Les Mémoires d’un grand diplomate russe qui est né et a tracé sa carrière diplomatique pendant l’ère soviétique pour devenir durant la décennie 2010 ambassadeur de France durant neuf ans.
Voici les Mémoires d’un homme né à Moscou en 1948, qui a commencé sa carrière diplomatique en France sous Pompidou et l’a terminée sous la présidence Macron.
Dans son pays, Alexandre Orlov a débuté son parcours dans l’Union soviétique de Leonid Brejnev pour l’achever dans la Russie de Vladimir Poutine. Sous Gorbatchev, il observe de près la succession rapide des événements qui transforment l’URSS jusqu’à la faire disparaître.
Après son passage au Conseil de l’Europe à Strasbourg, il parvient à la consécration de ce long itinéraire français et de sa passion pour la France en devenant ambassadeur à Paris durant neuf ans.
Parmi ses réussites, la construction de la nouvelle cathédrale russe à Paris sur le quai Branly, associée à un centre culturel. En 2017, Alexandre Orlov organise la rencontre de Versailles entre les présidents Macron et Poutine, qui a donné naissance au Dialogue de Trianon, forum des sociétés civiles russes et françaises, auquel il participe activement aujourd’hui.
Ces Mémoires sont pour nous, Français, l’occasion de connaître le cheminement d’un citoyen soviétique qui témoigne que l’on pouvait aussi être un Soviétique heureux. Il est vrai qu’Alexandre Orlov a appartenu à une partie de la société que les tragédies du système soviétique ont épargnée. On est, comme le dit Hélène Carrère d’Encausse dans sa préface, devant un « témoignage qui revendique le monde qui l’a formé et qui permet de mieux comprendre le désarroi de nombreux Russes ou Soviétiques devant la disparition d’un pays et d’un système auxquels ils entendent rester fidèles ».
En faisant revivre les cinquante dernières années de la Russie et de la France, Alexandre Orlov nous fait comprendre tout ce qu’elles ont en commun.
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EAN : 139782213713083
ISBN : 978-2-213-71308-3
Nombre de pages : 270
Dimensions : 21.5×13.8×1.8
Prix : 20€
Commentaires fermés sur Un ambassadeur russe à Paris, Edit Fayard
Centre Cultuel et Spirituel Orthodoxe Russe, quai Branly
Le Chœur de la Paroisse de l’Annonciation de Saint-Pétersbourg est un jeune ensemble qui réunit les musiciens amateurs et professionnels passionnés du chant liturgique. Le répertoire du chœur comprend non seulement les œuvres de la musique sacrée mais également des chants populaires russes ainsi que des créations inédites.
Chef du chœur : Anastasia Sériakova Président : Père Alexis Artiukhov
L’église de l’Annonciation (1717-1722) fut construite d’après un projet de Domenico Trezzini, dans le style caractéristique de l’époque de Pierre le Grand. Elle servait de sépulture aux membres de la famille impériale et aux représentants de la haute noblesse. Depuis 1930, l’église abrite les monuments funéraires les plus précieux, provenant des différentes cimetières de la ville: les monuments de Elizaveta Gagarina et Elena Kourakina, œuvres de sculpteur Ivan Martos, une sérié de monuments funéraires dus aux sculpteurs Fiodor Gordeiev, Feodossi Chtchedrine, Fedot Choubine et autres.
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Cathédrale Sainte Trinité
1 quai Branly 75007 Paris
Réservation de places : kultura.branly@gmail.com
Commentaires fermés sur Soirées d’hiver russes, CCSOR
Pour les fêtes de Noël et du 3ème anniversaire de la consécration de la Cathédrale Sainte-Trinité, le chœur de la Cathédrale se produira pour un concert unique et exceptionnel en cette même cathédrale.
Le programme de ce concert est composé d’hymnes sacrés et profanes russes de par lesquels l’âme russe chante la Nativité du Christ. Ce concert est une occasion exceptionnelle pour savourer la somptuosité d’une musique traditionnelle chrétienne russe profonde et envoûtante, allègre et joueuse.
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La cathédrale de la Sainte-Trinité est le centre administratif de l’Exarchat de l’Église Orthodoxe Russe en l’Europe occidentale. Au début du XXIème siècle, l’église qui servait auparavant de siège épiscopal à l’évêque du Patriarcat de Moscou en France est devenue trop exigüe.
Le projet architectural de la cathédrale, réalisé par l’entreprise Bouygues Bâtiment Ile-de-France, est l’œuvre de l’architecte français Jean-Michel Wilmotte. De légères modifications concernant la façade de la cathédrale ont été apportées par l’actuel chef de l’Eglise Orthodoxe Russe – Sa Sainteté le Patriarche Cyrille qui a, non seulement suivi de près la construction de l’église, mais aussi s’est déplacé en personne pour la consacrer le 4 décembre 2016
Cathédrale de la Sainte-Trinité, Quai Branly Paris
29 mars 2018 à 19h30
Chœur Chantres orthodoxes russes.
Le chœur d’hommes « Chantres Orthodoxes Russes » se produira pour une troisième fois en la cathédrale orthodoxe russe de la Sainte-Trinité sur le quai Branly à Paris.
Placé sous la direction de Serge Rehbinder, maître de chapelle en l’église orthodoxe russe de Saint Séraphin de Sarov à Paris, l’ensemble vocal « Chantres Orthodoxes Russes » est composé de chanteurs professionnels et amateurs qui ont fait leur classe dans de grands chœurs en Russie et en France. Parmi ces chœurs, on peut citer ceux de la laure de la Trinité Saint-Serge près de Moscou dirigé par l’archimandrite Matthieu Mormyl, de la cathédrale orthodoxe Saint-Alexandre Nevsky à Paris sous la direction de Basile Evetz puis d’Alexandre Kedroff, de l’institut Saint-Serge sous la direction de Nicolas Ossorguine, et enfin celui de la cathédrale de la Sainte-Trinité sur le quai Branly à Paris sous la direction de Marina Politova.
Depuis leur création en 2013, les « Chantres Orthodoxes Russes » se consacrent au répertoire liturgique russe et plus particulièrement aux œuvres des grands centres spirituels comme le monastère des grottes de Kiev, et plus particulièrement la laure de la Trinité Saint-Serge non loin de Moscou.
Serge Rehbinder, chef de choeur, Vladislav Romankov, Nicolas Cattoire, Egor Soloviev, premiers ténors. Alexis Tchertkoff, Yoann Renard, deuxièmes ténors. Eugêne Malashine et Nicolas Goudkoff, barytons. Alexandre Rehbinder, Serge Cujba, Georges Sheshko, basses.
Avec le réveil culturel de la Russie au XIXe siècle et l’éclosion du mouvement slavophile, l’école synodale de Moscou renoue avec des motifs anciens et des harmonisations sobres et propices à la prière et à la méditation. C’est dans ce cadre que le chœur d’hommes « Chantres Orthodoxes Russes » présentera un programme articulé autour de deux grand thèmes liturgiques d’actualité: des chants issues du requiem, emplies de profondeur et de prière, évoquant les souffrances, la mort et la résurrection, ainsi que des chants liés à la Passion du Christ, sublimés par des compositeurs des XIXème et XXème siècles qui ont su harmoniser des mélodies anciennes avec beaucoup de sobriété alternant des moments mystiques de tristesses et des moments d’espérance, plus poétiques.
A l’occasion du centième anniversaire des premiers martyrs de l’Eglise Orthodoxe Russe, la cathédrale de la Sainte-Trinité accueillera le chœur d’hommes «Chantres Orthodoxes Russes» pour deux concerts exceptionnels les 8 et 9 mars prochains.
Placé sous la direction de Serge Rehbinder, le chœur d’hommes «Chantres Orthodoxes Russes» est composé d’une douzaine de chanteurs qui ont évolués dans de grands chœurs en Russie et en France comme ceux de la laure de la Trinité Saint-Serge près de Moscou dirigé par l’archimandrite Mathieu Mormyl, de la cathédrale Saint-Alexandre Nevsky à Paris dirigée par Monsieur Basile Evetz, de l’ensemble vocal Kedroff ou de l’institut de théologie orthodoxe Saint-Serge.
Depuis leur création en 2013, les « Chantres Orthodoxes Russes » se consacrent au répertoire liturgique russe et plus particulièrement aux œuvres issues de la tradition de la laure de la Trinité Saint-Serge.
Salué par la presse locale, après plusieurs concerts donnés dans des endroits aussi prestigieux que les églises Saint-Germain l’Auxerrois et Saint-Louis-en-l’Ile à Paris ou l’abbatiale Saint-Mathurin de Larchant, les « Chantres Orthodoxes Russes » continuent à promouvoir cette musique qui perpétue la tradition russe aux mélodies vibrantes de profondeur.
Le programme présenté sera articulé autour du requiem orthodoxecommémorant ainsi, le centenaire des premiers martyrs de l’Eglise Orthodoxe Russe.
Les chants sublimes des moines du monastère de l’île de Valaam, chorale du célèbre monastère russe de Valaam situé sur le lac Ladoga en Carélie, au nord-ouest de la Russie.Elle est connue pour son exceptionnelle et harmonieuse tradition vocale.
Valaam, archipel d’une cinquantaine d’îles, figées six mois par an dans les glaces de l’immense lac Ladoga, abrite le plus ancien monastère de Russie.
Les premières traces du monastère remontent au Xè et XIè siècle, selon la tradition deux saints: Serge et Germain qui étaient des hiéromoines grecs venus à Novogorod avec les premiers missionnaires orthodoxes au XIème siècle,sont venus à Valaam et ils y fondèrent la vie monastique, qui devint un monastère célèbre en Russie. Le monastère abrite sept égises, dont la cathédrale Valaam (nom finois signifiant “Hautes terre de montagnes”). Le monastère a connu deux périodes d’âge d’or, au XVIè et au milieu du XIXè lorsque de nombreuses églises, chapelles et ermitages y ont été construits et quand des ateliers de joailleries et de peinture sacrée y furent introduit. Le rayonnement du monastère fut alors considérable.
La prière au monastère de Valaam s’est interrompue pendant près de 50 ans, lorsque le régime communiste utilisa l’espace à des fins militaires en expulsant et en massacrant les moines de l’île dans les années 1940. Le monastère a été transformé en une prison aux conditions extrèmes ! Mais en 1989, six moines accostent à Valaam, pour restaurer une vie monastique dont le fil avait été brisé. Désormais le monastère renaît de ses cendres et rayonne par la profondeur de la prière et par la particularité de sa tradition musicale emplie de sérénité, de paix et d’harmonie.
Le monastère-ermitage Nokolski sur les îles Valaam, lorsque les eaux du lac Ladoga, qui l’abrite sont gelées en hiver et où vivent actuellement 300 moines et novices.
Centre Spirituel et Culturel orthodoxe Russe de Paris
Que reste-t-il de la Révolution de 1917 ?
Un siècle plus loin, que reste-il d’un événement qui a façonné l’histoire du vingtième
siècle, se propageant par vague dans l’ensemble des pays du monde.
À l’heure d’une mondialisation qui semble avoir balayé toute idée révolutionnaire, la
question mérite un large débat transdisciplinaire qui interrogera des historiens, des
philosophes, des économistes, des auteurs et des journalistes, russophones et
francophones, proposant une lecture du présent sous le prisme d’un passé qui
pourrait remonter à la surface compte tenu des disparités de richesse croissantes dans
le monde d’aujourd’hui. Et si l’histoire recommençait ?
A cette occasion concert exceptionnel
samedi 7 octobre à 20h
dans l’auditorium du centre.
Totalement apolitique, le salon Russkaya Literaturaa l’ambition de fortifier ce
dialogue littéraire si riche que la Russie entretient avec la France depuis trois siècles et
de présenter la vie littéraire russe d’aujourd’hui en réunissant dans un même lieu des
auteurs, des éditeurs des deux pays, des libraires, spécialistes et des traducteurs.
Le Comité littéraire franco-russe qui est à l’initiative de cet évènement n’a cessé
depuis sa création en 2007 de créer des liens et des passerelles entre nos deux littératures. Il est à l’origine de nombreuses manifestations et rencontres entre
écrivains, tant en France qu’en Russie.
Des tables rondes, présentations de livres, conférences et signature seront
organisées à cette occasion. Des expositions, des lectures poétiques, des concerts et des projections
viendront renforcer cette offre culturelle.
LISTE DES AUTEURS invités
PROGRAMME
Vendredi 6 octobre 2017
AUDITORIUM
18h : “Histoire secrète de la Révolution russe” : 100 documents d’archives inédits présentés par Victor Loupan, auteur du livre „Histoire secrète de la Révolution russe“. Секретная история Русской революции : сто документов из неизданных архивов в представлении Виктора Лупана, специалиста по русской истории, автора одноименной книги.
19h : Inauguration du salon en présence du ministre de la communication de la Fédération de Russie, Monsieur Mikhail Seslavinsky et de de S.E. ambassadeur de la Fédération de Russie en France, Alexandre Orlov.
Церемония открытия Салона в присутствии Михаила Сеславинского, руководителя Федерального Агенства РФ по печати и массовым коммуникациям и Александра Орлова, посла Российской Федерации во Франции.
ESPACE LIVRE
18h : Lyane Guillaume présente son dernier ouvrage “Mille et un jour en Tartarie“,une évocation de l’Ouzbékistan à travers les femmes de ce pays. Лиан Гийом представит свою книгу “Тысяча и одна ночь Татарии”, открытие Узбекистана, через судьбы женщин этой страны.
SALLE DE CONFERENCE
15h : Les contes utiles: atelier présenté par Elena Zhurek, écrivain et psychologue. “Полезные сказки от Елены Журек”. Ателье детского писателя, психолога Елены Журек.
Samedi 7 octobre 2017
AUDITORIUM
12h: Piotr Alechkovsky son livre « Forteresse » présente la situation actuelle de la restauration de patrimoine en Russie. Петр Алешковский представит свою книгу “Крепость” – рассказ о ситуации, сложившейся сегодня в России в реставрации памятников старины.
12h40: “Voyager le coeur ouvert”. Varlamov nous parle de ses rencontres lors de ses voyages en Russie et à travers le monde, de ses voyages à travers l’histoire, l’âme humaine et la mémoire.
“Путешествие с открытым сердцем” Алексей Варламов расскажет о своих встречах с интересными людьми в России и о том, как эти сюжеты отражаются в его книгах.
13h00: Agent litteraire, Irina Goriunova présentera les livres de Tatiana Bogatireva, Irina Vitkovskaya, Elena Gordina et Svetlana Vasilenko. Литературный агент Ирина Горюнова представляет книги Татьяны Богатыревой, Светланы Василенко Ирины Витковской и Елены Гординой.
14h: Art et Révolution : une expérience singulière, avec la participation de Nicolas Liucci-Goutnikov, conservateur au Musée national d’art moderne / Centre Pompidou, d’Alain Gesgon qui présentera sa collection unique d’affiches anciennes (Ocna Rosta, Demi Moor, Viktor Deni ), Catherine Bertho, auteur du livre “Révolution, 100 ans d’octobre rouge”. Modérateurt Alin Siciliano
16h: La guerre civile russe (1917—1922) et les émigrés de la Révolution avec Alexandre Jevakoff, auteur du livre “La guerre civile russe (1917—1922)“ et Sophiе Hasquenoph, auteur de “Les français de Moscou face à la révolution russe“. “Гражданская война и эмиграция” при участии Александра Жевакофф, автора книги “Гражданская война в России (1917-1922) ” и Софи Аскеноф, автора книги “Французы в революцию в Москве”.
17h: Vladimir Rekchan: ses livres et ses chansons: dédicace à la Révolution russe. Концерт Владимира Рекшана: книги и песни, столетию русской революции посвящается.
18h: Les succès littéraires de l’année 2016—2017 en Russie: avec Piotr Alechkovski, Prix Booker Russe 2016, Valery Bochkov, Youlia Zaitseva, Victor Erofeiev, Ingvar Korotkov, Alexandre Melihov, Vladimir Rekchan, Alexei Varlamov. Moderateur: Irina Goriunova.” Литература России в 2016-2017 гг. при участии Петра Алешковского – лауреата премии Русский букер 2016, Валерия Бочкова, Виктора Ерофеева, Юлии Зайцевой, Ингвара Короткова, Александра Мелихова, Владимира Рекшана, Алексея Варламова. Модератор: Ирина Горюнова.
20h: Concert de romances russe de “l’âge d’argent“. Youlia Bouslenko-soprano, Yana Younker-piano, direction artistique-Elena Nesterova
SALLE DE CONFERENCE
11h : Comment la littérature pour les enfants est devenue une affaire sérieuseavec Kira Sapgir, écrivain, poète et traductrice. “Как детская литература стала серьезным делом”. Встреча с Кирой Сапгир – поэтессой, писательницей, переводчиком.
11h45 : Irina Filippova présentera son livre « Les champignons pas comme les autres » avec leur démonstration. Ирина Филиппова представит свою книгу « Необычные грибы » с их демонстрацией.
12H30: Les contes utiles: atelier présenté par Elena Zhurek, écrivain et psychologue. Ирина Филиппова представит свою книгу « Необычные грибы » с их демонстрацией.
12h50: Lire ou ne pas lire avec Ludmila Sukhostavetz, auteur de livres pour enfants, poète. “Читать или не читать”. Встреча с Людмилой Сухоставец, поэтессой, детским писателем.
13h20: Irina Kudesova présentera son 4e roman “Kokliko, le journal intime de Lili, une histoire d’amour qui changera votre vie et fera rougir votre maman”. Présence spéciale de la dessinatrice qui a illustré le journal. Ирина Кудесова представит свой 4-й роман “Коклико. Дневник Лили” : история любви, которая изменит вашу жизнь и заставит краснеть вашу маму. С участием художницы, иллюстрировавшей дневник. Буктрейлер – наwww.kokliko.ru
14h: Elena Minkina-Taitcher. L’histoire de la Russie du XXème siècle à travers une saga familiale. La vie, grâce à l’histoire et malgré elle. Елена Минкина-Тэтчер. «История России двадцатого века в семейной саге. Жизнь благодаря и вопреки”.
14h40: Lectures poétiques : Geneviève Dispot , Anna Nelidova, Elena Truuts, Svetlana Vasilenko. Поэтические чтения: Светлана Василенко, Женевьева Диспот, Анна Нелидова, Ольга Семенова, Елена Труутс.
15h20: Dmitri Birman présentera son livre « Les gens étranges ». Дмитрий Бирман представит свою книгу “Странные люди”.
16h: Alexandre Melikhov. “Et ils ne recevront jamais leur dû”, histoire d’une famille juive qui reflète le destin de la Russie après 1917. Александр Мелихов. « И нет им воздаяния » – история еврейской семьи, в которой отражена судьба России, рожденной в 1917 г.
16h30: Herman Sadoulaev. Chevaliers et monstres face au “monde russe” : problèmes de la littérature russophone aux pays des frontières de la Russie. Герман Садулаев. Витязи и чудовища в пограничье “русского мира” : проблемы русскоязычной литературы национальных окраин России.
17h15: Andrei Astvatsatourov présentera son livre “Les gens à nu” (ed. Macha Publishing). Андрей Астватцатуров представит свою книгу ” Люди в голом”.
18h: Emelian Markov. L’age de rubis dans les romans d’Emelian Markov (« Troisième pas »,
« Le masque »). Емельян Марков. Рубиновый век в романах Емельяна Маркова (« Третий ход », « Маска »).
17H00:
Concert de Vladimir Rekchan
Dédicace à la Révolution russe.
18h00: Les succès littéraires de l’année 2016-2017 en Russie: avec Piotr Alechkovski, Prix Booker Russe 2016, Valery Bochkov, Youlia Zaitseva, Victor Erofeiev, Ingvar Korotkov, Alexandre Melihov, Vladimir Rekchan, Alexei Varlamov. Moderateur: Irina Goriunova.
20h00: Concert de romances russes sur les paroles des poètes de “l’âge d’argent”.
Youlia Bouslenko-soprano, Yana Younker-piano, direction artistique-Elena Nesterova.
Dimanche 8 octobre 2017
AUDITORIUM
13h : Rencontre avec l’écrivain Alexei Ivanov présenté par Alexei Varlamov. Histoire avec la géographie dans l’ oeuvre d’Alexey Ivanov.
14h : La Russie dans le monde littéraire français en 2016—2017: les livres des auteurs russes traduits en France et les livres des auteurs français inspirés par la Russie avec la participation de Andrei Astvatsatourov , Peutr Alechkovsky, Cedric Gras, Erik Orsenna, Olivier Rollin, Herman Sadoulaev. Modérateur: Hélène Mélat.
16h : “100 ans plus tard, un nouveau regard sur la révolution de 1917” avec Alexandre Jevakhoff.
18H: “Les femmes russes” avec la participation de Maureen Demidoff, auteur de «La Tête et le cou, Histoire de femmes russes».
SALLE DE CONFÉRENCE
12h : “Lire ou ne pas lire” avec Ludmila Sukhostavetz, auteur de livres pour enfants.
12h40 : “Qui habite dans la forêt d’émeraude?”, atelier présenté par Elena Zhurek, écrivain et psychologue.
13h20 : ” Pourquoi la littérature jeunesse russe peut-elle être intéressante pour le public français?” avec Piotr Vlassov, auteur de livres pour enfants.
14h : Jean-Louis Gouraud présente son dernier livre «Petite géographie amoureuse du cheval».
14h45 : Youlia Zaitseva. «Dans les débris de la Sibérie» :présentation de l’essai d’Alexeï Ivanov et de Youlia Zaïtseva intitulé «Débris».
15h30 : Marina Jorgensen : « Bonheur comme moyen de voyage »
16h15 : Yves Gauthier présente “Souvenez-vous de Gelé“.
17h : Valery Botchkov: « Chronique de l’Apocalypse russe »
17h45 : Ingvar Korotkov présente son livre “L’enfant soviétique le plus heureux du monde : histoires d’enfance, photographies d’époque“
19H: Lessya Tyshkovskaffre ses chansons sur les paroles de B.Pasternak, M. Tsvetaeva, A. Akhmatova, J. Brodsky, V. Amoursky et L.Tyshkovska.
ENTREE LIBRE
Un lieu prestigieux :
Le Centre spirituel et culturel orthodoxe de Paris, réalisé par le cabinet d’architecture Wilmotte, a été inauguré octobre 2016 est un témoignage des liens culturels et humains qui unissent nos deux pays. La mission du centre est de faire connaître à un large public la richesse culturelle et spirituelle de la Russie, de promouvoir l’apprentissage de la langue russe en France, tout en contribuant au développement des relations franco-russes. Le complexe de quatre bâtiments, installé sur l’ancien site parisien de Météo France, occupe désormais un terrain de plus de 4 000 m2. Il abrite notamment une librairie, une salle d’exposition ou encore une école bilingue franco-russe et la cathédrale orthodoxe de la Sainte- Trinité, surmontée de ses cinq bulbes dorés.
Samedi 19 mars 2016 en présence du Prince Dimitri Romanov et des instance religieuses orthodoxes, Mgr Nestor, Mgr Michel, parmi les officiels qui ont pris la parole lors de la cérémonie de pose figuraient, côté français, le secrétaire d’État chargé des relations avec le Parlement, Jean-Marie Le Guen, et, côté russe, l’ambassadeur de Russie Alexandre Orlov ainsi que le vice-premier ministre russe Sergueï Prikhodko, il y a eu la bénédiction des croix et la pose la plus grande des coupoles sur les cinq coupoles prévues sur le toit de cette future église (cathédrale) orthodoxe de la Sainte Trinité, quai Branly. C’est l’élément clé de l’architecture du bâtiment, celle qui accrochera en premier le regard des passants. Jean-Michel Wilmotte, l’architecte, en parle comme « un phare urbain dans le paysage parisien »… Construites par Multiplast, une entreprise vannetaise et acheminées par convoi exceptionnel à Paris, ces coupoles sont constitués de vingt pétales qui ont été dorés.
Ce samedi, uniquement la coupole centrale a été posée à 37 mètres, elle pèse neuf tonnes, fait 12 mètres de haut et 11 m de diamètre, dorée à la feuille d’or. Il a fallu une semaine pour la plus grande des coupoles et pas moins de 90 000 feuilles d’or, larges de 8 cm sur 8 cm, pour couvrir une surface de 600 m2. Technique très particulière menée par deux salariées des ateliers parisiens Robert Gohard, qui ont travaillé sur le dôme de l’Hôtel des Invalides et la place de la Concorde à Paris, ou encore la statue de la Liberté à New York. L’opération de la pose a pris toute la matinée, les quatre autres coupoles de six mètres de diamètre et de six mètres de haut seront posées ultérieurement.
Voir sur Youtube le reportage filmé de RT France : (CLIQUEZ)
A 45mn 40, discours officiels : Bernard Mounier président de la société Bouygues Bâtiment Ile de France, le vice-premier ministre russe Sergueï Prikhodko (à 52mn30), Jean-MichelWilmotte architecte du projet (à 1h00mn37), Jean Marie Le Guen, secrétaire d’état auprès du Premier ministre (à 1h08mn53).
Commentaires fermés sur Pose des coupoles sur la future cathédrale quai Branly
La Russie et le groupe français Bouygues ont signé ce vendredi 17 janvier, un accord sur le lancement du chantier du centre culturel et religieux russe à Paris, a annoncé Vladimir Kojine, chef de l’Intendance du Kremlin.
“Aujourd’hui marque le lancement des travaux de construction du centre culturel et spirituel russe sur le quai Branly à l’emplacement du bâtiment Météo. Il y a une heure nous avons signé un accord avec la société Bouygues sur la réalisation de la première étape des travaux de construction et de montage“, a indiqué M.Kojine devant les journalistes rassemblés à Paris à l’occasion de la présentation du projet. M.Kojine avait annoncé que la pose de la première pierre du Centre spirituel et culturel orthodoxe russe était prévue pour le printemps 2014 et qu’elle se déroulerait en présence d’invités du plus haut niveau.
L’ensemble architectural inclura quatre bâtiments : une cathédrale à cinq coupoles de 35 m de hauteur, un centre culturel avec une salle de concert, un bâtiment administratif et une école bilingue franco-russe pouvant accueillir 150 enfants.
Les édifices seront bâtis en pierre naturelle de Bourgogne, traditionnellement utilisée, en France, pour les monuments et les grands travaux, tels Notre-Dame de Paris ou le palais du Louvre.
« Il fallait concevoir des immeubles du XXIème siècle tout en respectant la tradition orthodoxe et le paysage urbain, car il s’agit d’un endroit clé de Paris : les quais de Seine, la proximité du palais de l’Alma protégé par l’UNESCO et de la Tour Eiffel », précise l’auteur du projet, Jean-Michel Wilmotte.
Le nouveau projet sera exposé au public pendant le week-end du 18-19 janvier dans la résidence de l’ambassadeur de Russie, 79 rue de Grenelle dans le 7ème arrondissement de Paris. Entrée libre, de 10 heures à 18 heures.
Une équipe d’architectes français et russes, menée par l’Espagnol Manuel Nunez Yanowsky, a été retenue
jeudi 17 mars pour la Le jury a retenu le projet du bureau français Sade et du bureau russe Arch Group.
«Nous avons examiné en détail la vaste documentation technique présentée par les participants à la finale»,
a expliqué Vladimir Kozhin, représentant de la Fédération de Russie et
président du jury international composé de 15 membres, lors de la conférence de presse à l’Ambassade de
la Fédération de Russie.
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Sur dix projets restants après le vote en décembre, ce projet et definitivement retenu.
Selon M. Kozhin, l’achat de la parcelle de 4.245 m2 a été payé par l’Etat russe. La construction, a-t-il ajouté, sera financée par “l’Etat russe, l’Eglise orthodoxe russe et des mécènes russes et français”.
Le projet de Manuel Yanowsky a été choisi devant celui des cabinets français Wilmotte et russe Mosproekt (N°73)
classé deuxième.
et celui de Frédéric Borel (N°31)
classé troisième.
Projet gagnant:
Les travaux débuteront en janvier 2012 sur un terrain d’une superficie de 4.245 m2 situé quai Branly.
Y seront édifiés une cathédrale orthodoxe ainsi que les locaux administratifs du diocèse des salles d’études
et des hémicycles destinés au Séminaire orthodoxe de Paris, un foyer étudiant et une bibliothèque.
Cinq bulbes dorés s’élanceront à 27 mètres au dessus du sol au dessus d’un voile en verre, évoquant le “voile de Marie Mère de Jésus”.
Un grand jardin est prévu au milieu du terrain.
«C’est un beau compromis entre la tradition orthodoxe et l’architecture contemporaine qui s’impose
au cœur de Paris» a souligné Mgr Nestor, représentant le patriarcat de Moscou.
Samedi 26 mars 2022 à 20h 30 Dimanche 27 mars à 16h
Église Ste-Marie-des-Fontenelles, 92000, Nanterre
L’ensemble vocal masculin « Chantres Orthodoxes Russes », composé de 11 choristes, placé sous la direction de Serge N. Rehbinder, maître de chapelle en l’église orthodoxe russe de Saint Séraphim de Sarov à Paris, le chœur d’hommes « Chantres Orthodoxes Russes » est composé de chanteurs professionnels et amateurs qui ont fait leur classe dans de grands chœurs en Russie et en France.
Parmi ces chœurs, on peut citer ceux de la laure de la Trinité Saint-Serge près de Moscou dirigé par l’archimandrite Matthieu Mormyl, de la cathédrale orthodoxe Saint-Alexandre Nevsky à Paris sous la direction de Basile Evetz puis d’Alexandre Kedroff, de l’institut Saint-Serge sous la direction de Nicolas Ossorguine, et enfin celui de la cathédrale de la Sainte-Trinité sur le quai Branly à Paris sous la direction de Marina Politova.
Depuis leur Création en 2013, les ” Chantres Orthodoxes Russs ” se consacrent au répertoie liturgique russe et surtout aux œuvres des grands centres spirituels comme le monastère des grottes de Kiev, plus particuliérement la laure de la Trinité Saint Serge situé non loin de Moscou. Des œuvres tirées d’autres répertoires, comme celui de l’institut de théologie Saint-Serge à Paris sont également interprétées.
Les premières polyphonies religieuses, inspirées par le chant populaire russe, voient le jour au XVIIe siècle, suite à l’ouverture à l’Occident et à la découverte du chant liturgique polonais.
Un siècle plus tard, les chantres russes adaptent le principe du choral luthérien à de vastes compositions à 8, 12, voire 48 voix. Mais le XVIIIe siècle est aussi celui du goût italien. Le public se rend à l’église comme on va à l’opéra pour écouter les « concerti à plusieurs parties » de Dimitri Bortniansky. Plus tard, les compositeurs de l’École de Saint-Pétersbourg se tournent vers le romantisme, puisant leurs thèmes dans les mélodies populaires, à la manière du lied allemand.
Avec le réveil culturel de la Russie au XIXe siècle et l’éclosion du mouvement slavophile, l’École synodale de Moscou renoue avec des motifs anciens et des harmonisations sobres et propices à la prière et à la méditation. L’introduction dans le chœur des voix de basse profonde renforcent le caractère mystique du drame liturgique. D’une étonnante beauté, cette musique est cependant peu jouée en concert, les basses profondes étant rares et très recherchées.
Le chœur d’hommes « CHANTRES ORTHODOXES RUSSES » a rencontré un vif succès lors des nombreux concerts , en mars 2019, 2 concerts à guichet fermé furent donné en la cathédrale de la Sainte-Trinité au sein du nouveau Centre Culturel et Spirituel Russe sur le quai Branly à Paris dans le cadre du centième anniversaire de la naissance du compositeur Serge Troubatchev. Plusieurs concerts ont été programmé, annulés pour des raisons sanitaire.
Chœur de la cathédrale de la Sainte Trinité, la chorale dirigée par Marina Politova, membre du Conseil Patriarcal pour le développement du chant ecclésial russe .
La chorale de la Cathédrale Sainte-Trinité est un ensemble professionnel avec un répertoire riche d’œuvres de musique sacrée. La chorale participe aux divers festivals de musique sacrée, à des émissions à la radio et organise des concerts.
La chorale de la cathédrale de la Sainte Trinité a participé à plusieurs concours et festivals internationaux. Elle a remporté le Grand Prix du concours « Racconto di Primavera 2021 » (Ravenne, Italie) et a reçu un diplôme pour sa participation au festival international « Spring Symphony 2021 » (Prague, République Tchèque).
PROGRAMME
D. Bortinansky, P. Tchaïkovsky, P. Tschenoskov, A. Archangelsky, S. Rachmaninv, E Iounek.
Marina Politova est depuis 2016 la chef de chœur de la cathédrale de la Sainte-Trinité de Paris. Coach de russe à l’Opéra National de Paris, membre du Conseil Patriarcal pour le développement du chant ecclésial russe, Marina Politova a été formé à Saint Pétersbourg et Krasnodar en Russie.
Cathédrale de la Sainte Trinité 1 Quai Branly, 75007 Paris
Ensemble slava, chœur de la cathédrale des Trois Saints Docteurs,
Chœur Znaménie, Chœur de la Cathédrale Alexandre Nevsky
Chœur de la Cathédrale de la Sainte Trinité.
Dimanche 10 octobre 2021 à 16 h
Cathédrale de la Sainte trinité , 75007 Paris
ENTRÉ GRATUITE
L’association « Chants Liturgiques Orthodoxes » a été fondée en 1969 par un groupe de « zélateurs » du chant orthodoxe. Voyant peu à peu disparaître, après la seconde guerre mondiale, les chefs de chœur qui avaient jusqu’alors assumé leur rôle dans les paroisses orthodoxes russes en France et à l’étranger, ils comprirent l’urgence de transmettre à la jeune génération cette tradition du chant apportée dans les années 20 de Russie par leurs parents, les émigrés russes.
A l’initiative de Nicolas Spassky, Igor Vassilieff et Alexandre Filatieff, une assemblée de plus de cinquante personnes fut réunie, regroupant les principaux spécialistes (chefs de chœur, compositeurs, chantres …) de toutes les juridictions. Les objectifs suivants furent définis : la conservation, le développement, l’étude du chant liturgique orthodoxe. Un comité de travail fut créé comprenant des personnes comme A. Javoronkoff, N. Ossorguine, M. Kovalevsky, N. Kedroff, E. Evetz, G. Grigorieva et d’autres. Des personnes de l’étranger, comme I. Gardner, ou de province s’y joignirent par la suite. Le bureau élu de l’Association comprenait : Igor Vassilieff (président), Maxime Kovalevsky et Alexandre Filatieff (Vice-présidents), Nicolas Spassky (secrétaire), Pierre Nikitine (trésorier). Depuis peu le bureau de l’association a changé, le protodiacre Alexandre Kedroff (Président), Nadia Lebedeff (secrétaire) et Marina Pervichine-Poulet (trésorière).
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Ensemble ” SLAVA”, est composé d’une quinzaine d’artistes qui s’attachent à travailler et à faire connaître le répertoire sacré orthodoxe à la croisée des sources orientales et des influences occidentales. Sous la direction de Marina Pervichine-Poulet.
Cet ensemble est unique en France : c’est le seul chœur de musique sacrée orthodoxe composé uniquement de voix féminines . Il donne régulièrement des concerts en France.
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Chœur de la cathédrale des Trois Saints Docteurs,
Chorale sous la direction du Chef de chœur Alexandre Rehbinder
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Chœur Znaménie, Ensemble formé depuis 2009, sous la direction d’Ekaterina Anapolskaya. Son répertoire est constitué de plus de soixante pièces de musique liturgique russe bien souvent écrites par les plus illustres compositeurs russes (Tchaïkovski, Rachmaninoff, Balakirev, Tchesnokov, Gretchaninoff, …) mais aussi de musique profane : chœurs d’opéra, musique de chambre, chants populaires.
Le chœur se produit régulièrement en concert (le plus souvent à Paris) dans le cadre de manifestations consacrées à la musique liturgique orthodoxe russe : concerts de Noël et de Pâques, célébration des 150 ans de la cathédrale orthodoxe russe de Paris (Rue Daru), heures musicales de Saint-Roch… .
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Chœur de la Cathédrale Alexandre Nevsky, sous la direction du Protodiacre Alexandre Kedroff,
Avant 1917, ce sont des chanteurs professionnels français qui y font office de choral. Alors qu’après la révolution russe de 1917 et avec l’arrivée de la première vague d’émigration, ce sont des chanteurs d’opéra russes qui prennent la relève. La nomination au poste de maitre de chapelle d’Evguény Evetz en 1962 permet une toute nouvelle dynamique. Diplômé du conservatoire de Varsovie et excellent pédagogue, il élargit le répertoire du choeur et crée un nouveau style d’interprétation qui se caractérise par la rigueur, la justesse d’intonation et la précision rythmique. Travailleur infatigable, Evetz fait connaître le choeur de la cathédrale à travers le monde, comme l’un des meilleurs choeur de l’émigration russe. En 1988 il passe le flambeau à son fils aîné Basile (1937-2008). Lorsque Basile Evetz se retire en 2007, c’est le protodiacre Alexandre Kedroff qui prend la tête du choeur de la cathédrale. Issu d’une génération illustre de musiciens, le protodiacre Alexandre Kedro hérite naturellement du patrimoine culturel familial. Après des études de musique, complétées par un cursus de théologie à l’Institut St-Serge de Paris, il est ordonné diacre à la cathédrale St-Alexandre-Nevsy, où il seconde le Maître de Chapelle Basile Evetz jusqu’en 2007. Depuis sa nomination à la tête du chœur de la cathédrale, Alexandre Kedroff se consacre entièrement à cette fonction et contribue à l’enrichissement du répertoire par des compositions de son père et de son grand-père, ainsi que des œuvres basées sur des mélodies anciennes russes du chant neumatique “znamenny”.
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Chœur de la cathédrale de la Sainte Trinité, la chorale dirigée par Marina Politova, membre du Conseil Patriarcal pour le développement du chant ecclésial russe .
La chorale de la Cathédrale Sainte-Trinité est un ensemble professionnel avec un répertoire riche d’œuvres de musique sacrée. La chorale participe aux divers festivals de musique sacrée, à des émissions à la radio et organise des concerts.
La chorale de la cathédrale de la Sainte Trinité a participé à plusieurs concours et festivals internationaux. Elle a remporté le Grand Prix du concours « Racconto di Primavera 2021 » (Ravenne, Italie) et a reçu un diplôme pour sa participation au festival international « Spring Symphony 2021 » (Prague, République Tchèque).
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Cathédrale de la Sainte Trinité Quai Branly, 75007 Paris
Métro : Alma Marceau, RER : Pont de l’Alma
On vous rappelle que le port de masque est obligatoire et la distanciation sociale doit être respectée tout au long de l’évènement
Commentaires fermés sur Chants liturgiques orthodoxes
Sergei Nikolaevich Andriyaka (né le 14 juillet 1958 à Moscou, URSS) aquarelliste et professeur soviétique et russe, artiste du peuple de la Fédération de Russie (2005), membre à part entière de l’Académie russe des arts (2007). Le fondateur et le chef de l’Académie des aquarelles et des beaux-arts Sergei Andriyaka.
Il commença à peindre dès l’âge de 6 ans, et intègrera plus tard l’Institut d’art de Moscou Surikov, alors dirigé par son père. Il obtiendra son diplôme en 1982 puis travaillera dans les Ateliers créatifs de l’Académie des Arts de l’URSS jusqu’en 1985. A la même période il rejoindra l‘Union des artistes de l’URSS.
Il ouvrira son école de peinture aquarelle en 1999. Puis c’est en 2012 qu’il fondera alors l’établissement d’enseignement supérieur, l’Académie des aquarelles et des beaux-arts Sergei Andriaka. En Septembre de la même année, il rencontrera un franc succès grâce à son émission diffusée sur « Kultura » nommé ” Leçons de dessin avec Sergei Andriaka “ .
Académie des aquarelles et des beaux-arts
Sergei Andriaka
Le peintre Sergueï Andriyaka est connu comme un des grands maîtres de la peinture à l’aquarelle d’aujourd’hui. Le peintre a commencé son activité créatrice avec des travaux à l’huile, gouache, détrempe. Sa manière artistique a été influencée aussi par la connaissance de l’héritage culturel de l’Europe Occidentale. Mais sa technique préférée était toujours la peinture à l’aquarelle.
Les œuvres de l’artiste se rapporte à la Russie, au charme unique des anciennes villes russes, à la beauté attractive des monuments de l’architecture de la Russie; la nature russe est proche de lui.
Ici on trouve des églises, des paysages urbains, la province russe et des pays étrangers, natures mortes, intérieurs, et bien sûr des fleurs. L’œuvre de Sergueï Andriyaka révèle au spectateur la beauté du monde environnant. L’artiste continue la ligne de ses prédécesseurs célèbres: Brullov, Savrasov, Levitan, Vrubel. Il garde avec soin et développe, du point de vue d’aujourd’hui, les traditions créatrices des maîtres d’aquarelle multicouche classique.
S. Andriyaka choisit comme la ligne principale de son travail la renaissance des traditions d’aquarelle multicouche classique, qui l’a charmé de sa lumière et richesse des possibilités picturales. Avant, il a travaillé les couleurs á l’huile, gouache, pastel, détrempe, il a réalisé de la peinture monumentale, mosaïque, vitrage, peinture d’icônes, restauration, petite sculpture, aussi que de l’eau-forte, céramique, peinture sur porcelaine, des miniature et décors théâtraux.
S. Andriyaka a pris part a plus que 200 expositions personnelles à Moscou et à l’étranger. Ses œuvres se trouvent dans divers musées du monde et collections privées.
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Le Centre spirituel et culturel orthodoxe de Paris, réalisé par le cabinet d’architecture Wilmotte, a été inauguré octobre 2016 est un témoignage des liens culturels et humains qui unissent nos deux pays. La mission du centre est de faire connaître à un large public la richesse culturelle et spirituelle de la Russie, de promouvoir l’apprentissage de la langue russe en France, tout en contribuant au développement des relations franco-russes. Le complexe de quatre bâtiments, installé sur l’ancien site parisien de Météo France, occupe désormais un terrain de plus de 4 000 m2. Il abrite notamment une librairie, une salle d’exposition ou encore une école bilingue franco-russe et la cathédrale orthodoxe de la Sainte- Trinité, surmontée de ses cinq bulbes dorés.
Concert de Noël à Roscoff – Chants de la Sainte Russie
« Chantres Orthodoxes Russes »
Samedi 14 décembre 2019 à 20h30
Église Notre-Dame de Croaz-Batz de Roscoff,
29680 Roscoff
L’ensemble vocal masculin « Chantres Orthodoxes Russes », composé de 11 choristes Placé sous la direction de Serge N. Rehbinder, maître de chapelle en l’église orthodoxe russe de Saint Séraphim de Sarov à Paris, le chœur d’hommes « Chantres Orthodoxes Russes » est composé de chanteurs professionnels et amateurs qui ont fait leur classe dans de grands chœurs en Russie et en France. Parmi ces chœurs, on peut citer ceux de la laure de la Trinité Saint-Serge près de Moscou dirigé par l’archimandrite Matthieu Mormyl, de la cathédrale orthodoxe Saint-Alexandre Nevsky à Paris sous la direction de Basile Evetz puis d’Alexandre Kedroff, de l’institut Saint-Serge sous la direction de Nicolas Ossorguine, et enfin celui de la cathédrale de la Sainte-Trinité sur le quai Branly à Paris sous la direction de Marina Politova.
Depuis leur création en 2013, les « Chantres Orthodoxes Russes » se consacrent au répertoire liturgique russe et plus particulièrement aux œuvres des grands centres spirituels comme le monastère des grottes de Kiev, et plus particulièrement la laure de la Trinité Saint-Serge non loin de Moscou.
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Fondée au début du XVIème siècle à l’initiative de riches marchands et armateurs, sur le site de Croas-Batz (croix de l’île de Batz), l’église fut consacrée en 1550. C’était encore le style gothique qui prédominait dans notre région à cette époque. Nous trouverons le style renaissance dans le clocher qui fut bâti à partir de 1550 et terminé en 1576.
Nous vous invitons à participer aux cérémonies, anniversaires de l’attentat terroriste contre les 1125 enfants de Beslan, et d’hommages aux victimes du même terrorisme islamiste de Paris et Nice.
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17h Cathédrale de la Sainte Trinité: Office religieux “Mémoire Éternelle” , pour les disparus de Beslan et pour les victimes des attentats de Paris et de Nice
(Père Ioan Dimitrov et chœurs de la liturgie orthodoxe, dirigés par Michel Grabar)
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18 H Amphithéâtre du Centre Culturel: cérémonies civiles :
Hommages à toutes les victimes du même terrorisme islamiste Beslan Paris Nice. Témoignage du Doct Rochal, négociateur
19 H Dialogues avec les intervenants et verres de l’amitié.
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Pour faciliter les préparatifs et la logistique, confirmer votre
présence auprès de la seule association habilité dont le Président
est Henri-Paul Falavigna
contact@enfantsdebeslan.fr
Créée en septembre 2004, à l’appel de la Croix Rouge Internationale à Genève.
Ivan Artiomovitch Kuleff (1893-1987), peintre peu connu de l’émigration russe, contemporain de Chaïm Soutine et de Marc Chagall. Né à Rostov-sur-le-Don, il finira ses jours à Montmorency, près de Paris.
Après des études aux Beaux-Arts de Saint-Pétersbourg auprès du portraitiste Valentin Serov (1865-1911) (Portrait du Tsar Nicolas II de 1900, La Jeune Fille aux pêches de 1887) et de Constantin Korovine (1861-1939) (Portrait Ivan Morozov de 1903, Grands Boulevard près de Bastillede 1930), Ivan Kuleff entreprend un voyage à travers Constantinople, Croatie et la Macédoine. De 1914 à 1917, il servit dans l’ armée sur le front turc . Après l’ armée , il a vécu en Croatie pendant deux ans .
Artiste mystérieux et mystique, ses tableaux sont imprégnés de piété et d’ataraxie. Par les couleurs argentées : du bleu, du vert, des touches de rouges et l’orangé, les peintures sont apaisantes, méditatives et poétiques.
Il rejoignit Paris fin 1920, au cours e ce voyage se toiles disparaissent dans un accident ferroviaire, le même malheur eut lieu lors de la seconde guerre mondiale, ses toiles devaient être exposées à Bruxelles, une bombe tomba sur le wagon!
Heureusement pour lui, l’après guerre lui fut plus favorable, expositions à Bruxelles, La Haye, en 1948 il y eut une analyse élogieuse de ses œuvres par G. Morel à Meudon, puis à Florence il présente deux œuvres majeures, illustration à la tempera de la Divine Comédie de Dante et celles du Livre de Job à l’encre de Chine. Il exposa régulièrement aux grands Salons parisiens (salon d’Automne, salon des Indépendants …).
Au début des années 1930, il entra dans la société “Icon”, il étudia la peinture d’icônes auprès du vieux croyant P. M. Sofronov. Plus tard, il participa aux expositions de la société et dirigea les cours de dessin du département d’iconographie du mouvement étudiant chrétien russe (depuis 1931). En collaboration avec le moine Gregory (Cercle), il a conçu et interprété l’icône vivante de St. Andrei Roublev et de la cathédrale des Saints peintre d’icônes russes. Il a écrit des icônes pour l’Église de la Présentation de la Très Sainte Mère de Dieu, rue Olivier de Serres à Paris où il fut également professeur de dessin.
En 1967, il participe à l’exposition d’icônes modernes de l’École de Paris, programmée pour le 40e anniversaire de la fondation de la Icon Society.
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Un catalogue bilingue, richement illustré, permet d’approfondir la connaissance que l’on peut avoir en 2019 de ce peintre, un génie resté humble.
Nocturne le 15 février sera animée par des conférences de spécialistes, à partir de 19h : “Les Russes blancs dans les Balkans”, par A. Jevakhoff. “Les Vieux-croyants et la diffusion de l’art russe”, par G. Aslanoff. “Les peintres émigrés russes et le marché de l’art”, par M. Charron.
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Centre Culturel et Spirituel Orthodoxe Russe
1 quai Branly – 75007 Paris.
tel: +337 67 09 81 01
Ouvert tous les jours sauf le lundi de 11h à 13h et de 14h à 18h
RER : Pont de l’Alma – Musée du quai Branly
Métro : Alma – Marceau, ligne 9
Bus : 42, 63, 72, 80, 92.
Commentaires fermés sur Exposition Ivan Kuleff au CSCOR Paris
La Chorale Synodale de Moscou (direction artistique et musicale de Alexei Puzakov) se produira à l’occasion de deux concerts au Centre Culturel et Spirituel sur le thème “la musique spirituelle russe à travers cinq siècles. Rétrospective du chant ecclésial russe des XV°-XXI° siècles”
Le programme musical de ces concerts qui entreront dans le cadre des journées de la culture spirituelle russe en France sera construit autour de compositions de Sviridov, Degtiarev, Tchaïkovsky, Arkhanguelsky, Kastalsky, Bortniansky et du métropolite de Volokolamsk Hilarion. Entrée libre.
Au vernissage de l’exposition étaient présents le ministre de la culture russe Vladimir Medinsky, l’ambassadeur de Russie Alexandre Orlov, l’évêque de Chersonèse Nestor, le directeur du Centre des sciences et de la culture à Paris E. Solotsinskaia, le directeur de l’atelier « Prikosnoviéniè » N. Gorkovenko, et d’autres personnalités officielles.
Le ministre de la culture russe Vladimir Medinsky, l’ambassadeur de Russie Alexandre Orlov, l’évêque de Chersonèse Nestor.
Le ministre de la culture russe Vladimir Medinsky lors de l’inauguration.
Les icônes artisanales de l’atelier « Prikosnoviéniè », sont réalisées avec l’ancienne technique de broderie des icônes avec des pierres précieuses, des perles et les plus petits tubes en verre.
Archange
La broderie faciale a longtemps été utilisée pour créer des images saintes, mais ce type de couture ne se réfère pas à l’art appliqué, mais à l’un des types d’iconographie, appelée peinture à l’aiguille.
Détails visage de la Vierge
Le renouveau de la tradition de la broderie du visage, en technique de mosaïque spéciale, avec les plus petites perles a été l’objectif de l’atelier depuis sa fondation.
Archanges entourant une Vierge à l’Enfant et le Christ.
Durant ces 12 dernières années l’atelier à recréé et développé les anciennes techniques d’aiguille, d’artisanat de la broderie et la décoration des sainte images de la religion chrétienne.
Les plastiques ne sont jamais utilisés, uniquement des matériaux naturels: perles, pierres précieuses et ornementales, cristal, etc … Parfois il faut des mois pour rechercher une teinte spécifique. Les tissus sont soigneusement choisis, ainsi que les fils des broderies.
Vierge Marie
Depuis sa création, l’atelier a réalisé plus de 700 icônes, dont certaines ont été offertes aux églises et monastères en Russie, en République tchèque, Allemagne, États-Unis, au Mont Athos, en Angleterre et ailleurs. Une icône fut offerte à l’évêque de Chersonèse Nestor, lors du vernissage de l’exposition.
St Nicolas
Cette exposition a déjà été présentée à la cathédrale du Christ Sauveur à Moscou en 2012, de la Trinité Saint-Serge, à la Basilique Saint-Nicolas à Bari (Italie), au Palazzo Visconti à Milan (Italie), etc…
Une brodeuse à l’ouvrage dans l’atelier .
ACCÉS GRATUIT
Centre Culturel et Spirituel Russe de Paris 1 quai Branly, 75007 Paris
Métro: Alma Marceau,
RER: Alma Marceau
Commentaires fermés sur exposition de peinture à l’aiguille
A l’occasion du tricentenaire de la visite du tsar en France
Paris — Reims,
20–22 avril 2017
ITINERAIRES EUROPEENS DE PIERRE LE GRAND (1701–1717)
Visite de Pierre Ier à Louis XV, le 11 mai 1717. Gravure française du calendrier de 1718
2017 est l’année du tricentenaire du Second grand voyage européen de Pierre Ier durant lequel il a visité les terres allemandes, le Danemark, les Pays-Bas, la France. Ce périple couronne toute une série de déplacements du monarque russe à travers l’Europe. Le 21 avril 1717, Pierre Ier a franchi la frontière de la France et seize jours plus tard, il est arrivé à Paris. Ce séjour de presque deux mois est devenu un événement central du Second voyage du tsar. Cette visite a jeté les bases des relations diplomatiques officielles entre la France et la Russie. Le Second voyage de Pierre Ier en Europe occidentale (1716–1717) est un événement marquant aussi bien pour l’histoire russe que pour l’histoire européenne. Il a joué un rôle décisif dans l’achèvement de la guerre du Nord et le réglement des questions politico-militaires en Europe.
PLANNING DU CONGRÉS
Mercredi 19 avril :
19h00 – 21h00 Cocktail-apéritif offert aux participants par le Laboratoire Eur’ORBEM (CNRS-Paris-Sorbonne) Café-brasserie « Les Facultés » (110, rue d’ Assas, Paris, 6°, m. Vavin, RER Luxembourg).
Jeudi 20 avril:
8:45 Départ par autocar de l’hôtel « Ibis Paris Tour Eiffel »
9h00 – 10h00 Centre spirituel et culturel orthodoxe russe (1, quai Branly, Paris 7° ) Accueil, inscription des participants,
10h00 – 11h00 Ouverture du Congrès
Présidents: Aleksandre Orlov Ambassadeur de la Fédération de Russie en France, Alla Manilova Vice-Ministre de la Culture de la Fédération de Russie, Aleksandra Kobak Directeur de la Fondation Dmitri Lihachev, Directeur de l’Institut Pierre le Grand. Allocutions de bienvenue de la part du Ministère de la culture de la Fédération de Russie, de l’Ambassade de la Fédération de Russie en France, des invités d’honneur français et russes.
11H00 – 12H00 Exposés pléniers
Evgeni ANISSIMOV (Saint-Pétersbourg) Directeur scientifique de l’Institut Pierre le Grand, directeur de recherche de l’Institut d’histoire de l’Académie des sciences de Russie à SaintPétersbourg, professeur d’histoire de l’Université nationale de recherche « École des hautes études en économie »: Les voyages européens de Pierre Ier: 1701–1717. Chronique, pays, objectifs. Dmitri GOUZÉVITCH (Paris) Collaborateur du Centre d’études des mondes russe, caucasien et est-européen, École des hautes études en sciences sociales (CERCEC, CNRS-EHESS): Le souverain voyageur, ou en quête d’habits impériaux.
12h00 – 12h30 Remise du drapeau du programme « La voie de Pierre le Grand » aux villes pétroviennes
12h30 – 13h30 Inauguration de l’exposition « Un tsar à Paris » du 20 avril au 21 mai.
Les organisateurs de l’exposition l’ Ambassade de la Russie et le Musée d’ Etat « Peterhof », pièces provenant de collections privées en France et associée à la personnalité et le mode de vie Petra Velikogo. Comprenant: des bagues, des médaillons, des tabatières et d’ autres choses avec l’image de l’empereur; gravures, portraits, aquarelles, lettres, mémoires de l’époque de Pierre, etc.
13h30 – 15h00 Déjeuner
15h00 – 16h00 Exposés pléniers
Présentation des nouvelles parutions sur le Second voyage de Pierre le Grand
Présidents: Elena Kalnitskaja (Saint-Pétersbourg) Directeur général du Musée-réserve d’État « Peterhof », Georgi Vilinbahov (Saint-Pétersbourg) Directeur-adjoint du Musée de l’Ermitage, Sergei MEZINE (Saratov) Professeur, Directeur du département d’histoire de Russie et d’archéologie de l’Université d’État N.G. Tchernychevski de Saratov:Un voyage extraordinaire: Principaux problèmes d’étude de la visite de Pierre Ier en FranceMichael SCHIPPAN (Berlin) Collaborateur de Herzog August Bibliothek Wolfenbüttel :Voyages de Pierre Ier dans les terres allemandes en 1716–1717. Ludmila MARKINA (Moscou) Conservatrice du département de la peinture du XVIIIe – première moitié du XIXe siècle de la Galerie d’État Tretiakov: Le tsar russe vu par les Français: Les portraits de Pierre Ier dans les collections d’art en Russie et en France
16h-17h: Présentation des nouvelles parutions sur le Second voyage de Pierre le Grand
Présidents: Dmitri Gouzévitch (Paris) Collaborateur du Centre d’études des mondes russe, caucasien et est-européen, École des hautes études en sciences sociales (CERCEC, CNRS-EHESS, Paris), Oleg Leikind (Saint-Pétersbourg) Directeur adjoint de la Fondation Dmitri Likhachev Sergei Mezine. Pierre Ier en France(Saint-Pétersbourg, 2017), en russe. Versailles et Marly: Les jardins de Louis XIV. Les albums offerts par le duc d’Antin à Pierre Ier en 1717 (Saint-Pétersbourg, 2017), en russe. Hans Bagger. Peter den Store i Danmark 1716. Et vendepunkt i de dansk-russiske relationer (Saint-Pétersbourg, 2017), en russe. Emmanuel Waegemans: Le tsar en République: le Second voyage de Pierre le Grand aux Pays-Bas (1716–1717) (Saint-Pétersbourg, 2017), en russe .Les Français en Russie à l’époque de Pierre le Grand. Dictionnaire biographique des spécialistes francophones dans la société russe de 1682 à 1727 (Saint-Pétersbourg, 2017).
17h00 Départ par autocar du Centre pour l’hôtel
19h00 Départ par autocar de l’hôtel pour la Résidence de l’Ambassadeur de la Fédération de Russie 19h30 Réception à l’occasion de l’ouverture du Congrès pétrovien à la Résidence de l’Ambassadeur de la Fédération de Russie (79, rue de Grenelle)
22h00 Départ par autocar de la Résidence de l’Ambassadeur de la Fédération de Russie pour l’hôtel
Vendredi 21 avril:
9h00 Départ par autocar de l’hôtel
9h30 – 11h30 Centre spirituel et culturel orthodoxe russe Salle de conférences Salle de cours Sessions
Arts et Architecture Salle de conférences
Présidents: André Grelon (Paris) Directeur d’études de l’École des hautes études en sciences sociales, Centre Maurice Halbwachs (ENS-CNRS-EHESS), Youlia Klimenko (Moscou) Professeur du département d’histoire de l’architecture et de l’urbanisme de l’École d’architecture de Moscou. Sergueï GORBATENKO (Saint-Pétersbourg) Vice-président du Comité régional de l’ICOMOS (Russie): La géographie des voyages de Pierre Ier et les formes de l’architecture européenne à Saint-Pétersbourg. Boris SOKOLOV (Moscou) Professeur du département de théorie et d’histoire de l’art de la faculté d’histoire de l’art de l’Université d’État des sciences humaines: L’héritage d’André Le Nôtre et le voyage français de Pierre Ier.Pavel PETROV (Saint-Pétersbourg) Responsable du département des recherches muséographiques du Musée-réserve d’État « Peterhof »: Pierre Ier et la résidence royale de Marly-le-Roi: Contribution à l’histoire de la construction du palais et de la cascade de Marly à Peterhof.Sergei KLIMENKO (Moscou) Youlia KLIMENKO (Moscou) Professeurs du département d’histoire de l’architecture et de l’urbanisme de l’École d’architecture de Moscou: Modèle urbaniste français comme base du plan prospectif de Saint-Pétersbourg présenté par Jean-Baptiste Le Blond en 1717.
Tables rondes.
Nouvelles sources pour l’histoire des voyages europeens de Pierre Ier (Salle de cours)
Présidents: Dmitri Gouzévitch (Paris) Collaborateur du Centre d’études des mondes russe, caucasien et est-européen, École des hautes études en sciences sociales (CERCEC, CNRS-EHESS). Liliane Hilaire-Pérez (Paris) Professeur à l’université Paris Diderot – Paris 7, directrice d’études à l’École des hautes études en sciences sociales. Tatiana LAPTEVA (Moscou) Adjointe au chef du département des Archives d’État russes des actes anciens A la veille de la visite de Pierre Ier en France: Correspondance entre J. Lefort et K.N. Zotov.Sergueï ISKUL (Saint-Pétersbourg) Directeur de recherche de l’Institut d’histoire de l’Académie des sciences de Russie à Saint-Pétersbourg: Les voyages européens de Pierre Ier à travers les « Lettres et papiers » inédits des années 1716–1717. Maria NIKOLAEVA (Moscou) Directrice de recherche de l’Institut des hautes études en théorie et histoire des arts figuratifs, directrice de recherche de l’Institut des hautes études en théorie et histoire de l’urbanisme: Journaux des recettes et dépenses comme source d’étude du Second voyage européen de Pierre Ier.Sylvie ARCHAIMBAULT (Paris) Directrice de recherche, Centre national de la recherche scientifique (Eur’ORBEM CNRS-Paris-Sorbonne): Témoignages du duc d’Antin sur la visite de Pierre Premier.Natalia BOLOTINA (Moscou) Maître de conférences de l’Académie de l’économie nationale auprès du Président de la Fédération de Russie, conservateur en chef des Archives d’état russes des actes anciens: Tsarine et épouse: Catherine Alekseevna dans le Second voyage européen de Pierre Ier.Nataliya KARDANOVA (Bologne) Maître de conférences en langue russe de l’Université de Bologne, École des langues et littératures, de la traduction écrite et orale (Forli): Circuits italiens du message diplomatique de Pierre Ier: lettres du tsar envoyées à Venise et à Florence. Alekseï YASTREBOV (Venise) Archiprêtre, supérieur de la paroisse des Saintes femmes myrophores du Patriarcat de Moscou à Venise: « Pour qu’en les observant aussi bien leurs autres frères Arméniens et marchands d’autres peuples aient envie d’envoyer leurs négociants à travers nos terres en Perse ». Lettre de Pierre Ier à Piter Abro (1717)
11h30 – 12h00 Pause-café
12h00 – 14h00 Sessions
Arts et Architecture (Suite) Salle de conférences
Présidentes: Evgeni Anissimov (Saint-Pétersbourg) Directeur scientifique de l’Institut Pierre le Grand, directeur de recherche de l’Institut d’histoire de l’Académie des sciences de Russie à Saint-Pétersbourg, professeur d’histoire de l’Université nationale de recherche « École des hautes études en économie », Sylvie Archaimbault (Paris) Directrice de recherche, Centre national de la recherche scientifique (Eur’ORBEM CNRS/Paris-Sorbonne). Olga AGEEVA (Moscou) Directrice de recherche de l’Institut d’histoire russe de l’Académie des sciences de Russie: L’institution de la mission russe en France au début du XVIIIe siècle et ses activités culturelles (d’après les rapports des représentants russes à Paris).Tatiana LEKHOVITCH (Saint-Pétersbourg) Chargée de recherche, conservatrice de la collection de tissus et de tapisseries du Musée d’Ermitage « Le travail de tapisserie y est bien fameux »: La visite de Pierre Ier à la Manufacture royale des Gobelins et l’industrie textile russe après mai 1717.Ekaterina ANDREEVA (Saint-Pétersbourg) Chargée de recherche du département « Palais Menchikov » du Musée de l’Ermitage Le Second voyage européen de Pierre Ier, l’organisation de la production des faïences en Russie et le secret de la porcelaine européenne. Aleksandre BELOUSSOV (Saint-Pétersbourg) Expert en recherches muséographiques du Musée-réserve d’État « Peterhof »: Nouveau regard sur les dessins de Pierre Ier concernant la planification de Peterhof.
Diplomatie sur fonds de guerre inachevée Salle de cours
Présidents: Sergueï Mezine (Saratov) Professeur, Directeur du département d’histoire de Russie et d’archéologie de l’Université d’État N.G. Tchernychevskij de Saratov, Armelle Le Goff (Paris) Conservateur général du patrimoine (h), Archives nationales (France). Youri AKIMOV (Saint-Pétersbourg) Professeur de l’Université d’État de Saint-Pétersbourg: La visite de Pierre Ier à Paris et la politique européenne de l’époque: Analyse systémique. Viktor ZAKHAROV (Moscou) Directeur-adjoint pour la recherche de l’Institut d’histoire russe de l’Académie des sciences de Russie: Problèmes du commerce extérieur abordés pendant le voyage de Pierre Ier en Europe en 1716–1717.Anthony CROSS (Cambridge, Grande-Bretagne) Professeur émérite de l’Université de Cambridge: Un regard d’outre-Manche: Le séjour de Pierre Ier à Paris dans le contexte des relations anglo-russes. Mikhaïl TALALAÏ (Milan) Représentant de l’Institut d’histoire universelle de l’Académie des sciences de Russie en Italie, chargé de recherche: Le facteur catholique dans la politique extérieure de Pierre Ier et son voyage en France.Iskra SCHWARCZ (Vienne) Professeur de l’Institut d’histoire d’Europe de l’Est de l’Université de Vienne: Alexeï, héritier du trône de Russie dans la partie de patience parisienne du tsar.
14h00 – 15h00 Déjeuner
15h00 – 18h00 Sessions
Petits voyages européens de Pierre Ier Salle de conférences
Présidentes: Irina Gouzévitch (Paris) Collaboratrice du Centre Maurice Halbwachs, École des hautes études en sciences sociales (ENS-CNRS-EHESS), Iskra Schwarcz (Vienne) Professeur de l’Institut d’histoire d’Europe de l’Est de l’Université de Vienne. Valeri STEPANOV (Moscou) Ditecteur de recherche de l’Institut de l’économie de l’Académie des sciences de Russie: Pierre Ier visitant les stations thermales en Europe: depuis Baden bei Wien en 1698 jusqu’au séjour à Spa en juin–juillet 1717.Ekaterina BOLTOUNOVA (Moscou) Maître de conférences de l’Université de recherche nationale « Ecole des hautes études en économie », responsable du programme de master « Histoire culturelle et intellectuelle: entre Est et Ouest »: Pierre Ier contre Sigismond III: Les voyages du tsar en Pologne en 1700–1710. Sergueï IVANIOUK (Volgograd) Adjoint du chef de département du Musée-réserve historique et commémoratif d’État « Bataille de Stalingrad » « L’inaction trompeuse » — le séjour de Pierre le Grand à Jolkva (décembre 1706 – avril 1707). Natalia ANDREEVA (Saint-Pétersbourg) Chargée de recherche de la Bibliothèque de l’Académie des sciences de Russie: L’achèvement du voyage européen de Pierre Ier en 1711: La visite en Estlande.Vadim ARISTOV (Kingisepp, Budapest) Président de la Société historique de Yambourg-Kingisepp: Le voyage de Pierre Ier de 1711: Le facteur hongrois dans les relations diplomatiques de la Russie avec la France. Viktoria PYSAREVA (Dresde) Chargée de recherche de la Salle d’Armes de Dresde (Rüstkammer, Dresden): Une semaine à Torgau. Pierre Ier au mariage du tsarevitch Alexeï en octobre 1711.Andreï IVANOV (Wisconsin, USA) Professeur attaché à la faculté d’histoire de l’Université de Wisconsin, chargé de recherche du Centre d’études de Russie, d’Europe de l’Est et de l’Asie centrale, Madison, Wisconsin: La rencontre sur l’Elbe: Pierre Ier et Anton Ulrich, 1711–1713
Sciences et étude des territoires Salle de cours
Présidents: Alexandre Lavrov (Paris) Professeur, Université Paris-Sorbonne (Eur’ORBEM CNRS/Paris-Sorbonne), Antoni Roca-Rosell (Barcelone) Professeur de l’Universitat Politècnica de Catalunya. Dmitri BAYUK (Moscou) Directeur de recherche de l’Institut d’histoire des sciences et des techniques de l’Académie des sciences de Russie, rédacteur en chef de la revue « Problèmes d’histoire des sciences et des techniques » La rencontre de Pierre Ier avec Guillaume Delisle à Paris et la participation des jésuites à la cartographie de l’Extrême Orient.Galina SMAGINA (Saint-Pétersbourg) Directrice de recherche, Institut des sciences et des techniques de l’Académie des sciences de Russie (antenne de Saint-Pétersbourg): Des voyages européens de Pierre Ier aux voyages russes des Européens: L’exploration scientifique de la Russie avant la création de l’Académie des sciences à Saint-Pétersbourg. Ogulbibi AMANNIYAZOVA-MARIAS (Paris) Chercheuse indépendante: La carte de la mer Caspienne commandée par Pierre le Grand. Christiane DEMEULENAERE-DOUYÈRE (Paris) Conservateur général du patrimoine (h), membre correspondant du Centre Alexandre Koyré (CNRS-EHESS-MNHN): L’Enquête du Régent en France (1716–1718). Source d’inspiration pour le gouvernement de Pierre le Grand?Mikhaïl LEPEKHINE (Saint-Pétersbourg) Chargé de recherche de la Bibliothèque de l’Académie des sciences de Russie: La création de la Bibliothèque de l’Académie des sciences au prisme de la visite de Pierre Ier en France.Maria Rosa MASSA-ESTEVE (Barcelone) Collaboratrice du Centre de Recerca per a la Història de la Tècnica, Departament de Matemàtiques, Universitat Politècnica de CatalunyaBarcelona: Les rencontres de Pierre le Grand avec Leibniz en 1711, 1712 et 1716.
Samedi 22 avril
8h00 Départ par autocars de l’hôtel pour Reims
10h00 – 12h30 Excursion, visite de la cathédrale de Reims Visite des caves de la Maison de Champagne Taittinger
12h30 – 13h30 Mairie de Reims Réception offerte aux participants du Congrès
13h30 – 15h00 Hôtel des comtes de Champagne Déjeuner
15h00 – 18h00 Hôtel des Comtes de Champagne Session « Cuisine, vin et vie quotidienne de l’époque pétrovienne »
Présidentes: Irina Gouzevitch (Paris) Collaboratrice du Centre Maurice Halbwachs, École des hautes études en sciences sociales (ENS-CNRS-EHESS), Natalia Marzoeva (Paris) Fondatrice du festival « Les Saisons de la Gastronomie Franco-Russe ». Patrick DEMOUY (Reims) Professeur de l’Université de Reims, UFR des Lettres et sciences humaines, Département d’histoire: Pierre Ier à Reims . David ALLAN (Paris) Spécialiste en orfèvrerie française: L’art de la table française et la Russie : Pierre le Grand et le début d’un échange gastronomique. Inna TARASSOVA (Saint-Pétersbourg) Responsable de la section des arts décoratifs appliqués du Département d’histoire de la culture russe du Musée de l’Ermitage, conservatrice de la collection « Garderobe de Pierre Ier »: « Assemblée est le mot Français »: Costume, table et musique à la Cour russe (1717–1725). Irina GOUZEVITCH (Paris) Collaboratrice du Centre Maurice Halbwachs, École des hautes études en sciences sociales (ENS-CNRS-EHESS): Choc culinaire, ou ce que les Russes ont mangé et bu en Europe à l’époque pétrovienne. Alekseï KRAÏKOVSKI (Saint-Pétersbourg) Maître de conférences de la faculté d’histoire de l’Université européenne à Saint-Pétersbourg: Les « Ousters » pour notre mer. Impressions de voyages à l’étranger et projets d’européaniser la consommation du poisson et des fruits de mer en Empire russe au XVIIIe siècle.Roksana REBROVA (Saint-Pétersbourg) Chargée de recherche du Secteur d’archéologie architecturale du Musée de l’Ermitage: Qui a apporté le vin de Bourgogne Hermitage à l’Ermitage?David COBBOLD (Paris) Journaliste, expert en vins, fondateur et directeur de la société « Connaître et Apprécier »: L’amour de la Russie pour les vins de France, de Cahors à la Champagne.
18h30 Départ par autocars pour Paris
Dimanche 23 avril
10h00 – 13h00 Tour thématique en autocar « Le Paris de Pierre le Grand » Départ par autocars de l’hôtel.
A voir également “Tsar Pierre le Grand à Paris”
Exposition du 30 mai au 24 septembre 2017
au Grand Trianon à Versailles (article sur le site bientôt)
la “Cathédrale” russe Sainte-Trinité, quai Branly à Paris, dimanche 4 décembre 2016
Sa Sainteté le patriarche de Moscou et de toute la Russie Kirill (Vladimir Mikhaïlovitch Gundyaev) est né le 20 novembre 1946 à Léningrad, il a été ordonné prêtre en 1969, nommé archevèque de Smolensk et de Kaliningrad de 1989 à 2009, il est Président du département des relations extérieures du Patriarcat de Moscou. En 2006 il rencontre au Vatican Benoît XVI, au décés du patriarche Alexis II il est élu pour lui succéder Patriarche sous le nom de Kirill Ier, devenant ainsi le seizième patriarche de l’Église orthodoxe russe, dont le siège est à Moscou.En plus de sa charge patriarcale, il est coprésident de la Conférence mondiale des religions pour la paix (depuis 26) et membre de la commission russe des relations entre l’État et les Organisations religieuses.
Symbole d’un retour spectaculaire sur le devant de la scène russe et mondiale de l’orthodoxie, le patriarche de Moscou Kirill vient spécialement à Paris pour sanctifier et consacrer la cathédrale de la Sainte-Trinité et le centre culturel russe du quai Branly à Paris.
Le patriarche de Moscou Kirill a consacré dimanche, à l’occasion de sa première visite en France en qualité de patriarche, la cathédrale du nouveau Centre spirituel et culturel orthodoxe russe, inauguré en octobre quai Branly à Paris, lors d’une liturgie exceptionnelle.
Visite par le patriarche Kirill des lieux samedi en présence de monsieur Orlov ambassadeur de Russie en France et de Monseigneur Nestor.
La cathédrale coiffée des cinq dômes dorés, le plus grand représentant le Christ, les quatre autres les évangélistes, caractéristiques de l’architecture religieuse russe, la nouvelle église Sainte-Trinité fait partie du vaste ensemble comprenant le “centre spirituel et culturel orthodoxe russe” inauguré le 19 octobre.
Projet de décoration de l’altar (portes royales)
Plus de renseignements sur la cathédrale orthodoxe russe (CLIQUEZ)
Tout est prêt pour dimanche !
La chaîne française de télévision KTO a retransmis la cérémonie le dimanche 4 décembre
Sa Sainteté Cyrille, Patriarche de Moscou et de toute la Russie, a effectué les rites de sanctification et de consécration de la nouvelle cathédrale orthodoxe russe à Paris, la “cathédrale Sainte-Trinité”, en présence des autorités relieuges catholiques, protestantes …., des membres de l’ambassade, monsieur A. Orlov ambassadeur de la Fédération de Russie en France, de madame Medvedeva, épouse du premier ministre russe, de la maire de Paris, de la secrétaire permanente de l’Académie française Hélène Carrère d’Encausse, ……
De certaines personnalités des russes blancs vivants en France, citons le prince et la princesse Mourousy, le prince A. Troubetzkoïe, le comte Cheremetiev, quelques artistes comme Mireille Mathieu, Robert Hossein… .
A la fin de la liturgie, le Patriarche Cyrille remis des décorations patriarcales aux instances ayant aidé à construire la cathédrale, il offrit une icône représentant la Vierge Marie provenant du Mont Athos pour le sanctuaire. Mgr Nestor Sirotenko, évêque de Chersonèse, en charge des communautés du patriarcat de Moscou de l’Eglise orthodoxe russe en France, Suisse, Espagne et Portugal, prit la parole et a offert une icône de Sainte Geneviève, patronne de Paris pour remercier la présence de Sa Sainteté.
Discours pastoral de Sa Sainteté le patriarche Kirill.
Voir la cérémonie complète diffusée sur KTOTV dimanche 4 décembre 2016 (CLIQUEZ)
ARCHITECTURE PASSIONS 40 années de création de WILMOTTE & ASSOCIÉS 17 septembre 27 novembre,
Espace Richaud à Versailles
Avec la réalisation du
Centre Spirituel et Culturel Orthodoxe Russe
Pour la première fois en France, du 17 septembre au 27 novembre 2016, une exposition est consacrée à l’agence d’architecture Wilmotte & Associés et au studio de design Wilmotte & Industrie. Sur 1000 m² et trois niveaux, dans une chapelle du XVIIIe siècle réhabilitée au cœur de Versailles, seront présentés les projets emblématiques de l’agence, qui en mène actuellement plus de 100 dans 27 pays : stades, tours, musées, chais, design, projets urbains, etc. Et en exclusivité, le Centre Spirituel et Culturel Orthodoxe Russe et la halle Freyssinet, rebaptisée Station F, qui seront respectivement inaugurés au mois d’octobre 2016 et au mois de janvier 2017. L’exposition offre une opportunité unique de découvrir les activités de l’agence et de ses 230 collaborateurs, illustrée par une sélection de croquis et de maquettes ainsi que les initiatives de la Fondation d’entreprise Wilmotte.
L’Etat a vendu le bâtiment du siège de Météo France à la Fédération de Russie.
Le communiqué de presse, publié sur le site officiel du ministère du budjet français, précise « qu’à l’issue de cet appel d’offres, l’État a retenu la proposition assortie du prix le plus élevé. Celle-ci émane de la Fédération de Russie ». Selon l’édition russe de Newsweek, la Russie a l’intention d’y construire une cathédrale et un centre culturel.
L’ensemble s’étend sur 8 470 m2. Selon l’Agence France presse, le prix de l’acquisition serait supérieur à 60 millions d’euros. Le bâtiment est situé à l’angle du quai Branly et de l’avenue Rapp, dans le VIIe arrondissement.
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