Activités du CRSC  Paris

Mars 2021

Site Web du CRSC Paris

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Jusqu’ au mercredi 31 mars 2021

Exposition extérieure et virtuelle

“DES  RÊVES  D’ESPACE”

Gravures du XVI°-XX° du Prof. Vladimir Belikov

En 2021, la Russie fêtera le 60ème anniversaire du vol de Youri Gagarine dans l’espace. A cette occasion est organisée une exposition inédite de photos de la collection privée de Vladimir Belikov, de gravures des XVI-XX siècles »

      Ce qui est impossible aujourd’hui  Deviendra possible demain . K. E. Tsiolkovski 

Vladimir Belikov, professeur, docteur en sciences techniques, académicien de l’Académie des problèmes de qualité (Russie) et académicien et membre du Présidium de l’IAP (USA).

Passe-temps amateurs : bibliophilie, collection de tableaux littéraire et sur chevalet.


Ses gravures ont été exposées dans 436 expositions à travers 56 pays d’Europe, d’Asie, d’Amérique et d’Afrique. Les informations sur ses collections et ces expositions ont été publiées dans des publications d’art et de bibliophilie (albums, livres, catalogues, etc), ainsi que dans des périodiques. Plus de 30 catalogues à propos de ses expositions ont été publiés, et se trouvent dans certains des plus grands musées, galeries et bibliothèques du monde. Un certain nombre d’œuvres de cette collection ont été offertes à des musées et des galeries russes. 

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Mardi 2 mars 2021 à 18 h

L’art des jeunes russes à l’étranger

SALON  EN  LIGNE  

Sur le site WEB du CRSC 

en russe et en français

Le CRSC à Paris invite à la découverte de
l’« Art de jeunes Russes à l’étranger »

Dès les premiers jours du printemps début mars, le Centre de Russie pour la science et de la culture à Paris invite ses spectateurs au premier Salon en ligne « Art de jeunes Russes à l’étranger ».

Le 1er mars, la première exposition en ligne de 8 jeunes artistes et peintres talentueux de Russie qui travaillent avec succès en France ouvrira ses portes. Le Centre offrira son espace et un espace aux compatriotes doués du monde de la peinture, de la sculpture, de l’installation, de la photographie, du multimédia et de la musique.

Le 2 mars à 18h00 (Paris), le CRSC vous invite à une rencontre en ligne pour présenter les participants de son « Salon de Printemps », échanger sur leurs réalisations et leur créativité avec des experts spécialisés en art, des artistes célèbres et reconnus et présidents des universités d’art et directeurs des musées.

De nombreux compatriotes russes vivent en France et se consacrent à l’art : il n’y a rien de surprenant dans cette déclaration depuis au moins un siècle, mais si les noms de Natalia Gontcharova, Marc Chagall et Erik Boulatov sont connus dans le monde entier, alors les vigntenaires et les trentenaires parmi les Russes en France sont en train de commencer leur voie artistique.

« Art de jeunes Russes à l’étranger » est le premier salon du Centre dans son genre, qui donne une voix à cette génération inconnue. Les parcours de ses participants impressionnent par leur diversité : parmi eux, il y a des descendants de l’émigration blanche, et ceux qui ont été emmenés par leurs parents de l’URSS en plein effondrement, et les enfants de la Russie prospère des années 2000, qui sont venus en Europe pour faire les études supérieures. Leur langue russe, le degré de leur identification avec la Russie, leur intérêt artistique pour leurs origines et les formes d’art qu’ils ont choisies, ne peuvent pas non plus être réduits à un dénominateur commun. Cependant, il est symbolique que tous ressentent un lien avec la culture russe et leur participation au Salon en est la preuve, ils ne voient pas de contradiction dans les mots « russe » et « moderne ».

La « complexité florissante », que Konstantin Leontiev considérait le principal critère de la maturité de la culture nationale, se manifeste pleinement.

Le lieu d’organisation du Salon est également important. Hélas, la politique culturelle russe, en particulier sa projection internationale est souvent perçue sous la forme de « matriochka-balalaïka ». « Art de jeunes Russes à l’étranger » est une réfutation démonstrative de cette perception déformée et la preuve que la Russie reconnaît toute la diversité — des classiques, de l’avant-garde — à la culture artistique contemporaine.

Pendant les années affamées de la Première Guerre mondiale, Maria Vasilieva, originaire de Smolensk et élève préferée d’Henri Matisse, a tenu un atelier à Montparnasse, où elle a régalé ses grands contemporains : Pablo Picasso, Jean Cocteau, Amedeo Modigliani.

Le Salon « Art de jeunes Russes à l’étranger » est une preuve incontestable que cette tradition n’a pas été interrompue même cent ans plus tard.

Pour participer à la conférence, qui sera organisée avec traduction simultanée en français, l’inscription préalable est nécessaire sur le site web du CRSC à Paris (crsc.fr).

A l’issue du Salon, l’enregistrement complet de la réunion en russe et en français sera publié sur le site web et sur les pages du CRSC dans les réseaux sociaux.

Exposition en ligne à partir du 1 mars.

Maria VINOGRADOVA (sculpture) ;
Anna ZORIA (peinture, installation) ;
Dasha ILINA (multimédia) ;
Alla KIRILLOVA (peinture, installation) ;
Kamiliya KUSPANOVA (photographie) ;
Alice NIKOLAEVA (sculpture, installation) ;
Nikita SOROKIN (compositeur, chef d’orchestre, pianiste) ;
Ilya FEDOTOV-FEDOROV (installation, sculpture).

Cliquez ici pour participer.

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Lundi 8 mars

Entretien avec

Mikhaïl Boïarski

” Sa  France “

Sur le site WEB du CRSC

CLIQUEZ

Mikhaïl Sergueevitchi Boïarski

Né le 26 décembre 1949 à Leningrad dans une famille d’acteurs de théâtre Sergueï Boïarski (1916-1976) et Ekaterina Melentieva (1920-1992) Il étudie à l’école la musique, sans grande conviction, rentre à l’Institut du théâtre, diplômé en 1972, il entre au théâtre Lensovet, un an plus tard il est remarqué au cinéma moldave pour interpréter un ténor italien dans le film « Pont ». 1974 il est enrôlé dans l’armée dans la section musicale, basé près de Leningrad. Le début desa renommée vient en 1975 lors de son rôle de Siva dans le film « Soleil d’Elder ». Et son heure de gloire fut « D’Artagnan et les trois mousquetaires » ou il avait le rôle principal celui de d’Artagnan. Grâce à ce rôle et aux chansons populaires du film, la renommée de l’acteur a atteint des sommets incroyables, et il a joué ce rôle dans les suites du film.
Le 1er janvier 1979 il interprète avec une jeune chanteuse débutante Olga Zaroubina la chanson: “Ça ne devrait pas être comme ça” sur les vers de Léonid Derbeniov et la musique de David Toukhmanov. En 1987 il refuse le rôle de Monte Cristo, plus tard lors du tournage « Les mousquetaires 20 ans plus tard » il remplace le réalisateur Gueorgui Youngvald-Khilkevitch lors du tournage.
Boïarsky a un timbre de voix inimitable, il a joué pendant un certain temps Rivares dans la comédie de rock  “Le taon “,  En 1995, il enregistré un album musical avec le groupe Silve, en 1997 il reçoit un Prix au Festival d’hiver d’Avignon. En 2009 à la mémoire de son ami décédé Viktor Reznikov, il  enregistre une de ses dernières chansons “Everything is Empty”. C’était une esquisse musicale d’un contenu philosophique, que Reznikov a exécuté au piano, et Boïarski a invité ses amis de Moscou à faire un arrangement moderne pour cette composition, qu’il a enregistré dans leur studio.
Il a enregistré plus de 600 chansons, non seulement de films mais aussi de son répertoire personnelle , des chansons enregistrées pour la radio, des programmes télévisés, des disques vinyles, des CD solo, mais il ne joue pas que dans 30 concerts en publics. Les plus célèbres chansons et les plus populaires sont :- « Taxi aux yeux verts “, “Merci, mon cher!”, “Fleurs de la ville”, “Tout passera”, “Les feuilles brûlent”, “Formateur” , à partir de films sur “Mousquetaires », “Aspirants” et bien d’autres…
Au cours des dernières années, Mikhail Boyarsky a peu fait de films, considérant les rôles proposés inintéressants. Il vit à Saint Petersbourg, Membre permanent du jury du festival des parodies « Grandes différence à Odessa », président d’honneur du club de football Zenit,  
En octobre 2018, Boïarski a joué dans le film documentaire en cinq parties “Pendant que nous sommes encore ensemble, ou les mousquetaires quarante ans plus tard », réalisé par Viacheslav Kaminski en hommage à Gueorgui Youngvald-Khilkevitch.
En décembre 2019, pour le 70e anniversaire de Mikhaïl Boïarskyï la compagnie musicale Bomba-Peter inc.A sorti son nouveau double album” Jubilee “, comprenant les chansons inédites de l’artiste. Dans ce CD, l’accent était principalement mis sur les œuvres du compositeur de Saint Pétersbourg Sergueï Kastorski, ami et avec qui Mikhaïl travaillait souvent.
En 2020, les producteurs de musique Maxim Fédorov et Olag Grabko  (directeurs général de la Maison d’Édition Musicale Bomba Piter inc. ) ont publié l’Anthologie des chansons de Mikhaïl Boïarski,  une collection complète d’ enregistrements réalisés par l’artiste pendant toutes ses années d’activité créative. L’édition comprend 20 albums, composés de 350 compositions musicales.
Engagé en politique, il fait campagne pour Boris Eltsine en 1996, puis il soutient les politiques de Vladimir Poutine et Dmitri Medvedev. Il se prononce en 2018 pour le relèvement de l’âge de la retraite, militant pour le droits des fumeurs.

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jeudi 11 mars 2021 à 19h (h de Paris)

Entretien avec

Zahar Prilepine

“Certains n’iront pas en enfer”

INSCRIPTION : CLIQUEZ

Roman traduit du russe par Jean-Christophe Peuch

Si Ceux du Donbass, paru en 2018 était une chronique des événements, un exercice littéraire proche de celui d’un mémorialiste où, de l’aveu même de l’auteur, son Donbass à lui restait hors-champ, Certains n’iront pas en enfer est un roman d’autofiction. Écrit et publié après le retour de Zakhar Prilepine du Donbass (en juillet 2018), il est marqué par un certain recul pris par rapport aux événements. Cela imprègne le récit d’une indéniable mélancolie et permet de magnifier la réalité pour donner une stature quasi-mythique à certains des personnages évoqués.
Certains n’iront pas en enfer est donc inspiré d’une expérience personnelle, issue de l’engagement de Prilepine dans le conflit du Donbass. Prilepine offre ici un texte éclectique, impressionniste et littéraire qui nous permet de mieux comprendre les raisons de son départ pour le Donbass, son état d’esprit et ses occupations concrètes pendant les années de guerre. Il retrouve ici sa plume imagée et concise et une force d’évocation captivante. Comme chez son mentor Edouard Limonov, la prose romanesque est aussi le prétexte pour créer un double fantasmé et omniprésent.

Prilepine donne la parole à Zakhar, son alter ego et narrateur. L’action se situe entre la fin de l’année 2015 et la mort d’Alexandre Zakhartchenko, chef de la République populaire de Donetsk (la DNR). Zakhar est alors conseiller de Zakhartchenko, et son bataillon devient l’une des composantes de la garde du dirigeant. Il jouit d’une position privilégiée et il est admis dans le cercle des associés les plus proches du chef. Zakhar raconte la vie de tous les jours des combattants à Donetsk, comme par exemple la tentative infructueuse de capturer un combattant ukrainien pour un échange de prisonniers. Il y a des descriptions hautes en couleurs de combats, mais aussi du quotidien dans les tranchées et durant les quelques moments de liberté. On en apprend également plus sur ses compagnons d’armes, pour lesquels Prilepine a souvent un grand attachement et respect, ainsi que sur son affection pour Zakhartchenko, qu’il considère affranchi et indépendant de Moscou.
À ces réflexions politiques et parfois polémiques s’ajoutent des moments plus personnels, notamment lorsqu’il reçoit à Donetsk la visite du rappeur Husky, l’une des rares célébrités russes à soutenir activement les événements dans le Donbass, ou un dîner en compagnie de Monica Bellucci et d’Emir Kusturica lors d’une improbable escapade à Moscou.

Zakhar Prilepine est né en 1975, a vu ses œuvres traduites dans un vingtaine de langues et plusieurs de ses romans sont adaptés au théâtre et au cinéma. Il termine la faculté philologique (linguistique) de l’Universtité d’Etat de Nijni Novgord.  Il est commandant dans le service des OMON et prend part à des combats en Tchétchénie entre 1996 et 1999.

Zakhar Prilepine a fait partie de la délégation officielle des écrivains russes, invitée par le Salon du livre de Paris en mars 2018.

Les éditions des Syrtes ont publié : Pathologie (2008 et 2018), Le péché (2009 et 2018), Ceux du Donbass (2018).

INSCRIPTION OBLIGATOIRE : CLIQUEZ

Voir sur Youtube : CLIQUEZ

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Mardi 16 mars à 16h

Présentation de l’ouvrage 

L’ami arménien

pr ANDREÏ  MAKINE

Membre de l’Académie Française.

Sur le site WEB du CRSC 

Pour s’inscrire : CLIQUEZ

L’ami arménien aux Éditions Grasset.

A travers l’histoire d’une amitié adolescente, Makine révèle dans ce véritable bijou de littérature classique un épisode inoubliable de sa jeunesse.
Le narrateur, treize ans, vit dans un orphelinat de Sibérie à l’époque de l’empire soviétique finissant. Dans la cour de l’école, il prend la défense de Vardan, un adolescent que sa  pureté, sa maturité et sa fragilité désignent aux brutes comme  bouc-émissaire idéal. Il raccompagne chez lui son ami, dans le quartier dit du « Bout du diable » peuplé d’anciens prisonniers, d’aventuriers fourbus, de déracinés égarés «qui n’ont pour biographie que la géographie de leurs errances. »
Il est accueilli là par une petite communauté de familles arméniennes venues soulager le sort de leurs proches transférés et emprisonnés en ce lieu, à 5 000 kilomètres de leur Caucase natal, en attente de jugement pour « subversion séparatiste et complot anti-soviétique » parce qu’ils avaient créé  une organisation clandestine se battant pour l’indépendance de l’Arménie.
De magnifiques figures se détachent de ce petit « royaume d’Arménie » miniature : la mère de Vardan, Chamiram ; la sœur de Vardan, Gulizar, belle comme une princesse du Caucase qui enflamme tous les cœurs mais ne vit que dans la dévotion à son mari emprisonné ; Sarven, le vieux sage de la communauté…
Un adolescent ramassant sur une voie de chemin de fer une vieille prostituée avinée qu’il protège avec délicatesse, une brute déportée couvant au camp un oiseau blessé qui finira par s’envoler au-dessus des barbelés : autant d’hommages à ces « copeaux humains, vies sacrifiées sous la hache des faiseurs de l’Histoire. »
Le narrateur, garde du corps de Vardan, devient le sentinelle de sa vie menacée, car l’adolescent souffre de la « maladie arménienne » qui menace de l’emporter, et voilà que de proche en proche, le narrateur se trouve à son tour menacé et incarcéré, quand le creusement d’un tunnel pour une chasse au trésor, qu’il prenait pour un jeu d’enfants, est soupçonné par le régime d’être une participation active à une tentative d’évasion…
Ce magnifique roman convoque une double nostalgie : celle de cette petite communauté arménienne pour son pays natal, et celle de l’auteur pour son ami disparu lorsqu’il revient en épilogue du livre, des décennies plus tard, exhumer les vestiges du passé dans cette grande ville sibérienne aux quartiers miséreux qui abritaient, derrière leurs remparts, l’antichambre des camps.

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Jeudi 18 mars 2021 à 18h

Interview par Nicolas Pillet d’

Oleg Kononenko

Commandant du détachement des cosmonautes

Sur le site WEB du CRSC 

Entretien en ligne.

Oleg Dmitriievitch KONONENKO, commandant du détachement des (Олег Дмитриевич Кононенко) cosmonaute russe, né le 21 juin 1964 à Txhardjoui en Turkménistan ( Union soviétiue). Il a participé à quatre missions spatiales. Le cosmonaute Oleg Kononenko est héros du Turkménistan. Diplômé de l’Institut d’aviation de Kharkov en 1988 en tant qu’ingénieur mécanicien, spécialiste des moteurs d’aéronef, il a obtenu en 1990 son diplôme des cours de troisième cycle de l’institut d’aviation de Kouibischev (Samara), où il s’est spécialisé dans l’automatisation de la conception de systèmes de contrôle; après avoir obtenu son diplôme de l’institut d’aviation de Kharkov, il a travaillé au bureau central de conception de Samara en tant qu’ingénieur concepteur. Kononenko a été sélectionné cosmonaute en 1996 dans la sélection MKS.
Instructeur-test cosmonaute 1re classe, 473e cosmonaute du monde, 102e cosmonaute de la Fédération de Russie. 

 Il totalise quatre missions de longue durée à bord de l’ISS: 

  • Il est ingénieur de vol lors de l’ expédition 17 à bord de Soyous TM2-12 le 8 avril 2008.
  • Le , il quitte la Terre à bord de Soyouz TMA-03M  avec l’Américain Donals Pettit et le Néerlandais Anré Kuipers.  Avec eux, Il participe à la fin de l’expédition 30 et à 31 jusqu’ai juillet 2012. Il effectue une extravéhiculaire aec Anton Chkaplerov..
  • Le , il s’envole à bord de Soyouz TMA-17M  avec l’Américain Kjell Lindgren et le japonais Kimiya Yui  pour participer aux expéditions 44 et 45. Il rentre le  suivant.
  • Le , il commence une quatrième mission de longue durée, en décollant à bord du Soyouz MS-11 en tant que commandant pour participer aux expéditions 58 et 59, aec David Saint Jacques et Anne McClain.

Interviewé par Nicolas PILLET, chef de projet Kosmonavtika.com, membre de la Commission Astronautique et Techniques Spatiales de la SAF, responsable du projet web Kosmonavtika.com, dédié à l’histoire et à l’exploration spatiale contemporaine. .

En russe et en français.

INSCRIPTION : CLIQUEZ

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Mardi 23 mars 2021 à 18h

Présentation de l’ouvrage

” Détective du tsar”

d’Arkhadi de Kochko (1867 – 1928 )

traduit et annoté par Dimitri de Kochko

Éditions Macha Publishing

Sur le site WEB du CRSC 

INSCRIPTION : CLIQUEZ

 
En tombant sur des pages, certaines signées de la plume de son grand-père, Dimitri de Kochko ne se doute pas du trésor qu’il vient de trouver. Avec patience et minutie, il reconstitue peu à peu les chapitres de la vie de cet biaïeul, Arkadi Frantsevitch de Kochko, chef de la police de Moscou, durant les dernières années du pouvoir tsariste, avant la révolution d’Octobre qui l’a obligé à quitter la Russie. Les histoires racontées, les faits divers, les affaires d’État… ces morceaux de vie nous paraissent tout droit sortis des aventures de Sherlock Holmes. Et pourtant, tout est vrai.
 
«Détective du Tsar. Les incroyables enquêtes du Sherlock Holmes russe, dernier chef de la police judiciaire de l’empire des Romanov» de Arkadi de Kochko, aux Editions MACHA Publishing
 
Arkadi Frantsevitch de Kochko, (Арка́дий Фра́нцевич Кошко́) En tombant sur des pages et des pages signées de la plume de son grand-père, Dimitri de Kochko ne se doute pas du trésor qu’il vient de trouver. Avec patience et minutie, il reconstitue peu à peu les chapitres de la vie de cet aïeul pas si éloigné, Arkadi de Kochko, chef de la police de Moscou, durant les dernières années du pouvoir tsariste, avant la révolution d’Octobre qui l’a obligé à quitter la Russie. Les histoires racontées, les faits divers, les affaires d’État… ces morceaux de vie nous paraissent tout droit sortis des aventures de Sherlock Holmes. Et pourtant, tout est vrai.En tombant sur des pages et des pages signées de la plume de son grand-père, Dimitri de Kochko ne se doute pas du trésor qu’il vient de trouver. Avec patience et minutie, il reconstitue peu à peu les chapitres de la vie de cet aïeul pas si éloigné, Arkadi de Kochko, chef de la police de Moscou, durant les dernières années du pouvoir tsariste, avant la révolution d’Octobre qui l’a obligé à quitter la Russie. Les histoires racontées, les faits divers, les affaires d’État… ces morceaux de vie nous paraissent tout droit sortis des aventures de Sherlock Holmes. Et pourtant, tout est vrai.Ancien chef de la Police judiciaire de Moscou, Ancien directeur du Service central des recherches judiciaires de l’Empire russe.
Directeur de la police de Riga, A. F. de Kochko assure la sécurité de la famille impériale à partir de 1905 avant de diriger la police criminelle de Moscou jusqu’à la Première Guerre mondiale. À la révolution, il s’enfuit en Crimée puis gagne la France.
 
Re-écoutez sur Youtube : CLIQUEZ
 
 
 
 
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Centre de Russie pour la Science et la Culture  à Paris

61, rue Boissière, 75116, Paris 

Téléphone : 01 44 34 79 79

Site:  https://crsc.fr/