Livres

Soirée dédicace

Mes deux “EX” , Union Soviétique, et Yougoslavie

par Alexandre Keltchewsky

vendredi 17 juin 2022 entre 19h et 21h

Éditions L’Harmattan, 75005 Paris 

 

L’éclatement de l’URSS et la disparition de la Yougoslavie figurent parmi les
événements majeurs qui ont affecté le continent européen depuis la fin de
la Deuxième Guerre mondiale. C’est à ces deux pays qui n’existent plus, à ces deux « ex », que cet ouvrage est consacré. L’auteur y évoque les prémices de la fin de l’URSS : un appareil économique indigent, au bout du rouleau, et souligne l’écart entre le pays réel et le pays fictif, présenté alors comme la deuxième puissance mondiale. Dans le cas de l’autre « ex », la Yougoslavie, il apporte son éclairage sur l’origine du spectacle barbare qui s’est déroulé sous nos yeux, à la fin du siècle dernier. Plus
que des mémoires de diplomate, il s’agit d’un regard dans le rétroviseur, un regard riche d’enseignements. Qu’il s’agisse, pour la Russie de Poutine, d’identifier les lignes de continuité ou les éléments de rupture
avec le passé soviétique, ou, pour l’ex- Yougoslavie, de comprendre ses problèmes actuels et sans doute à venir.

 

L’auteur: Alexandre Keltchwsky, d’origine russe, diplomate à la retraite, né à Paris en 1947, diplômé de Sciences Économiques et de Lettres. Conseiller des Affaires étrangères Hors Classe.

Le regard, en l’occurrence, d’un diplomate longtemps au contact du dialogue Est-Ouest et des réalités du terrain. Un regard doublé de l’expérience plus rare et pourtant si riche en enseignements de la conduite de missions internationales d’observation électorale dans les pays considérés.
Combinant ces diverses expériences, le présent ouvrage offre au lecteur un document vivant et accessible sur un sujet rarement abordé dans la littérature académique – française et étrangère – et jamais, en tous cas, sous cet angle. Un document vivant et stimulant pour l’esprit.

Sa carrière diplomatique :

• 1976- 1980 : attaché commercial à l’ambassade de France à Moscou, chargé des études économiques;
• 1980-1983: fonctions analogues à l’ambassade de France à New Delhi
• 1984-1986 : à Paris, Conseiller des Affaires étrangères (Cadre d’Orient) chargé de la coopération avec les pays d’Europe centrale;
• 1986-1990: à Belgrade, chargé de la politique intérieure;
• 1990-1993: à Rabat, chargé de la politique extérieure;
• 1993-1995 : à Moscou, Conseiller de Presse ;
• 1995-1998 : à Paris, sous-directeur en charge des affaires de l’OSCE et du Conseil de l’Europe;
• 1998-2002 : Consul Général à Saint-Pétersbourg ;
• 2002-2008 : à Paris, Inspecteur des Affaires étrangères ;
• 2008-2011 : Ambassadeur, chef de la Mission de l’OSCE au Kazakhstan ;
• 2011-2013 : à Paris, audit et réforme du ministère des affaires étrangères. Membre du jury du Concours d’Orient pour les épreuves de russe et de Civilisation.
A la retraite depuis 2013, dirige des missions d’observation électorale pour le compte de l’OSCE (Organisation pour la sécurité et la Coopération en Europe) principalement dans les pays de l’ex-URSS.

Éditions L’HARMATTAN

5-7 rue de l’Ecole Polytechnique 75005 Paris

Broché -Format : 13,5 x 21,5 cm 

ISBN : 978-2-14-025359-1

126 pages

13€ ou 9,9 € (version électronique)

Deux nouvelles publications dont Boréalia est fiers : une épopée d’un petit peuple de Carélie, le Chant de l’Ours, qui – sous sa forme poétique – se lit véritablement comme un roman et donc la sortie a été saluée par une jolie chronique dans le Monde des Livres ; et un texte illustré qui plaira autant aux grands qu’aux petits avec cinq contes merveilleux et aériens d’Edith Apelbaum, les Contes de Bobé, un petit bijou littéraire doux comme une plume et surprenant par sa profondeur !

Il était une fois un orphelin appelé Vir qui, en grandissant, avait oublié le visage de sa mère. Élevé par sa tante Anni qui n’avait pas eu d’enfant, il tomba amoureux d’Aïra, la belle étrangère aux cheveux noirs et aux yeux bruns. La nuit, cette dernière était hantée par les troupeaux de rennes de son père sâme et par le sort tragique de sa famille. Mais la tante Anni connaissait bien la forêt et elle avait un jour embrassé le grand maître des bois. Douce guérisseuse, elle prit sous son aile protectrice Aïra, qui donna naissance à trois enfants. Les deux fils se marièrent jeunes, mais Tal’oï, la fille, semblait poursuivie par le destinée tragique de ses ancêtres… – En terre vepse, l’eau voit comme un miroir et l’ours a tout dans sa mémoire. Maître de la forêt et des hommes, il se fait le conteur des faits oubliés et prédicteur des temps à venir. Entre bêtes et hommes, Maître Ours livre ses enseignements pour répandre l’harmonie entre le monde et ses créatures. Écoutez, bonnes gens, comme cette langue brille et caresse les oreilles. Laissez-vous conter l’épopée de Virantaz, saga venue du fond des temps, qui, telle un récit mythologique, vous emporte sur une terre riche, aux lacs poissonneux et où le vent s’enivre du parfum des sapins.
Le premier livre pour le grand public d’une auteur vepse, représentant un peuple de quelques milliers de locuteurs seulement. Une création sur le modèle des épopées traditionnelles traduite déjà dans de nombreuses langues. Un témoignage des traditions orales d’un peuple finno-ougrien de Carélie (région des lacs Ladoga, Onéga et Béloïé.

J’ACHÈTE

Contes de Bobé
d’Edith Apelbaum et Ilias Kyriakidis

Cinq contes merveilleux et doux qui parlent d’un monde où les oiseaux rêveurs ont la tête au ciel, où les enfants nuages se disputent et parfois se font gronder, où le vent console l’arbre en peine… où des amis se perdent et se retrouvent…

Un petit bijou d’Edith Apelbaum qui osa passer la porte de la boutique Borealia l’année dernière avec ces histoires qu’elles avait écrites d’abord pour ses petits enfants. Une écrivaine est né.
Un livre qui plaira autant aux petits qu’aux grands…!

J’ACHÈTE

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hez BOREALIA
33 rue de la Villette
75019 PARIS
 
Renseignements : 06 07 62 93 77
Courriel : contact@borealia.eu
Site de Borealia : www.borealia.eu
 
Métro : Jourdain (ligne 11) et Botzaris (ligne 7bis)

Roman inspiré de la vie d’Ernest Beaux,

” Son Parfum “

de Natalie Beaux

Éditions Macha

 

Découvrez la femme derrière
le N° 5 de Chanel.

À l’occasion de cet anniversaire, deux livres à découvrir en librairie :
• le roman historique de Nathalie Beaux, Son parfum, inspiré
de l’histoire de son grand-père, Ernest, le créateur du parfum.
En librairie le 25 octobre.
• le coffee table book, N° 5 CHANEL, un magnifique coffret réunissant
deux volumes illustrés, l’un sur les origines du parfum, l’autre sur son
rayonnement mondial.
En librairie le 4 novembre.

Le roman inspiré de la vie d’Ernest Beaux, créateur du N° 5 de Chanel, qui célèbre ses 100 ans cette année.
Derrière le parfum le plus célèbre du monde, le N° 5 de Chanel, se cache une histoire de guerre et d’exil, mais aussi une histoire d’amour.
Hiver 1912. Ida, sobre et élégante, et Ernest, le talentueux parfumeur venu
de France, sont ensevelis sous la neige d’une Russie glaciale. Ils sont gelés,
mais leurs cœurs rayonnent, car c’est le jour de leur mariage. Et rien, non rien, ne pourrait les séparer.

Né en 1881, Ernest Beaux est un parfumeur français installé en Russie.
Reconnu pour ses méthodes innovantes, il est à l’origine de nombreux
parfums à succès, comme le Bouquet de Napoléon, très en vogue dans les années dix.
Amoureux de la Russie, il y épouse sa première épouse, Ida. Mais, patriote avant tout, il décide de rallier le front français lors de la Première Guerre mondiale. La révolution d’Octobre creuse un peu plus le fossé entre lui et sa famille, ainsi que son pays d’adoption. À la suite de ces événements, il décide de s’installer en France et d’y faire rapatrier son fils.
En 1920, il rencontre Coco Chanel, par le biais du grand-duc Dimitri Pavlovitch, alors amant de la couturière.



Les éditions Été 1914. Ida est engourdie par la chaleur et la moiteur du train qui l’emporte loin de Moscou. La guerre est déclarée,
Ernest est mobilisé. En proie au désarroi, elle tente de faire face malgré une atmosphère pesante. Octobre 1917. La révolution éclate, Ernest est bien loin d’Ida qui s’est réfugiée dans le village de son enfance. La guerre civile ressere son étau. Sans nouvelles de son mari, elle ne sait s’il lui faut quitter son pays. Printemps 1921. Ernest se présente devant Coco Chanel avec cinq flacons de parfum qu’il a réalisés pour elle. Coco choisira celui dont la composition est inspirée par les grands lacs de Russie, aussi bleus que les yeux d’Ida – ce sera le N° 5.

C’est le 5 mai 1921 que Coco dévoile le parfum aujourd’hui mythique.
Cent ans plus tard, la légende perdure, entrainant dans son sillon la
belle histoire de son créateur, que sa petite-fille Natalie Beaux et l’éditeur Macha ont eu à cœur de faire revivre.

Nathalie Beaux présente son livre à la mairie du V° au salon du livre russe

NATHALIE BEAUX est une égyptologue française, chercheuse associée
au Collège de France, ancienne membre scientifique de l’Institut français
d’archéologie orientale du Caire (IFAO). Elle est l’auteure de deux précédents romans, Moïse et le Christ : Rencontre au Sinaï, aux éditions du Cerf (2010), et Moïse d’Égypte : L’Enfant des trois Livres, aux éditions Médiaspaul (2017).
Petite-fille du parfumeur Ernest Beaux, créateur notamment du Bouquet Napoléon en Russie et du N° 5 de Chanel, elle est restée très attachée à la Russie dont son père, Édouard, a traduit plusieurs œuvres littéraires en français. Ernest et Édouard lui ont transmis l’amour de la culture russe.

Agence éditoriale depuis 2009, les éditions Macha lancent en 2015 ses premières collections de livres. Cette maison généraliste, ouverte sur le monde, se distingue par sa connaissance de la Russie et de ses talents contemporains. Son objectif est de proposer aux lecteurs des ouvrages variés, parfois surprenants qui, chacun à leur manière, invitent à découvrir des univers, une partie de soi-même, ou simplement à se divertir.

Éditions Macha Publishing

ISBN: 978-2-37437-401-7
Prix
: 19,90 €

Signature librairie Michèle Ignazi

“Réveillon chez les Boulkakov”

d’Olga Medvedkova

Mercredi 17 novembre à partir de 19 h.

Mikhaïl Boulgakov est aujourd’hui, sans conteste, le plus grand écrivain russe de la première moitié du XXe siècle.
Cette gloire internationale ne doit pas faire oublier qu’il ne put, de son vivant, presque rien publier de ses œuvres ni montrer sur scène ses productions théâtrales.

Réveillon chez les Boulgakov” nous fait pénétrer dans l’intimité de l’écrivain, de sa femme Elena et de leurs amis qui survivent (mais pour combien de temps encore ?) à la terreur stalinienne. Ce moment, le début de1939, est décisif dans la carrière de Boulgakov, puisqu’il a entrepris un ouvrage qui, cette fois-ci, devrait recueillir l’assentiment du puissant maître du Kremlin. Mais, est-ce si sûr ? L’irréductible Boulgakov,un des rares hommes libres dans ces temps de servitude, de lâcheté et de flagornerie,saura-t-il courber son génie ? Quelle place un véritable créateur peut-il trouver face à un pouvoir totalitaire ?


Olga Medvedkova
, faisant revivre ce brillant
milieu de l’intelligentsia moscovite, nous propose au-delà d’une plongée dans letemps, un voyage plus profond, au coeur de l’œuvre de Boulgakov, analysé de manière nouvelle, à la façon de son auteur qui se définissait lui-même comme mystique et satirique.
Ce texte est un « récit véridique »,une fiction où tout est vrai. Les mots sont exhumés des archives : leur diablerie dépasse même les inventions de l’auteur du “Maître et Marguerite“.
Ce récit drôle, émouvant, effrayant,qui rappelle des faits que certainssont peut-être soucieux d’oublier aujourd’hui, parle du courage du vraicréateur, de l’intransigeance de la création et, plus largement, de la liberté de l’homme face à son temps et à son destin.

Olga Medvedkova est historienne de l’art et écrivain.
Née à Moscou, elle vit enFrance depuis 1991 et choisit d’écrire en français.
Directrice de recherche au CNRS, elle est auteur de nombreux ouvrages d’histoire del’art et de l’architecture, d’essais, de nouvelles, de contes et de deux romans :”L’Éducation soviétique” (le prix Révélation2014 de la SDGL) et “Les Anges stagiaires“.
Elle a reçu : le  Prix révélation 2014 à la Société des Gens de Lettres, le Prix Lequeux de l’Institut de France pour l’ensemble de son œuvre en 2017.

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ISBN 978-2-490198-25-2
120 pages – 145 x 210
Prix : 15 €uros

Éditions TRIARTIS, 19 rue Pascal 75005 PARIS – 09.51.74.96.29
triartis.editions@gmail.com
www.triartis.fr

Librairie Michèle Ignazi, 15 rue de Jouy, 75004 Paris
Tel :  01 42 71 17 00 – 01 42 71 47 12
Métro : St Paul (ligne 1)

” Les Frères Morozov collectionneurs et mécènes “

de Natalia Semenova

Traduction Michèle Kahn

Les Morozov et les Chtchoukine, les deux principales familles qui ont dominé la vie culturelle moscovite du début du XXe siècle, ont inventé le concept de philanthropie artistique et directement contribué à la reconnaissance internationale des peintres modernes français. Leurs deux collections d’art moderne, parmi les plus belles, aujourd’hui réparties entre Moscou et Saint-Pétersbourg, forment un ensemble majeur de chefs-d’œuvre avec des toiles exceptionnelles de Cézanne, Gauguin, Van Gogh, Renoir, Monet, Bonnard, Denis, Matisse, Derain, Picasso…

Sergueï Chtchoukine et les frères Morozov avaient fait fortune dans le textile avant la Révolution et étaient partis à la conquête du “nouveau monde” artistique dans le Paris de l’époque. Dépensant sans compter, ils réunirent très vite un ensemble exceptionnel d’œuvres impressionnistes, postimpressionnistes, modernes. Nationalisées, ces collections furent heureusement mises à l’abri — ne disait-on pas que bolcheviks et anarchistes se faisaient des bottes dans des toiles de Rembrandt ! Pour finir, les tableaux furent envoyés dans les deux plus grands musées du pays mais ne furent exposés qu’à partir des années 1960, sans que jamais ne soit mentionné le nom de leurs anciens propriétaires.

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Natalia Yurievna Semenova née en 1951, est  historienne de l’art russe, docteur en histoire de l’art, rédactrice, éditrice. Elle se spécialise dans l’art russe et d’Europe occidentale du 19 ème au début du 20 ème siècle, l’histoire des collections. Membre de l’Association internationale des critiques d’art AICA. Elle parle couramment l’anglais, le français et l’italien.

Auteur de plusieurs monographies, livres d’histoire de l’art, biographies de la série ZhZL, ainsi que de nombreux articles. Elle a commencé sa carrière en 1971 en tant qu’assistante de laboratoire au département des manuscrits du musée Pouchkine, chercheur à l’Institut central de recherche en théorie et histoire de l’architecture de  1975–1985, elle est rédactrice en chef et co-fondatrice de la maison d’édition Trelistnik. De 1988-1991, elle était à la tête de “Russian Patrons” dans le magazine  ” Ogoniok” ou elle écrit des articles sur Sergueï Chtchoukhine , Mikhaïl Morozov, Alexander Stieglitz, A.L. Tarasov, Pavel et Grigory Strogonoff.

Naralia fait ressusciter ici, la saga de ces incroyables collectionneurs et mécènes qu’auront été les frères Morozov.

EAN13 : 9782330139599
ISBN : 978-2-330-13959-9
Nombre de pages : 320
Dimensions : 24 x 14 x 2 cm
Poids : 414 g
Prix : 22€80
Numérique : 19€99

 

” Poésies choisies”

de Nicolaï Goumilev (1886-1921)

Bilingue

Traduction de Florian Voutev

 

Un recueil d’une cinquantaine de textes du poète Goumilev, pour découvrir une poésie symboliste de la fin du XIXe siècle dans « l’errance du lointain ».. Introduit par Ksénia Volokhova, spécialiste russe de Goumilev et de l’âge d’argent, ce condensé des poèmes recueillis dans l’ensemble de l’oeuvre de Goumilev.

Nicolaï Goumilev, son fils Lev et Anna Akhmatova, 1906.

Nikolaï Stepanovitch Goumilev ( Никола́й Степа́нович Гумилёв), né le 3 avril 1886  à Kronstadt et mort le 26 août 1921  près de Saint-Pétersbourg, poète russe   influent, fondateur du mouvement poétique appelé acméisme.   Premier époux de la célèbre poétesse Anna Akhmatova  dont il divorcé en 1918, il est le père de l’historien Lev Goumilev. Il a écrit son premier quatrain  sur la belle Niagara à l’âge de six ans,  le premier de ses poèmes à être publié en

Il est “le poète des errances lointaines“, il ne tenait pas en place, voyageait beaucoup en quête d’exotisme, de surprises, de sensibilités et d’univers différents du sien. Sa poésie se nourrit de cet étonnement permanent. Goumelev provoque une immersion du lecteur dans son univers l’invitant à un voyage vers l’infini de son tréfonds qu’il explore avec une sagesse   de visionnaire. Son œuvre est une réplique moderne des “deux infinis de Pascal“. Le tempérement mystique du poète qui construisait “son temple” au lieu de construire la nouvelle société que les bolcheviks venaient d’instaurer, devrait sans surprise le mener au peloton d’exécution.
Triste centenaire  que 2021, qu’il fallait célébrer ici par la découverte de ses vers.

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Florian Voutev, après la fin de sa carrière de danseur de ballet,  fait des études de russe à l’Université de Caen et à la Sorbonne – Paris IV. Passionné par la traduction littéraire versifiée, il se met à publier ses travaux sur le tard et à participer à la vie culturelle franco-russe à Moscou, à Paris, à Strasbourg et à Lyon. Il remporte deux fois, en 2019 et en 2020, le troisième prix du concours de traduction poétique, organisé par l’Association Teremok de Nancy et le Centre Pouchkine de Paris.

 Ses publications : Nouvelle traduction du roman en vers Eugène Onéguine de Pouchkine, Éditions La Bruyère, décembre 2012 ; article littéraire sur Eugène Onéguine in La Revue russe N° 42 de l’Institut d’études slaves, décembre 2013 ; extraits bilingues du recueil poétique d’Ekaterina Belavina Ces mots qui jouent, in L’Almanach de l’association Glagol, septembre 2016 ; recueil bilingue de poèmes de Valery Zhigounov L’Arme de l’âme, Larmes de l’âme, Éditions Natania, septembre 2017 ; recueil bilingue de poèmes d’Ekaterina Belavina Filles, fleurs, métamorphoses en collaboration avec Jean-Louis Backès, Éditions Delirium, février 2018 ; recueil poétique de Sophie Bogarné Chambre 409, Éditions Érick Bonnier, 2020; Phèdre de Marina Tsetaeva, Vibration Édition, juillet 2020.

Il remporte, en 2019 et en 2020, le troisième prix et en 2021, le 1er prix du concours de traduction poétique, organisé par l’Association Teremok de Nancy et le Centre Pouchkine de Paris pour ” Poésies choisies ” de Nicolas Goumilev.

 

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Vibration-éditions : www.vibration-edition.com

ISBN : 978-2-490091-37-9
Broché, format 21X13 cm
186 pages
Prix : 19€

 

 

Tome I, 2ème édition

” Recueil de chants liturgiques russes

pour chœur d’hommes “

par Micha Ossorguine.

CHANT  LITURGIQUE à l’église  SAINT-SERGE de Paris. `
Biographies – Partitions – photos – Manuscrits…

Le dessein de ce recueil de chants liturgiques est de montrer comment s’est conservée et développée, pendant 90 ans à l’église Saint-Serge à Paris, la tradition russe du chant d’église grâce à trois générations de la famille Ossorguine:

Mikhaïl Mikhaïlovitch, fondateur des chœurs de la paroisse et de l’Institut théologique puis ses trois fils et, maintenant de son petit-fils auteur de cette publication.

Les étudiants de l’Institut de théologie (automne 1928), au second rang, le 1er à gauche: Michel M. Ossorguine l’ancien(1887-1950). Le petit garçon assis au centre est son fils aîné Michel.

Outre la reproduction de manuscrits originaux et de photographies anciennes conservées dans la famille, le lecteur trouvera des partitions d’œuvres inédites.

Tropaire de St Serge de Radonège.

Dans ces dernières, l’auteur s’est autorisé à ajouter des indications rythmiques et dynamiques, lorsque  la partition originale n’en proposait pas.

Ce travail n’est ni une chronique de la famille ni une reconstitution historique. Il se propose de répondre à l’intérêt du lecteur pour ce répertoire, dans lequel les mélodies anciennes épousent les paroles de la prière, selon l’esprit du chant traditionnel liturgique russe.

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CHANTS LITURGIQUES RUSSES, POUR CHŒUR D’HOMMES
de Micha Ossorguine.  (Tome I, 2ème édition).
60 pages
Format : 20,5cm X 29,7cm
Tarifs : 20€ port compris
Commande : michkin3@gmail.com

Dans vos  librairies

” DÉTECTIVE du TSAR “

d’Arkadi de Kochko

par son arrière-petit-fils, traducteur,

Dimitri de Kochko

aux Éditions Macha-Publishing

En tombant sur des pages et des pages signées de la plume de son arrière grand-père, Dimitri de Kochko ne se doute pas du trésor qu’il vient de trouver. Avec patience et minutie, il reconstitue peu à peu les chapitres de la vie de cet aïeul pas si éloigné, Arkadi de Kochko, chef de la police de Moscou, durant les dernières années du pouvoir tsariste, avant la révolution d’Octobre qui l’a obligé à quitter la Russie. Les histoires racontées, les faits divers, les affaires d’État… ces morceaux de vie nous paraissent tout droit sortis des aventures de Sherlock Holmes. Et pourtant, tout est vrai.

Traduit et annoté par Dimitri de Kochko, notamment pour situer l’action dans son contexte historique et éclairer le lecteur sur les tenants et aboutissants de ces dernières années impériales, ce journal miraculeusement arrivé jusqu’à nous est une mine d’or pour tous les passionnés d’histoire et de romans policiers.

 En direct du salon du livre russe le vendredi 12 février à 20 h, Dimitri de Kochko a raconté l’histoire incroyable de son arrière-grand-père dont il a traduit et annoté les récits dignes de Conan Doyle.

Editions Macha-Publishing :
38 rue de Berri, 75008  Paris
https://macha-publishing.com/maison/

 

“Mémoire du général Paul Kourloff, l’agonie de la Russie Impériale”


Paul Kourloff


Préface de: Vladimir Fédorovski

Traduction de : M.N. Komaroff-Kourloff et P. Rosniansky

 

Son petit fils Mikhaïl N. Komroff-Kourloff, considérait de son devoir de sauver l’honneur de son grand-père en donnant accès aux sources documentaires. Avec Pierre B. Rosniansky (1944-2017), historien, qui a eu l’occasion de s’entretenir avec la veuve du général, grand-mère de Mikhaïl, un ami de toujours, lui-même descendant d’une famille d’officier de la Garde Impériale.

Préface de Vladimir Fédérovski, écrivain ancien diplomate soviètique, souvent consulté par la presse française pour ses connaissances concernant la politique et l’histoire russe.

Mikhaïl N. Komroff-Kourloff et Pierre B. Rosniansky ont cherché à percer le mystères de cette époque trouble de la Russie tsariste.

Témoignage historique de premier plan, les mémoires du général Paul Grigorievitch Kourloff (1860-1923), lieutenant général, gouverneur de Kiev, Minsk, sous-ministre des affaires intérieures et commandant en chef d’un corps séparé de gendarmes (1909-1911). Il passe en revue les évènements et personnalités qui ont marqué la période russe prérévolutionnaire qu’il a qualifiée d’”agonie de la Russie impériale“. Il parle de ceux qu’il a côtoyés : le tsar Nicolas II, les responsables de la lutte antiterroriste, Raspoutine, etc. Sa carrière fut brutalement interrompue par l’assassinat de P. Stolypine, président du Conseil des ministres et grand réformateur. Ce témoignage illustre la question du terrorisme en Russie à l’époque.

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ISBN : 978-2-343-04665-5 • mars 2015

• 310 pages

Commande auprès de Michel Komaroff-Kourloff : micha.komarov@laposte.net

Prix : 31 plus frais de port.

 

Un nouveau livre sur le cimetière russe .

« UN COIN DE RUSSIE A

SAINTE-GENEVIÈVE-DES-BOIS »

Le premier livre édité en 2008 comportait 240 personnalités diverses sur 146 pages.

Edition 2008 épuisée.

Cette nouvelle édition 2019 conserve la même structure, mais a été étoffée de plus de 200 nouveaux noms. Elle présente 266 personnalités sur 166 pages, dont une quarantaine incontournable, issues du premier livre comme : Rudolph NoureevAndreï TarkovskiIvan Bounine, Félix Youssoupov, Zinaïde Serebriakova, ……qui se devaient de figurer dans ce nouvel ouvrage.

Tombe de Rudolph Noureev

Andreï Tarkovski (1932-1986) cinéaste

Extrait de l’ouvrage section peintre

En règle générale, pour chaque personne citée, il y a une biographie de quelques lignes, une photo de la tombe, la photo représentant la personne et quelquefois une illustration complémentaire : par exemple la représentation d’un tableau pour un peintre ou celle d’un navire pour un amiral.

On peut trouver dans la rubrique des militaires un document exceptionnel : la liste de près de 200 marins inhumés dans ce cimetière, du grade d’amiral à celui de simple matelot. Ce document n’a jamais été publié.

Section militaire

Dans ce livre l’iconographie est beaucoup plus importante que dans la version précédente. Elle a notamment été enrichie grâce à des documents prêtés par certaines familles avec leur autorisation de les publier.

Photo d’indentité du passeport Nansen de Vera Mestchersky.

En 1927, la princesse russe Vera Mestchersky (née en Russie en 1876  Vera Kirilovna von Struve, décédé 14 décembre 1949 à Ste Geneviève des Bois),
fonda à Sainte-Geneviève-des-Bois une maison de retraite pour les plus âgés des émigrés russes qui avaient fui la Russie révolutionnaire et trouvé refuge en France. Avec les premiers décès de pensionnaires se posa la question du lieu de leur inhumation. La solution fut évidente, le cimetière communal se trouvait à proximité immédiate de la maison de retraite. Un carré particulier se constitua ainsi dans le plus pur style russe.

Au fil des années, on enterrait au cimetière non seulement les pensionnaires de la maison de retraite mais tous les émigrés russes décédés à Paris ou ailleurs en France. Le cimetière de Sainte-Geneviève-des-Bois devint ainsi la plus grande nécropole russe à l’étranger.

Aujourd’hui, à côté de l’église orthodoxe de la Dormition de la Mère de Dieu jouxtant le cimetière, reposent quelque douze mille personnes d’origine russe dont un nombre impressionnant de personnages célèbres – des écrivains, des artistes, des aristocrates etc.

Haut lieu de mémoire pour l’émigration russe, le « cimetière russe de Sainte-Geneviève-des-Bois » constitue une trace visible de la présence russe en France, un témoin de son identité particulière et le symbole de toute une société qui s’effondra dans son pays d’origine mais réussit à se reconstituer et à devenir partie intégrante du paysage historique et culturel de sa nouvelle patrie.

Le plan du cimetière, qui se trouve à la fin, a été refait et est beaucoup plus lisible. Il est plus facile de retrouver, dans un système orthonormé, la position d’une tombe grâce au repère indiqué dans l’index.

Ce livre a demandé près de 3 ans de recherches, d’écriture et de relecture, réalisé par 9 personnes dans les locaux de la Maison russe grâce à son directeur Nicolas de Boishue, qui a prété une salle pour y travailler.

Entrée de l’église de la Dormition, Ste Geneviève des Bois.

Le livre au prix de 20 € est disponible au bureau de l’église de la Dormition dans l’enceinte du cimetière de Sainte-Geneviève-des-Bois et aussi chez le fleuriste « Le jardin d’antan » à proximité du cimetière russe.

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Nombre de pages : 166, format: 21 cmX 29,7cm

ISBN : 9782954 672014

Prix : 20€, + frais d’expédition en lettre suivie 9,44 € = 29,44 €

Il est possible d’acquérir l’ouvrage  au disponible au bureau de l’église de la Dormition dans l’enceinte du cimetière de Sainte-Geneviève-des-Bois et chez le fleuriste « Le jardin d’antan » à proximité du cimetière russe ou de le commander à cette adresse :

Mr Georges LELU, 168, rue de la Concorde, 91700 Sainte-Geneviève-des-Bois

Tel :01 69 04 22 01 ou le 06 50 46 49 74,   Mail : georges.lelu91@free.fr

Règlement par chèque libellé au nom de l’association « Les amis de l’histoire de Sainte-Geneviève-des-Bois »

A la Librairie des Editeurs réunis (Centre culturel Alexandre Soljenitsyne)

11 Rue de la Montagne Sainte Geneviève, 75005 Paris

 HUMOUR RUSSE

NATHALIE GIGOUNOVA -KOMAROVA

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L’humour russe, c’est plus que de l’humour, c’est un état d’esprit. C’est une des plus importantes formes de culture populaire verbale mais, hélas, presque aucune de ses riches traditions n’a été exportée vers l’Ouest. 
Ce premier recueil non exhaustif vient combler ce manque en mettant enfin en lumière un hymour parfois piquant, verbe et bourré d’autodérision. Un humour tranchant comme un rasoir.

Humour russe, regard spécial
De Nathalie Gigounova-Komarova, dessins d’Anna Kamarov
ISBN : 979-1-093328-06-5
Bilingue
Prix 22€

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Dans ce livre, prennent place des plaisanteries et des histoires drôles ainsi que de
nombreuses expressions, des discours conventionnels selon l’usage, des toasts issus de la
culture et de la langue russe, livre bilingue

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Les boutades, les espiègleries sont un florilège de l’esprit populaire, de son essence et de
son originalité.
Bien souvent, ce sont des histoires vraies, devenues une allégorie, une fable, une parabole
ou bien un emblème de l’époque…

Ce recueil s’adresse à toutes celles et tous ceux qui souhaitent enrichir leurs connaissances
lexicales et culturelles ou, tout simplement, se préparer pour visiter la Russie et… qui aiment
rire, se divertir et ainsi embellir ce monde par le sourire.

HUMOUR RUSSE 100 (sans) blagues, regard festif
De Nathalie Gigounova-Komarova, dessins d’ Anna Kamarova
ISBN : 979-1-093328-07-2
Format : 11 x 18 cm
Pages : 148 pages, bilingue
Prix : 17 euros

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Les avantages de l’humour russe. La Russie est autant par son origine que par son histoire. l’humour russe se distingue par pluqieurs concept et est accompagné d’un langage non verbal (posture, gestuelle, ton de la voix accent tonique, intonation spécifique …)

HUMOUR RUSSE, regard Capital.
De Nathalie Gigounova-Komarova, dessins Krilova Anna (St Peterbourg) et Kulakova Anna (Bordeaux)
ISBN : 979-1-093328-12-6
Prix : 17€

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Quel peut bien être le rapport entre une petite tirelire,un étrange vieillard et un couple improbable constitué de la lune et du soleil ? Tous  invitent les jeunes lecteurs, amis aussi les adultes qui ont gardé leur âme d’enfant, à les rejoindre dans un monde fantastique à travers trois contes, trois petites histoires dont la morale incite aussi à la réflexion.
Interprétés, traduit par Nathalie Gigounova-Komarova, les textes bilingues, en russe et en français, sont illustrés par Anna Kamarova.

Contes de CКАЗКИ Natania (VOL. 1)
De Nathalie Gigounova-Komarova, dessins Anna Kamarova
 ISBN : 979-1-093328-133
Prix : 4€

Pour deux “Humour russe” achetés, un exemplaire de
Contes de CКАЗКИ Natania), OFFERT

RÉÉDITION du Vol N° 1

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Emigration russe en photos, 1917-1947. Ce livre contient un échantillon de photographies prises durant l’entre-deux-guerres.
Elles concernent sans doute la meilleure part du peuple russe, celle qui à été arrachée à sa patrie. Toutes les photos sont légendées.

À L’OCCASION DU 20E ANNIVERSAIRE du célèbre album ÉMIGRATION RUSSE EN PHOTOS, 1917-1947
par l’historien-iconographe Andreï Korliakov voici la 2e édition minutieusement révisée et corrigée, la langue française est ajoutée et complétée de 30 nouvelles photos et sous le nouveau titre Histoire illustrée de l’émigration russe, France 1917-1947.
Tirage limité !

Réédition bilingue ( français – russe ).

Commandez-le en français ou en russe

Avec le Bon de Souscription de la réédition du célèbre 1er album
Histoire illustrée le l’émigration russe, France 1917-1947
Qui a donné le nom à la série ” Émigration russe en photos, 1917-1947
et sept albums par la suite sur le sujet.
Plus de renseignements : CLIQUEZ
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Faites, votre souscription –  50 euros + Frais de port – en renvoyant le Bon de souscription avec le règlement à l’adresse suivante :
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Andreï KORLIAKOV – 16 rue Frémicourt – 75015 PARIS, FRANCE
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06 10 39 04 35
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280 photos (N/B) – textes bilingues Français-Russe, 192 pages, 24 x 29 cm, 1,2 kg
ISBN 978-2-85065-279-0
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Vente en ligne
“Les Éditeurs Réunis-Ymca Press”
Et

Librairie les Éditeurs Réunis

11 rue de la Montagne Ste Geneviève, 75005, Paris

Téléphone : 01 43 54 74 46
Métro : Maubert-Mutualité.

 

“Phèdre”

Marina Tsvetaeva

Traduction de Florian Voutev

Une pièce de théatre troublante de Marina Tsetaeva, écrite en 1927 qui interroge notre capacité à résister au désir.

“Thésée rentre de campagne, pas un bruit, pas un serviteur pour l’accueillir. Phèdre , la reine est morte. Qui va lui annoncer ? Les sentiments qu’elle éprouvait pour Hippolyte fils de Thésée, en serait-il la cause ?

Qui annoncera l’innommable au roi ?  Hipollyte survivrat-il à la honte de cette mort? A la honte du désir ?

La nourrice de Phèdre n’était-elle pas en charge de son bien-être et de sa surveillance ?  Quel rôle a-t-elle bien pu jouer dans ce désastre ?”

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Le traducteur

Florian Voutev, après la fin de sa carrière de danseur de ballet,  fait des études de russe à l’Université de Caen et à la Sorbonne – Paris IV. Passionné par la traduction littéraire versifiée, il se met à publier ses travaux sur le tard et à participer à la vie culturelle franco-russe à Moscou, à Paris, à Strasbourg et à Lyon. Il remporte deux fois, en 2019 et en 2020, le troisième prix du concours de traduction poétique, organisé par l’Association Teremok de Nancy et le Centre Pouchkine de Paris.

 Ses publications : Nouvelle traduction du roman en vers Eugène Onéguine de Pouchkine, Éditions La Bruyère, décembre 2012 ; article littéraire sur Eugène Onéguine in La Revue russe N° 42 de l’Institut d’études slaves, décembre 2013 ; extraits bilingues du recueil poétique d’Ekaterina Belavina Ces mots qui jouent, in L’Almanach de l’association Glagol, septembre 2016 ; recueil bilingue de poèmes de Valery Zhigounov L’Arme de l’âme, Larmes de l’âme, Éditions Natania, septembre 2017 ; recueil bilingue de poèmes d’Ekaterina Belavina Filles, fleurs, métamorphoses en collaboration avec Jean-Louis Backès, Éditions Delirium, février 2018 ; recueil poétique de Sophie Bogarné Chambre 409, Éditions Érick Bonnier, 2020.

Il vient de traduire Phèdre de Marina Tsvetaeva pour Vibration éditions. Cette collaboration doit se poursuivre avec une proposition bilingue de Eugène Onéguine en 2021, ainsi qu’un recueil d’une soixantaine de poèmes de Goumilev (Goumilev Poésies choisies) pour publication en juin 2021. Il est déjà engagé sur une nouvelle traduction de Ariane de Marina Tsvetaeva en 2022.

Vibration-éditions : www.vibration-edition.com

Bilingue FR-RU

Nombre de pages : 198

ISBN : 978-2-490091-13-3

Prix 20€

Fabuleuse ascension de Pierre Cubat

à la Cour des Empereurs russes

” A la table des tsars “

de Nicolas de La Bretèche

Macha Publishing

 Ouvrage à la fois riche en informations historiques et unique avec 12 recettes reconstituées par un grand chef : Gérard Dupont, président d’honneur de l’académie culinaire de France.

L’histoire extraordinaire de Pierre Cubat, chef des cuisines impériales à la Cour de Russie sous les tsars Alexandre II, Alexandre III et Nicolas II.  Il est né en 1844 et mort à Alet-les-Bains en 1922, Pierre Cubat a régné sur les cuisines des trois derniers tsars de Russie.

Issu d’une famille versée dans la restauration depuis son Aude natale,ses frères Louis et André étaient déjà des cuisiniers reconnus. Plein de talent et surtout ambitieux, il comprit très rapidement que pour faire une belle carrière dans l’art culinaire il fallait se rapprocher des tables les plus réputées et les plus somptueuses de son époque. Après un apprentissage à Carcassonne il monta à Paris vers 1867 et entra au Café Anglais sous la direction d’Adolphe Dugléré. Un premier fait marquant fut sa participation à la réalisation d’un diner, celui des 3 empereurs (Alexandre II, Guillaume Ier et le Prince de Bismarck).

Il décida de partir pour St Petersbourg, et commença une carrière chez un grand duc, parent du tsar Alexandre II, il invita le tsar qui goûta les plats de Pierre Cubat, les ayant apprécier, au point que le cuisinier devient le chef attitré de l’autocrate impérial (après avoir passé un concours), quelques années plus tard le tsar fut assassiné (1881).

Pierre Cubat entouré de sa brigade.

Pierre Cubat revint en France où il cultiva la vigne…. Mais détruite par le phylloxéra. Il retourna en Russie, où il fit fortune en tenant un restaurant le “Cubat”. Au début du XXème siècle, le restaurant “Cubat” a été l’un des premiers endroits de la ville, décoré avec de la publicité clignotante électrique – “A. CUBAT “

Salle du restaurant Cubat.

Les contemporains pouvaient admirer les intérieurs confortables du restaurant, en particulier les rideaux de couleur crème.

Publicité dan l’annuaire téléphonique de St Pétersbourg 1902.

Puis le «Café de Paris», Bolchaïa Morskaïa n° 16 , à Saint-Pétersbourg.

Menu du Café de Paris 19oct 1909

 

Café de Paris  à Saint-Pétersbourg.

Le Tsar Nicolas II  ayant dîner à Paris à l’Hôtel Païva, restaurant de Pierre Cubat qu’il ouvrit sur les Champs Elysées devenu un restaurant de luxe, attirant toute la haute bourgeoisie parisienne, lui demande de revenir pour être son cuisinier à la cour.

Un des salons de l’Hôtel de la Païva av des Champs Elysées à Paris.

Le Tsar Nicolas II viendra y déjeuner à l’occasion de l’inauguration du pont Alexandre III. Ce dernier lui  offrit en 1905 une belle carrière en étant à son service comme cuisinier à la cour impériale de Russie, avec une rente en tant que lieutenant‑colonel de l’armée russe (Kamer‑​​Fourrier). Pierre Curbat n’attendra pas les premiers évènements violents de la Révolution. Il revint en France en 1905  et passera une partie de sa retraite dans sa résidence principale à Alet, la villa Livadia.

Très affecté par le massacre de la famille impériale de Russie, il décéda le 6 octobre 1922, à l’âge de 78 ans. Il fut enterré dans le cimetière d’Alet avec son uniforme de Kamer‑​​fourier.

Tenue de Kamer-fourier (?).

C’était un homme insaisissable, pourtant il est difficile de passer inaperçu quand on est à la tête d’un service aussi hautement stratégique que la célébration de la table de trois tsars, durant une quarantaine d’années et d’un restaurant réputé.

L’auteur

Nicolas de la Bretèche, historien et conférencier, historien, écrivain, journaliste, musicien… Passionné par la Belle Epoque, en 2000 il a fait une biographie à la cantatrice Marthe CHENAL (1881-1947).
Passionné par des célébrités qui n’ont jamais complètement disparu de la mémoire collective, il a à cœur de les faire ressurgir du passé et de leur redonner vie pour le plus grand plaisir de ses lecteurs,  d’où  cet ouvrage sur la passion et le destin exceptionnel de ce cuisinier hors pair, qu’était Pierre Cubat, alliant histoire et gastronomie.

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Macha Publishing

ISBN : 9782374370569

25 X 29,5 cm

128 pages

Prix : 29,90 €

Disponible en Librairie.

“SYMBOLIQUE DES COULEURS.

Art, design, architecture.”

Éditions du Palais, 2020

de Larissa Noury

Le 3ème livre de Larissa Noury, coloriste en art, design et architecture vient de
paraître aux éditions du Palais sous le titre de “Symbolique des couleurs. Art, design, architecture” « L’intelligence de la couleur est une espérance du bonheur ». Pour l’auteur la couleur s’invite dans touts les domaines de la création, que ce soit la mode, le design, l’architecture ou l’art. Ce livre est le fruit des recherches et des nombreux voyages de Larissa Noury, est destiné à être une référence tant pour les étudiants en art ou en architecture que pour le grand public.

Magnifiquement illustré par des photographies uniques de l’auteura, il nous promène de siècle en siècle et d’un continent à l’autre dans l’univers de l’harmonie des couleurs.

Il met en lumière l’évolution du langage de la couleur à travers les civilisations, les styles et les mouvements artistiques. Dans la ville, comme dans l’art ou la décoration, les harmonies de couleurs sont en constantes mutation.

Née en Biélorusie, Larissa Noury a obtenu le diplôme d’architecte à l’école polytechtnique de Minsk et soutenu deux thèses de doctorat: une en architectecture à Saint Pétersbourg et une en histoire de l’art à Bordeaux sus la présidence de Lichel Pastureau. Larissa est coloriste et jongle entre plusieurs activités: l’art et la peinture tactile, le stylisme et l haute couture, l’architecture et l’environnement, la photo et les reportages sur la couleur dans la ville et sur sa symbolique culturelle.

Médaille d’or du Concours Lépine Designe International, elle a réalisé plusieurs études chromatiques pur des villes en France et à l’étranger. Elle est chercheur invitée à l’Institut Scandinave de la couleur à Stockholm  et a enseigné la couleur comme professeur invitée à l’Université de Bordeaux III, ainsi qu’à l’École Supérieure des Arts et Techniques de Paris. Elle est actuellement professeur à l’École ITECOM Art et Design.

Ses œuvres picturales sont dan les collections privées et dans plusieurs musées de différents pays du monde.

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Librairie La Mazarine 

78 Rue Mazarine, 75006 Paris

Tél : 01 48 33 46 37

Métro : Odéon (ligne 4 et 10)

  • Poids : 617 g
  • Relié : 167 pages
  • ISBN-13 : 979-1090119840
  • Dimensions : 17 x 23.5 cm

Prix :  37€

Le livre est disponible sur les sites Amazon, Fnac, Espace Culturel E.Leclerc
etc.
Livre dédicacé depuis le site de Larissa Noury: CLIQUEZ
(plus frais de port 8€)

Un livre fascinant !

 

Тайны замка Арсин ” 

“Les secrets du château d’Arsine”

Une pension de l’émigration russe

de Kira Ruchti

Éditions ЛЕТО, fév 2019

( livre en russse )

 

 

 

 Il y a un château ancien, un ancien pensionnat russe. Son histoire, les destins de ses pensionnaires et les légendes qui y sont associés sont devenus le contenu du livre-album «Les secrets du château Arsine».

 

 

Le livre-album raconte l’histoire du château d’Arsine, situé en France en Haute-Savoie dans les Préalpes à 20 kilomètres de Genève, sur la route de Chamonix, au pied même des Alpes, se trouve une petite ville discrète :  Saint-Pierre-en-Faucigny.

Cyrille d’Ennemond d’Aurémont de Coiffy de Fresnes, né en Russie en 1851, marié à Anne, née de Gavrilov en 1855 à Saint Pétersbourg qui permettra par cette acquisition auprés Louis Rivérieulx de Chambost en 1909 et de créer un foyer d’ « émigration russe ».

L’ouvrage parle des événements qui se sont passés ici dans le premier tiers du XXe siècle, jusqu’en 1937. Le livre décrit les propriétaires et certains pensionnaires du château qui est devenu une pension pour les Russes de la première vague d’émigration de la Russie bolchevique. Ici un prêtre russe servait des services religieux et après il a été inclus par l’église dans le corps glorieux ; ici ont eu lieu des réunions des hauts responsables de l’État dans l’ambiance informelle. Ici Marina Tsvetaeva et ses enfants ont passés les étés de 1930 et 1936 ; Serguei Efron est venu ici à plusieurs reprises.

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Marina Tsvetaeva et son chien Saboia.

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Ce livre contient de nombreuses photographies rares de ces années, il y a des photos modernes intéressantes.

La pension fondée dans le château est devenue un refuge et un lieu de rencontre pour les membres de « l’Union de retour dans la patrie », qui a été sous tutelle des organes de NKVD de Moscou. La pension a été fermée en 1948.

C’est pour ça que les locaux appelaient le château d’Arsine “Le château rouge”. La réalisation des rêves des pensionnaires – le retour dans leur patrie – ont devenue fatale pour beaucoup d’entre eux.

 

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L’auteur du livre, Kira Ruchti est née à Moscou, après avoir obtenu son diplôme de l’Institut d’ingénierie électronique, elle a travaillé à Genève, où elle a rencontré son marie. Elle est la présidente de l’Association Autour de la Russie , qui fournit une assistance aux institutions pour enfants dans le besoin en Russie et travaille en étroite collaboration avec la Maison des Russes de l’étranger à Moscou.

 

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ISBN 978-5-94509-089-7

Tirage limité

Prix : 20€

Commandez à :

Association Autour de la Russiekiraruchti@sfr.fr

 

 

” Souvenirs sur Sergei Chepik “

TOME I . La période russe 1953-1988

par Marie Aude Albert

SERGEI CHEPIK (Kiev, 1953 – Paris, 2011), salué par la presse anglo-saxonne comme « un visionnaire fulgurant » et « l’un des plus grands peintres de la Russie » fut un artiste « inclassable », formé à la prestigieuse Académie des Beaux-Arts de Saint-Pétersbourg, résolument figuratif et à contre- courant d’un certain art dit « contemporain ». Tout en vivant et travaillant depuis 1988 à Montmartre, il exposait principalement à Londres où il connaissait un très grand succès.

Cet ouvrage rassemble les souvenirs de parents, amis et condisciples, recueillis en russe et traduits par son épouse Marie-Aude Albert-Chepik, après la disparition prématurée de l’artiste le 18 novembre 2011. Ces témoignages évoquent non seulement l’enfance et la jeunesse de Sergei Chepik en URSS, mais encore la vie culturelle et artistique de Kiev, Moscou et surtout Leningrad dans la seconde moitié du XXe siècle.

СЕРГЕЙ ЧЕПИК (Киев, 1953 – Париж, 2011), русский живописец обучившийся в престижной Академии Художеств Санкт-Петербурга, не поддавался «никакой классификации», но бесспорно являлся представителем фигуративного изобразительного искусства, не принимая так называемое «современное искусство». С 1988 года, он жил и творил в Париже, однако выставлялся преимущественно в Лондоне, где его приветствовала пресса, называя «чутким провидцем» и «одним из наиболее великих современных русских художников».

В этой книге собраны воспоминания родственников, друзей и сокурсников, записанные на русском языке его супругой Мари-Од Альбер-Чепик после ранней кончины художника (11 ноябрь 2011). Эти воспоминания воскрешают не только детство и молодость Сергея Чепика в СССР, но также рассказывают о культурной и художественной жизни во второй половине ХХ-ого века в Киеве, Москве и больше всего в Ленинграде.

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Marie Aude Albert-Chepik est titulaire d’une licence d’histoire de l’art, d’une agrégation de littérature russe et d’un doctorat ès lettres de l’Université de Paris-IV Sorbonne. Elle a publié quatre monographies en français et en anglais sur le peintre Sergei Chepik (1994, 2006, 2008, 2013) et a participé à l’ouvrage de Chepik sur La Garde Blanche de Boulgakov. Elle a organisé quatre rétrospectives de l’œuvre de Chepik, une à Londres (2014) et trois à Paris (2016, 2018 et 2019). Elle a produit plusieurs films documentaires sur l’artiste. Elle est présidente-fondatrice du fonds de dotation ” The Sergei Chepik Charity Trust “.

Plus de renseignements : www.chepik.com

Voir également sur Artcorusse.

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Format: album d’art, 27 x 24 cm, relié, cartonné, illustré, 176p.

ISBN : 978-2-9526636-5-6

Prix : 35€

En vente:

Librairie MCGRIFFS, 111 rue Caulaincourt 75018 Paris

Les Éditeurs Réunis-Ymca Press, 21 rue de la Montagne Ste Geneviève, V° Paris

Commander par courriel:   contact@chepik.com

 

Sortie en librairies

jeudi 15 octobre 2020

 

“A la recherche du tombeau perdu”

sur les traces de Napoléon et du

Général Gudin en Russie

de Pierre Malinowski

avec Anne Pouget

Préface d’Hélène Carrère d’Encause

de l’ Académie française

Éditions du Cherche-Midi

 

César Charles Étienne Gudin de la Sablonnière, dit Charles Étienne Gudin, comte de l’Empire, né le  à Montargis dans la Loiret et mort le à Smolensk. Condisciple et ami de l’Empereur à l’école militaire de Brienne, le général Charles Etienne Gudin était l’un des meilleurs officiers de son exceptionnelle génération. Fauché par un boulet de canon à la bataille de Valoutina Gora à Smolensk, en 1812, la nouvelle de sa mort après une agonie de trois jours, toucha profondément Napoléon⠀

Général Gudin, Huile sur toile de Georges Rouget 1839

207 ans après la Campagne de Russie, la dépouille d’un général d’Empire est retrouvée à 400 km de Moscou. Récit d’une incroyable expédition archéologique.

Un mystère de plus de 200 ans découvert par une équipe d’archéologues franco-russe. Charles Étienne Gudin de la Sablonnière a été fauché le 19 août par un boulet de canon ennemi lors de la bataille de Valoutina Gora, à 20 kilomètres à l’est de Smolensk, ville russe près de l’actuelle frontière avec le Belarus.

Amputé de la jambe gauche, le général, que l’on disait très apprécié de Napoléon, meurt trois jours plus tard de la gangrène, à 44 ans. Une équipe franco-russe d’archéologues a repris les recherches en mai 2019 à l’initiative de Pierre Malinowski, un historien et ancien militaire français, disposant d’appuis au Kremlin et président de la Fondation franco-russe des initiatives historiques.

 

 

Début juillet, l’équipe a découvert des ossements présentant des blessures correspondant à celles du général. “Dès que j’ai vu un squelette qui n’avait qu’une jambe, j’ai compris que c’était notre homme“, raconte la cheffe de l’équipe d’archéologues Marina Nesterova.

 

 

10 juillet 2019 : au terme d’une intense campagne de fouilles, Pierre Malinowski met au jour un cercueil vieux de 207 ans. Nous sommes à Smolensk, à 400 kilomètres à l’ouest de Moscou, et le jeune français vient de retrouver la sépulture du général Gudin, fidèle de Napoléon, mort après la prise de la ville par la Grande Armée.

 

Avec la collaboration de l’historienne Anne Pouget, Pierre Malinowski nous raconte son incroyable expédition archéologique, conduite avec une détermination sans faille, qui a eu raison du septicisme et des obstacles administratifs. Car les historiens ignoraient jusque-là le lieu exact où le général avait été inhumé. Soumis aux aléas du temps et aux aménagements urbains, le tombeau a bien failli être perdu à jamais !
Ce livre relate aussi la biographie de ce général d’Empire, dont la dépouille sera rapatriée aux Invalides. Des funérailles nationales sont prévues au printemps 2021, en présence de Vladimir Poutine et d’Emmanuel Macron.

Blessure mortelle du général Gudin à la bataille de Valoutina Gora, par H. F. E. Phiippoteux .

Des photographies des fouilles et de nombreux documents d’archives, dont certains inédits, accompagnent ce récit croisant Histoire et aventure.

Mercredi 4 Décembre au cimetière de Saint Maurice sur Aveyron pour remettre en place les éléments appartenant au frère de Charles GUDIN qui ont servi à authentifier sa dépouille retrouvée à Smolensk.

Très impliqué dans le retour du général Gudin, Le Souvenir Napoléonien espère pouvoir vous annoncer la bonne nouvelle le 9 Décembre prochain. Date à laquelle les Présidents Macron et Poutine tiendront une conférence de presse qui devrait annoncer officiellement le retour du général mortellement blessé par un boulet de canon pendant la campagne de Russie en 1812.

L’auteur

 

Pierre Malinowski est né en 1987 dans la Marne, haut lieu de batailles de la Première Guerre mondiale,  il consacre sa vie à rechercher les dépouilles de soldats engagés dans les conflits qui ont meurtri l’Europe. Il est président de la fondation franco-russe des initiatives historiques.

Editeur  Le Cherche-Midi

Date de parution15/10/2020

 

Collection : Documents

Format : 14cm x 22cm

Nombre de pages : 304 pg

Prix : 18,50€

 

 

Sortie le 21 octobre 2021

Chez Fayard

” Un ambassadeur  russe à Paris “

d’ Alexandre Orlov

avec Renaud Girard

 

 

Les Mémoires d’un grand diplomate russe qui est né et a tracé sa carrière diplomatique pendant l’ère soviétique pour devenir durant la décennie 2010 ambassadeur de France durant neuf ans.
Voici les Mémoires d’un homme né à Moscou en 1948, qui a commencé sa carrière diplomatique en France sous Pompidou et l’a terminée sous la présidence Macron.
Dans son pays, Alexandre Orlov a débuté son parcours dans l’Union soviétique de Leonid Brejnev pour l’achever dans la Russie de Vladimir Poutine. Sous Gorbatchev, il observe de près la succession rapide des événements qui transforment l’URSS jusqu’à la faire disparaître.
Après son passage au Conseil de l’Europe à Strasbourg, il parvient à la consécration de ce long itinéraire français et de sa passion pour la France en devenant ambassadeur à Paris durant neuf ans.
Parmi ses réussites, la construction de la nouvelle cathédrale russe à Paris  sur le quai Branly,  associée à un centre culturel. En 2017, Alexandre Orlov organise la rencontre de Versailles entre les présidents Macron et Poutine, qui a donné naissance au Dialogue de Trianon, forum des sociétés civiles russes et françaises, auquel il participe activement aujourd’hui.
Ces Mémoires sont pour nous, Français, l’occasion de connaître le cheminement d’un citoyen soviétique qui témoigne que l’on pouvait aussi être un Soviétique heureux. Il est vrai qu’Alexandre Orlov a appartenu à une partie de la société que les tragédies du système soviétique ont épargnée. On est, comme le dit Hélène Carrère d’Encausse dans sa préface, devant un «  témoignage qui revendique le monde qui l’a formé et qui permet de mieux comprendre le désarroi de nombreux Russes ou Soviétiques devant la disparition d’un pays et d’un système auxquels ils entendent rester fidèles  ».
En faisant revivre les cinquante dernières années de la Russie et de la France, Alexandre Orlov nous fait comprendre tout ce qu’elles ont en commun.
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EAN : 139782213713083
ISBN : 978-2-213-71308-3
Nombre de pages : 270
Dimensions : 21.5×13.8×1.8
Prix : 20€

Venez chez BOREALIA

découvrir

Le chant Mama Chamana

&

Mama Chamana parle la langue de la terre.

 

écrit par Yana Mori

 

Boréalia 33 rue de la Villette, 75019 Paris

 

Et si Mère-Nature était une femme ?
Pénétrez dans son monde merveilleux.
Et laissez les histoires de Mama Chamana faire résonance dans votre âme.
Héroïne universelle, elle dompte le temps et les éléments,
façonne le monde comme elle pétrit une pâte à gâteau.

Les histoires de Yana Mori ont conquis les lecteurs du monde entier. « Le Chant de Mama Chamana » est un message de mots et d’images destiné à tous les rêveurs, parents et enfants ! Chaque jour, ces visions métaphoriques nous chantent la simplicité et la beauté de la vie et nous rappellent que force et équilibre résident en chacun de nous.

MAMA CHAMANA, femme universelle fragile et forte à la fois, Terre-Mère dont la douceur n’a d’équivalent que la puissance, vit en chacun de nous et ses pensées sont aussi vieilles que le monde. Mama Chamana a l’éternité devant elle ; elle parle de mer à celui qui apporte le désert, se transforme en oiseau à la vue du ciel, en vague à la vue de l’océan… Mama Chamana observe le monde dans toute son effrayante beauté. Les prophéties sont ses histoires préférées. Elle en invente chaque soir, et pendant des siècle, les gens les écoutent sur la Terre entière.

À travers ces deux livres pleins de poésie, immergez-vous un univers onirique doux comme du coton !

Plus de renseignements : CLIQUEZ

 

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BOREALIA

33 rue de la Villette 75019, Paris

Métro : Jourdain (ligne 11)

Tél :  06 07 62 93 77

Plus de renseignements : CLIQUEZ

Va bientôt paraître

” KGB “

Signature le 20 août 2020

Editions Perrin

 

 

Bernard Lecomte, ancien grand reporter et spécialiste des pays de l’Est, qui a couvert pour L’Express les dernières années du communisme, signera le 20 août chez Perrin, un volumineux ouvrage (500 pages) intitulé “KGB, la véritable histoire des services secrets soviétiques”. “Trente ans ont passé depuis que l’URSS s’est effondrée, en 1990. Depuis, à Moscou, les archives se sont ouvertes, les témoignages se sont multipliés, les révélations ont succédé aux révélations et notamment à propos du plus secret des piliers du système soviétique : le KGB”, rapporte l’éditeur.

“Le Kremlin. Derrière ses murailles de brique rouge, combien la célèbre forteresse moscovite a-t-elle abrité de complots, de crimes et de trahisons ? Depuis la révolution de 1917, elle est le centre et le symbole de l’Empire soviétique fondé par Lénine et Trotski, conforté par Staline, géré par Khrouchtchev et Brejnev, mis à bas par Gorbatchev et restauré, tant bien que mal, par Poutine. Un siècle de grandeur, de terreur et de mensonges !
Combien d’énigmes, d’ombres, d’interrogations et de secrets reste-t-il derrière ses remparts ? Bernard Lecomte mène l’enquête avec brio et livre seize épisodes fracassants et emblématiques de ce monde de feu et de sang, où se côtoient le drame et le romanesque.

 Quelle riche histoire que la sienne : la Tcheka, la guerre civile, la GPU (dernier avatar avant la fondation du KGB proprement dit), les procès staliniens, le Goulag, la guerre froide, la dissidence ! Combien de personnages hors du commun l’ont incarnée au fil des années : Lénine, Dzerjinski, Iagoda, Iejov, Beria, Staline, Serov, Andropov ! Et combien de silhouettes ambiguës et romanesques ont traversé ce formidable théâtre d’ombres : Münzenberg, Mercader, Philby, Trepper, Kravchenko, Fuchs, Rosenberg, sans parler d’un certain… Vladimir Poutine ! “

 

Bernard Lecomte a été chef du service étranger de La Croix, grand reporter à L’Express et rédacteur en chef du Figaro Magazine. Spécialiste reconnu du Kremlin et du Vatican, auteur de deux biographies magistrales de Jean-Paul II (Gallimard, 2003) et de Gorbatchev (Perrin, 2015), il a notamment publié : Dictionnaire amoureux des Papes (Plon, 2016), Les secrets du Kremlin (Perrin, 2017), Le Pape qui a vaincu le communisme (Perrin-Tempus, 2019) et Tous les secrets du Vatican (Perrin, 2019).
EAN : 9782262085629
Code sériel : TEMP
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 352
Format : 108 x 177 mm
Tarifs :  24€ .

 

” La Russie au tournant du millénaire “

l’Arc-en-ciel de l’âme russe

de Christian Faure

 

Parution 28 octobre 2020

 

 

La Russie, terre de révélation, pour le meilleur et pour le pire, est au cœur de cet ouvrage. À la fin du XIX° siècle, le roman russe a étonné ravi les intellectuels et artistes occidentaux de Nietzche à Gide, attirés par la vie et la sensibilité de l’âme russe.

La période concernées ici marque un tournant, entre deux présidents : Eltsine et poutine, entre deux siècles et même deux millénaires. Les changements ‘opèrent souvent en Russie à la conjointure de siècles. N’oublions pas que le baptême de la Russie en 988 précédait de très peu le second millénaire.

C’est à travers les couleurs de l’arc-en-ciel que sont abordés les aspects de la vie en Russie. Les sept couleurs, diffractant l’unité de la lumière, représentent les tonalités contrastées de l’existence. Compte-tenu de séjour, essai se référant à la culture russe, cet ouvrage est un témoignage exempt de considération politiques.

Un point de vue personnel fondé sur l’expérience et une présentation originale.

 

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Agrégé de Lettres Modernes, Christian Faure, stéphanois, il a enseigné en France et en Pologne, il a aussi servi au ministère des Affaires étrangères en Pologne puis fut attaché culturel et directeur de l’Institut Français de Saint-Pétersbourg (1997-2001). En 2018, il a publié Mai 68, l’éruption postmoderne (l’Harmattan), il séjourne alternativement en Europe et en Nouvelle Angleterre.

Du même auteur : “L’Èclipse russe” La société des écrivains, 2016. “Mai 68 l’Éruption postmoderne“, l’Harmattan 2018. “Le pays des posibilités, récits de Pétersbourg“, l’Harmattan 2020. (Voir sur Artcorusse)L’Imparfait de l’amour, Récits de Petersbourg“, l’harmattan 2020. (Voir sur Artcorusse).

 

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ISBN : 978-2-343-21500-6

Format: 21,5 x 13,5 cm.

Nombre de pages : 256.

Prix : 25€

L’Harmattan

5-7 Rue de l’École Polytechnique, 75005, Paris

Tél : 01 40 46 79 20

www.edition-harmattan.fr

 

Soirée littéraire pour la sortie de la nouvelle traduction

du chef d’œuvre de Mikhaïl Boulgakov

” Le Maître et Marguerite”

en présence des traducteurs:

André Markowicz et Françoise Morvan

Mercredi 16 septembre 2020 à 19h 30

Librairie du Canal, X° Paris

 

 

Soirée exceptionnelle avec André Markowicz et Françoise Morvan à l’occasion de leur traduction du chef d’œuvre de Boulgakov “Le Maitre et Marguerite” (ed Inculte)

Moscou, années 1930, le stalinisme est tout puissant, l’austérité ronge la vie et les âmes, les artistes sont devenus serviles et l’athéisme est proclamé par l’État. C’est dans ce contexte que le diable décide d’apparaître et de semer la pagaille bouleversant les notions de bien, de mal, de vrai, de faux, jusqu’à rendre fou ceux qu’il croise.

Chef-d’œuvre de la littérature russe, livre culte à travers le monde, Le Maître et Marguerite dénonce dans un rire féroce les pouvoirs autoritaires, les veules qui s’en accommodent, les artistes complaisants, l’absence imbécile de doute.

André Markowicz a une mère russe et un père français d’origine polonaise. Il s’est fait connaître par la nouvelle traduction qu’il a donnée des œuvres complètes de Fiodor Dostoïevsk, entreprise commencée en 1991. Il a traduit le théâtre d’Anton Tchekhov avec Françoise Morvan, qu’il a rencontré en 1985. Leur traduction de Platonov a été récompensée par un Molière en 2006.  Il a traduit des œuvres d’Alexandre Pouchkine et de Nicolas Gogol. En 2019, il crée la société Les Éditions Mesures, dont il est le président.

 

 

Librairie du Canal 

2 rue Eugène Varlin, 75010 Paris

Tél : 01 42 08 72 78

Vient de publié pour le 200ème anniversaire de la naissance

de Fédor Dostoîevski en 1821.

“Dictionnaire Dostoïevski”

de Michel Niqueux

Collection CLEFS pour …

Une porte d’entrée dans l’univers fascinant mais complexe de l’œuvre de Dostoïevski, — c’est ce que veut être chacun des 118 articles de ce Dictionnaire, qui comporte :

—  Des notices sur tous les récits et les romans de Dostoïevski, qui permettent de dépasser le côté anecdotique des œuvres.

—  Des articles transversaux sur la poétique et l’esthétique, ainsi que sur les grandes notions métaphysiques ou idéologiques qui s’affrontent dans le champ de bataille qu’est le cœur des person- nages de Dostoïevski.

— Des entrées sur les écrivains qui en amont ont nourri Dostoïevski (Balzac, Gogol, Hugo, Pascal, Pouchkine, George Sand, etc.) et qui en aval ont eu, au XXe siècle en France, un dialogue fécond avec lui (Camus, Claudel, Gide, Malraux…)

… et des sujets inattendus comme le bestiaire de Dostoïevski, l’ennui, Lénine, la nourriture, le rêve du ménage à trois, le marquis de Sade, le soleil couchant, l’adverbe « soudain », etc.

Outre un aperçu de tous ses récits et ses romans, vous découvrirez les auteurs qui l’ont inspiré et qu’il a nourris (comme Freud, Nietzsche, et Camaus) et les idées forces qui traversent le magma incandescent de son univers, et des sujets inattendus comme le bestiaire de Dostoïevski, l’ennui, Lénine, la nourriture, le rêve du ménage à trois, le marquis de Sade, le soleil couchant, l’adverbe “soudain”, etc.

Dans tous les cas, c’est Dostoïevski qui a d’abord la parole, avant de laisser place à ses commentateurs. Nourri de nombreux travaux français, russes et anglo-saxons, ce Dictionnaire s’adresse aux « débutants » comme à ceux qui sont déjà familiarisés avec le monde de Dostoïevski. Accompagné d’index, de bibliographies et d’illustrations, il est conçu pour faciliter ou enrichir la (re)lecture de l’œuvre de Dostoïevski, et paraît pour le bicentenaire de la naissance de l’écrivain.
 
 

Michel Niqueux est professeur émérite de l’Université de Caen-Normandie. Il a publié à l’IES L’OCCIDENT VU DE RUSSIE : anthologie de la pensée russe, de Karamzine à Poutine (2ème édition, 2017).

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Institut des Études Slaves
9 Rue Michelet, 75006 Paris

RER B Luxembourg ou Port-Royal
Métro : Vavin (Ligne 4), Notre Dame des Champs (ligne 12)
Bus : 38, 83

Collection CLEFS pour… n° 3
ISBN : 978-2-7204-0662-1
Format : 15,5 cm × 22,0 cm × 2,0 cm
320 pages broché
Prix : 22€ 75

Commande à l’Institut des Études Slaves : CLIQUEZ

Vient de sortir 

Autour des brigades russes pour la France,
1915-1917

de Gilbert Cahen

Dès les premiers mois de la Guerre 14-18, germa l’idée de demander à la Russie de mettre à disposition de la France d’importants effectifs russes pour pallier l’hécatombe du front occidental. Nicolas II était en effet réputé avoir un réservoir humain presque inépuisable, mais se trouva par les défaillances de son gouvernement, rapidement dépourvu d’armement. La situation était alors propice pour que le marchandage franco-russe entre matériels humain et militaire fût entrepris.
L’idée était aussi funeste que simple : la France avait besoin d’hommes, la Russie d’armes. Mais dans la réalité de la guerre, ce plan s’avéra fort complexe d’autant que des situations aussi imprévues que variées gravitant autour de cette entreprise, compliquèrent davantage la concrétisation de l’envoi d’hommes russes au profit de la République, ce bénéfice fût-il aussi envers les Alliés. Leur transport à destination de la France ou de la Macédoine et celui de l’armement vers la Russie étaient à eux seuls déjà une gageure ne manquant pas de hardiesse : ports gelés six mois sur douze, canons, fusils et munitions acheminés par traînage à rennes, accidents récurrents des usines d’armes, explosions de navires à quai, mers parsemées de mines flottantes et de torpilleurs sous-marins, et bien d’autres difficultés à l’instar de celles provoquées par la libération des prisonniers alsaciens-lorrains vers la France ou le scandale des russes fusillés, engagés volontaires dans la Légion étrangère.
S’ajoutaient à cela l’état quasi inopérant de la mission militaire française et l’instabilité d’un pouvoir russe miné de toutes parts. En dépit de ce contexte peu favorable, les émissaires de la République envoyés auprès du Tsar et du Grand Quartier Général russe, arrachèrent un accord d’intégration de plusieurs brigades au sein de l’armée française. Mais quelle énergie dépensée pour obtenir finalement des effectifs bien moins compensatoires que symboliques !

Gilbert Cahen, l’auteur est ancien professeur de lycée en Cinéma-Audiovisuel, ecrivain et documentaliste

  • Date de parution : 19/01/2021 
  • ISBN : 978-2-9575899-0-6 
  • Broché, 428 pages 
  • Poids : 0.95 Kg
  • Dimensions : 16,0 cm × 24,0 cm × 2,3 cm

Tarif : 25 €uros
 
Commande : gilbert.cahen@wanadoo.fr    &  sur AMAZONE.

Vient de paraître

“La vérité sur l’incendie de Moscou”

de Fedor Rostoptchine

Dossier historique de Natalia Griffon de Pleineville

L’Esprit du Temps publie l’intégralité de ce texte qui n’avait pas été réédité depuis longtemps.
La vision historique complète de l’incendiaire de l’ancienne capitale des tsars par le comte Fédor Rostopchine, accompagné des réfutations de plusieurs auteurs français contemporains.
Natalia Griffon de Pleineville, spécialiste incontestée de cette époque, replace ce texte essentiel dans le contexte du début du XIXe siècle, apportant un éclairage moderne sur la polémique ayant suivi la publication de cet essai déjà célèbre à son époque.

,  général russe, ministre des affaires Étrangères   de 1799 à 1801,  sous Paul 1er, puis gouverneur général de Moscou  de 1812 à 1814, au moment où la Grande Armée napoléonienne prend possession de la ville en 1812, il est un témoin privilégié de l’arrivée des troupes de napoléon, de l’incendie de la ville russe et de la retraite française.
En 1823, il publie en France « sa » relation avec cet épisode dramatique.
Il est le père de la future comtesse de Ségur .

Un cahier couleurs d’images d’époque est inclus.

Dossier par Natalia Griffon de Pleinville :

  • Le singulier destin du comte Rostoptchine, Natalia Griffon de Pleineville.
  • La vérité sur l’incendie de Moscou, le comte Rostoptchine.
    Réponse de l’auteur de “L’histoire de l’expédition de Russie” à Rostoptchine, marquis de Chambray.
  • Opinion sur l’incendie de Moscou du colonel Boutourline.
  • Opinion de M. le général du génie Nemade sur l’incendie de Moscou, Pierre-Michel Nemade-Dupoyet.
  • Opinion de Léon Tolstoï et l’incendie de Moscou.
  • La Grande Armée à Moscou : les espoirs ruinés, Natalia Griffon de Pleineville.
  • Bulletins de la grande armée.
  • Les conséquences de l’incendie de Moscou selon le marquis de Chambray.
  • Mémoires écrits en dix minutes, comte Rostotchine.
  • Tableau de la France en 1823, comte Rostoptchine.
  • Bibliographie

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Natalia Griffon de Pleineville, née en Russie, est historienne, traductrice et conférencière, renommée en France et en Russie. Spécialiste de l’histoire militaire, ancienne rédactrice en chef de la revue Gloire & Empire.  Elle a été lauréate du Prix Georges Mauguin de l’Académie des sciences morales et politiques pour sa biographie du général Gazan en 2015. Elle est aussi l’auteur d’une dizaine d’ouvrages, toujours en lien avec l’Histoire de France et plus particulièrement l’Empereur Napoléon, “La Corogne, 1809“, “Napoléon en Pologne“, “Chiclana-Barrosa, 1811“, “Les généraux russes face à Napoléon“, “La première invasion du Portugal par l’armée napoléonienne”….

Dernière recrue de L’Esprit du Temps, elle prépare plusieurs ouvrages d’histoire. Elle présente ces textes de Rostoptchine et de ses contradicteurs en les complétant d‘une étude inédite sur l’incendie de Moscou qui débute le 14 septembre 1812.

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Éditions :  L’Esprit du Temps
Collection : Les textes essentiels
Auteur: Comte Fedor Rostoptchine
Format : 14 X 19 cm
295 pages, broché
ISBN : 978-2-84795-514-9
Prix : 20 €

RÉOUVERTURE de la BOUTIQUE

BORÉALIA

 

“Cœur de Bronze”

Antologie des écrivains mongoles

du XXième siécle

Editions Boréalia, collection “Les Nordiques ” (7)

 

“Laissez-vous conter l’histoire du berger Sampil et de ses amours nostalgiques, elle du moine Lodon pris au piège de la belle Tserenlkham, ou encore celle de Baldan, le chasseur de loups du désert de Gobi. Fzites-vous surprendre par le destin du Vénérble moine à la Rectte d’Or ou de l(homme qui lançait des peirres à la Femme-Chat, par la force de l’amour de Dunjaa pour son fils unique ou encorre par l’énigme de l’apparition de la mystérieuse Fille du Ciel sur les campements de yourtes… Tous, dejà, au delà des rêves et des fantasmes sont entrés dans la légende d’une Mongolie éternelle et insoumise.”

32 nouvelles rythmée par le vent des steppes. Des récits arides et sauvages par les plus grands écrivains mongols du XX° siècle, qui célèbrent la mongolie ancestrale et l’héritage de la culture nomade. Autant d’invitations au voyages qui font découvrir, à ravers son patrimoine littéraire, un visage de la Mongolie.

ISBN : 9791093466477

Prix : 18€

 

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Borealia a besoin de tout le monde en ce début de déconfinement, car la maison d’édition a, comme nombreuses petites entreprises, bien souffert ces deux derniers mois….
Vous trouverez de belles guimbardes (yakoutes et altaïennes dans des boîtes ours, panthère des neiges, loups… etc) et de l’artisanat russe, en plus des livres de Borealia et de la librairie du Nord  que vous trouverez  sur le site :  www.borealia.eu

Vente à la boutique:  Borealia éditions, 33 rue de la Villette, 74019 Paris

Renseignements : 06 07 62 93 77

” Les cornes magiques d’Ogaïlo, contes du Baïkal”

de Vassili Starodoumov traduction par P. Guichardaz

Illustrations par Raïssa Bardina

 

Les contes du Baïkal proviennent de la riche tradition orale des Evenks et des
Bouriates, peuples de chasseurs, pêcheurs et éleveurs vivant dans les immenses
steppes et forêts de la région de la Mer sacrée – le lac Baïkal, avant
l’arrivée des Russes au 17e siècle.

Un premier recueil, publié en russe à
la fin des années 1960, a connu un succès qui ne se dément pas aujourd’hui.
C’est ce recueil, traduit en japonais en 1992, qui est disponible désormais
en français, dans une édition reprenant les remarquables illustrations de
Raïssa Bardina, sous le titre :
 “Les cornes magiques d’Ogaïlo, contes du Baïkal”.

 

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44 p. 16×21 – 15,00 €

Commandez :

. Envoi par la poste, franco de port, à réception du
chèque de règlement à l’ordre de Guichardaz,

à Philippe Guichardaz,

118, chemin des Huches  74200 ALLINGES

Pour la parution du roman

Les Services compétents”

aux éditions P.O.L,

recoivent l’auteur Iegor Gran.

Samedi 7 mars 2020 à 19 h

Maison de la Poésie, 75004 Paris

Les Services compétents, ce sont les services du KGB dans les années 1960 en Union Soviétique. Le lieutenant Ivanov traque un certain Abram Tertz, pseudonyme choisi par un drôle d’écrivain qui s’échine à faire passer ses nouvelles fantastiques – jugées antisoviétiques – en Occident. Il sera identifié après six longues années d’une enquête souvent dérisoirement cocasse : les traîtres côtoient les dissidents, de fausses pistes loufoques trompent les zélés défenseurs de l’idéal socialiste, la dépouille de Staline est retirée de son mausolée. Gagarine reçoit en récompense de son exploit spatial une invraisemblable liste d’objets ménagers. Et une géniale absurdité contamine tout.
Dans ce livre, Iegor Gran raconte l’histoire de son père Andreï Siniavski, arrêté par le KGB en 1965 et condamné à 7 ans de Goulag. L’auteur s’est lancé depuis plusieurs années dans un important travail de documentation sur le dégel post-stalinien. Les Services compétents, c’est donc le roman vrai et satirique de cette histoire intime et collective.

L’auteur

Iégor Gran est né sous le nom de Iegor Siniavski en 1964 à Moscou, à 10 ans ses parents s’installent en France. Iegor Gran a publié 13 livres aux éditions P.O.L dont “O.N.G !”   Récit de la guerre picrocholine entre deux ONG, l’une s’occupant d’enfants malades, l’autre d’environnement, qui siègent dans le même immeuble. Cet ouvrage obtient le Grand Prix de l’humour noir en 2003.

En 2006, il fait paraître Les Trois Vies de Lucie, livre qui relève de la littérature sous contrainte,   puisque trois histoires différentes apparaissent selon que l’on lit la page de droite, la page de gauche ou les deux.

Il a publié toute son œuvre chez POL.

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Maison de la Poésie

Passage Moliėre
157, rue Saint-Martin – 75003 Paris
M ° Rambuteau – RER Les Halles

304 pages, 19 €
ISBN :
9782-8180-4917-4

 

 Borealia vous fait plonger dans le monde intérieur de l’auteur mongole Luvsbdorj  Ulziitugs. Mystérieuse et subtile, Ulziitugs est la poétesse  contemporaine la plus connue de Mongolie.  Originaire d’ Oulan-Bator, Ulziitugs est résolument moderne et pleine de surprises. La steppe, les nomades… ne sont qu’allusions. La ville même, n’est qu’un contexte. Les personnages d’Ulziitugs, sont des hommes et des femmes qui nous ressemblent, qui pourraient être nous. Les 13 nouvelles de son recueil “Aquarium, nouvelles de la Mongolie d’aujourd’hui” nous immergent dans 13 histoires différentes, 13 parcours de vie, 13 instants cruciaux qui rendront différentes les femmes au centre des histoires.

C’est succulent, c’est fort et doux à la fois. Une auteure à découvrir que vous aimiez ou non la Mongolie, l’ Asie. Son écriture simple et percutante, fluide et poétique, parlera à chacun.

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En ce moment, Borealia vous invite au voyage en Mongolie à la découverte de la société mongolle   Avec « Cœur de bronze », à travers 22 nouvelles par les plus grands classiques de la littérature   mongole, initiez vous à l’histoire de la Mongolie, aux secrets du bouddhisme et à la réalité de la vie mongole d’hier et d’aujourd’hui. Offrez « Comment j’ai découvert le monde », le plus grand classique de la littérature jeunesse. Délectez-vous d’« Aquarium, nouvelle de la Mongolie d’aujourd’hui », 13 histoires de femme par Ulziitugs,  la plus grande poétesse actuelle.

 

Best-seller dans son pays, auteure d’une centaine d’oeuvres littéraires, L. Ulziitugs fait partie de la jeune génération d’écrivains et de poètes mongols, des écrivains urbains fiers de la culture des cavaliers des steppes et de leur spiritualité.

Son premier livre paru en France, Aquarium. Nouvelles de la Mongolie d’aujourd’hui, est composé de  13 nouvelles issues de trois de ses ouvrages les plus reconnus. Elle est traduite par R. Munkhzul, récompensée en 2016 par le Ministère mongol des Affaires Étrangères pour son œuvre de traduction de la littérature mongole.

Prix : 15€

 

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En ce moment, Borealia vous invite au voyage en Mongolie à la découverte de la société mongolle   Avec « Cœur de bronze », à travers 22 nouvelles par les plus grands classiques de la littérature   mongole, initiez vous à l’histoire de la Mongolie, aux secrets du bouddhisme et à la réalité de la vie mongole d’hier et d’aujourd’hui. Offrez « Comment j’ai découvert le monde », le plus grand classique de la littérature jeunesse.

 

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BOREALIA

33 rue de la Villette 75019, Paris

Métro : Jourdain (ligne 11)

Tél :  06 07 62 93 77

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SOUSCRIPTION 

Le livre de Larissa Noury

” COULEURS “

Offre exceptionnelle 25 EUROS

    La couleur s’invite dans tous les domaines de la création, que ce soit la mode, le design, l’architecture ou l’art. Ce livre, magnifiquement illustré, nous promène de siècle en siècle et d’un continent à l’autre dans l’univers de l’harmonie des couleurs. II met en lumière l’évolution du langage de la couleur à travers les civilisations, les styles et les mouvements artistiques. Dans la ville, comme dans l’art ou la décoration, les harmonies de couleurs sont en constante mutation… Interactions passionnantes entre les formes architecturales et le design, de l’Antiquité à nos jours…

Née en Biélorussie, Larissa habite et travaille à Montmartre depuis 1998. Elle a obtenu le diplôme d’architecte à l’école polytechnique de Minsk, a soutenu 2 thèses de doctorat: une thèse en architecture à Saint Petersbourg et une autre en art à Bordeaux ( sous la présidence de Michel Pastoureau) et a toujours été dans la création. De sa passion pour la couleur elle en a fait un profil professionnel. Larissa est coloriste et jongle entre plusieurs activités : l’art et la peinture tactile, le stylisme et la haute couture, l’architecture et l’environnement, la photo et l’écriture des livres et des reportages sur la couleur dans la ville et sur sa symbolique culturelle. Elle est également professeur à l’Ecole ITECOM Art et Design.Ses oeuvres picturales sont dans les collections privées et dans plusieurs musées de différents pays du monde.

« L’intelligence de la couleur est une espérance du bonheur » – Larissa Noury

Le Livre de Larissa NOURY “Couleurs. Art, design, architecture” est le fruit de ses réflextions, de ses recherches et de ses nombreux voyages.

Ce beau livre d’art avec les photos uniques de l’auteur est destiné à être une référence tant pour les étudiants en art ou en architecture que pour le grand public.

Plus de renseignements sur Larissa Noury : CLIQUEZ

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Édité par les Éditions du Palais, Paris. www.editionsdupalais.com

Reliure : cartonné – Format 17 × 23 cm  – 160 pages en couleurs

Prix de vente public : 29 euros

Commandez en souscription 25 € : CLIQUEZ

( N’oubliez de mentionner votre nom et adresse)

( Cliquez sur le bon de commande et imprimez)

Il sera disponible en librairie en septembre 2020

HUMOUR RUSSE

avec Vladimir Tchernine .

On connaissait l’humour anglo-saxon, l’esprit gaulois, les histoires juives… Voilà le rire russe ! Absurde, cruel, irrésistible, plus noires que le caviar et plus fort que la vodka, ces histoires drôles venues du froid tracent de l’ex-empire soviétique un portrait criant de vérité et à hurler de rire.

 

Statistiquement parlant, le nom de Vladimir Vladimirovitch Poutine, VVP pour les intimes, est un des plus consultés sur le Net au niveau mondial. Vladimir Poutine demeure depuis trois ans d’affilée, selon Forbes et Gallup, l’homme le plus puissant de la planète. Alors que l’attitude envers la Russie change au gré des événements et de leur interprétation, les lecteurs de ce livre seront surpris d’apprendre que «Vladimir le terrible», dépeint par nos médias comme un dictateur sanguinaire est en Russie la cible privilégiée des faiseurs d’anecdotes. En russe, anecdote, un des nombreux emprunts au français, a pris une signification particulière. Il ne s’agit pas comme en France d’un fait historique curieux et amusant, mais d’une histoire drôle, inventée on ne sait par qui, qu’on appelle également «une courte» ou «une dernière». Alors qu’en Occident les histoires drôles politiques provenaient essentiellement des humoristes et de la presse, c’étaient les Soviétiques lambda qui les imaginaient en URSS. Même à l’époque de la «stagnation», sous Brejnev, notre journée de travail commençait systématiquement avec une anecdote politique racontée par un collègue. Quelques décennies après la fin de l’URSS, cette particularité culturelle n’a fait que s’amplifier. Sauf qu’au lieu d’être racontées à mi-voix comme pendant un demi-siècle dans les cuisines moscovites, ces anecdotes ont été prises en charge par le Paysage Audiovisuel Russe (PAR) et par Internet. Un phénomène culturel incontournable et incontrôlable!

Mais alors, quel rapport entre le héros principal de notre honorable ouvrage, Vladimir Poutine et le PAR, le web et l’humour en général? Justement, à mon avis aucun pays au monde, même les USA, avec tous leurs shows dédiés à Trump, ne peut se vanter d’une telle quantité de canaux dont «l’humour» et la «satire» sont la raison d’être et dont le Président de Russie fait les frais à travers des sketches, des parodies et des chansons interprétés par les artistes russes les plus connus.

 

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L’auteur

Vladimir  (Ilitch) Tchernine,  écrivain, réalisateur, producteur, chroniqueur, et comédien. Né à Moscou, en France depuis 1983.  Diplomé de l’École supérieure des langues étrangères (INIAZ) de Moscou.

Réalisateur de films documentaires: Pour ARTE , Canal +, M6, la cinquième, feu la 5, pour le télévision russe, chroniqueur pour TF1.

Auteur de : Le Tsar Co(s)mique – disponible sur amazon et Kobo (2019), postface pour Le voyage imaginairede Lev Cassil (pour la deuxième édition française, éditions Attila, 2012), Les meilleures blagues de Boris Eltsine– Editions Hors collection, 2000, 100% Russe avec Georges Volinski et Marc Voline, éditions Albin Michel – Canal+, 1995.

 

Broché

ISBN : 9781098703776

Nbr de pages : 173

Prix : 12,90€ TTc

En vente sur Amazone, FNAC, Kobo et les bonnes librairies.

 

Parution le 20 novembre 2019

 

”  De Pierre le Grand à Lénine. “

Quel roman que celui de la longue relation – trois siècles – qui tant de fois attira, unit, opposa, réconcilia la Russie et la France !

La Russie, État-continent qui s’étend en Europe et en Asie, s’est toujours revendiqué puissance européenne. Et l’Europe, pour la Russie, fut d’abord et toujours la France. Celle de Louis XIV, des Lumières, de la Révolution et de l’Empire, des idées, de la langue, de la culture, de la liberté et de la puissance.
Durant trois siècles, cette France a fasciné tous les souverains Romanov, acharnés à s’en faire reconnaître, accepter, aimer, à se voir accorder le statut de puissance égale de la France.
La France y opposa durablement méfiance et hostilité, voyant dans la Russie un pays attardé, barbare, étranger à l’Europe et dangereux, avant de s’y allier lorsque le puissant Empire allemand lui imposa ce tournant. Durant trois siècles, la relation heurtée de ces deux pays a constitué une part essentielle de l’histoire européenne avant de sombrer dans le grand cataclysme de la Première Guerre mondiale.
Cet ouvrage reconstitue cette longue relation franco-russe, il a aussi pour but d’en rechercher les constantes et peut-être un éclairage pour un présent inquiétant et difficile.

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L’AUTEUR.

© John FOLEY/Opale

Née Zourabichvili  à Paris, historienne de la Russie, Hélène Carrère d’Encausse  est élue, le , au 14e fauteuil de l’Académie française, laissé vacant par Jean Mistler, où elle a été élue secrétaire perpétuel en 1999, elle est la première femme à accéder à ce poste.

Hélène Carrère d’Encausse a reçu le prix Aujourd’hui pour L’Empire éclaté (Flammarion) en 1978, le prix Louise-Weiss en 1987, et le prix Comenius, en 1992, pour l’ensemble de son oeuvre. Sa biographie de Nicolas II (Fayard, 1996) a obtenu le prix des Ambassadeurs en 1997. Hélène Carrère d’Encausse a publié de nombreux ouvrages, notamment, La Gloire des nations (Fayard, 1990), Victorieuse Russie (Fayard, 1992), Le Malheur russe (Fayard, 1988), Lénine (Fayard, 1988), Catherine II (Fayard, 2002), L’Impératrice et l’abbé (Fayard, 2003) et L’Empire d’Eurasie (Fayard, 2005), et Alexandre II, le printemps de la Russie.

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Pages : 448
Format : 153 x 235 mm
Prix TTC :  23.00 €
EAN : 9782213713137
Code Hachette : 8561472
Prix numérique  : 15.99 €
Ean Numérique: 9782213715438
Étonnant livre bilingue russe-français
Texte de “l’Ecclésiaste”
Illustré par des gouaches d’ Ivan Kuleff
 Préface bilingue de Marc Andronikof.
L’Ecclésiaste (traduction grecque de l’hébreu קהלת Qohelet, « celui qui s’adresse à la foule ») est un livre de la Bible hébraïque, faisant partie des Ketouvim. L’Ecclésiaste semble s’harmoniser avec les autres écrits bibliques partageant des thèmes communs. L’Ecclésiaste s’accorde avec la Genèse quant à la provenance de l’homme, soit un corps composé de la poussière du sol, et possédant un esprit (ou force de vie) venant de Dieu, ainsi qu’un souffle le soutenant.
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L’Ecclésiaste réaffirme aussi le précepte toranique selon lequel la création de l’homme est parfaite et vertueuse, mais que ce dernier a choisi de son propre chef de désobéir à Dieu. Finalement, l’Ecclésiaste reconnaît Dieu comme étant Créateur de l’Univers.
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“Étonnant livre bilingue russe-français, composé du texte de l’Ecclésiaste illustré de manière suivie par des gouaches d’Ivan Kuleff, peintre dont on a pu admirer une rétrospective au centre culturel et spirituel orthodoxe russe en février 2019.
 Préface bilingue de Marc Andronikof. »
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Ivan Kuleff, né en Russie en 1893 à Rostov-sur-le-Don, il est mort à Montmorency (prés de Paris) en 1987. A la fin de ses études de peintures à Moscou, puis à Saint Pétersbourg, il est envoyé  combattre sur le front turc dendant la Prem!ère Guerre Mondiale. La révolution russe de 1918 le contraint à l’exil. Il travaille alors comme peintre, décorateur de théâtre, restaurateur de fresque dan les Balkans, puis s’installe définitivement en France en 1927.
Dans les années 1940, il écrit des cycles de peintures sur les thèmes de la Divine Comédie, de l’Apocalypse et du Livre de Job de Dante. Pour des illustrations de la “Divine Comédie”, il a reçu le prix du salon Meudon. En 1947-1948, il organise des expositions personnelles à Bruxelles, La Haye et Meudon (près de Paris).
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Voir sur Artcorusse : CLIQUEZ
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118 pages.
Format 30,5 cm x 20 cm
Prix : 30€
Vente : Librairie des Éditeurs Réunis, 11 Rue de la montagne Ste Geneviève, 75005
Paroisse de la Présentation, 91 rue Olivier de Serres 75015 Paris
(avant ou après les offices).

Au XI ème Salon du Livre Russe

Mairie du Vème , Paris

 

Nathalie Gigounova-Komarova

 

Linguiste d’origine russe, ayant passé ses diplômes universitaires dans cinq pays différents et maîtrisant huit langues, elle est la spécialiste des idiomes et expression populaires qu’elle compare d’un pays à l’autre.

L’humour russe c’est plus que de l’humour, c’est un état d’esprit. Anecdote (анекдот) a un sens particulier en russe. Il ne s’agit pas de la petite histoire révélant le dessous des choses mais plutôt d’une histoirette inventée pour ses moquer de réalités et qui permet d’attaquer de front, de se poser des questions.

On connait l’humour anglais, les histoires juives, les blagues belges… Mais sait-on que les russes, tout au long de leur histoire émouvante et agitée, ont dévellopé une forme d’humour remarquable et singulière.

L’humour russe est l’une des plus importantes formes de culture populaire verbale mais, hélas, presque aucune de ses riches traditions n’a été exportée à l’ouest indéniablement, le reste du monde est passé à côté de quelque chose.

Ce premier recueil non exhaustif vient combler ce manque en mettant enfin en lumière un humour parfois piquant, acerbe et bourré d’autodérision. Un humour trachant comme un rasoir…

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EN VENTE  également :

La Librairie du Monde Entier, Librairie Internationale Kleber

CC de l’Aubette 31, Place Kleber, 67000 Starsbourg

et sur Paris:

Centre Spirituel et Culturel Russe, Quai Branly, 75007 Paris
Au Théâtre Lucernaire, 53 rue Notre Dame des champs, 75006 Paris
Sur Amazon et à la Librairie du Globe, 67 Boulevard Beaumarchais, 75003 Paris

 

 

Collections d’ouvrages uniques

 

ÉMIGRATION  RUSSE  1917 – 1947

d’Andréï Korliakov, aux Éditions Ymca-Press

 

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André Korliakov né en 1957, en URSS à Ekaterinbourg, vit et travaille en France depuis 1991. Historien et iconographe de l’émigration russe. Il y a 20 ans en 1999 : Il a réuni, trié, scanné, retouché des milliers de clichés, tous identifiés, indexés .. Des heures de recherche, des jours, des nuits d’examens minutieux, de recoupements, pour vous servir ces albums,  certains déjà épuisés mais déja en cours de réédition, après avoir été révisés et enrichis …

Il organises des conférences avec projection de photos, des visites personnalisées sur les thèmes de l’émigration russe, salons des livres, à Paris comme en province.

Il peut retoucher vos photos anciennes.

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Uniquement pour que la mémoire demeure, Andreï a su éditer des volumes d’une œuvre maîtresse, résidant dans l’intérêt historique du livre, dictionnaire biographique abondamment et utilement illustré. Il a réussi à dépasser l’histoire, qu’il aborde en filigrane, de la première à la dernière page, la philosophie de l’histoire, car elle pousse, lorsqu’on lit les courtes biographies (en français et en russe)et plus encore lorsqu’on observe dans le détail les photographies, à s’interroger sur son sens… ou à lui en donner un.

 

Andreï Korliakov sur le stand de Radio Courtoisie avec N. Tikhobrazoff (2018 Espace Champerret, Paris XVII°)

Andreï Korliakov, est devenu la mémoire des “Russes Blancs”, Ses livres commémorent l’exode des victimes et des opposants de la révolution bolchevique de 1917. Ils sont une référence pour les historiens, les russophones et les bibliophiles.

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Tout démarra il y a maintenant 20ans, en 1999, avec l’édition du Volume I, épuisé, très rapidement, en cours de réédition !

En vente fin août 2019!

Vol I : Emigration russe en photos, 1917-1947, 2650 photos, 160 pg L’émigration russe en photos. Ce livre contient un échantillon de photographies prises durant l’entre-deux-guerres.
Elles concernent sans doute la meilleure part du peuple russe, celle qui à été arrachée à sa patrie.

Photos extraites du Vol I.

La plupart des clichés reproduits dans ce livre n’a jamais été publiée. De nombreuses photos sont l’œuvre d’amateurs. Elles présentent autant d’intérêt que les autres, car on peut leur appliquer ce qu’écrivait le peintre Alexandre Benois : « il y a des portraits – photos qui par leur humour et leur élégance ne le cèdent en rien aux portraits de Gainsbourg et d’Ingres, en particulier les scènes de la vie quotidienne, scènes d’intérieur ou champêtres. On ne se lasse pas de les regarder, elles suscitent un émoi particulier et offrent un instantané poétique de la vie ». Espérons que la réédition de cet album Vol I, permettra de ressentir à nouveau le souffle de cette époque difficile, à la fois tragique et douce, et de se représenter visuellement les émigrés russes, tels qu’ils étaient en ces années-là.

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Ce premier ouvrage publié en 1999 est exclusivement en russe. Il fait partie de la collection d’ouvrages sur l’émigration russe. Il sera réédité avec toutes les légendes des photos en français et en russe, comprenant de nouvelles images découvertes  et de 160 pages il passera à 200 pages.

Réédition pour la rentrée 2019, à l’occasion des 2O ans de cette merveilleuse collection et à la mémoire de la mère d’Andreï Korliakov et de son père.

Les parents d’Andreï Korliakov :
Tatiana Kapitonova & Alfred Korliakov

Le premier ouvrage avait été financé en grande partie par sa mère, qui vivait avec son mari à Ekaterinbourg et Andreï, lui,  à Paris. Elle n’avait aucune notion de l’existence des Russes Blancs, elle fit confiance à son fils, dans cette démarche insolite et inhabituel de rétablir l’histoire, tout au moins un pan ignoré pas la majorité du monde, surtout en Russie

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Dés maintenant commander votre réédition du Vol I

Expédition du colis le jour même de réception du règlement. Références de suivi ou recommandé communiqués par courriel. Le délai de réception est de 48 heures à 10 jours. Le colis est soigné : les albums et surtout les angles sont protégés avec du papier-bulle. La boîte du COLISSIMO RECOMMANDÉ est très solide et supporte facilement 1-3 albums.

Toutes les livraisons à Paris sont gratuites !

Préciser si vous voulez une dédicace de l’auteur.  Possibilité d’envoi en Amérique (USA, Canada, Argentine…) par bateau, au prix de 15 euros ( l’envoi prend de 2 à 3 mois)

Adressez la commande à : korliakov@emigrationrusse.com

” L’ÉMIGRATION RUSSE en PHOTOS” VOL I bis

50€

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Prochainement va sortir le Volume VII

Vous possédez des photos et des documents sur les émigrés russes entre 1871-1991 ?
Contactez-moi! Un nouvel ouvrage illustré fondamental est en préparation.
Je cherche aussi tout sur l’émigration russe entre 1917 et 1991 :
photos, documents, catalogues, articles, affiches, livres.
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У Вас есть фотографии и документы русских эмигрантов c 1871 по 1991?
Свяжитесь, пожалуйста, со мной! Готовится новый
фундаментальный альбом об их жизни. Я ищу также всё, что касается
русской эмиграции по всему миру с 1917 по 1991 годы: фотографии,
документы, рукописи, газеты или вырезки из них, журналы,
афиши и программки, эмигрантские книги и прочие издания,
пластинки, негативы и кинофильмы.

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Plus de renseignements sur Emigration Russe et Andreï Korliakov: CLIQUEZ

Librairie les Éditeur Réunis, Ymca Press

11 rue de la Montagne Ste Geneviève, 75005, Paris

Tél: 01 43 54 74 46

Horaires :du mardi au samedi – de 10 h à 18 h 30

 

 

En Librairie depuis le 19 septembre 2019

“Officiers et Poètes russes” de Zakhar Prilepine,

Editions des Syrtes

L’ouvrage de Zakhar Prilepine comporte huit essais biographiques consacrés à des poètes et des écrivains russes des XVIIIe et XIXe siècles dont les écrits reflètent leurs expériences militaires. L’auteur s’appuie sur une démarche originale et pertinente : dévoiler le lien entre la poésie de guerre (souvent abondante) de quelques écrivains classiques russes et leurs réelles expériences militaires (aujourd’hui oubliées ou méconnues). Il est vrai qu’il n’existe pas, à ce jour, d’étude qui serait consacrée à cette dimension particulière de la littérature russe.
Nourri par de nombreuses sources historiques, le livre de Prilepine permet de se faire une idée assez précise de l’engagement de ces auteurs dans les différents corps de l’armée et, de ce fait, d’apprécier autrement la teneur autobiographique de leur œuvre.
Prilepine se penche également, le cas échéant, sur les écrits politiques de ses personnages – parfois diamétralement opposées – afin d’esquisser un portrait collectif des cercles intellectuels de l’époque.
Pour appuyer ses analyses, Prilepine fait appel à des sources de première main : mémoires et carnets des écrivains dont il est question, ainsi que des souvenirs de leurs contemporains et cama- rades d’armes. Ces interventions à la première personne permettent de rendre la narration, par ailleurs assez dense et riche en détails historiques, plus vivante et fluide. Comme à son habitude, Prilepine adopte un style familier et nonchalant (bien que parfaitement maîtrisé), en se permettant de fréquents clins d’œil aux lecteurs et une grande proximité avec ses personnages. Un autre mérite du livre consiste à faire connaître des écrits poétiques de grande qualité aujourd’hui tombés dans l’oubli, qui sont ici longuement cités et commentés. On apprécie particulièrement la finesse et la pertinence des analyses littéraires de Prilepine, qui n’hésite pas à dresser des parallèles entre les auteurs étudiés et d’autres époques de la littérature russe, en proposant ainsi une vision plus complète de son sujet.

Auteurs évoqués : Gavrila Derjavine (1743-1816), Alexandre Chichkov (1754-1841), Denis Davydov (1784-1839), Konstantin Batiouchkov (1787-1855), Piotr Viazemski (1792- 1878), Alexandre Bestoujev-Marlinski (1797-1837), Alexandre Pouchkine (1799-1837), Piotr Tchaadaïev (1794-1856).

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Zakhar Prilepine est né en 1975, a vu ses œuvres traduites dans un vingtaine de langues et plusieurs de ses romans sont adaptés au théâtre et au cinéma. Il termine la faculté philologique (linguistique) de l’Universtité d’Etat de Nijni Novgord.  Il est commandant dans le service des OMON et prend part à des combats en Tchétchénie entre 1996 et 1999.

Zakhar Prilepine a fait partie de la délégation officielle des écrivains russes, invitée par le Salon du livre de Paris en mars 2018.

Les éditions des Syrtes ont publié : Pathologie (2008 et 2018), Le péché (2009 et 2018), Ceux du Donbass (2018).

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336 pages

EAN : 978 2940 628476

Prix : 23€

Commandez dès maintenant :

RÉÉDITION du Vol N° 1

SORTIE  BIENTÔT

 Emigration russe en photos, 1917-1947. Ce livre contient un échantillon de photographies prises durant l’entre-deux-guerres.
Elles concernent sans doute la meilleure part du peuple russe, celle qui à été arrachée à sa patrie. Toutes les photos sont légendées.

Réédition bilingue ( français – russe ).

Ce premier ouvrage publié en 1999 est exclusivement en russe. Il fait partie de la collection d’ouvrages sur l’émigration russe. Il sera réédité avec toutes les légendes des photos en français et en russe, comprenant de nouvelles images découvertes  et de 160 pages il passera à 200 pages.

Réédition pour le fin août 2019, à l’occasion des 2O ans de cette merveilleuse collection et à la mémoire de la mère d’Andreï Korliakov et de son père.

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Dés maintenant

commander votre réédition du Vol I

Expédition du colis le jour même de réception du règlement. Références de suivi ou recommandé communiqués par courriel. Le délai de réception est de 48 heures à 10 jours. Le colis est soigné : les albums et surtout les angles sont protégés avec du papier-bulle. La boîte du COLISSIMO RECOMMANDÉ est très solide et supporte facilement 1-3 albums.

Toutes les livraisons à Paris sont gratuites !

Préciser si vous voulez une dédicace de l’auteur.  Possibilité d’envoi en Amérique (USA, Canada, Argentine…) par bateau, au prix de 15 euros ( l’envoi prend de 2 à 3 mois)

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” L’ÉMIGRATION RUSSE en PHOTOS” VOL I bis

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Editions Ymca Press

11 rue de la Montagne Ste Geneviève, 75005, Paris

Tél: 01 43 54 74 46

Réédition

Piotr Nikolaïevitch Wrangel

MÉMOIRES du GÉNÉRAL WRANGEL

 

Les Mémoires du général Wrangel parurent en 1930 aux éditions Jules Tallandier. Rapidement épuisées, elles ne furent jamais rééditées et elles étaient donc introuvables depuis plus que quatre-vingts ans. Il y a à cette occultation volontaire une raison : elles contredisent deux histoires mythifiées. Celle des partisans des bolcheviques tout d’abord, en montrant que leur victoire ne fut que militaire et absolument pas due à un soutien populaire massif. Celle des partisans des blancs ensuite, en révélant les limites de leur chef suprême, Anton Dénikine, et leurs faiblesses souvent trop humaines.

Document historique de première importance, Les Mémoires du général Wrangel méritaient d’être de nouveau disponibles. Elles permettront aux chercheurs, aux étudiants, aux militants ou aux simples curieux d’avoir un regard nouveau sur la révolution russe de 1917 à 1920 grâce aux souvenirs, rédigés quasi-immédiatement après les faits, du dernier généralissime des Armées blanches.

1914, baron Piotr Wrangel.

Il est né le 27 août 1878 (15 août 1878 dans le calendrier julien) à Novoaleksandrovsk, Russie (aujourd’hui Zarazaï, Lithuanie) et mort assassiné le 25 avril 1928 à Bruxelles. Sa dépouille repose dans l’église orthodoxe russe de Belgrade.

Tombe du Général baron Piotr Nicolaïevitch Wrangel, Belgrade (1935)

Ceux qui n’ont pas suivi Wrangel en exil, que sont-ils devenus ? La situation des émigrants n’est pas enviable, mais le sort de ceux qui restent en Crimée et à Sébastopol se révèle encore plus amer. Qui peut être sûr de l’avenir de ceux qui sont restés, se demande dans ses souvenirs Anastasia Chirinsky-Manstein ? (Voir Artcorusse)

Le chef des rouges, Frunze, envoie à Piotr Nikolaïevitch Wrangel un appel radio lui promettant, s’il capitule, l’amnistie et le pardon complet pour lui et ses troupes. Mais cette déclaration généreuse ne concorde pas avec les ordres signés de Trotski, trouvés sur les cadavres bolchevistes transmis en toute hâte à l’État-Major Général. Le commissaire de l’armée accorde aux soldats, comme récompense de leur victoire, le droit, pendant quatorze jours, d’exterminer librement les ennemis du peuple et de piller leurs demeures.

(De gauche à droite)Le chef du gouvernement du sud de la russie, A. V. Krivocheine, le commandant en chef, P. N. Wrangel, le chef d’état-major, P. N. Chatilov. Sébastopol(1920).

Le dernier vapeur quitte la Crimée le 26 novembre 1920. Beaucoup de réfugiés, de civils et de militaires des armées battues sont restés en Crimée, n’imaginant pas un seul instant leur sort. Certes ils savent que pendant trois années en Crimée, du temps des blancs, environ 1 500 personnes ont été arrêtées par les blancs, et des centaines fusillés.

Exode russe de Constantinople.

L’Armée rouge c’est différent ! Les représailles et les massacres contre les ennemis de la révolution commencent en Crimée. Elle entre dans Sébastopol le 26 et tire sur les ouvriers des docks qui ont travaillé à l’évacuation. Les représailles et les massacres contre les ennemis de la révolution commencent en Crimée. Les malheureux qui réussissent à s’échapper des villes racontent que les exterminations sont massives et dirigées par le communiste hongrois Bela Kun. Ce dirigeant révolutionnaire, chassé naguère de Budapest, travaille maintenant pour le compte des Soviets. La terreur rouge fait 50 000 victimes dans la péninsule (d’autres données statistiques parlent de 100 000 meurtres).

Le Hongrois, Bela Kun, dirigeant du Comité révolutionnaire de la Crimée, fait du zèle.

Ces jeux barbares divertissaient fort les Rouges qui, harassés de fatigue, démoralisés par les pertes subies… tuent les officiers, les bourgeois, les prêtres, les paysans, les ouvriers mêmes….

Un régiment du général P. Wrangel en Crimée 1920

Dès le 29 novembre 1920, les Nouvelles du comité provisoire révolutionnaire de Sébastopol publient une liste de personnes fusillées. Leur nombre est de 1 634, dont 278 femmes. Le 30 novembre, le journal publie une seconde liste de 1 202 fusillés, dont 88 femmes. Rien que pendant la première semaine d’occupation de l’armée rouge, 8 000 personnes sont fusillées à Sébastopol. Deux personnages en vue du parti bolchevique dirigent ces exécutions de masse : Bela Kun et Rosalia Zemliatchka.

Les jugements se déroulent selon le concept de l’appartenance à une classe. L’un des chefs de la Tcheka, Martyn Ltsis dit : « Nous ne faisons pas la guerre à des individus, nous exterminons la bourgeoisie en tant que classe. Ne cherchez pas dans votre enquête des indications ou des preuves des actes ou des paroles antisoviétiques de l’accusé. La première question que vous devez lui poser est : quelle est son origine, son éducation, ses études, sa profession. Ce sont les réponses à ces questions qui doivent régler le sort de l’accusé. »

Mais ces victimes sont peu de choses pour les vainqueurs. Ils tentent aussi de faire revenir de l’étranger ceux qui sont partis avec le baron Piotr Wrangel. Le 5 avril 1921, le gouvernement soviétique publie son appel dans lequel il souligne : « La plupart des réfugiés est constituée de cosaques, de paysans mobilisés et de petits employés. A tous ceux-là, le retour en Russie n’est plus interdit. Ils peuvent revenir, il leur sera pardonné, et après leur retour en Russie ils ne risqueront pas de représailles. »

Le même jour, au cours d’une réunion à huis clos du politburo du comité central du RKPB prend une décision secrète, sur l’interdiction d’accueillir des subordonnés de Wrangel en République Socialiste de la Fédération des Soviets de Russie. L’application de cette directive est confiée à Felix Dzerzhinskiy, et à organisme de terreur qu’il dirige, la Vetcheka. Les fusillades reprennent de plus belle.

Trotski, homme intelligent et fin diplomate, ne voulait pas d’un massacre d’une telle ampleur. Il relève rapidement et sans consulter les autres chefs révolutionnaires Bela Kun de ses fonctions. Celui-ci est en colère « face à tant d’ingratitudes ». Il a déjà exécuté 50 000 personnes et se sent de taille à continuer”.

Document historique de première importance, Les Mémoires du général Wrangel méritaient d’être de nouveau disponibles. Elles permettront aux chercheurs, aux étudiants, aux militants ou aux simples curieux d’avoir un regard nouveau sur la révolution russe de 1917 à 1920 grâce aux souvenirs, rédigés quasi-immédiatement après les faits, du dernier généralissime des Armées blanches.

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Ars Magna, BP 60426, 44004 Nantes cedex 1

ou commande en direct à www.editions-ars-magna.com

ISBN : 979-10-96338-69-6

Prix : 32€

Vient de sortir en librairie

L’Europe face au mystère russe :

Transcendance, nation, littérature.

Anna Gichkina

Éditions Nouvelle Marge

Anna Gichkina, depuis sa double culture, détaille les ressorts d’un éloignement et explore les particularités des deux filles de l’Eglise que sont la Russie et l’Europe occidentale.

Comment naviguer sereinement vers l’avenir sans perdre de vue notre port d’attache ? La patrie de Tolstoï, entée sur l’Évangile, a su conserver ce qu’un Occident amputé de lui-même, par souci d’universalisme, s’est consacré à déconstruire , donc à annihiler. Selon l’auteur, la Russie nous révèle nos maux à travers son mystère, pour peu que l’on prenne la peine de tourner notre regard vers lui.

La première partie de l’essai montre qu’en Occident, le Temps a pris le pas sur l’Éternité. Abandon de l’héritage chrétien, religion des droits de l’homme : notre civilisation s’abîme dans la perpétuité d’une chute où l’homme lui-même se trouve sacrifié sur l’autel de l’eugénisme. La deuxième partie propose, en miroir, de scruter l’âme russe comme manifestation de l’éternité supérieure au temps. Le mystère ne se comprend pas : il se contemple à travers le chaos historique, la force de l’orthodoxie, la profondeur de la littérature.

Cet essai d’Anna Gichkina est une semonce : il nous faut sortir le nez de notre buzz , s’extraire de notre présentisme, et renouer avec ce désir d’éternité qui fait l’homme.

L’Occident est-il encore seulement capable de déchiffrer ce que la Russie a à lui dire ? Alors que la course en avant de l’hypermodernité achève de désorienter une Europe meurtrie et de la couper de ses racines séculaires, le pays des tsars, quant à lui, incarne plus que jamais un horizon permanent, un nord impérieux. Quelle voie pour l’Europe ? Anna Gichkina, depuis sa double culture, détaille pour nous les ressorts d’un éloignement et explore les particularités des deux filles de l’Eglise que sont la Russie et l’Europe occidentale. 
Comment naviguer sereinement vers l’avenir sans perdre de vue notre port d’attache ? La patrie de Tolstoï, entée sur l’Evangile, a su conserver ce qu’un Occident amputé de lui-même, par souci d’universalisme, s’est consacré à déconstruire , donc à annihiler. Selon l’auteur, la Russie nous révèle nos maux à travers son mystère, pour peu que l’on prenne la peine de tourner notre regard vers lui. La première partie de l’essai montre qu’en Occident, le Temps a pris le pas sur l’Eternité. 
Abandon de l’héritage chrétien, religion des droits de l’homme : notre civilisation s’abîme dans la perpétuité d’une chute où l’homme lui-même se trouve sacrifié sur l’autel de l’eugénisme. La deuxième partie propose, en miroir, de scruter l’âme russe comme manifestation de l’éternité supérieure au temps. Le mystère ne se comprend pas : il se contemple à travers le chaos historique, la force de l’orthodoxie, la profondeur de la littérature”.

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Anna Gichkina, Russe bilingue  est aujourd’hui docteur ès lettres diplômée de l’Université Paris-Sorbonne. Elle est née en 1982 à Arkhangelsk, ville russe au bord du Dvina septentrionale, . Elle fait sa scolarité en Russie selon le schéma traditionnel : jardin d’enfants, puis l’école (en russe « chkola », établissement que l’on intègre à 7/8 ans et que l’on quitte à 17/18 ans), enfin l’Université. Durant ses études en linguistiques française, anglaise et russe et en enseignement des langues à l’Université Pomorski, Anna Gichkina collabore parallèlement avec le département de philosophie elle traduit vers le russe des extraits des ouvrages des philosophes français contemporains.
En 2005, diplômée d’un Master II, Anna Gichkina vient en France pour y faire les études de la littérature comparée et des relations internationales à l’Université de Haute Alsace à Mulhouse. Le deuxième Master II obtenu, elle entreprend un doctorat qu’elle finance d’abord grâce aux jobs d’étudiants. Anna fait des démarches auprès de la Sorbonne qui finit par lui proposer de rédiger une thèse sur le sujet franco-russe dans le domaine à la fois historique et littéraire. Parallèlement à ces études elle est formatrice puis enseignante dans un collège privé catholique tout en étant gérante de son auto-entreprise de traductions et de contrôle qualité de textes qu’elle crée en 2010.
En 2014, elle soutient brillamment sa thèse sur Eugène-Melchior de Vogüé et la réception de la Russie en France au tournant des XIXe et XXe siècles.
Aujourd’hui, Anna Gichkina écrit des articles scientifiques sur des sujets franco-russes ainsi que sur des problèmes européens. Elle collabore régulièrement avec Le Forum Carolus participant à la mise sur pied de divers projets et manifestations. Elle est également occupée par ses projets personnels d’écriture et d’associations. Elle continue à travailler avec de différentes sociétés françaises et étrangères dans le domaine de la traduction.
Elle est auteur de nombreux articles sur la crise européenne actuelle et sur des sujets russes, auteur de l’ouvrage Eugène-Melchior de Vogüé ou comment la Russie pourrait sauver la France (L’Harmattan, 2018), Président du cercle de réflexion franco-russe à Strasbourg “Cercle du Bon Sens”, membre du comité de lecture dans la revue universitaire française “Academos”.

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Édition Nouvelle Marge :  collection Mauvaise Nouvelle.

  • Date de parution 15/08/2019
  • ISBN : 978-2-9556200-6-9
  • EAN : 9782955620069
  • Format : 14,0 cm × 20,0 cm × 0,8 cm
    Grand Format
  • Présentation : Broché
  • Nb. de pages : 100 pages
  • Prix : 14€

 

Sortie en librairie

En suivant les Pères :

Vie et oeuvre

du père Georges Florovsky

de Jean Claude Larchet

Considéré comme l’un des plus importants théologiens orthodoxes de notre temp, le père George Florovsky (1893-1979) fit les plus grande partie de sa carrière aux Etats-Unis où il enseigna dans les plus grandes universités (Harvard, Cambridge, Princetone, …). Sa personnalité est empreinte d’une vaste érudition, un attachement profond à la tradition ecclésiale, un souci de répondre aux problèmes contemporains et un sens aigu du dialogue avec les autres confessions chrètiennes.

Cet ouvrage est centré sur deux thèmes majeurs de la pensées de Florovsky: la nature de la théologie et la nature de l’Église. Ces deux thèmes sont eux-mêmes axés sur la Tradition, laquelle tient dans l’œuvre de l’auteur une place essentielle; elle fait l’objet d’une conception renouvelée où l’indispensable référence aux Pères se conjugue avec la nécessité de répondre de manière adaptée aux besoins de chaque époque.

Écrits entre 1927 et 1967, les textes rassemblés ici gardent un caractère actuel, car le problème qu’ils évoquent continuent à exister, et les solutions proposées par Florovsky sont toujours pertinentes. L’étude de Jean-Claude Larchet qui accompagne les textes de Florovsky analyse les principaux thèmes de son œuvres, précise le sens de la pensée du grand théologien, et évalue son influence au cour des cinquante dernières années.

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Georges Florovsky (Георгий Васильевич ФлоровскийGueorgui Vassilievitch Florovski), né le 28 août 1893 ( 9 sept 1893 dans le calendrier grégorien) à Odessa, empire russe, il est mort le 11 août 1979 à Princeton (USA), théologien orthodoxe, pionnier du mouvement néo-patristique orthodoxe et du mouvement œcuménique. Il a été successivement professeur à l’institut St Serge de Paris, à à l’institut St Vldimir de New york, puis aux universités Harvard, Cambridge et Princeton.

Son père était prêtre orthodoxe,doyen de la cathédrale et recteur de l’Académie théologique, ce qui permit des rencontres avec des intellectuels de différents pays, il a appris l’anglais, l’allemand, le français, le latin, le grec et l’hébreu. À dix-huit ans, il a entrepris des études de philosophie et d’histoire. Après avoir enseigné pendant trois ans dans les écoles secondaires à Odessa, il obtient sa licence en 1919 et a le titre d’enseignant à l’Université d’Odessa. Il quitte en 1920  la Russie avec sa famille pour se rendre en Tchécoslovaquie, il y a  enseigner la philosophie du droit à l’Université de Prague, avec d’autres intellectuels russes en exil comme Nicolas Lossky. A Paris, en 1925, il est nommé professeur de patrologie à l’Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge, il est ordonné en 1932 prêtre. Ses années d’enseignement à Saint-Serge ont été jalonnées par la publication, en russe, de ses cours de patristique, et de l’une de ses œuvres majeures : Les Voies de la théologie russe. En conflit avec Serge Bolgakov, qui enseignait la dogmatique dans le même institut et développait une œuvre controversée dont le thème central était la sophialogie, Florovsky a quitté Paris et s’installe en 1948 à Crestwood, près de New York, où il est devenu en 1950 doyen du Séminaire de théologie orthodoxe Saint-Vladimir nouvellement fondé, il est nommé comme professeur d’histoire de l’Église orientale à l’Université Harvard, en 1954 jusqu’en 1964.

Père Georges Vasilievitch Florovsky et son épouse Xénia.

Parallèlement il enseigne au séminaire orthodoxe de Holy Cross à Boston de 1955 à 1959, et en 1964 il prend sa retraite et s’installe à Princeton, où il travaille comme professeur invité au département de théologie de 1965 à 1972.

Carte du père G. Florovsky à l’Université de Princeton

Durant toute cette période américaine, il a publié de nombreux articles, écrits pour la plupart en anglais. Engagé dans le mouvement œcuménique qui en était à ses débuts, il a participé à de nombreuses rencontres internationales. Il est décédé le 11 août 1979 à Princeton.

Il est enterré au cimetière orthodoxe de St Vladimir  à Trenton, comté de Mercer dans le New Jersey, avec son épouse Xénia (1893- 1977)

Tombe du père Florovsky et de son épouse Xénia (à Princeton

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Jean Claude LARCHET est né en 1949, dans une famille catholique, il s’est converti à l’Orthodoxie à l’âge 22 ans  théologien orthodoxe français, docteur en philosophie et en théologie, auteur trente livres traduits en dix-sept langues. Il est l’un des rares auteurs contemporains capables de combiner la rigueur scientifique et un sens vibrant de la vie intérieure de l’Église. Il a enseigné la philosophie pendant une trentaine d’années, développant parallèlement son œuvre patrologique et théologique, donnant des cours et des conférences et participant à des colloques dans de nombreux pays. Il vit dans le nord-est de la France où il est engagé depuis plusieurs décennies dans la vie de sa paroisse  comme président laïc et chef de chœur.

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Éditions Syrtes

Collection Spritualité Orthodoxe

496 pages Broché

Prix : 22€

EAN   978-2940628438

ISBN  2-940628-43-2

A partir du 13 juin 2019

Éditions des Syrtes Poche

” La Terreur Rouge en Russie (1918-1924) “

Traduit du russe par Wilfrid Lerat
Préface de Georges Sokoloff

Né quelques mois après Staline en 1879, diplômé de la faculté d’histoire et de philologie de Moscou l’historien et journaliste Sergueï Melgounov, socialiste russe modéré, refuse d’émigrer en octobre 1917. Il n’en sera pas moins expulsé de son pays cinq ans plus tard. Les bolcheviks ne lui ont en effet pas pardonné son intraitable refus des méthodes inhumaines avec l’aide desquelles ils se sont maintenus au pouvoir.

Melgounov, fréquentant les groupes clandestins de la résistance anticommuniste, dénonce la politique de terreur instaurée dans le pays. Cet engagement lui vaudra vingt-trois perquisitions, cinq arrestations, les interrogatoires de la Tcheka, la prison, la condamnation à mort et, pour finir, le bannissement. Pour évoquer les horreurs de la guerre civile et du « communisme militaire », Melgounov ne s’en tient pas au terme « atroce ». Il explicite le mot, comme on défroisse une page pour en étaler l’insoutenable contenu. La valeur de ses propos est d’autant plus précieuse qu’il fait parler les victimes et leurs bourreaux, grâce notamment aux nombreux documents et récits qu’il a pu recueillir. En ce sens, son témoignage préfigure celui de Soljenitsyne sur le goulag. Il a rassemblé des documents sur “ la Terreur Rouge “. Ce travail lui a semblé important alors que le pouvoir soviétique détruisait systématiquement les preuves des exécutions massives répétée.

Il quitte la Russie pour la France en 1922 à condition de ne plus y revenir, il meurt à Champigny en 1956.

(Il est publié pour la Ière fois aux Editions Syrtes en 2004).

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400 pages

Prix : 12€

110 X 175 mm

ISBN : 9782940 628360