Livre inédit traduit et édité en france

par André Donzeau

Numériser

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Spectateurs incrédules, nous venons d’assister à l’effondrement soudain de l’Empire soviétique.
Voici qu’après trois quarts de siècle, la révolution, selon le mot d’Alexandre Soljenitsyne, “a
entraîné le peuple [russe] jusqu’au bout, jusqu’au gouffre, jusqu’à l’abîme de la perdition.”
A son réveil du cauchemar révolutionnaire, est-il prêt maintenant à “guérir et restaurer sa
Patrie accablée” ?
C’est l’espoir qu’exprime le dernier aumônier général des Armées russes, le père Georges
Chavelsky.
Cet homme hors du commun est un des rares exemples de prêtres nés d’une famille pauvre
dans les profondeurs de l’immensité russe, et qui parvinrent à se hisser au poste le plus élevé auquel pouvait espérer atteindre un membre du clergé séculier.
Ses mémoires, pleins de lucidité, agrémentés de quelques traits d’humour, éclairent la fin de
l’Empire des Tsars et ses principaux acteurs d’un jour impitoyable….

Parus à New-York en 1954 aux éditions Tchékhov, en langue russe, les mémoires de Georges
Chavelsky sont salués comme un document historique de grande valeur : “… document précieux pour
l’histoire russe de la dernière période” (Jean Meyendorf, Le Messager [Viestnik] n° 36 [en russe] –
Paris 1955).
“Les mémoires du père Georges Chavelsky sont un des livres les plus précieux et les plus
intéressants produits par les éditions Tchékhov. On peut sans hésiter les considérer comme un
document historique de première importance… Déjà, la seule position de l’auteur lui a donné la
possibilité rare d’amasser le matériau de l’histoire, qu’il écrivit par la suite (déjà dans l’émigration), de
la fin tragique de la monarchie russe… A cela il faut ajouter ses indubitables dons littéraires, qui
donnent à ses mémoires une vie et une clarté que l’on ne trouve pas chez la majorité des mémorialistes
qui relatent ces événements (M. Karpovitch, La Nouvelle Revue [Noviy Journal, en russe] New-York 1955)”.
Les mémoires du père Georges Chavelsky abordent tous les événements dont il fut le témoin,
depuis 1911, année de son accession à la dignité de protopresbytre, jusqu’en 1920, lorsque l’Armée des Volontaires, conduite par le général Dénikine se défait sous les coups conjugués des bolcheviks, de ses propres maladresses et de ses dissensions internes, maison divisée contre elle-même, abandonnée de ses alliés. Ses dernières paroles sont cependant, malgré les divisions et les haines passagères, un acte de foi en la Russie éternelle.

Pour se le procurer :

DIRECTEMENT chez le traducteur: ANDRÉ DONZEAU: 06 16 53 67 48

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