(né à Hrodna le 10/5/1866 mort à Paris le 27/12/1924)
6 août au 28 août 2016
Musée Pouchkine de Moscou
Lev Bakst Samoylovich (Ou Chaim Leib Izrailevich) Rosenberg (1866 à 1924). De 1883-1887 ans étudiant libre de l’Académie impériale des Arts à Saint Petersbourg, qui a quitté l’école après avoir été recalé pour son “Notre-Dame, deuil du Christ,”Bakst,” refait un retour triomphant à l’académie en 1914, il a reçu le titre d’académicien de l’AIH. Le jeune artiste à ce moment travaillé avec les “Saisons Russes” de Diaghilev.Peu après de 1893 à 1897 , il a vécu à Paris, où il a étudié à l’ Académie Julian, tout en venant souvent à Saint Petersbourg. Après le milieu des années 1890 , il est devenu membre du cercle des écrivains et artistes formé par Serge Diaghilev et Alexandre Benois , qui en 1899 a fondé la revue influente Le Monde de l’Art “Mir Iskusstva“
En 1895, Léon Bakst a donné des cours de peinture aux enfants du grand-duc Vladimir Alexandrovitch, grand-duc Boris Vladimirovich et la Grande-Duchesse Elena Vladimirovna.
Planche pour les costumes de Shéhérazade”
Bakst est lefondateur de l’âge d’argent. Ce qu’il a fait était nouveau. Parfois controversé. Dans le même temps, si nous revenons aux registres et échelles dans le sens littéral du mot, il se sentait à l’aisedans le domaine de la peinture de chevalet. Parmi ses œuvres nous avons le “Portrait de Sergei Diaghilev avec une nounou “et” Dîner “.
Le dîner Serge de Diaghiliev et sa nounou.
Plus de 250 œuvres sont présentées au public. Le théâtre est l’un des principaux domaines d’activité de Bakst. sont prsentées des esquisses de décors et costumes, qui sont stockés dans les musées centraux – en particulier à la Galerie Tretiakov et au Musée russe. Non seulement il a créé les costumes toujours liée à un ou l’autre interprète. Par exemple, Ida Rubinstein dans la mise en scène “Le Martyre de Saint Sébastien”, avec Vaslav Nijinsky dans ses performances.
Nous pouvons dire que ce ne sont pas seulement des croquis de costumes, et des portraits qui sont exposés mais toute une atmosphère d’une époque riche en créativité.
L’Ensemble Cyrillique de Saint Petersbourg Chants liturgiques et chants traditionnels russes
L’Ensemble Cyrillique a déjà donné plusieurs concerts avec Datcha Kalina et prépare sa prochaine tournée en France en 2016.
Fondé par Alexander Minchenko en 2004, l’Ensemble de solistes “Cyrillique” représente un sextuor composé de chanteurs d’opéra, tous promus du Conservatoire National de Saint-Pétersbourg N. A. Rimsky-Korsakov qui ont une grande expérience de récitals dans les salles de concerts et sur la scène d’opéra.
Conçu comme groupe vocal avec pour objectif de porter à travers l’Europe, la culture musicale russe, “Cyrillique” se produit également dans les grandes salles de Saint-Petersbourg.
Le groupe vocal chante a capella perpetuant les traditions russes du chant d’ensemble. Il inclue dans son répertoire les meilleures œuvres de musique sacrée russe, des oeuvres des compositeurs comtemporains de Saint-Petersbourg, ainsi que des arrangements originaux de mélodies et de chants populaires faisant partie du patrimoine folklorique russe.
Le groupe est constitué de solistes, ce qui lui permet d’interpréter des soli de soprano, de mezzo-soprano, de tenor et de basse accompagnés de chant du groupe.
Depuis sa création “Cyrillique” se produit en France ou il organise deux ou trois tournées par an. Il a ainsi pu chanter dans les plus importantes cathédrales, les églises, au Conservatoire Serge Rachmaninov à Paris, dans des salles de concerts et en festivals. Le groupe a enregistre trois CD, il est lauréat du concours de Russie “Printemps de la mélodie”.
L’ensemble de solistes « Cyrillique”, créé par Aleksander Minchenko en 2004, avec pour objectif de porter la culture musicale russe à l’Ouest est dirigé par le compositeur de renommée mondiale Ilya Demutskiy, se produit en France depuis 2005. Le groupe est souvent invité par les mairies, associations, églises, cathédrales, salles de concerts, festivals de France. Il a fait 12 concerts à la Cathédrale de Chartres, 7 concerts à la cathédrale d’Auxerre, il a chanté à la Madeleine de Paris, à la chapelle Saint-Louis de Paris, dans les cathédrales d’Orleans, de Bourges, de Tulles, de Bayonne,et dans de nombreuses églises. Il a particpé à plusieurs festivals.
Aucun costume national russe, aucune balalaïka ou autre instrument musical russe. Leur objectif est de séduire, de charmer l’auditoire par la qualité de leurs voix, par leur professionnalisme de chant choral a capella. Une autre particularité du groupe consiste dans le fait que tous les chanteurs ont des voix fortes et pures, ce qui leur permet d’interpréter des soli de soprano I, soprano II, ténor et basse accompagnés de chant professionnel de l’ensemble.
Ilya Demutskiy
Ilya Demutsky est né en 1983 en Russie, plusieurs primé comme compositeur, interprète et chef d’orchestre. Il est diplômé de Choir College nommé d’après Michael Glinka, Demutsky a obtenu un diplôme de maîtrise en direction chorale du Conservatoire de Saint Petersbourg. En 2007-2009 , il a remporté une bourse Fulbright pour poursuivre une maîtrise en musique de composition au Conservatoire de music e San Francisco, où il a étudié avecDavis Conte.
Cet ensemble magnifique est sous la direction d’Ilya Demutskiy lauréat de plusieurs Concours Internationaux, il est auteur de la musique pour les Jeux Paralympiques à Sochi 2014, d’un ballet et de deux opéras, de la musique symphônique, de la musique pour les choeurs. Il vient d’être nommé le meilleur compositeur de Russie offrira une soirée exceptionnelle
Le musée se compose de dix zones uniques. Chaque voiture sera présentée commeun objet d’art. Les spectateurs peuvent s’asseoir et prendre des photos. Toute personne sera en mesure de monter sur la Las Vegas à Monroe, prendre le volant de la voiture sur un chasseur de zombie ou tirer sur la voiture de l’Indiana Jones. La zone de chasse présentera une scénographie unique .
La plus ancienne voiture est une Dodge de 1942.
Musée de la voiture ancienne
25 rue Fleur, Saint Petersbourg.
Цветочной улице, 25.
Prix du billet adulte: 300 roubles, enfant: 150 roubles.
Concert est organisé en collaboration avec ALTAN-ART
3 musiciens chanteurs :
Battungalag Purevdorj,yatag
Mandakh Daansuren,moriin khuur et chant diphonique
Sugraa, chant long, moriin khuur
Le groupe propose la découverte de la musique traditionnelle de la Mongolie, à travers le chant diphonique et le chant long mongol (Urtiin duu) et les instruments traditionnels tels que Morin-Khuur, le Tovshuur, la Guimbarde et le Yatga. Les artistes créent une bonne ambiance chaleureuse et font voyager les spectateurs jusqu’au désert GOBI leur terre natale.
Le concert sera suivi d’une dégustation des plats typiques de Mongolie et d’une petite exposition d’objets d’artisanat mongol. Concert est organisé en collaboration avec ALTAN-ART avec La Kibitka et Datcha Kalina
Exposition de l’artiste de renommée mondiale “Roman Turtoff” plus connu sous le nom de Erte, avec 136 œuvres comprenant des aquarelles, des gouaches des dessins à la plume et quelques sculptures .
Exposition présentée par le collectionneur Eric Estorika fils d’immigrants de l’Empire russe. Il a fait connaissance avec Erte en 1967 devenant son agent exclusif. L’Ermitage montrera une petite partie de la collection, les premières œuvres des années 1912 et ses dernières œuvres. Travaux executés pour la mode de Paris avant la première guerre mondiale, avec des dessins de costumes pour les magazines de mode français comme “Vogue” et américain comme “Harper Bazaar”.
L’exposition présentera également des décors pour le théâtre et des costumes d’opéra qu’il réalisa pour les Ballets russes de Diaghilev.
Erté artiste légendaire, concepteur créateur de mode ArtDéco a immortalisé son nom à Paris, à Monaco et à Hollywood. Son nom de scène Erté était les initiales de Roman Tyrtoff.
Roman Tyrtoff dit ERTE
(23 Novembre, 1892-1990) Russie – France
Né Romain de Tirtoff à Saint-Pétersbourg, était destiné par son père pour une carrière militaire, Erté tirait son nom de plume de la prononciation française de ses initiales “RT”. Au cours d’une longue et brillante carrière, il a eu une influence majeure sur le style et la conception du 20ème siècle.
Erté a commencé sa carrière de mode à six ans quand sa mère avait une robe faite d’après un de ses premiers croquis. À 19 ans, Erté a quitté la maison familiale et a déménagé à Paris en 1912. Dans le but de devenir un illustrateur de mode. Il débuta sa carrière chez Paul Poiret célèbre maison de couture de Paris, il réalisa les vêtements de Mata Hari, de Anna Pavlova entre autres, plus tard, il a conçu des vêtements pour les femmes de la société à la mode, des stars de cinéma tels que Joan Crawford et Norma Shearer. Il prit le nom “Erté”, afin de préserver la confidentialité de sa famille en Russie
Avec le début de la Première Guerre mondiale en Europe, la plupart des grandes maisons de mode s’arrétèrent de travailler et Erté a été contraint de se tourner vers d’autres circuits de conception. En 1914, il a commencé ce qui fut une affiliation de 22 ans avec le magazine américain “Harper Bazaar “, la création d’art de couverture et d’ illustrations. Pendant ses années prolifiques à Harper, Erté conçut 250 couvertures et de nombreux dessins pour ses pages et diversifié dans une variété d’autres activités artistiques. Ce fut là que son style Art déco distinctif a émergé.
En 1919, Erté a commencé à concevoir pour le théâtre. Ses premiers dessins ont été pour le “Folies Bergères” où il a continué à concevoir des costumes et des décors pour les 11 années suivantes.
Après une aventure à Hollywood, à l’invitation de Louis B. Mayer, chef de Metro Goldwyn Meyer, la conception des films muets extravagants dont Ben Hur, Erté a quitté le magazine pour créer des décors et des costumes pour le théâtre et l’opéra. Durant 40 ans, il habillait une liste extraordinaire des étoiles d’opéra, de la scène et de l’écran, avec Mary Garden, Josephine Baker, Marion Davies, Lillian Gish, et Anna Pavlova. Ces réalisations lui ont valu le titre de «Père de l’Art Déco”.
À 75 ans, Erté a commencé à créer des sérigraphies en édition limitée à partir de ses dessins. À 88 ans, il a commencé son travail de sculpture en bronze, obtenant le même succès avec cette technique.
Erté est vraiment devenu un classique de son vivant, un personnage important dans la progression de l’art et de la mode.
La carrière artistique de Erté a continué jusqu’à sa mort en 1990 à Paris.
Musée de l’Ermitage
Le Musée de l’Ermitage
Russie, 190000,
St Petersburg,
Dvortsovaya Naberezhnaya 34
Mes chères amis français, vous, qui restez à Paris au mois de juillet venez m’écouter au jardin de Luxembourg pour découvrir les mélodies magnifiqueы des chansons russes. Мои дорогие русские друзья, все, кто останется в Париже в июле, приходите послушать ваши любимые советские песни, которые я буду петь в Люксембургском парке. Так хочется, чтобы эти красивые мелодии звучали почаще во Франции.
L’Église Saint-Louis-en-l’Île est une église française située dans l’actuel 4° arrondissement de Paris, sur l’île Saint Louis. L’église se trouve à l’intersection de la rue de Saint Louis-en-l’île et de la rue Poulletier. Cet édifice a été construit en plusieurs étapes de 1624 à 1726. Son saint patron est Saint Louis de France qui régna sous le nom de Louis IX.
Eglise Saint-Louis-en-l’Ile :
19 bis, rue Saint-Louis-en-l’Ile
75004 – Paris
Métro : Pont Marie
En 2014 le premier festival de l’art et du cinéma Russe s’est déroulé à Monaco a l’occasion de l’anniversaire des 400 ans de la dynastie Romanov Pendant trois jours ont été projetés des films uniques datant de la ériode 1909 – 1913 ainsi que des films d’animation et documentaires de l’époque Soviétique et de la Russie moderne. Egalement, avec un grand succès, la première du film de la réalisatrice Vera Glagoleva « Deux Femmes ».
En 2015, le festival de l’art et du cinéma Russe s’est déroulé dans le cadre de l’année Russe à Monaco. Le thème choisi était «rétrospective des grands Réalisateurs Russes» durant le festival les films projetés étaient dû au Réalisateur , Producteur et Directeur des studios Mosfilm, Monsieur Karen Shaknazarov..
Les 12 et 13 août 2016 le festival de l’art et du cinéma Russe va développer ses possibilités tout en familiarisant les habitants et visiteurs de la Principauté de Monaco avec le meilleur du théâtre et de l’art, avec la créativité du travail des musiciens et compositeurs, les ballets Russes, artistes, acteurs et bien sûr avec le cinéma Russe, et ainsi donner la possibilité d’entamer un dialogues avec les compatriotes russes habitant Monaco, la Riviéra et la France. Les organisateurs veulent ainsi aider à promouvoir la langue et la culture Russe en Europe.
Programme Le 12 août 11h-13h: Théâtre Princesse Grace projection de gold series de Mosfilm 14h30: Conférence de presse et ouverture officielle du Festival 15h: Projection du film de Vera Glagoyeva “Odna Voyna”(Одна война, Une guerre) réalisé en 2009.
16h30: Projection du film “Dyedouchka Moye Meshte”(2014) d’ Alexander O. Strizehenov .
19h30: Dîner de Gala à l’hôtel Métropole de Monte Carlo, extraits de ballets Russe, vente aux enchères et concert de la Diva Soprano Alicia Gisba, étoile du Gelicon Opéra.
Le 13 août 19h 30: Cocktail à l’hôtel Métropole de Monte Carlo, exposition de tableaux et concert privé de la Diva Soprano, étoile de Gelicon Opéra.
21h30: Feu d’artifice.
Théâtre Princesse Grace de Monaco
12 avenue d’Ostende
Monaco
Renseignements:
Monaco: +33.(0)664.18.15.15 et +33.(0)622.06.86.02
ART RUSSE
Icônes. Souvenirs Historiques. Étuis à cigarettes en argent.
Argenterie niellé. Argenterie du XIXe siècle. Émaux polychromes
Cristal. Objets de vitrines. Bijoux – militaria. Étuis à cigarettes en or
Cachets – porcelaine. Mobilier. Bronze. Tableaux
Souvenirs Historiques
(Quelques photos extraites du catalogue)
Saint Jacob de Perse. Icône de voyage, tempera sur bois, ornée d’une riza en
argent repoussé, ornée d’un nimbe en émaux polychromes cloisonnés. Usures du temps, mais bon état.
Poinçon titre : 84, 1857. H.: 20, 5 cm – L. : 16,5 cm.
1 500/2 000 €
VIERGE de Kazan.
Icône, tempera sur bois, conservée sous riza en métal.
Travail russe du début du XVIIIe siècle. Bon état.
H.: 30, 5 cm – L. : 27 cm.
1 200/1 500 €
CROIX PECTORALE EN ARGENT.
Modèle attribué par l’empereur Nicolas II, comme en
attestent l’inscription en caractères cyrilliques et le chiffre du
souverain. Manque un petit élément, en l’état.
Poinçon titre : 84, Moscou, 1908-1917.
Poinçon d’orfèvre : C. G. non identifié.
H.: 14 cm – L. : 7 cm.
Poids : 120 grs.
800/1 200 €
TABATIÈRE IMPÉRIALE. Par Karl GHAN (HAHN), Saint-Pétersbourg, 1899-1908.
De forme rectangulaire, aux angles arrondis, à décor sur chaque face d’une plaque en néphrite conservée dans une monture en or jaune, finement ciselée en relief d’une guirlande de feuilles de laurier en or vert alternées de fleurs en or rose. Le couvercle à charnières est appliqué au centre du chiffre de l’empereur Nicolas II sous couronne impériale entouré d’une couronne de feuilles de laurier retenue par un noeud
enrubanné en argent serti de roses de diamant et de pierres du Rhin, à chaque angle apparaît l’aigle bicéphale des Romanov finement ciselé en argent serti de roses de diamant et de pierres du Rhin, encadré de fines cannelures en or jaune appliquées de rameaux feuillagés. La bordure
d’encadrement principale en émail rouge translucide sur fond guilloché d’ondes est appliquée d’une résille sertie de roses de diamant, bordée d’une guirlande de feuilles en or jaune mat. Assez bon état général, légers accidents et petits manques à la plaque centrale en néphrite. Les pierres principales étaient à l’origine des diamants remplacés postérieurement par des pierres du Rhin.
Poinçons titre : 56, Saint-Pétersbourg, 1899-1908.
Poinçon d’orfèvre : K. Ganh : Karl Auguste Hahn.
Poinçon du chef d’atelier : Carl Carlovitch Blank, actif de 1892 à 1909.
L. : 7 cm – L. : 10, 5 cm – E. : 3 cm.
Poids brut : 250 grs.
80 000/100 000 €
ÉTUI À CIGARETTES EN ARGENT. Par FABERGE, Moscou, 1899-1908.
De forme rectangulaire, arrondi aux angles, orné d’un groupe de personnages en relief et d’une frise sertie de rubis, le boutonpoussoir en or est serti d’un cabochon de saphir, intérieur
vermeil, conservé dans son écrin d’origine en bois d’érable, intérieur en velours et soie de couleur champagne, avec tampon à l’encre en lettres noires « K. Fabergé, Moscou, Saint-Pétersbourg,
Odessa » surmonté de l’aigle impérial. Gravé au revers d’une dédicace en allemand signée « Nikolaïev, Weihmacten, 1904 ». Bon état, légères usures intérieur à l’écrin.
Poinçon titre : 88, Moscou, 1899-1908.
Poinçon d’orfèvre : K. Fabergé, avec marque du privilège
impérial, et n° d’inventaire : 19173
L.: 10 cm – L. : 7 cm – E. : 1, 5 cm.
Poids brut : 145 grs.
6 000/8 000 €
CHOPE.
En métal argenté, de forme cylindrique à décor repoussé d’un aigle aux ailes déployées dans un entourage de branches de vigne, le couvercle est orné d’une pièce ancienne datant
de 1749 à l’effigie de l’impératrice Elisabeth Ière, l’ensemble reposant sur trois pieds boule ornés de serres d’aigle. Travail étranger du XIXe siècle.
H. : 19 cm – L. : 18 cm.
2 000/2 500 €
NÉCESSAIRE À THÉ EN ARGENT.
A décor ciselé en trompe-l’oeil d’écorce de bouleau tressée, comprenant une théière, une cafetière, un sucrier, un pot à lait, une corbeille à gâteaux, un passe-thé et une pince à sucre, chaque pièce est gravée d’un monogramme entrelacé I. K. S., intérieur vermeil, l’ensemble est conservé dans son coffret d’origine en bois naturel, à la forme, orné d’une plaque en bronze doré gravée du même monogramme, avec poignets amovibles sur les côtés, intérieur en velours bleu. On y joint douze cuillères à thé en vermeil
du même motif, ainsi qu’une importante bouilloire samovar en argent. Usures du temps, bon état général.
Poinçon titre : 84, Saint-Pétersbourg, 1882, 1880, 1881 et 1899-1908.
Poinçon d’orfèvre : A.A.C. et A.C., non identifiés.
Bouilloire samovar : H. : 40 cm – L. : 28 cm. Poids : 2 k 298 grs.
Théière : H. : 14 cm – L. : 23, 5 cm. Poids : 669 grs.
Cafetière : H. : 19 cm – L. : 14 cm. Poids : 589 grs.
Sucrier : H. : 13 cm – L. : 14 cm. Poids : 459 grs.
Pot à lait : H. : 11 cm – L. : 10 cm. Poids : 199 grs.
Corbeille : H. : 20 cm – L. : 24 cm. Poids : 1 k 68 grs.
Pince à sucre : L. : 13 cm. Poids : 61 grs.
Passe thé : L. : 17 cm. Poids : 75 grs.
Cuillères à thé : L. : 13, 5 cm. Poids total : 350 grs.
80 000/90 000 €
KOVSH EN VERMEIL. Par SEMENOVA, Moscou, 1908-1917.
A décor d’émaux polychromes cloisonnés, d’inspiration Art Nouveau, sur fond alterné de couleur ivoire, vert foncé, vert pâle et rose, surmonté d’une frise en émaux polychromes cloisonnés
de couleurs rouge et noir, manche en partie émaillé, bordé d’une frise de perles émaillée turquoise, intérieur vermeil.
Poinçon titre : 84, Moscou, 1908-1917.
Poinçon d’orfèvre : Maria Semenova, actif de 1896 à 1908, et
porte le n° d’inventaire : 5950.
Petits accidents, mais bon état général.
H.: 8 cm – L. : 17, 5 cm – P. : 10, 5 cm.
Poids : 264 grs.
4 000/6 000 €
COUPE D’HONNEUR « STOPA » EN VERMEIL. Par OVTCHINIKOFF, Moscou, avant 1899.
De forme légèrement évasée vers le haut, à décor de motifs floraux, d’arabesques feuillagées et de perroquets en émaux polychromes cloisonnés sur fond mati or, appliquée sur la partie haute de l’emblème
de la ville de Saint-Pétersbourg émaillé sur fond rouge surmonté de la couronne impériale et retenu par un ruban émaillé bleu, encadré en haut et en bas d’une frise de fleurs surmontées d’une guirlande de perles émaillées turquoises. L’ensemble repose sur une base circulaire à décor d’arabesques
émaillées sur fond mati or. Intérieur vermeil, gravé de l’inscription dédicacée : « La ville de Saint-Pétersbourg au vice-amiral Roustan ». Petites usures du temps, mais très bon état général.
Poinçon titre : 84, Moscou, avant 1899.
Poinçon d’orfèvre : Pavel Ovtchinikoff, avec marque du privilège impérial.
H.: 28, 5 cm – L.: 12 cm.
Poids. : 1 k 59 grs.
15 000/20 000 € Historique : présent officiel offert par la ville de Saint-Pétersbourg au vice-amiral Albert
Roustan (1842-1903), commandant de l’escadre française qui accompagna le président
de la République Française Emile Loubet (1838-1929) en Russie, à l’occasion de sa visite
officielle au Tsar Nicolas II du 14 au 27 mai 1902.
Référence : une coupe similaire réalisée par le même orfèvre fut offerte quelques années
auparavant à Théophile Delcassé (1852-1923), alors Ministre des Affaires étrangères
accompagnant le président de la République Française Félix Faure en Russie, lors d’un
voyage officiel. Elle porte la dédicace intérieure suivante : « A M. Delcassé la Ville de
Saint-Pétersbourg ». Cette pièce se trouve dans la collection Jérôme et Rita Gans. Voir le
catalogue de l’exposition « Fabergé Revealed », organisée au Virginia Museum of Fine
Arts en 2011, lot 210, page 301et 302.
IMPORTANTE COUPE. Par FABERGE, Moscou, 1899-1908.
De forme conique en cristal taillé à motif diamant, reposant sur un socle en argent de forme triangulaire, à décor de guirlandes de laurier enrubannées finement ciselées et gravée du monogramme
« L » et de la date « 1907 ». Usures du temps, mais bon état général.
Poinçon titre : 84, Moscou, 1899-1908.
Poinçon d’orfèvre : K. Fabergé, avec marque du privilège
impérial et portant le n° d’inventaire : 23168.
H.: 44, 5 cm – L. : 21 cm.
Poids : 2 k 327 grs.
80 000/90 000 €
COUPE-PAPIER DE BUREAU. Par FABERGE, Saint-Pétersbourg, 1899-1908.
Sculpté et polie dans un bloc de néphrite, le manche est enveloppé d’une résille en or, de style rocaille. Conservé dans son écrin d’origine à la forme en bois d’érable, intérieur en
velours et soie de couleur champagne, avec tampon en lettres noires « Fabergé, Saint-Pétersbourg, Moscou, Odessa » surmonté de l’aigle impérial des Romanov. Bon état général.
Poinçon titre : 56, Saint-Pétersbourg, 1899-1908.
Poinçon d’orfèvre : Fabergé.
Poinçon de chef d’atelier : Henri Wigström (1862-1923).
L.: 14, 5 cm – L.: 2, 5 cm.
Poids total brut: 30 grs.
8 000/10 000 €
MAKOVSKI Constantin Egorovitch (1839-1915).
Viel homme assis sur un banc.
Dessin à la mine de plomb sur papier, signé en bas à droite du monogramme
de l’artiste, provenant d’un carnet à dessin, avec scène de personnages au dos.
Bon état.
H. : 24, 5 cm – L. : 18, 5 cm.
2 000/2 500 €
SOUVENIRS HISTORIQUES
SERVICE DU ROI LOUIS-PHILIPPE CHÂTEAU DE COMPIÈGNE.
Ensemble de 12 assiettes plates en porcelaine, à fond bleu céleste dit « agate », à décor d’une frise de palmettes or et d’une frise de feuilles de lierre or. Manufacture royale de Sèvres, marques bleues
1836 et 1840, cachet rouge du château de Compiègne. Bon état.
Diam. : 24 cm.
1 500/2 000 €
Vente aura lieu au
Café de Paris Salon Belle Vue Place du Casino, 98000 Monaco
Téléphone et fax pendant les expositions et la vente :
Tel. : 00 377 97 70 91 81 – Fax. : 00 377 97 70 09 76
Expositions publiques
Café de Paris
Salon Belle Vue
Place du Casino, 98000 Monaco
Expositions publiques
Café de Paris
Pour une sélection des lots
Le 13 Juillet de 16h00 à 19h00
Pour l’ensemble des lots
Du 14 au 19 Juillet de 10h00 à 19h00
Le 20 Juillet de 10h00 à 12h30
Installation d’un monument à la gloire des Russes venus à Brest en 1916, près du port à Brest.
Inauguration officielle du monument, le 15 juillet, Journée dédiée à la Russie.
La stèle, sculptée par l’ artiste russe, Andrey Tyrtyshnikov, a été financée par la Russie.
Andréï Tyrtyshnikov, l’un des quatre sculpteurs.
« En Russie, le débarquement, en 1916, de soldats russes participant à la Première Guerre mondiale aux côtés de la France, c’est quelque chose que l’on enseigne dans toutes les écoles, corrige Andréï Tyrtyshnikov, l’un des quatre sculpteurs avec Dmitry Levin, Ilya et Nikita Feklin. Comme tout ce qui touche à l’histoire militaire et patriotique. »
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Général Maruchevski ( à Peterhofet décédé le à Zagreb).
La 3e Brigade d’infanterie russe spéciale, commandée par le général Maruchevski et constituée de 10.300 officiers, sous-officiers et soldats, quitta Arkhangelsk dans le courant du mois de septembre 1916 à bord de sept bâtiments, qui gagnèrent la France en empruntant une route maritime passant par la Norvège, le canal Saint-Georges et les Nouvelles-Hébrides. L’un d’eux, le DJEMNAH de la Cie des Messageries Maritimes, paquebot – poste avait été réquisitionné comme transporteur. Il quitta BREST le 2 août 1916 arriva à Arkhangelsk le 15, pour repartir pour Brest le 25 août ayant à son bord 903 soldats et officiers, il débarque ces hommes à Brest le 5 septembre 1916.
AU CŒUR DES CAPITALES MUSICALES :
c’est le thème de la 17ème édition des Rencontres Musicales Internationales des Graves.
L’ambition est de traiter de la musique à travers le prisme des grandes villes du monde qui ont marqué l’histoire musicale depuis la Renaissance jusqu’à nos jours.
Le Festival proposera 9 concerts qui, selon la tradition, sillonneront la Route des Vins de Bordeaux en Graves et Sauternes.
Les grands châteaux ouvriront leurs salles et leurs chais aux concerts-dégustations du meilleur cru avec une programmation exceptionnelle, nostalgique et insolite.
Ce concert est un échange musical entre violoncelle, saxophone et piano à travers les œuvres de J.S. Bach, Piotr Tchaïkovski, Astor Piazzolla et G.P. Telemann. De nombreuses surprises musicales vous y attendent, comme par exemple, Les Variations sur un thème Rococo de Tchaïkovski donné dans la transcription pour saxophone alto.
Lucia Bistritskaya: violoncelle & Dmitri Ouvaroff: saxophone
Dmitri Ouvaroff: saxophone
Dmitri Ouvaroff est né le 23 février 1985 à Apatity, Russie. Il commence à étudier le saxophone en 2002 au Collège Musical M.P. Moussorgsky de Saint-Pétersbourg où il suit les cours avec le professeur Alexei Tikhonov. Il obtient son diplôme avec mention «Excellent» et poursuit ses études chez le même professeur à la Faculté d’Interprétation Musicale du Conservatoire national N.A. Rimsky-Korsakov (Académie) de Saint-Pétersbourg, où sa spécialisation est toujours le saxophone classique. Il termine ses études au Conservatoire en 2011. Parallèlement, en 2010 il réussit ses examens d’entrée au C.R.D. d’Aix-en-Provence, où il entre au Cycle Supérieur chez Jean-Pierre Caens. En 2012, il suit le cycle de perfectionnement chez Vincent David au C.R.R. de Versailles où en 2013 Dmitri obtient le Diplôme de Concert avec Mention Très Bien et Félicitations du jury.
Dmitri Ouvaroff est lauréat du Concours National d’Execution Musicale pour la Jeunesse instruments à vent et percussion, à Krasnodar, Russie en 2004 (1er prix), ainsi que de nombreux concours internationaux: en Italie – «Amici della musica 2000» (1er prix en 2004), «Città di Minerbio» (4ème prix en 2004) et «Musica della Val Tidone» (4ème prix en 2004), en Suisse – «Classics in the streets» (1er prix en 2004), en Finlande – «Art of XXI Century» (1er prix en 2006), en Russie – «Delphic games» (2ème prix en 2009). En 2011 il reçoit le 2ème prix et le prix spécial du Jury au Concours National de Musique en France. Dmitri Ouvaroff a une grande expérience de concertiste soliste, il a également travaillé avec plusieurs orchestres.
Depuis 2006, il est artiste de l’Orchestre Symphonique de la Chapelle d’Etat de Saint-Pétersbourg. Il est également artiste invité des Orchestres Symphoniques du Théâtre Mariinsky et de l’Académie Philharmonique de Saint-Pétersbourg. En master class, Dmitrii a reçu les conseils de grands musiciens tels que Steven Mauk, Claude Delangle, Jean-Denis Michat, Marco Albonetti, Jean-Yves Fourmeau, Evgeni Mogilevsky. Son activité musicale est variée. Il donne des concerts et participe à des festivals internationaux, tels que celui de Vittenberg en Allemagne ou d’Aix-en-Provence en France. Il intervient dans le programme d’Etat russe «Les jeunes talents de Saint-Pétersbourg» à Padoue en Italie, ainsi qu’aux «Journées de Saint-Pétersbourg en Chine» à Pékin et au «Festival de Pâques de Moscou». On trouve dans son repertoire des oeuvres musicales de différentes époques, depuis les compositeurs européens de la période baroque jusqu’à la musique contemporaine.
Dmitri Ouvaroff est aujourd’hui professeur de saxophone au Conservatoire Russe de Paris Serge-Rachmaninoff.
Eglise Lutherienne de l’Ascension
47 rue Dulong 75017 Paris www.facebook.com/descordes
Tél: 06 80 74 98 59
Violoncelliste français, ancien élève de Mstislav Rostropovich au Conservatoire de Moscou. Il gagne le premier prix du concours international de Munich et devient professeur à l’Institut Gnessine à Moscou.
Né à Bakou, il quitte l’URSS en 1974 et s’établit à Paris. Les critiques sont unanimes à reconnaître en lui l’un des maîtres du violoncelle.
Tout en dominant le répertoire classique, il est passionné et ardent défenseur de la musique de notre siècle: H. Dutilleux, S. Gubajdullina, A. Rabinovitch, H. Sauguet, J. Dorfman, A. Schnittke, F. Kaufman
Il a joué sous baguette de chefs d’orchestre prestigieux comme : Valery Gergiev, Saulius Sondetskiss, Eduardo Mata, Charles Dutoit, Alexandre Rabinovich, Arnold Katz, Dmitri Liss, Maxime Schostakovitch etc…
De très nombreux enregistrements, de Milhaud, Saint-Saëns, Chostakovitch et Veinberg ont été faits avec les Orchestres de la Radio Suédoise et du Symphonique d’Ekaterinbourg.
Avec Alexandre Rabinovitch, Il a enregistré les Variations de Beethoven
Son CD, la Sonate d’Adolf Biarent, a reçu le prix Top Prize Winner au MIDEM (Cannes) en 2003.
Avec Martha Argherich, il enregistre trois CD en 2003, 2004 et 2006.
Depuis 2001 il participe au Festival de Martha Argherich à Lugano, et en 2002 au Festival Martha Argherich de Buenos Aires.
Durant 2006 et 2007, il a participé à de nombreuses tournées en Allemagne, Belgique, Espagne, France, Pologne, Italie, Russie et Suisse avec divers orchestres et a donné de nombreux concerts avec des solistes prestigieux tels que :Martha Argerich, Renaud Capuçon, Ivry Guitlis, Alexandre Rabinovitch, Dora Schwarzberg, Lilya Zilberstein etc.
En 2008 sa tournée au Japon a été un très grand succès et tout en préparant celle en Nouvelle Zelande, il poursuit ses nombreux concerts en France avec différents orchestres des pays de l’est.Mark Drobinsky joue sur un violoncelle italien fait en 1748 par Carlo Antonio Testore.
Créé en 1993, l’Orchestre de Bryansk possède un répertoire vaste et varié qui s’étend du classique aux compositeurs contemporains : Vivaldi, Corelli, Bach, Haendel et beaucoup d’autres. En plus de la musique de chambre, l’Orchestre interprète des œuvres symphoniques, comme celles de Beethoven, de Brahms, Dvorak, Schubert… Il tourne régulièrement en Russie et à l’étranger, où il participe à de nombreux festivals. Chaque année il donne à titre gracieux une série de concerts dans la zone de Tchernobyl.
Edouard Ambartsoumian est diplômé de l’Académie de musique d’Erevan (capitale de l’Arménie). Pendant ses études à l’Académie il a travaillé comme chef d’orchestre principal à l’Orchestre de Chambre de l’Académie d’Erevan (1989-1993), et depuis 1993 comme chef d’orchestre à l’Orchestre Symphonique de Radio et Télévision d’Arménie, ainsi qu’à l’Opéra d’Erevan où il a dirigé les opéras La Bohème, Carmen, Rigoletto, les ballets Spartak, le Sacre du Printemps, et L’Oiseau de Feu. Il a dirigé les meilleurs orchestres symphoniques et de chambre d’Arménie, de Biélorussie et de Russie. Le Centre International de Biographies de l’Université de Cambridge l’a inscrit dans l’Anthologie Universelle « Les Noms du XXIe Siècle ».
Festival| Musique classique, musique ancienne et médiévale, musiques du monde, jazz, concerts-lecture, spectacles jeune public Auxerrois (Chablis, Venouse, Ligny-le-Châtel)
Depuis sa 1ère édition en 2004, le Festival du Chablisien se tient chaque année en juillet et fait partie des 5 autres qui composent le grand Festival Musical des Grands Crus de Bourgogne (avec Noyers, Cluny, Gevrey-Chambertin et Meursault). La programmation est éclectique et l’on peut y voir et écouter de la musique classique, musique ancienne et médiévale, musiques du monde, de la chanson, du jazz, concerts-lecture, spectacles jeune-public.
LUNDI 11 JUILLET 2016 (20h30)
à Chablis (Auditorium) 13ème FESTIVAL DU CHABLISIEN : Concert de MUSIQUE RUSSE classique et traditionnelle avec le TRIO MAKARENKO
Accès : Entrée payante
Tarif : 15 € / moins de 25 ans : 10 € / Réseau enseignement : 5 €
Contact info/resa : 03 86 42 80 80 (Office de Tourisme de Chablis)
Site web : www.festival.onlc.fr/14-Festival-du-Chablisien.html
Organisateur : Association Culturelle du Pays Chablisien
avec :
– Micha Makarenko (balalaïka)
– Anne Makarenko (piano)
– Pierre Makarenko (hautbois)
TARIFS ET RÉSERVATIONS FESTIVAL
Prix des places de concert : 15 € – Moins de 25 ans : 10 € *
Elèves et enseignants des Ecoles de Musique du département de l’Yonne : 5 €
* Exceptions :
– concert du 5 juillet : 18 € / 12 €
– concert du 7 juillet : 18 € / 12 € / 5 €
Pass 60 € pour les 5 concerts du 5 au 11 juillet
Gratuit pour les handicapés
Billetterie sur les lieux des concerts 30 mn avant la représentation.
Les réservations se font à l’Office du Tourisme de Chablis (1 rue Maréchal de Lattre-de-Tassigny 89800 Chablis)
Tél. 03 86 42 80 80
Vos réservations seront transmises au Festival et les places seront à retirer sur le lieu du concert dix minutes avant le début de la représentation.
Soirée hommage à Alexandre Sergueïevitch Pouchkine.
Jeudi 7 juillet à 20h30
au siège de l’Association “Faites entrer les musiciens”
Divertissement littéraire et musical autour du poèteet des musiciens inspirés par ses poèmes.
Spectacle conçu par Vitali Romanov, baryton basse de l’opéra de Saint-Petersbourg. Interprété par Vitali Romanov et Catherine Galitzine Nicole Rivière-Lapierre , pianiste
Participation souhaitée: 25 euros. Demi-tarif pour les moins de 40 ans.
Ce divertissement sera suivi d’un cocktail.
Siège de l’association “Faites entrer les musiciens”.
25 villa du Roule, 92200 Neuilly sur Seine. Réservations et renseignements 06 13 52 60 37
Alena Vasilyeva est née en 1975 à Leningrad. Elle est diplômée du Lycée national académique
d’art de Saint-Pétersbourg Ioganson de l’Académie des Beaux-Arts de la Russie (1993), du département
des arts plastiques (1998) et de l’école doctorale du département de dessin (2003) de l’Université
pédagogique d’Etat de Russie Herzen. Elle a approfondi ses compétences à l’Institut académique d’Etat
de peinture, sculpture et architecture Repine (2009). Depuis 1999 elle travaille à l’Université pédagogique
d’Etat de Russie Herzen: maître de conférences, vice-doyenne de la faculté d’arts plastiques.
Docteur en histoire de l’art (2003). Membre de l’Association internationale des critiques d’Art (AICA).
Membre de l’Union des artistes russes (2004). Membre de l’Union des aquarellistes de Saint-Pétersbourg
(1998). Elle a été récompensée par un diplôme d’honneur de l’Académie russe des Beaux-Arts pour son intense activité créative, reçu un diplôme d’honneur du Ministère de l’enseignement et de la recherche de la Fédération de la Russie dans la catégorie des arts graphiques, Alena à reçu une bourse du Président de la Fédération de la Russie, une subvention du Ministère de la culture de la Fédération de la Russie dans la catégorie «L’Art et l’architecture» et une bourse du gouvernement de Saint-Pétersbourg.
Gala Laskova
Gala Laskova est née a Ijevsk en 1979 et, en passant par l’Ecole d’Arts Plastiques pour les enfants, elle continue ses études dans section des Beaux Arts a l’Université UdGU, puis suive sa parcours personnelle a Saint-Pétersbourg, avant partir en France en 2005.
Qu’est ce qu’il y a en commun entre Nature morte Hongroise et Portrait Familiale inspirant par style d’époque ? Gala aime peindre des portraits et des nature mortes. Dès l’enfance, depuis son école russe, a effectué un parcours académique et sauvage, marginal et fin, bref et bohémien…
A la recherche du Temps Perdu, rien est perdu – toute expérience est bienvenue pour elle. Classique, moderne, contemporaine. L’éclectique de sa peinture à l’huile accueille symbolisme du « vieux » et de moment présent.
De province russe vers Saint-Pétersbourg, de province française vers Paris, de la Nature vers les Musées et de l’Objet extérieur vers Soi-même.