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Jeudi 2 septembre 2021 à 19h

Festival du film historique

” Afrique”

réalisatrice Daria Binevskaya
 
 
Salle de cinéma MRSC, Paris
 
Version originale sous-titrée en anglais
 

Le premier film dans la salle de cinéma de la MRSC à Paris en automne.
 
Dans le cadre du Festival ” Journées du cinéma historique de guerre “
 
Long métrage “Afrique” ​​​​(Russie, 2021)
Durée : 53 mn
 
Metteurs en scène – Daria Binevskaya,

Réalisé par Nadia Slavetskaia.

Producteur général – Dmitry Belosokhov

Producteurs – Andrey Matveev, Elbor Chernov, Mikhail Gramatikopulo

Productrice créative – Nadia Slavetskaya

Directeur de la photographie – Mitia Gorevoy

Compositeur – Lina Hertz

Acteurs : Ekaterina Guseva, Igor Petrenko, Oleg Chugunov,

Alexey Rodionov, Alisa Klagish, Mark Vdovin, Andrey Matveev

 
Avec : Igor PETRENKO et Ekaterina GUSEVA.

“Les événements  se déroulent en hiver 1943 dans la période la plus difficile du blocus de Leningrad dans le village de Valeianovka, où seule la mère (Ekaterina Guseva) et trois enfants restent de tous les habitants: l’ainé – Sanka (Oleg Chagunov), le benjamin – Egorka (Alexey Rodionov) et la cadette une très petite fille – Masha (Alice Klogish). La mère malade est déjà trop faible pour une randonnée lointaine dans la forêt à la recherche de nourriture. Un  journées le frère aîné Sanka, prend avec lui son frère cadet , Egorka et ils traversent un champ miné, afin de trouver au moins un peu de nourriture pour la famille . Les frères font une trouvaille incroyable – après le bombardement récent sur le champ de bataille,  ils trouvent une énorme chien berger blessé. Sanka est devant un dilemme, sauver le chien  ou la famille de la faim. Les enfants le prennent avec eux, mais à cause du terrible blizzard, ils n’ont pas le temps de retourner à la maison et reste dormir à Saraj.  “Ce n’est pas un chien. C’est la nourriture “., pense Egorka. La nuit, le chien reprend conscience et sauve les enfants du gel en les réchauffant avec son corps… Sur le cou du chien de berger, Egorka découvre une médaille d’un bataillon de chiens détecteurs de mines et se rend compte que le chien est un militaire. L’enfant est confronté à un choix tout à fait enfantin – sauver un chien ou une famille. Mais le chien est un militaire alors ….”

Version originale sous-titrée en anglais.
 
 
Binevskaïa Daria Alexandrovna,  est née le 19 septembre 1982. Scénariste, réalisatrice, actrice, auteure et présentatrice d’émissions pour enfants et jeunes.
En 2012, elle est diplômée de l’Université d’État de la culture et des arts de Moscou, département d’art dramatique (atelier de L. D. Titov, T. I. Galperin). En 2019, elle est diplômée de l’Institut panrusse de cinématographie (atelier de réalisation de longs métrages de V. Akhadov, E. Shelyakin). En 2008-2011. a travaillé comme animateur de programmes sur la chaîne de télévision VKT (“Art-Detachment”, “L’heure et arrivée”, “Surprise”). En 2007-2008. – Responsable des rubriques de l’antenne du matin (chaîne TV CJSC Doverie).

La pré-inscription est obligatoire : crsc.paris@crsc.fr

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Exposition documentaire 

” Impossible d’oublier “

Du vendredi 3 au jeudi 30 septembre 2021

Panneaux extérieurs de la MRSC

L’année du 80e anniversaire du début de la Grande guerre Patriotique.

A l’occasion de la fin de la Seconde Guerre mondiale (le 3 septembre).

En collaboration avec la Société d’histoire russe.

Panneaux extérieurs de la MRSC.

En français.

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Exposition virtuelle du peintre

Igor Tokarev

Samedi 4 septembre 2021

Sur le site : https://crsc.fr/

Une grande exposition virtuelle de l’artiste Igor Tokarev sur le site de la Maison russe à Paris

Le 4 septembre, la Maison russe des sciences et de la culture à Paris invite le public à découvrir l’œuvre de l’artiste Igor Tokarev.

Un large éventail de tableaux du peintre russe — des toiles de style académique aux thèmes de l’histoire chrétienne en passant par des expériences audacieuses de l’impressionnisme et du néo-expressionnisme — sera présentée lors de l’exposition.

Igor Tokarev est né en 1967. Une fois diplômé de l’École d’art de Iaroslavl, il intègre le département de production de l’Institut national de la cinématographie S.A.Guerassimov (VGIK). Plus tard, il se réoriente vers la réalisation.

Depuis 1996, il travaille dans le domaine de la télévision, participe au tournage de concerts et d’autres émissions.

En 2014, il décide de revenir à ses racines et se lance dans les beaux-arts, ce qu’il continue de faire avec succès aujourd’hui.

Les œuvres de l’artiste se trouvent dans des musées en Russie, ainsi que dans des collections privées, tant en Russie qu’à l’étranger. Il est membre de la Fondation internationale des arts (la fondation publique).

C’est la première rencontre avec le public français, que l’auteur précède par une introduction suivante : « Mon travail, c’est ma vie, dans laquelle il y a eu beaucoup de hauts et de bas, de joies et de peines. Mais la vie est la vie, tout comme la créativité. Parfois, il est très difficile de franchir la ligne pour passer d’une vie paisible et bien nourrie à une nouvelle et brumeuse. Mais cette nouveauté, c’est l’évolution de l’artiste, sa recherche, son expérience.

Cette exposition présente des images de ma nouvelle vie créative. Tout ce que je vis au quotidien, ce qui m’inspire et m’inquiète. Je fais des erreurs, mais je vais de l’avant.

La vérité est la définition du véritable art.

L’honnêteté est le credo d’un véritable artiste. »

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Exposition de photos

de la société russe de géographie

‘Le plus beau pays”

“Les voiles de Russie”

Lundi 6 septembre 2021

Sur invitation

Inauguration du Centre de la Société russe de géographie en France

Nous avons le plaisir d’annoncer la création du Centre de la Société russe de géographie en France.

Cette association (loi 1901) réunit les Français et les Russes et a pour objectif de favoriser la connaissance du patrimoine géographique et historique de la Russie et, nous l’espérons, représentera un appui supplémentaire pour les échanges entre les activistes et les spécialistes de nos deux pays dans le domaine de la géographie et de l’environnement.

L’association s’oriente vers une coopération étroite avec la Maison russe des sciences et de la culture à Paris et se projette vers l’organisation de nombreux événements culturels communs.

L’inauguration officielle du CSRGF aura lieu le 6 septembre 2021 à la Maison russe des sciences et de la culture située à 61, rue Boissière, 75016 Paris.

 

Il est prévu que la délégation de la Société russe de géographie sera composée de  Nikolaï KASSIMOV, le premier vice-président de la Société russe de géographie, l’académicien de l’Académie russe des sciences et de Vladimir KOLOSSOV, le vice-président de la Société russe de géographie et le premier vice-président de l’Union géographique internationale.

Parmi les invités à la cérémonie officielle, il y a des géographes français, des représentants de la Société française de la géographie, des associations géographiques, du monde socio-économique et des mairies des villes françaises liées aux villes russes par le jumelage.

L’entrée à l’inauguration est sur l’invitation avec le respect obligatoire des mesures sanitaires en vigueur.

La personne à contacter pour l’accréditation des journalistes et plus d’information :
Natalia Savisko  : tél. + 33698976584,
Courriel : csrg.fr@gmail.com.

* * *

Toute personne intéressée peut devenir membre de l’association pour recevoir les informations sur des expéditions, des expositions, des rencontres avec des voyageurs célèbres, des conférences, des jeux intellectuels et d’autres événements que nous mettons en place en France en collaboration avec la Société russe de géographie et la Maison russe des sciences et de la culture à Paris.

Pour devenir membre, veuillez faire parvenir un mail avec la demande d’adhésion à csrg.fr@gmail.com.

 

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Exposition historique et documentaire

“Vers la Grande Victoire, les cosaques dans la
Grande Guerre Pariotique”

Du lundi 13 au dimanche 19 septembre 2021

L’année du 80e anniversaire du début de la Grande guerre Patriotique (1941–1945).

A l’occasion de la Journée de la fin de la Seconde Guerre mondiale (3 septembre).

Exposition historique et documentaire « Vers la Grande Victoire. Les cosaques dans la Grande guerre Patriotique »

Avec le concours : Agence fédérale des archives de la Fédération de Russie. Archives d’État d’histoire sociale et politique. Comité synodale de lÉglise orthodoxe russe pour la coopération avec les cosaques. Forum russo-français d’initiatives sociales et culturelles.

En russe et en anglais.

14 septembre | 19:00

Inauguration

Dans la Salle de cheminée de la MRSC à Paris.

L’exposition consacrée à la contribution des Cosaques à la Victoire est programmée à l’occasion du 80e anniversaire du début de la Grande guerre Patriotique et de la Journée de la fin de la Seconde Guerre mondiale (3 septembre).

Le projet a été préparé conjointement avec l’Agence fédérale des archives de la Fédération de Russie, les Archives d’État d’histoire sociale et politique, le Comité synodal de l’Église orthodoxe russe pour la coopération avec les Cosaques et le Forum russo-français d’initiatives sociales et culturelles auprès de la MRSC à Paris.

Au début de la guerre, après les premières batailles et pertes, il a été décidé d’augmenter le nombre de divisions de cavalerie dans l’Armée rouge. Les Cosaques ont pris la part la plus active à leur formation. L’exposition présente non seulement les décisions du Comité d’État pour la Défense de l’URSS sur la formation de divisions de cavalerie, mais aussi celles des comités régionaux du Parti communiste (bolcheviks) de Rostov et d’Adyguée, des comités territoriaux de Krasnodar et de Stavropol du Parti communiste (bolcheviks) de l’Union soviétique sur la création des escadrons cosaques (des « sotnias »), des divisions cosaques et des bataillons d’infanterie (des « plastounes »), la mobilisation de volontaires, ainsi que la préparation au combat.

La formation des divisions de cavalerie se heurtait à un certain nombre de difficultés : en plus de l’équipement habituel, il fallait fournir aux soldats des chevaux avec harnais et selles.

L’exposition présente des documents authentiques des comités régionaux du Parti communiste (bolcheviks) de l’Union soviétique du Kazakhstan, du Tadjikistan, ainsi que des comités régionaux de Tchkalovski, d’Ordjonikidzé et d’Adyguée sur la production et la fourniture d’épées, de sabres, de lames et de fers à cheval aux divisions de cavalerie, sur la confection de chapeaux Koubanka, et sur la collecte de chevaux et de selles auprès de la population à leur profit.

L’exposition présente les combats menés par des divisions et des corps cosaques à travers les échanges via une ligne directe entre le lieutenant-général Fiodor Bokov et le général de l’armée Ivan Tioulenev, par le biais des rapports des secrétaires du comité régional de Rostov, des comités territoriaux de Krasnodar et de Stavropol, des lettres du corps cosaque à Joseph Staline et à Mikhaïl Kalinine, ainsi que des photographies prises lors des opérations militaires des divisions cosaques.

Les rapports opérationnels et de renseignement du Quartier général du mouvement des partisans de Krasnodar, les dossiers et les archives relatifs aux détachements partisans, ainsi que les certificats du comité régional de Rostov témoignent de la participation des Cosaques au mouvement des partisans sur le territoire temporairement occupé de l’URSS.

Les documents présentés à l’exposition révèlent non seulement le thème de la participation des Cosaques aux opérations militaires, mais témoignent également de leur travail à l’arrière. Un volet de l’exposition distinct est consacré à la collecte des ressources pour le fonds de défense de l’Armée rouge. Les télégrammes des kolkhoziens et des secrétaires des comités régionaux à Joseph Staline parlent de la collecte de fonds par les Cosaques pour la construction des colonnes de chars « Kouban soviétique », « Cosaque du Don », « Kolkhozien du Don », des escadrons « Don libéré », « Recrue du Don » … de nombreux kolkhoziens demandent le transfert des fonds collectés par leurs soins pour la production d’armes pour le corps cosaque. Les lettres de réponse de Staline dans lesquelles il exprime sa gratitude pour le soutien de l’Armée rouge sont également présentées.

L’exposition sera ouverte dans la salle de cheminée de la MRSC du 13 au 30 septembre de cette année. L’entrée est libre.

Les documents sont présentés en russe et en anglais.

L’entrée à l’exposition s’effectue avec le port obligatoire du masque et le respect des règles sanitaires en vigueur.

Entrée sur inscription préalable.

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Exposition

“Vie et œuvre de Fiodor Dostoïevski”

Du lundi 20 au jeudi 30 septembre 2021

Salle de marbre de la MRSC

En russe et en français

 À l’occasion de la célébration du 200e anniversaire de la naissance de Fiodor Dostoïevski, l’inauguration de l’exposition sur la vie et les œuvres du grand écrivain aura lieu à la Maison russe des sciences et de la culture à Paris. Elle est préparée par le Musée mémorial littéraire Dostoïevski à Saint-Pétersbourg.

 La directrice du Musée littéraire Natalia Ashimbaeva et l’auteur de l’exposition, Vera Biron directrice adjoint du Musée pour les projets créatifs,  interviendront à distance à l’inauguration de l’exposition.

Le musée à St Pétersbourg a été ouvert le 13 novembre 1971 dans une maison située ruelle Kouznetchny, où l’écrivain avait loué un appartement à deux reprises : en 1846 et à partir du mois d’octobre 1878 jusqu’à sa mort, le 28 janvier 1881. Ici, l’auteur a travaillé sur sa nouvelle « Le Double », ainsi que sur son dernier roman « Les Frères Karamazov ». L’appartement a été reconstitué d’après les souvenirs de ses contemporains et de sa femme. Une exposition littéraire consacrée à la vie et à l’œuvre de Dostoïevski a été ouverte à côté.

Le nom de Dostoïevski est étroitement associé à Saint-Pétersbourg, la ville où un certain nombre de ses œuvres ont été créées et où ont vécu les héros de ses célèbres romans. Moscovite d’origine et par son enfance, Pétersbourgeois d’esprit et de créativité, Dostoïevski a créé une image unique de Pétersbourg, fantastiquement reconnaissable et particulièrement personnelle.

Pour Dostoïevski, Saint-Pétersbourg est « la ville la plus réfléchie et la plus abstraite du monde ». Par la bouche de ses héros, Dostoïevski exprime aussi son attitude à son égard : « … c’est un grand malheur de vivre à Saint-Pétersbourg », « c’est une ville des personnes à moitié folles … Il y a peu d’endroits où il y a autant d’influences sombres, dures et étranges sur l’âme humaine, comme à Saint-Pétersbourg. » Et pourtant Dostoïevski aimait beaucoup Pétersbourg. C’est la ville de sa jeunesse, de sa naissance en tant qu’écrivain, de ses succès vertigineux, de ses expériences tragiques et de ses pertes. Il avait besoin de lui pour la créativité : Pétersbourg devenait souvent la source de son inspiration. Le quittant, Dostoïevski cherchait toujours à y revenir, puis en revenant, il en était accablé.

Il a beaucoup voyagé, huit fois en Europe, y a vécu pendant environ cinq ans et demi. Il n’a jamais été un voyageur au sens propre : « … toute son attention était prêtée aux gens, et il n’a saisi que leur nature et leurs caractères, parfois l’impression générale de la vie urbaine ». Dostoïevski méprisait « la manière habituelle et officielle de visiter des lieux touristiques selon le guide ».

L’attitude générale de l’écrivain vis-à-vis de l’Europe est restée inchangée : « Vivre à l’étranger est très ennuyeux, peu importe où … ». Dostoïevski rêvait d’un voyage à Paris, surtout après avoir traduit le roman « Eugène Grandet » de Balzac en 1844. Les réalités de la vie française commençaient à sembler proches et familières, Dostoïevski voulait voir la ville dans laquelle travaillait son écrivain préféré.

Il a fait un voyage en Europe, persuadé qu’il ne l’aimerait pas, mais il avait besoin d’être convaincu de la justesse de ses dix années de réflexion. Soumis aux travaux forcés pratiquement pour soutenir les slogans de la Révolution française, Dostoïevski voulait comprendre ce que les révolutions occidentales ont donné à l’homme ordinaire, ce qu’elles ont changé dans sa vie. Après avoir visité la France, Dostoïevski a été absolument convaincu que les slogans de la révolution « Liberté, égalité et fraternité » se sont avérés être des mots creux, que la liberté, comme toujours, n’est donnée à ceux qui ont un million. Il était irrité par la formule de la satiété bourgeoise “ la vie douce et comfortable ”, il croyait que cela ne valait pas la peine d’être vécu. En Occident, il pensait que tout était faux, rien ne lui plaisait : les gens, les coutumes, la météo, la langue.

Comme beaucoup d’autres villes d’Europe occidentale, Paris ne s’est pas rapprochée de Dostoïevski. En 1862, il y resta environ trois semaines, à l’automne 1863 — huit jours. Plus tard, lorsqu’il était à l’étranger, il ne s’est jamais arrêté à Paris.

« Paris est la ville la plus ennuyeuse, et s’il n’y avait pas beaucoup de choses vraiment trop merveilleuses, alors, en effet, on pourrait y mourir d’ennui. »

A l’occasion du bicentenaire de la naissance du génie mondial, le Musée mémorial littéraire a préparé une exposition qui est présentée dans de nombreux pays sur des différents sites culturels, dont la Maison russe à Paris.

Des photos et des documents, des citations d’ouvrages et de lettres racontent en détail la vie et le parcours littéraire de Dostoïevski, en présentant les étapes les plus significatives : la naissance dans la famille de médecin de l’hôpital Mariinsky pour les pauvres et son enfance à Moscou, plusieurs années d’études à l’école d’ingénieurs à Saint-Pétersbourg, la publication dans le journal « Recueil de Saint-Pétersbourg »  de son premier roman « Les Pauvres gens », qui l’a aussitôt rendu célèbre, la participation aux réunions « Vendredi » chez Mikhaïl Petrachevsky avec les jeunes les plus éduqués et épris de liberté de Saint-Pétersbourg, l’arrestation suite à « l’affaire Petrachevsky », 8 mois d’emprisonnement dans la forteresse Pierre-et-Paul, joué selon le scénario de Nicolas Ier, une fausse exécution du Cercle de Petrachevsky, puis 4 ans de travaux forcés et 6 ans du service militaire en Sibérie, le mariage avec Maria Issaeva, le retour à Saint-Pétersbourg, le roman « Les carnets de la maison morte », le premier roman sur la prison en Russie, les voyages en Europe, la mort de son frère et sa femme, la prise en charge de la famille de son frère, le second mariage, la parution des romans « du Grand Pentateuque » : « Crime et châtiment », « L’Idiot », « Les démons », « L’Adolescent » et « Les frères Karamazov ».

L’exposition se compose de lithographies, d’estampes et de photographies du XIXe siècle en copies numériques provenant des collections du Musée Dostoïevski et du musée littéraire de la Maison Pouchkine, à Saint-Pétersbourg.

Cette exposition permettra de découvrir au mieux l’œuvre de l’écrivain.

L’entrée est gratuite, l’inscription préalable est obligatoire à paris@rs.gov.ru.

L’entrée à l’exposition s’effectue avec le port obligatoire du masque et le respect des règles sanitaires en vigueur.

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Rencontre en ligne

avec l’acamédicien Alexandre Kouliechov

“Skolttech : formation de l’élite scientifique de Russie”

28 septembre 2021 à 16h

En français

Année des sciences et des technologies en Russie.
Avant le Congrès international des mathématiciens (2022, Saint-Pétersbourg).

Rencontre en ligne avec le recteur de l’Institut des sciences et technologies de Skolkovo (Skoltech) l’académicien de l’Académie des sciences de Russie Alexandre Koulechov.

Le directeur de Skoltech, l’académicien Alexandre Koulechov parlera au public français de la science russe

Le 28 septembre à 16h00, à l’invitation de la Maison russe des sciences et de la culture à Paris aura lieu une conférence avec le membre de l’Académie des sciences de Russie, directeur de l’Institut des sciences et technologies de Skolkovo (Skoltech), mathématicien Alexandre Koulechov.

La rencontre avec l’académicien Koulechov permettra aux étudiants et aux doctorants, ainsi qu’aux administrations des universités françaises d’en savoir plus sur Skoltech. Les opportunités de formation et de stages ainsi que des modalités de coopération avec cet institut relativement récent mais déjà implanté dans le monde seront mises en lumière.

L’événement aura lieu en format hybride permettant à ceux qui préfèrent rencontrer l’académicien Koulechov de venir à la Maison russe à Paris et à ceux qui ne pourront pas venir de suivre l’événement en ligne.

Skoltech est une université russe inhabituelle, créée dans le cadre du grand projet d’innovation « Skolkovo », qui comprend un parc technologique, un fonds d’investissement et un espace éducatif. L’enseignement à Skoltech se déroule uniquement en sciences naturelles et se passe entièrement en anglais. Ses professeurs sont des meilleurs experts mondiaux. De plus, l’infrastructure scientifique de l’université étonne par l’abondance et la modernité des équipements.

En 2022, le congrès international des mathématiciens se tiendra à Saint-Pétersbourg : c’est un événement scientifique majeur et significatif à l’échelle mondiale. Ainsi, l’opportunité d’accueillir le Congrès n’est pas seulement un grand honneur pour la Russie, mais aussi une raison de reconsidérer l’approche du développement des sciences et des formations en mathématiques, de rendre hommage aux scientifiques qui contribuent énormément au développement de la société et de la technologie.

La rencontre avec l’académicien Koulechov à l’occasion de l’Année des sciences et des technologies en Russie deviendra également un évènement marquant du programme que la Maison russe à Paris envisage d’organiser à la veille du Congrès.

Pour participer à la conférence en ligne, l’inscription est obligatoire (vous recevrez un lien actif par émail). Pour y prendre part en présentiel, merci de remplir la forme suivante.

La conférence sera organisée en français sans traduction, cependant il sera possible de communiquer en direct avec l’invité.

L’émission peut être visionnée sur la chaîne YouTube de la MRSC à Paris.

L’enregistrement complet de la réunion sera également publié sur le site Web et dans les réseaux sociaux de la Maison russe.

Inscription : CLIQUEZ

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Cycle d’auteur de Victor Eroféev

« Le Complot des classiques ». N°5

« Ekatérina Dachkova. Première femme au monde

nommée président de l’Académie des sciences », partie 1

Jeudi 30 septembre 2021

Sur le site Web de la MRSC

En collaboration avec la radio Spoutnik et l’Agence RIA-Novosti.

En russe et en français. Traduit en français par la MRSC à Paris.

Ekaterina Romanovna Dashkova (17 mars (28), 1743, selon d’autres sources 1744 à Saint-Pétersbourg – 4 janvier (16), 1810, Moscou), née comtesse Vorontsova, devenue princesse Dashkova par mariage.  Elle agrandi dans la maison de son oncle, et a reçu une éducation basée sur l’étude des langues, la danse et le dessin. Seulement par la lecture, Ekaterina est devenue l’une des femmes les plus instruites de son temps. Elle était un expert en mathématiques.
Ekaterina Romanovna Dashkova est devenue la première femme au monde à diriger l’Académie des sciences en 1782 .

La princesse exerce ainsi une influence culturelle très importante en Russie et s’attache à faire venir des philosophes et hommes de sciences étrangers. Parallèlement, elle fait éditer le Dictionnaire académique à l’académie impériale, publie une lettre mensuelle et écrit deux pièces de théâtre, Le Mariage de Fabien et une comédie intitulée Toïssioko.

Elle est élue membre honoraire de l’académie royale des sciences de Suède en 1783, première femme étrangère à être ainsi distinguée et seconde après Eva Ekeblad. Elle se retire toutefois de la cour, peu avant la mort de la Grande Catherine à cause d’une tragédie qu’elle fait publier, d’aucuns l’accusent à tort d’être favorable aux principes républicains.
Lorsque Paul 1er  accède au trône en 1796, il défait tout ce que sa mère avait tissé. Il exile la princesse dans un village près de Novgorod.

 Ses mémoires contiennent des informations précieuses sur le règne de Pierre III et le règne de Catherine II (Mémoires de la Princesse Dashkova, publié en 1840 à Londres). Ekaterina Romanovna Dashkova est devenue la première femme au monde à diriger l’Académie des sciences.

 

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Le Centre de Russie pour la science et la culture (CRSC) à Paris est la représentation en France de l’Agence fédérale pour la CEI, la diaspora russe à l’étranger et la coopération internationale culturelle et en sciences humaines (ROSSOTROUDNITCHESTVO). Sa vocation principale est la promotion de la culture et de la science, ainsi que l’enseignement du russe. Les Cours de russe ainsi que les stages linguistiques en Russie proposés par le CRSC sont largement connus à Paris et dans les villes de la province française. Il vient de changer d’intitulé :
Maison Russe de la Science et de la Culture.

 

Maison russe de la science et de la culture  
61 rue Boissière 75016 Paris.

Métro : Boissière (6), Victor Hugo (2)

Bus : 22, 30, 52, 82

Parking : Victor Hugo, Kléber, Longchamp