Séance de contes suivie d’un bref exposé thématique d’Histoire de l’Art.
Les toiles et illustrations du plus influent des peintres russes du XIXème siècle nous ouvriront les portes secrètes des contes et légendes du pays de Baba Yaga et d’Ivan Tsarevitch, avec neiges lointaines et romantisme…
Je conte depuis plusieurs années dans les festivals, les écoles, les bibliothèques, les structures publiques, les cafés, les salles de spectacles et les événements privés, en puisant principalement dans le répertoire traditionnel de France, d’Europe et du monde. Par le fantastique – ma couleur préférée pour les contes –, je tente de saisir les puissances symboliques élémentaires, diaboliques ou divines, émanant de la terre ou du ciel, des bêtes ou des hommes, parfois des deux en même temps. J’ai également écrit et publié plusieurs contes et nouvelles en anthologies collectives, et il m’arrive d’ajouter à mes veillées quelques histoires ou personnages de mon imagination.
Fenêtre sur Conte, projet rapidement mis en place durant le confinement du printemps 2020, est une série de veillées contées en ligne et en direct sur les réseaux sociaux Instagram et Facebook. Au programme : légendes de France et d’ailleurs, mythologie du monde, contes à merveilles et à frissons, chants des anciens…
Médiathèque Jacques Demy – Salle Jules Vallès 24, quai de la Fosse, 44000, Nantes Tél. 02 40 41 95 95
Gratuit Sur réservation : bm-centre-actionculturelle@mairie-nantes.fr
Tram ligne 1: arrêt Médiathèque Bus ligne 11 : arrêt Médiathèque Bicloo : station 34 Médiathèque
” Peintres Russes aux origines du Mouvement des Ambulants “
Du samedi 20 au lundi 22 novembre 2021
Cinéma Rex & Chapelle Michel, 76980 Veules -les-Roses
ENTRÉE GRATUITE
La Mairie de Veules les Roses en collaboration avec l’association Vassili Polenov et avec le concours de Thibault Masset, (étudiant en dernière année de master à l’IESA) présentent Veules et le printemps russe, la découverte des peintres russes ayant séjourné à Veules durant la seconde moitié du XIXème siècle, avec parmi eux de grandes figures telles que Vassili Polenov et Ilia Répine.
L’un des plus anciens villages du Pays de Caux… Niché depuis le IVème siècle au creux d’une valleuse débouchant sur la mer, Veules les Roses,a séduit par les charmes de son bord de mer, son riche patrimoine et son cadre boisé traversé par le plus petit fleuve de France : la Veules.
PROGRAMME
Samedi 20 novembre : Journée des Peintres Russes
10 h : Projection du film documentaire de Marc Mopty Les Sirènes de la Côte d’Albâtre (2020, en français) – Cinéma Le Rex
13 h : visite de l’exposition Veules et le Printemps Russe, aux origines du mouvement des ambulants – Chapelle Michel
14 h : Projection du film documentaire d’Alexandre Chatalov Polenov en Europe (2019, en russe sous-titré en français) – Cinéma Le Rex
16 h : Visite guidée sur les pas des artistes russes à Veules-les-Roses
Informations au 06.62.47.62.88
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Du samedi 20 au lundi 22 novembre :
Exposition Veules et le Printemps Russe, aux origines du mouvement des ambulants
Exposition proposée par Thibault Masset, à la Chapelle Michel
une exposition qui propose de partir à la découverte des peintres russes ayant séjourné à Veules durant la seconde moitié du XIXème ; siècle, avec parmi eux de grandes figures telles que Vassili Polenov et Ilia Répine. Cette exposition permettra de voir comment Veules en Caux a durablement inspiré et influencé l’art de ces grands peintres venus de l’Est et de partir à la découverte d’un art remarquable et souvent méconnu en France.
Vasily Dmitrievich Polenovest né le 20 mai 1844 à Saint-Pétersbourg dans une famille où la culture artistique a joué un grand rôle. Son père, Dmitry Vassilievitch Polenov (1806-1872), était un connaisseur de l’art, et sa mère, Maria A. MGO (1816-1895) – était un peintre école Briullov portrait talentueux, il est décédé le 18 juillet 1927 au domaine de Borok dans le région de Tula. (Voir l’article : CLIQUEZ)
Exposition : Chapelle Michel 6 rue du Docteur Michel, 76940 Veules-les-Roses Horaires: de 10h à 18h
Cinéma Le Rex Place des Écossais, 76940 Veules-les-Roses
Nicolas de la Bretèche, donne une conférence autour de cet ouvrage d’exception. Toujours plus de détails sur l’histoire de la création du livre À la table des tsars : une véritable enquête historique !
À la fois livre d’histoire et de cuisine,À la table des tsars met en scène le destin exceptionnel de Pierre Cubat, grand chef français devenu confident des tsars. Edité aux Éditions Macha, à Paris
Pierre Cubat (1844 – 1922) a tout fait par passion. Cuisinier d’origine modeste, il quitta son foyer pour se lancer à la conquête de Saint-Pétersbourg. Une audace et un talent qui lui permettront de devenir le cuisinier des trois derniers empereurs de Russie et le favori des réceptions de la Cour impériale. Qui fut cet homme, chef des cuisines impériales à la cour de Russie sous les tsars Alexandre II, Alexandre III et Nicolas II ?
À propos du conférencier et auteur de l’ouvrage
Nicolas de La Bretèche en oct 2021 à la Mairie du Vème
Nicolas de la Bretèche, né en 1964 à Neuilly-sur-Seine, économiste de formation, est féru d’histoire et de musique. Son intérêt marqué pour les destinées extraordinaires le pousse à se pencher sur des figures qu’il espère déterrer de la mémoire collective, ou du moins dépoussiérer. Il est l’auteur de La Diva flamboyante, retraçant la vie de la cantatrice Marthe Chenal, livre édité par Esther Flon, en 2004. C’est à l’occasion d’une visite dans l’ancienne propriété de Cubat, le château de Vaux, que l’écrivain a été piqué d’une grande curiosité à l’égard des événements qui ont jalonné l’existence du cuisinier.
Médiathèque Eugène Delacroix 29 rue du Maréchal Leclerc 944410 Saint-Maurice
Centre Spirituel et Culturel Orthodoxe russe, VII° Paris
Sous le Haut Patronage de Son Éminence, Monseigneur Antoine, Métopolite de Chersonèse et d’Europe occcidentale. Monsieur Léonid Kadyschev, directeur du CSCOR et Mme Marie-Aude Albert-Chepik, commissaire de l’exposition et présidente du fonds de dotation Sergeï Chepik
Vous invite à visiter l’exposition de Sergeï Chepik,
Après la rétrospective qui a eu lieu en novembre-décembre 2018 à la maire du Vème arrondissement de Paris pour le 65e anniversaire de la naissance de l’artiste, le Centre spirituel et culturel russe à Paris rend hommage à Sergei Chepik (1953–2011).
Les thèmes de Chepik sont extrêmement variés, mais composent un univers particulier immédiatement reconnaissable.
Vastes compositions historiosophiques sur la Russie où l’artiste ne cesse d’interroger le destin tragique de son pays natal. Foisonnantes compositions fantasmagoriques et souvent autobiographiques où éclate son imagination sans frein. Peinture religieuse qui occupe une place privilégiée chez cet artiste chrétien. Monde du théâtre, du cirque et des saltimbanques qui l’a inspiré dès son enfance. Mais aussi thèmes nés de sa vie quotidienne à Montmartre et de ses nombreux voyages à travers la France et l’Europe: Paris, son Pont-Neuf et les Chimères de Notre-Dame, Venise et son carnaval, Arles et sa feria, rings de boxe et coulisses du Moulin Rouge qu’il fréquenta, crayon en main, plusieurs mois durant, au moment même où le célèbre cabaret mettait en place sa nouvelle revue Féerie dont il tira en 2001 une imposante exposition qui se tint, une fois de plus,… à Londres.
Marie-Aude Albert-Chepik, épouse de l’artiste, commissaire de l’exposition et présidente du fonds de dotation Sergeï Chepik et Sergeï Chepik devant une de ses dernière toiles.
Centre Culturel et Spirituel Orthodoxe Russe
1 quai Branly, 75007 Paris.
Métro : Alma Marceau. RER: Pont de l’Alma, Musée du quai Branly. Bus: 63, 80.
Entrée libre
Exposition ouverte tous les jours sauf le lundi, de 14h à 19h.
Concert de Naomi Plays (violoniste) Yoko Kaneko (pianiste et pianofortiste)
Exposition de
Alevtina Valentine (peintre)
Dimanche 21 novembre 2021 à 16h
Au profit des travaux de rénovation de la Colline St Serge
ENTRÉE GRATUITE .
La vie musicale parisienne étant riche et variée, il s’agit de proposer pour la saison culturelle et musicale de la Colline Saint-Serge, un Concert – Exposition, en un lieu exceptionnel. Labélisé « ARCHITECTURE CONTEMPORAINE REMARQUABLE DU XXE SIÈCLE », Destiné à habiter ce patrimoine par un art vivant. VOTRE CONTRIBUTION, LORS DE LA QUÊTE, PARTICIPERA AU FINANCEMENT DES TRAVAUX DE RÉNOVATION ENTREPRIS SUR LE SITE DE LA COLLINE SAINT-SERGE.
” Mariage éphémère de la peinture et de la musique “
Concert avec Yoko Kaneko au piano et Naomi Plays au violon
Au Programme
• Ludwig van Beethoven : Sonate pour piano et violon op. 12, n° 1 – Allegro con brio – Andante et variations – Rondo (Allegro) • Jean-Sebastien Bach : Andante de la Sonate pour violon seul, n° 2, BWV 1003 • Alexandre Dammianovitch : « Sonnerie de Saint-Serge de Paris » (composée en 2021) • Franz Schubert : Moments Musicaux D.780 n° 2 en La bémol majeur n° 3 “Air russe” en Fa mineur • AlexandreDammianovitch : « Anastasima », pour piano seul (composée en 2019) • Manuel de Falla : « Danse espagnole » • Camille SAINT-SAËNS : Introduction et Rondo Capriccioso op. 28
Exposition de peinture d’ Alevtina Valentine, principalement répertoriée comme portraitiste dans plusieurs dictionnaires de peinture sous les différents noms qui ont ponctué sa carrière, Hilde Laure, Florence Laure Marie, Marie Atah, Valentine Atah. Elle peint principalement des femmes, un univers mystique qui chante les couleurs.
Elle signe désormais ses toiles de son nom de baptême Alevtina Valentine. Elle vit et travaille entre Bruxelles et Paris. Peintre depuis son enfance, issue de famille d’artisteset de copistes, plusieurs connaisseurs d’art la considèrent comme une peintre de talent.
À l’entracte une visite guidée de l’église est proposée au public.
La colline St Serge
La Colline Saint Serge est un des hauts lieux de l’Orthodoxie à Paris, connu en France et dans le monde entier. En effet, depuis plus de 90 ans, le 93 rue de Crimée, dans le 19ème arrondissement de Paris, près des Buttes-Chaumont, abrite l’institut de Théologie Orthodoxe Saint Serge et l’église de la paroisse orthodoxe Saint Serge, fondés par les émigrés russes ayant trouvé refuge en France après la révolution de 1917. Perchée sur les hauteurs du 19e arrondissement, la paroisse Saint-Serge-de-Radonège remporte sans conteste la palme d’église la mieux dissimulée de la capitale/
Avant 1857, une mission ouvrière protestante allemande, fondée par le pasteur F. von Bodelschving, fait l’acquisition du terrain. «Je sentis une grande paix m’envahir et j’eus l’impression d’entendre une voix qui me disait : ‘Cette colline appartient au Seigneur’ ». Dès l’année suivante, Bodelschving y édifie une première maison (à l’entrée de la rue de Crimée), puis, en 1859, une seconde, sur la hauteur de la colline. En 1861, est construit un temple réformé qui sera agrandit deux ans plus tard. Au début de la première guerre mondiale, la propriété fut mise sous séquestre par les autorités françaises et, après plusieurs années à l’abandon, il fut décidé de la mettre en vente au titre des dommages de guerre, en 1924.
C’est là que commence l’histoire de la « colline Saint-Serge » grâce à la vision et à l’énergie du métropolite Euloge (Guéorguievsky) qui, de 1921 à sa mort en 1946, présida aux destinées des églises orthodoxes russes en Europe occidentale. L’ancien temple protestant fut transformé en église orthodoxe de style traditionnel russe avec une très belle iconostase et des peintures murales réalisées par le peintre Dimitri Stelletsky (1875-1947), qui s’inspira du style religieux russe du XVIe siècle.
Les dons recueillis lors de ces manifestations culturelles serviront à la restauration de la Colline. .
Chef de chœur : Nailia Binkulova Piano : Natalia Krakhmalnaya
Vendredi 17 décembre 2021 à 20 h
Théâtre de la Pergola, 33200 Bordeaux
L’ensemble vocal “Radouga” a commencé son activité en janvier 2010 dans le cadre de l’année France-Russie, à l’initiative de l’Association des Russisants d’Aquitaine, avec le soutien de la ville de Saint-Médard-en-Jalles.
Dans le cadre de la Quinzaine franco-russe initiée par Bordeaux Métropole, Radouga : arc-en-ciel en russe. Chorale d’une trentaine de choristes du Bordelais, un tiers connaissent le russe, les autres travaillent les textes des chants avec des transcriptions. Ces non-russisants s’adaptent très bien à la phonétique de la langue russe, et leur prononciation suscite l’admiration des choristes russisants. Si les choristes chantent en russe, il n’est pas nécessaire de connaître cette langue pour rejoindre le groupe (les membres travaillent avec des transcriptions). Ainsi, la chorale est ouverte à tous, avec ou sans connaissances musicales Le répertoire comprend actuellement des chants populaires et religieux. La chorale est dirigée avec brio septembre 2015 par Nailia Binkulova.
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Nailia Binkulova, originaire de la ville d’Oktiabrski (république russe de Bachkirie), elle devient professeure de piano au conservatoire de cette ville, et dès 1975 elle en prend la direction. A partir de 1985, elle enseigne la musique dans une école secondaire à Saint-Pétersbourg et dirige deux chorales. Tout au long de sa carrière en Russie, avec les ensembles vocaux auxquels elle participe, elle est lauréate de nombreux concours de collectifs d’artistes amateurs de la Fédération de Russie.
En 1989, son engagement lui vaut le titre honorifique de Travailleur émérite de l’éducation nationale de la Fédération de Russie.
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Natalia KRAKHMALNYA, accompagne au piano la chorale, originaire de Rostov-sur-le-Don (Russie), elle étudie le piano au conservatoire Rimski-Korsakov et y obtient son diplôme de professeure et d’accompagnatrice, puis à Saint-Pétersbourg, celui de manager de l’activité sociale et culturelle à l’Académie d’État de la Culture. Installée à Bordeaux, elle enseigne le piano classique dans le cadre de la société Fasiladom. Elle accompagne l’ensemble vocal RADOUGA depuis la saison 2016/2017.
Depuis 2010 l’ensemble vocal “Radouga” a déjà donné quelques concerts à Bordeaux et dans la région.
Théâtre de La Pergola rue Fernand Cazères 33200 Bordeaux
Entrée libre dans la limite des places disponibles Contacts : 06 87 55 61 06 / radougachorale33@gmail.com Pass sanitaire obligatoire.
avec Emilie Maj, ethnologue, spécialiste de Yakoutie
Samedi 20 novembre à 18h30
Cette conférence est organisée par l’association Linguarik dans le cadre de l’Année de la coopération décentralisée France – Russie avec le soutien du Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, de la ville de Poissy et de la banque Crédit Mutuel, agence de Poissy.
Découverte de la Yakoutie, région la plus froide de Russie au nord-ouest de Sibérie, à travers une conférence présente par Émie Maj. Partez à 4 883km à vol d’oiseau de Moscou pour découvrir la région la plus froide de Russie au nord-ouest de Sibérie. La république de Sakha ou Yakoutie va vous surprendre par la beauté de sa nature, les paysages inoubliables et le peuple accueillant.
Emilie Maj, ethnologue spécialiste de la culture des éleveurs de chevaux yakoutes en Sibérie extrême-orientale, Emilie Maj est aussi passionnée de musique et de films. Elle se rend régulièrement en République Sakha (Yakoutie), où elle trouve des bijoux de littérature, aussi bien pour les petits que pour les grands. Elle est directrice et chargée d’édition chez Borealia (www.borealia.eu), spécialisée dans l’édition de livres, de musique et de films d’auteurs nordiques.
Chœur Jiva avec Natalia Tziganov Exposition de Sergueï Tziganov
Mardi 16 novembre à 18 h
Mairie de Saint-Etienne, 42 Saint Etienne
ENTRÉE LIBRE
Performance picturale avec Sergueï Tziganov.
Serge Tziganov s’installe en France en 1982, il n’a pas encore vingt-trois ans, mais possède déjà une solide formation grâce à ses professeurs, le graphiste Vladimir Françousov et le célèbre peintre moscovite Théodore Thézik et son emploi comme peintre décorateur au Théâtre de l’Armée Rouge. Dès son arrivée chez nous il participe à de nombreuses expositions de groupes, ou personnelles à Lyon, Deauville, Saint-Etienne. En 1996, il ouvre à Saint-Etienne son Ecole de Dessin Académique. De facture classique, sa peinture s’inspire autant de sa Russie natale, des icônes, de la Renaissance que des années 20, avec toujours un trait d’humour qui n’enlève rien au sérieux du tableau mais nous adresse ce clin d’œil complice qui nous enchante
L’association “Trait d’Union Franco-Russe” a été créée en 2010 par des Français et des Russes d’horizons différents mais tous désirant renforcer la coopération entre les deux pays.
Programme de la Chorale:
“Vietchieri tvoieia (A. Lvov)
“Tiébié poèm”, Gloire à Toi (P. Tchaïkovski)
“Otché nash”, Notre Père (P. Tchaïkovski)
“Zdravo djevitzé”, chant populaire Croate
“Chant à la Vierge” (Harmonisation : Y. Markovitch)
“Kon” Le cheval (Musique : I. Matvienko – Paroles : A. Shanov)
Programme Natalia et Serge Tziganov
“”Romances russes”
Mairie de Saint Etienne, Salle Aristide Briand. Pl. de l’Hôtel de Ville, 42000 Saint-Étienne.
avec Rena Shereshevskaya, piano Victiria Shereshevskaya, mezzo-soprano
Dimanche 14 novembre 2021 à 16h30
Institution Sainte Marie, 92160 Antony
« De l’amour » : romances russes et mélodies françaises des compositeurs Fauré, Bizet, Glinka, Rachmaninov, Ippolitov-Ivanov et autres, met l’accent sur les liens culturels et musicaux entre la Russie et la France.
Rena Shereshevskaya est une merveilleuse musicienne et enseignante, actuellement enseignante au lycée Alfred Corteau à Paris. Elle a créé sa propre méthode et a élevé de merveilleux pianistes connus en Russie : Luca Debargue, Alexander Kantorov – médaille d’or au Concours International Tchaïkovski de Moscou, 2019. Rena Shereshevskaya est née à bakou (URSS) et y fait ses études de musique à l’École spéciale pour enfants surdoués (avec Liliane Filatov). À l’âge de 17 ans elle entre au Conservatoire Tchakoïkovski de Moscou qu’elle termine avec le Diplôme d’excellence dans toutes les disciplines (classe de piano de Lev Vlassenko). Elle y poursuit le cycle de perfectionnement qu’elle valide par un doctorat d’enseignement et d’interprétation.
Victoria Shereshevskaya, mezzosoprano, ses mélodies, malgré leur beauté et leur charme, sont rarement entendues sur la scène russe, de sorte que le programme du concert est largement exclusif. Pianiste, lauréate de concours internationaux et professeur à l’Ecole Supérieure de Musique de Paris. A. Korto Victoria Shereshevskaya a commencé sa vie de scène vocale il n’y a pas si longtemps, mais déjà avec beaucoup de succès. Jusqu’à présent, Victoria a réussi à combiner sa carrière avec une pianiste de concert et une enseignante.
Institution Sainte-Marie, 2 Rue de l’Abbaye, 92160 Antony
Tarifs : 18€, Adhérent A.A.M?A. : 14€, Gratuit moins de 12 Billeterie en ligne :www.sinelimine-aama.fr Tél : 06 87 56 64 15
Des peintures de deux villes de Russie et de France, réalisées d’après photographies pendant la pandémie, sont présentées lors d’une exposition à la Maison russe à Paris dans les salles d’exposition.
VOIR L’ARTICLE PLUS BAS
Exposition sur les panneaux extérieurs
Le Lac Baïkal le plus grand réservoir d’eau douce de la planète
du vendredi 1er au 31 octobre 2021
Pour le 25 e anniversaire du lac Baikal sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO La maison russe à Paris montre une exposition de photos documentaires Il y a exactement 25 ans, en 1996, les experts internationaux de la 20 ème session du comité du patrimoine mondial de l’UNESCO, tenue à Mérida, au Mexique, ont reconnu la valeur universelle exceptionnelle de ce site russe unique et ont inclus Baikal dans la liste des monuments les plus importants le patrimoine naturel de l’humanité. Situé au sud-est de la Sibérie et occupant une superficie de 3,15 millions. Ha, Baikal a été reconnu comme le plus ancien (25 millions). années) et le lac le plus profond (environ 1700 m) de la planète. Réserves d’eau environ 20 % de toutes les réserves d’eau douce. Dans le lac, connu sous le nom de ′′ Galapagos de Russie “, grâce à l’âge ancien et à l’isolement, un écosystème unique d’eau douce a été formé même par des mesures mondiales, ce qui est essentiel pour comprendre l’évolution de la vie sur Terre.
Le lac Baikal est vraiment unique. Il y a une énorme quantité de vies diverses dans ses eaux et sur ses rives, et certaines espèces ne se trouvent nulle part ailleurs. Baikal est si grand que beaucoup l’appellent la mer, et honnêtement, ce lac est beaucoup plus comme la mer que certaines ′′ vraies ′′ mer. L ‘ âge exact de Baikal est inconnu, mais les scientifiques disent qu’il est l’un des plus anciens de la planète. Un grand nombre d’espèces endémiques habitées dans ses eaux le confirme également indirectement. Baikal est le plus grand réservoir d’eau douce au monde. Il contient la cinquième partie de toutes les réserves de notre planète. Le lac le plus profond sur Terre est Baikal, sa profondeur est de 1642 mètres. C ‘ est à peu près égal à cinq tours Eiffel placées les unes sur les autres Les eaux baikales sont toujours froides, donc presque personne ne se baigne même les jours d’été chauds. La dernière ′′ Odyssée ′′ scientifique par l’exceptionnel naturaliste français J.- I. Kusto a eu lieu sur Baikal. Le célèbre réalisateur d’Hollywood James Cameron, Titanic, Terminator et Avatar, a un jour fêté son anniversaire sur Baikal. Avec l’apparition du gel, la surface du lac Baikal commence à geler, mais il faut environ un mois pour le faire recouvert de glace. L ‘ eau est si propre ici que vous pouvez la boire sans pré-nettoyage. Le lac Baikal compte plus de cinquante types de poissons différents dans les eaux du lac Baikal. Il y a de hautes vagues sur Baikal, jusqu’à quatre mètres de haut. Il y a des tremblements de terre dans ces régions, et parfois très forts. Aucun nageur n’a jamais traversé Baikal – ses eaux sont très froides. Le président russe Vladimir Poutine a plongé dans les profondeurs du lac à Batiskaf. Le lac Baikal a nommé l’un des astéroïdes que nous connaissons. Il y a des îles sur Baikal, vingt-deux. Un seul parmi eux est l’île d’Olkhon. La taille de ce lac est plus grande que le territoire de nombreux États. Selon les scientifiques, la masse totale de tous les poissons vivant à Baïkal dépasse la barre de 150 millions de tonnes.
Concert à l’occasion de
La Journée des Personnes Âgées
«Pour ceux à qui l’âge ne compte pas»
vendredi 1er octobre à 18h
Entrée sur inscription : CLIQUEZ
Maestro Andreï Chevtchouk, Conseil de coordination de compatriotes russes en France et MRSC à Paris.
Exposition, peintures; photos et dessins
De Kungur à Gargilesse
du Lundi 4 au dimanche 17 octobre 2021
Salles d’esposition de la MRSC
Des peintures de deux villes de Russie et de France, réalisées d’après photographies pendant la pandémie, seront présentées lors d’une exposition à la Maison russe à Paris
Les relations entre les deux villes en Russie et en France existent de longue date. Leur développement est assuré avec succès par l’association française « Pour Kungur » , dirigée par Hélène Texier, célèbre personnalité publique. L’idée de cette exposition croisée, où des artistes représentent les villes partenaires à partir de photographies, est venue de Nadège Texier, fille d’Hélène Texier, lorsque les mesures sanitaires étaient en pleine vigueur. Nadège, une véritable jeune Ambassadrice de la Paix, a réalisé une série de photographies de son village de Gargilesse, membre de l’Association des Plus Beaux Villages de France, et ensuite elle les a envoyées à Kungur. Ils ont apprécié cette idée, et en effet, toute une exposition d’art est née avec la participation des peintres français, qui ont également réalisé une série de paysages de Kungur, d’après des photogaphies de 2 photographes de Kungur.
Ce projet populaire a reçu le soutien d’organisations gouvernementales russes et françaises, et a été inclus dans le programme officiel de l’Année croisée de la coopération décentralisée entre la Russie et la France (2021). Le vernissage de l’exposition a eu lieu le 12 août à Gargilesse. Lors de la cérémonie officielle dans le village français, à laquelle ont assisté presque tous les habitants, le Ministre-conseiller de l’Ambassade de Russie en France Alexandre Zezyuline a remis à Hélène Texier une distinction honorifique de Fédération de Russie « Pour la bienfaisance » au nom du Président de la Fédération de Russie Vladimir Poutine. L’association « Pour Kungur » s’implique activement dans une cause caritative au profit des enfants adoptés de Russie et aide des centaines d’enfants qui se sont installés en France et dans d’autres pays à ne pas perdre leur culture et leur identité d’origine. « Pour Kungur » est un partenaire de longue date de la Maison russe à Paris, avec qui de nombreuses manifestations pour les enfants et événements publics sont organisés. La première exposition a eu lieu dans la ferme du Château de Gargilesse. Elle a été visitée par près de 4 000 personnes. (voir sur Artcorusse : CLIQUEZ) Dans la Maison russe à Paris, des peintures, des dessins et des photographies réalisés à Gargilesse et à Kungur seront à nouveau exposés. L’exposition présente des œuvres d’artistes et photographes français : Nadège Texier, Catherine Cesari, Elisa, Vanessa Douelle, Emilie Van Herreweghe, Mojeanne, Jean-Marc Volta, George Lemoine, Mark Guibert, Pascal Lardé, ainsi que des élèves de l’école primaire d’Orsennes. et leur professeur Aline Descherettes, ainsi que de collégiens d’Argenton-sur-Creuse. Les artistes du studio « Underground » ont fait parvenir leurs œuvres de Russie : Irina Gouchko, Tatiana Obvintseva, Olga Pikhtovnikova, Nastya Gordeeva, Nadezhda Arapova, Rinat Salimov, et le la chef du projet Lena Teplyakova, des élèves de l’école du Gymnase n° 16, de l’école n° 10 et du Centre de la culture des Ingénieurs en mécanique, de Kungur.
Une place commémorative spéciale de l’exposition sera attribuée à Iskane Texier, nous ayant quitté dans la période entre les deux expositions.
L’entrée au vernissage et à l’exposition est gratuite, l’inscription préalable est obligatoire :
Nombre de places limité. L’entrée à l’exposition s’effectue avec le port obligatoire du masque et le respect des règles sanitaires en vigueur.
Soirée littéraire et musicale
Pour le 400ème anniversaire
de Jean de la Fontaine
“La Morale de la Fable d’Esope à Ivan Krylov“
Avec Stella Kalinka et Anne Lefol
Mardi 12 octobre à 19h30
Salle de cinéma et de concert de la MRSC
Inscription préalable : paris@rs.gov.ru
Table ronde
« Maurice Thorez et la Société d’amitié France–URSS »
Exposition de cadeaux de M.Thorez des archives de la ville d’Ivry-sur-Seine
Jeudi 14 octobre à 19h
Salle de marbre de la MRSC
Une rencontre consacrée à la contribution de Maurice Thorez, secrétaire général du Parti communiste français (1930–1964), au renforcement de l’amitié russo-française.
Maurice Thorez (1900–1964) est un homme politique exceptionnel de France, l’un des fondateurs du Parti communiste, organisateur de la Résistance, combattant contre le colonialisme, l’un des leaders du Mouvement de la paix.
Les organisateurs présenteront une table ronde consacrée à la personnalité politique et aux activités de Maurice Thorez, son rôle dans la formation et le fonctionnement de la Société d’amitié France-URSS. Cette société, qui a joué un rôle important dans le développement des liens culturels et sociaux russo-français, a longtemps été implantée dans les locaux de l’actuelle MRSC à Paris, rue Boissière.
Pierre Thorez (fils de Maurice Thorez), Jean-Numa Ducange, professeur à l’Université de Rouen, historien, et Andreï Doultsev, envoyé spécial du journal « Pravda » en Europe occidentale, prendront part à la discussion.
Un volet spécial de la table ronde sera consacré au journal de Maurice Thorez (1952–1964), publié aux éditions Fayard sous la direction de Jean-Numa Ducange à l’occasion du centenaire du PCF en 2020. L’ouvrage couvre le XXeCongrès du PCUS et ses conséquences, la formation d’un système de sécurité mondiale et de coexistence pacifique, les questions de l’accession à l’indépendance du Vietnam, de l’Algérie et d’autres anciennes colonies françaises.
Les thèmes de coopération en matière de lutte contre la falsification et l’instrumentalisation de l’histoire, ainsi que l’engagement des organisations de jeunesse seront également abordés.
Le public de la Maison russe pourra découvrir une exposition unique de la collection de cadeaux de Maurice Thorez, conservés dans les archives de la ville d’Ivry-sur-Seine.
La Maison russe tient à remercier la Fondation pour les initiatives sociales et culturelles auprès de la MRSC pour son aide dans l’organisation de la prochaine réunion.
Entrée est gratuite, l’inscription préalable est obligatoire à paris@rs.gov.ru. Le nombre de places est limité.
L’entrée à la MRSC s’effectue avec le port obligatoire du masque et le respect des règles sanitaires en vigueur.
Exposition de peinture et sculpture de
Yana Germann
Exposition « Le rêve d’un homme ridicule »
du lundi 18 au dimanche 31 octobre 2021
Salles d’exposition de la MRSC
L’exposition « Le rêve d’un homme ridicule » est à l’origine tirée du roman de Féodor Dostoïevsky à l’occasion du bicentenaire de sa naissance. La pièce a été publiée en Russe en 1877 en tant que “Son smeshnogo chevoveka”. Abordant les questions du pêché originel, de la perfectibilité du genre humain, et de l’ambition vers une société idéale. Un homme qui fût une fois ridicule et qui s’est abimé dans la folie. À un moment, désespéré au point de se suicider, il s’endort et rêve qu’il s’était tué, avait était enterré et exhumé et a voyagé jusqu’à une planète qui était un double de la Terre; sauf qu’elle était parfaite et pure. Le narrateur se réveille, convaincu que l’humanité n’est pas intrinsèquement maléfique mais est seulement tombée en disgrace.
Yana Germann née en 1990, est une artiste plasticienne russe basée a Saint-Petersbourg. Elle a développé ses talents artistiques à la New York Academy of Art, New York, USA et à la Russian Imperial Academy of Fine Art. Son éducation artistique classique combinée à son approche contemporaine donne naissance à des œuvres profondes et puissantes, caractérisées par de fortes formes gestuelles superposées de techniques et significations, rendues par un coup de pinceau dynamique et riche armé d’une forte énergie. Le travail complexe et délicat de Germann aborde la question de la condition humaine: la transformation, le choix, l’extérieur et l’intérieur, la réalité et l’illusion, le conscient et le subconscient, le matérialisme et la spiritualité. Son utilisation des tons pastels, de tons discrets, de lignes délicates et de personnages sombres paraissant d’un autre monde créent une harmonie de couleurs et une spiritualité qui accompagne son style doux, fragile et figuratif. Germann est inspirée par les portraits du Fayoum, l’Art de la Renaissance, Rene Magritte, la poésie de l’art japonais, les lignes de Constantin Brancusi et l’art primitif. Germann travaille avec des galeries et lieux internationaux à travers le monde. Ses peintures et sculptures sont dans des collections privées à travers la Russie, USA, la Suède, l’Italie; la Suisse, l’Autriche, l’Angleterre, l’Argentine et UAE. Notamment, certaines de ses oeuvres appartiennent aux collections de l’ambassadeur chinois Zhang Hanhui et l’Administration présidentielle de Russie.
Programme Rossotrudnichestvo
“Nouvelle génération” – 10 ans
rencontre avec les diplômés (alumni)
Mardi 19 octobre à 19h
Salle de marbre de MRSC
Le 10e anniversaire du programme de voyages d’études en Russie pour les jeunes étrangers sera célébré à la Maison Russe à Paris
Le 19 octobre, de nombreux pays du monde célébreront le 10e anniversaire de l’un des programmes Rossotrudnichestvo les plus intéressants et les plus populaires «Nouvelle génération».
Grâce à ce programme, des dizaines de jeunes Français (25-35 ans) – les meilleurs professionnels dans le domaine de divers domaines d’activité – ont pu, à l’invitation de la partie russe, se rendre dans notre pays et le connaître étroitement.
La Maison russe de la science et de la culture à Paris célébrera l’anniversaire du Programme en invitant ses participants des années précédentes. Parmi les invités seront des scientifiques, des enseignants, des entrepreneurs, des militants sociaux.
De plus, il y aura une histoire détaillée sur le programme pour les jeunes français qui pourraient être intéressés à y participer à l’avenir.
Au cours d’hier au RDNK, les diplômés du programme des années précédentes pourront se retrouver, échanger des souvenirs et raconter leurs expériences aux futurs participants – ceux qui sont sur le point de vivre les émotions incroyables de découvrir quelque chose de nouveau, de rencontrer des gens talentueux et intéressants de différents pays, immersion dans la réalité d’un pays immense.
Une invitée spéciale de la soirée sera une jeune artiste russe Yana Germann, qui présentera aux participants de la présentation de la Nouvelle Génération une nouvelle exposition de ses peintures et sculptures, Le Rêve d’un homme ridicule, consacrée au 200e anniversaire de la naissance du grand écrivain russe FM Dostoïevski.
Inscription sur invitation, avec confirmation de participation( paris@rs.gov.ru ).
Pour référence:
Le programme « Nouvelle génération » est mis en œuvre conformément au décret du président de la Fédération de Russie du 19 octobre 2011 n° 1394.
Dans le cadre du programme, Rossotrudnichestvo organise des voyages d’étude de courte durée en Russie pour de jeunes représentants des milieux politiques, sociaux, scientifiques et commerciaux de pays étrangers.
Chaque année, plus de 1000 jeunes leaders âgés de 25 à 35 ans se rendent en Russie aux frais du pays hôte pour établir des contacts professionnels, nouer des partenariats à long terme avec des structures étatiques et non étatiques, des organisations de jeunesse et publiques russes.
L’admission s’effectura avec le port obligatoire du masque et le respect des règles sanitaires établies.
Exceptionnelle
Soirée Culturelle de l’Ingouchie (Russie)
Exposition des peintres ingouches.
Dégustation de spécialités ingouches.
Concert de la musique traditionelle.
Jeudi 21 octobre a 18h
Une soirée créative dédiée aux maîtres d’arts d’Ingouchie (Fédération de Russie).
Les artistes d’Ingouchie sont déjà connus du public français. En juin 2018, une présentation à grande échelle de la culture ingouche traditionnelle et moderne a eu lieu à la Maison russe.
Dans le cadre de l’Année croisée de la coopération décentralisée russo-française, des invités de la république du Caucase du Nord, avec l’assistance du Ministère de la Culture d’Ingouchie, présenteront à nouveau des peintures, une collection de tableaux décoratifs en cuir de poisson réalisées dans une technique unique et insolite, ainsi que des costumes nationaux et des tapis tissés à la main.
Il sera possible également d’assister à une soirée musicale et déguster des plats nationaux traditionnels.
Entrée gratuite, inscription préalable est obligatoire à paris@rs.gov.ru. Le nombre de places est limité.
L’entrée à l’exposition s’effectue avec le port obligatoire du masque et le respect des règles sanitaires en vigueur.
Téléconférence
cycle « Les rencontres avec les acteurs de l’espace russe ».
« Première station orbitale “ MIR ” »
avec
Vladimir Soloviev concepteur de la RCC
Michel Tognini, pilote de chasse, cosmonaute de l’Agence spatiale européenne
Interviewés par Nicolas Pillet, chef du projet «Kosmonavtika.com».
Lundi 25 octobre à 19h (heure de Paris)
Conversation sur les stations spatiales avec le concepteur général du RCC ′′ Énergie ′′ V.A. Soloviev et l’astronaute français Michel Tonini
Le principal sujet de la conversation sera l’histoire de la création et du fonctionnement du complexe orbital ′′ Mir “, construit par l’Union soviétique elle-même dans les années 80 Les invités de la maison russe ne contournent pas le sujet des stations spatiales modernes et même futures.
V.A.Solovievest un astronaute russe, ingénieur constructeur, professeur, membre correspondant de l’Académie russe des sciences. “J ‘ai pris part à deux missions de longue durée dans les stations spatiales ′′ Salut-7 ′′ et ′′ Mir “. En 1986, il était dans le premier équipage à arriver à la nouvelle station ′′ Mir “. À différents moments, il a dirigé le vol du Complexe orbital ′′ Mir “, était le directeur adjoint du programme de gestion de l’ISS, supervisé les vols de la série Yamal, dirigé des recherches sur les blocs de dispersion, en particulier le programme Marine Start. Depuis juillet 2021 V.A.Soloviev – Concepteur Général du RCC ′′ Énergie “. Michel Toniniest un pilote militaire français, astronaute de l’Agence spatiale européenne. Il a été entraîné dans le groupe de chasse Normandie-Neman. Il a effectué deux vols de courte durée dans l’espace, y compris à la station orbitale de Mir en 1992 Il a ensuite été le commandant des astronautes de l’Agence spatiale européenne et le chef du Centre européen des astronautes pendant longtemps.
Une fois de plus invité Nikol Pillet, blogueur français, passionné de l’astronautique française et russe, auteur du projet ′′ Kosmonavtika com “. Pour participer, vous devez vous inscrire sur le site de la Maison russe (crsc. fr). La conférence Zoom sera organisée en russe et en français avec traduction simultanée et possibilité de communication directe avec les invités. En même temps, vous pouvez regarder la diffusion en direct sur la chaîne RDNA à Paris sur YouTube (sans traduction).
L ‘ enregistrement complet de la réunion sera publié en deux versions linguistiques sur le site web et les pages du RDNA dans les réseaux sociaux.
Pour participer, inscription obligatoire : CLIQUEZ
Patrimoine Musical Ruse en France
Conférence – Concert
d’ Andreï Chevtchouc
avec
Arielle Beck et Igor Lazko
Mardi 26 octobre à 19 h
Il y a 140 ans, le monde musical de la Russie et de l’Europe envoyait le grand compositeur russe Modeste Petrovitch Moussorgski dans son dernier voyage. L’un des représentants les plus extraordinaires et les plus remarquables de la culture musicale russe, membre de la “Mighty Handful”, Modest Petrovich Moussorgsky a travaillé dans divers genres: dans son héritage créatif – opéras, pièces pour orchestre, cycles de musique vocale et pour piano, romances et chansons, choeurs. La rencontre musicale dans la Maison russe recevra un contenu spécial. Dans une conversation sur la biographie et l’héritage créatif de Moussorgski, son influence sur l’œuvre de compositeurs français tels que Camille Saint-Saëns, Claude Debussy, Francis Poulenc, Olivier Messiaen et surtout un grand connaisseur du génie de Moussorgski, Maurice Ravel, auteur du version orchestrale des célèbres « Tableaux d’une exposition », en présence d’un célèbre pianiste, professeur au Conservatoire russe Skriabine , Igor Alekseevich Lazko. Comme illustrations musicales de cette fascinante soirée, des œuvres musicales seront interprétées non seulement par Igor Alekseevitch Lazko lui-même, mais aussi par son talentueux élève, Arielle Beck, 12 ans, lauréate de concours internationaux. Les téléspectateurs réguliers la connaissent déjà depuis sa participation au concert du Nouvel An du CRSC en décembre 2020. Ssoirée musicale festive qui, comme d’habitude, se déroulera en russe et en français. L’entrée à l’événement est gratuite, sur rendez-vous (paris@rs.gov.ru). Nombre de places limité.
Conférence avec
écrivain et critique littéraire Victor Erofeev.
“Dostoïevsky mon Amour”
Mardi 27 octobre 2021 à 19h
une rencontre avec le célèbre écrivain et critique littéraire Victor Erofeev.
A la veille du 200e anniversaire de la naissance de Fiodor Dostoïevski, l’auteur de la thèse sur le thème « Dostoïevski et l’existentialisme français » parle du grand écrivain russe avec le public parisien.
Chacun a son propre Dostoïevski. Et j’en ai cinq.
Dostoïevski est une super-star internationale. Dostoïevski est un jeune socialiste. Dostoïevski dans la vie. Dostoïevski est un prédicateur réactionnaire. Et enfin, Dostoïevski est écrivain. Peut-on les aimer tous ? Nous en parlerons », c’est ainsi que Viсtor Erofeev a présenté le sujet de la prochaine réunion.
L’entrée à l’événement est gratuite. L’inscription préalable à paris@rs.gov.ru est obligatoire. Nombre de places limité.
En russe et en français.
t u t
Centre de Russie pour la Science et la Culture 61 rue Boissière, 75116 Paris Tél : 01 44 34 79 79
Emik Evci (contrebasse) et Darya Pazharytskaya (Violon)
Vendredi 15 octobre 2021 à 20h
Patronage laïque Jules Valles, XV° Paris
A l’occasion de la sortie de son dernier CD “LETI” (Envole-toi)
Veronika Bulycheva, interprète des chants russe et français, accompagné de guitare ou d’accordéon. Elle est née d’un père russe et d’une mère oudmourte dans un petit village de l’Oural, en Russie. En France depuis 1992, Veronika vogue à la perfection sur un répertoire traditionnel qu’elle agrémente d’une délectable pointe de blues et de textes poétiques de langue française, agréablement pimentés d’un accent slave des plus pointus. C’est « world », c’est « trad », mais tellement neuf que l’on peut qu’être immédiatement séduit et à jamais conquis.
Elle a auto-produit 5 albums CD, enregistrée 5 albums de chant traditionnelle russe sous label ARB music, participé à des émissions de radio, télé, réalisé des tournées à travers la France, Belgique, Suisse et la Russie.
Plus de renseignement sur l’artiste et ses tournées : CLIQUEZ
Acteurs : Ekaterina Guseva, Igor Petrenko, Oleg Chugunov,
Alexey Rodionov, Alisa Klagish, Mark Vdovin, Andrey Matveev
Avec : Igor PETRENKO et Ekaterina GUSEVA.
“Les événements se déroulent en hiver 1943 dans la période la plus difficile du blocus de Leningrad dans le village de Valeianovka, où seule la mère (Ekaterina Guseva) et trois enfants restent de tous les habitants: l’ainé – Sanka (Oleg Chagunov), le benjamin – Egorka (Alexey Rodionov) et la cadette une très petite fille – Masha (Alice Klogish). La mère malade est déjà trop faible pour une randonnée lointaine dans la forêt à la recherche de nourriture. Un journées le frère aîné Sanka, prend avec lui son frère cadet , Egorka et ils traversent un champ miné, afin de trouver au moins un peu de nourriture pour la famille . Les frères font une trouvaille incroyable – après le bombardement récent sur le champ de bataille, ils trouvent une énorme chien berger blessé. Sanka est devant un dilemme, sauver le chien ou la famille de la faim. Les enfants le prennent avec eux, mais à cause du terrible blizzard, ils n’ont pas le temps de retourner à la maison et reste dormir à Saraj. “Ce n’est pas un chien. C’est la nourriture “., pense Egorka. La nuit, le chien reprend conscience et sauve les enfants du gel en les réchauffant avec son corps… Sur le cou du chien de berger, Egorka découvre une médaille d’un bataillon de chiens détecteurs de mines et se rend compte que le chien est un militaire. L’enfant est confronté à un choix tout à fait enfantin – sauver un chien ou une famille. Mais le chien est un militaire alors ….”
Version originale sous-titrée en anglais.
Binevskaïa Daria Alexandrovna, est née le 19 septembre 1982.Scénariste, réalisatrice, actrice, auteure et présentatrice d’émissions pour enfants et jeunes.
En 2012, elle est diplômée de l’Université d’État de la culture et des arts de Moscou, département d’art dramatique (atelier de L. D. Titov, T. I. Galperin).En 2019, elle est diplômée de l’Institut panrusse de cinématographie (atelier de réalisation de longs métrages de V. Akhadov, E. Shelyakin).En 2008-2011.a travaillé comme animateur de programmes sur la chaîne de télévision VKT (“Art-Detachment”, “L’heure et arrivée”, “Surprise”).En 2007-2008.– Responsable des rubriques de l’antenne du matin (chaîne TV CJSC Doverie).
La pré-inscription est obligatoire : crsc.paris@crsc.fr
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Exposition documentaire
” Impossible d’oublier “
Du vendredi 3 au jeudi 30 septembre 2021
Panneaux extérieurs de la MRSC
L’année du 80e anniversaire du début de la Grande guerre Patriotique.
A l’occasion de la fin de la Seconde Guerre mondiale (le 3 septembre).
En collaboration avec la Société d’histoire russe.
Panneaux extérieurs de la MRSC.
En français.
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Exposition virtuelle du peintre
Igor Tokarev
Samedi 4 septembre 2021
Sur le site : https://crsc.fr/
Une grande exposition virtuelle de l’artiste Igor Tokarev sur le site de la Maison russe à Paris
Le 4 septembre, la Maison russe des sciences et de la culture à Paris invite le public à découvrir l’œuvre de l’artiste Igor Tokarev.
Un large éventail de tableaux du peintre russe — des toiles de style académique aux thèmes de l’histoire chrétienne en passant par des expériences audacieuses de l’impressionnisme et du néo-expressionnisme — sera présentée lors de l’exposition.
Igor Tokarev est né en 1967. Une fois diplômé de l’École d’art de Iaroslavl, il intègre le département de production de l’Institut national de la cinématographie S.A.Guerassimov (VGIK). Plus tard, il se réoriente vers la réalisation.
Depuis 1996, il travaille dans le domaine de la télévision, participe au tournage de concerts et d’autres émissions.
En 2014, il décide de revenir à ses racines et se lance dans les beaux-arts, ce qu’il continue de faire avec succès aujourd’hui.
Les œuvres de l’artiste se trouvent dans des musées en Russie, ainsi que dans des collections privées, tant en Russie qu’à l’étranger. Il est membre de la Fondation internationale des arts (la fondation publique).
C’est la première rencontre avec le public français, que l’auteur précède par une introduction suivante : « Mon travail, c’est ma vie, dans laquelle il y a eu beaucoup de hauts et de bas, de joies et de peines. Mais la vie est la vie, tout comme la créativité. Parfois, il est très difficile de franchir la ligne pour passer d’une vie paisible et bien nourrie à une nouvelle et brumeuse. Mais cette nouveauté, c’est l’évolution de l’artiste, sa recherche, son expérience.
Cette exposition présente des images de ma nouvelle vie créative. Tout ce que je vis au quotidien, ce qui m’inspire et m’inquiète. Je fais des erreurs, mais je vais de l’avant.
La vérité est la définition du véritable art.
L’honnêteté est le credo d’un véritable artiste. »
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Exposition de photos
de la société russe de géographie
‘Le plus beau pays”
“Les voiles de Russie”
Lundi 6 septembre 2021
Sur invitation
Inauguration du Centre de la Société russe de géographie en France
Nous avons le plaisir d’annoncer la création du Centre de la Société russe de géographie en France.
Cette association (loi 1901) réunit les Français et les Russes et a pour objectif de favoriser la connaissance du patrimoine géographique et historique de la Russie et, nous l’espérons, représentera un appui supplémentaire pour les échanges entre les activistes et les spécialistes de nos deux pays dans le domaine de la géographie et de l’environnement.
L’association s’oriente vers une coopération étroite avec la Maison russe des sciences et de la culture à Paris et se projette vers l’organisation de nombreux événements culturels communs.
L’inauguration officielle du CSRGF aura lieu le 6 septembre 2021 à la Maison russe des sciences et de la culture située à 61, rue Boissière, 75016 Paris.
Il est prévu que la délégation de la Société russe de géographie sera composée de Nikolaï KASSIMOV, le premier vice-président de la Société russe de géographie, l’académicien de l’Académie russe des sciences et de Vladimir KOLOSSOV, le vice-président de la Société russe de géographie et le premier vice-président de l’Union géographique internationale.
Parmi les invités à la cérémonie officielle, il y a des géographes français, des représentants de la Société française de la géographie, des associations géographiques, du monde socio-économique et des mairies des villes françaises liées aux villes russes par le jumelage.
L’entrée à l’inauguration est sur l’invitation avec le respect obligatoire des mesures sanitaires en vigueur.
La personne à contacter pour l’accréditation des journalistes et plus d’information : Natalia Savisko : tél. + 33698976584, Courriel : csrg.fr@gmail.com.
* * *
Toute personne intéressée peut devenir membre de l’association pour recevoir les informations sur des expéditions, des expositions, des rencontres avec des voyageurs célèbres, des conférences, des jeux intellectuels et d’autres événements que nous mettons en place en France en collaboration avec la Société russe de géographie et la Maison russe des sciences et de la culture à Paris.
Pour devenir membre, veuillez faire parvenir un mail avec la demande d’adhésion à csrg.fr@gmail.com.
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Exposition historique et documentaire
“Vers la Grande Victoire, les cosaques dans la Grande Guerre Pariotique”
Du lundi 13 au dimanche 19 septembre 2021
L’année du 80e anniversaire du début de la Grande guerre Patriotique (1941–1945).
A l’occasion de la Journée de la fin de la Seconde Guerre mondiale (3 septembre).
Exposition historique et documentaire « Vers la Grande Victoire. Les cosaques dans la Grande guerre Patriotique »
Avec le concours : Agence fédérale des archives de la Fédération de Russie. Archives d’État d’histoire sociale et politique. Comité synodale de lÉglise orthodoxe russe pour la coopération avec les cosaques. Forum russo-français d’initiatives sociales et culturelles.
En russe et en anglais.
14 septembre | 19:00
Inauguration
Dans la Salle de cheminée de la MRSC à Paris.
L’exposition consacrée à la contribution des Cosaques à la Victoire est programmée à l’occasion du 80e anniversaire du début de la Grande guerre Patriotique et de la Journée de la fin de la Seconde Guerre mondiale (3 septembre).
Le projet a été préparé conjointement avec l’Agence fédérale des archives de la Fédération de Russie, les Archives d’État d’histoire sociale et politique, le Comité synodal de l’Église orthodoxe russe pour la coopération avec les Cosaques et le Forum russo-français d’initiatives sociales et culturelles auprès de la MRSC à Paris.
Au début de la guerre, après les premières batailles et pertes, il a été décidé d’augmenter le nombre de divisions de cavalerie dans l’Armée rouge. Les Cosaques ont pris la part la plus active à leur formation. L’exposition présente non seulement les décisions du Comité d’État pour la Défense de l’URSS sur la formation de divisions de cavalerie, mais aussi celles des comités régionaux du Parti communiste (bolcheviks) de Rostov et d’Adyguée, des comités territoriaux de Krasnodar et de Stavropol du Parti communiste (bolcheviks) de l’Union soviétique sur la création des escadrons cosaques (des « sotnias »), des divisions cosaques et des bataillons d’infanterie (des « plastounes »), la mobilisation de volontaires, ainsi que la préparation au combat.
La formation des divisions de cavalerie se heurtait à un certain nombre de difficultés : en plus de l’équipement habituel, il fallait fournir aux soldats des chevaux avec harnais et selles.
L’exposition présente des documents authentiques des comités régionaux du Parti communiste (bolcheviks) de l’Union soviétique du Kazakhstan, du Tadjikistan, ainsi que des comités régionaux de Tchkalovski, d’Ordjonikidzé et d’Adyguée sur la production et la fourniture d’épées, de sabres, de lames et de fers à cheval aux divisions de cavalerie, sur la confection de chapeaux Koubanka, et sur la collecte de chevaux et de selles auprès de la population à leur profit.
L’exposition présente les combats menés par des divisions et des corps cosaques à travers les échanges via une ligne directe entre le lieutenant-général Fiodor Bokov et le général de l’armée Ivan Tioulenev, par le biais des rapports des secrétaires du comité régional de Rostov, des comités territoriaux de Krasnodar et de Stavropol, des lettres du corps cosaque à Joseph Staline et à Mikhaïl Kalinine, ainsi que des photographies prises lors des opérations militaires des divisions cosaques.
Les rapports opérationnels et de renseignement du Quartier général du mouvement des partisans de Krasnodar, les dossiers et les archives relatifs aux détachements partisans, ainsi que les certificats du comité régional de Rostov témoignent de la participation des Cosaques au mouvement des partisans sur le territoire temporairement occupé de l’URSS.
Les documents présentés à l’exposition révèlent non seulement le thème de la participation des Cosaques aux opérations militaires, mais témoignent également de leur travail à l’arrière. Un volet de l’exposition distinct est consacré à la collecte des ressources pour le fonds de défense de l’Armée rouge. Les télégrammes des kolkhoziens et des secrétaires des comités régionaux à Joseph Staline parlent de la collecte de fonds par les Cosaques pour la construction des colonnes de chars « Kouban soviétique », « Cosaque du Don », « Kolkhozien du Don », des escadrons « Don libéré », « Recrue du Don » … de nombreux kolkhoziens demandent le transfert des fonds collectés par leurs soins pour la production d’armes pour le corps cosaque. Les lettres de réponse de Staline dans lesquelles il exprime sa gratitude pour le soutien de l’Armée rouge sont également présentées.
L’exposition sera ouverte dans la salle de cheminée de la MRSC du 13 au 30 septembre de cette année. L’entrée est libre.
Les documents sont présentés en russe et en anglais.
L’entrée à l’exposition s’effectue avec le port obligatoire du masque et le respect des règles sanitaires en vigueur.
À l’occasion de la célébration du 200e anniversaire de la naissance de Fiodor Dostoïevski, l’inauguration de l’exposition sur la vie et les œuvres du grand écrivain aura lieu à la Maison russe des sciences et de la culture à Paris. Elle est préparée par le Musée mémorial littéraire Dostoïevski à Saint-Pétersbourg.
La directrice du Musée littéraire Natalia Ashimbaeva et l’auteur de l’exposition, Vera Biron directrice adjoint du Musée pour les projets créatifs, interviendront à distance à l’inauguration de l’exposition.
Le musée à St Pétersbourg a été ouvert le 13 novembre 1971 dans une maison située ruelle Kouznetchny, où l’écrivain avait loué un appartement à deux reprises : en 1846 et à partir du mois d’octobre 1878 jusqu’à sa mort, le 28 janvier 1881. Ici, l’auteur a travaillé sur sa nouvelle « Le Double », ainsi que sur son dernier roman « Les Frères Karamazov ». L’appartement a été reconstitué d’après les souvenirs de ses contemporains et de sa femme. Une exposition littéraire consacrée à la vie et à l’œuvre de Dostoïevski a été ouverte à côté.
Le nom de Dostoïevski est étroitement associé à Saint-Pétersbourg, la ville où un certain nombre de ses œuvres ont été créées et où ont vécu les héros de ses célèbres romans. Moscovite d’origine et par son enfance, Pétersbourgeois d’esprit et de créativité, Dostoïevski a créé une image unique de Pétersbourg, fantastiquement reconnaissable et particulièrement personnelle.
Pour Dostoïevski, Saint-Pétersbourg est « la ville la plus réfléchie et la plus abstraite du monde ». Par la bouche de ses héros, Dostoïevski exprime aussi son attitude à son égard : « … c’est un grand malheur de vivre à Saint-Pétersbourg », « c’est une ville des personnes à moitié folles … Il y a peu d’endroits où il y a autant d’influences sombres, dures et étranges sur l’âme humaine, comme à Saint-Pétersbourg. » Et pourtant Dostoïevski aimait beaucoup Pétersbourg. C’est la ville de sa jeunesse, de sa naissance en tant qu’écrivain, de ses succès vertigineux, de ses expériences tragiques et de ses pertes. Il avait besoin de lui pour la créativité : Pétersbourg devenait souvent la source de son inspiration. Le quittant, Dostoïevski cherchait toujours à y revenir, puis en revenant, il en était accablé.
Il a beaucoup voyagé, huit fois en Europe, y a vécu pendant environ cinq ans et demi. Il n’a jamais été un voyageur au sens propre : « … toute son attention était prêtée aux gens, et il n’a saisi que leur nature et leurs caractères, parfois l’impression générale de la vie urbaine ». Dostoïevski méprisait « la manière habituelle et officielle de visiter des lieux touristiques selon le guide ».
L’attitude générale de l’écrivain vis-à-vis de l’Europe est restée inchangée : « Vivre à l’étranger est très ennuyeux, peu importe où … ». Dostoïevski rêvait d’un voyage à Paris, surtout après avoir traduit le roman « Eugène Grandet » de Balzac en 1844. Les réalités de la vie française commençaient à sembler proches et familières, Dostoïevski voulait voir la ville dans laquelle travaillait son écrivain préféré.
Il a fait un voyage en Europe, persuadé qu’il ne l’aimerait pas, mais il avait besoin d’être convaincu de la justesse de ses dix années de réflexion. Soumis aux travaux forcés pratiquement pour soutenir les slogans de la Révolution française, Dostoïevski voulait comprendre ce que les révolutions occidentales ont donné à l’homme ordinaire, ce qu’elles ont changé dans sa vie. Après avoir visité la France, Dostoïevski a été absolument convaincu que les slogans de la révolution « Liberté, égalité et fraternité » se sont avérés être des mots creux, que la liberté, comme toujours, n’est donnée à ceux qui ont un million. Il était irrité par la formule de la satiété bourgeoise “ la vie douce et comfortable ”, il croyait que cela ne valait pas la peine d’être vécu. En Occident, il pensait que tout était faux, rien ne lui plaisait : les gens, les coutumes, la météo, la langue.
Comme beaucoup d’autres villes d’Europe occidentale, Paris ne s’est pas rapprochée de Dostoïevski. En 1862, il y resta environ trois semaines, à l’automne 1863 — huit jours. Plus tard, lorsqu’il était à l’étranger, il ne s’est jamais arrêté à Paris.
« Paris est la ville la plus ennuyeuse, et s’il n’y avait pas beaucoup de choses vraiment trop merveilleuses, alors, en effet, on pourrait y mourir d’ennui. »
A l’occasion du bicentenaire de la naissance du génie mondial, le Musée mémorial littéraire a préparé une exposition qui est présentée dans de nombreux pays sur des différents sites culturels, dont la Maison russe à Paris.
Des photos et des documents, des citations d’ouvrages et de lettres racontent en détail la vie et le parcours littéraire de Dostoïevski, en présentant les étapes les plus significatives : la naissance dans la famille de médecin de l’hôpital Mariinsky pour les pauvres et son enfance à Moscou, plusieurs années d’études à l’école d’ingénieurs à Saint-Pétersbourg, la publication dans le journal « Recueil de Saint-Pétersbourg » de son premier roman « Les Pauvres gens », qui l’a aussitôt rendu célèbre, la participation aux réunions « Vendredi » chez Mikhaïl Petrachevsky avec les jeunes les plus éduqués et épris de liberté de Saint-Pétersbourg, l’arrestation suite à « l’affaire Petrachevsky », 8 mois d’emprisonnement dans la forteresse Pierre-et-Paul, joué selon le scénario de Nicolas Ier, une fausse exécution du Cercle de Petrachevsky, puis 4 ans de travaux forcés et 6 ans du service militaire en Sibérie, le mariage avec Maria Issaeva, le retour à Saint-Pétersbourg, le roman « Les carnets de la maison morte », le premier roman sur la prison en Russie, les voyages en Europe, la mort de son frère et sa femme, la prise en charge de la famille de son frère, le second mariage, la parution des romans « du Grand Pentateuque » : « Crime et châtiment », « L’Idiot », « Les démons », « L’Adolescent » et « Les frères Karamazov ».
L’exposition se compose de lithographies, d’estampes et de photographies du XIXe siècle en copies numériques provenant des collections du Musée Dostoïevski et du musée littéraire de la Maison Pouchkine, à Saint-Pétersbourg.
Cette exposition permettra de découvrir au mieux l’œuvre de l’écrivain.
L’entrée est gratuite, l’inscription préalable est obligatoire à paris@rs.gov.ru.
L’entrée à l’exposition s’effectue avec le port obligatoire du masque et le respect des règles sanitaires en vigueur.
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Rencontre en ligne
avec l’acamédicien Alexandre Kouliechov
“Skolttech : formation de l’élite scientifique de Russie”
28 septembre 2021 à 16h
En français
Année des sciences et des technologies en Russie. Avant le Congrès international des mathématiciens (2022, Saint-Pétersbourg).
Rencontre en ligne avec le recteur de l’Institut des sciences et technologies de Skolkovo (Skoltech) l’académicien de l’Académie des sciences de Russie Alexandre Koulechov.
Le directeur de Skoltech, l’académicien Alexandre Koulechov parlera au public français de la science russe
Le 28 septembre à 16h00, à l’invitation de la Maison russe des sciences et de la culture à Paris aura lieu une conférence avec le membre de l’Académie des sciences de Russie, directeur de l’Institut des sciences et technologies de Skolkovo (Skoltech), mathématicien Alexandre Koulechov.
La rencontre avec l’académicien Koulechov permettra aux étudiants et aux doctorants, ainsi qu’aux administrations des universités françaises d’en savoir plus sur Skoltech. Les opportunités de formation et de stages ainsi que des modalités de coopération avec cet institut relativement récent mais déjà implanté dans le monde seront mises en lumière.
L’événement aura lieu en format hybride permettant à ceux qui préfèrent rencontrer l’académicien Koulechov de venir à la Maison russe à Paris et à ceux qui ne pourront pas venir de suivre l’événement en ligne.
Skoltech est une université russe inhabituelle, créée dans le cadre du grand projet d’innovation « Skolkovo », qui comprend un parc technologique, un fonds d’investissement et un espace éducatif. L’enseignement à Skoltech se déroule uniquement en sciences naturelles et se passe entièrement en anglais. Ses professeurs sont des meilleurs experts mondiaux. De plus, l’infrastructure scientifique de l’université étonne par l’abondance et la modernité des équipements.
En 2022, le congrès international des mathématiciens se tiendra à Saint-Pétersbourg : c’est un événement scientifique majeur et significatif à l’échelle mondiale. Ainsi, l’opportunité d’accueillir le Congrès n’est pas seulement un grand honneur pour la Russie, mais aussi une raison de reconsidérer l’approche du développement des sciences et des formations en mathématiques, de rendre hommage aux scientifiques qui contribuent énormément au développement de la société et de la technologie.
La rencontre avec l’académicien Koulechov à l’occasion de l’Année des sciences et des technologies en Russie deviendra également un évènement marquant du programme que la Maison russe à Paris envisage d’organiser à la veille du Congrès.
nommée président de l’Académie des sciences », partie 1
Jeudi 30 septembre 2021
Sur le site Web de la MRSC
En collaboration avec la radio Spoutnik et l’Agence RIA-Novosti.
En russe et en français. Traduit en français par la MRSC à Paris.
Ekaterina Romanovna Dashkova (17 mars (28), 1743, selon d’autres sources 1744 à Saint-Pétersbourg – 4 janvier (16), 1810, Moscou), née comtesse Vorontsova, devenue princesse Dashkova par mariage. Elle agrandi dans la maison de son oncle, et a reçu une éducation basée sur l’étude des langues, la danse et le dessin. Seulement par la lecture, Ekaterina est devenue l’une des femmes les plus instruites de son temps. Elle était un expert en mathématiques. Ekaterina Romanovna Dashkova est devenue la première femme au monde à diriger l’Académie des sciences en 1782 .
La princesse exerce ainsi une influence culturelle très importante en Russie et s’attache à faire venir des philosophes et hommes de sciences étrangers. Parallèlement, elle fait éditer le Dictionnaire académique à l’académie impériale, publie une lettre mensuelle et écrit deux pièces de théâtre, Le Mariage de Fabien et une comédie intitulée Toïssioko.
Elle est élue membre honoraire de l’académie royale des sciences de Suède en 1783, première femme étrangère à être ainsi distinguée et seconde après Eva Ekeblad. Elle se retire toutefois de la cour, peu avant la mort de la Grande Catherine à cause d’une tragédie qu’elle fait publier, d’aucuns l’accusent à tort d’être favorable aux principes républicains. Lorsque Paul 1er accède au trône en 1796, il défait tout ce que sa mère avait tissé. Il exile la princesse dans un village près de Novgorod.
Ses mémoires contiennent des informations précieuses sur le règne de Pierre III et le règne de Catherine II (Mémoires de la Princesse Dashkova, publié en 1840 à Londres). Ekaterina Romanovna Dashkova est devenue la première femme au monde à diriger l’Académie des sciences.
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Le Centre de Russie pour la science et la culture (CRSC)à Paris est la représentation en France de l’Agence fédérale pour la CEI, la diaspora russe à l’étranger et la coopération internationale culturelle et en sciences humaines (ROSSOTROUDNITCHESTVO). Sa vocation principale est la promotion de la culture et de la science, ainsi que l’enseignement du russe. Les Cours de russe ainsi que les stages linguistiques en Russie proposés par le CRSC sont largement connus à Paris et dans les villes de la province française. Il vient de changer d’intitulé : Maison Russe de la Science et de la Culture.
Maison russe de la science et de la culture 61 rue Boissière 75016 Paris.
Soirée d’ouverture avec un concert de musique russe du groupe “ZIMA” et un buffet de spécialités russes organisé par notre association “AMITIES RUSSES”.
Plus de renseignements sur l’association : CLIQUEZ
Zima, une rencontre orchestrée par quatre musiciens passionnés d’origine russe.
Nastassia, Youra, Tatiana et Etienne.
Créé en 2012 par Nastassiaau violon et à la guitare et Tatiana à la balalaïkaà la guitare, toutes deux chantent principalement. Le duo « Zima » est vite devenu un trio avec l’arrivée fin 2013 d’Etienne à la basse balalaïka et au chant. En 2016, la famille s’agrandit encore avec l’arrivée de Youra à la guitare, à la balalaïka alto et au chant.
Tous les quatre se connaissent bien. Ils sont très amis, leurs frères et sœurs sont amis, et leurs parents le sont également ainsi que les grands-parents… Il y a 100 ans, leurs familles quittaient la Russie en pleine révolution et ont emporté dans leurs maigres valises un riche folklore, des châles à grosses fleurs rouges, du thé noir et surtout une balalaïka. Avec elle des airs de voyages, tziganes, enflammés, un violon qui pleure et des romances russes à la fois nostalgiques et fougueuses.
Venez découvrir la nouvelle saison 2021/2022 spécialement concoctée pour vous par le service Culture de la mairie du Crès. Lors de cette soirée, vous découvrirez toute la programmation de l’Agora, de la Médiathèque et du théâtre de verdure. Il y en aura pour tous les goûts : concert, danse, cirque, théâtre… La billetterie sera ouverte ce soir là pour vous permettre d’acheter vos places en avant-première.
La présentation sera suivie d’un concert gratuit.
En raison du contexte sanitaire, l’entrée est soumise au pass sanitaire. Merci de vous munir de votre QR code, et de votre pièce d’identité. Dans la limite des places disponibles.
CONCERT GRATUIT, vous pouvez venir sans vous inscrire si vous ne venez que pour notre concert en extérieur à 20h sur le parvis de l’Agora.
L’espace Agora, située à 20 mn du centre de Montpellier est un lieu unique dédié aux manifestations professionnelles et culturelles. Cet édifice de 1300 m² mêlant modernité et matériaux naturels bénéficie de qualités acoustiques exceptionnelles et d’un confort optimal.
Accès en voiture : Par l’autoroute A9, Sortie 28 (Le Crès, Vendargues) Depuis Montpellier : Suivre l’avenue de l’Europe Stationnement : Parking gratuit devant l’Agora En tramway : Ligne 2 – Arrêt Via Domitia (direction Jacou depuis Montpellier)
À partir du 1er août, la Maison russe des sciences et de la culture à Paris invite les téléspectateurs à se familiariser avec une exposition virtuelle unique, conçue à partir des matériaux de l’exposition documentaire du Musée régional des traditions locales de Krasnoïarsk « Sibérie-France. Histoire de la relation ».
Le vernissage officiel de l’exposition a eu lieu à Krasnoïarsk le 29 avril au Musée-Domaine de Guénnadi Youdine, industriel et bibliophile russe, collectionneur de la plus grande bibliothèque privée de Russie, et a été diffusé sur le site-web de la MRSC à Paris.
Alexey Meshkov, Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la Fédération de Russie auprès de la République française, a adressé un message vidéo spécial aux invités de l’exposition.
La cérémonie s’est déroulée en présence du maire de Krasnoïarsk Sergueï Eriomine, du Consul général de la République française à Ekaterinbourg Pierre-Alain Coffinier, du directeur de la Maison russe des sciences et de la culture à Paris Konstantin Volkov et d’autres représentants officiels.
Projet interactif « Sibérie-France. Histoire de relations » se tient dans le cadre du programme officiel de l’Année croisée de la coopération décentralisée entre la Russie et la France.
L’exposition est conçue pour mettre en lumière l’histoire des relations entre la France et la province d’Ienisseï et le territoire de Krasnoïarsk, de faire découvrir le destin des Français, dont la vie a été étroitement liée à la Sibérie, et la vie des Sibériens, qui ont glorifié la région russe en France.
Le rôle de la France dans l’éducation et la formation culturelle de la Sibérie ainsi que les perspectives de développement de la coopération entre Krasnoïarsk et les régions de France sont mis en valeur.
L’exposition présente des objets et des documents de la collection muséale du Musée régional des traditions locales de Krasnoïarsk, de la collection du Musée-domaine de Vassili Sourikov et de la collection privée de Nadejda Safonova, ainsi que des objets rares des antiquaires.
En outre, il comprenait des éléments de présentation théâtrale d’expositions, de contenu médiatique et de méthodes de jeu intellectuel d’interaction avec le visiteur. L’exposition est équipée des technologies audiovisuelles accompagnant chaque section. Les spectateurs pourront entendre des lectures d’œuvres d’art par les héros thématiques de l’exposition : un requiem lyrique à la princesse Vera Obolenskaya de Viktor Astafiev, des poèmes sur la Sibérie de Piotr Dravert, etc.
« De surprenantes révélations nous attendent ! Dans le cadre de l’année croisée, nous trouvons de nouvelles opportunités de coopération, d’interaction dans différentes domaines et tout simplement de communication entre les habitants de Krasnoïarsk et les représentants de la France », a commenté l’événement à venir Inna Dozortseva, chef de département adjoint du maire de Krasnoïarsk, chef de Direction des Relations Extérieures
Musée de la Résistance de Limoges, 87000 Limoges (gratuit)
Dans le cadre de l’exposition “Goulag, Visages et Rouages d’une répression” du vendredi 2 juillet au jeudi 30 septembre 2021, vous aurez la possibilité de la visiter en avant première le 1er juillet de 18h à 18h30.
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Conférence gratuite du professeur Nicolas Werth,
jeudi 1 juillet 2021 à 18 h 30
Le Professeur Nicolas Werth, spécialiste de l’histoire soviétique, et en particulier du stalinisme, il a publié plus de vingt ouvrages sur l’histoire de l’URSS, ainsi qu’une centaine d’articles dans des revues spécialisées.
Fils du journaliste anglais Alexander Werth d’ascendance russe, le Professeur Werth est un ancien élève de l’École normale supérieure de Saint-Cloud (L SC 1970), agrégé d’histoire, il a enseigné dans le secondaire et à l’étranger (Minsk, New York, Moscou, Shanghaï). Il a occupé les fonctions d’attaché culturel auprès de l’ambassade de France à Moscou durant la perestroïka (1985-1989).
Carrière universitaire
Entré au CNRS en 1989,le Professeur Werth s’est consacré depuis son premier livre (Être communiste en URSS sous Staline, Gallimard, 1981) à l’histoire soviétique. C’est particulièrement l’histoire sociale des années 1920-1930 qui l’intéresse, notamment les rapports entre le pouvoir et la société (violence étatique, résistances sociales…).
Le Professeur Werth participe depuis 1997 au séminaire « Histoire soviétique : sources et méthodes », placé sous la direction de Wladimir Berelowitch2, du Centre d’études des mondes russe, caucasien et centre-européen (CERCEC) de l’EHESS. Il est par ailleurs membre des comités de rédaction de Vingtième Siècle. Revue d’histoire et des Cahiers du monde russe.
Le musée de la résistance de Limoges présentera au public du 2 juillet au 30 septembre 2021 l’exposition « Goulag. Visages et rouages d’une répression ». Cette exposition a été réalisée par le Musée de la Résistance de Limoges en partenariat avec le professeur Nicolas Werth, historien spécialiste de l’Union soviétique, le Musée de la résistance et de la déportation de l’Isère – Maison des Droits de l’homme (Grenoble), le Mémorial de Moscou, l’Association Ouralpes et le Centre Mémorial de répression politique Perm-36 (Moscou). Le musée de la résistance de Limoges, en tant que musée d’histoire du XXème siècle, souhaite ouvrir cette page d’histoire, vilipendée par les uns au sein de la population française ou niée par les autres. Ce moment historique appartient à l’Europe et les chiffres sont éloquents. Durant la période stalinienne, – de la fin des années 190 au début des années 1950, vingt-cinq millions de Soviétiques et plus d’un million d’étrangers sont passés par les « camps de travail correctif » ou les « villages spéciaux de peuplement » du Goulag. Quatre millions de détenus et de déportés, de toutes conditions sociales et de toutes générations, sont morts au cours de cette période. La répression du corps social s’est fortement atténuée après la mort de Staline, sans pour autant disparaître. Cette exposition a été rendue possible parce qu’il y a eu une ouverture progressive des archives soviétiques à la chute de l’URSS en 1991. Cette porte entrebâillée a permis à des historiens d’étudier le système des camps. Avec la venue puis l’installation de Vladimir Poutine au pouvoir, la donne a changé. Petit à petit, les portes se sont fermées, les historiens sont devenus persona non grata aujourd’hui.
Dans le cadre de cette exposition, les visiteurs pourront découvrir des objets et documents prêtés par le Mémorial de Moscou, témoignages de la vie quotidienne dans les camps.
Ouverture de l’exposition au public vendredi 2 juillet à 18h30 en présence de Madame Irina Galkova, Directrice du mémorial de Moscou.
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Musée de la Résistance 7 rue Neuve-Saint-Etienne, 87000, Limoges
Tél. : 05 55 45 84 44
Horaires : tous les jours sauf le mardi, de 10h à 18h.
Les acteurs russes et leurs spectacles prévus au Festival d’Avignon sont empêchés de venir.
Ce Festival OFF d’Avignon destiné aux Théâtres russes :
19 acteurs russes qui devaient montrer leurs spectacles dans le cadre du festival d’Avignon et de l’année franco-russe 2021 sont empêchés de venir pour raisons sanitaires. (Voir programme prévu : CLIQUEZ )
La Russie est classée en zone rouge par la France, depuis la résurgence d’une nouvelle vague dans le pays et l’entrée en France est strictement limitée “aux motifs impérieux“.
Le festival d’Avignon déjà annulé l’année dernière, était prévu de longue date, pour 2021. Les voyageurs doivent présenter des résultats de tests et accepter un isolement de 7 jours ou 10 jours et être vaccinés d’un vaccin “reconnu par l’EMA“, l’association médicale européenne de l’UE Et c’est là que le bât blesse, car les vaccins russes ne sont pas reconnus par l’EMA.
8 JUIL. 2021 — Après plusieurs mois sans réponse, la nouvelle équipe du Conservatoire Rachmaninoff a enfin reçu la confirmation de la Mairie de Paris que l’activité du Conservatoire pourra se maintenir dans le bâtiment historique du 26 Avenue de New York.
Pour Monsieur Emmanuel Grégoire et Madame Carine Rolland, adjoints de Madame Anne Hidalgo en charge de l’urbanisme et de la culture, « la Ville de Paris n’entendait aucunement remettre en question l’activité artistique et culturelle du conservatoire sur ce site ».
La confirmation de cette décision positive a été validée à l’unanimité en Conseil de Paris, le 7 Juillet 2021, suite au vœu émis par Madame Béatrice Lecouturier, élue du XVIème arrondissement, Conseillère de Paris, Vice-Présidente de la Commission Culture au Conseil de Paris et Conseillère Régionale.
La Direction du Conservatoire remercie tous ceux qui se sont mobilisés à ses côtés pour rappeler ou faire connaître aux élus de la ville de Paris l’importance du Conservatoire Rachmaninoff.
Merci aux vous tous qui avez signé la pétition. (Voir pétition)
Merci à tous les artistes français et internationaux qui nous ont apporté leurs témoignages de soutien.
Merci à Madame Béatrice Lecouturier qui, grâce à son vœu, a fait valider à l’unanimité, par le Conseil de Paris, l’importance de maintenir l’activité du Conservatoire dans ses locaux historiques.
Merci à l’appui sans réserve de Monsieur Francis Szpiner, Maire du 16ème arrondissement dans lequel le Conservatoire est localisé et à Madame Aurélie Pirillo, élue du XVIème arrondissement et Conseillère de Paris.
Merci à Monsieur Emmanuel Grégoire, Madame Carine Rolland et ses équipes d’avoir écouté et pris en compte le sérieux de la nouvelle équipe et les attentes de nombreux parisien(ne)s.
Merci pour Paris, pour la culture, pour les artistes, pour les élèves, pour le Conservatoire Rachmaninoff.
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Conservatoire Rachmaninoff 26 Avenue de New York, 75116 Paris, France
Tél : 01 47 23 51 44
Plaus de renseignements sur la conservatoire : CLIQUEZ
Depuis début avril, une exposition unique est montée dans les locaux de la Maison russe des sciences et de la culture à Paris à l’occasion du 60e anniversaire du premier vol habité dans l’espace, réalisé par notre remarquable compatriote Youri Gagarine.
L’exposition présente une collection originale de timbres russes et français consacrée aux principales étapes et réalisations spatiales de la période 1957–2017. Les raretés ont été mises à disposition par le Club russo-français des philatélistes, fondé en 1952.
En outre, dans le cadre de l’exposition sont présentées des affiches thématiques, colorées et informatives, une édition réimprimée du journal « Izvestia » qui annonçait le vol historique de Youri Gagarine le 12 avril 1961, une authentique uniforme spatiale et même une lettre originale d’un célèbre musicien français, créateur et leader du groupe français « Space » Didier Marouani avec une demande d’envoyer son CD légendaire avec de la musique spatiale à la station russe « Mir ».
La place centrale de l’exposition est occupée par une collection de 101 écussons authentiques se portant sur des combinaisons spatiales et représentant des emblèmes de tous les équipages spatiaux russes et internationaux de 2009 jusqu’aux participants du vol qui a eu lieu le 9 avril de cette année sur le vaisseau spatial baptisé du nom de Gagarine.
Les insignes de missions spatiales exposés ont été aimablement mises à disposition par le collectionneur d’objets liés à la conquête de l’espace, directeur général de la société « Starsem » Viktor Nikolaev.
La conception de l’emblème est un processus complexe dans lequel les cosmonautes eux-mêmes sont directement impliqués. Ils proposent des idées, partagent leurs pensées et leurs émotions avec des artistes et demandent parfois d’y rajouter quelque chose de spécial, d’important pour eux. Les experts évaluent les possibilités d’exécution technique des éléments de broderie, après quoi des artistes professionnels créent plusieurs versions de l’emblème, dont l’une est approuvée par le corps des cosmonautes.
Chaque détail de l’insigne compte. Par exemple, l’emblème de l’équipage du vaisseau spatial Soyouz MS-17, qui s’est rendu dans l’espace en octobre 2020, est de forme ronde, symbolisant notre planète Terre et sa perfection. Le contour bleu de l’emblème et la bande droite qui le traverse ressemblent clairement à la lettre russe « Ф » (« F »), qui signifie l’indicatif d’appel de l’équipage — « Favor ». La partie intérieure de l’emblème représente une section de la surface de la Terre, symbolisant le respect de notre planète et la gratitude envers la terre natale — nourrissante, inspirante, soutenante et donnant de la force.
Au bas de l’emblème se trouve l’inscription « Baïkonour », symbolisant le lien de l’équipage du vaisseau spatial habité Soyouz MS-17 avec le cosmodrome historique.
Au sommet de l’emblème se situe la présentation de la Station spatiale internationale, et ses panneaux solaires ont la forme du chiffre romain XX, symbolisant le 20e anniversaire du vol habité de l’ISS.
Au centre de la composition, au-dessus du lanceur Soyouz-2.1a, se trouve une source de lumière qui illumine la planète et les membres de l’équipage international, dont les noms sont situés le long de la bordure de l’emblème.
L’exploration spatiale est une entreprise risquée et extrêmement complexe qui nécessite l’investissement de toutes les forces psychiques et les émotions intérieures des spationautes. C’est pourquoi les symboles et les traditions sont si proches de leur cœur, c’est pourquoi tant d’attention est accordée à des détails apparemment insignifiants. Et c’est pourquoi chaque emblème, qui est aujourd’hui présenté à l’attention des visiteurs, incarne une partie de l’histoire de cosmonautique, de la grande réalisation de la civilisation humaine.
Pendant la période de restrictions sanitaires et épidémiologiques, l’exposition sera ouverte à la consultation individuelle (à partir du 14 avril).
Après l’ouverture des institutions culturelles en France, la Maison russe pourra recevoir des demandes de visites individuelles et de groupe, y compris des établissements d’enseignement et de formation de Paris et d’autres régions de France.
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Festival de musique
La Musique ouvre les Frontières
Concert en ligne
« Salon russe dans la Maison Benois »
Vendredi 2 juillet 2021 de 18 h à 19 h 30
Concert en ligne « Salon russe dans la Maison Benois »
Festival de musique « La musique ouvre les frontières ».
Au programme : des airs et des romances de Charles Gounod, de Ruggero Leoncavallo, de Pietro Mascagni, de Giacomo Puccini, d’Alexandre Dubuque, d’Alexandre Borodine, d’Alexandre Gretchaninov, d’Arthur Rubinstein, de Piotr Tchaïkovski, de Sergueï Rachmaninov, de Sergueï Prokofiev, de Reinhold Glière, ainsi que des œuvres lyriques de poètes européens et russes.
Au piano Larissa Gabitova, directrice artistique et chef d’orchestre de Gabbiano Orchestra. En tant que chef d’orchestre, elle a représenté la Russie parmi six chefs d’orchestre européens au Festival « Belaïa siren’ » avec l’Orchestre symphonique d’État de la République du Tatarstan sous la direction artistique d’Alexandre Sladkovski, clôturant le festival avec les lauréats du concours Piotr Tchaïkovski et du grand prix « Grand Piano Competition ».
Victor Korotich (baryton), Artiste émérite de la République d’Ossétie du Nord – Alanie, Lauréat du Prix de l’Opéra nationale « Onéguine » et du Prix du théâtre le plus élevé de Saint-Pétersbourg « Soffite d’or ».
Le concert en ligne sera organisé dans un ancien appartement-musée de Léon Benois, éminent architecte russe, urbaniste de Saint-Pétersbourg et recteur de l’Académie des Arts. Les descendants de sa famille y vivent toujours.
L’appartement familial a conservé les intérieurs historiques du bureau de Léon Benois et de son épouse, une salle de concert avec piano, harmonium et harpe, une salle à manger. Meubles authentiques, tableaux, ameublement restituent l’atmosphère de la vie d’un grand travailleur et d’un heureux père de famille nombreuse. « Une maison vivante et un appartement vivant » — c’est ainsi que les descendants de Léon Benois appellent ce lieu natal pour eux.
Visite guidée : Anastasia Benois, l’arrière-arrière-petite-fille de l’architecte.
L’auteur du projet est Stella Kalinina, présidente de l’association française « Stella Art International ».
Christelle Loury porte la chanson française de New York jusqu’en Russie.
Auteure-compositrice-interprète, Christelle Loury rend hommage aux grands noms de la chanson française dans le monde. Seule en scène ou accompagnée par ses musiciens, elle se produit dans 4 spectacles qu’elle a écrits et mis en scène. En 2012, Christelle Loury rend un vibrant hommage à Edith Piaf qui la propulse sur la scène internationale (Ukraine, New York, Pologne, Belgique, Monaco) et c’est en Russie qu’elle se produit le plus avec une 6ème tournée en 2019. Jean-Christophe Kotsiras l’accompagnera au piano.
Entrée libre. Nombre de places limité.
La pré-inscription est obligatoire (crsc.paris@crsc.fr).
L’accès à la salle de musique de la MRSC s’effectuera selon un protocole sanitaire en vigueur : le port obligatoire du masque dans tous les locaux de la Maison et le strict respect de la distanciation sanitaire.
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Entretien en ligne
Ioulia Peressild
Comédienne d’une nouvelle génération
Mercredi 14 juillet 2021 à 19 h
En russe et en français.
Ioulia Sergueïevna Peressild (Юлия Сергеевна Пересильд), née le 5 septembre 1984 à Pskov, actrice de cinéma.
Après avoir obtenu son diplôme d’études secondaires, elle a rejoint la faculté de philologie russe de l’Institut pédagogique de Pskov, en 2006, elle est diplômée de l’Académie russe des arts du théâtre. Depuis 2003, elle est apparue dans plus de 30 films et depuis 2007, elle est l’une des actrices de premier plan du Théâtre des Nations.
Elle sera membre de l’équipage de Soyouz MS-19 en octobre 2021 . Elle devrait participer au premier film réalisé dans la sation spatiale internationale avec le réalisateur Klim Chipenko, portant le titre provisoire “Challenge”. Elle retournera sur terre à bord de Soyouz MS-18. Elle a reçu de nombreux prix et récompences, le Prix de la meilleure actrice lors de la 14ème cérémonie des Aigles d’Or dans le film Résistance de Lioudmila Palitchenko (2015).
Le chef d’orchestre et pianiste Andreï Chevtchouc, né à Saint-Pétersbourg en 1970. Après une solide formation de chef d’orchestre et de chef de chœur, Andreï Chevtchouk exerce ses fonctions en Russie, en Allemagne, en Belgique, puis en France où il réside actuellement.
Elena Rakova est née en Russie où elle a suivi une formation de guitariste classique et de chanteuse, Elena s’installe à Paris en 2002. Elle y travaille la technique vocale auprès d’Eva Saurova et Sylvie Sullé. Elle rencontre Michel Sénéchal et Agnès Mellon qui l’aident dans l’interprétation du répertoire français et dans la prosodie de la langue française. Elena Rakova tient divers rôles dans des œuvres telles que Didon et 1ère Sorcière de “Didon & Enée”, 2nd Fairy et 2nd Woman dans “The Fairy Queen” de Purcell, ainsi que le rôle de 3ème dame dans “La flûte enchantée” de Mozart et al. Elle chante régulièrement dans les oratorios (alto solo) avec le quatuor “Dimitri” ainsi qu’avec diverses orchestres baroques. En 2011 la mezzo-soprano interprète les rôles de Caecila et de Historicus dans “Caecilia virgo et martyr” de Charpentier sous la direction de Michel Laplénie et l’orchestre baroque de l’Académie du Périgord Noir. Elena Rakova a été sélectionnée pour interpréter le rôle de l’Architecture dans “Les Arts Florissants” de Charpentier dans le cadre de la formation professionnelle “La Pépinière des Voix”, parrainée par William Christie. Lauréate du concours de chant lyrique “Tenore Claudio Barbieri” en Italie en 2013, Elena Rakova interprète le rôle de Maddalena et Giovanna dans “Rigoletto” en Italie..
Antoine Trouvé, jeune violoncelliste de 22 ans, il fut découvert en 2015 lors de son premier concert à Saint-Sulpice d’Excideuil. Il dirige le festival international de violoncelle de Beauvais depuis quelques années.
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Projection du film
“ALBATROS, les Russes blancs à Paris “
d’Alexandre Moix
Jeudi 15 juillet 2021 à 19 h
Salle de cinéma de la MRSC, 75116 Paris.
Dans la nuit du 8 février 1920, à Yalta, au sud de la Russie, un groupe de cinéastes russes embarque clandestinement sur un cargo en partance pour la France. Ce sont des Russes Blancs qui fuient la terreur bolchévique. Ils sont producteurs de cinéma, réalisateurs, acteurs, actrices, scénaristes, cameramen, décorateurs, costumiers… A leur arrivée, ils s’installent à Montreuil près de Paris, dans un studio désaffecté appartenant à la société Pathé. Chassés de leur pays, ces hommes et ces femmes se regroupent et se réconfortent dans la chaleur de leurs âmes russes. Pour se reconstruire, ils vont devoir s’affranchir de leur identité d’origine, trouver la force de s’ouvrir à une nouvelle culture, l’embrasser et se faire adopter par un autre pays : la France.
Alexandre Moix, écrivain, journaliste et réalisateur français, né en 1972 à Orléans,frère cadet du chroniqueur Yann Moix, après un bac C des études de médecine et un licence ès lettres à la Sorbonne, il se tourne vers les journalismes. Il est directeur de la Sciences et Avenir chez Hachette puis il collabi-ore au Nouvel Observateur et se spécilise dans les films en noir et blanc. Il réalise en 2003 “Patrick Deware, l’enfant du siècle”, en 2005 “La ballade de Faitbanks”, ….. en 2014 ” François Truffaut, l’insoumis ” …. et en 2017 “Albatros, les russes blancs en exil” avec Lenny Borger, Françoise Navailh, Andreï Korliakov, Alexandre Jevakhoff, la voix de Macha Meril….
INSCRIPTION OBLIGATOIRE : crsc.paris@crsc.fr
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Projection du film
” DONBASS “
d’Anne-Laure Borel
Jeudi 22 juillet 2021
sur le site de MCRSC
La guerre oubliée, le documentaire choc. Un film de Anne-Laure Bonnel. Une production «Les films de Sacha». Image Anne-Laure Bonnet. Montage Paul Pirritano. Son Gabriel Mathé. Etalonnage Jade de Brito. Post-production Film Factory. Production déléguée Les films de Sacha, produit par Alexandre Bonnardieu.
Anne-Laure Bonnel, reporter de guerre, directrice de projets audiovisuels, photojournaliste, en 2015, alertée sur le conflit armé russo-ukrainien à l’Est de l’Ukraine, Anne-Laure Bonnel part dans la région du Donbass. Elle en revient avec des images aussi rares que terribles, rassemblées dans un film documentaire témoignant des atrocités de la guerre sur les populations civiles.
Anne-Laure Bonnel, jeune réalisatrice et mère de famille française, décide d’accompagner Alexandre, un père de famille d’origine ukrainienne, dans la région du Donbass, à l’est de l’Ukraine en zone pro-russe. Au cœur de la guerre, elle capte les images terribles d’un conflit meurtrier et d’un désastre humanitaire sans précédent. Donbass est un road-movie immersif, un film documentaire saisissant dans un pays déchiré. Filmer la guerre, ce n’est pas filmer les combats. Si la guerre est un spectacle, on a souvent tendance à oublier ce qui s’y trouve autour. Dans son hors-champs, des populations entières essaient de vivre ou plutôt de survivre. Donbass leur donne la parole. À travers son documentaire, Anne-Laure Bonnel se penche sur le conflit dans son universalité et filme cet “à côté” qu’on ne nous montre pas assez.
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Dans le cadre du cycle de la littérature Russe et la France
Entretien en ligne avec
Victor EROFEEV
Pouchkine : les derniers jours
Mercredi 30 juillet à 18h (heure de Paris)
Sur YouTube (en français): CLIQUEZ Sur YouTube (en russe) : CLIQUEZ
Qui est responsable du duel entre Pouchkine et Dantès ? Mieux vaut demander : qui n’est pas à blâmer ? Amour mutuel du Français et de Natalie. Le personnage jaloux de Pouchkine, pour qui le coureur de jupons français est devenu sa propre caricature dans sa jeunesse. Des amis qui ont tourné le dos au poète, à l’exception de Joukovski. Lumière supérieure hostile. Tout a inévitablement conduit à la tragédie …
La Maison russe de la science et de la culture à Paris présente au public la deuxième partie du quatrième numéro du cycle d’auteurs du célèbre écrivain et critique littéraire Viktor Erofeev.
Une série de podcasts consacrés à la littérature russe ont été publiés en Russie avec un grand succès sur la plateforme web de radio Spoutnik et sous les auspices de RIA Novosti. Le RDNK à Paris a préparé une version française du cycle pour ses auditeurs. Il y avait des podcasts spécialement sélectionnés couvrant la vie et la contribution au développement de la littérature d’éminents éducateurs, écrivains et hommes politiques russes, dont les activités étaient d’une manière ou d’une autre liées à la fois à la Russie et à la France.
Dans le projet Conspiracy of Classics, nous parlons d’un phénomène culturel unique – la renaissance littéraire russe. En termes d’importance, il n’est pas inférieur à la Renaissance italienne. Nos classiques, du milieu du XVIIIe siècle à nos jours, ont créé un système de valeurs d’importance mondiale, ont ouvert la Russie sur le monde. “Les nouvelles de notre côté nous sont chères”, a écrit Derjavin, “de la Patrie et la fumée nous est douce et agréable”. Enfin, nos écrivains ont aidé, comme le disait Dostoïevski, « à trouver une personne dans une personne ». Définissons leurs recherches et découvertes.
Viktor Erofeev, un classique moderne de la littérature mondiale, veut répéter l’exploit de Mendeleev – créer un tableau périodique, mais pas des éléments chimiques, mais des écrivains et des poètes russes.
Le texte de l’auteur du podcast traduit par le RDNK à Paris et ses propres ajouts littéraires pour l’édition Pouchkine ont été enregistrés par la célèbre actrice française Anne Lefol.
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Exposition de photos
Yaroslav – Poitiers 50ans d’amitié
Lundi 19 juillet au mardi 31 août 2021
Salles d’expositions de la MRSC
Horaires de 9 h à 19 h.
Dans le cadre de l’Année croisée de la coopération décentralisée ‘Russie-France’. 19 juillet – 31 août Exposition photo “50 ans d’amitié : Yaroslavl – Poitiers” Galerie photo de deux villes liées par des relations de jumelage d’un demi-siècle, leur héritage historique dans le contexte culturel contemporain 19 juillet | 19:00 Présentation ‘ Yaroslavl, une perle contemporaine de l’Anneau d’Or de Russie ‘ Sur la ville comme l’un des centres les plus prisés du circuit touristique ‘ L’Anneau d’Or de Russie ‘ et ses sites les plus intéressants. En russe et en français.
Le Jumelage de Iaroslavl et Poitiers célèbre ses 50 ans
En 1970, aux derniers jours du mois d’août, une délégation de Poitiers est venue à Iaroslavl, à la suite d’un échange de lettres entre le Maire de Poitiers Pierre Vertadier, le Président du Comité exécutif du Conseil municipal de Iaroslavl Iouri Kirillov, l’Ambassadeur de Russie, le Ministre de l’Intérieur de France, le Président du Comité « France – URSS » de Poitiers Michel Bloch. La ville russe et ses habitants ont enchanté les Poitevins, c’était les débuts d’une nouvelle amitié. Un an plus tard, la pemière délégation de Iaroslavl a fait sa visite à Poitiers, et, le 19 juillet 1971, le protocole entre les deux villes a été signé consacrant leur jumelage.
De nombreux échanges – scolaires, universitaires, culturels — ont marqué la période de 50 ans suivant la signature.
Le 14 juillet 2001, la Maison de l’Amitié Iaroslavl-Poitiers a ouvert ses portes. Aujourd’hui, outre ses fonctions de centre francophone, elle abrite l’Office du tourisme de Iaroslavl. Au cours du dernier demi-siècle, la ville de Iaroslavl a accueilli plusieurs personnes francophones célèbres, dont les Ambassadeurs de France en Russie Jean de Glianiasty et Jean-Maurice Ripert.
En 2020, à l’occasion de la célébration du Jubilé des cinquante ans du jumelage Iaroslavl-Poitiers, nos deux villes ont déroulé une série des conférences, jeux-concours, expositions photos, tout en attendant le moment de redynamiser des échanges et ouvrir de nouvelles perspectives.
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Le Centre de Russie pour la science et la culture (CRSC) à Paris est la représentation en France de l’Agence fédérale pour la CEI, la diaspora russe à l’étranger et la coopération internationale culturelle et en sciences humaines (ROSSOTROUDNITCHESTVO). Sa vocation principale est la promotion de la culture et de la science, ainsi que l’enseignement du russe. Les Cours de russe ainsi que les stages linguistiques en Russie proposés par le CRSC sont largement connus à Paris et dans les villes de la province française. Il vient de changer d’intitulé : Maison Russe de la Science et de la Culture.
Centre de Russie pour la Science et la Culture 61 rue Boissière, 75116 Paris Tél : 01 44 34 79 79
au Festival Les Traversées Tatihou, Saint-Vaast-la-Hougue (50)
Depuis l’âge de 16 ans, je travaille sans interruption. J’ai été violon solo, secrétaire, méthodologiste, vendeuse des matériaux de construction, des ordinateurs, travaillait dans des agences de publicité … Tout cela a été une expérience inestimable dans de nombreux domaines. Je ne suis devenu un oiseau chanteur libre qu’après 28 ans. À mes risques et périls, j’ai quitté un emploi stable à Iakoutsk, j’ ai chanté et joué lors de mariages, d’anniversaires et de fêtes d’entreprise, dans des boîtes de nuit. Je remercie Dieu, l’Univers, les esprits, la Nature et tous les êtres vivants qui étaient et seront sur mon Chemin, je peux donner quelque chose à chacun de vous, je peux obtenir quelque chose de chacun de vous, ainsi affiner et améliorer, vous fortifier et vous réaliser de plus en plus loin… Que l’Amour et la Gratitude illuminent votre Chemin .
Oléna Uutai, femme louve blanche de Yakoukie en Sibérie. vous enchantera de sa présence avec le chant rituel Algys (bénédiction), pour nous révéler les secrets de la mémoire génétique qui va avec les vibrations anciennes de la guimbarde et du tambour chamanique mêlés aux chants des oiseaux sacrés et des voix des animaux totems qui vous remplirons d’une énergie nouvelle et restituerons l’harmonie de l’âme. Dans ses performances, elle utilise plusieurs styles de chant guttural, en expérimentant des combinaisons de sons authentiques de vargan et de voix folkloriques avec des genres et des directions variés de la musique méditative archaïque à la danse transe électronique. La principale caractéristique de la créativité musicale sous le signe “Utay”, elle détermine l’utilisation obligatoire, en musique, des sons que la Nature produits par sa voix et avec l’aide de khomus.
Elle créé et elle improvise, le plus souvent inspirée par la voix des oiseaux, des animaux, et les bruits de la nature.
Réservation pour GUICHEN (35580) sud de Rennes : Prix d’une soirée : 75 euros Les places sont limitées mais 2 soirées possibles : Dimanche 15 Août de 17h30 à 20h, lundi 16 Août de 18h30 à 21h. ** Nombre de places limitées, réseravtion est obligatoire ** Arrhes demandées pour valider l’inscription Contact : Tatiana 06 60 29 75 73 ALTAN ART : http://altan-art.com
Réservation Chez Babouchka Merignac (33281) Mercredi 18 et jeudi 19 août Tél : 06 20 17 83 07 ALTAN ART : http://altan-art.com
Réservation Festival Les Traversées Tatihou, Saint-Vaast-la-Hougue (50050) Samedi 21 h à 15 h, Lundi 23 à 14 h 45 Tarifs : 20€ et 11€ Réservation: 02 33 05 99 14 Renseignements sur le Festival : CLIQUEZ
Réalisation: Karen Chakhanazarov en 1983 Distribution : Nikolaï Averiouchkine (Georgy Ryabov violon batterie), Borislav Brondoukov, Piotr Chtcherbakov (Ivan Ivanivitch Bavurin saxophone), Larissa Dolina, Evgueni Evstigneev (Papa voleur en droit), Leonid Kouravliov (Samsonov chef de l’association des musiciens), Aleksandre Pankratov-Tcherny (Stepan Arkadyevich Grushko banjo, trompette), Igor Skliar (Kostia ivanov piano), Elena Tsyplakova (Katia Bobrova la pop star Isabella Fox), Youri Vassiliev (Orlov leader et chef de l’orchestre de jazz). Genres : Comédie, Musical Nationalité : russe. Durée : 90 mn Version : VOSTF (version originale sous-titres français)
Un jeune groupe de jazz transforme la grise réalité soviétique des années 1920. Un jeune pianiste, Kostia Ivanov, passe un concours devant les membres du Conservatoire d’Odessa, qui jugent sévèrement sa musique de jazz : en ces années vingt, au lendemain de la Révolution, une telle forme musicale est vite taxée de décadente et bourgeoise. Kostia entend pourtant parvenir à imposer aux soviétiques cette musique venue d’Amérique. Il décide de former un jazz-band et colle des affiches par lesquelles il demande à tous les fanatiques du jazz de le rejoindre afin de former un groupe.
Karen Shakhnazarov réalisateur russe qui a souvent scénarisé et produit lui-même ses films. Il est né le 8 juillet 1952 à Krasnodar, alors en Union soviétique, sa carrière commence en 1984, date de son premier long métrage: Nous sommes du Jazz, à aujourd’hui, LeTigre blanc en 2012, est hélas très méconnue en France. L’empire perdu (The Vanished Empire) a obtenu le prix de l’Aigle d’Or pour la meilleure réalisation en 2009 en Russie.
Karen n’est pas seulement réalisateur de films, il est aussi directeur des importants studios Mosfilm. Les studios Mosfilm ont produit de grands classiques du cinéma russe tels que Le cuirassé Potemkine (1925) ou bien Requiem pour un massacre (1985)
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Théâtre Alexandre III, 19 boulevard Alexandre III, Cannes.
19ème édition du Festival Vent d’Est dé dié à la Culture Slave
XIème Stage ” Chœur des Cîmes “
avec Véronika Bulycheva
Lundi 9 au samedi 14 août 2021
La Rozière, 1850 m.,, (Savoie)
Depuis 18 ans le festival Vent d’Est se veut lieu de rencontres de l’identité savoyarde avec la culture des pays de l’Est. Chaque été une cinquantaine d’artistes majoritairement venus de Russie et d’Ukraine sont accueillis sur le principe de l’échange: les artistes, invités de l’association ne reçoivent pas de cachet, mais leur voyage, ainsi que l’intégralité de leur séjour, sont totalement pris en charge par l’association locale Maslinitsa.
Véronika Bulycheva, comme chaque année, depuis l’an 2009, organise le stage de chant choral russe “Chœur des Cimes” à La Rosière en Savoie dans le cadre du festival « Vent d’Est ». Cette année c’est la 11e édition du stage qu’aura lieu de 9 à 14 août 2021. Je vous invite à rejoindre cette ambiance franco-russe dans un cadre unique – station de ski en été, à 1850m d’altitude.
Véronika Bulycheva est née d’un père russe et d’une mère oumourte dans un petit village de l’Oural en Russie. A 15 ans, commencez les études musicales au lycée de Votkinsk, la ville natale de Piotr Illytch Tchaikovski: elle étudie l’accordéon, le chant lyrique, la direction de chœur et la direction d’orchestre.
En 1989, elle était entre l’Académie des Arts de Saint-Pétersbourg et elle convenait à un cours de guitare jazz et apprend la composition. Ses études achevées, fort de ses plus belles expériences de sa scène et confiante dans son talent, elle quitte Saint-Pétersbourg en 1992 pour Paris. .
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Public La chorale est destinée aux Français qui étudient le russe, tout autant qu’aux russophones, ou qu’à toute personne qui s’intéresse à la culture russe en général. Le fait de chanter en russe permet d’approcher la langue étrangère de plus près et de travailler sur l’accentuation et la prononciation.
Il n’est pas nécessaire de connaître le solfège pour participer. Sont bienvenues toutes les personnes qui ont envie d’apprendre à chanter, qui aiment chanter, qui n’osent pas chanter, qui pensent que le chant pourrait leur faire du bien ou contribuer à leur apprentissage de la langue et de la culture russes ! Effectif : minimum 12, maximum 24 participants.
Programme Technique vocale quotidienne, collective et individuelle. Spécificité du chant en langue russe, le chant académique et traditionnelle. Travail sur la posture, le souffle, la détente et la coordination musculaire, la résonance, la respiration. Apprendre à s’accorder à l’unisson, former un accord musical à 2 et 3 voix, la diction et l’harmonisation, exploration des différents tempi : régularité, accélération, ralentissement. Préparation de 2 ou 3 chansons et représentation sur scène à la fin du stage.
Hébergement – Vous souhaitez partager l’appartement dans un chalet avec d’autres stagiaires (apps. 8/12 personnes, chambres pour 2/pers. avec salle de bain et wc privatifs, séjour + cuisine communes) – Vous souhaitez gérer vous-même : centrale de réservation de la Rosière Restauration : à charge de participants (possibilité de cuisiner dans l’appartement)
✓ Formulaire d’inscription : en ligne ✓ Télécharger le formulaire : pdf
Pour avoir l’idée du lieu de stage, venez voir les vidéos et photos, ainsi que lire les témoignages sur le site : parijevsk.wordpress.com
Accès par le train : Gare de Bourg St Maurice à 20 km du village. Accés par la route : Autoroute jusqu’à Albertville. Voie rapide jusqu’à Moutiers. Route nationale (RN 90) jusqu’à Bourg Saint Maurice. Puis accès station rapide à La Rosière par la route départementale (RD 1090) en direction du Col du Petit-Saint-Bernard et de l’Italie.
Alexandre Serebriakoff est un artiste, décorateur et aquarelliste russe. Né en 1907 dans le village de Neskuchnoie près de Kharkov, décédé à Paris en 1994. Alexandre est né dans une famille d’artistes. Sa mère, Zinaïda Serebriakova, est la première femme en Russie à être reconnue comme artiste.
Alexandre Sérebriakov étudiant, par sa mère Zinaïda Sérebriakova, Paris 1922
Alexander était le deuxième fils de Zinaïda et Boris Serebriakoff Deux ans après la révolution d’octobre, le mari de Zinaïda Serebriakova est mort, la laissant avec quatre enfants sans argent et elle a été forcée de quitter la Russie pour la France. Alexandre a suivi sa mère à Paris en 1925. Alexandre Serebriakoff a peint principalement des intérieurs, affichant dans ses peintures des preuves détaillées de décorations et de célébrations de la haute société française. Il était l’une des plus belles aquarelles d’intérieur pour son sens unique du détail, de la lumière et du volume.
Place des Vosges, Paris 1926
Quai Henri VI, Paris 1940
Atelier de Sergeï Ivanov, Paris 1944
Intérieur de l’appartement d’Alexandre Popoff, Paris 1945
Façade Galerie Popov & C°, Paris 1946
Il y a aussi le catalogue Patrick Mauries – un livre illustré en français et en italien avec de brèves explications sur les intérieurs luxuriants.
Entrée gratuite.
Centre spirituel et culturel orthodoxe russe
1, quai Branly, 75007, Paris
Horaires : mardi – dimanche 14 h – 19 h (Fermé le lundi)
Métro : Alma Marceau, RER : Pont de l’Alma
On vous rappelle que le port de masque est obligatoire et la distanciation sociale doit être respectée tout au long de l’évènement
Mardi 1er juin, de 11h à 18h & mercredi 2 juin, de 11h à 12h
Au programme de la vente : Icônes, Archéologie chrétienne, Souverains, Monnaies, Noblesse & diplomatie, Villes et palais impériaux, Argenterie, coffrets & objets, Peintres, danseuses & poètes, Livres pour enfants, Livres d’illustrateurs et Livres de texte.
EXTRAITS DU CATALOGUE :
Lot 2 : Notre-Dame de tendresse. Russie, XIXe siècle. Tempera sur bois ; voile de fils d’argent orné de perles d’eau douce et de cabochons en verre teinté ; oklad en alliage cuivreux repoussé ; auréole en laiton. Quelques manques de peinture sous l’oklad.
Икона Божией Матери “Умиление”. Россия, XIX в. Дерево, темпера, серебряная нить, речной жемчуг; оклад: медь; венец : латунь. Потери красочного слоя.
Estimation : 200 / 300
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LOT 5 : Le Christ bénissant. Moscou, 1890. Tempera sur bois. 31 x 26 cm. Riza-oklad d’argent ciselé ; auréole et écoinçons en émaux cloisonnés. 1890, Moscou. Deux renforts angulaires.
Икона Господь Вседержитель. Россия, Москва, 1890. Дерево, темпера, 31 х 26 см. Оклад: серебро, эмаль. Клейма: 84, Москвы, пробирного мастера А•А, года 1890, мастера К.З.
Estimation : 1 500 / 2 000 €
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LOT 35 : Croix en argent ciselé et émaux bleu-ciel, portant symboles, inscriptions et motifs. XVIIIe s. 5,5 х 3,5 cm. Poids : 11,6 g.
Крест. XVIII в. Серебро, эмаль. 5,5 х 3,5 см.
Estimation : 400 / 600 €
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LOT 47 : Ensemble de douze croix, dont trois en argent, les autres en bronze. XIe-XVIIIe s. Poids des trois croix en argent : 5,6 g.
Двенадцать крестов, из которых три серебряных, остальные – бронзовые. XI-XVIII вв.
Estimation : 200 / 300 €
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LOT 67 : Grande-duchesse Marie Féodorovna. Médaille commémorative du couronnement de l’empereur Paul 1er. Saint Pétersbourg, 1797. Argent. Diamètre 6,5 cm. Poids : 137,9 g.
Великая Княгиня Мария Федоровна. Памятная медаль по случаю коронации Императора Павла I. Санкт-Петербург. 1797. Серебро, 6,5 см. Внизу под изображением: МАРIЯ. Р./ 1797. Г.
Estimation : 1 200 /1 500 €
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LOT 85 : École russe. Portrait en buste du jeune empereur Alexandre Ier, vêtu du grand uniforme vert et aborant le cordon de l’ordre de Saint André. Vers 1801-1805. Miniature ovale sur ivoire. 4,5 x 3,5 cm. Dans un cadre en bronze. Alexandre Pavlovitch est représenté en pleine jeunesse ; son regard d’un bleu intense, tourné vers nous, manifeste sa personalité d’exception quoique non encore entièrement affirmée ; il porte toujours son ample chevelure, que les ans ne tarderont pas à effeuiller… Les portraits d’Alexandre jeune sont très rares.
Русская школа. Портрет молодого Императора Александра I. 1801-1805. Миниатюра на кости. 4,5 х 3,5 см. В бронзовой раме. Император представлен с лентой и звездой Ордена Святого Андрея Первозванного. Редкое изображение молодого Александра I.
Estimation: 4 000 / 6 000 €
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Lot 89 : Alexandre 1er. Procession funèbre qui doit avoir lieu lors de la translation du corps de feu l’Empereur Alexandre I, de glorieuse mémoire, de la barrière de St Petersbourg à l’Eglise cathédrale de Notre-Dame de Casan et le jour son inhumation dans l’Eglise cathédrale de Saint Pierre et Saint Paul. [Saint Pétersbourg, 1826]. Rouleau lithographique de 17 feuilles de papier ; 6,7 x 915 cm. Monté sur un barillet de fabrication française, breveté SGDG. Document lithographié à très petit nombre, destiné à préparer l’ordre et la mise en place de la procession des obsèques de l’Empereur. Il contient quatorze sections, chacune ouverte par un maître des cérémonies à cheval, et se présente en deux parties verticales : à gauche, la représentation des personnes vues de dos. Seul exemplaire connu de nos jours. Il s’agit d’un document préparatoire à la procession, la « marche à suivre », exprimé au temps futur. Rédigé en français, il fut tiré à très petit nombre. L’Empereur Alexandre Ier mourut le 19 novembre 1825 à Taganrog ; son corps fut apporté à Saint Pétersbourg, et la procession de ses obsèques eut lieu 13 mars 1826.
Александр I. Траурная процессия блаженной памяти Его Величества Александра I, которая будет иметь место во время перемещения тела усопшего Императора от заставы Санкт-Петербурга до собора Казанской Божией Матери в день погребения Его в соборе Святых апостолов Петра и Павла. [Санкт-Петербург, 1826]. Литографированный свиток из 17 склеенных листов (общая длина 915 см), прикрепленный к металлическому барабану. Документ, литографированный небольшим числом, определял строгий протокол следования процессии и служил участникам траурного кортежа образцом для подготовки организации печального события. Документ состоит из четырнадцати частей, соответствующих частям процессии. Каждую часть открывает Церемонимейстер верхом на коне. Каждая часть документа состоит из: слева по вертикали – изображения участников кортежа верхом или пешими; справа – на французском языке звания и должности участников. Текст на французском языке. Император Александр I скончался в Таганроге 19 ноября 1825 года и был погребен в Санкт Петербурге 13 марта 1826 года. Единственный известный нам на сегодняшний день экземпляр инструкции по подготовке печального события.
Estimation : 1 000 / 2 000 €
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Lot 97 : Wolf Ilyich Yasvoine. Trois portraits des empereurs russes Nicolas Ier, Alexandre II et Alexandre III. Saint-Pétersbourg, circa 1890. Photographies de portraits, surpeints à l’aquarelle. 21,5 x 13 cm chacun. Signature en relief de l’atelier W. Yasvoine dans le coin inférieur gauche de chaque photographie. Dans le cadre d’origine recouvert de cuir bordeaux, et surmonté d’une couronne en bronze.
Вольф Ильич Ясвоин. Три портрета русских Императоров Николая I, Александра II и Александра III. Санкт-Петербург, ок. 1890. Фотографические снимки с живописных портретов, раскрашенные акварелью. 21,5 х 13 см каждый. Тисненая подпись ателье В. Ясвоин в левом нижнем углу каждой фотографии. В оригинальной раме, обтянутой бордовой кожей и увенчанной бронзовой короной.
Estimation : 600 / 800 €
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LOT 104 : Ecole russe, vers 1900. Portrait de l’empereur Nicolas II, en buste, vêtu du grand uniforme. Huile sur toile. 61 x 50 cm. Dans son cadre à vue ovale (88 x 77 cm). Sur une toile française, à la marque de A. Bouché, 155 rue de Rennes.
Русская школа. Портрет Императора Николая II. Ок. 1900. Холст, масло. 61 х 50 см. В своей оригинальной раме с овальным окном. На французском холсте с тампоном A. Bouché, 155 rue de Rennes.
Estimation : 3 500 / 5 000 €
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Lot 108 : Alexander Tillander, pour Fabergé. Insigne de l’escorte du Train impérial, premier degré. Pendentif, en forme d’écu portant l’Aigle impériale russe, le tout couronné. Saint Pétersbourg, 1904-1917. Or, émaux polychromes, diamants. Poids : 14,7 g. Sur l’anneau : ◊ titre : 56 ЯЛ ◊ maître-orfèvre : A T Cet insigne fut créé en 1904, par oukaze de l’empereur Nicolas II, et comportait trois degrés de dignité ; le premier degré, le plus élevé, était fabriqué en or & diamants, et fut attribué à très petit nombre aux officiers généraux. L’insigne fut produit en exclusivitépar Fabergé. Provenance :Alexandre Nikolaevich Lermontov (1927-2019).
Александр Тилландер для Фаберже. Знак «За сопровождение Императорского поезда» 1-ой степени. Санкт-Петербург. 1904-1917. Золото, эмаль, алмазы. 4,5 х 3,5 см. Клейма: “56”, пробирного мастера ЯЛ и мастера АТ (Александр Тилландер). Знак «За сопровождение Императорского поезда» был учрежден в 1904 г. Знаки 3-х степеней исполнялись исключительно фирмой Фаберже. Знаки первой степени вручались очень редко и только генералам. Происхождение: Александр Николаевич Лермонтов (1927-2019).
Estimation : 6000 / 10000 €
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LOT 109 : Alexander Tillander, probablement pour Fabergé. Ravissant petit pendentif en or et émaux polychromes : l’Aigle impériale russe, frappée d’un diamant en abîme, et attachée par une double chaînette à une couronne impériale étincelante de diamants. Saint-Pétersbourg, vers 1900. Or, émaux polychromes, diamants. 48 x 20 mm. Poids : 4,2 g. Sur l’anneau : ◊ titre : 56 ЯЛ ◊ maître-orfèvre : A… (le T final est mal frappé).
Александр Тилландер. Подвеска в виде Императорского двуглавого орла, к которому на двух тонких цепях прикреплена Императорская корона. Санкт-Петербург. Ок. 1900. Золото, эмаль полихромная, алмазы. 48 х 20 мм. Клейма: 56 ЯЛ, мастер А… Вес: 4,2 г.
Estimation : 2 000 / 3 000 €
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LOT 148 : Portrait en buste, en grand uniforme, de Vassili Alexeevitch Perovskiy, d’après la peinture originale de Karl Brullov ; légendé d’une dédicace autographe de Vassili Joukovskiy à la comtesse Praskovia Tolstaia. Lithographie (33 x 28 cm), présentée dans un encadrement de carton gouaché contrecollé sur un épais chassis de bois, bande dorée sur le pourtour biseauté, un phylactère manuscrit collé en légende. 42 x 37 cm hors tout. Encadrement vers 1850. Phylactère manuscrit en russe : { à la comtesse Praskovia Vassilievna Tolstaia, de la part de Joukovskiy }. Vassili Alexeevitch Perovskiy (1795-1857), héros de la bataille de Borodino (1812), gouverneur d’Orenbourg, membre du Conseil d’Etat, fut un proche ami des poètes Alexandre Pouchkine (1799-1837) et Vassili Joukovski (1783-1852). C’est lors de son séjour en Italie, dans les années 1822-1824, qu’il fit la connaissance du peintre Karl Brullov, lequel dépeignit plusieurs fois son portrait, en pied ou en buste. Joukovski et Pérovski firent partie du cercle d’amis du comte André Andreevitch Tolstoï, marié à Praskovia Vassilievna (1896-1879). Des sentiments variés, parfois secrets, unissaient les membres de ces familles. Dans son testament de 1831, Joukovski indique qu’il lègue à la comtesse Tolstaia son portrait peint par Brulloff (il s’agit d’une des grandes peintures à l’huile). La présente lithographie est une œuvre de très grande qualité ; elle est en outre extrêmement rare, presque unique. Le lithographe n’en est point connu, mais tout indique un parfait artiste. Elle fut donnée par le poète Joukovski, à son amie la comtesse Tolstaia ; le phylactère dédicatoire qui l’accompagne, collé sur son encadrement d’époque, est absolument autographe, de la main de Joukovski. Il a été religieusement apposé là par la comtesse, en souvenir de son feu ami… qui mourut dans les bras d’Alexandra Tolstaia, fille de la comtesse.
Портрет Василия Алексеевича Перовского с автографом В.А. Жуковского.1830-1850 гг. Литография с портрета Карла Брюллова. 33 х 28 см. Представлена в паспорту эпохи 42 х 37 см (тушь и гуашь на бумаге, наклеенной на деревянную основу со скошенными краями). Дарственная надпись В.А. Жуковского: “Графине Прасковье Васильевне Толстой от Жуковского” вклеена в картуш в нижней части паспарту. В.А. Перовский (1795-1857), участник Отечественной войны 1812 года, герой Бородинской битвы, генерал-адъютант (с 1833 г.), генерал-губернатор Оренбурга, член Государственного совета, близкий друг А.С. Пушкина и В.А. Жуковского. В 1822-1824 гг. жил в Италии, где сблизился с К.П. Брюлловым. Поэт В.А. Жуковский и В.А. Перовский входили в ближайший круг друзей графа Андрея Андреевича Толстого и его супруги графини Прасковьи Васильевны Толстой (1796-1879). Здесь переплелись многочисленные дружеские, любовные и родственные связи семей В.А. Перовского, В.А. Жуковского и Толстых. Перовский питал нежные чувства к подруге П.В. Толстой, родственнице В.А. Жуковского, А.А. Воейковой, рано скончавшейся, образ которой запечатлел В.А Жуковский в поэме “Светлана”. Дочь Прасковьи Васильевны Толстой Александра была всю жизнь влюблена и предана В.А. Перовскому. Именно она поведала Л.Н. Толстому историю этого замечательного человека, Лев Николаевич предполагал создать роман о Перовском, использовал его воспоминания при описании сцен плена Пьера Безухова, а также сцен с Пьром Безуховым у постели умирающего отца. В завещании Жуковского 1831 года упоминается графиня Толстая: “п. 11/ х) Графине Толстой портрет Перовскаго Брюлло”).
Estimation : 2500 / 3000 €
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LOT 159 : Comte Barclay de Tolly. Lettre signée à Son Altesse Sérénissime Monseigneur le Duc de Weimar. Paris, 11 mai 1814. Il l’informe que Sa Majesté l’Empereur souscrit au désir du duc de se trouver à Londres en même temps que l’Empereur. Bifeuillet in-4° ; cachet de cire rouge, où se distinguent les armoiries de Barclay de Tolly : d’azur à un chevron accompagné de trois croix.
Граф Барклай де Толли. Письмо, подписанное, Его Высочеству герцогу де Веймар. Париж, 11 мая 1814 года. Двойной лист in-4°, красная сургучная печать с гербом графа Барклая де Толли. Сообщает, что Император принимает то, что принц желает находиться в Лондоне одновременно с Ним. Михаил Богданович Барклай де Толли (1761-1818), русский полководец, главнокомандующий русской армией в начале Отечественной войны 1812 года, генерал-фельдмаршал (с 1814 г.); в заграничном походе русской армии командовал объединенной русско-прусской армией.
Estimation : 800 / 1 200 €
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LOT 174 : Marie Arkadievna, princesse Galitzine, née Souvoroff. Mot autographe signé, relatif à une somme de cinquante francs. Saint Pétersbourg, 30 septembre / 12 octobre 1843. Feuillet in-12 (1 p. ms) ; chiffre couronné.
Княгиня Мария Голицына, ур. Суворова. Записка, собственноручная и подписанная. Санкт-Петербург, 30 сентября/ 12 октября 1849. Лист in-12, шифр княгини, увенченный короной. По поводу 50 франков Княгиня Мария Аркадьевна Галицына, ур. Суворова, княжна Италийская, графиня Рымникская (1802-1870), внучка А.В. Суворова, фрейлина Императрицы.
Estimation : 100 / 200 €
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LOT 182 : [Bibliothèque de Paul Démidoff, à San Donato]. Jacques-Henri-Bernardin de Saint-Pierre. OEuvres complètes, nouvelle édition revue, corrigée et augmentée par L. Aimé-Martin. Paris, Dupont, 1826. Douze volumes in-8°, plein maroquin rouge crête-de-coq, triple filet doré encadrant les plats, chiffre couronné au centre du premier plat, dos à nerfs orné, toutes tranches dorées. Reliure de l’époque. Au chiffre couronné de Paul Démidoff, prince de San Donato. Tampon oval de la Bibliothèque de San Donato. Portait en frontispice et quelques planches hors-texte. Très rares petites taches au second plat du volume IV, quelques rousseurs ; sinon, très bel exemplaire, d’une teinte éclatante. Exemplaire enrichi d’un long autographe (un feuillet de deux pages) de Bernardin de Saint-Pierre : « Harmonie du soleil et de la lune ».
Библиотека Сан-Донато. Жак-Анри Бернарден де Сант-Пьер. Полное собрание сочинений. Париж, P. Dupont, 1826. Двенадцать томов in-8°, в красных марокеновых переплетах, три золотые нити обрамляют крышки; корешок с бинтами, украшенный золотым тисненым узором; золотой обрез; на крышках тисненая золотом монограмма Павла Демидова под короной; штамп библиотеки Сан-Донато на авантитуле каждого тома. На первом листе первого тома лист с авторафом Бернардена де Сант-Пьера (две страницы текста). Экземпляр содержит длинный (две страницы) автограф Бернардена де Сант-Пьера: { Гармония солнца и луны }.
Estimation : 1800 / 2000 €
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LOT 184 : Bibliothèque de Paul Démidoff, à San Donato]. Jean-Jacques Rousseau. Œuvres complètes, avec des éclaircissements et des notes historiques. Paris, Feret, 1827. Vingt-six volumes in-8°, plein maroquin rouge crête-de-coq, triple filet doré encadrant les plats, chiffre couronné au centre du premier plat, dos à nerfs orné, toutes tranches dorées. Reliure de l’époque. Au chiffre couronné de Paul Demidoff, prince de San Donato. Tampon oval de la Bibliothèque de San Donato. Frontispice et quelques planches hors-texte. Petite restauration au premier plat du tome XXVI ; rousseurs ; sinon, très bon exemplaire, d’une teinte éclatante.
Библиотека Сан-Донато. Жан-Жак Руссо. Полное собрание сочинений. Париж, H. Feret, 1827. Двадцать шесть томов in-8°, в красных марокеновых переплетах, три золотые нити обрамляют крышки; корешок с бинтами, украшенный золотым тисненым узором; золотой обрез; на крышках тисненая золотом монограмма Павла Демидова под короной; штамп библиотеки Сан-Донато на авантитуле каждого тома. Иллюстрированное гравюрами издание. В прекрасном состоянии.
Estimation : 2 500 / 3 000 €
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LOT 202 : Vassili Andreevitch Joukovsky et Auguste Clara. Six vues de Pavlovsk, copiées d’après nature par V. J., achevées et gravées par Clara (à Derpt). Saint-Pétersbourg, 1824. Portefeuille in-4°, titre dans un cadre gravé au recto, et liste de gravures en russe et en français, au verso ; contenant six feuillets représentant des vues gravées de Pavlovsk : 1. La porte du jardin. 2. Le Bosquet de famille. 3. La Ferme. 4. Le pavillon des Roses. 5. La maison de Mlle Nelidoff. 6. Les ruines du Temple d’Apollon. Vassili Joukovski (1783-1852) est beaucoup plus célèbre comme poète que comme dessinateur. Cependant, ces deux aspects de sa personalité créatrice sont d’un intérêt égal. Son héritage en tant qu’artiste est important, et comprend une chronique des voyages du poète, des illustrations pour ses poèmes, des dessins au crayon et à la plume, des gravures, des lithographies, des aquarelles, des gouaches et même des peintures. Joukovski lui-même disait que la peinture et la poésie sont deux soeurs. La publication du présent album de vues de Pavlovsk, a été décidée par Vassilli Joukovski pour fournir quelques revenus au fils d’un ami décédé à Derpt, le poète Karl Petersen. L’album fut prêt à la vente en janvier 1824, proposé par abonnement, pour 15 roubles, auprès des libraires Saint-Florent et Slénine à Saint-Pétersbourg. A titre de comparaison, toujours en 1824, “La fontaine Baktchisaraï d’Alexandre Pouchkine, coûtait 6 roubles. Outre les libraires, les amis de Joukovski, tels que Piotr Andreevitch Wiazemsky, ainsi que lui-même, étaient engagés dans la distribution de cette publication. Quant au graveur Auguste Phillippe Clara (1790-1850), c’est grâce à la publication des Six Vues de Pavlovsk et au patronage de Joukovski, qu’il fut accueilli favorablement à la Cour et qu’il reçut le titre de graveur au Palais impérial de l’Ermitage.
Василий Андреевич Жуковский и Август Клара. Шесть видов Павловска, срисованных с натуры В.Ж., оконченных и выгравированных Кларою (в Дерпте). С. Петербург, 1824. Шесть листов in-4° с гравированными видами Павловска в бумажной обложке с названием в гравированной рамке на лицевой стороне и перечнем гравюр на русском и французском языках на тыльной стороне: 1. Ворота Сада. La porte du Jardin. 2. Семейственная Роща. Le Bosquet de famille. 3. Ферма. La Ferme. 4. Розовый Павильон. Le pavillon des Roses. 5. Дом Е.И. Нелидовой. La maison de Mlle Nelidoff. 6. Развалины Аполлонова храма. Les ruines du Temple d’Apollon.
Жуковский-художник гораздо менее известен, чем Жуковский-поэт. Однако эти две стороны творческой натуры поэта представляют одинаковый интерес. Его наследие как художника огромно и включает хронику путешествий поэта, иллюстрации к своим стихотворениям, рисунки карандашом и пером, офорты, литографии, акварели, гуаши и даже живописные полотна. Сам Жуковский называл живопись и поэзию родными сестрами. Издание альбома с видами Павловска было задумано В.А. Жуковским (1783-1852) как помощь сыну скончавшегося в Дерпте друга, поэта Карла Петерсена. Альбом был готов к продаже в январе 1824 г. и продавался по подписке у книготорговцев Сент-Флорана и Сленина в Санкт-Петербурге по 15 рублей. Для сравнения в 1824 г. “Бахчисарайский фонтан А.С. Пушкина стоил 6 рублей. Распространением этого издания занимались, помимо книготорговцев, друзья Жуковского, как например Петр Андреевич Вяземский. Что касается гравера Августа Филлиппа Клара (1790-1850), то именно благодаря изданию “Шести видов Павловска” и покровительству Жуковского он был благосклонно принят при дворе и получил звание гравера при Императорском Эрмитаже.
Estimation : 8 000 / 12 000 €
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LOT 208 : [Anatole Démidoff]. André Durand. Saint Pétersbourg. L’église Saint Isaac, le Cavalier de bronze. Crayon, lavis. 26 x 43 cm. Monogrammé au crayon, en bas à gauche.
[Анатолий Демидов]. Андре Дюран. Исаакиевский Собор и Сенатская Площадь. Санкт-Петербург, [1839]. Бумага, карандаш, тушь. 26 х 43 см. Внизу слева чернилами: монограмма АD.
Estimation : 1 500 / 2 000 €
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LOT 214 : [Anatole Démidoff]. André Durand. Saint Pétersbourg. Théâtre Alexandra. Vue prise de la Maison Démidoff, perspective Nevsky (29 octobre 1839).
Encre, lavis et rehauts de gouache ; sur papier bleuté. 28 x 42 cm. Monogrammé à l’encre, en bas à gauche. Montée sur feuille (35,5 x 49 cm), légendée en haut et en bas, numérotée 94 en haut à droite (de la main de Durand).
[Анатолий Демидов]. Андре Дюран. Александринский Театр. Вид, снятый со стороны дома Демидова на Невском проспекте. Санкт-Петербург, 29 остября 1839. Бумага голубого оттенка, тушь, гуашь. 28 х 42 см. Внизу слева чернилами: монограмма АD. Прикреплен на лист бумаги
Estimation : 1 000 / 1 500 €
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LOT 219 : Andréi Guérassimov (Gerasimov). Théière en argent & vermeil, à vaste décor marin (mouvements de vagues, coquilles, décor rocaille, bec en gueule de dauphin). Moscou, 1762. Poids : 945,85 g. 22 x 22 x 16 cm. ◊◊ maître-orfèvre : АГ (Andréi Guérassimov). ◊◊ alderman : АФП (Féodor Petrov). ◊◊ ville : Moscou / 1762 ◊◊ essayeur : Я.М
Чайник серебряный в рокайльном стиле с узорами стилизованных волн и раковин и носиком в виде клюва дельфина. Москва, 1762 г. Серебро, золочение. Вес 945,85 г. 22 x 22 x 16 см. Клейма: года, города, пробирного мастера Я.М, альдермана АФП (Федор Петров), мастера АГ (Андрей Герасимов).
Estimation : 2000 / 2500 €
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LOT 223 : Pavel Ovtchinnikov, fournisseur de la Cour Impériale. Bol à caviar, en argent orné d’émaux polychromes cloisonnés formant une frise de fleurs, rinceaux et étoiles géométriques disposée entre deux rangs de perles. Diamètre 9,5 cm ; hauteur 5 cm. Poids : 116,1 g. ◊ firme : P. Obtchenikov ◊ aigle impériale ◊ essayeur (Lev Olex) Л•О / 1895 ◊ 88 ◊ Moscou.
Павел Овчинников, поставщик двора Его Императорского Величества. Икорница. Москва, 1895. Серебро, эмаль. Клейма: серебра 88, года, города, пробирного мастера Л•О (Лев Олекс), фирмы П.ОВЧИННИКОВЪ, двуглавого орла.
Estimation : 1 000 /1 500 €
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LOT 230 : Samovar de voyage, en laiton. Russie, vers 1830. Laiton ; poignées de bois tourné. 58 x 29 x 33 cm. Marque du fabriquant (Ivan Pouchkov, à Danilov de la région de Iaroslavl ?) gravée sur la partie supérieure : monogramme I П entouré de branchages. Les pieds sont amovibles. Modèle similaire au Musée Russe de Saint Pétersbourg.
Самовар дорожный. Россия, мастер I П (возможно Иван Пушков в Данилове Ярославской губернии). Около 1830. Латунь, 58 х 29 х 33 см. На крышке: гравированная марка мастера I П в окружении двух веточек. Съемные ножки. Похожая модель имеется в собрании Русского музея в Санкт-Петербурге.
Estimation : 3 000 / 5 000 €
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LOT 234 : Coffret en os et ivoire de morse, pour l’usage d’une couturière. Kholmogori, Archangelsk, XVIIIe – XIXe s. 11 x 23 x 15 cm.
Шкатулка для рукоделия. Холмогоры, кон. XVIII -нач. XIX вв. Дерево, кость. 11 х 23 х 15 см.
Estimation : 1 500 / 2 000 €
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LOT 241 : Vassili Gratchev. Les adieux. Selon le modèle de 1877 Saint-Pétersbourg, Woerffel, fin du XIXe -début du XXe siècle. Bronze. 22 x 18 x 11 cm. Signature sur le socle: ЛѢп. Грачевъ. Et marque de fabrique : Fabr. C.F. Woerffel. St. Petersbourg.
Василий Грачев (1831-1905). Прощание, по модели 1877 г. Санкт-Петербург, завод К.Ф. Верфель, кон. XIX-нач. XX вв. Бронза. 22 х 18 х 11 см. подпись на основании: “ЛѢп. Грачевъ.” и марка фабрики: Fabr. C.F. Woerffel. St. Petersbourg.
Estimation : 1 000 / 1 500 €
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LOT 251 : Alexandre Benois. Le rideau s’ouvre : arrivée au Théâtre, à Saint Pétersbourg, un soir d’hiver. Paris, 1946. Aquarelle & gouache. 42 x 30,5 cm. Signé et daté en bas à gauche ; dédicace à l’encre, en bas, en russe “A la chère Anna Stepanovna, en bon souvenir de l’auteur. Alexandre Benois“. Anna Stepanovna Sorina-Chervachidzé, fille adoptive du peintre Constantin Chervachidzé, épouse de Savelli Sorine.
Александр Бенуа (1870-1960). Приглашение на премьеру. Париж, 1946. Бумага, акварель и гуашь. 42 х 30,5 см. Внизу слева: подпись и дата; внизу : дарственная надпись на русскм языке: “Милой Анне Степановне на добрую память от автора. Александр Бенуа”. Анна Степановна Сорина-Шервашидзе, приемная дочь художника-“мирискуссника” Константина Шервашидзе, супруга художника Савелия Сорина.
Estimation : 20 000 / 25 000 €
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LOT 252 : Alexandre Benois. Le village et l’église de Toblach (Dobbiaco). 1938. Aquarelle sur traits de crayon ; sur feuille 48 x 32,5 cm. Localisé et signé, au crayon, en bas au centre-droit ; daté au crayon, en bas à droite : « 22 VII 1938 ». Provenance : descendance directe d’Alexandre Benois.
Александр Бенуа. Церковь в Тоблах (Доббиако) в северной Италии. 1938. Бумага, карандаш, акварель. 48 х 32,5 см. Справа посередине карандашом: подпись и место; внизу справа карандашом: дата “22. VII. 1938”. Происхождение: потомки Александра Бенуа.
Estimation : 2 500 / 3 000 €
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LOT 254 : Alexandre Benois. Le port & le village de Cassis. Aquarelle sur traits de crayon ; sur feuille 43 x 56,5 cm à la vue. Signé, daté 1929 & localisé à l’aquarelle, en bas à gauche. Provenance : descendance directe d’Alexandre Benois.
Александр Бенуа. Порт в Кассисе. 1929. Бумага, карандаш, акварель. 43 х 56,5 см. Внизу слева акварелью: подпись, дата и место. Происхождение: потомки Александра Бенуа.
Estimation : 2 500 / 3 000 €
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LOT 259 : Alexandre Serebriakoff. Vue de Bruges. 1934. Gouache sur papier. 47 x 62 cm En bas à droite: signé A. Serebriakoff et daté 1934; localisé en bas à gauche. Sous verre, dans un cadre en bois moderne.
Александр Серебряков (1907-1995). Вид Брюгге. 1934. Бумага, гуашь. 47 х 62 см. Внизу справа: подпись A. Serebriakoff и дата 1934; внизу слева: место Bruges. Под стеклом, в современной деревянной раме.
Estimation : 2 000 / 3 000 €
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LOT 261 : Prince Alexandre Chervachidzé. Portrait d’une jeune femme. 1911. Aquarelle sur traits de fusain. Carton 45 x 33 cm. Monogramme et date 911 en bas à droite. Nom et inscriptions en cyrillliques au revers. Prince Alexandre Constantinovitch Chervachidzé (1867-1968), scénographe des théâtres Marinskiy et Alexandrinskiy, vint à Londres en 1920 sur l’invitation de Serge de Diaguileff pour la scénographie des ballets russes.
Князь Александр Шервашидзе. Этюд к портрету молодой девушки. 1911. Картон, уголь , акварель. 45 х 33 см. Монограмма и дата 911 внизу справа. На обороте: надписи на русском языке. Князь Александр Константинович Шервашидзе (1867-1968), сценограф Мариинского и Александринского театров в Санкт-Петербурге (1907-1918), в 1920 г. получил приглашение от С.П. Дягилева стать сценографом “Русского балета” в Лондоне, где он служил вплоть до 1948 г.
Estimation : 1000 / 1500 €
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LOT 265 : Dimitri Bouchène. La place de la Concorde. Huile sur toile.107 x 57 cm. Signée au centre à droite.
Дмитрий Бушен (1893-1993). Площадь Согласия в Париже. Холст, масло. 107 х 57 см. Подпись посередине справа.
Estimation : 1 200 / 1 400€
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LOT 268 : Serge Tchekhonine. Affiche « 10me exposition des petits cadeaux anciens pour Noël et le Nouvel An chez Alexandre Popoff, 48, rue Cambon ». [Paris, 1931]. Lithographie 50 x 65 cm. Signé Serge Tchekhonine sur la pierre, en bas à gauche. Provenance : collection d’Alexandre Popov (1880-1964).
Сергей Чехонин. Афиша “10-я выставка подарков к Рождеству и Новому году у Александра Попова 48, rue Cambon”. Париж, 1931. Литография 50 х 65 см. Подпись художника Serge Tchekhonine на камне внизу слева. Происхождение: коллекция Александра Попова (1880-1964).
Estimation : 200 / 300 €
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LOT 279 : Alexandre Archipenko. Mouvement gracieux (gracefull movement). 1923. Bronze argenté. Signé sur le socle. Hauteur 67 cm.
Александр Архипенко (1887-1964). Изящное движение (gracefull movement). 1923. Бронза посеребренная. Подпись на основании. Высота 67 см.
Estimation: 30 000 / 50 000 €
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LOT 280 : Ilya Galkine. Portrait d’Olga Preobrajenskaya. 1909. Huile sur toile. 39 x 29 à la vue. Dans cadre vitré. Au dos : étiquette nommant le modèle (de la main du peintre ?) • mention manuscrite du Studio Wacker, à Paris • tampon des théâtres impériaux. • signature d’un secrétaire. Joint : photographie d’Olga Préobrajenskaya, vers 1900, dans un cadre d’acajou. Olga Iossifovna Préobrajenskaya (1962), célèbre danseuse des Théâtres Impériaux, enseigna la danse à Saint Pétersbourg puis à Paris, au Studio Wacker. Ilya Savitch Galkin (1860-1915), peintre russe dont la notoriété s’est renouvelée ces derniers temps : le grand portrait officiel de l’empereur Nicolas II qu’il avait peint et qui trônait à Saint Pétersbourg, avait disparu depuis les années 1920 ; il fut redécouvert en 2016, masqué par un portrait de Vladimir Lénine.
Илья Галкин. Портрет Ольги Преображенской. 1909. Холст, масло. 39 х 29 см. Под стеклом, в раме. На обороте: этикетка с именем модели, рукописное упоминание студии Вакера в Париже, печать Императорских театров, подпись секретаря. А также: фотография Ольги Преображенской ок. 1900 г. в рамке из красного дерева. Ольга Иосифовна Преображенская (1871-1962), прима-балерина Мариинского театра (1902-1920), в эмиграции в Париже основала студию балета (студия Вакер). Илья Савич Галкин (1860-1915), русский художник, известен по церемониальному портрету Николая II, который недавно (2016) был обнаружен на обороте портрета В.И. Ленина работы художника В. Измаиловича.
Estimation : 1500 / 2000 €
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LOT 286 : Michel et Vera Fokine, dans le ballet « les Nuits Egyptiennes ». Rudolstad, Manufacture de porcelaine de Volkstedt, début du XXe siècle. Porcelaine polychrome. 31,5 x 29 x 19 cm. Marque bleue de la manufacture. Fait d’après une photographie prise lors du ballet. Manque le bout du collier du danseur.
Михаил и Вера Фокины в балете “Египетские ночи”. Фарфоровая мануфактура Volkstedt. Нач. ХХ в. Фарфор, полихромная роспись. 31,5 x 29 x 19 cм. Марка мануфактуры. Исполнено по фотографии 1909 г. Не достает нижней части колье танцора.
Estimation : 400 / 700 €
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LOT 288 : Conte de la Sœur Renarde et du Loup. Moscou, Lissenère. [1900]. Un volume in-4°, broché, couverture illustrée. Lithographies en couleurs de E.E. Lissenère.
Сказка о Лисичке Сестричке и Волке. Москва, Издание Г.Э. Лисснера. [1900]. Том in-4°, в мягком издательском переплете с иллюстрированной обложкой. Цветные литографии по рисункам Э.Э. Лисснера.
Estimation : 100 / 150 €
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LOT 289 : Conte Goré. Moscou, Lissenère. [1902]. Un volume in-4°, broché, couverture illustrée. Lithographies en couleurs de E.E. Lissenère. Dos abimé.
Сказка Горе. Москва, Издание Г.Э. Лисснера. [1902]. Том in-4°, в мягком издательском переплете с иллюстрированной обложкой. Цветные литографии по рисункам Э.Э. Лисснера. Корешок поврежден.
Estimation : 100 / 150€
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LOT 297 : L.N. Tolstoi. Les contes et les légendes. Moscou, Editions Doumnov. [1913]. Un volume in-4°, broché, couverture cartonée illustrée. Illustrations de Piotr Goslavskiy.
Л.Н. Толстой. Сказки и были. Москва, Издание т-ва В.В. Думнов. Насл. Бр. Салаевых. [1913]. Том in-4°, в твердом издательском переплете с иллюстрированной обложкой. Рисунки П.П. Гославского.
Estimation : 100 / 150 €
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LOT 306 : Epopées. Volga. Petrograd, I. I. Bilibine (Golike & Vilborg, typographes), 1904. Un volume in-folio, demi percaline sapin, titre sur pièce de basane au dos. Reliure début du XXe siècle. Illustré de: – cinq grandes compositions couleurs pleine page – une composition noire pleine page – une vignette carrée en couleurs – un grand bandeau introductif en deux couleurs – huit bandeaux en noir – couvertures illustrées sur les deux faces. Au contreplat, étiquette ex-libris de Robert Masson (et son ex-libris manuscrit à la première couverture). Très bon exemplaire qui a été protégé par sa reliure. Le papier marbré des plats est dans l’harmonie des illustrations de Ivan Bilibine.
Вольга. Былины. Петроград, издание И.И. Билибина. 1904. Том in-folio, в мягком издательском переплете, иллюстрированная обложка. Иллюстрации И.Я. Билибина.
Estimation: 400 / 600 €
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LOT 312 : Ivan Tourgenieff. Le pré Béjine. Moscou, Leningrad, Edition de l’Etat. 1930. Un volume in-4°, broché, couverture illustrée. Illustrations de V. Konachevitch.
И. Тургенев. Бежин луг. Москва, Ленинград, Государственное издательство. 1930. Том in-12, в мягком издательском переплете с иллюстрированной обложкой. Обложка и рисунки В. Конашевича.
Estimation : 100 / 150 €
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LOT 320 : Images et dessins populaires russes jusqu’à 1860. Moscou, Edition Sitine, vers 1890. Un volume in-folio oblong en couverture rigide, recouvert de toile. Contient 85 lithographies en noir-&-blanc.
Русские народные картинки до 1860. Москва, Товарищество И.Д. Сытина. Конец 1880-х годов. Том большой in-4° продолговатого формата в твердом издательском переплете, обтянутом материей. Содержит 85 черно-белых литографий.
Estimation : 1 000 / 1 500 €
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LOT 324 : Mstislav Doboujinsky. Pétersbourg en Mil neuf cent vingt-un. Petrograd, Comité pour la popularisation des publications d’art, 1923. In-folio, broché. Douze autolithographies. Introduction de Stepan Yaremitch.
Мстислав Добужинский (1875-1957). Петербург в двадцать первом году. Петроград, Комитет популяризации художественных изданий, 1923. Том in-folio в синей мягкой издательской обложке. Двенадцать автолитографий. Вступительная статья Степана Яремича.
Estimation : 800 / 1 200 €
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LOT 328 : Boris Grigoriev. Rasseia. Berlin, Edition Efron, 1922. Un volume in-4°, cartonnage tissu illustré. Textes du comte A.N. Tolstoï, Anatoli Chaykevitch, Alexandre Benois, Boris Grigoriev. Très nombreuses illustrations, couleurs et noir-&-blanc, de Boris Grigoriev.
Борис Григорьев. Расея. Берлин, Издательство С. Ефрон, 1922. Том in-4°, в твердом издательском переплете, крышки обтянуты материей. Статьи графа А.Н. Толстого, Анатолия Шайкевича, Александра Бенуа, Бориса Григорьева
Estimation : 300 / 400 €
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LOT 338 : Cardinal César Baronius (Cesare Baronio). Histoire ecclésiastique. [Moscou, 1719 ?]. Deux gros volumes petit in-folio ; plein veau estampé à froid. Reliure russe de l’époque. Manquent les pages de titre ; manquent quelques autres pages, remplacées par des copies modernes. Mouillures ; manques marginaux.
Цезарь Бароний. Деяния церковные и гражданские. [Москва, Печатный двор. 1719]. Два тома in-folio малого формата в цельнокожаных переплетах из телячьей кожи, крышки с тиснеными узорами. Отсутствует титульный лист, несколько страниц заменены современными копиями, пятна от влажности и потери по краям страниц.
Estimation : 1 000 / 2 000 €
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LOT 341 : Ensemble de plaquettes sur les célébrations des différents jubilés relatifs à Alexandre Pouchkine. 1937-1949. • Serge Lifar. Troisième fête de Pouchkine. Paris, Lifar, 1937. Dédicace manuscrite signée au professeur pouchkiniste André Meynieux (1964). • Programme du concert à l’occasion de l’anniversaire de la naissance de Pouchkine. Paris, 1937. • Pouchkine et son époque. Catalogue de l’exposition. Paris, 1949. • Concert-bal pour les cent-cinquante ans de la naissance de Pouchkine. Paris, 1949. • OEuvres d’Alexandre Pouchkine, sous la direction de M. L. Hofmann. 1837-1937.
Собрание изданий по случаям празднования пушкинских юбилеев в Париже. 1937-1949. • Сергей Лифарь. Третий праздник Пушкина. 1937. С дарственной надписью Сергея Лифаря. • Программа концерта, посвященного дню рождения А.С. Пушкина (с участием Марины Цветаевой). Париж, 8 мая 1937. • Пушкин и его эпоха. Каталог выставки. Париж, 1949. • Концерт-бал по случаю 150-летия со дня рождения Пушкина. 25 июня 1949 г. • Сочинения Александра Пушкина. 1837-1937. Юбилейное издание пушкинского комитета под редакцией М.Л. Гофмана.
Métro: Richelieu-Drouot (lignes 8 et 9), Le Peletier (ligne 7) En bus : lignes 20, 39, 42, 48, 67, 74 et 85 Parking public (24h/24h) : 12, rue Chauchat – 75009 Paris
L’exposition documentaire « Alexandre Nevski : images dans l’art » sera présentée au public sur les panneaux et le site web de la Maison russe des sciences et de la culture.
L’image du Saint noble prince Alexandre Nevski (1221–1263) occupe une place particulière dans la mémoire historique du peuple russe.
Le 13ème siècle a été une période dramatique dans l’histoire de la Rus’. Les querelles princières se poursuivaient, conduisant à la dévastation des terres russes. De l’est et du sud, survenaient des assauts incessants des hordes de nomades dirigées par Gengis Khan et Batu. Des chevaliers-croisés allemands et suédois attaquaient de l’ouest. Les envahisseurs étrangers volaient et exterminaient des gens, détruisaient des villes et des valeurs culturelles, tentaient d’implanter leur mode de vie et d’asservir la population.
Le prince Alexander Nevski a régné à cette période difficile à Novgorod. Tout jeune, il a fait preuve de son talent de commandant en repoussant l’attaque des forces supérieures des chevaliers suédois à l’embouchure de la Neva le 15 juin 1240. Pour cette victoire, il a reçu le surnom honorifique de « Nevski ».
Le 5 avril 1242, sur la glace du lac Peïpous, l’armée russe dirigée par le prince a vaincu les croisés allemands de l’Ordre teutonique. Cette victoire est inscrite non seulement dans l’histoire, mais aussi dans les manuels de tactiques militaires.
Après avoir repoussé l’attaque des Allemands, Alexandre Nevski a choisi de faire la paix avec les nomades de la Horde et a ainsi arrêté les campagnes ruineuses des Mongols-Tatars contre la Russie. C’est en grande partie grâce à lui que la Rus’ a non seulement échappé à l’invasion, mais a également préservé son identité civilisationnelle et culturelle.
Les qualités personnelles du prince Alexander Nevski, les services incontestables qu’il a rendus à la patrie, étaient déjà très appréciés de son vivant, et après sa mort, il est devenu à juste titre l’un des héros nationaux.
La vénération du prince en tant que saint a commencé presque immédiatement après sa mort à Vladimir. Au concile de 1547, l’Église orthodoxe russe l’a canonisé parmi les saints de toute la Russie en tant que nouveau thaumaturge. En son honneur, on a commencé à construire des églises et à peindre des icônes.
Une vénération particulière du saint a commencé au 18ème siècle, lorsque ses reliques ont été transportées à Saint-Pétersbourg. En 1725, l’Ordre de Saint Alexandre Nevski a été créé, devenant l’une des distinctions russes les plus élevées et les plus honorifiques, et il la demeure toujours.
Beaucoup d’artistes se sont tournés vers l’image d’Alexandre Nevski. Le grand Sergueï Eisenstein a réalisé sur lui un film, qui a acquis une renommée mondiale. Le compositeur Sergueï Prokofiev a composé la cantate « Alexandre Nevski ». Le poète Constantin Simonov lui a dédié un poème.
Dans de nombreux tableaux et monuments, panneaux de mosaïques, médailles commémoratives, nous voyons une reconsidération de la personnalité multiforme du prince : un guerrier brave et courageux, un commandant talentueux, un diplomate, un patriote de la terre russe, un humble moine, un homme juste. Il est impossible de rassembler tout ce qui est associé au nom du saint. Aujourd’hui, plus de 1600 églises lui sont dédiés dans le monde ! Il y en a aussi sur le sol français : à Paris, à Biarritz et à Pau.
L’intérêt pour la personnalité du saint ne s’épuise pas à l’époque actuelle. De nouveaux monuments sont créés et des temples sont construits pour célébrer le prince juste. Chaque Russe connaît la phrase qu’il a prononcée il y a près de 800 ans : « Dieu n’est pas dans la force, mais dans la vérité ».
L’exposition thématique de la Maison russe des sciences et de la culture à Paris à l’occasion du 800e anniversaire de la naissance du prince Alexandre Nevski illustre avec quel honneur et quel amour populaire cette grande figure historique était perçue dans l’art et glorifiée dans l’église.
L’exposition présente les reproductions des miniatures de la Vie d’Alexandre Nevski (XVIe siècle), du Titulaire du tsar (XVIIe siècle), des peintures d’artistes russes Grigori Ougrioumov, Otto Friedrich von Möller, Alexeï Kivchenko, Henryk Siemiradzki, Viktor Vasnetsov, Nicolas Roerich, Pavel Korine, Vladimir Serov, Philippe Moskvitine et d’autres.
À travers les photos, le public pourra découvrir des temples, des monuments, des fresques, des icônes, des mosaïques, des affiches, des timbres, des ordres et des médailles.
Toute cette riche collection d’œuvres d’art et de monuments culturels est uni par le nom et l’image d’Alexandre Nevski.
A l’occasion de la Journée internationale de l’enfance, la Maison russe à Paris organise un entretien sur les théâtres d’enfants en France.
Le 1er juin, à l’occasion de la Journée internationale de l’enfance, la Maison russe des sciences et de la culture à Paris organisera une téléconférence sur les théâtres d’enfants en France.
Les héros de cette rencontre en ligne seront la directrice du théâtre russe d’enfants « Aprelik », Lioudmila Drobitch (Paris), et la présidente de l’association française « Pour Kungur », Hélène Texier (Gargilesse-Dampierre).
Lioudmila Drobitch, metteur en scène professionnel, possède une large expérience du travail avec les enfants. Avant de venir en France, elle a travaillé avec succès sur le projet du studio de théâtre « Aprel » (avril) en Azerbaïdjan et en Russie.
À Paris, elle ouvre l’école-studio russe « Aprelik », où les cours de théâtre sont mélangés avec de leçons de langue et de littérature russes.
L’année dernière, « Aprelik » a fêté son quinzième anniversaire. Au cours de ces années, le centre pour enfants est devenu l’une des plus célèbres écoles d’enseignement complémentaire de France, qui dispose d’un théâtre pour enfants de renommée mondiale. Les jeunes participants de la troupe sont devenus les gagnants et les lauréats de festivals internationaux de théâtre russophone dans plus de vingt pays du monde entier.
La compagnie théâtrale des jeunes GargilesseBand, originaire de la ville française de Gargilesse-Dampierre, devient de plus en plus populaire, y compris en Russie. Hélène Texier, scénariste, auteur et metteur en scène, présidente de l’association « Pour Kungur » travaille avec les enfants. L’association française est un partenaire de longue date de la MRSC.
Depuis de nombreuses années, Hélène Texier coopère activement avec la Russie, soutenant de nombreuses institutions pour enfants dans la région de Perm.
Par ailleurs, avec l’équipe de l’association, elle suit de près le destin des enfants russes après leur adoption par les familles à l’étranger. Le but est de ne pas laisser les enfants se noyer dans un nouvel environnement et de ne pas perdre leur propre identité culturelle russe.
Le résultat créatif de cette interaction réactive était autrefois un théâtre pour enfants, dont la troupe comprend aujourd’hui de jeunes artistes de différents pays avec deux merveilleux enfants d’Hélène Texier, adoptés en Russie.
« GargilesseBand » a des tournées non seulement en France, cette compagnie théâtrale a déjà effectué plusieurs voyages réussis en Russie. Leurs performances ont enchanté les petits dans de nombreuses écoles et institutions médicales pour enfants dans la région de Perm et ailleurs.
Pour participer à la réunion en ligne, l’inscription préalable est obligatoire sur le site web de la Maison russe (crsc.fr).
La conférence sera organisée sur la plateforme Zoom en russe et en français, avec traduction simultanée et possibilité de communiquer directement avec les participants. Dans le même temps, la diffusion en direct peut être visionnée sur la chaîne YouTube de la MRSC à Paris (sans traduction).
L’enregistrement complet de la réunion sera publié en deux versions linguistiques sur le site web et sur les réseaux sociaux de la MRSC.
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Jeudi 3 juin 2021
Jean-Claude Lamotte et
l’Association
” Les amis de l’histoire de Ste Geniève des Bois et de ses environs”
La Maison russe à Paris vous invite à une rencontre avec l’auteur français d’une étude sur la nécropole russe de Sainte-Geneviève-des-Bois
Le 3 juin, la Maison russe des sciences et de la culture à Paris organise une rencontre en ligne avec Jean-Pierre Lamotte, auteur du livre « Un coin de Russie à Sainte-Geneviève-des-Bois », membre de l’association « Les amis de l’histoire de Sainte-Geneviève-des-Bois et ses environs ».
Son livre sur la célèbre nécropole russe en France est l’une des études les plus connues et les plus fiables.
Le livre a été publié pour la première fois en français en 2008. Ses versions en français et en russe sont constamment revues et améliorées. Le livre en langue russe a été réédité l’année dernière. La nouvelle édition contient de nouvelles informations sur les données biographiques des enterrés. Le lecteur y découvre des faits jusque-là inconnus de l’histoire de la diaspora russe et des relations russo-françaises au XXe siècle.
Cependant, la réunion ne portera pas uniquement sur le livre de Jean-Pierre Lamotte. Sincèrement passionné par le sort de la « Section russe » du célèbre cimetière, il effectue à titre gracieux depuis de nombreuses années de travaux analytiques pour évaluer l’état de conservation des sépultures, identifier et photographier des défauts et déterminer les solutions pour les éliminer. Les différents types de dommages sont classés en catégories et présentés sous forme de graphiques et de diagrammes.
La présentation comprendra des informations détaillées sur l’état de la nécropole russe et une estimation des mesures requises. L’invité de la Maison russe fournira une liste de sépultures nécessitant l’entretien préventif, qui ne font pas l’objet de travaux de restauration importants. Il s’agit par exemple du désherbage et l’élimination de la végétation arbustive des tombes, etc.
Pour participer à la réunion en ligne, veuillez-vous inscrire sur le site web de la Maison russe (crsc.fr).
La conférence Zoom sera organisée en russe et en français avec traduction simultanée et possibilité de communication directe avec l’invité. Dans le même temps, la diffusion en direct peut être visionnée sur la chaîne de la MRSC à Paris sur YouTube (sans traduction).
L’enregistrement complet de la réunion sera publié en deux versions linguistiques sur le site web et les réseaux sociaux de la MRSC.