléphone : 01 44 34 79 79

Site:  https://crsc.fr/

 

 

ANNULATION 

 

Venue exceptionnelle à Paris

de la ” tsarine de la danse ”

Svetlana Zakharova

pour célébrer l’univers de Gabrielle Chanel.

Samedi 24  à 20 h et dimanche 25 octobre à 16 h

Théâtres de Champs Elysées, VIII° Paris

 

 

 

Voilà bien deux dates automnales qui feront courir le tout Paris tant l’événement est somptueux et exceptionnel. En premier lieu, la présence de la « tsarine de la danse » Svetlana Zakharova, immense artiste pour laquelle tous les superlatifs d’excellence sont insuffisants. Entourée des solistes du Ballet du Bolchoï, elle vient présenter un spectacle qui lui tient particulièrement à cœur, celui de célébrer « l’amitié entre le ballet et la mode » au travers de la personnalité et de la vie de Gabrielle Chanel. Pour cela, 85 costumes ont été créés dans les ateliers de couture du temple de la danse moscovite sur les « croquis exclusifs » de la Maison Chanel. Pour autant, il ne faudrait pas réduire le projet à un défilé de mode car il s’agit bien d’un ballet qui retrace la vie de Gabrielle Chanel, symbole du chic à la française et figure de la libération de la femme, une femme qui aux yeux de l’Etoile a doublement « révolutionné la notion de mode féminine et celle de liberté ». Tout est ainsi réuni pour que ces deux soirées soient l’événement « le plus chic et le plus couru » de la danse cette saison.

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Svetlana Iourievna Zakharova (Светлана Юрьевна Захарова), prodigieuse ballerine russe surnommée « La tsarine de la danse ». Elle est prima Ballerina du ballet Bolchoï et de la Scala de Milan, considérée comme l’une des plus grandes danseuses classiques.

Svetlana Zakharova est née le 10 juin 1979 à Loutsk (Ukraine), époque où ce pays faisait partie de l’URSS  Elle est donc de nationalité russe. Âgée de 10 ans, Svetlana Zakharova est admise à la Kiev Choreographic School.  Svetlana doit quitter l’école de danse quatre mois plus tard pour suivre ses parents, lorsque la famille revient en Ukraine, elle se présente de nouveau au concours d’entrée et réintègre la Kiev Choreographic School où elle étudie sous la houlette de Valeria Souleguina.

En 1995, elle remporte la médaille d’argent du Concours international des Jeunes Danseurs de Moscou, ce qui lui permet de prétendre à la classe de promotion de l’Académie Vaganova,  vivier des futurs danseurs de la troupe du Mariinky. À 17 ans, Svetlana Zakharova rejoint l’effectif de la compagnie du Mariinsky, son ascension au sein de la troupe sera fulgurante, puisqu’elle n’attendra qu’un an avant d’être nommée « principale », c’est-à-dire danseuse étoile.

La carrière de Svetlana Zakharova ne prend véritablement son essor qu’en 2003, lorsqu’à la suite d’un différend avec le Mariinski elle rejoint la compagnie rivale, Le Théâtre Bolchoï (qui l’avait déjà invitée alors qu’elle débutait au Mariinsky) . Elle commence alors à travailler avec Ludmila Semenyaka (également diplômée de l’Académie Vaganova). Elle est également sous contrat avec la Scala de milan, devenant la première Russe à y obtenir le titre de Prima Ballerina, et y danse régulièrement : Le Lacdes cygnes, Giselle, La Belle au boia dormant et la Baladay§re avec Roberto Bolle, partenaire privilégié.

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PROGRAMME

COME UN RESPIRO

Georg Friedrich Haendel | musique
Mauro Bigonzetti | chorégraphie
Helena De Medeiros | costumes
Carlo Cerri | lumières
Svetlana Zakharova | Etoile du Bolshoï Ballet

avec Denis Savin, Jacopo Tissi, Mikhail Lobukhin, Vyacheslav Lopatin, Ana Turazashvili, Anastasia Stashkevich, Victoria Litvinova, Marfa Fyodorova, Tatiana Osipova, Anita Pudikova, Karim Abdullin, Alexei Gaynutdinov, Anton Gaynutdinov

 

GABRIELLE CHANEL

Ilya Demutsky | musique
Yuri Possokhov | chorégraphie
Alexei Frandetti | livret
Maison Chanel | costumes originaux
Maria Trebugova | décors
Ilya Starilov | vidéo
Ivan Vinogradov | lumières
Svetlana Zakharova | Etoile du Bolshoï Ballet

avec Ana Turazashvili, Mikhail Lobukhin, Jacopo Tissi, Nelli Kobakhidze, Svetlana Pavlova, Victoria Litvinova, Anita Pudikova, Vyacheslav Lopatin, Denis Savin, Karim Abdullin, Vasily Danilchuk, Dmitry Efremov, Alexei Gaynutdinov, Anton Gaynutdinov, Marfa Fyodorova, Anna Grigorieva, Tatiana Osipova

La deuxième partie est consacrée au ballet « Gabrielle Chanel », une histoire basée sur la vie et le travail de la grande couturière, figure emblématique de la mode du XXe siècle. Gabrielle Chanel entretenait des liens forts avec la Russie : elle a aussi vécu une aventure amoureuse avec le Grand-Duc Dimitri Pavlovich en 1922-23 et a fait travailler la Grande-Duchesse Maria Pavolvna en tant que brodeuse. Elle a également financé la reprise du Sacre du Printemps, le ballet de Serge de Diaghilev sur une musique d’Igor Stravinsky et elle a hébergé le compositeur russe et sa famille pendant plusieurs mois dans sa maison de Garches.

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Conçu spécialement pour Svetlana Zakharova, le ballet retrace le parcours de la jeune provinciale inconnue à la fondatrice de l’une des maisons de mode les plus influentes de la planète. Les 85 costumes ont été créés à partir de « croquis exclusifs » de la Maison CHANEL et conçus par les ateliers du Bolchoï.

La danseuse de 40 ans, au Bolchoï depuis 2003, fait revivre sur scène une Gabrielle Chanel « majestueuse et solitaire » et parle d’une femme « qui a révolutionné la notion de la mode féminine, la notion de sa liberté ».

(Musique enregistrée)

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Tout est aménagé au sein du théâtre pour vous assurer de passer une belle soirée dans les règles de sécurité et distanciation. Port du masque obligatoire et gel hydroalcoolique à disposition dans la salle et les parties communes.

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Théâtre des Champs-Elysées

15 avenue Montaigne, 75008 PARIS

Métro station Alma-Marceau (ligne 9) ou Franklin-Roosevelt (ligne 1)
RER station Pont de l’Alma (ligne C)
Bus lignes 42, 63, 72, 80, 92

Station de taxi Place de l’Alma, angle avenue George V
Station Vélib’ en face du Théâtre

Parc de stationnement Alma-George V

Téléphone réservation :01 49 52 50 50

Billeterie : CLIQUEZ

Tarifs : de 20€ à 130€

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Vente art russe, Vermot & Associés, Drouot-Paris

   Publié par: artcorusse   dans Brèves

 

Vente  Art Russe

par Vermot & Associés

Mardi 10 mars 2020

La Salle Rue Drouot, IX° Paris

 

Tableaux Anciens, Modernes et Contemporains (dont tableaux russes) Archéologie, Arts d’Extrême-Orient Objets d’Art et Arts Décoratifs XX°.

Expositions :

Lundi 9 mars de : 10h30 à 18h30

et le matin de la vente de : 10h30 à 12h30

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Extrait du catalogue

Lot 10 : Icône « Saint Nicolas de Myrte » Russie fin XIX° siècle Tempera sur bois, oklad en vermeil, kiot en bois 26 x 23 cm A. B. E

Икона «Святой Николай Чудотворец» Россия, кон. XIX века Темпера, дерево оклад вермей, киот из дерева 26 x 23 см., общ. хор. сост.

Estimation : 300 / 400 €

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Lot 31 : Natalia Gontcharova (1881-1962) – Наталья Сергеевна Гончарова “Composition rayonniste”, vers 1914 Huile sur toile signée en bas à droite 63 x 76 cm.

Un certificat de Monsieur Anthony Parton du 9 avril 2007 sera remis à l’adjudicataire Un certificat de Madame Denise Bazetoux du 17 mars 2007 sera remis a l’adjudicataire.

Estimation : 100 000 / 150 000 €

C’est Larionov et Gontcharova qui développent le rayonnisme après avoir entendu une série de conférences données à Moscou par Marinetti, l’initiateur du futurisme littéraire. En 1913 le groupe de Larionov avec Alexandre Chevtchenko, Ilia Zdanevitch et  Gontcharova publie un recueil comprenant un manifeste intitulé « Des rayonnistes et des aveniriens », un compte rendu des expositions de la « Queue d’âne » et de « La Cible » et un traité du rayonnisme établi par Larionov. Selon lui, cette manifestation de peinture abstraite fait surgir la vie en rendant visible les vibrations inspirées de l’énergie-matière et de la radioactivité. Le principe est de représenter sur la toile la somme des rayons qui partent de l’objet pour le représenter exactement. À cette fin il faut isoler l’objet de manière abstraite pour que les rayons émis par les objets voisins ne perturbent pas la vue. Larionov compare le tableau rayonnisme à un mirage dans le désert Le rayonnisme est très bref, il s’étale de 1911 à 1915 et cesse à l’arrive du couple à Paris rejoignant Serge Diaghilev et travaillant aux décors des ballets russes. Guillaume Apollinaire s’y intéresser et dirigera encore le catalogue d’une exposition à Paris en 1914 Le rayonnisme tient une place importante et précoce dans l’histoire de l’abstraction, de sa théorie et de sa rationalisation. Le rayonnisme est souvent considéré comme le grand frère du futurisme italien que Gontcharova aura beaucoup influencé.

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Lot 34Ossip Zadkine (1890-1967) Sans titre, 1964

Eau forte sur papier signé et daté en bas à droite 26,5 x 84 cm

Estimation : 200 / 300€

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Lot 48 : J. Schmidt (Russie XX° siècle) Sans titre, 1988 Technique mixte sur papier signé et daté en bas à droite 72 x 125 cm

Estimation : 200 / 300 €

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Lot 49 : Viktor Pivovarov (né en 1937) – Виктор Пивоваров Sans titre, 1985 Huile sur toile signée en bas à droite, datée en bas à gauche, contresignée, titrée et datée au dos 66 x 90 cm Provenance : Galerie Severomoravska, Prague .

Estimation : 3 000 / 5 000 €

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Lot 50 : Viktor Pivovarov (né en 1937) – Виктор Пивоваров, Sans titre, 1985 Huile sur toile marouflée sur panneau d’isorel signée en bas à droite et datée en bas à gauche, contresignée, titrée et datée au dos 76 x 61cm Provenance : Galerie Severomoravska, Prague.

Estimation : 2 500 / 3 000 €

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Lot 51 : Vladimir Weisberg (1924-1985) – Владимир Григорьевич Вейсберг Portrait de femme, 1981 Huile sur toile monogrammée et datée en haut à gauche 55 x 45 cm Provenance : Collection particulière, Paris

Estimation : 20 000 / 30 000 €

Peintre russe et théoricien de l’art, Vladimir Weisberg, travaille en particulier sur le thème du colorisme tel que le problème a pu se poser après les travaux de Cézanne à savoir la couleur insaturée et la semi-couleur. Il travaillera sur la différenciation pigmentaire et aboutira en 1960 à la création d’une table des principaux types de perception coloristique, de leur signe et de leur structure. Il essaiera toute sa vie de trouver le juste équilibre entre le demi ton, la composition et le dessin dans une douceur et une subtilité qui lui est caractéristique.

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20 Rue Drouot, 75009, Paris

Exposition :

Lundi 9 de : 10h30 à 18h30 et mardi 10 mars de : 10h30 à 12h30

Vermot & Associés,
26 rue Cadet, 75009 Paris

Tél.: + 33 (0)1 71 19 42 16

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Août

Festival de l’Art Russe, Deauville

   Publié par: artcorusse   dans Evenements

2ème Saison Russe

Du jeudi 22  au dimanche 24 août 2019

à Deauville

 

Le génie, la folie et la splendeur de l’âme russe sur la scène historique de Deauville. L’Histoire de Deauville et des Ballets russes sont intimement liées, lors de la saison inaugurale du nouveau casino de Deauville, en août 1912, le Théâtre du Casino, a accueilli durant deux semaines les Ballets russes de Serge de Diaghilev pour sa toute première série de représentations françaises hors Paris. Durant deux semaines Deauville aura été le témoin de cet âge d’or de la troupe de Diaghilev. Les places se vendaient au marché noir. L’étoile de cette troupe était Vaslaw Nijinski, devenu chorégraphe, il venait de créer fin mai, sa version très décriée de L’après-midi d’un Faune. Lorsqu’il dansait sur la scène du Théâtre du Casino dans « Le spectre de la Rose », la presse locale trouvait « qu’il s’envolait dans les airs comme la brise estivale de Deauville».

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La mission du Festival de l’ Art Russe de Deauville est de prolonger et réinventer les liens artistiques forts, tissés depuis des siècles, entre la France et la Russie. Il associe donc, dans sa programmation, les reprises des grandes œuvres du répertoire classique mises en parallèle et en perspective avec le meilleur de la création artistique russe d’aujourd’hui, portée par des artistes émergents.

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Jeudi 22 août 2019

Présentation du projet artistique «Moon Pool»

Présentation “Moon Pool” à Figeac.

Présentation du projet artistique «Moon Pool» – Décors pour le ballet imaginaire, interprétées par le peintre et le céramiste peintre et le céramiste Nikolay Koshelev né en 1987 à Moscou, peintre et céramiste, vit à Moscou et à New York.

 Nikolay Koshelev peintre et le céramiste

Il est le plus jeune artiste russe présenté en vente publique internationale de la maison Phillips. Ses œuvres ont été acquises par des collectionneurs internationaux et des musées, au Danemark, en Russie et en Allemagne. Son projet “Moon Pool” a été initié il y a cinq ans. Moon Pool est une redéfinition du contexte historique du symbolisme artistique russe et du patrimoine  artistique des célèbres Saisons russes de Diaghilev.

La première partie du projet Moon Pool prendra la forme d’une exposition lors du Festival d’art russe de Deauville.

17:00
Salle des fêtes de Deauville

Cocktail d’ouverture du Festival (Presse et Invités VIP)

18:30

Ouverture publique de l’exposition 
ainsi que chaque jour jusqu’au 25 août

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Vendredi 23 août 2019

Première du programme créé par le directeur artistique du Festival Sergey Filin et l’étoile du Bolchoï Artem Ovcharenko.

19:00
Théâtre Casino Barrière

Les chorégraphies célèbres ainsi que les nouvelles œuvres de chorégraphes contemporains interprétées par Artem Ovcharenko avec la participation de quatorze étoiles et solistes de ballet des principaux théâtres russes.

Artem Ovcharenko  – Étoile du Bolchoï

Anna Tikhomirova  – Première du Bolchoï

Semen Chundi – Étoile du Bolchoï

Nina Kaptsova – Étoile du Bolchoï

Denis Savin – Étoile du Bolchoï

Natalia Filina – Danseuse du Bolchoï

Tatyana Tkachenko – Soliste du théâtre Mariinsky de Saint-Petersbourg

Ivan Oskorbin– Étoile du Mariinsky Ballet de Saint-Petersbourg

Elena Solomyanko – principale danseuse de ballet soliste de la troupe de ballets du théâtre académique musical de Moscou. K.S. Stanislavsky et V.I. Danchenko

Innocenty Yuldaschev – Étoile du théâtre académique musical de Moscou. K.S. Stanislavsky et V.I. Danchenko

Maria kochetkova – Étoile de ballets russes et américains.

Sebastian Kloborg – Danseur diplômé du Royal Danish Ballet, chorégraphe, soliste dans les plus grands théâtres du monde

Oleg Gabyschev – Premier Danseur  du Ballet Eifman de Saint-Pétersbourg

Lyubov Andreyeva – Première Danseuse du Ballet Eifman de Saint-Pétersbourg

Gala – Dîner SAVVA

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Andreï Shmakov compte parmi les meilleurs chefs cuisiniers de Russie, le chef de marque de l’hôtel Metropol de Moscou et le restaurant SAVVA.

Après son installation à Moscou, il a repensé et réinventé la cuisine traditionnelle de l’Hôtel historique Metropol. Le guide Gault & Millau lui a décerné en 2018 le titre de ” Meilleur chef cuisinier d’Hôtel”. Andrei Shmakov anime aussi une émission culinaire à la télévision. Il est invité régulièrement comme juré de concours.  Internationaux et a publié: “Four Seasons: Les meilleures recettes de ma cuisine”.  Le restaurant SAVVA de l’Hotel Metropol figure dans le classement des12 Forward de White Guile et de La Liste.

21:30

Salon des Ambassadeurs du Casino Barrière de Deauville

Voyage gastronomique historique dans l’atmosphère de L’âge d’ Argent de la Russie. Auteur du menu – Andreï Shmakov, compte parmi les meilleurs chefs cuisiniers de Russie,

L’ illustre chef du Restaurant SAAVA de l’hôtel Metropol à Moscou. En établissant le menu du dîner de gala du Festival de l’ Art Russe de Deauville, Andreï s’inspire des plats servis au Metropol en 1904 lors d’un dîner donné en l’honneur de Serge de Diaghilev.

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Le programme vocal cette année est présenté par Daria Davidova,

invitée soliste du Bolshoi. Ce programme sera composé d’œuvres célèbres de grands maîtres de l’opéra russe (N. A. Rimsky-Korsakov, P. I. Tchaïkovski, A. Borodine) et de compositeurs français (C. Gounod, C. Debussy, L. Delibe, F. Poulenc, etc). En outre, Daria chantera des compositions de chambre originales, parmi lesquelles est le cycle vocal de L. Bernstein “La cuisine française”, un chef-d’œuvre musical rare sur un thème gastronomique.

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Samedi 24 août 2019

«Boîte à musique»
Soirée Gala des étoiles

19:00
Théâtre du Casino Barrière

Les chefs-d’œuvre du ballets légendaires, ainsi que les choreographies originelles créées sur la musique des grands compositeurs russes d’hier (Tchaikovsky, Rachmaninov, Stravinsky, etc) et d’aujourd’hui les œuvres de compositeurs russes contemporains: Rodion Chtchedrine, Yuri Krasavin, Leonid Desyatnikov et Ilya Demutsky interprétées par des danseurs de ballet des principaux théâtres russes, sous la direction de Sergey Filin (le directeur artistique du théâtre Bolchoï 2011 à 2016, lauréat du prix Benois de la danse, artiste émérite de Russie).

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CASINO BARRIÈRE DEAUVILLE
2 Rue Edmond Blanc
+33 (0)2 31 14 31 14

Contacts : www.festivalrusse.com/main-fr

Renseignements et réservations: 02 31 98 66 00
Réservation en ligne : CLIQUEZ

Tarifs: Vendredi 23 août
Votre soirée de Gala : la place en 1ère série pour le ballet à 19h et le dîner de Gala à 21h30 : 500€

Samedi 24 août : la “Boîte à musique” – Soirée Gala des Étoiles à partir de 125€

Contacts : www.festivalrusse.com/main-fr

7 ème GALA des ÉTOILES RUSSES

Samedi 6 juillet 2019 à 20h

Dimanche 7 juillet à 19h

Grand Théâtre de Luxembourg

(Grand Duché de Luxembourg)

Evénement incontournable, le Gala des Etoiles va offrir une fois de plus un Panorama de danse de qualité, fidèle aux grands classiques, tout en se montrant ouvert à la création et aux jeunes talents.
Ce spectacle, unique en son genre au Luxembourg, va vous séduire tant par la richesse des oeuvres proposées, que par la qualité exceptionnelle des artistes invités. C’est le rendez-vous à ne pas manquer pour la danse classique au plus haut niveau.


Non seulement que le Gala réunira les Etoiles des plus prestigieuses compagnies mondiales, mieux encore, le Gala des Etoiles accueillera cette année des mégastars comme Maria Eichwald, Stuttgarter Ballett, Daniil Simkin, American Ballet Theatre New York, Liudmila Konovalova,Wiener Staatsballett, Young Gyu Choi, The Dutch National Ballet Amsterdam, Evelina Godunova, Staatsballett Berlin, Allessandro Staiano, Teatro di San Carlo Napoli et bien d’autres. Maria Mogsolova, danseuse et mannequin, rendra hommage à Ida Rubinstein, icône de la Belle Epoque.

Ida Lvovna Rubinstein (Ида Львовна Рубинштейн), elle est née à Kharkov, sur de l’Empire ruuse (actuellement en Ukraine)  le 5 octobre 1885, elle est dé”cédé à Vence dans le sud de la Francele 20 septy 1960. Une danseuse et mécène russe icône de la Belle Epoque. Maurice Raval lui dédia son Bolèra qu’elle inbterpréta en 1928 sur scène.

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Le programme de cette année sera consacré aux célèbres Ballets russes qui ont eu leu première saison au Théâtre du Châtelet à Paris en 1909, sous la direction du grand créateur et impresario de génie Diaghilev, qui a révolutionné le monde du ballet il y a tout juste 110 ans.
Les organisateurs présenteront des Grands Pas-de-Deux et Solos extraits du répertoire classique et néo-classique des chorégraphes Marius Petipa, Yuri Grigorovitch, Mikhail Fokine, Victor Gsosvsky, Nikolai Beriosov, Vasily Vainonen, Pierre Lacotte, Liam Scarlett, Francisco Diaz, Marguerite Donlon et bien d’autres. L’accompagnement musical sera assuré par Maestro Igor Zapravdin, Pianiste à l’Opéra d’Etat de Vienne. Le Gala sera rehaussé par la présence du jeune violiniste Yury Revich, lauréat du ECHO Klassik 2016.
Que vous aimiez la danse classique ou que vous sohaitiez la découvrir, le Gala des Etoiles est l’opportunité de vivre des moments d’émotion uniques avec des artistes d’exception.
La perfection et la virtuosité des danseurs donnent le ton et offrent au public la promesse d’un programme varié où les danses s’enchaînent les unes aux autres. Nous voulons faire découvrir aux spectateurs la tradition des grands ballets russes et leur faire passer un merveilleux moment de rêve et de romantisme.

Programme

Première Partie

1. “Impact” Hommage à Ida Rubinstein et Léon Bakst
Création / Première mondiale
Musique: Nikolai Tcherepin
Chorégraphie: Rafael Avnikjan
Ketevan Papava, Wiener Staatsballett
Piano: Igor Zapravdin, Wiener Staatsballett
Illusionniste: Laurent Beretta, Paris

2. “Sheherazade” Pas de deux
Musique: Nikolai Rimsky-Korsakov
Chorégraphie: Mikhail Fokine
Ketevan Papava, Wiener Staatsballett
Alessandro Staiano, Teatro di San Carlo Napoli

3. “ How much do we dare to see? ” Création / Première mondiale
Chorégraphie: Marguerite Donlon
Annick Schadeck – Rhiannon Morgan, Luxembourg

4. “ Hummelflug ” Solo
Musique: Nikolai Rimsky-Korsakov
Chorégraphie: Alessio di Stefano
Francesco Daniele Costa, Teatro di San Carlo Napoli

5. “ La Bayadère ” Pas de deux
Musique: Leon Minkus
Chorégraphie: Marius Petipa
Liudmila Konovalova, Wiener Staatsballett
Young Gyu Choi, The Dutch National Ballet Amsterdam

6. “ Mozart à 2 ” Duo
Musique: Wolfgang Amadeus Mozart
Chorégraphie: Thierry Malandain
Kiyoka Hashimoto – Navrin Turnbull, Wiener Staatsballett

7. Pas d’esclave ” – from “Le Corsaire”
Musique: Peter von Oldenbourg
Chorégraphie: Marius Petipa
Evelina Godunova, Staatsballett Berlin
Francesco Daniele Costa, Teatro di San Carlo Napoli
Piano: Igor Zapravdin, Wiener Staatsoper

8. “ Meditation ” from “Thais” Pas de deux
Musique: Jules Massenet
Chorégraphie: Roland Petit
Maria Eichwald, Stuttgarter Ballett
Alessandro Staiano, Teatro di San Carlo Napoli
Piano: Igor Zapravdin, Wiener Staatsoper
Violon: Yury Revich, Wien

9. “ Les Bourgeois ” Solo
Musique: Jacques Brel
Chorégraphie: Ben van Cauwenbergh
Daniil Simkin, American Ballet Theatre New York


Deuxième Partie
1. “ Donizetti” Pas de deux
Musique : Gaetano Donizetti
Chorégraphie: Manuel Legris
Kiyoka Hashimoto – Navrin Turnbull, Wiener Staatsballett

2. “ Light-Touch “Solo / Création / Première mondiale
Musique : Frédérique Chopin
Chorégraphie : Alessio di Stefano
Francesco Daniele Costa, Teatro di San Carlo Napoli
Piano : Igor Zapravdin, Wiener Staatsoper

3. “ Cinderella “ Pas de deux
Musique : Sergei Prokofiev
Chorégraphie : Giuseppe Picone
Maria Eichwald, Stuttgarter Ballett
Alessandro Staiano, Teatro di San Carlo Napoli

4. “ Toothpicks “ Duo / Création / Première mondiale
Musique : Rian Treanor
Chorégraphie : Francisco Banos Diaz
Natasa Dudar (L) – Lou Thabart, Leipziger Ballett

5. “ La Cachucha “ from « Le Diable boiteux » Solo
Hommage à Fanny Elssler (Reconstruction historique)
Musique : Casimir Gide
Chorégraphie : Jean Coralli
Ketevan Papava, Wiener Staatsballett
Piano : Igor Zapravdin, Wiener Staatsoper

6. “ Don Quixote “ – Pas de deux
Musique: Leon Minkus
Choréographie: Marius Petipa
Evelina Godunova, Staatsballett Berlin
Young Gyu Choi, The Dutch National Ballet Amsterdam

7. “ Rondocapriccioso “ Solo / Création / Première mondiale
Musique : Camille Saint-Saëns
Chorégraphie : Xenia Wiest
Liudmila Konovalova, Wiener Staatsballett
Piano : Igor Zapravdin, Wiener Staatsoper
Violon : Yury Revich, Wien

8. “ Le Corsaire “ Pas de deux
Musique : Adolphe Adam – Riccardo Drigo
Chorégraphie : Marius Petipa
Tatiana Melnik, Hungarian National Ballet Company Budapest
Daniil Simkin, American Ballet Theatre New York

9. “ The Mysterious Gala des Etoiles ” 
Musique: Alexandre Desplat
Piano: Igor Zapravdin, Wiener Staatsoper

Finale
Musique: Dmitri Shostakovich

avec : Navrin Turnbull, Ludmila Konovalova, EnricoDella Valle et 47 danseurs.

3

Le Grand Théâtre est construit entre 1960 et 1964 sur les plans de l’architecte français Alain Bourbonnais (1925 – 1988, sculpteur et architecte de la station RER Nation en émaux de Briare à Paris), pour célébrer notamment les fêtes du Millénaire de la fondation de la ville. Il fut fermé à la fin de l’année 2002 pour des rénovations et rouvert en septembre 2003. La capaité de la grande salle est de 943 places alors que le studio est une structure modulable de 100 et 400 places. il a accueilli le Concours Eurovision de la chanson en 1973 et en 1984.

4

Grand Théâtre de Luxembourg

1 Rond-point Schuman
L-2525 Luxembourg, ( Grand Duché de Luxembourg)

TARIFS:

Catégorie de prix Cat. 1 : 65 €
Catégorie de prix Cat. 2 : 55 €
Ticket-Hotline: 00352 4708951
28
Mar

Ventes “Ballets russe”, Monaco

   Publié par: artcorusse   dans Informations Internationales

Vente publique

 “Ballets russes”

mardi 2 avril 2019 à 15h

Hôtel des ventes de Monte-Carlo

Exposition  du jeudi 28 mars au 1er avril

de 10h à 13h et de 14h À 18h 30

Exceptionnel ensemble de 300 œuvres graphiques composées d’aquarelles, de dessns, et de gouaches, signées des plus grands artistes….Le choix de la mise en vente de ce trésor artistique à Monaco est aussi hautement symbolique, de par la place importante que la principauté de Monte-Carlo a prise en accueillant chaque année la Saison des Ballets Russes durant plus d’un demi-siècle. Dès 1910, la troupe de Diaghilev se fixe en principauté, où suivra chaque année la « Saison des Ballets Russes de Monaco ». La tradition de la danse sera perpétuée à partir de 1947 par le Marquis de Cuevas et le Grand Ballet de Monte-Carlo, puis en 1975 par la création de l’Académie de Danse Princesse Grace, et depuis plus de 30 ans, par la Compagnie des Ballets de Monte-Carlo fondée par S.A.R. la Princesse Caroline de Hanovre. Cette collection de près de 300 œuvres est le témoignage de la révolution esthétique provoquée par les Ballets Russes, dans l’art scénique de la danse, en termes de chorégraphies, mais aussi de décors et de costumes. Autour de la danse, les plus grands chorégraphes et danseurs ont formé un art total fusionnant œuvres graphiques, musique et costumes, avec les compositeurs et les peintres les plus brillants de l’avant-garde internationale. En conclusion laissons à Alexandre Benois le soin de dire : « le ballet est la plus intéressante forme d’art, qui, par miracle, a survécu en Russie alors qu’elle a disparu partout ailleurs ». Cyrille Boulay

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Extraits du catalogue

 

KOUSTODIEV Boris Mikhaïlovitch (1878-1927). Projet de costume probablement pour le personnage de Salomé dans le Ballet «La tragédie de Salomé». Aquarelle et mine de plomb signée en bas à droite par l’artiste et datée 1914. Conservée dans son encadrement d’époque en bois sculpté. Bon état général. A vue : H. : 44, 5 cm – L. : 28 cm. Cadre : H. : 58 cm – L. : 41, 5 cm. 10 000/15 000 €

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Masque

MELLER Vadim Gueorguievitch (1884-1962). Étude de costume pour l’un des personnages du spectacle le «Masque» de Bronislava Nijinska (1891-1972), joué au Téâtre de Kiev. Gouache et mine de plomb sur carton, signée en bas à droite par l’artiste circa 1919. Conservée dans son encadrement d’origine en bois noirci. Traces d’humidité, petites déchirures, mais bon état général. A vue : H. : 46 cm – L. : 31 cm. Cadre : H. : 71 cm – L. : 56, 5 cm. 5 000/6 000 €

h

NARBOUT Georges Ivanovitch (1886-1920). Projets de costumes pour les personnages du «Cœur Ardent». Aquarelle, encre et mine de plomb sur carton, non signée, avec annotations manuscrites en haut et au revers du document. Conservée dans un encadrement moderne en bois doré. Légères usures du temps, mais bon état. A vue : H. : 44, 5 cm – L. : 55 cm. Cadre : H. : 61, 5 cm – L. : 72 cm. 1 500/2 000 €

h

Turandot (1922)

PETRITSKI Anatoli Galaktionovitch (1895-1964). Projet de costume pour un personnage de l’opéra «Turandot» d’après une œuvre du comte Carlo Gozzi (1720-1806). Aquarelle, encre, rehaut d’or et collage sur papier, signée en haut à droite par l’artiste et datée 1922. Conservée dans un encadrement moderne en bois naturel. Bon état général. A vue : H. : 41, 5 cm – L. : 28, 5 cm. Cadre : H. : 68, 5 cm – L. : 55 cm. 6 000/8 000 €

d

SCHWARTZ Paul Fridrikhovitch (1875-1934). Projet de costume du bourreau pour l’opéra «Turandot» sur une musique de Giacomo Puccini (1858-1924). Aquarelle et encre sur papier, signée en bas à droite par l’artiste. Conservée dans un encadrement moderne. Rousseurs, mais bon état général. A vue : H. : 48 cm – L. : 37 cm. Cadre : H. : 62, 5 cm – L. : 50 cm. 1 500/2 000 €

h

BAKST Léon, né Lev Samoïlovitch Rosenberg (1866-1924). Projet de costume pour l’opéra «Le Dieu bleu». Lithographie rehaussée à l’aquarelle, or et argent sur papier, découpage collé sur fond noir, signée en bas à droite et datée 1912. Conservée sous verre. Bon état général. H. : 50 cm – L. : 50 cm. 800/1 000 €

h

La Dame Fantôme (1924)

EXTER Alexandra Alexandrovna (1882-1949). Esquisse d’un projet de costume pour le personnage du spectacle de «La dame-fantôme» adapté d’une œuvre de Pedro Calderon de la Barca, produit par Mikhaïl Tchekhov et mis en scène par Ignati Nivinsky (1880-1933), joué le 9 avril 1924 au Téâtre des arts de Moscou. Aquarelle et mine de plomb sur papier, signée par l’artiste en bas à droite et datée 1924. Conservée dans un encadrement ancien bois noir et doré. Rousseurs et pliures, mais bon état général. A vue : H. : 36 cm – L. : 28 cm. Cadre : H. : 74 cm – L. : 57 cm. 8 000/10 000 €

h

Aïda (1925)

SCHWARTZ Paul Fridrikhovitch (1875-1934). Décor de scène pour l’opéra «Aïda» joué en 1925. Aquarelle et mine de plomb sur carton, signée en bas à droite par l’artiste et datée 1925, avec annotations manuscrites et étiquette au revers. Conservée dans un encadrement moderne en bois doré. Bon état général. A vue : H. : 35, 5 cm – L. : 51 cm. Cadre : H. : 52 cm – L. : 68, 5 cm. 1 500/2 000 €

h

Trimbi (1925)

ATTRIBUÉ À YOURI YOURIÉVITCH PAVLOVITCH (1872-1947). Projet d’un décor de scène pour le ballet «Trimbi». Aquarelle, encre et rehaut d’or et d’argent sur carton, avec annotations manuscrites au revers, circa 1925. Conservée dans un encadrement moderne en bois doré. Légères usures du temps, mais bon état général. A vue : H. : 49 cm – L. : 39, 5 cm. Cadre : H. : 66 cm – L. : 56 cm. 2 000/3 000 €

h

Faust (1925)

MULLER Vladimir Nicolaïévitch (1887-1979). Projet de costume pour le personnage de Méphistophélès dans l’opéra «Faust» joué en 1925. Gouache et mine de plomb sur papier, signée par l’artiste en bas à gauche et datée 1925, avec identification manuscrite en caractères cyrilliques du sujet en haut à droite du document. Porte des annotations manuscrites en caractères cyrilliques. Conservée dans un encadrement moderne. Légères pliures, bon état. A vue : H. : 26 cm – L. : 16, 5 cm. Cadre : H. : 39 cm – L. : 30, 5 cm. 1 500/2 000 €

h

Lohengrin (1925)

FEDOROVSKI Feodor Feodorovitch (1883–1955). Projets de costumes d’un noble du Brabant et d’Henri l’Oiseleur pour l’opéra «Lohengrin» joué en 1925. Gouache, mine de plomb et rehaut d’or sur papier, signée des initiales de l’artiste en bas à droite et datée 1925, avec identification manuscrite du sujet en caractères cyrilliques au bas du document, annotations, cachet à l’encre au revers et porte le n°58. Conservée dans un encadrement moderne en bois doré. Bon état. A vue : H. : 33 cm – L. : 42, 5 cm. Cadre : H. : 50 cm – L. : 69, 5 cm. 6 000/8 000 €

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Tsar Saltan (1925)

GOLOVINE Alexandre Iakovlevitch (1863-1930). Projet de costume pour le personnage de la 3ème jeune fille dans l’opéra «Le conte du Tsar Saltan» joué en 1925 sur une musique de Nicolas Rimski-Korsakov (1844-1908) adapté d’une œuvre d’Alexandre Pouchkine (1799-1837). Aquarelle et encre marouflée sur carton, signée en bas à droite des initiales de l’artiste, avec annotations manuscrites en caractères cyrilliques. Planche portant le n°3. Conservée dans un encadrement moderne en bois doré. Bon état général. A vue : H. : 31 cm – L. : 23 cm. Cadre : H. : 48 cm – L. : 40 cm. 6 000/8 000 €

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Bagatelle (1926)

GONTCHAROVA Natalia Sergueïevna (1881-1962). Projet de décor de scène pour «Bagatelle». Aquarelle et mine de plomb sur papier signée par l’artiste en bas à gauche et datée 1926. Porte au dos l’étiquette de l’exposition «Les Maitres Russes» organisée par la Galleria del Levante à Milan et au dos du projet le titre de l’œuvre. Conservée dans son encadrement d’origine en bois noirci. Bon état général. A vue : H. : 15 cm – L. : 24 cm. Cadre : H. : 32 cm – L. : 41 cm. 8 000/10 000 €

h

AKIMOV Nicolas Pavlovitch (1900-1968). Projet de costume pour le personnage d’Evgraf l’aventurier. Gouache, encre et rehaut d’argent sur carton, signée des initiales de l’artiste en bas à gauche, datée (19)26. Collage sur carton conservé dans un encadrement moderne en bois argenté. Pliures, bon état. A vue : H. : 38 cm – L. : 23 cm. Cadre : H. : 65, 5 cm – L. : 53, 5 cm. 2 000/3 000 €

h

 La tempête sur la mer (1928)

VOLNENKO Anatoli Nikonovitch (1902-1965). Étude de costume pour l’un des personnages de la pièce «La tempête» de Vladimir Naumovitch Bill-Belotserkoski (1884-1970). Dessin à la mine de plomb sur papier, non signé, avec annotations manuscrites au bas du document. Conservé dans un encadrement moderne en bois doré. Légères rousseurs, mais bon état général. A vue : H. : 23, 5 cm – L. : 15 cm. Cadre : H. : 40 cm – L. : 31 cm. 2 000/3 000 €

h

Marko en enfer (1929)

KOSSAREV Boris Vassilievitch (1897-1944). Ensemble de neufs esquisses pour le maquillage des personnages du ballet de G. Kotcherguine «Marko en enfer» joué en 1929 au théâtre Artéma de Donetsk. Gouaches et mines de plomb sur papier marouflé sur carton, signées en bas à droite par l’artiste et datée en bas 17. III. 1929, avec annotations manuscrites en caractères cyrilliques au revers du document. Conservées dans un encadrement moderne en bois doré. Bon état. A vue : H. : 16, 5 cm – L. : 10 cm. Cadre : H. : 51, 5 cm – L. : 80 cm. 2 000/3 000 €

d

KOSSAREV Boris Vassilievitch (1897-1944). Projet de costume du personnage du Démon Bélier pour le ballet «Marko en enfer». Gouache sur papier, signée en bas à droite et datée du 15 X 1928, avec annotations manuscrites en caractères cyrilliques et cachet à l’encre du théâtre d’état de l’usine de la ville de Kherson. Planche portant le n°14. Conservé dans un encadrement moderne en bois doré. Légères rousseurs, bon état. A vue : H. : 38 cm – L. : 28, 5 cm. Cadre : H. : 55, 5 cm – L. : 45, 5 cm. 2 000/3 000 €

h

Le signe de Zorro (1929),

VOLNENKO Anatoli Nikonovitch (1902-1965). Projet de costume pour l’un des personnages de la comédie musicale «Le signe de Zorro» d’après une œuvre de M. Borisov, jouée en 1929. Gouache sur carton non signée, conservée dans un encadrement moderne en bois doré. Bon état. A vue: H. : 23, 5 cm – L. : 13, 5 cm. Cadre: H. : 39, 5 cm – L. : 30 cm. 2 000/3 000 €

h

Jeux d’amour – Le Diamant (1935)

ADEN Victor Bogdanovitch (1880-1942). Décor du studio pour le film «Jeux d’amour». Intérieur du restaurant. Dessin à l’encre et mine de plomb sur papier, signé par l’artiste en bas à droite et daté 1935, avec inscriptions manuscrites en caractères cyrilliques, conservé dans un encadrement moderne. Bon état. A vue : H. : 21, 5 cm – L. : 27, 5 cm. Cadre : H. : 34, 5 cm – L. : 41 cm. 400/600 €

h

La foire de Sorotchinsy (1937)

KRICHEVSKY Vassili Gregoriévitch (1872-1952). Projet de costume pour l’un des personnages du film «La Foire de Sorotchinsy» tourné en 1937, d’après une nouvelle de Nicolas Gogol (1809-1842). Aquarelle et mine de plomb sur papier, signée en bas à gauche par l’artiste et datée 1937, avec annotations manuscrites au bas et revers du document. Planche portant le n°94. Conservée dans un encadrement moderne en bois doré. Petit accident, mais bon état. A vue : H. : 31, 5 cm – L. : 22 cm. Cadre : H. : 47 cm – L. : 35 cm. 1 200/1 500 €

h

Perekop (1938)

PETRITSKI Anatoli Galatianovitch (1895-1964). Costume du personnage du Général Johnson pour l’opéra «Perekop» sur une musique de Yuli Meïtus (1903- 1997), joué en 1938. Aquarelle et mine de plomb sur papier, signée en bas à droite par l’artiste et datée 1938, avec annotations manuscrites en caractères cyrilliques sur la partie haute et au revers du document. Planche portant le n°13. Conservée dans un encadrement moderne. Légères déchirures, mais bon état. A vue : H. : 28 cm – L. : 19, 5 cm. Cadre : H. : 40, 5 cm – L. : 30, 5 cm. 3 000/5 000 €

h

Le Revizor (1938)

ERDMAN Boris Roberovitch (1899-1960). Costume du personnage de Rostakovski (le fonctionnaire à la retraite) pour la pièce «Le Revizor» écrite par Nicolas Gogol en 1836. Aquarelle et mine de plomb sur papier, non signée, avec annotations manuscrites en caractères cyrilliques en bas et au revers du document. Planche portant le n°2. Conservée dans un encadrement moderne. Petites tâches, mais bon état général. A vue : H. : 20 cm – L. : 15 cm. Cadre : H. : 36 cm – L. : 30, 5 cm. 600/800 €

h

Taras Shevchenko (1940)

PETRITSKI Anatoli Galatianovitch (1895-1964). Projets de costumes pour le docteur (Kouliaba) et Petrisky, pour l’opéra «Taras Shevchenko» joué en 1940 au Théâtre National d’Ukraine. Aquarelle et mine de plomb sur papier, avec inscriptions manuscrites en caractères cyrilliques sur le document et au revers. Conservée dans un encadrement moderne. Légères déchirures et pliures, en l’état. A vue : H. : 41 cm – L. : 30, 5 cm. Cadre : H. : 55 cm – L. : 44, 5 cm. 3 000/5 000 €

h

Les Dames et les Hussards (1946)

DOUKHNOVSKI Nicolas Ivanovitch (1908-1999). Décor de scène pour l’opéra «Les dames et les hussards» d’Alexandre Fredro (1793-1876), joué en 1946 au Théâtre Lessia Ukraïnka à Kiev, sur une adaptation de Nicolas Sokolov. Gouache sur carton, signée en bas à droite par l’artiste et datée (19)46, avec annotations manuscrites en caractères cyrilliques en haut et au revers du document. Conservée dans un encadrement moderne en bois doré. Bon état. A vue : H. : 47, 5 cm – L. : 69 cm. Cadre : H. : 65 cm – L. : 86, 5 cm. 1 000/1 500 €

h

La Chanson du Bois (1958)

VOLNENKO Anatoli Nikonovitch (1902-1965). Décor de scène pour le ballet «La chanson du bois». Gouache sur papier, signée par l’artiste en bas à droite datée 1958, avec annotations manuscrites au revers du document. Conservée dans un encadrement moderne en bois doré. Bon état. A vue : H. : 62, 5 cm – L. : 97 cm. Cadre : H. : 80 cm – L. : 115 cm. 2 000/3 000 €

h

Nazar Stodolya (1960)

VOLNENKO Anatoli Nikonovitch (1902-1965). Costumes des personnages des marieurs pour l’opéra «Nazar Stodolya» joué au Téâtre de l’Opéra et du Ballet de Kiev en 1960, sur une musique de Constantin Dankevych (1905-1984). Gouache sur papier, non signée, avec annotations manuscrites en caractères cyrilliques en haut et au revers du document. Conservée dans un encadrement moderne en bois doré. Légères déchirures, mais bon état. A vue : H. : 63 cm – L. : 47 cm. Cadre : H. : 80 cm – L. : 65 cm. 2 000/3 000 €

h

Les Noces de Figaro (1969)

PISARENKO Léonid Opanasievitch (1907-1979). Projet de costume du personnage d’Antonio pour l’opéra «Les noces de Figaro» de Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791), joué en 1969. Aquarelle, gouache et mine de plomb sur carton, non signée, avec inscriptions manuscrites en caractères cyrilliques sur le document et au revers. Conservée dans un encadrement moderne en bois doré. Usures du temps, mais bon état général. A vue : H. : 37, 5 cm – L. : 28 cm. Cadre : H. : 55 cm – L. : 45 cm. 1 000/1 500 €

h

Aïda (1976)

ZLOCHEVSKI Piotr Afanasievitch (1907-1987). Décor de scène pour l’opéra «Aïda» de Giuseppe Verdi (1813-1901), joué en 1976 au Téâtre d’Opéra et de Ballet d’Odessa. Gouache et rehaut d’or sur papier non signée, datée en bas à gauche 1976 et située à Odessa, avec annotations manuscrites et étiquette au revers document. Conservée dans un encadrement moderne en bois doré. Bon état. A vue : H. : 49 cm – L. : 73 cm. Cadre : H. : 57 cm – L. : 44, 5 cm. 1 000/1 500 €

h

Par Magie (1978)

DOUKHNOVSKI Nicolas Ivanovitch (1908-1999). Projet de costume du trompettiste, joué en 1978 au Téâtre des marionnettes de Kiev. Aquarelle, mine de plomb et rehaut d’argent sur papier, signée en bas à gauche des initiales de l’artiste et datée (19)78, avec inscriptions manuscrites en caractères cyrilliques au revers. Conservée dans un encadrement moderne. Bon état. A vue : H. : 42, 5 cm – L. : 31 cm. Cadre : H. : 57 cm – L. : 44, 5 cm. 600/800 €

h

Madame Butterfly (1985)

WAKHEVITCH Georges (1907-1984). Ensemble de sept projets de costumes pour des ballets et opéras russes. Gouaches et mines de plomb signées en bas à droite, certaines titrées avec des échantillons d’étoffes, conservées dans des encadrements modernes. Bon état. À vue environ : H. : 41, 5 cm – L. : 28, 5 cm. 500/700 €

h

 

Hôtel des Ventes de Monte Carlo

10-12 Quai Antoine Ier, 98000 Monaco.

Tél: 00377 93 25 88 89 • info@hvmc.com

Expert: Cyrille Boulay, Membre de la FNEPSA

Tél: 00 33 (0)6 12 94 40 74

 

 

27
Jan

Esprit des Ballets Russes au Théâtre des Champs Elysées

   Publié par: artcorusse   dans Evenements

1 concert: Debussy, Rimsky-Korsakov, Stravinsky

Mardi 5 février 2019 à 20h

4 représentations de danse du Ballet de Monaco

du vendredi 8 au dimanche 10 février 2019

Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo

sous la direction de Kazuki Yamada.

Les célèbres Saisons russes, qui ont conquis au début du XXe siècle l’Europe et les États-Unis, doivent leur existence à Serge Diaghilev, homme qui paradoxalement n’avait aucun talent pour la peinture, la composition musicale ou la mise en scène de ballets.

La Belle au bois dormant est l’un des ballets russes les plus connus à l’étrange. Casse-Noisette est sans doute le ballet le plus magique au monde. La première s’est tenue le 18 décembre 1892 au théâtre Mariinski de Saint-Pétersbourg. Tout le monde connaît le légendaire Lac des cygnes, ce ballet né avant la révolution est aussi le symbole du putsch de 1991.

Serge de Diaguilev (1872-1929)

L’histoire de la danse à Monte-Carlo est intimement liée à l’aventure des Ballets Russes de Serge Diaghilev. 1909 marque la première saison des Ballets Russes en France et la troupe de Diaghilev partage alors ses représentations entre le Théâtre du Châtelet à Paris et la salle Garnier de l’Opéra de Monte-Carlo.

Cette belle aventure prend fin à la mort de Diaghilev en 1929 et il faudra attendre plus de 50 ans pour qu’en 1985, sous l’impulsion de S.A.R. la Princesse de Hanovre, renaisse une troupe monégasque.

En 1993, elle nomme Jean-Christophe Maillot Chorégraphe Directeur et dès lors Les Ballets de Monte-Carlo rejoignent avec éclat le club des grandes compagnies internationales. Après une première venue à l’automne 1997, les Ballets de Monte-Carlo feront cet hiver une nouvelle halte au Théâtre des Champs-Elysées en compagnie de l’Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo dirigé par Kazuki Yamada.

S.A.R.Princesse de Hanovre et Jean-Christophe Maillot © Alice Blangero

Quoi de plus symbolique que cette Semaine Ballets Russes où devrait régner un parfum de nostalgie pimenté d’une belle modernité au vu des chorégraphes invités – outre Jean-Christophe Maillot, la fine fleur talentueuse de la danse européenne avec Marco Goecke, Jeroen Verbruggen et Johan Inger -, pour fêter l’une des plus belles pages de l’histoire du ballet moderne.

De Diaghilev à Maillot, Verbruggen, Goecke et Inger De Monaco à Paris, TranscenDanses réunit à Paris les Ballets et l’Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo, conduit par Kazuki Yamada, pour 5 représentations exceptionnelles.


C’est un hommage aux créations passées interprétées par le génial Vasslav Nijinski que les chorégraphes Jean-Christophe Maillot – à la tête du Ballet
de Monte Carlo -, Marco Goecke, Jeroen Verbruggen et Johan Inger livrent pour la 1ère fois à Paris. Ils font revivre l’une plus belles pages du ballet moderne afin de marquer à leur tour l’histoire des ballets russes contemporains à travers leur vision de Daphnis et ChloéAimai-je un rêve ? (le nouveau Prélude à l’après-midi d’un faune), Spectre de la Rose
et Petrouchka.

SEMAINE BALLETS RUSSES
« En compagnie de Nijinsky »

Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo sous la direction de Kazuki Yamada.

Kazuki Yamada.

Concert exceptionnel célèbre trois triomphes de la musique des Ballets russes, sous la baguette de Kazuki Yamada, directeur musical de l’Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo. Tout d’abord: Shéhérazade, poème symphonique op. 35 de Rimsky-Korsakov, puis Jeux de Debussy et enfin L’Oiseau de feu de Stravinsky dans sa version de 1919.

Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo.

3

Daphnis et Chloé 
Musique de Maurice Ravel
Jean-Christophe Maillot chorégraphie
Ernest Pignon-Ernest scénographie
Jérôme Kaplan costumes
Dominique Drillot lumières
Créé par Les Ballets de Monte-Carlo le 1er avril 2010

3

Aimai-je un rêve ? (Première française)
Musique de Claude Debussy
Jeroen Verbruggen chorégraphie
Charlie Le Mindu costumes
Fabiana Piccioli lumières

3

Le Spectre de la Rose
Musique de Carl Maria Von Weber
Marco Goecke chorégraphie et scénographie
Nadja Kadel conseiller dramatique
Michaela Springer costumes
Udo Haberland lumières
Créé par Les Ballets de Monte-Carlo le 14 juillet 2009

3

Petrouchka (Première française)
Musique d’Igor Stravinsky
Johan Inger chorégraphie
d’après Michel Fokine et Alexandre Benois
Curt Allen Wilmer décors
Salvador Mateu Andujar costumes
Fabiana Piccioli lumières

h

3 JOURS DE GASTRONOMIE MONÉGASQUE AU RESTAURANT

MAISON BLANCHE

Le chef Benoît Witz du restaurant Vistamar de l’Hôtel Hermitage Monte-Carlo est l’invité de Maison Blanche dans le cadre de la Semaine Ballets Russes et vous propose une formule “Avant-spectacle” les 8, 9 et 10 février. une formule composée d’un plat, un dessert, un verre de vin à 72€. Réservation de la table: 01 47 23 55 99. Avant spectacle vendredi et samedi de 18h30 à 19h30, dimanche de 13h à 15h.

Présentez  votre  coupon  Formule  Dîner  et  votre  billet  de  spectacle  en arrivant  à  Maison  Blanche.

h

Dates  et durée des spectacles:

Vendredi 8 février:  20h, samedi 9 février: 15h et 20h,

dimanche 10 février: 16h

1ère partie: 1h10 environ – Entracte : 20mn – 2e partie : 40mn environ

h

 Construit en 1913 de style mixte art déco et classique abritant trois salles de spectacle et un restaurant au sommet aligné sur les immeubles voisins de trois niveaux.

Initialement prévu en acier Van de Velde fait la connaissance d’Auguste Perret et c’est en 1911 que la structure fut envisagée en béton. Ayant fait appel à l’entreprise Perret pour l’ossature en béton, qui a ici habillé la façade de plaques de travertin et le cadre de scène de plaques de marbre de l’Allier, où sont intégrés les exceptionnels bas-reliefs en marbre blanc de Bpourdelle. Les quatre groupes de poteaux intérieurs ont été laissés visibles. La façade est classée aux monuments historiques.

THÉÂTRE DES CHAMPS ÉLYSÉES

15 avenue Montaigne – 75008 PARIS

Métro:  station Alma-Marceau (ligne 9) ou Franklin-Roosevelt (ligne 1)
RER:  station Pont de l’Alma (ligne C) / Attention : station fermée jusqu’au 25 août 2019
Bus: lignes 42, 63, 72, 80, 92

Station de taxi: Place de l’Alma, angle avenue George V

TARIFS

CŒUR ORCH.110 € , CAT. 1: 95 € , CAT. 2: 78 €
CAT. 3: 60 € , CAT. 4: 40 €, CAT. 5: 15 €
Réservation en ligne: CLIQUEZ
Tél: +33 1 49 52 50 50
h
Concert: Mardi 5 février à 20h

TARIFS:

CAT. 1: 65 €, CAT. 2: 50 ,CAT. 3: 38 €
CAT. 4: 26 €, CAT. 5: 10 €, CAT. 6: 5 €
Réservation en ligne: CLIQUEZ
Tél: +33 1 49 52 50 50
23
Nov

Hommage à Sergei Chepik, Mairie VI°

   Publié par: artcorusse   dans Evenements

Hommage à Sergei Chepik (1953-2011)

Salons du Vieux Colombier, Mairie du VI ème, Paris

du jeudi 15 novembre au samedi 8 décembre 2018

 

Sergei Mikhaïlovitch CHEPIK, peintre franco-russe, a été pendant plus de vingt ans salué par la presse anglo-saxonne comme ” un visionnaire fulgurant ” et ” l’un des plus grands peintres vivants de la Russie “. Présent dans de grandes collections britanniques, russes et américaines, cet artiste ” inclassable ” qui a peint le portrait de Rudolf Noureev et de Margaret Thatcher, et qui a réalisé pour la Cathédrale Saint-Paul de Londres La Voie, la Vérité, la Vie, quatre toiles monumentales inaugurées en janvier 2005, vit et travaille depuis 1988 à Paris.

Sergei Chepik et son épouse Marie-Aude Albert

Né à Kiev en 1953 dans une famille d’artistes, Chepik a commencé la peinture à l’âge de cinq ans. Admis à la prestigieuse Académie des Beaux-Arts de Saint-Pétersbourg, il en sort brillamment diplômé en 1978 et travaille aussitôt à ses premières œuvres en sillonnant la Russie.

Rostov le Grand 1983 technique mixte sur toile 35X35

Sergei se perfectionne dans la classe de l’académicien Andreï Mylnikov, élève d’Igor Grabar, l’un des théoriciens du mouvement du Monde de l’Art animé par Serge de Diaghilev et Alexandre Benois.

 

“La Maison des Morts”. 168×178 cm. Technique mixte sur toile. 1979-1987

La Maison des Morts, son chef d’œuvre interdit d’exposition en URSS, a décidé de son exil volontaire en France et a reçu en 1988 le grand prix du Salon d’Automne. En 1990, la première exposition rétrospective de Chepik à Londres, à la Roy Miles Gallery, connaît un succès inouï, et Margaret Thatcher, alors Premier ministre, reçoit Chepik au Parlement.

 

Sergei Chepik travaillant dans son atelier montmartrois.© Guillon

Depuis lors, Chepik a exposé chaque année à Londres, mais aussi à Paris, où il a pu présenter une rétrospective en 2004 à l’Espace Pierre Cardin, ainsi qu’à Milan en 2008 où s’est tenue au Centre Culturel Français une grande exposition de peinture religieuse.

Dernière touche finale d’une toile

Rompu à toutes les techniques, de l’aquarelle à l’huile en passant par l’eau-forte, la céramique et la sculpture, maîtrisant tous les genres, du portrait où il excelle à la composition qui a sa préférence, aimant se mesurer aux grands maîtres qu’il admire plutôt que de céder à la tentation facile de la table rase, Chepik, hier comme aujourd’hui, a peint à contre-courant des modes et de tout art officiel.

Mon Montmartre, mon village, huile sur toile 71X61

Ses thèmes sont extrêmement variés, mais forment un univers particulier immédiatement reconnaissable : vastes compositions historiosophiques sur la Russie ; peinture religieuse monumentale ; sujets rapportés de ses nombreux voyages à travers l’Europe et la France: Venise et son carnaval,

Arles et sa Feria ; le monde du spectacle : cirques et saltimbanques, rings de boxe et coulisses du Moulin Rouge ; et, bien sûr, paysages ou compositions inspirés de sa vie quotidienne à Paris :

Notre Dame de Paris, technique sur toile, 78X148

Gargouilles de Notre-Dame, ponts de la Seine, escaliers de Montmartre, ….

Marie-Aude Albert

Sergei Chepik © Guillon

Vue d’ensemble de l’exposition. © Vera Medvedeva

Inauguration de l’Exposition en présence de S.E. l’ambassadeur de la Fédération de Russie en France A. Y. Menshkov

© Vera Medvedeva

Visite guidée de l’exposition par Marie-Aude Albert avec l’ambassadeur de Russie.

© Vera Medvedeva

Marie-Aude Albert organisatrice e l’exposition devant des œuvres de Sergei Chepik.

ENTRÉE LIBRE

Le bâtiment actuel de la mairie du VI ème arrondissement a été construit à la demande de Rambuteau * de 1847 à 1849 par les architectes Rolland et Leviconte, dans le but d’y installer la « Maison commune » de ce qui était jusqu’en 1859 le XIème arrondisement.

  • (Claude-Philibert Barthelot, comte de Rambuteau, est un préfet et administrateur français, né à Mâcon en saône et Loire en 1781, décédé à Charnay les Mâcon en 1869. Haut fonctionnaire français de la première moitié du XIXème,  il fut conseiller d’Etat et pair de France, il a joué un rôle important en tant que préfet de Seine de 1833 à 1848).

Dans la cour sont exposés un groupe en marbre: Le Combat du Centaure (1888-1900) de Gustave Crauck (1827 -1905) – Combat avec un Lapithe qui a été exposé à l’Exposition Universelle de 1900. La mairie est composée de trois travées rythmées par trois baies en plein cintre, flanquées de pilastres cannelées d’ordre dorique avec entablement. L’étage supérieur ouvre sur la place par des fenêtres à meneaux, encadrés par des colonnes corinthiennes engagées couronnée d’une frise à beffroi avec une horloge. En 1886, le bâtiment est aggrandi vers les rues de Mézières et Madame et sur la place de Gnain. La cage de l’escalier d’honneur, en pierre est orné d’une allégorie du Travail, peinte par H. Martin en 1914

Mairie du VI ème arrondissement

Place Saint Sulpice – 78 rue Bonaparte, 75006 Paris

Métro: Saint Sulpice, ligne  4

Ouvert: du lundi au vendredi de 10h30 à 17h

Jeudi  de 10h30 à à 19h et samedi de 10h à 12h

Samedi 24 novembre et samedi 1er décembre de 15h à 18h

Concert unique au Théâtre des Champs Élysées

“Wiener Philharmoniker”

Valery Guerguiev direction & Denis Matsuïev piano

Mardi 9 octobre 2018 à 20h

Il s’agira pour ces deux fortes personnalités musicales de Saint-Pétersbourg de nous donner à entendre en trois temps la palette d’un compositeur malmené par l’histoire et pourtant l’un des maillons essentiels de la musique du XXe siècle. La réunion de Valery Gerguiev, Denis Matsuïev et du Philharmonique de Vienne est assez exceptionnelle. Ils ont choisi un programme russe dédié à Prokofiev

Valeri Abissalovitch Guerguiev (Валерий Абисалович Гергиев) Les extraits les plus célèbres de son ballet Roméo et Juliette, renouant avec cet art typiquement russe du grand ballet classique à argument, seront suivis de son Concerto pour piano n° 2, parfaite démonstration de la pleine maîtrise de son écriture concertante interprété par Denis Matsuïev. Enfin la Symphonie n° 6, l’avant-dernière de son catalogue symphonique et rarement donnée au concert sera l’occasion d’y (re)découvrir une écriture ambitieuse et de se laisser emporter par son climat émotionnel exacerbé. Le maître du Mariinsky est l’un des plus grands défenseurs actuels de Prokofiev, dont il a déjà donné à Paris avec différentes formations une grande partie de son catalogue symphonique et concertant. Peu présent en revanche au répertoire des Wiener, il sera donc passionnant d’entendre cette rencontre au sommet entre Gerguiev et les musiciens viennois.

Programme

Prokofiev Les Montaigus et les Capulets, Juliette jeune fille, Masques, Roméo sur la tombe de Juliette,extraits de Roméo et Juliette
Concerto pour piano n° 2 op. 16
Symphonie n° 6 op. 111

Valeri Abissalovitch Guerguiev (en russe : Валерий Абисалович Гергиев) né en 1953 en Ossétie   est un des chefs d’orchestre les plus charismatiques de notre époque. Initié à la musique par le piano, il étudie la direction d’orchestre au Conservatoire de Léningrad (Saint-Pétersbourg) dans la classe du célèbre pédagogue Ilya Musin. Après un début sur la scène de l’Opéra Kirov(aujourd’hui le Théâtre Mariinsky ), il y est nommé chef assistant de Yuri Temirkanov, et peu après il débute une carrière internationale qui prend rapidement son envol et le mène sur les scènes les plus prestigieuses, de Londres à New York, en passant par Vienne et Paris.

Depuis 1988, alors âgé de seulement 35 ans, il est à la tête du Théâtre Mariinsky, dont il a considérablement élargi et modernisé le répertoire : les classiques du répertoire lyrique (MozartVerdiPucciniRichard StraussBritten) côtoient les créations et les grandes pages du répertoire russe (MoussorgskiTchaïkovskiChostakovichProkofiev), sans oublier les compositeurs incontournables du XXe siècle (MessiaenDutilleuxGubaidulina ou Giya Kancheli ).

Il a dirigé plus de 200 concerts par an, ainsi que des festivals en Russie et ailleurs (Stars des Nuits blanches de Saint-Pétersbourg ), participe aux jurys de différents concours et s’engage auprès des jeunes interprètes et compositeurs. Très exposé médiatiquement, il a été nommé en août 2010 Artiste de l’UNESCO pour la paix, a pris position dans des conflits politiques (le conflit entre la Russie et l’Ossétie du Sud), mais s’est également impliqué dans différents projets à vocation sociale liés à la musique (Building on Excellence: Orchestras for the 21st century au Royaume-Uni). Il a reçu de nombreuses récompenses pour l’ensemble de sa carrière.

Denis Leonidovitch Matsouïev (en russe Денис Леонидович Мацуев) né le 11 juin 1975 à Irkoutsk, dans une famile musicien,pianiste russe, il commence l’étude du piano sous la tutelle de son père puis poursuit ses études musicales à l’école de musique d’Irkoutsk jusqu’à l’âge de 15 ans. À côté de ses activités musicales, Denis Matsouïev pratique des activités sportives.

En 1990, Matsouïev part avec ses parents pour Moscou , où il parfait son éducation à l’école centrale de musique de Moscou. En 1993, il participe à son premier concours international de piano en Afrique du Sud, où il remporte le premier prix. La même année, il entre au Conservatoire Tchaïkovski de Moscou, en 1998, à 23 ans il gagne le premier prix au prestigieux Concours international Tchaïkovski , événement qui marque le tournant de sa carrière. Par la suite, Matsouïev donne des concerts à travers le monde, jouant avec de célèbres chefs d’orchestre tels que : Ivegueni Svletlanov, Vladimir Spivakov Claudio Abbado, Valeri Guergueiev…

Matsouïev donne aujourd’hui près de 150 concerts par an. Il se produit dans des salles prestigieuses: du monde entier: Salle Gaveau, Salle Pleyel, Carnegie Hall, Mozarteum, ou encore le Tokyo Opera City et bien sûr le Théâtre desChamps Élysées. Il est l’organisateur de deux festivals en Russie : Stars on Baikal et Crescendo.

La Directrice générale de l’UNESCO, Irina Bokova a nommé, le 2 avril 2014 Denis Matsuev: Ambassadeur de bonne volonté de l’UNESCO.

 

Sergueï Prokofiev (Сергей Сергеевич ПрокофьевSergueï Sergueïevitch Prokofiev, né le 11 avril 1891 à Sontsivka ukraine région d’Ekatarinoslav, (Empire Russe) il est mort le 5 mars 1953 à Moscou (URSS), compositeur ukrainien et soviétique de musique classique, pianiste et chef d’orchestre. Auteur de nombreuses œuvres musicales allant de la symphonie au concerto, de la musique de film à des opéras ou des ballets et a été reconnu de son vivant comme un artiste d’avant-garde très créatif. Élève du Conservatoire de Saint Petersbourg. De 1918 à 1936, il passa de nombreuses années en dehors de son pays avant de se laisser convaincre de revenir en URSS où il fut à la fois honoré et persécuté. Il mourut le même jour que Josph Staline.

Dès l’enfance, Prokofiev montre des facilités pour l’apprentissage de la musique et pour la composition. Il étudie l’orchestration avec Rimski-Korsakov et affirme très tôt son anticonformisme. Il remporte le prix Anton Rubinstein en tant que meilleur étudiant de piano. A l’occasion d’un concert, il joue devant Stravinski, puis quitte Saint-Pétersbourg pour Paris où il rencontre Diaghilev avec qui il monte plusieurs ballets. Au moment de la Révolution russe en 1917, Prokofiev choisit l’exil, ce qui lui permet de trouver le temps de composer. Après avoir écrit sa première symphonie, il crée à Chicago une œuvre essentielle dans sa carrière, l’opéra L’Amour des trois oranges, qui connait tout de suite un grand succès. Il continue à composer des œuvres nombreuses et diverses en Europe (concertos, symphonies).

En 1933, il décide de rentrer en Russie devenu l’URSS, attiré par les promesses que lui fait le gouvernement. C’est une autre période fructueuse (Roméo et Juliette, Cendrillon, Ivan le Terrible ) qui prend fin avec la guerre. Après de graves problèmes de santé, persécuté par l’URSS, Prokofiev s’éteint presque dans l’oubli, effacé par la mort de Staline le même jour.

Excepté la musique religieuse, Prokofiev a abordé tous les genres. Il a donné le meilleur de lui-même dans la musique pour piano et dans les œuvres chorégraphiques et cinématographiques. Et pourtant, réaliste, volontaire, tourné vers le concret et l’avenir, spirituel et provocateur, il n’en est pas moins un lyrique qui a toujours su adapter son invention mélodique aux divers styles qu’il a pratiqués.

Prokofiev en six dates :

• 1900 : à neuf ans, Prokofiev compose un opéra destiné aux enfants,Le Géant.
• 1906 : rencontre de Miaskovski, compositeur russe qui devient son ami le plus intime.
 1914 : à la suite de ses études au conservatoire de Saint-Pétersbourg, Prokofiev reçoit le prix Rubinstein en tant que pianiste-compositeur pour son Concerto pour piano n°1.
• 1927-28 : à Paris, coopération avec les Ballets russes de Diaghilev au moment de la création du Pas d’Acier puis du Fils prodigue ; rencontres artistiques et littéraires (Picasso, Matisse, Poulenc, Ravel) et querelle avec Stravinski.
• 1938 : début de la collaboration de Prokofiev avec le réalisateur Eisenstein avec la mise en musique du film Alexandre Nevski (par la suite Tonia ou encore Ivan le Terrible en 1942).
• 1947 : nommé Artiste du peuple de la République socialiste fédérative soviétique de Russie ; cela n’empêche pas Prokofiev d’être victime d’autres attaques de la part du régime stalinien.

Prokofiev en six œuvres :

• 1913 (réécriture en 1923) : Concerto pour piano n°2, en 4 mouvements ; créé à Saint-Pétersbourg.
• 1916 : Concerto pour violon n°1 en ré majeur ; première en 1923 à Paris.
• 1921 : L’Amour des trois oranges, opéra en un prologue et 4 actes créé à Chicago, d’après la pièce de Carlo Gozzi.
• 1935 : Roméo et Juliette, ballet en 3 actes fondé sur la pièce de Shakespeare.
• 1945 : Symphonie n°5, en 4 mouvements ; œuvre patriotique avec des accents guerriers qui marque la victoire sur l’Allemagne ; réception triomphale. Prokofiev obtient un prix de l’ordre de Staline.
• 1952 Symphonie concertante pour violoncelle, créée à Moscou.

 

Théatre des Champs Élysées

15 av Montaigne, 85008 Paris

Tarifs :

CAT. 1: 165 €, CAT. 2: 110 €, CAT. 3: 75 €
CAT. 4: 35 €, CAT. 5: 10 €, CAT. : 65 €
Réservations:
En ligne: (CLIQUEZ)
Tél:+33 1 49 52 50 50
19
Août

XXI° Festival d’Art russe à Cannes

   Publié par: artcorusse   dans Evenements

 

Co-produit par la Fondation de la culture russe, la Ville de Cannes et le Palais des festivals et des congrès, c’est l’un des rendez-vous majeurs de l’amitié franco-russe. Depuis 2006, cinq journées du mois d’août durant lesquelles concerts, danse, peinture, cirque font plonger le public dans une fabuleuse ambiance russe. Le Festival du Jeune Art Russe s’est imposé comme un véritable tremplin pour les talents prometteurs des deux nations.

Jeudi 23 août 2018 – Théâtre Claude Debussy à 20h30

Ensemble du Tatarstan

La culture millénaire des peuples du Tatarstan puise sa richesse dans les origines de chacune de ses éthnies. Dispersé entre la Volga et l’Oural, de la Sibérie orientale à la Crimée, chaque groupe a su conserver son identité.
Trésors culturels : les danses des Tatars d’Oufa, de Perm, de Nijni-Novgorod, de l’Asie centrale, les rituels folkloriques des Tatars de Nogaïbak, les chants d’Orenbourg et de Samara, la transmission fidèle des traditions, de la poésie, des contes et des légendes.
C’est un héritage soigneusement rassemblé et précieusement sauvegardé par l’Ensemble National des chants et danses de la République du Tatarstan.

L’ensemble propose au public un répertoire vaste, habile équilibre entre tradition, authenticité et modernité : ses danses populaires, pleines de charme et d’humour, ses chansons pénétrées de lyrisme accompagnées d’instruments musicaux traditionnels (kourraï, koubyz, petits accordéons à boutons…), la splendeur de ses costumes et l’excellence de ses danseurs et chanteurs séduisent le public tant en Russie qu’à travers ses tournées internationales.

Tarifs: de 50€ à 15€

Vendredi 24 août 2018 Parvis du Palais des Festivals à 18h

La fête traditionnelle tatare« SABANTOUÏ »

Il est impossible de présenter la culture tatare, ses arts et coutumes traditionnelles, sans évoquer Sabantouï, cette fête populaire qui a pour racines les plus anciens rites païens.

La nuit russe Dîner-Spectacle

Salon des ambassadeurs

Une fête des sens orchestrée autour de la gastronomie et de la scène russes : folklore, variété, musique classique et feu d’artifice !

Tarif Unique : 160€

Samedi 25 août 2018  Salle Estérel

Journée du cinéma (V.O. ss titré)

●14h30 : « Le lichen des caribous » de Vladimir Toumaev
(2014, 98 min.)

Avec Pyotr BasnaevErzhena BuyantuevaSeseg Hapsasova

Aliocha vit dans un campement dans la toundra, entouré de rennes et de quelques familles. Sa mère le marie. Mais Aliocha espère toujours le retour d’Aliko, son amour d’enfance, partie étudier à la ville… Une intrigue qui pourrait être classique si elle n’avait pour protagonistes des Nenets, peuple… Lire la suite

Aliocha, membre de la communauté des Nenets, peuple du Grand Nord, s’est marié pour céder à la pression familiale. Mais il espère toujours le retour d’Aliko, son amour d’enfance, partie étudier à la ville… Cette intrigue entre traditions et modernité a été le premier film russe à recevoir le prix du public au Festival international de Moscou.

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●16h30 : « Rock » d’Ivan Chakhnazarov
(2017, 90 min.)

Avec Dmitri Shebotarev, Kirill Frolov, Ivan Ivashkin et Vitaly Kishchenko

Trois jeunes musiciens, invités à se produire sur une station de radio moscovite dédiée au rock, partent à la conquête de la capitale. Mais ce voyage va se révéler plein de surprises et de périls inattendus…

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●18h30 : « Bolchoï » de Valéry Todorovski
(2017, 132 min.)

Avec Alissa Freindlich, Margarita Simonova, Ekaterina Samouïlina, Valentina Telitchkina

Youlia Olchanskaïa, jeune danseuse de talent originaire d’une petite cité minière est remarquée par un ancien danseur qui lui prédit un avenir de grande ballerine. Mais la voie qui mène à la légendaire scène du Bolchoï est semée d’épreuves et de doutes et passe par le conservatoire, où la jeune provinciale insoumise est prise en charge par une professeure fantasque. Pour devenir danseuse étoile, il lui faudra faire de grands sacrifices et découvrir la rude école du Bolchoï.

 

Dimanche 26 août 2018 au Théâtre Claude Debussy à 20h30

GALA DE DANSE : « HOMMAGE A MARIUS PETIPA »

A l’occasion du bicentenaire de la naissance à Marseille du plus russe des chorégraphes français, Marius Petipa (1818-1910), le Théâtre Natalia Sats rend hommage au grand maître de ballet incontesté du théâtre impérial de Saint-Pétersbourg où il a travaillé pendant plus de 50 ans et créé des chefs-d’œuvre du ballet classique.

A travers des pas de deux, variations de solistes et le déploiement du corps de ballet emblématiques, ce gala célèbrera le génie de celui qui a posé les fondements de l’école du ballet classique, formé plusieurs générations de danseurs exceptionnels dont Anna Pavlova et Agrippina Vaganova et enrichi le répertoire classique des grandes institutions.

 

LE CORSAIRE, musique d’Adolphe Adam et CASSE-NOISETTE, musique de Piotr Ilitch Tchaïkovski : Extraits (Pas de deux).

Soliste : Andreï Batalov, soliste et étoile du Mariinski Théâtre de Saint-Pétersbourg

CASSE-NOISETTE, musique de Piotr IlitchTchaïkovski : Divertissements
LA MORT DU CYGNE, musique de Camille Saint-Saëns : Solo
PETROUCHKA, musique de Igor Stravinski : Extraits
CARNAVAL, musique de Robert Schumann : Papillons
L’OISEAU DE FEU (Zhar-Ptitsa), musique de Igor Stravinski : Duo, extrait du ballet

 

LE THÉÂTRE NATIONAL DE BALLET ET D’OPERA DE MOSCOU NATALIA SATS

Aujourd’hui, le Théâtre Natalia Sats s’enorgueillit d’être à la fois un théâtre d’opéra et de ballet de niveau international et de proposer un répertoire conçu pour les enfants, les jeunes et un public familial.

Il offre un répertoire de plus de 50 spectacles représentatifs de tous les styles : opéras, ballets contemporains et classiques comme les légendaires Saisons Russes de Diaghilev, concerts symphoniques, musiques baroque et de la Renaissance.

Le Théâtre se produit non seulement en Russie mais aussi beaucoup à l’étranger. Ses dernières tournées l’ont amené à Paris, Londres, Dublin, Venise, Tallin, Dubaï…

Il participe également à des festivals nationaux et internationaux et a été notamment récompensé par des prix prestigieux tels que « Le Masque d’Or », « l’Arlekin », l’International Opera Awards (2017).

 

Lundi 27 août 2018 au Grand Auditorium

BALLETS « SHEHERAZADE », « CHOPINIANA» ET « LES DANSES POLOVTSIENNES ».

SHÉHÉRAZADE
Musique Nicolas Rimski-Korsakov
Chorégraphie : Michel Fokine
Recréationchorégraphique : Andris Liepa, Artiste du peuple de la Fédértion de Russie
Décors : Anatole et Anna Nejny d’après les esquisses de Léon Bakst

En 1910, Michel Fokine adapte le poème symphonique de Nicolas Rimski-Korsakov pour les ballets russes de Diaghilev. Cette œuvre s’inspire du recueil de contes Les mille et une nuits.

Après avoir été trompé par sa première femme, le Sultan Shahryar épouse chaque soir une jeune vierge qu’il fait tuer au matin de la nuit de noces pour se venger… Afin de faire cesser ce massacre, Shéhérazade, fille du Grand Vizir, imagine un stratagème : elle épouse le Shah et lui raconte chaque nuit une aventure captivante dont la suite est reportée au lendemain.

-CHOPINIANA
Musique : Frédéric Chopin
Chorégraphie : Michel Fokine
Recréation chorégraphique : Andris Liepa, Artiste du peuple de la Fédération de Russie
Décors : Anna Nejny d’après les esquisses d’Alexandre Bénois

Chopiniana est le nom originel du célèbre ballet Les Sylphides.

Au début du XX° siècle, Michel Fokine tombe sous le charme de quatre œuvres de Chopin. Il décide de les chorégraphier et en 1907 la première se tient au Mariinski de Saint-Pétersbourg sous le titre de Chopiniana. Anna Pavlova, Vera Fokina (épouse du chorégraphe) et Anatole Oboukhoff interprètent ce ballet en un acte. Deux ans plus tard, une seconde version est présentée à Paris sous le nom des Sylphides  dans le cadre de la première saison des « Ballets Russes » de Diaghilev. Les rôles principaux ont été formidablement portés par Tamara Krasavina, Anna Pavlova et Vaslav Nijinski.

-DANSES POLOVTSIENNES
Musique : Alexandre Borodine
Chorégraphie : Michel Fokine
Recréation chorégraphique : Andris Liepa, Artiste du peuple de la Fédération de Russie
Décors : Anna Nejny d’après les esquisses de Nicolas Roerich

En 1890, Le Prince Igor, opéra d’Alexandre Borodine, est présenté pour la première fois au Théâtre Mariinski. Tirées du deuxième acte de l’opéra et chorégraphiées par Michel Fokine, Les Danses Polovtsiennes sont proposées au Théâtre du Châtelet à Paris en 1909. Première œuvre des ballets russes de Diaghilev programmée en France, elles connurent un grand succès et lancèrent la renommée des ballets russes.

Michel Fokine écrit sur cette création : « Comment j’ai inventé les pas pour ce spectacle ? C’est la musique qui m’a inspiré. Je voyais le dessin des danses très clairement, et même si les Polovetsiens dansaient autrement sous la musique de Borodine, ils devaient danser comme je le voyais… »

 

Du 18 au 23 août

Festival du Jeune Art Russe

Dimanche 19 août 
19h – 
Temple Protestant de Cannes – 7 Rue Notre-Dame
Concert de jeunes chanteurs de l’Académie Gnessine de Moscou

Avec les chanteurs lyriques Farukh Pirov (contre-ténor) et Daiana Osidaïé (soprano) accompagnés au piano par Oleg Khoudiakov

Lundi 20 août 
19h – 
Temple Protestant de Cannes – 7 Rue Notre-Dame
Concert d’orgue avec Alexeï Sazonov de l’Académie Gnessine de Moscou

Mardi 21 août
19h – T
emple Protestant de Cannes – 7 Rue Notre-Dame
Concert partagé :

Conservatoire de musique de Cannes : Sara Marroni (soprano lyrique), Salat Hanga Kriszta (mezzo-soprano), Clément Douziech (contrebasse), Matteo Sausse (percussion) et Robin Lanfranchi (trompette) accompagnés au piano par Eugénie Goldobine.

Académie Gnessine de Moscou et du Conservatoire de musique de Moscou : Farrukh Pirov (contre-tenor) et Dayana Asadziaye (soprano), accompagnés au piano par Oleg Khudiakov.

1ère partie avec les jeunes solistes du Conservatoire de musique de Cannes :

-Emmanuel Séjourné : Goodbye pour marimba solo
-Karl Ditters von Dittersdorf : concert pour contrebasse et piano en Mi Majeur
-Jean-Baptiste Arban : Fantaisie brillante pour trompette et piano
-Georges Bizet : Carmen, La Séguedille
-Leo Delibes : Lakmé, Air des clochettes
-Leo Delibes : Lakmé, Duo des Fleurs

2ème partie : Avec les chanteurs lyriques de l’Académie Gnessine de Moscou et du Conservatoire de musique de Moscou

-Franz Liszt : Mefisto-valses
-César Franck : Panis Angelicus
Jean-Sébastien Bach : Petit prélude et fugue en si bémol majeur
-Christoph Willibald Gluck :Air de Pâris de l’opéra « Pâris et Hélène
Johann Adolf Hasse Air d’Artabano de l’opéra « Artaserse »
-Jean-Sébastien Bach : Prélude en la mineur, BMW 642
Wolfgang Amadeus : Ave Verum corpus
Frédéric Chopin Etudes opus 10 N°1, 2, 4
-Nikolaï Rimski-Korsakov, paroles Alexis Tolstoï : L’alouette
A. Vlasov, texte d’Alexandre Pouchkine : La Fontaine de Bakhtchisaraï
-Georg Andreas Sorge :  Trio en do majeur
Sergueï Rachmaninov Sonate N°2 op.36 (deuxième rédaction), parties 2 et 3

 

Du 23 au 26 août 2018

Exposition de peintures

Foyer du Théâtre Debussy  du Palais des Festivals de 19h30 à 22h

Présentation des travaux des élèves d’écoles des Beaux-Arts de Russie réalisés à Cannes

Palais des festivals et des congrès –
1 boulevard de la Croisette
06400 Cannes

Billetterie: 04 92 98 62 77
Renseignements: 04 92 99 84 22

21
Juil

Anna Netrebko & Yusif Eyvazov à Monté-Carlo

   Publié par: artcorusse   dans Informations Internationales

RECITAL

ANNA NETREBKO & YUSIF EYVAZOV

Opéra Garnier de Monte-Carlo

Jeudi 23 août 2018

 

Une célébration des plus belles voix de l’opéra, Anna Netrebko (soprano) et Yusif Eyvazov (ténor), en concert à l’Opéra Garnier de Monte-Carlo.

Anna Netrebko a redéfini ce qu’est une star de l’opéra. Elle est née en 1971 à Krasnodar (Russie), Anna Netrebko a fait ses études au Conservatoire de Saint-Pétersbourg. Depuis ses débuts au Festival de Salzbourg en 2002 dans le rôle de Donna Anna de Don Giovanni, elle a été l’invitée de toutes les grandes scènes lyriques internationales. Elle revient régulièrement au Théâtre Mariinski de Saint-Pétersbourg, où elle poursuit sa collaboration avec Valery Gergiev. Cette prima donna assoluta est aujourd’hui la reine incontestée du chant lyrique et la tête d’affiche des plus grandes productions dans les plus prestigieux opéras du monde. Elle fut la première musicienne classique à faire partie du « Time 100 », la liste des personnalités les plus influentes selon le Time magazine. Grâce à sa voix unique et envoûtante, à son charisme naturel et à sa présence incroyable sur scène, chacun de ses rôles reste inoubliable.

 

Sur scène, elle et son mari, Yusif Eyvasov, forment un couple époustouflant. Né en Algérie de parents enseignants  Azerbaïdjanais en mission en Algérie. L’éducation musicale Yusif a commencé avec l’Académie de musique de Bakou, il a développé son professionnalisme en Italie où il s’installe en 1998, il s’installe pour poursuivre ses études à Milan. Les critiques le qualifient de « ténor formidable dont la pure voix, formée à réaliser des choses incroyables nous atteint comme nulle autre… ». Sa voix de stentor est métallique et dans la plus pure tradition italienne. Yusif Eyvazov s’est produit sur la scène de nombreux opéras, dont le Metropolitan Opera, le Wiener Staatsoper, l’Opéra de Paris, le Staatsoper Berlin et le Mariinsky Theater.

Venez profiter d’une soirée unique en compagnie de la soprano Anna Netrebko et du ténor Yusif Eyvazov. Le temps d’une soirée, l’Opéra Garnier de Monte-Carlo accueille en exclusivité les deux plus grandes stars de l’opéra pour un récital dans une ambiance exceptionnelle. Le public pourra profiter d’airs éblouissants composés par Verdi, Puccini, Strauss, Rimsky-Korsakov et bien d’autres encore. Les plus grandes voix de l’opéra chanteront leurs morceaux préférés, qu’ils ont personnellement choisis pour ce récital unique.

L’opéra de Monte-Carlo ou Salle Garnier est une salle de spectacle attenante au Casino de Monte-Carlo à Monaco avec 524 sièges, commandé par prince Charles III. Le nouveau casino et l’opéra ont été conçus par l’architecte Charles Garnier sous l’impulsion de Marie Blanc (veuve de François Blanc, surnommé le magicien de Monte-Carlo initiateur des jeux de hasards). Il fut construit en 8 mois seulement. L’opéra fut inauguré le 25 janvier 1879 avec un spectacle de Sarah Bernardt, plus tard avec les Ballets russes de Serge Diaghilev à partir de 1911 jouèrent sur cette scène.

Les maîtres décorateurs attitrés par cette scène qui a vu se produire tant d’artistes reconnus, ont été tout d’abord le maître italien Visconti, jusqu’en 1937, puis le peintre français L.L. Charles Roux, qui a signé un nombre considérable de scénographies jusqu’à sa retraite en 1962.

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Intérieur de l’opéra vers 1878-1879.

Parmi les artistes contemporains qui ont contribué à la renommée de la salle dessinée par Charles Garnier, on peut citer Léon Barsacq, Pablo Picaso, Léon Bakst (Stenka Razine), Yves Brayer (Aïda), Paul Roux ( L’Amour des trois oranges)

Il doit fermer en 2000, pour des travaux de restauration pour un coût total de vingt-six millions d’euros. L’opéra a été entièrement rénové et rendu au public lors de sa réouverture par le Prince Albert II de Monaco, le mercredi 16 novembre 2005.

 Le théâtre a servi à trois reprises comme lieu de dîners de gala. Pour la première fois pour la célébration de l’événement solennel en 1966 du centenaire de Monte-Carlo, organisé par Grace Kelly et Rainier III. La deuxième fois le théâtre a accueilli des invités à l’occasion du mariage royal d’ Albert II avec Charlène Whittstock et pour “Boule d’ amour, événement social, afin de recueillir des fonds pour construire des terrains de jeux et  pour le soutien aux familles qui élèvent des enfants handicapés en Russie (L’événement a permis de lever 3,2 millions d’euros.)

Opéra Garnier de Monte-Carlo

Salle Garnier
Place du casino
98000 – MONACO

INFORMATIONS & RÉSERVATIONS

Par téléphone :  +377 98 06 41 59 de 10 h à 19 h, 7 jours/7
Par mail : ticketoffice@sbm.mc

 

21
Juin

Festival de l’Art Russe, Deauville

   Publié par: artcorusse   dans archives

“Les Ballets Russes”

Samedi 18 août à 19h30 spectacle et dîner de Gala

Dimanche 19 août à 20h spectacle

Théâtre du Casino Barrière – Deauville

 

Les étoiles du ballet russe vont remonter sur la scène mythique du Théâtre du Casino Barrière, après une longue absence. La troupe sera notamment composée de danseurs du Bolchoï, du Théâtre Mariinsky (ex. Kirov) et du Théâtre musical Stanislavski et Nemirovitch-Dantchenko. Lors de cet événement exceptionnel, vous pourrez découvrir ou redécouvrir des extraits des spectacles qui ont autrefois révélé les ballets russes aux yeux du monde ainsi que les plus grandes chorégraphies contemporaines.

À son ouverture en 1912, le Théâtre du Casino, a accueilli durant deux semaines les « Ballets Russes » de Serge de Diaghilev pour l’une de ses toutes premières représentations hors Paris. Tel un trésor caché, cette histoire est peu connue du grand public et il est aujourd’hui grand temps de la découvrir.

Plus d’un siècle après le triomphe des « Ballets Russes » de Diaghilev, artistes et danseurs remettent l’art russe sur le devant de la scène internationale.

La France a toujours eu une importance particulière pour la Russie. Elle représentait à la fois une source d’inspiration, un avant-gardisme et un exemple de culture et de courage moral”, dit Veronika Bogatyreva, la créatrice de cet événement. “Ce pays, foyer culturel de l’Ancien monde est donc devenu pour la Russie, une scène lui permettant de présenter le meilleur de sa culture”.

Le début du XXe siècle marque le point culminant de cet échange artistique et s’inspire notamment du succès retentissant des « Ballets Russes » de Serge de Diaghilev en France et à travers le monde. Diaghilev, considéré comme l’une des figures les plus importantes de la vie artistique comptait parmi son entourage des artistes tels que Pablo Picasso ou Jean Cocteau. Au fil des années, André Derain, Juan Gris, Joan Miró, Marie Laurencin, Georges Braque, Georges Rouault, Max Ernst, Coco Chanel et Giorgio de Chirico vont tous participer à l’aventure des « Ballets Russes ». Stravinsky, Debussy, Richard Strauss, Manuel de Falla, Erik Satie et Sergey Prokofiev composeront eux les musiques des spectacles. De grandes carrières ont ainsi été lancées comme celles de George Balanchine qui créera le New York City Ballet, de Ninette de Valois qui fondera l’école de danse « The Royal Ballet » ou encore de Serge Lifar qui fera renaître le Ballet de l’Opéra de Paris.

M. Sergey Filine, le directeur artistique affirme: ”Aujourd’hui, il est impossible d’évoquer la danse, la musique ou l’art visuel du XXe siècle sans mentionner le nom de Serge de Diaghilev, cet homme de génie qui aura rassemblé autour de son projet tous les plus grands artistes de son temps et qui aura ouvert un nouveau chapitre dans l’Histoire de l’art”.

En août 1912, Deauville aura été durant deux semaines le témoin de cet âge d’or et du talent exceptionnel de la troupe de Diaghilev. (Les places se vendaient au marché noir!). A l’époque, l’étoile de cette troupe n’était autre que Vaslaw Nijinsky. Lorsqu’il dansait sur la scène du Théâtre du Casino Barrière dans « Le spectre de la Rose », on disait de lui qu’il volait dans les airs comme la douce brise estivale de Deauville. En 1912, la guerre, la désolation et les tragédies étaient encore bien loin. Au sein de ce tout nouveau théâtre, de jeunes et beaux danseurs ravissaient alors par leur virtuosité un public des plus sophistiqués. L’édition 2018 du Festival de l’Art russe rend ainsi hommage à ces précurseurs philanthropes, à ces penseurs romantiques, et à l’amitié profonde qui unit les peuples français et russe.

A l’occasion du Festival de l’art Russe de Deauville seront organisés différents événements culturels et pédagogiques ainsi que des divertissements. Le point d’orgue du festival sera la soirée de gala « Sergey D. » dédiée à Serge de Diaghilev, l’homme qui a permis au monde de découvrir le ballet russe et l’Art nouveau russe.

Le programme artistique de cette soirée est créé et dirigé par M. Sergey Filine (directeur artistique du Théâtre Bolchoï de Moscou de 2011 à 2016. Aujourd’hui Directeur Artistique des Jeunes talents du Ballet Bolchoï. Prix Benois de la danse, Prix international du Masque d’Or, Prix international du ballet – Les étoiles du XXIe siècle). Lors de cette représentation inoubliable vous retrouverez les premiers danseurs du Bolchoï: Olga Smirnova, Denis Rodkin, Artem Ovcharenko, Vyacheslav Lopatin, Anastasia Stashkevich ; les solistes du Théâtre Mariinsky (ex. Kirov): Tatiana Tkachenko et Ivan Oscorbin ainsi que les solistes du Théâtre Stanislavski & Nemirovitch-Dantchenko, Elena Solomyanko et Innokentiy Yuldashev. Spectacle avec entracte de 20 minutes.

 

Samedi 18 août à 19H 30

19h30: Théâtre Casino Barrière. Avant-Première mondiale du chef-d’œuvre «Les Ballets Russes».

21h30: Salon des Ambassadeurs «Diner Russe» Découverte de la gastronomie russe contemporaine .

Le plus grand, le plus prestigieux et le plus célèbre Salon de réception du casino. La structure du Salon des Ambassadeurs est d’origine – décoration style empire. Le salon accueille les plus belles manifestations historiques de Deauville comme le célèbre Festival du Film Américain mais aussi le festival mondial de Bridge, des grandes soirées caritatives.

Au Salon des Ambassadeurs, vous aurez l’opportunité de découvrir des mets de la cuisine russe contemporaine élaborés par l’un des meilleurs chefs russes, 5 plats, boissons incluses.

Le chef du restaurant de Moscou White Rabbit, Vladimir Mukhin est l’ un des meilleurs chefs russes de la « nouvelle vague ». Pendant 2 ans, son restaurant est nommé dans les vingt meilleurs restaurants internationaux « 50 Best Restaurants du monde ». La publication de la version russe du guide gastronomique français Gault & Millau  décernée au restaurant whiterabbit avec 17,5 sur 20 points possibles. C’est un chef issu d’une famille de restaurateurs, il est même la 5ème génération et a travaillé dans la cuisine de son père à la préparation de plats classiques de l’ère soviétique ! Alors, comme des générations de jeunes avant lui, Vladimir Mukhin a commencé à se rebeller contre son père, il a quitté sa petite ville natale d’Essentuki pour partir à Moscou et est devenu obsédé par les techniques modernes et la gastronomie européenne et mondiale ! Et ce n’est qu’au moment où il travaillait comme sous-chef en France avec le chef Christian Etienne que Vladimir Mukhin a réalisé que la cuisine russe avait toute sa place dans la cuisine moderne. «Les clients français qui y ont mangé ont été surpris » dit-il. « Ils ont aimé la cuisine russe ! »
Vladimir est parmi les meilleurs chefs du monde et représente la cuisine russe dans tous les grands festivals gastronomiques du monde.

Ne manquez pas ce Festival à la fois élégant et divinement informel qui sera sans aucun doute l’un des événements majeurs de la saison estivale sur les côtes Normandes.

THÉÂTRE CASINO BARRIÈRE DEAUVILLE

2 Rue Edmond Blanc
14800 Deauville

Contacts : tél. : +33 670633540
press@festivalrusse.com
www.festivalrusse.com

Tarifs de 120 à 350€

Réservation et renseignements: 02 31 98 66 00

Réservation samedi 18 août dîner de Gala Russe:  (CLIQUEZ)

Réservation dimanche 19 août spectacle Ballets Russes: (CLIQUEZ)

15
Mai

WE russe au moulin d’Andé

   Publié par: artcorusse   dans Brèves

 

Les 19 et 20 mai, le Moulin d’Andé vous emmène en Russie, de l’authentique “Cabaret Russe” à la passion de Rachmaninov, en passant par les éternels Ballets Russes de Diaghilev.

Samedi 19 mai à 19h

Soirée “Cabaret Russe” autour d’un dîner, avec :

Bielka & Souliko (chant et guitare)
Kathou Mondoloni (chant et guitare)
Pétia Jacquet-Pritkoff (balalaïka)
Oleg Ponomarenko (chant et guitare)
Alexandra Magin (danse)

Dimanche 20 mai à 11h30

Conférence “Diaghilev et les Ballets Russes”

par Jean-Bernard Cahours d’Aspry (écrivain et journaliste)
Illustrée par des affiches originales prêtées par l’Association pour un Musée de la Danse
(déjeuner)

Dimanche 20 mai à 15h

Concert “Rachmaninov”

Oeuvres pour deux pianos et piano-violoncelle par :
Marc Drobinsky (violoncelle)
Justine Verdier (piano)
Gabriella Torma (piano)

 

Moulin d’Andé (théâtre), rue du Moulin, 27430 ANDÉ

Réservation: 06 03 22 73 94

moulin@moulinande.asso.fr.

 

11
Nov

VII festival «Soirées du cinéma russe de Bordeaux»

   Publié par: artcorusse   dans Evenements

VIIème Festival du Cinéma Russe

Bordeaux

Mercredi 29 novembre au samedi 4 décembre 2017

VIIème édition du festival « Soirées du cinéma russe de Bordeaux » organisé dans le cadre de la coopération Bordeaux – Saint-Pétersbourg par l’Association Centre des Festivals France-Russie et l’Association Slave de l’Université Bordeaux Montaigne.

Ce projet est mis en œuvre avec le soutien de la Ville de Bordeaux, La Direction de la Jeunesse de la Région Nouvelle Aquitaine, l’Agence régionale ECLA, l’Université Bordeaux Montaigne, le CROUS de Bordeaux et l’Université de Bordeaux ainsi que les partenaires russes : Centre de Russie pour la Science et la Culture à Paris, l’Ambassade de Russie en France, la Commission gouvernementale pour les Compatriotes à l’Étranger.

Créées en 2009 par une équipe de jeunes enthousiastes de l’Université Bordeaux Montaigne, pleins d’initiatives, ouverts au nouveau monde de la culture, de l’art et du cinéma, les « Soirées du cinéma russe à Bordeaux » sont portées par une motivation, celle de promouvoir la culture internationale à Bordeaux.

Le Festival « Soirées du cinéma russe de Bordeaux » offre au public aquitain une occasion unique de visionner des films slaves très rarement, voire jamais, projetés en France, d’apprendre l’histoire et la culture à travers le cinéma.

Mercredi 29 novembre 2017, Cinéma Le Festival, Begles (151 Boulevard Albert 1er, 33130 Bègles)

21.00
CÉRÉMONIE D’OUVERTURE DU FESTIVAL en partenariat AVEC LE FESTIVAL « LES NUITS MAGIQUES »

Film « Switchcraft »Réalisation : Konstantin BRONZIT (Константин БРОНЗИТ) Images : Irina ERCHOVA (Ирина ЕРШОВА)
Production : Zis Production, Russie, 1995, 8 mn – Couleur, Sans paroles, animationChaque fois que la lumière était éteinte, le petit rat faisait son apparition … Et cela malgré la présence du chat!

Film « Le Dieu »Réalisation : Konstantin BRONZIT (Константин БРОНЗИТ)
Production : Melnitsa, Russie, 2003, 5 mn – Couleur, Sans paroles, animationUn dieu en lutte avec une mouche…

Film « Histoire de toilettes – histoire d’amour »Réalisation : Konstantin BRONZIT (Константин БРОНЗИТ)
Production : Melnitsa, Russie, 2006, 10 mn – Sans paroles, animationL’amour est souvent inattendu. Personne n’est surpris s’il éclot au travail, même si le lieu est insolite ! Ainsi, pourquoi ne porterait-on pas un regard tendre sur une dame pipi seule et triste qui recherche l’âme sœur ?

Film « Le chat et la renarde »Réalisation : Konstantin BRONZIT (Константин БРОНЗИТ)
Production : Studio d’animation Pilot, Melnitsa, Russie, 2004, 13 mn – Couleur, animationUn chat abandonné par son maître dans les bois fait connaissance avec une renarde.
Pour obtenir d’elle le gîte et le couvert, il lui fait croire qu’il est le gouverneur de Sibérie.

Film « Au bout du monde »Réalisation : Konstantin BRONZIT (Константин БРОНЗИТ),
Production : Studio de films d’animation “Melnitsa”, Russie, 2014, 4 mnLes aventures d’une maison à l’équilibre fragile. Posée sur le pic d’une colline, elle balance alternativement de droite à gauche au grand dam de la famille de paysans qui l’occupe.

Film « Nous ne pouvons pas vivre sans le cosmos »Réalisation : Konstantin BRONZIT (Константин БРОНЗИТ),
Production : Studio de films d’animation “Melnitsa”, Russie, 2014, 4 mnDeux amis rêvent d’aller dans le cosmos et font tout pour atteindre leur but. Mais le film ne parle pas seulement du cosmos et des rêves… La complicité est mise en avant, l’entraide, mais aussi le rêve d’un destin.

En présence du réalisateur des films d’animation, lauréat d’OSCAR Konstantin BRONZITKonstantin Bronzit est né le 12 avril 1965 à Saint-Pétersbourg. En 1983, il termine ses études à l’Académie des Beaux-Arts et, de 1985 à 1990, il collabore comme animateur dans un studio de film de sciences populaires. C’est dans ce studio qu’il crée son premier court-métrage, Le rond-point. Depuis 1988, il montre un fort intérêt pour l’illustration destinée à des revues et des journaux russes. En 1994, il reçoit son diplôme de Hautes Études de scénariste et metteur en scène avec Fjodor Khitruk à Moscou. Son film le plus connu, Au bout du monde, est réalisé au Studio Folimage. Il est à noter également que Konstantin Bronzit est membre des académies de cinéma russe, français et américain

 

Jeudi 30 novembre Lycée Camille Jullian (29 Rue de la Croix Blanche, 33074 Bordeaux)

15.00 Master – Class pour les lycéens et les élèves des collèges qui apprennent le russe
16.00 Programme Nouveau cinéma Russie
Cinéma Utopia (5 Place Camille Jullian, 33000 Bordeaux)

Programme Nouveau cinéma Russie

Film « Aliocha Popovitch et Tougarine Zmeï » (sous-titres français)Réalisation : Konstantin BRONZIT (Константин БРОНЗИТ)
Production : CTB, Melnitsa, Russie, 2004, 75 mn – Couleur, animationAliocha Popovitch est le prototype du héros légendaire populaire. Il est l’un des trois chevaliers des bylines (contes épiques de Russie chantés, datant du moyen âge et transmis oralement par des bardes) avec Ilia Mouromets et Dobrynia Nikititch. Fils de prêtre (pope, d’où Popovitch), originaire du Nord russe, pas très fort, mais très malin, il n’hésite pas à tromper les adversaires qu’il ne peut vaincre par la force. Sa naissance magique est accompagnée par le tonnerre. Très jeune, il est capable de se tenir à cheval et de manier l’épée. Il part très tôt dans le vaste monde. Ses plaisanteries ne sont pas toujours fines et son plus grand exploit est l’anéantissement du monstre Tougarin Smeï qui voulait s’emparer de Kiev. Source : www.ctb.ruRencontre avec le réalisateur de films d’animation, lauréat d’OSCAR Konstantin BRONZITCinéma Utopia (5 Place Camille Jullian, 33000 Bordeaux)

 

20.15 Programme Nouveau cinéma Russie

Film « Une vie à l’étroit »Kantemir BALAGOV, 2017, Russie, 1h58

Ce film a été présenté au Festival de Cannes en 2017 dans la sélection Un Certain Regard1998, Nalchik, Nord Caucase, Russie. Ilana, 24 ans, travaille dans le garage de son père pour l’aider à joindre les deux bouts. Un soir, la famille et les amis se réunissent pour célébrer les fiançailles de son jeune frère David. Dans la nuit, David et sa fiancée sont kidnappés et une rançon réclamée. Au sein de cette communauté juive repliée sur elle-même, appeler la police est exclu. Comment faire pour réunir la somme nécessaire et sauver David ? Ilana et ses parents, chacun à leur façon, iront au bout de leur choix, au risque de bouleverser l’équilibre familial.Présentation du film et analyse critique par la spécialiste du cinéma russe Irina PAVLOVA, Saint Pétersbourg

Vendredi 1 décembre Cinéma Le Festival, Begles (151 Boulevard Albert 1er, 33130 Bègles)

15h00 Rencontre avec Konstantin BRONZIT, réalisateur Cinéma Utopia (5 Place Camille Jullian, 33000 Bordeaux)
« Peinture Vivante – Ateliers Cinéma »
Atelier animé par le réalisateur de Saint – Petersbourg acteur Konstantin Bronzit qui présentera la technique de pose de la voix pour les films d’animation. Les Ateliers Cinéma du festival ont pour objectif d’approfondir les connaissances des étudiants en études cinématographiques de Bordeaux des pratiques de la création du cinéma contemporain
Rencontre avec Konstantin BRONZIT, réalisateur
18h00 Programme Nouveau cinéma Russie
Film « Classe à part » d’ Ivan TVERDOVSKI Drame, 2014, Russie, 1h25
Lena, adolescente en fauteuil roulant, a enfin l’occasion d’étudier dans un lycée « normal », dans une classe pour handicapés. Au contact des autres, elle se sent enfin vivante, découvre l’amitié, l’amour, mais aussi la violence.
Présentation du film par le réalisateur Ivan Tverdovski
20h00 Master-Classe avec Ivan TVERDOVSKI
Né en 1988 à Moscou (Russie), il obtient en 2011 son diplôme de l’Institut national de la cinématographie Guerassimov de Moscou. Ses courts et longs métrages documentaires reçoivent de nombreux prix en Russie et dans des festivals internationaux. Il est responsable des courts métrages russes au Festival de Moscou. Le film Class à part est inspiré du roman éponyme de la psychologue Ekaterina Murashova, est son premier long métrage de fiction.
Simeone dell’Arte (10 Place Camille Jullian, 33000 Bordeaux)

21 h

 

Dasha Baskakova « Musique du monde/Nu Russian Songs »Chanteuse, auteur-compositrice interprète. Sibérienne de naissance et bordelaise d’adoption, slave dans l’âme et française de cœur, Dasha Baskakova est décidément une artiste à part, à cheval entre deux cultures et un bon millier d’aspirations qui ne connaissent pas de frontières

Samedi  2 décembre Institut du journalisme Bordeaux Aquitaine (1 rue Jacques Ellul 33080 BORDEAUX Cedex)

10h00 Billets
Cinéma Documentaire
Film « Tableaux saints » d’Ella Tukharelli, 44 m
Un film sur la contrebande d’anciennes icônes russes. Dans les années 1970, à Berlin-Ouest, parmi les contrebandiers, l’expression «conduire des planches à travers la rivière» était courante. Cela faisait référence à la contrebande de vieilles icônes russes de l’Union soviétique à l’Ouest, à travers la Spree et le mur de Berlin. Comment la contrebande d’icônes orthodoxes est-elle devenue une affaire criminelle lucrative et qu’est-elle devenue aujourd’hui?
Présentation par le producteur Alexandre Dukov
11h00 Billets
Présentation du film « Zoya Kosmodemianskaia» d’Olga et Alexey TOVMA, 25m
Présentation du film qui raconte la courte vie de l’écolière moscovite Zoe Kosmodemyanskaya qui, au début de la Grande Guerre patriotique, est devenue saboteur partisan et exécutée par les Allemands dans le village de Petrishchevo près de Moscou en novembre 1941. Pour son exploit on lui a attribué à titre posthume le titre de héros de l’Union Soviétique.
Le tournage aura lieu en 2018.
Présentation par un journaliste Alexandre Dukov ainsi que l’équipe de tournage
12.00 Billets
Classique du cinéma Russe
Film « Le Bras en diamants » de Leonid Gaidai, URSS, 1968, 100 mn, Couleur
Dans une petite ville du littoral sud, agit une bande de trafiquants de devises dirigée par le Chef et son aide Graf. Ce dernier, chargé d’une mission du Chef, part en voyage touristique à l’étranger et se trouve en compagnie du paisible et modeste économiste Semion Semionovitch. Les événements vont se poursuivre de telle façon que Graf ne peut absolument plus se séparer de son nouvel ami sans faillir à sa mission…
14h00 Billets
Compétition « Le monde vu par les jeunes »
Thème 2017 – « In Ciné Veritas »
Film « Parallèle des siècles » de Vladimir BAZYNKOV, 25 min
C’est un film qui n’est pas sur la foi, mais sur les gens. Les gens ne changent pas facilement, au premier échec. Ce n’est qu’après avoir commis de multiples erreurs et péchés qu’une personne peut changer. Ce film n’est pas religieux au sens premier du terme. Il questionne les spectateurs sur la foi, sur l’idée que chaque personne est toujours récompensée selon ses paroles et ses actes. Usant de motifs bibliques dans sa dramaturgie, l’auteur du film veut mettre ses contemporains face à une vérité simple mais selon lui très importante: le destin donne toujours à chacun une chance de changer.
Présentation par l’auteur du film Vladimir BAZYNKOV
Film « Papa, au revoir » de Ksenia BASKAKOVA, 25 min
Alexandre, un riche homme d’affaires, perd son père. Cet événement est le choc le plus puissant de sa vie. Après une série d’actions impulsives, Alexander se rend dans son village natal où il a vécu avant de déménager à Moscou, afin de se souvenir de son enfance et de son père.
Présentation par l’auteur du film Ksenia BASKAKOVA
Cinéma Utopia (5 Place Camille Jullian, 33000 Bordeaux)
11h00
Programme « ECLA: Focus sur la Région »
Jeunes réalisateurs français primés en Russie
Ce programme est conçu en partenariat avec l’action culturelle de l’Agence régionale ECLA, Films soutenus par la Région Nouvelle-Aquitaine.
Film « Peau-Rouge »
Maya HAFFAR, 2017, France, court-métrage, fiction, 24 min
Un été caniculaire, au milieu de nulle part. Une petite équipe est envoyée en pleine forêt pour implanter le tracé d’une voie, en amont d’un chantier d’aménagement routier. Diane, topographe et seule femme du groupe, émet des doutes quant à la faisabilité des travaux.
Film « Et là-bas souffle le vent »
Laetitia MIKLES, 2015, France, documentaire, 59 min
Des chemins, Laurent Pariente en a suivi de toutes sortes. Le chemin tortueux de la fugue, très jeune. Puis, très vite, les chemins obliques de la création plastique. Laurent a offert aux spectateurs des parcours labyrinthiques dans lesquels perdre pied. Un jour, Laurent Pariente a bifurqué : il est devenu chef cuisinier à New York. Pour lui, ces tracés multiples forment un seul et même parcours ; il continue de creuser le même sillon de la création, et de l’émerveillement.
Présentation et débat en présence des réalisatrices Laetitia Mikles et Maya Haffar
15h00
Programme spécial « ECLA: Focus sur la Région »
Film « Gorki – Tchekhov, 1900 »
Fabrice CAZENEUVE France, 2016, 1h20
Programme est créé en partenariat avec la Région Nouvelle-Aquitaine et l’Agence régionale ÉCLA.
Après avoir longtemps baroudé, Gorki se lance dans la littérature et envoie ses premiers textes à Tchekhov, qu’il admire, pour qu’il lui donne son avis sincère. Celui-ci répond aussitôt, une correspondance s’engage sur la littérature et le sens de la vie, avec des mots tout simples. Dans cet échange se noue une forte amitié.
Le film tourné dans les paysages de l’île d’Oléron et au théâtre d’Ardoise est interprété par deux jeunes actrices qui s’engagent elles aussi sur le chemin de la création.
Présentation et débat en présence du réalisateur Fabrice Cazeneuve et de la comédienne Mathilde Cazeneuve
Institut du journalisme Bordeaux Aquitaine (1 rue Jacques Ellul 33080 BORDEAUX Cedex)
CLUB POUR LES ENFANTS
15h30 Billets
ATELIERS ET DÉMONSTRATIONS
• Poupées traditionnelles russes par Anna Trofimova
• Fabrication de décoration de Noël par Irina Malachkina
• Atelier « Portrait » par Lena Tereshonok
• Atelier de couture pour les petites princesses par Olga Buzinova
• Atelier de la création des cartes postales par Oksana Sultanbekova
Démonstration des arts martiaux par Marshal SAVCHUK
Champion d’Europe en combat SAMBO (WCSF),
Champion du Monde de Greppling (WFMC, Allemagne).
Entraîneur émérite de la Russie au combat Sambo (WCSF)
16h30
Film « Aliocha Popovitch et Tougarine Zmeï »
17h30
Exposition « Aquitaine vue par les Jeunes »
Remise des diplômes aux participants
École de dessin « Atelier de Lena »
Institut du journalisme Bordeaux Aquitaine (1 rue Jacques Ellul 33080 BORDEAUX Cedex)
NOUVEAU CINEMA RUSSE
19h00 Billets
Film « Rock » d’Ivan CHAKHNAZAROV Russie, 2016, fiction, 1h30
Ce “roadmovie” raconte l’histoire de trois musiciens de rock de province, partis à Moscou pour participer à une émission de radio. Ce voyage devient l’aventure la plus grande, la plus brillante, la plus dangereuse et la plus inoubliable de leur vie. Le mot «rock» dans le titre du film fait référence non seulement au style musical, mais aussi au « destin ». Les auteurs du film ont voulu partager le sentiment de faire partie d’une force appartenant à un autre monde. Ce sentiment est ce qui conduit les hommes. Cette force influe sur leur parcours professionnel et personnel.
Présentation du film et analyse critique
par la spécialiste du cinéma russe Irina PAVLOVA
21h00 Billets
Film « Arythmie » de Boris KHLEBNIKOV, 2017, 1h56 min
Le Grand Prix au Sochi International Film Festival Kinotavr 2017
Oleg est un médecin talentueux, qui travaille au SAMU. Il se presse de patient en patient, conscient qu’il peut sauver des vies. Son succès rend le monde meilleur, c’est pourquoi il est prêt à surmonter tous les obstacles, à faire l’impossible. Le reste peut attendre: sa famille, sa carrière, sa vie … Mais qu’est-ce que sa vie? Alors qu’Oleg a sauvé tant d’inconnus, sa femme désespérée a décidé de demander le divorce. Et à l’hôpital, un nouveau patron, qui ne se soucie que des statistiques et des règles, lui mène la vie dure. Mais Oleg, dévoué entièrement à son métier, se précipite toujours pour répondre aux appels des malades, venir à leur secours…. Et qui sait quelle tâche est la plus facile: sauver les autres, ou se sauver soi-même?
Présentation du film et analyse critique

Dimanche 3 décembre Institut du journalisme Bordeaux Aquitaine (1 rue Jacques Ellul 33080 BORDEAUX Cedex)

Cinéma Documentaire
10h00 Billets
« Kamchatka – un guérisseur pour la haine » de Julia Mironova, 2014, Russie, couleur, 44 min
Le journaliste, Viatcheslav Nemyshev a couvert en 1991 la guerre en Tchétchénie pour la TV Russe. 13 ans plus tard, il vit dans une île de l’Est de la Russie, loin de Moscou et des souvenirs de cette période. Il filme la vie quotidienne de l’île, la remontée des saumons, le travail des pêcheurs, tournant parfois l’objectif vers lui-même, tandis que la caméra de Julia Mironova le suit et alterne les scènes de sa vie actuelle et les réminiscences de ses anciens reportages. Si loin qu’on aille, il n’est pas évident d’échapper au cauchemar de la guerre.
11h00 Billets
« Comment devenir une garce » d’Alina Rudnitskaya, 2008, Russie, couleur, 31 m
Des femmes russes participent à des séminaires où un professeur leur enseigne comment séduire les hommes, comment être sexy, comment avoir du succès. Chacune rêve de harponner un millionnaire. Ce tournage est une méthode d’observation. Par moments la camera se fait oublier et les comportements deviennent tout à fait naturels. Ce film pourrait s’appeler « Une bonne comédie documentaire » sur les femmes.
12h00 Billets
« Le cygne solitaire » de Vladimir VOROKOV, ORTK « NAlchik » 2014, 59 mn
Histoire poétique sur la vie d’une danseuse russe Ludmila Tcherina (1924-2004), d’origine circassienne, qui est devenue une grande ballerine, sculpteur, actrice. Elle a laissé une marque brillante dans l’histoire des différents arts, a reçu un certain nombre de prix dans les festivals de films internationaux. Une personne forte et riche, une femme d’une beauté extraordinaire et d’un talent aux multiples facettes, Ludmila Cherina a reçu de nombreuses recompanses en France. Sa vie et ses œuvres sont racontées par ses amis les plus proches: Sophiede Mazeno et Jean-Claude Ancelin.
15.30 Billets

« Marchand de toutes les saisons: le musée virtuel de Sergei Diaghilev » de Svetlana ASTRECOVA, 2017, Russie, 44’
Le film est dédié au créateur de “Monde d’Art ” et des “Saisons Russes” et “Ballets Russes” – Sergei Diaghilev. Le film est conçu comme un voyage à travers un musée « virtuel » où chaque chambre raconte les différentes facettes de l’activité de Diagilev.
Présentation des films par Inna Soukhoveeva
14.00 Billets
Compétition « Le monde vu par les jeunes »
Thème 2017 – « In Ciné Veritas »
«Beaujolais Caucase» d’Alexandre MIROSCHNICHENKO, 20 m
Film-voyage au Caucase, dans la région de la République de Karachaevo Tcherkessia, où sur la montagne de Shoana, à une altitude impressionnante, se trouve une ancienne cathédrale. Construit par les Grecs au IXe siècle, il se trouve au milieu de la République musulmane. “Pourquoi la cathédrale est-elle érigée dans un endroit aussi éloigné? Pour qui? Que vivent et respirent les habitants de cet endroit? Que cherchent-ils? “- l’auteur du court-métrage a essayé de répondre à ces questions et bien d’autres.
Présentation des films par l’auteur du film Alexandre MIROSCHNICHENKO
« Le rêve de la Reine Rouge » de Maria Melnik, 29 min
L’héroïne du film Lera vit une paralysie somnolente. C’est un état où l’esprit se réveille et le corps continu à dormir. Afin d’aider à guérir Lera, nous l’avons amené chez un thérapeute à la session de « conte de fei ». Docteur raconte une histoire basée sur la vie de Lera et fait entré la jeune femme en transe pour l’aider à trouver un moyen de sortir du monde magique de son esprit. Pendant la transe, elle doit faire face à ses peurs et les vaincre.
À PROPOS DE COMPETITION « Monde vue par les Jeunes »
Programme qui, depuis 2012, cherche à promouvoir le travail des jeunes cinéastes français et russes et à valoriser le court-métrage comme forme d’expression artistique à part entière.
Le Jury est composé de partenaires du festival, de spécialistes de la région viticole de Bordeaux et de cinéastes de France et de Russie. Le concours proposera également un Prix du public.
Les gagnants du prix principal (1 cinéaste français et 1 cinéaste russe) recevront le certificat permettant d’effectuer une co-production sur l’histoire de l’un des châteaux de Bordeaux.
Les participants de la compétition « Monde vu par les jeunes »
Action soutenue par Direction de la Jeunesse du Conseil Régional d’Aquitaine.
Maison de l’Autre (19 bis rue Formigé Le Bouscat)
15.00 Billets
Cinéma Documentaire

Film « Le Kremlin. Le cœur sacré de Moscou » d’Aliona Folomeva, 2017, Russie, documentaire, couleur, 1h26min
Un documentaire sur le Kremlin dans lequel le mystère des sanctuaires du Kremlin et leur signification d’état sont révélés. Le spectateur apprendra l’histoire de la spiritualité russe et pourra plonger dans le monde de la sainteté, des traditions, des valeurs qui y sont conservées et transmises de génération en génération. Et aussi découvrir beaucoup de documents inédits : photos, cartes, tableaux et documents des musées historiques et des archives. Le film raconte les structures architecturales les plus célèbres et les plus inaccessibles de la principale résidence gouvernementale de la Russie.
Présentation du film par la réalisatrice Alena Folomeva
Mega CGR Le Français (9 Rue Montesquieu, 33000 Bordeaux)
18h00 Billets
Nouveau Cinéma Russe
Film « L’oiseau » de Ksenia Baskakova, Russie, 2016, 90 mn
« Oleg Ptitsyne est mort », « Oleg Ptitsyne se cache en prison » s’étalent à la une de tous les journaux et magazines. Mais la célèbre rock star à la réputation sulfureuse est juste soignée pour sa tuberculose dans une clinique. Là, s’intéresse à lui Katia, une adolescente qui maltraite tout l’établissement. Même sa mère ne peut avoir le moindre contrôle sur elle. Entre Oleg et Katia se noue une amitié et Oleg décide d’aider la gamine à guérir et à aimer enfin la vie. Cette rencontre fortuite bouleverse leurs deux destins. Après avoir surmonté diverses épreuves, Oleg et Katia entament une nouvelle vie.
Présentation du film par la réalisatrice Ksenia Baskakova
Châteaux dans les environs de Bordeaux ou Cité du Vin

 

20:30 Billets

Cinéma délicieux
Au programme:
– Cocktail-dinatoire
– Animation musicale
– Projection d’une sélection de scènes de cuisine mémorables au cinéma
– Ambiance «cinéma» festive, remplie de bonne humeur et de créativité
La soirée sera animée par
• Le compositeur, pianiste, arrangeur, artiste du peuple de la Russie Levon Oganezov
• L’acteur, réalisateur, chanteur, animateur de télévision, artiste honoré de la Russie Andrey Ankoudinov

Tarif Unique 4 €

Les réservations des places sont à partir de 10 Novembre!!!

Saledi 4 décembre RETROSPECTIVE DES FILMS DE KONSTANTIN LOPUSHANSKI

Konstantin Lopouchanski est né le 12 juin 1947 à Dniepropetrovsk. En 1970, il a terminé des études de violon au conservatoire de Kazan. De 1973 à 1975, il enseigne la musique d’abord au conservatoire de Kazan puis à celui de Léningrad et il fait parallèlement une thèse d’histoire de l’art. En 1978, il obtient le diplôme des Cours supérieurs de formation des scénaristes et réalisateurs. Elève d’Andreï Tarkovski, Lopushanski travaille constamment selon les principes spirituels et esthétiques du maître. Lopushansky n’accepte aucun compromis sous quelque forme que ce soit et surtout par rapport à lui-même. Il met en scène les tâches artistiques les plus complexes, chacun de ses films – preuve d’un travail intellectuel et d’expériences personnelles profondes. Les repères esthétiques du réalisateur sont Ingmar Bergman, Robert Bresson et Kenji Mizoguchi. Le lieu de la recherche spirituelle et artistique est la Russie. “La mission principale du cinéma est de donner un début spirituel au spectateur, de l’aider à se développer en tant qu’individu, de grandir au-dessus de lui-même et d’évaluer adéquatement la société dans laquelle il vit, en soulignant ses défauts. Chaque personne est confrontée à la fois à des valeurs durables (amour, amitié, trahison) et à des cataclysmes universels (guerres, conflits ethniques, faim et pauvreté). Tout cela doit être filmé, c’est avec l’aide de ses instruments qu’il est possible d’attirer l’attention du spectateur sur les problèmes qu’il rencontre dans la vie de tous les jours. “
Université de Bordeaux – Campus Bastide (35 Avenue Abadie, 33100 Bordeaux)
10h30 à 12h30
Rétrospective des classiques du cinéma russe
Film “Lettres d’un homme mort” (en russe : Письма мёртвого человека) de Konstantin LOPOUCHANSKI 1h28min
Lettres d’un homme mort est le journal intime d’un ex prix Nobel adressant des lettres à un fils disparu qu’il croit encore vivant. Le film donne une vision déprimante du monde avec une humanité en voie de disparition. Avec peu de moyens, le réalisateur Konstantin Lopouchanski frappe le spectateur par des images très fortes : les rues bondées de cadavres laissés à l’abandon sous la pluie ; les lieux détruits ; les explosions incessantes. Lettres d’un homme mort présente une poignée de gens tentant de survivre mais qui n’ont plus le goût de vivre dans ce monde dévasté et voué à sa perte. Malgré tout, une lueur d’espoir subsiste avec les enfants qui continuent d’aller de l’avant. Voilà sans conteste une œuvre lancinante mais très riche, à découvrir sans plus tarder. Nicolas Bonnes
14h00 à 16h00
Rétrospective des classiques du cinéma russe
Film « Visiteur du musée » de Konstantin LOPOUCHANSKI, 2h16 min
Après une catastrophe écologique, dans un monde de vestiges et de ruines. Des mutants renouent avec des cultes primitifs dans une pénurie totale.
16h00 à 18h00
Rétrospective des classiques du cinéma russe
Film « Rôle » de Konstantin LOPOUCHANSKI, 2h12 min
Film en noir et blanc sur les événements qui se sont produits à Petrograd au début des années 20 du siècle dernier. L’histoire d’un acteur de talent, un homme habité par les idées de l’Âge d’Argent, et en accord avec celles du symbolisme est prêt à vivre la vie d’un autre, et plus précisément, de l’interpréter comme si c’était un rôle. L’acteur est fait prisonnier par les Rouges, et se trouve ressembler comme deux gouttes d’eau au commandant “Rouge” qui s’apprête à le fusiller. Après la mort du commandant, l’artiste décide de jouer le rôle du mort, selon la nouvelle tendance du théâtre – quand une partie de la communauté théâtrale estimait que le théâtre devait sortir dans la rue, que le théâtre doit se fondre dans la vie.
Présentation du film et analyse critique par la spécialiste du cinéma russe Irina PAVLOVA, Saint Pétersbourg
Institut du journalisme Bordeaux Aquitaine (1 rue Jacques Ellul 33080 BORDEAUX Cedex)
14.00 Billets
Programme des films « Les Vainqueurs »
Film documentaire « KVN. Certificat de naissance », d’Inna TKACHENKO, Russie, 2017. 1h15min
Histoire du jeu télévisé russe KVN (Kloub Veselykh i Nakhodtchivykh), une émission humoristique en URSS puis en Russie. C’est une compétition entre plusieurs équipes d’étudiants représentant chacune leur université respective, qui s’affrontent en se posant ou en répondant à des questions, ou à travers l’interprétation de petites scènes comiques. Cette émission était très novatrice à l’époque de son apparition à la télé dans les années 60, car elle était diffusée en direct et demandait une réaction rapide à des situations données. Le film présentera aussi la vie du journaliste russe Serguei Mouratov qui a inventé ce jeu.
Présentation du film par la veuve de S. Mouratov Marina TOPAZ
15.30
Table ronde « Jeu télévisé : une forme de communication interactive interculturelle »
Héritage créatif de Serguei Alexandrovich Mouratov
La discussion sera consacrée au travail du journaliste russe Serguei Alexandrovitch MOURATOV, réalisateur de films de télévision et l’auteur de nombreux scénarios pour la télévision soviétique et russe. Il est l’un des fondateurs du jeu télévisé russe KVN, concept novateur interactif qui est apparu à la télévision soviétique dans les années 60. Expert russe dans le domaine de la critique télévisée et lui-même critique de cinéma, scénariste, chercheur, professeur de la Faculté de journalisme à l’Université d’état MGU, MOURATOV a écrit de nombreux livres et articles sur l’importance de la profession de journaliste, son rôle social et éthique».
Participants de la discussion
– Marina B. TOPAZ, Peintre, journaliste, veuve de S. Muratov
– Irina VOLKOVA, Dép des médias l’Université Russe d’Amitié des Peuples, Élève de S. Muratov
– Svetlana СHARONOVA, Institut des langues étrangères URAP, Spécialiste de la sociologie du jeu
Salutation Directeur de l’Institut de Journalisme de Bordeaux Aquitaine Arnaud SCHWARTZ
Modérateur professeur François SIMON
Traduction des articles de S. Mouratov et du film – Natalia KOSAK et Artiom VALIULIN
Mairie de Bordeaux (Place Pey Berland, 33000 Bordeaux)
18.30
CÉRÉMONIE DE CLÔTURE. PRIX ET RÉCOMPENSES.
Mega CGR Le Français (9 Rue Montesquieu, 33000 Bordeaux)
21.00
Film de clôture “Bolchoi” de Valeri Todorovski, Russie, 2017, 132 mn, fiction
Youlia Olchanskaïa, jeune et talentueuse danseuse qui a grandi dans une petite ville minière, a tiré « un billet gagnant » : elle a été remarquée par Pototski, un ancien danseur qui lui prédit un grand avenir de ballerine, digne de la salle la plus prestigieuse du pays. Mais tout diamant brut demande à être taillé et le chemin vers le Bolchoï passe, pour Youlia, par l’école de ballet où elle est prise en charge par une professeure fantasque, la très sévère Galina Beletskaïa. Devenir une étoile exige des sacrifices inouïs et Youlia découvre que le ballet classique, ce ne sont pas seulement les tutus blancs, les loges dorées et les rubans de soie qui glissent. Mais aucun obstacle ne peut arrêter celle qui a un Grand Rêve.
Présentation du film et analyse critique par la spécialiste du cinéma russe Irina PAVLOVA, Saint Pétersbourg

RÉSERVATION DES BILLETS
Téléphone +33 642 00 12 80 Email : cffr@centerfest.ru
www.fr.centerfest.fr/bxfest
Les réservations des places sont à partir de 10 Novembre!!!

26
Juil

exposition d’Alexandre Serebriakoff au CSCOR de Paris

   Publié par: artcorusse   dans Evenements

Exposition des œuvres de Alexandre Serebriakoff

« Paris »

jusqu’au 14 août 2017

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L’originalité de l’exposition réside dans le fait que, sous le toit de la salle d’exposition seront recueillies par l’artiste, consacrée au thème de Paris: les façades du Quartier Latin, le Marais, la digue Seine, le majestueux Notre Dame et élégante Tour Eiffel.

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Alexandre Borissovitch Serebriakoff (1930)

Alexandre Borissovitch Serebriakoff est un artiste peintre, aquarelliste et décorateur russe, né en 1907 à près de Kharkov , mort à Paris en 1994. Son père, Boris, est emprisonné par les bolchéviques : il meurt en 1919 du typhus  contracté durant son incarcération. Sa mère emmène ses enfants à Pétrograd pour essayer de survivre, mais, devant les difficultés, elle se résout à émigrer seule à Paris en 1924.

Alexandre et sa sœur Catherine la rejoindront peu après. C’est là qu’Alexandre commence une carrière de décorateur d’intérieur. Il séjourne à Camaret sur Meret et à Voncarneau.

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Il a pratiqué la rare spécialité du portrait d’intérieur, laissant un témoignage minutieux des décors et fêtes de la haute société française.

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Il a souvent signé ses œuvres avec sa sœur, Catherine.

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Catherine Serebriakova (1913-2014)

Sa mère, Zinaïda Serebriakova, est la première femme russe à être reconnue comme un peintre important, apparentée aux Benois, célèbre dynastie d’artistes russes émigrée de France au XVIIIème siècle. Son grand-oncle est le peintre, décorateur et scénographe Alexandre Benois, fondateur de Mir Iskousstva et ami de Serge Diaghilev. Son grand-père Eugène est sculpteur. L’un de ses oncles, Eugène Lanceray, est sculpteur, peintre et graphiste, l’autre, Nicolas Lanceray, un architecte reconnu. Il meurt en 1994, il est enterré près de sa mère au cimetière de Saint Geneviève des bois.

Entrée gratuite.

Centre spirituel et culturel orthodoxe russe

1, quai Branly, 75007, Paris

Dates: 07 juillet – 14 août 2017
Horaires: 12h – 14h et de 15h à 19h.

Gueorgui Chichkine

expose du 28 juin au 31 juillet 2017

Musée Russe de Saint Petersbourg

“Palais Mikhaïlovski”

“RÊVES RUSSES”

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Georgui Chichkine  réunit à l’occasion de cette exposition, son grand cycle d’artistique « Rêves russes », qui a été présenté dans les Salons de peintures à Paris, à Cannes, à Monaco

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Guéorgui Chichkine est né en 1958,  à l’âge de 10 ans, il a été admis à l’école des Beaux-Arts, Le jeune Chichkine a voyagé à travers les nombreuses villes anciennes de son pays, muni de son chevalet. Dans le Cathédrale d’Assomption de Vladimir,  il est très impressionné par les fresques d’Andreï Roublev, considéré comme le premier peintre russe.

Diplômé de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts et d’Architecture de Sverdlovsk (Académie) en 1975, stagiaire à l’École nationale supérieure des Arts Stroganoff de Moscou, il a été professeur de dessin et de peinture, pendant dix ans, à l’École supérieure où il fut étudiant.

A partir de 1974, Guéorgui Chichkine participe à des expositions artistiques des professionnels. Dans la même année, il a devenu lauréat du concours national des jeunes créateurs de Russie et invité pour participation à l’Exposition du prestige à Moscou.

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En 1992, a l’issue de voyages à l’étranger, en Allemagne de l’Ouest et en Hollande (à partir de 1989), Gueorgui Chichkine, en quête de ses racines, a commencé peindre ses tableaux du cycle “Rêves Russes”, où il tend exprimé le contenu spirituel d’existence en unissant l’abstraction et la réalité.

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Ce qui fait la renommée de l’artiste: la peinture du ballet russe Diaghilev, un certain nombre d’œuvres sur des sujets de l’histoire russe et des portraits d’acteurs célèbres, des danseurs de ballet, parmi lesquels Jean Marais, Gérard Depardieu, Ina Churikova, Milorad Miskovic et bien d’autres.

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Le talent de Chichkine réside dans le désir d’ apporter la sensibilité et la délicatesse du monde intérieur. Grâce à  la technique de l’auteur  sa peinture  au pastel d’un grand format, utilise des glaçures pour capturer la légèreté et les scènes émotionnelles du monde du ballet.

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Depuis 1998 Gueorguie Chichkine vit et travaille à Monaco, Paris, participe à des projets caritatifs. Il est connu comme maître du portrait et comme dessinateur de timbres-poste pour la Principauté de Monaco. Avec l’exposition au Musée russe – l’artiste est de retour en Russie.

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L’exposition dans les salles du château des ingénieurs (Palais Mikhaïlovski) comprend plus de 50 tableaux, dont un certain nombre d’œuvres provenant de collections privées.

Vernissage le 28 juin à partir de 16h.

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Palais Mikhailovski

Saint-Pétersbourg, ul. Jardin, 2

Métro: “Perspective Nevski”, “Gostiny Dvor”
Bus: №3, №22, №27, №49 , K212
Trolleybus: №5, №22

5
Mar

Géorgui Chichkine à Rueil Malmaison

   Publié par: artcorusse   dans Evenements

 

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Exposition des œuvres d’Alexandre Benoît, Léon Bakst et de

Gueorgui Chichkine sur le thème  “Diaguilev et les Ballets Russes”

gueorgui chichkine

Guéorgui Chichkine en 1958 à l’âge de 10 ans,  a été admis à l’école des Beaux-Arts, Le jeune Chichkine a voyagé à travers les nombreuses villes anciennes de son pays, muni de son chevalet. Dans le Cathédrale d’Assomption de Vladimir,  il est très impressionné par les fresques d’Andreï Roublev, considéré comme le premier peintre russe.

G. Chichkine jeunef_1_g_ch_cjpyOK

Diplômé de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts et d’Architecture de Sverdlovsk (Académie) en 1975, stagiaire à l’École nationale supérieure des Arts Stroganoff de Moscou, il a été professeur de dessin et de peinture, pendant dix ans, à l’École supérieure où il fut étudiant.

A partir de 1974, Guéorgui Chichkine participe à des expositions artistiques des professionnels. Dans la même année, il a devenu lauréat du concours national des jeunes créateurs de Russie et invité pour participation à l’Exposition du prestige à Moscou.

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Tryptique des Ballets russes. (G. Chichkine)

En 1992, a l’issue de voyages à l’étranger, en Allemagne de l’Ouest et en Hollande (à partir de 1989), Gueorgui Chichkine, en quête de ses racines, a commencé peindre ses tableaux du cycle “Rêves Russes”, où il tend exprimé le contenu spirituel d’existence en unissant l’abstraction et la réalité.
Sa venue à Paris (1993) et à Monaco (1995) lui apporte les rencontres avec les “Russes blancs” et une nouvelle impulsion pour son cycle.

Macha Meril (actrice) avec Gueorguy Shishkin (a gauche, peintre) devant son portrair de Boris Pasternak. Soiree hommage a Boris Pasternak (ecrivain et compositeur) a l'occasion du 50e anniversaire de son Prix Nobel de Litterature (1958-2008). Paris, ambassade de la Russie, 24.11.2008.

        Macha Meril avec Gueorguy Chichkine 

Gueorgui CHICHKINE est un artiste-peintre russe, résident à Monaco depuis de 1998. Il est connu notamment comme l’auteur du cycle des tableaux “Rêves Russes”,  comme maître du portrait et comme dessinateur de timbres-poste pour la Principauté de Monaco.

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Le couple princier Albert et Charlène (dessin de G. Chichkine)

Gueorgui Chichkine est considéré comme un peintre dont l’art du pastel atteint des sommets. Il a élaboré sa propre technique de travail avec une préparation originale garantissant l’adhérénce du pastel. Cela lui a permis d’élargir les possibilités de cette matière et d’obtenir des qualités inhabituelles : luminosité, transparance, fluidité. Tout comme l’impression de palpitation de la surface picturale. Par cette interactivité entre la matière, le geste et la mobilité des sentiments, le peintre est reussi à s’approcher des questions spirituelles.

Autres manifestations autour de l’exposition:

Samedi 11 mars – 15h

Conférence par Jean-Bernard Cahours d’Aspry, musicologue.
Suivie d’une dédicace de son livre Diaghilev (Éd. Lettropolis) à l’Auditorium de la Médiathèque Jacques-Baumel

Samedi 11 mars – 17h

Intermède musical « Les musiciens des Ballets Russes »
Par Christophe Maynard, pianiste et professeur au CCR de Rueil-Malmaison.
à la Médiathèque Jacques-Baumel – Libris Café

Dimanche 26 mars – 16h

Concert-conférence « Les musiques des Ballets Russes »
Ancienne-Mairie
Par Christophe Maynard, pianiste et professeur au CCR de Rueil-Malmaison

Vernissage de l’exposition Gueorgui Chichkine

samedi 11 mars à partir de 17h.

mediathèque Jacques Baumel Rueil

Médiathèque Jacques BAUMEL
15-21 Boulevard du Maréchal Foch
92500 Rueil-Malmaison

Ouverture: tous les jours sauf dimanche et lundi

Mardi 10h00 – 18h30 (Jeunesse 13h00 – 18h30)
Mercredi 10h00 – 18h30
Jeudi 13h00 – 20h00 (Jeunesse 13h00 – 18h30)
Vendredi 13h00 – 18h30
Samedi 10h00 – 19h00
7
Fév

Zinaïda ou la Liberté d’Anne Hongenhuis Edt. ROD

   Publié par: artcorusse   dans Livres

Zinaïda

(Zinaïda Hippius, 20 novembre 1869, Bielov-9 septembre 1945, Paris)

Une vie au début du XXe siècle entre Saint-Pétersbourg et Paris, dédiée à la culture et à liberté.La vie d’une femme qui pourrait être de notre temps. Zinaïda Hippius,poète, écrivain et critique littéraire, est une star de l’intelligentsiarusse. Admirée et contestée, elleassume la liberté d’être ce qu’elle veut et d’organiser le monde selon ses idées. La liberté dans sa vie s’exprime par un ménage à trois et un genre indéterminé. La liberté pour tous mène à des projets révolutionnaires. Aux côtés de son mari, l’écrivain Dmitri Merejkovski et de leur ami, Dima Filosofov, cousin de Diaghilev, elle entend rénover les structures de l’Eglise et de l’Etat, par une révolution sous le signe de l’Esprit qui apportera Liberté et Justice. Elle en discute avec Berdiaev, elle tente de convertir Savinkov, leterroriste socialiste-révolutionnaire, à une révolution qui soit chrétienne.

La guerre en 1914 ranime l’espoir d’une révolution qui mènera vers un monde idéal, un instant entrevu avec la chute de l’empire russe, mais la prise du pouvoirpar Lénine tue le mirage millénariste et prive les intellectuels de toute liberté. Dans ses carnets, Zinaïda note leur naufrage sous laférule des Gardes rouges. Abandonnant archives et manuscrits, le trio émigre vers Varsovie à travers des régions où se poursuit la guerre civile. Le désastre s’avère total. L’ami de cœur refuse de la suivre vers Paris et à la douleur de l’exil s’ajoute une souffrance inextinguible.

Une nouvelle vie recommence alors à Passy, dédiée à la sauvegarde du patrimoine culturel russe que le gouvernement soviétique menace d’extinction. Les intellectuelsfrançais se montrent peu réceptifsau message. Zinaïda se consacre alors àtransmettre l’héritage de l’Age d’argent aux jeunes émigrés, chez elle, puis, avec les gloiresd’antan,dans les grandes soirées de la Lampe verte dédiées à la littérature et à la philosophie. Une culture qui devrait être restituée à une Russie future redevenue libre.

Dans le climat tendu de la fin des années 1930, comme Merejkovski manifeste sa sympathie pour les régimes autoritaires, Zinaïda est ostracisée par ses anciens compagnonsSR engagés contre le fascisme, dont plusieurs périront en martyrs dans des camps nazis, (Ilia Fondaminsky, Mère Marie Skobtsev). Elle ne partage pas toutes les opinions de son mari, mais en reste solidaire : de leur vie commune, ils ne se sont jamais séparés plus d’un jour… La guerre et l’exode accentuent leur isolement.

Après la mort de son mari, s’installe une existence solitaire que Zinaïda consacre jour et nuit à l’écriture, jusqu’au soir d’août 1945 où elle se rend au Champ de Mars, une ultime sortie, pour fêter Paris et sa liberté retrouvée. La liberté tant chérie.

Éditions Rod, 2016, 363 pages Prix 20€

ISBN: 979-10-93467-66-5

23
Nov

Exposition Bakst à l’Opéra Garnier

   Publié par: artcorusse   dans Evenements

“Bakst des Ballets russes à la Haute Couture”

22 novembre 2016 – 5 mars 2017

Palais Garnier Place de l’Opéra

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Dessin de costume pour une bacchante dans Narcisse : couverture du «Programme officiel des Ballets russes », Théâtre du Châtelet, juin 1911 BnF, département de la Musique, Bibliothèque-musée de l’Opéra.

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Peintre, décorateur et théoricien, Léon Bakst (1866-1924) a été l’un des chefs de file de l’avant-garde des artistes russes réunie au sein du groupe « Le Monde de l’art ». Principal collaborateur des Ballets russes lors de leurs premières saisons, il dessine les décors et les costumes de plusieurs chefs-d’œuvre : Shéhérazade, Le Spectre de la rose, L’Après-midi d’un faune, Daphnis et Chloé… Son œuvre révolutionne non seulement la décoration théâtrale, mais aussi la mode et les arts décoratifs.
À l’occasion du cent-cinquantième anniversaire de la naissance de l’artiste, l’Opéra national de Paris et la Bibliothèque nationale de France organisent une exposition rétrospective qui présente au travers de 130 œuvres environ le portrait d’un artiste total qui pensait son art comme une action. Elle permet de suivre l’itinéraire d’un artiste russe devenu une figure du Tout-Paris, d’un peintre qui a formé Chagall et qui a été l’ami de Picasso ; un artiste qui a surtout contribué à créer l’esprit et la sensibilité de l’avant-guerre de 1914 grâce à des créations fiévreuses dominées par l’érotisme des corps, des créations conçues en dialogue avec les celles de Claude Debussy, Maurice Ravel, Igor Stravinsky, Gabriele D’Annunzio, Vaslav Nijinski ou Ida Rubinstein ; des créations enfin qui ont reçu les éloges appuyés de Marcel Proust ou Jean Cocteau et qui continuent d’inspirer jusqu’à nos jours, d’Yves Saint Laurent à Karl Lagerfeld.

 Léon Bakst est né en 1866 dans l’Empire russe, formé à Saint-Pétersbourg puis à Paris auprès des peintres Albert Edelfelt et Jean-Léon Gérôme, Bakst fait partie du groupe d’avant-garde Mir Iskusstva (le « Monde de l’art »), qui réunit notamment Serge Diaghilev, le futur imprésario des Ballets russes, et le peintre Alexandre Benois.

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Léon Bakst, Tamara Karsavina, Serge Diaghilev et Vaslav Nijinski (Venise,1909). Photographie. BnF, BMO, FONDS BAKST ALB. 24.

En parallèle à sa carrière de peintre et d’illustrateur, Bakst travaille pour le théâtre dès le début du xxe siècle et plus particulièrement pour le ballet. Dès les premières saisons russes à Paris, il s’impose comme un rénovateur éclatant de la scène, entre autres avec les triomphes de Cléopâtre (1909), Schéhérazade (1910) et Le Spectre de la rose (1911) ou Daphnis et Chloé (1912). Sa collaboration avec le danseur et chorégraphe Vaslav Nijinski culmine avec la création et le scandale de L’Après-midi d’un faune (1913).

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Terror antiquus, 1906. Huile sur toile (extrait). Musée russe, Saint-Pétersbourg.

Bakst travaille à Paris avec d’autres compagnies que les Ballets russes dès 1911. Il collabore
ainsi avec Ida Rubinstein, qui a triomphé dans Cléopâtre et
Schéhérazade les années précédentes et qui vient de quitter la troupe de Diaghilev.

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Dessin du costume d’Ida Rubinstein pour le rôle-titre d’Istar, ballet de,Léo Staats sur un livret de Léon Bakst, créé à l’Opéra de Paris le 10 juillet 1924. Encre et aquarelle.Coll privée.

À la tête d’une immense richesse, elle entend promouvoir à Paris des spectacles à sa mesure, comme elle a pu le faire à Saint-Pétersbourg quelques années plus tôt. En Russie, elle s’est déjà assuré le concours de Bakst : dès 1904, il a dessiné pour elle le décor et les costumes de l’Antigone de Sophocle où elle incarne le rôle-titre.

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Costume pour La Belle au bois dormant, acte II du spectacle The Big Show, créé à l’hippodrome de New York le 31 août 1916. Robe à paniers satin jaune rebrodé de pierreries sur fond rose bordé d’un volant de mousseline. BnF, BMO, Musée 1565.

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Fantaisie sur le costume moderne : Atalanta, 1912. Encre et aquarelle. Collection Thyssen-
Bornemisza, Madrid.

Léon Bakst triomphe comme décorateur et costumier avec les Ballets russes lorsque Jeanne Paquin lui commande pour sa maison de haute couture une série de modèles qui sont présentés en 1913 – au moment où Paquin confectionne les costumes, dessinés par Bakst, du ballet Jeux, de Vaslav Nijinski.

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Projet de chapeau avec un portrait de Misia Sert, vers 1910. Crayon et gouache. BnF, BMO, MUS K 139.

Cette collection incarne une forme de modernité face à la mode orientale qui a cours alors et que Bakst a contribué lui-même à lancer quelques années plus tôt.

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Deux modèles pour des figures féminines, 1910. Gouache, aquarelle et crayon. Metropolitan Museum, New York, Inv. 61.557.5.

“Comme vous le savez, je vis depuis plusieurs années à Paris. On s’y intéresse énormément à la mode. Personne ici n’est surpris d’apprendre que je crée des vêtements, que je fréquente les grands couturiers, et que je prodigue des conseils et des avis dans ce domaine.
Mais je m’intéresse toujours beaucoup à mes compatriotes qui, vivant en Russie, ont une sensibilité bien différente. L’idée qu’un artiste peintre, un décorateur de ballets et d’opéras puisse s’intéresser à la mode étonne énormément. Cela paraît déplacé, voire incongru. Il en va bien différemment à Paris. À Paris, je me permets de donner sans la moindre hésitation mon opinion sur les robes, les manteaux ou les coiffures (…) La femme nouvelle – la femme de demain – sera suprêmement féminine, la plus gracieuse qui soit, légère, quasi aérienne.
Son vêtement, je viens de le dire, se rapprochera de la coupe masculine, mais avec de légères nuances, des accents si l’on peut dire. Ainsi, dans cette mode nouvelle, les dentelles vont jouer un rôle important.”  Écrit Léon Bakst dans les années 1920.

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 Au travers de cent trente pièces, dont certaines rares ou inédites, tableaux, dessins, photographies, costumes, manuscrits, maquettes de décor…, l ’exposition propose de découvrir la profusion des créations de l’artiste et son génie de coloriste auquel ont rendu hommage Christian Lacroix, Karl Lagerfeld pour Chloé, John Galliano et surtout, à plusieurs reprises, Yves Saint Laurent. Dans un article de février 1972 des Lettres françaises, Aragon célébrait en Yves Saint Laurent un futur Léon Bakst.

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Yves Saint Laurent. Ensemble de jour, sarouel de voile de coton multicolore en hommage à Bakst, collection printemps-été 1991. Fondation Yves Saint Laurent, Paris.

Elle est enfin une invitation à voyager dans l’univers féerique de Bakst, avec ses sultanes et ses almées des Mille et une nuits, ses bacchantes antiques et ses pages du Grand Siècle.

(Photos et textes sont extraits du catalogue).

Catalogue: “Bakst, des Ballets russes à la haute couture”. Sous la direction de Mathias Auclair, Sarah Barbedette et Stéphane Barsacq, Coédition BnF Éditions / Opéra national de Paris/ Albin Michel / AROP 22 × 27 cm, relié, 192 pages, 100 images, 39 €

Palais Garnier
Bibliothèque-musée de l’Opéra
Entrée des visiteurs et des lecteurs : Angle des rues Scribe et Auber
Adresse postale : 8 rue Scribe
75009 Paris
Téléphone : 33(0)1 53 79 37 40
Courriel : bibliotheque-musee-opera@bnf.fr
Tous les jours 10h-17h
Tarifs: 11 €, réduit: 6 €.  Entrée gratuite pour les moins de 12 ans, personnes handicapées et leur accompagnateur, demandeurs d’emploi.
Métro: Lignes 3, 7, 8, (Opéra), 7 et 9, (Chaussée-d’Antin) RER A, (Auber)
Bus:Lignes 20, 21, 22, 27, 29, 42, 52, 53, 66, 68, 81, 95
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Nov

Ludmila Berlinskaïa joue Scriabine Salle Cortot

   Publié par: artcorusse   dans Brèves

         Récital de piano de Ludmila Berlinskaïa

qui interprète Scriabine

SALLE CORTOT

           Vendredi 4 novembre 2016 à 20h30

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Ludmila Valentinovna Berlinskaïa (en russe : Людмила Валентиновна Берлинская) est une pianiste et actrice russe née en 1960 à Moscou. Elle est la fille du violoncelliste Valentin Berlinsky, fondateur du Quatuor Borodine.

Artiste émérite de Russie, Ludmila Berlinskaia a joué sur les scènes les plus prestigieuses du monde, du Concertgebouw au Royal Albert Hall, du Théâtre des Champs Elysées aux Philharmonies de Moscou et Saint-Pétersbourg, de la Fenice à l’Auditorium National de Madrid…

Chambriste recherchée, elle compte parmi ses partenaires des musiciens exceptionnels tels Mstislav Rostropovich, Youri Bashmet, Viktor Tretiakov, Alexandre Kniazev, Paul Meyer, Gérard Caussé, Ivri Gitlis, Gautier Capuçon, fut la partenaire privilégiée du Quatuor Borodine et joua avec Sviatoslav Richter à quatre mains.

Alexandre Scriabine occupe une place particulière dans la vie de L. Berlinskaia, qui lui a notamment consacré un album en 2015, à l’occasion du centenaire de la disparition du compositeur.

Cet album a été salué unanimement par la presse internationale comme l’un des meilleurs enregistrements consacrés à Scriabine en 2015, et représente l’une des deux meilleures ventes du label Melodia pour la saison écoulée.

Alexandre Scriabine pianiste, compositeur russe (1872 – 1915)

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Scriabine en concert, dirigé par Koussevitzky, toile de Robert Sterl (1910)

Né d’un père diplomate et d’une mère pianiste, Scriabine se retrouve orphelin très jeune, il est élevé par une tante qui lui enseigne le piano. Il étudie l’harmonie, le contrepoint, le piano avec Anton Arenski et la composition avec Vassili Safonov au conservatoire de Moscou en 1888,  il se lance dans une carrière de pianiste avant avoir obtenu la médaille d’or.
Au conservatoire, il rencontre Rachmaninov, avec qui il entretient une relation compliquée, entre admiration, amitié, et rivalité.

Grand admirateur de Chopin, grâce à ses tournées en Europe Scriabine découvre Liszt, Wagner, Debussy et Ravel. En Belgique il fréquente les cercles théosophiques, confirmant ses affinités vers le mysticisme. Scriabine prône la fusion entre les sens et les arts, et accompagne ses concerts des projections colorées basées sur les correspondances entre les hauteurs sonores et le spectre des couleurs.
Son originalité se situe d’abord sur le plan harmonique : parti de l’influence de Chopin, avec Wagner Scriabine découvre l’hyperchromatisme et frôle avec latonalité dans ses dernières œuvres, supprimant toute l’armure à la clé. Il s’installe à Paris avec son épouse Tatiana à Paris en 1907  et signe un contrat de nombreux concerts avec Serge Diaghilev. Il revient en Russie en 1914.

Programme

             Ravel. : Valses nobles et sentimentales.

                    Medtner.: Sonate Réminiscence. Op 38 n 1

        Scriabine :     

Sonate n 2 op. 19

    10 preludes op 11

Sonate n 4 op. 30

Poèmes op . 32

Trois pièces op. 45

Sonate n 9 op. 68

Vers la Flamme op. 72

 

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L’École normale de musique de Paris, appelée aussi École normale de musique de Paris-Alfred-Cortot, est une école supérieure de musique privée fondée en 1919 par le pianiste et pédagogue Alfred Cortot et le pianiste et critique musical Auguste Mangeot, située dans le 17e arrondissement de Paris et assurant la formation de concertistes et d’enseignants.

La salle de concert, dite salle Cortot, attenante à l’École, est construite entre octobre 1928 et juin 1929 par Auguste Perret, aux numéros 76 et 78 de la rue Cardinet, à l’emplacement des écuries de l’hôtel Rozars. Sa structure est constituée de béton armé laissé apparent, seuls les colonnes et les balcons reçoivent un décor doré. Elle a une capacité de près de 500 places et l’estrade peut recevoir jusqu’à cinquante musiciens. Son architecture novatrice et son acoustique exceptionnelle la font remarquer par la critique lors de son ouverture. Son exiguïté et son aménagement ingénieux l’ont fait surnommer l’« “Armoire “.

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78 Rue Cardinet, 75017 Paris Métro Malesherbes

Organisateur : Association «  Les Amis de Marie-Laure »

TARIFS:  normal : 30 euros,  réduits: 25 euros et

15 euros ( ENMP, Pass17, étudiants ,demandeurs d’emploi)

RÉSERVATION:  www.lesamisdemarielaure.org

-www.billetreduc.com

 

1
Oct

Conférence “Chaliapine, une basse légendaire”

   Publié par: artcorusse   dans Brèves

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Conférence d’Elena Dolgouchine “Chaliapine, une basse légendaire”

La légende de Féodor Chaliapine nait au  XIX siècle .

Féodor Chaliapine est né le 13 février 1873 à Ometeva Province de Kazan,  dans la Russie des tsars et mort le 12 avril 1938 à Paris. Un « moujik » à la belle voix grave,  colosse de 26 ans, autodidacte devient soliste du Bolchoï , le plus grand et le plus prestigieux des théâtres impériaux russes.

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Sa renommée ne cessera de croître : Russie, Europe (ses débuts à La Scala de Milan à l’aube du XX siècle; les Saisons Russes de Diaghilev à Paris ) et traversera les océans pour embraser l’ Amérique.

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Fédor Chaliapine dans le rôle de Boris Godounov

Ses rôles, ses personnages – Boris Godounov, Ivan Le Terrible, Méphistophélès, Don Quichotte (que l’on dit écrit par Jules Massenet spécialement pour lui…) – constituent de véritables monuments. Quelle est le secret de ce phénomène ? Est-ce uniquement la puissance de sa voix ?

Entrée libre

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Conservatoire Darius Milhaud, salle Vilette

380 avenue Mozart, 13100 Aix-en-Provence

Renseignements et réservations:

04 42 92 68 78 / 06 20 97 35 68

contact@datcha-kalina.com

 

 

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Août

5ème anniversaire du GALA RUSSE 9 et 10 septembre à Monaco

   Publié par: artcorusse   dans Evenements

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Gala russe célèbre deux anniversaire : le 5ème anniversaire sur la scène du Grimaldi Forum et le 70ème anniversaire de la chorégraphie de Boris Eifman. En 2012 les organisateurs ont eu comme pbjectif de faire revivre la pamarque légendaire de la tradition des ballets des “Saisons Russes” de Serge de Diaghilev.

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Nadejda Choubareva Directrice artistique.

Après l’immense succès de « Anna Karénine » en septembre 2014, vous aurez la chance de découvrir le dernier ballet de Boris Eifman intitulé « Up & Down », une œuvre dans laquelle le « chorégraphe-psychanalyste » plonge dans les profondeurs inexplorées des mondes intérieurs de ses personnages et pénètre dans les endroits les plus cachés du subconscient.Ce ballet est une chronique à la fois tragique et éblouissante de la mort spirituelle de l’humain, comment un rêve d’harmonie et de bonheur se transforme en un effondrement, et comment une vie belle et insouciante en apparence, coulant au rythme du jazz, se transforme en cauchemar.

Le personnage principal de la pièce est un psychiatre accompli, un mari aimant et un être charismatique qui a tout pour être heureux. Mais dans un monde subordonné entièrement à la puissance de l’argent et aux sombres instincts destructeurs, le vrai bonheur s’avère impossible.

la directrice artistique du gala Nadejda Choubareba déclare que cette année il y aura un évènement multi-facette, avec une chorégraphie étonnante de Boris Eifman.

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Grimaldi Forum.

Grimaldi Forum
10 Av. Princesse Grace, 98000 Monaco
Billeterie du mardi au samedi, de 12h à 19h :
• par téléphone : +377 99 99 30 00
• par mail : ticket@grimaldiforum.mc
Tarifs
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Juil

Exposition Léon Bakst au musée Pouchkine à Moscou

   Publié par: artcorusse   dans Informations

150ème anniversaire de la naissance de

Léon Bakst

(né à Hrodna le 10/5/1866 mort à Paris le 27/12/1924)

6 août au 28 août 2016

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Musée Pouchkine de Moscou

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Lev Bakst Samoylovich (Ou Chaim Leib Izrailevich) Rosenberg (1866 à 1924). De 1883-1887 ans étudiant libre  de l’Académie impériale des Arts à Saint Petersbourg, qui a quitté l’école après avoir été recalé pour son  “Notre-Dame, deuil du Christ,”Bakst,” refait un retour triomphant à l’académie en 1914, il a reçu le titre d’académicien de l’AIH. Le jeune artiste à ce moment   travaillé avec les “Saisons Russes” de Diaghilev.Peu après de 1893 à 1897 , il a vécu à Paris, où il a étudié à l’ Académie Julian, tout en venant souvent à Saint Petersbourg. Après le milieu des années 1890 , il est devenu membre du cercle des écrivains et artistes formé par Serge Diaghilev et Alexandre Benois , qui en 1899 a fondé la revue influente Le Monde de l’Art “Mir Iskusstva

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En 1895, Léon Bakst a donné des cours de peinture aux enfants du grand-duc Vladimir Alexandrovitch, grand-duc Boris Vladimirovich et la Grande-Duchesse Elena Vladimirovna.

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Planche pour les costumes de Shéhérazade”

Bakst est lefondateur de l’âge d’argent. Ce qu’il a fait était nouveau. Parfois controversé. Dans le même temps, si nous revenons aux registres et échelles dans le sens littéral du mot, il se sentait à l’aisedans le domaine de la peinture de chevalet. Parmi ses œuvres  nous avons le  “Portrait de Sergei Diaghilev avec une nounou “et” Dîner “.

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Le dîner       Serge de Diaghiliev et sa nounou.

Plus de 250 œuvres sont présentées au public. Le théâtre est l’un des principaux domaines d’activité de Bakst. sont prsentées  des esquisses de décors et costumes, qui sont stockés dans les musées centraux – en particulier à la Galerie Tretiakov et au Musée russe. Non seulement il a créé les costumes  toujours liée à un ou l’autre interprète. Par exemple, Ida Rubinstein dans la mise en scène “Le Martyre de Saint Sébastien”, avec Vaslav Nijinsky dans ses performances.

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Nous pouvons dire que ce ne sont pas seulement des croquis de costumes, et des portraits qui sont exposés mais toute une atmosphère d’une époque riche en créativité.

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Le costume de l’un des Trois Marchands

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Salle de présentation des costumes .

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Musée Pouchkine

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Prix du billet d’entrée:

  • 300 roubles – billet d’entrée
  • 150 roubles – billet réduit
  • GRATUIT – enfants de moins de 16 ans
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Juil

Une première en Russie “Exposition d’ERTE”

   Publié par: artcorusse   dans Informations

Exposition exceptionnelle

à l’Ermitage

“ERTE”

21 juin – 18 septembre 2016

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Exposition de l’artiste de renommée mondiale “Roman Turtoff” plus connu sous le nom de Erte, avec 136 œuvres  comprenant des aquarelles, des gouaches des dessins à la plume et quelques sculptures .

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Exposition présentée par le collectionneur Eric Estorika fils d’immigrants de l’Empire russe. Il a fait connaissance avec Erte en 1967 devenant son agent exclusif. L’Ermitage montrera une petite partie de la collection, les premières œuvres des années 1912 et ses dernières œuvres. Travaux executés pour la mode de Paris avant la première guerre mondiale, avec des dessins de costumes pour les magazines de mode français comme “Vogue” et américain comme  “Harper Bazaar”.

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L’exposition présentera également des décors pour le théâtre et des costumes d’opéra qu’il réalisa pour les Ballets russes de Diaghilev.

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Erté artiste légendaire, concepteur créateur de mode ArtDéco a immortalisé son nom à Paris, à Monaco et à Hollywood. Son nom de scène Erté était les initiales de Roman Tyrtoff.

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Roman Tyrtoff dit ERTE

(23 Novembre, 1892-1990) Russie – France

Né Romain de Tirtoff à Saint-Pétersbourg, était destiné par son père pour une carrière militaire, Erté tirait son nom de plume de la prononciation française de ses initiales “RT”. Au cours d’une longue et brillante carrière, il a eu une influence majeure sur le style et la conception du 20ème siècle.

Erté a commencé sa carrière de mode à six ans quand sa mère avait une robe faite d’après un de ses premiers croquis. À 19 ans, Erté a quitté la maison familiale et a déménagé à Paris en 1912. Dans le but de devenir un illustrateur de mode. Il buta sa carrière chez Paul Poiret célèbre maison de couture de Paris, il réalisa les vêtements de Mata Hari, de Anna Pavlova entre autres, plus tard, il a conçu des vêtements pour les femmes de la société à la mode, des stars de cinéma tels que Joan Crawford et Norma Shearer. Il prit le nom “Erté”, afin de préserver  la confidentialité de sa famille en Russie

Avec le début de la Première Guerre mondiale en Europe, la plupart des grandes maisons de mode s’arrétèrent de travailler et Erté a été contraint de se tourner vers d’autres circuits de conception. En 1914, il a commencé ce qui fut une affiliation de 22 ans avec le magazine américain “Harper Bazaar “, la création d’art de couverture et d’ illustrations. Pendant ses années prolifiques à Harper, Erté conçut 250 couvertures et de nombreux dessins pour ses pages et diversifié dans une variété d’autres activités artistiques. Ce fut là que son style Art déco distinctif a émergé.

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En 1919, Erté a commencé à concevoir pour le théâtre. Ses premiers dessins ont été pour le “Folies Bergères” où il a continué à concevoir des costumes et des décors pour les 11 années suivantes.

Après une aventure à Hollywood, à l’invitation de Louis B. Mayer, chef de Metro Goldwyn Meyer, la conception des films muets extravagants dont Ben Hur, Erté a quitté le magazine pour créer des décors et des costumes pour le théâtre et l’opéra. Durant 40 ans, il habillait une liste extraordinaire des étoiles d’opéra, de la scène et de l’écran, avec Mary Garden, Josephine Baker, Marion Davies, Lillian Gish, et Anna Pavlova. Ces réalisations lui ont valu le titre de «Père de l’Art Déco”.

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À 75 ans, Erté a commencé à créer des sérigraphies en édition limitée à partir de ses dessins. À 88 ans, il a commencé son travail de sculpture en bronze, obtenant le même succès avec cette technique.

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Erté est vraiment devenu un classique de son vivant, un personnage important dans la progression de l’art et de la mode.

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La carrière artistique de Erté a continué jusqu’à sa mort en 1990 à Paris.

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Musée de l’Ermitage

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Le Musée de l’Ermitage
Russie, 190000,
St Petersburg,
Dvortsovaya Naberezhnaya 34

 

« Quand Derain fait danser les cartes, Autour du Ballet russe La Boutique fantasque »,

du mercredi 27 avril au dimanche 10 juillet 2016.

Le monde fascinant des Ballets russes de Diaghilev

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Le Musée Français de la Carte à Jouer à Issy-les-Moulineaux présente “Quand Derain fait danser les cartes“. Quatre costumes de cartes à jouer – joyaux des collections du Musée – sont au cœur de cette exposition. Conçus par le peintre André Derain pour “La Boutique fantasque”(1919), ils nous entraînent dans le monde fascinant des Ballets russes de Diaghilev.

Célèbre compagnie de ballet créée en 1907 à Saint-Pétersbourg, active à Paris dès 1909, les Ballets russes se sont attachés les plus grands peintres de l’art moderne, parmi lesquels Utrillo, Braque, Delaunay, Matisse, Picasso, Derain… En 1919, Serge de Diaghilev sollicite ce dernier pour réaliser décors et costumes de “La Boutique fantasque”, ballet en un acte chorégraphié par Léonide Massine sur une musique de Rossini orchestrée par Respighi. Présenté la première fois à Londres le 5 juin 1919, puis à Paris quelques mois plus tard, ce spectacle va connaître un énorme succès au lendemain de la Première Guerre mondiale. Particulièrement apprécié de part et d’autre de la Manche, il sera rejoué, bien au-delà de la disparition de Diaghilev en 1929, souvent à Monte Carlo, mais aussi en Espagne, en Italie, aux États-Unis et jusqu’en Australie.

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André Derain devant une maquette de décor.

André Derain. André Derain (Châtou 1880 – Garches 1954),Il entre à l’académie Carrière et y rencontre Matisse et Vlaminck, avec lequel il partagera son atelier. Sous l’influence de Vlaminck, il se tourne progressivement vers le fauvisme. C’est à Collioure et à Londres qu’il peint ses premiers tableaux aux joyeuses couleurs. Il a été l’un des fondateurs du Fauvisme, et demeure l’un des peintres majeurs du XXe siècle. Son oeuvre peint, souvent à contre-courant des grandes tendances de son époque, témoigne d’un grand éclectisme – figures, nus, paysages, natures mortes et compositions. Derain fut un extraordinaire illustrateur qui prêta son trait à Guillaume Apollinaire, Rabelais, André Breton ou Oscar Wilde, entre-autres. Sa passion pour les arts populaires et l’art nègre (qu’il fit découvrir à Picasso) furent prépondérants dans son approche de la sculpture abordée, dès 1907. Parallèlement à la sculpture et la peinture de chevalet, André Derain s’intéresse également très tôt à la scène, pour laquelle il laisse libre cours à sa créativité et à sa fantaisie. Passionné par la danse, il conçoit des décors et costumes et écrit même l’argument de nombreux ballets, pour les compagnies et les chorégraphes les plus prestigieux.

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Jeu de cartes russe, d’avant la Révolution.

Autour de l’exposition

Conférences

  • Jeudi 19 mai 2016 à 18h30 : “A l’avant-garde toujours ! Diaghilev et ses Ballets Russes (1909-1929)… ainsi que quelques autres…”,par Martine Kahane, Conservateur général honoraire, présidente des arts Florissants  .
  • Samedi 21 mai, de 19h à minuit : Soirée russe “DANS L’ISBA DE BABA YAGA, jeux, musique… et dégustations. Soirée russe avec le duo Micha Tcherkassky (balalaïka) et Alexis Mouravnik (chant, guitare), des jeux de cartes traditionnels et de société, de délicieuses spécialités et Baba Yaga. Entrée libre, tout public
  • Jeudi 2 juin 2016 à 18h30 : “Derain et la scène”, par Hélène Celhay, Docteur de l’université Paris-Sorbonne, Responsable pédagogique à la Haute École de Musique de Lausanne.
  • Jeudi 23 juin 2016 à 18h30 : “Derain intime. Le peintre et ses demeures”, par Geneviève-Javotte Taillade, petite-nièce d’André Derain, suivie de la dédicace de la récente biographie André Derain, le titan foudroyé, de Michel Charzat, universitaire et homme politique.

Concert de fin d’exposition, dimanche 10 juillet, à 15h.

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Photo prise par  Mfcj l.

Musée français de la carte à jouer
& Galerie d’histoire de la ville
16 rue Auguste-Gervais
92130 Issy-les-Moulineaux
Métro:  Mairie d’Issy (ligne 12)

Renseignements: 01 41 23 83 60

Horaires: du mercredi au vendredi : 11 h-17 h – samedi et dimanche : 14 h – 18 h. Groupes : sur rendez-vous du mardi au dimanche

Tarifs: entrée 4,70€, tarif réduit 3,60€, gratuit -26 ans.

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23
Mar

Chorale russe “Izbor” à Paris

   Publié par: artcorusse   dans Evenements

CONCERT EXCEPTIONNEL

samedi 11 avril 2016 à 17h

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La Chorale Russe de Paris – IZBOR existe depuis 2010 et réunit des chanteurs amateurs de tous âges férus de culture russe, russophones ou russophiles. La chorale est dirigée par Olga Rusakova, diplômée du Conservatoire Supérieur de Musique d’URSS, lauréate du concours international de chorale, médaillée et artiste émérite de la culture russe.

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Olga Rusakova.

Elle a étudié la conduite de choeur au conservatoire d’Almaty et de Novossibirsk. Elle a enseigné à Krasnoyarsk où elle a dirigé plusieurs chorales dont le choeur de l’église russe orthodoxe et a fondé le choeur des enfants et de la jeunesse.

  • Chorale russe Izbor, sous la direction d’ Olga Rusakova, au programme : œuvres de Rachmaninov, Gretchaninov, Kedrov et Glazounov
  • Artistes : Valeria Michina et Edoardo Milanello (piano), Yulia Verbitskaya  (violon), Ernesto Anderson Gino  (violoncelle)

L’association « Art Concept » vous propose un concert consacré cette fois aux compositeurs russes ayant vécu à Paris. Fuyant le régime communiste dès les années 20, de nombreux compositeurs russes furent contraints d’émigrer vers différentes capitales occidentales, en premier lieu à Paris. Certains n’y feront qu’un passage, d’autres s’y installeront définitivement. Ce concert permet de rendre hommage à certains de ces compositeurs illustres ayant choisi la Ville Lumière comme lieu de repos et d’inspiration.

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Notre programme, associant chants liturgiques et profanes et pièces musicales classiques, réunit des œuvres de compositeurs russes ayant vécu ou composé en France parmi lesquels S. Rachmaninov (1873-1943), A. Gretchaninov (1864-1956); A. Glazounov (1865-1936) et N. Kedrov (1870-1940).

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Sergueï Rachmaninov, l’un des plus grands compositeurs russes, créateur de symphonies, de concerts pour piano, d’opéras, et de musiques pour chœur vécut en France de manière discontinue au début du XXe siècle, dans les années 20 et 30. Son œuvre reste très attachée à la tradition romantique russe. Il participa notamment à la création du conservatoire russe de Paris, puis en devint le président d’honneur.

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Alexandre Gretchaninov a passé la majeure partie de sa vie à composer des opéras, des symphonies ainsi que pour des chœurs, à partir de romans et de poèmes dont ceux de Pouchkine. Il résida en France de 1925 à 1939 et travailla activement avec des chœurs d’enfants. Ces créations ont malheureusement été oubliées du public, pour la plupart.

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Nicolas Kedrov

Nicolas Kedrov, compositeur liturgique orthodoxe, professeur et chanteur, fut membre des « ballets russes » de Paris sous la direction de Serge Diaghilev. Il est l’un des fondateurs du conservatoire russe de Paris et est l’auteur de plusieurs cantiques d’église. Il vécut à Paris à partir de 1917.

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Alexandre Glazounov, dernier grand compositeur russe romantique, a écrit notamment des poèmes symphoniques, des symphonies, des ouvertures, concerti et des ballets. En 1887, il travaille avec Rimski-Korsakov pour le fameux opéra « Le Prince Igor » de Borodine.

PROGRAMME.

En première partie, des chants liturgiques et classiques composés par S.Rachmaninov, A.Gretchaninov et N.Kedrov seront interprétés par La Chorale Russe de Paris IZBOR dirigée par O. Rusakova et accompagnée de V. Michina au piano.

En seconde partie, le trio à cordes venu d’Italie EYE (violon Y. Verbitskaya, violoncelle E.A. Gino, piano E. Milane) présentera deux pièces de S. Rachmaninov et de A. Glazounov.

Venez partager ces pièces inestimables et parfois méconnues de la musique russe, une façon de re-découvrir toute la richesse de l’âme russe !

Concert : durée 1h30 environ

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Temple de Pentemont :
106 rue de Grenelle – 75007 PARIS
Métro: ligne 12 (Solférino / Rue du Bac) – ligne 13 (Varenne) – RER C (Orsay)

Tarifs : 10€ à l’entrée/ 8 euros sur Yuticket.com

Renseignements :

Tel : 0650814052

Mail : choralerusseparis@gmail.com

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17
Fév

Exposition Léon Bakst au Musée Russe

   Publié par: artcorusse   dans Informations

Léon Bakst. 1866-1924

au Musée Russe du 24 février 2016 à mai 2016

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Pour le 150e anniversaire de la naissance de Léon Bakst à Saint-Pétersbourg, le Musée Russe  propose une grande exposition issue  de ses réserves  et d’autres collections. Sont présentés   peintures,  dessins de costumes, affiches et peinture de chevalet.

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Leon Samoylovich Bakst (de son vrai nom – Leib Haim Izrailevich ou Leo Samoylovich Rosenberg , le 27 Janvier (8 février) 1866 à Grodno, décédé le 27 décembre 1924 à Paris, peintre russe, scénographe, illustrateur de livres, maître de la peinture de chevalet et des tableaux de théâtre, l’un des dirigeants syndicaux les plus en vue du “Monde de l’Art ” et des projets théâtraux et artistiques de Serge Diaghilev.

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La figure lumineuse dans l’art de moderne, Bakst a assisté après avoir accompli des études au lycée de la capitale impériale,de 1883 à 1886, à l’Académie des Beaux-Arts de Saint Ptersbourg. En 1891, il voyage en Italie, en Allemagne et en France où il se lie avec Alexandre Benois et ses amis. Il fréquente l’atelier de Jean-Léon Gérôme, suit des cours de l’Académie Julian et travaille à Paris avec Albert Edelfert entre 1893 et 1896.

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Après avoir maîtrisé une variété de techniques, il a développé son propre style, qui se caractérise par des frottis,  des lignes simples, accentué de contraste et de couleurs.

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Autoportrait du peintre.

En tant que peintre Bakst se distingue dans le genre du portrait citons: Comtesse Keller, Walter Nouvel, Alexandre Benois, Andrew White, Zinaida Gippius, Jean Cocteau, Isaac Levitan, Isadora Duncan – les portraits de ces gens non seulement démontrent l’exceptionnel talent de Bakst, mais aussi sa capacité à comprendre la nature de l’homme et sa psychologie.

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Depuis 1902, Bakst a travaillé comme directeur artistique du Théâtre de l’Ermitage et Alexandrinsky, et en 1911 il devient directeur artistique des “Saisons russes” de Diaghilev. Sa scénographie pour ‘Cleopatra’, “Firebird” et “Sleeping Beauty”, avec une synthèse de la tradition théâtrale romantique .

L’exposition ouvre le 24 Février à 16h00 dans l’aile Benois du Musée russe.

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Le Musée russe est le premier musée d’Etat des Beaux-Arts russes dans le pays. Il a été établi en 1895 à Saint-Pétersbourg par un décret de l’empereur Nicolas II. Son inauguration et ouverture au public a eu lie  le 19 Mars (Mars 7, le vieux style) 1898.

Musée Russe
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Métro “Nevski prospekt” ou “Gostiny dvor”
Ouvert de 10.00 à 18.00 (10.00 à 17.00 le lundi)
Fermé le mardi
Plus de renseignements: (CLIQUEZ)
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5
Jan

Retrospective de l’œuvre de Sergei Chepik, Mairie VIe

   Publié par: artcorusse   dans Evenements

Rétrospective de l’œuvre de Sergei Chepik

du 14 au 30 janvier 2016

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Salon du Vieux Colombier, Mairie du VIe

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Sergei Chepik dans son atelier montmartrois.

SERGEI CHEPIK, peintre franco-russe, a été pendant plus de vingt ans salué par la presse anglo-saxonne comme ” un visionnaire fulgurant ” et ” l’un des plus grands peintres vivants de la Russie “. Présent dans de grandes collections britanniques, russes et américaines, cet artiste ” inclassable ” qui a peint le portrait de Rudolf Noureev et de Margaret Thatcher, et qui a réalisé pour la Cathédrale Saint-Paul de Londres La Voie, la Vérité, la Vie, quatre toiles monumentales inaugurées en janvier 2005, vit et travaille depuis 1988 à Paris.

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Né à Kiev en 1953 dans une famille d’artistes, Chepik a commencé la peinture à l’âge de cinq ans. Admis à la prestigieuse Académie des Beaux-Arts de Saint-Pétersbourg, il en sort brillamment diplômé en 1978 et travaille aussitôt à ses premières œuvres en sillonnant la Russie et en se perfectionnant dans la classe de l’académicien Andreï Mylnikov, élève d’Igor Grabar, l’un des théoriciens du mouvement du Monde de l’Art animé par Serge de Diaghilev et Alexandre Benois.

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La Maison des Morts, son chef d’œuvre interdit d’exposition en URSS, a décidé de son exil volontaire en France et a reçu en 1988 le grand prix du Salon d’Automne. En 1990, la première exposition rétrospective de Chepik à Londres, à la Roy Miles Gallery, connaît un succès inouï, et Margaret Thatcher, alors Premier ministre, reçoit Chepik au Parlement.

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Portrait de la baronne Margaret Thatcher. Technique mixte sur toile (1993) © Sergei Chepik

Depuis lors, Chepik a exposé chaque année à Londres, mais aussi à Paris, où il a pu présenter une rétrospective en 2004 à l’Espace Pierre Cardin, ainsi qu’à Milan en 2008 où s’est tenue au Centre Culturel Français une grande exposition de peinture religieuse.

Rompu à toutes les techniques, de l’aquarelle à l’huile en passant par l’eau-forte, la céramique et la sculpture, maîtrisant tous les genres, du portrait où il excelle à la composition qui a sa préférence, aimant se mesurer aux grands maîtres qu’il admire plutôt que de céder à la tentation facile de la table rase, Chepik, hier comme aujourd’hui, a peint à contre-courant des modes et de tout art officiel.

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Ses thèmes sont extrêmement variés, mais forment un univers particulier immédiatement reconnaissable : vastes compositions historiosophiques sur la Russie ; peinture religieuse monumentale ; sujets rapportés de ses nombreux voyages à travers l’Europe et la France: Venise et son carnaval, Arles et sa Feria ; le monde du spectacle : cirques et saltimbanques, rings de boxe et coulisses du Moulin Rouge ; et, bien sûr, paysages ou compositions inspirés de sa vie quotidienne à Paris : gargouilles de Notre-Dame, ponts de la Seine, escaliers de Montmartre, … qui sont le thème choisi pour cette nouvelle exposition personnelle à la galerie Arte Viva.

Marie-Aude Albert

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“Montmartre Le Lapin Agile”, huile 92X96,5

ENTRÉE LIBRE

Mairie du VIè arrondissement

Place Saint Sulpice – 78 rue Bonaparte

75006 Paris

Métro: Saint Sulpice, ligne  4

Ouvert du lundi au vendredi de 10h30 à 17h

jeudi  de 10h30 à à 19h et samedi de 10h à 12h

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1
Sep

Gala Russe “Étoiles du Ballet Russe”

   Publié par: artcorusse   dans Informations Internationales

Sigle année russ Monaco

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Une pluie d’étoiles pour renouer avec la grande tradition des

« Ballets Russes »

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Serge Diaguilev.

L’héritage de la grande tradition monégasque des « Saisons russes » initiées par Serge de Diaghilev au début du siècle dernier va se perpétuer au Grimaldi Forum, les 12 et 13 septembre 2015, avec le GALA RUSSE qui présentera deux grands spectacles de gala avec en vedette des étoiles du ballet russe.

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Décor pour Petrouchka d’Alexandre Benoit.

Diaghilev, cet entrepreneur de talent qui a surpris l’Europe par son art révolutionnaire et a lancé la mode russe en Occident, s’était installé dans la petite Principauté de Monaco en 1910. Ses amis artistes s’acharnaient alors au travail : c’est ici que Mikhail Fokine a créé la chorégraphie pour Karsavina et Nijinski. Le public de Monte-Carlo fut le premier à s’enthousiasmer pour le célèbre ballet dramatique Petrouchka de Stravinsky. Sur la Riviera française brilla une pléiade de légendaires chorégraphes, danseurs, artistes et compositeurs russes, œuvrant à la création des chefs-d’œuvre qui font partie du trésor de la culture mondiale.

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Diaguilev arrive à Monaco 1911.

Près de cent ans après, en 2012, les organisateurs du GALA RUSSE ont décidé de faire renaître cette magie artistique avec la venue des grandes étoiles du ballet russe d’aujourd’hui. La scène du Grimaldi Forum a successivement accueilli les danseurs solistes du Théâtre Bolchoï et des Théâtres Mariinsky et Mikhaïlovsky qui présentaient des chorégraphies classiques et contemporaines. Cette soirée reste un événement mémorable pour tous les invités non seulement grâce à la riche palette des chorégraphies, mais aussi grâce à l’enthousiasme et l’ardeur qui régnaient dans la salle.

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Cette année, le nouveau GALA RUSSE présentera un magnifique cadeau à tous les amoureux des traditions et aux amateurs de beaux-arts. La scène de la Salle des Princes accueillera les grandes étoiles de danse de renommée mondiale : les artistes du Théâtre Mikhaïlovsky – l’exquise Irina Perren connue comme « l’incarnation poétique pure de la danse », l’envoûtante Sabina Yapparova, le virtuose Leonid Sarafanov et « le roi de l’accompagnement classique » Marat Shemiunov.

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Irina Perren & Marat Shemiounov.

Les danseurs et danseuses étoiles du Théâtre Bolchoï – Kristina Kretova nommée « Révélation 2013 »  par toute la critique européenne, la fragile Anastasia Stashkevich, la pétillante Anna Tikhomirova, le viril Mikhail Lobukhin et l’élégant Artem Ovcharenko.

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Anastasia Stashkevich & Michael Lobukhin.

Le Théâtre Mariinsky présentera une attachante « Danse légère » d’Olesya Novikova avec l’ensorcelant Philipp Stepin.

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Anastasia Stashkevich.
Le programme de ces deux soirées de ballet se partage entre la danse classique intemporelle et la danse contemporaine expressive. Elles seront un exemple évocateur des traditions réelles, non pas figées comme des pièces de musée, mais constituent la base vivante d’une nouvelle inspiration et d’un art novateur et moderne.

Grimaldi Forum, Salle des Princes

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Réservation en ligne: (CLIQUEZ)

Plan de la salle et tarifs en fonction des catégories:

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Sigle année russ Monaco

Exposition des toiles

du 10 au 30 juillet 2015

“RÊVES RUSSES”

de Guéorgui Chichkine

à l’Auditorium Rainier III, Monaco

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Toile de Gueorgui Chichkine ” Les Ballets Russes”

Gueorgui CHICHKINE est un artiste-peintre russe, résident à Monaco depuis de 1998. Il est connu notamment comme l’auteur du cycle des tableaux “Rêves Russes”,  comme maître du portrait et comme dessinateur de timbres-poste pour la Principauté de Monaco.

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Gueorgui Chichkine est considéré comme un peintre dont l’art du pastel atteint des sommets. Il a élaboré sa propre technique de travail avec une préparation originale garantissant l’adhérénce du pastel. Cela lui a permis d’élargir les possibilités de cette matière et d’obtenir des qualités inhabituelles : luminosité, transparance, fluidité. Tout comme l’impression de palpitation de la surface picturale. Par cette interactivité entre la matière, le geste et la mobilité des sentiments, le peintre est reussi à s’approcher des questions spirituelles.

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Chichkine organise d’abord son tableau avec une composition abstraite de taches de couleurs qui, graduellement, lui suggèrent des personnages. “Ainsi s’opère la transfiguration de la pensée spiritualisée en une image” (Krasnovski).

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 Vernissage sera le Jeudi 16 juillet 2015 à partir de 18 h.

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Auditorium Rainier III , Boulevard Louis II

SORTIE en JUIN 2015

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A propos du livre
C’est sur les bords de la Néva que se sont éclos la musique, la littérature, l’architecture, la peinture russes
dans les académies, les universités, le conservatoire, les théâtres et les musées. C’est à Saint-Pétersbourg que sont nés les Ballets Russes de Diaghilev qui ont révolutionné les arts de la scène dans le monde.
Célébrée pour sa beauté et sa vie culturelle, Saint-Pétersbourg, à juste titre nommée la Venise du Nord,
attire chaque année près de trois millions de visiteurs. Si pour beaucoup de gens, Saint-Pétersbourg est en Russie ce n’est pas la Russie ! C’est Saint-Pétersbourg tout simplement ; une ville originale par son aspect, née de la volonté de Pierre le Grand, qui ouvrit une fenêtre sur la grande mer septentrionale et par là-même sur l’Europe, afin de capter ses influences pour en faire bénéficier son immense empire…
En grand passionné de la cité pétrovienne qu’il connaît comme personne, Jean-Bernard Cahours d’Aspry, nous emmène dans un voyage d’exception, à la découverte de la Cité merveilleuse !

A propos de l’auteur
Jean-Bernard Cahours d’Aspry est directeur d’évènement culturels, artiste peintre, héraldiste, musicographe, critique et historien d’art….

A propos des Editions APOPSIX
Les Editions APOPSIX ont pour vocation d’éditer des auteurs et publier des oeuvres qui permettent de mieux comprendre notre Temps et d’imaginer ce que sera le monde demain. Les manuscrits
sont sélectionnés en fonction de leur genre littéraire (roman, essais, poésie, théâtre, mémoire, droit, histoire, politique, biographie…).

Vous pouvez commander des exemplaires dédicacés du livre « Saint-
Pètersbourg, capitale culturelle et spirituelle » de Jean-
Bernard Cahours d’Aspry à l’adresse indiquée
ci-dessous, un mois avant sa sortie nationale (mai 2015).

BULLETIN DE COMMANDE
Nom……………………………………………………….…
Prénom…………..……………………………………….….
Adresse d’expédition………………………..………………
………………………………………………………………
Code Postal……………..… Ville……….…………………
Pays……………..…..………………………………………
Tél………………………Email..……………….…………
Je règle par chèque ou mandat la somme de 50,00€ (frais de port inclus) à l’ordre
de l’éditeur : APOPSIX
Editions APOPSIX
107, rue du Général de Gaulle 68240 Kaysersberg (France)
editions@apopsix.fr – www.apopsix.fr
Siren / 490 165 891 00030 – APE / 5811Z

29
Oct

Saisons Russes de Musique de Chambre

   Publié par: artcorusse   dans Brèves


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                Un événement musical unique, tant sur le plan mélodique qu’historique.  Trois musiciens  russes de grand talent,  viennent à Paris pour présenter  un  concert inoubliable.

Les musiciens

Tous originaires de Moscou, diplômés des meilleurs conservatoires et ont déjà des carrières brillantes.  Elena Keylina, orgue, qui est une de nos grandes amies, participe à des Festivals de Musique et donne des concerts à travers le monde et  Regina Shteynman, violon/alto, toutes deux diplômées du Conservatoire National de Moscou Tchaikovski. Regina  est très solicitée pour faire partie de différents orchestres de chambre de Moscou jusqu à Barcelone.  Philippe Nodel, hautbois, est tout simplement considéré comme ‘le hautbois d’or’ de Moscou et il est con-fondateur de l’ensemble à vent « L’Esprit du Vent ».

Au Programme

Des œuvres célèbres de Jean-Sebastien Bach,  Vivaldi,  César Frank et  Telemann  seront interprétées ainsi que d’autres, pour la première fois à Paris .

Le brillant compositeur Tchèque, F. Koczwara, un contemporain de Bach et auteur de la « Bataille de Prague » qui était mondialement apprécié avant de tomber dans l’oubli sera joué, pour la première fois, à Paris de même que la sonate magistrale pour alto et orgue de J. Kerle, mort la même année que Mozart et dont ses compositions centenaires sont conservées à la Bibliothèque Nationale Lénine.  Cette sonate fut enregistrée pour la première fois en avril 2014 par Regina Shteynman et son CD sera disponible à la suite du concert.

Le lieu

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Le concert aura lieu dans un endroit très prestigieux.  Le Temple de Pentemont, est un ancien couvent des Bernadines dont la première pierre fut posée en 1747 par le Cardinal de Rohan. Il détient un orgue exceptionnel de Cavaillé-Coll (1846) installé dans un magnifique buffet construit par l’architecte Baltard.  En 1928 les travaux de réfection ont endommagé l’orgue (la tuyauterie fut raccourcie pour mieux s’adapter à la musique baroque).  Cependant, au cours de ces dernières années un grand travail de restauration a été entrepris et vient de s’achever restaurant l’orgue dans sa splendeur d’origine.

Les « Saisons Russes »

Cette soirée musicale exceptionnelle s’inscrit dans les efforts de promouvoir le renouveau des « Saisons Russes ».  Au début du XXième siècle Serge de Diaghilev a commencé à organiser les célèbres concerts annuels des « Saisons russes » invitant les artistes originaires de la Russie (par exemple, Nikolaï Rimski-Korsakov, Sergueï

Réservation obligatoire:

Participation aux frais: 15 €uros.

Association Art-Salon GraO et Anne de Kiev-Reine de France

Tél: 06 09 14 64 56

Club de Chance:

Tél: 06 86 43 29 64

Plus de renseignements :   www.clubdechance.fr

Temple de Pentemont
106 rue de Grenelle 75007 Paris
Métro : Rue de Bac / Solferino

Exposition du 8 au 28 octobre 2014

des sculptures d’André Hofmann- Sadko et Vladimir Hofmann

Galerie Molbert ( Мольберт ) à Saint Petersbourg.

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Les frêres Hofmann, André dit Sadko et Vladimir avec Elena Mochalina.

Sadko et Vladimir Hofmann frères jumeaux, sont nés à Paris et vivent à Paris , ou ils ont étudié la peinture avec Yuri (Georges) Annenkov, peintre d’avant-garde révolutionnaire russe, et l’architecture aux Beaux-Arts de Paris. Ils font partie de la « Russie hors frontières », issue de l’émigration qui suscite l’intérêt des Russes d’aujourd’hui.. Ils descendent d’une illustre famille pétersbourgeoise. Leur grand-père, Modest Hofmann – poète, historien de littérature, spécialiste éminent de l’époque d’Alexandre Pouchkine, quitte en 1922 Saint-Pétersbourg pour s’installer à Paris ou il se lie d`amitié avec Serge Diaghilev et Serge Lifar. Rostislav, fils de Modest Hofmann et père d’André et de Vladimir, est considéré comme un des plus éminents historiens de la musique. Auteurs des monographies sur la vie de Tchaikovsky, Moussorgsky, Prokofiev, il connaissait personnellement Stravinsky, Chostakovitch, Sviridov.

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Né à Paris de parents russes, André Hofman dit “Sadko” s’est formé auprès de “Russes de Paris” comme Zadkin le sculpteur .
Dans ses œuvres où tout porte le personnage (lui ? vous ?) à aller plus loin. Plus loin que sa personne, vers l’univers, si grand, si puissant mais qui n’est rien sans cet être si petit, si fragile qui le cherche.
Chacun de ses tracés (cercles ou lignes) nous emmène là où nous trouvons sérénité et rêves, souvenirs et avenir.
La poésie, qui se dégage, sent bon la sérénité d’un homme en harmonie avec son art.

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Poète de l’espace dessiné à l’aide du trait.
Ses œuvres sont autant graphiques que sculptées. Pétries dans la cire, elles trouvent dans le bronze la finesse nécessaire à leur narration.
Elles projettent leurs ombres sur le mur, comme un double ou plutôt un dédoublement – une vison complémentaire, musicale.
Il en résulte une perception aérienne dans laquelle l’homme – réduit à sa véritable dimension, c’est-à-dire nécessairement petit – se trouve confronté à l’immensité de l’univers.

Vladimir Hofmann quand à lui expose depuis 1970, il travaille sur l’ombre, rien de plus fragile, car l’ombre est éphémère, sa présence n’existe que par l’œuvre qui arrête la lumière. Il  a choisi de l’accompagner comme on prend son enfant, partager le temps en séquences mobiles qui roulent et s’associent, le sens est limpide et simple : “nous avons tout notre temps, alors pas une seconde à perdre“. Ce que nous possédons au présent ne prend de sens que lorsque nous le transmettons. Des bronzes uniques forment les signes durables du temps fugitif de la vie où l’amour fait ou donné ne peut être repris, le geste de l’ombre imprime son empreinte pour toujours.

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La semence a fécondé l’œuf, la vie est en cours, une mère n’est jamais à moitié enceinte. La matrice ne sert qu’une fois de moule à l’enfant, mais la semence est multiple et parfois se dédouble, l’espace matriciel se partage et les tableaux du présent horizontal roulent parmi les arborescences fraternelles et verticales. Le thème principal de son oeuvre est « l’homme en marche » : « L’homme avance, s’évade, s’interroge et puis, brusquement rompt sa course et se fige dans l’espace et le temps, pour l’éternité » dit Wladimir.
Vladimir Hofmann est Expert de l’art Russe de l’Alliance Européenne des Experts.
Auteur des ouvrages “le Ballet” et “Les artistes russes hors frontière”.

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Sculptures présentées à la Galerie Molbert.

Molbert Gallery

Большая Конюшенная 11 (дворы Капеллы),  11 grandes Ecuries
Saint-Pétersbourg
+7 812 438-01-14

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