Archive pour septembre 2021


Exposition, peintures; photos et dessins

De Kungur à Gargilesse

du Lundi 4 au dimanche 17 octobre 2021

Des peintures de deux villes de Russie et de France, réalisées d’après photographies pendant la pandémie, sont présentées lors d’une exposition à la Maison russe à Paris dans les salles d’exposition.

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Exposition sur les panneaux extérieurs

Le Lac Baïkal le plus grand réservoir
d’eau douce de la planète

du vendredi 1er au 31 octobre 2021

Pour le 25 e anniversaire du lac Baikal sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO
La maison russe à Paris montre une exposition de photos documentaires
Il y a exactement 25 ans, en 1996, les experts internationaux de la 20 ème session du comité du patrimoine mondial de l’UNESCO, tenue à Mérida, au Mexique, ont reconnu la valeur universelle exceptionnelle de ce site russe unique et ont inclus Baikal dans la liste des monuments les plus importants le patrimoine naturel de l’humanité.
Situé au sud-est de la Sibérie et occupant une superficie de 3,15 millions. Ha, Baikal a été reconnu comme le plus ancien (25 millions). années) et le lac le plus profond (environ 1700 m) de la planète.
Réserves d’eau environ 20 % de toutes les réserves d’eau douce. Dans le lac, connu sous le nom de ′′ Galapagos de Russie “, grâce à l’âge ancien et à l’isolement, un écosystème unique d’eau douce a été formé même par des mesures mondiales, ce qui est essentiel pour comprendre l’évolution de la vie sur Terre.


Le lac Baikal est vraiment unique. Il y a une énorme quantité de vies diverses dans ses eaux et sur ses rives, et certaines espèces ne se trouvent nulle part ailleurs. Baikal est si grand que beaucoup l’appellent la mer, et honnêtement, ce lac est beaucoup plus comme la mer que certaines
′′ vraies ′′ mer.
L ‘ âge exact de Baikal est inconnu, mais les scientifiques disent qu’il est l’un des plus anciens de la planète.
Un grand nombre d’espèces endémiques habitées dans ses eaux le confirme également indirectement.
Baikal est le plus grand réservoir d’eau douce au monde. Il contient la cinquième partie de toutes les réserves de notre planète.
Le lac le plus profond sur Terre est Baikal, sa profondeur est de 1642 mètres. C ‘ est à peu près égal à cinq tours Eiffel placées les unes sur les autres
Les eaux baikales sont toujours froides, donc presque personne ne se baigne même les jours d’été chauds.
La dernière ′′ Odyssée ′′ scientifique par l’exceptionnel naturaliste français J.- I. Kusto a eu lieu sur Baikal.
Le célèbre réalisateur d’Hollywood James Cameron, Titanic, Terminator et Avatar, a un jour fêté son anniversaire sur Baikal.
Avec l’apparition du gel, la surface du lac Baikal commence à geler, mais il faut environ un mois pour le faire recouvert de glace.
L ‘ eau est si propre ici que vous pouvez la boire sans pré-nettoyage.
Le lac Baikal compte plus de cinquante types de poissons différents dans les eaux du lac Baikal.
Il y a de hautes vagues sur Baikal, jusqu’à quatre mètres de haut.
Il y a des tremblements de terre dans ces régions, et parfois très forts.
Aucun nageur n’a jamais traversé Baikal – ses eaux sont très froides.
Le président russe Vladimir Poutine a plongé dans les profondeurs du lac à Batiskaf.
Le lac Baikal a nommé l’un des astéroïdes que nous connaissons.
Il y a des îles sur Baikal, vingt-deux. Un seul parmi eux est l’île d’Olkhon.
La taille de ce lac est plus grande que le territoire de nombreux États.
Selon les scientifiques, la masse totale de tous les poissons vivant à Baïkal dépasse la barre de 150 millions de tonnes.

Concert à l’occasion de

La Journée des Personnes Âgées

«Pour ceux à qui l’âge ne compte pas»

vendredi 1er octobre à 18h

Entrée sur inscription : CLIQUEZ

Maestro Andreï Chevtchouk, Conseil de coordination de compatriotes russes en France et MRSC à Paris.

Exposition, peintures; photos et dessins

De Kungur à Gargilesse

du Lundi 4 au dimanche 17 octobre 2021

Salles d’esposition de la MRSC

Des peintures de deux villes de Russie et de France, réalisées d’après photographies pendant la pandémie, seront présentées lors d’une exposition à la Maison russe à Paris

Les relations entre les deux villes en Russie et en France existent de longue date. Leur développement est assuré avec succès par l’association française « Pour Kungur » , dirigée par Hélène Texier, célèbre personnalité publique.
L’idée de cette exposition croisée, où des artistes représentent les villes partenaires à partir de photographies, est venue de Nadège Texier, fille d’Hélène Texier, lorsque les mesures sanitaires étaient en pleine vigueur. Nadège, une véritable jeune Ambassadrice de la Paix, a réalisé une série de photographies de son village de Gargilesse, membre de l’Association des Plus Beaux Villages de France, et ensuite elle les a envoyées à Kungur. Ils ont apprécié cette idée, et en effet, toute une exposition d’art est née avec la participation des peintres français, qui ont également réalisé une série de paysages de Kungur, d’après des photogaphies de 2 photographes de Kungur.


Ce projet populaire a reçu le soutien d’organisations gouvernementales russes et françaises, et a été inclus dans le programme officiel de l’Année croisée de la coopération décentralisée entre la Russie et la France (2021).
Le vernissage de l’exposition a eu lieu le 12 août à Gargilesse. Lors de la cérémonie officielle dans le village français, à laquelle ont assisté presque tous les habitants, le Ministre-conseiller de l’Ambassade de Russie en France Alexandre Zezyuline a remis à Hélène Texier une distinction honorifique de Fédération de Russie « Pour la bienfaisance » au nom du Président de la Fédération de Russie Vladimir Poutine. L’association « Pour Kungur » s’implique activement dans une cause caritative au profit des enfants adoptés de Russie et aide des centaines d’enfants qui se sont installés en France et dans d’autres pays à ne pas perdre leur culture et leur identité d’origine.
« Pour Kungur » est un partenaire de longue date de la Maison russe à Paris, avec qui de nombreuses manifestations pour les enfants et événements publics sont organisés.
La première exposition a eu lieu dans la ferme du Château de Gargilesse. Elle a été visitée par près de 4 000 personnes.
(voir sur Artcorusse : CLIQUEZ)
Dans la Maison russe à Paris, des peintures, des dessins et des photographies réalisés à Gargilesse et à Kungur seront à nouveau exposés.
L’exposition présente des œuvres d’artistes et photographes français : Nadège Texier, Catherine Cesari, Elisa, Vanessa Douelle, Emilie Van Herreweghe, Mojeanne, Jean-Marc Volta, George Lemoine, Mark Guibert, Pascal Lardé, ainsi que des élèves de l’école primaire d’Orsennes. et leur professeur Aline Descherettes, ainsi que de collégiens d’Argenton-sur-Creuse.
Les artistes du studio « Underground » ont fait parvenir leurs œuvres de Russie : Irina Gouchko, Tatiana Obvintseva, Olga Pikhtovnikova, Nastya Gordeeva, Nadezhda Arapova, Rinat Salimov, et le la chef du projet Lena Teplyakova, des élèves de l’école du Gymnase n° 16, de l’école n° 10 et du Centre de la culture des Ingénieurs en mécanique, de Kungur.

Une place commémorative spéciale de l’exposition sera attribuée à Iskane Texier, nous ayant quitté dans la période entre les deux expositions.

L’entrée au vernissage et à l’exposition est gratuite, l’inscription préalable est obligatoire : 

Nombre de places limité.
L’entrée à l’exposition s’effectue avec le port obligatoire du masque et le respect des règles sanitaires en vigueur.

Soirée littéraire et musicale

Pour le 400ème anniversaire

de Jean de la Fontaine

“La Morale de la Fable d’Esope à Ivan Krylov

Avec Stella Kalinka et Anne Lefol

Mardi 12 octobre à 19h30

Salle de cinéma et de concert de la MRSC

Inscription préalable  : paris@rs.gov.ru

Table ronde

« Maurice Thorez et la Société d’amitié France–URSS »

Exposition de cadeaux de M.Thorez des archives
de la ville d’Ivry-sur-Seine

Jeudi 14 octobre à 19h

Salle de marbre de la MRSC

Une rencontre consacrée à la contribution de Maurice Thorez, secrétaire général du Parti communiste français (1930–1964), au renforcement de l’amitié russo-française.

Maurice Thorez (1900–1964) est un homme politique exceptionnel de France, l’un des fondateurs du Parti communiste, organisateur de la Résistance, combattant contre le colonialisme, l’un des leaders du Mouvement de la paix.

Les organisateurs présenteront une table ronde consacrée à la personnalité politique et aux activités de Maurice Thorez, son rôle dans la formation et le fonctionnement de la Société d’amitié France-URSS. Cette société, qui a joué un rôle important dans le développement des liens culturels et sociaux russo-français, a longtemps été implantée dans les locaux de l’actuelle MRSC à Paris, rue Boissière.

Pierre Thorez (fils de Maurice Thorez), Jean-Numa Ducange, professeur à l’Université de Rouen, historien, et Andreï Doultsev, envoyé spécial du journal « Pravda » en Europe occidentale, prendront part à la discussion.

Un volet spécial de la table ronde sera consacré au journal de Maurice Thorez (1952–1964), publié aux éditions Fayard sous la direction de Jean-Numa Ducange à l’occasion du  centenaire du PCF en 2020. L’ouvrage couvre le XXeCongrès du PCUS et ses conséquences, la formation d’un système de sécurité mondiale et de coexistence pacifique, les questions de l’accession à l’indépendance du Vietnam, de l’Algérie et d’autres anciennes colonies françaises.

Les thèmes de coopération en matière de lutte contre la falsification et l’instrumentalisation de l’histoire, ainsi que l’engagement des organisations de jeunesse seront également abordés.

Le public de la Maison russe pourra découvrir une exposition unique de la collection de cadeaux de Maurice Thorez, conservés dans les archives de la ville d’Ivry-sur-Seine.

La Maison russe tient à remercier la Fondation pour les initiatives sociales et culturelles  auprès de la MRSC pour son aide dans l’organisation de la prochaine réunion.

Entrée est gratuite, l’inscription préalable est obligatoire à paris@rs.gov.ru.
Le nombre de places est limité.

L’entrée à la MRSC s’effectue avec le port obligatoire du masque et le respect des règles sanitaires en vigueur.

Exposition de peinture et sculpture  de

Yana Germann

 

Exposition « Le rêve d’un homme ridicule »

du lundi 18 au dimanche 31 octobre 2021

Salles d’exposition de la MRSC

L’exposition « Le rêve d’un homme ridicule »  est à l’origine tirée du roman de Féodor Dostoïevsky à l’occasion du bicentenaire de sa naissance.  La pièce a été publiée en Russe en 1877 en tant que “Son smeshnogo chevoveka”. Abordant les questions du pêché originel, de la perfectibilité du genre humain, et de l’ambition vers une société idéale. Un homme qui fût une fois ridicule et qui s’est abimé dans la folie. À un moment, désespéré au point de se suicider, il s’endort et rêve qu’il s’était tué, avait était enterré et exhumé et a voyagé jusqu’à une planète qui était un double de la Terre; sauf qu’elle était parfaite et pure. Le narrateur se réveille, convaincu que l’humanité n’est pas intrinsèquement maléfique mais est seulement tombée en disgrace.

Yana Germann née en 1990, est une artiste plasticienne russe basée a Saint-Petersbourg. Elle a développé ses talents artistiques à la New York Academy of Art, New York, USA et à la Russian Imperial Academy of Fine Art. Son éducation artistique classique combinée à son approche contemporaine donne naissance à des œuvres profondes et puissantes, caractérisées par de fortes formes gestuelles superposées de techniques et significations, rendues par un coup de pinceau dynamique et riche armé d’une forte énergie. Le travail complexe et délicat de Germann aborde la question de la condition humaine: la transformation, le choix, l’extérieur et l’intérieur, la réalité et l’illusion, le conscient et le subconscient, le matérialisme et la spiritualité. Son utilisation des tons pastels, de tons discrets, de lignes délicates et de personnages sombres paraissant d’un autre monde créent une harmonie de couleurs et une spiritualité qui accompagne son style doux, fragile et figuratif. Germann est inspirée par les portraits du Fayoum, l’Art de la Renaissance, Rene Magritte, la poésie de l’art japonais, les lignes de Constantin Brancusi et l’art primitif. Germann travaille avec des galeries et lieux internationaux à travers le monde. Ses peintures et sculptures sont dans des collections privées à travers la Russie, USA, la Suède, l’Italie; la Suisse, l’Autriche, l’Angleterre, l’Argentine et UAE. Notamment, certaines de ses oeuvres appartiennent aux collections de l’ambassadeur chinois Zhang Hanhui et l’Administration présidentielle de Russie.

Programme Rossotrudnichestvo

“Nouvelle génération” – 10 ans

rencontre avec les diplômés (alumni)

Mardi 19 octobre à 19h

Salle de marbre de MRSC

Le 10e anniversaire du programme de voyages d’études en Russie pour les jeunes étrangers sera célébré à la Maison Russe à Paris

Le 19 octobre, de nombreux pays du monde célébreront le 10e anniversaire de l’un des programmes Rossotrudnichestvo les plus intéressants et les plus populaires «Nouvelle génération».

Grâce à ce programme, des dizaines de jeunes Français (25-35 ans) – les meilleurs professionnels dans le domaine de divers domaines d’activité – ont pu, à l’invitation de la partie russe, se rendre dans notre pays et le connaître étroitement.

La Maison russe de la science et de la culture à Paris célébrera l’anniversaire du Programme en invitant ses participants des années précédentes. Parmi les invités seront des scientifiques, des enseignants, des entrepreneurs, des militants sociaux.

De plus, il y aura une histoire détaillée sur le programme pour les jeunes français qui pourraient être intéressés à y participer à l’avenir.

Au cours d’hier au RDNK, les diplômés du programme des années précédentes pourront se retrouver, échanger des souvenirs et raconter leurs expériences aux futurs participants – ceux qui sont sur le point de vivre les émotions incroyables de découvrir quelque chose de nouveau, de rencontrer des gens talentueux et intéressants de différents pays, immersion dans la réalité d’un pays immense.

Une invitée spéciale de la soirée sera une jeune artiste russe Yana Germann, qui présentera aux participants de la présentation de la Nouvelle Génération une nouvelle exposition de ses peintures et sculptures, Le Rêve d’un homme ridicule, consacrée au 200e anniversaire de la naissance du grand écrivain russe FM Dostoïevski.

Inscription sur invitation, avec confirmation de participation paris@rs.gov.ru ).

Pour référence:

Le programme « Nouvelle génération » est mis en œuvre conformément au décret du président de la Fédération de Russie du 19 octobre 2011 n° 1394.

Dans le cadre du programme, Rossotrudnichestvo organise des voyages d’étude de courte durée en Russie pour de jeunes représentants des milieux politiques, sociaux, scientifiques et commerciaux de pays étrangers.

Chaque année, plus de 1000 jeunes leaders âgés de 25 à 35 ans se rendent en Russie aux frais du pays hôte pour établir des contacts professionnels, nouer des partenariats à long terme avec des structures étatiques et non étatiques, des organisations de jeunesse et publiques russes.

L’admission s’effectura avec le port obligatoire du masque et le respect des règles sanitaires établies.

 Exceptionnelle

Soirée Culturelle de l’Ingouchie (Russie)

  • Exposition des peintres ingouches.
  • Dégustation de spécialités ingouches.
  • Concert de la musique traditionelle.

Jeudi 21 octobre a 18h

Une soirée créative dédiée aux maîtres d’arts d’Ingouchie (Fédération de Russie).

Les artistes d’Ingouchie sont déjà connus du public français. En juin 2018, une présentation à grande échelle de la culture ingouche traditionnelle et moderne a eu lieu à la Maison russe.

Dans le cadre de l’Année croisée de la coopération décentralisée russo-française, des invités de la république du Caucase du Nord, avec l’assistance du Ministère de la Culture d’Ingouchie, présenteront à nouveau des peintures, une collection de tableaux décoratifs en cuir de poisson réalisées dans une technique unique et insolite, ainsi que des costumes nationaux et des tapis tissés à la main.

Il sera possible également d’assister à une soirée musicale et déguster des plats nationaux traditionnels.

Entrée gratuite, inscription préalable est obligatoire à paris@rs.gov.ru. Le nombre de places est limité.

L’entrée à l’exposition s’effectue avec le port obligatoire du masque et le respect des règles sanitaires en vigueur.

Téléconférence

cycle « Les rencontres avec les acteurs de l’espace russe ».

« Première station orbitale “ MIR ” »

avec

Vladimir Soloviev concepteur de la RCC

 Michel Tognini, pilote de chasse, cosmonaute de l’Agence spatiale européenne

Interviewés par Nicolas Pillet, chef du projet «Kosmonavtika.com».

Lundi 25 octobre à 19h (heure de Paris)

Conversation sur les stations spatiales avec le concepteur général du RCC ′′ Énergie ′′ V.A. Soloviev et l’astronaute français Michel Tonini

Le principal sujet de la conversation sera l’histoire de la création et du fonctionnement du complexe orbital ′′ Mir “, construit par l’Union soviétique elle-même dans les années 80
Les invités de la maison russe ne contournent pas le sujet des stations spatiales modernes et même futures.

V.A.Soloviev est un astronaute russe, ingénieur constructeur, professeur, membre correspondant de l’Académie russe des sciences.
“J ‘ai pris part à deux missions de longue durée dans les stations spatiales ′′ Salut-7 ′′ et ′′ Mir “.
En 1986, il était dans le premier équipage à arriver à la  nouvelle station ′′ Mir “.
À différents moments, il a dirigé le vol du Complexe orbital ′′ Mir “, était le directeur adjoint du programme de gestion de l’ISS, supervisé les vols de la série Yamal, dirigé des recherches sur les blocs de dispersion, en particulier le programme Marine Start.
Depuis juillet 2021 V.A.Soloviev – Concepteur Général du RCC ′′ Énergie “.

Michel Tonini
est un pilote militaire français, astronaute de l’Agence spatiale européenne. Il a été entraîné dans le groupe de chasse Normandie-Neman.
Il a effectué deux vols de courte durée dans l’espace, y compris à la station orbitale de Mir en 1992
Il a ensuite été le commandant des astronautes de l’Agence spatiale européenne et le chef du Centre européen des astronautes pendant longtemps.

Une fois de plus invité Nikol Pillet, blogueur français, passionné de l’astronautique française et russe, auteur du projet ′′ Kosmonavtika com “.
Pour participer, vous devez vous inscrire sur le site de la Maison russe (crsc. fr).
La conférence Zoom sera organisée en russe et en français avec traduction simultanée et possibilité de communication directe avec les invités.
En même temps, vous pouvez regarder la diffusion en direct sur la chaîne RDNA à Paris sur YouTube (sans traduction).

L ‘ enregistrement complet de la réunion sera publié en deux versions linguistiques sur le site web et les pages du RDNA dans les réseaux sociaux.

Pour participer, inscription obligatoire : CLIQUEZ

Patrimoine Musical Ruse en France

Conférence – Concert

d’ Andreï Chevtchouc

avec

Arielle Beck et Igor Lazko

Mardi 26 octobre à 19 h

Il y a 140 ans, le monde musical de la Russie et de l’Europe envoyait le grand compositeur russe Modeste Petrovitch Moussorgski dans son dernier voyage.
L’un des représentants les plus extraordinaires et les plus remarquables de la culture musicale russe, membre de la “Mighty Handful”, Modest Petrovich Moussorgsky a travaillé dans divers genres: dans son héritage créatif – opéras, pièces pour orchestre, cycles de musique vocale et pour piano, romances et chansons, choeurs.
La rencontre musicale dans la Maison russe recevra un contenu spécial. Dans une conversation sur la biographie et l’héritage créatif de Moussorgski, son influence sur l’œuvre de compositeurs français tels que Camille Saint-Saëns, Claude Debussy, Francis Poulenc, Olivier Messiaen et surtout un grand connaisseur du génie de Moussorgski, Maurice Ravel, auteur du version orchestrale des célèbres « Tableaux d’une exposition », en présence d’un célèbre pianiste, professeur au Conservatoire russe Skriabine , Igor Alekseevich Lazko.
Comme illustrations musicales de cette fascinante soirée, des œuvres musicales seront interprétées non seulement par Igor Alekseevitch Lazko lui-même, mais aussi par son talentueux élève, Arielle Beck, 12 ans, lauréate de concours internationaux. Les téléspectateurs réguliers  la connaissent déjà depuis sa participation au concert du Nouvel An du CRSC en décembre 2020.
Ssoirée musicale festive qui, comme d’habitude, se déroulera en russe et en français.
L’entrée à l’événement est gratuite, sur rendez-vous (paris@rs.gov.ru). Nombre de places limité.

Conférence avec 

écrivain et critique littéraire Victor Erofeev.

“Dostoïevsky mon Amour”

Mardi 27 octobre 2021 à 19h

une rencontre avec le célèbre écrivain et critique littéraire Victor Erofeev.

A la veille du 200e anniversaire de la naissance de Fiodor Dostoïevski, l’auteur de la thèse sur le thème « Dostoïevski et l’existentialisme français » parle du grand écrivain russe avec le public parisien.

Chacun a son propre Dostoïevski. Et j’en ai cinq.

Dostoïevski est une super-star internationale. Dostoïevski est un jeune socialiste. Dostoïevski dans la vie. Dostoïevski est un prédicateur réactionnaire. Et enfin, Dostoïevski est écrivain. Peut-on les aimer tous ? Nous en parlerons », c’est ainsi que Viсtor Erofeev a présenté le sujet de la prochaine réunion.

L’entrée à l’événement est gratuite. L’inscription préalable à paris@rs.gov.ru est obligatoire. Nombre de places limité.

En russe et en français.

t u t

Centre de Russie pour la Science et la Culture
61 rue Boissière, 75116 Paris
Tél : 01 44 34 79 79

Contacts : info@crsc.fr

Métro : Boissière (6), Victor Hugo (2)
Bus : 22, 30, 52, 82
Parking : Victor Hugo, Kléber, Longchamp

Exposition du

Groupe ” Vertical 21 “

du Jeudi 24 septembre au 15 octobre 2021 

Espace public “Ligne”, Saint Pétersbourg

 

Le nom même de l’exposition nous en révèle les sens : c’est l’envie de faire un pas en avant, s’élever, s’élever au-dessus déjà fait, mais en même temps, pour ce faire, il faut être plus fort et plus ouvertement pour plonger en soi, dans les choses et dans la profondeur des processus.

Il est obligatoire de comprendre et repenser l’expérience existante, c’est-à-dire poser une base pour de futures réalisations créatives. Et le plus profond et le plus sérieux chacun immersion, plus le niveau atteint est élevé.

Peut-être qu’avec une telle base idéologique, les membres du groupe ne s’engagent pas à n’importe quelle direction dans l’art ou la technologie. Ensemble ici unis peintres, photographes, graphistes. Selon le créateur du groupe, l’artiste Victor Borisov, (sur la photo plus bas) il repose sur le principe de la “compatibilité psychologique”, pourrait-on même dire
orientation intellectuelle, recherche et progrès.

Chacun d’eux, étant complètement différant de ses collègues, il dessine sa propre verticale de créativité.

L’exposition présente des œuvres de : Viktor Borisov, Serguei Zizyouline, Youri Zverline, Lev Dutov, Vladimir Kharinov, feu Andrei Simonov.

Lev Dutov devant ses œuvres

7 656 7

Espace public “Ligne” , 8 ligne VO 25 saint Petersbourg
2ème étage
Tél : +7 981 140 19 93
Métro : Vassilevskaya


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Mariage de la musique classique avec l’art du dessin en sable

Musiciens à vents de l’Orchestre Philarmonique de Monaco

Casse-Noisette de Tchaïkovski

&

le Langage du dessin en sable de
Katerina Barsukova

Mercredi 15 décembre 2021 à 16 h

Monaco Auditorium Rainier III, Monaco

Il existe de nombreuses interprétations de la musique et du conte “Casse-Noisette”. Pendant 11 ans de travail avec le dessin sur sable, Katerina Bursukovo a crée cinq versions de spectacles : des projets avec la musique symphonique et la musique de chambre sur des scénari et concepts très différents. Katerina présente de Piotr Iliych Tchaïkovki

Casse-Noisette (transcription pour quintette à vents et harpe de Didier Favre)

Julie Depardieu, récitante, Katerina Barsukova, artiste sur sable.

Anne Maugue : flûte, Jean-Marc Jourdin : hautbois
Véronique Audard:  clarinette, Franck Lavoge : basson
Didier Favre:  cor, Sophia Steckeler : harpe.
.

Julie Depardieu la récitante

Katerina Bursukovo

 La voix caramel de Julie Depardieu résonne avec ledessin sur sable et des nuances musicales de flûte, hautbois, clarinette, basson, cor et harpe des musiciens de l’Orchestre Philarmonique de Monaco. nous sommes dans le Métavers, monde numérique où les personnage après 200 ans vivent.  Histoire d’un miracle hors du temps, ou même si la réalité se transforme, leurs sentiments et émotions continuent à habiter l’âme vivante et sensible. Les couleurs orange, menthe et chocolat, irisée s’entrelacent en créant un motif étrange sur la vitre de réflexions, métaphores et réminiscences.

Quelle sera la résolution du conte de fées bien connu ? Le personnage principal, Casse-Noisette, n’a jamais pu trouver sa place et son identité : jouet en bois ou être vivant ? L’environnement des personnages change, mais les sens restent. On y efface les frontières entre le rêve, la réalité par l’imagination de compositeur, écrivain et l’artiste, dotés des âmes frémissantes.

Katerina Barsukova est diplômée de l’Ecole de Beaux-Arts Roerich de Saint-Pétersbourg, de la faculté de peinture et de l’Académie des Beaux-Arts de Saint-Pétersbourg, de la faculté de l’histoire de l’art, Katerina a également complété son parcours par les Cours d’écriture du scénario et de mise en scène du studio “Lenfilm”.
Elle est lauréate du concours international du sand-art (création de peinture en sable ) “La Touche” en 2015, 2016. En 2017, elle est récompensée par le Grand-Prix pour le projet Bach sur le sable avec Dmitri Makhtin.

Excellente portraitiste et paysagiste, elle explore différents volets de cet art : dessin classique, art graphique, snow graphics, films d’animation sur sable, représentations d’animation sur sable en direct.

Pour Katerina, l’animation sur sable est un petit théâtre dont la scène est une table lumineuse où se déroulent des histoires éphémères. Une poignée de sable prend vie en quelques gestes gracieux de l’artiste. Les œuvres de Katerina se distinguent par l’ingéniosité de ses dessins dans le style symbolisme lyrique, mais aussi par des transformations étonnantes et une grande musicalité.

Auditorium Rainier III
Boulevard Louis II, 98000 Monaco

Tarif unique : 5 €
Réservation : CLIQUEZ

Concert exceptionnel

avec

Janusz Matolepszy, Vadim Pinkov
&
le trio Karandash

Samedi 2 octobre 2021 à 19h

Atelier 34zero, 334 Bruxelles (Belgique)

 L’ensemble Karandash vous propose de revisiter une infime partie de l’expression lyrique russe, qui parle de la haine de la guerre, du goût de la liberté, des peines et de joies de l’amour, et la fraternité humaine, de la tendresse, de la bonté, du courage …. Trois musiciens d’origine russe, Yashko Golembiovsky, Iliya Stepanow et Iliyoucha Stepanow, sont nés en Belgique, de parents ou grands parents issus de l’émigration.

Avec Kanrandash venez ressentir l’espace d’un instant, comment ces chants s’écoulent comme de longs fleuves tranquille des plaines de la Russie centrale et tantôt comment ils s’ébouriffent comme ces cheveaux qui partent au galop, emportant au passage la fougue des tziganes qui les montent.

“§”

 Vadim Piankov, né en URSS devient francophone et francophile par ses chansons . Il fait ses premières traductions de Brel et les chante devant des spectateurs intrigués sur le Vieil Arbat, la rue moscovite devenue pendant « la perestroïka » un lieu d’expression artistique sans censure. La chanson lui permet de poursuivre ses études, d’approfondir son talent d’interprète, de rencontrer de nouveaux publics.

Vadim part à la découverte du pays brumeux de Jaques Brel, débarque dans les cafés chantants de Bruxelles, aborde les scènes des théâtres belges. En interprétant ce rebelle du « plat pays » en langue des steppes, il marie dans son âme, profondément slave, deux héritages culturels, passionnels et poétiques, russophone et francophone.

Atelier 34zero Muzeum
Drève de Rivieren 334 – BE – 1090 Bruxelles

Réservation :
Tél. + 32 (0)2 428 33 06 
Tarif : 20€

TRANSPORT EN COMMUN

Train: Gare de Jette
Bus 13 (6-20 heures): arrêt Le Roux
Bus 14 (6-20 heures): arrêt De Rivieren
Bus 15 (20-24 heures): arrêt Le Roux
Bus 53, 88: arrêt Gare de Jette
Bus 84: arrêt De Rivieren
Tram 19: arrêt Gare de Jette
Tram 51, 94: arrêt Cimetière de Jette

L’association Aghora

&

Les Créateurs de la Mode d’hier et d’aujourd’hui

Exposition 

du samedi 25 septembre au dimanche 3 octobre 2021

Défilé de robes-peintes de

Larissa Noury, (artiste-designer)

Jen-Marie Pujol, (styliste-couturier)

Dimanche 3 octobre à 16h

Samedi 25 septembre
Enfants costumés selon les contes de Perrault, Grimm et autre mode

Dimanche 26 septembre
Mode ancienne jusqu’en 1970
Tango argentin

Dimanche 3 octobre
Défilé Haute couture de Larissa Noury

Née en Biélorussie, Larissa Noury est diplômée d’architecture de l’école polytechnique de Minsk et soutenu deux thèses de doctorat : une en architecture à Saint Pétersbourg et une en histoire de l’art à Bordeaux sous la présidence de Michel Pastoureau. Larissa est coloriste et jongle entre plusieurs activités: l’art et la peinture tactile, le stylisme et la haute couture, l’architecture et l’environnement, la photo et les reportages sur la couleur dans la ville et sur sa symbolique culturelle.

Jean-Marie Pujol, après avoir démarré couturier et styliste haute-couture chez Dior et Yves Saint-Laurent, il crée ses propres marques. Il a habillé des princesses, des acteurs célèbres, les femmes modernes. Ses robes haute-couture portent chacune un nom et racontent une histoire. Peintes en résonance avec ses tableaux par Larissa elles sont de véritables œuvres-d’art. Il raconte avec passion les coulisses de son métier.

y

Salles Georges Brassens,
Rue Jules Rein, Le Mesnil-le-Roi.

Ouverture
En semaine : 14h/18h Fermée le lundi
Le week-end : 11h/18h

Tarif : 15€

Réservation obligatoire : AGHORA 09 86 48 21 16

Pour le bicentenaire de la célèbre cantatrice

Pauline Viardot (1821-1910)

conférence en ligne par Eléna Petrash

« Pauline Viardot et la Russie »

Mercredi 29 septembre à 20h

Inscription : pauline.en.russie@gmail.com

Il s’agit du premier événement organisé par le CITELE de l’UMONS (Centre Ivan Tourguéniev pour l’Etude des Littératures en Emigration), en collaboration avec la Mairie de Bougival (France), l’Association des Amis de Tourguéniev, Pauline Viardot et Maria Malibran (ATVM, Paris) et la Bibliothèque Tourguéniev de Moscou.

Pauline Viardot, (nèe Pauline Garcia), cantatrice et compositrice française d’origine espagnole, née le 18 juillet 1821 à Paris où elle est morte le 18 mai 1910. Elle possède la partition du Don Giovani de Mozart  dont elle chante le rôle de Zerline à Saint Pétesbourg. Elle doit renoncer à la scène en 1863 et se consacre dès lors à la composition (plusieurs opérettes, dont Cendrillon en 1903, sur des livrets de Tourgueniev.
Pauline viardot et Ivan Tourgueniev se sont rencontrés lors de la première visite de Pauline Viardot en Russie à l’invitation des théâtres impériaux de Saint-Pétersbourg et de Moscou. Pour le grand écrivain russe, c’était un amour foudroyant qui a duré toute la vie. Ivan Tourguéniev était fasciné par la « voix d’or de la France », c’est ainsi qu’on appelait Pauline Viardot, qui à l’époque déjà était chanteuse connue à l’échelle internationale. Cette histoire d’amour, pleine de drame et de passion, était un roman platonique plutôt que réel.  L’écrivain russe, Pauline Garcia-Viardot et son mari Louis Viardot furent des amis inséparables plusieurs dizaines d’années, la liaison entre l’écrivain et la cantatrice était considérée comme « la plus belle histoire d’amour du xixe siècle ». En , Tourgueniev achète une belle maison de maître à Bougival non loin de Paris où il installe la famille Viardot, et il se fait construire un chalet (une sorte de datcha)  quelques pas plus haut, où il décéda en 1883. La datcha de Tourgueniev est devenue un musée  la villa de la célèbre cantatrice est actuellement en mauvais  état. 

La conférence sera réalisée par Mme Elena Petrash, grande spécialiste de Tourgueniev pour la Russie, docteur en philologie, Chercheur au sein de la BibliothèqueTourguéniev à Moscou, qui mettra en lumière la présence en Russie de Pauline, marquant le début d’une longue et riche relation de l’artiste avec ce grand pays méconnu des Européens au 19e siècle,avec une présentation par Olga Gortchanina et la traduction en français par Anne Godart.

Un récit passionnant, des éléments inédits pour le public francophone: de belles découvertes au rendez-vous !

Inscription gratuite : pauline.en.russie@gmail.com

Concert spectacle russe & goûter

Natacha Fialkovsky (chant Balalaïka)
Pascal Storch (guitare)
Karine Ka (Danse)

Dimanche 28 novembre à 16h

CPA Mado Robin, 75017 Paris

ENTRÉE  LIBRE  sur  RÉSERVATION

Concert avec Natacha Fialkovsky et Pascal Storch et la danseuse Karine Ka pour un concert suivi d’un goûter pendant lequel nous pourrons échanger…

Issue d’une famille de Russes blancs, Natacha se passionne pour la musique russe depuis sa plus tendre enfance. Après des études de balalaïka au conservatoire Rachmaninov de Paris, et une formation de chant auprès de Galina Danilina, Nadia Golovikhina, Marie France Lahore et Martina Catella, elle se produit avec les formations slaves les plus connues : Bratsch, le Cabaret Raspoutine, Ivan Rebroff, Marc de Loutchek, le Chœur tzigane Kazansky, l’Orchestre de balalaïkas Saint-Georges. En 1998, Natacha fonde simultanément « l’Ensemble Kalina » chants polyphoniques traditionnels russe à capella, ainsi que le groupe « Natacha et Nuits de Princes » tourné vers le jazz et les musiques du monde avec lesquels elle se produit régulièrement sur scène. Elle participe à la Bande originale de plusieurs films dont « Rire & Châtiment » d’Isabelle Doval avec José Garcia et « Hell » de Bruno Chiche avec Sarah Forestier http://www.nuitsdeprinces.com/

D’origine russe, polonaise, roumaine et française, Pascal étudie tout d’abord la guitare classique et brésilienne puis fonde le groupe brésilien Parioca. Il côtoie alors Joao Bosco, Les Etoiles, Roland Dyens et Tonino Ramos…. Suite à une rencontre fortuite avec Natacha qui l’embarque d’abord dans le Chœur Kazansky, puis dans le groupe « Natacha & Nuits de Princes », puis enfin dans le spectacle « Nuits de Montmartre », il se tourne définitivement vers les musiques de l’Est et joue également dans des formations de musiques judéo-espagnoles et Klezmer avec Yankélé, Marlène Samoun et Eve Grumer.

Centre Mado Robin
84 rue Mstislav Rostropovitch
75017 Paris

Réservation obligatoire Gratuite : 01 82 04 02 95

Le Chapelier Fou

présente le chanteur

“Vadim Piankov”

Samedi 25 septembre 2021 à 20h 

Au Chapelier Fou, 11170 Boisfort, Belgique

Sa première scène fut la vie elle-même. Il y a vu passer différents régimes politiques dans son pays : la Russie.

Vadim Piankov entame des études théâtrales dans la ville de Saratov et part à la conquête de la capitale pour rentrer dans la meilleure école de cinéma en Russie, le VGIK. Et c’est durant cette période qu’il fait la rencontre qui bouleversera plus tard sa vie. Il découvre Jacques Brel qui ouvre à Vadim un nouveau monde poétique – rebelle, sarcastique, plein d’amour et de compassion, de haine et de protestation.

 Vadim devient francophone et francophile par ses chansons . Il fait ses premières traductions de Brel et les chante devant des spectateurs intrigués sur le Vieil Arbat, la rue moscovite devenue pendant « la perestroïka » un lieu d’expression artistique sans censure. La chanson lui permet de poursuivre ses études, d’approfondir son talent d’interprète, de rencontrer de nouveaux publics.

Vient alors une autre époque, celle d’Eltsine, Vadim part à la découverte du pays brumeux de Jaques Brel, débarque dans les cafés chantants de Bruxelles, aborde les scènes des théâtres belges. En interprétant ce rebelle du « plat pays » en langue des steppes, il marie dans son âme, profondément slave, deux héritages culturels, passionnels et poétiques, russophone et francophone.

Il ne pouvait passer inaperçu. En 1999, la chaîne de télévision belge RTBF le choisit comme interprète de la chanson de Brel, « Ne me quitte pas », dans l’émission « Chanson du siècle ».

Le répertoire de Vadim Piankov s’enrichit, il enregistre des disques, avec des textes d’Alfred de Musset, Louis Aragon, Gérard de Nerval, Paul Verlaine, Jean Cocteau, Paul Eluard, Guillaume Apollinaire, Brassens et Barbara, Vissotsky et Okoudjava… et, bien sûr, ses propres textes.

Vadim Piankov à Montmartre

La Belgique devient petite pour cet artiste sans frontière. Il s’installe en France mais ne s’arrête jamais de voyager… PARIS-MOSCOU-BRUXELLES….

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Au Chapelier Fou,
Chaussée de la Hulpe 190,
1170 Watermael-Boitsfort, Belgique

Téléphone +32 2 660 66 86

ATTENTION :  Nombre de places limitées !!

Réservez dès que possible!

L’Alliance Française de Samara

Conférence de Marie Bellegou-Mamontof

“Histoire de Fédor Manontoff”

Mercredi 22 septembre 2021 à 18h30 (h de Moscou)

Musée de la Modernité, Samara (Russie)

l’Alliance française reprend l’organisation de visites mutuelles en face à face avec la France.


Rappelons que L’Alliance française de Samara , en Russie (oblast de Samara). Fondée en 2001, elle fut inaugurée le 3 juillet 20011 par le président Jacques Chirac. Hélène Carrère d’Encausse en est la marraine. Ses locaux se situent au 10 ul. Vyssotskogo, dans le centre historique de la ville.
Une première Alliance française a existé dans le gouvernement de Samara au début du xxe siècle.

Après une longue période de mise en ligne forcée d’événements culturels, l’Alliance Française a le plaisir de vous inviter à nouveau cette année au premier face-à-face avec une invitée de France, Marie Bellegu-Mamontoff,

Combien a-t-on dit sur la Grande Guerre patriotique et combien n’a pas été dit sur la Première Guerre mondiale. Marie Bellegu-Mamontoff, l’arrière-petite-fille de Théodore Mamontoff ou Fiodor Mamontov, veut combler ces lacunes de mémoire et raconter l’histoire de son arrière-grand-père, né le 8 juin 1892 à Labostroucheï (Russie) décédé à Dijon en 1974. En 1916, il est envoyé combattre en France au sein de la première brigade russe. Alors il ne savait pas encore qu’il ne reverrait plus jamais ni sa patrie ni sa famille. L’histoire sera accompagnée de photographies d’archives de cette époque, ainsi que d’une projection du film de Galina Shcherba “C’est le temps de cueillir des fleurs” basé sur un scénario d’Oleg Rakshin sur le sort des soldats et des officiers du Régiment expéditionnaire russe en France.

Depuis 1995, Marie mène son enquête partout dans le monde pour trouver des réponses à des questions qui ne diminuent pas chaque année : où est né Fedor Mamontov ? Quand et comment est-il arrivé en France ? Où habitiez-vous lorsque vous avez rejoint le régiment ?

Voulant connaître l’histoire de sa famille, Marie ouvre le voile sur l’histoire générale du Régiment expéditionnaire russe : 40 000 soldats, répartis entre quatre brigades spéciales d’infanterie russe, ont été envoyés par Nicolas II en France en échange de la fourniture d’armes. Outrée par une disparition aussi injuste de l’exploit des soldats russes qui se sont battus pour la liberté commune des pages des manuels scolaires, elle décide de créer une association de descendants de membres du corps expéditionnaire « Ours 16-18 », ainsi qu’un site internet avec mémoire documentaire de leurs mérites « brigadesrusses.fr ». Outre des informations générales sur la formation et la participation des brigades sur différents fronts, le site contient un résumé des biographies de ces soldats du corps expéditionnaire, dont les proches, comme Marie Bellegou, ne sont pas restés indifférents à leur passé.
Pour votre bien Fedor, pour votre bien Vasily, Peter, Sergei, Georges, Stepan, Vladimir et tous les soldats russes qui sont venus se battre pour la France, nous ne devons pas laisser votre victime être oubliée, mais continuer à exprimer notre gratitude et notre respect constants .

Le film “Le temps de cueillir des fleurs“, tourné par nos compatriotes, complétera l’histoire de Maria par des faits intéressants et méconnus de l’histoire. La première a eu lieu à Paris à la Maison Russe (MRSC) à l’occasion de la Journée du Souvenir du Soldat inconnu.
L’intrigue est plus proche de nous que jamais : le deuxième régiment spécial du corps expéditionnaire a été formé à Samara !

Nous attendons tout le monde au rendez-vous pour une immersion commune dans l’histoire de nos ancêtres au Musée de la Modernité

Musée de la modernité
159 rue Frounze, Samara (Russie)
Tél : + 7 (846) 333 24 98

17ème Festival Culture – Russe

THÉÂTRE – MUSICAL

Kirill Terr et le Théâtre de l’Atalante

présente

“Festival de Culture Russe COSMOS 17”

Du mercredi 27 au samedi 30 octobre 2021

Théâtre de l’Atalante, 75018 Paris

 17ème année, un moment passé en compagnie d’artistes russes et français pour cette fête de la scène avec un programme chaque fois fourmillant de talents, de disciplines diverses et d’énergies toujours renouvelées.

le festival sera nommé non seulement par l’artiste, le réalisateur, le théâtre du ′′ Lycedei ′′ et la ′′ Famille ′′ Boris Petrushansky, mais également par notre ami intime, poète et artiste Alexey Hvostenko (Tail). C’est le premier festival annuel à recevoir le nom d’Alexis Hvostenko.

Pour se plonger un temps dans l’ambiance festive de la culture russe…

Mercredi 27, jeudi 28 et vendredi 29 octobre 2021 à 20h30 

Sera présenté  la performance de la littérature russe Arkady Averchenko  .
 
«Carnets d’un simple d’esprit»
(Version russe de la pièce sous-titrée en français).
Un merveilleux classique de la littérature russe – Arkadiy Averchenko, sera interprété par une troupe de théâtre – «Artel»
 
Une étonnante fusion d’humour, de tristesse et de profondeur, reflétée dans de petites histoires, sera présentée au public parisien, qui aime un vrai théâtre, qui a récemment été curieux et bienveillant envers les productions théâtrales, avec une grande attention à la performance du théâtre L ‘ ATALANTE à Montmartre.

Arkady Timofeïevitch Avertchenko (en cyrillique: Арка́дий Тимофе́евич Аве́рченко), né le  à Sébastopol, décédé le à Prague, écrivain, critique et dramaturge russe. 

Averchenko se spécialise notamment dans le genre satirique. qui a réussi à faire rire la Russie, avait un caractère léger et joyeux, ce qui est assez inhabituel pour un humoriste.
Il écrit pour le journal humoristique Strekoza, puis fonde avec plusieurs jeunes collaborateurs de ce périodique la nouvelle revue Satyrikon en 1908, qu’il dirige et qui s’arrêtera en 1914, rebaptisé “Nouveau Satyrikon” . Il émigre à Paris,  après l’invasion de la Crimée par les Bolchéviques en 1920, puis à Prague où il meurt….

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L’ année dernière, le festival Cosmos présenta une rétrospective de trois différentes représentations du théâtre ′′ Derrière la rivière noire ′′ (Saint-Petersburg) a été présentée au festival ′′ Morphine ′′ par Mikhail Bulgakov ′′ Théâtre dramatique d’Astrakhan “, qui s’est tenu dans des salles pleines avec un grand succès dans les jours de l’amitié russe-française.
 
Samedi 30 octobre 2021, clôture du Festival
 
Célébration du 80 ème anniversaire de la légende du rock russe Alexei Lvovich Hvostenko (Tail).

NOVAÏA AVSTRALIA

Avec  : Alexey Batoussov, Kirill Butchenik, Kirill Terr et d’autres amis.
 
 

Alexei Khvostenko est né le 14 novembre 1940 à Sverdlovsk (aujourd’hui Iekaterinbourg).  Il a étudié à l’Institut national du théâtre, de la musique et de la cinématographie de Leningrad il a fondé un groupe littéraire d’avant-garde, “Verpa”.
En 1968, Khvostenko s’installe à Moscou et devient une figure active des cercles littéraires clandestins russes, publiant sa poésie et ses chansons par le biais du samizdat. Khvostenko est devenu une figure de premier plan dans la renaissance du mouvement d’avant-garde dans la littérature et l’art soviétiques qui est devenu possible pendant le “dégel” de Nikita Khrouchtchev après la mort de Joseph Staline. Il est parfois surnommé le « grand-père du rock russe ». Bien qu’il ne se considérait pas comme un dissident politique, Khvostenko était régulièrement harcelé et persécuté par les autorités soviétiques, accusé de parasitisme social, et à un moment donné a été placé dans un hôpital psychiatrique (une tactique couramment utilisée par les autorités soviétiques pour punir les dissidents). À l’époque, Khvostenko était de bons amis avec un éminent poète russe Joseph Brodsky, qui a également été persécuté par les autorités soviétiques. En 1977, Khvostenko a été contraint de s’installer à Paris. Là, Khvostenko, avec Vladimir Maramzin, a lancé un journal littéraire, “Echo” (russe: “ЕХО”). devenant une figure de proue de la communauté littéraire russe en France. Son studio parisien dans le 10e arrondissement de Paris – est devenu « une sorte de club, où se produisaient de nombreux groupes et chanteurs célèbres ». Alors qu’il vivait en France, Khvostenko a enregistré un certain nombre d’albums de chansons, dont plusieurs albums dans les années 1990 avec le groupe de rock russe Auktyon. Ses chansons sont devenues très populaires en Russie, en particulier après la dissolution de l’Union soviétique.

En 2004, après un appel personnel au président Vladimir Poutine, Khvostenko a recouvré sa nationalité russe. Par la suite, il partagea son temps entre Paris et Moscou. Alexei Khvostenko est décédé d’une insuffisance cardiaque le 30 novembre 2004 dans un hôpital de Moscou.

Un an après sa mort, les amis d’Alexei Khvostenko ont publié ses œuvres littéraires rassemblées dans une anthologie appelée “Verpa” – un mot “inventé par Khvostenko pour décrire son credo littéraire”.

 
Chers amis, attention !
 
Places limitées disponibles à 5O personnes 
 et donc les passe-sanitaires ne sont PAS requis.
Mais le port du masque est obligatoire.
 
Nous sommes impatients de vous voir pour notre célébration de la vraie créativité.
 
 
 

Théâtre de l’ATALANTE
10, Place Charles Dulin, 75018, Paris

Métro :  Abbesses (ligne 12), Anvers (ligne 2)
Information : 06 78 32 24 92

Tarifs: 15€ normal, 12€ étudiants
Réservation : 01 42 23 17 29

Progammation musicale avec

Véronika Bulycheva

avec

Emik Evci (contrebasse) et Darya Pazharytskaya (Violon)

Vendredi 15 octobre 2021 à 20h

Patronage laïque Jules Valles, XV° Paris

A l’occasion de la sortie de son dernier CD “LETI” (Envole-toi)

Veronika Bulycheva, interprète des chants russe et français, accompagné de guitare ou d’accordéon.
Elle est née d’un père russe et d’une mère oudmourte dans un petit village de l’Oural, en Russie.
En France depuis 1992, Veronika vogue à la perfection sur un répertoire traditionnel qu’elle agrémente d’une délectable pointe de blues et de textes poétiques de langue française, agréablement pimentés d’un accent slave des plus pointus. C’est « world », c’est « trad », mais tellement neuf que l’on peut qu’être immédiatement séduit et à jamais conquis.

Elle a auto-produit 5 albums CD, enregistrée 5 albums de chant traditionnelle russe sous label ARB music, participé à des émissions de radio, télé, réalisé des tournées à travers la France, Belgique, Suisse et la Russie.

Plus de renseignement sur l’artiste et ses tournées : CLIQUEZ

Emik Evci (contrebasse), Véronika Bulycheva (guitare et chants), Darya Pazharytskaya (Violon)

Patronage laïque Jules Valles
72 Av. Félix Faure, XV°, Paris
Tél : 01 40 60 86 00

Tarifs: 16 et 14€ (Paiement sur place)

Réservation obligatoire: CLIQUEZ

Métro : Boucicaut (ligne 8)

50ème Concert de

l’Association Chants Liturgiques Orthodoxes

“Chant Liturgiques Orthodoxes”

avec :

Ensemble slava, chœur de la cathédrale des Trois Saints Docteurs,

Chœur Znaménie, Chœur de la Cathédrale Alexandre Nevsky

Chœur de la Cathédrale de la Sainte Trinité.

Dimanche 10 octobre 2021 à 16 h

Cathédrale de la Sainte trinité , 75007 Paris

ENTRÉ GRATUITE

L’association « Chants Liturgiques Orthodoxes » a été fondée en 1969 par un groupe de « zélateurs » du chant orthodoxe. Voyant peu à peu disparaître, après la seconde guerre mondiale, les chefs de chœur qui avaient jusqu’alors assumé leur rôle dans les paroisses orthodoxes russes en France et à l’étranger, ils comprirent l’urgence de transmettre à la jeune génération cette tradition du chant apportée dans les années 20 de Russie par leurs parents, les émigrés russes.

A l’initiative de Nicolas Spassky, Igor Vassilieff et Alexandre Filatieff, une assemblée de plus de cinquante personnes fut réunie, regroupant les principaux spécialistes (chefs de chœur, compositeurs, chantres …) de toutes les juridictions. Les objectifs suivants furent définis : la conservation, le développement, l’étude du chant liturgique orthodoxe. Un comité de travail fut créé comprenant des personnes comme A. Javoronkoff, N. Ossorguine, M. Kovalevsky, N. Kedroff, E. Evetz, G. Grigorieva et d’autres. Des personnes de l’étranger, comme I. Gardner, ou de province s’y joignirent par la suite. Le bureau élu de l’Association comprenait : Igor Vassilieff (président), Maxime Kovalevsky et Alexandre Filatieff (Vice-présidents), Nicolas Spassky (secrétaire), Pierre Nikitine (trésorier). Depuis peu le bureau de l’association a changé, le protodiacre Alexandre Kedroff (Président), Nadia Lebedeff (secrétaire) et Marina Pervichine-Poulet (trésorière).

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Ensemble ” SLAVA”, est composé d’une quinzaine d’artistes qui s’attachent à travailler et à faire connaître le répertoire sacré orthodoxe à la croisée des sources orientales et des influences occidentales. Sous la direction de Marina Pervichine-Poulet.

Cet ensemble est unique en France : c’est le seul chœur de musique sacrée orthodoxe composé uniquement de voix féminines .
Il donne régulièrement des concerts en France.

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Chœur de la cathédrale des Trois Saints Docteurs,

Chorale sous la direction du Chef de chœur Alexandre Rehbinder

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Chœur Znaménie, Ensemble formé depuis 2009, sous la direction d’Ekaterina Anapolskaya. Son répertoire  est constitué de plus de soixante pièces de musique liturgique russe bien souvent écrites par les plus illustres compositeurs russes (Tchaïkovski, Rachmaninoff, Balakirev, Tchesnokov, Gretchaninoff, …) mais aussi de musique profane : chœurs d’opéra, musique de chambre, chants populaires.

Le chœur se produit régulièrement en concert (le plus souvent à Paris) dans le cadre de manifestations consacrées à la musique liturgique orthodoxe russe : concerts de Noël et de Pâques, célébration des 150 ans de la cathédrale orthodoxe russe de Paris (Rue Daru), heures musicales de Saint-Roch… .

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Chœur de la Cathédrale Alexandre Nevsky, sous la direction du Protodiacre Alexandre Kedroff,

Avant 1917, ce sont des chanteurs professionnels français qui y font office de choral. Alors qu’après la révolution russe de 1917 et avec l’arrivée de la première vague d’émigration, ce sont des chanteurs d’opéra russes qui prennent la relève. La nomination au poste de maitre de chapelle d’Evguény Evetz en 1962 permet une toute nouvelle dynamique. Diplômé du conservatoire de Varsovie et excellent pédagogue, il élargit le répertoire du choeur et crée un nouveau style d’interprétation qui se caractérise par la rigueur, la justesse d’intonation et la précision rythmique. Travailleur infatigable, Evetz fait connaître le choeur de la cathédrale à travers le monde, comme l’un des meilleurs choeur de l’émigration russe. En 1988 il passe le flambeau à son fils aîné Basile (1937-2008).
Lorsque Basile Evetz se retire en 2007, c’est le protodiacre Alexandre Kedroff qui prend la tête du choeur de la cathédrale. Issu d’une génération illustre de musiciens, le protodiacre Alexandre Kedro hérite naturellement du patrimoine culturel familial. Après des études de musique, complétées par un cursus de théologie à l’Institut St-Serge de Paris, il est ordonné diacre à la cathédrale St-Alexandre-Nevsy, où il seconde le Maître de Chapelle Basile Evetz jusqu’en 2007.
Depuis sa nomination à la tête du chœur de la cathédrale, Alexandre Kedroff se consacre entièrement à cette fonction et contribue à l’enrichissement du répertoire par des compositions de son père et de son grand-père, ainsi que des œuvres basées sur des mélodies anciennes russes du chant neumatique “znamenny”.

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Chœur de la cathédrale de la Sainte Trinité, la chorale dirigée par Marina Politova, membre du Conseil Patriarcal pour le développement du chant ecclésial russe .

La chorale de la Cathédrale Sainte-Trinité est un ensemble professionnel avec un répertoire riche d’œuvres de musique sacrée. La chorale participe aux divers festivals de musique sacrée, à des émissions à la radio et organise des concerts.

La chorale de la cathédrale de la Sainte Trinité a participé à plusieurs concours et festivals internationaux. Elle a remporté le Grand Prix du concours « Racconto di Primavera 2021 » (Ravenne, Italie) et a reçu un diplôme pour sa participation au festival international « Spring Symphony 2021 » (Prague, République Tchèque).

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Cathédrale de la Sainte Trinité
Quai Branly, 75007  Paris

Métro : Alma Marceau,  RER : Pont de l’Alma

On vous rappelle que le port de masque est obligatoire et la distanciation sociale
doit être respectée tout au long de l’évènement

Vidéo-conférence

d’ Elisabeth Rossary

” Ilia Répine le peintre du peuple “

Mardi 5 octobre 2021 à 19h

Tsar voyage, 75010 Paris

Inscription Obligatoire : CLIQUEZ

Ilia Éfimovitch Répine (1844-1930), est un artiste éclectique, il est peut-être le plus important de la moitié du 19ème siècle, son inspiration allant de Rembrandt à l’Impressionnisme. Il a été considéré comme le véritable chantre du peuple tel que le découvrait l’intellingentzia russe au temps de l’abolition du servage.

C’est le “Samson de la peinture” dit un critique de cette époque.

Elisabeth Rosemary, bibliothécaire et conférencière, dans son travail de recherche sur ce peintre elle a retrouvé ses descendants directs habitant la région lyonnaise et stéphanoise : un témoignage hors du commun.

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TSAR VOYAGES
58 rue de Paradis, 75010  Paris

Tél: 01 75 43 96 77
Renseignements : CLIQUEZ
Tarif :
5€, Gratuit pour Les Amis de Tsar Voyages 

INSCRIPTION OBLIGATOIRE : CLIQUEZ

Métro : Poisonnière (ligne 7) : 3 min
Notre Dame de Lorette (ligne 12) : 11 min
Bus : 26, 43, 45 (Square Montholon), 32 (Hauteville), 39 (Paradis)

Attention nombre de places limités

Au Carré Belle-Feuille

spectacle Tsigane

avec

Petia Iourtchenko, et sa troupe.

Mardi 5 octobre à 20h30

Carré Belle-Feuille, 92100  Boulogne-Billancourt

Création et chorégraphie : Petia Iourtchenko.
Collaboration artistique : Johanna Boyé
Chant : Lilia Roos-Dalskaïa.
Avec : Maxim Campistron, Alissa Doubrovitskaïa, Petia Iourtchenko, Cécile Joseph, Mary Landret, Simon Renou, Kevin Souterre et Angélique Verger.
Musiciens : Dario Ivkovic, Frederick Fraysse et Pascal Rondeau

Pétia IOURTCHENKO est né à Donetzk en 1957, dans la tribu des «Vlach». A l’âge de 16 ans, il passe le concours du prestigieux «Théâtre Romen» de Moscou. Dès son intégration, il participe aux spectacles et devient alors le plus jeune comédien, danseur, chanteur dans l’histoire du théâtre. Il se forme parallèlement à l’institut «Gnesenikh», où il étudie l’art dramatique, la danse, le chant et l’histoire de l’art. Entre 1974 et 1988, Pétia se produit dans toute la Russie, ainsi qu’à l’étranger (Japon, Inde, Yougoslavie, France…) En 1988, il joue avec la troupe pour la première fois à Paris au «Théâtre Mogador». En 1989, il quitte le «Théâtre Romen» et revient à Paris, où il se produit dans différents cabarets. En particulier au «Balalaïka», où tous les artistes de l’Est sont passés. Il rencontre Pascal De Loutchek, chanteur, guitariste d’origine russe; et Lilia Dalskaïa, chanteuse et ex-comédienne du «Théâtre Romen». Ils forment alors le trio «Arbat». Le trio se produit à New-York, Londres, Oslo, Madrid, Budapest … dans différents festivals et enregistre trois albums.

À travers une dizaine de tableaux, le chorégraphe Petia Iourtchenko nous ouvre les portes de son peuple, celui des Tziganes. Un voyage d’une énergie incroyable, cadencé entre les volants des jupes virevoltantes, le son rythmé des chaussures martelant le sol et la voix chaude et profonde de Lilia Roos-Dalskaïa.

Lilia Roos-Dalskaïa de père tzigane musulman venu de Crimée et de mère russe de Moscou, tout deux chanteurs et musiciens de romances, Lilia Roos-Dalskaïa a durant dix années participé à toutes les tournées du Théâtre Romen comme comédienne, danseuse et chanteuse, avant de suivre un mari français vers l’ouest. Elle arrive à Paris dans les années 80, et en 1989 à Paris, elle découvre des airs disparus à Moscou et préservés par la mémoire des exilés de la révolution de 1917. Elle participe, avec notamment Petia Iourtchenko, à la création de l’ensemble Arbat (en hommage au quartier bohème moscovite), avec lequel elle tourne sur des scènes françaises aussi prestigieuses que les Opéra de Lyon et de Montpellier, l’Olympia ou encore le Château de Versailles, mais également dans le monde entier. C’est en 2005 que Marie-Claude Pietragalla fait appel aux artistes d’Arbat pour participer au spectacle « Ivresse ». Lilia poursuit, depuis la séparation du groupe, une carrière en solo, se produisant dans de nombreux concerts et festivals. Elle a récemment participé à la création « Opéra Rom » des frères Ferré, avec des artistes comme Biréli Lagrène et Richard Galliano.



Le Carré Belle-Feuille
60 rue Belle Feuille, 92100 Boulogne-Billancourt

Tarifs : à partir de 30,80€
Réservation : 01 55 18 54 00

Accès :
Métro : ligne 9 Marcel Sembat ; ligne 10 Boulogne/Jean-Jaurès ;
Bus : 123, 126, 175, 72 
Parking de l’Hôtel de Ville

Journée du Patrimoine

Soirée musicale

Samedi 18 septembre 2021 à partir de 18h

Conservatoire Russe de Paris Serge Rachmaninoff, 75116 Paris

Depuis 1932 Horowitz, Milstein,Piatigorsky,Borovsky ont contribué au rayonnement du Conservatoire en y donnant des concerts.
1983 LA SOCIETE MUSICALE RUSSE EN FRANCE est reconnue d’utilité publique.
1990 La Ville de Paris subventionne régulièrement le Conservatoire Russe de Paris Serge Rachmaninoff, témoignant ainsi son soutien et son attachement à la culture musicale russe.

COURS INDIVIDUELS
Chant, Piano, Violon, Alto , Violoncelle , Guitare (classique, flamenco) Harpe, Flûte , Clarinette ( Klezmer/Tzigane d’Europe Centrale) , Balalaïka, Saxophone Basson, Accompagnement piano. COURS COLLECTIFS Solfège, Composition, Harmonie,
COURS COLLECTIFS
Solfège, Composition, Harmonie, Contrepoint, Analyse, Histoire de la musique , Cours d’interprétation, Solfège pour chanteurs.

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Conservatoire Russe de Paris Serge Rachmaninoff
26, avenue de New-York, 75116, Paris

Métro : Alma-Marceau
Bus : 72,  arret Musée d’art moderne .

Rencontre avec

Jean de Boshue

pour la parution du roman

“La vie interromprue de Sergueï Alexandrovitch Essenine”

Edit. Bartillat.

Mardi 21 septembre 2021 à 18h 30

Librairie l’Écume des pages , 75006 Paris

Le destin de Sergueï Essenine (1895-1925), un des plus grands poètes russes, plonge le lecteur dans le tourbillon de l’histoire du XXe siècle. En pleine période de perestroïka, Alexis Kars, officier du KGB sur le point de partir à la retraite, enquête sur Essenine et les circonstances obscures de sa mort. C’est l’occasion pour lui de retrouver le monde d’avant 1914, alors en pleine ébullition artistique et littéraire. Puis survient la Révolution d’octobre, à laquelle Essenine adhérera, avant d’être emporté par la lame de fond. Au cours de sa vie, le poète voyou connut également une vie sentimentale mouvementée. On se souvient notamment de son mariage avec la célèbre danseuse américaine Isadora Duncan, avec laquelle il voyagea, ou de celui avec Sophie Tolstoï, la petite-fille de l’écrivain. À force de puiser dans les archives et de rencontrer les derniers témoins, Kars s’interroge sur le « suicide » d’Essenine. Que s’est-il réellement passé le 28 décembre 1925 à l’hôtel Angleterre de Leningrad ? On sait qu’une fois les révolutions terminées, on achève bien les poètes.

À travers ce roman épique et tumultueux, Jean de Boishue nous entraîne au cœur d’une traque politique et littéraire à travers l’histoire russe du siècle dernier, dont nous ne sommes pas tout à fait sortis.

(Voir sur Artcorusse 125ème anniversaire d’Essenine : CLIQUEZ  )

Format : Broché
Nb de pages : 250 pages
Poids : 317 g
Dimensions : 15cm X 21cm
Prix : 19€
Date de parution : 26/08/2021
ISBN : 978-2-84100-711-0
EAN : 9782841007110

Librairie l’Écume des pages
117 Bd St Germain
75006, Paris

Tél : 01 45 48 54 48

Métro St Germain-des-Près

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Jeudi 2 septembre 2021 à 19h

Festival du film historique

” Afrique”

réalisatrice Daria Binevskaya
 
 
Salle de cinéma MRSC, Paris
 
Version originale sous-titrée en anglais
 

Le premier film dans la salle de cinéma de la MRSC à Paris en automne.
 
Dans le cadre du Festival ” Journées du cinéma historique de guerre “
 
Long métrage “Afrique” ​​​​(Russie, 2021)
Durée : 53 mn
 
Metteurs en scène – Daria Binevskaya,

Réalisé par Nadia Slavetskaia.

Producteur général – Dmitry Belosokhov

Producteurs – Andrey Matveev, Elbor Chernov, Mikhail Gramatikopulo

Productrice créative – Nadia Slavetskaya

Directeur de la photographie – Mitia Gorevoy

Compositeur – Lina Hertz

Acteurs : Ekaterina Guseva, Igor Petrenko, Oleg Chugunov,

Alexey Rodionov, Alisa Klagish, Mark Vdovin, Andrey Matveev

 
Avec : Igor PETRENKO et Ekaterina GUSEVA.

“Les événements  se déroulent en hiver 1943 dans la période la plus difficile du blocus de Leningrad dans le village de Valeianovka, où seule la mère (Ekaterina Guseva) et trois enfants restent de tous les habitants: l’ainé – Sanka (Oleg Chagunov), le benjamin – Egorka (Alexey Rodionov) et la cadette une très petite fille – Masha (Alice Klogish). La mère malade est déjà trop faible pour une randonnée lointaine dans la forêt à la recherche de nourriture. Un  journées le frère aîné Sanka, prend avec lui son frère cadet , Egorka et ils traversent un champ miné, afin de trouver au moins un peu de nourriture pour la famille . Les frères font une trouvaille incroyable – après le bombardement récent sur le champ de bataille,  ils trouvent une énorme chien berger blessé. Sanka est devant un dilemme, sauver le chien  ou la famille de la faim. Les enfants le prennent avec eux, mais à cause du terrible blizzard, ils n’ont pas le temps de retourner à la maison et reste dormir à Saraj.  “Ce n’est pas un chien. C’est la nourriture “., pense Egorka. La nuit, le chien reprend conscience et sauve les enfants du gel en les réchauffant avec son corps… Sur le cou du chien de berger, Egorka découvre une médaille d’un bataillon de chiens détecteurs de mines et se rend compte que le chien est un militaire. L’enfant est confronté à un choix tout à fait enfantin – sauver un chien ou une famille. Mais le chien est un militaire alors ….”

Version originale sous-titrée en anglais.
 
 
Binevskaïa Daria Alexandrovna,  est née le 19 septembre 1982. Scénariste, réalisatrice, actrice, auteure et présentatrice d’émissions pour enfants et jeunes.
En 2012, elle est diplômée de l’Université d’État de la culture et des arts de Moscou, département d’art dramatique (atelier de L. D. Titov, T. I. Galperin). En 2019, elle est diplômée de l’Institut panrusse de cinématographie (atelier de réalisation de longs métrages de V. Akhadov, E. Shelyakin). En 2008-2011. a travaillé comme animateur de programmes sur la chaîne de télévision VKT (“Art-Detachment”, “L’heure et arrivée”, “Surprise”). En 2007-2008. – Responsable des rubriques de l’antenne du matin (chaîne TV CJSC Doverie).

La pré-inscription est obligatoire : crsc.paris@crsc.fr

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Exposition documentaire 

” Impossible d’oublier “

Du vendredi 3 au jeudi 30 septembre 2021

Panneaux extérieurs de la MRSC

L’année du 80e anniversaire du début de la Grande guerre Patriotique.

A l’occasion de la fin de la Seconde Guerre mondiale (le 3 septembre).

En collaboration avec la Société d’histoire russe.

Panneaux extérieurs de la MRSC.

En français.

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Exposition virtuelle du peintre

Igor Tokarev

Samedi 4 septembre 2021

Sur le site : https://crsc.fr/

Une grande exposition virtuelle de l’artiste Igor Tokarev sur le site de la Maison russe à Paris

Le 4 septembre, la Maison russe des sciences et de la culture à Paris invite le public à découvrir l’œuvre de l’artiste Igor Tokarev.

Un large éventail de tableaux du peintre russe — des toiles de style académique aux thèmes de l’histoire chrétienne en passant par des expériences audacieuses de l’impressionnisme et du néo-expressionnisme — sera présentée lors de l’exposition.

Igor Tokarev est né en 1967. Une fois diplômé de l’École d’art de Iaroslavl, il intègre le département de production de l’Institut national de la cinématographie S.A.Guerassimov (VGIK). Plus tard, il se réoriente vers la réalisation.

Depuis 1996, il travaille dans le domaine de la télévision, participe au tournage de concerts et d’autres émissions.

En 2014, il décide de revenir à ses racines et se lance dans les beaux-arts, ce qu’il continue de faire avec succès aujourd’hui.

Les œuvres de l’artiste se trouvent dans des musées en Russie, ainsi que dans des collections privées, tant en Russie qu’à l’étranger. Il est membre de la Fondation internationale des arts (la fondation publique).

C’est la première rencontre avec le public français, que l’auteur précède par une introduction suivante : « Mon travail, c’est ma vie, dans laquelle il y a eu beaucoup de hauts et de bas, de joies et de peines. Mais la vie est la vie, tout comme la créativité. Parfois, il est très difficile de franchir la ligne pour passer d’une vie paisible et bien nourrie à une nouvelle et brumeuse. Mais cette nouveauté, c’est l’évolution de l’artiste, sa recherche, son expérience.

Cette exposition présente des images de ma nouvelle vie créative. Tout ce que je vis au quotidien, ce qui m’inspire et m’inquiète. Je fais des erreurs, mais je vais de l’avant.

La vérité est la définition du véritable art.

L’honnêteté est le credo d’un véritable artiste. »

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Exposition de photos

de la société russe de géographie

‘Le plus beau pays”

“Les voiles de Russie”

Lundi 6 septembre 2021

Sur invitation

Inauguration du Centre de la Société russe de géographie en France

Nous avons le plaisir d’annoncer la création du Centre de la Société russe de géographie en France.

Cette association (loi 1901) réunit les Français et les Russes et a pour objectif de favoriser la connaissance du patrimoine géographique et historique de la Russie et, nous l’espérons, représentera un appui supplémentaire pour les échanges entre les activistes et les spécialistes de nos deux pays dans le domaine de la géographie et de l’environnement.

L’association s’oriente vers une coopération étroite avec la Maison russe des sciences et de la culture à Paris et se projette vers l’organisation de nombreux événements culturels communs.

L’inauguration officielle du CSRGF aura lieu le 6 septembre 2021 à la Maison russe des sciences et de la culture située à 61, rue Boissière, 75016 Paris.

 

Il est prévu que la délégation de la Société russe de géographie sera composée de  Nikolaï KASSIMOV, le premier vice-président de la Société russe de géographie, l’académicien de l’Académie russe des sciences et de Vladimir KOLOSSOV, le vice-président de la Société russe de géographie et le premier vice-président de l’Union géographique internationale.

Parmi les invités à la cérémonie officielle, il y a des géographes français, des représentants de la Société française de la géographie, des associations géographiques, du monde socio-économique et des mairies des villes françaises liées aux villes russes par le jumelage.

L’entrée à l’inauguration est sur l’invitation avec le respect obligatoire des mesures sanitaires en vigueur.

La personne à contacter pour l’accréditation des journalistes et plus d’information :
Natalia Savisko  : tél. + 33698976584,
Courriel : csrg.fr@gmail.com.

* * *

Toute personne intéressée peut devenir membre de l’association pour recevoir les informations sur des expéditions, des expositions, des rencontres avec des voyageurs célèbres, des conférences, des jeux intellectuels et d’autres événements que nous mettons en place en France en collaboration avec la Société russe de géographie et la Maison russe des sciences et de la culture à Paris.

Pour devenir membre, veuillez faire parvenir un mail avec la demande d’adhésion à csrg.fr@gmail.com.

 

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Exposition historique et documentaire

“Vers la Grande Victoire, les cosaques dans la
Grande Guerre Pariotique”

Du lundi 13 au dimanche 19 septembre 2021

L’année du 80e anniversaire du début de la Grande guerre Patriotique (1941–1945).

A l’occasion de la Journée de la fin de la Seconde Guerre mondiale (3 septembre).

Exposition historique et documentaire « Vers la Grande Victoire. Les cosaques dans la Grande guerre Patriotique »

Avec le concours : Agence fédérale des archives de la Fédération de Russie. Archives d’État d’histoire sociale et politique. Comité synodale de lÉglise orthodoxe russe pour la coopération avec les cosaques. Forum russo-français d’initiatives sociales et culturelles.

En russe et en anglais.

14 septembre | 19:00

Inauguration

Dans la Salle de cheminée de la MRSC à Paris.

L’exposition consacrée à la contribution des Cosaques à la Victoire est programmée à l’occasion du 80e anniversaire du début de la Grande guerre Patriotique et de la Journée de la fin de la Seconde Guerre mondiale (3 septembre).

Le projet a été préparé conjointement avec l’Agence fédérale des archives de la Fédération de Russie, les Archives d’État d’histoire sociale et politique, le Comité synodal de l’Église orthodoxe russe pour la coopération avec les Cosaques et le Forum russo-français d’initiatives sociales et culturelles auprès de la MRSC à Paris.

Au début de la guerre, après les premières batailles et pertes, il a été décidé d’augmenter le nombre de divisions de cavalerie dans l’Armée rouge. Les Cosaques ont pris la part la plus active à leur formation. L’exposition présente non seulement les décisions du Comité d’État pour la Défense de l’URSS sur la formation de divisions de cavalerie, mais aussi celles des comités régionaux du Parti communiste (bolcheviks) de Rostov et d’Adyguée, des comités territoriaux de Krasnodar et de Stavropol du Parti communiste (bolcheviks) de l’Union soviétique sur la création des escadrons cosaques (des « sotnias »), des divisions cosaques et des bataillons d’infanterie (des « plastounes »), la mobilisation de volontaires, ainsi que la préparation au combat.

La formation des divisions de cavalerie se heurtait à un certain nombre de difficultés : en plus de l’équipement habituel, il fallait fournir aux soldats des chevaux avec harnais et selles.

L’exposition présente des documents authentiques des comités régionaux du Parti communiste (bolcheviks) de l’Union soviétique du Kazakhstan, du Tadjikistan, ainsi que des comités régionaux de Tchkalovski, d’Ordjonikidzé et d’Adyguée sur la production et la fourniture d’épées, de sabres, de lames et de fers à cheval aux divisions de cavalerie, sur la confection de chapeaux Koubanka, et sur la collecte de chevaux et de selles auprès de la population à leur profit.

L’exposition présente les combats menés par des divisions et des corps cosaques à travers les échanges via une ligne directe entre le lieutenant-général Fiodor Bokov et le général de l’armée Ivan Tioulenev, par le biais des rapports des secrétaires du comité régional de Rostov, des comités territoriaux de Krasnodar et de Stavropol, des lettres du corps cosaque à Joseph Staline et à Mikhaïl Kalinine, ainsi que des photographies prises lors des opérations militaires des divisions cosaques.

Les rapports opérationnels et de renseignement du Quartier général du mouvement des partisans de Krasnodar, les dossiers et les archives relatifs aux détachements partisans, ainsi que les certificats du comité régional de Rostov témoignent de la participation des Cosaques au mouvement des partisans sur le territoire temporairement occupé de l’URSS.

Les documents présentés à l’exposition révèlent non seulement le thème de la participation des Cosaques aux opérations militaires, mais témoignent également de leur travail à l’arrière. Un volet de l’exposition distinct est consacré à la collecte des ressources pour le fonds de défense de l’Armée rouge. Les télégrammes des kolkhoziens et des secrétaires des comités régionaux à Joseph Staline parlent de la collecte de fonds par les Cosaques pour la construction des colonnes de chars « Kouban soviétique », « Cosaque du Don », « Kolkhozien du Don », des escadrons « Don libéré », « Recrue du Don » … de nombreux kolkhoziens demandent le transfert des fonds collectés par leurs soins pour la production d’armes pour le corps cosaque. Les lettres de réponse de Staline dans lesquelles il exprime sa gratitude pour le soutien de l’Armée rouge sont également présentées.

L’exposition sera ouverte dans la salle de cheminée de la MRSC du 13 au 30 septembre de cette année. L’entrée est libre.

Les documents sont présentés en russe et en anglais.

L’entrée à l’exposition s’effectue avec le port obligatoire du masque et le respect des règles sanitaires en vigueur.

Entrée sur inscription préalable.

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Exposition

“Vie et œuvre de Fiodor Dostoïevski”

Du lundi 20 au jeudi 30 septembre 2021

Salle de marbre de la MRSC

En russe et en français

 À l’occasion de la célébration du 200e anniversaire de la naissance de Fiodor Dostoïevski, l’inauguration de l’exposition sur la vie et les œuvres du grand écrivain aura lieu à la Maison russe des sciences et de la culture à Paris. Elle est préparée par le Musée mémorial littéraire Dostoïevski à Saint-Pétersbourg.

 La directrice du Musée littéraire Natalia Ashimbaeva et l’auteur de l’exposition, Vera Biron directrice adjoint du Musée pour les projets créatifs,  interviendront à distance à l’inauguration de l’exposition.

Le musée à St Pétersbourg a été ouvert le 13 novembre 1971 dans une maison située ruelle Kouznetchny, où l’écrivain avait loué un appartement à deux reprises : en 1846 et à partir du mois d’octobre 1878 jusqu’à sa mort, le 28 janvier 1881. Ici, l’auteur a travaillé sur sa nouvelle « Le Double », ainsi que sur son dernier roman « Les Frères Karamazov ». L’appartement a été reconstitué d’après les souvenirs de ses contemporains et de sa femme. Une exposition littéraire consacrée à la vie et à l’œuvre de Dostoïevski a été ouverte à côté.

Le nom de Dostoïevski est étroitement associé à Saint-Pétersbourg, la ville où un certain nombre de ses œuvres ont été créées et où ont vécu les héros de ses célèbres romans. Moscovite d’origine et par son enfance, Pétersbourgeois d’esprit et de créativité, Dostoïevski a créé une image unique de Pétersbourg, fantastiquement reconnaissable et particulièrement personnelle.

Pour Dostoïevski, Saint-Pétersbourg est « la ville la plus réfléchie et la plus abstraite du monde ». Par la bouche de ses héros, Dostoïevski exprime aussi son attitude à son égard : « … c’est un grand malheur de vivre à Saint-Pétersbourg », « c’est une ville des personnes à moitié folles … Il y a peu d’endroits où il y a autant d’influences sombres, dures et étranges sur l’âme humaine, comme à Saint-Pétersbourg. » Et pourtant Dostoïevski aimait beaucoup Pétersbourg. C’est la ville de sa jeunesse, de sa naissance en tant qu’écrivain, de ses succès vertigineux, de ses expériences tragiques et de ses pertes. Il avait besoin de lui pour la créativité : Pétersbourg devenait souvent la source de son inspiration. Le quittant, Dostoïevski cherchait toujours à y revenir, puis en revenant, il en était accablé.

Il a beaucoup voyagé, huit fois en Europe, y a vécu pendant environ cinq ans et demi. Il n’a jamais été un voyageur au sens propre : « … toute son attention était prêtée aux gens, et il n’a saisi que leur nature et leurs caractères, parfois l’impression générale de la vie urbaine ». Dostoïevski méprisait « la manière habituelle et officielle de visiter des lieux touristiques selon le guide ».

L’attitude générale de l’écrivain vis-à-vis de l’Europe est restée inchangée : « Vivre à l’étranger est très ennuyeux, peu importe où … ». Dostoïevski rêvait d’un voyage à Paris, surtout après avoir traduit le roman « Eugène Grandet » de Balzac en 1844. Les réalités de la vie française commençaient à sembler proches et familières, Dostoïevski voulait voir la ville dans laquelle travaillait son écrivain préféré.

Il a fait un voyage en Europe, persuadé qu’il ne l’aimerait pas, mais il avait besoin d’être convaincu de la justesse de ses dix années de réflexion. Soumis aux travaux forcés pratiquement pour soutenir les slogans de la Révolution française, Dostoïevski voulait comprendre ce que les révolutions occidentales ont donné à l’homme ordinaire, ce qu’elles ont changé dans sa vie. Après avoir visité la France, Dostoïevski a été absolument convaincu que les slogans de la révolution « Liberté, égalité et fraternité » se sont avérés être des mots creux, que la liberté, comme toujours, n’est donnée à ceux qui ont un million. Il était irrité par la formule de la satiété bourgeoise “ la vie douce et comfortable ”, il croyait que cela ne valait pas la peine d’être vécu. En Occident, il pensait que tout était faux, rien ne lui plaisait : les gens, les coutumes, la météo, la langue.

Comme beaucoup d’autres villes d’Europe occidentale, Paris ne s’est pas rapprochée de Dostoïevski. En 1862, il y resta environ trois semaines, à l’automne 1863 — huit jours. Plus tard, lorsqu’il était à l’étranger, il ne s’est jamais arrêté à Paris.

« Paris est la ville la plus ennuyeuse, et s’il n’y avait pas beaucoup de choses vraiment trop merveilleuses, alors, en effet, on pourrait y mourir d’ennui. »

A l’occasion du bicentenaire de la naissance du génie mondial, le Musée mémorial littéraire a préparé une exposition qui est présentée dans de nombreux pays sur des différents sites culturels, dont la Maison russe à Paris.

Des photos et des documents, des citations d’ouvrages et de lettres racontent en détail la vie et le parcours littéraire de Dostoïevski, en présentant les étapes les plus significatives : la naissance dans la famille de médecin de l’hôpital Mariinsky pour les pauvres et son enfance à Moscou, plusieurs années d’études à l’école d’ingénieurs à Saint-Pétersbourg, la publication dans le journal « Recueil de Saint-Pétersbourg »  de son premier roman « Les Pauvres gens », qui l’a aussitôt rendu célèbre, la participation aux réunions « Vendredi » chez Mikhaïl Petrachevsky avec les jeunes les plus éduqués et épris de liberté de Saint-Pétersbourg, l’arrestation suite à « l’affaire Petrachevsky », 8 mois d’emprisonnement dans la forteresse Pierre-et-Paul, joué selon le scénario de Nicolas Ier, une fausse exécution du Cercle de Petrachevsky, puis 4 ans de travaux forcés et 6 ans du service militaire en Sibérie, le mariage avec Maria Issaeva, le retour à Saint-Pétersbourg, le roman « Les carnets de la maison morte », le premier roman sur la prison en Russie, les voyages en Europe, la mort de son frère et sa femme, la prise en charge de la famille de son frère, le second mariage, la parution des romans « du Grand Pentateuque » : « Crime et châtiment », « L’Idiot », « Les démons », « L’Adolescent » et « Les frères Karamazov ».

L’exposition se compose de lithographies, d’estampes et de photographies du XIXe siècle en copies numériques provenant des collections du Musée Dostoïevski et du musée littéraire de la Maison Pouchkine, à Saint-Pétersbourg.

Cette exposition permettra de découvrir au mieux l’œuvre de l’écrivain.

L’entrée est gratuite, l’inscription préalable est obligatoire à paris@rs.gov.ru.

L’entrée à l’exposition s’effectue avec le port obligatoire du masque et le respect des règles sanitaires en vigueur.

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Rencontre en ligne

avec l’acamédicien Alexandre Kouliechov

“Skolttech : formation de l’élite scientifique de Russie”

28 septembre 2021 à 16h

En français

Année des sciences et des technologies en Russie.
Avant le Congrès international des mathématiciens (2022, Saint-Pétersbourg).

Rencontre en ligne avec le recteur de l’Institut des sciences et technologies de Skolkovo (Skoltech) l’académicien de l’Académie des sciences de Russie Alexandre Koulechov.

Le directeur de Skoltech, l’académicien Alexandre Koulechov parlera au public français de la science russe

Le 28 septembre à 16h00, à l’invitation de la Maison russe des sciences et de la culture à Paris aura lieu une conférence avec le membre de l’Académie des sciences de Russie, directeur de l’Institut des sciences et technologies de Skolkovo (Skoltech), mathématicien Alexandre Koulechov.

La rencontre avec l’académicien Koulechov permettra aux étudiants et aux doctorants, ainsi qu’aux administrations des universités françaises d’en savoir plus sur Skoltech. Les opportunités de formation et de stages ainsi que des modalités de coopération avec cet institut relativement récent mais déjà implanté dans le monde seront mises en lumière.

L’événement aura lieu en format hybride permettant à ceux qui préfèrent rencontrer l’académicien Koulechov de venir à la Maison russe à Paris et à ceux qui ne pourront pas venir de suivre l’événement en ligne.

Skoltech est une université russe inhabituelle, créée dans le cadre du grand projet d’innovation « Skolkovo », qui comprend un parc technologique, un fonds d’investissement et un espace éducatif. L’enseignement à Skoltech se déroule uniquement en sciences naturelles et se passe entièrement en anglais. Ses professeurs sont des meilleurs experts mondiaux. De plus, l’infrastructure scientifique de l’université étonne par l’abondance et la modernité des équipements.

En 2022, le congrès international des mathématiciens se tiendra à Saint-Pétersbourg : c’est un événement scientifique majeur et significatif à l’échelle mondiale. Ainsi, l’opportunité d’accueillir le Congrès n’est pas seulement un grand honneur pour la Russie, mais aussi une raison de reconsidérer l’approche du développement des sciences et des formations en mathématiques, de rendre hommage aux scientifiques qui contribuent énormément au développement de la société et de la technologie.

La rencontre avec l’académicien Koulechov à l’occasion de l’Année des sciences et des technologies en Russie deviendra également un évènement marquant du programme que la Maison russe à Paris envisage d’organiser à la veille du Congrès.

Pour participer à la conférence en ligne, l’inscription est obligatoire (vous recevrez un lien actif par émail). Pour y prendre part en présentiel, merci de remplir la forme suivante.

La conférence sera organisée en français sans traduction, cependant il sera possible de communiquer en direct avec l’invité.

L’émission peut être visionnée sur la chaîne YouTube de la MRSC à Paris.

L’enregistrement complet de la réunion sera également publié sur le site Web et dans les réseaux sociaux de la Maison russe.

Inscription : CLIQUEZ

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Cycle d’auteur de Victor Eroféev

« Le Complot des classiques ». N°5

« Ekatérina Dachkova. Première femme au monde

nommée président de l’Académie des sciences », partie 1

Jeudi 30 septembre 2021

Sur le site Web de la MRSC

En collaboration avec la radio Spoutnik et l’Agence RIA-Novosti.

En russe et en français. Traduit en français par la MRSC à Paris.

Ekaterina Romanovna Dashkova (17 mars (28), 1743, selon d’autres sources 1744 à Saint-Pétersbourg – 4 janvier (16), 1810, Moscou), née comtesse Vorontsova, devenue princesse Dashkova par mariage.  Elle agrandi dans la maison de son oncle, et a reçu une éducation basée sur l’étude des langues, la danse et le dessin. Seulement par la lecture, Ekaterina est devenue l’une des femmes les plus instruites de son temps. Elle était un expert en mathématiques.
Ekaterina Romanovna Dashkova est devenue la première femme au monde à diriger l’Académie des sciences en 1782 .

La princesse exerce ainsi une influence culturelle très importante en Russie et s’attache à faire venir des philosophes et hommes de sciences étrangers. Parallèlement, elle fait éditer le Dictionnaire académique à l’académie impériale, publie une lettre mensuelle et écrit deux pièces de théâtre, Le Mariage de Fabien et une comédie intitulée Toïssioko.

Elle est élue membre honoraire de l’académie royale des sciences de Suède en 1783, première femme étrangère à être ainsi distinguée et seconde après Eva Ekeblad. Elle se retire toutefois de la cour, peu avant la mort de la Grande Catherine à cause d’une tragédie qu’elle fait publier, d’aucuns l’accusent à tort d’être favorable aux principes républicains.
Lorsque Paul 1er  accède au trône en 1796, il défait tout ce que sa mère avait tissé. Il exile la princesse dans un village près de Novgorod.

 Ses mémoires contiennent des informations précieuses sur le règne de Pierre III et le règne de Catherine II (Mémoires de la Princesse Dashkova, publié en 1840 à Londres). Ekaterina Romanovna Dashkova est devenue la première femme au monde à diriger l’Académie des sciences.

 

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Le Centre de Russie pour la science et la culture (CRSC) à Paris est la représentation en France de l’Agence fédérale pour la CEI, la diaspora russe à l’étranger et la coopération internationale culturelle et en sciences humaines (ROSSOTROUDNITCHESTVO). Sa vocation principale est la promotion de la culture et de la science, ainsi que l’enseignement du russe. Les Cours de russe ainsi que les stages linguistiques en Russie proposés par le CRSC sont largement connus à Paris et dans les villes de la province française. Il vient de changer d’intitulé :
Maison Russe de la Science et de la Culture.

 

Maison russe de la science et de la culture  
61 rue Boissière 75016 Paris.

Métro : Boissière (6), Victor Hugo (2)

Bus : 22, 30, 52, 82

Parking : Victor Hugo, Kléber, Longchamp

Année de la coopération décentralisée franco-russe

Spectacle exceptionnel

“Féerie russe”

Dimanche 12 septembre à 15h

Forum Armand Peugeot, 78300,  Poissy

SPECTACLE  GRATUIT

Spectacle gratuit de danse et de musique
 
 
Avec la participation de Léonid Zelitchonok, l’homme-orchestre,
 
trio « Le Diamant Tzigane », Le ballet « Les Alexandrov »
 
Spectacle est organisé avec le soutien du Département des Yvelines et du Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères et le Crédit mutuel de Poissy dans le cadre de l’Année de la coopération décentralisée France – Russie par la ville de Poissy en partenariat avec l’association Linguarik.

Renseignements : linguarik@orange.fr / www.linguarik.com https://www.facebook.com/events/2588087827893042/

Contacts : tél. : 01 30 74 60 65

 
RÉSERVATION OBLIGATOIRE : CLIQUEZ
 
 

Forum Armand Peugeot
45, rue Jean-Pierre Timbaud, 78300 Poissy

L’Art du  Cinéma Russe

Les Cornes d’Or

Золотые рога

d’Alexandre Rou

Dimanche  19 septembre  2021 à 16 h

Théâtre Alexandre III, 06400 Cannes

Billets gratuitement en ligne : CLIQUEZ

La projection organisée par l’association “LES SAISONS RUSSES”
et soutenue par le Fonds d’État des films de la Russie Gosfilmofond, l’association franco-russe Perspectives et Cinématique In Cinéma. Dans le cadre du programme “Art du Cinéma Russe”.

Réalisation: Alexandre Rou
Avec : Vera Altaïskaia, Youri Khartchenko, Alexandre Khvylia, Margarita Korabelnikova, Saveli Kramarov…
Genres : Conte
Nationalité : Russe (1972)

Version : VOSTF (version originale sous-titres français)

La sorcière Baba-Yaga a enlevé les fillettes d’Evdokiya et les a transformées en deux jolies biches. La mère ne se laisse pas abattre, elle part à la recherche de ses filles, le cerf aux cornes d’or lui offre une anneau pur affronter sa mission. Elle rencontre une foule de personnages qui compatissent à sa peine et lui apportent une aide efficace : le Soleil, la Lune, le Vent et le cerf nommé Cornes d’Or et aussi quelques êtres humains …

Alexandre Arthurovitch Rou, né en 1906 à Iourevets, est mort en 1973 à Moscou,  Réalisateur, scénariste directeur de doublage. De père irlandais et de mère grecque.

Dès l’âge de 10 ans, Alexandre a dû travailler pour subvenir aux besoins de sa mère malade, il vendait de la petite mercerie artisanale, diplômé d’une école de sept ans et est entré au Collège industriel et économique. À partir de 1921, il travaille au théâtre de propagande. De l’école technique, il rentre à l’école de cinéma B.V. Tchaïkovski  dont il est diplômé en 1930, puis a étudié au MN Ermolova collège dramatique (diplômé en 1934).

A partir de  1930, Alexandre Rou travaille au studio de cinéma Mejrabpomfilm comme assistant de Iakov Protazanov pour les films “La fête de ST Jorgen” 1930 , “Les marionnettes” 1934, “La dote” 1936. Également pour les photos d’autres réalisateurs. En 1937 il devient le direct des studios Soyouz, comme réalisateur indépendant, il réalise un film de conte de fées ” Au commandement du brochet(1938). Des variations sur le thème des contes populaires russes pour tous les âges sont devenues le thème principal de son travail. Une autre direction était l’adaptation d’œuvres de contes de fées classiques de la littérature russe et mondiale, ainsi que des contes de fées modernes. En tant que réalisateur, il a également tourné plusieurs documentaires.
Pour le film ” La gelée ” il a reçu le prix du  Lion d’Or au Festival international du film pour enfants et jeunes à Venise (1965), également en 1966  le prix du Festival du film à Kiev (1966)  .

Il a réalisé près de 20 films. Il est membre de l’Union des cinéaste de l’URSS. 

Port du masque  et  passe sanitaire obligatoire

   Inscription gratuite, mais obligatoire !

Théâtre Alexandre III
19 boulevard Alexandre III
06400 Cannes

Renseignements :  07 81 99 91 81
Billets gratuitement en ligne : CLIQUEZ

Visioconférence

“L’Oblast de Kalingrad”

“Kaliningrad au prisme des relations Russo-européenne”

Mardi 14 septembre 2021 à 18h

Inscription gratuite obligatoire

Intervenants

Jean de Gliniasty, Directeur de recherche à IRIS, ambassadeur de france en Russie de 2009-2013

Cécile Bayou, rédactrice en chef de “Regard sur l’Est”, chercheuse associée au CREE.

David Teurtrie, géopolitologue, spécialiste de la Russie et de l’Eurasie, chercheur associé au CREE.

Kaliningrad, un accident de l’histoire ?

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, la province allemande de Prusse-Orientale nommée Königsberg est conquise par l’Armée rouge, avec l’aide de l’escadrille Normandie-Niemen, lors de la bataille de la citadelle de Königsberg (6-9 avril 1945).
Lors des conférences de Yalta et de Potsdam, Königsberg fut nommée Kaliningrad en 1946 et l’URSS reçut ce territoire, en compensation des destructions et des pertes subies lors de la Seconde Guerre mondiale.
Après implosion de l’URSS en 1991 et l’indépendance des Pays Baltes, Kaliningrad est coupée du reste du territoire russe et devient un “oblast” coincé entre la Lituanie et la Pologne.
Nos intervenants évoqueront l’évolution de cet accident de l’histoire, comme une entité économique de la Russie, au sein de l’Union Européenne.

Visioconférence en français, sur Zoom.
La participation est gratuite.
Inscription obligatoire :  CLIQUEZ

Le lien Zoom communiqué le 13 septembre

CHŒUR RUSSE de PARIS
” ZNAMÉNIE “

GRAND CONCERT de NOÊL

Chants Orthodoxes traditionnels

Samedi 18 décembre 2021 à 16 h

Église Ste Marie des Batignolles, 75017 Paris

Le chœur russe de Paris Znaménie :

Ensemble formé depuis 2009, sous la direction d’Ekaterina Anapolskaya. Le noyau en est constitué par la chorale paroissiale de l’Eglise orthodoxe Notre-Dame-du Signe (« Znamenie » en russe signifie « le Signe »),
87 Bd Exelmans Paris XVIème.
Le répertoire de l’ensemble est constitué de plus de soixante pièces de musique liturgique russe bien souvent écrites par les plus illustres compositeurs russes (Tchaïkovski, Rachmaninoff, Balakirev, Tchesnokov, Gretchaninoff, …) mais aussi de musique profane : chœurs d’opéra, musique de chambre, chants populaires.
Le choeur se produit régulièrement en concert (le plus souvent à Paris) dans le cadre de manifestations consacrées à la musique liturgique orthodoxe russe : concerts de Noel et de Pâques, célébration des 150 ans de la cathédrale orthodoxe russe de Paris, heures musicales de Saint-Roch… .
De plus, la présence en son sein de nombreux solistes permet à l’ensemble d’assurer l’interprétation d’extraits d’opéra. C’est ainsi que l’ensemble a pu proposer récemment des soirée-concerts plus spécifiquement consacrées à l’ exécution de larges extraits (chœurs et ensembles) de certaines œuvres phares du répertoire : Rigoletto et la Traviatta de Verdi, Eugène Onéguine et La Dame de Piques de Tchaïkovski, Prince Igor de Borodine, Roussalka de Dargomijski.

EKATERINA ANAPOLSKAYA est diplômée de l’université pédagogique de Moscou-faculté de musique. Elle est également titulaire d’un master en musicologie à la Sorbonne (Paris IV) et prépare actuellement un doctorat. Ekaterina compte parmi ses professeurs : Maya Pouchkina, soliste du Bolchoï et de la troupe de l’Opéra du conservatoire Tchaïkovski de Moscou et Luciana Serra (professeur à l’Académie de la Scala de Milan) dont Ekaterina suit le master class.
De 1992 à 1998, elle participe à des tournées et festivals avec l’ensemble des solistes « Slavianski Lik » en Russie comme à l’étranger. Entre 1994 et 2004, elle a interprété les rôles de Madame Larina (Eugène Onéguine – Tchaïkovski), de Yaroslavna (Prince Igor – Borodine), de Liza (La Dame de Piques – Tchaïkovski) à l’occasion de représentations et concerts. Au sein de « Slavianski Lik », Ekaterina reçoit en 1998, le prix de la « Voix d’ange de Russie ». Récemment, elle a participé à des concerts en Italie à Ancone (théâtre Del Muse – 2011 et 2012) et au festival Val d’Eure musical (2012).
Ekaterina est également à la tête de l’association artistique «ADEA» qui organise des concerts de musique classique avec différents chanteurs et instrumentistes. En plus de l’organisation et de la direction artistique, elle participe à ces concerts en tant que soliste et chef du chœur russe de Paris Znamenie.

PARTICIPATION LIBRE AUX FRAIS.


Église Ste Marie des Batignolles,
77 Place du Dr Félix Lobligeois, 75017 Paris

Métro : Brochant, Pont Cardinet
Bus : 31, 66, 528.

Signature librairie Michèle Ignazi

“Réveillon chez les Boulkakov”

d’Olga Medvedkova

Mercredi 17 novembre à partir de 19 h.

Mikhaïl Boulgakov est aujourd’hui, sans conteste, le plus grand écrivain russe de la première moitié du XXe siècle.
Cette gloire internationale ne doit pas faire oublier qu’il ne put, de son vivant, presque rien publier de ses œuvres ni montrer sur scène ses productions théâtrales.

Réveillon chez les Boulgakov” nous fait pénétrer dans l’intimité de l’écrivain, de sa femme Elena et de leurs amis qui survivent (mais pour combien de temps encore ?) à la terreur stalinienne. Ce moment, le début de1939, est décisif dans la carrière de Boulgakov, puisqu’il a entrepris un ouvrage qui, cette fois-ci, devrait recueillir l’assentiment du puissant maître du Kremlin. Mais, est-ce si sûr ? L’irréductible Boulgakov,un des rares hommes libres dans ces temps de servitude, de lâcheté et de flagornerie,saura-t-il courber son génie ? Quelle place un véritable créateur peut-il trouver face à un pouvoir totalitaire ?


Olga Medvedkova
, faisant revivre ce brillant
milieu de l’intelligentsia moscovite, nous propose au-delà d’une plongée dans letemps, un voyage plus profond, au coeur de l’œuvre de Boulgakov, analysé de manière nouvelle, à la façon de son auteur qui se définissait lui-même comme mystique et satirique.
Ce texte est un « récit véridique »,une fiction où tout est vrai. Les mots sont exhumés des archives : leur diablerie dépasse même les inventions de l’auteur du “Maître et Marguerite“.
Ce récit drôle, émouvant, effrayant,qui rappelle des faits que certainssont peut-être soucieux d’oublier aujourd’hui, parle du courage du vraicréateur, de l’intransigeance de la création et, plus largement, de la liberté de l’homme face à son temps et à son destin.

Olga Medvedkova est historienne de l’art et écrivain.
Née à Moscou, elle vit enFrance depuis 1991 et choisit d’écrire en français.
Directrice de recherche au CNRS, elle est auteur de nombreux ouvrages d’histoire del’art et de l’architecture, d’essais, de nouvelles, de contes et de deux romans :”L’Éducation soviétique” (le prix Révélation2014 de la SDGL) et “Les Anges stagiaires“.
Elle a reçu : le  Prix révélation 2014 à la Société des Gens de Lettres, le Prix Lequeux de l’Institut de France pour l’ensemble de son œuvre en 2017.

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ISBN 978-2-490198-25-2
120 pages – 145 x 210
Prix : 15 €uros

Éditions TRIARTIS, 19 rue Pascal 75005 PARIS – 09.51.74.96.29
triartis.editions@gmail.com
www.triartis.fr

Librairie Michèle Ignazi, 15 rue de Jouy, 75004 Paris
Tel :  01 42 71 17 00 – 01 42 71 47 12
Métro : St Paul (ligne 1)