26
Mar

Salon “L’Art Ô Féminin” Galerie Thuillier

   Publié par: artcorusse   dans Evenements

 

1er Salon ” L’Art ô Féminin “

Vendredi 5 au jeudi 18 avril 2019

Galerie Thuillier, Paris

 

L’association «Nasledié-Heritage» dont la présidente est Natalia Dupont-Dutilloy, en partenariat avec la galerie Thuillier
organise un événement culturel qui réunit les
meilleures représentants d’arts internationaux: artistes peintres, sculpteurs,
photographes et autres créateurs.

Le thème est :
Femme artiste, femme muse, femme modèle, au nom de la femme…

Yuylia Kouznetsova,(Russie)

Ce salon est un rendez-vous artistique et culturel très attendu, qui permettra aux visiteurs d’apprécier un éventail très riche de techniques et styles diversifiés, allant de l’abstraction, à la figuration et à la photo d’art.

Gulnara Vali,(France).

Cette vaste palette d’exemples d’expressions et de sensibilités fait la richesse des cultures et des peuples, afin de protéger l’héritage et le patrimoine par l’art.

Gyorgy & Dorka Dobus,(Hongrie).

Tels sont les objectifs de ce Salon avec 40 artistes venant de 7 pays:  Finlande, France, Hollande, Hongrie, Italie, Ukraine, Russie.

Vadilaslava Yakovenko,”Paris Oder”,(Ukraine)

Nous pouvons citer:

Irina Alaverdov. Natalia Bodganovska, Natalia Dupont Dutilloy artistes russes vivant en France.  Yuylia Kouznetsova, Yulia Fomina de Russie. Paola Grillo, Amellia Perrone, Nelly Fonte d’Italie, etc….

Natalia Dupont Dutilloy, « Pluie nocturne II » 46 x 54cm, huile au couteau sur toile,(France)

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Les peintures présentées seront soumises à un jury international.

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La cérémonie de remise des prix aura lieu le

dimanche 7 avril 2019 à 18h

à “La Bonne Franquette”

18 Rue Saint-Rustique, 75018 Paris ( Réservation: 06 60 28 57 04 )

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Galerie Thuillier

13, rue de Thorigny, 75003  Paris

Tél: 06 12 80 88 36

Horaires du mardi au samdi de 13h à 19h

Métro: St Sébastien Froissart, St Paul.

 

 

 

 

25
Mar

Voyage au pays des Chamanes, Cinéma Le Balzac

   Publié par: artcorusse   dans Brèves

organise une soirée exceptionnelle

” Voyage au pays des Chamanes “

  • Conférences.
  • Chants et instruments
  • Projection “Premier Amour”

Jeudi 4 avril 2019 de 18h à 23h30

Cinéma Le Balzac, Paris

 

Soirée exceptionnelle à l’occasion de la venue à Paris d’Olena Uutai

Olena-Olga Podluzhnaya- Uutaï

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PROGRAMME DÉTAILLÉ

– 18h30 : Ouverture des portes au public
– 19h à 19h10 : Introduction aux peuples de Sibérie par Anne-Victoire Charrin
– 19h10 à 19h30 : Le chamanisme des peuples du Nord et de la Mongolie par Roberte Hamayon
– 19h30 à 19h50 : La guimbarde en Yakoutie : voix des esprits, chants animaux par Emilie Maj
– 19h50 à 20h50 : Projection du film ” Premier amour“, du réalisateur yakoute Stepan Burnashev (70 min)
– 20h50 à 21h20 : Pause dégustation : buffet sibérien (participation à partir de 2 euros par plat)
– 21h20 à 22h50 : Concert d’Olena Uutai et performance des chamanes Nikolaï et Amir Oorzhak et Elena Kokorina
– 23h20 : Rencontre avec les artistes et fin de la soirée

BUFFET SIBÉRIEN (participation de 2 à 4 euros par plat ou boissons)
et STAND de livres, CD, films et guimbardes (Khorum)

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INTRODUCTION AUX PEUPLES DE SIBÉRIE – à leur musique et à leurs croyances; 3 interventions par des spécialises
Spécialiste de la littérature et des peuples de Sibérie, Anne Victoire Charrin voyage depuis 1978 auprès des autochtones du Grand Nord russe.

Anne Victoire Charrin

Elle proposera une présentation complète des peuples de Sibérie et de leurs traditions.

 

 Roberte Hamayon

Auteure de « Le chamanisme. Fondements et pratiques d’une forme religieuse  d’hier et d’aujourd’hui », Roberte Hamayon est spécialiste du chamanisme de Mongolie et de Sibérie. Elle introduira aux croyances des peuples de Sibérie et à la notion de transe.
Ethnologue de formation, spécialiste de la relation de l’homme au sauvage et des traditions musicales du peuple yakoute, Emilie Maj souhaite aujourd’hui transmettre a parole autochtone à travers les livres qu’elle édite avec Borealia, sa maison d’édition.

Émilie Maj anthropologue, directrice de Boréalia.

 

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LE CHANT DES ESPRITS – 3 chamanes en concert
Chamane de République Touva, Nikolaï Oorzhak a créé une école de sagesse autour d’une méthode de soin qu’il a créée, basée sur les propriétés du chant diphonique touva, principe d’harmonie avec la nature et d’équilibre du corps.

Nikolaï Oorzhak

Enchanteur et mystérieux, son chant rituel sera accompagné des voix, des tambours et des vièles de son fils Amir et de Elena Kokorina guérisseuse du sud de la Sibérie. Moment de méditation, leur performance fascinante, thérapie vibratoire, donnera souplesse au corps et détente à l’esprit.

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LES VOIX ANIMALES – concert exceptionnel D’OLENA UUTAI,Olga Podluzhnaya
Née le 25 mars 1986 en République de Sakha (Yakoutie) en Russie, Olena commence à jouer de la guimbarde à 6 ans et grandit en se nourrissant des croyances et de la langue du peuple yakoute.

Olena Podluzhnaya  dite UUTAi,  traduction littéraire de la langue yakoute par “Le mystère créé par l’eau”. Olena commencé à jouer du khomus (vargana, guimbarde) à l’âge de 6 ans, elle a participé en 1997 à un concours télévisé républicain “Polar Star”, où, en 1997 et 1998, elle fut la 1ère.

Aujourd’hui internationalement reconnue, elle emmène son public dans le Grand Nord sibérien à travers l’harmonie de la guimbarde, les chants surprenants des peuples de Sibérie et l’imitation à s’y méprendre du hurlement du loup, du hennissement du cheval et du chant des oiseaux de la taïga et de la toundra.
Accomplissant sa mission de faire revivre les traditions ancestrales du peuple yakoute, elle vient pour la première fois à Paris et offrira, à travers un concert d’exception, un message de respect de la nature destiné à tous les peuple et toutes les générations.

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PREMIER AMOUR (film)
“Volodia, éleveur de chevaux, monte à la capitale pour s’acheter un fusil de chasse. Il manque de se faire écraser par la voiture d’une femme d’affaire. Tous les deux ne mettent pas longtemps à reconnaître en l’autre son premier amour.” Au-delà de toutes frontières, ce film du réalisateur yakoute Stepan Burnashev sorti en salles le 27 février 2019 fera naître en vous des émotions à fleur de peau, vous transportant le temps de quelques images dans un ailleurs qui vous apparaîtra familier. C’est l’un de ses 7 longs-métrages. Il est loin d’être le seul réalisateur dans cette République de la Fédération russe. Le film permet d’introduire non seulement à cette région du monde, mais à un cinéma naissant ainsi qu’à la littérature de ce peuple, car le film est une adaptation d’une nouvelle de l’écrivain yakoute Nikolaï Gabyshev.

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Le Balzac

1 rue Balzac, 75008, Paris

Tarif: 30€, Tarif club: 22€

Réservation et règlement auprès du cinéma Balzac et sur place le soir du concert

(à partir de mardi 26 mars): CLIQUEZ

Plus de renseignement : contact@borealia.eu et 06 07 62 93 77

20
Mar

Tikhobrazoff à l’Académie Schtieglitz

   Publié par: artcorusse   dans Informations Internationales

Concours international d’exposition

“Palette moderne”

 

du 14 au 28 mars 2019

Académie Schtieglitz, Saint Petersbourg.

 

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Le 14 mars 2019, le grand hall d’exposition de l’Académie Stieglitz a accueilli l’inauguration du concours international d’exposition «Palette moderne», devenu la 13ème édition du projet «Nous sommes différents, nous sommes ensemble».

 

L’exposition présente les enseignants et les étudiants de l’Académie  A. L. Stieglitz, ainsi que des artistes venus de nombreux pays du monde: États-Unis, Chine, Corée du Sud, Espagne, Inde, Éthiopie, France, Estonie, Moldavie, Arménie, ainsi que des enseignants d’Académies amicales.

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“Il ne suffit pas de se taire, il faut savoir dire autre chose” huile sur toile 61X46

Nicolas Tikhobrazoff ,représentant la France, expose une toile en anamorphose.

L’exposition présente un large éventail de travaux créatifs sur le dessin, la peinture, la sculpture et les arts décoratifs et appliqués.

Le but de l’exposition est de stimuler l’activité créatrice des étudiants, des enseignants et du personnel des Académies, de soutenir et de populariser les arts visuels et décoratifs modernes, de promouvoir l’interaction et l’enrichissement de différentes écoles d’art et de cultures.

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Le jour de l’inauguration par le Recteur de l’Académie de Stieglitz, Anna Nikolaevna Kislitsyna , était accompagnée d’ invités et des participants à l’exposition:

Alexey Yuryevich Talashchuk – Académicien de l’Académie des arts de Russie, Artiste du peuple de Russie, directeur artistique de l’Académie de Stieglitz.
Alexander Evgenievich Reife,  – Recteur de l’Institut de biotechnologie.
Andrey Sklyarenko – Vice-Recteur de l’Institut Académique. I. E. Repin.
Sh. Jayasekara Pushpakumara – Professeur à l’Université internationale d’éducation fondamentale (IUFS), membre du personnel de l’UNESCO;
Hwang San Qun – Professeur, République de Corée;
Beibutyan Leva – Professeur du département de sculpture monumentale et décorative de l’académie de Stieglitz;
Alexander Bartenev – Directeur du musée des arts appliqués de l’Académie de Stieglitz;
Azbeha Negga Tesfaye – originaire d’Éthiopie, participant au projet, professeur associé du département de peinture et de dessin SPBSTDD;
Victor Y. Semenov – Professeur au département de dessin de l’Académie Stieglitz, président du comité d’organisation de l’exposition.

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L’école est fondée par un oukaze d’Alexandre II de 1876, grâce aux moyens financiers de son fondateur, le baron von Stieglitz (1814-1884), banquier et industriel.

 

Académie Schtieglitz

13-15 rue Solianoï (Соляной пер., 13-15)

Heures d’ouverture: 12h00 – 16h00 tous les jours, sauf le dimanche.

19
Mar

Artésienne expose Couleurs de Printemps de Larissa Noury

   Publié par: artcorusse   dans Informations

ARTESIENNE
Portes ouvertes
” Couleurs du Printemps “
de Larissa Noury
WE du 23 & 24 mars 2019  – 11h à 20h
WE du 30 & 31 mars 2019 – 11h à 19h
Larissa Noury – Artiste peintre – Architecte-coloriste – Styliste
et son art tactile effleurant de délicates nuances “intuitistes”. Président Fondatrice de l’Association internationale «Color-Space-Culture» Larissa Noury, Docteur en Arts (Bordeaux, 2003) et Architecture (Saint-Pétersbourg, 1988), auteur de deux livres “Color in the city” et “Symbolic of colors”, est le coloriste le plus original de Montmartre, France. Ses œuvres offrent le luxe de combiner liberté et force intérieure. Cette alliance caractérise toutes ses œuvres, empreintes de poésie où règnent l’amour et la fantaisie onirique; nous rappelant l’impressionnisme de Monet, les peintures de Chagall aux couleurs romantiques ou les compositions de Kandinsky à l’aide de mouvements improvisés.
Son travail fait partie de nombreuses collections privées et de cinq musées. Elle a créé une collection de robes peintes avec JMPujol qui travaillait dans l’atelier d’Yves Saint Laurent et a présenté son film “Dream of Harmony” qui traite des nouvelles technologies dans l’art. La combinaison d’images et de musique vous fait plonger à l’intérieur de vous-même dans une contemplation magnifique.
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ARTESIENNE
20, rue Tholozé, 75018 Paris
Métro: Abbesses, Blanche

Présente

“En se couchant il a raté son lit”

d’après Daniil Harms

du 11 au 31 mars 2019

Salle Roger Blin, Théâtre Gérard Philipe

Mise en scène: Lilo Baur et Jean-Yves Ruf

Avec: Elissa Allouba, Joan Beliviure, Jean-Christophe Cochard, Isabel Aimé, Gonzales Sola, Laurence Mayor, Vincent Mourlon, Pierre)Yves Poudou.

Lumière: Jean Bellorini.

Scénographie: Laure Pichat.

Son: Xavier Jacquot.

Costumes: Agnès Falque, Marlène Hervé.

Durée: 1h 15 environ.

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Les textes de Daniil Harms sont des petits trésors d’humour, vifs et cruels. Le titre du spectacle en témoigne. Pourtant, si l’on plonge dans la biographie de cet auteur, on ouvre en même temps l’une des pages les plus sombres de l’histoire du XXe  siècle. Poète proche du peintre Kazimir Malevitch et cofondateur de l’Oberiou, dernière organisation littéraire de gauche en Russie soviétique avant l’avènement d’une censure totale, né en 1905 et mort de faim pendant le siège de Leningrad en 1942, Daniil Harms a connu un destin heurté, marqué par la grande confusion de son époque. Harms n’a pas eu le temps de se faire connaître avant de se voir interdire toute publication. Il n’a vu paraître de son vivant que deux courts poèmes (en 1926 et 1927). Réhabilité en URSS en 1956, il reste aujourd’hui méconnu en France, malgré une œuvre étonnante, mêlant le tragicomique à l’absurde, maniant la forme courte – poésie, théâtre et prose – dénonçant, par l’humour et le non-sens, la violence et la monstruosité de son temps.

© Serge Bloch

Lors d’un stage mené il y a deux ans au TGP, les metteurs en scène Lilo Baur, Jean-Yves Ruf et Jean Bellorini avaient choisi ces écrits. Les saynètes s’enchaînent, très physiques, rythmées, précises. On y voit des chutes, des exactions impunies, des vaudevilles tragiques. La musicalité de la langue, la truculence des personnages, les répétitions, les accélérés et les ralentis composent l’ensemble en une symphonie cruelle. Le groupe de sept comédiens – belle équipe aux caractères sensibles et rugueux – se jettent à corps perdu dans ce tourbillon de mots. Poètes prêts à en découdre et à combattre l’arbitraire par le rire.

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dit Harms

Daniil Harms est né le , décédé le 

 

Daniil Iouvatchev dit Harms, enfant.

entretenait une correspondance avec Tchekhov, mais également avec Volochine et Tolstoï,

 

Lettre de D. Harms avec son autoportrait

 

Grâce à lui, en URSS, les enfants ont lu ses traductions du livre illustré en vers de l’artiste et poète Wilhelm Bush, le recueil de poèmes humoristiques “Max & Moritz”, l’histoire de deux garnements insupportables et espiègles.

Max et Moritz (1865) du poète Wilhelm Bush

Daniil a également publié des œuvres composées en collaboration avec des collègues de l’atelier de création. Alors, en 1937, les “Histoires en images”. Les illustrations ont été dessinées par Nikolai Radlov, tandis que le texte lui-même a été écrit par Nina Gernet, Natalya Dilaktorskaya et Daniel Kharms. La biographie de l’auteur pendant longtemps était connue principalement pour ce livre.

Accusé d’activités anti-soviétiques, il est exilé à Koursk près de la frontière ukrainienne en 1931, où il a des problèmes de santé causés par une mauvaise alimentation et un manque de soins. Il est libéré en 1932,  puis il est arrêté en août 1941, afin d’échappé à la peine mort il se déclara fou et il est interné dans un asile psychiatrique, en pleine famine lors du blocus de la ville, où il meurt à 36 ans en 1942.

Photo d’écrou de Danniil Iouvatchev dit Harms.

Considéré comme un ennemi du régime stalinien, Harms ne peut publier de son vivant que deux textes, l’essentiel de son œuvre fut diffusée clandestinement. Il est réhabilité en 1960, mais longtemps, seules en 1962 ses poésies pour enfants sont republiées en URSS. Son œuvre est aujourd’hui appréciée en Russie. Elle a été traduite en français, allemand, anglais, italien, polonais, tchèque, et suédois.

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Théâtre Gérard Philipe, salle Roger Blin

59 boulevard Jules-Guesde 93200 Saint-Denis
Tarifs:23€, tarif réduit de 6 à 17€
Réservation: 01 48 13 70 00

 Métro : Saint-Denis – Basilique (13)

RER : Saint-Denis (ligne D1).
Transilien : Saint-Denis (ligne H).
Bus : arrêt Eglise – Théâtre Gérard Philippe (lignes 255, N44)
Tram : Théâtre Gérard Philippe (ligne 1)
Voiture : Depuis Paris : Porte de la Chapelle – Autoroute A1 – sortie n°2 Saint-Denis centre (Stade de France), suivre « Saint-Denis centre ». Contourner la Porte de Paris en prenant la file de gauche. Continuer tout droit puis suivre le fléchage « Théâtre Gérard Philipe » (emprunter le bd Marcel Sembat puis le bd Jules Guesde).

 

 

18
Mar

Le renouveau de l’école de Vitebsk, IG Gallery

   Publié par: artcorusse   dans Evenements

Exposition

Le renouveau de l’École de Vitebsk”

7 artistes significatifs.

du lundi 18 au dimanche 31 mars 2019

 

Entre Art Naïf, Néo-Primitivisme et Néo-Modernisme, l’école de Vitebsk contemporaine s’inscrit dans la lignée de ses illustres prédécesseurs. L’avant-garde russe a laissé place à une nouvelle génération d’artistes-peintres prisée et talentueuse. L’éventail des visions artistiques représentées par :

Skovorodko, Zakharevitch, Dundzin, Davidovich, Kroshkin, Plotnikov et Shilko nous aident à mieux comprendre à quel point cette école petite a influencer de nombreux courants artistiques.

Vernissage jeudi 21 mars de 18h au 23h

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 I-gallery.Intelligence 

1, quai Voltaire, 75007 Paris
Horaires:du mercredi au dimanche de 14h à 19h 

 Sur rendez-vous:  0676380567 et 0753567107

Originaux détruits d’ œuvres du musée 

Andrei Rublev à jamais perdus.

 

Lors d’un incendie survenu au cours du week-end dans un entrepôt de peintures situé dans la rue principale de Moscou, à savoir:

62 copies des anciennes fresques de Théophane le Grec et une copie de l’autel de l’église de la Nativité de la Vierge dans le monastère de Ferapontov en taille réelle.

40 œuvres ont été exportées vers des expositions à l’étranger. Ils ont connu un énorme succès, car les originaux sont perdus. Des objets exposés du musée de la science Andrei Rublev ont été détruit.

Des chefs-d’œuvre et des pièces exceptionnelles gérés par le Musée central de la culture et des arts russes, baptisés du nom d’Andrei Rublev, sont restés intacts. Des copies du XXe siècle ont été endommagées, a déclaré vendredi 15 mars, Svetlana Lipatova, directrice adjointe du musée du développement. Ce ne sont pas les objets d’expositions, mais les copies du XXe siècle qui ont souffert de l’incendie.

Selon le ministère des Situations d’urgence, le feu a pris dans dans un local voisin, l’entrepôt était en train de brûler du troisième au premier étage sur une superficie d’environ 2 000 mètres carrés et c’est propagé à l’entrepôt de peinture d’Anton Rublev

Concert de l’orchestre d’instruments folkloriques

de l’École d’Arts G.V. Sviridov

de Saint-Pétersbourg


Concert de l’orchestre d’instruments folkloriques de l’Ecole d’Arts G.V. Sviridov de Saint-Pétersbourg.

Directeur artistique et conducteur Andreï Demidov.

 

«CENTRE HUIT»

 8, rue de la Porte de Buc,  Versailles 78000,

(RER) Gare de Versailles Chantiers

Entrée : 5€

Réservation 06 76 29 15 09
russophone@mac.com
www.ecolerusse.fr

16
Mar

L’homme qui a surpris tout le monde, sortie le 20 mars

   Publié par: artcorusse   dans Brèves, Cinéma

Film

” L’homme qui a surpris tout le monde “

” Человек, который удивил всех”

de Natscha Merkulova & Alexey Chupov

Sortie en salle le 20 mars 2019

Réalisation, Scénario : Natasha Merkulova et Aleksey Chupov

Image : Mart Taniel
Montage : Vadim Krasnitsky
Son : Vladimir Pryamov, Aleksandr Fedenyov, Stas Krechkov

Designer de production : Sergey Avstrievskikh

Production musicale : Andrey Kurchenko Casting : Maria Sudnitsyna
Costumes : Anna Bartuli
Maquillage : Tatyana Kolomyitseva

Evgeniy Tsyganov : Egor, Natalya Kudryashova : Natalia,  Yuriy Kuznetsov : le Grand-père,  Vasiliy Popov : Artem, Pavel Maykov : Zakhar, Aleksey Filimonov : Sepka, Elena Voronchikhina : la Chamane, Maksim Vitorgan : le Professeur

Durée: 105 mn, 2018

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” Aux confins la Taïga sibérienne, Egor, garde forestier, est un bon père de famille et un bon mari, respecté par ses quelques concitoyens. Lui et sa femme Natalia attendent un deuxième enfant. Quand Egor découvre qu’il est atteint d’une maladie incurable, ni la médecine traditionnelle, ni la sorcellerie des chamans ne peuvent rien contre sa maladie et, en fin de compte, Egor se résout à un acte désespéré: il va tenter de tromper la mort… au risque de surprendre tout le monde. “

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Prix

Festival International du Film de Venise 2018 (Italie): Prix Orizzonti de la meilleure actrice, Prix Spécial du Jury, Pingyao Crouching Tiger Hidden Dragon (Chine), Prix du public Crouching Tiger, Festival International du Film Indépendant de Bordeaux (France), Festival du Film Russe de Honfleur (2018), Grand Prix de la Ville de Honfleur Meilleur Film, Prix de la Meilleure Actrice, Prix du Meilleure Acteur.

Sélection:

Festival International du Film de Busan (Corée du Sud),  Festival International du Film de Janela (Brésil), Tallinn Black Nights Film Festival (Estonie)
Festival International du Film Cineuropa (Espagne)

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Natasha Merkulova est née le 19 septembre 1979 à Orenburg en Russie. Elle est diplômée de l’Université d’Irkutsk et de la Haute Ecole des Scénar- istes et Réalisateurs de Moscou. Elle a travaillé en tant que présentatrice à la télévision d’Irkutsk.

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Alexey Chupov est né le 25 mai 1973 à Moscou. Il est diplômé de l’Université d’Etat de Moscou et a également étudié le Cinéma à l’Université Wake Forest aux Etats-Unis. Il a commencé sa carrière en tant que journaliste pour la télévision.

Son premier film, Lieux Intimes (2013), a été acclamé par la critique et a gagné pas moins de 30 sélections et prix dans des festivals russes et à l’international.

En 2013, il a écrit et réalisé Lieux Intimes avec sa femme Natasha Merkulova, un premier film acclamé par la critique.

15
Mar

Groupe Karandash Salle Sapiens Brussels

   Publié par: artcorusse   dans Informations Internationales

100 ANS d’ÉMIGRATION RUSSE

Dimanche 24 mars 2019 à 16h annulé

REPORT DU CONCERT:

SAMEDI 6 AVRIL à 16 h

Salle Sapiens, Brussels

 

2019 marque le début des commémorations du centenaire de présence Russe en Europe qui se poursuivront jusqu’en 2023. Tout au long de cette période nous ferons de notre mieux pour faire connaître notre histoire, valoriser notre patrimoine, susciter de nouvelles initiatives.
Maison Russe asbl commence par le concert de Groupe Karandash qui est composé de musiciens d’origine russe, Yashko Golembiovsky, Iliya Stepanow et Iliyoucha Stepanow,  nés en Belgique, de parents ou grands parents issus de l’émigration.

Ils vont vous faire revivre l’expression lyrique russe, qui parle de la haine de la guerre, du goût de la liberté, des peines et des joies de l’amour, de la fraternité humaine, de la tendresse, de la bonté, du courage. Avec le groupe Karandash vous sentirez l’espace d’un instant les plaines de la Russie avec des chevaux volants dans les steppes avec la fougue des tziganes qui les montent.

Soyez les bienvenus !
Ce projet est soutenu par la Service de Relations internationales de Commune de Saint-Josse-ten-Noode

L’entrée est gratuite, le buffet est proposée avec les prix démocratiques.

Salle Sapiens

1, Rue Merines 1210 Bruxelles

 

13
Mar

5ème Festival du cinéma Russe à Paris

   Publié par: artcorusse   dans Evenements

5ème Festival du Cinéma Russe 2019

“Quand les Russes s’enflamment”

Lundi 11 au lundi 18 mars 2019

Paris

Crée en 2014, au Grand Action, à Paris, des soirées mensuelles dédiées au patrimoine cinématographique russe. Le succès fut immédiat !

Après quand les Russes rient, aiment, chantent, rêvent.

Voici : ” Quand les russes s’enflamment”

Vous allez découvrir quarante films à voir et revoir au Balzac, en haut des Champs Elysées, au Christine 21 à Saint Germain des Prés, au Studio 28 aux pieds de la Butte et au Max Linder sur les Grands Boulevards…

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Calendrier susceptible de modifications.

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Ouverture


Cinéma Le Balzac
Hommage à Michel Legrand avec Nathalie Dessay.
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VAN GOGHS – ВАН ГОГИ
Russie . 2018 . Couleur . 1h43
Production : Leopolis
Réalisation : Sergueï Livnev ; Scénario : Sergueï Livnev ; Opérateur : Youri Klimenko ; Musique : Léonide Dessiatnikov, Alexeï Sergounine
Avec : Alexeï Serebriakov, Daniel Olbrychski, Elena Koreneva, Polina, Agoureeva, Natalia Negoda, Alexandre Sirine, Svetlana Nemoliaeva…
“Le père est un chef d’orchestre reconnu ; le fils un artiste talentueux mais inconnu. Entre eux depuis toujours des relations d’amour-haine. Plus haine qu’amour, en fait.
Ils habitent chacun aux antipodes et s’efforcent de ne jamais se croiser. Cependant un impondérable surgit qui va les obliger à se rapprocher et prendre, qui sait, le chemin de la réconciliation.”

Sergueï LIVNEV (Сергей Ливнев), né en 1964.Réalisateur, scénariste et producteur russe. Parmi ses scénarios : Assa (Асса 1987) de Sergueï Solovev. Il n’a réalisé que trois films : 1991 : Кiks (Кикс),  1994 : La Faucille et le marteau (Серп и молот),  2018 : Les Van Gogh (Вангоги)

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Cinéma Le studio 28

CINÉ CONCERT
TROIS DANS UN SOUS-SOL – ТРЕТЬЯ МЕЩАНСКАЯ

URSS . 1927 . N&B . 1h24 Production : Sovkino (Moscou)

Réalisation : Abram Room, Scénario : Victor Chklovski, Abram Room, Image : Grigori Guiber

Avec : Nikolaï Batalov, Ludmila Semenova, Vladimir Fogel, Maria Yarotskaïa, Léonide Yourenev, Elena Sokolova…

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Cinéma Le Balzac

Réalisation : Vassili PITCHOUL
Scénario : Maria KHMELIK
Images : Efim REZNIKOV
Ingénieur du son : Pavel DROZDOV
Interprétation : Andreï FOMINE, Maria KHMELIK, Youri NAZAROV, Natalia NEGODA , Aleksandr NEGREBA, Andreï SOKOLOV, Lioudmila ZAITSEVA

En présence de l’actrice principale Natalia Negoda

Le film scandale de la Pérestroïka qui suscita de violentes réactions, signé par un couple de trentenaires, le réalisateur et sa femme scénariste. Vera, une jeune fille délurée, étouffe dans l’atmosphère étriquée de sa ville provinciale et dans son temps : conflits avec son entourage médiocre, avenir bouché…Le titre est un jeu de mots car le prénom Vera signifie aussi « foi ». Dans un pays figé, enlisé dans le piège afghan, plus personne ne croit à rien.

Dernier film soviétique dépassant les 50 millions de spectateurs.

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Cinéma Le Christine 21

 

Réalisation : Youri Bykov
Scénario : Youri Bykov
Image : Vladimir Ouchakov
Musique : Youri Bykov et Ivan Issianov
Avec : Vladislav Abachine, Denis Chvedov, Andreï Smoliakov, Alexandre Boukharov, Alexandre Bachirov, Maxime Vitorgan…
 Russie-France . 2018 . Couleur . 1h49
Production : Kinovista, Forever Films Media, Sharm, Coda, Wild Bunch
Sélection officielle TIFF Toronto 2018 / Les Arcs Film Festival 2019
Six travailleurs décident de rebuter l’oligarque, qui ferme l’entreprise pour une bonne affaire. Qui va gagner – riche ou pauvre, cupidité ou désespoir? Regardez le nouveau thriller provocateur de “Plant” de Yuri Bykov dans les cinémas à partir du 7 février 2019.
L’usine de formation de la ville est fermée quelque part dans l’outback russe: le propriétaire, l’oligarque Kalugin, annonce sa décision à une foule de travailleurs contrariés mais silencieux, qui n’ont pas vu leurs salaires depuis des mois. Aux cheveux gris – un travailleur qui a perdu un œil dans une guerre et qui souffre d’un syndrome post-traumatique – persuade ses camarades de kidnapper un millionnaire et d’exiger une rançon. Cependant, un détachement de sa garde personnelle, dirigé par un combattant expérimenté, Tuman, arrive pour sauver Kalugin. Même les forces de sécurité qui les ont emmenées ont arrêté le convoi. La tension augmente, les coups de feu retentissent de plus en plus souvent, la matinée arrive et le nouveau jour ouvrable arrive. Il est évident que loin de tout sortira vivant de cette confrontation.
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Cinéma Le Balzac

LES MÉANDRES DU SUCCÈS – ЗИГЗАГ УДАЧИ

URSS . 1968 . N&B . 1h28, Production : Mosfilm, Scénario : Emile Braguinski, Eldar Riazanov, Image : Vladimir Nakhabtsev, Musique : Andreï Petrov

Avec : Evgueni Léonov, Valentina Talyzina, Evgueni Evstigneev, Irina Skobtseva, Guéorgui Bourkov, Valentina Telitchkina, Alexandre Gribov…

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Cinéma Le Balzac

LA BALLADE DU HUSSARD – ГУСАРСКАЯ БАЛЛАДА

URSS . 1962 . Couleurs . 1h36 .Production : Mosfilm,Scénario : Alexandre Gladkov, Eldar Riazanov, Image : Léonide Kraïnenkov, Musique : Tikhon Khrennikov

Avec : Larissa Goloubkina, Youri Yakovlev, Igor Ilinski, Nikolaï Krioutchkov, Tatiana Chmyga, Youri Belov…

C’est une des comédies musicales les plus appréciées en Russie. Cette aventure rythmée, raconte l’histoire de Nadejda Durova durant les guerre napoléoniennes, pleine d’activités et remplie d’humour est ingénieusement mélangée à un bravade par intérim et à des opérettes mémorables.

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Cinéma Le Christine 21
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AU BORD DU RAVIN ABRUPT – У КРУТОГО ЯРА

URSS . 1961

N&B . 43mn Production : Studios Gorki Réalisation : Kira Mouratova, Alexandre Mouratov, Scénario : Kira Mouratova, Alexandre Mouratov, Image : Andreï Maslennikov,  Musique : Oleg Karavaïtchouk

Avec : Valéri Issakov, Marcella Tchebotarenko, Victor Markine, Guéorgui Svetlani-Penkovski, Piotr Lioubechkine, Valéri Ivanov…

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Cinéma Le Balzac
Une jeunesse russe

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Cinéma Le Balzac

UNE JEUNESSE RUSSE – МАЛЬЧИК РУССКИЙ

Réalisation : Alexandre Zolotoukhine
Scénario : Alexandre Zolotoukhine
Image : Aïrat Yamilov
Musique : Sergueï Rachmaninov…
Avec : Andreï Pavlioutine, Sergueï Dvoïnikov, Danil Tiabine, Dimitri Belov, Igor Chlykov…

Russie . 2017 . Couleurs . 1h13
Production Lenfilm, Fondation Primer Intonatsii

C’est l’histoire d’un petit gars de la campagne qui, en 1916, s’engage comme volontaire. Mais dès le premier engagement, il perd la vue à cause des gaz. Il va quand même rester sur le front et continuer à se battre. Equipé d’énormes engins acoustiques, il devient « écoutard » (« sloukhatch »), autrement dit « il écoute le ciel » pour détecter l’arrivée des avions allemands ennemis.

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Cinéma Le Balzac

LE CYGNE DE CRISTAL – ХРУСТАЛЬ

Réalisation : Daria Jouk ; Scénario : Helga Landauer, Daria Jouk ; Opérateur : Carolina Costa

Avec : Alina Nasboullina, Ivan Mouline, Svetlana Anikeï, Ilya Kapanets…Biélorussie-Allemagne-USA-Russie . 2018 . Couleur . 1h35 .

Production Demarchfilm, Crystal Goose, Turnstyle TV

Années 1990, en Biélorusse. La jeune Vélia, une DJ pleine d’ambition de Minsk, rêve de partir en Amérique. A la suite d’une erreur dans sa demande frauduleuse de visa, elle se retrouve hébergée par une famille inconnue dans une petite ville où toute la vie tourne autour de la Cristallerie. Tandis que ses hôtes sont pris dans leurs préparatifs de mariage, elle va se battre envers et contre tout (tous ?) pour réaliser son rêve.

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Cinéma Le Balzac

ROMANCE DE BUREAU – СЛУЖЕБНЫЙ РОМАН

URSS . 1977 . Couleurs . 2h39, Production : Mosfilm, Scénario : Eldar Riazanov, Emile Braguinski, Image : Vladimir Nakhabtsev, Musique : Andreï Petrov

Avec : Andreï Miagkov, Alissa Freindlich, Svetlana Nemoliaeva, Oleg Bassilachvili, Lia Akhedjakova…

“Anatoli Novosseltsev, modeste employé, se trouve mis au placard à son Institut de statistique. Pour décrocher un nouveau poste son collègue Youri Samokhvalov,lui conseil de faire usage de ses charmes auprès de sa gorgonne de directrice. Mais le projet de Novoseltsev va se retrouver contrarié à plus d’un titre…il tente de séduire sa directrice Lioudmila Kalouguina, une femme autoritaire et peu séduisante, pour qui le travail a remplacé la vie privée”.

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Cinéma Le Balzac

LA NUIT DU CARNAVAL – КАРНАВАЛЬНАЯ НОЧЬ

URSS . 1956 . Couleurs . 1h18, Production : Mosfilm, Scénario : Boris Laskine, Vladimir Poliakov, Image : Arkadi Koltsaty, Musique : Anatoli Lepine

Avec : Igor Ilinski, Ludmila Gourtchenko, Youri Belov, Sergueï Filippov, Olga Vlassova, Guéorgui Koulikov, Andreï Toutychkine, Tamara Nossova…

“Un nouveau directeur d’une Maison de la Culture prévoit d’organiser un concert de Nouvel An terriblement ennuyeux. Un groupe de jeunes acteurs amateurs font de leur mieux pour animer le concert, malgré les points de vues imposés par le directeur”.

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Cinéma Le Balzac

Le cœur du Monde
Pays: Russie, Lithuanie,  2018
Réalisatrice: Natalia Mechtchaninova
Scénariste: Natalia Mechtchaninova, Boris Khlebnikov, Stepan Devonine,
Acteurs: Stepan Devonine, Dmitri Podnozov, Yana Sekste, Vitia Ovodkov, Yevgeni Syty, Ekaterina Vasilieva.
Genre: Drame
Sortie le 27 septembre 2018
Durée: 2h 04 mn
Grand Prix du 29ème festival à Sotchi en 2018

À la station de prtravochny, entourée de cerfs, de renards, d’Alabaï et d’autres êtres vivants, Egor travaille (Stepan Devonine) comme vétérinaire , homme doux avec des compétences médicales, observant les chiens de chasse et les animaux vivants élevés ici (principalement des renards, mais aussi des blaireaux). Avec les animaux, c’est plus facile qu’avec les gens. Il accepte n’importe quel travail, juste pour devenir le sien pour le propriétaire de la station, Nikolai Ivanovich et ses proches. Yegor veut quelque chose de presque impossible – faire partie de cette famille. Chaque soir, il vient dîner chez le maître, il souffre de grognements de la part de son patron ( Dmitry Pozdnov ), n’interfère pas et ne tolère pas la cour auprès de sa fille (Jane Sextus) , évite habilement les cris coquins de son fils ( Vitya Ovodkov). Toute cette beauté fragile et cette compréhension mutuelle s’effondrent en un jour: Egor est informé du décès de sa mère, alcoolique, avec qui il a rompu tout lien; le passé, d’où il s’est échappé dans le désert, à la vie d’une pierre dans la forêt du même type, se fait sentir – et toute harmonie se transforme en cacophonie; jusqu’à ce que le tas apparaisse “vert”.

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LES AILES – КРЫЛЬЯ

URSS . 1966 . N&B . 1h25 Production : Mosfilm, Réalisation : Larissa Chepitko, Scénario : Valentin Ejov, Natalia Riazantseva, Image : Igor Slabnevitch, Musique : Roman Ledenev

Avec : Maïa Boulgakova, Jeanna Bolotova, Panteïlemon Krylov, Léonide Diatchkov, Vladimir Gorelov, Rimma Nikitina-Markova…

Nadejda Petroukhina, ancienne pilote de chasse auréolée de nombreuses victoires, ne peut oublier son passé à la fois glorieux et dramatique. Ses blessures de guerre ne lui permettent plus d’exercer le métier d’aviatrice. Bien qu’elle soit devenue une femme respectable, directrice d’une école d’apprentissage et députée au Conseil communal, elle se sent seule et incomprise. Ses rêveries autour du terrain d’aviation lui rappelle l’appel du ciel”.

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Cinéma Le Balzac

BOULE DE SUIF – ПЫШКА

URSS . 1934 . N&B . 1h09

Production : Moskinocombinat / Mosfilm, Réalisation : Mikhaïl Romm, Scénario : Mikhaïl Romm, Image : Boris Voltchek

Avec : Galina Sergueeva, Andreï Faït, Fanny Ranevskaïa, Anatoli Goriounov, Tatiana Okounevskaïa, Piotr Repnine…

Pendant l’hiver 1870 la ville de Rouen en Normandie  est envahie par les Prussiens. Pour fuir l’occupation, un groupe de dix personnes dont l’héroïne: Pyschka prend la diligence de Dieppe. Le voyage s’annonce difficile, les voyageurs ont faim et seule la jeune femme a pensé à emporter des provisions, qu’elle partage généreusement.Ils font étape dans une auberge occupée par des soldats prussiens. Un officier leur interdit de repartir tant que Pyshka n’aura pas accepté ses avances. Patriote, elle refuse, approuvée par ses camarades. Mais ils perdent patience et trament un complot contre elle. Enfin, elle finit par céder sous la pression des autres voyageurs. Malgré le service rendu à ses camarades, ils la couvrent de honte. L’officier les autorisant à partir, ils continuent leur voyage sous la protection d’un soldat prussien. La compagnie, sauf Pyshka qui n’a pas eu l’occasion de s’approvisionner, commence à se goinfrer en ignorant Pyshka. Celle-ci pleure puis se fâche sur les neuf autres voyageurs. Ce sera le soldat qui aura quelque compassion et lui offrira un quignon de pain.

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Vendredi 15 mars 2019 – 11 h

Cinéma Le Balzac

CRYSTAL – ХРУСТАЛЬ

Biélorussie-Allemagne-USA-Russie . 2018 . Couleur . 1h35 . Production Demarchfilm, Crystal Goose, Turnstyle TV

Réalisation : Daria Jouk ; Scénario : Helga Landauer, Daria Jouk ; Opérateur : Carolina Costa

Avec : Alina Nasboullina, Ivan Mouline, Svetlana Anikeï, Ilya Kapanets…

Années 1990, en Biélorusse. La jeune Vélia, une DJ pleine d’ambition de Minsk, rêve de partir en Amérique. A la suite d’une erreur dans sa demande frauduleuse de visa, elle se retrouve hébergée par une famille inconnue dans une petite ville où toute la vie tourne autour de la Cristallerie. Tandis que ses hôtes sont pris dans leurs préparatifs de mariage, elle va se battre envers et contre tout (tous ?) pour réaliser son rêve”.

Daria JOUK (Дарья Жук) Née en 1980. Réalisatrice et scénariste biélorusse et américaine. Le Cygne de cristal est son premier long métrage.

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Cinéma Le Balzac

CHÈRE ELENA – ДОРОГАЯ ЕЛЕНА СЕРГЕЕВНА

URSS . 1988 . Couleurs . 1h34, Production : Mosfilm, Scénario : Ludmila Razoumovskaïa, Eldar Riazanov, Image : Vadim Alissov, Supervision musicale : Sergueï Skripka

Avec : Marina Neelova, Natalia Chtchoukina, Fedor Dounaevski, Dimitri Marianov, Andreï Tikhomirnov.

Des élèves sont venus féliciter leur institutrice pour son anniversaire. Ils sont venus par intérêt, avec un bouquet et un cadeau car ils savaient qu’Elena Sergeevna avait la clé du coffre-fort où se trouvent les papiers d’examen. Tout le monde a une raison et une justification pour vouloir : corrigez les mauvaises notes, et tout le monde semble avoir du remords. Cependant, les événements se déroulent de manière inattendue pour tout le monde. Les étudiants, à leur manière, montre le côté obscur de leur âme .

Elena Sergeevna, malgré sa simplicité et sa douceur, refuse de donner la clé supportant les moqueries des adolescents.Finalement la clé restera dans l’appartement d’Elena Sergeevna, il n’y aura pas non plus de vainqueur dans ce «combat».

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Cinéma Le Balzac

7h de projection entrecoupées d’ entractes gourmands.

“Guerre et Paix”

INTÉGRAL

de Sergueï Bondartchouk

1ère partie

URSS . 1965-1967 . Couleurs
Quatre époques :
André Bolkonski 2h27,
Natacha Rostova 1h40,
1812 1h24,
Pierre Bezoukhov 1h40.

Production Mosfilm
Réalisation : Sergueï Bondartchouk, Scénario : Sergueï Bondartchouk,
Vassili Solovev
Images : Anatoli Petritski, Musique : Viatcheslav Ovtchinnikov
Avec : Ludmila Saveleva, Viatcheslav, Tikhonov, Sergueï Bondartchouk, Oleg Tabakov, Oleg Efremov, Vassili Lanovoï, Irena Skobtseva, Nikolaï Rybnikov, Anatoli Ktorov,
Nonna Mordioukova… (le plus simple serait de lister les acteurs qui n’en sont pas)

Si Léon Tolstoï a rédigé plus de mille pages, c’est qu’il ne pouvait se contenter d’une nouvelle. Disons simplement que l’histoire va de 1805 à 1820, d’Austerlitz à la paix retrouvée en Europe en passant par la campagne de Russie quand Napoléon a la funeste idée d’envahir ce pays. Il s’installe au Kremlin, regarde Moscou brûler (au fait, la faute à qui ?) et ordonne la retraite de la Grande Armée qui se désintègre dans la grande plaine glacée.

2ème partie à 20h

3ème et 4ème partie à 22h30

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Cinéma Le Balzac
Russie . 2018 . Couleurs . 1h38
Production : Studio Slon, Truemen Pictures
Réalisation : Alexandre Gortchiline, Scénario : Valéri Petcheïkine, Image : Xenia Sereda
Avec : Philippe Avdeev, Alexandre Kouznetsov, Arina Chvetsova, Savva Savelev, Alexandre Rebenok, Rosa Khaïroullina…

Sacha et Petia mènent la vie déjantée de musiciens dans la Moscou d’aujourd’hui : folles soirées, exaltations et baisses de moral, engrenage fatal de relations instables avec leur entourage et mal-être personnel. C’est la génération des jeunes de 20 ans qui ont entendu parler de «l’amour», de «la famille» et des «pos- sibilités» mais qui sont dévorés par un sentiment de totale solitude. Et soudain un événement va obliger nos deux garçons à se regarder avec lucidité.

Alexandre Gortchiline (Александр Горчилин) né le 3 mars 1992, acteur, réalisateur. Après ses études il a joué sur la scène du théâte de Dubrovka, puis en 2006 au cinéma dans une série humoristique. En 2008 il rentre à l’École de Théâtre d’Art de Moscou il est diplômé en 2012 et il est admis dans la troupe Gogol Center. En 2018, il joue le rôle du punk dans le film « Summer », réalisé par Kirill Serebrennikov. Il a fait ses débuts en tant que réalisateur d’un long métrage, tirant le film “Acid“, qui a reçu le prix du concours “Kinotavr.

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Cinéma Le Christine 21

BRÈVES RENCONTRES – КОРОТКИЕ ВСТРЕЧИ

URSS . 1967 . N&B . 1h36

Production : Studios d’Odessa,  Réalisation : Kira Mouratova, Scénario : Kira Mouratova, Léonide Joukhovitski, Image : Guennadi Kariouk, Musique : Oleg Karavaïtchouk

Avec : Kira Mouratova, Vladimir Vyssotski, Nina Rouslanova, Lydia Bazilskaïa, Valéri Issakov, Olga Wiklandt, Alexeï Glazyrine, Svetlana Nemolaeva…

Valentina est responsable du logement au Conseil municipal d’une ville de province. Elle doit faire face à la fois à l’impatience de ceux qui attendent un logement et à la corruption de ceux qui les fabriquent. Elle a un amant géologue, Maxime, qui est surtout soucieux de sa propre liberté. Valentina prend comme femme de ménage une autre et plus jeune maîtresse de Maxime”.

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Cinéma Le Balzac

L’IRONIE DU SORT – ИРОНИЯ СУДЬБЫ ИЛИ С ЛЁГКИМ ПАРОМ

URSS . 1975 . Couleurs . 2h35

Production : Mosfilm,  Scénario : Emile Braguinski, Eldar Riazanov, Image : Vladimir Nakhabtsev, Musique : Mikaél Tariverdiev

Avec : Andreï Miagkov, Barbara Brylska, Youri Yakovlev, Lioubov Sokolova, Lioubov Dobrjanskaïa, Lia Akhedjakova, Alexandre Chirvindt, Guéorgui Bourkov, Valentina Talyzina…

 La veillée du Nouvel An est devenu tradition dans tous les foyers. Cette belle comédie lyrique raconte l’histoire aléatoire du destin du personnage principal du film -“ Le moscovite Eugène Loukachine. Chaque année, le 31 décembre, lui et ses amis se rendent dans une maison de bain où, traditionnellement, ils accompagnent l’année écoulée. Après avoir bien bu, les amis se souviennent qu’ils doivent emmener l’un d’eux à l’aéroport, car ils se souviennent exactement que l’un d’eux allait prendre l’avion pour Leningrad. Mais qui? Eugene à moitié réveillé a mis par erreur dans un avion. En fait, à la maison, sa mère l’attend avec sa petite amie, à qui il doit faire une offre. Ici tout le plaisir commence …”

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kinopoisk.ru

LE GARAGE – ГАРАЖ

URSS . 1979 . Couleurs . 1h41

Production : Mosfilm, Scénario : Emile Braguinski, Eldar Riazanov, Image : Vladimir Nakhabtsev, Musique : Andreï Petrov

Avec : Lia Akhedjakova, Iia Savina, Svetlana Nemoliaeva, Valentin Gaft, Andreï Miagkov, Guéorgui Bourkov, Viatcheslav Nevinny, Igor Kostolevski, Borislav Brondoukov…

Lors de la réunion de la coopérative de garage de choisir quatre “extrêmes”, qui doivent eux-mêmes abandonner l’avenir de leur propre garage. Que pensez-vous, en votant pour la liste des exclus, dans laquelle il n’y a pas votre nom? Maladresse et soulagement. Et si le nom est? Humiliez-vous, car tout a déjà été convenu. Mais il y avait une émeute …”

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Cinéma Le Christine 21

LES PETITES MARGUERITES – SEDMIKRÀSKY

Tchécoslovaquie . 1966 . Couleurs . 1h15

Production : Studio Barrandov, Réalisation : Verà Chytilovà, Scénario : Verà Chytilovà, Ester Krumbachovà, Pavel Juracek, Image : Jaroslav Kucera, Musique : Jiri Slitr, Jiri Sust

Avec : Jitka Cerhovà, Ivana Karbanovà, Julius Albert, Maria Ceskovà, Jan Klusàk…

Marie 1 et Marie 2 s’ennuient fermement. Par jeu, elles décrètent que plus rien n’a d’importance et se lancent à l’assaut des conventions dans une épopée de destruction espiègle et désespérée. Leur occupation favorite est de se faire inviter au restaurant par des hommes d’âge mûr puis à les éconduire”.

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Cinéma Le Balzac

RASPOUTINE. L’AGONIE – АГОНИЯ

URSS . 1974 . Couleurs . 2h23, Production : Mosfilm, Réalisation : Elem Klimov, Scénario : Semion Lounguine, Ilya Noussinov, Image : Léonide Kalachnikov, Musique : Alfred Schnittke

Avec : Alexeï Petrenko, Velta Line, Anatoli Romachine, Alissa Freindlich, Léonide Bronevoï, Alexandre Romantsov…

” 1916 La chute de l’empire russe. Des milliers de prolétaires insatisfaits de leur sort marchent dans les rues de Pétrograd. L’armée perd une bataille après l’autre. Le rouble devient moins cher sous nos yeux. Mais le plus haut monde de Pétersbourg se moque de ces bagatelles. Ils tournent la table avec enthousiasme, discutent avec les esprits et visitent les salons du célèbre médecin bouriate Badmaev. La capitale est en ébullition. Tout le monde dit cela à propos du mystérieux paysan sibérien Raspoutine, qui sait faire des merveilles. Et surtout, la famille impériale et le maître de toute la Russie, le Grand, le Petit et le Blanc, Nikolai Romanov, ont besoin d’un miracle” .

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Cinéma Le Christine 21

LES LONGS ADIEUX – ДОЛГИЕ ПРОВОДЫ

URSS . 1971 . N&B . 1h35

Production : Studios d’Odessa, Réalisation : Kira Mouratova, Scénario : Natalia Riazantseva, Kira Mouratova, Image : Guennadi Kariouk, Musique : Oleg Karavaïtchouk

Avec : Zinaïda Charko, Oleg Vladimirovski, Tatiana Mytchko, Youri Kaïourov, Svetlana Kabanova, Lydia Bazilskaïa, Marcella Tchebotarenko…

Prix FIPRESCI au Festival de Locarno en 1987

Sacha était le sens de sa vie. Maintenant, quand son fils a grandi, elle a plus de temps libre et elle a permis à un sensible, Nikolai Sergeïevich, de prendre soin de lui-même. Après le voyage d’été de son fils chez son père, elle a commencé à remarquer des changements à Sasha. Après avoir secrètement lu la lettre de son père, elle a appris que son fils voulait partir“.

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Cinéma Le Balzac

UNE GARE POUR DEUX – ВОКЗАЛ НА ДВОИХ

URSS . 1982 . Couleurs . 2h21, Production : Mosfilm, Scénario : Eldar Riazanov, Emile Braguinski, Image : Vadim Alissov, Musique : Andreï Petrov

Avec : Ludmila Gourtchenko, Oleg Bassilachvili, Nikita Mikhalkov, Mikhaïl Kononov, Nonna Mordioukova, Alexandre Chirvindt…

Sélectionné en compétition officielle à Cannes en 1983.

La ville de Zastupinsk, quelque part entre Moscou et Alma-Ata, plus proche de Voronej. Vera serveuse au buffet de la gare et le pianiste Platon Ryabinin de Moscou se sont rencontrés dans des conditions de vie très peu attrayantes. En conséquence, Vera perdit son époux , mais retrouva son amant, qui doit partir loin purger une peine… (pour une faute qu’il n’a pas commise)”.

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Dimanche 17 mars 2019 – 11 h

Cinéma LE BALZAC

ATTENDS UN PEU ! – НУ, ПОГОДИ !

URSS . 1969-1985 . Couleurs . 58mn, Production : Soyouzmoultfilm

Réalisation : Viatcheslav Kotenovitch, Scénario : Félix Kamov, Alexandre

Kourliandski, Arkadi Khaït, Direction artistique : Svetozar Roussakov, Musique : Tamàs Deàk

Avec : Anatoli Papanov (le Loup), Clara Roumianova (le Lapin), Vladimir Sochalski (l’Hippopotame)

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Cinéma Le Max Linder

Compétition court métrage
Séance déconseillée aux moins de 16 ans

 

JOL/СЧАСТЬЕ – BONHEUR – Russie – 2018 – 23′

Réalisation : Vladimir Munkuev, Production : Moscow School of New Cinema

“Kolia travaille comme agent de sécurité quelque part dans l’extrême nord de la Russie. Il n’en peut plus de son train-train déprimant et de sa solitude. Il veut trouver l’amour, mais à sa manière, bien étrange.”

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Cinéma Le Max Linder Panorama

 

Compétition court métrage
Séance déconseillée aux moins de 16 ans

LIONELLA – ЛИОНЕЛЛА – Russie – 2018 – 15′

Réalisation : Sergey Borovkov
Production : Black Sea Film Studio

Mahomet est vendeur de réfrigérateurs dans une zone reculée du Caucase. Un jour, il apprend que son fils, qui vit à la ville, va avoir un enfant.

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Cinéma Le Max Linder Panorama

Compétition court métrage
Séance déconseillée aux moins de 16 ans

POSITIVER – ДУМАЙ ПОЗИТИВНО – Russie – 2019 – 15′

Réalisation : Irina Khodush
Production : Take Shot Film Studio, Moscow School of New Cinema

“Raïssa travaille à la police sanitaire des animaux et sa carrière est au top. Mais ce qui la rend si performante dans son métier est aussi la cause de sa vie privée chaotique.”

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Cinéma Le Max Linder Panorama

Compétition court métrage
Séance déconseillée aux moins de 16 ans

SIX DEUX HUIT – ШЕСТЬ ДВА ВОСЕМЬ – Russie – 2018 – 25′

Réalisation : Anna Kuznetsova
Production : Moscow School of New Cinema

Sacha a 18 ans. Elle est amoureuse de sa colocataire et déteste le petit copain de celle-ci, qui occupe leur chambre illégalement. Sacha souhaite plus que tout se débarrasser de lui. Peu importe la manière. Elle ne sait pas encore qu’un rêve qui se réalise est la pire chose qui puisse arriver.

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Cinéma Le Max Linder Panorama

Compétition court métrage
Séance déconseillée aux moins de 16 ans

ЛОЛА, ЖИВАЯ КАРТОШКА – LOLA, LA PATATE VIVANTE – Russie, France – 2018 – 17′

Réalisation : Leonid Shmelkov
Production : Shar-School Studio, Amopix

“Lola, six ans, habite dans une grande maison à la campagne, avec sa maman, son tout jeune frère et leur chien. Lola a l’imagination débordante, et nous entraîne au quotidien dans son univers chargé de poésie et de personnages animés. Tout bascule quand elle apprend leur déménagement.”

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Cinéma Le Balzac
Quand passent les cigognes Летят журавли.
Film soviétique de Mikhïl Kalatozov de 1957, adaptation cinématographique de la pièce de Rozov, éternellement vivants  En 1958, Palme d’Or au festival de Cannes
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Cinéma Le Christine 21

ADOPTION – ÖRÖKBEFOGADÀS

Hongrie . 1975 . N&B . 1h25 Production : Hunnia Studio, Réalisation : Màrta Mészàros, Scénario : Ferenc Grunwalsky, Marta Mészàros, Gyulia Hernadi, Image : Lajos Koltai, Màrta MészàrosMusique : György Kovàcs

Avec : Katalin Berek, György Vigh, Péter Fried, Làszlo Szabo, Istvan Szöke, Flora Kàdar…

Ours d’Or à Berlin en 1975

” Le film évoque la vie de deux femmes: Kata, veuve âgée, et Anna, une jeune femme opprimée, gardée dans une institution pour enfants par ses parents sans amour. Son propre sens de la valeur personnelle est renforcée par une histoire d’amour malheureuse (elle réalise que tout est de la faute de l’homme), Kata aide à libérer Anna de l’influence de sa famille. Anna se marie, tandis que Kata adopte un enfant de l’institution où elle avait habité auparavant”.

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Cinéma Le Christine 21

EN DÉCOUVRANT LE VASTE MONDE – ПОЗНАВАЯ БЕЛЫЙ СВЕТ

URSS . 1978 . Couleurs . 1h19 Production : Lenfilm, Réalisation : Kira Mouratova, Scénario : Grigori Baklanov, Kira Mouratova, Image : Youri Klimenko, Musique et textes des chansons : Valentin Sylvestrov

Avec : Nina Rouslanova, Sergueï Popov, Alexeï Jarkov, Natalia Leblé, Lena et Natacha Chelgounova, Ludmila Gourtchenko, Victor Aristov…

Une histoire d’amour triangulaire. Liouba l’ouvrière sort avec Nikolaï, chauffeur de camion, dragueur qui la maltraite. Un jour, elle découvre le timide Mikhaïl ; ils vont tomber amoureux l’un de l’autre”. C’est le premier film où apparaît, baignée de lumière, Natacha Leblé, actrice fétiche de Mouratova. On a là une des œuvres les plus épanouies de la réalisatrice, sorte d’hymne au bonheur qui évoque Le Milicien amoureux, bien plus tardif (1992).

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Cinéma Le Balzac

Anton Roublev, Aндрей Pублёв
1966, 185 mn d’Andrei TARKOVSKI (1932-1986)
Dans la Russie du XVème siècle soumise à des princes cruels et ravagée par les incursions des Tatares, l’amour et la foi du moine Andrei Roublev sont mis à rude épreuve. Il a entrepris de peindre sur les murs des églises ses rêves d’un monde meilleur.

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Cinéma Le Balzac

ROMANCE CRUELLE – ЖЕСТОКИЙ РОМАНС

URSS . 1984 . Couleurs . 2h25, Production : Mosfilm, Scénario : Eldar Riazanov, Image : Vadim Alissov, Musique : Andreï Petrov

Avec : Larissa Gouzeeva, Alissa Freindlich, Nikita Mikhalkov, Andreï Miagkov, Alexeï Petrenko, Victor Proskourine, Guéorgui Bourkov, Tatiana Panova…

“L’action se déroule sur les rives de la Volga dans la ville fictive de Bryakhimov, en 1877-1878. Kharita Ignatievna Ogudalova, femme noble d’une famille respectable, veuve avec trois filles adultes, s’est appauvrie après la mort de son mari, mais elle met tout en œuvre pour organiser la vie de ses filles et les épouser avec des prétendants assez riches et distingués. En l’absence de fonds, elle tient une journée portes ouvertes dans l’espoir qu’une société composée de jolies et jolies demoiselles musicales attirera des hommes célibataires assez riches pour qu’ils épousent par amour des femmes sans dignité.  La seule fille «sans attache» de Kharita, et la plus jeune – Larisa Dmitrievna Ogudalova, à qui plusieurs riches messieurs ne sont pas indifférents, y compris Sergey Sergeevich Paratov – un “barin” beau, charmant, intelligent, irréfléchi et riche….”

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Cinéma Le Balzac
L’Île, Остров
de Pavel Louguine
Huitième film de réalisé en 2006, qui a clôturé le festival de Venise et a remporté le prix de l’Aigle d’or récompensant les films russes, ainsi que le prix Nika. Film tourné dans un village de Carélie.

Une plongée dans l’âme russe, Pavel Lounguine part à la découverte du trésor spirituel de l’orthodoxie. Ce film nous plonge au plus profond des ténèbres, la tendresse de Dieu réchauffe l’humanité. Un film russe… tout en intériorité.  Avec Piotr Mamonov, Viktor Soukhoroukov, Vika Issakova. (1 h 52).

Un monastère orthodoxe sur une île du nord de la Russie. Un moine perturbe la vie de sa congrégation par son comportement étrange. En effet, selon la rumeur, l’homme posséderait le pouvoir de guérir les malades, d’exorciser les démons et de prédire l’avenir… Le film aborde les thèmes de la rédemption et du pardon, à travers le parcours singulier d’un moine, le père Anatoli, vivant retiré sur une île au bord de la mer blanche au nord de la Russie, avec d’autres moines. Il devient par sa sagesse un héros, mais se considère indigne de l’intérêt qu’il suscite, souffrant d’avoir commis une terrible faute dans sa jeunesse.C’est en tout cas ce que croient les étrangers qui se rendent sur l’île. Mais le moine, qui souffre d’avoir commis une terrible faute dans sa jeunesse, se considère indigne de l’intérêt qu’il suscite…”

Le film aborde les thèmes de la rédemption et du pardon, à travers le parcours singulier d’un moine, le père Anatoli, vivant retiré sur une île au bord de la mer blanche au nord de la Russie, avec d’autres moines. Il devient par sa sagesse un héros, mais se considère indigne de l’intérêt qu’il suscite, souffrant d’avoir commis une terrible faute dans sa jeunesse.

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Cinéma Le Christine 21

QUELQUES INTERVIEWS SUR DES QUESTIONS PERSONNELLES

URSS/Géorgie . 1978 . Couleurs . 1h35

Production : Grouzia-Film, Réalisation : Lana Gogoberidzé, Scénario : Zaïra Arsenichvili, Erlom Akhvlediani, Lana Gogoberidzé, Image : Nougzar Erkomaïchvili, Musique : Guia Kantchéli

Avec : Sofiko Tchiaouréli, Guia Badridzé, Ketevan Orakhelachvili, Janri Lolachvili, Salomé Kantchéli, Levan Abachidzé, Nana Djordjadzé…

L’héroïne du film s’estime heureuse: elle a un travail intéressant, mari bien-aimé, enfants. Elle est constamment parmi les gens, connaît leurs problèmes et leurs préoccupations. Cependant, souvent lors de voyages d’affaires, elle n’a pas remarqué que le bien-être de sa famille était compromis” .

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PLUS DE RENSEIGNEMENTS: CLIQUEZ

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Lieux des projections

 

Cinéma Le Balzac: 1 rue Balzac, 75008 Paris

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Cinéma Max Linder, 24 Boulevard Poissonnière – 75009 Paris

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Cinéma Le Christine 21, 4 rue Christine – 75006 Paris

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CINÉMA STUDIO 28, 10 Rue Tholozé, 75018 Paris

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  LE  PAYS  DES  POSSIBILITÉS  “

Récits de Pétersbourg

par Christian Faure.

Photo de couverture, église engloutie de Kaliazine sur le lac de Ribinsk lors des travaux staliniens pour le barrage sur la Volga.

Ce premier recueil des Récits de Pétersbourg illustre la face sombre de l vie quotidienne dans la Russie du dertnier quart de siècle. Dans les nouvelles réunies dans ce recueil, délaissant les aperçus politiques qui servent le plus souvent à aborder la Russie, l’auteur alterne entre différents modes pour décrire des scènes de la vie pétersbourgeoise. L’horreur le dispute au ridicule, le tragique au comique. On appréhende ainsi les ressorts obscurs de l’âme russe dont Dimitri Karamazov déplorait le caractère “trop large”.
Ancienne capitale d’un Empire de l’incroyable, Saint-Pétersbourg forme le cadre d’histoires excédant la mesure ordinaire, dont Russes et Français sont les acteurs privilégiés.

 

 

Agrégé de Lettres Modernes, Christian Faure, stéphanois, il a enseigné en France et en Pologne, il a aussi servi au ministère des Affaires étrangères en Pologne puis fut attaché culturel et directeur de l’Institut Français de Saint-Pétersbourg (1997-2001). En 2018, il a publié Mai 68, l’éruption postmoderne (l’Harmattan), il séjourne alternativement en Europe et en Nouvelle Angleterre.

 

Prix version papier : 18 €,

Version numérique : 13 € 99  ( Télécharger )

  • Date de publication : 19 février 2020
  • Broché – format : 13,5 x 21,5 cm • 184 pages
  • ISBN : 978-2-343-19515-5
  • EAN13 : 9782343195155
  • EAN PDF : 9782140143281
  • (Imprimé en France)

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Éditions L’HARMATTAN

5-7 rue de l’Ecole Polytechnique 75005 Paris

Comptoir des ventes: du lundi au vendredi de 9 h à 12 h 30 et de 13h 30 à 17 h.


						
					
8
Mar

Soirée cinéma russe, Bordeaux

   Publié par: artcorusse   dans Brèves

Film-Ballet “La Belle au bois dormant”

Dimanche, 10 Mars 2019, 16h et  21h30

 Cinéma Megarama

Durée : 02h50, ballet filmé en direct le 22/01/17

Chorégraphie : Yuri Grigorovich
Danseurs: Olga Smirnova, Semyon Chudin, Alexei Loparevitch

La Princesse Aurore est l’objet d’une malédiction de la terrible Fée Carabosse : le jour de son seizième anniversaire, elle sera plongée dans un profond sommeil. Une seule chose pourra la ramener à la vie : le baiser passionné d’un Prince charmant…

Pourquoi aller voir ce ballet ? C’est sans doute le plus mythique des ballets de Tchaïkovski. Dansée par le Bolchoï, La Belle au bois dormant déploie toute sa magie. Avec virtuosité, les Étoiles s’élancent dans des décors somptueux dignes des plus grands contes de Fées. La Princesse Aurore est dansée par l’une des plus jeunes Étoiles du ballet, Olga Smirnova, dont la grâce se prête à merveille à ce bijou classique, idéal pour s’initier à l’art du ballet. (Dans le cadre de Bolchoï Pathé-Live)

Cinéma Mégarama
Gare d’Orléans, 7 Quai de Queyries, 33100 Bordeaux

 

8
Mar

Stand des Syrtes Salon du livre Paris

   Publié par: artcorusse   dans Evenements

39 ème Salon du Livre de Paris, Porte de Versailles

Editions des Syrtes  Stand L 42

du vendredi 15 au lundi 18 mars 2019

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Collectif
“Les 20 ans des Syrtes”
Disponible fin mars 2019

Pour marquer les deux décennies des éditions des Syrtes, ils ont
demandé à quelques-uns de leurs auteurs une nouvelle inédite sur le thème des 20
ans.
Parce que « éditer c’est découvrir », le choix s’est arrêté sur des auteurs la
plupart découverts par les Syrtes, qu’ils soient francophones ou non.
Le résultat, des variations sur un sujet universel, ancrées dans la fiction et au style
très divers, qui ressemblent à leurs auteurs.
Maureen Demidoff : Vouvoiement
Luba Jurgenson : Ulysse écrivant à Télémaque
Sacha Filipenko : Un demi-mètre carré à Odinbourg
Florina Ilis : Secrets du passé
Tatiana Tibuleac : Pointes

Ce recueil sera offert aux lecteurs dans le cadre d’une opération
commerciale en librairie à partir de mars 2019 et sur le stand L 42, au Salon du livre.

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Serge de Pahlen d’origine russe, est le fondateur et directeur des éditions des Syrtes en 1999. Il a voulu combler certains domaines demeurés partiellement inexplorés dans l’immense champ de la littérature russe, les auteurs russes blancs émigrés tels qu’Ivan Bounine, Boris Zaïtsev, Vassili Choulguine, Marina Tsvetaeva et d’autres; et ainsi de permettre au monde francophone d’approfondir sa connaissance de la terreur rouge et du communisme à travers des livres tels que ​Staline de Simon Sebag Montefiore, ​La Terreur rouge en Russie de Sergueï Melgounov, ​Le Soleil des Morts d’Ivan Chméliov et ​Gardien de camp de Dantsig Baldaev et d’autres. En général, faire découvrir par des chemins moins routiniers, moins répétitifs et approfondir le domaine immense et compliqué de la civilisation russe.

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NOUVELLES PARUTIONS POUR

LE SALON DU LIVRE 2019

( présentation, conférences, lectures ).

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Parution le 11 avril 2019 – Récit de voyage

 

Vassili GRIGOROVITCH-BARSKI, Pérégrinations (1723-1747)
Traduit du russe par Myriam Odaysky
Parution le 11 avril 2019 – Récit de voyage

Véritable manuel de pèlerinage, les Pérégrinations de Vassili Grigorovitch-
Barski offrent une portée documentaire et historique sur les sociétés des pays de l’Europe et de l’Orient du XVIIIe siècle et s’inscrit dans la tradition des récits de
voyage dans les lieux saints. Les Pérégrinations racontent le parcours d’un moine russe qui, parti de Kiev vers la Terre sainte, traverse l’Europe et atteint le Moyen-
Orient en quête de lieux saints et de reliques chrétiennes. Dans son périple, il traverse la Slovaquie, la Hongrie ou l’Autriche, l’Italie et la région de Venise, visite les
monastères du mont Athos, passe par de nombreuses îles grecques, arrive à
Jérusalem, en Syrie, au Liban et en Égypte, se rend à Constantinople.
Ces carnets de voyage recèlent une multitude de détails et de portraits
extrêmement précis sur la vie, les monuments, le paysage des différents pays qu’il a
visité. Riches en descriptions de sanctuaires, chapelles, églises et autres monastères,
les notes du pèlerin Barski contiennent de véritables envolées lyriques lorsqu’il s’agit
d’icônes miraculeuses ou de la richesse d’une iconostase.
Barski a profité de ses voyages pour étudier les sciences, les langues et les
arts. Son érudition est incontestable quand il s’attarde sur les différences qu’il
observe entre les rites, selon les coutumes romaines ou grecques, dans les églises ou
les monastères qu’il visite.
Ces carnets de voyage documentent également la condition du pèlerin au
XVIIIe siècle, à travers la description du système administratif d’accueil mis en place
par différentes villes ou pays, ainsi qu’à travers l’adversité ressentie ou subie durant
le trajet. Ici et là, des observations ethnologiques sur la diversité des peuples
rencontrés confèrent un caractère plus documentaire et un aspect pittoresque aux
tribulations du pèlerin porté par la foi et malmené par la faim, la dureté du trajet et
l’adversité des gens.
Issu d’une famille noble de Kiev, Vassili Grigorovitch-Barski est né en 1701. Après un
bref séjour au séminaire, il intègre l’Académie jésuite de Lvov sous un faux nom, qu’il
devra quitter lorsque la supercherie sera découverte. Pendant son voyage il fut
ordonné sous-diacre à Damas, puis entra dans les ordres au mont Athos. Il est mort à
Kiev en 1747, avant d’avoir publié ses carnets de voyage, édités pour la première fois
en 1778.

704 pages – 25€
code EAN: 978 2940 628131

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Parution le 28 mars 2019 – Spiritualité orthodoxe

 

Métropolite Igance TRIANDIS, L’ancien de Patmos Saint Amphiloque Makris (1889-1970)
Traduit du grec par Isabelle Tambrun-Kamaroudis
Parution le 28 mars 2019 – Spiritualité orthodoxe

Le père Amphiloque Makris (1889-1970) qui vient d’être canonisé par le
patriarcat de Constantinople, est une grande figure de la spiritualité orthodoxe du
XXe siècle.
Le futur Amphiloque est né le 13 décembre 1889. À l’âge de dix-sept ans, il
est entré au monastère de Saint-Jean le théologien, à Patmos. Après un séjour au
Mont Athos pour y apprendre la sculpture sur bois, il est tonsuré au grand Schéma
par l’Ancien Antoniadis. En 1919, Amphiloque a été ordonné diacre puis prêtre et est
nommé à la dépendance du monastère sur l’île de Kos. En 1926, il est affecté à la
grotte de l’Apocalypse, à Patmos. Il a consacré beaucoup de temps aux étudiants de
l’Académie ecclésiastique, devenus par la suite des supérieurs de monastères.
Dans les années 1930, dans les îles du Dodécanèse alors sous occupation
italienne, le père Amphiloque s’est consacré au maintien de la foi et de la vie orthodoxes. Il a connu des persécutions et a été exilé en Grèce continentale, où il a
reçu l’hospitalité de la confrérie Zoe à Athènes. De là, il s’est déplacé dans toute la
Grèce, puis en Crète, où il est devenu le père spirituel de l’île. Revenu à Patmos en
1939, il s’est consacré aux dépendances et au monastère féminin de l’Annonciation.
En 1947, Amphiloque a constitué un petit groupe de religieuses pour venir
en aide aux orphelins de Rhodes (alors extrêmement pauvres) en fondant un
orphelinat, ainsi qu’une maison pour les femmes enceintes.
Sa renommée de père spirituel attira à lui de nombreuses personnes venues
de toute la Grèce, mais aussi d’Europe, notamment de France. De nombreux
témoignages et quelques récits de miracles constituent des attestations
supplémentaires de la sainteté du père Amphiloque, aujourd’hui proclamée par
l’Église universelle.
Ce livre, écrit par un disciple du père Amphiloque devenu métropolite de
l’Église d’Albanie, fut un des premiers consacrés à l’Ancien. Il a connu un grand
succès puisqu’il en est à sa cinquième édition et a obtenu le prix de l’Académie
d’Athènes.

304 pages – 21€
code EAN: 978 2940 628162

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Parution le 25 avril 2019 – Essai

 

Guy METTAN “Le continent perdu”
Plaidoyer pour une Europe libre et souveraine
Comment la Suisse peut sauver l’Europe après l’avoir tuée ! Les événements de ces dernières décennies ont démontré qu’avec son vote contre l’Espace économique européen le 7 décembre 1992, la Suisse a précipité l’Europe dans un élargissement effréné au détriment de son intégration politique. 25 ans après, l’Europe s’étend du Portugal aux pays baltes et au Kosovo, elle a imposé l’ultralibéralisme anglo-saxon et la libre circulation des biens et des personnes sur l’ensemble de ses territoires. Mais à quel prix ? Brexit anglais et sécessionnisme catalan, hégémonie allemande, guerre larvée en Ukraine, invasion massive de réfugiés économiques en Méditerranée, régressions économiques en Europe du Sud, progression des partis identitaires antieuropéens, inégalités sociales, divorce entre les peuples et leurs élites, création d’une monnaie unique désastreuse pour les pays économiquement fragiles…
Pourtant la Suisse, selon Guy Mettan, après avoir participé à cet « attentat » contre l’Europe, peut contribuer à sa guérison. La solution tient en trois mots : fédéralisme, indépendance et souveraineté. Dans ces trois domaines, la Suisse a démontré son savoir-faire : stabilité politique, succès économiques et ouverture au monde. Mais le modèle suisse suscite une levée générale de boucliers, les bénéficiaires du système actuel ont trop à y perdre : les technocrates devraient partager leur pouvoir avec le peuple et les grandes puissances le leur avec les États plus petits. Les Français et les Espagnols ne veulent pas comprendre le fédéralisme.
Quant aux souverainistes, ils ne conçoivent la souveraineté qu’à l’échelle nationale alors qu’il conviendrait d’en déléguer une partie à l’échelon supérieur. Enfin, tous redoutent par-dessus tout la liberté et l’indépendance. Dans une Europe fédérale et souveraine, plus de soumission à l’OTAN et aux États-Unis, plus d’ingérences étrangères, amicales ou hostiles, dans les affaires internes. Une sécurité assurée par soi-même et non plus déléguée à d’autres.
Dans un moment délicat pour l’Europe, nourri de l’expérience politique et journalistique de l’auteur, l’essai de Guy Mettan, volontairement provocateur et à contre-courant du discours politique ambiant, esquisse les grandes lignes d’un véritable programme de gouvernance européenne.
Guy Mettan journaliste, ancien directeur-rédacteur en chef de La Tribune de
Genève, il a exercé des fonctions politiques comme député et ancien président du
Grand Conseil de Genève. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont Russie-Occident,
une guerre de mille ans, paru en 2015.

280 pages – 19€
code EAN: 978 2940 628148

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Rencontre sur le stand Russe J 132

 

Evgueni VODOLAZKINE pour son roman L’aviateur
rencontre, vendredi 15 mars à 13h sur la scène russe (J132) avec l’historien russe Leonid YOUZEFOVITCH (auteur Syrtes d’une biographie du Baron Ungern)
discussion autour de son roman L’aviateur avec Elena Balzamo (Le Monde) toujours sur le stand russe samedi 16 mars à 16h
Innokenti Platonov se réveille amnésique dans une chambre d’hôpital. Geiger, son médecin, lui apprend son nom et lui demande de consigner tout ce dont il pourra se souvenir. Il consigne donc dans un journal des fragments chaotiques de souvenirs: visages, images, histoires, odeurs. Peu à peu sa mémoire fait émerger la ville de Saint-Pétersbourg dans les premières années du XXesiècle. Il se remémore l’enfance et ses bonheurs, sa première jeunesse, les études, l’amour, la révolution dont il a subi d’emblée les contrecoups, et, enfin, le camp des Solovki. Et Platonov devine, petit à petit, atterré, qu’il est né en 1900 et s’est réveillé en 1999…
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Rencontre sur la scène russe dimanche 17 mars à 14h (J132)
Leonid YOUZEFOVITCH – Le baron Ungern, khan des steppes (Syrtes Poche 2018)
rencontre sur la scène russe dimanche 17 mars à 14h (J132)

L’auteur présente ici le portrait d’un personnage de légende. Roman von Ungern-Sternberg, baron balte converti au bouddhisme. Général de l’armée blanche à trente-cinq ans, il est le dernier combattant à résister contre la marée révolutionnaire rouge qui submerge alors la Russie. Replié en Mongolie, il s’y taille un royaume en libérant le khutukhtu, « Dieu vivant » des Mongols, prisonnier des Chinois. C’est là que commence son règne de violence et que prend forme son rêve fou : reconstituer la horde d’or de Gengis Khan.

Personnage démesuré, être hors norme, Ungern ira ainsi au bout d’un destin aux dimensions shakespeariennes.

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Stand des Syrtes (L42) samedi 16 mars à 14h
Stand russes ( J132 ) dimanche 17 mars à 17h
Estelle GAPP pour Je t’aime affreusement (parution 7 mars – lettre fictive d’Ariadna Efron à sa mère Tsvetaeva) 
lecture et présentation sur le stand des Syrtes (L42) samedi 16 mars à 14h
lecture et présentation avec Aleksandra Svinina en français et en russe sur le stand des russes (J132) dimanche 17 mars à 17h
Si Marina Tsvetaeva compte aujourd’hui parmi les grands poètes russes du XXe siècle, on le doit à sa fille, Ariadna Efron (1912-1975), qui, après avoir traversé deux guerres mondiales, la révolution, l’émigration, les procès staliniens et la déportation, consacre ses vingt dernières années à faire publier l’œuvre de sa mère. Je t’aime affreusement est une lettre qu’Ariadna aurait pu écrire à sa mère, morte depuis longtemps (en 1941), pour lui dire ce qu’elle n’a jamais su : les sentiments qu’elle a éprouvés auprès d’une mère à la personnalité exaltée. Une lettre où elle laisserait éclater sa colère, face à l’injustice, face au sacrifice d’une vie vouée à ce seul devoir : sauver de l’oubli la poésie de Marina. Ce texte très fort est aussi une rencontre entre Estelle Gapp et Ariadna Efron : en lisant Les Carnets de Tsvetaeva, l’auteur voit émerger le visage d’une petite fille de cinq ans. Une immense tendresse naît pour cette petite fille. Puis une autre rencontre, avec Véronique Lossky, va sceller la naissance de cet ouvrage. La traductrice et spécialiste de Tsvetaeva raconte sa rencontre avec Ariadna Efron : « Je l’ai rencontrée en 1971, c’était une vieille femme acariâtre. À mon retour, je suis tombée malade et j’en ai fait des cauchemars. Je n’ai rien pu écrire pendant sept ans. » Quel mystère pouvait entourer Ariadna au point de provoquer un tel traumatisme ? Un autre détail interpellait Estelle Gapp : « J’avais rencontré Alia petite fille, et Véronique Lossky me parlait d’une vieille dame. Entre l’enfance et la vieillesse, Ariadna Efron n’a pas eu de vie. C’est pour tenter de lui redonner vie, que j’ai eu envie d’écrire ce texte à la première personne. Un “Je” entre réalité et fiction, pour faire entendre la voix de cette fille au tempérament exceptionnel, qui a sauvé de l’oubli l’œuvre de sa mère. » Je t’aime affreusement est un texte très personnel qui fait entendre la colère et le pardon, et rend hommage à cette petite fille aux grands yeux transparents, qui a traversé le siècle le plus sombre de notre Histoire contemporaine. Des lettres inédites de Marina Tsvetaeva à sa fille figurent en fin de volume, de même que Le fil d’Ariane, d’Irina Emélianova. Formée à la philosophie et au théâtre, Estelle Gapp collabore depuis dix ans à l’émission « Ça peut pas faire de mal » de Guillaume Gallienne sur France Inter. En 2017, elle a produit, sur France Culture, un documentaire consacré à Ariadna Efron. 176 pages – 11€ code EAN: 978 2940 628155
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Rencontre sur la scène russe dimanche 17 mars à 12h
Sacha FILIPENKO – Croix rouges (2018)
Le roman est construit autour du dialogue entre Sacha, jeune homme fraîchement installé à Minsk et sa voisine de palier, une vieille dame de 91 ans atteinte de la maladie d’Alzheimer, Tatiana Alexeïevna. Tous deux ont vécu une tragédie et le destin croisé de ces deux personnages souligne leurs ressemblances mais aussi et surtout leurs différences, qui tiennent essentiellement à la période historique.
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Table ronde sur la scène AGORA lundi 18 mars à 16h
Jean Claude LARCHET – Les animaux dans la spiritualité orthodoxe et Les fondements spirituels de la crise écologique (2018)
Cette anthologie rassemble des textes de l’Écriture ainsi que de Pères et de spirituels orthodoxes de toutes les époques qui nous permettent de comprendre ce qu’étaient idéalement, au paradis des origines, les relations de l’homme avec les animaux. Car sur les règles éthiques qui doivent régir les relations de l’homme avec les animaux, le christianisme a beaucoup à nous dire à travers les réflexions cosmologiques, anthropologiques, théologiques qu’il a développées au cours de son histoire.

Les témoignages de ses saints anciens et contemporains peuvent également expliquer pourquoi les relations entre les hommes et les animaux se sont ensuite dégradées, et ce que les animaux – des plus familiers aux plus sauvages – peuvent nous apprendre sur la nature, sur nous-même. De même, cela permet de comprendre comment les saints ont réussi à retrouver avec les animaux desrelations non seulement pacifiées, mais familières et amicales, les traitant – mais sans idolâtrie –avec respect et amour, retrouvant ainsi la condition paradisiaque où les rapports de l’homme avec la nature étaient parfaitement harmonieux.Cet ensemble de textes est accompagné par une riche iconographie orthodoxe, ancienne, pro- venant aussi bien des monastères orthodoxes grecs, russes, roumains ou siciliens que des œuvres contemporaines.

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Éditions des Syrtes
Quai Bezanson-Hugues 14
CH – 1204 Genève
Tél.: 00 41 22 318 80 74 – editions@syrtes.ch

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SALON du LIVRE PARIS, Pavillon 1 
Porte de Versailles, 75015 Paris

Horaires:

Vendredi 15 et samedi 16 mars de 10h00 à 20h00

Dimanche 17 mars de 10h00 à 19h00

Lundi 18 mars de 9h00 à 18h00 (Journée des professionnels de 10h à 12h)

 

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6
Mar

Andreï Kozlovsky salle Area 12, Paris

   Publié par: artcorusse   dans Informations

Concert exceptionnel unique

Andreï Kozlovsky

Samedi 23 mars,

Salle Area 12, Paris

Andreï Kozlovsky barde russe né en 1959, très connu en Russie pour ses chansons vient à Paris pour cet unique concert. Il a débuté en 1975.

 La chanson pour Andrei a toujours été le passe-temps principal et préféré. Apprentissage au cours de la première année de l’Académie forestière de Leningrad. S.M. Kirov, Andrei a commencé à écrire des poèmes et des chansons. De 1979 à 1983, Andrei Kozlovsky était membre des clubs de Léningrad Satire and Humor et City Song. En 1984, Andrew est devenu le lauréat du concours de chant d’art de Leningrad et, en 1986-1987, il a participé avec succès aux festivals Grushinsky. En 1995, le groupe «District Chronicles» est apparu à Vologda, auquel Andrei Kozlovsky a participé en qualité de co-auteur et auteur de la plupart des compositions en russe. Plus tard, le groupe a été rebaptisé «groupe Petrovich». L’équipe a été un succès et a visité des tournées en Finlande et en Hollande.

Au début des années 2000, Andrei Kozlovsky et le guitariste virtuose Andrei Baranov ont créé le duo “Baranov et Kozlovsky”. Andrei Kozlovsky a également joué avec les musiciens des groupes Station World et GrAssMaister.

En février 2019 la chorale de concerts de Saint-Pétersbourg a donné un concert de gala à la cathédrale Saint-Isaac. De manière inattendue pour tout le monde, le célèbre groupe a inclus la chanson “Sur un sous-marin, ou sur le salaire des soldats” dans le programme du barde russe Andrey Kozlovsky. Le texte de la composition fait référence à la frappe nucléaire présumée contre les États-Unis. Mais si lors de petits concerts, une chanson peut être considérée comme une plaisanterie, elle est déjà prise au sérieux lors d’un événement solide dédié au jour de l’armée.

La composition d’Andrei Kozlovsky intitulée «Montagne, brûlez!», Dont le texte a été écrit en collaboration avec le poète Vitaly Kalachnikov, est devenue un véritable hymne du festival Grushinsky. Il a réalisé dejà 14 albums.

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Salle AREA 12

 140 Rue de Picpus, 75012 Paris

Métro: Michel Bizot (ligne 8).

PAF: 15€

6
Mar

Salon du livre de Paris 2019

   Publié par: artcorusse   dans Evenements

39ème Salon du Livre de Paris

Vendredi 15 au lundi 18 mars 2019

Hall 1, Porte de Versailles, Paris 

La tradition du salon est d’inviter chaque année un pays à l’honneur, l’éditionn 2019 accueil pour la première fois, un continent : l’Europe. L’on pourra retrouver, à côté des écrivains qui ont marqué l’année, les nouvelles voix de la littérature et de la bande-dessinée, francophones et européennes.

BRATISLAVA, ville à l’honneur du salon du livre de Paris 2019 .

Elle mettra en lumière le meilleur de la littérature slovaque contemporaine. S’illustrant par une aura unique, la littérature slovaque possède une singularité liée à son histoire très particulière.

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Ludmila Oulitskaïa est l’un des auteurs russes les plus lus dans le monde. Toute son œuvre est publiée en français aux Éditions Gallimard.

Dans son nouveau roman, sur les traces de la correspondance de ses propres grands-parents , Ludmila Oulitskaïa conte avec autant de tendresse que d’ironie mélancolique les hauts et les bas, la grande et la petite histoire de quatre générations d’une famille, tout en décrivant délibérément ce XXe siècle russe comme celui des femmes.

Rencontre avec l’auteur lors de sa séance de dédicaces sur le Stand des Éditions Gallimard (N63), le dimanche 18 mars à partir de 17H30.

Conférence avec Ludmila Oulitskaïa le 18 mars à 16H00 sur la Grande Scène

 

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38 auteurs russes, reflets de la diversité et du dynamisme de la création littéraire contemporaine de la Russie : des auteurs reconnus internationalement, mais également de nouveaux talents, émergents et prometteurs. Aprés une présence remarquée en tant que pays à l’honneur en 2018, La Russie sera présente sur le Pavillon de l’Europe, avec:

Vladimir Sorokine, Evgueni Vololazkine, Léonid Youzefovitch, Sergueï Samsonov, Nina Livitvinets, Tatiana Moskvina, Irina Kraïeva, Nikolaï Alexandrov,Oleg Lekmanov, Boris Natanovitch Pasternak.

D’autres auteurs russes

  • Narinai Abgaryan
  • Piotr Alechkovski
  • Olia Aprelskaïa
  • Pavel Bassinski
  • Irina Bogatyreva
  • Iouri Bouïda
  • Sergueï Chargounov
  • Vladimir Charov
  • Alice Danchokh
  • Lev Danilkine
  • Dmitri Danilov
  • Victor Erofeev
  • Boris Evseev
  • Sacha Filipenko
  • Maria Galina
  • Dmitri Glukhovski
  • Vassili Golovanov
  • Olga Gromova
  • Andreï Guelassimov
  • Gouzel Iakhina
  • Alexeï Ivanov
  • Iouri Koublanovski
  • Vadim Levental
  • Dmitry Lipskerov
  • Alexandra Litvina
  • Alexeï Makouchinski
  • Vladislav Otrochenko
  • Ludmila Oulitskaïa
  • Zakhar Prilepine
  • Victor Remizov
  • Roman Sentchine
  • Olga Slavnikova
  • Alexandre Sneguirev
  • Marina Stepnova
  • Vadim Toumanov
  • Yana Vagner
  • Alexeï Varlamov
  • Evgueni Vodolazkine

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Demande de badge

 

Porte de Versailles – Pavillon 1 – Paris 75015

Métro: Porte de Versailles (ligne 12)

Horaires:

Vendredi 15 et samedi 16 mars de 10h00 à 20h00

Dimanche 17 mars de 10h00 à 19h00

Lundi 18 mars de 9h00 à 18h00 (Journée des professionnels de 10h à 12h)

 

 

 

5
Mar

Cine russia à Niort

   Publié par: artcorusse   dans Brèves

CINE RUSSIA

” Demain c’est la guerre,” 

” Завтра была война”

Suivi d’un débat

Lundi 25 mars à 20 h.

Cinéma CGR, Niort

Réalisateur: Youri Kara

Avec: Sergey Nikonenko, Nina Ruslanova, Vera Alentova, Natalya Negoda, Irina Cherichenko, Yulia Tarkhova, Vladimir Zamansky, Radiy Ovchinnikov, Sergey Stolyarov, Vladislav Demchenko

Distributeur: Les Films Cosmos. Durée: 89 mn (1987)

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 ” Le début des années 1940. Les héros du film sont des lycéens soviétiques ordinaires. Ils étudient à l’école, essaient d’être des membres du Komsomol corrects et idéologiques. Cependant, la “rectitude” suggérée par les enseignants ne coïncide pas toujours avec les convictions intérieures des jeunes gens. Les élèves découvrent les premiers baisers, la sexualité, les conflits avec les parents. Vika, 18 ans, fille d’un brillant ingénieur de l’aviation Lyubertsky, ne supporte pas le mensonge.  Le soir, elle rassemble des jeunes camarades dans son salon pour lire des poèmes. Un de ses compagnons de classe, Iskra, aime ses créations, mais elle le considère comme un outsider dans la culture soviétique. Elle commence progressivement à regarder certaines choses d’une manière différente et à en comprendre plus profondément les sous-entendus. Une nuit, son père accusé de trahison est arrêté. Le lendemain matin la nouvelle s’est répandue dans toute la ville. Il est difficile d’accepter le fait que leurs proches deviennent soudainement “les ennemis du peuple”. À l’école, Victoria est forcée publiquement de dire qu’il n’est pas son père, mais elle refuse. Le chef de classe Spark était censé l’exclure du Komsomol, mais elle a refusé de soutenir son camarade de classe. Toute la classe soutient Vika innocente qui l’invite à un pique-nique. La soirée se passe bien, elle avoue son amour à un garçon, Zhore Landez, qui meurt le lendemain. Incapable de résister à l’assaut des adultes et à sa peine, la jeune fille se suicide, laissant deux notes, dont l’une était destinée à sa meilleure amie.”

 

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Iouri Viktorovitch Kara (Юрий Викторович Кара) est né le 12 novembre 1954 à Stalino (actuellement Donetsk). En 1972, il a étudié à la Faculté de physique et chimie de l’Université de Moscou pour l’acier et des alliages (UMAA).  En 1978, il a obtenu un diplôme en physique des métaux, il a travaillé comme ingénieur en physique de radio à Donetsk.

En 1982, il étudie à l’Institut Guerassimov de cinématographie. Il termine ses études en 1987 avec son film de fin d’études Demain c’était la guerre tiré d’un récit de Boris Vassiliev, le film sera projeté dans 48 pays. En 1994, Iouri Kara est devenu internationalement connu pour la controverse entourant son film “Le Maître et Marguerite ((Мастер и Маргарита)” roman homonyme. Bien que le film fût terminé en 1994, il a seulement été montré dans les salles de cinéma en Russie en avril 2011.

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Mega CGR
Place de la Brèche 79000 Niort
Tarifs: 6€50 et 4€

Renseignements : 06.73.26.42.54

5
Mar

Rutabaga, conte à Grenoble

   Publié par: artcorusse   dans Brèves

Le Rutabaga

D’après le conte russe « Репка »

Samedi 9 et dimanche 10 mars 2019  à 10 h

à la Comédie de Grenoble 

Spectacle pour enfants. de 1 à 6 ans.

Un conte-ritournelle d’origine russe, un instrument de musique pour chaque personnage, des silhouettes inspirées de l’univers de Chagall…
Pour le plaisir des petits yeux et des petites oreilles !

Les spectacles sont adaptés aux plus petits d’une durée de 30 minutes. Musique, marionnettes, tous les sens sont mis en éveil pour une première découverte du théâtre !

Le spectacle “Le Rutabaga” a été présenté au Festival d’Avignon Off 2018. 

Grand-père Diédouchka a planté des rutabagas dans son jardin. Mais l’un d’eux est devenu si gros, que, malgré ses efforts, il ne parvient pas à le faire sortir de terre. Il demande son aide à Grand-mère Babouchka : elle s’accroche à Grand-père Diédouchka, qui s’accroche aux feuilles du rutabaga. Ho hisse ! Ils tirent, ils tirent, mais l’énorme rutabaga ne bouge pas. Vient à son tour la petite-fille, Anouchka, puis le chien, le chat…


On a toujours besoin… d’un plus petit que soi !

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Le Bateau de Papier C/o Espace Paul Jargot, 191, rue François Mitterrand

38920 Crolles

contact@lebateaudepapier.org       www.lebateaudepapier.org

Contact CIE: 06 35 30 93 05

Contact Le Rutabaga : 06 45 93 36 82

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La comédie de Grenoble

1 Rue Pierre Dupont, 38000 Grenoble

Tarif: 8€ adulte, 6€ enfant

Réservations sur le site ou par téléphone : 07 82 80 17 87

 

3
Mar

Maslenitsa, Fête du Printemps 2019

   Publié par: artcorusse   dans Brèves

MASLENITSA 2019

Lundi 4 mars au dimanche 10 mars

 

Chaque année, une semaine avant le carême * , on célèbre Maslenitsa, le mardi gras.  Fête qui est née à l’époque des Russes de Kiev. C’est le jour de la fête des blinis (crêpes) où il est de coutume de manger, de s’amuser et de brûler un épouvantail. Chaque jour de cette semaine porte un nom spécial.

Il existe plusieurs légendes et versions. Selon l’une d’elles, en Russie, on a voulu attirer la miséricorde du soleil pour le persuader de réchauffer un peu plus la terre. Et des crêpes jaunes cuites au four rappellent la chaleur du soleil. Nos ancêtres croyaient que c’était leur façon de «cajoler» le soleil, l’implorant d’être plus gentil.

Selon une autre version ultérieure, le nom de la fête  Maslenitsa serait apparu en Russie après l’adoption du christianisme. La semaine précédant le carême s’appelle viande-sucrée, beurre-fromage. Il y avait beaucoup de produits laitiers. Et les crêpes sont richement maculées de beurre. Par conséquent, ils ont appelé la semaine Maslenaya et la fête elle-même – Maslenitsa. De “maslo” (масло), le beurre.

Il y a une autre version plus amusante et romantique. À la fin de l’hiver dans le nord, Frost a eu une fille, Frost – Shrovetide. Les hivers à cette époque étaient longs, durs et froids. Les personnes torturées par les tempêtes de neige et les gelées, complètement fanées. Et puis Frost a eu pitié d’eux et a envoyé sa fille pour aider les gens à se réchauffer et les encourager. Et ce n’est pas une fille fragile qui vint à eux, mais une belle femme majestueuse. Elle a attiré les gens, leur a fait oublier l’hiver, les a attirés pendant une semaine avec son rire, et réchauffé le sang. Et elle avait les joues grasses. Ainsi a-t-on appelé cette semaine: Carnaval.

Programme de la semaine:

Lundi 4 mars. Jour de la Réunion.

ВСТРЕЧА

C’est le premier jour de la semaine des blinis. Déjà, d’après le nom, il est clair que ce jour-là, on va rencontrer Mardi. Son attribut le plus important est, bien sûr, un épouvantail. Le jour des blinis se présentait sous la forme d’une grande poupée en paille. Lundi, l’on décorait les maisons et préparait des esplanades  pour les futures festivités. Glissades sur glace, jeux comiques, blinis. La toute première crêpe est faite pour commémorer les défunts. Un blin (en russe : блин, pluriel блины bliny, blini parfois retranscrit comme blinis. Le mot blin vient du vieux slave mlin, qui signifie « moudre ». Le même jour, les marieurs vont rendre visite aux parents de la belle-fille.

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Mardi 5 mars. Jour du joueur.

ЗАИГРЫШ (заигрывания молодых)

 

Le deuxième jour de la semaine de fête, de jeunes hommes et femmes ont décidé d’échanger des messages d’amour, de se draguer, de flirter, de sortir de la montagne ou de jouer aux boules de neige, bien sûr, ensemble. Donc, même aujourd’hui, vous pouvez vous rencontrer et flirter ce mardi, et des couples forts et bien établis peuvent se retrouver dans le parc. C’était le jour du match, de sorte que plus tard, sur la colline rouge, vous pourriez avoir un mariage.

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Mercredi 6 mars. Journée gourmande. 

ЛАКОМКА (у тещи на блинах)

 

Il est de coutume de régaler les parents avec des blinis. Belle-mère particulièrement éprouvée – devrait certainement être traitée comme une belle-fille. Les visites traditionnelles “chez la belle-mère pour les “blinis” sont pertinentes à notre époque.

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Jeudi 7 mars. Journée des combats. 

РАЗГУЛ (широкий четверг)

 

À partir de ce jour, de grandes célébrations ont commencé: sauter par dessus des feux de joie, des promenades en traîneau, des combats de luttes et d’autres divertissements et compétitions folkloriques.

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Vendredi 8 mars. Soirée Toschiny.

ТЕЩИНЫ ВЕЧОРКИ

 

  Ce jour là, c’était le gendre qui demandait à la belle-mère de lui rendre visite. Les parents de sa femme devaient régaler des meilleurs plats pour montrer son importance.

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Samedi 9 marsRassemblements Zolovkine.

ЗОЛОВКИНЫ ПОСИДЕЛКИ

 

Ce jour-là, les jeunes fiancées et épouses, invitent la belle-sœur et d’autres membres de la famille de son mari. Bien sûr, tout occupées à faire des blinis et à les manger.

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Dimanche 10 mars. Dimanche du Pardon.

ПРОВОДЫ (сожжение Масленицы — ритуал проводов зимы)

 

C’est le dernier jour de la semaine des blinis. Dimanche, l’effigie de paille de Maslenitsa a été brûlée solennellement et les cendres ont été dispersées dans les champs. Dans de nombreux endroits, ils ont installé une grande roue sur un poteau, symbole du soleil, et l’ont brûlée. Le dimanche s’appelle Pardon, et la tradition consiste à demander pardon à des proches pour des fautes occasionnelles est toujours vivante. Selon l’ancienne coutume, ce jour est aussi un jour de commémoration: il était de coutume d’apporter et de laisser des blinis au cimetière. Dans de nombreuses régions, les restes de nourriture sont brûlés et les gens vont au bain thermal, ce qui correspond aux rites de purification (eau et feu). On n’a dit au revoir à l’hiver que le dernier jour de mardi gras. Dans chaque maison, une riche table était dressée, au centre de laquelle se trouve une grande assiette avec des blinis.

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Toile Maslenitsa de L. Solomatkine 1878.

Malheureusement de nombreuses traditions de Maslenitsa en 2019 ont disparu ou sont devenues symboliques. Cependant, rien n’empêche cette semaine, en particulier le week-end, d’inviter parents et amis à vous rendre visite ou à vous de rendre visite.

RECETTE de Grand MÈRE pour faire des BLINIS

Lait – 600 ml, Œufs – 4, Farine – 500gr, Levure de boulanger ou à défaut sèche – 30gr, Sucre – 100gr, Une pincée de sel. Huile végétale – 1 cuillère à soupe.

1. Dans un grand récipient : mettez la farine, le sel, la levure, les jaunes d’œufs et verser le lait tiède, mélangez. Mettez la pâte dans une pièce chaude pendant une heure recouvert d’un linge, afin qu’elle monte.
2. Dans le mélange, ajoutez le sucre, de l’huile végétale, les blancs d’œufs battus en neige. Battez le mélange.
3. Laissez reposer 1/2 h. Cuire les crêpes dans une poêle graissée.

Servir avec un filet de beurre fondue, de la crème fraîche (smetana), mettre dessus du hareng, ou du saumon, ou des anchois ou du caviar. Accompagner de Vodka bien glacé.

BON APPÉTIT.

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* La date change en fonction de la Fête de Pâques, différante avec les 
occidentaux en raison des calendrier:
julien pour les orientaux et grégorien pour les catholiques et les 
protestants,calendrier établi 15 octobre 1582.
Cette année la Pâques orientale est le 28 avril et la Pâques occidentale 
le 21 avril.

BLINIS

Dimanche 2 mars 2019 vers 12h

Paroisse St Pantéléimon et St Nicolas

Bruxelles

Как каждый год, наш приход празднует Масленицу широким застольем! Блины в Церкви Святого Николая и Пантелеймона воистину событие объединяющее, как новых прихожан, так и глубоко верующих, для который наш приход стал частью жизни. 

Comme chaque année, la paroisse Saint Pantéléimon et Saint Nicolas organise les blinis qui se tiendront le dimanche 3 mars dans la salle paroissiale après la Divine Liturgie vers 12h.
Si vous désirez réserver, vous pouvez contacter notre starosta Elena au numéro suivant : 0484 11 55 75
L’entrée est de 20 euros : blinis, zakouski et boissons.
Vous pouvez payer le jour même ou envoyer les 20 euros sur le compte suivant : BE04 0017 31676231 avec mention “blinis de la part de ………”

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Eglise St Pantéléimon et St Nicolas

47, rue Jean-André de Mot, 1040 Bruxelles (Etterbeek)

Réservation: Tél: 0484 11 55 75

2
Mar

Les intellectuels russes … , Presse Sorbonne

   Publié par: artcorusse   dans Livres

Vient de sortir en février 2019

Presse Sorbonne Nouvelle

 

Par Alexandre Stroev

Une histoire alternative de la littérature russe en France de Cantemir à Gorki.

Entre le XVIIIe et le début du XXe siècles, la presse, les éditeurs et les salons parisiens lancent des auteurs russes en Europe et rehaussent leur réputation dans leur patrie. Les succès des lettres propagent l’image positive de l’Empire.

Quelles stratégies politiques, éditoriales, mais aussi mondaines doivent déployer écrivains, intellectuels et diplomates russes en France afin de conquérir l’opinion publique française? Sont analysées, plutôt que la réception des œuvres, les manœuvres qui contribuent à programmer une fortune littéraire, et la part respective qu’y prennent écrivains, éditeurs, traducteurs, journalistes et diplomates. En contribuant à repenser les mécanismes de la sociologie littéraire, c’est un volet inédit des relations littéraires franco-russes que l’ouvrage révèle.

Hommage à Alexander Yanushkevich (1944- 2016)

Extraits de la table des matières: Prince Cantemir, Jean Potocki, Ivan Krilov, Serguei Tourgueniev, Vassili Joukovski, Nicolaï Gretch, Zinaïda Volkonskaïa, Pouchkine, Nikolaï Gogol, Paul Lacroix, Ivan Tourgueniev, Dostoïevski, de Vogüe, Dmitri Merejkovski, comte Prozor …

 

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Alexandre Stroev, né en 1955, Professeur, Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3 ,Responsable du groupe Manuscrits français de Russie. Directeur de recherche à l’Institut Gorki de littérature mondiale, Académie des sciences de Russie, Moscou.

Publications (sélection): Les Aventuriers des Lumières,Paris, PUF, 1997 ; Ériger une République souveraine, libre et indépendante (Mémoires de Charles-Leopold Andreu de Bilistein sur la Moldavie et la Valachie au XVIIIe siècle), en collaboration avec I. Mihaila, Bucarest, 2001.

 Il est auteur et éditeur scientifique des ouvrages : Les aventuriers des Lumières (1997) ; Voltaire Catherine II, Correspondance 1763-1778 (2006) ; L’image de l’Étranger (2010) ; La francophonie européenne aux XVIIIe-XIXe siècles (avec E. Gretchanaia et C. viollet, 2012) ; Charles-Joseph de Ligne, Correspondances russes (avec J. Vercruysse, 2013), Savoirs ludiques (avec K. Gvozdeva, 2014) ; L’invention de la Sibérie par les voyageurs et écrivains français, XVIIIe-XIXesiècles (avec S. Moussa, 2014), etc.

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Édition Première édition
Éditeur Presses Sorbonne Nouvelle
Support Livre broché. Prix: 23€
Nb de pages 368 p. Index . Bibliographie . Notes .
ISBN-10 2379060029
ISBN-13 9782379060021
1
Mar

Trio Skazat à Datcha Kalina

   Publié par: artcorusse   dans Evenements

 

Concert

“TRIO SKAZAT”

Dimanche 10 mars 2019 à 18h30

Datcha Kalina, Eguilles

Trio SKAZAT 
Musiques et chants d’Europe de l’Est   
avec
Dario Ivkovic, accordéoniste 
Branislav Zdravkovic, tamburac et chant 
Héléna Maniakis, chanteuse  
 
Skazat: deux syllabes russes pour “dire”, s’exprimer….  
Le jour s’achève et la nuit est propice aux confidences. 
 
Skazat chante une musique qui souffle le chaud des paysages méditerranéens sur le froid des plaines de Mandchourie; une musique toute en dualité, collective et intime, qui raconte les amis, qui dit le temps qui passe et les blessures internes qu’il faut bien soigner… 
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Datcha KALINA
315 Chemin des Petites Fourques, 13510  Eguilles
PAF: 15€ 
Adhérents de Datcha Kalina et Kibitka: 13€  
 
Renseignements et réservations : 
04 42 92 68 78 / 06 20 97 35 68 
28
Fév

Cours de russe à Chatenay-Malabry

   Publié par: artcorusse   dans Petites annonces

L’association franco-russe MIR a le plaisir d’annoncer l’inscription supplémentaire pour l’année scolaire 2018-2019!
Les cours ont lieu les samedis au Pavillon Colbert – 35 Rue Jean Longuet, Châtenay-Malabry.

Nous offrons un large choix de cours et d’ateliers :
– Cours de russe pour adultes: niveaux débutant, intermédiaire et avancé
– Cours de russe pour enfants bilingues et non-bilingues.
– Club de conversation « POGOVORIM ! » où vous pourrez pratiquer vos connaissances du russe grâce à des conversations sur différents sujets.

Inscription / renseignement : Nadejda Foissy 06 67 24 77 81 / nfoissy@hotmail.fr

26
Fév

Lev Sivkov à Paris

   Publié par: artcorusse   dans Evenements

En concert à Paris

Lev Sivkov, violoncelliste

Yukie Takai, piano

Jeudi 14 mars 2019 à 20h

Centre Tchèque

Lev Sivkov est né en 1990 à Novossibirsk, en Russie, il a commencé l’étude du violoncelle dès l’âge de cinq ans. Ancien élève de Jean-Guihen Queyras,  il a raflé les 1ers Prix de presque tous les grands concours internationaux de violoncelle. Malgré sa jeunesse, c’est un habitué des standings ovations ! A Stuttgart avec le SWR, un des meilleurs orchestres d’Allemagne, avec l’Orchestre Philharmonique de Baden-Baden (un des plus anciens d’Europe !), le PKF de Prague, au Festival Radio France – Montpellier…

Lev Sivkov, nommé violoncelle solo de l’Opéra de Zurich à seulement 27 ans, a joué récemment en soliste le concerto de Dvorak au Festival International de Besançon (septembre 2018), avec le Prague Philharmonia (E. Vuillaume, dir.) devant un parterre médusé et enthousiaste! Il sera, pour son concert parisien, accompagné de la pianiste Yukie Takai, qui poursuit elle-même une belle carrière (elle est, par ailleurs, professeur de piano et accompagnatrice de la classe de Jean-Guihen Queyras au Conservatoire de Freiburg !).

Yukie Takai a commencé à jouer du piano à l’âge de six ans. Elle a étudié au Conservatoire de musique Toho Gakuen avec le Professeur Tsunemi Naraba. Elle a reçu le 1er Prix du « concours international Friedrich Kuhlau », en duo avec flûte. Un an avant de recevoir son diplôme de fin d’études au Japon, elle a remporté le 2e Prix du Concours national de musique de chambre international du Japon et a été invitée en Allemagne pour se perfectionner. Comme membre de jury de concours, elle donne des masterclasses et se produit dans de nombreux festivals tels que le festival de musique de Forêt-Noire, le Ludwigsburger Schlossfestspiele, le Festival International de Musique du Schleswig-Holstein, le concours international de musique de Genève, le concours de l’ARD, Concours international Tchaïkovski. Elle est professeur à la Musikhochschule de Stuttgart et chargée de cours au Conservatoire de Fribourg.

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Lev Sivkov joue un violoncelle de Miremont, 1880, aimablement prêté par la « Collection d’Etat pour les instruments à cordes du Baden-Württemberg » de Fribourg, en Allemagne.

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Au programme :

  1. Janacek : “Pohadka” pour violoncelle et piano
  2. Dvorak : “Silent Woods” B182 (1893) pour violoncelle et piano

L.v. Beethoven : Sonate op 102. N°1 en do majeur pour violoncelle et piano

  1. Khatchaturian : Sonate Fantaisie pour violoncelle solo en do majeur.
  2. Schumann : Fantasiestücke, 3 pièces pour violoncelle et piano op.73.
  3. Davidoff : “A la Fontaine” pour violoncelle et piano.

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Lev Sivkov sera également en concert à Avignon le 2 avril 2019 (Grand Opéra), où il donnera aussi une master-class.

Pourquoi ne pas profiter de son passage à Paris pour l’écouter et le rencontrer ?

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Centre Tchèque

18 Rue Bonaparte, 75006 Paris

Renseignement et Réservation : 01 53 73 00 22

Tarifs : 12€ et 15€

Métro:  St Germain des Près, Mabillon

Bus : n° 95 ou 39, arrêt Jacob

25
Fév

Trio Makarenko …

   Publié par: artcorusse   dans Informations

Tournée du mois de mars 2019

Trio Makarenko

Anne et Micha se rencontrent en 1981 lors d’une répétition pour une tournée au Maroc. Ils jouent la romance russe « Je vous ai rencontrée » et ne se quittent plus!

       Le Duo Piano-Balalaïka engage une formidable croisade pour mieux faire connaître et aimer la balalaïka et la musique russe. Le duo est invité en France, à Paris (Gaveau, Châtelet, Pleyel, Cortot, Musée Jacquemart-André…), à l’étranger, au Maroc, en Suisse, Italie, Belgique, Espagne…, dans des festivals renommés (Besançon, Sceaux, Le Suquet, Vannes, la Puisaye, Tahiti, Île Maurice, La Réunion, Caraïbes). Anne et Micha Makarenko interviennent également dans des émissions à la radio et à la télévision et lors de conférences sur l’histoire de la balalaïka. Ils sont très présents en Russie où ils ont joué à la salle Glinka de Moscou, à la Grande Philharmonie de Saint-Pétersbourg et à la télévision : la critique et le public les plébiscitent.

Micha, Pierre et Anne Makarenko

Le Duo devient un Trio lorsque Pierre, leur fils, les rejoint en 2000 à l’occasion du festival du millenium à Louxor, organisé par France Clidat. Depuis, c’est en Trio qu’ils parcourent le monde. Récemment, ils ont donné un récital à la Philharmonie de Berlin et musée Jacquemart-André.

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Dimanche 17 Mars 2019 à 17h

Église de Ville-Saint-Jacques (77)

Le chœur comporte les restes d’un édifice daté du XIIème siècle. Il s’ouvre sur la nef par un arc triomphal en plein cintre. Celui-ci et les bas-côtés sont du XVIème siècle. Au nord du chœur s’élève le clocher, forte tour accompagnée sur sa face nord d’une tourelle. Le clocher est coiffé en ” double bâtière”, formée par l’intersection de deux toits à deux versants, ce qui donne un pignon triangulaire sur chaque face du clocher.

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Samedi 23 Mars 2019 à 15h

Mairie du 4ème Arrondissement de Paris (75)​

2 Place Baudoyer, 75004 Paris

Le 4e arrondissement comprend une partie du quartier branché du Marais, connu pour ses boutiques tendance, ses galeries d’art et ses bars gays. La verdoyante place des Vosges offre un petit havre de paix. Les touristes se retrouvent au Centre Pompidou, un musée d’Art moderne à la façade remarquable. À proximité, la cathédrale gothique Notre-Dame de Paris domine la petite île de la Cité bordée d’arbres.
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Dimanche 24 Mars 2019

Musée de Semur en Auxois (21)

 3 Rue Jean Jacques Collenot, 21140 Semur-en-Auxois

Installé avec la bibliothèque municipale dans l’ancien couvent des Jacobines (XVIIe siècle), le musée a pour origine la création de l’École de Dessin et de Sculpture fondée en 1834. 
Au premier noyau d’œuvres réunies par le peintre Etienne Bouhot (1780-1862) sont venus s’ajouter des objets antiques, médiévaux ou modernes, assemblés par la Société des Sciences Historiques et Naturelles ; celle-ci engagea parallèlement, à l’initiative de MM.Collenot, Bréon, et Brochard, un fructueux travail de collecte qui permit la création d’une riche section de Sciences Naturelles. 
Préservé dans son état de la fin du XIX éme siècle, le musée entièrement rénové, a conservé son originalité et son identité: la belle muséographie imaginée au siècle dernier a été respectée et fait de ce lieu un modèle du genre. 

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25
Fév

Vladimir Bazan à IG Gallery

   Publié par: artcorusse   dans Evenements

Exposition du photographe

Vladimir Bazan

” Champs de Vision “

du lundi 25 au jeudi 28 février 2019

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Vladimir Sergueievitch BAZAN est né en 1953 en Russie. Trois ans plus tard, ses parents ont déménagé au Bélarus. Sa vie et son destin seront indissolublement liés à Vitebsk. A  dix ans, il prend en main un appareil photo pour la première fois. Un petit événement dans la vie d’un enfant ? Mais il est devenu un signe. La carrière de BAZAN a commencé par un emploi de photographe dans une école de gymnastique sportive. En 1978, il termine ses études à la Faculté d’Art Graphique de l’Institut Pédagogique. De nouveau il  travaille comme photographe dans une usine de cartonnage et de polygraphie. Depuis 1980, il était photographe correspondant dans un journal à fort tirage « Constructeur », et collaborait avec les éditions républicaines et des éditions de toute l’URSS.

© Vladimir Bazan.

En parallèle, Vladimir BAZAN prend d’assaut les sommets photographiques. Il participe aux expositions photographiques : « Venus » (Cracovie), « Homme et temps » (URSS), « Infoskanbaltik » (Rostok), « Photorire » (Gabrovo), «Santé pour tout le monde » (Genève), « Génération » (Paris), Word Press Photo, « Comment tu vis l’homme » (Vilnius).

© Vladimir Bazan.

Il a reçu de nombreuses décorations : « Diplôme d’honneur » à Genève, Médaille d’or à l’exposition de l’URSS, Premier prix au concours photographique international « Zeiss-Praktica » et de multiples diplômes.

© Vladimir Bazan.

Expositions personnelles en Allemagne, Pologne, Estonie, Lituanie, participation à de nombreuses expositions collectives. En 1989, Vlaadimir BAZAN a crée avec le photographe de Vitebsk, Igor LEÏKIN, un premier journal non gouvernemental au Bélarus, le « Vitebsky Kurier » (Courrier de Vitebsk). Il obtient de nombreuses récompenses, notamment le Ier Prix au concours international Tseïs-Practika en Russie.

© Vladimir Bazan.

Il a publié: 3 albums de photos sur Vitebsk (environ 200 photos dans chacun), Album « Vitebsk et Chagal » (sur le musée de Chagal à Vitebsk), Album « Nienburg/Weser » (plus de 200 photos), nature morte de Tchernobyl…..

Puissance et vérité se dégage de ses photos avec les portraits les paysages urbains, qui nourissent son objectif. Il sait saisir les instants de vie par une maîtrise sans équivoque du noir et blanc.

 

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I-GALLERY Intelligence
1, Quai Voltaire 75007 Paris, France

Contact: o.khlopova@i-gallery.fr

Ouvert de 14h à 19h

Tél: 09 50 44 99 10

Métro: Palais Royal, RER: Musée d’Orsay

Bus: 24, 27, 39,48,68, 75, 95

25
Fév

” Albatros, Les Russes Blancs à Paris”, CUM Nice

   Publié par: artcorusse   dans Informations

Projection du film:

” ALBATROS où les Russes Blancs à Paris “

en présence du réalisateur Alexandre Moix

présenté par Vladimir Fédérovski

Récital franco-russe de Xénia Devi

Jeudi 28 février 2019 à 14h30

CUM, Nice

 

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Dans la nuit du 8 février 1920, à Yalta, au sud de la Russie, un groupe de cinéastes russes embarque clandestinement sur un cargo. Ce sont des Russes blancs, des intellectuels, qui fuient la terreur bolchevique… « Il faut savoir que cette année-là, deux millions de personnes ont préféré quitter leur pays, dont 500.000 sont arrivées en France. Parmi elles, Ivan Mosjoukine, un acteur de cinéma aussi connu que Gabin et Depardieu à leur époque, s’enfuit avec sa troupe de chef opérateurs, décorateurs, producteurs… », souligne Alexandre Moix. Une fois à Paris, la firme Pathé leur concède un local à Montreuil (Seine Saint-Denis), à l’est de Paris. « Et là, ils vont faire ce qu’ils savent le mieux : du cinéma. En quatre ans, ils créent le studio Albatros et signent les films français les plus connus du moment, dont Le Brasier ardent(1923), film qui va même donner à Jean Renoir l’envie de faire du cinéma ! »

 

Le réalisateur et journaliste orléanais Alexandre Moix a été « happé par une histoire humaine incroyable ».

« Aujourd’hui, nombre des descendants de ces Russes blancs sont des célébrités du cinéma français : Robert Hossein, Mylène Demongeot, Jacques Tati, Marina Vlady, Pierre Tchernia mais aussi Michel Polnareff, Serge Gainsbourg… et Macha Méril, la voix off de mon film ! »

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Présentation avec Vladimir Féderovski, écrivain et ancien diplomate russe d’origine ukrainienne, et aujourd’hui français, né le 27 avril 1950 à Moscou.

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Récital franco-russe à 16h30

avec la chanteuse Xénia Devi

Xénia Devi viendra spécialement de Russie pour chanter en français et en russe, des chansons et quelques unes avec de poèmes de sa plume. Elle est née en 1981 à Kharkoff, d’une famille de militaire. Très jeune elle aimait la littérature et la musique grâce à sa grand mère professeur de français et d’allemand. Xénia reçu la médaille d’or, elle se produit régulièrement sur les scènes russes et pour le première fois en France.

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Le Centre Universitaire Méditeranéen a été créé en 1933 (son premier administrateur fut Paul Valéry), le CUM fut jusqu’en 1965 un espace intellectuel et culturel. Il servit ensuite à l’installation de la nouvelle Université niçoise avant de redevenir, aujourd’hui, un centre d’échanges et d’expression.

Un joli palais, blanc et rouge, sur la Promenade des Anglais. Au seuil, deux palmiers. A droite, le souvenir du pin de Marie Bashkirtseff, qui projetait une ombre légère sur la vaste fenêtre du bureau-bibliothèque de Paul Valéry. A l’intérieur, un bijou digne de l’écrin : le fini du dallage et des parquets répond à l’art des boiseries, un secrétariat moderne, une salle des actes, avec des glaces, des dorures et de l’ocre pompéien, faite pour accueillir l’élite des intellectuels. Enfin, un amphithéâtre considéré comme le plus beau de France.

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CUM Centre Universitaire Méditerranéen

65 promenade des Anglais,  06000 Nice

Renseignements et inscriptions obligatoires

Maison des Seniors Félix-Faure:  04 89 04 65 03

 

 

24
Fév

Marina Tsvetaïeva au Lucernaire

   Publié par: artcorusse   dans Evenements

Théâtre Lucernaire

” Et ma cendre sera plus chaude que leur vie”

d’après les carnets de notes de Marina Tsvetaïeva

du mercredi 13 février au samedi 6 avril 2019

D’après les carnets de notes de Marina Tsvetaïeva
Adapté du recueil Vivre dans le feu présenté par Tzvetan Todorov, traduit du russe par Nadine Dubourvieux © Éditions Robert Laffont

MISE EN SCÈNE : MARIE MONTEGANI

AVEC CLARA PONSOT

Du mardi au samedi à 21h. Durée du spectacle : 1h15.

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“Je ne suis pas faite pour la vie. En moi ” tout est incendie ! ” Je suis une personne écorchée, alors que vous portez (tous) une armure.”

 

Marina Tsvetaïeva (1892-1941)

Et ma cendre sera plus chaude que leur vie, est une immersion dans la vie et l’écriture de Marina Tsvetaeva où cette écorchée nous confie sa passion pour les mots, pour ses ” idylles cérébrales “, pour sa fille Alia, et nous plonge dans sa terrible réalité ; ses exils, la mort de son autre fille Irina, son retour contraint en Union soviétique et sa fin misérable.

Clara Ponsot

Faire resurgir cette incandescente est l’enjeu de ce spectacle dans lequel Clara Ponsot incarne celle dont Pasternak disait qu’elle était ” une femme à l’âme virile, active, décidée, conquérante, indomptable ” et qui, jusqu’au bout, n’aura envisagé la littérature que comme un absolu.

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Marie Montegani, metteur en scène

Formée à l’École du TNS, elle joue sous la direction de nombreux metteurs en scène avant de constituer sa propre Cie. Elle enchaîne alors les mises en scène et, en 2007, inaugure le théâtre de l’IVT en signant l’adaptation et la mise en scène de K. Lear avec Emmanuelle Laborit dans le rôle de Cordélia. Ses dernières créations ; Camille, Camille, Camille de Sophie Jabès d’après la vie de Camille Claudel – Et ma cendre sera plus chaude que leur vie, adapté des carnets de notes de Marina Tsvetaïeva.

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Clara Ponsot, comédienne

En 2009 elle est admise au CNSAD dans la classe de Jean Damien Barbin. On la retrouve à sa sortie dans Fahrenheit 451 mis en scène par David Gery, dans Le jeu de l’amour et du hasard mis en scène par Laurent Laffargue, dans La mégère apprivoisée au Théâtre de la Ville. Au cinéma elle joue dans : Poupoupidou, Bye bye blondie, Les Infidèles, Cosimo et Nicole où elle tient le rôle-titre, Peur de Rien et plus récemment dans Du soleil dans mes yeux de Nicolas Giraud. En 2015, Clara Ponsot incarne au théâtre la poétesse Marina Tsvetaïeva  dans un spectacle mis en scène par Marie Montegani, librement adapté du recueil « Vivre dans le feu »

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Le Lucernaire, c’est un petit morceau d’histoire de Montparnasse. Créé en 1968, impasse d’Odessa, le théâtre doit déménager lors des travaux de construction de la tour Montparnasse. Le Lucernaire trouve son adresse définitive en 1975, dans les locaux d’une usine désaffectée. L’architecture de ce lieu foisonnant en fait aussi une curiosité. Construit à l’image d’une rue, il accueille bancs publics, réverbères et fontaine Wallace. En 2004, le centre est racheté par les éditions L’Harmattan qui lui redonnent un nouveau souffle. Le Lucernaire est né de l’imagination de deux jeunes artistes de théâtre, Christian Le Guillochet et Luce Berthommé. Soutenus par le comédien Laurent Terzieff, ils créent un lieu original où toutes les disciplines artistiques peuvent se rencontrer. Et pour marquer sa particularité, ils le baptisent Lucernaire. Du latin “lucernarium”, ce mot désigne littéralement “le moment où l’on allume les lampes”. C’est la tombée de la nuit, le moment de se rendre au théâtre, le passage d’une réalité à une autre.

Le Lucernaire est plus qu’un théâtre : c’est un véritable centre culturel ! Le théâtre (3 salles), le cinéma (3 salles) et la photographie contemporaine s’y mêlent, dans un esprit de création. Le Lucernaire possède également 3 salles de cinéma classées “Art et Essai”, une galerie d’art consacrée à la photographie et une librairie spécialisée. Le Lucernaire appartient aux Editions l’Harmattan.

Théâtre Lucernaire

53, Rue Notre Dame Des Champs
75006 Paris

www.lucernaire.fr

Métro: Notre Dame des Champs (ligne 12), Vavin (ligne 4)

Bus: 58, 68, 82, 91, 94, 96

Réservation :

Tél: 01 45 44 57 34

Ticketac: CLIQUEZ

Poèmes de Lessya Tyshkovskaya

“Entre ciel et Cieux”

ouverture de l’exposition de gravures de 

Paul Kichilov

 lundi mars 2019 à 19 h.

Centre  culturel  Alexandre  Soljenitsyne

et  la  librairie  “Les Editeurs  Réunis”

 

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Lessya Tyshkovskaya est née à Kiev.Très jeune elle rêvait d’être actrice et a appris l’art dramatique à l’école de drame et pantomime et l’art lyrique et le piano à l’école musical. Elle a senti l’amour de la poésie et est entrée à l’Université de T. Shevtchenko pour faire des études de langue et de littérature russe, qu’elle a brillamment terminé en soutenant la thèse « Mythologie dans la poésie de Marina Tsvétaïeva » et devenant docteur en philologie.

Simultanement elle réalise son rêve d’enfance en montant sur scène pour présenter ses propres compositions. Elle devient membre de la Guilde des Cinématographes d’Ukraine et a joué dans des films, le plus connu  « Le roman provincial » d’A. Mouratov dans lequel elle tient le rôle principal. Étrange prémonition, la dernière réplique de l’héroïne est : « Je pars à Paris » ; ce qui se produisit en 2007. A Kiev, Lessya Tyshkovskaya joua au théâtre durant de nombreuses années.

Lessya a publié six recueils de poésies : « Les rêves au bord de la vie », « Pour ceux qui restent ici », « La conquête de l’espace », « Vue sur l’Est », « Le temps des demi-tons » et « Le papillon sur le baobab ». Elle a composé et enregistré deux albums de chansons (« Le monde invisible » et « SтихоJazz ») où elle s’accompagne à la guitare et au piano. Sur l’une de ces chansons, elle a elle-même réalisé le clip.

L. Tyshkovskaya est aussi l’auteur de nombreux récits et nouvelles. Elle est membre de l’Union des Ecrivains d’Ukraine et de quelques groupes poétiques à Moscou et à Paris. Depuis 2007 elle vit et travaille en  France – où elle continue à écrire, chanter et monter en scène. Soirée avec des poèmes, chansons, tableaux et vidéo avec des échanges durant l’amical apéritif.

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Exposition de Paul Krilov 

du 4 mars au 31 mars 2019

Paul Nicolaievitch Kichilov, né en Russie en 1966 d’un père russe et d’une mère française, en 1973 il est arrivé en France à l’âge de 7 ans . Après des études de mathématiques il embrasse la voie artistique. Diplômé de l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris en gravure en 1991. Premier Prix Européen de gravure en Italie en 1991 et 1996. Il a de nombreuses expositions personnelles à Paris mais aussi Moscou et Athènes et à de nombreuses expositions collectives (France, Japon, Danemark…). Cursus complet de sculpture à l’École des Beaux Arts d’Athènes de 2002 à 2010. Créateur en 2012 du Théâtre du Dessin Vivant, bilingue russe et français.

Le dessin sous toutes ses formes, exprimé en particulier par la gravure aussi bien en noir et blanc ou en couleurs mais aussi le monotype est au cœur de son travail. La série des «Batailles», batailles intérieures, peut être considérée comme l’une de ses grandes lignes de force. Il vit, travaille et expose à Paris.

« La gravure peut être considérée, de part la variété et la richesse des techniques auxquelles elle fait appel comme la discipline reine des arts graphiques. Burin, pointe sèche, eau-forte, aquatinte permettent tantôt de jouer des sillons gravés à la pointe, tantôt des arabesques et aplats du pinceau. C’est un art du multiple car les gravures sont en générale imprimées en tirage limité. La plaque gravée, la matrice, tout en étant unique est originale à double titre : les lignes creusées, les surfaces grainées, les reliefs de quelques fractions de centimètre, sont dus à la main de l’artiste et reflètent toutes les caractéristiques de sa personnalité et, en même temps son geste est immémorial et vient, littéralement, de la nuit des temps”.

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Inscription:

tyshkovska@yahoo.com    paul.kichilov@gmail.com

par tél:  Lessya 06 14 04 64 59    Paul: 07 60 45 76 15

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Centre Culturel Alexandre Soljenitsine

Librairie les Éditeurs réunis

11 rue de la Montagne Ste Geneviève, 75005, Paris

Téléphone : 01 43 54 74 46
(Métro : Maubert-Mutualité).

Librairie ouverte: du mardi au samedi – de 10 h à 18 h 30

 

21
Fév

Evgeny Sharov à IG Gallery

   Publié par: artcorusse   dans Brèves

présente

EVGENY SHAROV

« Mémoires »

du lundi 18 février au dimanche 24 février 2019.

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À la mémoire d’Evgeny Sharov, mon mari et mon ami.
Jenia” avait reçu en don la beauté, celle du corps, du coeur et de l’âme. C’était un être charismatique, doté d’un grand potentiel créatif. La peinture, la musique, la littérature – tout intéressait le créateur qu’il était. Il s’en inspirait pour créer ses peintures.
Il est né à Moscou dans une famille ordinaire. Sa mère voulait que son fils soit ingénieur, et le fils a été admis dans une école d’ingénierie, située à coté de l’Académie des arts et de l’industrie Stroganov. Jenia s’y enfuyait pour assister aux conférences et rêvait de pénétrer le monde artistique. Il a commencé comme peintre paysagiste. Son style a changé au fur et au mesure qu’il découvrait le travail d’autres artistes. Il n’a cessé d’étudier et d’expérimenter les techniques, les sujets et le style. Les 25 dernières années, il a vécu et travaillé aux États-Unis. Ce furent les années les plus fructueuses de sa production. Il a réalisé ses premières œuvres dans la ville d’Omaha, NE. L’une d’elles était dédiée au centenaire de l’hôpital de la ville. L’œuvre fut acquise par la direction et elle est toujours accrochée dans le musée de l’hôpital.

Eugène a ensuite résidé et travaillé pendant 15 ans à Worcester, MA. Il a étudié avec un grand intérêt de nouvelles techniques : gravure à l’eau-forte, fabrication de gravures sur bois et sur linoléum, impression sur mezzotint, collage. Il a donné des cours au Worcester Art Museum, participé à de nombreuses expositions et ventes aux enchères (Annual Art Show, Charlton, MA, 2003, et expositions personnelles à Westborough, MA en 2006 et 2008). En 2015, il a participé au World Art Show de Dubai. En 2010, il a déménagé en Floride et changé encore une fois son style et sa palette de couleurs. Il a découvert de nouvelles références, telles que Karel Appel, Jean Dufy, Bernard Lorjou. Quelques œuvres inspirées du travail de Karel Appel sont d’ailleurs présentées dans cette exposition (série «Sirène de Floride»).

Au cours de sa vie, Eugène a rassemblé une collection riche et variée de livres et d’albums sur l’art. Y figurent des lithographies de Mikhail Shemyakin, Max Papart, Umetaro Azechi, Paul Wunderlich, Takuma Hanawa, Sadat Watanabe, Katsunori Hamanishi, Bernard Lorjou, Ernst Fucks. Il souhaitait faire don de ces œuvres au Musée des collections privées de Moscou. C’était un homme généreux, talentueux, brillant, ouvert et sincère.


Jenia se distinguait véritablement par sa passion sans limites pour l’art et pour la vie. Il pensait que le but de chacun est de laisser une trace derrière lui, et que cela ne pouvait être que le fait de l’art. Il a admiré les personnes qui ont réussi à l’atteindre. Et pour moi, il fait partie de ceux qui l’ont atteint.
(Natalia Sharova)

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I-GALLERY Intelligence
1, Quai Voltaire 75007 Paris, France

Contact: o.khlopova@i-gallery.fr

Ouvert de 14h à 19h

Tél: 09 50 44 99 10

Métro: Palais Royal, RER: Musée d’Orsay

Bus: 24, 27, 39,48,68, 75, 95

21
Fév

Ilya Rashkovskiy à la Salle Cortot

   Publié par: artcorusse   dans Evenements

Ilya Rashkovskiy, pianiste

 

Samedi  23  février  2019  à  20h 30

 

Salle Cortot, Paris

 

Programme:

Jean-Sébastien Bach: Ouverture française.

César Franck: Prélude, Chorale et fugue en Si bémol

Robert Schumann: Sonate N° 1 en Fa dièse mineur.

Ilya Rashkovskiy né à Irkoutsk le 17 novembre 1984, commence le piano à l’âge de 6 ans, à 7 ans il se met à composer. Il donne son premier concert avec l’Irkousk Chamber Orchestra en 1992. De 1993 à 2000, il étudie au Conservatoire d’État de Novossibirsk avec Mary Lebenzon. De 2000 à 2009, il étudie à la Musikhochschule de Hanovre avec Vladimir Krainev et à l’École Normale Supérieure Alfred Cortot à Paris avec Marian Rybicki. Passionné par la direction d’orchestre et la composition, il suit aussi les enseignements de Dominique Rouits et de Michel Merlet.

Lauréat de nombreux concours internationaux : le Concours de Piano Hamamatsu ( Premier prix et Prix du Public, Japon, 2012), le Concours Citta di Pinerolo (Italie, 2012), le Concours International Jaen (Espagne, 2005), et le Concours international de Hong Kong (2005). Le Concours Long – J. Thibaud à Paris (2ème Prix), le Concours Reine Elisabeth à Bruxelles (4ème prix) et Artur Rubinstein Piano Masters à Tel Aviv (3ème prix).

Ilya s’est produit dans des salles de concert prestigieuses à travers le monde: le Théâtre du Châtelet, la Salle Playel, la Philharmonie de Cologne, la Philharmonie d’Essen, le Royal Concertgebouw d’Amsterdam, le Grand Hall du Conservatoire de Moscou, le Suntory Hall en Tokyo. Il a été invité à se produire au Festival Joy of Music à Hong Kong, au Festival International de Piano à La Roque d’Anthéron et au Festival International Chopin à Duszniki-Zdroj (Pologne).

Il est soliste avec l’Orchestre Philharmonique de Radio France, l’Orchestre National de Lille, l’Orchestre Gulbenkian, l’Orchestre National de Belgique, l’Orchestre Symphonique de Maastricht, l’Orchestre Symphonique National Tchèque, l’Orchestre National de Roumanie, l’Orchestre Symphonique de Tokyo, le New Japan Symphony Orchestra, l’Orchestre Académique National de la Fédération de Russie, l’Orchestre Philharmonique National d’Ukraine et l’Orchestre Symphonique de Montevideo parmi tant d’autres.

En 2016, il donne plusieurs concerts en Russie, notamment avec l’Orchestre du Théâtre Mariinsky à Saint-Pétersbourg. Il participe au concert de gala organisé en hommage à Sergueï Prokofiev à la salle de concert Tchaïkovski de la Société philharmonique d’État de Moscou.

En avril 2018, il a joué au Verdi Hall de Milan ainsi qu’à la Salle Gaveau à Paris. En septembre 2018, Ilya est invité au Japon pour une série de concerts. Il jouera le 2ème concerto de Rachmaninov avec le Tokyo Metropolitan Symphony Orchestra.

Ilya Rashkovskiy grand amateur de musique de chambre, il partage les scènes avec des violonistes prestigieux tels que Ji-Yoon Park, Valeriy Sokolov et Andrej Bielow. Il collabore également avec des chanteurs: Brigitte Balleys et Orianne Moretti.

Il est activement engagé dans la promotion des jeunes talents et a donné des Master Class à plusieurs reprises à Hong Kong, en Nouvelle-Zélande et en France. Il a été  membre du jury au Concours International de Piano Animato pour les trois dernières éditions à Paris.

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Son dernier CD avec les œuvres de compositeurs russes (Moussorgski, Rachmaninov et Tchaïkovski) est paru en octobre 2016 (La Musica, France). En 2015, il enregistre l’intégrale des sonates pour piano de A. Scriabin en commémoration du centenaire de la mort des compositeurs (NAR, Japon). Il a enregistré les Seasons et Sonata en ut mineur de Tchaïkovski (Naxos Label – 2008), Fantasies de Mozart, Chopin, Liszt et Scriabin (Alpha Omega Music Hong Kong – 2009), ainsi que les Études complètes de Chopin en 2013 (Victor Japon).

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Salle Cortot

Hôtel particulier construit en 1881 par l’architecte Léopold Cochet pour la famille Rozard. Depuis 1924, l’édifice accueille l’Ecole normale de musique de Paris Alfred-Cortot, la salle de concerts (dite salle Cortot) occupe l’emplacement des écuries et remises de l’hôtel.La salle Cortot a été réalisée par Auguste et Gustave Perret après la salle Pleyel [1924-1927] due à Jean-Marcel Aubertin.
Le problème principal à résoudre était l’acoustique. Auguste Perret  avait dit :
“Je vous ferai une salle qui sonnera comme un violon”.
Il a dit vrai. Mais il se trouve – ce qui dépasse nos espérances-que ce violon est un Stradivarius.
Celle de la salle Pleyel avait été étudiée par le physicien Gustave Lyon. Il avait donné à la couverture une forme ovoïde pour empêcher la production d’échos et assurer une meilleure propagation des sons. Pour amortir les vibrations et atténuer les échos, Gustave Lyon avait disposé un molleton de coton sur les murs du fond. La salle Pleyel était considérée comme la référence en acoustique. C’est pourquoi Auguste Pleyel a conçu la salle Cortot en opposition aux principes mis en œuvre dans cette salle.


La surface disponible était petite: 9 x 29 mètres.
L’originalité de la salle va être de placer l’orchestre au milieu du grand côté. La faible distance entre orchestre et auditeurs va limiter le phénomène d’écho.
Pour atténuer les effets des vibrations acoustiques, Auguste Perret a choisi de revêtir le béton de feuilles de contreplaqués en bois d’okoumé de 4 mm d’épaisseur percées d’ouïes, distantes de 3 cm des parois. Ce revêtement permet de créer des chambres de résonance qui emprisonnent les vibrations.

Avec plus de 160 concerts chaque année, c’est un lieu unique en son genre, tant pour la musique que l’on y produit que l’ensemble architectural qu’elle constitue. Depuis 1987, la salle Cortot est classée Monument Historique.

Salle Cortot
78 rue Cardinet, 75017 Paris

Métro : ligne 3, station Malesherbes | ligne 2, station Monceau
Bus : lignes 31, 94
Voiture : parking Villiers, 14 avenue de Villiers

Réservation: http://www.lesamisdemarielaure.org

www.billereduc.com
Tarifs: 30€, 20€, étudiants 10€

21
Fév

Voix du Bolchoï au Conservatoire Rachmaninoff

   Publié par: artcorusse   dans Evenements

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Les Jeunes voix russes du Bolchoï ”

 

Dimanche 24 mars à 16h30

Lundi 25 mars à 20h

 

 

Conservatoire Russe de Paris Serge Rachmaninoff

 

Elizabeth Vidal et André Cognet, directeurs artistiques du CALM, consultants de technique vocale du Bolchoï de Moscou, s’associent pour la 7ème année à cette célèbre institution pour vous faire entendre, en primeur, les futures jeunes stars lyriques qui y sont sélectionnées. La trentaine de voix russes que le public français a pu découvrir par nos concerts « Grandes voix de demain » les saisons passées ont fait leurs vrais débuts européens chez nous, sur la région Alpes-Côte d’azur et sont maintenant acclamés sur les plus grandes scènes du monde.  En Mars prochain, trois nouvelles grandes voix viendront vers vous avec un répertoire à la fois virtuose et festif.

Réservez vos places dés maintenant

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Historique du Conservatoire

1859 Création de la Société Musicale Impériale Russe à Saint-Pétersbourg pour contribuer au rayonnement de l’art musical et théâtral russe.
1862/1866 Création des Conservatoires de Saint-Pétersbourg et de Moscou.
1923 Création du Conservatoire Russe de Paris, par un groupe d’anciens professeurs des conservatoires impériaux de Russie. Parmi les fondateurs, nous pouvons citer CHALIAPINE, GLAZOUNOV, GRETCHANINOFF, RACHMANINOFF, premier Président d’honneur du Conservatoire.

1931-1932 Le Conservatoire passe sous l’égide de la Société Musicale Russe nouvellement créée à Paris, pour continuer l’oeuvre de l’ancienne Société Impériale Russe de Musique.
Depuis 1932 HOROWITZ, MILSTEIN, PIATIGORSKY, BOROVSKY… ont contribué au rayonnement du Conservatoire en y donnant des concerts.
1983 La Société Musicale Russe en France est reconnue d’utilité publique.

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Conservatoire russe de Paris Rachmaninoff

26, Avenue de New York, 75116, Paris

Métro: Iéna ou Alma-Marceau.

Tarif unique: 40€

Téléphone : 01 47 23 51 44

Réservation effective à réception du règlement (chèque ou espèces).

Secrétariat : secrachma@hotmail.fr

 

20
Fév

Exposition “Graphisme appliqué” au CSCR

   Publié par: artcorusse   dans Brèves

Exposition

“Le graphisme appliqué d’art russe”

Centre spirituel et Culturel Russe de Paris

du vendredi 15 février au lundi 4 mars 2019

 

L’exposition provient de la collection de la famille Bagitchev, consacrée à l’art graphique industriel russe et soviétique du premier tiers du XXème siècle, démontrant le développement de l’imprimerie et du graphisme dans l’industrie de l’emballage de la Russie. La principale particularité de la communication en est la présentation des premières impressions industrielles. Certaines sont très rares étant en exemplaire unique et d’autres avaient été créées par les fondateurs du constructivisme Alexandre Rodchenko et Vladimir Malakovski.

L’exposition présente des aspects de la vie quotidienne au début du XXème siècle et permet de constater des changements des années 1920-1930, d’apprendre et de comparer les particularités des conditions matérielles: la manière de s’habiller, de boire et manger, se laver, se soigner et beaucoup d’autres encore.

Le “design” reflète l’époque difficile de l’Union Soviétique, avec les rêves paisibles du début du XXème siècle suivi de la période de guerre, de famine, de parades pour la création de la société socialiste.

Au cours de cette période apparaissent des produits étranges comme le café de copeaux,  de raisins, de glands, d’avoines, le café pour enfants, le thé de carottes.

L’on voit apparaître l’incarnation du style art nouveau, nommé en Russie “Art moderne”. Les œuvres de Rodtchenko, et de Maïakovski, en tant que peintre que poète,qui reçurent la médaille d’argent lors de l’Exposition Universelle de 1925.

Dès 1930 le constructivisme remplace le réalisme sociliste, montrant la vie paisible, le travail du euple, le chemin vers une vie nouvelle et meilleure, d’exalter les exploits des héros, pour le bohneur de tous. Combinant le réalisme  socialiste avec le romantisme soviétique.

Le sport, les découvertes en Articque, le développement agricole et industriel, la fraternité et les peuples de l’Union Soviétique avec le ouvriers et les kholkosiens.

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Centre Culturel et Spirituel Orthodoxe Russe

Entrée, quai Branly, 75007 Paris

Métro : Alma Marceau,  RER Pont de l’Alma

Ouvert tous les jours sauf le lundi de 11h à 13h et de 14h à 18h

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17
Fév

Les Lunes, de M. Tsvetaeva, Théâtre de l’Épée de Bois

   Publié par: artcorusse   dans Brèves

 

15 représentations exceptionnelles

” Les Lunes”

d’après Marina Tsvetaeva

du 7 au 24 mars 2019

 jeudi au samedi à 20 h 30, samedi et dimanche à 16 h

Théâtre de l’Épée de Bois, Vincennes

Adaptation et mise en scène: Isabelle Hurtin

Conception ombres: Marie Vitez, Son: Lionel Erpelding, Lumières: Jean Grison, Régie: Chloé Coquilhat et Kévin Chemla.

Acteurs : Ilham Bakal, Coco Felgeirolles, Inès Hammache, Isabelle Hurtin, Fanny Jouffroy, Olivia Machon, Yasmine Modestine, Maeva Pinto Lopes et Marie Vitez

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“Après avoir émigré près du canal Saint Denis à Paris XIX°, Meudon, Clamart, puis Vanves, Marina loue une sobre chambre de l’hôtel Innova, au 32 Bd Pasteur, à Paris. C’est là que l’histoire commence. Ce matin là, dans sa “maison d’exil”, elle, ouvre la fenêtre: Neuf estampes d’elle vont vivre, interprétées par neuf actrices uniques. Ombres des voyages, des amours, de passions, de la créativité.

Comme chaque jour on ouvre les yeux sur le rêve. Comment le quotidien d’une personne engendre une danse perpétuelle entre le concret et l’abstrait. La nécessité d’être soi, et d’accomplir en même temps un trajet artistique, quel qu’il soit. Ce sont des forces qui parfois s’harmonisent et qui parfois s’entrechoquent. La lune chasse leurs pnsées dan la maison.”

La vie de Marina, est tranfigurée par l’art. Et si son œuvre “n’est rien” dit-elle, sa vie à la même vitesse. Une impatiente d’autre chose…

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Le Théâtre de l’Épée de Bois est installé depuis 1972 à La Cartoucherie du Bois de Vincennes à Paris. En 1969, Antonio Diaz-Florian reprend le théâtre de l’Épée de Bois dirigé par Tania Balachova qui était situé à l’époque à Paris, rue de l’Épée-de-Bois dans le 5ᵉ arrondissement au coin de la rue Mouffetard.

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Théâtre de l’Épée de Bois

Cartoucherie, Route du Champ de Manœuvre

75012, Paris

Tarifs : 22 €      Plein Tarif
               15 €      Tarif Réduit 1
               12 €      Tarif Réduit 2
               10 €      Tarif Réduit 3 Enfants (moins de 12 ans) et groupes scolaires

Réservation: 01 48 08 39 74

Métro:

Château de Vincennes (ligne 1). Sortir en tête de ligne,  prendre la navette Cartoucherie (gratuite) garée sur la chaussée devant la station de taxis (départ toutes les quinze minutes, premier voyage 1h avant le début du spectacle) s
En voiture : A partir de l’esplanade du château de Vincennes, longer le Parc Floral de Paris sur la droite par la route de la Pyramide. Au rond-point, tourner à gauche (parcours fléché).

Bus: devant la sortie du métro: 117,  arrêt Cartoucherie.

17
Fév

Gén. A. A. Alymov, “Novatchine” auto-édition G. Popoff

   Publié par: artcorusse   dans Livres

Souvenirs de la guerre russo-turque

1877-1878

 

Lorsque la Révolution éclate en Russie les familles Alymov et Popoff ne se connaissaient pas. L’un était général-lieutrenant de l’armée impériale, l’autre un haut fonctionnaire chargé de la construction du Transibérien. La guerre civile jette les deux familles sur les routes de l’Orient, trouvant le salut en Mandchourie, là un grande amitié va naître entre ces deux familles à Harbine. Le père de l’auteur de cet ouvrage et le fils du général ne se quitteront plus et sont arrivés ensemble, pour s’installer à Paris en 1924. Et c’est tout natrurellement qu’Alexandre Alymoff acceptera d’être son parrain.

Les souvenirs du général-lieutenant Apollinaire Alexandrovitch Alymov ( 1857-1934) sous le titre de “Novachine”, petite village en Bulgarie, sont consacrés à la guerre russo-turque des années 1877-1878. A partir de documents découverts dans les archives des anciens officiers de régiment de la Garde impériale des dragons, dessinant les exploits militaires et de la vie quotidienne …

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L’édition a été réalisée avec le soutien de la socièté des amateurs d’antiquit de Novgorod et de la filiale de Novgorod de la société historique de Russie. Traduit en français par Xénia Yagello.

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Nombre de pages 95.

Prix: 15 € plus frais de port

ISBN978-2-9559823-0-3

Commande auprès : georges.popoff@gmail.com

 

 

17
Fév

Remise du Prix Russophonie 2019

   Publié par: artcorusse   dans Informations

Cérémonie officielle de remise du

13ème Prix Russophonie

Samedi 16 février 2019

Le Prix Russophonie est un prix qui récompense la meilleure traduction d’un ouvrage littéraire du russe en français, quelle que soit la nationalité de son auteur. Le jury est composé d’universitaires, des journalistes et d’écrivains.

Le jury 1019 était composé de : Elène Balzamo, Gérard Conio, Françoise Genevray Natalia Jouravliova et Irène Sokologorsky, avec Christine Mestre, directrice du Prix Russophonie.

Sculpture originale du sculpteur Victor Kriouchkov .

Créé en 2006 à l’initiative de la Fondation Eltsine et de l’Association France-Oural, le Prix Russophonie a pour ambition de contribuer à promouvoir la littérature en langue russe, à mieux faire connaitre ses acteurs : auteurs, traducteurs, éditeurs et à créer un lien culturel fort entre la Francophonie et le monde russophone.

 

Les Cinq traducteurs sélectionnés pour le prix avec les membres du jury lors de la remise du Prix: Sophie Benech, Marie-Luisa Bonaque, Hélène Henry et de Frère Bertrand Jeuffran.

Cette année trois anciennes lauréates au palmarès sont avec deux nouveaux venus, tous deux issus d’une maison d’édition renaissante qui vient s’ajouter à celles récemment crées (Louison, Mirobole, Augullo, Macha Publisching) et qui donnent toutes les raisons d’envisager avec confiance l’avenir de la littérrature russe en France… ( Christine Mestre, directrice du Prix Russophonie).

La remise du prix s’est déroulée en présence du ministre conseiller auprès de l’ambassade la Fédération de Russie, Monsieur Artem Studenniko.

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Du directeur du Centre Russe pour la Science et la Culture  Monsieur Constantin Volkov.

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Et de Madame Florence Berthout, maire du Vème arrondissement.

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Dimitri de Kochko, Président de France-Oural remettant le prix à Christine Zeytounian-Beloüs en présence de Grisha Bruskin.

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Christine Zeytounian-Beloüs, lauréate 2019.

Christine Zeytounian-Beloüs, régulièrement présente au palmarès, est lauréate en 2019 de son 2ème Prix Russophonie pour “ L’IMPARFAIT du TEMPS PASSÉ “ de Grischka Bruskin. Christine Zeytounian-Beloüs, est née à Moscou. Sa famille s’installe en frane alors qu’elle avait 6 ans. Elève de l’École Normale Supérieure, elle choisit de se consacrer à la littérature. Elle publie de nombreux textes de poèsie en russe et en français dans des revues et des recueils collectifs et un recueil “Khiscnye dni“. Elle est membre du groupe poètique russe DOOS, elle est l’auteur de très nombreuses traductions, de la littérature classique et contemporaine dont V. Makanine ( le Retardataire, l’Intermède, La Brêche…..) Elle est également peintre et illustratrice, pour les éditions Flammarion, La Différence et de nombreux journaux.

 Christine Zeytounian-Beloüs

En décernant cette année ce Prix au livre de Grisha Bruskin, le jury à choisi une œuvre qui répond au principal critère de sélection, à savoir la convergence entre la qualité du texte et la qualité de la traduction.

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L’Imparfait du temps passé appartient à cette forme de récit qui dans le monde russe s’inspire de la tradition orale, part d’un « discours improvisé » : réel, imagination, histoire, mythologie et religion, humour, larmes et nostalgie… tout élément se fond dans une infinie tendresse humaine. Cette promenade dans le temps passé s’ouvre sur un questionnement fondamental pour tous ceux qui se sont jamais posé la question d’écrire.

Plasticien, Grisha Bruskin vit entre New York et Moscou. Il expose dans le monde entier ses tableaux, tapisseries, installations, sculptures qui tissent un lien esthétique original entre le monde soviétique, judaïque et occidental. Deux de ses livres sont publiés en France : Comme au cinéma (Ed. La Baconnière, 2016) et L’imparfait du temps passé 324 épisodes de la vie d’un artiste russe, récit d’une forme typiquement russe (le skaz) qui s’inspire de la tradition orale où se mêlent réel, imaginaire, histoire, mythologie, humour et nostalgie, faisant affleurer tout un monde spirituel.
Le jury a également rendu hommage aux traducteurs de La Roue rouge d’Alexandre Soljenitsyne, Geneviève et José Johannet, relayés par Françoise Baqué-Louge, Jean-Paul Sémon et Anne Coldefy-Faucard. Soljenitsyne aura quasiment mis sa vie d’auteur à écrire ce roman historique monumental dont la traduction, tâche ardue et titanesque, aura duré pratiquement 40 ans.

« Dans ma jeunesse, écrit Bruskin, lisant mes livres préférés, je pensais souvent : “Ces auteurs ont vraiment de la chance d’avoir connu une enfance si marquante et riche en événements. Une vaste source d’inspiration pour leur œuvre littéraire.” Je me disais : “Si l’envie me prend d’écrire un livre, que pourrais-je donc tirer de ma vie d’enfant, tellement ordinaire et banale ?” » Mille choses extraordinaires, répond le lecteur, telles qu’elles lui sont apparues au cours de cette confession sentimentale et artistique : trahisons de l’enfance, premier dessin du père de la nation, Staline, les quatre sœurs aînées, premières amours, camps de pionniers socialistes…

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Madame Florence Berthout, maire du V ème arrondissement, félicitant Christine Zeytounian-Beloüs en présence de monsieur Dimitri de Kochko, Président de France-Oural, organisateur du Prix Rusophonie et des 10èmes Journées Européennes  du Livre Russeet des Littératures Russophones.

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15
Fév

Contes russes de Krilov, éditions Natania

   Publié par: artcorusse   dans Livres

Éditions Natalia

Fables en Basni

éEditions bilingues de NATANIA

“La poule aux œufs d’Or” ” Скупой и курица”

” Le corbeau et le renard” ” Ворона и лисица ”

” Fables en Basnie ”

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Ivan Andreïevitch Krylov ( Иван Андреевич Крылов), né en 1769 à Moscou, mort en 1844 à Saint Pétersbourg, écrivain poète et fabuliste russe.

Les premières fables de Krylov, inspirées d’Ésope et de Jean de Lafontaine parurent au nombre de 23 en 1809. Il connut enfin une certaine reconnaissance. De 1812 à 1841, il obtient un poste à la bibliothèque impériale de Saint-Pétersbourg, ce qui lui permet d’assurer son quotidien. En 1811, il devient académicien et reçoit une médaille d’or pour ses fables. En 1838, on organise pour lui une grande réception jubilaire et l’empereur Nicolas Ier lui octroie une pension à vie. Il est en pleine gloire.

À sa mort en 1844, sa popularité est grande dans tout l’Empire : ses dernières 197 fables venaient de paraître. Les familles prisaient son mélange d’humour et de sagesse. Sa langue est idiomatique, simple, directe et de qualité. C’est encore aujourd’hui un auteur incontournable pour la jeunesse russophone.

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Nbr de pages: 120 страниц
Format: Формат 17×24
Prix: Цена 18 €
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Sortie pour les 10èmes  Journées du Livre Russe
et des Littératures Russophone
16 et 17 février, Mairie du Vème arrondissement de Paris

 

13
Fév

L’Hydre Rouge, Éditions Amalthée

   Publié par: artcorusse   dans Livres

PARUTION en FÉVRIER 2019

Éditions Amalthée

 

« Installé dans un fauteuil, baigné dans le faible halo d’une lampe du salon, regardant le haut des arbres du parc se confondre petit à petit avec le ciel dans le jour déclinant, il revoyait le “dvornik” balayant la neige, et cette fin de journée si particulière tant d’années plus tôt, mais qui préludait jour pour jour à des bouleversements incommensurables. » Nous sommes en 1917. Serge, un jeune homme proche de la famille impériale, est jeté brutalement dans la tourmente de la révolution russe. Telle l’Hydre de Lerne, serpent aux sept têtes repoussant au fur et à mesure qu’on les lui coupait, l’hydre rouge bolchevique s’impose au mépris de la volonté populaire, par la force et la violence de plusieurs années d’une guerre civile fratricide. Dans ce roman, Patrick Waravka livre un récit dramatique et poignant, basé sur des faits réels et une histoire authentique, de la révolution russe à la guerre civile qui suivit, entre 1917 et 1921.

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L’auteur

Patrick Waravka est né en Charente-Maritime en 1942, de père russe et de mère française. Il vit et travaille en Normandie. Artiste peintre, il est aussi un écrivain émérite, auteur de textes poétiques et de différents articles parus dans des revues, journaux et magazines d’art.

« Ce livre retrace ce qu’a vécu mon père entre 1917 et 1921. Il avait 23 ans lors de la révolution socialiste de février. Il a assisté ensuite à la Révolution d’Octobre, gagnée par les Bolcheviques, indique l’auteur qui s’est longuement documenté, après avoir noté avec soin les souvenirs de son père. Pendant la guerre civile, il a été blessé deux fois et emprisonné pour ses idées. En 1921, il s’est retrouvé en Crimée où stationnaient encore des officiers allemands. Il a pu entreprendre la traversée dans des conditions rocambolesques vers la Turquie où il a de nouveau connu la prison. Une fois libéré, il a gagné Prague où il a fait son droit à l’Université Charles. Il avait fait le trajet sans papiers, dans un wagon à bestiaux avec des marchandises. En 1927, il arrive à Paris et perd sa femme en 1929. Il attendra 1940 pour se remarier avec ma mère, qu’il a connue en France. »

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Édition Amalthée

Prix: 25€ – 508 pages

Disponible sur ebook: 9,99€

ISBN: 978-2-310-03923-9

13
Fév

Journées Européennes du Livre Russe 2019 Mairie du V°

   Publié par: artcorusse   dans Evenements

 10èmes Journées Européennes

du Livre Russe et des Littératures Russophones

 « Itinérances  littéraires  –

Voyageurs  entre Est  et  Ouest »

Samedi 16 et dimanche 17 février 2019

Entrée libre de 11 h à 21 h

Y Artcorusse vous accueillera sur son stand Z

 

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Un large programme de tables-rondes, conférences, rencontres et présentation d’ouvrages sera proposé au public ainsi que des ateliers de traduction, expositions et lectures bilingues. L’association Française des Russisants remettra également son prix annuel destiné aux élèves des écoles, collèges et lycées. Pour la 13e fois, le Prix Russophonie, qui récompense la meilleure traduction littéraire du russe vers le français, dévoilera son lauréat le samedi en fin de journée.

Un salon du livre réunit traditionnellement libraires, maisons éditions, auteurs indépendants et associations franco-russe.

De nombreux écrivains, russes, russophones et francophones participent à notre manifestation. Des séances de dédicaces sont proposées après chaque intervention sur les stand des éditeurs et libraires présents sur notre salon.

Mme Florence Berthout maire du V° arrondissement de Paris avec Dimtri de Kochko président de France-Oural

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EN AVANT-PREMIERE

MARDI 12 FÉVRIER A 18h30

Centre de Russie pour la Science et la Culture 61, rue Boissière – 75116 PARIS

Métro:  Victor Ugo, et Boissière.

TABLE-RONDE AUTOUR DE L’ŒUVRE DE TCHINGUIZ AÏTMATOV

Je suis khirghiz, russe, soviétique, Je suis russophone”,  Tchinguiz Torékoulovitch Aïtmatov, né en 1928 au Kirghizistan, mort en 2008 à Nuremberg (Allemagne), écrivain. Il devient en 1985 conseiller de Mikhaïl de Gorbatchev. Il est nommé ambassadeur de l’URSS puis de la Russie au Luxembourg  jusqu’en 1994. Député du Soviet suprême de l’Union Soviétique de 1966 à 1989. Après l’indépendance du Kirghizistan en 1991, Tchinguiz Aïtmatov devient un personnage dominant sur la scène politique. De 2000 à 2008, il est ambassadeur de son pays, en résidence à Bruxelles, auprès de la Belgique, de la France, du Luxembourg et des Pays-Bas. Tchinguiz Aïtmatov a été le parrain du 1er Prix Russophonie en 2006.

Table ronde, avec René Cagnat, Francis Combes, Esnest Otorbaev et Irène Sokologorsky.

Au fil du temps la Russie n’a jamais cessée d’attirer la curiosité des écrivains français. Côté russe, l’intérêt pour la France est également très fort. L’intelligentsia et l’aristocratie russes ont considéré la France, et notamment Paris, comme lieu de pélerinage incontournable.

” La langue russe, c’est important pour les russes, mais pour nous c’est plus important encore.”

Merci de confirmer votre participation
au 09 83 66 40 77 ou par mail : france.oural@gmail.com

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JEUDI 14 FEVRIER A 20h

CINÉMA AU GRAND ACTION

“24 NEIGES” – film consacré à la Iakoutie 2, Rue des Écoles – 75005 PARIS

 

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Horaires et lieux des activités

Samedi 16 février

Dimanche 17 février

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“LES VOYAGES DE LA DIASPORA RUSSE À TRAVERS LE MONDE (1918 – 1938)”

Photographies proposées par Andreï Korliakov

PAMIR TADJIK : Habitants des fonds de vallée: : PAMIRIS ET KYRGYZS (photos de René Cagnat, Laure Sourdin et Frédéric Mayot.

Les Pamiri, fidèles ismaëliens de l’Aga khan et proches physiquement et mentalement des Européens, connaissent au fond du Pamir une existence très difficile. Alors que leur survie est menacée par l’émigration, le trafic de drogues, les rigueurs du climat et de l’altitude, le pouvoir tadjik manifeste à leur encontre une extrême rigueur.

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LELA MIGIROV : Tableaux du cycle consacré à Georges Pérec.

L’artiste Lela Migirov appartient au cercle exclusif des meilleurs artistes contemporains de l’année 2018. Elle nous fait l’honneur de présenter quelques- unes de ses oeuvres aux Journées du Livre Russe.

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Dessins d’enfants : LE VOYAGE EN RUSSIE (Kungur)

Hélène Texier présidente de l’association Kungur devant les dessin des enfants .

Ces dessins ont été réalisés dans le cadre d’un concours organisé par l’association « Pour Kungur» en collaboration avec la bibliothèque de Kungur (région de Perm – Oural).


Pour Kungur est une association de soutien à la maison des enfants de Kungur (Russie) créée par le collectif de familles ayant adopté dans cet orphelinat, ou en cours d’adoption.

SOIRÉE CINÉMA

Le Grand-Action – 5, rue des Ecoles 75005 PARIS

Jeudi 14 février à 20h

“24 NEIGES”

Film documentaire russe (2015) de Mikhaïl Barynin – Avant-première française En présence du réalisateur, Mikhaïl Barinine.

Tarif : 9.50€ – Tarif réduit 7.50€ (cartes UGC et membres Rivages Russie Evénements et France-Oural)

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Samedi 16 février à 13h30 – Salle des Fêtes

Conférence

 

Comment choisir les mots ? Rencontre avec Nathalie Komarova-Gigounova, auteur du livre. Française d’origine russe, traductrice, professeur de russe et spécialiste des échanges interculturels et transnationaux.

Elle présentera ses ouvrages d’apprentissage du russe dont le côté ludique permettant d’aborder la langue avec légèreté à travers proverbes, dictons et devinettes et par le biais de nombreuses locutions et tournures idiomatiques et trois ouvrages bilingue de contes de Ivan Krilov.

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CONCERTS DES JOURNÉES DU LIVRE RUSSE

Samedi 16 février à 18h40 – Salle des Fêtes

Traduire en chansons avec Natalia Balachova et Igor Shynov.

Natalia Balachova

Les espaces russophone et francophone se traduisent aussi en chansons. Natalia Balachova et Igor Shpynov établiront au cours de cette soirée les ponts entre Brassens et Okoudjava, Brel et Vissotsky et tant d’autres bardes de ces espaces de culture et de langue.

Igor Alexandrovitch Shpynov

Dimanche 17 février à 18h

Russophonie et Francophonie : Dialogue et Création

Dialogue musical russo-français avec Aminata Alenskaïa, piano, et Alina Synelnikova, soprano lyrique. Elles célébreront l’alliance musicale russo-française en interprétant des oeuvres de Bizet, Gounod, Debussy, Tchaïkovsky, Medtner.

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Création originale – rencontre musicale entre le piano, la harpe celtique et la kora malienne, avec François Pernel, harpe celtique, Seyba Sacko, kora malienne, et Sylvain Wurmser, piano.

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Samedi 16 février à 18h – Salle des Fêtes

Cérémonie officielle de remise du 13ème Prix Russophonie

 

Le Prix Russophonie est un prix qui récompense la meilleure traduction d’un ouvrage littéraire du russe en français, quelle que soit la nationalité de son auteur. Le jury est composé d’universitaires, des journalistes et d’écrivains.

Créé en 2006 à l’initiative de la Fondation Eltsine et de l’Association France-Oural, le Prix Russophonie a pour ambition de contribuer à promouvoir la littérature en langue russe, à mieux faire connaitre ses acteurs : auteurs, traducteurs, éditeurs et à créer un lien culturel fort entre la Francophonie et le monde russophone.

Remise du prix en présence du ministre conseiller auprès de l’ambassade la Fédération de Russie Monsieur Artem Studennikov et directeur du Centre Russe pour la Science et la Culture  Monsieur Constantin Volkov et de Madame Florence Berthout maire du Vème arrondissement.

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Les Cinq traducteurs sélectionnés pour le prix:

Sophie BENECH pour “Voleur, espion et assassin” de Iouri Bouïda (Ed. Gallimard).

Iouri Bouïda nous livre avec Voleur, espion et assassin une autobiographie d’envergure. 
De son enfance d’après-guerre dans la région de Kaliningrad jusqu’aux premiers bouleversements de la perestroïka, Bouïda n’évoque jamais la violence et la désolation du quotidien sans recours au burlesque : des toilettes gelées, de l’érotisme au milieu de ruines teutoniques et des discours que plus personne n’écoute. Puisque la plupart des autres préfèrent la vodka, notre héros monte rapidement l’échelle sociale. 

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Maria-Luisa BONAQUE pour “Prague Nuit rouge” de Pavel Pepperstein (Nouvelles Editions Place).

Ilya Korolenko, la quarantaine, tueur à gages. Une brute ? Pas exactement : un “killer” poète, dont le cerveau voit jaillir des poèmes quand il a le doigt sur la détente. Et avec ça, chercheur en sciences humaines à ses heures perdues, et qui n’en peut plus d’assassiner pour de l’argent. C’est au nom d’une grande et noble cause qu’il brûlerait de tuer. Or, la démolition par des promoteurs immobiliers rapaces d’une vieille et fascinante demeure moscovite le met hors de lui. Et Prague dans tout cela ? Attendez, il vous y emmène, vous y promène, et vous assisterez même à un colloque loufoque sur le Printemps de Prague, justement. Le voyage se corse avec l’apparition d’une jeune Américaine altermondialiste, fille d’un magnat véreux qui commandite à Korolenko un double assassinat à Moscou. Bon, et la nuit, dans tout cela ? Eh bien, elle se trame, et à mi-roman, ce polar déjà peu ordinaire bascule dans une fantastique nuit des dieux slaves, qui s’achèvera par l’irrésistible ascension du héros au-dessus de la Cité aux toits d’or…

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Hélène HENRY pour “La cartothèque” de Lev Rubinstein (Ed. Le Tripode)

“Au milieu des années 1970, j’ai inventé un genre personnel, le texte-sur-fiche , qui répondait alors chez moi à un besoin de surmonter la force d’inertie de la page. Ce genre a montré une vitalité qui m’a étonné moi-même, se révélant capable d’importants développements et modifications internes.”

En 1975, bibliothécaire à Moscou, Lev Rubinstein écrit des poèmes de forme classique. Il sait par cœur, en bon intellectuel de sa génération, Pouchkine et Mandelstam (il y ajoute Tolstoï, qu’il admire). Il prête l’oreille au langage des rues et des marchés (langage cuit de l’homo sovieticus), et hante les ateliers et les cuisines où, en ces années de stagnation, se discute et s’élabore l’art non-officiel. C’est alors qu’il invente, dans une logique que lui dicte son temps, un nouveau « genre artistique » : la « mise en fiches ».
Elle devient la signature de Rubinstein. L’idée de segmenter son texte en l’inscrivant, phrase après phrase, sur de simples fiches perforées, lui a été suggérée par son quotidien de bibliothécaire, par les pratiques picturales de démultiplication du Pop Art américain, et par l’espoir qu’un discours donné à « voir » en pièces détachées serait capable de réveiller le lecteur-auditeur engourdi par le soviétisme ordinaire.

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Frère Bertrand JEUFFRAIN pour “L’enfant de sucre” d’Olga Gromova (Ed. des Quatre Vivants)

L’enfant de sucre est un vrai conte de fées. C’est, si l’on veut, une suite de miracles. Et l’ultime miracle est peut-être la rencontre de Stella, déjà âgée, avec l’écrivaine Olga Gromova qui nous relate cette incroyable histoire.Stella et sa mère sont arrêtées à Moscou, en 1936, et envoyées dans un camp de Kirghizie destiné aux familles de traîtres à la patrie. Ce n’est que le début d’une suite d’épreuves que la mère et la fille vont traverser avec un immense courage. Le livre d’Olga Gromova, sans parler de son fondement documentaire, est une œuvre artistique remarquable. Il ne nous fournit pas de recettes de survie, mais retrace la destinée de deux créatures fragiles qui ont survécu dans des conditions inhumaines grâce à leur courage et à leur compassion envers autrui. C’est une leçon sur la victoire que de petits individus remportent ensemble sur un Mal puissant. Et cette leçon est capitale pour nous tous. C’est un repère pour la mémoire.

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Christine ZEYTOUNIAN-BELOÜS pour “L’imparfait du temps passé” de Grisha Bruskin (Nouvelles Editions Place).

L’Imparfait du temps passé appartient à cette forme de récit qui dans le monde russe s’inspire de la tradition orale, part d’un « discours improvisé » : réel, imagination, histoire, mythologie et religion, humour, larmes et nostalgie… tout élément se fond dans une infinie tendresse humaine. Cette promenade dans le temps passé s’ouvre sur un questionnement fondamental pour tous ceux qui se sont jamais posé la question d’écrire.

« Dans ma jeunesse, écrit Bruskin, lisant mes livres préférés, je pensais souvent : “Ces auteurs ont vraiment de la chance d’avoir connu une enfance si marquante et riche en événements. Une vaste source d’inspiration pour leur œuvre littéraire.” Je me disais : “Si l’envie me prend d’écrire un livre, que pourrais-je donc tirer de ma vie d’enfant, tellement ordinaire et banale ?” » Mille choses extraordinaires, répond le lecteur, telles qu’elles lui sont apparues au cours de cette confession sentimentale et artistique : trahisons de l’enfance, premier dessin du père de la nation, Staline, les quatre sœurs aînées, premières amours, camps de pionniers socialistes…

Le Prix Russophonie 2019 sera remis dans le cadre des 10e Journées européennes du livre russe et des littératures russophones dans les salons de la Mairie du Vème arrondissement de Paris en présence de son Excellence l’Ambassadeur de Russie en France Alexeï Meshkov et de Madame Florence Berthout, maire du Vème arrondissement de Paris.

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Rencontre avec les traducteurs des ouvrages sélectionnés par le jury du Prix Russophonie 2019, à 14h dans la Salles des Mariages.

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Samobar

Lieu privilégié de rencontres entre le visiteurs de ces journées avec les écrivains, et les participants.

Le Samobar, situé au 2e étage de la mairie, vous accueille tout au long des Journées et vous propose, comme chaque année, un assortiment de boissons et de spécialités russes.

Plus de renseignements: ( CLIQUEZ )

Entrée libre durant ces 2 jours.

Stand d’Artcorusse

 

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Mairie du 5e arrondissement 

21 place du Panthéon – 75005 – Paris

Ouvert samedi et dimanche de 10h à 21h

Contact : contact.france.oural@gmail.com – Tél:  +33 9 83 66 40 77

Accès: RER Luxembourg

12
Fév

Cinéma russe à Verdun sur Garonne

   Publié par: artcorusse   dans Evenements

 

Jeudi 21 février

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Vendredi 22 février

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Samedi 23 février

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Dimanche 24 février

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PROGRAMME

Cinéma MJC 82

Verdun sur Garonne

Tél: 07 80 09 6964

10
Fév

Cinéma “L’Île” à La Datcha-Kalina

   Publié par: artcorusse   dans Evenements

Scéance de cinéma

” L’Île ” de Pavel Lounguine

Samedi 16 février 2019 à 17h

La Datcha-Kalina, Eiguille

Huitième film de réalisé en 2006, qui a clôturé le festival de Venise et a remporté le prix de l’Aigle d’or récompensant les films russes, ainsi que le prix Nika. Il a été tourné dans un village de Carélie.

Une plongée dans l’âme russe, Pavel Lounguine part à la découverte du trésor spirituel de l’orthodoxie. Ce film nous plonge au plus profond des ténèbres, la tendresse de Dieu réchauffe l’humanité. Un film russe… tout en intériorité.  Avec Piotr Mamonov, Viktor Soukhoroukov, Vika Issakova. (1 h 52).

Un monastère orthodoxe sur une île du nord de la Russie. Un moine perturbe la vie de sa congrégation par son comportement étrange. En effet, selon la rumeur, l’homme posséderait le pouvoir de guérir les malades, d’exorciser les démons et de prédire l’avenir… Le film aborde les thèmes de la rédemption et du pardon, à travers le parcours singulier d’un moine, le père Anatoli, vivant retiré sur une île au bord de la mer blanche au nord de la Russie, avec d’autres moines. Il devient par sa sagesse un héros, mais se considère indigne de l’intérêt qu’il suscite, souffrant d’avoir commis une terrible faute dans sa jeunesse.C’est en tout cas ce que croient les étrangers qui se rendent sur l’île. Mais le moine, qui souffre d’avoir commis une terrible faute dans sa jeunesse, se considère indigne de l’intérêt qu’il suscite…”

Le film aborde les thèmes de la rédemption et du pardon, à travers le parcours singulier d’un moine, le père Anatoli, vivant retiré sur une île au bord de la mer blanche au nord de la Russie, avec d’autres moines. Il devient par sa sagesse un héros, mais se considère indigne de l’intérêt qu’il suscite, souffrant d’avoir commis une terrible faute dans sa jeunesse.

Entrée libre sur réservation

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La Datcha Kalina

315, Chemin des Petites Fourques, 13510 Eguilles

Renseignements et inscriptions :
04 42 92 68 78 / 06 20 97 35 68

8
Fév

Table ronde autour de Tchinghuiz Aïtmatov

   Publié par: artcorusse   dans Brèves

MARDI 12 FÉVRIER A 18h30

En avant-première des

10èmes Journée Européennes

du Livre Russe et des Littératures Russophones

les 16 & 17 /02 / 2019

“TABLE-RONDE AUTOUR DE L’ŒUVRE DE

TCHINGUIZ AÏTMATOV”

 Centre de Russie pour la Science et la Culture

 

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Je suis khirghiz, russe, soviétique, Je suis russophone”,  Tchinguiz Torékoulovitch Aïtmatov,né en 1928 au Kirghizistan, mort en 2008 à Nuremberg (Allemagne), écrivain. Il devient en 1985 conseiller de Mikhaïl de Gorbatchev. Il est nommé ambassadeur de l’URSS puis de la Russie au Luxembourg  jusqu’en 1994. Député du Soviet suprême de l’Union Soviétique de 1966 à 1989. Après l’indépendance du Kirghizistan en 1991, Tchinguiz Aïtmatov devient un personnage dominant sur la scène politique. De 2000 à 2008, il est ambassadeur de son pays, en résidence à Bruxelles, auprès de la Belgique, de la France, du Luxembourg et des Pays-Bas. Tchinguiz Aïtmatov a été le parrain du 1er Prix Russophonie en 2006.

Table ronde, avec René Cagnat, Francis Combes, Esnest Otorbaev, Irène Sokologorsky et Dimitri de Kochko (Pdt de France Oural, cofondateur du Prix Russophoni).

Au fil du temps la Russie n’a jamais cessée d’attirer la curiosité des écrivains français. Côté russe, l’intérêt pour la France est également très fort. L’intelligentsia et l’aristocratie russes ont considéré la France, et notamment Paris, comme lieu de pélerinage incontournable.

”  La  langue  russe, c’est  important  pour  les  russes,

mais  pour  nous  c’est  plus  important  encore.”

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Centre de Russie pour la Science et la Culture

61, rue Boissière – 75116 PARIS

Métro:  Victor Ugo, et Boissière.

Merci de confirmer votre participation:
au 09 83 66 40 77 ou par mail : france.oural@gmail.com

Plus de renseignements sur les 10èmes Journées du livre russe: CLIQUEZ