“La Russie blanche l’Exode”, toile de Dmitri Anatolevitch Beliukin,
1992-1994, huile 252 X 440 cm.
Par arrêté municipale, le nombre de visiteurs sera limité à 30 personnes. Pour cette raison, nous vous conseillons de réserver vos places pour les concerts et conférences.
PROGRAMME
Jeudi 22 octobre à 18h
Vernissage : Mot de la présidente Kira Ruchti.
Kira Ruchti, Auteur du livre-album “Les secrets du château d’Arsine”, elle est née à Moscou. Diplômée de l’Institut de génie électronique, elle a travaillé dans l’Organisation Internationale du Travail à Genève, où elle a rencontré son mari, Jean – Marie Ruchti. Elle travaille avec la Maison de l’étranger russe à Moscou, descendante de l’armée, elle connaît bien la vie de l’émigration et les conséquences de la terreur bolchevique. Son arrière-grand-père, général tsariste, héros de la bataille de Brusilov a été exécuté sur le site de Butov, près de Moscou. Par l’intermédiaire de Kira Ruchti des personnes de l’ancienne émigration russe transfèrent leurs archives dans leur pays d’origine afin de restaurer l’histoire et préserver la mémoire de la Russie étrangère.
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ANNULATION
Vendredi 23 octobre à 18h
Film documentaire sur le thème du grand exode russe
d’Yves Riou – 52 m
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Samedi 24 octobre
A 17h : Concert par Mélodies Eternelles. Chansons russes et tsiganes par Igor Dudenkov (direction), Julia Nevski, Kirill Kaladine, Alexandra Dobrokhotova. Photo : Igor Dudenkov.
Depuis des années, Mélodies Eternelles suit fidèlement les événements d’Autour de la Russie. Même si les membres du groupe se renouvellent au fil du temps, Mélodies Eternelles garde toujours le même esprit et compose à chaque événement un programme original qui illustre le thème de l’événement, avec toujours la même recherche de qualité.
Mélodies Eternelles se produit par ailleurs dans des manifestations internationales du Bassin lémanique, en particulier à l’ONUG à Genève.
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Dimanche 25 octobre
A 15h : Conférence d’Elisabeth Golovanow
L’apport des écrivains russes dans la littérature française (XXe et XXIe siècles) : un enrichissement ? Très peu de personnes connaissent l’apport des intellectuels russes dans la culture française… D’où, cette conférence… La conférencière parlera des causes historiques de la présence des écrivains russes en France, elle évoquera aussi des écrivains russes de langue russe et de langue française.
A 16h30 : Après la conférence le chœur Chantons ensemble dirigé par Elisabeth Golovanow interprètera quelques chansons russes d’époque.
Entrée libre
Autour de la Russie. Les bénéfices du buffet et du marché seront intégralement versés aux établissements pour enfants défavorisés en Russie.
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Le bâtiment de l’Office de Tourisme de Divonne-les-Bains a servi de taillerie de diamants, des rubis pour l’horlogeri,e avant de devenir la blanchisserie des Grands Hôtels.
La Blanchisserie Salle de l’Office de Tourisme
4, Rue des Bains
01220 Divonne-les-Bains Tél : +33 66 226 71 32
Vendredi 9 et samedi 10 octobre 2020 : de 10h à 19h30,
le dimanche 11 octobre 2020 : de 10h à 18h30.
Halle aux Grains, 41000 Blois
ENTRÉE GRATUITE
Dédicace de
Par Nicolas de la Bretèche
samedi 10 octobre de 15 h à 16 h
sur le stand ” Macha publishing “,
Hall aux Grains B’ Stand 45
Dans le cadre du 23 ème Festival du Rendez-vous de l’Histoire(CLIQUEZ)
Plus de 200 éditeurs, et un très grand nombre d’auteurs dont plus de 300 en dédicace, un des temps forts des Rendez-vous de l’histoire. L’occasion pour les éditeurs, libraires, instituts de recherche ou sociétés savantes de présenter leurs livres d’histoire et de valoriser leurs auteurs et pour les lecteurs devenus des visiteurs curieux le temps d’un festival, c’est le moyen de rencontrer les écrivains qui font – ou ont fait – l’actualité du livre d’histoire, et de l’histoire dans son sens le plus large.
Plus de renseignements sur l’ouvrage et l’auteur : CLIQUEZ
Version : VOSTF (version originale sous-titres français) Age: +12
Début du Moyen Âge. Le temps des épées lourdes et des lois du sang noir. Le clan au pouvoir est en désaccord. La responsabilité de la mort accidentelle de son frère est tombée sur le Grand-Duc. Selon la loi, son jeune frère, le salaud, doit se venger de lui. Pour avoir refusé de tuer, il paiera avec tout ce qu’il avait, car «la paix exige plus d’épées que la guerre».
A la mort de son père Sviatoslav I, le jeune prince Vladimir de Novgorod, héritier du trône, part en exil à travers la mer glacée pour échapper à son demi-frère le traître Yaroplolik qui n’a pas hésité à assassiner son autre frère Oleg et a conquis le territoire Viking de la Russie Kiévienne. Un vieux guerrier nommé Sveneld convainc le prince de former une armada dans l’espoir de reprendre Novgorod à son frère et de faire face aux troupes byzantines. Le prince Vladimir finit par prendre le pouvoir en Russie et convertit le pays à l’orthodoxie. Le film est inspiré de la Chronique des temps passés, annales du XIIe siècle.
Andreï Iourievitch Kravtchouk (Андрей Юрьевич Кравчук) est un réalisateur et scénaiste russe, né le 13 avril 1962 à Léningrad en URSS. Diplômé avec mention de la Faculté de mathématiques et de mécanique de l’Université d’Etat de Léningrad. Mais ayant rencontré Alexeï German qui lui a proposé de travailler comme assistant réalisateur dans le film d’Efim Gribov “Nous allons en Amérique“. Après le tournage, Andreï Kravtchouk est entré à l’Université de cinéma et de télévision de Saint Pétersbourg dans le cours de Semiyon Aranovitch, après quoi il rentre dans le studio Lenfilm.
Il a commencé comme auteur et scénaristes de courts métrage et de documentaire , il a l’opportunité de créer une image artistique de la vie autour de lui. Lorsque, au début des années 2000, en l’honneur du 85e anniversaire de Lenfilm, a commencé la création du cycle Réalisateur: Profession et Destin, l’étudiant a filmé le film de 38 minutes «Semyon Aranovich. La dernière image. “
La biographie de Kravtchouk a commencé en 2005, lorsqu’il a présenté le long métrage “L’Italien“, qui a fait vibrer ses collègues et a été nominé pour un Oscar dans la nomination “Meilleur film étranger”. Ensuite, il réalisa “Admiral”, qui a été dans les cinq films les plus rentables du cinéma russe moderne. Ce film a remporté la deuxième place au box-office en 2008 et a reçu de nombreux de prix, dont le prestigieux Golden Eagle Award.
Depuis 2013, le réalisateur travaille sur la saga historique Viking, qui raconte les actes du prince Vladimir Sviatoslavitch. La photo a été publiée en décembre 2016. Le film est basé sur le fameux “Contes des années passées“, que nous avons tous vécu à l’école. Andreï déclare qu’il n’avait pas pour objectif de recréer toutes les étapes de la vie du prince Vladimir avec une précision de 100%. Seuls les faits historique ont été pris, et l’équipe de tournage a créé une œuvre de fiction distincte.
Membre de la Guilde des Cinéastes, Académicien de l’Académie Russe des Arts Cinématographiques “Nika”
Lecture et dédicace à l’occasion de la sortie du “PETIT RENNE”
bilingue mongol-français
avec Khishig-Erdene GONCHIG
(traductrice)
& Anar DAMDIN (lectrice)
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à 10h30
Atelier LA LANGUE MONGOLE
présentation de la langue, lexique, dictons
par Khishig-Erdene GONCHIG.
Participation 7€ pour l’atelier de langue
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La participation comprend un thé et des petits gâteaux offerts.
L’atelier sera suivi de la lecture en français et en mongol d’un livre pour enfant traduit aux éditions Borealia par l’intervenante.
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Khishig-Erdene GONCHIG diplômée de l’École des relations internationales auprès de l’Université nationale de Mongolie et de l’Université de Rouen. Dotée d’une grande expérience dans les secteurs du tourisme et de l’éducation, elle est aujourd’hui porteuse de nombreux projets culturels et éducatifs au profit de l’ONG « Erdem Uram San » qui soutient depuis 2011 l’éducation et la santé dans des communes rurales de Mongolie. Elle a traduit notamment une vingtaine de contes mongols pour enfants. Son dernier grand ouvrage – L’Histoire secrète des Mongols, dans une version illustrée et adaptée au grand public francophone à partir de 10 ans – est un chef-d’œuvre de la littérature mongole dévoilant comment un seul homme a réussi à réunir sous sa bannière tant de cultures et de civilisations pour bâtir l’histoire de l’Empire mongol.
Alexandre Beridze est né le 31 juillet 1975, en Russie. En 1996, il est diplômé de l’Académie des Beaux-Arts de Tbilissi (Géorgie).
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Son grand-père, Feodor Kholvenkov était lui-même peintre et Alexandre Beridze a suivi ses traces en faisant ses études aux Beaux-Arts de Tbilissi en Géorgie.
Il débute tout d’abord une carrière en tant que graphiste designer à Paris aux services de la publicité, gardant à l’esprit la devise de Philipe Starck « Less is more ». Alexandre Beridze va côtoyer les plus grandes marques et travailler pour eux comme designer d’intérieur de maisons privées et de boutiques. Il crée ainsi l’identité visuelle de Sonia Rykiel, Kenzo ou encore les Galeries Lafayette, se faisant plus qu’un nom dans la profession, mais devenant un véritable leader de tendances. De Paris à Moscou, il parcourt les pays du monde entier pour répondre aux attentes de ses icônes de la mode.
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Depuis 2005 Alexandre participe aux expositions et aux différentes manifestations artistiques à Paris, Londres, Monaco et Moscou. En 2014 selon «Le Journal du Net», Alexandre fait partie des 10 peintres français sur lesquels il faut miser. Depuis 2013 ses tableaux sont vendus aux ventes de la société Phillips à New York, n°1 de l’art contemporain. Ses œuvres se trouvent dans plusieurs collections privées, notamment celles d’Ivana Trump, Joan Collins et beaucoup d’autres. En 2014 il a reçu le prix Sandro Botticelli qui récompense chaque année un artiste contemporain à Florence.
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Alexandre Beridze exprime par sa peinture ce qu’il éprouve de son monde mental, ce que d’autres tentent d’exprimer par l’écriture. Ce sont des percepts, des impressions immédiates, plutôt que des concepts et des théories. Raison pour laquelle nous pouvons le qualifier de peintre figuratif impressionniste mental, ou bien encore de cartographe de notre esprit, couronné de “roi de l’abstrait” dans le monde de l’art.
Vernissagele jeudi 17 septembre de 18h à 21h
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Galerie Hors-Champs
20 rue des Gravilliers 75003 Paris.
Tél : 06 14 23 78 88
Horaire : du mardi au samedi de 11 h à 19 h, dimanche de 14 h à 19 h
Ensemble formé depuis 2009, sous la direction d’Ekaterina Anapolskaya. Le noyau en est constitué par la chorale paroissiale de l’Eglise orthodoxe Notre-Dame-du Signe (« Znamenie » en russe signifie « le Signe »), 87 Bd Exelmans Paris XVIème.
Pour l’exécution de concerts et enregistrements, ce noyau se renforce de choristes issus des chœurs d’autres églises orthodoxes de Paris et sa région.
Le répertoire de l’ensemble est constitué de plus de soixante pièces de musique liturgique russe bien souvent écrites par les plus illustres compositeurs russes (Tchaïkovski, Rachmaninoff, Balakirev, Tchesnokov, Gretchaninoff, …) mais aussi de musique profane : chœurs d’opéra, musique de chambre, chants populaires.
Le chœur se produit régulièrement en concert (le plus souvent à Paris) dans le cadre de manifestations consacrées à la musique liturgique orthodoxe russe : concerts de Noel et de Pâques, célébration des 150 ans de la cathédrale orthodoxe russe de Paris, heures musicales de Saint-Roch… .
ENTRÉE LIBRE , PARTICIPATION
AUX FRAIS
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Construite de 1854 à 1856 à la demande de Napoléon III en souvenir de son oncle Eugène de Beauharnais par Louis-Auguste Boileau (1812-1896) et Adrien-Louis Lusson en vingt mois à l’emplacement de l’hôtel des Menus-Plaisirs.
La façade est un pastiche de l’architecture du XIIIe siècle, mais l’intérieur est une transposition en métal du système constructif gothique qui correspond au mouvement néo-gothique propre au milieu du XIXe siècle, elle est l’application des théories constructives rationalistes d’Eugène Viollet-le-Duc dans ses Entretiens sur l’architecture (publiés en 1858-1872) qui voyait là un moyen de réduire à la fois le prix et le temps de la construction. Elle est classée au titre des monuments historiques. L’intérieur de cet édifice est extrêmement intéressant car il montre un style gothique réalisé, en totalité, en fonte et l’ensemble est entièrement peint. Cette église a été la première, dans la Capitale, à avoir une structure métallique.
En 1950-1952, que le curé de la paroisse a souhaité qu’elle porte en plus du nom de St Eugéne celui de Sainte-Cécile, patronne des musiciens puisque le Conservatoire de musique et de déclamation se trouvait juste en face (aujourd’hui, Conservatoire national supérieur d’art dramatique).
Eglise St Eugène – Ste Cécile
4 Rue du Conservatoire, 75009 Paris
Métro : Grands Boulevards (lignes 9 et 8), Cadet (ligne 7)
Dans une scénographie théâtralisée, conçue par Ezio Frigerio assisté de Giuliano Spinelli, une centaine de pièces – mobilier, instruments de musique, textiles, tableaux, gravures, sculptures, costumes de ville et de scène, photographies et films – évoqueront à la fois la vie artistique de Rudolf Noureev et son esthétique personnelle :
Des éléments de sa biographie, son enfance en URSS, son passage à l’ouest, sa vie publique ;
Sa carrière exceptionnelle, comme danseur: son parcours professionnel depuis sa jeunesse et sa formation à l’École de danse du Kirov à Leningrad, jusqu’à sa trajectoire de danseur étoile, en France et en Angleterre, puis rapidement de star, acclamé sur les scènes du monde entier;
Son travail de chorégraphe, notamment sa réinterprétation de grands ballets classiques du XIXe siècle, pour certains inconnus en Occident. En tout plus de 14 chorégraphies évoluant dans des décors et des costumes opulents, dessinés par des grands artistes de la mode et de la scène (Georgiadis, Frigerio, Kamer, Hanae Mori…);
Des éléments de sa biographie, son enfance, son passage à l’ouest, sa vie publique ;
Son cadre de vie, son goût pour les décors et les intérieurs opulents, sa manière personnelle de collectionner (objets, mobilier et textiles), sa passion pour la musique…
Un catalogue “Colection Noureev” est édité, par Martine Kahane, Couverture cartonnée – 570 gr – 128 pages – 24,7 x 17 cm. Prix 29€
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Le CNCS a pour mission la conservation, l’étude et la valorisation d’un ensemble patrimonial de 10 000 costumes de théâtre, d’opéra et de ballet ainsi que de toiles de décors peints, dépôts des trois institutions fondatrices du Centre, la Bibliothèque nationale de France, la Comédie-Française et l’Opéra national de Paris, auxquels sont venus s’ajouter de nombreux dons de compagnies, d’artistes et de théâtres
Le 9e salon des arts meudonnais ouvre ses portes à l’Orangerie avec une centaine d’exposants amateurs et pour la première fois un concepteur meudonnais de maquettes d’avions et de bateaux.
Parallèlement au salon, le bastion de l’Orangerie est occupé par l’association Ré-création qui présente le travail de ses adhérents. Les peintres et sculpteurs ont travaillé sur le thème « À la manière de ».
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Lydia Lioudovikovna Khripouchina, descendante des “Russes Blancs”, développe depuis sa plus tendre enfance elle ses talents et son intérêt pour la création, l’étude, la conservation des œuvres d’art avec une préférence pour les arts sacrés.
Elle est initiée à l’iconographie byzantine et russe, au Centre d’Etudes Russes Saint-Georges de Meudon, dans l’atelier du père Egon Sendler (dit “père Igor”).
Puis elle se perfectionne auprès de l’iconographe russe Galia Bitty-Kicheev (diplômée des Beaux-Arts de Moscou). Puis elle se rend à l’atelier de l’archiprêtre mitré Georges Drobot – de l’école iconographique russe de Paris et, sur ses conseils, commence des recherches sur les icônes anciennes.
Elle passe simultanément les concours d’entrée des grandes écoles d’art et poursuit des études supérieures artistiques, à Paris. Elle sort diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Appliqués et des Métiers d’Art – ENSAAMA (2d cycle)…et diplômée de l’École du Louvre en histoire générale de l’art et peinture étrangère (1er cycle) puis muséologie (2d cycle)…
Elle obtient, également, du Ministère du Tourisme, l’agrément professionnel de conférencière officielle en histoire de l’art.
Dernier vestige du vieux château, c’est à Abel Servien que l’on doit sa construction en 1667. Une partie du domaine du marquis de Louvois qui fit créer le parc par André Le Nôtre. Acquis par Louis XIV pour son fils aîné le Grand Dauphin. Dépendance de l’Observatoire de Paris installée en 1878.
Soirée exceptionnelle à la russe en plein air dans le jardin privée d’un manoir de prestige en plein cœur de St-Maur-de-Fossés.
Au programme des airs classiques et des chansons russes, italiennes et orientales interprétés par le célèbre chanteur d’opéra, soliste du Théâtre Mariinsky de Saint-Pétersbourg Timur ABDIKEYEV et la soprano Alexandra TENISHEVA.
Timur ABDIKEYEV
Timur Abdikeyev, né en 1979 à Bakou (République d’Azerbaïdjan) dans une famille tatare, diplômé en 1990 d’une école musicale (accordéon et piano). En 1996, il entre au Conservatoire Gadjibekov à Bakou. En 2000, il remporte les prix et les distinctions lors de deux concours : Concours républicain Shovget Mamedova (Azerbaïdjan) et au concours international Bul-Bul. Il reçoit le prix « Nadejda » (Espoir) du fonds d’Irina Arkhipova. Ce prix reçu des mains de la grande cantatrice russe ouvre au chanteur basse, les portes d’une carrière internationale.
Timur est lauréat du concours international des vocalistes (présidé par Vladimir Atlantov) et finaliste du concours du théâtre La Scala à Milan (présidé par Leila Gendger).
En 2004, il débute avec succès sur la scène du Théâtre Mariinsky (Saint-Pétersbourg) où il donnera la plupart de ses récitals. Depuis, il s’est produit sur cette scène dans plus d’une soixantaine de rôles, comme dans beaucoup de salles du monde : l’Opéra Bastille à Paris, l’Opéra Royal de Stockholm, le Barbican Hall à Londres, le Teatro Real à Madrid, le Bolchoï à Moscou, le John F. Kennedy Center à Washington et le Carnegie Hall à New York.
Il participe aux concerts de gala donnés à l’occasion du 300e anniversaire de la ville de Saint-Pétersbourg et au 1000e anniversaire de la ville de Kazan (Tatarstan), diffusion télévisée de ses récitals et des concerts des solistes du Théâtre Mariinsky, participation à une vingtaine de premières du Théâtre, concerts avec des artistes émérites tels que Vladimir Galousine, Maria Goulegina, Nicolai Poutiline, Anna Netrebko, Ferruccio Furlanetto, avec des chefs d’orchestre tels que Valerii Guergiev, Gienandrea Noseda, Keri-Lynn Wilson, Rafael Fruhbeck de Burgos.
En septembre 2004 Timur Abdikeyev a donné son premier récital au Suntory Hall au Japon. Ce concert a eu un grand retentissement qui lui a apporté un succès et une renommée internationale. Sa carrière prend de plus en plus d’ampleur et s’étend désormais aux États-Unis, à la Grande-Bretagne, à l’Italie, l’Allemagne, l’Autriche, la Hongrie, la France, au Japon, à la Lettonie, à la Russie, à la Turquie, et à l’Azerbaïdjan. Le 27 août 2010 le Président de la République du Tatarstan (Fédération de Russie) a décoré Timur Abdikeyev du titre de l’Artiste émérite de la République du Tatarstan.
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ALEXANDRA TENISHEVA
Artiste soprano au style ”slave”, Alexandra Tenisheva suscite l’émotion, la joie, la sentimentalité et la mélancolie lorsqu’elle vous plonge dans l’univers de son spectacle où les grands airs classiques, les tubes internationaux, et de merveilleux chants russes coexistent en parfaite harmonie, ce qui rend cette artiste unique en son genre. Chef de chœur, professeur de chant et de piano au Conservatoire Rakhmaninov à Paris.
Un verre d’amitié avant le concert et un cocktail à la fin de la soirée sont inclus au prix du billet.
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Jardin privé d’un manoir
Avenue du Général Leclerc, 94100 Saint-Maur-des-Fossés
Samedi, pour le concert de Natacha & Nuits de Princes on déménage
au Corcoran’s!!!
RV comme prévu devant les arènes à partir de 19h45
et on traverse l’escalier !!!
VOIR PLUS BAS
NUIT de MONTMARTRE
ANNULÉ
Un comédien – Pascal Monge, une chanteuse – Natacha Fialkovsky et deux musiciens – Olivier Cahours et Pascal Storch vous emmènent dans le Paris des années 30. Soutenus par des textes de Kessel, et des musiques russes et tsiganes ils vous racontent avec force et tendresse,ces personnages – princes ou voyous qui faisaient alors battre le coeur de Montmartre à la mode russe!
En 1927, Joseph Kessel a 30 ans lorsqu’il écrit “Nuits de Montmartre”. Ce roman correspond à une période de sa vie, où l’écrivain se laisse emporter par la vie trépidante aux multiples excès des cabarets russes russes de Montmartre. Aujourd’hui un comédien, une chanteuse et deux guitaristes ouvrent le rideau sur une aventure de plus d’une heure, mêlant musiques et texte. Ils nous racontent avec force et tendresse ces personnages, princes ou voyous, tous émouvants et frôles dans un Paris à la mode russe.
” Il me fallait ces mélodies, ces accents qui, pour exprimer joie et détresse, possèdent une frénésie, une brûlure que l’on ne trouve nulle part ailleurs. ” Joseph Kessel.
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Pascal Monge élève de Jacques Mauclair, Teddy Bilis et Yves Gasc au Centre de la rue Blanche (ENSATT), après le Cours Jean Périmony (Prix Henri Rollan), Pascal complète sa formation théâtrale par des études musicales lors de concerts avec l’Ensemble vocal et instrumental de l’Oratoire Massillon. Pascal a joué entre autres Scapin dans « les Fourberies de Scapin », Pasquin dans « le Jeu de l’Amour et du Hasard » , « Voulez-vous jouer avec Moa » , au Théâtre Montansier à Versailles, « Architruc » de Robert Pinget, au Festival du Marais la pièce de Goldoni « L’Eventail » mise en scène de Daniel Ceccaldi, au Studio des Champs-Elysées « l’Exil » de Henry de Montherlant, et la pièce de Marc-Gilbert Sauvajon, « 13 à Table » dans la mise en scène de Pierre Palmade. Il a également travaillé avec la Compagnie Antoine Bourseiller-Chantal Darget, puis au Théâtre de la Huchette, au Théâtre de la Potinière et Edouard VII, et au Théâtre Saint-Georges. Il participe à la lecture de textes sur France 2 (Le Jour du Seigneur), sur Fréquence Protestante (dernièrement quatre émissions sur Michael Lonsdale) ainsi que des textes de Martine Lecoq. Il est le narrateur de romans policiers de Tito Taupin et de « La Femme de trente ans » d’Honoré de Balzac (Editions Frémeaux) et de Nuits de Montmartre d’après Joseph Kessel. Pour le cinéma, Il a tourné avec Pierre Boutron : Le Rainbow Warrior, Robin Davis : La Pompadour, Pascal Chaumeil : L’Etat de grâce.
Pascal est cofondateur avec Maxime Mardoukhaev de l’Association Artistique Constantin Stanislavski, au sein de laquelle il propose plusieurs spectacles : le groupe « Natacha et Nuits de Princes », « l’Ensemble Kalina » ainsi que “Nuits de Montmartre”
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LAS FAMATINAS.
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Musique d’Argentine avec trois femmes chanteuses et instrumentistes, elles nous proposent un voyage dans le rythme et la poésie d’Argentine, tout en délicatesse, rempli de joie et de sensibilité.
Ninon Valder : chant, bandonéon, flûtes.
Chloé Breillot : chant, ukulélé.
Valentine Jé : chant, flûtes
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.NATACHA NUITS de PRINCES
au Corcoran’s
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Natacha Fialkovsky: Chant/Balalaïka
Olivier Cahours: Guitare/arrangement
Natalia Trocina: Domra
Pascal Storch: Guitare/Chant/Percussions
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Natacha Fialkovsky – chant et balalaïka
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Issue d’une famille de Russes blancs, Natacha se passionne pour la musique russe depuis sa plus tendre enfance. Après des études de balalaïka au conservatoire Rachmaninov de Paris, et une formation de chant auprès de Galina Danilina, Nadia Golovikhina, Marie France Lahore et Martina Catella, elle se produit avec les formations slaves les plus connues : Bratsch, le Cabaret Raspoutine, Ivan Rebroff, Marc de Loutchek, le Chœur tzigane Kazansky, l’Orchestre de balalaïkas Saint-Georges. En 1998, Natacha fonde simultanément « l’Ensemble Kalina » chants polyphoniques traditionnels russe à capella, ainsi que le groupe « Natacha et Nuits de Princes » tourné vers le jazz et les musiques du monde avec lesquels elle se produit régulièrement sur scène. Elle participe à la Bande originale de plusieurs films dont « Rire & Châtiment » d’Isabelle Doval avec José Garcia et « Hell » de Bruno Chiche avec Sarah Forestier http://www.nuitsdeprinces.com/
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Natalia Trocina: Domra
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Elle est née à Obninsk, Natalia commence comme toutes les petites filles russes à étudier la domra à 7 ans au conservatoire. A 15 ans, elle intègre le prestigieux conservatoire Gnessine à Moscou. Ayant obtenu ses diplômes, elle devient lauréate des concours de musique traditionnelle russe à Moscou, Kalouga, Novossibirsk. Elle retourne à Obninsk, pour y enseigner la domra au conservatoire et jouer dans l’orchestre d’instruments traditionnels de la ville. Arrivée en France, elle intègre très rapidement, l’orchestre du Raspoutine, L’Orchestre de Balalaïkas Saint Georges, et Natacha & Nuits de Princes.issue du prestigieux conservatoire Gnessine de Moscou).
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Olivier Cahours: Guitare classique
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Au départ musicien de jazz, mais jouant sur une guitare classique, Olivier écrit des mélodies “sur mesure” pour Natcha & Nuit des Princes. Il parvient avec ingéniosité à mettre chaque instrument en valeur et à dégager le son du groupe. Compositeur, interprète et arrangeur, il l’est également pour ses propres formations (Solo, Duo, Trio et Sur la Route). Olivier Cahours est l’invité de nombreux festivals: Parc floral de Paris, Flâneries de Reims, Grenoble Jazz Festival, Jazz en touraine, Masters Guitare de Pau…… Il a joué avec Jean-François Jenny Clark, Eric Barret, Peter King, Bertrand Renaudin, Enrico Rava, Palle Danielson, Sharon Evans…
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Pascal Storch : Guitare, chant
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D’origine russe, polonaise, roumaine et française, Pascal étudie tout d’abord la guitare classique et brésilienne puis fonde le groupe brésilien Parioca. Il côtoie alors Joao Bosco, Les Etoiles, Roland Dyens et Tonino Ramos…. Suite à une rencontre fortuite avec Natacha qui l’embarque d’abord dans le Chœur Kazansky, puis dans le groupe « Natacha & Nuits de Princes », puis enfin dans le spectacle « Nuits de Montmartre », il se tourne définitivement vers les musiques de l’Est et joue également dans des formations de musiques judéo-espagnoles et Klezmer avec Yankélé, Marlène Samoun et Eve Grumer.
L’association des « Amis de l’histoire de Sainte-Geneviève-des-Bois »
” Visite du cimetière russe “
Samedi 19 et dimanche 20 septembre 2020 à 10h, 14h et 16h
VISITE GRATUITE, INSCRIPTION OBLIGATOIRE
RV Rue Léo Lagrange, 91700 Sainte Geneviève des Bois
L’origine du cimetière provient de l’accueil fait aux émigrés russes qui furent, dès 1927, inhumés dans le petit cimetière communal de l’époque.
Aujourd’hui, on compte environ 5200 tombes parmi lesquelles celles de personnages illustres tels que le danseur Rudolph Noureev, le premier prix Nobel de littérature russe Ivan Bounine , le prince Félix Youssoupov et sa femme Irina nièce du Tsar Nicolas II, un des petits fils de l’écrivain Léon Tolstoï, des militaires, des sculpteurs, des peintres, des religieux, des acteurs et bien d’autres.La partie orthodoxe de ce cimetière a été classée monument historique en 2001.
Les visites sont gratuites, durée 2 h .
Inscription obligatoire : 06 50 46 49 74.
Point de départ des visites : Rue Léo Lagrange devant la grille d’entrée côté piscine.
14ème Édition du Festival International de Musique d’Hyères
du jeudi 17 au dimanche 20 septembre 2020
Théâtre Denis, 83400 Hyères
Proposé par le service culture de la Ville et organisé par l’association les Amis du Festival International de Musique d’Hyères
Le Festival international de musique d’Hyèrescréé en 2007 à l’initiative de la Mairie d’Hyères, avec le soutien de l’association des amis du Festival et le violoniste virtuose Vadim Tchijik, qui en assure la direction artistique.
Chaque année cet événement associé aux journées du patrimoine a pour but d’attirer un large public à des concerts de très grande qualité dans un lieu d’exception, le Théâtre Denis. Depuis sa création le festival a connu un immense succès.
Rendez-vous culturel incontournable des Hyèrois et hôtes de la ville, le festival depuis sa création a accueilli des artistes tels que Marielle Nordmann, Philippe Bernold, Dominique de Williencourt, Vanessa Wagner, François Salque, Yves Henry, mais aussi de nombreux autres.
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Vadim Tchijik, directeur artistique
Vadim Tchijik est né en 1975, il commence à étudier le violon à l’âge de six ans et donne son premier concert à huit ans. Il termine ses études avec la mention « Excellent » à l’Ecole Centrale Spéciale de Musique du Conservatoire Tchaïkovski de Moscou. Ensuite il se perfectionne en France, en Allemagne, et aux Etats-Unis. Il a étudié avec Boris BELKIN, Ivry GITLIS, Herman KREBBERS, Eduard SCHMIEDER, Mihaela MARTIN et Irina BOTCHKOVA.
En 2004 le magazine « Diapason » lui consacre une page intitulée « Déjà Maître » et en 2007 le célèbre magazine « String » lui consacre un entretien exclusif de trois pages.
Lauréat de plusieurs prix internationaux de violon, dont les prestigieux concours N. PAGANINI à Gênes, P. I. TCHAIKOVSKI à Moscou, R. LIPIZER à Gorizia, Premier Prix du concours international de Portogruaro, il est également Lauréat des Fondations NATEXIS
Banque Populaire, G. CZIFFRA, N. et L. Boulanger, O. et V. Ritter et il est nommé Lauréat JUVENTUS par le Conseil de l’Europe.
Vadim Tchijik est professeur de violon au CRR de Toulouse et donne des master classes en Europe, en Amérique et en Asie. Il s’occupe par ailleurs de rédaction des partitions du grand répertoire violonistique pour les éditions “Zen-On” au Japon.
Ensemble “Les Virtuoses”
Il est Directeur Artistique de plusieurs festivals de musique: Festival International de Musique d’Hyères, “Les Musicales de Saint-Martin”, “L’Automne Musical du Vésinet” et “Les Heures Musicales de Binic “.Fondateur et directeur de l’Ensemble “Les Virtuoses” et directeur du Concours de Cordes des Virtuoses du Cœur, il joue sur un violon de Ferdinando Gagliano fait à Naples en 1775.
Programme 2020
Jeudi 17 septembre à 20h30
« Chez Vivaldi à Venise »
Vivaldi, Albinoni
– Ensemble Les Virtuoses; Vadim Tchijik, violon et direction
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Vendredi 18 septembre à 20h30
« Soirée concertante »
Bach concertos pour piano et pour violon
– Ensemble Les Virtuoses; Vadim Tchijik, violon et direction – Eloisa Cascio, piano
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Samedi 19 septembre à 20h30
« Hommage à Beethoven »
A l’occasion du 250e anniversaire de la naissance du compositeur
– Sonates pour violon et piano Le Printemps et A Kreutzer
– Vadim Tchijik, violon, Alberto Urroz, piano
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Dimanche 20 septembre à 11h
« Les romantiques allemands »
Schumann, Brahms, Mendelssohn
– Eloisa Cascio, piano
à 17h
– « Hommage à Henri Vieuxtemps »
– A l’occasion du 200e anniversaire de la naissance du compositeur, Henri François Joseph Vieuxtemps, né le à Verviers et mort le à Mustapha, violoniste et compositeur belge, l’un des plus célèbres du XIXe siècle.
– Vieuxtemps, Leukeu, Servais
– Vadim Tchijik, violon; Anna Mikulska, violoncelle; Philippe Argenty, piano
Entrée gratuite sur réservation
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Théâtre Denis 12, cours de Strasbourg, 83400 Hyères
Réservations : 04 94 00 82 41
A partir du lundi 7 septembre (du lundi au vendredi de 14h à 17h)
Billetterie en ligne sur : hyeres.fr/billetterie
Samedi 5 septembre de 8h30 à 12h30 : sur place à l’hôtel de ville
Association Les Amis du Festival International de Musique d’Hyères
2 Résidence St-Louis des Horts – Allée de l’Oléastre, 83400 HYERES
Courriel : hyeresfestival@gmail.com
Pour soutenir le festival, le bulletin d’adhésion
Ivan Alexeïevitch Bounine (Иван Алексеевич Бунин), né à Voronej (Empire russe) le 10 octobre 1870 (22 octobre suivant le calendrier grégorien) et mort à Paris le 8 novembre 1953, écrivain russe, auteur de poèmes, de nouvelles et de romans, lauréat du Prix Nobel de littérature en 1933. Il est considéré comme l’un des plus grands prosateurs russes du XXème siècle.
Ses parents sont poétes, à dix-sept ans, il publie son premier poème dans un magazine littéraire de Saint Pétersbourg, La Patrie, et devient correcteur pour un journal local, Le Moniteur d’Orel.
Il publie à Orel son premier recueil de poèmes en 1891, puis Sous le ciel ouvert en 1898 puis Automne, pour lequel il reçoit le prix Pouchkine en 1901. En 1889, il suit son frère à Kharkov et correspond avec Anton Tchekhov, dont il fait la connaissance en 1895 et avec Maxime Gorki et Léon Tolstoï. Il voyage à travers l’Inde, la Palestine, l’Egypte l’Italie. Il fuit la révolution russe quittant Moscou en pour s’installer dans le sud du pays, tenu par les armées blnches. Il quitte la Russie 1920 pour s’installer en France, où il vit à Paris dans le XVIème au 1 rue Jacque-Offenbach et à Grasse. Il publie son journal extrêmement critique à l’égard du régime bolchévique.
Représentation du Théâtre de la Nouvelle Génération de Moscou pour jeunes spectateurs:
«Le violon de Rothschild» basé sur l’histoire d’Anton Tchekhov
Adaptation et mise en scène : Kama Guinkas Scénographie : Sergey Barkhin Musique : Leonid Dessiatnikov Lumières : Gleb Filshtinsky Avec : Iakov Bronza : Valery Barinov (lauréat du Prix Stanislavski) Rothschild : (lauréat du Prix Stanislavski), Marfa : Arina Nesterova Infirmier : Anton Korchunov
Représentation en russe sous-titres en français.
Durée : 1h30 sans entracte
Le spectacle « Le Violon de Rothschild » est la dernière partie de la trilogie de spectacles d’après Tchekhov « La Vie est belle» de Kama Guinkas. Les deux autres spectacles « Le Moine Noir » (1999) et « La Dame au petite chien » (2001) sont toujours au répertoire du théâtre et ont un grand succès auprès du public.
“Iakov Bronza, fabricant de cercueils d’une petite ville de campagne, rêve que les gens meurent plus souvent afin que ses affaires soient plus florissantes. Pour arrondir les fins de mois, il joue du violon dans l’orchestre du village. Il éprouve une réelle aversion pour Rothschild, flutiste juif de l’orchestre. Quand Marfa, femme de Iakov, tombe malade puis décède, il commence à se rendre compte qu’il est passé à côté de beaucoup de belles choses de la vie”.
Le spectacle « Le Violon de Rothschild » a été créé en 2004 et fait partie du Fonds national russe de spectacles ayant obtenu les récompenses les plus prestigieuses : « The Golden Mask », « The Crystal Turandot », Prix Stanislavski. C’est une partie finale de la trilogie de spectacles de Kama Guinkas « La vie est belle. D’après Tchekhov ».
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Kama Guinkas est né en Lituanie en 1941. Il a fait ses études à l’Institut d’Etat de musique et de cinéma de Leningrad dans la classe de Gueorguï Tovstonogov. Pendant deux ans il est le Directeur artistique du Théâtre du Jeune Spectateur de Krasnoïarsk. Depuis 1981, il travaille en tant que metteur en scène pour les grandes scènes théâtrales moscovites : MKHAT, Théâtre d’O. Tabakov, Théâtre de Mossoviet…
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Depuis 1983, il collabore avec le Théâtre de la Nouvelle Génération de Moscou, En 2001, Kama Guinkas met en scène une performance théâtrale particulièrement ingénieuse pour le 3ème Theatre Olympics à Moscou : La Polyphonie du monde.Kama Guinkas est l’invité d’honneur aux plus grands festivals internationaux en Allemagne, France, Italie, Belgique, Suède, Finlande, Yougoslavie, Turquie, Corée du Sud, Brésil, Colombie et d’autres pays. Parmi ses mises en scène à l’international : N.F.B. de V. Kobekin (Allemagne) ; La Dame au petit chien d’A. Tchekhov (Turquie) ; Salle n°6 d’A. Tchekhov, Crime et Châtiment de F. Dostoïevski, La Mouette d’A. Tchekhov, La Vie est belle d’après l’œuvre d’A. Tchekhov, Macbeth de W. Shakespeare (Finlande), La Dame au petit chien et Le Violon de Rothschild d’A. Tchekhov (commande du Yale Repertory Theatre et du théâtre « Guthrie », Etats-Unis).
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Il est professeur à l’Académie de théâtre de Helsinki en Finlande et également à l’Ecole du Théâtre d’art de Moscou (MKHAT). Il donne régulièrement des master classes pour des nombreuses écoles de théâtres et des universités en Grande Bretagne, aux Etats-Unis, au Canada, en France, Norvège et Finlande.
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Centre Événementiel de Courbevoie
29, rue de Gaultier 92400 Courbevoie
Tarifs : Cat 1 : à partir de 27€50, Cat 2 : à partir de 22€
Contacts: tél .: +33 (0) 1 41 30 72 47 , ou billeterie en ligne : CLIQUEZ
Centre Spirituel et Culturel Orthodoxe Russe, VII° Paris
dans la salle de l’amphithéâtre (en français)
ANNULATION SUITE DISCOURS
du MINISTRE
FRANÇAIS DE LA SANTÉ
Présentation de la nouvelle publication du livre sur le cimetière russe
« Un coin de Russie à Sainte-Geneviève-Des-Bois » édité en français et russe.
Cette nouvelle édition de 166 pages, tout en conservant la même structure que celle de l’année 2008, contient plus de 200 nouveaux noms sur les 266 personnalités figurant dans cet ouvrage, dont une quarantaine de personnages incontournables issus du premier livre comme Rudolph Noureev, Andreï Tarkovski, Ivan Bounine, Félix Youssoupov, Zinaïde Sérébriakova.
On trouve aussi dans cette publication à la rubrique des “militaires” un document exceptionnel et jamais publié : la liste de près de 200 marins inhumés dans ce cimetière, du grade d’amiral à celui de simple matelot.
L’iconographie de cette édition est beaucoup plus riche que celle de la version précédente et contient des documents inédits prêtés par les familles de certains personnages.
9 personnes ont travaillé pour que cet ouvrage puisse voir le jour. Ce livre a demandé près de 3 années de recherches, écriture et la relecture du livre dans les locaux de la Maison russe.
Le 2 septembre aura lieu une dictée historique panrusse sur les événements de la Grande Guerre patriotique, à laquelle tout le monde pourra participer – pour cela, vous devez connaître le russe et vous rendre sur le site Web dictationpobedy.rf .
À partir du 2 septembre, un nouveau test de connaissance des événements et des personnalités de la Grande Guerre patriotique de 1941-1945 sera mis en ligne sur le site Internet du projet. En s’inscrivant et en réussissant le test dans le temps imparti, les participants pourront se tester et recevoir une version électronique du diplôme.
La dictée est un projet éducatif visant à préserver la mémoire des événements tragiques et héroïques associés à l’invasion des pays de l’Axe en Union soviétique en 1941 et à la défaite de l’Allemagne nazie et du Japon militariste par l’Armée rouge avec l’aide des alliés.
L’action a été organisée avec le soutien de Rossotrudnichestvo, de la Société historique militaire russe, de la Société historique russe et de la Fondation d’histoire de la patrie.
L’essentiel du projet n’est pas de montrer le meilleur résultat, mais de se souvenir de l’histoire de ces quatre années tragiques et d’apprendre de nouvelles choses – sur les héros, les batailles et la diplomatie de guerre.
L’installation dans un lieu passant de Saint Pétersbourg d’une statue de Jeanne d’Arc, symbole le plus pur de l’esprit français, si proche souvent de l’âme russe.
Cette statue, trait d’union entre la Russie et la France, sera sculptée par Boris Lejeune, né à Kiev et diplômé de l’Institut des Arts Répine de Saint Pétersbourg. Boris Lejeune a réalisé, de 2012 à 2013, une remarquable statue de sainte Jeanne d’Arc, pleine de vie et d’espérance, pour l’ermitage de Notre Dame de Bermont proche de Domremy et haut lieu de la piété de Jeanne.
La statue sera intégralement en bronze. Sa fabrication a été confiée aux ateliers d’art de la Fonderie SUSSE.
Cette statue est l’œuvre d’un artiste, Boris Lejeune.
Sculpteur, peintre et poète français né à Kiev en 1947. Diplomé de l’Académie des Beaux Arts Répine de Saint Petersbourg en 1974, il est arrivé en France en 1980, passionné par Jeanne d’Arc qui, entre autres œuvres, a déjà sculpté la statue de Jeanne à Notre-Dame de Bermont, là où Jeanne, enfant, allait prier la Très Sainte Vierge Marie chaque samedi. L’ensemble sera grandiose, la statue-socle faisant près de cinq mètres de haut. Son emplacement sera prestigieux.
S.E. l’Ambassadeur de Russie en France Monsieur Alexey Meshkov
et le sculpteur Boris Lejeune.
L’inauguration initialement prévue en mai 2020, centenaire de la canonisation de sainte Jeanne d’Arc, est reportée en raison de la crise sanitaire du coronavirus au printemps 2022, à Saint Pétersbourg.
Elle a été installé par l’artiste devant le théatre de la jeunesse en septembre 2021 à St Petersbourg.
Les Parisiens pourront jusqu’au 12 juillet voir cette création sur le parvis du Centre spirituel et culturel orthodoxe russe, Quai Branly.
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Centre Spirituel et Culturel Orthodoxe Russe de Paris
Mercredi 1er juillet au mercredi 1er septembre 2020
Château de Dissay, 86130 Dissay
Le propriétaire du Château Christophe Bouvier, le chef étoilé du restaurant O’DISSAY Christophe Poard et Natalia Dupont-Dutilloy, organisateur des expositions au Château de Dissay serons heureux de vous accueillir en petites communautés conviviales.
Exposition exclusivement féminine au Château de Dissay prévue originellement jusqu’au 2 avril 2020. Organisée par UnisVers’ART avec le soutien de la Société Académique Arts-Sciences-Lettres et de La Renaissance Française est prolongée jusqu’à fin mai.
(de gauche à droite) Aldina Mateus et Natalia Dupont-Dutilloy
UnisVers’ART présente et défend des artistes parfois méconnus du grand public, mais présents dans les collections de nombreux collectionneurs et amateurs d’art.
Nous invitons des collectionneurs et des amateurs d’art à découvrir des artistes dans des domaines divers tel que la peinture, la photographie, la sculpture et le dessin.
Situé à Dissay, non loin de Poitiers, le Château de Dissay date du XVe siècle, rénové.
“Laurent James est un écrivain et physicien lyonnais installé à Marseille depuis 2000. Il a fondé le Comité Jean Parvulesco en 2016 à Bucarest et co-organisé le premier Colloque de Chisinau (Moldavie) avec Iurie Rosca et Alexandre Douguine en 2017. Le projet du Comité Jean Parvulesco est l’union des peuples de l’Eurasie dans la reviviscence de la foi chrétienne civilisatrice de Lisbonne à Vladivostok.
Nous l’avons accueilli en 2019 en compagnie d’Anna Gichkina pour une présentation du Roman Russe d’Eugène-Melchior de Vogüé dans une brillante conférence qui fut fort appréciée.
Cette fois-ci, partant du principe que l’Église est l’unique héritière de l’Empire de Rome, le conférencier s’attachera à préciser l’articulation entre la légende des saints de Provence, Constantinople vécue comme deuxième capitale d’un Empire universel et les noces d’Ivan III sous l’égide de l’Aigle à deux têtes, afin de mettre en lumière les liens métaphysiques entre les peuples du continent eurasiatique.
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Hôtel – Restaurant Les Coulondrines
72 Rue des Érables, 34980 Saint Gely du Fesc
Prix : 25 Euros,
Prévenir le restaurateur de votre présence tél : 04 67 84 30 12
Contact pour la Conférence: Tel. 06 60 58 27 57
L’accès de l’hôtel-restaurant est facile. Nord de Montpellier, prendre la direction Saint Gély du Fesc (D986 route de Ganges). C’est une route à 4 voies. Avant d’entrer à St Gély prendre la direction, sur la droite : « Toutes directions, Domaine de St Sauveur ». Vous êtes maintenant sur une voie de contournement du village, attention au radar. Après 1,5 km environ, sur la droite, prenez la direction Golf de Coulondres, D112E.
Quand vous arriverez à l’entrée du village, tout de suite après le panneau Saint Gély, vous tournez à droite et vous êtes au parking du restaurant.
Exposition tactile de la collection d’instruments de musique du monde. Formée et assemblée durant plus de 20 ans par le compositeur musicien et chercheur Kamil Tchalaev, spécialisé dans l’éducation des enfants handicapés moteur et autistes. Les visiteurs sont encouragés à toucher les instruments à en sortir des sons. Tous types organologiques (cordes, vents, pianos, orgues, percussions … ). Acoustiques et électrique, Est et Ouest.
Moscovite de naissance et universel dans l’âme, Kamil Tchalaev est un musicien nomade aux multiples passions. De longue date, ce compositeur et musicien de talent collecte et entrepose une multitude d’instruments de musique qu’il glane au hasard de ses voyages et de ses rencontres. De cet amour de la musique en général et des instruments en particulier, est né une envie incommensurable d’exposer sa passion partout où il en a la possibilité.
Ce voyageur infatigable, toujours en quête de l’insolite, raconte aux visiteurs grâce à son musée tactile ses multiples pérégrinations. Plus de trois cent cinquante instruments collectés pendant vingt ans sont ainsi exposés soit sur un meuble soit à même le sol sans aucune protection ni interdiction permettant aux néophytes comme aux spécialistes de pouvoir les toucher, et même de pouvoir les tester. En complément et si vous lui demandez, il vous montrera son violon à double manche qu’il a baptisé violik tchalazak, ou participer à une improvisation et découvrir les facettes d’un discours sonore.
Contact : kamil.tchalaev@wanadoo.fr
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Vernissage samedi 11 juillet 2020 à 18h
L’église Notre Dame fut bâtie en 1104 dans l’enceinte fortifiée de la ville de La Haye, sur les bords de la Creuse, et est dédiée à la Vierge Marie. Elle était à l’origine la chapelle d’un château aujourd’hui disparu, “monastère Sainte Marie du château de la Haye”. Elle faisait partie intégrante du site fortifié érigé par le comte d’Anjou Foulques Nerra. Puis la chapelle devint l’église Notre Dame. A partir de 1576 elle sera réservée au culte protestant.
Désaffectée depuis la Révolution, elle a été vendue comme bien national, et transformée en grange.
Cette remarquable église romane est actuellement en fort mauvais état. Toutefois, depuis quelques années des travaux de restauration ont été entrepris.
A l’intérieur, de superbes fresques murales, du 12ème au 15ème siècles, ornaient le ch?ur. Il en subsiste encore quelques fragments qui viennent d’être restaurés. On sait que la mère de Descartes et son dernier né y ont été inhumés en 1597.
ANNENKOV Georges Pavlovitch – BERGGOLTS Richard Alexandrovitch – BILIBINE Ivan Yakovlevitch – BOBYSHOV Michel Pavlovitch – BOEHM Elisabeth Mercouievna – BRUNI Tatiana Guéorguiévna – BRUNELLESCHI Umberto – BOGAILEI Kleofas – BAHLULZADE (BAHLULZADEH) Sattar – BOGOLIUBOV Alexis Pétrovitch – BRAÏLOVSKY Léonid Mikhaïlovitch – CHMAROFF Paul Dmitriévitch – CHOUKHAIEFF Vassili Ivanovitch – ELLIS Tristam James – GOTSIRIDZÉ Mikhaïl Guerassimovitch – GRIGORIEV Boris Dmitriévitch – GROPEANU (GROPEANO) Nicolae Orval- GUERASSIMOV Serge Vassiliévitch – HARLAMOFF Alexis Alexéevitch – HAU Waldemar Ivanovitch – KHACHATOURIAN Gayané Lévonovna – KHVOTENKO-KHVOSTOV Alexandre Vebiaminovitch – KLUGE Constantin – KRYCHEVSKY Mykola Vasyl (Nicolas Vassiliévitch) – LANCERAY Eugène Evguénévitch – LÉBÉDEV Vladimir Vassilièvitch – MELIASHVILI VANO – NILUS Pierre Alexandrevitch – NIROD Féodor Féodorovitch – ORLOFF Alexandre Constantinovitch – PAKOUN Filaret Ivanovitch – PETRITSKY Anatole Galektionovitch- PETROFF André Vladimirovitch – POGÉDAÏEFF Georges Anatoliévitch – POUGNY Jean – PROKOFIEV Nicolas Dmitriévitch – RAFFET Denis Auguste Denis Marie – RIZNISCHENKO Féodor Pétrovitch – ROUBTZOFF Alexandre Alexanrovitch – SALTANOV Serge Nicolalaïevitch – SAMARINE Valentin – SOLOGOUB Léonid Romanovitch – SOUNGOUROFF Antonin Ivanovitch – SUETIN Nicolas Mikhaîlovitch – TCHVETKOVA Valentina Petrovna – YUROVSKY Youry – ZADKINE Ossip – ZHURAVLEV Firs Sergueïvitch
EXTRAITS du CATALOGUE
Lot 4 : ZHURAVLEV Firs Sergueïvitch (1836-1901)
Etude de tête de vieillard Huile sur toile, rentoilée
Signée en cyrillique « Zhuravlev » en haut à droite
28 x 24,5 cm
Il s’agit d’une étude pour le personnage du Père pour le célèbre tableau Avant
le mariage réalisé en 1874 et conservé aujourd’hui au musée Russe (inv. G-4161).
Un certificat de la Galerie Trétiakov sera remis à l’acquéreur 2 500 – 3 000 €
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6 Lot 6 : HARLAMOFF Alexis Alexéevitch (Duavochka 1840 – PARIS 1925)
Portrait de la soprano Félia Litvinne
Huile sur toile Signée en bas à droite « Harlamoff » 55 x 46 cm
Provenance: Collection particulière, Paris
Bibliographie L’œuvre est mentionnée et reproduite dans :
Eckart Lingenauber et Olga Sugrobova-Roth, Alexei Harlamoff, catalogue raisonné,
Dusseldorf, 2007, p. 244, pl. 214. 10 000 – 20 000 €
Félia Litvinne, de son vrai nom Françoise-Jeanne Shültz, naquit à Saint- Pétersbourg et fit ses études musicales à Paris auprès de Pauline Viardot, la muse de Touguéniev. Harlamoff fut pour elle un véritable père et en fit son héritière légale. Le peintre fit de nombreux portraits de la cantatrice wagnérienne qu’il représente ici dans dans la désinvolte simplicité du quotidien.
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Lot 17 LANCERAY Eugène Evguenievitch (1875-1946)
Jardin botanique de Batoum, 1921 Aquarelle et tempéra sur trait
de crayon sur papier Monogrammée au graphite en cyrillique
« E.L. » en bas à gauche, au revers marque d’appartenance de la famille du peintre
51 x 34,5 cm
Provenance : Collection du peintre, puis acquis auprès de
sa famille par le propriétaire actuel. Collection privée, Paris.
Bibliographie : Catalogue de l’exposition des oeuvres de Lanceray, Moscou, Académie des Beaux-arts, 1961, p. 58.
Ce dessin a été réalisé lors du voyage de Lanceray en Abkhazie en 1921, alors
que l’artiste aimait à peindre à l’aquarelle, rendant ainsi la sensation de fraicheur
et de clarté du Caucase en été.
Un certificat d’authenticité de Silaeva
sera remis à l’acquéreur. 14 000 – 17 000 €
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LOT 32 – CHMAROFF Paul Dmitrievitch
(VORONÈGE 1874 – BOULOGNE 1954)
Les baigneuses Huile sur toile
Signée en bas « Chmaroff » en bas à droite
50 x 73,5 cm
Provenance :
Collection privée, Paris 2 500 – 3 000 €
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Lot 25 – ELLIS Tristam James (GREAT MALVERN 1844 – LONDRES 1922)
Vue du Kremlin de Moscou Aquarelle sur papier
Signée et située « Tristram Ellis. Moscow » en bas à droite
34 x 28 cm
Provenance : Collection particulière, Paris 400 – 500 €
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Lot 48
de POGÉDAÏEFF Georges Anatoliecitch (POGÉDAÏEVKA1894 – Ménerbes 1971)
Nature morte aux pommes Huile sur carton
Signée et datée « Georges A de Pogédaïeff 38 » en bas à gauche
47 x 62 cm Provenance : Acquis auprès de l’artiste, puis par succession au propriétaire actuel.
Collection privée, Rueil Malmaison 2 000 – 3 000 €
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Lot 55 – MELIASHVILI Vano (1892 – 1988)
Le concert de violon Huile sur carton
70 x 50 cm Provenance :
Acquis auprès de l’artiste Collection privée, Tiflis 30 000 – 40 000 €
Fils spirituel de Niko Pirosmani, Vano Meliashvili est apprécié par un cénacle d’esthètes. Il suivit dans sa jeunesse la vie errante d’un prêtre pèlerin dans les montagnes du Caucase et s’installa ensuite à Tiflis. Tournant le dos aux convulsions révolutionnaires de son temps Meliashvili inscrit son art dans un folklore idéal et emprunt d’une simplicité qui exprime la beauté première d’un paradis perdu. Le hiératisme des figures fait ressentir la vibration de la couleur, la joie retenue et noble des seigneurs de la montagnes. Notre tableau s’inscrit dans la série des oeuvres inspirées de la vie du vieux Tiflis avec ses personnages pittoresques dans lesquels s’exprime une beauté emprunte d’une profonde poésie.
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Lot 61 : SOLOGOUB Léonid Romanovitch
(EÏSK 1884 – LA HAYE 1956) Campement russe, 16 août 1916
Crayon sur papier Annoté et daté en haut à droite
18 x 21,5 cm 200 – 300 €
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LOT 82 – ANNENKOV Georges Pavlovitch
(PÉTROPAVLOSK 1889 – PARIS 1974)
Collage de la maîtresse de maison Technique mixte
Signée en cyrillique et datée « G. Annenkov 1922 » en bas à droite
40 x 30 cm
Réalisé dans les années 1960 5 000 – 6 000 €
Ces collages font partie d’un ensemble d’environ vingt-cinq œuvres datées des années 1920. Ces pièces furent réalisée vers les années 1960 à la demande d’amateurs désireux d’acquérir des oeuvres anciennes d’Annenkov. Dans le corpus de l’artiste ces collages constituent un volet à part, d’une grande diversité où se retrouvent des éléments des années 20, comme les coupures de ses propres articles. Une ces oeuvres le « Collage à la cathédrale d’Amiens » est aujourd’hui conservée à la collection Thyssen- Bornemiza ; un autre se trouve au MOMA de New-York.
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LOT 77 – ANNENKOV Georges Pavlovitch
(PÉTROPAVLOSK 1889 – PARIS 1974)
Ensemble d’archives comprenant :
1) Esquisse de costumes de bain féminins Plume et aquarelle sur papier ;
Monogrammée « G.A. » en bas à droite
35 x 26 cm
2) Esquisse pour un costume de Turandot de Puccini
Crayon, gouache et or sur papier ;
Monogrammé « G.A. » en bas à droite
35 x 20 cm
3) Silhouette de nu Crayon sur papier calque
23 x 33 cm
4) Esquisse de portrait Crayon sur papier ; Monogrammé « G.A. »
en bas à guache
18 x 13 cm
5) Catalogue de l’Exposition Annenkov du 7 au 20 mai 1930, Paris, Galerie
Bing. Br. Ex-libris de l’artiste. 200 – 300 €
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LOT 90 – BRUNI Tatiazna Guéorguievna
(SAINT-PÉTERSBOURG 1902 – 2001)
Décor pour Roméo et Juliette Gouache et rehauts d’or sur papier
Cachet de collection au dos
26 x 42 cm 200 – 300 €
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LOT 96 – NIROD Féodor Féodorovitch
(SAINT-PÉTERSBOURG 1907 – 1996)
Rouslan esquisses au crayon Aquarelle et gouache sur traits
de crayon sur papier Cachet de collection au dos
42,5 x 30 cm 200 – 300 €
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LOT 120 – ANISFELD Boris Isrélévitch
(BIELSTY 1878 – NEW-LONDON CT 1973)
La Sainte Famille avec un totem Huile sur toile
Signée « Boris Anisfeld » en bas à droite
60 x 50 cm
Un certificat d’Olga Sugrobova-Roth en date du 4 juillet 2016 sera remis à l’acquéreur. Provenance : Collection privée, Allemagne
Acquis lors de la vente Van Ham à Cologne le 3 juin 2015, lot. 3 Bibliographie : L’œuvre est reproduite au catalogue raisonné
en ligne de l’artiste sous la référence A 2-P 8 000 – 10 000 €
Cette œuvre, réalisée vers 1950, révèle toute la complexité d’un artiste universel qui puise aux sources du sacré. Le thème chrétien, qui inspira Anisfeld dura toute son existence, se mêle ici étrangement au totem à corne dont le regard énigmatique interroge le spectateur. La profonde humanité de la Sainte Famille, véritable Trinité de la tendresse, protégeant l’enfant divin, le Puer. Aeternus, contraste avec ce masque à l’expression sauvage. Il épouse la couleur de la nature
brute, un vert de glèbe, qui surgit au milieu des teintes rouges oranges de l’affection maternelle. Avec un art de la synthèse visuelle qui rappelle Gauguin Anisfeld nous affre cette mystique de
la couleur dans laquelle transparait la subtile harmonie des contraires l’unum oppositorum des philosophes.
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LOT 123 – ÉCOLE RUSSE DU XXE SIÈCLE
Illustration pour le conte de Pouchkine Rouslan et Lyudmila
Aquarelle sur papier
34 x 23 cm 200 – 300 €
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LOT 130 – TATARENKO Oleg Anatoliévitch (XXE)
Affiche pour une pièce de Vassiliev Technique mixte sur papier contrecollé sur panneau
Signée et datée en bas à droite 1985
120 x 80 cm 100 – 300 €
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LOT 141 – Plaque de porceleine des Manufactures Impériales
Vierge de la Passion Huile et or sur porcelaine
Marque des manufactures impériales de porcelaines de Saint-Pétersbourg,
Nicolas II, circa 1900 au dos.
Etiquette de collection.
12,5 x 8,6 cm
Cette Vierge, d’une infinie finesse, s’inspire
de celle de l’iconographe crétois Andréas
Ritzos (1421-1492) 1 500 – 2 000 €
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LOT 142 – Icônes de famille comprenant 13 saints surmontés d’une icône de la Mère de Dieu, Tempéra sur panneau
Poids brut 313 gr. 14 x 14 cm
Riza en vermeil ciselé entouré d’un liseré de strass et de verre bleu translucide.
Poinçon de titre : 84, Moscou Poinçon d’orfèvre Antipiev, 1796-1853
Poinçon contrôle : Ivan Vikhliaev, 1808 500 – 600 €
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LOT 153 – Composition quadripartite :
Vierge de Kazan, saint Nicolas, l’archange de l’Apocalypse et saint Georges, au centre une crucifixion. Fin XIX ème
Tempéra sur panneau 26 x 18 cm 500 – 600 €
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LOT 169 – Fabergé, Monumental confiturier, boîte à musique,
en argent, et intérieur vermeil. Couvercle orné d’une frise ciselée surmonté d’une prise représentant un putto jouant de la lyre. Le corps de la pièce est décoré d’une frise ciselée au motif de fruits et de feuilles de fraisier, au bas pendent des ornements ajourés et deux motifs à l’imitation du tissus en émail polychrome cloisonné, portant les dates « 1869- XXV- 1894 16 Februar »; le pied à fût est orné
de quatre sphères en émail polychrome cloisonné reposant sur une base cylindrique posée sur quatre pieds. A l’intérieur est caché une boîte à musique contenant des airs de Carmen de Bizet.
Poinçon de titre : 84, Moscou. Poinçon d’orfèvre : Carl Fabergé.
Poids brut : 2323 gr. Hauteur : 39 cm. Provenance : Ancienne collection niçoise 22 000 – 25 000 €
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LOT 168 –
Pillulier en argent et vermeil à décor d’émail bleu
translucide sur fond guilloché (éclats), dans le goût de Fabergé. Travail du XXe siècle.
Poids brut : 15 gr. D. : 3,2 cm Provenance : Collection particulière, Chatillon 200 – 300 €
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LOT 176 – Verre, travail russe, circa 1900 Verre canon taillé à six pans ornés de symboles maçonniques.
H. : 16 cm
1. Pavé maçonnique surmonté d’un triangle rayonnant avec en son centre le tétragramme 2. Delta lumineux surmonté de deux épées entrecroisées 3. Cercueil surmonté d’un triangle avec en son sommet une croix grecque sur un globe
4. Trône de Salomon surélevé de trois marches avec le Soleil
5. Colonnes d’entrée du temple au milieu d’un autel surmonté d’une équerre sur un compas et d’une croix latine
6. Cinq marches surmontées de deux triangles équilatéraux côte à côte. En haut est placée l’étoile flamboyante avec en son centre la lettre G et la Lune. 200 – 300 €
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LOT 178 – CHOSTAKOVITCH Dmitri dmitrievitch
(SAINT-PÉTERSBOURG 1906 – MOSCOU 1975)
Partition dédicacée de l’opéra Katerina
Ismaïlova – partition clavier, éditée à 200
exemplaires – Moscou 1963 500 – 800 €
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LOT 189 – Bel ensemble de documents oficiels dont une lettre du gouvernement militaire de
l’armée blanche au comte Ignatiev, dernier gouverneur de Kiev.
On y joint plus de 500 cartes postales vierges et deux ouvrages de généalogie :
Nicolas Ikonnikov, NdR de la noblesse russe, les Ignatiev nobles et comtes, 2e éd., Paris 1958, e433-e490 ; N. de Pouchkine, Armorial de la noblesse russe. Armoiries des Familles résidant en Belgique, Bruxelles,1940, t. I
seul. 2 500 – 5 000 €
Exceptionnel ensemble d’archive de la comtesse Olga Ignatieff comprenant plus de 500 lettres au format de carte postale depuis 1923 jusqu’aux années 70 aux principaux membres de l’émigration blanche : Grande-duchesse Xénia de Russie, Grandeduchesse Hélène de Russie, Pce. Youssoupoff, Pce. Golytsine, Pce. Volkonsky, Pce. Kourakine, Pce. Narichkine, Pce. Ouroussoff, Pce. Vassiltchikoff, Cte. Bobrinskoy, Cte. Mouraviev- Apostol, Pierre Kovalevsky, M. Prichvine, Annenkov, Girs. Parmi ces lettres il convient de noter la correspondance avec la comtesse Zinaida Guéorguievna von Megden, demoiselle d’honneur de l’impératrice Maria Féodorovna. Quelques lettres traitent du travail d’interprète du comte Alexis Ignatiev au consulat de France à Munich et d’une affaire d’espionnage quiimplique Samsonov.
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LOT 191 – Croix Loukoul Rare médaille, dont il n’existe que quelques
dizaines d’exemplaires, frappée à l’exemple de celle de Gallipoli, en souvenir du Yacht
de l’Etat-major de l’armée du général Wrangle qui fut coulé le 15 octobre 1921. 600 – 700 €
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LOT 196 – DENIKINE (Anton Ivanovitch) 1872-1947,
Proclamation imprimée et signature autographe pour l’aide aux anciens
blessés de guerre. 1 p. in-4° ; en français. Petites tâches et pliure. 200 – 300 €
Centre Spirituel et Culturel Orthodoxe Russe, VII Paris
Organisée par Cultures Croisées.
12 artistes russes
Représentants les meilleures Académie d’Art de Russie, vivant à la fois en Fédération de Russie et dans différents pays d’Europe.
Festival Cultures Croisées a réunit ces artistes sous le titre
« L’art graphique russe sans frontières »
Les peintres:
ANNA FILIMONOVA
Commissaire de l’exposition
Diplômée de l’Académie des Beaux Art Institut Répine, à Saint-Pétersbourg, membre de l’Union des Artistes de France, vit à Paris, chef de la délégation et présidente du “Carrefour culturel”
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ALEXANDER VASSILIÉVITCH SAÏKOV
Diplômé de l’Académie des Beaux Arts de l’ Institut Répine à Saint-Pétersbourg, aquarelliste, membre de l’Union des artistes de Saint-Pétersbourg.
Ancien directeur du Centre des expositions de l’Union des artistes de Saint-Pétersbourg, depuis 1994, il est le premier vice-président de cette organisation.
En 2017, A.V.Saïkov a été nommé président du conseil d’administration de l’Union des artistes de Russie de Saint-Pétersbourg.
Alexander Saïkov peignant sur site.
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Alexander Dodon
Diplômé de l’Institut Répine (Académie des beaux arts de Saint-
Pétersbourg), peintre, membre de l’ Union des Artistes de Saint-Pétersbourg.
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Luminitsa TABURTSA
Diplômée de l’Académie des Beaux Arts de l’Institut Répine à Saint-Pétersbourg, habite à St Petersbourg.
lAIMA GOGDA
Peintre diplômée de l’Académie des Arts de Kichinov, membre de l’Union des artistes de Russie et membre du Fonds international d’art, vit à Moscou.
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Alexandra GUGUCHKINA – DA FONSECA
Diplômée de l’Académie de Culture de Krasnodar, vit à Paris.
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Rustam IGAMBERDIEV
Membre de l’Union des artistes de Saint-Pétersbourg,
sculpteur, diplômé de l’Institut Répine (Académie des beaux arts de Saint-
Pétersbourg), habite Saint-Pétersbourg.
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OLGA LITVINENKO
Diplômée de l’Académie des Beaux Art Institut Répine, à St Petersbourg, aquarelliste, membre de la Société internationale des maîtres de l’aquarelle, vit à Saint-Pétersbourg.
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ELENA MOROZ
Diplômée de l’Institut pédagogique de Stavropol, à étudié à Art Studio vit à Meudon (près de Paris).
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MARINA POSPELOVA-EZHEVSKAYA
Diplômée de l’Académie des Beaux Art Institut Répine à Saint-Pétersbourg, vit à Munich.
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SVETLANA ROMANOVA
Diplômée de l’Académie Stieglitz
Artiste, membre de l’Union des artistes de Saint-Pétersbourg, dirige plusieurs chaînes YouTube, designer, vit à Saint-Pétersbourg.
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IRINA REBNITSKAYA
Diplômée de l’Académie Stieglitz , responsable d’IWS Finlande; Membre du conseil d’administration de l’Union des aquarelles de Finlande (SAY), vit à Espoi, Académie finlandaise des beaux-arts, aquarelles, un représentant d’IWS Finland vit à Espoo (Finlande).
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TATYANA YASSIEVICH
Elle a étudié à l’Académie Stieglitz de Saint-Pétersbourg et la post-académie de Ateliers à Amsterdam (Hollande).
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OLGA ARKHIPOVA
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NADEJDA MARTINOVA & OLGA ALEKSANDROVA
Qui exposent une œuvre monumentale “Sous le ciel de Paris”, exposées dans le cdre du alon des indépendants de l’ART CAPITAL.
Rendez-vous incontournable depuis 1995, le Festival russe du Théâtre Toursky International accueille l’âme russe durant plusieurs jours. Le Festival russe défend une culture multiple, indivisible et universelle, autour des valeurs de la diversité artistique. Mené sans défaillance, Saison après Saison, cet événement a su trouver sa cohérence artistique et un public toujours plus fidèle et nombreux.
Au programme, du théâtre en langue originale surtitrée avec des spectacles d’auteurs classiques et contemporains, des comédies musicales, des concerts, des œuvres cinématographiques des plus grands réalisateurs russes, des expositions, des Universités populaires, des ateliers participatifs pour les enfants, des rencontres…
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Programme
vendredi 6 et samedi 7 mars
Une satire de la société inégalitaire et de la justice vénale de l’Ancien Régime. Une œuvre d’une intense gaieté que vous ne serez pas prêts d’oublier !
Les problèmes de société, les questions d’argent, d’âge et de mariage, les différences entre les classes sociales et les générations, s’enracinent dans la trivialité et le langage de la vie quotidienne, avec un souci de vérité et de réalisme. Louis XVI qualifia la pièce « d’exécrable, qui se joue de tout ce qui est respectable » ; Danton quant à lui fit le verdict « Figaro a tué la noblesse ! », et Napoléon déclara : « C’est déjà la Révolution en action ! ».
Après plusieurs années de censure, la pièce, par sa dénonciation des privilèges archaïques de la noblesse et de l’aristocratie, fut considérée comme l’un des signes avant-coureurs de la Révolution française et donc comme œuvre politique.
Quiproquos, péripéties multiples, coups de théâtre, rebondissements trépidants autant qu’invraisemblables, déguisements, danses diverses ponctuent en permanence cette comédie d’intrigues et de mœurs. Dans la lignée de Molière, c’est aussi une comédie de maître et de valet, avec un jeu de miroir déformant.
En s’emparant de cette œuvre, Alexandre Slavoutski nous offre un magnifique moment de théâtre et dirige d’une main de maître des acteurs qui excellent.
C’est pétillant comme du champagne.
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Mardi 10 mars à 20h30
Une plongée dans l’univers merveilleux de la nuit, un concert rare.
Au centre de ce concert pour chœur d’enfants et piano, la musique slave avec les œuvres de Dvořák, Stravinsky et Rachmaninov. Ces compositeurs mettent en lumière les textes poétiques russes ainsi que des mélodies populaires tchèques. L’univers des voix d’enfants est associé à des pièces pour piano seul évoquant l’enfance.
Le piano joue ici un rôle prépondérant comme un passeur de l’enfance à la maturité. On découvre avec passion des pièces pour piano de Glinka, Liadov, Chostakovitch, Moussorgsky ou Khatchaturian. La palette riche en expressivité et l’émotion musicale de Magali Frandon en font une interprète hors pair de ces pépites musicales.
La Maîtrise des Bouches-du-Rhône participe aux productions lyriques des opéras de Marseille, Avignon et Vichy. Elle est invitée par les plus grands festivals : Les Chorégies d’Orange, le Festival d’Aix-en-Provence ou encore le Festival de la Chaise Dieu…
La beauté cristalline, la fraicheur de ces voix d’enfants et l’interprétation des œuvres choisies par la Maîtrise, sous la direction précise, attentive et exigeante de Samuel Coquard, tendent à la perfection.
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Vendredi 13 mars à 20 h 30
SOIRÉE EXCEPTIONNELLE
Les vendredi 6 et samedi 7 mars, après leurs représentations de La folle journée ou le Mariage de Figaro, le cabaret sera animé par les comédiens du Théâtre de Kazan.
Les mardi 10 et samedi 14 mars, après Notchka et Le Maître et Marguerite, les cabarets seront animés par le Théâtre sur la Pokrovka.
Vendredi 13 mars soirée exceptionnelle CABARET RUSSE.
Le vendredi 20 mars, après Les Ballets Légendaires, le cabaret sera animé par la troupe Koliada.
En exclusivité CABARET RUSSE, Musique, dance, repas, vodka… par le théâtre sur la Pokrova.
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Samedi 14 mars à 20 h 30
Une fantaisie fantastique contre le totalitarisme.
Dix-huit personnages, huit acteurs, le diable, un bourreau, une sorcière, le Christ, trois écrivains, une infirmière, un chat qui parle, trois récits qui s’entrelacent, des tirades en grec ancien, en hébreu, en russe, en anglais, une chambre d’hôpital psychiatrique, le palais d’Hérode en l’an 33 de notre ère, le théâtre d’art de Moscou dans les années 30, un plateau de journal télévisé, une plage à Yalta, un parc, une salle de bal infernale, de la vidéo, des chansons, un dispositif tri-frontal, des billets de 100 euros qui pleuvent du plafond, un homme qui a la tête coupée, un autre qui reçoit trois balles dans le ventre, Jésus qui meurt sur la croix, et mille autres tours de magie…
Cette pièce déborde de partout comme le roman dont elle est tirée, roman mythique écrit et ré-écrit des années durant, jusqu’à sa mort, en 1940, par Mikhaïl Boulgakov, qui savait que jamais il ne le verrait publié de son vivant, la censure soviétique l’ayant depuis longtemps à l’œil. L’auteur y traite de sa condition d’écrivain à Moscou sous le stalinisme et rend un hommage démentiel au Faust de Goethe. Sa plus évidente provocation, faire de ce récit une tribune évoquant Le Nouveau Testament à travers les figures du diable, du Christ et de Ponce Pilate à une époque où la seule religion d’État était l’athéisme.
Conte fantastique, satire politique, histoire d’amour… Igor Mendjisky, dans une mise en scène imagée, nous livre ici une adaptation parfaite du plus grand chef-d’œuvre de la littérature russe et nous offre une suite de visions hallucinées, nous racontant une réalité vécue comme la plus labyrinthique des folies.
Un spectacle ludique, fantastique, cocasse et grave.
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Vendredi 20 mars à 20h30
L’occasion unique de voir réunis sur scène les meilleurs danseurs de Saint-Pétersbourg et de Moscou qui nous interpréteront les plus beaux fragments de chefs-d’œuvre mythiques du ballet mondial.
Considéré comme le meilleur au monde, le ballet classique russe représente depuis toujours la carte de visite de la Russie, une valeur incontestée et la fierté du pays. Les noms de ses danseurs sont aujourd’hui connus du grand public dans le monde entier : Matilda Kshesinskaïa, Anna Pavlova, Agreina Vaganova…
En dignes successeurs, les danseurs solistes des mondialement renommés Théâtres Bolchoï, Mariinsky et Mikhailovsky se réuniront exceptionnellement sur la scène du Toursky pour une performance de haute volée.
Sur les musiques de Tchaïkovski, Delibes, Pugni, Rimsky-Korsakov ou d’autres encore issues de productions de Petipa et de Fokine, ces artistes honorés de Russie et lauréats des grands concours internationaux nous époustoufleront par leur virtuosité et leur grâce, en exécutant avec la facilité des anges, les fragments les plus beaux, les plus colorés et les plus compliqués techniquement de ballets légendaires : Le Lac des cygnes, Le Corsaire, Shéhérazade, Les Flammes de Paris…
Amateurs de ballet, de beaux-arts, de musique et de danse, ne manquez pas cet événement unique !
Cinéma
les soirées cinéma se prolongent avec un cocktail russe à partager après chaque séance. Tarif unique : 8€
(Projection + Cocktail)
Mardi 17 mars 20h30
Le légendaire N° 17, réalisateur Nikolaï Lebedev, 2013
En 1972, l’équipe soviétique de hockey sur glace réalise un exploit en battant le Canada : 7 buts à 3.
Le joueur n°17 entre à jamais dans l’histoire du hockey et devient un exemple de combativité et de courage pour les jeunes sportifs. Par son talent et sa détermination, il devient une légende vivante ! Inspiré de la vie de Valeri Kharlamov, joueur anonyme devenu une star internationale et décédé prématurément à 33 ans, le réalisateur Nikolai Lebedev signe un film passionnant. Il insuffle un souffle épique à sa mise en scène. Danila Koslovsky est éblouissant en Kharlamov. Époustouflant !
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Mercredi 18 mars à 20 h 30
Le Lichen des caribous, réalisateur Vladimir Toumaev 2014
Le jeune Nenets Aliocha se marie avec une voisine pour céder aux pressions de sa mère. Il doit perpétuer la lignée. Mais son cœur bat pour son amour d’enfance Aniko, la fille du vieux Seberouï. Elle est partie étudier à l’université de Tioumen et n’est jamais revenue au village. Chaque jour, Aliocha scrute la route et attend son retour… Il est déchiré entre l’envie de retrouver son amour impossible et le devoir de faire vivre les traditions de ses ancêtres. Un magnifique voyage au pays des Nenets, peuple nomade du cercle polaire sibérien presque vierge de toute technologie. Ce peuple en lien étroit avec la nature tente de concilier modernité et tradition. Le réalisateur Tournaev nous interroge sur cette question fondamentale : la technologie doit-elle nous libérer ou demeurer un objet de contrôle ? C’est le premier film russe à avoir obtenu le prix du public du Festival international de Moscou. D’une beauté à vous couper le souffle !
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Jeudi 19 mars 20 30
Ici les aubes sont calmes, réalisateur Renat Davletiarov, 2015
Une course-poursuite haletante. Mai 1942. L’URSS est en pleine guerre, mais loin du front, les Nazis envoient, vers une voie d’évitement perdue, un commando qui a pour but d’atteindre la voie ferrée de Kirov et le Canal de la Mer Blanche. Ce ne sont pas de simples soldats d’infanterie, mais des agents de diversion entraînés et chevronnés, l’élite des troupes SS, des « surhommes ». Et pour leur faire face il n’y a que l’adjudant Vaskov et cinq très jeunes filles, déjà marquées par la guerre, le massacre de leur famille ou la mort de leur mari ou fiancé. Avec une unique batterie de D.C.A., elles devront se battre pour le droit à l’existence, la leur et celle de la patrie russe : l’invasion nazie en URSS a déjà fait plus de 30 millions de morts. L’adjudant pourra-t-il avec ses nouvelles et fragiles recrues arrêter le commando nazi ? Et à quel prix ?
Un film étourdissant.
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Le 30 octobre 1970, une poignée d’artistes écrivit le nom du poète Axel Toursky sur le fronton d’une salle de quartier, à Saint-Mauront, la Compagnie Richard Martin était née.
En 1971, Richard Martin fonde le Théâtre Toursky sur ce qui n’était qu’un hangar. C’était, disait-on en ce temps, une grande folie que de rêver installer dans un quartier populaire. En 1974, l’orientation artistique et citoyenne de Richard Martin débouche sur une création pionnière. Il équipe un autobus, le Théâtrobus, et égrène ses spectacles dans les cités.
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THÉÂTRE TOURSKY INTERNATIONAL
16 passage Léo Ferré – 13003 MARSEILLE
Standard : 04 91 02 58 35
Voiture: dans le quartier de Saint-Mauront, le Théâtre Toursky est indiqué à l’angle du boulevard National et de la rue Félix Pyat. Depuis l’autoroute A7, emprunter la sortie « Cinq avenues/Belle de Mai ». Au feu, tourner à droite dans la traverse de Gibbes, puis suivre le fléchage vers le Théâtre. Depuis le boulevard de Plombières, le Théâtre est indiqué au bout du boulevard, sur votre gauche.
Ivan Alexeïevitch Bounine (Иван Алексеевич Бунин), né à Vornej (Empire russe) le 10 octobre 1870 (22 octobre suivant le calendrier grégorien) et mort à Paris le 8 novembre 1953, écrivain russe, auteur de poèmes, de nouvelles et de romans, lauréat du Prix Nobel de littérature en 1933. Il est considéré comme l’un des plus grands prosateurs russes du XXème siècle.
Ses parents sont poétes, à dix-sept ans, il publie son premier poème dans un magazine littéraire de Saint Pétersbourg, La Patrie, et devient correcteur pour un journal local, Le Moniteur d’Orel.
Il publie à Orel son premier recueil de poèmes en 1891, puis Sous le ciel ouvert en 1898 puis Automne, pour lequel il reçoit le prix Pouchkine en 1901. En 1889, il suit son frère à Kharkov et correspond avec Anton Tchekhov, dont il fait la connaissance en 1895 et avec Maxime Gorki et Léon Tolstoï. Il voyage à travers l’Inde, la Palestine, l’Egypte l’Italie. Il fuit la révolution russe quittant Moscou en pour s’installer dans le sud du pays, tenu par les armées blnches. Il quitte la Russie 1920 pour s’installer en France, où il vit à Paris dans le XVIème au 1 rue Jacque-Offenbach et à Grasse. Il publie son journal extrêmement critique à l’égard du régime bolchévique.
Des extraits de ses récits paraissent régulièrement dans La Pensée Russe et certains sont traduits en français, mais il faut attendre 1980 pour que son œuvre soit diffusée de manière plus large en France. Son œuvre est interdite en URSS et n’y est publiée qu’après la mort de Staline. Il meurt d’une crise cardiaque à Paris en 1953, il est enterré à Ste Geneviève des Bois.
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Table ronde avec la participation des spécialistes russes et français de Bounine.
Lecture bilingue et romances d’après la poésie de Bounine.
Vadim Polonsky, directeur de l’Institut de la littérature mondiale Maxime Gorki (ILM) de l’Académie des sciences de Russie (ASP) ;
Sergueï Morozov, docteur en philologie ;
Serge Rolet, professeur à l’Université de Lille ;
Anne Foscolo, maître de conférence à l’Université Lyon III ;
Chœur de Crimée sous la direction d’Igor Mikhaïlevskiy ,est un chœur russophone qui a atteint une notoriété nationale et internationale. Il vient de cette grande presqu’île qui sépare la mer Noire de la mer d’Azov.
Composé d’une vingtaine de choristes, cet ensemble vocal, tout à fait remarquable, a été fondé en 1994 par Igor Mikhailevskiy, diplômé du Conservatoire Prokofiev de Donetsk.
Il se produit régulièrement dans les plus grandes salles de concert de la République de Crimée, d’Ukraine et de Russie où il a assuré les premières auditions publiques d’oeuvres de compositeurs occidentaux, russes et ukrainiens interdits durant la période soviétique.
Ce n’est pas le hasard si un tel ensemble vocal a pu naître en Crimée, pays conquis mille huit cents ans avant notre ère par les Grecs qui lui donnèrent alors le nom de Tauride, d’après la tribu des Taures qui la peuplait. C’est par la Crimée, en effet, que le Christianisme, dans sa version orthodoxe, a, plus tard, été introduit en Russie. Le Chœur de Crimée apparaît, de ce fait et naturellement, comme le propagateur, par la musique, d’un message spirituel invitant les hommes de tous horizons à la foi, à la paix, à l’amitié et à la bienveillance mutuelle.
Les artistes qui composent le Chœur de Crimée chantent et voyagent pour faire partager cet enthousiasme. Partout ils reçoivent l’appui d’associations et de mécènes sensibilisés à la musique et au chant sacré. De cette manière ils assurent la diffusion internationale du chant choral russe dont ils entretiennent et pérennisent l’admirable réputation
Igor Mikhailevskiy, Directeur de l’Ensemble d’Etat chant-chorégraphique de l’Ukraine «TAVRIA»;
a successivement été diplômé de l’Ecole de musique de Slav’ank’s, du Collège de musique de Dzerzinsk et, enfin, du Conservatoire d’état Prokofiev de Donetsk. Après avoir obtenu son diplôme d’études supérieures, il a enseigné l’éducation musicale, les techniques de la voix et la direction de chœur.
Il a reçu en avril 2002 le titre de Citoyen d’honneur des Arts de la République autonome de Crimée en remerciement de sa grande contribution au développement de la culture nationale et des arts.
Chef de chœur et fondateur du Chœur de Crimée, Igor Mikhailevskiy a conçu et exécuté quelques uns des programmes de musique les plus réussis et les plus appréciés d’Ukraine. On a pu ainsi y entendre les Vêpres de Rachmaninov, L’Ange scellé de Schedrin, les Carillons de Gavrilin, Lagoda de Sviridov, le Requiem, la Pavane» et le Cantique de Jean Racine de Gabriel Fauré, l’opéra folklorique Koupalo de Stankovitch, les Chants de devotion de Denissova, et, tout dernièrement, la Liturgie de Saint Jean Chrysostome de Schukh.
le Chœur de Crimée a été couronné de succès dans toute l’Europe lors de tournées. Sous sa direction le Chœur a remporté les honneurs et les prix les plus élévés lors de concours en Allemagne à Lindenholzhausen, en Espagne à Alava, en Belgique à Maasmachelen, aux Pays Bas à Monster, etc. En France, il s’est produit dans les plus grands festivals comme le Festival de musique sacrée de Sylvanes, les Choralines de Chamonix, Musique en Béarn, Pro musica, le Festival international de Provence, Musique classique en Aveyron.
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Principaux solistes de la chorale.
Evgeniya Volkova, soprano, diplômée du Collège Musical de Simféropol ( département chant).
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Yuriy Vasil’ev, baryton, diplômé du chef de chœur de l’Académie Musicale russe. De 1999 à 2003, il a été chef de d’orchestre du Théâtre Musical Ukrainien de Simférol.
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Evgenija Stepanenko, soprano, diplômée du Collège Musical de Simféropol (département chorale), depuis 2002 elle chante dans la chorale.
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Denis Ben’ko, tenor, diplômé de l’Université des Arts de Kharkov ( département instruments nationaux, il chant dans le chœur depuis 2006.
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Vladislav Chernikov, ténor, diplômé de chant soliste du Conservatoire d’état d’Odessa, laurét du Concours international de chant de Copenhague.
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Vladimir Gomba, basse, diplômé de l’Université de la Culture de Crimée. Il a chanté lors de productions en Crimée de la Couronne de Pouchkine de Sviridov sur un texte de Pouchkine.
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Libre participation aux frais
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Une église en 1681 est rebâtit, suite à l’ancienne tombée en ruine, (30 m de longueur, 14 m de large, 18 m de hauteur) . En 1761, il y a orgues, cloche, galopin. En 1889, l’église menace de tomber en ruines, en mars 1909, une souscription est ouverte pour les réparations, fin avril, les travaux sont bien avancés quand le tremblement de terre du 11 Juin 1909 remet tout en question. Ce fut un désastre dans tout le pays. Le Petit Marseillais , journal local écrit : «A Eguilles, l’église et le château sonten très piteux état et les maisons ne valent guére mieux ».
Les dégâts sont tellement importants que, au mois de Janvier 1910, la Municipalité est d’accord avec l’architecte et l’entreprise pour faire tomber les murs pendant que la population est endormie. A partir de novembre 1909 et pendant 4 ans, la messe sera célébrée dans une chapelle en planches, élévée dans un coin du terrain de Madame Girard. La messe en semaine est dite dans la chapelle de l’hôpital où est conservé le Saint Sacrement.
Grâce à un emprunt municipal et au dévouement de la nouvelle municipalité, les travaux commencèrent en avril 1912. Le 8 Juin 1913, eut lieu la bénédiction de la nouvelle Eglise. Le drapeau de la France flotte au sommet de la vieille tour du château. Quand Mgr Bonnefoy arrive à 9 h, l’Eglise est envahie. Au milieu d’une foule à genoux , Monsieur le curé apporte le Saint Sacrement dans sa nouvelle demeure. La grand messe commence. L’office du soir sera célébré devant une assistance aussi nombreuse.
Cathédrale de Saint Croix-Saint Jean des Arméniens, III° Paris
Le quatuor LADO vous montrera son nouveau programme composé d’anciens chants religieux et de ceux tirés de rituels paysans.
Cette fois, l’ensemble Lado réalise un vieux rêve, chanter non seulement du folklore, mais également les vieux chants de l’église russe, une ligne de trois notes. Si quelqu’un ne le sait pas, ce style de chant polyphonique complètement mystérieux et très dissonant est apparu en Russie au début du XVIIe siècle et a été remplacé par la voix homophonique harmonique à quatre voix venant de l’Ouest au milieu du XVIIIe, que nous connaissons tous sous le nom de “chant d’église russe“. Le son des mélodies de la triple ligne est si inhabituel qu’il suscite encore un débat houleux, et certains historiens doutent de son existence même. Mais il existe des manuscrits et des indications claires sur la fonction de chaque voix. Et lorsque vous maîtriserez ce style dans la pratique, vous commencerez à ressentir ce monde sain et à comprendre ses lois. “Troestrotchie”, ou 3 voix s’enlaçeant dans les harmonies étroites et hautement dissonantes.
Ce concert offre un panorama de chants traditionnels russes de différents genres et caractères, ainsi que des chants liturgiques et paraliturgiques russes provenant de la tradition ancienne. La narration musicale se constitue à l’aide d’improvisations instrumentales sur les instruments classiques et populaires.
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Musicienne, ethnomusicologue, et chef de chœur, Olga Velitchkina de Moscou, est issue du Conservatoire Tchaïkovski. Elle vit et travaille en France depuis 1998. Diplômée du Conservatoire National Supérieur Tchaïkovski de Moscou (Russie) et d’Université d’État d’Ohio (États-Unis), elle possède plus de 30 ans d’expérience dans le domaine du chant et de la musique instrumentale villageoise de différentes provinces de Russie.
En 2002, afin de partager sa passion pour la musique traditionnelle des Slaves de l’Est, Olga Velitchkina a fondé l’ensemble LADO à la faculté d’études Slaves de l’Université Sorbonne-Paris 4, où elle enseignait. Cet ensemble est au cœur de l’association « LADO Polyphonie Russe », dont Olga est la directrice artistique.
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Iya Zakovryashina est musicienne professionnelle diplômée du Conservatoire National Supérieur Tchaïkovski (Moscou, Russie) et professeur de musique au Conservatoire d’Ivry. Elle est vice-secrétaire de l’Association et responsable de la communication.
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Estelle Delavennat est au coeur des projets de Lado. Chanteuse depuis de nombreuses années, elle assure les parties solistes pour les prestations du groupe lors des concerts. Linguiste de formation, elle aide aux membres de LADO dans le travail de prononciation de chaque chanson pour interpréter, au plus juste, les chants en dialecte local. Elle effectue également la surveillance des traductions en français et anime ponctuellement les répétitions du groupe.
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Katarzyna Stankiewicz, d’origine russo-polonaise orthodoxe. Issue de faculté d’études Slaves de l’Inalco, elle vie et travaille à Paris depuis, plus de 15 ans.
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IrinaTelkova, danseuse professionnelle et metteur en scène, diplômée de la faculté des lettres de l’Université de Novossibirsk. Membre de LADO depuis plusieurs années, elle est l’une des chanteuses et danseuses du groupe. Elle assure, également, le rôle de chorégraphe et supervise les danses et action scénique. Irina Telkova travaille actuellement à l’école bilingue « Rossinka » à Paris.
LIBRE PARTICIPATION AUX FRAIS
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L’origine de cette église remonte au début duXVIIe siècle. L’église Saint-Jean-Saint-François est construite ainsi qu’un couvent attenant où s’installent des frères capucins. La chapelle de ce couvent est construite l’année suivante, en 1623 , sous le vocable de l’«Immaculée Conception», sur l’emplacement d’un ancien jeu de paume. A la Révolution le couvent est détruit. L’église est aggrandie entre 1828 et 1832. En 1970 l’église, alors fermée au culte, est confiée par le cardinal Marty à la communauté arménienne qui était en recherche d’une église paroissiale. L’église est primitivement appelée «Saint-Jean-Sainte-Croix», puis «cathédrale Sainte-Croix de Paris» lorsque l’Exarchat des Arméniens catholiques est élevé au rang d’éparchie en 1986.
Cathédrale de Saint Croix-Saint Jean des Arméniens
Après la série de concerts avec le spectacle “Urgence de Vous” et quelques tournées en province cette fois récital en solo sur une petite scène parisienne de “La Comédie Dalayrac” située en plein cœur du quartier Opéra, mitoyenne au théâtre des Bouffes Parisiens.
Véronika interprétera les poèmes qu’elle a mis en musique de: Marina Kniazeva, Natalia Ermilova, Edouard Assadov, Serguei Saoulskiy ainsi que celles de Marina Tsvetaeva et Alexandre Vertinsky.
Chanteuse et guitariste, compositeur et interprète, Veronika Bulycheva vient de l’Oural, cette région de la Russie profonde. Originaire de ce pays que l’on considère comme limite naturelle entre l’Europe et l’Asie, Veronika garde en elle ce trait d’union artistique qui permet de retrouver l’intimité et l’émoi d’un univers poétique commun.
À travers ses chansons, Veronika invite à plonger au cœur de cette Russie, belle et complexe. Un univers sensible, qu’elle ouvre avec bienveillance et hospitalité, en mêlant russe et français. Un voyage au sein de l’âme slave, où l’on sait rire d’un drame autant qu’en pleurer, et que l’on porte longtemps en soi.
Dans ce voyage l’acompagne Darya Pazharytskayaau violon .
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La Comédie Dalayrac,
36 rue Dalayrac 75002 Paris Métro : 4 septembre / Pyramides / Opéra
C’est la Paroisse de l’Église Saint Georges de Rybinsk (région de Yaroslavl) qui nous accueillera le jour de la Fête avec au rendez-vous, la Chorale Sokolyata qui était à Meudon en 2017 et avait alors ravis par son chant.
Le programme de ce voyage est préparé en partenariat avec l’agence Tsar Voyage de Paris et avec ses homologues russes, agences touristiques de Rybinsk.
Ce sera un voyage extraordinaire, à la fois touristique et associatif, traditionnel et innovant avec, sur son carnet de route, des sites connus et la découvertes de certains qui ne figurent pas dans les catalogues des agences touristiques, réunissant des visites des curiosités et des rencontres avec des personnes, des découvertes de l’artisanat russe ainsi que avec plusieurs événements franco-russes.
Programme du voyage
Vendredi 1 mai
Départ de Paris pour Moscou à 11 h 30 de Roissy – CDG (vol Aeroflot). Arrivée à Moscou à l’aéroport de Sheremyetevo à 16 h 20. A Moscou, le groupe sera logé à l’hôtel Pouchkine 4* à 2 minutes à pied de la rue Tverskaya dans un quartier calme qui rappelle le Moscou du XIXe siècle.
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Samedi 2 mai
Petit déjeuner, départ en car pour un tour guidé de Moscou qui vous amènera à la Place Rouge : visite guidée de la Cathédrale Saint-Basile-Le-Bienheureux.
Pause déjeuner dans un restaurant servant de la cuisine russe Visite guidée du Kremlin dans l’après-midi Le soir, temps libre et dîner libre en ville
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Dimanche 3 mai
Petit-déjeuner et départ en métro à la galerie d’art Tretiakov (visite guidée)
Après le déjeuner dans le restaurant «Bratya Tretyakovy», départ en car pour visiter la Cathédrale du Christ Le Sauveur.
La journée se terminera par une promenade dans le quartier piétonnier Arbat et un dîner libre en ville
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Lundi 4 mai
Départ en car après le petit déjeuner, vers la ville de Serguiev Possad (75 km de Moscou), visite guidée de La Laure de la Trinité-Saint-Serge, un centre spirituel de l’Église orthodoxe russe célèbre dans le monde entier, inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.
Le déjeuner est prévu sur place. En début d’après-midi, départ en car pour Rostov Veliki, une des plus anciennes villes de Russie et un important centre touristique de l’Anneau d’Or (anciennes villes princières) (130 km de route).
A Rostov, promenade guidée dans le centre ville historique – le Kremlin et une découverte de l’artisanat traditionnel russe Finift’
Le soir, arrivée à Yaroslavl, capitale du circuit touristique L’Anneau D’Or située au confluent de la Volga et de la Kotorosl, à 250 km au nord-est de Moscou.
La ville porte le nom de son fondateur, le prince de la Rus’ de Kiev, Yaroslav le Sage. Fondée en 1010, c’est la plus ancienne ville slave sur la Volga. A Yaroslavl, hébergement à l’Hôtel Ring Premier 4* Dîner à l’hôtel.
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Mardi 5 mai
Journée consacrée à la découverte des richesses historiques et culturelles de Yaroslavl, tour de ville en car suivi d’une promenade piétonne dans le centre ville, classé patrimoine mondial de l’Unesco.
Visite du musée-monastère Spassky, ancien monastère de la Transfiguration du Sauveur, un des plus anciens de la région de la haute Volga (XIIe siècle).
Durant des siècles, le monastère a joué un rôle important dans l’histoire de Yaroslavl et de la région comme centre spirituel, culturel et économique. Désaffecté et transformé en musée sous l’ère soviétique, il abrite aujourd’hui des collections d’icônes, d’objets d’art, de joaillerie venant des sacristies des églises et des monastères de la région de Yaroslavl.
Déjeuner en ville
Visite du musée d’art qui se trouve dans l’ancien palais du gouverneur construit en 1821-1823. Avec une collection d’icônes particulièrement celles de l’école de Yaroslavl et une collection de peintures russes (XVIII-XXe siècles).
Rencontre discussion-thé avec l’Association «Maison de l’Amitié Yaroslavl-Poitier»
Dîner en ville
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Mercredi 6 mai
Visite du petit village de Viatskoïe, à 38km de Yaroslavl, restauré par un mécène russe, élu “plus beau village de Russie” en 2015 et jumelé avec Semur-en-Brionnais (Bourgogne) depuis 2019. Tour guidé du village avec des visites de musées et un déjeuner sur place.
Début d’après-midi, car pour Romanov-Borisoglebsk (renommé en 1918 Toutaev) – 37km, une petite ville fondée en XIVe siècle, faisant partie de l’Anneau d’Or, située sur les bords de la Volga. Visiter la Cathèdrale de Résurrection.
Romanov-Borisoglebsk est à 50 km de
Rybinsk, ville qui accueillera cette
année La Fête de Saint Georges.
A l’arrivée à Rybinsk, installation et dîner à l’hôtel.
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Jeudi 7 mai
Rybinskse trouve hors des grands circuits touristiques mais la ville dont l’histoire commence en 1071 mérite un détour. Mentionnée en 1504 sous le nom de Rybnaïa Sloboda (c’est-à-dire village de pêche car la localité fournissait la cour de Moscou en esturgeons), elle obtient des droits municipaux de la part de Catherine II en XVIII siècle (lors de sa visite à Rybinsk) et est désormais appelée Rybinsk…
Déjeuner en ville
Visite du musée d’art et d’histoire de Rybinsk suivie d’une conférence-atelier sur l’art d’icône En fin d’après-midi, vernissage de l’exposition de photographies de l’artiste française Michèle Brabo,
Michèle Brabo,photographe et actrice française, née Michèle Alphonse Leducle le 16 septembre 1916 à Paris, ville où elle est morte le 30 janvier 2013.
Dîner en ville
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Vendredi 8 mai
Découverte d’Ouglitch(72 km), une des plus belles villes princières de l’Anneau d’Or s’étirant le long de la Volga. Nous y visiterons le Kremlin, le Palais des Princes (1480), l’Église Saint- Dimitri-sur-le Sang-Versé (1692) construite en l’honneur du Tsarévitch Dimitri, fils d’Ivan Le Terrible assassiné à Ouglitch en 1591.
Après le déjeuner, retour à Rybinsk, halte à l’hôtel avant d’aller à La Fête de Saint Georges avec visite de l’Église Saint Georges, concert de chants et buffet russe.
Dîner en ville
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Samedi 9 mai
Fête de la Victoire dans la Seconde Guerre Mondiale. Le jour aux couleurs noires et dorées du ruban de Saint Georges.
Festivités de ce 75e anniversaire de la Victoire et défilé des immortel, hommage populaire aux soldats qui ont laissé leur vie dans les combats de la guerre devenant immortels dans nos souvenirs.
Déjeuner en ville
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Visite guidée du musée de la région de Mologa, Rybinsk se situe sur la Volga et également sur «la mer» artificielle de Rybinsk – un réservoir d’eau d’une superficie de 4 580 km2 construit et rempli d’eau de la Volga détournée par un barrage entre 1935 et 1941. Un projet gigantesque de l’époque stalinienne avec un bilan dramatique : 150 000 personnes déplacées, la ville de Mologa ainsi que 663 villages de sa région submergées par les eaux.
Promenade en bateau sur la mer de Rybinsk est prévue après la visite du musée.
Dîner en ville. Feux d’artifice de la Fête de la Victoire
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Dimanche 10 mai
Départ en car à 7 h pour Moscou tout en restant sur la célèbre route touristique de l’Anneau d’Or. Escale à Péréslavl Zalesski (210 km), petite ville de 40 000 habitants, fondée en 1152 par le prince Youri Dolgorouki.
Pour une si petite ville, son histoire est étonnamment riche : le célèbre prince Alexander Nevsky est né ici, Pierre Ier a fait de la ville le berceau de la flotte militaire russe. Déjeuner et promenade accompagnée.
Arrivée à Moscou, à l’aéroport de Sheremetyevo 2 (115km) à 16 h. Vol Aeroflot Moscou-Paris à 18 h.
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Les tarifs :
– pour un groupe de 30 personnes – 1815 euros par personne
– pour un groupe de 20 personnes – 1945 euros par personne • pour les enfants de moins de 12 ans, contactez l’agence Tsar Voyages.
Pour une chambre individuel (Single) plus value :
À Moscou et Yaroslavl (du 1 au 6 mai) = 125 euros,
Et à Rybinsk (du 6 au 10 mai) = 60 euros.
Soit 185 euros de supplément pour un logement en chambre individuelle (Moscou, Yaroslavl et Rybinsk).
Les prix comprennent : 1. Les billets d’avion Paris-Moscou-Paris (Aeroflot) 2. L’obtention des visas par Tsar Voyages (non inclus les éventuels frais de Chronopost pour retour des documents) 3. Les supports visas (les vouchers et lettre d’invitation) 4. Les frais d’enregistrement des passeports 5. L’assurance obligatoire pour le Consulat 6. Le logement à l’hôtel à Moscou, à Yaroslavl et à Rybinsk en chambre double 7. Les repas sur la base des restaurants (en ville ou à l’hôtel) en pension complète à l’exception de 2 dîners libres à Moscou 8. Les visites avec droits d’entrée dans les musées et prestations mentionnées avec guide francophone ou avec traduction en français ainsi que tous les autres événements prévus dans le programme (vernissage de photos, rencontre avec l’association «Maison de l’amitié franco-russe» à Yaroslavl, la Fête de Saint Georges à Rybinsk) 9. Les transports en car de standard international (transferts aéroport, visites, accompagnement durant la journée) incluant la mise à disposition du garage au lieu de départ et de retour 10. La promenade en bateau à Rybinsk 11. L’assistance du bureau francophone Tsar Voyages sur place à Moscou 12. La mise à disposition de documents pour carnets de voyage (plan de ville, documents hôtel, etc.)
Les prix ne comprennent pas : – L’assurance plus complète Multirisques (annulation, maladie, rapatriement, bagages) : 70 euros par personne – Les dépenses d’ordre personnel – Les boissons alcoolisées pendant les repas non mentionnées au programme (possibilité d’inclure un forfait supplémentaire à déterminer).
Victor Tretiakovest connu en Russie et à l’étranger. Connu comme l’auteur de chansons sociales pointues, qui au début des années 90 résonnaient dans les programmes “Vzglyad”, “Jusqu’à 16 ans et plus”, “Au service de la patrie” (“Conversation avec les” Afghans “,” Sleep “,” Bells “, “Député”).
D’autres le connaissent et l’aiment comme des paroles merveilleuses – “Winter Night”, “White Bird”, “Party Night”, “Star” … ces chansons, après avoir été jouées au Festival Grunsjinsky, puis à la Chanson Radio sont largement connus en Russie et à l’étranger.
Mais, probablement, la plupart des personnes le connaissent, grâce à la chanson “Tube”, qui est devenue ces dernières années la marque de fabrique de Victor Tretyakov. Une chanson qui résonne en permanence dans “Laughing Panorama”, le programme télévisé “Joke for a joke”.
Les concerts de Victor Tretyakov ne laissent jamais le public indifférent. Une vision non standard des choses de tous les jours, votre propre philosophie et votre chaleur intéresseront tous les auditeurs. Victor lui-même invite le spectateur à un dialogue et, avec plaisir, répond toujours aux notes du public.
Victor s’est produit à Paris en 2014. Nous serons ravis de le revoir, ou peut-être de nous revoir.
Centre de Russie pour la Science et la Culture, XVI° Paris
Dans le cadre du projet « Encyclopédie musicale ».
Maestro Andreï Chevtchouk est né à Saint-Pétersbourg en 1970. Après une solide formation de chef d’orchestre et de chef de choeur, Andreï Chevtchouk exerce ses fonctions en Russie, en Allemagne, en Belgique, puis en France où il réside actuellement.
Si la direction d’orchestre symphonique reste sa principale vocation, tous types de formations lui offrent l’occasion de livrer un art accompli de chef d’orchestre.
Résident à Lyon, il est actuellement directeur musical du grand chœur classique lyonnais la Schola Witkovski, du festival Opéra et Châteaux de la Drôme, du Festival Opéra des Champs en Charente et du chœur Crescendo d’Amiens.
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Éléna Rakovadans Carmen.
Éléna Rakova, mezzo soprano, née en Russie où elle a suivi une formation de guitariste classique et de chanteuse, Elena Rakova s’installe à Paris en 2002.
Elle y travaille la technique vocale auprès de Eva Saurova et Jean-Christophe Grégoire. Elle rencontre Michel Sénéchal et Agnès Mellon qui l’aident dans l’interprétation du répertoire français et dans la prosodie de la langue française.
Elle chante régulièrement dans les oratorios (alto solo) avec le quatuor Dimitri ainsi qu’avec divers orchestres. En 2011, la mezzo-soprano interprète les rôles de Caecila et de Historicus dans Caecilia virgo et martyr de Charpentier sous la direction de Michel Laplénie et l’orchestre baroque de l’Académie du Périgord Noir.
Lauréate du concours de chant lyrique « Tenore Claudio Barbieri » en Italie en 2013, Elena Rakova interprète le rôle de Maddalena et Giovanna dans Rigoletto en Italie. La mezzo soprano a plusieurs engagements en tant que soliste parmi lesquels sont les concerts-oratorios (avec le quatuor Dimitri), concert-conférence avec l’historien d’art Jean-Claude Menou, le rôle-titre dans Carmen de Bizet à Paris. Sélectionnée pour les rôles de la Libellule, la Mère et le Pâtre dans «L’enfant et les Sortilèges» de Ravel, Elena Rakova s’est produite dans 9 spectacles aux théâtres de Maison-Alfort, Rosny-sous-bois et Chaôn-sur-Saône (Scène Nationale), Élèna a été sélectionnée pour interpréter le rôle de l’Architecture dans Les Arts Florissants de Charpentier dans le cadre de la formation professionnelle « La Pépinière des Voix », parrainée par William Christie.
Le Centre de Russie pour la Science et la Culture à Paris est la représentation en France de l’Agence fédérale pour la CEI, diaspora russe à l’étranger et coopération internationale culturelle et en sciences humaines (ROSSOTROUDNITCHESTVO). Créé il y 25 ans, en 1995, en application de l’Accord entre le gouvernement de la République Française et le gouvernement de la Fédération de Russie, le Centre de Russie pour la Science et la Culture à Paris à pour but de promouvoir, soutenir et développer les relations entre la Russie et la France dans les domaines culturels et scientifiques.
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Centre de Russie pour la Science et la Culture
61 rue Boissière, 75116 Paris
Alors que la culture géorgienne est devenue plus centrée sur la ville et influencée par la pop, son chant polyphonique unique a été perçu comme menacé. Il figure sur la liste des chefs-d’œuvre de l’humanité, oraux et immatériels de l’UNESCO, mais une nouvelle vague de chanteurs l’adopte.
Un exemple remarquable, le groupe vocal Iberi (dans l’antiquité la Géorgie s’appelait Iberia) interprète des chansons de dix régions géorgiennes.
Chanter pour eux n’est pas simplement une performance théâtrale et intense, c’est une activité sociale; à la longue table d’un supra, un festin qui est au centre de la vie géorgienne, les nombreux plats et le vin géorgien ne cessent de venir, de même que les toasts et les chansons – chansons de chant, chants de chant, cantiques d’amour, ballades historiques, Chant de louange pour la reine Tamara aux 12-13e siècles (si puissante qu’elle fut canonisée par le roi Tamar par l’église orthodoxe de Géorgie) et de très vieilles chansons de l’époque préchrétienne telles que Lile, au soleil et Kviria, la déesse de la fertilité.
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La Cour Saint-Louis est adjacente à la Chapelle Saint-Louis.
Située rue Ancien Collège, elle est actuelle la cour du Conservatoire d’Orange. D’une capacité de 380 places, elle accueille chaque été certains concerts et récitals des Chorégies d’Orange. Lors de la saison 2015, la magazine des festivals de France Musique s’y est installé pour une émission en direct et en public.
La Chapelle Saint Louis
En 1718, le Grand Temple est donné aux Pères de la Doctrine Chrétienne venus s’établir à Orange pour servir d’église à leur collège et à leur séminaire. Consacrée en 1719, la chapelle est dédiée à saint Louis. Sous la Terreur, la Commission populaire y siège du 3 juin au 31 juillet 1794, et de nombreux ressortissants des départements de Vaucluse et des Bouches-du-Rhône doivent comparaître devant ce tribunal révolutionnaire.332 d’entre eux furent condamnés à mort comme “fanatiques” ou “fédéralistes”, et ensevelis dans des fosses communes au lieu-dit de Gabet, quartier de Laplane ; une chapelle y est érigée à leur mémoire en 1832. En 1865, la ville vend ces bâtiments aux sœurs de la Présentation de Marie, dont le collège actuel a été construit sur la colline en 1972.
Tableaux Anciens, Modernes et Contemporains (dont tableaux russes) Archéologie, Arts d’Extrême-Orient Objets d’Art et Arts Décoratifs XX°.
Expositions :
Lundi 9 mars de : 10h30 à 18h30
et le matin de la vente de : 10h30 à 12h30
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Extrait du catalogue
Lot 10 : Icône « Saint Nicolas de Myrte » Russie fin XIX° siècle Tempera sur bois, oklad en vermeil, kiot en bois 26 x 23 cm A. B. E
Икона «Святой Николай Чудотворец» Россия, кон. XIX века Темпера, дерево оклад вермей, киот из дерева 26 x 23 см., общ. хор. сост.
Estimation : 300 / 400 €
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Lot 31 : Natalia Gontcharova (1881-1962) – Наталья Сергеевна Гончарова “Composition rayonniste”, vers 1914 Huile sur toile signée en bas à droite 63 x 76 cm.
Un certificat de Monsieur Anthony Parton du 9 avril 2007 sera remis à l’adjudicataire Un certificat de Madame Denise Bazetoux du 17 mars 2007 sera remis a l’adjudicataire.
Estimation : 100 000 / 150 000 €
C’est Larionov et Gontcharova qui développent le rayonnisme après avoir entendu une série de conférences données à Moscou par Marinetti, l’initiateur du futurisme littéraire. En 1913 le groupe de Larionov avec Alexandre Chevtchenko, Ilia Zdanevitch et Gontcharova publie un recueil comprenant un manifeste intitulé « Des rayonnistes et des aveniriens », un compte rendu des expositions de la « Queue d’âne » et de « La Cible » et un traité du rayonnisme établi par Larionov. Selon lui, cette manifestation de peinture abstraite fait surgir la vie en rendant visible les vibrations inspirées de l’énergie-matière et de la radioactivité. Le principe est de représenter sur la toile la somme des rayons qui partent de l’objet pour le représenter exactement. À cette fin il faut isoler l’objet de manière abstraite pour que les rayons émis par les objets voisins ne perturbent pas la vue. Larionov compare le tableau rayonnisme à un mirage dans le désert Le rayonnisme est très bref, il s’étale de 1911 à 1915 et cesse à l’arrive du couple à Paris rejoignant Serge Diaghilev et travaillant aux décors des ballets russes. Guillaume Apollinaire s’y intéresser et dirigera encore le catalogue d’une exposition à Paris en 1914 Le rayonnisme tient une place importante et précoce dans l’histoire de l’abstraction, de sa théorie et de sa rationalisation. Le rayonnisme est souvent considéré comme le grand frère du futurisme italien que Gontcharova aura beaucoup influencé.
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Lot 34 : Ossip Zadkine (1890-1967) Sans titre, 1964
Eau forte sur papier signé et daté en bas à droite 26,5 x 84 cm
Estimation : 200 / 300€
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Lot 48 :J. Schmidt (Russie XX° siècle) Sans titre, 1988 Technique mixte sur papier signé et daté en bas à droite 72 x 125 cm
Estimation : 200 / 300 €
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Lot 49 : Viktor Pivovarov (né en 1937) – Виктор Пивоваров Sans titre, 1985 Huile sur toile signée en bas à droite, datée en bas à gauche, contresignée, titrée et datée au dos 66 x 90 cm Provenance : Galerie Severomoravska, Prague .
Estimation : 3 000 / 5 000 €
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Lot 50 : Viktor Pivovarov (né en 1937) – Виктор Пивоваров, Sans titre, 1985 Huile sur toile marouflée sur panneau d’isorel signée en bas à droite et datée en bas à gauche, contresignée, titrée et datée au dos 76 x 61cm Provenance : Galerie Severomoravska, Prague.
Estimation : 2 500 / 3 000 €
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Lot 51 : Vladimir Weisberg (1924-1985) – Владимир Григорьевич Вейсберг Portrait de femme, 1981 Huile sur toile monogrammée et datée en haut à gauche 55 x 45 cm Provenance : Collection particulière, Paris
Estimation : 20 000 / 30 000 €
Peintre russe et théoricien de l’art, Vladimir Weisberg, travaille en particulier sur le thème du colorisme tel que le problème a pu se poser après les travaux de Cézanne à savoir la couleur insaturée et la semi-couleur. Il travaillera sur la différenciation pigmentaire et aboutira en 1960 à la création d’une table des principaux types de perception coloristique, de leur signe et de leur structure. Il essaiera toute sa vie de trouver le juste équilibre entre le demi ton, la composition et le dessin dans une douceur et une subtilité qui lui est caractéristique.
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20 Rue Drouot, 75009, Paris
Exposition :
Lundi 9 de : 10h30 à 18h30 et mardi 10 mars de : 10h30 à 12h30
Sergei Loznitsa ( Сергій Володимирович Лозниця), né en 1964, est un Cinéaste réalisateur ukrainien. Ses films documentaires, parfois à la lisière de l’expérimental représentent une « humanité confrontée à des bouleversements économiques, sociaux et politiques de grande ampleur », peignant ainsi le délitement moral de la Russie. Son sens du paysage, la rigueur de ses partis-pris de mise-en-scène ainsi que ses audaces narratives ont souvent été remarqués par la critique.
Avec une énergie créatrice assez unique depuis la fin des années 1990, Sergueï Loznitsa trace un sillon unique, avec une œuvre documentaire de premier ordre, justement célébrée mais sans doute pas encore assez vue.
La Cinémathèque du documentaire à la Bpi présente toute la richesse de ce travail cinématographique dans une rétrospective intégrale, ceci grâce à une association, pour la partie fictionnelle de l’œuvre, avec les Cinémas du Département culture et création du Centre Pompidou.
Une place de choix sera également donnée à la cinéphilie de Sergueï Loznitsa puisqu’une carte blanche proposant des films marquants, influents et inspirants pour le réalisateur russe sera présentée.
Pour l’occasion, le cinéaste russe présentera plusieurs de ses films et dirigera une Master Class. Par ailleurs, son dernier film “Funérailles d’État” sera présenté en avant première française en sa présence le mercredi 8 janvier à 19h30.
Documentaire complet de 2019 sur les adieux à Staline à l’échelle nationale . Il s’agit d’enquêtes archivistiques réalisées dans tout le pays du 5 au 9 mars 1953 . Le matériel historique, rassemblé sans violation de la chronologie et sans commentaires, révèle la véritable essence du culte de la personnalité.
SEPT PIÈCES POUR CINÉMA NOIR ET BLANC / EUSKADI / VIEILLES CHANSONS GÉORGIENNES
Place Georges-Pompidou, 75004 Paris Contacts : tél. : 06 72 67 72 78
Métro : Rambuteau (ligne 11), Hôtel de Ville (lignes 1 et 11), Châtelet (lignes 1, 4, 7, 11 et 14) RER : Châtelet Les Halles (lignes A, B, D) Bus : 29, 38, 47, 75
Tarifs : 5€ plein tarif, 3€ Réduit
Gratuite avec le laissez-paser du Centre Pompidou.
Plue de renseignements :www.lacinemathequedudocumentairebpi.fr
Personnalité exemplaire du milieu théâtral russe, Maria Ossipovna Knöbel (1898-1985) a été le témoin des bouleversements de tout un siècle: depuis les manifestations anti-allemandes de1915 jusqu’à la campagne anti-cosmopolite de 1949. Professant l’humanisme dans un pays cultivant la violence, elle a joué un grand rôle dans la formation technique mais aussi éthique des comédiens et des metteurs en scène, élèves du GITIS (Conservatoire national d’art dramatique de Moscou).
Disciple des grands du théâtre russe, Mikhaïl Tchékhov, Stanislavski, Némirovitch-Dantchenko, elle perpétue cette école russe qu’on peut toujours voir à l’œuvre dans le cinéma et en tournée sur nos scènes théâtrales. À travers cette biographie richement documentée, le lecteur se familiarise avec ce que fut la situation de l’artiste à l’époque stalinienne. Ancien élève de l’École normale supérieure, Gérard Abensour a été professeur de langue et littérature russe à l’Institut national de langues et civilisations orientales (INALCO). Outre une biographie de Vsévolod Meyerhold, le célèbre metteur en scène, on lui doit de nombreux articles sur les spécificités du théâtre russe.
L’auteur
Gérard Abensour
Né en 1933. Fils d’Emmanuel Abensour, fonctionnaire international. Études supérieures à Bard College (New York) puis à l’École Normale supérieure (promotion 1954) et à la Sorbonne. Une année scolaire à l’Université d’Etat de Moscou (1956-1957). Agrégation de russe. Docteur des lettres (1982).
Carrière universitaire: professeur de russe au Lycée Michel Montaigne à Bordeaux puis enseignement supérieur à l’INALCO (Professeur de langue et littérature russe). Cours d’agrégation à l’ENS (lettres et sciences humaines) (2000-2002).
Professeur émérite depuis 2002. Carrière administrative : chef de service à l’ORTF (1963-1966), attaché culturel à Moscou (1966-1971) et puis à New York et Washington (1971-1974).
Membre du comité de rédaction de la revue SLOVO (INALCO, Paris).
Membre du jury du Festival de théâtre Radouga à Saint-Pétersbourg.
Docteur honoris causa de l’Universitas Slavonica Kieviensis (Ukraine, 2008)
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Librairie les Éditeurs Réunis & Centre culturel Alexandre Soljénitsyne
Centre de Russie pour la Science et la Culture, XVI° Paris
« SOFIA TOLSTOÏ, Ma VIE dans l’ART »
Sophie Andréïevna Behrs, comtesse Léon Tolstoï (Софья Андреевна Толстая, урожденная Берс), née le 22 août 1844 à Moscou,décédée à Iasnaïa Poliana le 4 novembre 1919 était l’épouse de Léon Tolstoï, une mère et une artiste.
Alors que Michel Aucouturier était encore, en 2017, le Secrétaire Général de l’Association des « Amis de Léon Tolstoï », il accepta l’idée de célébrer en 2019 la mémoire de Sofia Andreïevna sur le thème de la Musique si chère à notre héroïne et confia cette tâche à Anne Lefol.
Cette soirée honore cette femme cultivée, active, aux dons multiples. Grande admiratrice de son mari, Léon Tolstoï, Sofia Andreïevna fut une collaboratrice exceptionnelle. Mais aussi une pianiste accomplie qui se mettra sur le tard, à la peinture et à la photographie.
Amoureuse des Arts, de la Nature, de son mari et de ses 13 enfants, elle confie sa vie riche en évènements, à son Journal et à ses Mémoires. Près de 2000 pages
D’après les mémoires « Ma Vie » de Sofia Andreïevna Tolstoï, Editions Les Syrtes, traduction Luba Jurgenson d’où Anne Lefol puisera quelques évènements importants
Adaptation : Anne Lefol,scénographie : Anne Lefol et Aloysia Delahaut.
Dimitri Tolstoï, arrière-petit-fils de Léon Tolstoï offrira un décor, riche des photos de Sofia et la musique sera celle choisie par Sofia elle-même.
Avec les comédiennes :
Depuis toujours Anne LEFOL formée chez F. Rosay, puis chez R. Girard où elle obtient le 1er Prix de Comédie Française. Ancienne élève du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris, dans la classe de Louis Seignier, 1ere médaille de diction, Pix Charles Oulmont 2002 Fondation de France.
Anne se passionne pour les « ARTS ». Son environnement familial lui apporte cette diversité, et c’est ainsi qu’elle entre au Conservatoire National d’Art Dramatique de Paris à l’âge de 18 ans. Mais, comme si cela ne la comblait pas entièrement, elle décide de suivre les cours d’Histoire de l’Art de l’Ecole du Louvre. Enfin, elle entre dans l’Atelier de Antonina ALUPI qui lui enseigne les principes du dessin, de l’aquarelle et de la peinture. Elle apprend à regarder les maîtres de la peinture française et tombe sous le charme de Vuillard, Manet, Vallotton, Marquet, Helleu…….
Tiepolo père et fils en particulier, Véronèse à la Villa Barbaro, sont parmi les grandes révélations de ses voyages en Italie.
Mais sa vraie passion est la peinture russe qu’elle découvre à Moscou au Musée Pouchkine et à la Galerie Tretiakov, à Saint Petersburg à l’Ermitage et surtout au Musée Russe où elle admire notamment Serov, Repine, Vinogradov, Volochine, Kouindji.
Elle s’inspire de ces maîtres, juste pour son plaisir, car son style est simple et empreint d’une certaine naïveté, mais ses couleurs sont vives et expressives.
Aloysia DELAHAUT
Comédienne, danseuse contemporaine, a fait le Conservatoire régional de Cergy-Pontoise (Coco Felgeirolles, Yano Iatridès). Pour la danse le Centre de danse Paris Marais, Graham (Maggie Boogaart), classique (G. de Compreignac). Elle a une Licence de russe et d’anglais. Aloysia à travaillé pour la Télévision, elle des films institutionnels, a tourné aucinéma et joue au théâtre.
Et la voix de l’arrière petite fille de Léon Tolstoï :
Marta Albertini.
Marta Albertini sur les genoux de sa grand-mère Tatiana Soukhotina fille de léon Tolstoî, en 1948.
“Sofia vient de passer la majeure partie de sa vie au côté de l’auteur de Guerre et Paix, l’illustre romancier et maître à penser russe. Elle décide alors d’entreprendre le récit de sa vie, en cherchant à se réapproprier cette part d’elle-même qui s’est consumée au contact du grand homme. Le besoin de Sofia Tolstoï de se confier à elle-même était fondamental. Mais, loin de suivre un récit linéaire, le lecteur est plongé dans les contradictions de cette femme de talent. Et qu’on découvre rongée parfois par l’orgueil et la jalousie.”
Anne Lefol et Aloysia Delahaut sur la scène du CRSC.
.RÉSERVATION OBLIGATOIRE.
: crsc.paris@crsc.fr
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Le Centre de Russie pour la Science et la Culture à Paris est la représentation en France de l’Agence fédérale pour la CEI, diaspora russe à l’étranger et coopération internationale culturelle et en sciences humaines (ROSSOTROUDNITCHESTVO). Créé il y 25 ans, en 1995, en application de l’Accord entre le gouvernement de la République Française et le gouvernement de la Fédération de Russie, le Centre de Russie pour la Science et la Culture à Paris à pour but de promouvoir, soutenir et développer les relations entre la Russie et la France dans les domaines culturels et scientifiques.
Une saison cinématographique unique en France, répartie en 4 temps sur l’année universitaire.
Une collaboration entre la Faculté des Langues et Cultures Étrangères de l’Université de Nantes et le cinéma Katorza.
Ô, CINÉMA, RACONTE-NOUS DES HISTOIRES !
Refuge ? Évasion ? Introspection ? Questionnement sur l’avenir ? Recherche de sens ? Le cinéma russe contemporain semble avoir deux centres d’intérêt principaux : le passé, et la sphère intime. Dans un cas comme dans l’autre, il est question d’amour et de luttes. L’amour ou le désamour de son histoire, de son pays, de son conjoint, de l’autre sexe dans son ensemble, de l’argent, du pouvoir… sont à l’origine de luttes pour l’indépendance, l’émancipation, la liberté, luttes amoureuses, sociales ou politiques, pour survivre, se reconstruire ou atteindre ses rêves.
Le jury Univerciné est composé d’étudiants de l’Université de Nantes, encadrés par Nicolas Thévenin et Giulia Bocato.
Programmation
MARDI 4 FÉVRIER
19 h – Cocktail en extérieur
Film en ouverture :
20 h – ” Divorçons “ – Давай разведемся!
Comédie dramatique, 2019, Russie, 1h32
Réalisatrice : Anna Parmas
Avec : Anna Mikhalkova, Anton Filipenko
24 heures par jour ne suffisent plus à Macha, entre son travail de gynécologue et sa vie de famille. Micha, son mari, reste à la maison et s’occupe des enfants mais se sent bien seul. Une sympathique comédie à déguster, où les rôles semblent parfois inversés.
Loin des clichés sur la société russe, elle nous parle d’amour, d’argent, de réussite et de magie, mais à quel prix ? Une belle galerie de personnages cocasses et attendrissants.
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MERCREDI 5 FÉVRIER
13 h 55 : ” Factory ” – Завод
Thriller social, 2019, Russie, 1h49
Réalisateur: Iouri Bykov
Avec : Denis Chvedov, Andreï Smoliakov
Les ouvriers d’une usine prennent leur patron en otage : on vient de leur annoncer qu’ils allaient être licenciés, le site n’étant plus rentable. À leur tête, un type un peu inquiétant avec sa cicatrice sur l’œil, et très déterminé. Les hommes de main de l’oligarque et la police s’en mêlent…
Entre réalités russes contemporaines et universalité, le réalisateur, dans un film sombre à la tension palpable, nous plonge au cœur de l’usine, au cœur de l’action, pour nous interroger sur nos valeurs.
Avec : Alekseï Agranovitch, Iouri Kolokolnikov, Alissa Khazanova
On rit parfois jaune aux blagues de Boris Arkadiev, humoriste soviétique à succès en ce milieu des années 80. Adulé par le public, choyé par le pou- voir, entouré de sa famille et d’amis brillants, il semble pourtant insatisfait, cynique, seul… Il étouffe du manque de liberté sur scène et dans son quotidien.
Un questionnement, servi par un acteur de talent, sur les relations entre artiste et pouvoir, sur l’estime de soi, sur la liberté, dans cette URSS qui commence à se craqueler et au-delà.
Inédit – En présence de l’actrice Alissa Khazanova
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18 h 45 : ” Leaving Afganistan ” – Братство
Drame historique, 2019, Russie, 1h53
Réalisateur: Pavel Lounguine
Avec : Kirill Pirogov, Anton Momot, Aleksandr Kouznetsov
1988. Gorbatchev a annoncé le retrait des troupes soviétiques d’Afghanistan. La 108e division d’infanterie motorisée doit, pour se retirer, emprunter le périlleux col de Salang. Mais elle retarde son départ pour une dernière mission : tenter de récupérer un pilote, fils de général, retenu prisonnier par des moudjahidines. Des intérêts très contradictoires vont s’affronter sur la marche à suivre.
Le film s’attelle ici à un épisode de l’histoire de l’URSS rarement abordé, et le fait avec un réalisme cru, mais aussi beaucoup d’humanité, de vérité, de nuance et de sensibilité.
Inédit –En présence de l’acteur Aleksander Kouznetsov.
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JEUDI 6 FÉVRIER
14 h : ” L’Humoriste “
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15 h : ” Give me liberty ” – Гив ми либерти
Comédie douce-amère, États-Unis, 2019, 1h50, en anglais et russe
Réalisateur: Kirill Mikhanovsky
Avec : Chris Galust, Lauren «Lolo» Spencer, Maksim Stoyanov
Jeune Américain d’origine russe, Vic conduit un minibus pour personnes handicapées à Milwaukee. Déjà en retard sur sa tournée, il accepte de conduire son grand-père sénile et ses amis à un enterrement. Et alors qu’il récupère dans un quartier afro-américain Tracy, jeune femme en fauteuil, des manifestations éclatent en ville… La journée va être longue !
Scénariste, réalisateur et chef monteur russe vivant aux États-Unis, Kirill Mikhanovsky s’inspire d’un de ses premiers boulots aux USA pour construire une ode joyeuse à la différence physique et sociale avec un très beau regard sur le handicap et le communautarisme.
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18 h 05 : ” Aime-les tous “
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20 h 15 : ” Le Taureau ” – Бык
Drame, 2018, Russie, 1h39
Réalisateur : Boris Akopov
Avec : Iouri Borissov, Stassia Miloslavskaïa
Anton Bykov, surnommé Byk (le Taureau), est une petite frappe. C’est ans doute l’époque, celle des années 90, qui veut ça. Un jour, un caïd de Moscou le tire d’un mauvais pas, mais le Taureau va devoir lui rendre un petit service en échange.
Amour, amitié, trahison, violence, jeux de pouvoir, tous les ingrédients sont réunis pour une belle histoire, et le rythme de la mise en scène comme la bande originale décapante donnent à ce film âpre une singulière énergie.
Inédit – En présence de l’acteur Iouri Borissov.
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22 h 15 : ” Why don’t you just die ” – Папа, сдохни
Comédie trash, 2018, Russie, 1h40
Réalisateur : Kirill Sokolov Avec : Aleksandr Kouznetsov, Vitali Khaev
Matveï n’a pas l’air très sûr de lui quand il frappe à la porte de l’appartement du père de sa petite amie, un marteau caché derrière le dos. C’est qu’il vient pour tuer ce flic inquiétant, et il est intimement convaincu d’avoir de bonnes raisons de le faire. Une lutte sanglante et débridée s’engage, et les coups alternent avec les coups de théâtre. Rien, bien sûr, ne se passe comme prévu. On a beaucoup parlé de Tarantino à la russe pour ce huis clos à l’humour noir ravageur, singulier par le traitement des couleurs et les choix musicaux.
En partenariat avec l’Absurde Séance
– Inédit En présence de l’acteur Aleksander Kouznetsov.
1945 année. Le premier automne d’après-guerre. Souffrant de soudains accès de stupeur, Ia (Victoria Miroshnichenko), surnommée Dylda, travaille dans un hôpital de Leningrad et éduque son fils Pashka, qui est né au front. La routine quotidienne est interrompue par l’arrivée de la petite amie combattante de Masha (Vasilisa Perelygin) – la jeune fille est sérieusement déterminée à enlever à Iya ce qui lui appartenait autrefois. Au lendemain de la guerre, deux jeunes femmes très différentes, deux amies qui ont survécu à des horreurs indicibles, blessées dans leur corps, dans leur âme, dans leur vie, ont une furieuse envie de recommencer à vivre une vie normale. À pas mal assurés, elles tentent de se reconstruire, en s’appuyant l’une sur l’autre, chacune à sa manière.
Un film intense, délicat, pictural et lumineux, d’un tout jeune réalisateur inspiré par ses lectures de Svetlana Aleksievitchet de témoignages de femmes ayant traversé des guerres, et remarqué à Cannes pour son 1er film, Tesnota, comme pour celui-là, pour lequel il a reçu le prix de la mise en scène dans la compétition « un certain regard ».
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16 h 25 : ” Dans le port du Cap ” – В Кейптаунском порту
Comédie dramatique, 2019, Russie, 1h47
Réalisateur: Aleksandr Veledinski
Avec Evgueni Tkatchouk, Sergueï Sosnovski, Anfissa Tchernikh
En juin 1945, en Extrême-Orient, trois jeunes gens, à peine sortis de la guerre, se rencontrent par hasard. Ça tourne mal et chacun pense être le seul survivant de l’altercation. Plus de cinquante ans plus tard, ils sont restés marqués par cet épisode. Sailor, Pahan et Salazonok. Ils ne se sont rencontrés qu’une seule fois, au cours de l’été 1945, en Extrême-Orient, les armes à la main et les intentions sérieuses. Tout s’est terminé par une fusillade, et chacun des participants est sûr qu’il a tué les deux autres. Cependant, le destin leur a donné une vie longue et mouvementée. Plus d’un demi-siècle se passera et un jour dans différentes parties de la Terre, des événements se produiront en lien avec cette réunion fatidique de l’été 1945, et le spectateur découvrira comment elle a radicalement changé la vie de chaque héros et pas seulement.
Une histoire foisonnante, ensoleillée, un peu foutraque et jubilatoire, qui nous promène d’une époque à une autre, d’un lieu à un autre, d’un destin à un autre, avec une pléiade d’acteurs connus.
Avec : Alina Nassiboullina, Ivan Mouline, Iouri Borissov
Vélia est DJ à Minsk dans les années 90. Elle rêve de partir pour le paradis de la house music : Chicago. Mais le faux certificat de travail qu’elle a fourni à l’ambassade américaine va la conduire bien loin de là, dans une petite ville où elle devra attendre un coup de téléphone décisif…
Un film cocasse et doucement absurde, empreint d’un espoir un peu amer. Prix du public au Festival du film russe à Paris en 2019.
Inédit – En présence de l réalistrice et de l’acteur Iouri Borisov.
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22 h 15 : ” Le taureau “ – Бык
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SAMEDI 8 FÉVRIER
14 h : ” Le cygne de cristal ” – Крусталь
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16 h : ” Le dernier chevalier ” – Последний богатырь
Comédie familiale féérique, 2017, Russie, 1h54
Réalisateur: Dmitri Diatchenko
Avec Viktor Khoriniak, Mila Sivatskaïa
Ivan, un jeune voyant sans scrupules qui gagne bien sa vie à Moscou, est propulsé sans comprendre comment en forêt et se retrouve nez à nez avec un personnage bizarre qui semble bien plus qualifié que lui en matière de magie. C’est le Liéchy, l’esprit des forêts de la mythologie païenne slave. Entourés d’étranges compagnons sortis tout droit des contes russes, Ivan va devoir se lancer à la quête d’une épée magique…
On rit de bon cœur à tout âge dans cette comédie décalée où s’entrechoquent tradition et modernité, et qui remporta un vif succès en Russie.
Kirill conçoit avec succès des jeux vidéo. Un soir, en rentrant chez lui, il trouve une femme installée dans son appartement. Bientôt, personne ne le reconnaît plus, pas même son chien, comme s’il avait été effacé des mémoires. C’est qu’on le destine à une autre vie, celle de gardien des mondes, à la frontière entre des univers parallèles.
Une fantasmagorie magique et énergique qui, jouant avec l’Histoire, nous égare dans divers Moscou réinventés.
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20 h 35 : ” Les Van Goh ” – Ван Гоги
Comédie dramatique, Russie, Lettonie, 1h43
Réalisateur : Sergueï Livnev
Avec Alekseï Serebriakov, Daniel Olbrychski, Natalia Negoda
Le père et le fils. Un grand chef d’orchestre et un artiste un peu obscur. Des êtres proches, éloignés par l’incompréhension et les non-dits accumulés depuis des années. Jusqu’au jour où le musicien ne peut plus diriger son orchestre… Jusqu’au jour où ils n’ont plus vraiment d’autre choix que d’essayer de se rapprocher…
L’éternelle problématique des relations père-fils abordée avec délicatesse et interprétée avec talent. Prix national Nika du meilleur acteur en 2019 décerné à Alekseï Serebriakov.
Inédit – En présence du réalisateur Sergueï Livnev
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DIMANCHE 9 FÉVRIER
11 h : ” La petite Véra ” – Маленькая Вера
Comédie dramatique, 1988, URSS, 2h09
Réalisateur: Vassili Pitchoul
Avec Natalia Negoda, Andreï Sokolov, Iouri Nazarov
La petite Vera, adolescente rebelle et pleine d’énergie, s’ennuie dans la petite ville industrielle des rives de la mer d’Azov, où elle vit entre un père alcoolique et une mère surmenée. Jusqu’à ce qu’elle rencontre Sergueï… Ville balnéaire. Famille de travail ordinaire. Le père et la mère ne sont préoccupés que par les problèmes quotidiens et se contentent de joies mondaines sans prétention. La fille de Vera, qui vient de terminer ses études, passe du temps dans les discothèques, boit une bouteille de vin dans la passerelle et discute avec ses amis. Un événement important dans la vie de Vera devient une rencontre avec un étudiant Sergey – il a grandi dans un environnement différent, pense de manière indépendante, il a d’autres valeurs culturelles. Les jeunes “de mondes différents” essaient de se comprendre et de s’accepter.
La Petite Vera est l’un des films les plus marquants de la Pérestroïka. À sa sortie en URSS, il a rencontré un succès énorme et provoqué le scandale. Tout y était nouveau pour le spectateur soviétique : le ton, la représentation crue du quotidien, les scènes explicites… Il a été à maintes reprises primé à l’étranger, où il apportait la preuve que le pays changeait.
8
11 h 15 : ” Fabuleuse aventure à Oz “ – Урфин Дюс
Film d’animation, 2017, Russie, 1h28
Réalisateurs : Vladimir Toroptchine, Fedor Dmitriev, Darina Schmidt
Grâce à une poudre magique, les soldats de bois du méchant Urfin prennent vie. Il a désormais une véritable armée pour conquérir la cité d’Émeraude. Mais la petite Ellie et ses amis, l’épouvantail, le bûcheron en fer blanc et le lion,comptent bien déjouer ses plans…
Adaptation du livre d’Alexandre Volkov qui s’est inspiré du célèbre roman de Lyman Frank BaumLe Magicien d’Oz. Formidable réalisation des studios d’animation Melnitsa Film à savourer en famille
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13 h 55 : ” Le français ” – Француз
Drame, 2019, Russie, 2h08
Réalisateur: Andreï Smirnov
Avec Antoine Rival, Evguenia Obraztsova, Evgueni Tkatchouk
1957. L’URSS du Dégel khrouchtchévien s’ouvre timidement. Un jeune étudiant français d’origine russe, Pierre Durand, part étudier à l’Université de Moscou. Il a aussi un objectif caché : enquêter sur ses origines. Il se lie avec Kira, danseuse au Bolchoï, et Valera, jeune photographe, et découvre avec eux la vie culturelle soviétique, officielle et clandestine.
Andreï Smirnov, réalisateur brillant et rare, nous propose un film très documenté et tout en finesse, avec une couleur Nouvelle Vague, et nous plonge dans ce fragile printemps soviétique, avec ses dissidents, ses anciens prisonniers du goulag, ses agents du KGB…
Inédit –En présence du réalisateur Andreï Smirnov (sous réserve)
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16 h 20 : ” Attention automobiles ” –Берегись автомобиля
Comédie, 1966, URSS, 1h34
Réalisateur: Eldar Riazanov
Avec Innokenti Smoktounovski, Oleg Efremov, Olga Arosseva
L’histoire d’un modeste agent d’assurances qui se donne pour mission de rétablir la justice en volant et revendant les automobiles de gens peu honnêtes pour reverser l’argent à des orphelinats. Il se trouve qu’un policier qui est chargé de l’affaire joue dans le même théâtre amateur que ce redoutable criminel…
Une des excellentes et indémodables comédies du grand Eldar Riazanov.
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18 h 10 : ” Courts métrages ”
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19 h 20 : ” Texto ” – Текст
Drame/Thriller, 2019, Russie, 2h12 Réalisateur: Klim Chipenko Avec Aleksandr Petrov, Kristina Asmus, Ivan Iankovski
Ilya, étudiant en lettres, finit en prison pour avoir voulu protéger sa petite amie. Il en sort 7 ans plus tard pour découvrir que sa mère vient de décéder, que son ex-copine a refait sa vie. Il cherche à avoir une explication avec le policier corrompu qui l’a interpelé et se retrouve en possession du téléphone portable de celui-ci, et de bien davantage…
Une réflexion sur la place prise aujourd’hui par les nouvelles technologies, et sur la vengeance et la compassion. Le film, largement primé, est l’adaptation à l’écran d’un best-seller de Dmitri Gloukhovski.
Inédit – En présence du réalisateur Klim Chipenko ( sous réserve)– Film de clôture
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LUNDI 10 FÉVRIER 2020
14 h : ” Les Méandres du succès ” – Зигзаг удачи
Comédie, 1968, URSS, 1h28
Réalisateur: Eldar Riazanov
Avec Evgueni Leonov, Evgueni Evstigneev, Valentina Talyzina
Un jeune photographe, Volodia, gagne 10 000 roubles à la loterie. Le hic, c’est qu’il a acheté son billet avec de l’argent « emprunté » dans la caisse du fonds d’aide sociale de l’atelier, fonds dont il a la responsabilité. Mais alors, se demandent ses collègues, à qui revient légitimement le gain ?
Si les films mettant en scène un collectif d’individus sur leur lieu de travail constitue quasiment un genre en soi dans le cinéma soviétique, ici, en montrant non pas quelques individus isolés, mais toute une microsociété soviétique mue par l’appât du gain, le maître de la comédie qu’est Eldar Riazanov nous livre, sur un rythme trépidant, une satire osée pour l’époque.
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15 h 45: ” Une Grande fille “
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18H30 : ” Le Gardiens des mondes “
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20 h 35 : ” Les Van Gogh ”
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DIMANCHE 9 FÉVRIER
11 h : ” La Petite Véra “
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11 h 15 : ” Fabuleuses aventures à Oz “
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13H55 : ” Le français “
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16H20 : ” Attention automobiles “
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18 h 10 : ” Courts métrages “
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19 h 20 : ” Texto “
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LUNDI 10 FÉVRIER 2020
14H00 : ” Les Méandres du succès “
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15 h 45 : “Une grande fille “
8
18 h 30 : REPRISE du FILM PRIMÉ
Du thé et des friandises russes vous seront proposés
LES PLACES SONT EN VENTE À LA CAISSE DU KATORZA AINSI QUE SUR LE SITE http://www.katorza.fr/ QUELQUES JOURS AVANT LE DÉBUT DU FESTIVAL.
LES PASS SONT EN VENTE UNIQUEMENT EN CAISSE DU KATORZA.
Tarif normal : 6,90€
Tarif étudiant et pour les membres des association Russies étonNantes et France-Russie-CEI : 5,50€
Pass Univerciné (5 places + 1 place offerte pour le festival Univerciné suivant) : 27,50€
Groupes (à partir d’environ 20 personnes) : 4€
Séances scolaires/étudiants :
3,80€ à partir de 20 personnes
Uniquement sur réservation auprès de Marc Maesen E-mail : katorza@wanadoo.fr Tél. +33(0)2 51 84 90 60
Maison de quartier Bottière
147 route de St Luce
44300 Nantes
Viktor Korotich (Baryton) est né à Nizhnevartovsk en 1980. En 2005, il est diplômé de la Donetsk State Music Academy du nom de S.S. Prokofiev (classe du professeur Gannadiy Kalikin). Il a commencé sa carrière au Donetsk Opera and Ballet Theatre. A.B. Solovyanenko.
En 2007, il a été admis à l’Académie de théâtre Mariinsky des jeunes chanteurs d’opéra.
Depuis 2015 – soliste de l’opéra du théâtre du Mariinsky .
Le premier interprète de la fête Chertokutsky dans la bande dessinée en un acte “Stroller” Vyacheslav Kruglik, présentée au Festival de musique en l’honneur du 200e anniversaire de Gogol; des rôles d’Alexandre Ier et de Nicolas Ier lors de la première mondiale de l’opéra de Rodion Shchedrin Lefty au Théâtre Mariinsky (2013).
En 2011, il entre en demi-finale du concours international d’opéra Operalia. Il a reçu un diplôme honorifique du prix «Le masque de théâtre d’Ossétie» pour sa performance d’Escamillo dans la pièce «Carmen» (2010).
Il a fait une tournée avec la troupe du théâtre au Royaume-Uni, en Italie, en Espagne, en Allemagne, en Suisse. Un participant régulier au Festival de Pâques de Moscou et aux étoiles des nuits blanches.
Viktor en concert au CRSC
Artiste émérite de la République d’Ossétie du Nord–Alania, Lauréat et diplômé des concours internationaux.
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Il est accompagné au piano par Olga Chelova .
En 1994, elle est diplômée de l’Université d’État de la Culture et des Arts de Moscou (classe du professeur V.M. Kasatkin).
En 2006, diplômée de l’Université d’État des études supérieures de Moscou, elle a soutenu sa thèse dans la spécialité en 2008 – Théorie et méthodologie de l’enseignement professionnel sur le thème “Caractéristiques didactiques de l’étude de la gestion de l’art par les étudiants des spécialisations musicales des écoles supérieures de la culture et des arts” (superviseur – docteur en études culturelles, professeur L. S. Zorilova).
Depuis 2010, elle travaille au département piano du RAM. Gnesins.
Activité pédagogique et principale en tant que chef adjoint du département des relations internationales de la RAM d’entre eux. Gnesins s’associe à des travaux de recherche.
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Au programme : Nikolaï Rimski-Korsakov; Guiseppe Verdi; Charles Gounod; Maurice Ravel; Anton Rubinstein; Hector Berlioz ; Sergueï Rachmaninov.
Une mosaïque époustouflante du répertoire musical.
Olga Chelova et Viktor Korotich en fin du concert au CRSC
INSCRIPTION OBLIGATOIRE
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Centre de Russie pour la science et la culture
61 Rue Boissière, 75008 Paris Tél : 01 44 34 79 79
Sophie Andréïevna Behrs, comtesse Léon Tolstoï ,Софья Андреевна Толстая, урожденная Берс, Sofia Andreïevna Tolstaïa, ourojdennaïa Bers), née le 22 août 1844 à Moscou et morte à Yasnaïa Poliana le 4 novembre 1919 était l’épouse de l’écrivain Léon Tolstoï. Elle est connue sous la forme francisée de son nom Sophie (ou Sonia selon les traductions) Tolstoï.
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Sofia Andreïevna Tolstaïa, écrivant.
Elle aimait particulièrement les plaisirs simples de la musique, du jardinage, et surtout de la photographie. Elle a laissé des milliers de clichés. Elle était aussi Mémorialiste.
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Léon Tolstoï à cheval, 1900
Les traits de Tatyana, comme ceux de sa sœur Sophia, étaient incarnés à l’image de Natasha Rostova.
L’exposition est constituée des photographies prises entre 1890 et 1910 au sein de la famille Tolstoï
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Léon Tolstoï avec sa petite fille Tatiana (1905-1996),photo par Sofia Tolstoï 1909.
Photographies données par Tatiana Lvovna Tolstoï (1864-1950), en accord avec sa sœur Aleksandra Lvovna (1884-1979), deux des filles de Tolstoï.
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Léon Tolstoï avec ses petits-enfants, Sonechka (à droite). 3 mai 1909, Yasnaïa Polyana.
Ayant émigré à la suite de la révolution d’Octobre, Tatiana Lvovna a noué des relations étroites avec l’Institut d’études slaves, en la personne d’André Mazon et de sa femme Jeanne.
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La principale figure de cette collection est, bien entendu, l’écrivain lui-même, souvent entouré des membres de sa famille et des acteurs de la vie culturelle russe venus lui rendre visite.
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Groupe d’amis en visite à Yanaïa Polania
Léon Tolstoï et Maxime Gorki, 8 octobre 1900.
Les photos de paysages, en particulier à Yasnaïa Poliana, sont également nombreuses.
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L’Institut d’études slaves est un établissement reconnu d’utilité publique (Journal officiel du 27 mars 1920 et décret du 22 novembre 1925).
Il fut créé en 1919 par l’historien Ernest Denis grâce à l’aide du Gouvernement français et des Gouvernements tchécoslovaque et yougoslave. Il bénéficia également, à partir de 1923, d’une participation de la Pologne.
L’Institut d’études slaves est un établissement autonome régi par la loi de 1901 sur les associations. Il fut rattaché à l’Université de Paris (par une convention du 14 mars 1922), qui était de 1921 à 1981 propriétaire de l’immeuble qui l’abrite. En 1981, l’immeuble a été transféré à l’université de Paris-Sorbonne, puis cédé à l’État en 1982.
Depuis 1991, la gestion de l’immeuble est assurée par l’université Paris-Sorbonne à laquelle il a été attribué à titre de dotation.
Institut des Études Slaves 9 rue Michelet, 75006 Paris
au profit de l’église orthodoxe russe de la Résurrection
” BLINIS “
Dimanche 2 février 2020 à 12 h 30
Salle René Leduc, 92 Meudon
BLINIS
Buffet Russe-Loterie- Vente d’objets russes- Spectacle Folklorique
Nombre de places strictement limité à 300 personnes.
Réservation préalable obligatoire auprès de Marina Poulet :
De préférence par courriel : marinap1508@gmail.com ou au 01 47 50 15 46 (10h à 20h).
Ces réservations seront valables jusqu’à 13h15.
Après acceptation, renvoyez le coupon-réponse ci-joint accompagné d’un chèque à l’ordre d’ ACOR de 10€ par personne avant le 15 Janvier 2020
Ce chèque vous sera rendu à votre arrivée ou, sauf désistement de moins de 10 jours , sera versé au profit de la
paroisse
Eglise de la Résurection, 8 rue des Bigots 92 Meudon
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Salle Leduc
12 rue du Père Brottier à MEUDON ( Val Fleury) Tél : 01 47 50 15 46
Courriel : marinap1508@gmail.com
COUPON-REPONSE BLINIS 2 Février 2020
A retourner à :Madame POULET
21 rue du professeur Roux
92370 Chaville
M. Mme…………………………..
tel……………………………….. ;
e-mail………………………………
nb. Personnes ; 10€ x ………..
soit………euros
Attention : L’entrée voiture se fait désormais 2 avenue des Fossés !
Centre Cultuel et Spirituel Orthodoxe Russe, quai Branly
Le Chœur de la Paroisse de l’Annonciation de Saint-Pétersbourg est un jeune ensemble qui réunit les musiciens amateurs et professionnels passionnés du chant liturgique. Le répertoire du chœur comprend non seulement les œuvres de la musique sacrée mais également des chants populaires russes ainsi que des créations inédites.
Chef du chœur : Anastasia Sériakova Président : Père Alexis Artiukhov
L’église de l’Annonciation (1717-1722) fut construite d’après un projet de Domenico Trezzini, dans le style caractéristique de l’époque de Pierre le Grand. Elle servait de sépulture aux membres de la famille impériale et aux représentants de la haute noblesse. Depuis 1930, l’église abrite les monuments funéraires les plus précieux, provenant des différentes cimetières de la ville: les monuments de Elizaveta Gagarina et Elena Kourakina, œuvres de sculpteur Ivan Martos, une sérié de monuments funéraires dus aux sculpteurs Fiodor Gordeiev, Feodossi Chtchedrine, Fedot Choubine et autres.