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Découverte de l’âme slave avec

la Compagnie Korishki

Dimanche 27 mars 2022 à 15h

Théâtre Interlude,  49280, Cholet

Basée à Cholet, la compagnie Korishki cultive depuis vingt ans un répertoire de danses russes, ukrainiennes, moldaves ou tziganes. Bloquée par le Covid, elle prépare son retour sur scène le 27 mars au théâtre Interlude.

Les 30 danseurs et musiciens de cette belle compagnie vous propose un voyage haut en couleurs à travers la Russie, la Géorgie, la Moldavie ou l’Ukraine. Avec plus de 500 costumes et une énergie contagieuse, cette troupe dirigée par Emmanuelle Lecerf Vakaryn vous garantie 2h de spectacle mêlant virtuosité.

Avec plus de 500 costumes, cette troupe composée d’environ 15 danseurs, se produit dans divers endroits tels que Théâtres, centres culturels, Foires expositions, maisons de retraite, soirées privées…

Le spectacle varie entre 20 minutes à 1h de danses et de chants, mais il existe aussi depuis 2007 « la roulotte de Nouchka » spectacle pour petits et grands nous contant l’aventure d’une jeune fille à bords d’une roulotte de troubadours gitans… Une histoire drôle, touchante et riche en émotions.

L’association créée autour de cette compagnie, a pour but de promouvoir la danse de caractère, de réunir les danseurs autour de la passion pour la culture des pays de l’Est, et avec l’argent récolté par les spectacles, d’organiser des stages de danse dans la région de Cholet.

Formée en France puis à l’école de l’Opéra de Minsk (Biélorussie), Emmanuelle Lecerf Vakaryn  a toujours été passionnée par les danses de l’Est. Elle débute la danse à 6 ans, suit un parcours intense en danse Classique, puis rencontre la danse traditionnelle et la danse Jazz à l’adolescence. Elle poursuit sa route en Biélorussie, ou après avoir terminé le cursus de l’Ecole de l’Opéra de Minsk, elle intègre l’Ensemble National Chœurs et danses traditionnels de Biélorussie.
De retour en France , elle obtient son DE au centre national de Danse de Paris et commence alors l’Enseignement. Emmanuelle  s’installe dans la région Anjou ou elle monte la compagnie Korishki et enseigne au Conservatoire de Cholet.

 

 

PLUS E RENSEIGNEMENTS sur LA COMPAGNIE : CLIQUEZ

 

 

THEATRE MUNICIPAL INTERLUDE DE CHOLET
9 rue de Saint Melaine, 49280 Cholet

Tarifs: 15€ adultes, 8€ 6/14 ans, gratuit -6 ans
Réservations : 07 66 72 87 24

Macha Méril et L’association Rivages Russie Evènements
présentent

“BRÈVES RENCONTRES” (Короткие встречи) de Kira Mouratova

Jeudi 20 septembre 2018 à 20h 30

Cinéma Grand Action

 

Le film, en hommage à Kira Mouratova, disparue le 6 juin 2018 sera présenté par Eugénie Zvonkine, biographe.

Une première partie musicale sera consacrée à Vladimir VYSSOTSKI.

BRÈVES RENCONTRES

Avec Vladimir VYSSOTSKI
Kira MOURATOVA, Lidia BAZILSKAIA, Valeri ISSAKOV, Nina ROUSLANOVA, Alekseï GLAZYRINE,  Svetlana NEMOLIAEV, Olga VIKLAND
Durée 1h36 – 1967

Le film est tourné à l’époque où le métier de géologue est à la mode. L’intrigue était basée sur les histoires de Leonid Zhukhovitsky et Leonid Fomin sur les difficultés sociales et interpersonnelles. Nadia, une serveuse dans un salon de thé , fait connaissance du géologue Maxim. Il a un métier efficace, un look “romantique”, une guitare, une attitude facile vis-à-vis de l’argent, la capacité de se soumettre. La fille tombe amoureuse et il part. Cette histoire, est sous la forme d’un come back où se croise constamment une autre histoire, dans laquelle vit Valentina Ivanovna, l’épouse de Maxim, qui le voit comme un casse-tête entre les expéditions.

Valentina Ivanovna est membre du comité de district, elle signe des papiers, faisant face à ceux qui attendent un logement, à la corruption qui règne. Valentina est tellement épuisée par les visites et les départs constants et imprévisibles de Maxim, il part “pour toujours”. Mais il appelle à nouveau, dit qu’il va venir et Valentina Ivanovna, même si elle l’a chassé, est heureuse qu’il réapparaisse. Et Nadia, la serveuse,  met la table, y pose des plats de fête,  et elle part, laissant cette maison pour toujours, pour ne pas gêner leur amour …

 Un cinéma de la dissonance

Kira Gueorguievna Mouratova est née le 5 novembre 1934 à Soroca en Bessarabie (actuellement Bessrabie) elle est décédée le 6 juin 2018 à Odessa, elle est diplômée de l’Institut fédérale d’État du Cinéma ( VGIK) de Moscou en 1962  elle se met à travailler pour le studio d’Odessa.

Dans ce premier long-métrage réalisé seule, le premier de ses “mélodrames provinciaux”, nous découvrons déjà une cinéaste dont la liberté et la virtuosité nous enchantent et nous touchent au plus profond. Cinéaste des petites gens et de leurs destins chaotiques, Kira Mouratova porte ici également le personnage féminin principal qu’elle incarne avec sensibilité et talent.

Un fillm sur la subjectivité, construit à travers les souvenirs et les rêveries des protagonistes,En 1967, son second film Brèves rencontres est censuré, film que les spectateurs découvrent vingt ans après ouvrant la voie d’une des œuvres les plus singulières de l’URSS et de l’ère postsoviétique Elle tourne avec peu de moyens, des acteurs non-professionnels, et privilégie le noir et blanc. Kira Mouratova interprète dans Brèves rencontres l’un des deux rôles principaux, celui d’une femme qui partage sa vie entre ses responsabilités dans la gestion des immeubles locaux, soumise aux magouilles des constructeurs, à la corruption et aux demandes de milliers de locataires, et son amant; ce dernier, faisant fi de l’idéal socialiste, se souciant moins de fonder une famille que d’organiser sa propre liberté. Le rôle est joué par Vladimir Vyssotski, chanteur extrêmement populaire qui participera au succès du film et du début de la carrière de la réalisatrice… « C’est avec Brèves rencontres que commence ma biographie ». Cinéaste rebelle dont la plupart des films finirent, selon elle, «sur des étagères», Kira Mouratova, réalisatrice ukrainienne, filmera après la Perestroïka plusieurs œuvres majeures dont Le Syndrome asthénique.

Cinéma Le Grand Action
 5 rue des écoles 75005 Paris

Métro: Cardinal Lemoine (ligne 10)

Étonnante découverte,toile recto verso.

Portrait de Lénine peint sur celui de Nicolas II

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Un portrait du dernier tsar de Russie, Nicolas II, resté caché pendant près d’un siècle sous celui du père de la Révolution, Lénine, et découvert par hasard sera bientôt exposé à Saint-Pétersbourg, ont annoncé vendredi les restaurateurs.

Le portrait d’apparat de l’empereur peint par Ilya Galkine en 1896 est resté caché pendant près de 90 ans sur l’envers d’un autre portrait: celui de Lénine, réalisé en 1924 par un autre peintre, Vladislav Izmaïlovitch“, a expliqué à l’AFP Tatiana Potselouïeva, responsable du groupe de restaurateurs chargé depuis trois ans de reconstituer la toile.

Ilya Galkine – peintre russe, qui a vécu 1860-1915, avait le titre d’artiste classe second degré ce qui lui donner le droit de peintres  les monarques.

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Photo effectuée avt la Révolution du portrait de l’empereur debout dans la salle Petrovsky Commercial College. Photo: Service de presse de l’Académie Stieglitz.

 

Le grand portrait de 4 mètres sur 3 de Lénine, debout devant l’Amirauté de Saint-Pétersbourg, reposait toutes ces années dans la salle d’apparat de l’école 206 de l’ancienne capitale impériale, qui abritait à l’époque tsariste un institut de commerce avant de devenir une simple école.

Vladislav Izmailovich – peintre soviétique, aquarelliste et dessinateur. Ses œuvres ls plus connues sont le plafond de la grande salle de la maison Eliseev et le puit de lumière du Musée russe de Saint – Pétersbourg. Il a enseigné dans les établissements de peinture de Leningrad

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Portrait de Lénine peint par Vladisslav Izmaïlovitch.

Restée sur place durant près d’un siècle, la toile a été endommagée dans les années 1970.  Déchiré dans le coin inférieur droit, les spécialistes du musée russe on vu en seconde couche un petit fragment de botte peint, il s’est avéré que s’était celle de l’empereur, mais sa restauration n’a commencé qu’en 2013 par les experts de l’Académie nationale d’art et d’industrie Stiglietz de Saint-Pétersbourg, qui n’ont pas tardé à découvrir la double identité du tableau.

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Restauration de cette toile exceptionnelle.

L’image du dernier tsar de Russie, assassiné avec sa famille par les bolchéviques en 1918, est apparue sous une couche de peinture soluble à l’eau. “Nous étions vraiment surpris!“, se souvient,Tatiana Potselueva , restaurateur, professeur du Département peinture et restauration de l’Académie Stieglitz: «Le plus grand défi sera de préparer le sous-cadre bilatéral, afin d’exposer sur les deux faces, le portrait de Lénine, et cerlui de Nicolas II.

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Le peintre soviétique Vladislav Izmaïlovitch (1872-1959), auteur du portrait de Lénine, l’a visiblement peint comme s’il n’avait pas voulu détruire l’oeuvre de son prédécesseur et a camouflé à dessein le visage de l’ancien régime derrière celui du dirigeant bolchévique et jusqu’à sa mort il n’a jamais devoilé où mentionné son secret.

En temps normal, on peint par dessus l’ancienne toile, détruisant ainsi l’image précédente. Ici, le peintre l’a gardé en la faisant disparaître sous une couche de peinture soluble à l’eau avant de peindre sur l’envers du tableau“, explique la restauratrice. “Il semble qu’il espérait qu’un jour, le portrait de Nicolas II soit découvert“, s’enthousiasme-t-elle.

En camouflant ainsi pour conserver le portrait du tsar, Vladisslav Izmaïlovitch prenait de gros risques à cette époque“, rappelle pour sa part le recteur par intérim de l’Académie, Vassili Kitchedji.

Fin novembre au sein des murs de l’Académie Stiglietz seront exposées les deux portraits,

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Exposition du(des) tableau(x) après restauration.

Exposition de photographies

“Carnaval de Venise”

jusqu’au 30 mai 2016

Château Mikhaïlovski

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Mikhaïl Chemiakine lors de l’ouverture de l’exposition.

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Au Château des Ingénieurs, le Château Mikhaïlovski,  se tient une exposition de photos sur le thème “Le Carnaval de Venise”, organisé  avec la participation du sculpteur Mikhaïl Chemiakine qui présente ses photos.

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Au total environ une centaine d’œuvres de photographes contemporains, y compris Mikhail Chemiakine, Alexander Tyagny-Riadno, Vladimir Balabneva, Joseph Kiblitsky, Stas Namin et Helena Iarovoy.

Chemyakin prend part à Venise au carnaval depuis plus de 20 ans. L’artiste a dit à plusieurs reprises qu’il rêve d’établir à Saint-Pétersbourg “La Venise du Nord “- un carnaval. Ses performances ont lieu sur la place centrale de la ville – San Marco.

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Château Mikhaïlovski, Musée des ingénieurs

 

Billets:

  • adulte – 300 roubles;
  • réduit – 200 roubles.

 Ouverture

  • Lundi, mercredi, vendredi, samedi, dimanche – de 10h00 à 18h00.
  • Jeudi – 13h00 à 21h00.
  • Mardi – jour de congé.

En savoir plus: http://rusmuseum.ru/exhib/lenta/exhibition2016/venecianskij_karnaval/

Un nouveau monument à l’empereur russe Nicolas II a été installé dans le centre de Belgrade, en reconnaissance de son soutien à la Serbie et le peuple serbe en 1914.

Inauguration officielle le 11 novembre 2014

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Le monument est arrivé dans la capitale serbe le vendredi soir. Avec le socle, il se situe à 7,5 mètres de hauteur et pèse plus de 40 tonnes. Il a fallu 6 heures pour décharger du camion et près de 13 heures pour installer à l’aide d’une grue hier.

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L’installation du piédestal et de la sculpture a été organisé par deux équipes de spécialistes et de la Russie, avec l’appui de deux entreprises locales serbes.

Les créateurs du monument, sculpteur et académicien Andrei Kovalchuk et Guennady Pravotorov étaient sur place et directement impliqués dans l’installation du monument.

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Andrei Nikolaïevitch Kovalchuk ( Cliquez )

Andrei Nikolaïevitch Kovalchuk a dit que le travail sur le monument a duré six mois. La sculpture est faite de bronze, et la base de granit. Selon le sculpteur, il a trouvé l’inspiration dans l’histoire de l’empereur de Russie à venir à l’aide de son pays il y a un siècle. “La Russie et la Serbie ont toujours été fraternelles pouvoirs” – a déclaré A.N. Kovalchuk.

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Guennady Pravotorov

Co-créateur du monument académicien Guennady Pravotorov noter que le monument est dédié à l’empereur, qui à un moment a été admirée et appréciée en Serbie qu’en Russie. “Nicolas II vit dans le cœur des Serbes depuis longtemps et avec ferveur” – a déclaré Pravotorov. Il a poursuivi en disant qu’ils ont fait de leur mieux pour atteindre l’harmonie de la sculpture et ils étaient sur place, qu’elle soit maintenue.

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Le monument est fait dans la tradition classique qui est assez rare dans l’Europe contemporaine, Kovolchuk  a ajouté que le socle contient des détails qui relient notre ère à la période historique honoré par le monument.

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Le monument au tsar martyr est situé dans le parc Devojacki sur le roi Milan Street – près de l’endroit où l’ambassade de l’Empire russe se trouvait autrefois – et dans le voisinage immédiat de la Chambre russe et du Parlement de la ville de Belgrade.

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Projet dans le parc Devojacki. Genady Pravotvorov et Janko Krstic, 
ont conçu le parc dans lequel le monument est placé. 

C’est un cadeau de la Fédération de Russie à la Serbie, en l’honneur des célébrations marquant le 100e anniversaire de la Première Guerre mondiale. L’installation a lieu une semaine avant la prochaine visite du président russe Vladimir Poutine dans la capitale serbe le 20 Octobre.

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L’inauguration du parc reconstruit et monument à l’empereur Nicolas II est prévue pour le 11 Novembre. L’événement sera suivi par des hauts fonctionnaires de la Russie et de la Serbie, tandis que le président du Département du Patriarcat de Moscou des relations ecclésiastiques extérieures, le métropolite Hilarion de Volokolamsk a exprimé l’espoir que le patriarche de Moscou et de toute la Russie Kirill consacreront ce monument lors de sa visite à Serbie à la mi-Novembre.

Il est intéressant de noter que, au début du 20e siècle, un monument à l’empereur Nicolas II se tenait devant l’ambassade de l’Empire russe à Belgrade.

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Jusqu’à présent, il n’y avait que deux lieux de mémoire de la dernière tsar russe à Belgrade. Au nouveau cimetière de Belgrade en 1935, a été érigé un monument à “la gloire de Russie», sur lequel est écrit: “Eternal Memory empereur Nicolas II et deux millions de soldats russes de la Grande Guerre.”

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Le patriarche de toute la Russie Kirill et le patriarche serbe Irinej ont béni le monument, qui a été suivie par une cérémonie de dépôt de couronnes. 
Le dévoilement et la bénédiction du monument est un événement important et historique, Nicolas II a beaucoup aidé pour sauver les Serbes de la Première Guerre mondiale et il a sacrifié sa couronne, empire et vie pour sauver la Serbie, a déclaré le patriarche de Russie.
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Le patriarche Irinej a souligné que c’ était un grand jour pour Belgrade, la Serbie et tout le
peuple serbe qu’il soit en Serbie où à l’étranger. La cérémonie inaugurale, c’est passée devant  de trèsnombreux citoyens, malgré la pluie, des représentants éclésiastiques, des responsables gouvernementaux russes, le maire de Belgrade Sinisa Mali et S.E. l’ambassadeur de Russie à la Serbie Alexander Chepurine ont assisté à l’inauguration.

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Festival du Cinéma Russe pour les  400 ans des Romanov

PROGRAMME et DATES.

Pour la première fois en France projection de films originaux issus des archives du Fonds d’Etat des Films de Russie, du fond “Gosfilmofond“. Gosfilmofond  possède près de 70.000 titres et 450.000 affiches, scénarios originaux ou photographies de cinéma  constitue le plus grand établissement de collection de films au monde.

” Gosfilmofond” , Госфильмофонд Р оссии

Jeudi 6 juin, c’est avec une légitime fierté que Christian Estrosi a présenté ce nouvel événement, le premier festival du Cinéma Russe à Nice, qui devrait devenir un événement culturel majeur dans les prochaines années.

Pour la ville de Nice cette commémoration cinématographique des “400 ans de la Maison Romanov” est un symbole des liens, qui hier comme aujourd’hui, unissent Nice à la Russie. Présence patrimoniale, présence économique, présence touristique, présence affective, la Russie a noué avec Nice une belle relation, a déclaré le premier magistrat qui avait à ses côtés l’ambassadeur de Russie en France M. Alexandre Orlov et Gérard Dépardieu  revenu en France pour promouvoir le cinéma… russe !

Monsieur Christian Estrosi, député maire de Nice entouré de
S.E. l'ambassadeur de la Fédération de Russie en France M. Orlov et Gérard Depardieu.
© Guillaume Bertolino

Accueilli par le député-maire de Nice Christian Estrosi à la Villa Massena, Gérard Depardieu a déclaré “très ému” d’être à Nice, “la ville la plus russe de France“, terre d’accueil de la Maison Romanov. Quelque 10 000 Russes y vivent aujourd’hui et 200 000 touristes de ce pays s’y rendent chaque année.

Quand je suis arrivé, j’étais très heureux, mon cœur n’avait pas changé de frontière”, a conclu Gérard Depardieu.

J’habite 1, rue de la Démocratie, à l’angle du boulevard du Bolchévisme et je m’y sens très bien“, a lancé Gérard Depardieu à la presse avec un large sourire.

Journalistes lors de la conférence de presse, © Chichkine.

Gérard Depardieu est largement à l’initiative de ce nouveau Festival du cinéma russe à Nice. Les classiques présentés viendront des archives centrales publiques du cinéma en Russie, Gosfilmofond.

Je porte ma culture française ailleurs. J’apprends le russe, je connais leur culture parce que j’ai appris à lire avec les classiques de la littérature russe comme Pouchkine ou Dostoïevski”, a-t-il souligné.

Cette manifestation, qui célèbre les 400 ans de la Maison Romanov, proposera, des projections de films originaux, en version originale avec sous-titrage en français, issus des archives du Fonds d’État des films de la Russie et des rencontres avec les acteurs et les réalisateurs des films.

Le film Raspoutine (2011) de la réalisatrice française Josée Dayan, avec Gérard Depardieu dans le rôle principal, sera présenté la veille de la clôture du festival le dimanche 16 juin, en présence de Gérard  Depardieu.

Gosfilmofond – qui possède près de 70 000 titres et 450 000 affiches, scénarios originaux ou photographies de cinéma – constitue le plus grand établissement de collection de films au monde.

Venu parler essentiellement de cinéma, Gérard Depardieu est toutefois revenu sur son départ en Russie.
Cela fait quinze ans que je vis moins de cinq mois en France et je paie mes impôts, mais ce n’est pas ça l’important, j’ai toujours été un voyageur et un citoyen du monde“, a-t-il commenté.

Je suis très heureux d’être citoyen russe, de payer mes impôts en Russie et aussi, rassurez-vous, en France… Je ne fuis pas le fisc. Sinon, je serais parti depuis longtemps” .

J’adore les Français. Je ne suis pas dans les salons, je suis souvent dans la rue et souvent avec des gens qui travaillent. J’ai transmis des choses, j’ai une centaine d’employés, j’essaie de faire ce que je peux», a précisé Gérard Depardieu, avant de déclarer avec un trait d’humour qu’il était «parfois un peu trop amoureux de la vie. Je m’endors parfois sur un scooter, mais la police est très gentille avec moi“.

© Eric Gaillard Reuters

Pour sa part, le député-maire de Nice, Christian Estrosi, a rendu un hommage chaleureux au “plus grand acteur français des 50 dernières années”. “Qui peut contester à Gérard Depardieu d’avoir été l’un des meilleurs ambassadeurs qui soient de la culture française ? Cet homme a été traîné dans la boue par le gouvernement français. Je le regrette. Ce n’est pas une bonne manière de se comporter à l’égard de ceux qui ont tant donné pour notre pays” a-t-il déclaré, avant de remettre à l’acteur la médaille de la ville.

Deux expositions aura lieu dans le cadre du Ier Festival du Cinéma Russe à Nice :
– Exposition consacrée à la dynastie des Romanov, œuvres du peintre Gueorguïe Chichkine…
– Exposition dédiée au 65e anniversaire du Gosfilmofond de Russie.

(Publi-Reportage Tatiana Chichkine)

Parmi les invités: Irina Alferova, Vadim Abrachitov, Sviatoslav Belza, Stanislas Govoroukhine, Svetlana Belza, Irina Mirotchnenko, Alexandre Mitta, Alexandre Mikhaïkov, Nikita Mikhaikov, Alexeï Petrenko, Alexandre Prochkine, Lev Prygounov, Serguei Soloviev Marlen Khoutziïev, Gérard Depardieu….

Dans le cadre du 1er Festival du Cinéma Russe à Nice :

– Exposition “65 ans au Gosfilmofond de Russie“.

Vendredi 14 juin, à 17h 30

Cinémathèque de Nice: Acropolis

GOSFILMOMOND – Documentaire, SARL “Studio 217″, 2010 , 50 mn réalisateur Ivan Tverdovsky.

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Dessins animés en couleurs restaurées:

La Tarte Sucrée“, URSS 1937,  11 mn, réalisateur Dmitri Babitchenko.

“Le Conte d’Hiver“, URSS 1945, 12 mn réalisateur Ivan Ivanov-Vano.

Entrée libre invitation à retirer : Cinémathèque de Nice

3 esplanade Kennedy, 06364 Nice

CINÉMATHÉQUE DE NICE

3 Place Kennedy

06364 Nice

Renseignements:

Tél: 0492040666

www.cinémathèque-nice.fr

« Intelligentsia. Entre France et Russie, archives inédites du XXe siècle »

Exposition du 28novembre 2012 au 12 janvier 2013

Ecole Nationales des Beaux Arts de Paris

Cette exposition révèle pour la première fois les relations uniques tissées au cours du XXème siècle entre les écrivains et intellectuels français et russes.
Grâce à l’ouverture exceptionnelle de l’ensemble des archives de la Fédération de Russie et à l’accès à des fonds méconnus en France.

Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault et M. Dmitri Medvedev, président
du Gouvernement de la Fédération de Russie (Photo : Pierre Chabaud / Matignon)

La fine fleur de l’intelligentsia russe. C’est intéressant – les documents, mais aussi la façon dont ils sont présentés“, a déclaré M.Medvedev visitant l’exposition.

Les premiers ministres russe et français inaugurent une exposition à Paris. © AFP/ Fred Dufour

Plus de 300 cents documents, méconnus ou inédits !
Correspondances, journaux intimes, manuscrits, photographies et films inédits, éditions originales, objets personnels, dessins… qui permettent de comprendre une histoire souvent dramatique, tissée de destins singuliers : /émigrés ayant fui la révolution bolchévique, compagnons de route séduits par l’utopie révolutionnaire, dissidents de l’ère brejnévienne, intellectuels français revenus de leurs illusions.

Ilya Ehrenbourg, le peintre Pignon et Pablo Picasso à Nice le 26 janvier 1963,
le jour de l'anniversaire de l'écrivain soviétique.
Photographie coloriée par Pablo Picasso. © Archives privées Saint-Pétersbourg

Les œuvres et personnalités de Kessel, Bounine, Berberova, Sarraute, Barbusse, Gide, Eluard, Sartre, Aragon, Kozovoï et Soljenitsyne seront au cœur de ce projet.

Édition soviétique de l’ouvrage posthume d’Anatole France Dernières pages inédites
(dont « Sous la Rose ») provenant de la bibliothèque personnelle de Staline.
On y trouve des annotations écrites de la main de ce dernier.
© RGASPI.

L’exposition en partenariat avec les Archives du Ministère des Affaires étrangères, est placée sous le haut patronage de Mme Hélène Carrère d’Encausse, Secrétaire perpétuel de l’Académie française. Elle dresse un bilan des échanges culturels noués entre les deux pays, malgré les relations diplomatiques tendues qui ont marqué l’histoire de la France et de la Russie au XX° siècle.

Machine à écrire Erika (1945-1956).

Plusieurs pièces exposées ont attiré l’attention du premier ministre Medvedev. Il s’est arrêté devant une machine à écrire de fabrication allemande Erika, très populaire parmi les intellectuels soviétiques. “J’en avais une aussi“, a déclaré M.Medvedev.

Affiche d’Aleksandr Deïneka datant de 1939. © GARF

Cette exposition raconte aussi une nouvelle histoire de la vie intellectuelle et culturelle française, à travers les regards posés sur l’évolution de l’idéologie socialiste, ses séductions et les désillusions qu’elle a engendrées chez les intellectuels français.
La scénographie réalisée par Andrey Pavlov présente un parcours original imprégné de l’atmosphère architecturale de l’époque soviétique, en 7 thèmes :

• Premiers témoignages sur la Révolution de 1917
• L’accueil des exilés russes en France
• Le voyage en URSS
• La politique d’influence de l’Union soviétique
• Etre écrivain et communiste
• « Désaccords » et procès
• La France et les dissidents.

L’exposition « Intelligentsia. Entre France et Russie, archives inédites du XXe siècle » sera le dernier moment fort de l’année littéraire France-Russie 2012.

André Gide entouré de pionniers à la
gare de Biélorussie à Moscou en 1936.
© RGAFD, photographe inconnu.

L’exposition illustre les relations uniques tissées au cours du XXe siècle entre les écrivains et intellectuels français et russes.
L’Institut français et la direction des Archives du ministère des Affaires étrangères sont à l’origine de cet événement qui présentera 300 pièces inédites provenant des archives de la Fédération de Russie et de fonds français méconnus.


École nationale supérieure des Beaux-Arts

Galerie des expositions, rez-de-chaussée,

13 Quai Malaquais – 75006 Paris
Entrée libre
Du mardi au dimanche de 13h à 19h
(fermeture 25 décembre et 1er janvier)

Evènements autour de L’exposition

Colloque «Intelligentsia. Un siècle de relations intellectuelles franco-russes à travers les archives (1917-1991) » vendredi 30 novembre 9h30-16h
à la Fondation Singer-Polignac 43, avenue Georges Mandel, 75116 Paris Inscription obligatoire: intelligentsia@singer-polignac.org 01 47 27 38 66

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Rencontres artistiques «Notre siècle et nous» à l’École nationale supérieure des beaux-arts 14, rue Bonaparte, 75006 Paris Entrée libre

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Jeudi 29 novembre à 19h: Rencontre avec Galina Voltchek, directrice artistique et fondatrice du théâtre «Sovremennik». Avec les comédiens : Marina Vlady, Artur Smolianinov, Viktoria Romanenko.

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Mercredi 5 décembre à 19h: Rencontre avec les écrivains Vladimir Voïnovitch et Anatoly Gladiline. Avec les peintres Oscar Rabine, Boris Zaborov, Erik Boulatov et le comédien Véniamin Smekhov.

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vendredi 14 décembre à 19h: Rencontre avec le poète Evgueni Evtouchenko «En Russie le poète est plus qu’un poète». Avec les peintres Oleg Tselkov, Oscar Rabine, Mikhaïl Chemiakine, les étudiants
de l’atelier théâtral de Limoges et son directeur Anton Kouznetsov.endredi 14 décembre à 19h: Rencontre avec le poète Evgueni Evtouchenko «En Russie le poète est plus qu’un poète». Avec les peintres Oleg Tselkov, Oscar Rabine, Mikhaïl Chemiakine, les étudiants
de l’atelier théâtral de Limoges et son directeur Anton Kouznetsov.

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Jeudi 10 janvier à 19h: Rencontre avec Natalia Soljenitsyne, présidente de la Fondation Alexandre Soljenitsyne.


 

La grande danseuse Maya Plissetskaïa et le directeur du Bolchoï Anatoli Iksanov ont été décorés de

l’Ordre de la Légion d’honneur.

Maya Plissetskaïa © RIA Novosti. Vladimir Viatkin

Le président Nicolas Sarkozy a pris cette décision pour récompenser “la grande contribution apportée par Mme Plissetskaïa et M. Iksanov à la culture mondiale”.

Rappelons qu’en 1986, le gouvernement de la République lui avait rendu hommage en

la faisant chevalier dans l’Ordre des arts et lettres et chevalier de la Légion d’honneur.

Le célèbre réalisateur russe Pavel Lounguine, qui préside l’Académie du cinéma franco-russe,

s’est vu également décerner l’Ordre de la Légion d’honneur.

Parmi les personnalités culturelles russes décorées de la Légion d’honneur au cours ces dernières années figurent le directeur du Musée de l’Ermitage de Saint-Pétersbourg Mikhaïl Piotrovski, le chef d’orchestre Valeri Guerguiev, l’artiste Iouri Bachmet et le réalisateur Nikita Mikhalkov.

L’Ordre national de la Légion d’honneur a été institué le 19 mai 1802 par Napoléon Bonaparte sur le modèle des ordres de chevalerie. La décoration de la Légion d’honneur est une étoile à cinq rayons doubles, surmontée d’une couronne de chêne et de laurier. Le centre de l’étoile, émaillé de blanc, est entouré de branches de chêne et de laurier et présente à l’avers l’effigie de la République avec cet exergue : “République française” et au revers, deux drapeaux tricolores avec cet exergue : “Honneur et Patrie” et la date : “29 floréal an X”.

La devise de la Légion d’honneur est “Honneur et Patrie”, la couleur, le rouge, les insignes : le collier, la croix, la plaque.

La décoration récompense les mérites éminents rendus dans les domaines militaires et civils. L’admission dans l’ordre est décidée par le président de la République.

La 68e Mostra de Venise  pactise avec le diable!

Alexandre Nikolaïevitch Sokourov (Александр Николаевич Сокуров).

Le jury présidé par Darren Aronofsky a récompensé le film du réalisateur russe Alexandre Sokourov:

une interprétation du “Faust” de Goethe, sur fond de corruption du pouvoir.

Il y a des films qui font pleurer, rire, penser, des films qui émeuvent, qui changent la vie pour toujours. Faust est de ceux-là”, a déclaré le président du jury, cinéaste et producteur américain, réalisateur du Cygne noir, en décernant ce prix “à l’unanimité”.

Darren S. Aronofsky, cinéaste et producteur américain
Président du jury 2011 de la 68ème Mostra de Venise.

Déjouant en partie les pronostics, le jury a laissé de côté “Carnage” de Roman Polanski, donné grand favori.

Le cinéphile mois de septembre 2011 a commencé sur les chapeaux de roue. En parallèle du Festival de Deauville, la Mostra de Venise vient de rendre son palmarès. Il avait le choix entre 23 films, une sélection haut de gamme réunissant pointures du cinéma (Polanski, Clooney, Cronenberg, To, Friedkin…) et de jeunes réalisateurs, témoins “d’un cinéma international vivant et en marche”.

Une édition 2011, qui a mis à l’honneur l’œuvre dérangeante d’Alexandre Sokourov, enfin récompensé à sa juste valeur grâce à son film Faust, issu du chef-d’œuvre de Goethe. Un long-métrage qui renoue avec l’essence même du cinéma, mettant en lumière l’importance des décors, des costumes, le jeu des comédiens. Une exploration du côté sombre de l’âme humaine, en tête à tête avec un certain Méphistophélès.

"Faust".

Il reprend l’histoire archétype du face-à-face avec le diable, mais sous forme d’une méditation sur la corruption du pouvoir. Les personnages, en costumes du XIXe siècle, y sont inquiétants et évoluent dans une atmosphère étouffante et nauséabonde de fin du monde, un thème cher à cette 68e Mostra.

Photo du casting de "Faust" lors de la présentation officielle le 8 septembre

Faire du cinéma d’auteur, c’est très difficile de nos jours. Je vous remercie pour la compréhension et la fatigue que cela comporte” (de le regarder), a déclaré le réalisateur, “très heureux de vivre dans le cinéma et dans une Europe où, a-t-il dit, nous pouvons nous comprendre”. Faust est le dernier volet d’une tétralogie sur les dictateurs, le pouvoir et la folie humaine, entamée en 1999 avec un portrait fictionnel d’Adolf Hitler.

" Faust "

Alexandre Nikolaïevitch Sokourov (en russe : Александр Николаевич Сокуров), né le 14 juin 1951 à Podorvikha dans la région d’Irkoutsk, Né dans une famille d’officiers militaires, diplômé d’histoire de l’université de Nijni Novgorod en 1974, il entre l’année suivante au VGIK (Institut central du cinéma de l’URSS) de Moscou où il est l’élève de Tarkovski. La plupart des premiers travaux de Sokourov sont bannis par les autorités soviétiques. Durant cette période, il réalise un grand nombre de documentaires. 1996 avec “Mère et fils” il accède à la reconnaissance internationale. Il réalise trois films sur des personnages historiques : Moloch sur Adolf Hitler, Taurus sur Lénine et Le Soleil sur l’empereur Hirohito. Il est aussi célèbre pour avoir tourné “L’Arche russe” au musée de l’Ermitage à Saint-Pétersbourg en un seul plan-séquence de 96 minutes.

Alexandre Sokourov en plein tournage de "Faust".

Le cinéaste, pour la première fois sélectionné cette année à Venise, n’avait jamais obtenu plus qu’un prix de la critique et un prix du meilleur scénario à Cannes. Il avait aussi obtenu un Léopard de bronze et un Léopard d’honneur à Locarno.

La récompense : le lion d'or.

Cette distinction du plus ancien festival du monde n’avait été attribué à un cinéaste russe qu’une seule fois, en 2003, à Andreï Zviaguintsev pour “Le retour.”

Les autres prix 2011.

–  Le “Lion d’argent” de la meilleure mise en scène: au Chinois Shangjun Cai pour “People Mountain People Sea”.

–  Le Prix spécial du jury: pour le film italien “Terraferma”, d’Emanuele Crialese.

–  La Coupe Volpi:  pour la meilleure interprétation masculine  à l’Irlandais Michael Fassbender pour son rôle dans “Shame” (Honte), du Britannique Steve McQueen, qui raconte l’addiction sexuelle d’un célibataire new-yorkais.

–   Le Prix de la meilleure actrice: La Chinoise Deanie Ip  pour sa prestation dans le film “Tao Jie” (Une vie simple) de la réalisatrice de Hong Kong Ann Hui.

–  Le Prix du meilleur scénario revient au film grec “Alpeis” (“Alpes”), de Yorgos Lanthimos.

–  La meilleure contribution technique:  “Hauts de Hurlevent” du Britannique Andrea Arnold, d’après le roman d’Emily Bronte.

Non loin du pont Alexandre III et du Grand Palais, place du Canada sur le Cour de la Reine, sera inauguré, en présence du premier ministre russe V. Poutine et de M. Fillon,

un monument aux soldats du corps expéditionnaire russe qui combattit aux côtés de la France pendant la Première Guerre mondiale le 21 juin.

Le chœur du monastère Sretenski de Moscou participera à cette cérémonie, et la bénédiction par Monseigneur Nestor de Chersonèse.

En septembre 2010, un monument au Corps expéditionnaire russe a été inauguré à Reims, région principale des activités des forces russes.

Lire l’article sur Artcorusse ( CLIQUEZ ).

En 1916, le gouvernement impérial russe a mis sur pied un corps expéditionnaire composé de quatre brigades. Deux brigades ont ensuite débarqué à Thessalonique. Les deux autres, fortes de plus de 20.000 soldats et officiers, luttaient sur le front franco-allemand, en Champagne, aux côtés de la France.

Le monument est réalisé par le sculpteur russe Vladimir Surovtsev, lire l’article sur Artcorusse ( CLIQUEZ ).

Le premier ministre russe Vladimir Poutine fit un discours devant le monument, mardi 21 juin 2011, en présence de François Fillon premier ministre français.

Il assistera également à une réunion du “Dialogue franco-russe“, créé en 2004,  ayant pour objectif le développement de partenariats entre les sociétés civiles française et russe, au cours de laquelle monsieur Poutine rencontrera des personnalités du monde économique et culturel.

Le Premier ministre russe visitera en outre le Salon aéronautique du Bourget.
Cette visite s’inscrit dans le cadre des excellentes relations entre nos deux pays, et dans la dynamique initiée par l’année croisée France-Russie 2010, qui a été marquée par une densité inégalée de contacts politiques.