Livres

Paul Mourouzy Catherine II

Catherine II Impératrice de toutes les Russies.

Obscure petite princesse allemande à sa naissance, elle devint la plus célèbre impératrice de toutes les Russies.

On assiste à la lente ascension de cette jeune princesse qui, à force de volonté, de dureté vis-à-vis d’elle même et aussi d’amùour pour son nouveau pays, s’adapta si bien à sa condition qu’elle devint plus russe que les russes. Après Dix-huit mois d’une lutte acharnée pour s’emparer du pouvoir, Catherine gagne le combat contre son époux Pierre III, un jeune homme débile, dégéneré, désiquilibré et décidé à livrer la Russie qu’il déteste aux Prussiens qui n’attendent que cela. Impopulaire, incapable ert traître à son propre trône, Pierre III abdique sous la contrainte de Catherine, qui régnera trente-quatre ans sur la Russie, de 1762 à sa mort en 1796, et se révélera être la tsarine la plus éclairée de toute l’histoire de la Russie.

Biographie de Paul Mourouzy:

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Historien, romancier, dramaturge, poète, journaliste et conférencier, le Prince Paul Mourousy, né à Paris, est fils d’émigrés russes.
Après son Raspoutine qui obtint le Prix d’Histoire de l’Académie Française 1985 et le Prix Sévigné Européen Louise Weiss 1985, Paul Mourousy fait le portrait d’un autre personnage passionnant de la Russie tsariste, Catherine la Grande – que les ancêtres de l’auteur ont bien connue.
Ecrivain, Paul Mourousy est surtout connu pour ses récits historiques sur la Russie tsariste.

 

Editions France-Empire.

Parution 12 février 2015

Prix 22 Euros

ISBN: 978-2-7048-1257-8

Format 154 x 240

Sortie janvier 2015

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Préface de Véronique Schiltz, membre de l’Institut
Prix 2013 de la traduction du Salon du livre et de la revue d’art – Festival de l’histoire de l’art à Fontainebleau.

“… L’orage grandit et se renforce. Par moment le vent romantique se calme et le silence lourd, précurseur d’un épique fracas assourdissant, devient insupportable, comme le spasme d’un enfant qui, juste après une chute, se tait pendant trois horribles secondes et tout à coup déchire l’air de son cri frénétique et, néanmoins, quelque peu apaisant.

De larges éclairs coupent sans cesse l’œil avec leur rasoir géant ; le précipice sans fond sous la fenêtre paraît alors encore plus velouté et sauvage.

Il y a un cauchemar atroce, véritable torture dans lequel tu n’arrêtes pas de tomber d’une hauteur effroyable dans une profondeur noire et inconnue, et ton corps est titillé jusqu’à la nausée par le sentiment de l’absence de sol sous tes pieds… Ce que je ressentais en me forçant à tenir bon contre l’orage devant la fenêtre ouverte était proche de ce cauchemar : ce chatouillement, le frère de la mort, s’approchait de moi…

Quel étrange, quel terrible décor !… Tout autour, sur les rochers, comme dans un colisée des Cyclopes, comme dans une volière magique faite pour des aigles géants, bâillent des trous profonds et noirs, des niches - sépultures abandonnées des pèlerins de l’Hellade et de l’Étrurie, des tombeaux des philosophes, des pontifes ayant vécu, étudié, professé près du sanctuaire glorieux.

Depuis longtemps se putréfièrent les ossements des stoïciens et des sophistes, bâtisseurs de systèmes ingénieux, chercheurs du sens de l’existence… Mais toujours, comme il y a trois mille ans, au printemps, Zeus tonne au milieu de la volée d’aigles effrayés par les éclairs et, chaque printemps, dans les ténèbres de l’Hadès, Perséphone pétrifiée de douleur - torve, terrible, assise dans son profond fauteuil de basalte - attend chez elle avec méchanceté, de la terre interdite et florissante, les enfants du soleil crédules et fragiles : les hommes…” ( extrait du texte de Léon Bakst)

Le livre.

Mais qui était donc Léon Bakst et que faisait-il en Grèce en 1907 ? Et pourquoi, un an avant sa mort, en 1923, à Paris, publia-t-il en russe un livre intitulé “Serov et moi en Grèce” ? Et qui était Serov ?

L’ouvrage que le lecteur tient entre ses mains est la première traduction en langue française d’un morceau exquis de la prose russe symboliste. Non seulement ce texte est un petit chef-d’œuvre en soi, mais il permet de jeter un regard nouveau sur l’un des principaux créateurs des Ballets Russes.

Du tableau Terreur antique aux décors et costumes de l’Après-midi d’un faune, mêlant au souvenir de la Grèce antique un orientalisme sensuel et coloré, Bakst inspire tout un courant dans l’art et la mode du début du XXe siècle. L’auteur de cette traduction et de l’essai introductif tente de retrouver les sources et de saisir l’originalité de l’hellénisme de Bakst.

La traductrice.

Olga Medvedkova est née à Moscou, elle a fait ses études à l’université Lomonossov, puis à Paris, à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences sociales. Docteur en histoire et civilisation, habilitée à diriger les recherches, elle a été l’une des premières pensionnaires de l’Institut National d’Histoire de l’Art et est actuellement chercheur au CNRS (centre Jean Pépin). Elle a publié de nombreux ouvrages et articles d’histoire de l’art et de l’architecture, des essais, des traductions, y compris de Pouchkine et de Kandinsky, ainsi qu’une pièce de théâtre et un roman (prix Révélation 2014 de la SDGL).

Éditions TriArtis

19 rue Pascal 75005 PARIS

http://www.triartis.fr

Prix 22€

128 pages ; 210 x 145 cm ; broché
ISBN 978-2-916724-56-0
EAN 9782916724560

Numériser

Christophe Boula spécialiste du bouddhisme, s’intéresse aux religions, aux croyances et à la mythologie. Touché par le devenir des peuples nomades qui doivent s’adapter au monde des sédentaires, à leurs frontières, leurs lois, leur conception de la vie, il a réalisé un film sur la destinée des nomades d’Asie Centrale, héritiers de traditions ancestrales et réinventeurs perpétuels de nouveau mode de vie.

Numériser 1

Christophe Boula sur le traineau avec Liouba, la camèra et le moniteur par -40°C.
© Borealia

Christophe Boula nous offre ici un carnet de tournage réaliste et optimiste, qui laisse une large place au rêve et à l’imaginaire.

Numériser 2

” Silence on tourne !” © Borealia

Mongolie – Tibet – Sibérie

Trois histoires d’enfants nomades, dans les montagnes de l’Himalya, les steppes mongoles et la toundra arctique les ultures traditionnelles reculent inéluctablement face à l’arrivée brutaler de la modernité. Durent trois années, Christophe Boula tourne trois histoires d’enfants nomades: celle d’Amraa, le jeune Mongol qui part rejoindre son amoureuse en ville, celle d’Apo, le bébé sibérien perdu dans la neige et enfin celle de Lhamo, l’enfant tibétaine qui voulait vivre avec son yak….

Numériser 3

Sonam Wangmo, sept ans © Borealia

Semaine après semaine, ce carnet de tournage raconte cette aventure en Mongolie, au nord-Est d la Russie et à la frontière du Tibet, à laquelle ont contribué des équipes techniques locales et des acteurs issus des communautés nomades.

Aux éditions BOREALLA

176 pages avec de très nombreuses illustrations. Prix 25€

ISBN 979-10-93466-03-3

SORTIE EN SALLE DU FILM

le 25 mars  2015

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Numériser 1

Éditions BOREALIA

13 Villa Paul Verlaine

75019  Paris

www.borealia.eu

Numériser

Tout au long de l’Année, cet agenda perpétuel vous raconte les fêtes, les traditions, les croyances et vous fait rencontrer des personnalités de l’art et de la literature russes d’hier et d’aujourd’hui.

Numériser 2

Au rythme du calendrier russe, nous irons au théâtre,  au cirque, à l’école, à l’église, sur les marchés, à la découverte de vrais moments d’âme russe et de ce qui fait ce lien si étroit entre la France et la Russie.

Numériser 1

La Russie est le second pays de Pascale Bastianelli. Collectionneuse et galeriste, elle y séjourne depuis le début des années 70 et rapporte des objets d’art qui nous font rêver et dont la douceur nous plonge dans un univers féérique.

Avec cet agenda perpétuel, elle vous emmène en voyage et vous livre avec tendresse ses coups de cœurs !

 128 pages, Couleur

22 €uros

Pour se le procurer:

Borealia 13 Villa Paul Verlaine  75019  Paris

 Boutique en ligne:  ( CLIQUEZ )

http://borealia-boutique.com/categorie-produit/papeterie/

Plus de renseignements:  ( CLIQUEZ )

9782262040451

L’histoire inédite d’un front majeur et oublié de la Grande Guerre.
“La Marne, Verdun, le Chemin des Dames… On connaît tout ou presque de la Grande Guerre en France. Au même moment, à l’autre bout de l’Europe, 15 millions de soldats du tsar affrontaient seuls trois empires. Sait-on ce qu’ils ont expérimenté, pensé et subi, comment s’est organisé l’effort de guerre, combien la population a souffert des disparitions, des déportations et des occupations ? Il faut aussi imaginer une société civile s’imposer à un pouvoir qui la méprise par son engagement patriotique, économique et philanthropique ; un empire où les peuples aspirent à se libérer de la domination russe ; une capitale où les partis politiques trament la fin de l’autocratie. Cette guerre « catalyseur de l’histoire », selon Lénine, débouche enfin sur deux révolutions – Février et Octobre 1917 – qui enfantent la citoyenneté, bouleversent les campagnes et scellent le refus de combattre sur le front. Archives inédites, témoignages, documents iconographiques et audiovisuels d’époque permettent à cet ouvrage fondé sur la plus récente historiographie de ranimer cette histoire à la fois singulière et profondément européenne”.

Alexandre Sumpf

Alexandre SUMPF
Ancien élève de l’ENS de la rue d’Ulm et membre junior de l’Institut universitaire de France, Alexandre Sumpf est maître de conférences en histoire contemporaine à l’université de Strasbourg. Ses recherches portent sur la propagande en Russie et en URSS, en particulier au moyen du cinéma. En 2013, il a publié de Lénine à Gagarine. Une histoire sociale de l’Union soviétique, un essai d’histoire totale de l’expérience des Soviétiques sans équivalent dans l’historiographie.

ÉDITIONS PERRIN

“La Grande Guerre oubliée”
d’Alexandre Sumpf
ISBN : 9782262040451
450 pages

Acheter le livre    25 euros

Acheter le livre numérique      17,99 euros

 

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Le livre de Bruno Vianey,  préfacé par le professeur Jean Malaurie, retrace la genèse des premières relations franco-russes au XVIe siècle.

Le point de départ de ces échanges est le voyage de Jean Sauvage en Russie en 1586; parti des côtes de France sur un navire marchand, ce Dieppois est le premier Français à s’aventurer dans la mer Blanche. Ce fut une odyssée longue et périlleuse: ayant contourné le cap Nord, il s’aventura dans l’océan Glacial et fit une escale mémorable aux confins de la Norvège. Grand explorateur, Sauvage est aussi et surtout le premier Français à avoir écrit une relation de voyage sur la Moscovie (ainsi nommait-on la Russie à l’époque). Son récit ne fut publié pour la première fois qu’en 1834 et reste aujourd’hui encore méconnu, alors qu’il constitue une source d’une richesse exceptionnelle pour l’histoire de France, de Russie, de Scandinavie et de la Baltique. Le voyage en lui-même est digne d’un roman. Si les aventures de Jean Sauvage sont le point de départ des relations franco-russes (premier traité de commerce, premiers échanges épistolaires entre souverains, premier dictionnaire “franco-moscovite”), le périple apparaît aussi comme un aboutissement. II n’aurait jamais eu lieu sans les efforts incessants de celui qu’on a appelé le “père des relations franco-russes”: Charles de Danzay. Ce diplomate hors du commun fut ambassadeur de France au Danemark de 1548 à 1589. Personnage des plus touchants, sa correspondance croustillante mérite amplement d’être découverte. Elle est une mine d’informations pour comprendre l’Europe de cette époque. Cet ouvrage, préfacé par Jean Malaurie. réunit pour la première fois en un volume toutes les sources écrites autour de ce voyage, dont beaucoup sont inédites. Agrémenté de nombreuses cartes et documents, c’est le récit d’une aventure extraordinaire où se mêlent le courage, la témérité et l’esprit de découverte”.

Dans toutes les bonnes librairies

Editeur: L’Âge d’Homme

EAN13 : 9782825143049
ISBN :978-2-8251-4304-9
Prix : 27 €uros
Date Parution :12/06/2014
Collection :SLAVICA
Nombre de pages :564
Dimensions : 22 x 15 x 3 cm
Poids : 874 g

PARUTION LE 18 SEPTEMBRE 2014

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Alexandre Jevakhoff a choisi de nous entraîner
dans la fascinante histoire des Russes à Paris.

Ils  ne sont pas venus pour prendre mais pour donner.
Les Russes sont particulièrement présents dans l’histoire
de Paris qui a toujours représenté pour eux une ville unique.

Interrogez un Parisien ou  n’importequel Français-sur les Russes à Paris. Il vous répondra:  le pont Alexandre III, la cathédrale de la rue Daru, les Ballets russes, Chaliapine et Chanel, les officiers devenus chauffeurs de taxi,  les boîtesdenuit…

Le Roman des Russes à Paris retrace tous ces épisodes d’une histoire d’amour qui dure depuis dix siècles, avec l’arrivée d’Anne de Kiev pour épouser le roi de France.
Cette chronique est l’occasion de découvrir bien d’autres rendez-vous entre les Russes et Paris, de la confrontation entre les révolutionnaires et les espionnes du Tsar à l’expulsion des Russes en Corse pendant la visite de Khrouchtchev, en passant par ce cousin de Tolstoï chargé d’influencer la presse parisienne et le camp soviétique de Beauregard.
Dix siècles de passion et de déceptions, de mystères et de héros en tous genres.

Alternant événements historiques, anecdotes et clins d’œil personnels, l’auteur, né à Paris et petit-fils de quatre Russes blancs, nous raconte cette histoire d’amour unique sur un ton documenté et malicieux, sans hésiter à faire appel à l’imaginaire. “

Alexandre Jevakhoff est un historien et haut fonctionnaire français. Inspecteur général des finances, il a été un collaborateur de Michèle Alliot-Marie. Ancien élève d’HEC, de Sciences-po, de l’ENA, il est président du Cercle de la Marine Impériale Russe et membre de l’Union de la Noblesse Russe. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, notamment “Les Russes blancs” paru en 2007 aux éditions Tallandier.

Editions du Rocher

28 rue Comte Felix Gastaldi

98015  Monaco

301 pages  22 €uros

 

Serge Alexandr Wol

Martine Bertho-Guyon, née à Paris  elle passe son enfance et sa jeunesse au sein du quartier Latin dans le  magasin d’antiquités de sa famille, à côté d’un père ébéniste, peintre et musicien et d’une mère curieuse, collectionneuse et grande connaisseuse de la flore et de la faune naturelles.

Professeur de russe à Reims de 1974 à 2006, au cours de laquelle, à côté de l’enseignement  de la langue, elle se passionne pour les échanges et le  destin croisé  de la France et de la Russie. Sa rencontre en 1994 avec le prince Serge Wolkonsky au musée Saint-Remi de Reims lui ouvre un champ d’investigations tellement vaste qu’elle se résout en 2006 à se lancer à temps plein à la poursuite des traces de sa vie méconnue dans les archives françaises et russes. Ce qui la conduit, de 2007 à 2011, à des séjours annuels de 2 à 3 mois en Russie.

Elle reçu le diplôme pour la conservation  en France de la guerre 1812-1814, accompagné de la décoration.

En préparant la section d’histoire militaire du musée Saint-Remi de Reims, Marc Boutin (conservateur en chef du Patrimoine de la région Reims et historien)a exhumé des réserves  un tableau totalement oublié, celui du Prince Serge Alexandrovich Wolkonsky, né en 1786, 3ème enfant d’une famille de 10 de l’aristocratie russe dans laquelle on parlait le français, (souvent confondu avec un de ses cousins au 3e degré, le prince Serge Grigorevitch Wolkonski (1788-1865), un proche du Tsar).

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Prince Serge Alexandrovich Wolkonsky ( huile sur toile 1814)

Cette peinture du prince est l’œuvre d’un peintre rémois, Lié-Louis Perin-Salbreux, réalisée en 1814. Cette toile est particulièrement mise en valeur au musée Saint-Remi et ne laisse pas indifférent le visiteur : le prince est représenté en grand uniforme.

La vie du prince Wolkonsky est particulièrement riche en événements. Il s’est illustré dans l’armée du tsar Alexandre-1er. Major d’infanterie, il participa à la “guerre patriotique” (il fut décoré de l’ordre de Saint-Vladimir, de l’ordre de Sainte-Anne, et reçut l’Epée d’Or). Il fut commandant militaire de la ville de Reims, de fin mars à fin juin 1814, à la tête d’une garnison de 500 hommes.

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Ordre de Saint Vladimir Ière Classe.

Il a séjourné un certain temps à Reims suite à des blessures de guerre. Francophone et cultivé, il fut reçu dans la meilleure société rémoise, perçu comme un bienfaiteur toujours prêt à protéger des injustices et des exactions cosaques ou prussiennes la population locale. En 1814, il devint commandant militaire de la Place de Reims.

Les lecteurs seront surpris de voir que nombres de villages marnais y sont répertoriés pour faits historiques ainsi que des personnages illustres de Reims qui ont donné leurs noms à des rues dans lesquelles on circule sans forcément prêter attention.

Cet ouvrage est préfacé par le conservateur en chef du Patrimoine de la région de Reims Marc Bouxin. Rédigé sous forme d’échanges entre le prince Serge A. Wolkonski et l’auteur, ce livre nous permet de suivre l’évolution des troupes alliées sur le territoire français, et de vivre le quotidien d’une ville occupée, entre contraintes et fêtes officielles. Il est illustré de photos et de documents historiques, et complété d’une généalogie (indispensable) et d’une bibliographie.

Publications de l’auteur :

  • Traduction de  La Fleur de Malachite de Pavel Bajov, éd. Ubacs, 1991. Reprise en 1995 par les Presses Universitaires de Rennes.
  •  Le Destin français d’un prince russe : Serge Alexandrovitch Wolkonsky – Французская судьба русского князя: Сергей Aлександрович Волконский, 1786 – 1838. Court article en russe,  bulletin du musée L. N. Tolstoj, Jasnaja Poljana, Tula, 2012.
  • L’article 1814. Deux princes russes pour la ville des sacres. Biographies  paraitra en automne 2014 dans la revue La Vie en Champagne.

“Serge Wolkonsky Prince de Reims”  Editions Le Phytagore.

Ouvrage  relié en pleine toile imprimé aux fers

Edition Bibliophile

208 pages – 21×30

Prix 39 €

 

Sadko (V.& P. Lajoye)

Lorsqu’en 2009 Viktoriya et Patrice Lajoye ont publié aux éditions Anacharsis un recueil de bylines – ces fameux chants épiques russes -, nous nous étions concentrés sur les bylines dites “kiéviennes”, et notamment sur celles ayant pour héros le preux Ilya Mouromets. Mais cela nous obligeait à écarter du sommaire un certain nombre de chants qui possédaient leur intérêt propre, des chants ayant souvent un fond mythologique évident.
Aussi très vite un nouveau projet est-il né dans notre esprit: celui de réunir des chants de l’ensemble des Slaves de l’Est ayant une connotation mythologique, de les traduire et de les commenter. Il nous a fallu cinq ans pour y parvenir, un délai long car nous faisions cela uniquement sur notre temps libre, mais nous y voici: ce livre existe, c’est Sadko et autres chants mythologiques des Slaves de l’Est (Biélorussie – Russie – Ukraine).

Et il s’agit d’un livre auto-édité. Cependant, autant nos précédentes publications dans le domaine de l’auto-édition étaient le fruit d’une démarche volontaire, autant celle-ci ne l’est pas. Nous avons présenté ce projet à l’ensemble des éditeurs susceptibles à nos yeux de l’accueillir dans leur catalogue. Hélas, le sujet est pointu, méconnu, et la conjoncture économique ne s’y prête pas. Notre recueil a été dans le fond plutôt bien accueilli, mais financièrement rejeté. Alors tant pis: pas question pour nous de l’abandonner au fond d’un tiroir. Le voici donc, malgré tout, avec toutes les qualités et tous les défauts d’un livre auto-édité. Qualités – nous l’espérons – car nous avons été totalement libres concernant le choix de nos textes, concernant les commentaires qui ne sont pas formatés et peuvent être plus ou moins développés. Défauts, car il y manque bien sûr l’œil d’un éditeur, qui aurait pu améliorer le texte.

En voici le sommaire détaillé:

1. Créer le monde et l’ordonner
“Vers sur le Livre de la Colombe” (Russie)
“Chants de Noël sur la création du monde” (Ukraine)
Incantations cosmologiques” (Biélorussie, Russie, Ukraine)
“Yarilo” (Biélorussie)
“Svyatogor” (Russie)
2. Mettre fin à ce monde
“Elie le prophète” (Russie)
3. Fleuves et rivières
“Dounaï (Le mariage du prince Vladimir)” (Russie)
Ah, Don, tu es notre Don” (Russie)
“Conversation du Dniepr et du Danube” (Ukraine)
4. Sur les mers
“Sadko” (Russie)
“Oleksi Popovitch” (Ukraine)
“Gleb Volodievitch” (Russie)
“Soloveï Boudimirovitch” (Russie)
5. A la cour du prince Vladimir de Kiev
Le boyard Stavière” (Russie)
“Tchourila Plenkovitch” (Russie)
“La mort de Tchourila” (Russie)
“Diouk” (Russie)
“Les frères Zbrodovitch” (Russie)
“Ivan Godinovitch” (Russie)
“Mikhaïla Kasarinov” (Russie)
6. Une mythologie secondaire
Le tsar Saül Levanidovitch” (Russie)
“Vers du Fedor Tiron” (Russie)
Les trois frères d’Oziv” (Ukraine)
7. En guise de conclusion
“Il y a et le trésor du monastère” (Russie)
“Grand-Père s’en vint dans la prairie” (Biélorussie)

Couverture souple, 196 Pages.

Pour commander cet ouvrage:

Viktoriya et Patrice Lajoye,

22A rue de la Gare,

14100 Lisieux

Accompagné d’un chèque de 16€ à l’ordre de V.P. Lajoye

Ou sur :   Lulu.com, en cliquant sur ce lien.

Les Editions des Syrtes

publient

maison à Passy

La maison de Passy est une petite Russie: une poignée d’exilés qui partagent un passé douloureux et dont le destin s’est retrouvé boulversé par l’histoire. Attachants, humains simples, joyeux ou tristes, ils sont liés par une grande solidarité. Il y a parmi eux le vieux général, ancien officier de l’armée des volontaires, qui vit d’expédients et attend avec impatience l’arrivée de sa fille et de son petit-fils restés ern URSS; Dora la raisonnable, autrefois médecin, qui vit avec son fils le candide Rafa, qu’elle imagine au lycée Janson, comme les petits français. Il y a la sombre Kapa, Lioudmila qui rêve de fortune, le père Melchisédech, figure sereine qui apporte aide et réconfort, Valentina, une jeune couturière, ou Lev Nikolaïevitch, le chauffeur de taxi….   A la fin de l’année, une page se tourne et tous les locataires doivent quitter la maison de Passy. Ecrit dans une languecalssique, précise et poétique, le roman tout de tolérance et de nostalgie, de générosité et de compréhension donne une vision apaisée de l’exil. Mais “Une maison à Passy” est un tableau de Paris des annèes 1920, ses habitants, son flot de voitures, son ciel et ses arbres ou ses parfums. Boris Zaïtsev a écrit ce roman en 1931-1933 alors qu’il était installé en France de puyis 1924. Visionnaire, il avait compris que l’avenir des siens devait se dérouler désormais loin de leur patrie.

Né à Orel en 1881, Boris Zaïtsev est un écrivain reconnu dès le début du XXe siècle en Russie. Très actif dans l’émigration il publie dans de nombreuses publications périodiques. Auteur prolifique, Zaïtsev devient après la Seconde Guerre mondiale le patriarche de la littérature russe en exil et ses œuvres  sont traduites dans plusieurs langues. Il s’éteint à Paris en 1972.

Biographie

Boris Zaïtsev

Boris Zaïtsev (1881 Orel -1972 Paris)

Né le 10 février  1881 en Russie à Orel , Boris Zaïtsev est contraint à l’exil en 1922.Il quitte la Russie en 1921 tout d’abord pour Berlin puis à Paris en 1924. Il publie des articles en Russie. Il publie plusieurs recueils de nouvelles. En 1921 il travaille à Moscou à la célèbre “Boutique de livres des écrivains”. Boris Zaïtsev est un écrivain classique dans la tradition de Tourgueniev ou de Tchekov. Il a traduit “La Divine comédie” de Dante en russe , traduction commencée en Russie.

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Boris Zaïtsev chez lui rue Frémicourt dans le XVème  en 1967.

C’est en France qu’il poursuit son œuvre d’écrivain jusqu’à sa mort le 22 janvier 1972 à paris. “L’Étoile Bleue”  est unanimement reconnu comme son chef-d’œuvre.

Sortie de livre le 13 mai 2014

Traduit du russe par Xénia Yagello

224 pages    Prix 21€

ISBN: 9782940523115

Éditions des Syrthes

17 A, rue de la Croix-d’Or

1204 Genève.   Suisse

 

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A l’aube du XXe siècle, Carl Gustavovitch Fabergé, connu pour ses célèbres oeufs, est à la tête d’un empire de luxe employant plus de deux cents personnes, comptant quatre filiales en Russie et une à Londres.
En quelques années, cet artiste exceptionnel révolutionne l’orfèvrerie et transforme la bijouterie de son père en un lieu mythique où se retrouvent têtes couronnées et milliardaires de passage. En suivant l’ascension extraordinaire du jeune Carl Fabergé à Saint-Pétersbourg, à Londres et sur la Riviera, le lecteur plonge au cœur d’une époque en pleine mutation, à la vie artistique et culturelle foisonnante, aux idéaux sociaux et politiques exacerbés.

L’auteur : journaliste et auteur de guides pratiques, Caroline Charron a fait plus d’un an de recherche avant de se lancer dans cette biographie romancée de Carl Fabergé, orfèvre de génie au destin intimement lié à celui de Saint-Pétersbourg, de la famille Romanov et de la Russie éternelle. Lauréate du prix Dynamique au Fémin’Ain 2011 et lauréate du salon du livre d’Ambronay 2011.

Ce livre bénéficie du soutien de Tatiana Fabérgé arrière petite fille de l’orfèvre:”Grâce à un minutieux travail de recherche et de reconstitution de la Russie d’avant la Révolution de 1917, Caroline Charron a réussi à redonner vie à mon arrière-grand père, sa famille, son travail et le contexte dans lequel ces événements se sont passés

Ce livre est sélectionné par le Ministère de la Culture dans le cadre de l’année France-Russie et bénéficie à ce titre du label de cette année France-Russie. Ce livre sera ainsi associé aux nombreux événements organisés dans les deux pays durant cette année 2010.

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Prix public : 20 €, 300 pages, EAN : 9782351200315.
En vente en librairie et sur le site internet.
www.editions-complicites.com

Titre français

Князь Игорь
Иллюстрации Пьера Жубера

Пьер Жубер (Pierre Joubert) Издательство «Art du Rameau d’Or» поручило Пьеру Жуберу разработку
концепции иллюстрирования книги «Слово о полку Игореве». Увлеченный с раннего детства
средневековым эпосом, он создает оригинальное художественное оформление этого древнего
произведения, пропитанного традициями основных ценностей нашей цивилизации.

caract 1 frç

caract2frç

caract rus

histoir 1

histoir 2

Histoir 3

illustra 1

prénsenta 1

presenta 2

illustr 2

illustra 3

 Illustration en réduction, иллюстрации в сокращении.

justif 1

justif 2

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Пятнадцать экземпляров первого сорта, пронумерованных французскими буквами от
«H» до «V» и содержащие помимо текста произведения, пилотную страницу, обрамленную и
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цветовую палитру к иллюстрациям на полную страницу.
Сто экземпляров, пронумерованных от 1 до 100, содержащих помимо текста произведения одну
цветную иллюстрацию вне текста, обрамленную и подписанную автором, и цветовую палитру к
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Двести семьдесят семь экземпляров, пронумерованных от 101 до 377, содержащих текст и
иллюстрации.
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предназначенный для передачи в центральную парижскую библиотеку, а также книги в подарок
сотрудникам издательства.

Voir également “La Dame de Pique” ( CLIQUEZ ) en français, по русский ( CLIQUEZ).

Contact Jean-Paul MARTIN

06 10 78 78 76

galeriejpm@gmail.com

Après plusieurs anneées de queête de documents visuels inédits, témoins vivants de l’exil russe, l’historien et iconographe Andrei Korliakov livre, dans son nouvel ouvrage Culture russe en exil, Europe 1917-1947, un récit émouvant, destiné à tous ceux qui s’intéressent à la culture et à l’émigration russes en Europe, mais aussi à ceux qui se passionnent pour l’art.
Ce recueil de documents visuels, pour la plupart rarissimes, paru aux éditions YMCA-PRESS le 12 mars 2013, est le cinquième et le plus gros volume de la série l’Émigration russe en photos, 1917-1947 ; 2 100 images de tous genres, évoquant ceux qui contribuèrent à conserver et à développer en exil leur culture d’origine, s’étalent sur les 720 pages de ce nouveau volume.
Des photographies professionnelles ou d’amateurs, des dessins, des cartes postales, mais encore des images publicitaires, des affiches, des coupures de presse et des négatifs sont mis au cœur de Culture russe en exil, Europe 1917-1947, composé autour de huit volets thématiques. Ce sont la photographie et le théâtre, le cinéma et les arts plastiques, la musique, le ballet et les danses populaires russes, la littérature, les maisons d’édition et la presse, les expositions et les journées de la culture russe.

Andrei Korliakov est l’auteur de cinq albums de photographies sur l’émigration russe :
Histoire illustrée de l’émigration russe, 1917-1947, Paris, YMCA-PRESS, 1999, 250 photos (N/B), 160 p.
Honneur et dignité maintenus, 1917-1947, Paris, YMCA- PRESS, 2001, 750 photos (N/B), 410 p.
Vers le succès, 1917-1947, Paris, YMCA-PRESS, 2005, 1 000 photos (N/B), 464 p. – Prix VERITAS 2005.
Le Grand Exode russe, Europe 1917-1939, Paris, YMCA- PRESS, 2009, 1 650 photos (N/B), 720 p.
Culture russe en exil, Europe 1917-1947, Paris, YMCA- PRESS, 2013, 2 100 photos (trichromie), 720 p.
Il est coauteur avec Gérard Gorokhoff de l’album Le Corps expéditionnaire russe en France et à Salonique, 1916-1918, Paris, YMCA-PRESS, 2003, 1 005 photos (N/B), 656 p.
Depuis 1996, il a organisé vingt-cinq expositions sur l’histoire illustrée de l’émigration russe en France, 1917-1947.

CULTURE RUSSE EN EXIL, EUROPE 1917-1947 par Andrei Korliakov, PARIS, YMCA-PRESS, 2013, 2 100 photos (trichromie), 720 pages. • Livre relié • 2 100 photographies en trichromie • Textes en français ou en russe • 720 pages • Format : 24 × 29 cm • Poids : 3,5 kg • Prix : 80 € • ISBN : 978-2-85065-275-2 • Sortie : 12 mars 2013
www.emigrationrusse.com

Le grand livre des proverbes russes
recueillis par Alexandre et Natalia Rozov
et traduits par Daria Rozova
préface du prince Constantin Mourousy

Presses du Châtelet , Paris
collection Le grand livre des proverbes

Recueil d’environ mille proverbes russes : l’ivrogne désaoule mais l’idiot jamais ; cent amis valent mieux que cent roubles ; traite-moi de pot si tu veux, tant que tu ne me mets pas au four ; qui en sait trop dort mal…

“Quelle splendeur, quelle finesse, quelle sagesse dans un proverbe russe, disait Pouchkine. Il vaut plus que de l’or !” Qui veut comprendre la Russie et son peuple ne peut ignorer leurs proverbes : les Russes, qui en sont imprégnés dès l’enfance, ne conçoivent pas la vie sans eux. Ils en usent parfois même sans s’en rendre compte, tant ils font partie de leur langue, de leurs chansons et de leur littérature.
Façonnés au fil des siècles par les paysans, les marchands et les soldats, ces proverbes, “propices à toute affaire”, trouvent leur source dans le quotidien du peuple. Celui-ci y exprime son expérience de la nature, de la famille et du travail, y résumant son existence en mots, du berceau jusqu’au tombeau. Florilège de l’esprit populaire russe, de son essence et de son originalité, cet ouvrage inclut une sélection de loubki, images populaires russes en couleur gravées sur bois, qui sont le pendant de nos images d’Epinal, et qui illustrent maximes et proverbes

Reliure : Broché
Page : 177 p
Format : 27 x 20 cm
Poids : 910.00 g               Prix 29€95
ISBN : 978-2-84592-362-1
EAN13 : 9782845923621

Présentation officielle du livre «Zinziver» édité en France dont l’auteur est M. Victor SLIPENTCHOUK, écrivain contemporain russe, le 25 octobre 2012 au Centre de Russie pour la Science et la Culture à Paris.

Victor SLIPENTCHOUK

Victor SLIPENTCHOUK  écrivain, poète, publiciste, auteur de dizaine des romans, récits,  nouvelles et essais. Depuis plus de 20 ans,  Victor SLIPENTCHOUK défend son point de vue dans l`œuvre littéraire proclamant l’invincibilité du bien, représentant le monde sous ces multiples facettes, découvrant plus de parallèles que des divergences.  Ecrivain de renommée internationale, ses livres ont été traduits et publiés au Japon, en Chine, en Ukraine et maintenant en France.

Mme E.MITROFANOVA, Déléguée permanente de la Fédération de Russie
auprès de l’UNESCO, Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire 

Alors que le roman a été  édité  en  Russie en 2000, il vient de  paraître en France aux Editions «L`Âge d`Homme» dans le cadre de l’année de la langue et la littérature russe en France . La présentation de son ouvrage “Zinziver”   a été organisée avec le soutien de l’Ambassade de la Fédération de la Russie et de l`Association «Dialogue Franco russe».

Parmi les invités se trouvaient des représentants du milieu culturel et littéraire français, des professeurs et enseignants des universités, des russisants, les Editions «L`Age d`Homme», «YMCA-Press», des membres des associations russes, des journalistes russes et français.

M. I. Shpynov Directeur du  Centre de Russie pour
la Science et la Culture à Paris

La manifestation a été ouverte par le Directeur du Centre de Russie pour la Science et la Culture à Paris, M. I. SHPYNOV, et du côté russe Mme E. MITROFANOVA, Déléguée permanente de la Fédération de Russie auprès de l’UNESCO,  Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire qui a fait une allocution soulignant que le roman allait aider à comprendre mieux la Russie contemporaine et l`époque des années quatre-vingt-dix,  précisant en particulier les nuances linguistiques:  “ l`auteur a réussi à créer de prés l`ambiance de cette époque-là”.

Mme Christine MESTRE, Présidente de l`Association «France-Oural»,
ex-coordinatrice de longue date du prix littéraire «Russophonie»

Du coté français,  Mme Christine MESTRE, Présidente de l`Association «France-Oural», ex-coordinatrice du prix littéraire «Russophonie» a remercié Victor SLIPENTCHOUK pour sa nouvelle vision de l`époque.

«C’est très important et utile pour un lecteur français. C`est pourquoi la traduction des écrivains contemporains russes joue un rôle important  dans un dialogue culturel entre nos deux pays».

Selon  M. G. Conio, professeur slaviste reconnu,  traducteur du roman, le travaille linguistique est exceptionnel parce que Victor Slipentchouk n’est pas uniquement un écrivain, mais également un poète suivant la tradition élaborée par V. Khlebnikov (poète russe)

Je le témoigne en tant que traducteur car personne ne connait  le livre mieux que moi.

G. Conio a aussi précisé que malgré une coloration national et historique russe, le roman intéressera  la jeunesse française, parce que les questions éthiques posées par l’auteur devant les jeunes héros sont d’actualités.

M. H. Malbert membre du bureau exécutif de «Dialogue Franco-Russe»,
 écrivain, directeur littéraire,  membre du jury du  
Prix de la poésie Nikos Gatsos.

H.MALBERT,  membre du bureau exécutif de «Dialogue Franco-Russe»,  écrivain, directeur littéraire,  membre du jury du  Prix de la poésie Nikos Gatsos a fait un discours sur l’héritage littéraire russe et français qui unit nos deux peuples.

Ont participé  également la Directrice Générale des Editions l`Âge d`Homme, Mme A. DIMITRIEVICH, le maire du 6 e arrondissement du Paris M. LECOQ  qui organise chaque année dans la mairie des «Journées européennes du livre russe». De nombreuses allocutions ont été dites par :  les coprésidents de l`Association «Dialogue Franco Russe», M. V. IAKOUNINE Président de la compagnie «Chemins de fer russes» (RZD) et ex ministre de transport, le député de l`Assemblée Nationale, M. T.MARIANI . Tous les orateurs ont fait éloge du roman, soulignant l`importance de cet événement contribuant à promouvoir un dialogue culturel entre la Russie et la France.

Victor SLIPENTCHOUK a remercié chaleureusement les invités, présenta sa carrière littéraire et partageât ses impressions de la vie en France.

Répondant à la question des journalistes: «Qu’est-ce que pourriez-vous conseiller aux français?»  l`auteur leur a souhaité d`être «plus français», de garder les traditions et de préserver la culture.

Victor SLIPENTCHOUK a lu ses vers à des périodes différentes de sa création littéraire. Les étudiants français des cours de russe du CRSC ont lu en russe des extrais du roman «Zinziver».

Des romances écrites par Victor SLIPENTCHOUK ont été chantés par la cantatrice mezzo-soprano du Théâtre académique d’opéra et de ballet de Bouriatie, Mme O. ZHIGMITOVA et les artistes Ch. RADNAEV et I. LAZAREV.

Mm. O. Zhigmitova  

Un film documentaire consacré à l’auteur à été projeté, une exposition de ses livres édités à différentes période de sa création en Russie et à l’étranger fuut présentée au public.

Victor Slipentchouk déclamant ses poèmes.

Victor SLIPENTCHOUK aprés avoir dédicacé son ouvrage “ZINZIVER”, fit don de plusieurs exemplaires en russe et en français au CRSC.


Victor Slipentchouk.

L’auteur est né le 22 septembre 1941 à Chernigovka au Primorie (1). Depuis 1982 membre de l’Union des Ecrivains de l’URSS. Auteur de dizaines de romans et de Nouvelles et d’Essais.

“Mon époque c’est celle des vols dans l’espace de Youri GAGARINE et des slogans héroïques. «Liberté à Manolis Glezos!». «Notre avenir est entre nos mains». «Bon écrivain c’est une bonne biographie». Etc, etc…

Les slogans m’accompagnaient toute ma vie et je les ai souvent interprétés comme des postulats. Et c’est pourquoi ma biographie est telle: géologue, ouvrier, zootechnicien, marin, pisciculteur, constructeur, journaliste.

“A présent, mes soixante-dix ans sont déjà écoulés et je me souviens involontairement de mon parcours et ils sont encore frais dans ma mémoire: noce de Komsomol, Armée Soviétique, naissance de mon fils et ma fille, la mer et le rayon vert à l’aube aux côtes de l’ile de Terre-Neuve. Et je me souviens un coup téléphonique des poètes de Barnaoul qui m’a réveillé en pleine nuit : Ton poème «Tambour» a été publié au journal littéraire «La Russie littéraire» avec des souhaits de Yaroslav SMELIAKOV lui-même. Mais ne t’en fais pas, on a déjà touché tes honoraires”.

Le premier et deuxième livres en prose : «Eclairé par une minute», «Une marche à Khersones d’Or». Recommandations de l’écrivain Vassili BYKOV pour mon adhésion à l’Union des écrivains de l’URSS.

Les Cours supérieurs littéraires. La résidence forcée, les lettres justificatives au Parquet de la région d’Altaï,  celui de la RSFSR et l’URSS.  Le chagrin épuisable et le poème «Le feu de silence». Les larmes de joie de mon épouse – car la fausse affaire initiée par le Parquet de la région d’Altaï contre moi et durée au cours de deux années a été classée.

Perestroïka. Départ à Novgorod le Grand.  Poste du Rédacteur au journal «Veche». Félicitations et souhaits du succès béni de la part d’Alexis II, Patriarche de Moscou et de toute la Russie à l’occasion de la composition et édition du recueil «Au commencement était la parole» consacré à la Fête de la culture et écriture Slave et c’était pour la première fois que les clergés y ont pris part.

Les pays restés dans ma mémoire: Singapore, Japon, Cuba, Mexique. Beaucoup plus tard Israël, Allemagne et une promenade en compagnie de Vassili Bykov sur la place des Romains à Francfort-sur le Main. Lettre d’opinion sur le livre «Zinziver» très chère au cœur. Et le conseil, presque demande – d’écrire le plus que possible. «Vous avez votre heure. Il vous importe d’écrire beaucoup». J’espère.

«Zinziver», le roman de M. Victor SLIPENTCHOUK paru à Moscou en 2000 et 2001, fait revivre les tumultes et les contradictions de la « perestroïka », la période qui a précédé l’effondrement de l’Union soviétique et la naissance de la Nouvelle Russie, lorsque tout semblait possible.

Il raccorde les maillons entre le déclin de l’Empire et des lendemains qui ne chantent plus. Et, en s’appuyant sur sa riche expérience de la vie soviétique, il restitue toute la saveur fantastique et grotesque d’une réalité enfouie sous les décombres de l’histoire.

Roman d’apprentissage, roman d’amour fou, «Zinziver» passionnera surtout le lecteur en lui donnant à voir et à sentir le climat d’opéra-bouffe de ces années folles où le parfum de la décadence se mêlait aux espoirs de renouveau.

Prix 23€

Editions l’Age d’Homme, Collection “Au cœur du monde”

Editions l’Âge d’Homme (Cliquez)


(1)Le Primorie (ou Primorski krai) c’est  un sujet fédéral de Russie situé à l'extrême sud l'Extrême-Orient russe. Le mot primorski signifie « maritime » en russe, d'où le surnom de « Province maritime » de la région.

À paraitre dans 3 mois dans la série l’Émigration russe en photos — LA CULTURE RUSSE EN EXIL, EUROPE 1917-1947 (Édition limitée 1500 ex. en Français et 1500 ex. en Russe)

Ce nouvel album est consacré à la Culture russe en exil, il s’agit de l’Europe de 1917 à 1947. L’art photographique et les photographes russes sont mis au début de cet album. Il est composé de 8 chapitres:

Chapitre 1:

Ce chapitre rend
honneur à la photographie et aux photographes qui nous ont fait parvenir tant de témoignages.

Chapitre 2:

La Culture russe en exil, chapitre consacré au théâtre et à tous ceux qui ont un rapport avec le théâtre : les dramaturges, les scénaristes, les réalisateurs et les acteurs.

Chapitre 3:

Chapitre est consacré au cinéma – le mot magique du début du XXe siècle.
Nous y avons inclus des photos de presque tous les films à sujet russe. Le lien spirituel avec la patrie dont on les avait privés était exceptionnellement important pour tous les émigrés russes.

Chapitre 4:

Le plus volumineux et le plus riche en photos et documents, est dédié aux artistes russes, peintres, sculpteurs, architectes et peintres d’icônes. Dès les premiers jours de l’exil, les peintres et peintres d’icônes se sont activement impliqués dans la vie culturelle de l’émi- gration organisant des mouvements, des expositions.

Chapitre 5:

Le plus inhabituel, est consacré à la musique russe en exil. Il montre un panorama photographique intéressant des orchestres militaires à Gallipoli, en Bulgarie, en Serbie, en Allemagne et en France. Nous voyons des chorales populaires, professionnelles et liturgiques. Ensuite viennent les chanteurs d’opéra, populaires et tziganes. Nous voyons dé- filer des orchestres classiques ou de balalaïkas jusqu’à des grands compositeurs et artistes de l’opéra russe, qui sont devenus de véritables ambassadeurs de la culture russe dans le monde entier.

Chapitre 6:

Le plus expressif, est consacré au ballet et aux danses populaires russes. Voici, dans ce sanctuaire principal du ballet russe en exil, la grâce des mouvements, la beauté des lignes, le feu d’artifice des costumes et des dé- cors. De Serge Pavlovitch Diaghilev à Serge Mikhailovitch Lifar, qui ont, chacun à leur manière, réalisé un exploit dans le domaine de la diffusion de l’art du ballet russe, dont ils furent et resteront à jamais les ambassadeurs.

–  Chapitre 7:

Ce chapitre est consacré à la littérature russe en exil. Il englobe tous les aspects de l’activité littéraire

Chapitre 8:

Le dernier, la culture préservée, a la tâche la plus difficile de montrer le processus de conservation et de diffusion de la véritable culture russe dans tous les pays du monde.


Réservez dès le maintenant votre exemplaire personnalisé en télechargeant ici un formulaire de souscription. Remplissez-le et renvoyez avec votre règlement à l’adresse indiquée.

Les auteurs: Vladimir Kaminer né en 1967 à Moscopu il vit depûis 1990 à Berlin. Kaminet est à la fois écrivain, icône de la scène, organisateur de soirée.

Olga Kaminer, née sur l’île des Sakhaline elle arriva à Saint Petersbourg à 16 ans pour étudier la chimie. Elle quitte la Russie pour l’Allemagne. Actuellement elle vit avec son mari et ses enfants à Berlin.

Exemple de recette:

Sortie le 5 septembre

Gaïa Editions

82, rue de la Paix – 40380 Montfort-en-Chalosse

tél. 05 58 97 73 26 – www.gaia-editions.com

Fiche technique: Traduction Max Stadler et Lucile Clauss. Langue originale allemande,

192 pages format: 13 x 22

Prix 19 €

Sortie le 3 avril 2012

aux Editions de Fallois

Traduit du russe et précédé d’une préface par Mahaut de Cordon-Prache

“Natacha” est un mannequin dans une célèbre maison de couture. Le héros, un danseur mondain, dont la personnalité demeure mystérieuse.

Cette ouvragea été salué par la critique lors de sa publication en 1931 comme une œuvre originale et déroutante, ce roman a pour cadre le Paris de l’émigration  russe.

S’agit-il d’un roman policier ou d’un roman d’amour, comme le suggèrent les premières pages du livre, qui nous plongent dans l’atmosphère trouble d’un cabaret de Montmartre ?

Dans cette histoire, qui n’est pas sans nous rappeler “Le Rêve“, un des récits les plus énigmatiques de Tourgueniev, se mêlent l’amour, la solitude, l’exil, le sentiment de l’irréalité de l’existence.

Rapellons que Nadejda Alexandrovna Lokhvitskaïa ( Née en 1872 à Saint Petersbourg décédée à Paris en 1952), plus connue sous le pseudonyme de Teffi, elle fut incontestablement l’auteur le plus lu dans la diaspora russe entre 1920 et 1940, aussi bien à Berlin, Varsovie, Shanguaï qu’à Paris, où elle sera l’une des figures centrale de la colonie russe.

Editions de Fallois

22 rue de la Boétie

75008 Paris


Ce recueil réunit trente nouvelles dont la première, “Heureuse”, raconte l’expérience d’une fillette de six ans et la dernière, “Et le temps s’arrêta”, celle d’une femme âgée et malade. Long périple à l’intérieur de la mémoire. On y trouve une kyrielle de génies, bons ou mauvais, on y croise ces éternels vagabonds, ces répétiteurs d’autrefois, ou encore ceux qui cherchent une contrée au nom étrange qui n’existe pas sur terre: Le Pays de Nulle part.

Nadejda Alexandrovna Lokhvitskaä dite TEFFI.

Nadejda Alexandrovna Lokhvitskaä (née en 1872 à Saint Pétersbourg, décédée à Paris en 1952) plus connue sous le pseudonyme de Teffy, fut incontestablement l’auteur le plus lu dans la diaspora russe entre 1920 et 1940, aussi bien à Berlin, Varsovie et Shangaï qu’à Paris où elle fut une des figures centrales de la colonie russe. A cause de la barrière de la langue, cette célébrité ne franchira pas les frontières de l’émigration et il faudra attendre les années 90 pour qu’elle soit de nouveau publiée en Russie.

De cette génération seule Nabokov et Nina Berberova ont joui d’une audience considérable.

L’âme russe aime le merveilleux et tout ce qui s’y rapporte: les pressentiments, les signes, les songes “,affirme nadejda Teffi.

Bon nombre de récits se situent à mi-chemin entre le rêve et la réalité. Elle sait aussi comme personne recréer ce monde l’enfance, continent lointain, jailli du plus profond de ses souvenirs et qui prend forme à travers le prisme d’un regard limpide.

C’est cette facette de son art que ce livre a choisi d’illustrer.

Dédicace de Nadejda Teffi à Alexandre Nicolaevitch Benois.

Traduit du russe et suivi d’une postface et des notes  par Mahaut de Cordon-Prache.

Couverture "La fillette aux pêches" 1887 de Valentin Serov (Galerie Trétiakov, Moscou)

Editions de Fallois

22 rue de la Boétie 75008 Paris

Courriel: fallois@wanadoo.fr

335 pages Prix 18€

Une nouvelle vision de la campagne de Russie, au moment ou l’on célèbre ce bicentenaire en Russie .

L’auteur Marie pîerre Rey, professeur d’histoire russe et soviétique à l’Universioté ParisI Sorbonne,

auteur egalement d’une biographie d’Alexandre Ier (Flammarion, 2009) traduite en plusieurs langues.

La campagne de Russie de 1812 fut un épisode effroyable de l’histoire européenne : moins de 20% de la Grande Armée rentra en France, après des combats meurtriers (45 000 tués côté russe et 28 000 tués pour la Grande Armée lors de la bataille de Borodino), des épidémies de typhus qui décimèrent les troupes, et une retraite tragique au coeur de l’hiver, véritable tombeau de l’armée napoléonienne et de nombreux civils.

Les sans-grade, civils ou simples soldats, y tiennent le même rang que les héros de guerre ; la voix du peuple russe s’y mêle à celle des grognards de la Grande Armée, pour éclairer d’un jour nouveau l’affrontement des deux géants qui déchira l’Europe.

Illustration de couverture : Olivier-Marc Nadel © Flammarion

390 pages 24€

Réédité à la demande de Jeran Castarède et du prince Constantin Mourousy  (fils de l’auteur).

Première éditon aux éditions France-Empire, Paul Mourousy obtint le Prix d’histoire de l’Académie française en 1885

ainsi que le Prix européen Louise-weiss, la même année et en 1988 le prix Renaissance pour sa biographie d’Alexandra Féodorova.

On connaît surtout Raspoutine à travers les légendes du « moine scélérat », du moujik sadique, le despote occulte qui serait la cause de la tragédie impériale et de la révolution russe. Dans ce livre, l’auteur apporte au public une étude – qu’il a souhaitée objective – sur ce que fut réellement cet homme doué d’un pouvoir magique.

278 pages, 22€

Renseignements : http://www.france-empire.com/site/?p=409

Librairie du Globe
67, boulevard Beaumarchais
75003 Paris – France
Tel : 33 (0)1 42 77 36 36
info@librairieduglobe.com

Andréï KORLIAKOV est né en URSS mais il n’a pas vécu son démantèlement et peut être que cela a son importance. En tous cas, ou bout de 20 ans d’exil, il fait partie de ces émigrés russes d’aujourd’hui qui aiment respirer la poussière d’autrefois. Andréï Korliakov qui, dans une première vie voulait être professeur d’espagnol et vivre à Cuba, s’est découvert dans une deuxième vie une passion pour la recherche photographique. A la lumière de milliers de clichés pris dans un passé parti en fumée enterrées à jamais dans les valise de l’exil ou de l’exode de l’entre deux guerres cet iconographe historien raconte en photos le quotidien de ses compatriotes qui souvent ont sut recréer une “petite Russie” sur leur terre d’accueil.

Ouvrages actuellement disponibles. D’autres ouvrages relatant l’histoire de la Russie sont en cours de préparation.

Renseignements: ( CLIQUEZ )

CCCP  (Cosmic Communist Constructions Photographed) de Fréderic Chaubin.

Fréderic Chaubin.

Que l’on ne s’y trompe pas, il ne s’agit pas ici d’architecture stalinienne, même si les bâtiments photographiés étonnent par leur monumentalisme. Construits entre 1970 et 1990, ces bâtiment sontt considérés comme les survivants d’une quatrième époque de l’architecture soviétique. La surprise émane aussi de leur richesse plastique, d’une modernité inattendue, dont les formes organiques rappellent parfois celle d’un Franck Lloyd Wright.

Divisé en cinq parties – Spectacle et culture, Science et technologie, Sport et jeunesse, Santé et compétences, Rites et symboles – CCCP dévoile pour la première fois une architecture officielle qui, paradoxalement, fait preuve d’audace et de beauté, mise en œuvre par des architectes qui n’ont pas laissé de traces dans l’histoire, sinon leurs constructions.

Edité par Taschen en trilingue (Anglais/Allemand/Français), cet ouvrage constitue à la fois un ouvrage d’art et un document inédit sur l’architecture de la fin de la période communiste.

Frédéric Chaubin est depuis 1996 rédacteur en chef du magazine Citizen K. CCCP est le fruit de ses voyages dans les ex-républiques soviétiques effectués de 2003 à 2010. Son travail a fait l’objet de nombreuses expositions aux Etats-Unis et au Japon. Il expose en ce moment à Karlsruhe, en Allemagne.

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Cosmic Communist Constructions Photographed

CCCP

de Fréderic Chaubin

Relié, 26 x 34 cm (10.2 x 13.4 in.), 312 pages, € 39.99

Editions Tachen

2, rue de Bucci

75006 Paris

Renseignements : (CLIQUEZ )

Paul Mourousy (1915-2002), historien, romancier, dramaturge, poète, journaliste et conférencier, né à Paris, fils d’émigrés russe.Son père fut un des derniers diplomates de la Russie tsariste à Paris et son oncle, le prince Alexandre Mourousy, en qualité d’aide de camps de l’empereur, qui accompagna longtemps Nicolas II dans ses voyages officiels.

Paul Mourousy obtint en 1985 le Prix d’Histoire de l’Académie Française, pour son Raspoutine.

Son fils, le prince Constantin Mourousy, président de l’Association Européenne de Saint Vladimir, a fait réediter  “Alexandre Féodorovna la dernière tsarine“, ouvrage qui raconte au travers le regard d’un fils d’émigrés russe l’histoire de la dernière tsarine de Russie.

Evocation nostalgique et tendre des dernières heures de la monarchie russe.

Couverture de la première édition en 2001 Editions du Rocher.

Ses qualités lui ont valu de recevoir en 1988 le Prix Renaissance, lors de sa première édition.

Editions France-Empire Monde

La Brosse, 2, rue du Maquis, 77460 Chaintreau

370 Pages, 22€ TTC.

(Parution en librairie le 20 janvier 2011).

Marina Tchebourkina

“Trois siècles d’histoire”



Renseignements sur Marina Tchebourkina ( CLIQUEZ )

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Depuis que Pouchkine l’avait écrite à l’automne de 1836, depuis sa mémorable mis en scène à Moscou – en décembre 1890 – par Tchaïkovski, depuis qu’Alexandre Benois l’avait magnifiquement illustré en 1911 et qu’il créa les décors au théâtre Kirov dans le Petrograd de 1921, il avait pu sembler que le sujet était épuisé et n’exigeait plus aucune nouvelle interprétation.

Alexandre Alymoff (1904-1976), fils du général Alymoff, naquit à Saint-Pétersbourg où il commença ses études dans le corps des cadets. Il fût l’un des derniers témoins de la révolution russe: jeune adolescent, il avait 13 ans à l’époque, lorsqu’il avait quitté, sous la pression des évènements, la ville qu’il aimait. Son coeur d’enfant s’y brisa, sa famille fut disloquée et il n’eut de cesse de reconstituer le puzzle de “sa Russie disparue tout le long de sa vie”. Réfugié en France, il fût élève aux Beaux-arts de Paris et devint architecte. Dans les années 60, après avoir obtenu le nationalité française, il partit pour Saint-Pétersbourg (qui s’appelait encore à l’époque Leningrad) pour y retrouver le décor de son enfance, ses souvenirs, et les fixer à jamais sur le papier, Alymoff dessina avec minutie tous les décors de sa ville natale, avec l’idée de s’en servir pour illustrer à sa manière La Dame de pique.

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Cette Dame de Pique était le clin d’oeil que lui renvoyait le destin de cette autre Russie définitivement morte. Illustrer la Dame de Pique était son devoir de mémoire. il la modifiait sans cesse car il la voulait parfaite- Il y passa plus de 20 ans, nourrissant l’espoir de la terminer et de l’éditer en version intégrale.

En russe et en français.

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Traduction française de Prosper Mérimée paru en 1852. Les 20 hors-texte et la page de titre, gouaches d’Alexandre Alymoff et les 12 lettrines on été rehaussées de couleurs à la main à l’atelier du Lys à Paris. L’ouvrage comprend également 8 dessins à la mine de plomb d’Alexandre Alymoff, en prologue des chapitres, ainsi que 3 culs-de-lampe. L’impression des textes a été réalisée sur papier BFK Rives pur chiffon 250 g, par l’Imprimerie d’art des Montquartiers à Issy-les-Moulineaux. Le livre a été relié plein cuir de chèvre, par la Reliure du Centre à Limoges, et présenté dans un coffret toilé. Renseignements: Galerie JPM ( Cliquez )

Présentation de l’ouvrage au “Salon du livre russe” les samedi 30 et dimanche 31 octobre

au Centre de Russie pour la science et la culture

61, rue Boissière 75116 Paris.

La sortie du livre est prévue fin octobre 2010.

“La couleur habille la ville, l’illumine, l’enjolive et la sculpte. Elle est une
composante essentielle de notre environnement et libère des messages
qui agissent sur notre inconscient et nos états d’âme. La couleur s’invite
dans tous les domaines de la création, que ce soit la mode, le design,
l’urbanisme, l’architecture ou l’art.
Ce livre, magnifiquement illustré, nous promène de siècle en siècle
et d’un continent à l’autre dans l’univers de la symbolique des couleurs.
Il met en lumière l’évolution du langage de la couleur à travers les
civilisations. Dans la ville, comme dans l’art ou la décoration, les harmonies
de couleurs sont en constante mutation. Interactions passionnantes
entre les formes urbaines et le design, de l’Antiquité à nos jours.”

“Symbolique. La ville en couleurs”, Éditions du Huitième jour.

Renseignements ( Cliquez )

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Préface de Marina Vlady, parution en Octobre 2010,

Editions Annabelle

8 rue d’Anjou, 75008 Paris

272 pages – reliées- 35 euros prix préferentiel

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(à adresser avec le paiement aux Editions d’Annabelle)

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Baïkal

    Livres

Sortie fin juin, d’un ouvrage étonnant.

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512dmoco7el_ss500_Larissa Noury, fondatrice de lAssociation CEC architecte, diplômée de l’École polytechnique de Minsk. En 2004, elle a soutenu une thèse de doctorat en histoire de l’art à l’université de Bordeaux intitulée : “Rôle de la polychromie . Elle a réalisé plusieurs études chromatiques pour des villes, notamment à Vilnius, à La Rochelle, à Daegu en Corée et à Yaoundé au Cameroun. Elle a été chercheur invitée à l’Institut scandinave de la couleur à Stockholm de 1994 à 1996, et a enseigné la couleur comme professeur invitée à l’université de Bordeaux III et à l’École supérieure des arts et techniques de Paris. Elle participe régulièrement à des colloques sur la question de la couleur dans la ville. En 1997, elle a obtenu le grand prix de la Fondation Soros (États-Unis) pour son projet Écologie de la couleur et stratégie environnementale, préfigurant la création d’un centre international de la couleur.

Elle présente son ouvrage à la Sorbonne-Paris IV

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Institut d’urbanisme et d’aménagement

Grand Amphi

191, rue Saint Jacques, 75008 Paris

le 10 février 2010 à 18H30.

Accés: RER B station Luxembourg

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Anastasia Manstein-Chirinsky, dont le destin s’est confondu avec celui de la communauté russe exilée en Tunisie, est décédée à Bizerte le 21 décembre, à 6 heures 11 minutes. Quatre-vingt neuf années plus tôt – presque jour pour jour -, le 22 décembre 1920, elle arrivait dans ce port tunisien.

Dernier témoin de l’évacuation de la Crimée, en 1920, des Russes à bord des navires pendant la Guerre civile en Russie. Bizerte aura été sa “Dernière Escale“, tel est le titre de son livre publié en français en 2000 et en russe. Anastasia Chirinsky passera toute sa vie dans cette ville côtière. Elle a été enterrée au cimetière chrétien de Bizerte, à coté du tombeau de son père, Alexandre Manstein, décédé en 1964, officier de la Marine Impériale Russe, commandant du bateau “Jarky” qui faisait partie de l’Escadre russe venue à Bizerte.

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Après avoir fait ses études, elle devient enseignante en mathématiques. Bertrand Delano√´, l’actuel maire de Paris, qui a grandi à Bizerte, compte parmi ses anciens élèves. “ Babou, comme nous l’appelions tous, était un être exceptionnel, un génie de la vie. Son parcours fut un roman, celui de cette jeune immigrée russe, imprégnée d’histoire, de culture, de curiosité et de créativité, mais surtout d’amour “.

Anastasia Chirinsky est devenue indissociable de Bizerte. Moncef Ben Gharbia, maire de Bizerte, a confié au cinéastes russes Victor Lissakovitch et Nikolay Sologubovskiy qui ont tourné en 2007 un film ” Anastasia ” : ” Entre Madame Chirinsky et Bizerte il y a un amour qui dure depuis presque un siècle ! “. Ce film fut presenté au Festival Vesna 2008 à Paris par Artcorusse, ou il a obtenu le Prix de l’Amitié. Ce film reçu de trés nombreuses récompenses dont le Prix Nika en avril 2009. ( Cliquez )

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(Crédit photos Nicolaï Sologubovskiy)
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“Une grande perte pour l’Histoire.”

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Ce livre raconte la dernière odyssée de la Marine Impériale Russe, partie de Sébastopol pour venir accoster dans la rade de Bizerte.
Il est écrit 75 ans après, par la dernière survivante, vivant à Bizerte, décédée le 21 décembre 2009 à Bizerte.
Née en 1912 en Russie, arrivée en Tunisie à l’âge de huit ans et qui a fêté ses 95 ans, lors du tournage d’un film, ou elle relate son histoire.
Anastasia Manstein-Chirinsky nous raconte le récit de cette frange de l’histoire, ignorée de la plupart de nos contemporains.
Ce livre lucide, serein et profondément humain, nous révèle un écrivain véritable.
Il a été publié en français en Tunisie et disponible également en langue russe.

309 pages, illustrations noir et blanc, au prix de 25euros (frais de port offerts pour la France)

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Extraits en russe de l’ouvrage

http://www.sweeta.ru/books/manshtein.html (Cliquez)

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librairie

Les “Editeurs Réunis”

11, rue de la Montagne Ste Geneviève

75005 Paris

Tél: 01 43 54 74 46

Envoi colissimo pour toute commande avant le 22 décembre.

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