Deux nouveaux articles ont été récemment mis en ligne.
Deux articles aux points de vue opposés mais complémentaires sur le thème de la religion.
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Equipe Gazeta France-Oural
Parution de la Semaine
25 juin 2017
L’athéisme : un délit en Russie ?
Une nouvelle forme d’inquisition Le 2 mars, le tribunal de Stavropol a engagé une procédure contre Victor Krasnov, accusé d’offense aux sentiments religieux des croyants. Une plainte avait été déposée…
De nouveaux volumes de l’Encyclopédie Orthodoxe ont été présentés à Moscou, dans la cathédrale du Christ Sauveur, aux journalistes et aux représentants du Comité de parrainage de l’Encyclopédie. Le premier…
Répondez sans détour à ce petit sondage ! Nous avons besoin de votre avis, de vos critiques et remarques pour améliorer le projet Gazeta France-Oural, lancé il y a plus…
Icônes, Souvenirs Historiques, argenterie niellée, argenterie du XIXe siècle, émaux polychromes, bijoux, objets de vitrine, étuis à cigarettes, cristal, porcelaine, bronze, tableaux Ballets russes, judaïca.
( EXTRAITS du CATALOGUE)
ICÔNE TRIPTYQUE EN ARGENT. Par Khlebnikoff , Moscou, 1908-1917.
Représentant au centre Saint Jean entouré de Saint Serge de Radonez et de Saint Pierre métropolite de Moscou, dans un entourage d’une frise en émaux polychromes cloisonnés.
Usures du temps, mais bon état général. Poinçon titre : 84, Moscou, 1908-1917.
Poinçon d’orfèvre : Ivan Khlebnikoff, et marque du privilège impérial.
Ouvert : H. : 14, 5 cm – L. : 26, 5 cm. Fermer : H. : 14, 5 cm – L. : 9 cm.
Poids : 1 k 72 grs. 4 000/6 000 €
GRANDE CROIX PECTORALE. Par Baskakoff, Moscou, 1896.
En vermeil, pour membre du clergé, appliquée au centre et en relief du Christ sur sa Croix, sertie d’améthystes et de péridots dans un entourage de diamants, dont certains furent
remplacés par des diamants de taille moderne, montés sur argent. Conservée dans un écrin postérieur à la forme. Petits manques, bon état général. Poinçon titre : 84, Moscou, 1896.
Poinçon d’orfèvre : Piotr Baskakoff, actif de 1883 à 1908.
H.: 17, 5 cm – L.: 8, 5 cm. Poids brut : 144 grs.
15 000/18 000 €
TABATIÈRE SCULPTÉE EN IVOIRE DE MORSE. De forme ronde, ornée sur une face du monument érigé à Saint-Pétersbourg en l’honneur de Pierre le Grand par Catherine II, réalisé par Etienne Falconet en 1782, entouré d’une guirlande de feuilles de laurier. Et sur l’autre face du monogramme S sous couronne comtale, encadré de deux lions marchant sur une couverture d’hermine, probablement aux armes des Comtes Soumarokoff-Elston. Intérieur en écaille. Usures du temps, mais bon état général.
Travail russe du XVIIIe siècle. Diam. : 8 cm.
6 000/8 000 €
PORTRAIT DE L’EMPEREUR ALEXANDRE II DE RUSSIE (1818-1881).
Conservé dans un magnifique cadre signé Carl Fabergé.
De forme rectangulaire, la face principale du cadre est taillée et polie dans un bloc de néphrite dont la partie supérieure est prolongée au sommet par un arc ; au centre se trouve un portrait photographique émaillé en grisaille sur fond argent représentant l’empereur Alexandre II (1818-1881) vers la fin de sa vie, conservé dans un entourage cerclé d’or, surmonté de son monogramme et coiffé d’une guirlande de laurier finement ciselée retenue au centre par un noeud enrubanné. Chaque angle est orné d’une rosace finement ciselée de deux couleurs d’or. Avec au dos un pied chevalet en argent à décor ajouré et attache de suspension. Légères usures, mais très bon état général. Poinçon titre : 84, Moscou, 1894.
Poinçon d’orfèvre : K. ФАЬЕРЖЕ : (Carl Fabergé), marque du privilège impérial et n° d’inventaire : 12738. Portrait : H. : 11 cm – L. : 8 cm. Cadre : H. : 20 cm – L. : 13 cm.
Poids brut : 617 grs.
8 000/10 000 €
CHOPE COUVERTE « KROUJKA » en vermeil. A décor de motifs repoussés, de style Rocaille, représentant des branches de fleurs, reposant sur trois pieds en forme de grenades. Usures du temps et petits manques. Poinçon titre : illisible, 1721. Poinçon d’orfèvre : illisible.
H.: 18, 5 cm – L.: 16 cm – Diam.: 11 cm. Poids: 700 grs.
6 300/6 500 €
POKAL COUVERT EN VERMEIL. Par Platoff Moscou, 1754.
À décor de larges godrons repoussés, finement ciselé d’arabesques feuillagées et reposant sur une base circulaire de même décor, le centre est orné d’un personnage soutenant la coupe principale, surmonté de l’aigle bicéphale des Romanoff, intérieur vermeil.
Bon état général. Poinçon titre : 84, Moscou, 1754. Poinçon de maître essayeur : M. Ъ. : non identifié. Poinçon de maître orfèvre : Grigori Platoff, actif de 1753 à 1775.
H.: 36 cm – L.: 10 cm. Poids: 501 grs.
6 000/7 000 €
IMPORTANTE «BRATINA» En argent. Par Ovtchinikoff, Moscou, avant 1899.
De forme cylindrique, ornée de huit larges godrons en réserve à décors bombés et repoussés représentant des animaux ailés, de personnages mythologiques et allégoriques, dans un entourage d’arabesques finement ciselées, avec col évasé portant l’inscription gravée : « Au croiseur Cuirassier « Guichen » La ville de Saint-Pétersbourg, Mai 1902 », reposant sur un pied circulaire, intérieur vermeil. Usures du temps, mais bon état général.
Poinçon titre : 84, Saint-Pétersbourg, avant 1899. Poinçon d’orfèvre : Pavel Ovtchinikoff et marque du privilège impérial.
H. : 22 cm – L. : 26 cm. Poids : 1 k 678 grs.
10 000/12 000 €.
SERVICE À DESSERT en vermeil. Par Wulf Saint-Pétersbourg, 1824.
Composé de douze petites assiettes plates à dessert, bordées d’une frise de fleurs perlées et sur le haut du marli gravé d’un monogramme entrelacé,
de douze fourchettes, de douze
cuillères (dont deux sont de travail autrichien) et de douze couteaux à dessert avec manche en nacre. L’ensemble est conservé dans un écrin à la forme postérieur.
Bon état général, usures à l’écrin. Poinçon titre : 84, Saint-Pétersbourg, 1824. Poinçon d’orfèvre : Alexandre Yarshinoff, actif de 1795 à 1826. Poinçon d’orfèvre : Wilhelm Wulf, actif de 1805 à 1826.
Diam. : 21 cm – L. : 16 cm, 17 cm et 18, 5. Poids total brut 5 k 448 grs.
15 000/20 000 €.
BROCHE DE CORSAGE EN OR. Commercialisée par Fabergé, Saint-Pétersbourg.
En forme d’une branche de chêne sertie de 105 roses de diamants retenant deux glands sertis de diamants taille poire pesant environ 3 carats chacun, conservée dans son écrin d’origine à la forme, intérieur en velours et soie avec tampon à l’encre « K. Fabergé ». Bon état général. Manquent quelques diamants. Usures du temps à l’écrin. Poinçon titre : 56, Saint-Pétersbourg, circa 1880-1890. Poinçon du maitre orfèvre : O.K. (non répertorié, mais probablement Knut Oscar Phil (1860-1897). H. : 2 cm – L. : 4, 5 cm. Poids brut : 11 grs.
40 000/60 000 €.
GRANDE BOÎTE À CIGARES En argent. Par Kryenyes, Moscou, 1890.
De forme rectangulaire, entièrement ciselée à décor en trompel’oeil représentant un modèle
de boîte à cigares en bois vendus dans le commerce à l’époque en Russie. Intérieur vermeil.
Petites usures du temps, mais bon état général. Poinçon titre : 84, Moscou, 1890. Poinçon d’orfèvre : Jacob Kryenyes, actif de 1882 à 1901. H.: 6, 5 cm – L.: 21 cm – P.: 12, 5 cm. Poids: 855 grs.
2 500/3 000 €
VASE EN PORCELAINE BLANCHE. De forme balustre, à décor central polychrome représentant l’aigle bicéphale des Romanoff tenant dans ses serres des drapeaux à l’emblème impérial, surmontant une branche de laurier et une branche de chêne dorées, avec un col large évasé décoré d’une frise stylisée polychrome et reposant sur une base cylindrique ornée du même décor bordée de filets dorés, flanqué de chaque côté d’une anse dorée. Légères usures à la dorure au niveau des anses, mais très bon état général. Travail russe de la fin du XIXe siècle, de la Manufacture impériale de Saint-Pétersbourg. Epoque : Nicolas II (1894-1917). H. : 41, 5 cm – L. : 20, 5 cm.
3 000/5 000 €
PAIRE DE VASES en Malachite . Modèles de forme Médicis reposant sur une base carrée en bronze doré. Bon état. Travail russe de la fin du XIXe siècle.
H. : 34 cm – L. : 24 cm.
25 000/30 000 €
MAKOVSKY Constantin Egorovitch (1839-1915). Portrait d’une jeune femme au béret rouge (probablement la femme de l’artiste Julia). Huile sur toile, signée en bas à gauche et conservée dans un encadrement en bois doré. Porte au bas une plaque d’identification au nom de l’artiste et au dos l’inscription : « American Art Association – The Thomas E. Waggaman Sale Jan’y 27th 1905 ». A vue : H. : 57 cm – L. : 46, 5 cm. Cadre : H.: 89 cm – L
PAIRE DE BOÎTES À ÉPICES en vermeil . Représentant trois rabbins portant sur leurs épaules une grenade, reposant sur une base ajourée représentant une étoile de David. Bon état général. Poinçon titre : 84, Vilnus, 1894. Poinçon d’orfèvre : non identifié.
H. : 9 cm – L. : 5 cm. Poids total : 116 grs.
400/600 €
YAD EN ARGENT UNI. Surmonté d’un aigle bicéphale et appliqué sur le haut du manche d’une étoile de David sertie au centre d’un cabochon de grenat et du blason aux armes des Romanoff. Le doigt de lecture est serti d’un petit rubis. Travail russe portant des poinçons : 84, Vilnus, 1798, A. Y., non identifié. L. : 33 cm – Diam. : 4 cm. Poids brut : 65 grs.
600/800 €
BOUGEOIR DE SHABBAT en argent . Par Kollin, Saint-Pétersbourg, avant 1896. Modèle à pieds amovibles, à décor ciselé et serti de cabochons de grenat. Bon état général.
Poinçon titre : 84, Saint-Pétersbourg, avant 1896. Poinçon d’orfèvre : Erik Kollin, actif de 1858 à 1898. H. : 6, 5 cm – L. : 10, 5 cm. Poids brut : 139 grs.
400/600 €
Expositions publiques: Le 13 Juillet de 16h à 19h. Du 14 au 18 Juillet de 10h à 19h.
Vente publiques: Le mercredi 19 Juillet de 10h à 12h.
Café de Paris
“Salon Belle Vue”
Place du Casino, 98000, Monaco.
Expert: Cyrille Boulay Membre agréé de la F.N.E.P.S.A.
En 2014, le premier Festival de l’art et du cinéma russe s’est déroulé en Principauté de Monaco à l’occasion de l’anniversaire des 400 ans de la dynastie Romanov. Pendant trois jours ont été projetés des films uniques datant de la période 1909 – 1913, des films d’animation, des documentaires de l’époque soviétique et de la Russie moderne, ainsi que la première du film de la réalisatrice Vera Glagoleva « Deux Femmes », en remportant un grand succès.
Les 12 et 13 août 2015, le Festival de l’art et du cinéma russe s’est déroulé dans le cadre
de l’Année de la Russie à Monaco. Le thème choisi était «rétrospective des grands
réalisateurs russes». Pendant le Festival les films projetés étaient dû à Karen
Shaknazarov, réalisateur, producteur et directeur des studios Mosfilm.
Karen Shaknazarov
Le 12 et 13 août 2016, le thème du Festival était l’année du cinéma russe. Pendant cet événement une vente aux enchères à été organisée à l’Hôtel Métropole de Monte-Carlo au profit de la Fondation pour enfants “Anastasia”.”
Nous voulons sensibiliser les résidents monégasques au meilleur du théâtre et de l’art, à la
créativité de nos musiciens et compositeurs, aux Ballets Russes, à nos artistes et acteurs, et surtout au cinéma russe, en créant un lien avec nos compatriotes établis
sur la Côte d’Azur. Les organisateurs veulent ainsi promouvoir la langue et la culture
Pour l’édition 2017, le thème du festival sera l’année de l’écologie en Russie.
Jeudi 29 juin 10.30 Accréditation 11.00 Conférence de presse et projection du film de la Fondation Prince Albert II
de Monaco (8 min.) 12.00 Ouverture de l’exposition de photos « Le plus beau Pays» avec le soutient
de RGO (Société Russe de Géographie)
Cocktail
14.00 Nettoyage de l’Arctique (2012) 52 min. de RGO
15.30 Les Maîtres des Rêves (2016) 1h 20, réalisateur Irina Bagrova
17.00 Plateau Putorama – Beauté inaccessible (2012) 26 min.
18.00 Cocktail au Club Privé Thirty Nine Monte-Carlo, tenue de soirée, participation 90€
Vendredi 30 juin
10.30 Poisson-Rêve (2016) 1h20, réalisateur Anton Biljo
13h: Va-t’en Vasily (2017) 1h35, réalisateur Roman Karimov
15h: Ten Billion (2015) 1h30, réalisateurs Peter Webber et Stephen Emmott
16h30:Amour prêt-à-porter (2017) 1h25, réalisateur Max Nardari
19h: Dîner de Gala et remise des Event Art Awards au Café de Paris (s. Bellevue)
Concert privé de Alicia Gisba et Dimitri Khromov,
Ténor du Gelicon (Opéra de Moscou)
Participation : 150 € par personne
Lors de chaque édition, la Présidente de Event Art Monaco décerne le prix pour la Promotion de la Culture et de l’Art Russe en Europe. Pour 2017, la grande maison de joaillerie « MagicLy » a créé une colombe blanche montée en flèche, incrustée de pierres précieuses.
Imaginé spécialement pour le Festival de l’art et cinéma russe, ce prix représentera un message de paix et d’amour russe à Monaco et en France.
Participation aux deux soirées du 29 et 30 juin : 200 € par personne
Réservation à envoyer par mail à l’adresse : event.art.mc@gmail.com
Règlement par chèque à l’ordre de Event Art Monaco – Marina Sytcheva, à remettre à l’adresse suivante : Event Art Monaco
Festival de l’art et du cinéma russe
20, boulevard Rainier III
MC 98000 Monaco
Une des plus séduisantes jeunes virtuoses de l’Ecole russe de piano, Anna
Zassimova enrichit le répertoire pianistique par la découverte de compositeurs
russes méconnus tels Nicolaï Medtner, Sergueï Teneiev, Nikolai Mjaskowski et
surtout Georgy Catoire dont les origines sont françaises – de Lorraine
exactement – tout comme Frédéric Chopin. Anna lui a consacré une thèse de
400 pages et divers enregistrements en première mondiale. Catoire est
l’ancêtre de Nikita Struve de bienheureuse mémoire.
Vendredi 7 juillet 20h30
Collégiale Saint-Martin Chablis
GRANDES ORGUES, TROMPETTES ET TIMBALES
Inauguration de l’orgue de Chablis après son relevage
Jean-Michel Costal et Jean-Claude Relave, trompettesSamedi 8 juillet 20h30
Eglise Saint-Jean Baptise Varennes
LES TETES DE CHIEN
Dimanche 9 juillet 17h00
Eglise Saint-Pierre – Saint-Paul Ligny-le-Châtel
MAGIE DU JAPON
Denys Rohfritsch, shakuhachi (flûte japonaise en bambou)
Harumi Kinoshita, épinette
Roland Barthélémy, magicien
Mardi 11 juillet 19h00
Grange de Beauvais Venouse (Yonne – Bourgogne)
RÉCITAL DE LA PIANISTE ANNA ZASSIMOVA
Chopin, Schumann, Liszt
Catoire, Medtner
Mercredi 12 juillet 20h30
Grange de Beauvais Venouse
BIG BAND
La première chaîne RT (anciennement Russia Today) a été lancée en 2005, le réseau RT est maintenant composé de trois chaînes mondiales d’actualités diffusées en: anglais, espagnol et arabe, de la chaîne RT America basée dans des studios à Washington et de la chaîne documentaire RT Doc qui diffuse en anglais et en russe.
En décembre 2017, le groupe public d’information ajoutera à ce dispositif une chaîne d’information diffusée en continu sur le câble, le satellite et l’ADSL. Il a obtenu le feu vert du Conseil supérieur de l’audiovisuel français dès 2015. Le cours du rouble, qui alourdissait le poids des investissements nécessaires, a retardé la décision de lancement mais cette fois, le budget est débloqué. Il s’élèvera à 20 millions d’euros en 2018, investissements compris. La chaîne coûtera 16 millions d’euros en vitesse de croisière, après investissements. La version française de RT sera ouverte à la publicité mais cet apport restera symbolique et elle ne réclamera rien aux distributeurs: l’essentiel des ressources viendra de l’Etat russe.
Sur le plan opérationnel, RT France aura « une centaine de salariés au total d’ici la fin de l’année, dont cinquante journalistes de langue française », précise Xenia Fedorova.
Xenia Fedorova
Journaliste internationale, présidente de la société RT France, qui appartient au groupe international RT (Russia Today), directrice de l’agence de presse globale Ruptly dont le siège se situe à Berlin.
RT France quittera Paris pour s’installer dans les bureaux “Arc de Seine”, dans le quartier d’affaires du Point du jour à Boulogne-Billancourt, entre Canal+ et la Tour TF1, avec un bail ferme de neuf ans. Dans ces 1.800 mètres carrés dont 1.430 mètres carrés de bureaux, le groupe russe met en place deux studios ultra-modernes, dont un studio « news » de plus de 100 mètres carrés et un autre plus petit pour les émissions de divertissement et les talk-shows.
La chaîne diffusera 24 heures sur 24, produira 12 heures de direct par jour et diffusera un journal par heure.
Le peintre franco-russe Edouard Zelenine fait l’objet d’une rétrospective au Centre Culturel et Spirituel ortodoxe russe de Paris, exposition est organisée par l’Association Alliance Russe et l’ambassade de Russie.
Edpouard Zelinine ( 1938-2002)
Edouard Leonidovich Zelenine ( le 8 août 1938 à Novokuznetsk décédé le 15 mars 2002 à Paris ) artiste d’avant-garde française et russe, non-conformiste, un représentant de la première vague de la deuxième avant-garde russe. Il a commencé à peindre à l’âge de 12 au studio d’art de la Maison des Pionniers de Novokuznetsk En 1954 , il est entré à le école pédagogique d’art. De 1957 à 1959 il étudie à l’ Académie des Beaux Arts de Leningrad, avec Mihaïl Chémiakine et Oleg Grigoriev, il en a été expulsé la dernière année.
En 1959, après l’exposition américaine à Moscou, il y eu un article dans le magazine américain “Look Magazine” sur Edouard Zelinine « Il n’y a pas de place pour l’individualité» .
Dans les années 1960, il vit à Novokuznetsk et participe à de nombreuses expositions d’art non – officiel à Moscou et à l’ étranger. En Juin 1965 , il a organisé une exposition avec plusieurs artistes à l’Institut de l’énergie atomique Kurchatova. En Avril 1969 il expose au café “L’oiseau Bleu”, le 22 juillet 1970 Zelenin expose ses œuvres dans la cour de la maison d’un journaliste américain E. Stevens. La même année, de septembre à novembre, les peintures de l’artiste sont exposées en Suisse à Lugano, l’exposition s’intitulée « Nuove Correnti un Mosca » (Nouveau courant de Moscou), le 15 septembre 1974 il a participé à l’ exposition Bulldozer et le 29 septembre à l’exposition en plein air à Izmaïlovo. En 1975 , Zelenine expose en Autriche et en Allemagne.
A cette époque, il était membre du groupe d’initiative pour les négociations avec l’administration pour organiser des expositions. Essayant d’obtenir l’autorisation d’exposer ses peintures, il a été arrêté pour conduite désordonnée. Après sa libération, il a reçu l’autorisation de voyager à l’étranger.
Dans les années 70, sa peinture, qui s’intègre au mouvement artistique de la Seconde Avant-Garde russe, ne cadre pas avec les critères idéologiques de son pays. En 1975, il sera contraint de s’exiler à Paris avec sa famille.
Un exil qui va lui permettre d’être exposé partout dans le monde. Mais il gardera la nostalgie de son pays où il retournera en 1988, au cours d’un exposition dans sa ville natale. Un an avant sa mort en 2001, la Russie lui rendra enfin hommage en émettant un timbre postal baptisé “Zelenine”. Il est mort en Mars 2002,à Paris des suites d’un accident vasculaire cérébral .
Entrée libre!
Centre spirituel et culturel orthodoxe russe.
1 quai Branly, 75007 Paris.
Ouverte au public du 6 au 25 juin 2017: de 12h.00 à 14h.00 et de 15h.00 à 19h.00 tous les jours, excepté le lundi.
Exposition “Tricentenaire de la visite du tsar Pierre le Grand à Paris”
du 30 mai au 24 septembre 2017
Grand Trianon, Versailles
Pierre le Grand (1672-1725)
Héritier de la dynastie des Romanov et premier empereur de toutes les Russies, Pierre Ier cherchait l’inspiration dans les modèles français. Cet esprit curieux, passionné d’art, de sciences et de techniques.
Anémomètre de Louis Léon Pajot.
Première machine de Marly,
Il visita les résidences royales, les manufactures et les académies parisiennes, rencontra les plus éminents savants et artistes de son temps pour en attirer certains à la cour de Saint-Pétersbourg.
Exposition consacrée au séjour de Pierre Le Grand à Paris, du 7 mai au 20 juin 1717 dans ses alentours et en particulier au château de Versailles.
Fruit d’un partenariat privilégié entre le musée national des châteaux de Versailles et de Trianon et le musée de l’Ermitage de Saint-Pétersbourg, l’exposition présentera, à travers plus de cent trente œuvres, ce qui fut, sous la Régence, deux ans seulement après la mort de Louis XIV, l’un des événements diplomatiques et culturels les plus marquants du début du règne de Louis XV.
Pierre le Grand accueilli par le roi Louis XV
Le parcours permettra de suivre pas à pas cette visite qui, pour être officielle, n’en fut pas moins libre.
Redinguotte de Pierre Le Grand
Héritier de la dynastie des Romanov et premier empereur de toutes les Russies, Pierre Ier cherchait l’inspiration dans les modèles français.
Cadran Solaire quatorial, dit daugsburg
Cet esprit curieux, passionné d’art, de sciences et de techniques, visita les résidences royales, les manufactures et les académies parisiennes. Il rencontra les plus éminents savants et artistes de son temps pour en attirer certains à la cour de Saint-Pétersbourg.
Visite de Pierre le Grand à Madame de Maintenon en 1717, celle-ci se mit au lit pour se dispenser du cérémonial. Pierre Ier entra dans la chambre, alla droit au lit, en tira les rideaux de façon à bien voir les traits de celle qui y était couchée, et, après l’avoir contemplée quelques instants, se retira sans avoir proféré une parole.
Seront exposés des peintures, sculptures, pièces de mobilier et d’arts décoratifs, gravures et dessins, livres provenant de la bibliothèque du tsar ainsi qu’objets de son cabinet de curiosités dessineront le portrait de ce grand réformateur de la Russie, tourné vers l’Occident et en particulier vers une France héritière du Grand Siècle.
Pierre le Grand tenant dans ses bras Louis XV. Monsieur de Saint-Simon fut enthousiasmé par la visite du tsar et écrira :
“Tout montrait en lui la vaste étendue de ses lumières et quelque chose de continuellement conséquent. Il alliait d’une manière tout à fait surprenante la majesté la plus haute, la plus fière, la plus délicate, la plus soutenue, en même temps la moins embarrassante, quand il l’avait établie dans toute sa sûreté, avec une politesse qui la sentaittoujours et avec tous, et en maître partout, mais qui avait sesdegrés suivant les personnes”.
Son voyage était motivé tout d’abord par un projet d’alliance entre la France et la Russie contre la Suède et par la signature d’un traité de commerce.
Il avait préparé son voyage en lisant des livres sur l’architecture, l’art militaire, la construction de bâteaux de la flotte de Colbert. Il avait fait une longue liste de ce qu’il voulait voir.
Lettre de Pierre Le Grand à sa femme (en français)
Cassette de Pierre Le Grand .
Grand Trianon, Château de Versailles
Tarifs: 13€ 50 Tarif réduit 10€ après 15h00.
Ouvert sauf le lundi de 12h à 18h30. Dernière admission : 18h – Fermeture des caisses : 17h50
Découvrez l’œuvre éclectique et prolifique de l’artiste contemporain Mihaïl Chemiakin, l’un des plus importants peintres de la nouvelle école russe. La Ville de Loches lui consacre un parcours d’expositions composé de 6 lieux. Laissez-vous porter par la très grande diversité de styles et de techniques utilisés par l’artiste. Un fil conducteur : la mise en scène du corps sous toutes ses formes, tantôt fantasque, grotesque ou onirique…
Mihaïl Chemiakin est né le 4 mai 1943 à Moscou. Il grandit en Allemagne de l’Est où officiait son père, militaire de l’armée soviétique. Sa famille retourne en Russie en 1957. Mihaïl Chemiakin intègre le collège spécial de l’académie d’art Répine, à Léningrad (Saint-Pétersbourg). Il est renvoyé pour non-conformisme aux normes de l’art réaliste socialiste. Il subit un internement psychiatrique, sort réservé à bon nombre de dissidents idéologiques. En 1967, l’artiste fonde le Groupe de Saint-Pétersbourg. Avec le philosophe Vlamidir Ivanov, il est l’auteur des principes d’un « synthétisme métaphysique ».
En 1971, Chemiakin fut forcé par les autorités soviétiques à quitter l’U.R.S.S. Il s’installe à Paris. Il publie « Apollon 1977 », livre sur les différentes facettes de l’art ignoré en URSS. En 1981, il émigre à New York. En 1989, se tient la première rétrospective de ses œuvres depuis son exil, à Moscou, suivis d’autres expositions, et notamment l’installation de sculptures monumentales, comme celle de Pierre Le Grand à Saint-Petersbourg ou à New York, ou celle représentant la déesse de la fertilité Cybele. Chemiakin, peintre et sculpteur, reçoit en 1994 l’Ordre de Chevalier des Arts et Lettres du ministre de la Culture en France. Ses études sur l’art lui valurent cinq diplômes de docteur Honoris causa.
Mihaïl Chemiakin exerce ses talents dans de nombreux domaines artistiques : peinture, dessin, sculpture, joaillerie, orfèvrerie, costume et décor de théâtre, qu’il maîtrise avec la même finesse et la même dextérité. Si les techniques qu’il utilise sont multiples, les thèmes qu’il aborde couvrent également un large spectre. Cette œuvre éclectique et prolifique témoigne de l’inspiration variée de son auteur. Elle est le fruit d’une immense culture artistique, d’un imaginaire flamboyant et d’une importante réflexion philosophique et métaphysique. Une œuvre à la fois contestataire, grotesque, fantastique et explosive ; d’une grande originalité.
Parcours de l’exposition dans Loches
La Chancellerie constitue le point de départ de ce parcours avec l’exposition introductive Chemiakin ou la mise en scène du corps, présentée au sein de la galerie du Chancelier. La Chancellerie, ancien hôtel particulier de la Renaissance, est un lieu incontournable du patrimoine de Loches, au cœur du label Ville d’art et d’histoire, avec son exposition permanente sur l’histoire de la ville (Centre d’interprétation de l’architecture et du patrimoine). Entrée libre tous les jours de 10h à 18h.
La galerie Saint-Antoine présente l’exposition Corps précieux. C’est dans l’écrin de la galerie Saint-Antoine que sont présentées des pièces d’orfèvrerie de l’artiste Chemiakin. La finesse des œuvres révèle la capacité de Mihaïl Chemiakin à travailler toutes les matières avec le même talent et la même agilité. Ces œuvres font écho aux séries Carnaval et Petrouchka qui sont présentées à la Maison-Musée Lansyer. Une exposition qui mêle le burlesque du sujet au raffinement de l’objet.
Cette galerie d’art religieux, accolée à l’église du même nom, renferme notamment les deux tableaux dits « Les Caravage de Philippe de Béthune » ainsi qu’un retable de Jean Poyer daté du XVe siècle. Entrée libre tous les jours de 10h à 18h45.
L’hôtel de ville héberge l’exposition Corps enveloppésà la galerie François Ier, située à l’accueil de la mairie. Ce prestigieux monument, qui abrite les fonctions d’hôtel de ville depuis 500 ans, a été construit à la Renaissance, avec l’autorisation du roi François Ier. Entrée libre du lundi au jeudi de 9h à 16h45, le vendredi de 9h à 16h, et le samedi de 9h à 11h45.
Le logis royal présente, au sein de son parc, deux sphinges monumentales sculptées par Mihaïl Chemiakin. Ce château des XIV-XVe siècles constitue un décor exceptionnel. Ouvert tous les jours de 9h à 19h (octobre-novembre : 9h30-17h). Plein tarif : 8,50 €. Tarif réduit : 6,50 €.
Billet jumelé avec la Maison-Musée Lansyer : 10 €.
Tél : 02 47 59 01 32.
Mihail Chemiakin a découvert l’exposition installée au musée Lansyer, en présence de son ami Gonzague Saint-Bris.
La Maison-Musée Lansyer accueille l’exposition “Corps déguisés”, qui investit tout l’étage du musée. Cette maison appartenait au peintre paysagiste Emmanuel Lansyer (1835-1893), qui la légua à la Ville de Loches afin que celle-ci y ouvre un musée en son nom. Le rez-de-chaussée est entièrement consacré à l’œuvre d’Emmanuel Lansyer, dans une atmosphère intimiste. Ouvert tous les jours (sauf les mardis des mois de mai, juin, septembre et octobre) de 10h à 12h30 et de 14h à 18h. Plein tarif : 5 €. Tarif réduit : 3,50 €. Billet jumelé avec la Cité royale : 10 €.
Valéry Mischin, Vitaly Volovitch, Iouri Nozdrin, Konstantin Kalinovitch
Musée G.R. Derjavine
23 ИЮНЯ В 17:00 В МУЗЕЕ-УСАДЬБЕ Г.Р. ДЕРЖАВИНА (ВСЕРОССИЙСКИЙ МУЗЕЙ А.С. ПУШКИНА) В РАМКАХ ТРЕТЬЕЙ МЕЖДУНАРОДНОЙ ТРИЕННАЛЕ ГРАФИКИ В САНКТ-ПЕТЕРБУРГЕ “БИН-2017” ОТКРЫТИЕ СРАЗУ ЧЕТЫРЁХ ПЕРСОНАЛЬНЫХ ВЫСТАВОК! ИМЕНА МАСТЕРОВ – ВАЛЕРИЙ МИШИН (САНКТ-ПЕТЕРБУРГ), ВИТАЛИЙ ВОЛОВИЧ (ЕКАТЕРИНБУРГ), ЮРИЙ НОЗДРИН (МОСКВА), КОНСТАНТИН КАЛИНОВИЧ (УКРАИНА).
Valery AndreevichMishin (1939), de Saint Petersbourg
Valery Mishin est né en 1939 à Simferopol, il a commencé son histoire graphique dans les années 60, dans la presse écrite Herman Paharevskogo. expositions gazanevskih membres et membre du Groupe des Huit – « Escalier ». Le thème de « l’homme » a ses origines à la fin des années 60 (thèse à l’Académie Mukhina). En 1968 , il est diplômé du département de la peinture monumentale et décorative les LVHPU. V. Mukhina.
Membre de l’Union de la Russie Artistes, membre de la Fédération internationale des artistes (AIAP UNESCO).
Travaux de chevalets, illustration de livres et impression de gravures, peinture, objets, installations.
Depuis 1966 , participe à des expositions en Russie et à l’ étranger (plus de 300 expositions, dont plus de 20 personnelles, y compris dans la salle d’ exposition centrale du Manege.
En 1987 , il a reçu le prix spécial de la Chambre des Humour et Satire à Gabrovo, le Grand Prix de la première Biennale Internationale d’Art Graphique à Saint – Petersburg 2002. 1967 – 1968 – 60 Guys premier (proto) série de 9 lithographies
1981 – 1986 – un homme de 80 séries les plus connus de 15 estampes et dessins 6
1996 – 1997 – Muzhikov 90 dessins au livre Yu Novolodsky “potins”
2008 – libris K. Abel Muzhikov 00 de
2010 à 2012 – Muzhikov série de 7 copies “Sept subtilités”
Dame de pique, 18 eaux fortes de V. Mischin
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Vitaly Volovitch (1928) d’Ekaterinbourg
Vitaly Volovitch est né Primorsky Kraï en 1932, sa famille déménage à Sverdlovsk. Après avoir obtenu en 1948 le diplome du Collège d’Art de Sverdlovsk , Volovitch a commencé à coopérer à la maison d’édition Sredneuralskaya : Book Cover attire ,”Parti, mon cher” (1953),“Réflexions” (1954), M. Pilipenko “Roads” (1955), et d’autres parmi les œuvres les plus marquantes de cette période comprennent les illustrations pour « soleil Garde – manger ».
Les premiers travaux de technique créés dans le motif de pores à l’ encre, puis attirés par la technique de linogravure, gravure, illustration de livres et des travaux de chevalet. Volovitch est renommé pour ses illustrations de la littérature médiévale. En1956 , il est membre de l’Union des artistes.
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Ioury Nozdrin (1949) de Moscou
Né en 194 9à Klaipeda en Lituanie, il a vécu à Astrakhan, diplômé de l’Ecole d’Art de Moscou ,mémoire de 1905, et en 1980 de l’Institut d’impression de Moscou. Membre de l’Union russe des artistes depuis 1985.
Il a travaillé pour l’ édition « Nadra », « Science », « Progress », où il a conçu et illustré plus de 250 livres. Actuellement vit et travaille à Moscou.
KonstantinKalinovitch (1949) d’Ukraine
Né le 9 Août 1959 à la région Novokuznetsk, Kemerovo. (Russie), il a étudié à l’Académie d’impression ukrainienne (1986 – 1992), élu membre correspondant de la Société royale des peintres et graveurs (Septembre 1992). Il est connu pour ses “ex libris”, ou ses imprimés d’ illustrations en eaux-fortes.
Son travail se trouve chez les colectionneurs du monde entier, à la fois chez ceux qui commandent des lithographies, et ceux qui apprécient les compétences et l’imagination incroyables qu’il apporte à ce petit format.
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Musée Domanial Derzhavin
De 1791 à 1816 le poète Derzhavin à crée ce manoir. En 1794 fin destravaux avec dans le domaine des écuries et d’une cuisine sur le projet et la construction dont l’architecte Pilniak. Malheureusement, l’épouse du poète, Ekaterina Yakovlevna Derzhavina qui a mistout son coeur dans la maison au moment de l’achèvement des travaux est morte. Au tournant des 18-19 siècles, le “manoir” était célèbre pour son hospitalité et a été considéré comme un centre important de la culture. Depuis 1811 dans la «Salle de Bal » se déroulaient régulièrementndes lectures littéraires, l’on rencontrait des personnes partageant les mêmes idées. En 1846 , le bâtiment a été reconstruit de l’intérieur aux besoins du consiel spirituel catholique, il a été transformé en résidence de l’archevèque catholique. À l’ époque soviétique, il y avait des appartements communautaires.
La décision de muséification est doptée en 1998. Les intérieurs ont été recréés dans le style de l’époque de Catherine (sur la base des analogues connus) en 2002-2003. ( “Lenproektrestavratsiya” Project Institute). Les premiers visiteurs du musée sont accueillis le 28 mai 2003.
“Fools et Routes” Exposition de Sergey Merenkov 20 juin – 26 juin 2017
Sergey ViktorovitchMerenkov est né à Vladivostok le 6 avril, 1976
« Ecole d’art de Vladivostok » (1991-1996)
« Académie nationale des arts d’Extrême Orient » (1996-2002)
Membre de l’Union professionnelle des artistes 2016
Le nom de l’exposition met en valeur le sens philosophique des tableaux exposés. Et le contenu est présenté, servi avec ironie et sarcasme, cachés sous le masque du bouffon de « Shakespeare ». Une certaine polyphonie est typique des œuvres de Sergey Merenkov et ses tableaux peuvent sembler ambiguë à première vue. Paradoxalement l’artiste joue avec ses idées pour un public habitué à la littérature, au folklore, aux sujets historiques ou mythologiques. Il les réalise avec ironie et un sourire chaleureux.
Une autre partie des œuvres exposées représente des paysages, natures mortes, des sujets de la vie quotidienne, ainsi que des animaux. La différence des contextes s’exprime au travers de différentes approches formelles. Les toiles « ironiques » sont réalisées dans le style moderne, et les natures mortes.
Mais au travers des paysages, Sergey Merenkov nous présente sa vision du réalisme romantique.
Un sourire peut être perçu dans ces œuvres, mais sans sarcasme: calme, malin, chaleureux, ou plein de compassion. Ludmia Kats
IG Gallery
12, rue Durantin, 75018 Paris
Horaires: du mardi au dimanche de 16h00 – 19h00 et sur Rendez-vous
Extraordinaire combinaison musicale offerte « sous le signe de l’amitié » de deux excellents musiciens russes avec Kristina Fisch jouant de la domra et qui vit maintenant à Strasbourg et Inga Kazanzewa, piano qui a étudié au Conservatoire Glinka dans sa ville natale de Nijni-Novgorod (cinquième plus grande ville de Russie, à 400 kilomètres à l’est de Moscou au confluent de l’Oka et Volga) la musique. Kristina Fisch enseigne maintenant au conservatoire de sa ville natale et fait effectue de nombreuses tournées à travers l’Europe.
Inga Kazantseva débute ses études à Nizhnij-Novgorod en 1981 : travaillant tout d’abord avec Natalia Volkova et Galina Fadeïeva, elle intègre en 1992 le prestigieux Conservatoire Glinka, où elle a Vladimir Tropp et Bella Alterman comme professeurs et obtient les premiers Prix de piano, d’enseignement et d’accompagnement. Elleest lauréate de plusieurs concours internationaux, obtenant un deuxième Prix au Concours International de piano de Porto, un troisième aux Concours Internationaux « Rina Sala Gallo » de Monza, « Franz Liszt » de Weimar, « J. S. Bach » de Sarrebruck.
Inga a déjà joué au Konzerthaus de Dortmund avec la Nordwestdeutsche Philharmonie, dirigée par Andris Nelsons, avec les orchestres philharmoniques de Nizhnij Novgorod et de Kostroma, avec l’Orchestre Philharmonique de Trier, dirigé par Victor Puhl, et avec l’orchestre de l’Opéra de Stockholm. Elle a aussi joué à la salle Cortot à Paris, au Palais de la Musique et des Congrès et à l’Opéra national du Rhin à Strasbourg, à la Filature de Mulhouse, à la Radio Mainz, au Radio Studio Bern, au Festival Chopin de Paris, au Festival international de Géographie de Saint-Dié-des-Vosges, au Festival international de musique contemporaine et au Festival Scriabine à Nizhnij Novgorod.
Invitée par l’Orchestre Philharmonique de Strasbourg, Inga Kazantseva a donné l’intégrale des 32 sonates de Beethoven au printemps 2012, en dix récitals organisés comme une promenade dans des lieux atypiques de la ville.
La Domra
Les origines de la domraremontent au XVIème siècle en Russie, comme sa cousine la balalaïka, elle aurait été inspirée d’un instrument importé en Russie par les Mongols d’Asie Centrale lors des invasions du XIIème siècle.Son histoire est similaire à celle de la balalaïka, sa forme fut codifiée aussi à la fin du XIXème siècle par Vassili Andreev.
Il s’agit d’un instrument à caisse ronde de la famille des luths, qui se joue avec un plectrede plastique dur (médiator). Il existe une famille de domra : la plus jouée est la “petite” ou “malaia”, ensuite viennent l‘alto, la basseet la piccolo(la plus rare).
Foyer Sainte-Madeleine (Magdalenenheim)
Le bâtiment a été construit sur l’enceinte de fortification. Il s’agit du Foyer Sainte-Madeleine (Magdalenenheim). Les plans sont signés par les architectes Ed. Wagner et Heinrich Emerich, ainsi que par les maîtres d’ouvrage (Bauherren) qui signent: Kleinpeter, Roth et Baur. C’est l’architecte Heinrich Emerich qui dirige le projet, puisqu’il est décrit comme Bauleiter, ou der Bauleitende Architekt. Le dossier de la Police du bâtiment a d’ailleurs conservé un long rapport descriptif de l’immeuble (Erläuterungsbericht), signé de sa main. Le calcul statique (Statische Berechnung) est produit par le Baugeschäft de Th. et Ed. Wagner en date du 1.8.1912, avec la collaboration de Hackspil, Dipl. Ing. L’entreprise de construction est celle de J. Hug. L’autorisation de construire date du 6.9.1912. La construction projetée est décrite comme Maison commune catholique du Foyer Sainte Madeleine (ein Erbauung eines Katholischen Gemeindehauses am Waisengraben (und ?) Magdalenenplatz für des eingetragenen Verein “St. Magdalenenheim”). Le permis d’occuper, et donc la fin de la construction, datent du 23.9.1913.
Foyer Ste Madeleine –
1 bis rue du Fossé des Orphelins, 67000 Strasbourg
Jean-Claude Marcadé est un historien d’art, historien, essayiste, de nationalité française né dans les Landes. Il est docteur ès lettres, spécialiste de l’avant-garde russe et de l’œuvre de Kasimir Malévich, il est directeur émérite au Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), président de l’association des amis du sculpteur biélorusse Antoine Pevsner.
Kasimir Severinovitch Malévitch nait à Kiev le 23 février 1878. Fils d’une famille de 8 enfants de parents polonais vivant en Ukraine. Son père, Severine Antonovitch (1845-1902) était un patriote polonais et fervent catholique, il travaillait dans une sucrerie en tant que contre-maître. Sa mère, Lioudviga Alexandrovna (1858-1942), a été élevée par son oncle musicien d’où un certain intérêt qu’elle cultivait pour les arts.
C’est donc avec la culture catholique que Malévitch va se confronter l’iconographie et la symbolique de l’orthodoxie russe. Ceci va son importance comme on va le remarquer dans plusieurs de ses œuvres.
L’histoire de Malevitch est celle d’un drame dans la directe lignée de ces grands artistes restés longtemps incompris avant qu’ils ne deviennent, après leur mort, ces figures légendaires que les historiens glorifient comme ces héros incontournables qui ont imposé un ordre de valeur nouveau.
Car on ne sait pas trop qui entre Malévitch, Mondrian, Kandinsky, Klee et quelques autres est à l’origine de la naissance de ce que l’on appelle la peinture abstraite, mais si on en reste à la stricte chronologie, c’est bien Malévitch qui, en 1913, avec son esquisse du carré noir sur fond blanc pour le décor de l’opéra futuriste la Victoire sur le soleil, posa la pierre la plus radicale d’un édifice tellement révolutionnaire à l’époque, que beaucoup d’artistes de la deuxième moitié du XXème siècle en sont encore à en digérer les fondations.
En fait, le destin de Kasimir Malévitch est celui d’un peintre hors norme qui s’est construit autant contre l’oppression académique qui glorifiait la bourgeoise décadente, que contre ses rivaux constructivistes de l’époque (Tatline, Rodtchenko…) aux choix esthétiques peut-être même plus avant-gardistes.
Les archéologues ont découvert dans le centre de Moscou objets des périodes mésolithiques et néolithiques, sur Sretenke des ouvriers ont trouvé un couteau en silicium de l’époque néolithique (millénaire V-III avt J.C.), « Le couteau est l’un des instruments universels du travail de l’homme ancien.
Il est dans son intégralité, y compris le pétiole avec des rainures symétriques latéraux pour la fixation d’une poignée en os, en corne ou en bois. Ce tranchant est l’une des découvertes plus anciennes découvertes sur l’amélioration du programme « My Street ». Il complète la période de l’âge de pierre, quand les habitants utilisaient la pierre, des os et des outils en bois.
Pokrovsky Boulevard découverte d’un grattoir Mésolithique (VII millénaire avant notre ère), outils utilisé pour le traitement de l’os, les peaux, les cornes et certains types de pierre. Sa largeur est de 2,5 cm, longueur – près de 4 cm.
Le grattoir découvert a été fait dans une pierre de forme allongée avec une lame tranchante à l’extrémité. Le grattoir et la coupe ont une similitude avec les artéfacts découverts par les archéologues se rapportant aux siècles XVI-XVII en Colombie – Britannique. Très probablement, ils étaient sur la surface des couches culturelles profondes et anciennes accidentellement lors de travaux d’excavation, qui ont été effectués il y a dans 400-500 ans.
1859: Création de la Société Musicale Impériale Russe à Saint-Pétersbourg pour contribuer au rayonnement de l’art musical et théâtral russe.
1862/1866: Création des Conservatoires de Saint-Pétersbourg et de Moscou.
1923: Création du Conservatoire Russe de Paris, par un groupe d’anciens professeurs des conservatoires impériaux de Russie. Parmi les fondateurs, nous pouvons citer CHALIAPINE, GLAZOUNOV, GRETCHANINOFF, RACHMANINOFF, premier Président d’honneur du Conservatoire.
1931-1932: Le Conservatoire passe sous l’égide de la Société Musicale Russe nouvellement créée à Paris, pour continuer l’oeuvre de l’ancienne Société Impériale Russe de Musique.
Depuis 1932 HOROWITZ, MILSTEIN, PIATIGORSKY, BOROVSKY… ont contribué au rayonnement du Conservatoire en y donnant des concerts.
1983: La Société Musicale Russe en France est reconnue d’utilité publique.
L’Académie des Beaux-arts de Russie accueille une quarantaine d’artistes: peintres, photographes, sculpteurs, graveurs et architectes à Moscou pour présenter la
« Société des Artistes Français ».
Le musée et les salles d’exposition de la galerie d’art Tsereteli sont situés dans un bâtiment historique de Moscou dans le style classique. Il a été conçu par Matvei Kazakov au 18ème siècle, et fut la résidence des comtes Dolgorukovs. Aujourd’hui, à la suite de restaurations importantes, on peut voir sa façade et son intérieur dans leur splendeur d’origine.
Tsereteli Art Gallery a été ouverte au public en mars 2001 pour offrir un espace d’exposition de plus de 10 000 m². Le complexe comprend également une boutique d’art et un restaurant.
Zourab Tsereteli, président de l’Académie des Beaux Arts de Moscou
La galerie présente une exposition permanente des œuvres d’art de Zurab Tsereteli et propose des expositions temporaires en invitant des Académiciens des Beaux-arts de Russie et des artistes internationaux.
Galerie Tsereteli
19 Prechistenka str. 119034 Moscou,
Horaires d’ouverture :
mardi: de 12h à 22h
mercredi à dimanche: de 12h à 20h
Georgui Chichkine réunit à l’occasion de cette exposition, son grand cycle d’artistique « Rêves russes », qui a été présenté dans les Salons de peintures à Paris, à Cannes, à Monaco
Guéorgui Chichkine est né en 1958, à l’âge de 10 ans, il a été admis à l’école des Beaux-Arts, Le jeune Chichkine a voyagé à travers les nombreuses villes anciennes de son pays, muni de son chevalet. Dans le Cathédrale d’Assomption de Vladimir, il est très impressionné par les fresques d’Andreï Roublev, considéré comme le premier peintre russe.
Diplômé de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts et d’Architecture de Sverdlovsk (Académie) en 1975, stagiaire à l’École nationale supérieure des Arts Stroganoff de Moscou, il a été professeur de dessin et de peinture, pendant dix ans, à l’École supérieure où il fut étudiant.
A partir de 1974, Guéorgui Chichkine participe à des expositions artistiques des professionnels. Dans la même année, il a devenu lauréat du concours national des jeunes créateurs de Russie et invité pour participation à l’Exposition du prestige à Moscou.
En 1992, a l’issue de voyages à l’étranger, en Allemagne de l’Ouest et en Hollande (à partir de 1989), Gueorgui Chichkine, en quête de ses racines, a commencé peindre ses tableaux du cycle “Rêves Russes”, où il tend exprimé le contenu spirituel d’existence en unissant l’abstraction et la réalité.
Ce qui fait la renommée de l’artiste: la peinture du ballet russe Diaghilev, un certain nombre d’œuvres sur des sujets de l’histoire russe et des portraits d’acteurs célèbres, des danseurs de ballet, parmi lesquels Jean Marais, Gérard Depardieu, Ina Churikova, Milorad Miskovic et bien d’autres.
Le talent de Chichkine réside dans le désir d’ apporter la sensibilité et la délicatesse du monde intérieur. Grâce à la technique de l’auteur sa peinture au pastel d’un grand format, utilise des glaçures pour capturer la légèreté et les scènes émotionnelles du monde du ballet.
Depuis 1998 Gueorguie Chichkine vit et travaille à Monaco, Paris, participe à des projets caritatifs. Il est connu comme maître du portrait et comme dessinateur de timbres-poste pour la Principauté de Monaco. Avec l’exposition au Musée russe – l’artiste est de retour en Russie.
L’exposition dans les salles du château des ingénieurs (Palais Mikhaïlovski) comprend plus de 50 tableaux, dont un certain nombre d’œuvres provenant de collections privées.
L’association « Théâtre populaire » sous la direction de Ivanna Netchay et l’association « ISTOK » vous invitent à la fête slave de IVANA KUPALA.
Le 24 juin 2017 dans le Bois de Boulogne sur le lac Inférieur aura lieu une représentation inoubliable du « Théâtre Populaire », qui incarnera la réalité moderne des traditions et coutumes slaves anciennes, héritées d’autrefois. Fête du feu et de l’eau, la puissance et la vivacité des plantes médicinales, célébration du solstice d’été, la fête de la fertilité — connue sous différents noms dans de nombreuses cultures indo-européennes. En France, elle est connue comme la fête de la Saint-Jean, célébrée aux environs du solstice d’été (entre le 20 et le 24 juin du calendrier grégorien, le solstice tombant généralement le 21 juin).
Nuit d’Ivan ou Ivana Kupola (Иванов день, Купальская ночь)
Le mot « Kupala » proviendrait de la racine indo-européenne « kup », qui signifie « faire bouillir » ou « luxure », et d’où est également issu le mot latin « cupido » (désir), qui a donné son nom au dieu de l’amour Cupidon. Une autre étymologie possible de « Kupala » serait liée à un mot slave signifiant « baignade » (se baigner : koupat’sïa en russe actuel).
L’association «Théâtre Populaire» vous présente une fête fascinante à laquelle vous allez faire connaissance avec les traditions des peuples slaves, vous allez participer aux danses, aux jeux et aux rites de cette fête magique, vous pourrez participer à l’atelier de confection de poupées russes traditionnelles « porte-chance », rencontrer et vous lier d’amitié avec les personnages mythologiques des contes folkloriques slaves, trouver un vrai trésor Kupala etc. Et, bien sûr, nous vous invitons à notre buffet russe, à notre ethno-disco et à notre stand pour y acquérir un souvenir de notre foire.
La célébration commence à 19h00 et se termine à 23h00.
Participation aux frais : adultes 15€, enfants 5€ (gratuit pour les moins de 5 ans)
“Dans les années 1970, à Moscou, Serguei, un jeune étudiant tente de profiter de sa jeunesse malgré des conditions de vie difficile. Il fait la connaissance à la fac d’une jeune fille de sa classe, Liouda, dont il tombe amoureux. Mais trop léger et emporté par ses copains et leurs problèmes, Serguei pourrait bien passer à côté de ce qui compte vraiment pour lui dans la vie”.
Karen Shakhnazarov réalisateur russe qui a souvent scénarisé et produit lui-même ses films. Sa carrière qui s’étend de 1984, date de son premier long métrage: We Are from Jazz, à aujourd’hui, White Tiger en 2012, est hélas très méconnue en France. L’empire perdu (The Vanished Empire) a obtenu le prix de l’Aigle d’Or pour la meilleure réalisation en 2009 en Russie. Le thème de ce film est fort: la jeunesse, tout ce qu’elle comporte de rêves qui, arrivés à l’âge adulte, sont souvent tombés en poussière. Nous suivons l’itinéraire d’un jeune homme optimiste qui a envie de s’amuser et de profiter de sa vie mais qui n’a pas encore réalisé la gravité de l’existence qui va le rattraper. Il est face à des choix, face aux choses pour lesquelles il peut se battre et à celles qu’il doit accepter car il n’y peut rien. Ce film montre toute la beauté et toute la mélancolie de la Russie mais aussi il parlera à tous les spectateurs car il raconte leurs propres vies, les difficultés de chacun à passer de l’adolescence à l’âge adulte et tous ces rêves, cet empire perdu d’optimisme que l’on doit laisser derrière soi. Une œuvre magistrale, belle, puissante, lyrique avec de beaux plans et d’excellents interprètes. Le film le plus grand public du grand réalisateur russe.
Le projet que l’ACER-RUSSIE soutient en priorité cette année concerne les jeunes orphelins et leur avenir. En Russie, on a coutume de dire qu’un enfant qui sort de l’orphelinat termine dans la rue. Plusieurs initiatives (Les associations russes: Otkazniki, Deti nachi et Miloserdie detiam) démontrent le contraire.
Aujourd’hui la Russie occupe un des premiers rangs mondiaux en nombre d’enfants abandonnés, 130 000 enfants en Russie vivent dans des orphelinats. Environ 90% d’entre eux sont des orphelins sociaux, c’est-à-dire qu’ils ont au moins un parent. Un orphelinat n’est pas un endroit où grandir. L’enfant qui y est placé souffre d’un traumatisme dû à la séparation d’avec sa famille, d’une vie dans un système totalement clos et brutal, sans un adulte pour lui accorder toute son attention. Dans de telles conditions, il lui est difficile de se construire physiquement, psychologiquement, socialement. Lorsqu’il atteint sa majorité, l’orphelin se retrouve dans un monde inconnu, hostile, sans les armes nécessaires pour y survivre, d’où de nombreux destins tragiques.
Eléna Ragova est née en Russie où elle a suivi une formation de guitariste classique et de chanteuse, Elena Rakova s’installe à Paris en 2002. Elle y travaille la technique vocale auprès d’Eva Saurova et Sylvie Sullé. Elle rencontre Michel Sénéchal et Agnès Mellon qui l’aident dans l’interprétation du répertoire français et dans la prosodie de la langue française.
Elena Rakova tient divers rôles dans des œuvres telles que Didon et 1ère Sorcière de “Didon & Enée”, 2nd Fairy et 2nd Woman dans “The Fairy Queen” de Purcell, ainsi que le rôle de 3ème dame dans “La flûte enchantée” de Mozart et al. Elle chante régulièrement dans les oratorios (alto solo) avec le quatuor “Dimitri” ainsi qu’avec diverses orchestres baroques. En 2011 la mezzo-soprano interprète les rôles de Caecila et de Historicus dans “Caecilia virgo et martyr” de Charpentier sous la direction de Michel Laplénie et l’orchestre baroque de l’Académie du Périgord Noir.
Elena Rakova a été sélectionnée pour interpréter le rôle de l’Architecture dans “Les Arts Florissants” de Charpentier dans le cadre de la formation professionnelle “La Pépinière des Voix”, parrainée par William Christie. Lauréate du concours de chant lyrique “Tenore Claudio Barbieri” en Italie en 2013, Elena Rakova interprète le rôle de Maddalena et Giovanna dans “Rigoletto” en Italie.
Baryton d’origine Corse, Jean Christophe Grégoire Albertini commence sa vie professionnelle comme instituteur. Après un concours de circonstances au cours d’expériences théâtrales et un coup de pouce de Jacques Martin, il croise l’univers de l’art lyrique auquel il se consacre dès lors professionnellement. Depuis, il a joué plus de cinquante premiers rôles en scène avec chœur et orchestre en Opéra, Opéra-comique et oratorio…. Du Barbier de Séville, Papageno (La Flûte enchantée), Hamlet (Ambroise Thomas), Orphée (Orphée et Eurydice), Sylvio(Paillasse), Escamillo (Carmen), Germont (Traviata) …. Brissac (Les Mousquetaires au couvent), Le Marquis (Les Cloches de Corneville) … Carmina Burana (Karl Orff)… les Requiem de Faure, Mozart, Duruflé, La Passion selon Saint Jean de Bach, le Te deum de Charpentier, le Canto General de Théodorakis… etc.
En 1997, il crée une association, VoixSi-VoixLa et un chœur qu’il dirige maintenant depuis quinze ans, ce qui l’a amené à aborder de nombreux oratorios et à mettre en scène (Didon et Enée de Purcell…). Il écrit des spectacles à thèmes qui tournent régulièrement en France et lui permettent de s’adonner à l’art de la mélodie qu’il affectionne tout autant : « L’Opéra du Vin », « L’homme et la Mer »…
L’église Réformée est construite sur les plans de l’architecte Valcourt, inaugurée le 11 avril 1857. Son premier pasteur est Roger Hollard : du 1er mai 1867 jusqu’à son décès le 2 juin 1902. Durant le ministère du pasteur André Aeschimann, le 1er mai 1939, à la demande de l’assemblée générale de ses membres, la paroisse est rattachée à l’Église Réformée de France. Cette paroisse et celle de Pentemont ont fusionné en une seule association cultuelle en septembre – octobre 2005.
Eglise Réformée de Paris-Luxembourg
58 Rue Madame 75006 Paris
RER: B station Luxembourg. Métro: Rennes (ligne 12). Bus: Fleurus N° 58
L’ensemble Slava est composé d’une quinzaine d’artistes qui s’attachent à travailler et à faire connaître le répertoire sacré orthodoxe à la croisée des sources orientales et des influences occidentales.
Cet ensemble est unique en France : c’est le seul choeur de musique liturgique orthodoxe russe composé uniquement de voix féminines .
Il donne régulièrement des concerts en France.
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Chœur de la Cathédrale Russe Saint Alexandre Nevsky,
Avant 1917, ce sont des chanteurs professionnels français qui y font office de choral. Alors qu’après la révolution russe de 1917 et avec l’arrivée de la première vague d’émigration, ce sont des chanteurs d’opéra russes qui prennent la relève. La nomination au poste de maitre de chapelle d’Evguény Evetz en 1962 permet une toute nouvelle dynamique. Diplômé du conservatoire de Varsovie et excellent pédagogue, il élargit le répertoire du choeur et crée un nouveau style d’interprétation qui se caractérise par la rigueur, la justesse d’intonation et la précision rythmique. Travailleur infatigable, Evetz fait connaître le choeur de la cathédrale à travers le monde, comme l’un des meilleurs choeur de l’émigration russe. En 1988 il passe le flambeau à son fils aîné Basile (1937-2008).
Lorsque Basile Evetz se retire en 2007, c’est le protodiacre Alexandre Kedroff qui prend la tête du choeur de la cathédrale. Issu d’une génération illustre de musiciens, le protodiacre Alexandre Kedro hérite naturellement du patrimoine culturel familial. Après des études de musique, complétées par un cursus de théologie à l’Institut St-Serge de Paris, il est ordonné diacre à la cathédrale St-Alexandre-Nevsy, où il seconde le Maître de Chapelle Basile Evetz jusqu’en 2007.
Depuis sa nomination à la tête du choeur de la cathédrale, Alexandre Kedroff se consacre entièrement à cette fonction et contribue à l’enrichissement du répertoire par des compositions de son père et de son grand-père, ainsi que des oeuvres basées sur des mélodies anciennes russes du chant neumatique “znamenny”.
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Chœur Russe de Paris Znaménie
Ensemble formé depuis 2009, sous la direction d’Ekaterina Anapolskaya.
Le répertoire de l’ensemble est constitué de plus de soixante pièces de musique liturgique russe bien souvent écrites par les plus illustres compositeurs russes (Tchaïkovski, Rachmaninoff, Balakirev, Tchesnokov, Gretchaninoff, …) mais aussi de musique profane : chœurs d’opéra, musique de chambre, chants populaires.
Le choeur se produit régulièrement en concert (le plus souvent à Paris) dans le cadre de manifestations consacrées à la musique liturgique orthodoxe russe : concerts de Noel et de Pâques, célébration des 150 ans de la cathédrale orthodoxe russe de Paris, heures musicales de Saint-Roch… .
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Chœur de la cathédrale de la Sainte Trinité
Le chœur de la cathédrale de la Sainte-Trinité placé sous la direction de Marina Politova, prendra part à un festival de chants orthodoxes, avec la bénédictionde l’évêque Nestor de Chersonèse.
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Bâtie entre 1653 et 1722 sur les plans initiaux de Jacques Le Mercier. C’est l’une des plus vastes de Paris. L’édifice est classé au titre des monuments historiques depuis le 7 décembre 19141.
Le parvis de l’église fut le théâtre de combats durant l’insurrection royaliste du 13 vendémiaire an IV soit le 5 octobre 1795. Pillée à la Révolution, l’église a récupéré une partie de son patrimoine ainsi que de nombreuses œuvres d’art provenant d’autres églises parisiennes. Elle reste connue comme étant la paroisse des artistes, par allusion au nombre d’entre eux qui y ont été inhumés ou dont on y a célébré les obsèques, et de la riche collection d’œuvres d’art qui y est conservée.
10 ème anniversaire du festival “Jardins Impériaux Russes”
à Saint Petersbourg
“Х°юбилейный международный фестиваль
– Императорские Сады России”.
Sous l’égide du Musée Russe de Saint Petersbourg, dans le Parc Mikhailovsky, se déroule ce festival des “Jardins Impériaux Russes”
Le Premier Festival International « Les Jardins de la Russie impériale » a eu lieu du 30 mai au 3 Juin 2008 dans le jardin Mikhaïlovski avait été programmé pour coïncider avec le 110e anniversaire du Musée russe. L’organisateur principal du festival était le Musée russe avec le soutien de la Fondation de Son Altesse Royale le prince Michael de Kent et l’Union des Jardiniers de la Russie. Depuis lors, le festival « Les Jardins de la Russie impériale » est devenue une célébration annuelle pour les résidents et les visiteurs de la ville, ainsi que l’un des événements les plus importants dans la vie culturelle de Saint-Pétersbourg.
L’événement principal du festival « Les jardins impériaux de la Russie » réside en une exposition de paysagistes créant des compositions de paysage sur un thème donné. Chaque année, le personnel du festival développe un nouveau sujet et une nouveauté pour les participants à la compétition. La fête comprend également une variété d’activités culturelles, récréatives et éducatives.
En 2013, le festival « Les Jardins de la Russie impériale » a reçu la plus haute distinction de la Russie dans le domaine de l’architecture de paysage, le Prix d’architecture du paysage national russe dans la catégorie « Événement de l’année ».
En 2014, le festival « Les jardins impériaux de la Russie » a atteint la première place en finale des prix nationaux dans le domaine des «Prix de l’événement russe» tourisme événement dans la catégorie MEILLEUR PROJET DANS LE DOMAINE DE LA CULTURE
En 2017 il donne lieu a un ensemble de manifestations (concerts, conférences) en divers lieux de la ville et à une exposition de sculptures et d’installations au sein du parc Mikhailovsky, sur le thème d’un hommage à l’avant-gardens russe du début du XXeme siecle – intitulé “Авангарденс”.
“Promenade interieure“(“Прогулка внутри себя“), V. Hofmann.
Le Sculpteur Vladimir HOFMANN prend part à cette exposition avec une sculpture intitulée “Promenade interieure” (“Прогулка внутри себя“), thème qu’il développe dans ses expositions à Paris et en Russie. L’ installation se compose d’objets d’art, qui peut être appelé en toute liberté, l’avant-garde du XXIe siècle. Deux taches rouges laconique sur le fond d’herbe verte peuvent être vus de loin. En s’approchant les formes abstraites commencent à devenir une forme géométrique claire se composant de deux moitiés d’une tête humaine, une moitié stylisé plate et vue d’un certain angle dans une « tête » complète, symbole de l’humanité, avec en son centre une sorte de figure d’un homme en marche dans une « fenêtre ». Un homme qui voyage dans une grosse tête … Il est à la recherche d’une explication, et peut – être même d’une réponse aux questions fondamentales: « Où suis – je, pourquoi, où ..? ».
Vladimir Hofmann, d’origine russe né et vivant à Paris comme il aime à le dire “Je suis Russe parisien“, français de papiers mais russe de cœur. Le russe que toute la famille parlait à la maison fut sa première langue, il n’a appris le français qu’à l’école. Dès son enfance il s’intéressait à la sculpture, qu’il pratiquait avec de la pâte à modeler.
Plus tard il étudia dans les ateliers d’ Annenkov peintre avantgardiste et du sculpteur Zadkine. Il termina les Beaux-Arts dans la classe d’Etienne Martin. Vladimir exposa pour la première fois avec son frère jumeau, André dit “Sadko” (10 novembre 1945 – 18 décembre 2016) dans un petit restaurant du Quartier Latin (près de St Germain des Prés à Paris) le coin des étudiants en 1970. Dès lors, il fit de très nombreuses expositions. Il exposa également dans sa ville préférée en Russie : Saint Petersbourg, ville où se trouvaient ses racines familiales. Ses œuvres se trouvent dans les musées de la ville de Paris, à la Bibliothèque Nationale de France, en Russie et dans des collections privées à travers le monde. Il reçut de nombreuses distinctions comme: la médaille d’Or de la Ville de Paris.
A partir de 2002 Vladimir avec son frère André, ont organisé de nombreuses expositions en Russie.
En 2007 le public russe a pu admirer les œuvres des frères Hofmann au musée Akhmatova, sur la Fontanka. En 2010 ont eu lieu des expositions au Palais Constantin à St Ptersbourg et au musée Bourganov à Moscou.
Artiste russe, Natalia Ermilova a puisé l’inspiration de ses chansons et poèmes dans les plaines de sa terre natale. Elle est à Paris depuis 1999, et revient souvent dans sa ville natale, Saint Petersbourg.
Auteur des poèmes qu’elle chante, elle compose la musique et en écrit certains en français et d’autres en russe dont elle a affiné la traduction avec la complicité de Stéphanie Tesson, directrice du théâtre de poche.
Dans son spectacle intitulé « L’âme slave en héritage », le concert commence par des oeuvres d’inspiration traditionnelle slave ; ces chansons russes sont d’abord interprétées a capella, puis accompagnées par le violon de Natalia, auquel se joignent successivement la contrebasse de Gonzague Octaville, la balalaïka de Philippe Baudez.
Au cœur de l’âme slave : entre chansons vivantes et déclarations de poèmes, un vrai moment de partage avec la culture russe.
Maria Baliassova, artiste-peintre, documentaliste et folkloriste russe, elle est née à Moscou, elle vie et travaille à Strasbourg. Elle exposera ses gravures et peintures aux techniques diverses réalisées suite à ses voyages ethnographiques aux quatre coins perdus de la Russie.
La longue tradition du peuple russe est vivante et continue à se transmettre de génération en génération.
Possibilité de dîner sur place tous ensemble à l’issue de l’exposition.
Les couleurs de Larissa illuminent la ville de Berlin
du samedi 17 au dimanche 25 juin 2014
Les livres et les peintures de Larissa Noury y seront présentés
Soirée conférence avec Larissa Noury à la Maison de France
Lundi 19 juin 2017 à 19h
Larissa NOURY, coloriste et architecte, présentera un exposé sur le thème de la couleur dans la ville «La Couleur en Art et en Architecture ». Cet évènement s’inscrit dans le cadre de l’exposition “Perceiving Colours -From the eye to the beholder”
Larissa expose une série de ses œuvres : « UNIVERS BLEU ».
Pour plus d’informations CLIQUEZ
Le programme de l’exposition au Musée des Couleurs est réalisé en collaboration avec le
Flutgraben e.V. Il est d’une grande richesse et est étalé sur plusieurs journées, du 17 au 25 juin 2017.
Exposition divisée en trois parties. Le Laboratoire des Couleurs sera dédié à la perception des couleurs : comment fonctionnent nos yeux et comment notre cerveau interprète ces informations. Une maquette d’œil, des couleurs à toucher et à goûter ainsi que des illusions d’optiques seront présentés dans cette partie. « Aussi Colorés que Les Berlinois » soulignera ensuite le multiculturalisme de Berlin. Carnavals et parades seront décryptés ainsi que, plus particulièrement, les couleurs portées par les Berlinois : des vêtements et bijoux au maquillage et aux colorations capillaires. La Salle Couleur étudiera les symboles et significations de la couleur Bleu. La Note Bleue, le Blue Jeans, le bleu d’ Yves Klein ou encore le Berliner Blue seront expliqués. Les pièces d’expositions seront aussi diverses que les couleurs le sont : œuvres d’art, maquettes, objets quotidiens, photographies et colorants. En plus de l’exposition, nous organisons diver événements. Des visites guidées seront proposées. Dans le cadre de la Fête de la Musique, un concert en synesthésie en lien avec le Laboratoire des Couleurs et traitant de la perception des couleurs sera organisé.
Né à Moscou en 1974. Formation professionnelle à l’Institut académique des beaux-arts Vassil-Surikov de Moscou. Stage à l’Académie des beaux-arts de Karlsruhe.
Premier prix de sculpture du « Concours des jeunes artistes », lancé par la Galerie Tretiakov, pour Victor Tsoy sur sa moto, son œuvre de fin d’études.
Monument aux trois cinéastes russes – Andrey Tarkovsky, Vassili Shoukshine et Guennady Shpalikov -, devant l’Institut de cinématographie à Moscou (médaille d’argent de l’Académie des beaux-arts de Moscou).
Sculpture Anna Karenina, exposée à l’UNESCO pour la célébration du centenaire de la mort de Léon Tolstoï en 2010.
Prix du Festival du cinéma à Khanty-Mansijsk pour les diverses œuvres consacrées à l’art du cinéma.
Auteur de monuments en bronze à Moscou, Khanty-Mansijsk, Okulovka (région de Novgorod). Il est membre de la Société Royale Britannique des Sculpteurs en 2016.
Vernissage lundi 19 juin 2017 de 18 h à 22 h.
La Salle Royale de la Madeleine
Eglise de la Madeleine, Place de la Madeleine, Paris75008
Parution du livre « Mont Athos et Valaam, Pèlerinages d’un écrivain russe » par Boris Zaïtsev.
Boris Konstantinovich Zaytsev , Борис Константинович Зайцев ( 29 Janvier [ 10 février ] 1881 à Orel, mort à Paris le 28 janvier 1972, écrivain, romancier, nouvelliste, dramaturge, traducteur russe. Il commence à écrire à 17 ans. Â l’automne 1900, il fait la connaissance d’Anton Tchékov, à Yalta, et rencontre Léonid Andreïv qui l’aide à entrée dans le monde littéraire en l’introduisant au cercle littéraire « Mercredi » (Sreda), dirigé par Nikolaï Telechov. Il débute avec le récit « En chemin », paru dans le « Courrier ». En 1903 il rencontre Ivan Bounine, avec lequel il conserve des relations d’amitié. En 1922, il est élu président de la section moscovite de l’Union russe des écrivains.
Après avoir compris la tragédie qui résulte de la révolution et de la guerre civile qui s’en suit, avec la mort de son neveu et de son beau-fils, arrêtés pour participation active au « Pomgol » (organisation d’aide aux affamés), après avoir failli mourir du typhus, Zaitsev et son épouse décident de quitter à jamais la Russie.
Il quitte définitivement la Russie en 1922 pour venir en France. en décembre 1924. L’œuvre de Zaïtsev continue la tradition d’Ivan Tourgueniev et Anton Tchekhov par sa perception religieuse du monde, par son désintérêt pour la course à la prospérité matérielle et à la vie bien rangée. Il est aussi souvent comparé à un autre auteur russe exilé en France, Ivan Bounine, pour son sens aigu de la beauté. Mais sa mélancolie et sa tendresse délicate l’éloignent du pessimisme de Bounine
Boris Zaïtsev est une figure emblématique de l’émigration russe, il publie pendant les cinquante années de sa vie en France plus de 30 livres et 800 articles. Il travaille pour le journal « La Pensée russe » en 1947. La même année, il devient président de l’Union des écrivains russes en France, jusqu’aux derniers jours de sa vie. En 1959, elle commence une correspondance avec Boris Pasternak, tout en travaillant avec les almanach de Munich « Ponts ».En 1957, sa femme est victime d’un accident vasculaire cérébral qui l’affecta énormément.
Il a été enterré dans le cimetière de Saint-Geneviève-des-Bois, où se trouvent de nombreux immigrants russes qui se sont installés en France.
Thème de l’ouvrage
Les Zaïtsev et leur fille quittent la Russie en 1922, espérant y revenir bien vite. Mais après un arrêt à Berlin, puis en Italie, ils s’installent définitivement à Paris en janvier 1924. Zaïtsev s’efforcera de transcender ce déracinement comme en témoignent ses souvenirs de Russie, ses romans sur la vie des émigrés russes en France mais également grâce au pèlerinage dans des hauts lieux de la tradition monastique russo-byzantine. Les deux récits présentés ici, le Mont Athos (1927) et Valaam (1936), sont une projection de cette quête de l’auteur exilé, qui s’exprime de manière symbolique à travers l’errance de nombreux moines itinérants, ermites et ascètes, croisés en chemin sur la « Sainte Montagne » et dans l’archipel de Valaam, sur le lac de Ladoga. Deux joyaux littéraires d’une rare richesse poétique écrits à la suite d’un voyage en Grèce et en Finlande. Ces petites paraboles, finement rédigées et sans prétention théologique, restent accessibles à tout lecteur : Zaïtsev met à notre portée l’histoire de la spiritualité fondée sur le silence qui conduit à la paix du cœur (l’hésychasme). Plus qu’un livre de souvenirs sur des lieux visités, ses récits du Mont Athos et de Valaam sont des récits d’états d’âmes emprunts de spiritualité. « Dans mon récit il n’y a rien de savant, de philosophique ou théologique. C’est comme simple pèlerin orthodoxe et écrivain russe que j’ai vécu ces quelques journées au Mont Athos. Et seulement à ce titre ! »
La Gazeta France-Oural a pour objet de faire connaître au lecteur français les réalités de la vie quotidienne dans la Russie profonde, les préoccupations et les activités de ses habitants. Dans ce but, elle diffuse la traduction d’articles dûment sélectionnés dans la presse russe, surtout régionale.
Au-delà de l’instantané, du superficiel, elle cherche, grâce à un travail soigné de sélection et de traduction, à éclairer ce qui témoigne des évolutions en profondeur de la société russe. Elle cherche plus particulièrement à éclairer le lecteur sur : la société civile, la vie associative, les aspects les plus notables de la vie quotidienne: santé, culture, logement, transport, éducation, travail, vie politique locale,…
Elle n’a pas vocation à traiter de sujets d’actualité et encore moins de sujets propres à l’actualité politique mais peut être amenée à le faire s’ils lui paraissent significatifs au regard des évolutions et thématiques ci-dessus.
Elle s’adresse naturellement à ceux qui s’intéressent à la Russie au-delà de l’évènementiel et de l’éphémère. Elle est également susceptible d’intéresser plus particulièrement les milieux de la traduction, du journalisme et de l’édition, et comporte un aspect pédagogique permettant à ceux qui débutent dans ces domaines de s’exercer aux côtés de vrais professionnels.
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Une des plus séduisantes jeunes virtuoses de l’Ecole russe de piano, Anna Zassimova enrichit le répertoire pianistique par la découverte de compositeurs russes méconnus tels Nicolaï Medtner, Sergueï Teneiev, Nikolai Mjaskowski et surtout Georgy Catoire dont les origines sont françaises – de Lorraine exactement – tout comme Frédéric Chopin.
Anna lui a consacré une thèse de 400 pages et divers enregistrements en première mondiale.
Elle est née à Moscou, a commencé ses études de musique à l’École spéciale Gnessin pour les enfants doués. Plus tard , elle a étudié à l’ Académie russe des Gnessin Musique à Moscou et à l’ Université de Karlsruhe Music. Parmi ses professeurs étaient Tatyana Saytseva, Vladimir Tropp, Michael Uhde et Markus Stange. Au cours des dernières années , le jeune pianiste a fait des apparitions dans des festivals internationaux tels que le Festival Chopin à Marianske Lazne (République tchèque), Le Heidelberg Spring, Piano à St-Ursanne (Suisse), le jeune festival Brillant Pianistes à Marlborough (Royaume – Uni) et Chamber Music festival de Russie (Hamburg). Ses enregistrements de Chopin ont été hautement considéré dans la presse, dont plusieurs sur un instrument historique Érard. Bavarian Radio Klassik a salué sa “brillante technique et la musicalité inspirée» , et Klavier.de a parlé de « l’ un des enregistrements de Chopin les plus convaincantes sur instrument d’époque” , tandis que Piano Nouvelles trouvé son jeu plein de «magie envoûtante, tout dans la modération et rien au – delà “ . Elle est également considérée comme un excellent interprète de la musique contemporaine, faisant des apparitions et de donner à ces festivals – premières de renom comme Musique Viva (Munich) et ECLAT (Stuttgart).
Au programme:
Frédéric Chopin
Deux Nocturnes Op. 62 H-Dur, E-Dur,
Polonaise Op. 26 Nr. 2 cis-moll
George Catoire
Quatre Préludes Op. 17
Franz Liszt
Consolation Des-Dur
Schumann-Liszt
Widmung
Robert Schumann
Arabeske Op. 18
Nikolai Medtner
Sonate Reminiscensa Op. 38
Le Festival du Chablisien est l'une des activités de
l'Association Culturelle du Pays Chablisien
Président : Jean-Michel Costal Vice-Présidente : Agnès Dauvissat
Festival Musical des Grands Crus de Bourgogne
Direction artistique : Chantal Bonnard, Guy Touvron, Thierry Caens,
Yves Henry, Mario Hacquard
Vendredi 7 juillet 20h30
Collégiale Saint-Martin Chablis
Grandes orgues , trompettes et timbales
Inauguration de l’orgue de Chablis après son relevage
Samedi 8 juillet 20h30
Eglise Saint-Jean Baptise Varennes
LES TÊTES DE CHIEN, cinq hommes, cinq voix, cinq parisiens qui s’emparent ds chants traditionnels de leurs provinces d’orignines.
Dimanche 9 juillet 18h00
Eglise Saint-Pierre – Saint-Paul Ligny-le-Châtel
MAGIE DU JAPON
Mardi 11 juillet 20h30
Auditorium Chablis
RECITAL DE LA PIANISTE ANNA ZASSIMOVA
Mercredi 12 juillet 20h30
Grange de Beauvais Venouse
GLENN MILLER ET ANNÉES SWING
Glenn’s Swing Orchestra, Big Band des années 30/40 – 12 musiciens
Prix des places de concert : 18 € Moins de 25 ans : 12 €
Réservations: Office du Tourisme de Chablis
1 rue Maréchal de Lattre-de-Tassigny 89800 Chablis
Lyubov Yurievna Kazarnovskaya ( Любовь Юрьевна Казарновская , né le 18 juillet 1956) est une soprono d’opéra russe qui a chanté des rôles de premier plan dans les opéras du monde entier. Elle a enregistré pour Deutsche Grammophon, Philips et Naxos Records, entre autres. Elle a son propre spectacle de musique à la télévision russe et un programme de radio hebdomadaire d’une heure, “Vocalissimo”, sur Radio Orphej.
Elle est née le 18 juillet 1956 à Moscou dans la famille du général George Ignatievitch philologue et Lydia Alexandrovna Kazarnovskii. Elle a étudié à la faculté de Comédie musicale Gnessin et au Conservatoire de Moscou. Elle a fait ses débuts à 21 ans sur la scène à Moscou dans “Eugène Onéguine” de Tchaïkovski. De 1974 à 1978 , il a vécu à Erevan. Diplômée du conservatoire en 1982, Conservatoire de deuxième cycle en 1985. En 1981-1986 ans elle a réalisé une carrière solo dans Mamta Stanislavsky et Vl. Nemirovitch-Dantchenko. Chanta les premiers rôles dans “Iolanta” de Tchaïkovski, ” Paglicci” de Léoncavallo, “La Bohème” de Puccini et bien d’autres opéras.
2013 elle a été l’un des quatre membres du jury de la première saison de l’émission “Une Un”, elle est membre du jury de la Russie pour l’ Eurovision 2015.
Всубботу24 июня в 17.00 в Посольстве Российской Федерации во Франции состоится ВЫПУСКНОЙ ГАЛА-ВЕЧЕР для русскоязычных выпускников лицеев и университетов, русских школ, а также французов, изучающих русский язык.
Мы приглашаем всех желающих присоединиться к этому событию и провести вечер в хорошей компании и в позитивной атмосфере.
Вечер будет включать в себя торжественную часть, на которой предусмотрены приветственные речи официальных лиц, концертную программу, коктейль и балл.
Выпускной в Посольстве организуется уже в третий раз и действительно становится доброй традицией русскоязычной общины во Франции. Как известно, традиции важно поддерживать и, чтобы поддержать эту традицию мы просим вас максимально распространить информацию об этом событии среди своих контактов. Со своей стороны, мы будем очень стараться сделать этот вечер приятным и запоминающимся.
Le samedi 24 Juin à 17h00 à l’ambassade de la Fédération de Russie en France aura lieu la soirée de gala de remise des diplômes pour les diplômés des écoles secondaires et des universités russophones, ainsi que les Français pour l’apprentissage russe.
Galina Feskova est née en Biélorussie en 1973, elle réside et travaille en Belgique depuis 2002. A l’école, elle est tombée amoureuse des cours de peinture. Galina s’est lancée dans la peinture abstraite qui est devenue sa passion. Préférant travailler sur des toiles en 3D, avec une épaisseur de 3,5cm, elle donne à toutes ses œuvres un relief grâce à la peinture acrylique travaillée avec beaucoup de matière composée de plusieurs couches des fois.
Ses œuvres ont des couleurs vives, parce que la couleur est la vie. Le monde, il est très lumineux. Il est très différent. Le monde des fleurs, le monde des oiseaux, le monde des animaux. Les peintures représentent globalement le mouvement vers le haut et l’infini, où le temps n’existe pas.
Faubourg 101
On n’entre pas dans cette brasserie d’Arlon comme dans un café. C’est un lieu des sens. Les bruits sont différents, le clair tintement des couverts se mêle aux discussions feutrées. On entre dans une brasserie pour étancher une soif de découvertes, pour humer la carte, y lire des saveurs et voir des odeurs. On y entre pour être parmi les autres, leurs sourires, leurs rires, leurs histoires. Un peu à l’écart sous la coupe d’un bon vin, des esprits fermentent et se passionnent pour des idées et admirer les expositions sur les murs.
École russe du XVIIIe siècle. Vue d’un palais dans un paysage avec églises
en Russie.
Huile sur carton, de format rond, non signé, conservé dans un cadre carré en bois doré. Restaurations. A vue: D. 14 cm. Cadre: L. 21 cm.
SOKOLOV Piotr Fedorovich (1791-1848), attribué à.
Portrait d’un gentilhomme. Mine de plomb et pastel sur papier, non signé.
Bon état, légères rousseurs.
Conservé dans un beau cadre rectangulaire en bois doré à décor de palmettes (petits manques). H. 22 x L. 15 cm. Cadre: H. 38 x L. 33 cm.
MACHKOV Ilya Ivanovich (1881-1944).
Scène paysanne avec charrette et cheval.
Huile sur carton, signée en bas à gauche en cyrillique.
Dans un cadre rectangulaire en bois moderne.
H. 12,6 x L. 16,4 cm.
Souvenirs conservés par le médecin du couple Gontcharova – Larionov, et de Bilibine à Paris
(Extrait du catalogue)
GONTCHAROVA Natalia (1881-1962).
Projet pour le ballet Chota Roustaveli.
Aquarelle et crayon de bois sur papier contrecollé surcarton. Non signée.
Usures et taches. H. 50 x L. 35 cm.
Rare guitare en bois du peintre Ivan Bilibine (1876-1942).
Importée de russie après 1917.
Fabricant : Lemberg, Lekae & Co. (fondé en 1915), magasin
de Moscou. En l’état. H. 90 x L.31cm.
Icônes
(Extrait du catalogue)
Rare icône représentant la Vierge à l’Enfant Éléousa du type Vierge de Vladimir, surmontée par deux anges et Dieu le Père.
Tempera sur bois. Conservée dans une belle oklad en argent 84 zolotniks (875 millièmes)anciennement doré, à décor repoussé et ciselé de fleurs et de motifs rocailles aux angles. Bon état, petits manques.
Russie occidentale, probablement Lithuanie, fin du XVIIIe
– début du XIXe siècle.
Orfèvre: « пане. » en cyrillique, non repertorié.
Poids brut: 1591 g. H. 32 x L. 24 cm.
Grande et belle icône représentant la Vierge à l’Enfant Éléousa de type Vierge de Smolensk, flanquée de deux Saints. Tempera sur bois, fond blanc. Restaurations.
Russie, vers 1800. H. 53,4 x L. 41 cm
Objets émaillés cloisonnés
(Extrait du catalogue)
Cuillère à thé en vermeil 84 zolotniks (875 millièmes), à décor émaillé polychrome
cloisonné de style Art Nouveau, le dos orné de fleurs et feuillages stylisés dans une
bordure perlée orange sur fond blanc, le manche en partie torsadé et émaillé. Petits
sauts d’émail. Moscou, 1899-1908.
Orfèvre: Pavel OVCHINNIKOV. Poids brut: 36,2 g. L. 16 cm.
Cuillère en bois tourné, le manche en partie envermeil 84 zolotniks (875 millièmes) à décor émaillé polychrome cloisonné de rinceaux feuillagés et fleuris (petits sauts).
Conservée dans son écrin d’origine en bois, intérieur en velours de soie beige, du revendeur M. I. Drozjine à Saint-Pétersbourg. Russie, vers 1900 (poinçons en partie illisibles). Poids brut: 22,1 g. L. 17,5 cm.
Rare timbale de forme circulaire légèrement évasée en vermeil 84 zolotniks (875 millièmes), à décor entièrement émaillé polychrome plique-à-jour, le corps orné d’une scène de coucher de soleil sur un plan d’eau animée par un cygne, une grue et un oiseau, dans un entourage de plantes et de fleurs, le bord supérieur orné d’une frise de motifs géométriques, la base ornée d’une rosace. Bon état, traces d’usage. Moscou, 1899-1908.
Orfèvre: Pavel OVCHINNIKOV et marque du privilège impérial (poinçon apposé sur celui de l’orfèvre A.B. en cyrillique, repertorié comme travaillant dans l’atelier d’Ovchinnikov). Poids brut: 75,3 g. H. 7 x D. 5,5 cm.
Objets émaillés guillochés
(extraits du catalogue)
FABERGÉ Étui à cigarettes pour femme de forme rectangulaire légèrement arrondi aux angles, en vermeil (875 millièmes), à décor entièrement émaillé bleu translucide sur fond guilloché de vagues, le couvercle s’ouvrant à charnière par un fermoir en or serti de roses diamantées est décoré de cinq bandes délimitées par quatre filets horizontaux en argent, ornée aux extrémités de rangs de trois roses diamantées de taille différente, les bordures également serties de roses diamantées en chute. Usures et manques à l’émail aux angles. Probablement Saint-Pétersbourg, vers 1900.
Orfèvre: traces de poinçon de Michael PERCHIN pour FABERGÉ. Poids brut: 91,2 g. H. 1 x L. 8,3 x P. 4 cm.
Médaillon ovale pendentif porte-photographie en vermeil 88 zolotniks (916 milièmes) s’ouvrant à charnière, à décor entièrement émaillé blanc guilloché d’ondes rayonnantes, serti au centre sur l’avers d’un petit diamant. La bélière et l’anneau en or 56 zolotniks (583 millièmes). Bon état, deux petits sauts d’émail. Saint-Pétersbourg, 1908-1917. Orfèvre: Andrey BRAGIN. Poids brut: 18,9 g. H. 3,6 x L. 2,8 cm.
Boîte à pilules ronde en or (585 millièmes), à décor entièrement émaillé blanc translucide sur fond guilloché d’ondes rayonnantes, le couvercle s’ouvrant à charnière par un fermoir serti de roses diamantées est appliqué d’une double guirlande de feuilles ciselées et ponctuées de roses diamantées, au centre un trophée avec carquois appliqué dans un cercle et serti de roses diamantées. Bon état. Travail russe vers 1900, sans poinçon apparent. Poids brut: 42,8 g. H. 1,5 x D. 4,5 cm.
Bijoux et Militaria
(Extrait du catalogue)
Oeuf miniature pendentif en argent émaillé rouge à décor du drapeau de la marine impériale russe, monté en or 56 zolotniks (583 millièmes). Accidents, en l’état.
Saint Pétérsbourg, 1908-1917. Orfèvre: Feodor AFANASIEV, probablement pour FABERGÉ. Poids brut: 2,9 g. H. 1,5 cm.
Élégant ensemble de 4 boutons de plastron en or 56 zolotniks (583 millièmes), de forme ronde légèrement bombés, à décor émaillé couleur vert d’eau guilloché d’ondes rayonnantes. Bon état. Conservés dans un écrin de la Maison Noble & Cie à Londres. Avec leur cinq épingles d’attaches en métal doré. Saint-Pétersbourg, 1908-1917. Orfèvre: Ivan BRITZIN. Poids brut total: 7,6 g. D. 1,4 cm.
Argenterie niellée
(extrait du catalogue)
Timbale de forme balustre sur piédouche en argent 84 zolotniks (875 millièmes) à décor niellé, ornée de deux cartouches ovales, l’un représentant Pierre le Grand sous les traits de Saint-Georges terrassant le Dragon, l’autre représentant des navires en mer, dans un entourage de rinceaux feuillagés sur fond amati. Usures et légers chocs.
Moscou, 1845. Orfèvre en partie effacé. Poids brut: 109,4 g. H. 10 cm.
Boucle de ceinture caucasienne en argent 84 zolotniks (875 millièmes), en deux parties se fermant au centre par un kindjal miniature retenu par une chaîne, à décor niellé de rinceaux feuillagés et de l’inscription au centre en russe Caucase. Bon état. Russie, région du Don, 1908-1917. Orfèvre: OK, non repertorié. Poids brut: 48,0 g. L. 9 x H. 7,5 cm.
Belle coupe de forme circulaire reposant sur une base ronde en vermeil 84 zolotniks (875 millièmes), à décor central d’une citation en ancien russe niellée sur fond amati, le centre gravée d’un monogramme dans un cartouche, la bordure supérieure contournée. Légères usures. Moscou, 1870. Orfèvre: possiblement Ivan Guskin. Poids brut: 183,1 g. H. 5,8 x D. 8,5 cm.
Argenterie
(extrait du catalogue)
Rare ensemble de 6 couteaux et 6 fourchettes de table en acier, à décor gravé d’ornements floraux sur les manches et sur les lames des couteaux de paysages avec arbres. Légères usures. Manufacture d’Armes de Zlatoust, milieu du XIXe siècle.
Lames signées en cyrillique. L. 25,5 et 19,5 cm.
Salière en vermeil 84 zolotniks (875 millièmes), de forme ronde reposant sur trois pieds, à décor ciselé d’entrelacs stylisés. Légères usures. Saint-Pétersbourg, 1880. Orfèvre: Johan Roppoin. Poids: 37,0 g. H. 3,7 x D. 5,5 cm.
* Kovch en argent 84 zolotniks (875 millièmes) de forme ronde, à décor ciselé d’une frise de grecques en bordure et incrusté au centre d’une pièce à l’effigie de Catherine II, le manche en forme de feuille stylisée est émaillé vert mat en plein et serti d’un saphir cabochon. Bon état. Saint Petersbourg, 1908-1917. Orfèvre: Pavel Ivanovich Kudryashov. Poids brut: 104,2 g. H. 4,5 x L. 10 cm.
Archives-photographies-souvenirs historiques
(Extrait du catalogue)
Rare ensemble de 8 poupées, représentant des Russes en costume traditionnel. Travail français réalisé à l’occasion de la visite du Tsar Nicolas II en France en 1896. H. 16 à 18 cm.
Rare ensemble de plaques photographiques, souvenirs d’un voyageur.
Boîte “Le Tsar à Versailles”, 7 plaques photographiques: La rue St Pierre, Montjarret et voiture, Le couple impérial avec Félix Faure, etc. Par A. Lumière & ses Fils à Lyon, vers 1900.
Archives provenant d’une famille de russes blancs
Archives provenant de la Maison Stern
Livres
Porcelaine
(Extrait du catalogue)
Rare ensemble de 6 manches de couverts en porcelaine, à décor polychrome de l’aigle impériale de Russie d’un côté et de l’autre de la Croix de Saint-André. Bon état, légères usures. Manufacture de Meissen, XVIIIe siècle, vers 1745. L. 9 cm.
Écuelle à bouillon couverte de forme ronde munie de deux anses en porcelaine, à fond bleu, à décor sur chaque face d’un portrait dans un médaillon ovale du comte Alexis Orlov en uniforme portant ses décorations, et de sa fille Anna en robe jouant de la balalaïka, portant le chiffre de l’impératrice Ekaterina II. L’entourage en or est orné de guirlandes de roses et de feuilles, la bordure à décor polychrome de perles. Le couvercle est décoré en suite, les médaillons sont ornés de trois chevaux sur une face et de trois chiens sur l’autre. Le plateau de forme ronde à bords contournés est rapporté, à fond bleu rehaussé d’or, orné de cartouches ovales à décor polychrome de paysages et d’un château en Allemagne, sur fond de pointillés or. Bon état, légère usure de l’or. La prise du couvercle restaurée. Manufacture de Meissen, XVIIIe siècle, vers 1793-1796. Marque de la période Marcolini (1774-1814) sous l’écuelle, le plateau antérieur. H. 15 x L. 20,5 x D. 14,5 cm. Plateau: D. 23 cm.
DROUOT-RICHELIEU – SALLE 11
9, rue Drouot – 75009 Paris
Expert Maxime Charron:
Expositions publiques :
Mardi 6 juin 2017, de 11h à 18h
Téléphone durant les expositions et la vente : 01 48 00 20 11