Cette exposition photographique, organisée par l’Agence Nationale de la Cohésion des Territoires en parténariat avec la SNCF Gares & Connexions, met à l’honneur cinq territoires d’industrie de différentes régions françaises: Lacq-Pau-Tarbes, le Nord Franche-Comté, St Nazaire Cordemais, la Vallée de l’Huisne et les Vosges. L’exposition esquisse un portrait industriel de chacun de es territoires, à travers des entreprises représentatives de savoir-faire locaux historiques ou en émergence, souvent reconnus, grâce à l’implication des femmes et des hommes qui ont choisie d’exercer un métier industriel.
Carte blanche a été donnée au photographe Dimitri Tolstoï pour explorer cet univers au multiples facettes et en proposer une vision originale, au-delà des stéréotypes. d’un détail graphique aux installations gigantesques, l’exposition Territoires d’Industrie invite à découvrir l’industrie française sous un autre jour.
« En visitant plus de 30 pôles industriels dans sept régions françaises, cette immersion dans la France industrielle m’a permis de rencontrer des femmes et des hommes fiers de leurs savoir-faire. Un travail difficile pour certains mais toujours accompli avec humilité, et le plaisir d’une tâche bien faite.
Je sais maintenant comment sont fabriqués les chaussettes, les boulons, les vis, les textiles, les miroirs pour télescopes, hameçons, nos locomotives pour les TGV… J’ai été frappé par le gigantisme des Chantiers de l’Atlantique ou, encore, par l’arrivée des énergies propres à base d’hydrogène.
Sans oublier la passion de jeunes élèves de l’école de design automobile (Sbarro), l’idée lumineuse de Weisrock, qui fabrique des charpentes de la longueur que vous souhaitez en une seule pièce.
Je suis retombé en enfance en allant chez Clairefontaine, en retrouvant nos cahiers d’école de plusieurs couleurs ; j’ai découvert la passion de la maison Pierrat (lard fumé, saucisses etc.), qui pratique un fumage totalement écologique en circuit fermé sans aucune particule sortant des cheminées. Et beaucoup d’autres…
Mes images je l’espère, vous feront voyager à travers notre belle industrie française. »
Dimitri Tolstoï, photographe
Inauguration en présence de Dimitri Tolstoï, du ministre de l’éducation nationale, de la ministre déléguée auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance, chargée de l’Industrie, le Secrétaire d’État chargé de la Ruralité, la présidente de l’Agence Nationale de la Cohésion Territoriale.
Plus de renseignements sur le photographe : CLIQUEZ
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Gare de l’Est 75010 : grilles extérieures et intérieures`
Daria Davidova est née le 24 juin 1990 à Moscou, chanteuse d’opéra russe (soprano). En 2014, elle fait ses débuts au Théâtre Bolchoï à Moscou alors qu’elle étudiait en cinquième année au Conservatoire d’État Tchaïkovsky . De 2015 à 2017, elle est soliste au théâtre académique musical de Moscou Stanislavski et Nemirovitch-Dantchenko. Depuis 2018, elle est Soliste de la télévision et radio russe (VGTRK). Elle a gagné le concours «Pages d’or de la musique russe». Elle a été lauréate au concours international de jeunes chanteurs de romance russe «Romansiada-2008» et reçu le prix spécial «Miss – Romansiada».
Alexandra Bartfeld, organiste et pianiste russe, née à Kaliningrad. Après avoir obtenu son Master d’orgue à l’Université des Arts à Berlin ainsi que le Prix de Perfectionnement aux Conservatoire Régional de Versailles auprès de Jean-Baptiste Robin, Alexandra Bartfeld fait une carrière internationale. Dans son répertoire elle accorde une égale importance à la musique ancienne et romantique, ainsi que la musique contemporaine, des pièces peu jouées et oubliées. Alexandra Bartfeld a joué en création mondiale des œuvres de A. Karalow, M.Molteni, R. Misjuns et F. Wessel. Elle a reçu, pour l’interpretation de « Doppelflügelfenster » de Florian Wessel le Prix Hanns Eisler pour la musique contemporaine.
Alexandra Bartfeld et créatrice des plusieurs projets éducatifs et caritatifs, entre autres du projet interactif OrganTalk, qui présente une série d’interviews et qui a reçu une grande résonance dans le milieu professionnel.
La cathédrale Saint-Louis de Versailles est une église de style rocaille construite par l’architecte Jacques Hardouin-Mansartd de Sagonne. Elle fut bénie le , jour de la St Louis, et choisie comme cathédrale à la création de l’évêché de Versailles en 1802. Le grand orguefut commandé en 1759 à Louis-Alexandre Clicquot dont le père, Robert, avait travaillé à l’instrument de la chapelle royale du château de Versailles. Il possédait 45 jeux sur 4 claviers et un pédalier à grand ravalement. Il joua le , lors de la messe des États Généraux convoqués par Louis XVI. Il traversa la période révolutionnaire, endommagé par la poussière des grains entreposés dans le Temple de l’Abondance. Le sieur Bêche, de la municipalité de Versailles, fit procéder au retrait de trois fleurs de lys en bois sur le buffet du Positif en . La Gazette de France le compara à son homologue parisien de Saint Roch et s’étonna de la magnificence de sa bombarde qui sonnait « comme s’il y en avait deux, comme à St Roch ».
État des restaurations effectuées :
: démontage complet de l’instrument, transporté en atelier dans la perspective du bicentenaire la Révolution française (1989). La restauration fut confiée à Théo Haerpfer (Manufacture Lorraine de Grandes Orgues) et dura deux ans, expert jean-Pierre Decavele. Le remontage fut effectué du au , alors qu’on procédait au nettoyage complet de l’intérieur de la cathédrale.
2018-2020 : restauration par les facteurs DLFO et Mulheisen, cahier des charges par Eric Brottier, expert.
Cathédrale Saint Louis 4, Place Saint-Louis, 78000 Versailles Tél : 01.39.50.40.65
Tarifs : 25€, 17€ réduit. Billeterie à l’entrée dès 15h 30 FNAC, Carrefour, Géant…….
Centenaire de l’institut Saint-Georges (1921-2021)
Exposition Thème:
”Nos mains à l’unisson” l’Art russe
Samedi 2 et dimanche 3 avril 2022
Visite de la chapelle ces deux jours à 15h (réservation auprès de Mme Nicolas )
Hôtel des Artisants, Potager du Dauphin, 92190 Meudon
La création de ce parc date de 1681. La belle demeure y a été construite au 19ème siècle par la famille Porto-Riche. Dans les années 1946, cette demeure a été occupée par un internat russe, l’Internat St Georges, pour les garçons issus de l’émigration russe, orthodoxes pour la plupart, afin de les maintenir dans leur culture traditionnelle..
Quand l’internat jésuite SAINT-GEORGES vint s’établir à Meudon en 1946, il avait déjà derrière lui un quart de siècle d’une existence passablement mouvementée…Né à Istanbul en 1921 sur l’initiative d’un père jésuite, au temps où la Révolution faisait rage en Russie, l’Internat SAINT-GEORGES avait accueilli une trentaine de garçons de l’émigration russe. Dès 1923, le gouvernement de Mustapha KEMAL déclarait indésirables sur le territoire turc ces rescapés de la révolution bolchevique. Ce fut une migration vers la Belgique, à Namur jusqu’en 1940, puis Paris, Rue Raynouard, jusqu’en 1946, telles furent les étapes qui précédèrent l’installation de l’internat à Meudon, au Potager du Dauphin.
Depuis 2002, cette propriété appartient à la commune de Meudon, après la disparition d’élèves et l’ouverture des frontières de la Russie en 1990, l’Internat qui était devenu le “Centre russe ” ferma définitivement ses portes, Rome décidant de vendre la propriété, en 2021. A ce jour, cette bâtisse à deux étages renferme des ateliers d’activités où une quinzaine d’artisans y exercent leur passion (créateur de bijoux, relieur, lithographe…).
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Vous découvrirez également une chapelle (que l’on peut visiter lors des journées du Patrimoine), dont les fresques furent peintes par le Père Igon Sendler.
Chapelle désacralisée, sans son “iconostase”, qui a été transférée à Sylvanes, (située dans le sud de l’Aveyron à 432 mètres d’altitude dans les contreforts des Monts de Lacaune), et des espaces culturels. Dans le parc bien arboré, quelques statues modernes du sculpteur Achiam, une aire de jeux et un labyrinthe en buis.
Anne Nicolas : Conférencière de la Chapelle Saint-Georges, responsable de l’Atelier d’Icônes de Meudon et de l’association Egon Sendler, et artisan iconographe. vous présentera les fresques de la chapelle et l’’association “Atelier d’icône de Meudon” créé en 2002 , en lien avec le père Igor qui a pensé le nom avec les responsables de la ville, donnant ainsi une nouvelle vie à son école à Meudon. Effectuant des stages d’été en Haute- Savoie, au Chalet Darbon, près de Publier.
Les membres créateurs sont: Martine Charbonnier, assistante du Père Igor (décédée) Jean-Paul Audigé, ami des Pères de Saint-Georges (décédé) Anne Nicolas, élève du Père depuis l’âge de 9 ans René Léaustic les a rejoint pour l’enseignement dès le début de l’atelier (décédé)
L’association a pour mission de poursuivre l’enseignement du Père Igor dans les lieux où il a pris forme à son arrivée, en 1959 auprès des élèves russes de l’internat St Georges, de élèves français et de leurs parents ou de meudonnais. L’objet de l’association est l’enseignement de la peinture d’icônes selon les écolesbyzantines, grecques et russes et dans l’esprit de l’école du Père Egon Sendler.
Le R.P.Egon Sendler s.j. ou Père Igor est né le 1er août 1923, Waldtal — Małkowice en Silésie, actuellement Pologne, il est décédé à Paris, le 14 mars 2014. Il a été ordonné prêtre en 1956, hiéromoine de l’Église catholique de rite byzantin, membre de la Compagnie de Jésus, historien de l’art, spécialiste des icônes, peintre d’icônes, conférencier et enseignant. Il a exercé ses activités au Centre d’études russes Saint Georges dont il a été recteur de 1980 à 2002, date de la fermeture du Centre d’études ruses St Georges. Il est fondateur et directeur de l’Atelier Saint Georges de peinture d’icône à Meudon puis à Versailles, près de Paris et de l’atelier Saint-André à Lausanne en Suisse. Il était membre de la mission catholique en Russie. Le Père Igor Sendler, a continué à enseigner l’iconographie dans son nouvel atelier à l’Ermitage à Versailles, jusqu’à son décès survenu le 17 mars 2014.
Spécialiste mondialement reconnu de l’art de l’icône, son enseignement est plus particulièrement tournée vers l’iconographie russe, celle des premiers siècles de la Russie Chrétienne avec les icônes pré-mongoles puis les écoles du Nord telle celles de Novgorod , puis l’école de Moscou jusqu’au 15ème et 16ème siècles.
Anne Nicolas et Caroline Rousseau poursuivent son enseignement. Pour tout renseignements et inscription pour les visites de la chapelle : Anne Nicolas : 06 36 77 64 20 et icones-meudon@orange.fr
Guylène Garcia : Représentante du collectif des artisans d’art du Potager du Dauphin et artisan tapissière.
L’hôtel d’activités artisanales au Potager du Dauphin existe depuis 2008, le Potager du Dauphin accueille un lieu d’activités dédiés à l’artisanat d’art et des artisants exerçant des métiers rares. Ce bâtiment dispose de quinze ateliers allant de 12 à 50 m2, le tout dans un parc arboré et calme.
Ce sont deux artistes venus d’ailleurs, l’un franco-gabonais, l’autre russe naturalisée française, se retrouvent sur scène. Les deux sont musiciens auteurs compositeurs et interprètes, chacun a son parcours original : ils présentent et mélangent leurs univers personnels à travers leurs chansons et des dialogues poignants. On se retrouve en face de polémiques actuelles autours des clichés et des préjugés liés à leurs pays d’origine : être biculturel est une fragilité et force à la fois. “Nous sommes deux rives d’un seul fleuve nommé ‘humanité’ ! “
Véronika BULYCHEVA est née d’un père russe et d’une mère oumourte dans un petit village de l’Oural en Russie. Elle commence des études musicales au lycée de Votkinsk, la ville natale de Piotr Illytch Tchaikovski: elle apprend l’accordéon, le chant lyrique, la direction de chœur et la direction d’orchestre.
Elle entre en 1989 à l’Académie des Arts de Saint-Pétersbourg Ses études achevées, fort de plusieurs années d’expériences de la scène et confiante dans son talent, elle quitte Saint-Pétersbourg en 1992 pour Paris.
Véronika est une chanteuse unique et inoubliable, dont la voix était profonde et volatile pour prendre d’assaut les octaves – 5 octaves – de bas en haut, de contralto à alto. Une autre caractéristique du monde créatif de Bulycheva est sa volonté de travailler avec des significations riches, des textes poétiques complexes et significatifs. Ici, la grande culture de communication du compositeur avec le mot.
Jann HALEXANDER est né à Libreville au Gabon en 1982, initié très jeune au piano il se tourne vers les afts de la scène en 2003. E 2013 il fête ses 10 ans de carrière au théâtre Auguste (ex Espace la Comedia) à Paris. Il est auteur compositeur et interprète, a déja à son actif plus d’une demi-douzaine de disque.
Mercredi 23 mars « Le Maitre et Marguerite » sera maintenu car le spectacle est présenté par une troupe et des artistes français. Boulgakov était d’ailleurs en son temps un artiste victime de la censure.
Festival incontournable depuis 1995, le 26ème Festival russe du Théâtre Toursky Internationalaccueille l’âme russe durant plusieurs jours. Le Festival russe défend une culture multiple, indivisible et universelle, autour des valeurs de la diversité artistique. Mené sans défaillance, Saison après Saison, avec une interruption sanitaire cet événement a su trouver sa cohérence artistique auprès d’un public toujours plus fidèle et nombreux.
Vendredi 4 mars à 20 h
” Les ballets légendaires “
Considéré comme le meilleur au monde, le ballet classique russe représente depuis toujours la carte de visite de la Russie, une valeur incontestée et la fierté du pays. Les noms de ses danseurs sont aujourd’hui connus du grand public dans le monde entier : Matilda Kshesinskaïa, Anna Pavlova, Agreina Vaganova…
Sur les musiques de Tchaïkovski, Delibes, Pugni, Rimsky-Korsakov ou d’autres encore issues de productions de Petipa et de Fokine, ces artistes honorés de Russie et lauréats des grands concours internationaux nous époustoufleront par leur virtuosité et leur grâce, en exécutant avec la facilité des anges, les fragments les plus beaux, les plus colorés et les plus compliqués techniquement de ballets légendaires : Le Lac des cygnes, Le Corsaire, Shéhérazade, Les Flammes de Paris…
Spectacle suivi d’une soirée Cabaret assurée par la Troupe Koliada.
Originaire de Novossibirsk en Sibérie, le pianiste Dmitri Karpov vous séduira par sa maîtrise technique de l’instrument lui permettant d’interpréter les œuvres les plus redoutables du répertoire. Lauréat des plus grands concours internationaux, il enregistre de nombreux disques salués par l’ensemble de la critique internationale et fît sensation au concours Véra Lautard en 2012 au Toursky. Ses interprétations d’une réelle profondeur d’âme sont toujours un moment d’exception.
Le duo Karpov excelle dans le répertoire romantique et contemporain. Originaire de Saint-Pétersbourg, Tatiana Simonova, concertiste reconnue, se produit sur les plus grandes scènes musicales. Ampleur et couleurs caractérisent son jeu.
Programme :
1e partie : Solo Dmitri Karpov Piotr Illitch Tchaïkovsky : 4 extraits du ballet Casse- noisette (Transcription Pletnev) Alexandre Scriabine : Sonate pour piano n°2 Frédéric Chopin : Ballade N°2, Scherzo N°3
2e partie : Duo Dmitri Karpov & Nadezhda Karpova Claude Debussy : La petite suite Mikhaîl Glinka : Galop sur le thème de Gaetano Donizetti Johannes Brahms : 3 chansons du cycle « Souvenir de la Russie » Carl Czerny : Fantaisie sur le thème des puritains de Bellini
3e partie : Trio Dmitri Karpov, Nadezhda Karpova & Tatiana Simonova W.F.E. Bach : Trois papiers pour piano à 6 mains Sergueï Rachmaninov : La romance et la valse Aram Khatchatourian : La danse du sabre Albert Lavignac : Galop – Marche à huit mains (avec un pianiste surprise)
VIII° Festival des Centres Russes de l’enseignements Animations le matin :
10h-11h45 : Les ateliers artistiques pour enfants autour de la culture russe, animation interactive par l’association franco russe ” Perspectives” de Marseille. 12h-13 : Buffet russe sur place 13h30 – 17h30 : Grand Gala des Écoles russes en deux parties avec entracte
ENTRÉE LIBRE
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Vendredi 11 et samedi 12 mars à 20h
« Une exploration de l’âme humaine dans toute sa complexité. » Spectacle suivi d’un cabaret russe par le Théâtre d’Etat de la jeunesse A. Bryantsev de Saint-Pétersbourg
Lorsque le théâtre prend des allures de roman d’aventure… Une troupe de comédiens truculents et inspirés s’emparent avec fougue et passion du Conte d’Hiver : une histoire de jalousie et d’exil, douloureuse et cocasse !
Léonte est roi de Sicile et semble être le plus heureux des hommes. Son ami d’enfance Polixène, lui-même roi de Bohème, est sur le départ après une longue visite de neuf mois. Léonte insiste pour qu’il reste encore quelques jours. Sans succès, il demande alors à Hermione, son épouse, enceinte de leur deuxième enfant, de convaincre Polixène de rester. Devant tant d’empressement, celui-ci accepte. À ce moment, un changement s’opère dans l’esprit de Léonte. Il est soudain persuadé que Polixène est le père du bébé. Sa jalousie absolument infondée, va dépasser toute mesure.
Véritable tragi-comédie, le Conte d’Hiver est l’une des dernières pièces de Shakespeare. Pour le metteur en scène, cette œuvre inclassable est le véritable testament du célèbre auteur qui fabrique du merveilleux pour parler de trahison, de jalousie, de pouvoir, de tyrannie et de folie.
Les comédiens jouent subtilement des effets de contraste entre le drame et ses ressorts comiques. Un univers riche en rebondissements qui se déploie au rythme haletant d’un véritable feuilleton.
Inventive et festive, cette production est un ravissement.
« Un hymne vibrant à la vie face à la cruauté du pouvoir, à la haine raciale et aux poids des traditions dogmatiques. » Spectacle suivi d’un cabaret russe par le Théâtre sur la Pokrovka
Librement adaptée de la nouvelle de Cholem Aleichem, Tévié le laitier qui avait inspiré la célèbre comédie musicale Un Violon sur le toit, la pièce offre une farandole de visages, de destins et d’histoires où chacun d’entre nous peut trouver le reflet de lui-même.
L’action se déroule dans la Russie pré-révolutionnaire. Dans un village juif d’Anatovka en Ukraine, vit Tévié, un laitier. Sa vie de misère serait supportable s’il n’avait pas cinq filles à marier. Belles, intelligentes et pleines de santé, elles attirent des prétendants qui ne répondent pas forcément aux critères de Tévié et son épouse Goldé… Mais choisissant de privilégier le bonheur de leurs enfants au détriment de la rigueur religieuse et sociale de leur communauté, les filles finiront par imposer les maris les plus improbables… mettant ainsi en pièce les traditions ancestrales.
Les comédiens du Théâtre sur la Pokrovka évoluent dans de magnifiques décors évoquant l’univers de Marc Chagall. Les personnages sont hauts en couleur. C’est bavard, truculent, imagé et d’une saveur incomparable.
Le chef–d’œuvre de Boulgakov mis en scène par Igor Mendjisky,
” Le Maitre et Marguerite “
Dix-huit personnages, huit acteurs, le diable, un bourreau, une sorcière, le Christ, trois écrivains, une infirmière, un chat qui parle, trois récits qui s’entrelacent, des tirades en grec ancien, en hébreu, en russe, en anglais, une chambre d’hôpital psychiatrique, le palais d’Hérode en l’an 33 de notre ère, le théâtre d’art de Moscou dans les années 30, un plateau de journal télévisé, une plage à Yalta, un parc, une salle de bal infernale, de la vidéo, des chansons, un dispositif tri-frontal…
Conte fantastique, satire politique, histoire d’amour… Igor Mendjisky, dans une mise en scène imagée, nous livre ici une adaptation parfaite du plus grand chef-d’œuvre de la littérature russe et nous offre une suite de visions hallucinées, nous racontant une réalité vécue comme la plus labyrinthique des folies.
– Avec Marc Arnaud ou Adrien Melin, Gabriel Dufay, Pierre Hiessler, Igor Mendjisky, Pauline Murris, Alexandre Soulié, Esther Van Den Driessche ou Marion Déjardin et Yuriy Zavalnyouk.
Un florilège de dessins animés russes (version française) Un rendez-vous original et sans égal à savourer en famille • 75 min Le film d’animation russe est l’un des plus réputés au monde. Avez-vous déjà entendu parler du chat Matroskin de Prostovashino ou du chien Chérik ou du monde merveilleux des contes des sœurs Brumberg ? Les dessins animés soviétiques représentent aujourd’hui le patrimoine de l’animation russe et sont connus de chaque enfant russe.
Trois de Prostokvashino • Vladimir Popov • 1978 Le Mordeur mordu • Viatcheslav Kotenotchkine • 1983 Attends un peu • Viatcheslav Kotenotchkine & Vladimir Tarassov • 1969 Réalisation d’un vœu • Z. & V. Brumberg • 1957 Le cerf-volant fantôme • Leonide Kayoukov • 1983 La charrette magique • Boris Boutakov • 1985
En partenariat avec le Studio de Cinéma « Soyuzmultfilm », co-organisateur des projections.
À 16h un goûter sera offert aux enfants et leurs parents qui restent pour le film La Croisière tigrée.
La Croisière tigrée De Vladimir Fetine • 1961 • 83 min • Film rire Amis des animaux et des croisières, courez voir avec vos enfants cette comédie loufoque, digne des plus grands burlesques. Léonov, le Bourvil soviétique est absolument génial. Chouleikine, simple cuisinier, veut absolument rentrer au pays. Seule solution : se faire passer pour un dresseur expérimenté sur un cargo qui transporte comme fret dix tigres et deux lions pour un jardin zoologique vers Odessa. Il se garde bien de dire à l’équipage qu’il ne connaît rien aux animaux. Durant la traversée un petit singe ouvre les cages. Les animaux recouvrent leur liberté. S’en suivent maintes aventures délirantes. Rien dans le voyage ne ressemble à une croisière tranquille.
L’Étoile d’un merveilleux bonheur De Vladimir Motyl • 1975 • 167 min • Film passion Le film relate l’histoire des décabristes. Quelques jeunes officiers issus de l’aristocratie et favorables à la révolution dans le but d’abolir l’aristocratie et le servage, tentent un coup d’état en décembre 1825 afin d’empêcher le tsar Nicolas 1er d’accéder au trône. Le tsar punit sévèrement les rebelles : certains furent exécutés, d’autres envoyés en Sibérie. Certaines épouses de ces officiers n’hésitent pas à aller les rejoindre en exil. Ce film romantique est un chef-d’œuvre du genre. Un vibrant hommage aux femmes et à leur courage face à la Russie tsariste.
Le Lichen des Caribous De Vladimir Tournaev • 2014 • 98 min • Film émotion
Le jeune Nenets Aliocha se marie avec une voisine pour céder aux pressions de sa mère. Il doit perpétuer la lignée. Mais son cœur bat pour son amour d’enfance Aniko, la fille du vieux Seberouï. Elle est partie étudier à l’université de Tioumen et n’est jamais revenue au village. Chaque jour, Aliocha scrute la route et attend son retour… Il est déchiré entre l’envie de retrouver son amour impossible et le devoir de faire vivre les traditions de ses ancêtres. Un magnifique voyage au pays des Nenets, peuple nomade du cercle polaire sibérien presque vierge de toute technologie. Ce peuple en lien étroit avec la nature tente de concilier modernité et tradition. Le réalisateur Tournaev nous interroge sur cette question fondamentale : la technologie doit-elle nous libérer ou demeurer un objet de contrôle ? C’est le premier film russe à avoir obtenu le prix du public du Festival international de Moscou. D’une beauté à vous couper le souffle !
Le Temps des Premiers De Dmitri Kisselev • 2017 • 147 min • Film aventure
Dans les années 60, pendant la guerre froide, l’URSS prévoit d’envoyer un homme dans l’espace pour une première sortie hors d’un vaisseau spatial. Les pilotes de l’armée Pavel Bellaïev et Alexeï Leonov sont sélectionnés. Ils devront affronter de nombreux obstacles et dangers. La fusée d’essai est par exemple détruite deux semaines avant le début de la mission. Les russes ne parviennent pas à en identifier les causes…
Ce film palpitant relate les exploits incroyable de deux héros de la conquête spatiale dans des conditions frôlant l’impossible. Coincé dans l’ombre de Youri Gargarine et de Neil Armstrong, Alexeï Leonov fût le premier homme à réussir une sortie dans l’espace le 12 avril 1961. Fascinant.
APRÈS CHAQUE SPECTACLE DU FESTIVAL RUSSE les cabarets russes prolongent la fête à l’Espace Léo Ferré.
Au menu : chansons, danses, spécialités russes et vodka. Ambiance festive assurée !
Les 4 et 25 mars, après Les Ballets Légendaires et Le Maître et Marguerite, les cabarets seront animés par la troupe Koliada.
Les 11 et 12 mars, après LeConte d’hiver, les cabarets seront animés par le Théâtre d’État de la jeunesse A. Bryantsev de Saint-Pétersbourg.
Les 18 et 19 mars, après Prières pour les défunts, les cabarets seront animés par le Théâtre sur la Pokrovka.
ET AUSSI ! EN EXCLUSIVITÉ
Cabaret russe exceptionnel à 20h par le Troupe de la Petite Cuillère de Saint-Pétersbourg Mercredi 9 mars
Cabaret russe poétique exceptionnel par la Troupe de la Petite Cuillère de Saint-Pétersbourg Poésie, musique, danse, repas, vodka… Un cabaret poétique et musical unique pour découvrir les plus grands poètes russes et d’ailleurs, servis par des artistes talentueux. Composée de comédiens du Théâtre de la Jeunesse de Saint-Pétersbourg, la Troupe de la Petite Cuillère a été créée lors des Master class prodiguées par Richard Martin autour de la thématique de la peur au théâtre à Saint-Pétersbourg. Une soirée immanquable !
THÉÂTRE TOURSKY INTERNATIONAL 16 passage Léo Ferré – 13003 MARSEILLE Standard : 04 91 02 58 35
Billetterie : 04 91 02 54 54
Accès: métro: Ligne 2 (rouge), station National Bus: N°89, arrêt Auphan / Vaillant Voiture: dans le quartier de Saint-Mauront, le Théâtre Toursky est indiqué à l’angle du boulevard National et de la rue Félix Pyat. Depuis l’autoroute A7, emprunter la sortie « Cinq avenues/Belle de Mai ». Au feu, tourner à droite dans la traverse de Gibbes, puis suivre le fléchage vers le Théâtre. Depuis le boulevard de Plombières, le Théâtre est indiqué au bout du boulevard, sur votre gauche.
Compte tenu de la situation sanitaire, les Journées du Livre Russe les samedi 12 et dimanche 13 février ne pourront avoir lieu dans leur format traditionnel. Elles se dérouleront cette année en deux “actes”.
Le premier d’entre eux sera en grande partie consacré au 15e Prix Russophonie. Le second se tiendra en octobre comme l’ont annoncé les organisateurs de France-Oural.
La cérémonie de remise du prix aura donc bien lieu le 12 février à ma Mairie du 5ème arrondissement de Paris.
Malgré une longue histoire de relations culturelles, privilégiées, notamment littéraires, entre la France et la Russie, aucun des quelques mille prix de traduction décernés en France au début des années 2000 ne récompensait les traducteurs du russe vers le français.
Afin de combler ce manque évident, en 2006, à l’initiative de Dimitri de Kochko, président de l’Association France-Oural, avec comme partenaire la Fondation Eltsine et son directeur exécutif, Alexandre Drozdov, fut créé, le prix Russophonie.
Destiné à faire connaître la littérature de l’espace russophone, issu de l’éclatement de l’URSS, le prix récompense la traduction française d’un ouvrage écrit en langue russe quels que soient le pays de résidence, la nationalité ou la citoyenneté de son auteur. Les fondateurs ont aussi pour ambition d’établir un dialogue et de favoriser les échanges entre deux espaces linguistiques: la francophonie et la russophonie dans un monde multipolaire garantissant la diversité culturelle et linguistique. C’est ainsi qu’en 2010, le prix donnera naissance aux Journées européennes du livre russe.
Représenté par une sculpture originale offerte au lauréat, le prix est doté d’une récompense financière pour l’auteur et son éditeur.
Et elle sera précédée d’un après-midi consacré à la présentation des lauréats et de leur traduction. La Mairie du Ve nous demande de respecter une jauge. L’entrée se fera donc sur inscription (le formulaire d’inscription et le programme détaillé seront disponibles dans quelques jours). L’ensemble des rencontres et la cérémonie elle-même seront diffusés en direct sur Youtube et Facebook !
D’ici à ce que nous nous retrouvions après deux ans de séparation, rendez-vous sur notre page Facebook avec, dès cette semaine, la publication de la liste de toutes les traductions en compétition. Puis, nous dévoilerons la short-list des 5 livres ayant participé au vote final du jury.
Nominé(e)s pour le 15e Prix Russophonie pour la meilleure traduction du russe vers le français
Compte tenu du peu de place dédié à la littérature russe contemporaine sur la scène littéraire française, on ne peut que se réjouir de retrouver dans le palmarès du 15e prix Russophonie :
Les aventures d’un sous-locataire de Iouri Bouïda, grâce à la plume de Véronique Patte, traductrice connue pour ses traductions du polonais et du russe, notamment du regretté Igor Sakhnovski chez le même éditeur, Gallimard. .
Les Éditions Noir sur Blanc font un beau doublé avec deux textes contemporains, portés par deux traductrices chevronnées, déjà présentes au palmarès du prix Russophonie ces dernières années. La route d’hiver de Léonid Youzefovitch traduit par Marianne Gourg-Antuszewicz
Le Manteau à martingaledeMikhaïl Chichkine, traduit par Maud Mabillard, également traductrice chez le même éditeur des Enfants de la Volga de Gouzel Iakhina.
Comme elles, déjà nommé au palmarès du Prix Russophonie Yves, Gauthier revient avec la traduction chez Transboréal de Dersou Ouzala de Vladimir Arseniev, résultat d’un titanesque de restauration d’un texte jusque là amputé aux deux tiers par la censure soviétique.
La littérature classique est présente cependant avec une nouvelle traduction du théâtre de Pouchkine grâce à Andreï Vieru, philosophe, écrivain et concertiste, nouveau venu dans le monde de la traduction du russe qui publie chez Vendémiaire Le Visiteur de marbre et autres œuvres théâtrales.
Pour connaître le traducteur ou la traductrice qui verra son travail consacré comme la meilleure traduction du russe de ces deux dernières années,
REMISE DU XVème PRIX RUSSOPHONIE 2022
Pour la troisième fois dans son histoire, le prix Russophonie récompense deux traducteurs, pour deux ouvrages exceptionnels, dans lesquels à travers la préface pour l’un, la postface pour l’autre, ils se sont fortement impliqués.
Déjà nommé au palmarès du Prix Russophonie en 2011, en 2014 et en 2018, Yves Gauthier est lauréat du prix 2022, avec la traduction de Dersou Ouzala de Vladimir Arseniev. Cette parution du texte intégral jusque là expurgé par la censure soviétique, s’inscrit en droite ligne dans le parcours du traducteur attaché depuis de nombreuses années à faire connaître la Sibérie, sa nature et les hommes qui l’habitent. Elle est due aussi à la rencontre de 3 écrivains voyageurs : l’auteur, Vladimir Arseniev, l’éditeur, Emeric Fisset et le traducteur, Yves Gauthier. On devine entre ces trois là une infinie complicité et l’objet qu’ils nous offrent est un véritable trésor, tant par la beauté du texte que par l’actualité des problématiques et des valeurs qui l’animent.
Lors de la remise du prix Yves Gauthier a évoqué le destin tragique d’Arseniev et de sa famille à laquelle il tenait à rendre hommage.
Né à Poitiers en 1960, Yves Gauthier a grandi en banlieue parisienne où il s’est orienté vers des études de lettres. D’esprit xénophile, diplômé de russe apprenant aussi les langues anglaise et chinoise, il entreprend de découvrir le monde en commençant par l’Union soviétique dès le début des années 1980. Il n’ira jamais plus loin. Naufragé volontaire, comme lui-même se qualifie volontiers, il y restera plus de vingt ans (Moscou, Rostov-sur-le-Don). De cette expérience, il concevra la vraie sève du pays par la conquête de la langue, à quoi il n’a jamais cessé de se consacrer. Qu’il ait fait de la traduction son artisanat favori participe assurément de cette philosophie du monde : la traduction aussi est un voyage.
Salarié jamais, franc-tireur toujours, Yves a signé depuis trente ans plusieurs dizaines de traductions du russe au profit de différents éditeurs. Sa bibliographie dénote un penchant marqué pour les rives inconnues et la littérature de découverte ou d’exploration (Nikolaï Mikloukho-Maklaï – son « idole » –, Vladimir Arséniev…). La Sibérie y occupe une place privilégiée avec notamment le Tchouktche Youri Rytkhèou (Unna, L’Étrangère aux yeux bleus, La Bible tchouktche, Le Miroir de l’oubli), les Russes Oleg Ermakov (Pastorale transsibérienne) et Vassili Peskov (Ermites dans la taïga et Des nouvelles d’Agafia). L’appel de la nature sauvage, présent dans tous ces titres, culmine en 2016 dans sa traduction de L’ours est mon maître de Valentin S. Pajetnov.
Il est aussi l’auteur d’une dizaine d’ouvrages inspirés par la Russie, traduire et écrire répondant selon lui d’une égale façon à la question posée en son temps par Baudelaire aux étonnants voyageurs : « Dites, qu’avez-vous vu ? » Là encore, on retrouve l’Asie russe avec L’Exploration de la Sibérie (1996, avec Antoine Garcia, prix François Millepierres de l’Académie française) ou Le Centaure de l’Arctique (2001). Il a par ailleurs signé plusieurs guides de tourisme et un livre d’architecture, Saint-Pétersbourg (2003), à l’occasion du tricentenaire de la fondation de la ville.
En 1991, la lecture du rapport secret de Youri Gagarine, déclassifié cette année-là, met Yves Gauthier dans les pas du premier cosmonaute de l’humanité et le pousse à écrire Gagarine, ou le rêve russe de l’espace (1998, rééd. 2015). Renouant avec l’art biographique, il exprime ensuite dans Vladimir Vyssotski, Un cri dans le ciel russe (2015, mention meilleure production littéraire à Koszalin, en Pologne) son admiration pour le barde soviétique – grand comédien et acteur aussi – dont les chansons l’avaient, en son temps, poussé à entreprendre l’apprentissage de la langue russe.
Ayant été pendant quinze saisons consécutives, de 1996 à 2010, directeur de croisière sur le réseau fluvial Moscou/Saint-Pétersbourg, Yves Gauthier a tiré de cette expérience un roman de voyage paru en 2008 sous le titre Moscou sauvée des eaux (Actes Sud). Il vit à Blois depuis 2008. C’est là qu’il retrace dans Souvenez-vous du Gelé, Un grognard prisonnier des Russes, l’intrigante figure du mythique Normand Nicolas Savin (2017). Parmi ses grands projets figure l’écriture d’un roman en langue russe pour aller, dit-il, « jusqu’au bout de l’étreinte ».
Le second Prix pour :
André Vieruest un nouveau venu dans le monde de la traduction du russe. Philosophe, écrivain, il est aussi concertiste et ce sont tous ces talents qu’il met à l’œuvre pour traduire, chez Vendémiaire, le théâtre de Pouchkine. Le Visiteur de marbre et autres œuvres théâtrales est assorti d’une ample postface où il justifie son choix de traduire Pouchkine « pour l’oreille et non pour l’œil » ce qui permet à Elena Balzamo d’écrire : ni archaïsante, ujni trop moderne, la version française se maintient sur une ligne de crête délicatement dessinée – c’est beau, c’est limpide, c’est naturel, un vrai miracle ! »
Andreï Viereu , en 1958 à Bucarest d’un père roumain et d’une mère russe, vient de traduire en français le théâtre de Pouchkine, mais il est aussi philosophe, peintre et mathématicien. Des intrigues politiques de Boris Godounov à la rivalité de Mozart et Salieri, en passant par la tragédie du visiteur de marbre : l’œuvre théâtrale de Pouchkine est d’une richesse sans équivalent. Si l’on connaît bien en France la prose de l’auteur d’Eugène Onéguine et de La Fille du capitaine, la traduction de ses vers est un exercice de taille auquel peu se sont confrontés. Andreï Vieru, s’attelle à la tâche de cet ouvrage de Pouchkine . Dans cette nouvelle traduction, une attention particulière est portée à l’usage d’une langue française d’époque, celle dans laquelle Pouchkine, qui avait failli devenir un écrivain français, rédigeait lui-même ses lettres. Passions, tragédies, histoire, légendes : le théâtre de Pouchkine est un kaléidoscope, qui saisit en quelques pièces tous les registres de l’écriture et de l’inspiration, des grandes figures du folklore ou du mythe aux plus obscurs tourments de l’âme humaine. Il est ici donné dans une traduction d’Andreï Vieru, sans doute la plus apte à rendre la musicalité d’un auteur qui fut avant tout poète – seule la sensibilité d’un grand pianiste pouvait nous emporter dans le rythme et la légèreté mozartienne de ces drames, petits joyaux de la littérature russe qui inspirèrent Moussorgski et Rachmaninov.
Mairie du 5e arrondissement 21 place du Panthéon – 75005 – Paris Ouvert samedi de 14h à 19h Accès: RER Luxembourg
“L’exposition consacrée à la Collection Morozov“, qui devait ouvrir le 14 octobre puis du mercredi 24 février 2021 en raison de la pandémie sera enfin ouverte au public. Les 200 œuvres d’art des peintres et sculpteurs majeurs de l’art moderne français et russes, ont déjà attiré plus de 800 000 visiteurs fin janvier 2022,
Après l’exposition “Icônes de l’art moderne, la collection Chtchoutkine voici une extraordinaire exposition.
Conçue par Anne Baldassari, commissaire général, l’exposition déploiera cet ensemble dans une muséographie originale occupant la totalité des espaces de la Fondation Louis Vuitton. Cette exposition présentera les chefs d’œuvres de l’une des collections les plus célèbres d’art moderne français : Matisse, Bonnard, Picasso, Guguin, Van Gogh, Dega, Monet, Renoir, Maurice Denis, Cézanne …..
Valentin Sérov, Portrait du collectionneur de la peinture moderne russe et française Ivan Abramovitch Morozov , 1910, Gal Trtiakov, Moscou.
Toutes ces œuvres ont été réunis par les grands mécènes et collectionneurs moscovites du début du 20ième siècle, les frères Mikhaïl Abramovitch Morozov (1870-1903) et Ivan Abramovitch Morozov (1871-1921). Plus de 200 chefs-d’œuvres. .
Exposition avec la collaboration remarquable des musées russes: Musée de l’Ermitage, Musée d’État ds Beaux-Art Pouchkine, et la Galerie Trétiakov.
C’est pour Paris un évènement exceptionnel, jamais présentée hors de Russie.
Ivan Morozov (1871 – 1921), Héritier d’une illustre dynastie marchande, dès l’âge de neuf ans, Ivan avec son frère aîné Mischa ont fréquenté l’atelier d’art d’Ivan Martynov, pris des leçons de dessin et de peinture du peintre paysagiste itinérant Yegor Moiseevich Khruslov (1861-1913) et Konstantin Korovin. À l’issue de ses études universitaires en Suisse, il abandonna la peinture et se lança dans la gestion des usines familiales de tissage. Toutefois, son amitié avec les peintres moscovites réveilla rapidement son intérêt pour l’art. La valeur estimée de la collection d’Ivan Morozov est un peu plus modeste que celle de Chtchoukine (3,9 milliards d’euros) mais elle serait tout de même l’une des collections privées les plus précieuses de l’histoire. Parmi les hits réunis par Morozov : Filletteauballon de Picasso, Le Café de nuit de van Gogh et Portrait de Jeanne Samary de Renoir. Couplée au legs de Chtchoukine, la collection de Morozov servit, dans les années 20-40 du XXe siècle, de base pour le Musée d’État du nouvel art occidental. Puis, les toiles furent réparties entre l’Ermitage et le musée Pouchkine de Moscou, où vous pouvez les admirer jusqu’à présent.
Au début du XXe siècle, les familles Morozov et Chtchoukine ont eu un impact énorme sur la vie culturelle de Moscou. Grâce à leurs activités, le concept de «mécène de l’art» est apparu. Ils ont directement contribué à la reconnaissance internationale des artistes français contemporains.
Aujourd’hui, l’Ermitage et le Musée des Beaux-Arts de l’Etat à eux . COMME. Pouchkine . unissent leurs efforts pour organiser des expositions qui deviendront une couronne de mémoire pour des collectionneurs remarquables. En 2020, à Paris, à la Fondation Louis Vuitton, se tiendra une exposition commune consacrée aux collections MorozovБ
Ce sont les frères Morozov, qui ont attiré l’attention de la société russe sur un phénomène aussi nouveau de la culture mondiale que l’impressionnisme français, et ce n’est pas un hasard si le tableau de Claude Monet, Boulevard des Capucines, qui a déclenché le plus grand scandale lors de la première exposition d’impressionnisme en 1874, a été porté à Moscou par Ivan Morozov.
Mikhail Morozov est celui qui a découvert Paul Gauguin et Pierre Bonnard pour la Russie; son jeune frère est allé encore plus loin et a commandé à Bonnard le triptyque «Au bord de la Méditerranée», et Maurice Denis – la décoration pittoresque du salon de musique de son hôtel particulier.
Mikhaïl Abramovitch Morozov, en 1894, la deuxième exposition du MTX s’ouvre à Moscou, sont exposées des toiles de Konstantin Korovine : “Paris Boulevard” et “Northern Idyll”. Mikhail Morozov achète ces œuvres, jetant les bases de sa collection. Par la suite, son frère Ivan commence à collecter une collection de peintures .
En 1900, au Musée l’École d’Art du Baron Stieglitz , lors de la deuxième exposition du magazine le Monde, Mikhail Morozov acheta le tableau «La Princesse du cygne» à Mikhaïl Vroubel pour 300 roubles. Lors de la prochaine exposition “Le Monde l’Art ” en 1901, Morozov 18 mille francs acheta “Extravagance intime ” de Paul Benard et ” Homme cueillant des fruits dans un arbre ” de Paul Gauguin.
Maison Morozov rue Smolensk, Moscou
À partir de 1893-1894, un grand cercle d’artistes se réunit dans la maison de Mikhail, dont les membres permanents étaient Mikhaïl Vrubel, Valentin Serov, Konstantin Korovin.
Bureau avec des tableaux .
Un catalogue a été édité par la Fondation Louis Vuitton aux éditions Gallimard:
“Icônes de l’art moderne, la collection Morozov.”
La couverture du catalogue avec le tableau Fruits et bronze (1910) de Henri Matisse, est exclusivement en vente sur notre site et à la librairie de la Fondation Louis Vuitton.
EAN : 9782072904585
Nombre de pages : 520
Date de parution : 25/02/2021
Dimensions : 280 x 300
Editeurs : Fondation Louis Vuitton, Gallimard
Prix : 49€
Acte-Sud a publié l’ouvrage “Les frères Morozov collectionneurs et mécènes”
Les samedis à 15h00 et 20h30 et les dimanches à 15h
Porte Maillot, 75016 Paris
Malgré les turbulences du monde, notre fureur de vivre n’est pas entamée ! Vous serez transporté dans univers surprenant et beau, ce spectacle plein d’audace et de charme sera le meilleur remède contre la tristesse !
Vous serez avec le spectacle de la Tribu Romanès, totalement dépaysé ! Avec une famille Nomade qui montre le plus beau de sa Culture Tzigane !
Les Romanès, offrent des chants et des danses Tziganes et des numéros que vous ne verrez nulle part …
Les propriétaires sont Délia et Alexandre Romanes, Alexandre a une voix posée, sa poignée de main est franche, il est calme, semble serein.
Son nom, Alexandre se l’est approprié : « Romanès, c’est un nom de guerre, mais je le trouvais joli et je ne voulais pas garder mon nom qui est associé à la famille qui a un grand cirque », déclare-t-il sans jamais le prononcer. Selon lui, « le cirque ne fait pas partie de la culture tsigane. Les tsiganes, quand ils s’installaient quelque part, un des moyens de gagner de l’argent, c’était de faire des petits spectacles de danse et de musique sur les places des villages. Puis sont arrivés les montreurs d’ours. »
Alexandre Romanes, est issu d’une grande famille du cirque, il entame dès sa jeunesse une carrière dans le cirque comme équilibriste sur échelle, dompteur de fauve. Puis il quitte sa famille et son cirque déçu par le chemin que prend ce dernier, n’incarnant plus à ses yeux les valeurs du cirque et surtout de la culture tzigane. Il fait connaissance de Jean Genet et deviennent très proche. Dans les années 1990 il monte son propre cirque : le cirque Romanes,premier cirque tzigane sur le continent européen, avec son épouse Délia, chanteuse tzigane de Roumanie. Il est également auteur de plusieurs recueils de poèmes consacrés à la culture tzigane, inspirés des histoires gitanes. Alexandre Romanes travail à la sauvegarde et la conservation de la culture tzigane sous toutes ses formes : numéros de cirque, théâtre, musique. Il a adhéré à la charte « Culture-Gens du voyage », il œuvre pour la reconnaissance de la pluralité des composantes des populations vivants sur notre territoire en application de la Convention de l’Unesco de 2005 sur la protection des expressions culturelles. Il a reçu la légion d’honneur des mains de la ministre de la Culture Audrey Azouley. en novembre 2016 et le 4 juillet 2019, Anne Hidalgo, maire de Paris, a remis, la médaille grand vermeil, la plus haute distinction de la ville, à Alexandre et Délia dans les salons de l’hôtel de ville de Paris. Il a fondé avec son épouse Délia le Centre International Artistiques Tzigane et gitan, association Tchiriclif. Le cirque reçoit régulièrement sous son chapiteau des artistes d’autres troupes : des chanteurs comme Natacha et la nuit des Princes, des danseurs de flamenco, tzigane avec Petra Iourtchenko et sa troupe de danseurs tziganes.etc….
Alexandre dit : “Nous les Romanès, avec quelques autres Tribus, sommes les derniers Nomades en Europe…Et pourtant notre Culture pourrait être fort utile dans un monde qui se déshumanise de plus en plus… Bientôt, il n’y aura plus qu’un fonds de dessins, films, peintures, photos et musiques qui apporterons la preuve qu’il y avait en Europe un Peuple Nomade, épris de liberté qu’on appelait : Les TZIGANES !
Vous trouverez les livres d’Alexandre Romanes au Cirque Romanes ou dans les librairies : ” UN PEUPLE DES PROMENEURS” – Ed Gallimard ,” PAROLES PERDUES “-Ed Gallimard, ” SUR L’ÉPAULE DE L’ANGE ” -Ed; Gallimard, ” LES CORBEAUX SONT LES GITANS DU CIEL “- Ed. L’Archipels, et ” LE LUTH NOIR ” – Ed.Les Lettres Vives.
SPECTACLE TOUS LES W.E. : octobre, novembre et décembre. Les samedis à 15h00 et 20h30 et les dimanches à 15h00.
Chapiteau du Cirque Romanes Square Parodi, entrée face au 35 Bd de l’Amiral-Bruix 75016 Paris, Porte Maillot.
Exposition rare qui s’est déroulée en décembre, reprend pour le plaisir des visiteurs qui l’ avait ratée . Ceux qui le souhaitent peuvent voir les objets originaux associés au légendaire capitaine Jacques-Yves Cousteau, transférés chez nous pour stockage temporaire par Francine Cousteau.
A noter que même en France il n’y a pas d’exposition permanente ou de musée dédié à ce chercheur étonnant.
Exposition d’objets et documents liés à l’expédition du Capitaine Jean Couteau sur le lac Baïkal. L’année 2021 est marquée par le 25ème anniversaire du plus grand réservoir d’eau douce de la planète, du lac Baïkal, le réservoir d’eau le plus ancien, le plus profond, le plus propre et le plus mystérieux de la planèteinscrit sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. Les pièces sont exposées avec l’aimable accord de Francine Cousteau et Franck Machu. 2021 marque le 25e anniversaire de l’inscription sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO du lac Baïkal – . En commémoration de cet événement le plus important pour la science russe et mondiale, la Maison russe de la science et de la culture à Paris a organisé le 30 novembre une soirée unique. Les partenaires intéressés étaient l’Association pour le dialogue franco-russe et le Centre de la société géographique russe à Paris, qui ont chacun apporté une contribution significative à la préparation de la réunion. La présidente des associations Cousteau (France, USA), la veuve de la légendaire capitaine Francine Cousteau et archiviste de l’association Frank Macchau, collectionne méticuleusement les documents historiques et scientifiques liés aux grands français depuis plus de 40 ans. Les spectateurs de la Maison russe ont pu découvrir la fascinante et rare beauté du tournage sous-glace, un film biographique scientifique “À travers le miroir du Baïkal“, tourné par l’équipe Cousteau en 1996-1997, et qui est devenu une partie de la célèbre série ” L’Odyssée sous-marine de l’équipe Cousteau.“ Le film est dédié à la mémoire de Jacques-Yves Cousteau, dont les jours se sont terminés lors du montage du film. Le courageux explorateur du « continent bleu » a beaucoup fait pour rendre les secrets et secrets des océans accessibles à tous les habitants de la planète. C’est lui qui a inspiré nombre de ses disciples à prêter attention à l’écologie de notre planète, faisant de la protection de l’environnement l’une des principales tendances humanitaires du monde moderne. Au cours de sa vie, l’océanographe a réalisé des milliers de plongées et réalisé plus de 120 films à son sujet. Grâce aux travaux de Jacques-Yves Cousteau, les gens ont appris à quoi ressemble le monde sous-marin. Francine Cousteau était membre de l’équipe de l’expédition et scénariste du film. Les invités français ont partagé leurs souvenirs de cette mission et d’autres du célèbre capitaine, discuté avec le public des défis actuels de l’humanité et de l’avenir écologique de la Terre, révélé les plans de l’Association pour de nouvelles recherches à bord du célèbre navire Cousteau Calypso , y compris en Russie. Au nom du Centre du patrimoine mondial de l’UNESCO, Irena Caquet a pris la parole lors de la soirée, soulignant l’importance mondiale du plus grand site naturel russe, inscrit sur la Liste du patrimoine de l’UNESCO il y a 25 ans. L’expert international a souligné les activités visant à préserver la valeur universelle exceptionnelle de l’unique réservoir d’eau russe, qui est le principal critère de reconnaissance de l’importance des objets par les pays membres de l’Organisation humanitaire mondiale. La rencontre, qui a réuni des spectateurs intéressés de différents âges et groupes professionnels, a été inspirée par l’animatrice expérimentée de conférences polémiques, la responsable du Dialogue franco-russe, Irina Dubois. Avec la médiation active de la directrice du Centre de la Société géographique russe en France, Daria Loyola, il a été possible d’organiser une liaison directe de Saint-Pétersbourg au célèbre océanologue russe, membre des expéditions de J.-I. Cousteau du côté russe, Vitaly Ivanovich Sychev. Le scientifique a évoqué l’interaction avec le chercheur français dans le cadre de la mission au Baïkal et d’autres projets sous-marins communs. Avec l’aimable consentement de Francine Cousteau, une exposition d’équipements de plongée et d’autres objets personnels du capitaine français, des pièces documentaires de sa collection, ainsi que des photographies de travail du lac Baïkal, réalisées par J.Y. Cousteau lors de cette expédition mémorable, ont été ouvertes dans le salles de la MRSC.
L’enregistrement vidéo complet de la réunion est publié sur les ressources Web de la Maison russe à Paris. CLIQUEZ
Il est possible de voir l’équipement de plongée inventé par lui, le premier caisson dans lequel il est devenu possible de réaliser des tournages sous-marins, des boîtes avec des films signés de sa propre main, des lettres personnelles de ML Rostropovitch, des diplomates russes en France, et bien plus, seulement ici.
Maison Russe des Sciences et de la Culture 61 rue Boissière, 75116 Paris Tél : 01 44 34 79 79
Réalisation: Leonid Gaïdaï (1973) Avec : – Alexandre Demianenko : Alexandre : Chourik Timofeïev, – Leonid Kouravliov : Georges Miloslavski , – Natalia Krakovskaia : Ouliana Andreïevna Bouncha , Saveli Kramarov : Feofan le clerc, Mikhaïl Pougovkine : le chef Yakine, Natalia Selezniova : Zina, Youri Yakovlev : Ivan le Terrible . Genres : Comédie, Science-fiction
Nationalité : russe Version : VOSTF
Film comique soviétique, sorti en 1973, adaptation libre de la pièce de théâtre de Mikhaïl Boulkakov, Ivan Vassilievitch (1965), pièce inspirée par son œuvre antérieure Béatitude (1934).
“L’ingénieur Timofeev tente de construire une machine à remonter le temps. Soudain sa machine se met en marche et met en relation l’appartement de l’ingénieur avec le palais d’Ivan le Terrible qui ainsi découvre la vie au vingtième siècle. Pendant le même temps, le retraité Bounch et le voleur George, qui se trouvaient chez l’ingénieur, ont fait le voyage inverse…”
Leonid Gaïdaï est né le 30 janvier 1923 dans la ville de Svobodny, province de l’Amour de la RSFSR. La famille a déménagé à Chita puis à Irkoutsk. Leonid Gaidaï a bien étudié, a beaucoup lu. Léonid a suivi des cours au cercle d’art amateur de la Maison de la culture. Les écrivains préférés de Gaidaï étaient Likhaïl Zobchenko, et Vladimir Mayakovski
En juin 1941, GaidaI a terminé ses études et quelques jours après sa fête de remise des diplômes, la Seconde guerre mondiale a commencée . Plus tard, le réalisateur a rappelé: “Pour une raison quelconque, à cette époque, nous <…> nous amusions beaucoup, tout le monde voulait entrer plus rapidement dans l’armée, aller au front pour combattre les nazis . Il y a monté les décors, nettoyé la scène et exécuté les consignes des comédiens. En tant qu’employé du théâtre, Gaidai pouvait assister gratuitement aux représentations. Il a appris presque toutes les performances par cœur.
En février 1942, Leonid Gaidaï est appelé au front et envoyé en Mongolie. en décembre 1942, Gaidaï reçut la médaille “Pour le mérite militaire” et devint rapidement chef d’escouade. Il se souvient : « J’étais en règle. Les autorités appréciaient la façon dont je commandais d’une « voix fixe » .
En 1947, il est diplômé de l’école de théâtre dramatique d’Irkoutsk où il a travaillé comme acteur et metteur stagiaire, depuis 1955, il travaille comme réalisateur au studio de cinéma ” Mossfilm “. En 1956, il réalise son premier film, un drame basé sur des histoires sibériennes.
En 1958, l’image satirique “Époux d’au-delà“, a failli lui coûter sa carrière de réalisateur, il a été pratiquement retiré du travail de direction. Ce n’est qu’en 1960, sur les conseils et le patronage de Pyryev , que Gaidaï a mis en scène, le film révolutionnaire historique “Trois fois ressuscité“, qui le remet au devant de la scène.
En 1962, il tourne trois nouvelles, après avoir pris une pause de trois ans, le réalisateur a sorti trois films d’affilée, qui sont devenus populaires. La comédie, composé de trois romans cinématographiques, il a pris la première place au box-office en 1965. Dans les années 1970, il filme les œuvres classiques d’auteurs russes, en 1995 a remporté le sondage des téléspectateurs et a été reconnu comme la meilleure comédie nationale en 100 ans, et le réalisateur a reçu le prix РТР “Golden Ticket” à titre posthume. Il meurt le 13 novembre 1993 à Moscou âgé de 70 ans.
Théâtre Alexandre III, 19 boulevard Alexandre III, Cannes.
100 ème anniversaire de la naissance d’ Alexandre Alexandrovitch Zinoviev
Dimanche 13 Février 2022 de 14h à 19h
Maison Russe de la Science et de la Culture, 75016 Paris
Voir article plus bas
ATTENTION !
En raison de la situation sanitaire et des mesures y afférant, les Journées du livre russe se joueront en 2 temps en 2022 :
1er acte : Samedi 12 février en la mairie du 5ème arrondissement de Paris : remise du 15ème Prix Russophonie avec ses lauréats.
Dimanche 13 février à la Maison russe pour la Science et la Culture: hommage au philosophe Alexandre Zinoviev pour son 100ème anniversaire
2me Acte : les samedi8 et dimanche 9 octobre 2022 en la Mairie du 5ème arrondissement de Paris : Les JLR reprennent leur rythme, les mots littéraires remédient aux maux sociétaux
Une nouvelle fois, l’association France Oural, organisatrice des Journées du Livre Russe et des littératures russophones entend avec cette édition proposer une grande fête de la littérature et de la culture russe ! Malheureusement :
“Compte tenu des mesures gouvernementales, nous sommes dans l’obligation de reporter la 13-e édition des Journées du Livre Russe. Il est impossible dans ces conditions d’organiser notre programme dans les locaux de la mairie du Vème. Toutefois, dans le cadre des JLR, nous maintenons une demi-journée autour du Prix Russophonie. Elle comprendra une présentation des lauréats et la cérémonie de la remise du prix. Elle aura lieu samedi 12 février de 14h à 19h à la mairie du Vème sur inscription avec un maximum de 105 participants, compte tenu des contraintes sanitaires qui nous sont imposées.
Le dimanche 13 février, de 14h à 19h, toujours dans le cadre des Journées du Livre Russe revisitées, une journée consacrée au centième anniversaire de la naissance du philosophe Alexandre Alexandrovitch Zinoviev se tiendra en présence de sa veuve et de ses filles à la Maison russe des sciences et de la culture. Des échanges avec des écrivains contemporains sont prévus.
Toutes les autres activités : tables rondes, hommages, présentations d’ouvrages, séances de dédicaces et bien sûr stands des éditeurs et des libraires sont donc reportés au 8 et 9 octobre 2022.
Nous tenons à nous excuser pour ces changements totalement indépendants de notre volonté. Les éditeurs, libraires, associations exposants recevront un courriel séparé pour les modalités de remboursement ou le report”.
Président de l’Association France-Oural, organisatrice des Journées du livre russe . et du Prix Russophonie, Dimitri de Kochko. Paris le 13/01/2022
A la Maison Russe de la Science et de la Culture,
Dimanche 13 février de 14h à 19h .
Hommage sera rendu à une personalité majeure de la vie littéraire russophone : Alexandre Zinoviev, esprit libre de la littérature russe dont 2022 marque le centenaire en présence de son épouse Olga Zinoviev, épouse, conservatrice du patrimoine créatif et scientifique, présidente de l’Institut biographique Alexandre Zinoviev, de sa fille Xenia Zinoviev, pianiste, compositrice et directrice artistique du Club Zinoviev de l’Agence internationale d’information Rossia Segodnia, Mikhaïl Roud, un pianiste exceptionnel, membre de la famille et ami des Zinoviev, ainsi que des spectateurs de Russie, de France, de Belgique, d’Espagne et de Canadaet par Zoom avec des écrivains en Russie, n’ayant pu venir pour des questions sanitaires , modérateur de la conférence : Dimitri de Kochko ( président de France-Oural et ami de l’écrivain). Par zoom : Sergueï Chargounov, rédacteur en chef du magazine Iounost, auteur de l’émission télévisée Douze présentée au public de la Maison russe, consacrée au 20eanniversaire du retour d’Alexandre Zinoviev de l’exil ; Maxime Lavrentiev, jeune écrivain et philosophe, auteur de livres exceptionnels qui passionnent le lecteur moderne ; Ilya Verchinine, critique littéraire, lauréat du prix Russie juste, ont abordé avec sensibilité et compréhension une analyse profonde du destin historique de l’écrivain Alexandre Zinoviev.
Alexandre Zinoviev, né à Pakhtino, région de Kostroma (URSS) en octobre 1922, il est mort à Moscou le 10 mai 2006, considéré comme philosophe, écrivain, caricaturiste russe, un des premiers chefs de file de la philosophie soviétique réelle (sans intrusion idéologique) influençant ainsi d’autres penseurs dans les années 1960 et 1970.
Il prend part à la Seconde Guerre mondiale en tant que fantassin, tankiste puis comme aviateur. Démobilisé, Alexandre Zinoviev entre à la faculté de philosophie de l’Université d’Etat de Moscou en 1946. En 1951, il obtient son diplôme avec mention et commence une thèse. Il est l’un des fondateurs du cercle de logique de Moscou.
En 1976, ces écrits sont rassemblés dans “Hauteurs béantes” Зияющие высоты (jeu de mot russe renvoyant aux « hauteurs radieuses » promises par le régime soviétique), essai édité en Suisse, mettant en scène des personnages-types, au ton résolument ironique, décrivant la vie quotidienne en Union soviétique. Satire corrosive, à l’humour grinçant et pessimiste, du régime soviétique. Écrite sous forme de dystopie futuriste (l’action se déroule dans presque huit millénaires). Le manuscrit est censé en avoir été découvert en 9974 dans une décharge. Ce livre est jugé « antisoviétique ». Il se voit retirer ses titres scientifiques et décorations militaires avant d’être renvoyé de son institut. Les organes du régime lui proposent l’alternative entre la prison et l’exil. Il choisit l’exil. Ce livre a été publié en français aux éditions l’Âge d’Homme en 1976 et a reçu le Prix Européen de l’essai Charles Vellon la même année.
Il trouve alors refuge avec sa femme Olga et sa plus jeune fille Polina en Allemagne où il accomplit diverses tâches scientifiques ou littéraires, sans obtenir de poste fixe. Il obtient la citoyenneté allemande.
CHŒURS ET DANSES DES MARINS DE L’ARMÉE ROUGE pour la première fois en tournée en France !
Véritable hymne à la paix, le Chœur des Marins de l’Armée Rouge est le plus ancien et le plus primé de tous les chœurs militaires de Russie.
Consacré 4 fois « meilleur chœur militaire de la Fédération de Russie », l’Ensemble a tourné dans plus de 70 pays et a été applaudi par des centaines de milliers de spectateurs à travers le monde.
Seul Chœur réellement mixte des grands Ensembles militaires artistiques Russes chantant avec le Chœur des Femmes du Peuple Russe, le Chœur des Marins de l’Armée Rouge de la Baltique est l’héritier de la Marine Impériale.
Ses voix à tout chanter, tant le traditionnel que le grand classique, présentent un concert très joyeux, populaire, enlevé, dédié à la paix, la gratitude et l’amour.
UN RÉPERTOIRE RICHE, UNIVERSEL, PATRIMOINE DE LA RUSSIE ET DE L’HUMANITÉ !
Boris Gastev, à la direction musicale apporte un soin particulier et rigoureux à la sélection des chanteuses et des chanteurs. Chacun dans son pupitre est une voix magnifique !
Cette alchimie mène à l’harmonie et à la pureté du son.
Les solistes barytons, ténors, basses sont issus du Choeur et en sortent suivant les nécessités d’interprétations. Des Solistes des grandes maisons d’opéras Russes, dont le Bolshoï Théâtre de Moscou, participent régulièrement aux concerts de l’Ensemble.
Quant à lui, le magnifique Chœur des Femmes du peuple russe, composé uniquement de solistes est un Choeur de Chambre féminin très particulier, parfaitement à l’unisson des voix d’Hommes.
Le spectacle raconte l’histoire de Misha, un jeune marin, et de Jana, jeune orpheline passionnée de Danse. Cette histoire, certainement banale, mille et mille fois répétée en notre Humanité, hors du temps réel, se devait d’être contée.
Durant près de 2 heures, les 50 artistes du Cur, du ballet et de l’orchestre vous proposent un spectacle d’une flamboyante énergie !
Un véritable oratorio à la force de vivre et de survivre ENSEMBLE !
Cantate St Jean de Damas, Taneiev Gloria , Vivaldi
par le
Chœur Vocations
Direction Reta Kazarian Nikita Sorokine (Piano)
Samedi 29 janvier 2022 à 20 h
Église Réformée Pentemont, 75007 Paris
PAF
Réta Kazarian, née le 13 juin 1967 à Erevan (Arménie), de nationalité Géorgienne et Français
FORMATION
Collège Musical de Tbilissi, 1er prix de violon 1986. Conservatoire Supérieur de Musique de Tbilissi (Géorgie) – 1er prix d’alto 1992 et diplôme de direction de chœur 1992. Diplôme Supérieur de Direction d’Orchestre, École Normale de Musique Alfred Cortot – Paris 1998. Parallèlement, classe de chant grégorien de Louis Marie Vigne pendant 4 ans au CNSM de Paris, et études de violon avec Dévy Erlih à l’école normale de musique. Approfondissement en Direction d’Orchestre avec Jean Sébastien Béreau au Conservatoire de Dijon – 1998 à 2001. Élève de Peggy Bouveret (professeur de chant au CNSM de Paris) 2014/2015 et de Mireille Alcantara 2016/2017. Chevalier de l’Ordre National du Mérite. Elle est la Directrice Musicale de l’ “ENSEMBLE ORCHESTRAL VOCATIONS ” (EOV), créé en 2000, avec le soutien de Michel PIQUEMAL et Sylvie PORTAL.
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Nikita Sorokine est né à Leningrad en 1990. En 2008 il termine ses études au Lycée Chorale Glinka pour ensuite intégrer le Conservatoire National de Saint-Pétersbourg et étudier la théorie de la musique. Depuis 2013 il prépare un doctorat au même conservatoire avec une thèse consacrée aux symphonies de Gustav Mahler. A Paris il a continué ce travail avec le soutien d’Henry-Louis de La Grange. Pendant ses études au Conservatoire de Saint-Pétersbourg il était également pianiste accompagnateur dans les classes des professeurs de direction : Yuri Simonov, Vassili Sinaïski. Entre 2016 et 2021 il a continué ses études en direction d’orchestre au Conservatoire National de Paris chez Alain Altinoglu.
En 2019 Nikita Sorokine a gagné le Concours National Russe de Direction à la Philharmonie de Moscou. En 2021 il était sélectionné pour le concours Donatella Flick avec London Symphony Orchestra. En 2021 il était le semi-finaliste à l’ICCR (International Conducting Competition Rotterdam).
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Sergueï Ivanovitch Taneïev (Сергей Иванович Танеев), né le 13 novembre 1856 ( 25/11/1856 Calendrier grégorien) à Vladimir et mort le 6 juin 1915 (19 juin calendrier grégorien) à Dioudkovo près de Mocou, compositeur russe.
Il commença à apprendre le piano à cinq ans, et entra au Conservatoire de Moscou en 1866, l’année même de sa fondation. Il y eut pour professeur Tchaïkovski pour la composition et Nikolaï Rubinstein, le fondateur pour le piano. Il l’acheva en 1875, et fut le premier étudiant à remporter le premier prix dans les deux disciplines.
La même année, il fit ses débuts en concert en interprétant au piano le Premier Concerte de Brahms, et plus tard le Premier Concerto de Tchaïkovski. Celui-ci apprécia beaucoup son jeu, et lui demanda de créer son Second. Après sa mort, Taneïev complètera et créera son Troisième concerto.
Il partit ensuite pour Paris, où il demeura quelques années et rencontra entre autres Ivan tourgueniev, Gustave Flubert, César Franck et Camille St Saïens.
Ami de la famille deLéon Tolstoï, il passa dans leur maison les étés de 1895 et 1896. La comtesse Sophie, épouse de Tolstoï, s’attache à lui de plus en plus, au moment où celui-ci s’éloignait de plus en plus de sa vie familiale, embarrassa leurs enfants et rendit Tolstoï jaloux.
Les dernières années de Taneïev furent assombries par l’alcool. Il mourut d’une pneumonie en 1915, peu de temps après avoir assisté aux funérailles de son élève Scriabine.
Il est l’un des créateurs lyrique-philosophique dans la musique russe. Il a fait revivre un genre populaire dans la musique russe des XVIIe-XVIIIe siècles – les chœurs a capella (l’auteur de plus de 40 chœurs). En musique instrumentale, il attache une importance particulière à l’unité intonative du cycle, au monothématisme.
La cantate de Damas est la première composition de Taneiev, après ses très nombreux essais d’étudiant, en tout cas de la première dont il se sentit véritablement satisfait. Il l’appela lui-même cantate n° 1 (la “n° 2”, Après la lecture d’un psaume, ne fut composée que trente années plus tard). Le sujet est tiré d’un poème d’Alexis Tolstoï(1859) paraphrasant la prière des morts de Jean de Damas. Taneiev essaya de combiner la pratique du contrepoint issue de Bach, la musique romanisue et l’austérité de la tradition populaire et liturgique russe. Le premier mouvement, lent et solennel, s’ouvrant par un long et sombre prélude orchestral, atteint une beauté tragique ; la cantate fut d’ailleurs surnommée “Un Requiem Russe”.
L’œuvre fut créée le 11 mars 1884 à Moscou et interprétée par le chœur et l’orchestre de la Société Russe de Musique dirigés par Sergueï Taneiev, remportant un immense succès. Elle est encore aujourd’hui considérée comme une des plus belles cantates russes. .
Ancien couvent de Bernardines (1747) transformé en caserne au XIXe siècle, les bâtiments sont aujourd’hui affectés au ministère des anciens combattants. En 1844, Victor Baltard isole des autres bâtiments la chapelle affectée au culte réformé, et l’ancien chœur des religieuses devient la nef du temple.
Église Réformée Pentemont, 106 rue de Grenelle, 75007 Paris
Métro : Rue du Bac
ENTRÉ LIBRE, PARTICIPATION AUX FRAIS Port du masque obligatoire !
Quels sont les composantes de la vie russe qui restent chères à nos compatriotes ayant fait leur carrière en France, se trouvant ici par la force du destin ou par l’obligation professionnelle ? Quel est le regard porté sur la Russie par un visiteur français ?
L’exposition « La Russie comme source d’inspiration »
vous aidera à répondre à ces questions.
Le vernissage en présence des peintres aura lieu,
le vendredi 4 février de 18 h à 19 h 30.
Conformément aux mesures anti-Covid-19, prises par les autorités françaises, la présentation du pass vaccinal ou du certificat de vaccination par Spoutnik-V est obligatoire pour accéder à cet exposition.
Centre Culturel et Spirituel Orthodoxe Russe 1 quai Branly, 75007 Paris
2ème étage Bâtiment, Quai Branly
ENTRÉE GRATUITE Horaires : Tous les jours ( sauf lundi) de 14 h à 19 h.
Métro : Alma Marceau. RER: Pont de l’Alma, Musée du quai Branly. Bus: 63, 80. Parking : 87 quai d’Orsay.
LE COURS FURIEUX DES ANS : UN APERÇU DE LA POÉSIE RUSSE
Du Siècle d’or d’Alexandre Pouchkine (1799-1837) aux « poètes du dégel » dont Bella Akhmadoulina (1937-2010), ce spectacle est une traversée de deux siècles d’histoire et de poésie qui passe par les premières décennies du XXe, celles de la « génération qui a gaspillé ses poètes », selon le linguiste Roman Jakobson.
PARJACQUES FOURNIERLECTURESALEXANDRE LOUSCHIK(EN RUSSE)ETVÉRONIQUE HELENA MALVOISIN (EN FRANÇAIS)
CÔTE LOINTAINE
Alexandre Louschik propose une escapade poétique en chansons dans la Russie d’hier et d’aujourd’hui. Entre l’Est et l’Ouest, la mer Blanche et la mer Noire, ce concert, conçu au rythme des guitares, est une invitation à la découverte des chansons russes de différentes époques et de genres variés tels que des chansons à textes, chants folkloriques, chants soviétiques, romances urbaines ou aristocratiques, chansons poétiques des bardes contemporains.
CHANT ET GUITAREALEXANDRE LOUSCHIKGUITARECHARLES LAMOUROUX
Alexandre Louschik a d’abord été comédien avant de devenir auteur-compositeur-interprète. Il passera 20 ans sur les planches avant de s’orienter vers la chanson. Le label « Sélection du Printemps des poètes » lui a été attribué en 2005 pour son CD et son récital « Troïka ».
Espace culturel Robert-Doisneau 16 avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny, 92360 Meudon
Du lundi 1er novembre 2021 au vendredi 14 janvier 2022
`PROLONGATION JUSQU’AU 28 FÉVRIER
Hall de la MRSC, Paris
Le Défi (en russe : Вызов : Vyzov) est le prochain film du réalisateur Klim Chipenko. Le tournage lui-même a débuté le 5 octobre 2021à 11h55 (heure de Moscou), au moment du lancement depuis le cosmodrome de Baïkonour, du vaisseau Soyouz MS-19 avec le réalisateur et l’actrice à son bord. Les séquences filmées dans l’espace représentent environ 35 minutes de la durée finale du film.
Une exposition de photos documentaires à la Maison Russe de la Science et de la Culture à Paris est consacrée à la toute première équipe de cinéma spatial
L’exposition comprend une copie de l’équipage et du plan de vol, des rayures originales sur la combinaison de bord de l’équipage de l’expédition spatiale, des photographies des rapports de la société d’État Roscosmos et de la première chaîne de télévision russe. “Défi” est le premier film de l’histoire à être tourné en orbite sur la Station spatiale internationale. Ce n’est pas seulement le premier film en orbite, mais fait partie d’un projet scientifique et éducatif conjoint de Channel One et de la State Corporation Roscosmos. La fusée avec la première équipe de tournage au monde a été lancée de Baïkonour. Le trajet jusqu’à la gare a duré trois heures et demie. L’amarrage doit être automatique. Mais quelque chose s’est mal passé. Héros de la Russie, le cosmonaute Anton Chkaplerov, a dû accoster manuellement. Le réalisateur Klim Chipenko à cette époque était déjà en train de filmer le film. L’équipe de tournage a passé 12 jours dans la station internationale. Au total, environ 35 à 40 minutes de temps d’écran ont été filmées en orbite.
Ioulia Peressild, le cosmonaute Anton Chkaplerov et Klim Chipenko.
Douze jours intenses de tournage, d’adaptation à l’apesanteur, de travail collectif exigeant… Enfin, la mission est accomplie. Toutes les opérations se sont passées normalement. La récupération physique nécessaire du réalisateur et de l’actrice a été d’environ une semaine. Le 17 octobre, l’équipage a atterri en toute sécurité.
MRSC exprime sa gratitude au directeur général de Starsem VE Nikolaev pour son aide dans l’organisation de l’exposition.
Entrée libre.
L’admission au RDNK s’effectue avec le port obligatoire du masque et le respect des autres règles sanitaires établies.
Centre de Russie pour la Science et la Culture 61 rue Boissière, 75116 Paris Tél : 01 44 34 79 79
`Du vendredi 7 janvier au dimanche 20 février 2022
Odéon Théâtre de l’Europe,VI° Paris
`
Avec : Isabelle Huppert, Isabel Abreu, Tom Adjibi, Nadim Ahmed, Suzanne Aubert, Marcel Bozonnet, Océane Caïraty, Alex Descas, Adama Diop, David Geselson, Grégoire Monsaingeon, Alison Valence et les musiciens Manuela Azevedo, Hélder Gonçalves Mise en scène : Tiago Rodrigues.
Après avoir été reporté pour cause sanitaire, le public pourra enfin voir cette pièce.
Tiago Rodrigues n’avait jusqu’ici abordé les classiques qu’en les refondant profondément (ainsi de son Antoine et Cléopâtre). Cette fois-ci, le metteur en scène portugais semble vouloir rester au plus près du texte de Tchekhov. Comment donc envisage-t-il cette Cerisaie ? S’il fallait la résumer d’un mot, il choisirait aujourd’hui celui de changement. Cela n’a pas toujours été le cas. Jusqu’ici, il avait toujours considéré “la dernière pièce de Tchekhov comme une œuvre sur la fin des choses, la mort, les adieux.” N’y est-il pas question de la vente inéluctable d’une vieille propriété familiale, du sacrifice de son verger presque centenaire ? L’auteur a tout de même qualifié de “comédie” son ultime chef-d’œuvre, comme pour inviter son public à ne pas s’en tenir à la mélancolie. Dans l’œil de ce tourbillon tragicomique de destruction créatrice se tient Lioubov. Cette Cerisaie où elle perdit un fils est comme une part de son âme ; pourtant, Lioubov reste sourde aux avertissements de Lopakhine, le moujik enrichi. “Créature complexe, extravagante et lunaire”, Lioubov est pareille au “pivot tragique sur lequel tout s’articule”.
Isabelle Huppert incarna au Festival d’Avignon, dans la Cour d’honneur du Palais des papes, cette “victime sacrificielle” offerte “aux dieux du changement”, héroïne d’une Cerisaie à l’image de nos incertitudes – car “monter La Cerisaie aujourd’hui”, affirme Tiago Rodrigues, c’est “aborder les douleurs et les espérances d’un monde nouveau. C’est nous regarder”.
Odéon Théâtre de l’ Europe Pl. de l’Odéon, 75006 Paris
Du mardi au samedi à 20h, le dimanche à 15h (durée 2h30) Avant-premières les 5 et 6 janvier Relâche le 9 janvier.
Tél. : 01 44 85 40 40 Prix des places : Plein tarif : de 40€ à 14€ (séries 1, 2, 3, 4) Tarif réduit : de 20€ à 6€ Réservation en ligne : CLIQUEZ
Samedi 12 février à 20h30 et Dimanche 13 Février à 15h
Théâtre en miettes, 33130 Bégles
Chorégraphie : Petia Iourtchenko, assisté de Chloé Guêze Lumières : Pascal Moreau Costumes : Petia Iourtchenko Cie Romano Dji Interprètes (10) : Thomas Baston-David, Sophie Chiffre, Romain Claris, Laurène D’Amiens, Adeline Détée, Sandrine Gros, Chloé Guêze, Emmanuelle Jutan, Paul Preux, Johann Rackelboom
Un feu s’allume, au loin, et l’on voit d’abord apparaître cette petite flamme qui danse. Un campement s’installe, avec ses personnages rocambolesques. On vous raconte une histoire simple, celle d’un groupe, d’une famille peut-être, venue d’ailleurs. Dans ce temps suspendu où la danse vient remplir l’espace, les liens se tissent et se dévoilent, entre tradition, transmission et second degré.
Dans ce florilège coloré de rythmes et de sons, on rencontre l’énergie du voyage, l’héritage de l’oralité, et on peut alors se laisser traverser par le mouvement en action, vif, agité, sensible et bouillonnant.
Créé à partir de la méthode de danse du chorégraphe Petia Iourtchenko, avec un vocabulaire tzigane et un répertoire musical de Russie, de Roumanie, de Hongrie ou de Moldavie, Tchilaven est un spectacle qui se reçoit sans préjugés pour plonger dans cette conversation subtile et bruyante à la fois, comme une invitation lancée à prendre part à la fête !
Petia Iourtchenko est né à Donetzk en 1957, dans la tribu des «Vlach». A l’âge de 16 ans, il passe le concours du prestigieux «Théâtre Romen» de Moscou. Il participe aux spectacles et devient alors le plus jeune comédien, danseur, chanteur dans l’histoire du théâtre. Il se forme parallèlement à l’institut «Gnesenikh», où il étudie l’art dramatique, la danse, le chant et l’histoire de l’art. Entre 1974 et 1988, Pétia se produit dans toute la Russie, ainsi qu’à l’étranger (Japon, Inde, Yougoslavie, France…) En 1988, il joue avec la troupe pour la première fois à Paris au «Théâtre Mogador». En 1989, il quitte le «Théâtre Romen» pour revenir à Paris, pour se produire dans différents cabarets. En particulier au «Balalaïka», où tous les artistes de l’Est sont passés. Il rencontre Pascal De Loutchek, chanteur, guitariste d’origine russe; et Lilia Dalskaïa, chanteuse et ex-comédienne du «Théâtre Romen». Ils forment alors le trio «Arbat». Le trio se produit à New-York, Londres, Oslo, Madrid, Budapest … dans différents festivals et enregistre trois albums.
En 1994, Pétia fonde à Paris la compagnie ROMANO ATMO (l’âme tzigane), avec l’aide de sa femme Anne-Marie IOURTCHENKO. Cette compagnie a été créée dans l’objectif de préserver la culture, la tradition et la danse tzigane. Il n’est pas besoin d’être tzigane pour cela. Il faut aimer, comprendre, écouter, travailler. Tzigane, ce n’est pas un métier. Ce spectacle est le projet fondateur de la compagnie, conçu comme un témoignage vivant, un état des lieux et l’héritage d’une longue tradition de l’art tzigane de Russie et d’Europe. Dans une sobriété qui laisse toute la place au sujet, à sa naïveté et à ses caractéristiques culturelles, à l’énergie et aux émotions pures, ilss offrent ce qu’ils ont. Tchilaven veut dire “toi, tu danses“, entre invitation et provocation. Ils dansent maintenant car l’important est que la parole circule et que visibilité soit donnée à cette danse tzigane, dans la réjouissance et loin des clichés malheureux !
Chloé Guêze baignée dès son enfance dans une éducation artistique, Chloé Guêze développe très tôt le goût de la scène et du théâtre, qu’elle commence à l’âge de 6 ans aux côtés de sa mère, comédienne. Elle pratique intensément la danse classique et le piano, en voyant le spectacle Tango Passion à 13 ans qu’elle a un coup de foudre pour le Tango argentin et s’inscrit dans un cours l’année suivante. C’est le début d’un long apprentissage auprès de différents maîtres de danses et la découverte des danses en couple ! À Toulouse, les Paturet, père et fils, Philipp Nicholas, Christian Dubar, Tangueando, de nombreux stages auprès de Léo Calvelli & Eugenia Usandivaras, Domingo Rey ou encore des frères Massaro l’immergent dans cet univers riche, dans lequel elle gagne d’inoubliables modèles.
Elle y puise son inspiration et façonne son futur métier. Après un bac arts-plastiques, Chloé entre en formation professionnelle à l’IFDS de Toulouse, où elle se forme à la méthode Dubar, et obtient son professorat en juillet 2004. En parallèle de l’enseignement son terrain de prédilection, elle participe à de nombreux projets artistiques en tant que danseuse ou comédienne et continue de se former, notamment dans les danses à percussions et de caractère (Malambo, Flamenco).
À Bordeaux, où elle s’installe en 2005, Chloé collabore dans un premier temps avec plusieurs écoles de danse et crée finalement son propre lieu, Rythmes & Cie, en 2010, dont elle partage la direction depuis 2016 avec Patrice Bonhomme. Pendant ces années, elle se certifie en Danse Thérapie auprès de Nathalie Dubrana et de Free Dance Song à Paris. Elle continue de suivre les enseignements de maestros tels que Pilar Alvarez et Claudio Hoffmann pour le tango argentin et des stages de formation dans d’autres disciplines, telles le langage Gaga d’Ohad Naharin, synthétisant tous les acquis pour alimenter son propos. Elle rassemble le Collectif K autour de son premier spectacle “Nous, Marthe et la fureur du monde” et participe à de nombreux festivals et rencontres chorégraphiques, en tant que chorégraphe ou professeur invité. De 2007 à 2019, elle est comédienne de la Cie La Joyeuse et de 2011 à 2017, danseuse dans la Cie Tatjana Schuster, prenant part à plusieurs projets de création et spectacles en tant qu’interprète, de Bordeaux à Avignon, de Paris à Marseille. Les fondamentaux du corps et du mouvement, le lien à la musique et le fruit de ses recherches la poussent à développer une méthode efficace pour que ses élèves danseurs soient les plus libres possibles, à la fois créatifs et capables de s’adapter, curieux de se cultiver et en quête d’une expression artistique personnelle.
Depuis 2017, elle se forme encore auprès du maître Pétia Iourtchenko à Paris en Danse Tzigane de Russie. Ensemble, ils développent le projet de transmission et de création à Bordeaux et font naître la Cie Romano Dji , “le cœur Tzigane” en langue Romani.
Dans le cadre du programme “Art du Cinéma Russe”. La projection organisée par l’association “LES SAISONS RUSSES” et soutenue par TV3 Channel, l’association franco-russe Perspectives et Cinématique In Cinéma.
C’est le troisième des trois films de la série de films ” GOGOL “de Les Chroniques de Viy : les Origines du mal, sorti en 2017 et de Les chasseurs de démons sorti en 2018.
“Réalisation: Egor Baranov, d’après Gogol. Avec : Aleksandr Petrov , Evgueni Stytchkine, Taïssia Vilkova. Genres : aventure, détective, horreur Nationalité : russe (2018) Version : VOSTF (version originale sous-titres français)
Il y a deux cents ans une bande d’antéchrists dirigée par un tout puissant sorcier dévastait les fermes de la Petite Russie (l’Ukraine). Depuis dans la région de Dikanka sévit un Cavalier Noir inconnu qui attrape les jeunes filles et les traite avec une grande cruauté comme s’il se vengeait de quelque chose. Et sa prochaine victime peut être Lisa. Pour sauver sa bien aimée le clerc Nicolas Gogol doit rompre le sortilège maléfique et vaincre l’ancienne malédiction. Pas un mortel n’a encore réussi à le faire mais heureusement Iakov Gouro, le génial détective de la capitale vient à son secours et il a le principal suspect…
En 2019 le film « Gogol. Terrible vengeance ” a partagée avec le film ” Gogol. Viy ” Deux prix ” Aigle d’Or “dans les nominations ” Le meilleur travail d’un concepteur de production “(Elena Zhukova) e t” Le meilleur travail d’un créateur de costumes “(Victoria Igumnova).
Port du masque et passe sanitaire obligatoire. (Mesure gouvernementale)
Inscription gratuite, mais obligatoire !
“
Théâtre Alexandre III 19 Bd Alexandre III, 06400 Cannes
Jeudi 3 février de 13h à 14h 30 Samedi 5 février 2022 à 16h 30
Espace et Liberté , 94220 Charenton-le Pont
Larissa NOURY, auteur de l’ouvrage
“SYMBOLIQUE DES COULEURS – ART, DESIGN, ARCHITECTURE”
Cette rencontre littéraire est organisée dans le cadre du 68ème Salon d’Art de Charenton, dans l’Espace Art et Liberté qui a pour vocation de promouvoir la création contemporaine.
Larissa Noury présentera son 3ème livre sur la couleur dans l’architecture des villes aux Éditions du Palais. L’artiste y met en lumière l’évolution du langage de la couleur à travers les civilisations, les styles et les mouvements artistiques ; les harmonies des couleurs dans la ville étant en constante mutation.
LARISSA NOURY, architecte-coloriste et artiste, présidente du Centre “Couleur-Espace-Culture” est née en Biélorussie ; elle a soutenu 2 thèses de doctorat en architecture et en histoire de l’art et met son éclectisme au service de l’art quelles que soient les formes qu’il revête : architecture et environnement, peinture, stylisme et haute-couture, photo…
En relation avec le bien-être dans la ville, l’objectif de l’architecte-coloriste est de créer un ensemble bâti harmonieusement intégré au site, dans le respect de son identité visuelle. “Les architectes et designers estiment l’écologie des couleurs comme indispensable dans les projets de développement durable de la ville. Elle permet la mise à jour des connaissances sur les qualités visuelles de la ville et sur ses caractéristiques locales : l’étude in situ des couleurs existantes symbolisant la synergie locale, l’analyse des harmonies clés de chaque lieu, et la conception spatiale prenant en compte l’interaction des couleurs avec les formes architecturales. Cette approche est écologique et sociale…”
Espace Art et Liberté, Centre Commercial La Coupole 3 place des Marseillais 94220 Charenton-le-Pont
Rendez-vous (entrée gratuite) dans la salle de vidéoconférences de l’Espace Art et Liberté Cette rencontre se tiendra dans le respect des mesures sanitaires en vigueur (présentation du pass…).
La Maison Russe des Sciences et de la Culture a Paris a le plaisir de souhaiter a ses visiteurs et partenaires :
Bonne Annee 2022 et un Joyeux Noel !
Dans le cadre de l’exposition à l’occasion du Nouvel An, on a rassemblé des reproductions de peintures démontrant avec quelle tendresse et avec quel amour les artistes russes dépeignent l’atmosphère de leur fête préférée.
D’ailleurs, on peut y voir des photos de Moscou, Saint-Pétersbourg, Kaliningrad, Veliki Oustioug, Kazan et d’autres villes dans toute leur splendeur festive. Et pour les enfants, on propose une sélection des images de dessins animés dans l’esprit du Nouvel An, car après tout, les regarder lors des vacances d’hiver est devenu une autre bonne tradition en Russie.
Le Nouvel An est l’une des fêtes préférées en Russie. Les Russes commencent à s’y préparer bien à l’avance : les villes s’embellissent par des guirlandes et des lanternes multicolores, des sapins décorés pour le Nouvel An sont installés sur les places et les rues, une ambiance de joie, d’espoir, de contes de fées pénètrent dans chaque foyer.
Et pourtant, la célébration du Nouvel An en Russie est une tradition relativement récente. Avec l’adoption du christianisme en 988, on célébrait le début de l’année le 1er mars et à partir de 1492 le jour du nouvel an a été reportée au 1er septembre. Ce jour-là, commençait une nouvelle année qui était célébrée avec un service divin particulier intitulé « Pour raccompagner l’année ».
La coutume de célébrer le début du nouvel an dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier s’est établie sous Pierre le Grand en 1699, lorsque, par un décret spécial, le tsar a introduit un nouveau système de chronologie (avant on suivait le système byzantine, « depuis la création du monde », ainsi l’an 7208 est devenu 1700). En même temps, Pierre Ier a laissé le calendrier julien, alors qu’en Europe le calendrier grégorien était depuis longtemps entré en usage. Selon le décret du tsar, les citadins devaient décorer leurs maisons avec des branches de sapin, se féliciter pour le début de la nouvelle année, organiser des feux d’artifice sur les places de la ville et s’amuser jusqu’au 7 janvier.
Sous le règne de l’impératrice Elisabeth Ire, les bals masqués du Nouvel An sont devenus très populaires et sous Catherine II, a apparu la tradition d’échange de cadeaux. Ce n’est qu’à partir de la seconde moitié du XIXe siècle que s’est imposée la coutume de décorer un sapin pour le Nouvel An. Des artels spéciaux ont commencé à produire des jouets du Nouvel An. Dans les pâtisseries, on pouvait acheter cette beauté verte, déjà ornée de toutes sortes de bonbons, c’était un plaisir accessible aux personnes très riches. Ceux qui ne pouvaient pas se permettre ce luxe préféraient des décorations fait maison.
C’est à cette même époque qu’apparaît l’idée que le Nouvel An est une fête pour les enfants. Un arbre fabuleux, une mascarade, des cadeaux sous le sapin pour ceux qui se sont bien comportés tout au long de l’année, la joie et le plaisir ont finalement rendu cette fête mondaine.
A la fin du 19ème siècle, se forme l’image d’un gentil Grand-père Gel (Père Noël). Son origine est associée à l’ancienne divinité païenne des tempêtes et du mauvais temps. Mais au fil du temps, le patron rigoureux des blizzards et du froid a acquis les traits d’un sage vieillard qui non seulement règne sur la nature, mais également fait des sermons. Morozko, Grand-père Gel, Moroz Ivanovitch se sont fermement ancrés dans le folklore russe.
Le Grand-père Gel moderne est un magicien qui chasse les mauvais esprits et apporte des cadeaux à tous les enfants sages. Il est invariablement accompagné de la petite-fille, la Fille des neiges, habillée en un manteau de fourrure bleu et blanc, ce qui symbolise des eaux gelées.
En 1918, après la révolution la Russie est passée au calendrier grégorien européen, ce qui a fait qu’une différence de 13 jours a apparu par rapport au calendrier julien de l’Église, le soi-disant style ancien. La célébration du Nouvel An a été annulée, mais une nouvelle fête du « Blizzard rouge » a été établie pour le jour du début de la révolution mondiale. Il ne s’est pas enraciné parmi le peuple. Les gens ont continué à décorer secrètement les arbres de Nouvel An et à se faire des cadeaux.
Et ce n’est qu’en 1935 que la bonne tradition de célébrer le Nouvel An a été rétablie. Depuis 1937, DED-MOROZ le Grand-père Gel est devenu un invité régulier de la fête. Et aujourd’hui, le début du Nouvel An dans chaque foyer en Russie est accompagné de cadeaux, du Grand-père Gel avec SNEGOUROUCHKA sa Fille des neiges, ainsi que de champagne, de la salade russe, des félicitations du chef du pays, du carillon de la tour Spasskaïa du Kremlin, de la foi en un avenir prospère de chacun en particulier et du pays dans son ensemble.
Maison Russe des Sciences et de la Culture 61 rue Boissière, 75116 Paris
`Métro : Boissière (6), Victor Hugo (2) Bus : 22, 30, 52, 82 Parking : Victor Hugo, Kléber, Longchamp
C’est tout à fait russe : démesuré et quelque peu anachronique. Utilitaire pour les russes, il représente souvent, pour les étrangers, une plongée quasi initiatique dans l’espace distendu des 9288 kilomètres de ballast et de rails, dans des images de colons et de forçats, de taïgas glacées, de steppes, de montagnes et de lacs, le tout arrosé de thé fumant. Le mythe et la réalité se rencontrent dans ce train, quotidien pour les uns, rêve ou défi pour les autres… Des rencontres ? Il y en aura : musiciens, réalisateurs, voyageurs, écrivains, parfois tout cela en même temps, avec d’autres passionnés de train, d’échecs, de poésie… De quoi méditer ? D’un rendez-vous à l’autre, un mois d’invitation au voyage : photographies contemporaines, films d’archives, une aquarelle immense de 1900 et l’ethnographie des peuples qui vécurent en direct ce chantier de tous les records… Le temps d’un festival, le temps d’un voyage, 30 jours pour passer les fêtes et changer d’année sur une ultime pirouette : cette année, le Tour de Russie sera… une traversée !
Exposition photo de Maksim Kashirin du 10 décembre 2021 au 9 janvier 2022
Avec l’aimable participation de Xavier Noël, Sergey Shakuto, Thomas Le Menn, Aleksei Manianin et Sergey Avdeev, Consul Honoraire de France à Nijni Novgorod.
Samedi 11 décembreà 15 h
Entrée libre
Traversée transsibérienne : beauté et fragilité des lacs et forêts russes
Rencontre avec François Gossmann (Ministère de l’Environnement)
Après avoir mené plus de 40 expéditions en Russie et réalisé de nombreuses études en collaboration avec des organismes de recherche russes et français, François Gossmann nous parlera (passionémment) de forêts, lacs et rivières de Russie, de la diversité de la faune sauvage et de la vie des habitants de la taïga… Et aussi de la fragilité de ces magnifiques ensembles naturels…
à 17h 30
Découverte de la langue russe……..
à 19h30
Concert rock&folk
entrée libre, participation au chapeau
Concert de Nadejda Passeka et Zaour Chevkhoujev
Dimanche 12 décembre
à 15h
Piano en voyage Concert de François Cardinaud. Un clin d’oeil au festival Art-Transsibérien
à 17h entrée 5 €
Chants russes et Musiques traditionnelles d’Europe de l’Est
Slava et Ludmila Kazykin, originaires de Kiev, perpétuent les traditions de leur pays natal dans un foisonnement de musiques slaves et de chansons populaires. Les musiciens qui reviennent déjà pour la quatrème fois à Cosmopolis pour faire chanter le public nantais.
Mardi 14 décembre à 18h 30
De Vladivostok à la mer Blanche Rencontre avec Cédric Gras, écrivain, géographe, fin connaisseur et amoureux des confins russes. Entrée libre.
Cédric Gras a écrit, il y a tout juste 10 ans, Vladivostok, neige et moussonaux éditions Phébus. Depuis, il ne cesse de nous conter son « âme russe » bien à lui. Couronné du prix Albert Londres en 2020 pour Les Alpinistes de Staline aux éditions Stock, retraçant le destin de deux conquérants de sommets soviétiques, victimes des purges staliniennes, Cédric Gras revient, cette année, nous narrer l’histoire de Youri Bezsonov, qui s’évade des geôles des Iles Solovki, laboratoire du Goulag. Il préface et réalise les notes pour le livre L’Evadé de la Mer Blanche, écrit par Youri Bezsonov et traduit par Evgueni Semenov, aux éditions Transboréal (nov. 2021).
Mercredi 15 décembre, Entrée libre
14 h 30 : La Prose du Transsibérien Histoire du livre de Blaise Cendrars et Sonia Delaunay. Conférence par Elena Zaprometova.
17 H : Documentaire Le Grand Voyage Vivre le Transsibérien à 90 ans. Rencontre avec la réalisatrice Juliette Lamboley.
17 h : Découverte de la langue russe Quiz, jeux… tout public
Jeudi 16 décembre à 18 h30
Dersou Ouzala de Vladimir Arseniev 100 ans après la première parution russe de ce western sibérien, Yves Gauthier présente sa traduction intégrale en français, accompagnée d’extraits du film Dersou Ouzala d’Akira Kurosawa (Oscar 1975). Entrée libre
Vendredi 17 décembre
à 15h : Mes amis les ours Hommage à la mémoire du grand naturaliste et « oursologue » russe V.Pajetnov disparu cette année, par son traducteur et ami Yves Gauthier. Entrée libre
Samedi 18 décembre
à 13H : À la rencontre du Soleil Levant Histoire du Transsibérien. Rencontre avec Éric Hoesli, journaliste et historien suisse. Entrée libre
à 16h : Sibérie, grande histoire et belles histoires de vie. Par le passionnant conférencier suisse Éric Hoesli. Entrée libre
à 19h30: Sibérie, mon pays Chants traditionnels et populaires, Olga Safronova et Gilles Simon. Entrée 5€
Dimanche 19 décembre
à 15h :Documentaire Terminus-Vladivostok et rencontre avec le réalisateur Laurent Canches. Entrée libre
à 18h30 : Voyage de la musique européenne en Russie Récital du jeune et talentueux violoniste franco-russe François Pineau-Benois, Entrée 5€
Mardi 21 décembre à 18h 30
Mon transsibérien Rencontres et témoignages de voyageurs nantais. Entrée libre
Mercredi 22 décembre à 15 h
Atelier créatif Poupée russe à partir de 6 ans, Entrée 5€, Réservation: 0616102862
à 17h
Échec et mat à la russe et pas que ! Soirée échecs, parties en simultanée avec un joueur titulaire, mini tournoi. Entrée libre
à 19h 30
Concert de hautbois & basson par Les Soupers du Roy. Musique populaire russe et compositeurs du XIXe. Entrée libre
Jeudi 23 décembre à 15 h
Découverte ludique de la langue russe Pour toute la famille , Entrée libre
à 19h
Un voyage de l’Oural à Paris Concert de Véronika Bulycheva.
L’Oural. Entre Europe et Asie, toundra polaire et campagnes verdoyantes. À travers ses chansons, Veronika Bulycheva invite à plonger au cœur de cette Russie, belle et complexe. Un univers sensible, qu’elle ouvre avec bienveillance et hospitalité, en mêlant russe et français. De cette guitare si singulière qui l’accompagne, elle tire des notes claires mais aussi plus graves et tourmentées, pour dire le vivre ici et là-bas. Avec une exactitude qui transporte irrésistiblement, d’un rire d’enfant cristallin au murmure de la steppe, sa voix bascule du lyrique au blues, et vient vous chercher au plus profond de l’émotion. Un voyage au sein de l’âme slave, où l’on sait rire d’un drame autant qu’en pleurer, et que l’on porte longtemps en soi. (Elodie Lantelme)
Entrée 5€
Milonga de tangos russes et ukrainiens initiatio n 17h-18h, Entrée 3-6€
Lundi 27 décembre à 17h
Atelier de danses russes de caractère tout public , Entrée libre
à 19h
Un voyage transsibérien à bicyclette Rencontre avec Alain Gourichon. Entrée libre
Mardi 28 décembre à 15h
Atelier créatif Poupée russe à partir de 6 ans, Entrée 5€, Réservation : 0616102862
à19 h 30
Nishtiak ! La Russie en stop … et en musique Par Jules Moreau, récit de voyage, concert chez l’habitant. Participation au chapeau ,
Réservation : 0779495888
Mercredi 29 décembre à 18h 30
Documentaire Lettre au Baïkal Traversée du lac par J.Monière en hiver 2020. En présence de Julie Monière, exploratrice, photographe, et Lionel Thillet Entrée libre
Exposition photo « Traversée Baïkal » du 10/12/21 au 09/01/22 à Cosmopolis
Jeudi 30 décembre à 15 h
Mon transsibérien Rencontre avec Xavier Noël, photographe, auteur. Entrée libre
à 19h
Concert de musique populaire russe et tzigane Par le trio Anna, Alexandre et Micha Passetchnik. Chefs-d’oeuvre de la musique nomade. Entrée 5€
Vendredi 31 décembre à 13H 45
Ironie du sort Comédie soviétique rituelle du Nouvel An. VOSTFR, Entrée libre
Dimanche 2 janvier 2022 à 15 h
Échec et mat à la russe : quiz, mini-tournoi en blitz, échiquier géant, prix à gagner ! Entrée libre
Mercredi 4 janvier à 18h30
Soirée de romances de Mikael Tariverdiev sur des poèmes de divers poètes chantées par Anna Novikova. Entrée libre
Mercredi 5 janvier à 20 h
Soirée slam : Transsibérien. Voyages… Entrée libre
Jeudi 6 janvier à 18h 30
Soirée de Noël russe autour de la poésie qu’on aime… Toutes les langues bienvenues. Entrée libre
Vendredi 7 janvier à 18H 30
La Volga en kayak Rencontre avec Adrien Clémenceau, kayakiste, photographe, auteur.Entrée libre
Exposition photo à la Géothèque, du lundi 3 au dimanche 30 janvier
Samedi 8 janvier à 15 h
Concert Voyage dans le temps et l’espace en accordéon interprété par l’excellent accordéoniste sibérien Roman Jbanov. Entrée 5€
à 18h 30
Soirée Tatarstan & Bachkortostan : sur la ligne du Transsibérien Danses, jeux, animations, dégustation… Suivi du concert de l’Artiste artiste émérite de la République du Tatarstan Liliya Mullagalieva. Entrée libre
Dimanche 9 janvier à 15 h
Concert de guitare classique par le virtuose russe de la guitare Alexei Khorev, 1er prix du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Paris. Entrée 5€
espace international Cosmopolis, 18 rue Scribe, 44000 Nantes
Les horaires d’ouverture de l’exposition : du lundi au dimanche, de 14h à 18h (horaires élargis en fonction du programme) ; fermé les 25/12/21 et le 01/01/22.
Accueil dans la limite des places disponibles et avec le respect des règles sanitaires en vigueur. Pass sanitaire obligatoire.
Bar ouvert pendant toute la durée du festival.
Horaires d’ouverture de la « petite librairie russophile » à consulter ici
Entrée libre à l’exposition, conférences, rencontres, soirées… Entrée 5 euros certains concerts et ateliers (voir le programme) Réservation concerts : 02 52 10 82 00
de la Société Philharmonique de Saint-Pétersbourg.
Direction : Yulia Khutoretskaya.
Du vendredi 10 décembre 2021 au mardi 4 janvier 2022.
Le CHŒUR DE LA SOCIÉTÉ PHILHARMONIQUE de SAINT-PETERSBOURG
Lauréat de nombreux concours internationaux, le Chœur de la Société Philharmonique de Saint Petersbourg (anciennement Nouveau Chœur de Chambre de Saint Petersbourg) a été créé en 1992 par Yulia Khutoretskaya et réunit des étudiants et diplômés de toutes les grandes écoles musicales de Saint-Pétersbourg.
Yulia Khutoretskaya
Parallèlement à ses activités en Russie, le Chœur a effectué de nombreuses tournées en Lettonie, Allemagne, Suisse, Espagne, aux Etats-Unis et au Japon, tournées durant lesquelles le public a pu apprécier le talent de ses jeunes interprètes et admirer l’originalité des programmes proposés.
Le Chœur possède un très vaste répertoire qui inclue le répertoire habituel des formations chorales russes mais également de nombreuses œuvres de compositeurs occidentaux couvrant une très vaste période de l’histoire de la musique. Il est en effet très rare de trouver en Russie un chœur qui interprète avec autant d’aisance et de style le chant grégorien et les motets de Lotti, Palestrina, Gesualdo ou Bach. De nombreux oratorios de Haydn, Mozart, Brahms sont régulièrement au programme des concerts du chœur qui aborde également les œuvres des grands maîtres de la seconde moitié du XXe siècle, russes ou occidentaux, tels Messiaen, Hindemith, Rachmaninov, Stravinsky, Schnittke, Part ou Sviridov.
Les compositeurs de Saint-Pétersbourg d’aujourd’hui ne sont pas oubliés par le Chœur qui inclue souvent dans le programme de ses concerts les œuvres de Gavrilin, Uspensky, Falik, Belov, Banevich, Kortchmar, Korolev, Slonimsky, Smirnov, Brincken, Desyatnikov et Ekimov. Depuis peu, le Chœur collabore avec l’ensemble baroque moscovite « The Pocket Symphony » créé et dirigé par Nazar Kojukhar, soliste de l’Orchestre Philarmonique de Moscou. Ils ont donné ensemble plusieurs concerts notamment dans la Grande Salle de la Philarmonie Chostakovitch de Saint-Pétersbourg.
En 2003, le Nouveau Chœur de Chambre de Saint-Pétersbourg a été l’une des quatre formations chorales de la ville choisies par l’Union des Compositeurs de Saint-Pétersbourg pour participer au Printemps Musical qui a célébré le 300e Anniversaire de la Fondation de la Capitale des Tsars.
Vendredi 10 décembre à 20h
Eglise Saint-Eusèbe,
Place St-Eusèbe 89000 Auxerre
(Tarif : 18 € – 12 €) Frais de rés. en sus pour Francebillet Vente des billets : Espace Culturel E. Leclerc rue de Sparre Tél. : 03 86 46 46 00 Fnac. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.comEn partenariat avec France Bleu Auxerre
Samedi 11 décembre à 16h
Eglise Saint-Saturnin
94130 Nogent-sur-Marne
(Tarif : 23 – 19 – 14 €) Noël Basque, Noël Russe.
Vente des billets : Fnac. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com Information et réservation : 01 44 62 00 55
L’ensemble, composé d’une quarantaine de chanteurs attachés à cette tradition orale séculaire, témoigne d’un très vaste et précieux répertoire, mêlant les chants populaires médiévaux, les anciennes mélodies oubliées et les plus récentes compositions, en passant par les grandes partitions religieuses.
Anaiki est dirigé par Jean-Marie Guezala, fils du célèbre txistulari (joueur de txistu, flûte basque traditionnelle) Polentzi Guezala (1919 – 2008).
Etabli à Pariseko Eskual Etxea (La Maison Basque de Paris) et présidé parCyril Bourayne, le chœur anaiki donne de nombreux concerts en France, du Palais de l’UNESCO à l’Olympia, de l’Eglise Saint-Louis-en-l’Ile de Paris et de la Sainte Chapelle aux églises de Saint-Jean-de-Luz ou d’Ainhoa, du Palais des Sports de Bordeaux à la Salle Pleyel …
Anaiki traverse également les frontières, de Moscou à Fès pour le Festival des Musiques Sacrées du Monde ou pour le festival choral International de St Petersbourg, du Pays de Galles à Prague, et travaille avec les plus grands chœurs Russes (chœur de l’opéra d’Etat Moussorgsky de St Petersbourg, chœur du Patriarcat de Moscou, chœur Sirine, la Capella du Musée du Kremlin de Moscou, les Voix de la Néva) avec lesquels il donne chaque année à Paris une suite de concerts intitulés « Un Noël Basque – Un Noël Russe » en partenariat avec l’association musicale La Toison d’Art.
Dimanche 12 décembre à 16h
Collégiale Saint-Etienne
Dans le cadre des Rencontres Musicales de Hombourg-Haut (57470)
Office de Tourisme des communes de Freyming-Merlebach Tél : 03 87 90 53 53 (Tarif : 20 € et 10 € réduit)
Lundi 13 décembre à 20h30
Eglise Saint-Pierre
Place de l’Hôtel de Ville 71100 Chalon-sur-Saône
(Tarif : 18 € – 12 €) Frais de rés. en sus
Office de Tourisme du Grand Chalon 4, Place du Port-Villiers 71100 Chalon-sur-Saône Tél. : 03 85 48 37 97 Fnac. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com
En partenariat avec France Bleu Bourgogne (en attente)
Mardi 14 décembre à 20h
Chapelle de la Trinité 31, rue de la Bourse 69002 Lyon
(Tarif : de 20 à 45 €) Noël Basque, Noël Russe Les Grands Concerts Tél. 04 78 38 09 09
Mercredi 15 décembre à 20h
Eglise des Cordeliers
Rue des Cordeliers 39000 Lons-le-Saunier (Tarif : 17 € – 12 €) (Frais de rés. en sus) Office du Tourisme de Lons-Le-Saunier et sa région Place du 11 Novembre 39000 Lons-le-Saunier Tél. : 03 84 24 65 01
(Tarif : 20 € – 14 €) Office de Tourisme Mâconnais-Tournugeois 3 rue Gabriel Jeanton 71700 Tournus Tél. : 03 85 27 00 20
Office de Tourisme de Louhans 1 Place Saint-Jean 71500 Louhans Tél. 03 85 75 05 02 Tabac-Presse Place du Monument 71470 Romenay Fnac – Géant Tél. : 0892 68 36 22 (0,40 € TTC/mn) www.fnac.com
Samedi 18 décembre à 20h
Eglise Sainte-Croix
Rue de Metz 03500, Saint Pourçain sur Sioule
(Tarif : 14 € – 9 €) en collaboration avec l’A.E.S.P.O. Fnac. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com Information et réservation : 01 44 62 00 55 Partenariat avec France Bleu Pays d’Auvergne (en attente)
Dimanche 19 décembre à 16h
Chapelle Saint-Laurent,
86500, Montmorillon
Office de Tourisme de Sud Vienne Poitou Tél : 05 49 91 11 96. Entrée libre
Partenariat avec France Bleu Pays d’Auvergne (en attente)
Mardi 21 décembre à 20h30
Eglise Saint-Pierre
rue Sermorens 38500 Voiron
(Tarif : 18 € – 12 €) Office de Tourisme du Pays Voironnais Tél. : 04 76 93 17 60 30, Cours Becquart Castelbon 38500 Voiron Fnac – Géant : 0892 68 36 22 (0,40€ TTC/mn) www.fnac.com
A l’entrée de l’Eglise dès 20h le jour du concert.
Mercredi 22 décembre à 20h
Eglise Paroissiale
Grande Rue 38160 Saint-Marcellin
(Tarif : 18 € – 12 €) Office de Tourisme Saint-Marcellin-Vercors-Isère Avenue du Collége 38160 Saint-Marcellin Tél. 04 76 38 53 85 et Fnac. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com et vente à l’entrée une heure avant le début du concert.
Concerts de Noël :
Samedi 25 décembre à 16h et Dimanche 26 décembre à 16h
Eglise Saint-Louis-en-l’Ile (T4) PARIS (75)
Lundi 27 décembre à 20h
Eglise Saint-Michel
Place du Triangle de l’Amitié 74400 Chamonix-Mont-Blanc
(Tarif : 20 € – 14 €) Office de Tourisme 85 Place du Triangle de l’Amitié 74400 Chamonix-Mont-Blanc. Tél. : 04 50 53 00 24
(Tarif : 20 € – 14 €) Informations/Réservations : 01 44 62 00 55 Frais de rés. en sus Fnac. Géant. Tél. 0892 68 36 22 (0,40 € T.T.C./mn). www.fnac.com
Concerts du Nouvel An :
`Vendredi 31 décembre à 17h
Eglise Réformée de l’Oratoire du Louvre (T4).`
à 20h30
Eglise Saint-Louis en l’Ile (T4)
Samedi 1er janvier 2022 à 16h
145 rue Saint-Honoré 75001 Paris. Métro : Louvre ou Palais Royal
Dimanche 2 janvier 2022 à 16h
Eglise Saint-Louis en l’Ile (T4)
Lundi 3 janvier à 20h
Eglise Saint-Maurice
Grande Rue , 73700 Bourg Saint Maurice
(Tarif : 19 € – 14 €) Vente des billets : Office de Tourisme de Bourg Saint Maurice – Les Arcs Place de la Gare 73700 Bourg Saint Maurice Tél. : 04 79 07 12 57 Fnac – Géant Tél. : 08 92 68 36 22 (0,40 €/min.) www.fnac.com
A l’entrée de l’Eglise dès 19h le jour du concert.
Mardi 4 janvier à 18h
Eglise Saint-Bernard de Menthon
Rue Nicolas Bazile 73150 Val d’Isère
(Tarif : 20 € – 14 €) Val d’Isère Tourisme Place Jacques Mouflier 73150 Val d’Isère Tél. : 04 79 06 06 60. Fnac – Géant Tél. : 08 92 68 36 22 (0,40 €/min.) www.fnac.com
A l’entrée de l’Eglise une heure avant le début du concert.
Du vendredi 10 au jeudi 30 décembre 2021 et du lundi 10 au dimanche 16 janvier 2022
Centre Spirituel et Culturel Orthodoxe Russe, 75007 Paris
Jeudi 9 décembre, soirée en mémoire du peintre russe Alexey Begov et inauguration de l’exposition « L’univers unique », à partir de 18 h – suivie par un verre d’amitié, salle de l’amphithéâtre.
Alexey Sergueïevitch Begov, peintre russe né le 27 mars 1951 dans la ville Kozine Région de Kiev en Ukraine. Il a fait ses études de 1969 à 1972, à l’Académie d’Alma Atinsk de peinture dans l’atelier de G. P. Kabatchovo. Il vit en Ukraine de 1951 à 1961 puis au Kazakhstan de 1961-1974, au Kyrgyzstan de 1974 à 1978 de nouveau au Kazakhstan de 1978 à 1983, puis à Moscou jusqu’en 1998 et il arrive à Paris.
Dans les années 1990, il a créé un tableau de 10 mètres intitulé «La fin du XX e siècle» dans le cadre de la communauté internationale « Mur de la Paix ». C’était une occasion rare de créer en un espace unique, une seule image, En 2006 il revient dans sa patrie pour exposer au Manège à Moscou. En 2007 il est nommé membre de l’Académie des peintres de Russie, membre Honoraire de l’Académie des Beaux-Arts de Russie, Médaille d’Or Chevalier des Arts-Sciences-Lettres de la Société Académique d’Éducation fondée par l’Académie Française.
Pour l’inauguration du jeudi 9 décembre, confirmer votre présence, ainsi que le nom de la personne vous accompagnant, par courriel à : cscor@ambrussie.fr
Nous tenons à vous informer que, conformément aux dernières mesures anti-Covid-19, prises par les autorités françaises, la présentation du passe sanitaire est obligatoire pour accéder à cet événement.
Centre Culturel et Spirituel Orthodoxe Russe 1 quai Branly, 75007 Paris.
ENTRÉE GRATUITE Horaires : Tous les jours ( sauf lundi) de 14 h à 19 h.
Métro : Alma Marceau. RER: Pont de l’Alma, Musée du quai Branly. Bus: 63, 80. Parking : 87 quai d’Orsay.
La culture russe, pas plus que la culture française, ne saurait se réduire à ses frontières géographiques. En effet, toute culture se nourrit d’échanges et il est assurément dans la tradition française d’accueillir les représentants d’autres univers culturels. Mais ici, la relation est privilégiée. Vu de Russie, le modèle français fascine, vu de Paris, la splendeur russe étonne.
Igor Minaev né à Kharkov , il vit à Paris depuis 1988. Réalisateur de cinéma, peintre, il a étudié à l’école nationale du Théâtre et du Cinéma de Kiev.
« Parfois je me demande comment naissent mes dessins ? Est-ce ce la main qui connaît le sujet avant que la tête ne l’approuve ? Ou bien est-ce la tête qui dirige la main dans un itinéraire encore obscur mais qui s’éclaircit à chaque mouvement ? £D’où viennent les couleurs, les formes ? Est-ce la raison qui les associe ou est-ce complètement inexplicable et irrationnel ? Je n’ai pas la réponse. Mais dessiner me procure un plaisir réel. » – Igor Minaev.
`Vernissage de l’exposition le mercredi 12 janvier entre 19 et 21h ! Un concert avec des extraits de l’album “Passeport Nansen” de Vadim SHER (piano) et