« L’émigration russe à Paris entre 1917-1947. Première étape : le 7e arrondissement »
Mairie du VIIè arrondisement de Paris
Mardi 11 Octobre – 18h00
Organisée par la Socièté d’Histoire et d’Archéologie du VIIè arrondissement de Paris.
M. Andreï KORLIAKOV, est né en URSS mais il n’a pas vécu son démantèlement et peut être que cela a son importance. En tous cas, au bout de 23 ans d’exil à Paris, il fait partie de ces émigrés russes d’aujourd’hui qui aiment respirer la poussière d’autrefois. Andréï Korliakov qui, dans une première vie voulait être professeur d’espagnol et vivre à Cuba, s’est découvert dans une deuxième vie une passion pour la recherche photographique. A la lumière de milliers de clichés pris dans un passé parti en fumée , enterrés à jamais dans les valises de l’exil ou de l’exode de l’entre deux guerres. Cet iconographe historien raconte en photos le quotidien de ses compatriotes qui souvent ont su recréer une “petite Russie” sur leur terre d’accueil: “La France”.
En archivant des milliers de clichés photographiques sur l’émigration Russe de l’entre-deux guerres, cet historien-iconographe recrée une sorte d’Archipel de la mémoire. De cliché en cliché, il entasse et reconstitue le visage bien-aîmé d’une Russie d’avant la Révolution. Le monde (parisien) peut bien tourner autour de lui, son centre de gravité reste “la pensée russe en crinoline”.
Auteur de publications sur les Russes en exil, parmi lesquelles : ” Emigration russe en France de 1917 1947 “, « Le Grand Exode russe, Europe 1917-1939 », « La Culture Russe en exil, Europe 1917-1947 »,….. (éd. YMCA-PRESS), comprenant des documents chargés d’émotion et riches d’enseignements que nous conservons tous quelque part dans un coin de notre mémoire. Il organise des conférences thématiques ou visites personnalisées sur les thèmes de l’émigration russe, à Paris comme en province, il retouche les anciennes
photos pour leur donner une seconde vie, avec la volonté de respecter, de préserver ces documents. Aujourd’hui, il possède près de 500 000 images numérisées et autant d’images non numérisées, avec plus de 100 000 visages, identifiés et non-identifiés, qui couvrent l’émigration russe dans le monde entier.
PORTES OUVERTES À L’ÉGLISE RUSSE DE LYON dimanche 2 octobre
L’église orthodoxe russe de la protection de la Vierge Marie à Lyon vous ouvre ses
Lors de cette journée Portes ouvertes, croyants ou non, venez-vous familiariser avec le culte, l’actualité et les pratiques orthodoxes russes et leurs dimensions artistiques (icônes et chants).
Programme:
* 10H30 : Liturgie chantée par le chœur de la paroisse dirigé par Alexey Vasilenko ouverte à tous
* 15H : concert de chants liturgiques par le chœur de la paroisse dirigé Alexey Vasilenko.
* 15h30: Visite commentée de l’église et conférences: “les fondements de l’Orthodoxie russe et l’histoire de la paroisse russe de Lyon”
* 16H atelier d’iconographie,
* 17h “Thé à la russe” à la fin des conférences.
Ce film (VO sous-titrée) retrace les explorations géologiques des années 60, à la recherche d’or dans le nord de la Russie. Des aventures humaines dans des zones immenses, inexplorées à l’époque, au climat très dur.
Dimanche 2 octobre 2016 à 18h
6 rue Ney, 69006 Lyon, Salle “la Pieta”, église Saint Joseph des Brotteaux
Tarif libre
Christelle Tarry, comédienne lyonnaise et voyageuse passionnée par la Russie, vous invite à une rencontre avec les textes de Marina Tsvetaeva, grande figure de la littérature russe du 20ème siècle. Ses textes parlent de l’amour en Russie et de son émancipation.
Samedi 1 – Dimanche 9 octobre 2016
Exposition “En livres et en images, une brève histoire de l’église russe”
Bibliothèque Diderot, 5 parvis René Descartes, 69007 Lyon
Entrée gratuite
Exposition proposée par l’Ecole Normale Supérieure de Lyon, Bibliothèque Diderot et son riche Fonds Slave. Occasion unique pour le public de découvrir des ouvrages précieux, des images rares sue le thème de lm’Eglise russe. Vous plongerez au cœur de pan incontournable de l’âme russe. Visite guidée le vendredi 7 octobre à 16h
Samedi 1er octobre 2016 de 13h à 18h
Où // INSA – Bibliothèque Marie Curie, 31 Avenue Jean Capelle O, 69100 Villeurbanne
Entrée gratuite
Rencontre littéraire-dédicace avec Yves Gauthier écrivain et voyageur passionné de la Russie qui présentera son livre « Youri Gagarin ou le rêve russe de l’espace »
Une projection d’un film documentaire sur Youri Gagarin proposé par Roscosmos
Conférence proposée par Emmanuel Pecontal de l’Observatoire de Lyon sur l’Observatoire de Pulkovo à Saint-Pétersbourg et son influence sur l’astronomie du XIX siècle
Des images et un film d’archives sur la coopération franco-russe des 50 dernières années proposés par le Centre national d’études spatiales
Observation du soleil
Et encore beaucoup d’autres surprises à découvrir!
Mercredi 5 octobre 2016 à 18h30
Université Lyon 2, Maison Internationale des Langues et des Cultures – MILC, 35 rue Raulin – Lyon 7e
Entrée gratuite
Territoire immense, la Russie surprend par ses paysages si divers. Cédric Gras, écrivain et voyageur passionné de la Russie nous proposera de visiter la région du Vladivostok, la plus reculée région de Russie au bord de l’océan Pacifique.
Né à Saint-Cloud en 1982, Cédric Gras débute ses études de géographie à Paris, avant de les poursuivre à Montréal puis en Inde. Parallèlement, il s’adonne à sa passion pour l’alpinisme et la marche dans divers massifs montagneux : Andes, Caucase, Népal, Karakoram pakistanais. En 2002, il relie les plaines mongoles au plateau tibétain lors d’un voyage à cheval et à pied. Quand un accident refroidit ses ardeurs himalayennes en 2006, il découvre la Russie pour sa dernière année de master, à Omsk, en Sibérie.
Samedi 1er – Samedi 8 octobre 2016
Mairie 6e de Lyon, 58 rue de Sèze, 69006 Lyon
Exposition de peintres russes
Entrée gratuite
Le vernissage de l’exposition se tiendra le 30 septembre à 18h30 Salle de réception de la Mairie du 6e arrondt.
Une occasio unique d’approcher la mpeinture russe contemporaine au travers des œuvres de trois peintres russes :Macha Belsky, Elena Alexanian et Svetlana Arefiev vous invitent à un voyage en Russie. Trois univers à découvrir!
Macha Belsky
Elena Alexanian
Svetlana Arefiev
Mardi 4 octobre 2016 à 19h00
Mairie du 6e de Lyon, 58 rue de Sèze, 69006 Lyon
Entrée // gratuite
Venez découvrir un spectacle interactif proposé par la Cie des Lueurs, une jeune compagnie théâtrale, un laboratoire de création franco-russe.
Ils vous pésenteront la lecture “Eugène Onéguine” d’Alexandre Pouchkine le mardi 4 octobre 2016 à 19h00 à la Mairie du 6e arrondt afin de vous faire découvrir cette œuvre immense rarement transportée sur le plateau théâtral en France. Les comédiens vont imaginer un « Onéguine » contemporain qui vous offrira un voyage aux tréfonds de la mystérieuse « âme russe ».
Jeudi 6 octobre 2016 à 19h30
Où // Cinéma Bellecombe, 61 rue Inkermann, 69006 Lyon
Tarif : 5€
Soirée Courts-Métrages “les incroyables voyages en Russie”
“Mémoire des îles Solovki”
Réalisé par l’équipe RBTH
Russia Beyond the Headlines (RBTH), le projet international du quotidien « Rossiyskaya Gazeta » vous invite à la projection du documentaire Mémoire des îles Solovki. En décembre 2015, l’équipe multimédia de RBTH a réalisé un projet-vidéo documentaire consacré aux îles Solovki, à leur histoire et à leur présent.
“Zapovednik, la rencontre de l’homme et du tigre”
Réalisateur : Emmanuel Rondeau
Sélectionné par le festival “Curieux Voyageurs”
“Taïmyr, rencontre avec les Dolganes”
Réalisateur : Jacques Ducoin
Sélectionné par le festival “Curieux Voyageurs”
Vendredi 7 octobre 2016 à 20h30
Paroisse Saint-Pothin, place Edgar Quinet, 69006 Lyon
Entrée 15€
10€ pour les adhérents de l’association Projet Russe
Les plus belles œuvres classiques et folkloriques russes jouées par des virtuoses de ces instruments traditionnels russes. Grand concert exceptionnel en deux parties.
Balalaïka – Micha TCHERKASSKY
Accordéon – Bogdan NESTERENKO
Réserver vos billets pour ce concert exceptionnel ici !
Samedi 8 octobre 2016 de 10h00 à 17h00
Mairie du 6e de Lyon, 58 rue de Sèze, 69006 Lyon
Entrée gratuite
Petits et grands sont conviés toute la journée pour découvrir différentes facettes de la culture russe et de la vie au quotidien de manière participative : ateliers, expositions, projections, conférences, jeux, gastronomie, etc.
Evgénia Sarkisian (Saré de son nom d’artiste) née en 1959 à Erevan (Arménie), peintre et scénographe française d’origine arménienne.
En 1976, elle entre à l’Académie des Beaux Arts d’Erevan, où elle obtient en 1982 un Diplôme d’État en scénographie et costumes de théâtre et de cinéma. En 1979, encore étudiante, elle est invitée à réaliser sa première scénographie au Théâtre Dramatique National Stanislavski, qu’elle intègre officiellement en 1982. En 1987, elle devient scénographe-en-chef du Théâtre National de la Jeunesse, avant de quitter définitivement l’Arménie en 1991 pour s’installer à Paris et se consacrer entièrement à la peinture.
Saré a une renommée internationale (expositions en France, Etats-Unis, Allemagne, Arménie, …) . « Sous le nom de Saré, elle convoque des personnages étranges qui rappellent le Moyen Age ou les inventions des grands peintres flamands, amoureux des Grotesques.Carnaval de créatures que l’on pourrait également imaginer sorties des pages d’un Gombrowicz. »
”Saré a su conquérir un large public grâce à son univers graphique, techniquement réaliste et thématiquement grotesque, situé quelque part entre l’expressionnisme ironique propre au monde slave du second XXe siècle, et les flamboyances esthétiques des portraits et natures-mortes flamands du Moyen Âge occidental.” (Thibaud Josset, Univers des Arts No 178, 2015)
Vernissage le mardi 4 octobre 2016 de 18 à 21 heures
IG Gallery
12, rue Durantin 75018 Paris Métro: Abbesses, ligne 12/bus 95 et 80
Ouverture de la Galerie du lundi au samedi
de 16 à 20 heures et sur rendez-vous
06 32 77 35 88
Dans le cadre de l’année franco-russe du tourisme culturel, une exposition sur le thème “de Saint Louis et de la Sainte-Chapelle” à Moscou au printemps 2017.
La Sainte Chapelle reconstruite après l’incendie de 1680, qui a détruit la flèche.
« L’exposition mettra en valeur le contexte historique du XIIIe siècle et la richesse de la création artistique au temps de Saint Louis, en insistant particulièrement sur les chantiers extraordinaires conduits sous son règne, et notamment celui de la Sainte-Chapelle », a expliqué Edward De Lumley, directeur du développement culturel des monuments historiques.
Des panneaux de vitraux datant du XIIIe siècle de la Sainte-Chapelle prendront la route pour Moscou. Seule une partie de ces panneaux a été présentée à la Conciergerie, fin 2014, puis soustrait aux regards du public.
Le psautier de Saint Louis, objet particulièrement précieux, représentatif de la maîtrise des orfèvres français de la période, conservé à la BNF, figurera parmi les trésors présentés à Moscou.
Un choix de sculptures reflétant la structure de la Sainte-Chapelle, des manuscrits enluminés et des chefs-d’oeuvre d’orfèvrerie du XVIIIe siècle feront enfin partie des collections présentées lors de cette exposition exceptionnelle..
St Jacques le Majeur (5ème pilier nord)
« Il s’agit d’une grande première, puisque de nombreux objets sélectionnés pour cette exposition, dont l des vitraux, ne sont jamais sortis de France », a souligné le directeur du développement culturel et des publics au sein du Centre des monuments nationaux. L’événement est d’autant plus réjouissant que l’intérêt pour le Moyen-Âge européen est très vif en Russie, et que les projets portant sur cette période sont rares.
Sceau de Louis IX, dit Saint Louis.(1214 – 1270)
Le règne de Louis IX, dit « le Prudhomme », plus connu sous le nom de Saint Louis depuis sa canonisation par l’Église catholique en 1297, a été marqué par plusieurs croisades, dont deux en Terre sainte, et la lutte contre les hérétiques cathares. Roi réformateur et très pieux, Saint Louis a fait construire plusieurs églises et s’est procuré des reliques de la Passion, pour lesquelles il a fait édifier la Sainte-Chapelle en 1242.
La Sainte Couronne d’Épines dans le reliquaire de 1896.
Les parties russe et française envisagent d’ailleurs la possibilité de faire venir à Moscou pour l’ouverture de l’exposition la Sainte Couronne, autrefois conservée à la Sainte-Chapelle et qui se trouve aujourd’hui au Trésor de la Cathédrale Notre-Dame de Paris, nécessitant l’accord du pape pour un tel déplacement.
« Rêverie sur Marina » Textes et chansons de Marina Tsvetaeva par Lessia Tyshkovska
Marina Tsvetaeva est un phénomène unique dans le contexte de la littérature française. Elle est parmi les poétesses russes qui ont laissé un telle trace dans la culture française, ayant vécu quatorze ans dans ce pays qu’est la France ou elle a écrit la plupart de ses chefs-d’œuvre.
“Le rêve de Marina“, spectacle de Lessya Tychkovska, qui a défendu autrefois sa thése sur la Poésie de Marina Tsvetaeva, est une tentative de pénétrer la poésie assey hermétique de cet auteur, dévoilant les coins les plus cachés de son âme. Il se trouve en même temps le désir du philologue d’étudier la biographie de l’âme poètique et le désir du poète, d’observer la trajectoire du vol de Psyché, interrompue sous le poids des obstacles et le désir du metteur en scène de montre le conflit entre la routine et l’univers spirituel, grâce à une mise en scène originale. Le désir de l’actrice (Tychkovska travailla plusieurs années au théâtre et au cinéma ukrénien) de vivre pleinement son rôle, en l’enrichissant par des chansons sur des paroles de Marina Tsvetaeva, accompagnées à la guitare et au piano.
Vendredi 30 septembre “ Soirée poétique et musicale des Pereverzev” par Veronika et Anatoliy Pereverzev.
Spectacle en russe.
Véronika et Anatolly Pereverzev, tous deux conteurs, chanteurs et conteurs, proposent une soirée poétique au cours de lquelle ils évoqueront entre autresle poète Nicolaï Roubtsov et les romancier Vassiliy Choukchine.
Nikolaï Mikhaïlovitch Roubtsov est certainement un des représentants les plus mystérieux de la poésie russe. Il avait prédit sa propre mort dans ses poèmes. Les vers de Roubtsov attirent l’attention par leur originalité, leur proximité, leurs spontanéités avec des expressions du langage populaire. Les thèmes de ses poèmes sont le village, la nature et l’histoire russe .
Vassiliy Choukchine naît dans une famille de paysan, en 1933, son père est arrêté puis fusillé en tant que koulak. Son premier recueil de contes “Les Villageois” est publié en 1963, la même année il devient directeur du personnel au GorkyFilm des Studios de Moscou. Il écrit et réalise “Il était une fois un gars“, qui remporte les plus hautes récompenses au Festival pansoviétique et le Lion d’or à la XVIème édition de la Mostra de Venise.
jeudi 5 et vendredi 7 octobre “À Kiev, dans le quartier de Podil” de Mikola Yantchouk
Mise en scène de Volodomir Pétraniouk
Spectacle en ukrénien.
Dimanche 09 octobre – Le Miracle Piaf de N.Mazour et de V.Kino. Mise en scène de Dimo Dimov
Spectacle en russe
“Le Miracle Piaf”, de Nina Mazour et de Vitalij Kino, Mise en scène Dimo Dimov (metteur en scène bulgare), scénographie de Svétkana Zaïkina et chorégraphie de Sergueï Chouliko.
Spectacle seul en scène interprété par Irina Klichtchevska. Elle tente de raconter l’histoire de la vie et de la mort de la grande chanteuse Edith Piaf. Mais il est presque imposible de résumer cette vie en une heure. C’est plus une évocation, une allusion à sa vie accompagnée pas des enregistrements de quelques unes de ses chansons par elle même .
Théâtre de l’Atalante
10 place Charles Dullin, 75018 Paris
Métro: Anvers, Abbesses, Pigalle
Bus: 30 ou 54 (arrêt Anvers)
RÉSERVATIONS: 01-46-06-11-90
Sauf collectivités & groupes scolaires 01-42-23-17-29
de 13 h à 18 h du lundi au vendredi
Par courriel: latalante.resa@gmail.com
Partenaires billetterie: FNAC, Ticketnet,
Theatreonline, Billetreduc, Ticketac, Starter+,
les chèques «culture» du groupe Chèque déjeuner, CROUS
Plein tarif 20 € Tarif 15 € * (Séniors, habitants des 18e et 9e arrondissements, collectivités) Tarif 12 €* (Étudiants, moins de 26 ans,
intermittents du spectacle, demandeurs d’emploi) Tarif 10 € (Groupes) Tarif 8 € (Enfants de moins de 11 ans) Tarif 5 € (Cycle lecture)
Fonds d’Etat des films de la Russie – Gosfilmofond
Ville de Nice
Projection de films originaux, issus des archives du Fonds d’État des Films de la Russie – Gosfilmofond. Les films seront projetés en version originale avec des sous-titres français. Les projections auront lieu avec la participation de comédiens, réalisateurs, producteurs et filmologues russes.
Parmi les invités : Alexandre Sokourov, Stanislav Govoroukhine, Nikolaï Bourliaïev, Nikolaï Lebedev, Radik Koudoïarov, Viktoria Solovieva et d’autres
ENTRÉE GRATUITE
Mardi 20 septembre
18h00 – Cinémathèque de Nice
En présence de Radik Koudoïarov
Charles de Gaulle. Sa majesté Monsieur le Président
Les détails biographiques du général de Gaulle, peu connus du grand public, sont à l’origine de ce documentaire. Il y a une histoire du « cadeau » de John Kennedy. Le président américain amènera des documents compromettants sur le proche entourage du général. Ils montrent que pratiquement tous les amis du général, dits « barons du gaullisme », sont des agents de Moscou. Comment cela s’est-il produit, et comment le général a réagi après la rencontre avec Kennedy, constitue une des histoires les plus saisissantes.
20h00 –Cinéma Pathé Masséna
Cérémonie d’ouverture en avant-première en présence de Nikolaï Lebedev
L’Équipage
Réalisation : Nikolaï Lebedev
Scénario : Nikolaï Koulikov, Nikolaï Lebedev
Avec Danila Kozlovskiy, Vladimir Machkov, Agné Groudité, Katerina Chpitsa, Sergueï Chakourov, Sergueï Gazarov, Elena Iakovleva
2016, studio Trité, 138 min, couleur, drame, aventures
Le film raconte l’histoire d’un jeune pilote talentueux Alexei Guchtchin. Il ne reconnaît pas les autorités, préférant agir conformément au code d’honneur personnel. Pour un défaut d’ordre absurde il a été expulsé de l’aviation militaire, et seulement un miracle lui a donné une chance de voler sur les avions civils. Au carrefour de la vie et de la mort, lorsque le sol glisse sous les pieds et que tout autour il y a du feu et des cendres, et quand le sauvetage ne peut venir que du ciel, Guchtchin montre tout ce de quoi il est capable. L’équipage sera en mesure de réaliser l’exploit seulement ensemble et de sauver ainsi des centaines de vies.
Mercredi 21 septembre
14h00 – Cinémathèque de Nice
Les 50 ans de la sortie du film
Guerre et Paix – 1er épisode « André Bolkonski »
Réalisation : Sergueï Bondartchouk
Scénario : Sergueï Bondartchouk et Vassili Soloviov
Avec Sergueï Bondartchouk, Lioudmila Savelieva, Viatcheslav Tikhonov, Anastasia Vertinskaïa, Vassili Lanovoï
1966, studios Mosfilm, 140 min, couleur, drame
L’adaptation du roman éponyme de Léon Tolstoï est l’un des ouvrages les plus importants de Sergueï Bondartchouk et l’un des films les plus chers dans l’histoire du cinéma. Il est inscrit dans le Livre Guenness des records comme film avec le plus grand nombre de figurants : 120 mille. Autres chiffres impressionnants : 15 mille personnes pour la bataille de la Moskova, 9 mille divers costumes militaires et 3 mille autres costumes, 14 mille tonnes de poudre, un régiment de cavalerie de 1500 personnes spécialement créé aux studios de Mosfilm pour le tournage. 58 musées de l’URSS ont prêté les objets pour le tournage. La plupart des scènes ont été tournées dans les intérieurs d’époque et sur les lieux des événements historiques.
En 1966, le film a totalisé 58 millions d’entrées, un record en URSS ; selon le magazine « L’Ecran soviétique », Viatcheslav Tikhonov et Lioudmila Savelieva ont été nommés meilleurs acteurs de l’année. Le film a été projeté avec succès dans 117 pays du monde.
Grand Prix du Festival de film de Moscou, 1965, Prix du conseil national des critiques des États-Unis, pour le meilleur film étranger, 1969, Prix Golden Globe pour le meilleur film en langue étrangère, États-Unis 1969, Oscar du meilleur film étranger, États-Unis 1969.
16h30 – Guerre et Paix – 2 épisode « Natacha Rostova »
18h30 – Cinémathèque de Nice
Pour les 80 ans de Stanislav Govorukhin
Film inédit
En présence de Stanislav Govorukhin
Le Jour de l’ange
Réalisation : Stanislav Govorukhin
Scénario : Sergueï Tarassov
Avec Ivan Pereverzev, Nikolaï Krioutchkov, Evgueni Jarikov, Natalia Fateeva
1968, studio d’Odessa, 69 min, noir et blanc, drame
D’après la nouvelle de Boris Jitkov « Mécanicien Salerno ». En 1907, un paquebot de voyageurs, qui allait d’Amérique à Odessa, après plusieurs jours d’intempéries entre dans des eaux calmes. Le capitaine apprend soudain qu’un incendie s’est déclaré dans la soute. Pour éviter la panique, il ordonne à l’officier de garde de maintenir l’information secrète. Tout l’équipage essaie alors de sauver le bateau pratiquement condamné.
20h00 – Cinéma Pathé Masséna
Avant-première
Les champions
Réalisation : Alexeï Vakoulov, Artiom Aksenenko, Dmitri Dioujev, Emil Nikogossian
Scénario : Emil Nikogossian, Alexandre Markine, Leonid Margoline, Pavel Rouminov
Avec Svetlana Khodtchenkova, Alexeï Tchadov, Konstantin Krioukov, Andreï Smoliakov, Tatiana Arntgolts, Maxime Vitorgan
2014, Enjoy Movies et Renovatio ent., 94 min., couleur
Сinq histoires autheentiques, cinq victoires écaltantes de célèbres sportifs russes: le champion de biathlon Nicolaï Krouglov jr, les patineurs artistiques Éléna Berejnaïa et Anton Sikharoulidze, la snowboardeuse Ekaterina Ilioukhina, le hockeyeur Ilia Kovaltchouk et la patineuse de vitesse Svetlena Jourova.
Derrière chaque victoire, on trouve des histoires humaines où s’entrelaçent amour, trahison, amitié, respect, travail et confiance. Confiance en soi, foi en la victoire.
Jeudi 22 septembre
10h00 – Cinémathèque de Nice
Gosfilmofond de Russie, pour le jeune public
Les 80 ans du studio Soyuzmultfilm
Réservé aux scolaires sur réservation
Projection de dessins animés
Studio Soyuzmultfilm, couleur, doublage français
14h00 –Cinémathèque de Nice
Les 50 ans de la sortie du film
Guerre et Paix – 3 épisode « 1812 »
Réalisation : Sergueï Bondartchouk
16h00 – Cinémathèque de Nice
Les 50 ans de la sortie du film
Guerre et Paix – 4 épisode « Pierre Bezoukhov »
Réalisation : Sergueï Bondartchouk
18h00 – Cinémathèque de Nice
Commémoration des 80 ans d’Emile Loteanu
Les Tsiganes montent au ciel
Réalisation : Emile Loteanu
Scénario : Emile Loteanu
Avec Svetlana Toma, Grigore Grigoriou, Maria Kapnist, Borislav Brondoukov
1976, studios Mosfilm, 96 min, couleur, film musical, drame
Premier au box-office soviétique en 1976, le film a totalisé près de 65 millions d’entrées. L’interprète du rôle principal Svetlana Toma a été reconnue meilleure actrice de l’année selon le sondage des lecteur du magazine « L’Écran soviétique ». Au palmarès des films soviétiques les plus vus, il est en 13e position. Des copies ont été vendues dans 120 pays.
Adaptation des récits de Maxime Gorki. Une passion envoutante de Loïko Zobar, fameux voleur de chevaux, qui préfère la liberte à l’amour de Rada l’ensorceleuse.
Grand-prix Coquille d’or du Festival de Saint Sébastien , 1976, Meilleur film de l’année au Festival international du film de Belgrade, 1977, Meilleur film au festival de Prague, 1977
20h00 – Cinéma Pathé Masséna
Pour les 80 ans de Stanislav Govorukhine
Avant-première
En présence de Stanislav Govorukhin
La Fin d’une magnifique époque
Réalisation : Stanislav Govorukhine
Scénario : Stanislav Govorukhine
Avec Ivan Kolesnikov, Fiodor Dobronravov, Sergueï Garmach, Svetlana Khodtchenkova, Dmitri Astrakhan
2015, studio Vertical, 98 min, noir et blanc, drame, comédie
Sous l’expression “époque magnifique”, l’auteur entend ces dix années qui ont suivi la mort de Staline. L’histoire d’une époque, où l’on créait malgré les interdictions, où l’on faisait l’amour, amors que les sexe “n’existait aps” et où l’on se battait pour être entendu, malgré le contrôle iniversel. Un époque, dont on craignait et attendait la fin …. Une époque qui, malgré tout, était magnifique.
Nouveau film de Stanislav Govorukhine, d’après le récit biographique de Sergueï Dovlatov « Le compromis », empreint des années 60.
Prix de l’académie du cinéma de Russie « l’Aigle d’or » pour la meilleure réalisation, 2015
Vendredi 23 septembre
10h00 – Cinémathèque de Nice
Gosfilmofond de Russie, pour le jeune public
Les 80 ans du studio Soyuzmultfilm
Réservé aux scolaires sur réservation
Projection de dessins animés
Le Conte du tsar Saltan
Réalisation : Lev Miltchine, Ivan Ivanov-Vano
1984, studio Soyuzmultfilm, 56 min, couleur, doublages français
Dessin animé long-métrage, d’après le conte éponyme du grand poète russe Alexandre Pouchkine. Les aventures du tsarevitch Gvidone, de la belle tsarevna Cygne et du tsar Saltan montrent que l’amour, la fidélité et la force d’esprit surmontent toutes les épreuves.
1962, studios Mosfilm, 96 min, noir et blanc, drame
Сhef-d’œuvre du cinéma mondial, une histoire poignante de la paix, de la haine et de la mort. L’enfance d’Ivan, 12 ans, s’est treminée au moment où, sous ses yeux, les nazis ont fusillé sa mère et sa sœur. Son père est mort au front. Devenu orphelin, Ivan rejiont une unité militaire et devient un éclaireur redoutable. Et c’est seulement dans ses rêves qu’Ivan peut retourner dans son enfance.Le Lion d’or à la Mostra de Venise, 1962, La Porte d’or au festival de San-Francisco, 1962, La Tête d’or Palenke au festival d’Acapulco, 1963
16h00 – Cinémathèque de Nice
Aux 30 ans de la mort d’Andreï Tarkovski
Le Miroir
Réalisation : Andreï Tarkovski
Scénario : Alexandre Micharine, Andreï Tarkovski
Avec Margarita Terekhova, Oleg Iankovski, Philippe Iankovski, Alla Demidova, Iouri Nazarov
1974, studios Mosfilm, 107 min, couleur, drame
“Le Miroir”, film autobiographique d’Andreï Tarkovski, ressuscite le passé sous forme de fragments apparemment décousus, issuses de la vie personnelle du cinéaste et de l’histoire qui l’a traversée, surgies dans la mémoire sous le choc d’émotions disparates. D’abord, un afflux de souvenirs de son enfance : la mère, abandonnées de son mari, toujours présent à travers des poèmes; un violent orage, l’incendie d’une grange. Tente ans plus tard, en miroir, la vie d’ Andreï qui, malade, téléphone à sa mère: comme l’avait fait son père, il a quitté sa femme et son fils. Les tumultes de l’histoire défilent par fragments, par le biais de vieux films d’actualité: la guerre d’Espagne, la prise de Berlin, les fêtes de la victoire à Moscou….
Le comité du cinéma de l’URSS (Goskino) a promis à deux reprises d’envoyer le film au festival de Cannes, mais l’autorisation n’a finalement pas été obtenue. Les compagnies de distribution étrangères ont acheté le film malgré le prix exorbitant imposé par les fonctionnaires du Goskino. En Italie « Le Miroir » est devenu meilleur film étranger en 1980.
18h00 – Cinémathèque de Nice
Pour les 65 ans d’Alexandre Sokourov
Alexandra
Réalisation : Alexandre Sokourov
Scénario : Alexandre Sokourov
Avec Galina Vichnevskaïa, Vassili Chevtsov, Raïssa Gutchaeva, Evgueni Tkatchouk
2007, studio Proline-film, 91 min, couleur, drame
La République de Tchétchénie de nos jours, dans un campement de régiments russes. Alexandra Nikolaevna vient rendre visite à son petit-fils, l’un des meilleurs officiers de son unité. Elle passe ici quelques jours et découvre un autre monde. Il n’y a dans ce monde d’hommes, ni femmes, ni chaleur, ni confort. La vie quotidienne y est miséreuse ; les sentiments ne s’y expriment pas. A moins que les forces et le temps ne manquent pour ces derniers. Ici, chaque jour, à chaque minute, des questions de vie ou de mort se résolvent. Néanmoins, ce monde est peuplé d’êtres humains.
Participant du programme au 60e festival de Cannes, 2007, Prix L’Eléphant blanc, de la Guilde des critiques de Russie, pour la meilleure actrice, à Galina Vichnevskaïa, 2007, Prix pour la meilleure actrice au festival « Vivat kino Rossii », Saint-Pétersbourg, 2008, Grand-prix du festival international du film à Trondheim, Norvège, 2008, Prix The Time for Peace Film-Musik Awards pour le meilleur film, New York, 2008, Prix The Time for Peace Film-Musik Awards, pour le meilleur rôle féminin, à Galina Vichnevskaïa, New York, 2008, Prix Simurgh de cristal, pour le meilleur rôle, à Galina Vichnevskaïa, Téhéran, 2008
Avec Danila Kozlovski, Oleg Menchikov, Vladimir Menchov, Roman Madianov, Svetlana Ivanova, Boris Chtcherbakov
2013, studio Trité, 134 min, couleur
Le film est basé sur des faits réels et raconte la carrière glorieuse de Valeri Kharlamov, légendaire joueur de hockey sur glace soviétique, ainsi que l’histoire du premier match de la «Série du siècle», les huit matchs qui opposent les meilleurs hockeyeurs de l’URSS aux professionnels canadiens en septembre 1972. Après le match du 2 septembre 1972, avec le score de 7 à 3, Valeri Kharlamov, le N°17, est entré dans la légende.
Prix du public, Kinotavr, Sotchi, 2013, Prix de l’académie des arts du cinéma de Russie « L’Aigle d’or », dans 6 catégories : meilleur film, meilleur second rôle masculin, meilleur second rôle féminin, meilleure musique, meilleur scénario, meilleur montage, 2014, Prix d’État de la Fédération de Russie, 2014
Samedi 24 septembre
14h00 – Cinémathèque de Nice
Gosfilmofond de Russie, pour le jeune public
Les 80 ans du studio Soyuzmultfilm
Projection de dessins animés
Les aventures de Bouratino
Réalisation : Ivan Ivanov-Vano, Dmitri Babitchenko
1959, studio Soyuzmultfilm, 64 min, couleur, doublé en français
Un long-métrage, d’après le conte éponyme d’Alexeï Tolstoï. Les aventures d’une marionnette en bois Bouratino et de ses amis : Pierrot, Malvina et Artémon.
16h00 – Cinémathèque de Nice
Nominé aux Oscars en 1943
La bataille de Russie
Réalisation : Frank Capra et Anatole Litvak
1943, 77 min, noir et blanc, documentaire
C’est le cinquième volet de la série documentaire en 7 parties « Pourquoi nous combattons » dont l’objectif est de décrire et d’expliquer les événements qui ont poussé les États-Unis à entrer dans la Seconde Guerre mondiale. La bataille de Russie présente aux Américains leurs nouveaux alliés soviétiques ; ce film décrit aussi les batailles de Leningrad et de Stalingrad, symboles de la résistance russe face à l’invasion nazie. Il parle aussi de la première défaite de la Wehrmacht dans la bataille de Moscou, considérée avec la bataille de Stalingrad comme un des affrontements stratégiques sur le front de l’Est. Dans cet épisode sont largement utilisés des fragments du documentaire « La Défaite des envahisseurs nazis près de Moscou » qui est devenu le premier documentaire étranger à avoir reçu un Oscar. En découvrant les images d’horribles scènes filmées sur le territoire libéré des nazis, les Américains comprenaient pourquoi combattaient les Russes.
Nominé aux Oscar pour le meilleur documentaire, 1944
18h30 – Cinéma Pathé Masséna
Cérémonie de clôture
Film inédit
En présence de Viktoria Solovieva
Coup de soleil
Réalisation : Nikita Mikhalkov
Scénario : Nikita Mikhalkov, Vladimir Moïsseenko, Alexandre Adabachian
2014, studio Trité, 175 min, couleur, fiction, drame
Le sujet du film est basé sur les œuvres du classique russe Ivan Bounine, telles que sa nouvelle éponyme et l’autobiographie Jours maudits.
L’action se déroule en Russie pendant la Terreur rouge en 1920 et sous l’époque tsariste, en 1907. C’est l’histoire de l’amour entre un lieutenant et une belle inconnue, amour qui les a brûlés comme un coup de soleil. Après s’être rencontrés sur un bateau, les deux héros descendent dans une petite ville de province, Pavlino, où ils passent une unique nuit ensemble dans un hôtel. Le matin la femme disparaît : son mari et sa fille l’attendent à la maison. Et le lieutenant, des années après, ne peut oublier cette aventure amoureuse qui l’a bouleversé.
Prix de l’académie des arts du cinéma de Russie « L’Aigle d’or » dans 5 nominations : meilleur film, meilleure caméra, meilleurs décors, meilleure musique, meilleurs costume, 2015
INFORMATIONS PRATIQUES :
Cinémathèque de Nice, 3 Esplanade Kennedy, 06300 Nice
15ème Édition de la Semaine des Cultures Étrangères
“L’art russe et la jeunesse”
exposition du 19 au 28 septembre
au Centre de la Russie pour la Science et la Culture.
Les œuvres sur le thème de la jeunesse et de l’adolescence seront présentées par les artistes diplômés de l’Acadèmie d’État d’art et d’industrie de Saint Petersbourg A.L. Shtieglitz, qui a fêté son 140 ème anniversaire.
Parmi les artistes exposants nous pouvons citer: Michaïl Chemiakine, Alexeï Talachouk, Svetlana et Ponomarenko, Svetlana Simina, Volodia Popov-Massiaguine, etc….
Tapisserie
De nombreux domaines artistiques seront présentés: peinture, sculpture, céramique, design, mode et autres.
Centre de Russie pour la Science et la Culture à Paris
Orchestre de la Maison de la Radio et la compagnie de marionnettes Per Poc
Maison de la radio – Paris
Au carnaval à Saint-Pétersbourg, un charlatan présente à la foule trois marionnettes qui s’avèrent éprouver des sentiments humains : le simple Petrouchka est amoureux de la Ballerine, qui lui préfère le Maure aux habits somptueux…
Au côté de l’Orchestre Philharmonique, la compagnie espagnole Per Poc fait évoluer ses personnages à travers une lecture fine et somptueuse de cette étrange histoire, entre fausses existences et réalité déformée.
MAISON de la RADIO
116 avenue du Président Kennedy
Tarif unique: 20€ et moins de 13 ans 8€
Réservation:du lundi au samedi de 11h à 18h. Téléphone : 01 56 40 15 16
Paris et Saint-Pétersbourg vus par Ekaterina POSETSELSKAYA
Nous regardons le monde en fonction de nos capacités, nous voyons ce qu’on nous a appris à voir, nous contemplons ce que nous considérons digne de notre attention. Le réflexe de la vue que la nature nous a donné, devient un instrument non seulement pour interpréter le monde visible, mais aussi pour créer notre monde à nous dans lequel les lois infaillibles de l’optique reculent au second plan.
L’art de Ekaterina Posetselskaya repose sur son expérience visuelle filtrée à travers le prisme de sa conscience intellectuelle et lyrique. Ses paysages urbains sont privés de visibilité obsessive de souvenirs. Elle ne s’arrête pas sur les détails et ne cherche pas à reproduire méticuleusement des perspectives architecturales. Ce ne sont pas les façades qui la passionnent, mais les images d’une ville déserte crépusculaire cachée dans des motifs discrets. Elle aime dessiner des cours encerclées de murs silencieux, des quais sombres aux arbres taillés, des fenêtres solitaires éclairées, des mansardes, cheminées et murs réfractaires couronnés de silhouettes vagues de dômes lointains.
Cependant, les villes montrées par Ekaterina Posetselskaya ne perdent pas leur visage ou plutôt leur aspect émotionnel : même si les motifs choisis se ressemblent, Paris reste lui-même sur ses images, ainsi que Saint-Pétersbourg, et cela ne s’explique toujours pas de façon rationnelle. On ne peut que supposer qu’ici se révèlent deux états d’âme différents de l’artiste, empreints des émanations de ses villes préférées.
Les éléments formels importants des pastels de Ekaterina Posetselskaya sont des ombres et reflets matérialisés qui aident à révéler le relief de la mise en scène et à construire son animation rythmique. Une tache locale de couleur, par exemple, une petite lumière mystérieuse faisant irruption de façon contrastée dans l’espace de la gamme pastel discrète, devient parfois une sorte de contrepoint formant toute la construction mélodique du tableau.
L’œuvre de l’artiste se développe dans le courant des traditions de l’art spirituel et bien étoffé même si les formes sommaires, la ligne expressive et la liberté du geste plastique, propres à elle, se situent assez loin d’exercices académiques. La simplicité extrême de moyens d’expression des œuvres de Ekaterina Posetselskaya, qui se combine avec leur expressivité exquise, fait apparaître ses liens avec de tels grands noms de l’Ecole de Paris comme Maurice Utrillo et Albert Marquet, tandis qu’une note de mineur qui prévaut dans l’œuvre de l’artiste met à nu ses racines spirituelles pétersbourgeoises avec leur penchant pour la vision métaphysique du monde.
Dmitri SEVERUKHINE Docteur en arts plastiques, critique d’art
Ekaterina Posetselskaya
Elle est une peintre russe, née à Leningrad (Saint-Pétersbourg) en 1965.
En 1988, elle est diplômée « avec les honneurs » de l’École supérieure des arts appliqués Moukhina (aujourd’hui Académie des arts du Baron Stiglitz). Elle réalise des illustrations de livres pour différentes maisons d’édition de Saint-Pétersbourg et de Moscou (Vita Nova, Azbuka, Lenizdat, Detgiz). La plupart de ses dessins sont destinés à la littérature pour enfants, mais elle illustre également les œuvres des grands écrivains du XXe siècle, comme Varlam Shalamov, Konstantin Vaguinov, Marina Tsvetaïeva ou Joseph Brodskij. Ekaterina Posetselskaya peint beaucoup, sur toile ou sur papier, avec une prédilection pour les pastels sur carton, qu’elle expose régulièrement en Russie et en France.
Elle est membre de L’Association des artistes russes depuis 1991, de L’Association internationale des critiques d’art (AICA) depuis 1996, et membre de la Fédération internationale des artistes (IFA) depuis 2011. L’artiste participe aux nombreuses expositions en Russie et en France, dont « Salon du dessin et de la peinture à l’eau » au Grand Palais, Paris, ou, en 2013, elle reçoive le Prix Maxim Juan. Les tableaux d’Ekaterina Posetselskaya se trouvent aussi dans les collections de différents musées :
o Musée du Drapeau Russe, Paris, France,
o Musée des beaux-arts de Petrozavodsk, Russie,
o Musée de la culture du Nord Russe de l’Arkhangelsk, Russie,
o Musée de l’Hermitage-Vyborg, Russie,
ainsi que dans des collections privées en Russie, France, Allemagne, Israël,
Etats-Unis…etc.
Vernissage le mardi 13 septembre 2015 de 18 à 21 heures
IG gallery
12, rue Durantin 75018 Paris
Métro: Abbesses, ligne 12/bus 95 et 80
Ouverture de la Galerie du mardi au samedi de 16 à 19 heures
La laque est une technique très ancienne, dont l’usage remonte à 3000 ans avant notre ère. C’est la sève des arbres de la famille des Anarcardaciées qui produit cette résine aux remarquables propriétés : souple, adhérente, durable, résistante et imperméable. On trouve aussi aujourd’hui de nombreuses peintures dites « laquées », qui reproduisent l’aspect brillant et riche en couleurs de la laque naturelle. Les propriétés exceptionnelles de la laque ont été remarquées très tôt par les Chinois, qui ont élevé son utilisation de la laque au domaine des arts décoratifs. La technique artisanale de création de laques (nom donné aux objets faits de laque) s’est également importée en Europe à partir du 17e siècle, et a connu un nouvel engouement lors de la période Art Déco au début du 20e siècle.
La laque a également pris ses lettres de noblesse au sein de l’artisanat russe. C’est au début du 19e siècle que la tradition de peindre des boîtes en papier-mâché laquées aurait vu le jour dans le village de Fedoskino, l’un des 4 grands centres de peinture sur laque en Russie. Cette tradition s’ancre dans une autre des grandes spécialités russes, la peinture d’icônes. Alors que les icônes limitaient généralement les artistes aux représentations religieuses, les boîtes laquées ont permis le développement d’une imagerie plus variée, allant des thèmes de la vie courante aux contes de fées. Déjà bien implanté, l’artisanat de boîtes laquées prend un nouvel élan lorsque la Russie impériale s’éteint. La peinture d’icônes devient en effet sous-employée avec l’ascension du régime communiste, et de nombreux artisans créateurs se reconvertissent dans la création d’autres œuvres aux techniques similaires, et en particulier dans l’art de la laque. Comme les maîtres d’autrefois, les artistes contemporains peignent à la détrempe, confectionnent leur couleurs à base de jaune d’oeuf et dessinent avec un pinceau fait de poils d’écureuil, sur du papier maché, plusieurs couches du carton collé qui sont bouillis dans l’huile de lin, puis à plusieurs reprises séchées au four.
La tradition russe de la laque s’incarne au travers de 4 écoles principales, qui correspondent à 4 villages : Fedoskino, Kholoui, Mstiora, et Palekh.
Fedoskino (Федо́скино)
Considéré comme le plus ancien centre de peinture sur laque ; situé à 40km au nord de Moscou, ce village se fait connaître dès le début du 18e siècle pour ses boîtes en papier-mâché laquées de grande qualité.
L’une des principales spécificités de cette école est de choisir des sujets généralement réalistes à la fois dans leur composition et dans l’exécution des détails.
Parmi les thèmes de prédilection de l’école Fedoskino, on retrouve toute une variété de scènes de la vie paysanne, ainsi que d’objets typiques tels que le samovar ou la troika.
Fedoskino se distingue aussi par l’usage de la peinture à l’huile, qui est préférée à la tempera, contrairement aux autres écoles.
Peintre du centre Fedokino décorant une boîte en papier maché.
La peinture à l’huile est appliquée en plusieurs couches, et on y ajoute des détails en nacre, en or, ou en feuille d’argent pour créer des effets brillants. Les premières marques de ces produits sont apparuent à l’usine de Petr Lukutin, qui en a hérité en 1824.
Kholoui (Холуй)
L’école a été fondée à la fin du 19e siècle, et est très liée à la tradition de peinture d’icônes. L’atelier de production de Kholoui était en effet spécialisé dans la production d’icônes, mais avec la fermeture des églises après la révolution russe, une transition forcée s’est opérée, ce qui a finalement donné lieu au développement de très belles œuvres d’art.
Les artistes de cette école utilisent la peinture à la tempera. Les sujets principalement dépeints sont des scènes de contes de fée et d’histoire populaires russes, ainsi que des représentations de villes.
Le style de l’école de Kholoui est souvent jugé plus réaliste que celui de Mstiora et de Palekh, avec par ailleurs une utilisation fréquente de couleurs chaudes (jaune, bruns, rouge).
Mstiora (Мстера)
La troisième grande école de peinture sur laque est celle de Mstiora, petit village situé à proximité de Kholoui. L’école de Mstiora privilégie la peinture à la tempera, et son style se caractérise par une grande attention portée aux paysages, souvent très élaborés.
Les couleurs pastels se retrouvent fréquemment dans la peinture sur laque de Mstiora, ainsi que les ornementations florales, souvent dorées.
Palekh ( Палех )
Enfin, la quatrième école son histoire est similaire à Kholoui et Mstiora : village réputé pour ses icônes, Palekh s’est reconverti dans la création de boîtes en papier-mâché laqué au début du 20 siècle.
La peinture sur laque de Palekh se distingue par un fond souvent laissé tel quel pour qu’apparaisse la laque noire (on appelle ce fond non peint le « plein air »).
Miniature du Conte russe Sadko
Les thèmes de prédilection de l’école de Palekh sont les contes de fée : on retrouve par exemple souvent Ivan Tsarévitch dans sa quête de l’Oiseau de Feu.
Miniature du conte russe l’Oiseau de Feu.
Parmi ses autres spécificités se trouvent l’utilisation de la tempera, et des formes gracieuses, fines et vivement colorées. (Merci à Trésors de Russie)
18 сентября 2016 года состоятся выборы депутатов Государственной Думы Федерального Собрания Российской Федерации седьмого созыва.
Для проведения голосования на территории Французской Республики и Княжества Монако образованыизбирательные участки в Париже, Страсбурге, Марселе, Лионе, Бордо, Байонне и Монте-Карло, которые будут открыты 18 сентября 2016 года с 08.00 до 20.00, а также в Ницце с 11.00 до 17.00.
Ницца
Консульский пункт Генерального консульства России в Марселе:
91 , Promenade des Anglais, 06000 Nice
ВНИМАНИЕ: часы работы избирательного участка: 11.00 – 17.00 Бордо
Salle Municipale Espace Malbec, 250 rue Malbec, 33800 Bordeaux (Почетное вице-консульство России в Биаррице)
La Russie revit après un hiver éprouvant qui aurait pu la faire disparaitre. Après l’effondrement soviétique et la pérestroïka, elle a traversé dans les années 90 une décennie cauchemardesque où l’État a pratiquement cessé d’exister. Peu de gens en Occident ont idée de ce que ces années furent pour la Russie.
Les actifs de l’État et des grandes sociétés étatiques furent privatisés et rachetés par des hommes d’affaires sans scrupule. Ceux qu’on appellera les « oligarques » prirent le contrôle de pans entiers de l’économie dans les secteurs stratégiques, industriels ou financiers. Dans une atmosphère de corruption généralisée, le pays fut livré aux mafias qui le transformèrent en gigantesque zone de non-droit où règlements de comptes et enlèvements étaient devenus monnaie courante…..
Alexandre Latsa est un Français qui travaille et réside en Russie depuis 2008 comme chef d’entreprise. Dirigeant de l’agence de conseils en Ressources Humains et recrutement ATSAL, écrivain et analyste, blogueur, commentateur, il est également l’auteur de livres en anglais et en russe. Dans cet ouvrage, le premier en langue française, il témoigne, chiffres à l’appui, sur la réalité russe d’aujourd’hui, bien éloignée des clichés habituels véhiculés par les médias français. Un Printemps Russe aux Editions des Syrtes, est de ce point de vue, un livre salutaire, appelant à la réconciliation continentale, et proposant pour la France et l’Europe, un nouveau modèle de civilisation.
Il dédicacera son livre l’issue de la Rencontre.
Il participera à l’émission de Nicolas Tikhobrazoff “Le Journal des Collectionneurs” sur Radio Courtoisie de 12h à 13h 30 le même jour
Association Dialogue Franco-Russe
120, avenue des Champs Elysées
75008 Paris – FRANCE
Nous avons le plaisir de vous annoncer la reprise de nos cours de russe, des cours de français pour les russophones, de l’école Datcha Shkola et de toutes nos nombreuses activités et ateliers !
Tous les cours commencent la semaine du 19 septembre
Vous pouvez consulter les calendriers, les horaires et les adresses de toutes ces activités sur le site www.datcha-kalina.com
D’octobre à juin la chorale se réunit trois lundis par mois pendant 1h30 sous la direction de Florence Croisy chef de chœur de l’atelier de polyphonie Malinka.
Les cours débutent en octobre 2016: 3, 10, 17 octobre
Ateliers d’écoute et cours d’histoire de la musique “Aventure musicale”
DATCHA KALINA propose une nouvelle antenne de MUSIQUE CLASSIQUE – ateliers d’écoute et cours d’histoire de la musique pour tout public – animée par ELENA DOLGOUCHINE, conférencière et interprète.
Qu’est ce qu’on entend dans la musique classique? Et comment doit-elle être écoutée? Faut-il écouter les mélodies ou les timbres? L’orchestre ou le soliste ? Nous trouverons quelques clés pour une écoute plus approfondie et pour plus de plaisir avec la musique ! Une aventure dans l’histoire des chef-d’œuvres et à l’intérieur de nous même.
Datcha Kalina vous invite à la première rencontre franco-russe autour du samovar pour communiquer dans ces deux langues.
Le club de conversation est proposé aux élèves de FLE et de russe de notre association mais aussi à toutes les personnes qui souhaitent pratiquer ces deux langues.
Adresse : 1 rue Emile Tavan, 13100, Aix-en-Provence
Entrée gratuite pour les adhérents Datcha Kalina
Chaque participant apporte un petit plat pour accompagner notre thé.
LE MONDE DU SPORT À TRAVERS LE REGARD DE NATALIA CHEVTCHENKO
Le Centre culturel et scientifique de Russiea le plaisir de vous convier le 16 septembre 2016 à partir de 19h00 à l’ouverture de l’exposition « SPORT – MOUVEMENT » en présence de l’artiste
Le pouvoir de fascination du sport – où beauté du spectacle, force de caractère, volonté de vaincre et émotion irrépressible fusionnent et déclenchent un élan de passion – ne s’exerce pas seulement sur les fans et les supporters. Le sport est également une source d’inspiration pour les peintres.
Dans la lutte sportive, Natalia CHEVCHENKO voit, derrière l’esthétique du jeu, le combat sans pitié de l’homme mène pour s’imposer dans le monde. Le taureau représenté sur ses toiles symbolise la force de la nature. L’animal poursuit l’homme, l’obligeant à accomplir des exploits sportifs.
Le travail de Natalia se caractérise par un style laconique, des lignes sèches et des taches de couleur qui soulignent la dynamique du sujet et de la composition. Les coloris des tableaux évoquent l’Antiquité. Ce sont l’ocre de la terre, l’azur du ciel et le bleu de la mer, le rouge de la passion et du feu.
L’exposition comporte une cinquantaine d’œuvres réalisées dans un style naïf. L’artiste présente en toute indépendance et avec expressivité sa relation avec le monde et cherche à traduire au moyen de la couleur sa vision personnelle de la plastique du mouvement, de la personnification de la force ainsi que sa conception de la beauté. La collection fait partie du cycle pictural que l’artiste a largement développé dans son travail, intitulé «Mouvement».
Natalia CHEVCHENKO est membre de l’Union des peintres de Russie. Elle signe ses tableaux sous le pseudonyme de NATAN. Née en 1974 à Léningrad, elle vit et travaille actuellement à Krasnodar (sud-ouest de la Russie). Ses œuvres connaissent un engouement sans cesse croissant auprès des amateurs de peinture. Elles sont exposées dans une vingtaine de musées en Russie et à l’étranger et certaines se trouvent dans des collections privées. Le pouvoir de fascination du sport – où beauté du spectacle, force de caractère, volonté de vaincre et émotion irrépressible fusionnent et déclenchent un élan de passion – ne s’exerce pas seulement sur les fans et les supporters. Le sport est également une source d’inspiration pour les peintres.
Dans la lutte sportive, Natalia CHEVCHENKO voit, derrière l’esthétique du jeu, le combat sans pitié de l’homme mène pour s’imposer dans le monde. Le taureau représenté sur ses toiles symbolise la force de la nature. L’animal poursuit l’homme, l’obligeant à accomplir des exploits sportifs.
Après son exposition à Luxembourg, la collection sera présentée au Musée national du Sport de Russie en novembre 2016 et au Musée du Premier Président de la République du Kazakhstan en janvier 2017.
“Couleurs d’automne dans les vignes … La nature nous offre chaque année à l’automne, un arc en ciel de couleurs. C’est dans les vignes, que je vous convie à contempler ce changement qui s’opère lentement. En général le paysage se pare de jaune assez vite après les vendanges, mais la douceur de la météo peut retarder cette métamorphose et le feuillage reste encore tout à fait vert jusqu’à mi-octobre. Les premières traces du jaunissement apparaissent mi-novembre, s’accentuant un peu plus, chaque jour. Dans un dernier effort la vigne s’habille au couleur du Sang et Or, avant de s’assoupir jusqu’au printemps“… Larissa Noury, Ambassadrice de la République de Montmartre. Présidente de Couleur-Espace-Culture CEC (CLIQUEZ)
Voir sur le site d’Artcorusse dans la rubrique artistes contemporains
Médaille d’ambassadeur de la République de Montmartre.
Plus de renseignements sur le Musées du vin: (CLIQUEZ)
Musée du Vin Paris
5 square Charles Dickens – Rue des Eaux – 75016 Paris
Métro: Passy
Réservation souhaitée pour le 26 septembre: 01 45 25 63 26
Michail ROGINSKY, Peter-Bock SCHROEDER, Antanas SUTKUS, Vaclovas STRAUKAS, Philippe TARABELLA, Igor SAVCHENKO, Sergey MAXIMISHIN, Igor MOUKHIN, Evgeny MOKHOREV, Vadim GUSCHIN, Galina CHIRIKOVA, Oleg DOU, Manon BARA, Anastasia BOLCHAKOVA, Ivan TUZOV, Evgenija KROLL, Danila TKACHENKO, Margo OVCHARENKO, Maria YASTREBOVA, Nicolas TOLMACHEV
Expositoin en collaboration avec Madame Mony LINZ-EINSTEIN
et sa mythique galerie EPOCA
Ouverte en 2007 à Paris par Liza Fetissova, Russiantearoom, dès ses débuts, présente et représente les photographes Russes contemporains.
Pour sa première exposition de la rentrée 2016 , “De la part de babouchka“, Russiantearoom mélange, dans une histoire imaginaire mais possible, les genres et les époques et raconte le destin fictionnel d’une babouchka, avec des œuvres, à travers des œuvres.
Russiantearoom est très honorée de pouvoir y inclure une œuvre de Michail ROGINSKY (1931-2004), peintre moscovite qui a passé 30 ans à Paris et laissé un patrimoine d’oeuvres muséales.
Mikhail Roginsky (1931 – 2004) est un artiste exceptionnel russe, l’un des leaders de Moscou de l’art non-conformiste, et le créateur de la méthode visuelle nationale moderne, avec ses moyens laconiques et expressivité intérieure. Signalé par quelques-uns dans les années 1960, Roginsky passe pour être l’une des figures les plus importantes de Moscou sur la scène artistique. Mikhail Roginsky est célèbre pour ses peintures de genre imbus de sentiments existentiels profonds. Ses œuvres incarnent le retour aux années 60: ils dépeignent les gens avec des visages flous et des proportions légèrement déformées, les gens un peu maladroits, mais ayant les deux pieds sur terre. Les peintures de Roginsky sont nostalgiques, et ils font réfléchir sur le destin de l’humanité plutôt que le destin de l’art.
Oleg DOU “Fake tears”, 2016
1/10, 50×70 cm, tirage jet d’encre
Nous présentons également une nouvelle œuvre d’Oleg DOU, une nature morte consacrée à sa grande mère. Et Russiantearoom exposera pour la première fois le travail de 7 nouveaux artistes qui intègrent la galerie : un extrait de la très acclamée série ‘Restricted Areas’ de Danila TKACHENKO, primée, entre autres, du Book Publishers Award à Arles en 2015
Danila TKACHENKO « Le plus grand sous-marin du monde. Russie », 2013
11/12, 40 x 50 cm, tirage jet d’encre
Vadim GUSHIN, et ses nature mortes – souvenirs :
Vadim GUCHSHIN «Circle of reading»
7/10, 40 x 60 cm, tirage jet d’encre
;Les nus d’Evgenija KROLL ; le pixel art ironique d’Ivan TUZOV ; des aquarelles intimistes de Nicolas TOLMACHEV .
Les peintures énergiques de la française Manon BARA
Manon BARA « Figues fraîches », 2015
100×70 cm, peinture laquée sur toile
Margo OVCHARENKO “Sans titre”, 2015
1/5, 74×60 cm, tirage jet d’encre
et les photographies du promeneur parisien Philippe TARABELLA.
Théâtre des Champs Elysées sous la direction d’Yuri Temirkanov
avec Jean-Yves Thibaudet piano
De Stravinsky à Ravel, ou l’évidente résonnance entre musique russe et française au début du XXe siècle
Jeudi 10 novembre 2016 à 20h
Stravinsky Petrouchka Ravel Concerto pour piano en sol majeur La Valse
Second concert pour l’Orchestre Philharmonique de Saint Pétersbourg et son directeur Yuri Temirkanov avec cette fois-ci une « soirée parisienne » illustrée par le Petrouchka de Stravinsky et Ravel. Les deux musiciens se connaissaient et évoluaient dans le même cercle artistique du Paris du début du XXe siècle. Stravinsky triomphait alors avec les Saisons des Ballets Russes (Petrouchka fut créé en 1911 au Châtelet) et Ravel dominait, avec Debussy, la musique française. L’œuvre pour piano de Ravel accompagne Jean-Yves Thibaudet depuis très longtemps. Lucette Descaves, son professeur au Conservatoire, était très proche du musicien et avait eu à cœur de transmettre à ses jeunes élèves son admiration pour ce dernier. Quelques années plus tard, Jean-Yves Thibaudet gravait une intégrale de son œuvre pour piano qui reste aujourd’hui encore parmi l’une des meilleures références.
Depuis vingt-cinq ans, le chef d’orchestre russe préside aux destinées de l’Orchestre philharmonique de Saint-Pétersbourg. Entre tradition musicale et liens avec le pouvoir, il fait rayonner cette superbe phalange dans le monde entier. Il est l’invité privilégié du Théâtre des Champs Elysées où il se produit tous les ans depuis 1990, l’Orchestre philharmonique de Saint-Pétersbourg considéré comme l’ambassadeur de la culture russe. À l’instar de l’autre institution pétersbourgeoise, le Théâtre Mariinsky, qu’il dirigea dix saisons avant que Valery Gergiev lui succède en 1988.
Orchestre philharmonique de Saint Pétersbourg.
Fondé en 1882 par Alexandre III sous forme de chœur auquel Nicolas II adjoint un orchestre, l’Orchestre Philarmonique de Saint Pétersbourg s’est produit avec des chefs réputés, comme Richard Strauss, Alexandre Glazounov, Serge Koussevitzky. Mais c’est Mravinski qui en a forgé la réputation. Tout comme son glorieux aîné, Yuri Temirkanov semble devoir y finir sa carrière. « J’ai été nommé par l’État pour cinq ans renouvelables. Quand on prend les rênes d’un tel orchestre à 50 ans, faire changer de point de vue ses musiciens est difficile. Il leur est arrivé de s’opposer à mes idées, mais aujourd’hui, tout se passe bien. Sinon je ne serais plus en poste depuis longtemps ! »
Théâtre des Champs-Elysées
15 avenue Montaigne
75008 PARIS
Téléphone réservation 01 49 52 50 50
Métro station Alma-Marceau (ligne 9) ou Franklin-Roosevelt (ligne 1) RER station Pont de l’Alma (ligne C) Bus lignes 42, 63, 72, 80, 92
Station de taxi Place de l’Alma, angle avenue George V Station Vélib’ en face du Théâtre
“Le divertissement du Roi” plonge le spectateur dans l’univers de Diana Vishneva. En guise de premier acte, elle a choisi trois ballets signés par trois chorégraphes contemporains de renommée internationale : Mauro Bigonzetti pour VERTIGO, Vladimir Varnava pour CLAY et Jean-Christophe Maillot pour SWITCH. Le Directeur-Chorégraphe des Ballets de Monte-Carlo avait d’ailleurs été le premier témoin de l’éclosion du talent de Vishneva : en 1994, il présidait le jury du prestigieux Prix de Lausanne qui cette année distingua l’étoile montante russe !
Impressionné par le talent de la jeune danseuse, le jury du Prix de Lausanne lui décerna –fait unique dans l’histoire des concours- à la fois la Médaille d’or et le Grand Prix… Dix-huit ans après, ils se retrouvent pour créer Switch, une réflexion magnifique et intense sur l’amour et la haine où Jean-Christophe Maillot ne se limite pas à mettre en valeur ses capacités physiques, il explore des aspects inédits de la personnalité de Vishneva. La star russe dans une robe scintillante signée Karl Lagerfeld “devient l’incarnation de la danse par la perfection”.
Acte II, le public découvrira alors Diana Vishneva dans le rôle du… Roi Louis XIV ! La première mondiale de ce ballet a eu lieu au Theatre Mariinsky en mars 2015. La chorégraphie exquise du jeune et talentueux Maxim Petrov et les décors inspirés par les gravures des architectes du XVIIéme siècle Jean Berain et Ludovico Burnacini ont suscité l’enthousiasme du public de Saint-Pétersbourg.
Djana Viktorovna Vichneva (en russe : Диана Викторовна Вишнёва, transcription anglaise : Diana Vishneva), née le 13 juillet 1976 à Saint Pétersbourg, est une danseuse russe. Elle est étoile de la compagnie du Théâtre Mariinsky et également étoile du American Ballet Theatre
Aux côtés de Diana Vishneva évoluent les premiers danseurs du Théâtre Mariinsky : Victoria Brileva, Zlata Yalinich, Julia Kobzar, Maxim Zuzin, Aleksey Nedviga, Vasily Tkachenko, Soslan Kulaev, Evgeny Konovalov, Aleksandr Saveliev et Denis Zaynetdinov.
Durant sa carrière Diana Vishneva a reçu plusieurs récompenses. Elle est artiste du peuple de la Fédération de Russie, lauréate du Prix Benois de la danse, du Prix Golden Sofit, de six Masques d’Or, du Prix de l’Etat de la Fédération de Russie.
ARCHITECTURE PASSIONS 40 années de création de WILMOTTE & ASSOCIÉS 17 septembre 27 novembre,
Espace Richaud à Versailles
Avec la réalisation du
Centre Spirituel et Culturel Orthodoxe Russe
Pour la première fois en France, du 17 septembre au 27 novembre 2016, une exposition est consacrée à l’agence d’architecture Wilmotte & Associés et au studio de design Wilmotte & Industrie. Sur 1000 m² et trois niveaux, dans une chapelle du XVIIIe siècle réhabilitée au cœur de Versailles, seront présentés les projets emblématiques de l’agence, qui en mène actuellement plus de 100 dans 27 pays : stades, tours, musées, chais, design, projets urbains, etc. Et en exclusivité, le Centre Spirituel et Culturel Orthodoxe Russe et la halle Freyssinet, rebaptisée Station F, qui seront respectivement inaugurés au mois d’octobre 2016 et au mois de janvier 2017. L’exposition offre une opportunité unique de découvrir les activités de l’agence et de ses 230 collaborateurs, illustrée par une sélection de croquis et de maquettes ainsi que les initiatives de la Fondation d’entreprise Wilmotte.
“Pour le tournage d’un court-métrage réalisé par Michael Wahrmann et produit
par KinoElektron, nous recherchons un comédien russophone ayant entre 30 et 50
ans pour un tournage début octobre.
Le tournage sera à Strasbourg – voyage et logement défrayé bien sûr – les 5, 6 et 7 octobre (il y aura quelques répétitions à Paris avant) et sera rémunéré au SMIC horaire selon la convention collective du court-métrage.
Merci d’envoyer vos coordonées, âge, photo et si possible bande démo sur iris@kinoelektron.com.
Le réalisateur russe Andreï Konchalovsky et l’actrice Yuliya Vysotskaya lors de la première du film “Paradise” à Venise, le 8 septembre 2016 (AFP/TIZIANA FABI)
C’est l’histoire de trois personnages: Olga, une aristocrate russe engagée dans la Résistance française (Yuliya Vysotskaya), Jules, un collaborateur français (le Français Philippe Duquesne) et Helmut, un officier allemand de haut rang (Christian Clauss).
Certains veulent sauver des vies, d’autres veulent les condamner.
Grâce à une mise en scène originale, Konchalovsky fait alterner des scènes de leur vie à la fin de la guerre, avec des entretiens de chacun d’eux depuis un hypothétique paradis, d’où ils évoquent, face à la caméra, les événements qui les ont conduits à la mort.
Andreï Sergueievitch Mikhalkov, ditAndreï Kontchalovski (en russe: Андрей Кончаловский ; parfois transcrit Andrei Konchalovsky à l’anglo-saxonne, du fait de sa carrière hollywoodienne), né le 20 août 1937 à Moscou, scénariste, réalisateur, producteur, acteur et compositeur soviètique puis russe. Il n’a jamais quitté Venise sans un prix. Ceci est son cinquième participation au festival.
Parmi les plus grands festivals de cinéma en Europe, outre ceux de Cannes et de Berlin, la 73ème Mostra de Venise. Qui a rendu hommage ces derniers jours à Jean-Paul Belmondo, pour sa carrière.
Le palmarès de cette édition 2016 vient d’être dévoilé. Au vu de l’accueil critique, il paraissait peu vraisemblable de ne pas retrouver la production américaine La La Land de Damien Chazelle parmi les primés. Prix d’interprétation au final.
Pour rappel, le metteur en scène et scénariste Sam Mendes présidait le jury, composé entre autres de Chiara Mastroianni, Laurie Anderson, Zhao Wei, Lorenzo Vigas (Lion d’or pour le meilleur film l’an dernier).
Lion d’or pour le meilleur film : Ang Babaeng Humayo, film philippin de Lav Diaz.
Lion d’argent pour la réalisation : La region salvaje d’Amat Escalante (Mexique) / Paradise d’Andrei Konchalovsky (Russie).
Grand Prix du Jury : Tom Ford pour le long-métrage américain Nocturnal Animals (avec Jake Gyllenhaal).
Prix spécial du jury : le film américain The Bad Batch, de Ana Lily Amirpour.
Scénario : Noah Oppenheim pour Jackie de Pablo Larrain (avec Natalie Portman).
Trophées de la meilleure interprétation : Emma Stone dans La La Land et Oscar Martinez dans le film argentin El Ciudadano Ilustre.
Révélation : Paula Beer dans le film français Frantz, de François Ozon.
15h: Conférence ” Les Russes à Meudon” par Andreï Korliakov, historien et spécialiste de l’immigration Russe.
16h30: Visite guidée de la “Chapelle St Georges” et goûter russe.
17h: Départ de la Place Stalingrad pour la visite de l‘Eglise Orthodoxe de la Résurection (8 r. des Bigots) suivi d’un goûter dans les jardins de l’Église.
Quelques transformations sont faites : une chapelle byzantine est créée dans ce qui était autrefois une serre. La cour vitrée devient une bibliothèque riche de 100 000 ouvrages en langues slaves.
Fresque extérieure de St Georges.
L’effigie de saint Georges est toujours visible sur le mur extérieur de la chapelle. À l’intérieur, des fresques sont peintes par le Père Igor (Egon Sendler) spécialiste mondialement reconnu de l’art de l’icône.
Père Igon Sendler S.J.(1923-2014)
A la chute de l’URSS et la fin des persécutions religieuses, l’Internat Saint-Georges perd progressivement de son attrait, car les jeunes Russes préfèrent aller étudier directement en Russie, plutôt qu’à Meudon. C’est pourquoi, les pères Jésuites vendent cette propriété en 2002 à la municipalité de Meudon , échappant aux promoteurs grâce aux anciens russes de l’internat.
Présentation de quatres sites:
Maison de la poétesse Marina Tsvetaeva (31 Bd Verd de St Julien)
Datcha typique de l’architecture russe (14 av. du Château)
Maison où vécut le musicien M. Medtner (20 av. du Château)
Maison où a joué Igor Stravinsky avec Claude Debussy (17 r. des Capucins)
Fin vers 19h.
Pour le bonne marche de cette apm RÉSERVATION avant le 15 septembre:
Les Instants de bonheur à Bougival, ce sont les paysages et parcours impressionnistes, les bords de Seine, les écluses, les vestiges de la Machine de Marly, l’église Notre-Dame et son orgue monumental, la maison de Bizet, la propriété “La Garenne”, le p’tit bal au Nautic Park et la datcha de Tourguéniev…
Bougival vous offre un riche menu historique et patrimonial à deux pas de Paris !
Yvan Tourgueniev (1818 – 1883).
Le plus européen des écrivains, qui parle couramment le russe, le français, l’anglais, l’espagnol et l’allemand, entretient une correspondance avec toutes les grandes figures de l’époque. En France, il est très lié avec George Sand, Renan, Daudet, Zola, Maupassant et il est le meilleur ami de Flaubert.
Sa célébrité, immense au 19e siècle, est aujourd’hui un peu éclipsée par celle de Pouchkine, Tolstoï ou Dostoïevski. C’est pourtant lui qui traduisit et édita leurs oeuvres en France pour les faire connaître.
Il n’est pas surprenant que ce jeune et beau poète ait été fasciné par Pauline Viardot, qui, lors de sa première
tournée à St Pétersbourg, eut tous les Russes à ses pieds. Ce qui l’est davantage, c’est que cet amour ait duré 40 ans, que Tourgueniev se soit attaché à toute la famille Viardot et que, partout où Pauline s’installait, Tourgueniev suivait.
Datcha d’Ivan Tourguéniev
16, rue Yvan Tourgueneff
78380 Bougival
Musée ouvert samedi 17 et dimanche 18 septembre de 10h à18h
Visite guidée : 11h30 & 16h30 (samedi & dimanche) Tarif exceptionnel JEP : 3 euros
Par la route : par la Nationale 13 ou la A86 (sortie Rueil) ou A13puis la Nationale 186 afin de rejoindre la Nationale 13 en direction de Rueil-Bougival.
Le Musée se situe à mi-coteau, derrière l’Hôtel Holiday Inn.
Résidence de l’Ambassadeur de la Fédération de Russie
“Corps Expeditionnaire Russe en France”
19 au 23 septembre 2016
Le Corps expéditionnaire russe, cent ans de légende
Au cours de l’année 1916, quatre brigades du Corps expéditionnaire russe, soit 45 000 guerriers dont 750 officiers, ont été dépêchés en France pour s’engager dans les combats de la Première Guerre mondiale aux côtés des Alliés. A l’occasion du centenaire de l’événement, Gérard Gorokhoff, auteur de deux ouvrages sur cette force de l’armée impériale russe, à revenir sur les grands temps de leur mission en France et à Salonique, effectuera une visite guidée de l’exposition.
À la suite d’une demande du gouvernement français qui propose à l’Empire russe du matériel de guerre contre l’envoi d’hommes en France l’état-major russe du général Alekseïev forme en janvier 1916 la 1re brigade spéciale d’infanterie, composée de deux régiments1(fort chacun de trois bataillons), sous le commandement du général-major Nikolaï Alexandrovitch Lokhvitski. Par voie ferrée les 8 942hommes rejoignent Dalian, sur le golfe de Corée, où ils montent à bord de navires français (dont le Latouche-Tréville, L’Himalaya…) qui les emmènent à Marseille qu’ils atteignent le .
En juillet 1916 la 2e brigade spéciale d’infanterie, commandée par le général Dieterichs, est envoyée via la France sur le front de Thessalonique.
La 3e brigade spéciale d’infanterie fut formée en juin 1916 et envoyée en France au mois d’août via le port d’Arkhangelsk. Elle est commandée par le général V. Marouchevski.
Enfin, la 4e brigade spéciale d’infanterie commandé par le général-major Maxime Leontiev fut envoyée en Macédoine, reliant d’abordBrest à bord du paquebot Lorraine et arrivant finalement à Salonique en octobre 1916.
Visites guidées par Gérard Korokhoff du 19 au 23 septembre sur inscription.
Ouverture exceptionnelle dans le cadre des Journées Européennes du Patrimoine 2016 les 17-18 septembre 2016
Sur rendez-vous les autres jours : k.pakhorukov@mail.ru
Hôtel d’Estrées – Résidence de l’ambassadeur de Russie
Hôtel particulier à trois étages avec jardin à la française, salons d’apparat et cour d’honneur pavée, construit par Robert de Cotte, architecte de Louis XIV, pour la duchesse d’Estrées, veuve du maréchal de France. Il a été acquis en 1863 comme propriété de l’État Russe et remanié pour les besoins de l’ambassade. C’est là que le dernier empereur de toutes les Russies, Nicolas II, et l’Impératrice Alexandra, résidaient lors de leur première visite officielles en France du 5 au 9 octobre 1896. Après la révolution de 1917, cet hôtel ne redevint ambassade qu’en 1924, lorsque le gouvernement d’E.Herriot rétablit les relations diplomatiques avec l’URSS.En 1924 la France reconnaît l’URSS et exprime son intention de procéder rapidement à un échange d’ambassadeurs. Alors, l’ambassadeur Vassili Maklakov, nommé en 1917 par le Gouvernement provisoire, quitte la rue de Grenelle en emportant avec lui les archives et les reliques impériales.
Trône de Nicolas II
Par la suite, il cédera le trône, des portraits du Tsar, des peintures et des antiquités à la maison russe de Sainte-Geneviève-des-Bois, fondée en 1927 par la princesse Meshcherskaïa, où ils se trouvent encore aujourd’hui.
En 1977, la chancellerie de l’ambassade fut transférée dans un édifice moderne du 16e arrondissement boulevard Lannes et l’hôtel, devenant résidence de l’ambassadeur, subit (en 1981-1982) une restauration complète lui redonnant son décor d’origine.
Hotel d’Estrées, Gravure (1896). Crédit : Maria Tchobanov
L’ambassade de la Fédération de Russie à Paris, a ouvert, le mardi 6 septembre, ses portes à un très large public, dont une vingtaine d’adhérents d’Artcorusse, invités à assister à une première en France du théâtre de la jeunesse de Moscou de Viaceslav Spesivstev, théâtre qu’il a fondé en 1987 qui a présenté un nouveau Molière en interprétant le spectacle musical « Les fourberies de Scapin » en russe.
Viaceslav Spesivstev a chauffé la salle avec des colibets et faisant participé les spectateurs, prenant à partie certains d’entre eux. Il a déclaré : “Les jeunes d’aujourd’hui ne comprennent souvent pas la langue de théâtre classique (Shakespeare, Molière), exigeant un arrangement à un langage plus moderne et plus dynamique”.
La salle était comble d’un public de tous âges, majoritairement russe ou parlant le russe, puisque le spectacle était dans la langue de Pouchkine. On a pu admirer les magnifiques costumes, l’originalité inattendue des décors ainsi que le texte de Molière traduit en vers, par Vladimir Sergueev président de « Glagol »
Cette première à Paris est une interprétation originale et poétique de la comédie en prose de cette pièce de Jean-Baptiste Poquelin dit Molère.
Cette comédie du XVIIe siècle raconte l’aventure d’un escroc, le fripon Scapin doué d’un esprit fin, de hardiesse et d’une capacité à se sortir de toutes sortes de situations.
Le jeu des jeunes artistes était digne des spectacles des plus grandes scènes de Paris de Londres ou de New-york. Plus d’une heure d’un spectacle où se sont entremêlés déclamations, chants à l’italienne, danses, comédia del Arte et scènes comiques.
On a pu remarquer principalement le rôle de Scapin, ainsi que le ton vrai du jeu de cette jeune troupe de théâtre.
Une ovation fut faite aux artistes qui dura plusieurs minutes avec la remise de bouquets de fleurs. L’organisatrice de cette soirée Natalia Medvedeva, Présidente d’Art-Debout remercia les instances de l’ambassade pour avoir prêté cette superbe salle et ouvert l’ambassade.
Du 7 au 17 septembre, l’édition 2016 du Beaulieu Classic Festival se place sous le signe de la virtuosité,
de la jeunesse et du talent avec la présence de lauréats des plus grands concours internationaux.
Le piano sera particulièrement à l’honneur cette année.
De la soirée d’ouverture dédiée au vainqueur du célèbre “Concours Frédéric Chopin” de Varsovie à
la soirée de clôture avec le Sirba Octet, “Choc de la Musique” 2015 du magazine Classica, en passant
par le violoniste français Laurent Korcia qui a remporté les prix Paganini, Jacques-Thibaut…,
Le vainqueur des Masters de Piano de Monte-Carlo Miroslav Kultyshev, ou le retour à Beaulieu du
“Paganini” de la trompette Serguey Nakariakov, la programmation 2016 rassemblera l’élite de
la Musique classique.
Mercredi 7 septembre, 20h
LA ROTONDE LENÔTRE
Avenue Fernand Dunan • Beaulieu-sur-Mer
“Autour de Frédéric Chopin”
Seong-Jin Cho, 22 ans. Vainqueur du Concours
international de piano Frédéric Chopin en 2015 à
Varsovie. Sa venue constitue un événement majeur
pour la région.
Vendredi 9 septembre, 20h
VILLA KÉRYLOS
Impasse Gustave Eiffel • Beaulieu-sur-Mer
“Le Paganini de la trompette”
Serguey Nakariakov, est condidéré comme l’un des
plus grands virtuoses au monde. II revient à Beaulieu
avec Maria Meerovitch au piano.
Dimanche 11 septembre, 20h
CASINO DE BEAULIEU
Avenue Fernand Dunan • Beaulieu-sur-Mer
“Un violon et son âme”
Orchestre Régional de Cannes PACA. Laurent Korcia,
Prix Paganini, Prix Jacques-Thibaut, “soliste de l’année”
aux Victoires de la musique 2012, Grand Prix Charles
Cros. Roman Rechetkine, 16 ans, lauréat du Concours
international Tchaïkovsky pour jeunes.
Mardi 13 septembre, 20h
HÔTEL ROYAL RIVIERA
3 avenue Jean Monnet • Saint-Jean-Cap-Ferrat
“Si Petrouchka m’était contée”
Miroslav Kultyshev, piano. Après le Prix Tchaïkovsky
en 2007, remporte à l’unanimité du jury le Grand Prix
Prince Rainer III lors des Monte-Carlo Piano Masters en
2012. Il est sans conteste l’un des pianistes les plus
doués de sa génération.
Samedi 17 septembre, 20h
AMPHITHÉÂTRE DE LA BATTERIE
Sous la place de la Batterie (Parking) • Beaulieu-sur-Mer
“Soirée de Clôture” – Tantz
Le Sirba Octet, composé de solistes membres de
l’Orchestre de Paris, est assurément l’un des meilleurs
ensembles musicaux européens. Son dernier opus,
“Tantz”, rend hommage aux musiques traditionnelles,
klezmer et tziganes d’Europe
Dîner “Africa Queen” (65€) sur réservation.
Tous les concerts sont suivis d’un dîner (tarifs voir réservation).
OFFICE DE TOURISME DE BEAULIEU-SUR-MER :
tél : 04 93 01 02 21 / télécopie : 04 93 0144 04
office.tourisme@beaulieusurmer.fr / ou sur place
Place Georges Clemenceau • 06310 Beaulieu-sur-Mer
Tarifs concerts: 30€,
Tarifs dîners: mercredi 7 et samedi 17 : 65€, les autres soirs à la carte.
Billetterie en ligne : paiement possible par carte bancaire
(Visa – Mastercard) directement sur le site
beaulieuclassicfestival.com
et FNAC / Carrefour / Géant / Magasins U
0 892 68 36 22 (0,34s/min) • fnac.com
10e Édition du Festival International de Musique d’Hyères
Vadim Tchijik
Né en 1975, il commence à étudier le violon à l’âge de six ans et donne son premier concert à huit ans. Il termine ses études avec la mention « Excellent » à l’Ecole Centrale Spéciale de Musique du Conservatoire Tchaïkovski de Moscou. Ensuite il se perfectionne en France, en Allemagne, et aux Etats-Unis. En 2004 le magazine « Diapason » lui consacre une page intitulée « Déjà Maître » et en 2007 le célèbre magazine « String » lui consacre un entretien exclusif de trois pages.
Le festival international de musique d’Hyères fut créé en 2007 à l’initiative de la Mairie de Hyères, avec le soutien de l’association des amis du festival et le violoniste virtuose Vadim Tchijik , qui en assure la direction artistique. Rendez-vous culturel incontournable des Hyèrois et hôtes de la ville, le festival depuis sa création a accueilli des artistes tels que Marielle Nordmann, Philippe Bernold, Dominique de Williencourt, Vanessa Wagner, François Salque, Yves Henry, mais aussi de nombreux autres.
Programme du 10ème Festival International de Musique
Par Vadim Tchijik, violon; Igor Kiritchenko, violoncelle; Tatiana Kramer, piano
Samedi 17: 20h30 “ La nuit du piano“ , Grieg, Debussy, Rachmaninov, Moussorgski Olga Kirpicheva,
Piano de Romain Hervé et Véra Tsybakov, piano à 4 mains.
Dimanche 18: 11h “Trompette en fête“ Haendel, Bruch, Glazounov, Gershwin … de Luigi Santo,
Trompette, par Daniela Gentile, piano
17h “Hommage un restaurant à Piazzolla“ Quatre Saisons, et célèbres tangos de Philippe Alegre, piano; Chedal par Thomas, bandonéon par Vadim Tchijik, violon; Stéphane Ballot, violoncelle; Romain Hervé, piano
Serguey Ryanzanskiy, cosmonaute russe a séjourné 166 jourts à bord de la Station Spatiale Internationale (ISS) en 2013-2014. Il s’entraine actuellment pour un second vol spatial prévue en 2017. Il a effectué trois sorties dans l’espace pour un tatal de 20h, rendu célèbre à cette occasion pour avoir porté la torche olympique des Jeux d’Hiver de Sotchi de 2014. Il a du 31 mars au 14 juillet 2009 participé à la première mission ( 105 jours) du programme Mars 500, simulant les conditions d’un séjour sur la planète rouge.
Conférences et programme de la journée
11h15- 12h ” Carnet de voyage en astronomie. Michel Deconninck
15h-16h “De l’infiniment grand à l’infiniment petit”. Jean-Marc Virey
16h Dédicace de Serguey Ryanzanskiy
16h15 “De la mer à l’espace” Docteur Peter Weiss
Expositions
Exposition du scaphandre
Exposition sur Mars, ( photos, maquettes …)
Exposition “Mille et un visages de notre système solaire”
Observation des taches et éruptions solaires.
Expositio d’aquarelles astronomiques
Exposition russe philatélique ” Histoire de la conquète spatiale soviètique”
Exposition “SOS Planète Bleue”
Observation du globe terrestre
Auriol à la rencontre de l’Espace
Cité de la Jeunesse
13390 Auriol
Horaires :
de 10h à 23h Informations :
Service jeunesse de la mairie d’Auriol – Cité de la Jeunesse Tél. :
04 42 01 64 60
06 85 34 79 16 Site internet : www.mairie-auriol.fr
Sept films et des rencontres. Un week-end russe organisé par Quand les Russes aiment, avec Univerciné Russe, Russie EtonNantes et France Russie, en présence de Macha Méril et Alexandre Adler.
Vendredi 30 septembre à 21h
Ouverture
Accueil en musique
Ouverture par un représentant de la ville de Nantes, par Caroline Grimault, directrice du ‘Katorza’, Macha Milliard, directrice d’univerciné russe, Michel Brau, président de France Russie, Julie Féougier-Tébenkova, vice-présidente de Russies étonNantes, Pierre Louis Basse, responsable ‘Grands évènements au Palais de l’Elysée’ et Marc Ruscart, président de Rivages Russie évènements.
Une coupe sera offerte au public par Bouvet Ladubay
La nuit du carnaval, sortie 1956, durée 1h17
Une comédie d’Eldar Ryazanov.
présentée par Pierre Louis Basse et Marc Ruscart (Archives).
Avec : Igor Ilinski, Y. Belov, Liudmilla Gourtchenko
Genre : Comédie
“De jeunes employés d’une grande usine, sous la direction de Lena Krylova, sont chargés, par le directeur de la Maison de la culture, de préparer une fête pour la soirée du 31 décembre. Ils s’y mettent avec enthousiasme et talent. Mais le directeur ne comprend rien à toutes leurs innovations et est bien décidé à leur imposer ses propres points de vue. Il faudra des trésors d’imagination à tous ces jeunes pour réussir triomphalement leur fête”.
Eldar Alexandrovitch Riazanov (en russe : Эльдар Александрович Рязанов) est un réalisateur russe, né le 18 novembre 1927 à Samara (ex-URSS), spécialiste des comédies.
C’est le premier film à succès de Riazanov, Lioudmila Gourtchenko y tient son premier rôle et l’interprétation du comédien populaire Igor Ilyinsky est l’un de ses rôles les plus importants. C’est aussi le film qui a comptabilisé le plus d’entrées au box-office soviétique de 1956 avec un total de 48,64 millions de billets vendus.
Samedi 1er octobre à 14h
Le journal de sa femme , sortie 2000 durée 2h.
Un film d’Alexeï Outchitel sur l’œuvre de Bounine.
Débat avec France Russie à l’issue de la projection (Archives)
L’histoire tragique de l’amour et de la solitude … la vie inconnue du grand écrivain russe Ivan Bounine. L’histoire d’amour confus qui impliquait Bounine lui-même, sa femme Vera, un jeune poète Galina Plotnikova, chanteur d’opéra Marga Kovtun et écrivain Leonid Gurov.
Alekseï Iefimovitch Outchitel (Алексей Ефимович Учитель), né à Lénongrad le 31 août 1951, il est producteur et réalisateur russe. Le père d’Alekseï, Iefim Outchitel (1913—1988), est un réalisateur et cameraman soviétique.
Alekseï fait ses études à l’ Institut national de l cinématographie, diplômé en 1975. Sa carrière commence dans le studio des films documentaires de Leningrad. Il se démarque avec le film Rock sorti en 1988 apologie du rock russe où il évoque toute une génération de Soviétiques qui cherchent leur place dans le monde qui change.
Sa société de production est fondée en 1990. En 1992, il revisite le thème de l’underground russe avec la suite du Rock intitulé Le Dernier Héros. Le titre fait référence à l’album éponyme de Viktor Tsoï, l’un des héros du premier volet.
À partir de 1995, Outchitel se tourne vers la fiction avec le film biographique Manie de Giselle, libre interprétation de l’histoire de la danseuse Olga Spessivtsva.
17h00 Romance cruelle1984 2h25
Un film d’Eldar Ryazanov
Présenté par Marc Ruscart (Archives)
“La jeune Larissa reste la derniere des trois filles a marier de la veuve Ogoudalvova qui veut a tout prix la caser. Larissa, jeune et belle, rencontre un brillant armateur dont elle tombe sur le champ amoureuse. Mais son bel amoureux doit retourner a ses affaires.”
20h Le coucou2002 1h39
Une comédie dramatique d’Alexandre Rogojkine
présenté par Macha Milliard et Julie Tebenkova Féougier (Archives)
Septembre 1944, dans la presqu’ile de Kola. Les Allemands reculent et laissent derrière eux un sniper finois, l’ancien étudiant Beïko enchaîné à un rocher. De son côté Ivan, capitaine de l’Armée rouge est blessé dans un bombardement. Il est recueilli par une éleveuse saami, Anni. Parvenu à se libérer, Beïko arrive aussi chez Anni et entre les trois rescapés du conflit commence une étrange relation. Les deux hommes tombent amoureux de la femme mais aucun ne parle la même langue…
Le film a reçu de nombreux prix (St Pétersbourg, Nika, Grand prix à Honfleur en 2003)
Alexandre Rogojkine est né en 1949, il a suivi au VGIK la classe de S. Guerassimov. Auteur de nombreux films pour la TV et le cinéma dont Karaoul (1990), Le Tchékiste (1992, montré à Cannes dans Un certain regard), Aspects de la chasse en Russie(comédie, 1995), Blokpost (1998 sur la guerre en Tchétchénie). Aphrodite (2012.
Dimanche 2 octobre à 10h30
Soleil trompeur 2h30
De Nikita Mikhalkov
Film présenté par Alexandre Adler (Archives)
“Une journée de l’été 1936 en URSS, sous Staline. Colonel en retraite, Sergueï Kotov s’est retiré dans sa datcha avec sa femme Maroussia, sa fille Nadia, les grands-mères et les amis de la famille. L’ambiance est riante, tout le monde est joyeux, le soleil brille. Arrive Dimitri, ancien camarade de jeu de Maroussia, dont il est toujours amoureux. C’est déjà moins riant pour Sergueï. Mais Dimitri est également membre de la police politique. Ce n’est plus du tout riant pour Sergueï.”
14h30
Criminel
Un film de Viktor Dement 2015 1h30
Prix du jury et prix du public – festival Univerciné russe 2016
Film présenté par Russies étonNantes
“Trofim Rusanov est un garde-pêche dur et intraitable. Il estime qu’il est la Loi et que les autres sont des “salauds et des voleurs”. A la suite d’une mésaventure il se retrouve isolé dans la taïga, à des dizaines de kilomètres de toute habitation humaine. La trouvaille qu’il va faire dans ce milieu hostile va changer radicalement sa vision de l’existence”.
Régisseur et scénariste Il est né en 1966 à Moscou, il a terminé l’Institut de théâtre Gitiss en 1993. Il a travaillé pour le théâtre et la télévision, en 2004 il est régisseur de films de science fiction et participe à des festivals de cinéma de science fiction. Il a terminé l’Institut VGIK en 2009, il réalisé des courts-métrages, des films publicitaires ainsi que poour la télévision. “La trouvaille” est son premier long métrage devenu “Criminel“.Le changement de titre s’est imposé de manière évidente. Le mot « trouvaille », en français comme en russe d’ailleurs, semblait bien trop léger pour l’utiliser pour le film. Le film est une adaptation d’une nouvelle de Vladimir Tendriakov, « La Trouvaille » écrite en 1965. Tendriakov a profité du thème « campagnard » de sa nouvelle pour y glisser une réflexion morale sur le crime et la rédemption. En lisant la nouvelle, on compriend que l’écrivain n’avait probablement utilisé le titre « Nakhodka » (La Trouvaille) que pour éviter la censure de l’époque. D’une certaine manière, on n’a fait que rétablir ce qui aurait dû être le titre pour Tendriakov,
16h30 Séance exceptionnelle dans le cadre du sommet mondial du changement climatique
Sibériade 1980
Un film d’Andreï Kontchalovski 3h30 (Archives)
Séance avec entracte / Une coupe de Trésor sera offert au public par Bouvet Ladubay
Film présenté par Macha Méril
Dans un village petit de Sibérie aux accroché berges d’un fleuve, Deux familles rivales se font face à et se affrontent DEPUIS Toujours.Les Solomine, richesses ET Jaloux de their privilèges, et les Oustioujine, Pauvres, Rebelles, idéalistes. Rien ne Semble Pouvoir perturbateur L’Ordre ETABLI AU COEUR DES etendues de vastes forêts. Par Mais l’Histoire en marche dive bouleverser La vie de La Communauté, et c’est par le fleuve qu’arrivera la Révolution, au Québec partiront Les Soldats répandrai Les Guerres, qu’accosteront les Pétroliers …
Fresque grandioses en Quatre parties, Siberiade retracer l’épopée du peuple russe du début du 20ème siècle aux années 70. Le projet fut imaginé comme l’équivalent du Soviétique Novecento de Bertolucci, réalisé trois ans auparavant. Soutenu par d’impressionnants moyens financiers, commande par le parti pour raconter l’histoire du pétrole, ce film est avant tout l’oeuvre d’un grand auteur, Andreï Kontchalovski. La portée épique, historique et mystique du film élargit le propos et l’éloigne de l’œuvre sensiblement de propagande
Cocktail de clôture offert par Bouvet Ladubay
Cinéma Katorza 3 rue Corneille – 44000 Nantes –
Tél. : 02 51 84 90 60 – www.katorza.fr
Tarif unique : 6.50 euros.
Pré-ventes dès le 21/09.