Archive pour septembre 2010

Du 1er au 28 octobre

Manifestations organisées par l‘Association Vesna.

Cette association a deux objectifs :

– Des activites en langue minoritaire (russe) aux enfants de familles franco-russes dans le but de les rendre bilingues.

– Des activités pour les familles françaises afin de leur faire connaître la culture russe.

Renseignements: ( CLIQUEZ )

© Photo L’Institut d’archéologie de l’Académie des sciences de Russie
 

Un sceau appartenant au premier prince apanagé de Iaroslavl, Vsevolod Konstantinovitch (1210-1238), a été découvert à Iaroslavl, à 282 km au nord-est de Moscou, Nikolaï Makarov, directeur de l’Institut d’archéologie et d’ethnographie de l’Académie des sciences de Russie a annoncé en septembre 2010 cette trouvaille.

Il s’agit d’un “sceau pendant. L’avers de ce rond de plomb représente saint Constantin, patron du père de Vsevolod (Grand Prince Konstantin de Vladimir-ndlr.). Au revers figure saint Jean, patron du prince lui-même”, a indiqué M.Makarov.

Des fouilles précédentes ont permis de découvrir sur ce même chantier des sépultures collectives, preuve de la cruauté des conquérants mongols ayant démoli la ville à la fin des années 1230, a conclu Nikolaï Makarov.

Jeudi 14 octobre 2010

Le Cinéma Le balzac, propose dans le cadre de l’Année Croisée France Russie, les vidéo-conférences d’Artcorusse, et

des films russes. Tchékhov à l’écran, signés N. Mikhalkov, A. Kkontchalovski, I; Kheifitz, C. Miller….. en partenariat avec le Théatre de l’Athénée. En décembre “La Nouvelle Babylone” de Grogori Kozintsev et Léonid Trauberg (1992).

Tous renseignements : ( CLIQUEZ )

Cinéma LE BALZAC

1 rue Balzac

75008 Paris

Métro George V

Exposition au Musée de la Musique

du 12 octobre 2010 au 16 janvier 2011

La Cité de la musique présente une chronique de la vie musicale durant les trente premières années de la Russie soviétique. Cette exposition situe la création musicale dans le contexte des mouvements artistiques et de l’histoire de la Russie de la révolution d’octobre 1917 à la mort de Staline en 1953. Elle examine la place de l’art et des artistes dans l’élan révolutionnaire, et son évolution vers une instrumentalisation par le totalitarisme soviétique.

Réalisée dans le cadre de l’Année France-Russie 2010, l’exposition fait appel à des prêts exceptionnels provenant des principaux musées de Moscou (Galerie Tretiakov, Musée Glinka, Musée central d’histoire, Musée du théâtre et de la musique A. A. Bakhrouchine, Musée Gorki…) et de Saint-Pétersbourg (Musée russe, Musée de la musique et du théâtre, Musée de la ville de Saint-Pétersbourg, Bibliothèque nationale…).

France Culture organisera une soirée spéciale autour de l’exposition le 20 octobre de 19h à 21h à la Cité de la musique (entrée libre dans la limite des places disponibles).
L’émission “La Fabrique de l’Histoire” sur France Culture sera consacrée du 18 au 22 octobre aux rapports entre pouvoir et création.

Dans le cadre de l’exposition Lénine, Staline et la musique, la Cité de la musique propose un cycle de concerts, ciné-concerts, forums, conférences et projections.

En savoir plus  :
Du 7 au 17 octobre
Du 18 décembre au 9 janvier

Cité de la Musique

221, Av Jean Jaurés 75019, Paris

Métro Porte de Pantin.

Horaires:
Du mardi au samedi de 12h à 18h, nocturne le vendredi jusqu’à 22h
Le dimanche de 10h à 18h
Ouverture exceptionnelle jusqu’à 20h les 12, 13, 14 et 16 octobre, le 18 décembre et les 5 et 8 janvier.

Nicolas Kedroff  et sa balalaïka.

Renseignements: ( CLIQUEZ )

La sortie du livre est prévue fin octobre 2010.

“La couleur habille la ville, l’illumine, l’enjolive et la sculpte. Elle est une
composante essentielle de notre environnement et libère des messages
qui agissent sur notre inconscient et nos états d’âme. La couleur s’invite
dans tous les domaines de la création, que ce soit la mode, le design,
l’urbanisme, l’architecture ou l’art.
Ce livre, magnifiquement illustré, nous promène de siècle en siècle
et d’un continent à l’autre dans l’univers de la symbolique des couleurs.
Il met en lumière l’évolution du langage de la couleur à travers les
civilisations. Dans la ville, comme dans l’art ou la décoration, les harmonies
de couleurs sont en constante mutation. Interactions passionnantes
entre les formes urbaines et le design, de l’Antiquité à nos jours.”

“Symbolique. La ville en couleurs”, Éditions du Huitième jour.

Renseignements ( Cliquez )

L’orchestre de St Georges a été recréé en 1993, il regoupe 25 joueurs de Balalaïkas réunissant les six registres de la balalaïkas. Il est dirigé par Petia Jacquet-Pritkoff.

Tous renseignements : ( CLIQUEZ )

Pour la première fois en Europe occidentale, les plus beaux chants des armées de la Russie Impériale sont réunis. Interdits pendant plus de 80 ans par le régime soviétique, ils viennent d’être enregistrés par une chorale russe. Chants des soldats exprimant l’âme ancestrale dans des enregistrements originaux.
Avec un livret de 48 pages comportant les paroles et les circonstances historiques qui ont vu naître ces chants et hymnes. CD édité en novembre 2008.

Pour se le procurer: ( cliquez )

Chorale de Sainte Geneviève des Bois.

Enregistrement de la Divine Liturgie à l’occasion du 70ème anniversaire de la consécrationde l’église de Sainte Geneviève des Bois. Enregistrement effectué aprés la bénédiction de l’Archevêque Gabriel recteur de la chapelle, le 11 octobre 2009.
Prix de vente 15 € l’unité, tarifs dégressifs selon la quantité commandée.

Pour commander:  cddormition91@gmail.com


Le décés  de Marc de Loutchek est survenu dans sa soixante-dixième année le samedi 20 décembre 2008. Grand musicien né en France d’origine russe, qui a consacré sa vie à la musique russe. Il a enregistré de nombreux disques dont la série “Balalaika” en six volumes dont le septième était en préparation.  Marc de Loutchek était un musicien arrangeur, compositeur, chef d’orchestre. Outre la balalaika son instrument préféré, il jouait du piano et de la guitare.
Il a commencé sa carrière comme musicien dans les cabarets russes parisiens au coté de chanteurs tsiganes : Valia et Aliocha Dimitrievitch au Novy, à la Grande Séverine, au Regineskaia. Ces qualités de musicien l’ont très tôt destiné à être chef d’orchestre. Il fut celui d‘Ivan Rebroff durant plusieurs années.
Par la suite il a ouvert le restaurant “Balalaika” qui fut un des restaurants russes les plus en vue à Paris puisque entre autre François Mitterrand et Serge Gainsbourg y venait régulièrement.
Il a enregistré de nombreux disques de chansons russes et tsiganes russes,  accompagnant chanteurs et chanteuses et interprètant à la balalaika ou à la guitare des airs traditionnels russes.

Commandez en : ( CLIQUANT )

Mardi 12 octobre à 20h30

Concert russe avec le

Grand orchestre de St Georges

25 balalaïkistes

Pour la rentrée, les concerts de l’Hôtel Cail, commencent par la musique traditionnelle russe.

Dans le grand salon d’honneur de cet hôtel particulier devenu la Mairie du 8° arrondissement, un concert unique de musique russe avec chant, va être offert à un large public .

RESERVATION OBLIGATOIRE: 01 44 90 76 43

Mairie du 8° arrondissement

3 rue de Lisbonne

75008 Paris

Concert au Théâtre 13

lundi 4 octobre

L’air, la terre et la poussière de la Russie vibrent dans les chansons de Natacha. Elle chante la Russie d’hier mais aussi d’aujourd’hui soutenue par l’orchestration ciselée – tsigane, jazz ou latino- d’Olivier Cahours.

Renseignements Nuits des Princes ( CLIQUEZ )

Le Lundi 4 Octobre à 20h30
Au Théâtre 13
103A, Bd Auguste Blanqui
73013 Paris


Paf : 16€ et 12€
Réservation : 01.42.64.33.89 ou

Réservation: 01 42 64 33 89

www.fnac.com

www.carrefour.com

www.francebillet.com

Le régiment des cosaques de la garde impériale a été créé en 1775 par Catherine II. Il est resté fidèle au tsar jusqu’à la fin.

Un musée avait été fondé par les officiers au mess du régiment, grâce notamment à des dons personnels du tsar et des officiers eux-mêmes.

Ce musée, transféré à Courbevoie en 1929, présente des pièces et archives exceptionnels.

Ataman .

Musée des Cosaques:

12 bis rue Saint Guillaume
92400 Courbevoie

Anastasia Chirinski-Marstein, fille d’ un officier de la marine Impériale Russe, témoin des années révolues raconte l’épopée de la dernière escadre russe à Bizerte, et d’une femme russe en Tunisie.

“Quand le destin croise l’Histoire”.

Premier Prix du documentaire, au Festival Vesna 2008 à Paris.

Médaille d’or, du Festival 2008 du cinéma à Saint Pétersbourg.

Prix Nika du film documentaire, Moscou 2009.

Film russe, sous titré en français.

EXPOSITION du 18 septembre au 10 octobre

HOTEL d’ESTREES

Un hôtel particulier à trois étages avec jardin à la française, salons d’apparat et cour d’honneur pavée, construit par Robert de Cotte, architecte de Louis XIV, pour la duchesse d’Estrées dont le mari était maréchal de France. Il a été acquis en 1863 comme propriété de l’Etat Russe et remanié pour les besoins de l’ambassade. C’est là que le dernier empereur de toutes les Russies, Nicolas II, et l’Impératrice Alexandra, résidaient lors de leur visite en France à la fin du XIXe s. Après la révolution de 1917, cet hôtel ne redevint ambassade qu’en 1924, lorsque le gouvernement d’E. Herriot rétablit les relations diplomatiques avec l’URSS. En 1977, la chancellerie de l’ambassade fut transférée dans un édifice moderne du 16e arrondissement et l’hôtel, devenant résidence de l’ambassadeur, subit (en 1981-82) une restauration complète lui redonnant des décors Second Empire.

Exceptionnelle exposition, à travers des œuvres d’art, tableaux, souvenirs historique et objets de vitrines, trois ans d’histoire russe sont retracées.

Nicolas Ier

Trône de tsar Nicolas II, en bois doré au armes des Romanoff

Plat d'honneur, début XVII°


Plat commémoratif 1890, Maison Marchak.

Boîte à thé en argent, travail de la Maison Ovtchinikoff.

Inauguration officielle en présence du ministre de la Culture de France par S.E. l’Ambassadeur de la Fédération de Russie.


(de gauche à droite):
Cyrille Boullay (commissaire de l'exposition), Fréderic Mitterrand
ministre de la Culture et S.E. Alexandre Orlov.

De trés nombreuses personnalités du monde russes étaient présents, parmi lesquels des descendants de la famille des Romanoff, des personnalités de l’aristocratie russe, des membres des association russes sans oublier des personnalités du gotha français.

Les personnalités déja citées et la grande-duchesse Maria Vladimirovna,
chef de la maison impériale Romanov
avec son fils le grand-duc Georges Mikhaïlovitch de Russie

Voir le reportage filmé de l’Exposition

sur Youtube ( CLIQUEZ )

sur Dailymotion ( Cliquez )

Hotel d’Estrées

79 rue de Grenelle

75007 Paris

HORAIRES: de 10hà 18h

les 18, 19, 25 et 26 septembre

Les autres jours, les visites se feront par groupe et sur Rendez-vous:

de 14hà 17h,

Réservation: exposition.ambassadede.russie@gmail.com

Fermeture les lundis.

ACCES:

Métro: Ligne 12 (Rue du Bac ou Solferino)

Bus 63, 68, 69, 83, 84, 94 (Grenelle-Bellechasse)

Pavel Chmaroff ( 1874 – 1950 )
Galerie Zourab Tsereteli
20 juillet – 22 août 2010 et en Septembre à VORONEJ

L’Académie des Beaux Arts de Moscou, Joel Garcia et l’Association “Dialogue franco-russe”, présentent dans les salles de la galerie du sculpteur Zourab Tsereteli,dans le cadre de l’Année croisée France Russie:

Galerie Z. Tsereteli, filiale de l’Académie des Beaux Arts de Moscou

90 œuvres de Pavel Chmaroff, cet artiste né en Russie à Voronej. Elève d’Ilya Répine à l’Académie des Beaux Arts de St Petersbourg, nommé académicien en 1916, il parcouru l’Europe pour s’installer à Paris en 1924. Portraitiste,  dessinateur, aquarelliste, il avait une prédilection pour les baigneuses.

Durant cette exposition un film documentaire  “Pavel Chmaroff ” du réalisateur Nicolas Tikhobrazoff est présenté.

Extraits du film sur Daylimotion ( Cliquez ), version en français.

Extraits du film sur You tube ( Cliquez ).

En septembre l’exposition sera présentée à Voronej, ville natale de ce grand peintre, au musée I.H. Kramskoï.

Vernissage le 20 juillet en présence de Joël Garcia (le collectionneur), Catherine Boncenne commissaire de l’exposition et les personnalités de l’Académie des Beaux Arts de Moscou.


Ouverture le 9 septembre au Musée I. Kramskoï à VORONEJ.

Aprés le succés à Moscou, les œuvres de Pavel Chmarov sont exposées dans sa ville natale, au musée Ivan Kramskoï, l’inauguration s’est déroulée en présence de Vladimir Dobromirov directeur du musée.

Le vernissage officiel s’est déroule  le 16 septembre,  en présence du ministre de la culture de la Fédération de Russie Monsieur Alexandre Avdeev et, venu spécialement de Paris  Monsieur Joel Garcia, le collectionneur entouré des personnalités locales .

(de gauche à droite),m. Joel Garcia, m. Alexandre Avdeev ministre de la culture,
M. Vladimir Dobomirov directeur du musée Kramskoï et
M. Alexeï Gordeev gouverneur de la région de Voronej.

Vladimir Dobomirov, directeur du musée Kramskoï.

Facade du musée I. Kramskoï à Voronej.

Du 7 au 19 septembre 2010

Samedi 4 septembre 2010


Le Fort de la Pompelle a été construit entre 1880 et 1883, après la guerre de 1870, sur un ancien camp romain, à 30 km de Reims. Sa superficie est de 2,31 ha.Occupé par les troupes allemandes. C’est seulement après la victoire de la Marne qu’il sera reconquis par des soldats français. Cent quatre-vingts régiments dont deux brigades spéciales russes envoyées par le Tsar Nicolas II en 1916 vont se succéder pour défendre le fort.

Soldats russes .

Après les accords de 1915 avec la France, le gouvernement impérial russe met sur pied quatre brigades d’infanterie, fortes de 44 000 hommes, réparties en huit régiments spéciaux. Les 2e et 4e brigades débarquent à Salonique pour se battre sur le front d’Orient, aux côtés des Alliés commandés par le général Sarrail. Elles serviront jusqu’à leur dissolution en janvier 1918. Les 1ère et 3e (généraux Lochwitsky et Maruchevski), arrivent au printemps 1916 à Marseille, Brest, La Rochelle, acclamées par la population. Ces 20 000 soldats sont rassemblés au camp de Mailly (Aube) où les généraux Joffre et Gouraud les passent en revue. Un détachement russe participe au défilé du 14 juillet 1916, soulevant l’enthousiasme des Parisiens.

La 1ère brigade est formée des 1er et 2e régiments (hommes de Moscou, de Samara), la 3e brigade des 3e, 6e régiments (formés à Ekaterinenbourg et à Tchéliabinsk), l’une venue de Mandchourie, l’autre d’Arkhangelsk. Le général Palitzine commande ces deux brigades composées de volontaires.

En juin, la 1ère monte en ligne en Champagne, à Aubérive; la 3e la relève en octobre jusqu’au début de 1917. En avril 1917, les quatre régiments sont rattachés à la 5e armée française du général Mazel afin de participer à l’offensive Nivelle. Le 16 avril, les Russes attaquent les positions allemandes au nord-ouest de Reims; en deux jours, ils prennent les ruines de Courcy, la cote 108, le Mont Spin, Sapigneul, capturant un millier de prisonniers et résistant aux contre-attaques. Le 20 avril, ils sont relevés par des unités françaises, après avoir perdu 70 officiers et 4 472 hommes tués, blessés ou disparus.
Pour ces faits d’armes, les 1ère et 3ème brigades sont citées à l’ordre de l’armée.

Les lourdes tensions qui ébranlent les troupes françaises n’épargnent pas le corps russe dont les soldats ont profondément ressenti les événements de Russie (le 15 mars, le tsar a abdiqué‚ et les militaires ont prêté serment, le 13 avril, à un gouvernement provisoire).


Fort de la Pompelle.

A cette occasion, une stèle a été érigée, à la mémoire de ces deux brigades de soldats russes venus défendre et combattre aux côtés des troupes françaises, cette région de France la Champagne-Ardenne envahie par les troupes allemandes.

En présence des plus hautes instances militaires et politiques locales de la région, Champagne-Ardenne et des représentants des associations russes qui gardent la mémoire, des drapeaux étendards russes et les lieux de mémoires comme le cimetière russes de Mourmelon (ASCERF).

L’ambassadeur de la Fédération de Russie Monsieur A. Orlov avec le maire de Reims Mme A. Hazan ont dévoilée la plaque gravée en français et en russe.

Extraits du  reportage qu’Artcorusse a réalisé au Fort de la Pompelle, avec l’interview

exclusive de l’ambassadeur de Russie en France.

Dailymotion (CLIQUEZ),  Youtube ( CLIQUEZ )

S.E. A. Orlov Ambassadeur de la Fédération de Russie en France et Mme A. Hazan
maire de Reims.

Mme Agnès Person maire de St Hilaire le Grand et conseillère générale (au centre),
à droite Docteur Kopiloff Président de l'ASCERF et Georges de Breverne
Vice président à gauche (sur la photo)
ASCERF (Association du Souvenir du Corps Expéditionnaire Russe en France).

Les restes de Ivan VI (1740-1764) retrouvés.

Les restes du jeune empereur Ivan VI, “l’homme au masque de fer russe“, assassiné à l’âge de 24 ans, ont été retrouvés dans la région d’Arkhangelesk à Khalmogory.

Fils aîné d’Anna Leooldovna, sœur aînée de l’impératrice Anna Ivanovna ( Anne I de Russie) et d’Antoine-Ulrich Brunswick-Wolfenbüttel, duc de Bevern, Ivan Antonovitch a été proclamé empereur le 17 octobre 1740 à la mort d’Anna Ivanovna.

Sa famille a été arrêté et envoyée à Kholmogory, aprés le coup d’état de l’impératrice Elysabeth, Ivan VI avait alors 4 ans, il passa 20 de ses 24 années en prison et a été assassiné en juillet 1764.

Le cercueil où se trouve les restes attrribués au jeune empereur a été découvert devant l’église de l’Assomption. La dépouille porte la trace d’un coup de couteau à six lames, comme celui utilisé pour l’assassiné, d’aprés les textes de l’époque.

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COMMEMORATION DU CENTENAIRE DE LA MORT DE LEON TOLSTOI

Dates prévues ( du 17 au 20 Novembre 2010 )

1. Numéro spécial de la REVUE DES ETUDES SLAVES.
” La mort de Léon Tolstoï, évènement mondial “.
En préparation à l’Institut d’études Slaves pour Novembre 2010.

Leo_Tolstoi_v_kabinetie.05.1908.ws

2. Colloque international sur le thème
” Tolstoï en 1910 :l’oeuvre de Léon Tolstoï – bilan du XIXe s européen “, organisé par l’Université de Paris-Sorbonne, avec le concours de la fondaton Singer-Polignac, avec une vingtaine de participants de France, de Russie, des Etats-Unis, d’Angleterre, d’Italie, de Suisse, du Japon et d’autre pays.

3. Après-midi de lectures de textes de Tolstoï, choisis et commentés par des écrivains français, organisé par La Bibliothèque Nationale de France.

4.Concert organisé aux INvalides par l’Association ” Les Amis de Léon Tolstoï ” avec le concours de musiciens executant des pièces liées à la vie et à l’oeuvre de Tolstoï.Ce concert aura lieu dans le salon Louis XIV de l’Hôtel des Invalides le Vendredi 19 Novembre 2010 à 20 heures.

5. Organisation avec le concours du cinéma ” Le Lincoln ” situé à proximité des Champs-Elysées d’une  ” Quinzaine du film sur Léon Tolstoï ou inspiré par son oeuvre “.Près de deux cents films tirés directement ou indirectement de ses écrits ont été recensés.

Portrait par Ilya Répine (1897)

6.La librairie GIBERT met à disposition les vitrines de ses magasins Boulevard Saint -Michel et rue de Tolbiac pour y exposer la collection des Cahiers de Léon Tolstoï publiés par notre Association.

Les Cahiers Tolstoï
( 10 euros le cahier )

Numéro 1 : Anna Karénine
Numéro 2 : Tolstoï philosophe et penseur religieux
Numéro 3 : Tolstoï et le mort
Numéro 4 : Tolstoï et le théâtre
Numéro 5 : Aspects de ” Guerre et Paix ”
Numéro 6 : La sonate à Kreutzer
Numéro 7 : Autour d’Optino
Numéro 8 : Les héritiers de Léon Tolstoï dans la littérature russe
Numéro 9 : Le rayonnement de Tolstoï en Occident
Numéro 10 : A propos de réssurection
Numéro 11 : Le Caucase dans la culture russe
Numéro 12 : Les récits de conversion
Numéro 13 : Tolstoï vu par les écrivains russes
Numéro 14 : Tolstoï et l’art
Numéro 15 : A propos de Guerre et Paix
Numéro 16 : Tolstoï et le cinéma
Numéro 17 : Tolstoï et les paysans
Numéro 18 : Tolstoï et ses adversaires
Numéro 19 : Tolstoï et la musique
Numéro 20 : Tolstoï et la critique

Pour adhérer à L’Association, il suffit d’envoyer votre cotisation annuelle sous forme de chèque bancaire établi à l’ordre de:

” LES AMIS DE LEON TOLSTOÏ “
3, rue de Chaillot
75116 Paris

Etudiants: 10 €
Membres actifs: 30€
Cotisation de soutien: 40 €
Membres bienfaiteurs: à partir de 80 € .

(L’adhésion inclut l’envoi du dernier cahier )
“ Tolstoï et ses adversaires“

Vladimir TCHERNYCHEV

Cet artiste russe est né à Léningrad en 1952, dés l’âge de neuf ans commence à peindre, et à douze ans il s’inscrit à l’Académie des Beaux Arts. Il obtient les diplômes de peintre et de décorateur en 1973 et devient décorateur de théâtre. Il connait comme beaucoup des ses confrères la destruction de ses œuvres , les art étant alors trés sévèrement encadrés et l’art contemporain censuré.

Il vient en France, à Paris en 1978, ou il ne laisse enfermer dans aucun style ni dans aucune école. Ses toiles chargées de couleurs et de poésie, le font exposer en Allemagne, en Suisse, aux Pays-Bas, au Japon, aux USA à Paris et en province. Vladimir Tchernychev est également poète, il a écrit un conte russe “Yaroslavna et le Dragon, qu’il a illustré de seize dessins dans le style trés personnel, celui de ses œuvres.
Il travaille à l’aquarelle, le pastel sec et l’encre de chine, toutes ces techniques se côtoient dans ses dessins, où sont représentés des personnages incoutournables des légendes russes. Le beau Prince Ivan, la Princesse Yaroslavna, le dragon Gorynnytah et la sorcière Babayaga (qui est une sorcières bonne), (aux éditions l’Harmattan).

Il nous entraîne dans un monde de féerie, ou les messages se mèlent à une analyse de notre monde.

Plus de renseignements sur son site: ( CLIQUEZ )

Anamorphoses

de

Nicolas Tikhobrazoff

” Le peintre des lignes qui parlent “

 

© N. Tikhobrazoff

Ce peintre d’origine russe vit et travaille en France, nous entraîne dans une aventure picturale des plus originales, avec une texture géométrique dans toutes ses compositions, une succession de traits
qui s’entrecroisent comme pour mettre en valeur une structure centrale hiérarchisée.
Derrière sa recherche picturale se cache un langage bien précis.

© N. Tikhobrazoff

Surnommé le “peintre des lignes qui parlent“, il est certainement le peintre qui nous fait réfléchir
dans cette époque tumultueuse, où tant de choses disparaissent.
On découvre une analogie avec la calligraphie, tout le secret de Tikhobrazoff est là, ses anamorphoses sont lisibles à l’aide d’un miroir ou en inclinant les toiles, afin de lire les citations, qui lui ont servi de thème.

© N. Tikhobrazoff

Il nous fait pénétrer dans l’univers scriptural des maîtres à penser, avec des citations choisies:
” Aimer construire consoler.“
“Quand on est vieux qui aime est fou,
Quand on est jeune on aime en fou.“
“Le soleil ni la mort ne peuvent se regarder en face face“

Comme il le dit lui-même: “… chacun voit ce qu’il veut voir ou peut s’identifier en pénétrant
dans mes toiles.“

© N. Tikhobrazoff

En regardant et en déchiffrant ses toiles, on ne peut séparer son œuvre pictural de sa création litéraire. Lres toiles sont pour Tikhobrazoff un support d’où jaillit un chant poètique. Il est de ces artistes qui élèvent ceux qui savent découvrir et comprendre le monde philosophique. Ses toiles ont été réalisées sur toiles, plexiglas, aluminium et en tapisseries

L’artiste profite du subterfuge-alibi-support qui est celui de l’anamorphose, pour nous faire entrer dans son domaine. Certains peintres avaient troouvé un support dans un paysage réel ou fictif, dans un portrait ou dans un délire fantasmagorique, ici l’artiste nous fait pémétrer dans l’univers scriptural des maîtres à pener, de préérence originaires d’Extème-Orient, Confucius et Lao Tseu sont ses préférés, mais on trouve aussi des citations choisies de Kant, Socrate et bien d’autres philosophes ocidentaux.

© N. Tikhobrazoff

“Dieu écrit droit avec des lignes courbes “

“Aimer, construire, consoler “.

” Quand on est vieux, qui aime est fou, Quand on est jeune, on aime en fou”.

Dans les toiles messages de Tikhobrazoff, l’œil et la reflexion participent ainsi au débat artististique.

Le peintre des lignes qui parlent, Tikhobrazoff, aurait-il trouvé une forme d’art où tableaux et livres se confondent ?

La complicité de sa peinture avec l’écriture nous le suggérerait.

© N. Tikhobrazoff

Sociaire du Salon d’Automne, de la Biennale des Beaux Arts, membre de la Fondation Taylor, membre de l’Académie des Arts de Verbano Italie, de l’A.I.A.P. UNESCO,  membre de l’Académie d’Art de Russie, président fondateur d’Artcorusse. Les toiles ont été exposées dans divers pays: France, Russie, Norvège, Mexique, Japon, Chine, Italie, Monaco. Expositions personnelles en 1986 Galerie Katia Granoff, Galerie Traiz, Biot …….

© N. Tikhobrazoff

Pour de plus amples renseignements  Galerie JPM (cliquez)