Archive pour juillet 2019

Radio Russe, Russian Media Groupe

et SOVA Production.

mardi 13, mercredi 14  et jeudi 15 août

2019  à 20h

Espace Fontvieille, Monaco

L’animateur du festival, Dmitry Olenin,
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est l’un des présentateurs et animateurs les plus recherchés de Russie, le présentateur de la radio russe, dont la voix est connue et aimée par des millions d’auditeurs. 

Mardi 13 août

Les spectateurs du Festival entreront dans l’histoire ! Le festival présentera comme concert sur la Côte d’Azur Leningrad Band  ! Véritables icônes de la scène musicale russe, lauréats de nombreux prix musicaux, artistes exceptionnels, garantie d’un spectacle inoubliable !

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Mercredi 14 août,

La scène du Festival réunira trois divas qui sont au sommet de leur popularité :

LOBODA une véritable star lauréate de nombreux prix musicaux, qui vient de terminer avec succès sa tournée européenne.

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MARUV, l’une des principales découvertes de l’année, auteur-comositrice et interprète.

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Lena Temnikova, connue depuis longtemps par le public russophone.  Elle a fait partie du groupe Serebro.

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Jeudi 15 août 

Place aux hommes sur la scène.

Dima Bilan, artiste qui a conquis le cœur de l’Europe et est devenu le vainqueur de “Eurovision 2008”. Il a également été membre du jury de “The Voice. Russie”.

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Vous serez émus par chaque chanson romantique de EMIN qui sera une véritable déclaration d’amour !

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 Zemlyane Band qui célèbre cette année ses 40 ans, saura plaire comme toujours avec des nouvelles chansons. Le responsable et directeur musical en est Sergueï Skachkov. C’est un groupe de rock soviétique et russe, l’un des groupes les plus en vue de la période de VIA dans la musique soviétique, qui a introduit des éléments de la musique rock sur la scène soviétique.

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Espace Fontvieille
5, avenue des Ligures
98000 Monaco
TARIFS:

Abonnement pour 3 jours de concert: VIP*: 1 200 €, Premium: 500€, Basique: 220€

Parterre: 100€

Prix du billet pour chaque concert: VIP*: 500€, Premium: 250€, Basique: 100€,

Parterre: 50€

*VIP – le prix comprend: coin salon, service de bar à la carte, service de voiturier

SUPER VIP (pour groupes de 15 personnes) – 800 euros par personne. Pour plus d’informations sur ce tarif, appelez le 06 40 62 79 79

RÉSERVATION:
Russian Music Festival
https://www.billetweb.fr/rmf
Tél. : +33 763 95 33 33

Récital de piano Mariam Chitanava

Samedi 10 août 2019 à 19h

755, route de Gréasque – 13105 MIMET

 

Programme :

Bach, Chopin, Debussy, Milhaud, Rachmaninoff
Paganini, Liszt, Tchaikovsky, Pletnev.

Mariam Chitanava, une jeune pianiste de Moscou, elle est née en novembre 1998 de famille géorgienne, Mariam a commencé le piano à l’âge de 7 ans. Elle s’est montrée tout de suite très douée et fortement impliquée. Dès les années 2008 à 2013, alors qu’elle n’avait qu’entre 9 et 14 ans elle s’est présentée à de nombreux concours où elle a particulièrement brillé  lauréate de plusieurs concours nationaux et internationaux, y compris plusieurs Prix du Concours international de piano Nikolai Rubinstein à Paris, Prix du Concours international de piano Alexandre Scriabine à Paris, Prix du Concours International de piano “Jeunes virtuoses” à Zagreb.

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Contribution libre

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Méridion

755, route de Gréasque – 13105 MIMET

Renseignements et réservations :
04 42 92 68 78 / 06 20 97 35 68
Contacts : contact@datchakalina.com

Exposition organisée par

La Banque de Russie

250 ans de papier-monnaie russe ” .

 Jeudi 1er  au vendredi 30 août 2019

Rue Arbat et Boulevard Tverskoï, Moscou

Il présentera 30 photographies de billets de banque appartenant à la collection du musée de la Banque de Russie, illustrant l’évolution des méthodes de fabrication de l’argent. En outre, les visiteurs pourront voir des billets de banque modernes, démontrant le design et les avancées technologiques de nos jours.

L’ exposition Bd Tverskoï rassemblera des photographies de bâtiments (monuments historiques et culturels d’importance fédérale, régionale et locale) dans lesquelles se trouvent les institutions de la Banque de Russie.

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L’impératrice Catherine II a signé le manifeste sur l’établissement de “banques d’État pour l’échange de billets de banque” le 29 décembre 1768 (sur le nouveau style – 9 janvier 1769). Ce fut le début de la circulation de la monnaie de papier en Russie. Les premières notes ont été imprimées la même année 1769.
Le papier pour les premiers billets a été fabriqué dans une usine de papier à Krasnoe Selo, l’imprimerie du Sénat se livrant à l’impression. Et depuis 1818, la production de papier et l’impression de papier-monnaie ont été combinées dans une entreprise – l’Expédition de l’approvisionnement en papiers d’État (depuis 1919 – Goznak).

Les premiers billets – appelés assignations – ont été imprimés sous Catherine II. Les billets étaient devenus indispensables, car le Trésor manquait de pièces d’argent : le pays dépensait des sommes importantes pour ses besoins militaires et les notes étaient réglées en pièces d’or et d’argent, surtout avec les fournisseurs étrangers. La première émission s’est élevée à un million de roubles en billets de 25, 50, 75 et 100 roubles. Ces assignations se prêtaient facilement à la contrefaçon et les billets de 25 roubles devenaient souvent des billets de 75.

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1897 – Fin de la réforme monétaire qui a établi l’étalon-or, un système dans lequel l’unité monétaire est définie en référence à un poids fixe d’or. Les billets émis portaient l’inscription suivante : « La Banque nationale convertit les billets en or sans aucune restriction ».

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1898 – Année de parution, pour la première fois, de la plus grosse coupure d’un montant de 500 roubles.

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1907 – Sur fond de perfectionnement des moyens d’impression, l’Etat émet progressivement de nouveaux billets de 3, 5, 10, 25, 100 et 500 roubles.

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1912 – Une nouvelle coupure de 50 roubles paraît. Les dimensions du billet de 1912 sont de 275×126 mm

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1917 – Titres de compte du gouvernement soviétique. Après la Révolution d’Octobre de 1917, l’Empire russe a cessé d’exister. La République socialiste fédérative soviétique de Russie (RSFSR) se devait d’avoir sa monnaie. En 1919, elle émet de nouveaux roubles avec les armoiries de l’Etat. Officiellement, ce sont des « titres de compte » et non de l’argent, car le gouvernement soviétique se fixe pour objectif d’édifier une société communiste où l’argent n’existera plus.

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1921 – L’aspect du rouble a été simplifié pour des raisons d’économie.

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1922 – A cette date, l’émission de billets a pris une ampleur catastrophique. Le rouble se situant parmi les monnaies les plus faibles, les ménages les plus modestes comptaient l’argent en millions. Au final, le pays a créé un nouveau rouble en supprimant plusieurs zéros : 1 rouble de 1922 valait 10 000 anciens roubles. Les nouvelles coupures avaient une finition graphique plus soignée.

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1923 – Billets de l’URSS d’une valeur de 10 00, 15 000 et 25 000 roubles. Les billets sont frappés, pour la première fois, des armoiries de l’URSS (formée en décembre 1922) avec un ruban qui s’enroule six fois autour des épis, d’après le nombre de républiques regroupées au sein de l’Union soviétique. Les inscriptions sur les billets sont également faites en six langues : russe, biélorusse, ukrainien, géorgien, arménien et azerbaïdjanais.

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1924 – Rouble soviètique. Les billets de 1923 ont été rachetés à la population à raison d’un rouble d’or en billets de trésorerie contre 50 000 anciens roubles. A l’issue de toutes ces réformes, le pays a obtenu le rouble soviétique valant 50 milliards de roubles d’avant 1922.

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1925 – Les coupures de 3 et 5 roubles changent de look.

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1924 – Nouveau changement esthétique pour les billets de 1, 3 et 5 roubles. Ils comportent désormais la signature du commissaire du peuple des Finances, Grigori Grinko. Toutefois, ce dernier a été arrêté et il a été décidé de réémettre des billets de même valeur et de même apparence, mais sans sa signature.

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1938 – Les billets de 1, 3 et 5 roubles changent encore une fois de look et arborent les images d’un mineur, d’un soldat de l’Armée Rouge et d’un pilote. Les coupures de valeur supérieures sont nominées en tchervonets (monnaie intérieure valant 10 roubles).

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1947 – Réforme monétaire. Pendant la Seconde Guerre mondiale, la population recevait les produits alimentaires et ménagers contre des cartes de rationnement à des prix fixes. Suite à la réduction de la vente au détail, le pays comptait des billets superflus en circulation. Il a été décidé que 10 anciens roubles vaudraient 1 nouveau rouble. Le pays a émis plusieurs coupures d’une valeur allant de 1 à 100 roubles.

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1961 – L’argent, les prix et les tarifs sont évalués en nouveau rouble valant 10 anciens roubles. De nouvelles coupures, d’une valeur de 1 à 100 roubles, et des pièces sont mises en circulation. L’argent « version 1961 » a été celui qui a duré le plus longtemps de toute l’histoire de l’Union soviétique : jusqu’à la réforme du 23 janvier 1991.

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1991 – Réforme dont l’objectif est d’éliminer une masse fiduciaire superflue. Selon les projets, les coupures de 50 et 100 roubles de 1961 devaient être échangées contre des billets moins importants toujours de 1961 et des billets de 50 et 100 roubles de 1991. Toutefois, les conditions étaient strictes : pas plus de 1000 roubles par personne. Ceci a permis de retirer de la circulation 14 milliards de roubles en espèces.

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1992 – L’Union soviétique a cessé d’exister fin 1991, mais les billets à armoiries de l’URSS ont continué à être émis. 1992 a vu apparaître des coupures réactualisées d’une valeur de 50 à 1000 roubles : ce furent les derniers billets soviétiques.

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1993 – Unique moyen de paiement. Réforme monétaire qui a mis hors circulation les billets de toutes les émissions précédentes et reconnu en qualité d’unique moyen de paiement les coupures de la Banque de Russie de 1993.

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1995 – Le pays fait imprimer de nouveaux billets de 1000 à 500 000 roubles avec des changements au niveau esthétique et mieux sécurisés. Les coupures représentent des vues de villes russes comme Vladivostok, Novgorod, Krasnoïarsk, Saint-Pétersbourg et Moscou.

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1998 – Le pays a supprimé plusieurs zéros de sa monnaie et a imprimé de nouveaux billets de 5, 10, 50, 100 et 500 roubles.

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2013 – Mise en circulation d’un billet de 100 roubles avec la date « 2014 » consacré aux Jeux olympiques de Sotchi.

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2018 – Le 22 mai, un nouveau billet de banque commémoratif consacré à la Coupe du Monde de la FIFA 2018 a été lancé. Le revers de la nouvelle facture est un garçon avec un ballon de football à la main et un gardien de but dans un saut pour le ballon. La figure du gardien de but capture facilement l’image du célèbre footballeur russe Lev Yashin. Au verso du billet se trouve un ballon de football, stylisé en globe terrestre, sur lequel, outre les losanges habituels – pentagones, le territoire de la Fédération de Russie est mis en évidence en couleur.

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En outre, l’exposition «Maison de la banque» ouvrira ses portes le 1 er août . L’exposition sur le boulevard Tverskoï rassemblera des photographies de bâtiments (monuments historiques et culturels d’importance fédérale, régionale et locale) dans lesquelles se trouvent les institutions de la Banque de Russie.

Entrée est gratuite.

 

Un groupe de chercheurs de l’Institut de paléontologie de l’Académie des sciences de Russie et de l’Université fédérale de Crimée a découvert, les ossements d’un oiseau fossile géant,dans la grotte de Travrida en Crimé. la grotte a été trouvée près du village de Zuya dans le district de Belogorsk. Dans la grotte, des scientifiques ont découvert des restes d’ animaux préhistoriques – des os de mammouth, un mouton à cornes, un rhinocéros de Merck, une antilope et d’autres mammifères.Il pesait 450 kg et mesurait 3,5 mètres de hauteur, il ne volait pas. C’est un  Pachystruthio dmanisensis qui a disparu au Pléistocène.

Le fémur du Pachystruthio est comparé au même os de l’autruche africaine moderne (angles différents). Leurs liens familiaux ne sont toujours pas tout à fait clairs.

Le poids d’un oiseau est trois fois supérieur à celui d’une autruche africaine moderne, qui ne pese pas plus de 150 kilogrammes. La taille de la pachystruthio n’était pas inférieure à celle de Madagascar epiornis et elle surpassait également de manière significative les moas géants de Nouvelle-Zélande, dont le poids ne dépassait pas 270 kilogrammes.

L’âge de la découverte est estimé à environ 1,5 à 1,8 million d’années. Ainsi, les oiseaux géants pourraient exister simultanément avec l’homme antique. Selon les scientifiques, pachystruthio, malgré sa taille énorme, il cohabitait avec des prédateurs tels que les chats à dents de sabre, les hyènes géantes, dont les os ont également été retrouvés dans la grotte de Tavrida.

L’histoire évolutive du pachystruthio reste incertaine. Les scientifiques pensent que la disparition de cet oiseau au milieu du Pléistocène n’est guère due à l’exposition humaine, mais bien à l’évolution des conditions environnementales causée par le changement climatique.

Sortie en librairie

En suivant les Pères :

Vie et oeuvre

du père Georges Florovsky

de Jean Claude Larchet

Considéré comme l’un des plus importants théologiens orthodoxes de notre temp, le père George Florovsky (1893-1979) fit les plus grande partie de sa carrière aux Etats-Unis où il enseigna dans les plus grandes universités (Harvard, Cambridge, Princetone, …). Sa personnalité est empreinte d’une vaste érudition, un attachement profond à la tradition ecclésiale, un souci de répondre aux problèmes contemporains et un sens aigu du dialogue avec les autres confessions chrètiennes.

Cet ouvrage est centré sur deux thèmes majeurs de la pensées de Florovsky: la nature de la théologie et la nature de l’Église. Ces deux thèmes sont eux-mêmes axés sur la Tradition, laquelle tient dans l’œuvre de l’auteur une place essentielle; elle fait l’objet d’une conception renouvelée où l’indispensable référence aux Pères se conjugue avec la nécessité de répondre de manière adaptée aux besoins de chaque époque.

Écrits entre 1927 et 1967, les textes rassemblés ici gardent un caractère actuel, car le problème qu’ils évoquent continuent à exister, et les solutions proposées par Florovsky sont toujours pertinentes. L’étude de Jean-Claude Larchet qui accompagne les textes de Florovsky analyse les principaux thèmes de son œuvres, précise le sens de la pensée du grand théologien, et évalue son influence au cour des cinquante dernières années.

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Georges Florovsky (Георгий Васильевич ФлоровскийGueorgui Vassilievitch Florovski), né le 28 août 1893 ( 9 sept 1893 dans le calendrier grégorien) à Odessa, empire russe, il est mort le 11 août 1979 à Princeton (USA), théologien orthodoxe, pionnier du mouvement néo-patristique orthodoxe et du mouvement œcuménique. Il a été successivement professeur à l’institut St Serge de Paris, à à l’institut St Vldimir de New york, puis aux universités Harvard, Cambridge et Princeton.

Son père était prêtre orthodoxe,doyen de la cathédrale et recteur de l’Académie théologique, ce qui permit des rencontres avec des intellectuels de différents pays, il a appris l’anglais, l’allemand, le français, le latin, le grec et l’hébreu. À dix-huit ans, il a entrepris des études de philosophie et d’histoire. Après avoir enseigné pendant trois ans dans les écoles secondaires à Odessa, il obtient sa licence en 1919 et a le titre d’enseignant à l’Université d’Odessa. Il quitte en 1920  la Russie avec sa famille pour se rendre en Tchécoslovaquie, il y a  enseigner la philosophie du droit à l’Université de Prague, avec d’autres intellectuels russes en exil comme Nicolas Lossky. A Paris, en 1925, il est nommé professeur de patrologie à l’Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge, il est ordonné en 1932 prêtre. Ses années d’enseignement à Saint-Serge ont été jalonnées par la publication, en russe, de ses cours de patristique, et de l’une de ses œuvres majeures : Les Voies de la théologie russe. En conflit avec Serge Bolgakov, qui enseignait la dogmatique dans le même institut et développait une œuvre controversée dont le thème central était la sophialogie, Florovsky a quitté Paris et s’installe en 1948 à Crestwood, près de New York, où il est devenu en 1950 doyen du Séminaire de théologie orthodoxe Saint-Vladimir nouvellement fondé, il est nommé comme professeur d’histoire de l’Église orientale à l’Université Harvard, en 1954 jusqu’en 1964.

Père Georges Vasilievitch Florovsky et son épouse Xénia.

Parallèlement il enseigne au séminaire orthodoxe de Holy Cross à Boston de 1955 à 1959, et en 1964 il prend sa retraite et s’installe à Princeton, où il travaille comme professeur invité au département de théologie de 1965 à 1972.

Carte du père G. Florovsky à l’Université de Princeton

Durant toute cette période américaine, il a publié de nombreux articles, écrits pour la plupart en anglais. Engagé dans le mouvement œcuménique qui en était à ses débuts, il a participé à de nombreuses rencontres internationales. Il est décédé le 11 août 1979 à Princeton.

Il est enterré au cimetière orthodoxe de St Vladimir  à Trenton, comté de Mercer dans le New Jersey, avec son épouse Xénia (1893- 1977)

Tombe du père Florovsky et de son épouse Xénia (à Princeton

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Jean Claude LARCHET est né en 1949, dans une famille catholique, il s’est converti à l’Orthodoxie à l’âge 22 ans  théologien orthodoxe français, docteur en philosophie et en théologie, auteur trente livres traduits en dix-sept langues. Il est l’un des rares auteurs contemporains capables de combiner la rigueur scientifique et un sens vibrant de la vie intérieure de l’Église. Il a enseigné la philosophie pendant une trentaine d’années, développant parallèlement son œuvre patrologique et théologique, donnant des cours et des conférences et participant à des colloques dans de nombreux pays. Il vit dans le nord-est de la France où il est engagé depuis plusieurs décennies dans la vie de sa paroisse  comme président laïc et chef de chœur.

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Éditions Syrtes

Collection Spritualité Orthodoxe

496 pages Broché

Prix : 22€

EAN   978-2940628438

ISBN  2-940628-43-2

Exposition

«L’échelle dans l’esprit, la vie et l’art»

avec André et Vladimir Hofmann

Jusqu’au 29 septembre 2019

Centre Mikhaïl Chémiakine, Saint Petersbourg.

 

«L’échelle dans l’esprit, la vie et l’art» ouvre un nouveau sujet de recherche pour plus d’un demi-siècle de recherches intitulé «Musée imaginaire» de l’artiste et sculpteur Mikhail Chemiakine. 700 images vous présenteront l’image de l’escalier dans les œuvres de différents maîtres de l’Antiquité à nos jours. À travers le prisme du thème choisi, vous verrez de l’art primitif, des complexes de temples anciens, une icône russe, des manuscrits médiévaux, des affiches de cirque, des performances et toutes sortes d’expositions d’art moderne.

Pendant six mois, le Centre pour Mikhail Chemiakine a organisé un concours d’artistes contemporains sur le thème «L’échelle dans l’art», associé aux recherches du Musée imaginaire de Mikhail Chemiakine. Au total, environ 300 demandes de participation. Parmi les sélectionnés primés du concours, figurent les Frères Hofmann, Vladimir et Andreï dit Sadko.

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Vladimir Hofmann, sculpteur d’origine russe né et vivant à Paris comme il aime à le dire “Je suis Russe parisien“, français de papiers mais russe de cœur. Descendent d’une illustre famille pétersbourgeoise, le russe que toute la famille parlait à la maison fut sa première langue, il n’a appris le français qu’à l’école.  Son credo artistique a été influencé par son origine russe et l’ambiance familiale, oscillant entre la musique, la danse et les arts plastiques.

Vladimir Hofmann devant une sculpture

Depuis les années 1970, il expose en France et à l’étranger avec son frère jumeau, André dit Sadko (décédé en décembre 2016), et, depuis 2001, en Russie, terre de ses ancêtres, où il effectue de fréquents séjours, notamment à Saint-Pétersbourg, le berceau familial.

Andreï Hofmann dit Sadko

(10 novembre 1945 – 18 décembre 2016) 

“L’artiste donne a voir ce qui est inaccessible a l’oeil; il montre l’invisible… Par son art, il révèle son propre univers et sa personnalité.” Vladimir Hofmann.

Vladimir Hofmann, en sculpture, est titulaire de la médaille de vermeil de la Ville de Paris. Ses œuvres se trouvent dans les collections privées de par le monde.

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Le Centre Mikhail Сhémiakine organise régulièrement des conférences, des master classes, des pièces de théâtre, des concerts et bien sûr des expositions d’œuvres de Shemyakin et de ses contemporains.

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Centre Mikhaïl Chémiakine

Sadovaya St. N°7, Saint Petersbourg, Russie.

Tél: +7(921)849-41-89

Horaires: du mardi au dimanche de 11h00 à 20h00.

Fermeture les 28 et 29 mai 2019.

Natacha et son groupe

19ème Fête de la Clairière

 Dimanche 4 août 2019

45530 Seichebrières

Natacha, Natalia Trocina & Pascal Storch

Accent sur la musique pour cette 19ème édition de la Fête de la Clairière! Retrouvez le groupe Natacha, la balalaika, une domra et une guitare.

Faîtes un tour à l’espace contes à l’oratoire de Saint-Mammès, au vide-greniers ou encore à l’espace artisan et producteurs.

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Natacha, chant et balalaïka, fille du famille de russes blancs, a été formée au conservatoire Rachmaninov de Paris et dans les cabarets russes, où elle côtoie des musiciens russes et tsiganes, Natacha ( chant et balalaïka )fait appel à des musiciens de divers horizons ( musique brésilienne pour Pascal Storch, guitare, chant, ou musique populaire russe pour la joueuse de domra Natalia Trocina, domra, issue du prestigieux conservatoire Gnessine de Moscou), afin de concrétiser ses envies d’ouverture et de rencontres.

Plus qu’un spectacle, le concert de Natacha et son groupe, est une démonstration de sensualité, de mélancolie et de passion qui peint l’âme slave avec de multiples couleurs, révélant au monde son côté si sauvage et si tendre.

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19ème Fête de la Clairière

45530 Seichebrières

Tél: 02 38 57 22 46  et  02 38 59 38 27

” L’ èpoque du 6ème Soleil “

Alexei Talashchuk

Vendredi 26 juillet au dimanche 11 août 2019

Musée d’Art de Saint Pétersbourg

Le musée d’art de Saint-Pétersbourg. XX-XXI siècles. (MISP) présente une exposition des œuvres du célèbre artiste Pétersbourgeois, le  professeur Alexei Yuryevich Talashchuk, né le 15 juin 1944 à  Chernyakhi, dans la région de Rivne (Ukraine). Académicien de l’Académie des arts de Russie, artiste national de Russie, membre de l’Académie des sciences naturelles de Russie, ancien directeur de l’Académie Moukhine à St Petersbourg (Académie des Beaux Arts Stieglitz).

S’inspirant d’anciennes icônes et de fresques, il crée un monde surréaliste, parfois plus convaincant et plus profond que la réalité visible, remplit les images de signification symbolique. Le désir de connaître la vérité secrète conduit le maître à l’incarnation associative et allégorique de scènes bibliques, motifs associés au patrimoine culturel de l’Orient antique, de l’Inde, de l’Europe et de l’Amérique du Sud.

 D’où le nom de l’exposition – “L’époque du sixième soleil“. C’est ainsi que l’artiste comprend l’heure actuelle et le voit dans ses œuvres, dans lesquelles apparaît de temps en temps le thème prophétique du chemin, le chemin en tant que symbole de la quête éternelle. Ses œuvres laissent invariablement un sentiment de joie frémissante et mystérieuse.


Le langage de l’art d’Alexeï Talashchuk se caractérise par la clarté des formes, l’harmonie des couleurs, la musicalité des lignes, quelle que soit la technique utilisée. Chez le graphiste, il préfère les grandes feuilles, qu’il mouille abondamment, fabrique des doublures colorées, combine le pastel à l’aquarelle, compacte progressivement la surface et augmente l’intensité de la couleur. La même saturation des couleurs se distingue également par ses compositions picturales basées sur la précision du motif expressif et la généralisation maximale des formes illustrées qui créent l’apparence du volume.

Dans ses émaux, le dessin apparaît encore plus clairement et plus lourd que dans les toiles. Au cours du travail de cadrage, le maître trouve toujours une solution qui peut améliorer le son de l’émail en tant que matériau précieux et en révéler les qualités intrinsèques: brillance, profondeur colorée et variation tonale. Il se tourne vers des techniques telles que  la découpe, la gravure, le forgeage d’art, la soudure, la peinture monumentale.

Toutes les œuvres d’Alexeï Talashchuk, quelle que soit leur appartenance à un type d’art particulier, se caractérisent par une belle esthétique visuelle basée sur une combinaison harmonieuse de décorations raffinées et d’images associatives.

L’exposition, consacrée au 75e anniversaire de l’artiste, comprend plus de 50 aquarelles, émaux et peintures créés à différentes années et donnant une image complète de son style créatif.

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VERNISSAGE jeudi 25 juillet 2019 à 18 h.

Merci à Maria Vasilyeva pour les photos du vernissage.

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Musée d’Art de Saint-Pétersbourg XX-XXI siècles. (MISP)

Quai du Canal Griboïedov, N° 103, Saint Pétersbourg

Horaires : Mardi, jeudi, vendredi, samedi et dimanche 12h-20h.

mercredi 14h -21h , Lundi – fermé

Tarifs : de 50 à 150 roubles

Métro : M. Admiralteyskaya, M. Gostiny Dvor, M. Sadovaya, (à pied 15mn).

 

Spectacle national de Russie “Kostroma”

du 15 juin au 15 septembre 2019

Théâtre Chanson Russe “Русская песня”

Moscou.

 L’exposition nationale de la Russie présente l’histoire de notre pays multinational

Sur la scène du théâtre “chanson russe”, 50 artistes de “Kostroma” présentent plus de 600 costumes uniques de différents peuples de Russie. Pas moins de 17 tableaux scéniques aident à faire revivre l’histoire et à raconter la danse durant les principales époques du pays, ses héros et ses traditions.

Des amulettes, des souliers nationaux, des tambours, des jararas et des petites assiettes ont été fabriqués à la main par des maîtres des traditions culturelles autochtones de la Tchoukotka, de la République de Tyva, du Daghestan et du Tatarstan.

Les spectateurs qui ont assisté à la pièce de théâtre Spectacle national de Russie «Kostroma »se souviennent de l’impressionnant numéro« Navigation sur la Volga », qui symbolise le plus long fleuve d’Europe, sur la rive de laquelle se trouve l’ancienne ville russe Kostroma.

Le costume de la puissante mère Volga a été créé comme une sculpture délicate. L’artiste a aligné l’image, la silhouette, la proportionnalité calculée, la dynamique du mouvement, le jeu des couleurs et la texture des tissus.

Pour recréer l’image des vagues, cela a nécessité plus de 100 mètres de tissu. 12 ont été cousues. Pour créer l’effet d’éblouissement sur l’eau, l’artiste a combiné une grande variété de nuances de tissus bleus et bleus. Plus de dix heures ont été nécessaires uniquement pour assembler tous les volants multicouches en tissu de différentes nuances pour un costume, les volants, qui créent un effet de mousse.

Pour créer une image dynamique du mouvement des rivières, le costume était composé de deux parties: une jupe épaisse à volants et une ceinture allongée, répétant les lignes de vagues en ébullition, et une robe légère et fluide aux manches transparentes luxuriantes, personnifiant le vent d’une rivière épris de liberté. Un élément marquant et mémorable du costume de la Volga est une grande kokoshnik en forme de coiffe galichienne traditionnelle, reprenant les contours du bateau Kostroma, représentés sur le blason de la ville de Kostroma.

La deuxième partie du spectacle ouvre sur la suite “Légende du Nord”.

C’est le seul numéro de programme qui utilise des costumes sophistiqués en plusieurs pièces. Lors de la présentation les artistes se  changent trois fois. Au total, 97 tableaux sont présentés. Chacun d’entre eux a son propre effet et révèle le sens profond de la culture des peuples du Nord.

L’intrigue est une légende, c’est l’occasion de voir l’histoire racontée par le langage de la danse rituelle, dont les mouvements ont plus de deux mille ans. C’est l’histoire d’une fille qui, par la volonté du destin, a séparé son père de sa bien-aimée et, ne la trouvant pas digne de son mari, l’a jetée à la mer pour qu’elle reste pure. Et la vierge transformée en Sedna – la patronne des créatures marines, devenant une divinité et un grand esprit, vénéré par les chasseurs.

Ce costume aux tons argentés crée une image de légende, de conte de fées, de dieu de la mer. À travers l’apparence sophistiquée de la beauté terrestre, vous pouvez voir les ailes d’une mouette, le scintillement des écailles de poisson, la pente d’une vague marine et même la silhouette d’un dauphin. En plus de l’image saturée de symboles, le costume est richement décoré de pierres, perles, paillettes et dentelles à la main.

La robe de Sedna affiche l’image collective des vêtements de printemps des peuples du Nord. Il combine des nuances de couleur sable qui imitent la peau des animaux. Pantalon, veste, gilet garni de fourrure, décoré de motifs nationaux à l’aide d’appliqués. Le vêtement le plus coloré est les chaussures du chasseur. Sur ses pieds, il porte de vraies bottes à haute fourrure de Tchouktches – la torbosa en peau de cerf d’origine.

Le héros coloré et brillant de la question est le chaman. Son costume reflète les vues religieuses et les attributs des peuples du Nord, symbolisant le culte des esprits en tant que partie intégrante de leur culture. Dans l’incarnation du costume, les artistes ont utilisé un grand nombre d’amulettes métalliques, une frange et une coiffe spéciale, ce qui lui confère un mystère.

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Théâtre folklorique “Chanson Russe“.

Le théâtre « Русская песня » est situé au nord de la ville, dans une enceinte moderne, sur l’avenue Olympiyskiy, au 14, (stations de métro : Prospekt Mira, boulevard Tsvetnoy ou Dostoevskaya). La polyvalence de cette plate-forme théâtrale permet de ne pas se limiter à des projets de thèmes folkloriques exclusivement traditionnels, mais d’organiser des événements de différentes échelles et orientations: concerts pop et symphoniques, festivals. , forums, performances musicales et dramatiques.

L’une des caractéristiques de la scène, équipée des dernières technologies – des stalles transformantes. Si nécessaire, 200 stands sont automatiquement supprimés, ce qui permet d’organiser un concert de chambre ou une performance dans une petite salle confortable, ainsi qu’un événement de grande envergure pour un millier de spectateurs. La qualité de la salle de théâtre acoustique occupe l’une des principales places en Europe. Cette particularité crée les conditions les plus confortables pour les téléspectateurs lorsqu’ils regardent des productions filmées.

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Théâtre “Chant russe”: Avenue Olympique, 14,  Moscou.

Tarifs :  à partir de 800 roubles.( 57, 27€ )

Réservation : Téléphones: +7 (495) 681-34-10

Horaires de la billetterie: du lundi au dimanche de 11h00 à 20h00

Site :  http://www.nationalrussianshow.ru/

Métro : Prospekt Mira, boulevard Tsvetnoy ou Dostoevskaya.

 

Festival d’été de Monte-Carlo 2019

Dîner et concert avec

Philip Kirkorov

Samedi 27 juillet 2017

Salle des Étoiles, Sporting de Monte-Carlo.

Le célèbre festival d’ été de Monte – Carlo (Monte – Carlo Sporting Summer Festival ) accueille deux interprètes russophone.

Nous nous sommes habitués à ce que chaque été Monaco offre à ses habitants et à ses invités des concerts de stars mondiales. Des divas d’opéra aux musiciens de rock. Mais récemment, des artistes russes se sont rendus en tournée dans la Principauté. L’année dernière, les habitants de Monaco ont pu découvrir la créativité de Stas Mikhailov, du groupe de Leningrad et de la chanteuse ukrainienne Svetlana Loboda. Cette année sur la Côte d’Azur a décidé d’accueillir le roi de la musique pop russe Philip Kirkorov. Sa représentation est prévue pour le 27 juillet à la “Salle des Etoiles”. Le concert aura lieu avec un dîner de gala et le prix du billet est de 457 euros. Ainsi que la chanteuse ukrainienne Svetlana Loboda.

Phillip Kirkorov a choisi le destin de l’éternel vagabond, échangeant le confort de son foyer contre la “kibitka nomade” de l’artiste … Cependant, le destin lui-même l’a plutôt choisi pour ses routes. Lorsque le petit Philippe tomba gravement malade, ses parents, qui vivaient alors en Bulgarie, se rendirent chez la célèbre prophétesse Vanga. Elle leur a dit: “Je vois votre fils sur une haute montagne, il se lève et brandit un bâton de métal.” Quelques années plus tard seulement, il était clair que cette montagne était un Olympe musical, et le «bâton de métal» était un micro ordinaire …

Philipp Kirkorov (son vrai nom – Philip Kirkorov Bedros ), né le 30 avril 1967 à Varna en Bulgarie. Chanteur russe de pop, acteur, compositeur et producteur. Artiste de la Fédération de Russie en 2008, artiste du peuple d’Ukraine en 2008, artiste du peuple de Moldavie en 2018. D’origine arménienne par son père qui avait changé son nom  Krikorian en Kirkorov, car c’était une condition préalable à l’entrée dans l’école bulgare.

Dès l’âge de cinq ans, il part en tournée avec ses parents. Enfant, il a vécu à Moscou. On pense que pour la première fois, Philip a assisté au concert de son père , dans le théâtre de Petrozavodzk. Bedros a chanté sa chanson autobiographique «Son», dédiée aux tankistes soviétiques rencontrés en 1944 à Varna. À la fin de la chanson, Philip entra sur la scène et offrit un œillet à son père . Il est diplômé de l’école de Moscou numéro 413 avec une médaille d’or.

Il fait ses études à l’école musicale Gnessine de Moscou en 1985-1988 qu’il termine avec un diplôme rouge (équivalent de la mention très bien). Il commence sa carrière dès 1985 avec son apparition à la télévision dans une chanson bulgare Aliocha, mais c’est en 1987 qu’elle prend un véritable tournant avec une tournée à Berlin Est et sa rencontre quelques mois plus tard avec la célèbre chanteuse Alla Pougatcheva qui l’invite à ses spectacles télévisés Rencontres de Noël.

Alla Pougatcheva avec Philip Kirkorov

Les années 1990 consacrent sa popularité avec de nombreuses chansons et dès lors Kirkorov ne quitte plus le devant de la scène dans toute la Russie et les anciens pays du bloc soviétique.

Huit fois vainqueur du prix Ovation, cinq fois vainqueur du World Music Awards en  tant que chanteur le plus populaire de Russie, plusieurs fois vainqueur du Golden Gramophone.

Le 31 décembre 2014, il chante à la télévision russe la chanson de Mireille Mathieu:  Tous les enfants chantent avec moi en français pour le réveillon. En 2017 il est décoré de l’Ordre de l’Honneur par le président Vladimir Poutine.

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SPORTING MONTE-CARLO

Salle des Étoiles 
26 Avenue Princesse Grace
98000 – MONACO

Dîner spectacle: 465€

Réservation : CLIQUEZ

Le plus gros diamant d’Europe a été trouvé

dans la région d’Arkhangelsk (Russie)

Un diamant unique de teinte citron rare, pesant 47,61 carats, a été extrait du gisement V. Grib dans la région d’Arkhangelsk. ( l’embouchure de la Dvina srptentrionale, à environ 25 km de la mer Blanche, à 591 Km au sud est de Mourmansk à 735 Km de Saint Petersbourg et à 990 Km au nord de Moscou).  Les experts ne marquent que la forme correcte de la gemme et sa pureté irréprochable.

 

Diamant jaune pesant 47,61 carats

Le ministère a rappelé que le 8 juillet, un autre gros diamant de qualité géologique d’un poids de 81,02 carats avait été extrait sur le même gisement et qu’au début de mai, des diamants uniques pesant entre 222,09 et 127,34 carats avaient été découverts ici.

С’est le plus important de l’histoire de l’extraction du diamant dans la région et le plus important trouvé en d’Europe. Avant cela, la plus grosse pierre trouvée dans le gisement Grib était également de 181,68 carats et portait le nom de celui-ci” Archange Michael. “La pierre qui a été extraite va maintenant recevoir un nom”, a déclaré le service de presse.

En outre, le rapport indique que le 13 juillet 2019 sur le terrain. V. Griba, un diamant de très rare teinte citronée et de qualité gemme pesant 47,61 carats a été extrait, et le 8 juillet, un gros diamant de qualité gemme pesant 81,02 carats y a été trouvé.

 

Gemme pesant 81,02 carats

Toutes les pierres seront envoyées à Anvers et vendues là-bas sur le marché mondial. “Nous vendons des pierres sur le marché mondial, les principaux acheteurs sont Israël et la Belgique. Nos diamants seront envoyés à Anvers“, a déclaré la source de l’agence Diamond.

Diamond les dépose. V. Griba, dans le district de Mezensky, est l’un des plus grands au monde, se classant au quatrième rang pour les réserves en Russie et au septième rang dans le monde.

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Le terme de  « carat » vient du grec ancien sous la forme « κεράτιον », et qui signifie « cornes ». Il serait passé à l’italien par l’arabe قيراط  / qīrāṭ(« graine de caroubier; petit poids (24e partie du denier à la Mecque ; 20e partie en Iraq) »). Le terme désigne le caroubier, les graines de caroubes ayant servi d’ étalon de masse.

La graine conserve le même poids malgré les changements d’hydrométrie. Il a donc ensuite été emprunté par la langue italienne(carato). En joaillerie le carat est une unité de poids utilisée pour les gemmes à ne pas confondre avec le carat des bijoutiers désignant la pureté d’un métal dans certains pays. En 1907 , le carat (métrique) est défini par la 4ème Conférence générale des poids et mesures (CGPMcomme étant égal à 200 mg, soit 5 carats pour 1 gramme.

Le 28 mai 2019, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, le représentant plénipotentiaire présidentiel, Igor Shchegolev, le Chef du Département de la culture de Moscou, Alexander Kibovsky, le Directeur de la DRZ, Viktor Moskvin, membres du Conseil mondial de coordination des compatriotes russes (WKS),  Natalya Soljenitsyne la veuve de l’écrivain , conseillère présidentielle pour les affaires culturelles de la Fédération de Russie, Vladimir Tolstoï, chef du département des relations extérieures de Moscou,ont inauguré ce nouveau musée dans un bâtiment de la rue Nizhnyaya Radischevskaya à Moscou.
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L’inauguration du premier musée d’État de la diaspora russeà l’étranger, présente une exposition  consacrée à l’histoire des communautés russes multinationales et multiconfessionnelles à l’étranger. Le vingtième siècle a été très difficile pour le peuple russe. Beaucoup de Russes ont été forcés de quitter leur pays. Cependant, malgré des conditions de vie difficiles, ils ont réussi à préserver leur identité culturelle et civilisationnelle et à la transmettre à leurs enfants et petits-enfants. Ces émigrés ont sauvé des héritages de famille, des photographies, des journaux intimes, des lettres qui en disent long sur le destin dramatique du destin de leurs propriétaires, sur l’histoire de notre pays dans son ensemble.

Les expositions situées au rez-de-chaussée portent sur le thème : «Dans l’épître: l’émigration russe dans le monde» et au second étage : «En exil: la première vague d’émigration russe».
L’exposition commence par un historique de l’émigration russe. Les visiteurs découvriront les différentes étapes de la formation de l’émigration russe post-révolutionnaire, de sa formation et de son développement.
Des reliques de musée, des documents d’archives, des objets typologiques, des installations, du contenu multimédia, des programmes vidéo et audio les y aideront. Les visiteurs découvriront l’histoire du célèbre “Philosopher’s Steamer” (objets exposés dans l’espace muséal pour la première fois, dont un fragment d’une couverture tricotée appartenant à Tsarevich Alexei, un album photo du légendaire yacht “Standart” de la famille Botkin, des dessins authentiques du futur empereur Alexandre II de la garde russe époque et plus.
Au total, le musée possède plus de 1.2 mille pièces authentiques, offertes à la Maison des Russes de l’étranger par des émigrés russes de la “première vague” ou leurs descendants.
Une vitrine distincte est consacrée au travail de Soljenitsyne sur la préservation du patrimoine de l’émigration russe.

Le prince Alexandre Troubetzkoï,  membre du Conseil mondial de coordination des compatriotes russes, a fait don de reliques du régiment de grenadiers à cheval  au premier musée national des Russes à l’étranger. Il a qualifié l’ouverture du musée de la diaspora russe de moment très important dans l’histoire de la Russie. Les membres de la famille Sikorsky, descendants d’un scientifique et d’un concepteur aéronautique renommés, ont remis leurs archives au Musée.

Comme l’a dit Alexandre Troubetzkoï, le 29 mai 2019, une réunion a eu lieu à la Maison des russes de l’étranger, au cours de laquelle des personnalités originaires de Suisse, d’Australie et de France ont participé, pour apporter des documents souvenirs pour le Musée. Lors de la table ronde, ils ont évoqué les contributions des compatriotes à l’étranger à l’économie russe, ainsi que les questions relatives à l’extension de l’action “Immortal Regiment” à la Deuxième guerre mondiale, mais également à la Première Guerre mondiale et à toutes les guerres du XXe siècle.

Les expositions du Musée ont été rassemblées grâce à des compatriotes à l’étranger – plus de 500 donateurs du monde entier ont déjà fait don de leurs souvenirs.

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Musée de l’Émigration Russe

Nizhnyaya Radischevskaya ul., 2, Moscou, Russie

Tél :  +7 495 915 10 47

Ouvert jusqu’à 19h.

Métro : Taganskaya (5)

Dans le cadre du 7ème Festival

La Clé des Portes

” Chœur Synodal de Moscou”

 Dimanche 28 Juillet 2019 à 17h00

 Église St Hilaire de Mer, 41500 Mer

 

Le public pourra venir à la rencontre de ce chœur orthodoxe, lors du Festival de musique classique “les Clés des portes”, chorale dirigée par Amexeï Puzakov. C’est certainement le plus ancien chœur en Russie puisqu’il remonte au XVIème iècle avec le chœur des greffiers des patriarches. Ce chœur participait à des offices religieux et aux cérémonies d’Etat, succésseur des traditions du chant unique du Moyen-Âge russe. Il fut remonté en 2009.

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L’église Saint-Hilaire est située en centre-ville, construit au XIIe siècle mais qui a été remanié au XVIe siècle, pour le clocher-porche, et en 1700 pour le reste du bâtiment. Son clocher de style gothique flamboyant, édifié au XVIe siècle est classé aux monuments historiques depuis 1912. L’église dispose d’un très bel orgue de 25 jeux et très beaux vitraux.

 

Eglise Saint Hilaire de mer

Place de la Mairie , 41500  Mer

Tarif unique : 15€

Billeterie: Office du tourisme Blois-Chambord:

Tél : 06 36 91 81 89

Réservation : CLIQUEZ

Tzigane

de Pétia Iourtchenko

du vendredi 5 au vendredi 26 juillet 2019

à 17h15

( Relâche 16 juillet )

Théâtre du Roi René, Avignon

 

Création & chorégraphie de Pétia Iourtchenko avec la collaboration artistique de Johanna Boyé.

Nouvelle version du spectacle avec trois musiciens live (guitare, contrebasse et accordéon) pour accompagner notre chanteuse Lilia Roos-Dalskaïa et nos huit danseurs de la Compagnie ROMANO ATMO est une compagnie de danse française.

Créée en 1994 à Paris par Pétia IOURTCHENKO et sa femme Anne-Marie IOURTCHENKO, elle est constituée d’amateurs pratiquant la danse tzigane en loisir et d’artistes de tous horizons: danseurs, comédiens, chanteurs, musiciens…

Pétia Iourtchenko est né à Donetzk en 1957, dans la tribu des «Vlach». A l’âge de 16 ans, il passe le concours du prestigieux «Théâtre Romen» de Moscou. Dès son intégration, il participe aux spectacles et devient alors le plus jeune comédien, danseur, chanteur dans l’histoire du théâtre. Il se forme parallèlement à l’institut «Gnesenikh», où il étudie l’art dramatique, la danse, le chant et l’histoire de l’art. Entre 1974 et 1988, Pétia se produit dans toute la Russie, ainsi qu’à l’étranger (Japon, Inde, Yougoslavie, France…) En 1988, il joue avec la troupe pour la première fois à Paris au «Théâtre Mogador». En 1989, il quitte le «Théâtre Romen» et revient à Paris, où il se produit dans différents cabarets. En particulier au «Balalaïka», où tous les artistes de l’Est sont passés. Il rencontre Pascal De Loutchek, chanteur, guitariste d’origine russe; et Lilia Dalskaïa, chanteuse et ex-comédienne du «Théâtre Romen». Ils forment alors le trio «Arbat». Le trio se produit à New-York, Londres, Oslo, Madrid, Budapest … dans différents festivals et enregistre trois albums.

En 1994, Pétia fonde à Paris la compagnie ROMANO ATMO (l’âme tzigane), avec l’aide de son épouse Anne-Marie Iourtchenko.

Les danseurs sont de nationalités et d’origines différentes: en majorité des français “non tziganes” (des “gadjés”) mais aussi des russes, roumains, espagnols, polonais… 

La plus jeune artiste de ROMANO ATMO est agée de huit ans seulement! Certains dansent avec Pétia depuis plus de douze ans, lorsque d’autres ont intégré la troupe cette année.

La compagnie est une famille, soucieuse de faire partager son art et son amour du folklore tzigane au plus grand nombre, à travers ses galas, ses créations, ses soirées dans les restaurants parisiens, ses répétitions ouvertes aux auditeurs libres, et en accueillant chaque année de nouveaux danseurs ayant atteint le niveau de danse requis, désireux de partager leur amour pour cette danse sur scène avec le public.

Pétia Iourtchenko et la Compagnie Romano Atmo, devant le théâtre.

RÉSERVATION DÈS MAINTENANT

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C’est au cœur de la ville historique d’Avignon que s’élève le Théâtre du Roi René, derrière les halles. Ce lieu phare du festival off dispose de deux salles aux atmosphères singulières mais à la vocation commune de présenter des spectacles innovants. Amoureux d’éclectisme, ayant le goût de la modernité, osez pousser la porte du Théâtre du Roi René et laissez-vous emporter par une programmation inspirée et inventive !

Théâtre du Roi René

4bis,  Rue Grivolas, 84000 Avignon

Tél : 04 90 82 24 35

Tarifs: 23 16, 18€

Réservations et billeterie : CLIQUEZ

 

Trio Makarenko

20 juillet 2019 à

Eglise d’ Aillant sur Milleron (45)

 

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Vendredi 2 Août 2019

Le Trio Makarenko

13ème Festival Richelieu à Richelieu (37)​

Concert en plein air,

Tarifs concert : 20€ et 14€

Dîner à 19h, prix : 12€ , réservation : 02 18 07 17 03

Chocolaterie Chopain, 9 rue de la corderie

Faye la Vineuse (37120)

h

Plus d’informations sur le 13ème Festival de la Musique de Richelieu :

 Informations ICI

Billeterie festival : Tél : 02.47.58.13.62

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Anne et Micha se rencontrent en 1981 lors d’une répétition pour une tournée au Maroc. Ils jouent la romance russe « Je vous ai rencontrée » et ne se quittent plus. Le Duo Piano-Balalaïka engage une formidable croisade pour mieux faire connaître et aimer la balalaïka et la musique russe. Le duo est invité en France, à Paris (Gaveau, Châtelet, Pleyel, Cortot, Musée Jacquemart-André…), à l’étranger, au Maroc, en Suisse, Italie, Belgique, Espagne…, dans des festivals renommés (Besançon, Sceaux, Le Suquet, Vannes, la Puisaye, Tahiti, Île Maurice, La Réunion, Caraïbes). Anne et Micha Makarenko interviennent également dans des émissions à la radio et à la télévision et lors de conférences sur l’histoire de la balalaïka. Ils sont très présents en Russie où ils ont joué à la salle Glinka de Moscou, à la Grande Philharmonie de Saint-Pétersbourg et à la télévision : la critique et le public les plébiscitent.

Le Duo devient un Trio lorsque Pierre, leur fils, les rejoint en 2000 à l’occasion du festival du millenium à Louxor, organisé par France Clidat. Depuis, c’est en Trio qu’ils parcourent le monde. Récemment, ils ont donné un récital à la Philharmonie de Berlin et musée Jacquemart-André.

XIXème Festival

“Le bouquet impérial”

Samedi 20 et dimanche 21 juillet 2019

Jardin de Pavlosk, Saint Petersbourg

Musée-réserve Pavlovsk invitera les Pétersbourgeois et les invités de la ville à la célébration annuelle la plus vivante et la plus célèbre, le festival du bouquet impérial des fleurs et de l’art du paysage. Le festival XIX actuel est consacré à l’Année du théâtre en Russie.

Photo lors du XVIII° festival.

L’ensemble du district de Pridvortsovy du parc Pavlovski et de la vallée de la rivière Slavyanka se transformera en une série de scènes théâtrales alternées sur lesquelles se déroulera le jeu enchanteur “Jeu de fleurs”.

Photo lors du XVIII° festival.

Le premier festival des fleurs s’est tenu à Pavlovsk en 2001. Aujourd’hui, les réunions de fleuristes dans le parc de Pavlovsk se sont transformées en vacances lumineuses pour les professionnels et les amateurs.

 L’ensemble du district de Pridvortsovy du parc Pavlovski et de la vallée de la rivière Slavyanka se transformera en une série de scènes théâtrales alternées dans lesquelles se déroulera ce festival.

Une surprise attend les visiteurs du festival: le spectacle de gala «Les trésors du théâtre musical», qui se tiendra sur la scène ouverte sur la rive de la Slavyanka. Des chanteurs célèbres de Petersbourg interprèteront un pot-pourri d’opéras, d’opérettes et de comédies musicales célèbres. 

Ce n’est que pendant les jours du festival que vous pourrez visiter le parc Pavlovski et tous les lieux du festival avec un seul billet.

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Horaires: 9 hà 19h

Tarifs : adultes – 200 roubles, étudiants (7-18 ans) – 150 roubles.

Retraités, anciens combattants – 150 roubles

Pour plus d’informations : +7 (812) 452-12-14.

Musée Pavlovk : CLIQUEZ

Incendie vendredi 12 juillet 2019

dans le bâtiment des Archives Littéraires et d’ Art

à Moscou

Le batiment des archives russes de littérature et d’art ont pris feu à Moscou. vendredi 12 juillet. 100 personnes  ont été évacuées d’un bâtiment situé dans la rue Vyborgskaya. L’incendie se situait au quatrième étage. À 14 h 55, il était possible de localiser le feu sur une surfce de près de 150 m2. On ignore si des documents d’archives ont souffert.

Il est à noter que les archives constituent la plus grande collection de documents sur l’histoire de la culture nationale du pays. Elle a été fondée à 1941. Une partie de sa collection comprenait des données du Musée littéraire d’État – Goslitmuzeya. Il comprend également des fonds provenant des archives centrales de l’URSS, du musée d’histoire de l’État, de l’Académie d’architecture centrale et de la galerie Tretyakov.

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“LE JOURNAL D’UN FOU”

de Nicolaï Gogol

jusqu’au dimanche 28 juillet 2019 à 10h50

Théâtre Le Cabestan, 84000 Avignon

Par la Compagnie des Perspectives
 Traduction de Louis Viardot
Mise en scène : Bruno Dairou
Interprétation : Antoine Robinet
Création lumières : Antoine Laudet
Graphiste : Romain AK

Durée : 1H00

« Le journal d’un fou » est sans doute l’œuvre majeure de Nicolaï Gogol. On y rencontre un héros bien singulier : ce petit fonctionnaire dans un ministère du tsar, nous fait découvrir sa stupéfiante destinée au travers de ses Mémoires de plus en plus étrangement rédigées. On y apprend qu’il parle le chien couramment, qu’il évite les collisions stellaires et qu’il est promis au trône d’Espagne ! Ce texte incisif, émouvant et à l’humour tendre est un chef-d’œuvre de la littérature russe. Réédité par la Compagnie, il est ici présenté dans sa version originelle.

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Le Théâtre du Cabestan existe depuis 1995. Théâtre de 85 places situé en plein centre-ville d’Avignon, dans le quartier des Halles (intra-muros), au 11 rue Collège de la Croix. C’est un théâtre permanent, mais également un lieu de représentation durant le Festival Off au mois de juillet. La programmation du théâtre Le Cabestan est éclectique et reste avant tout centrée sur le théâtre (théâtre classique et contemporain, spectacles jeune public, comédies, théâtre musical…). Ce lieu de création propose toute l’année des spectacles, résidences d’artistes, ateliers et cours de théâtre et de chant, ainsi que des conférences. Le nom du théâtre, « cabestan », fait écho à l’une des passions de son fondateur : l’amour de la mer et de la voile.

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Théâtre Le CABESTAN
11 rue Collège de la Croix – 84000 Avignon

Réservations :  04 90 86 11 74

TARIFS :
  • Abonné 14 €
  • Plein tarif 20 €
  • Enfant (moins de 12 ans) 10 €

 

 

Association Kungur

” Le Petit Prince”

Mardi 16 juillet 2019

Palais de la Culture à Kundur (Russie)

Dans le cadre du Festival des Enfants du Monde, du 13 au 20 juillet dans la region de Perm, pour les enfants des orphelinats, familles d’accueil, centres pour enfants malades. La troupe de Gargilessband et la troupe théâtrale de Perm, vont jouer ” Le Petit Prince”.

 L’association “Pour Kungur” organise le festival “Amitié – Les enfants du Monde”, pour les enfants des orphelinats, familles d’accueil et centres pour enfants malades de la région de Perm (Russie), en collaboration avec l'”Ambulance Théâtre” de Perm, et avec la participation de la compagnie d’enfants français “Le GargilesseBand”.

Nous offrons une tournée de spectacles  dans les villes de Perm, Kungur, Nevolino, Solikamsk, Chaikovski, Kudimkar, Dobrianka….Pour les enfants défavorisés (et tous ceux qui voudraient nous rencontrer!)

Une exposition de dessins (sur le thème de “Mon Héros!” ) faits par les enfants de la région de Perm, et par les enfants adoptés dans cette région , vivant maintenant dans le Monde , sera installée dans chaque lieu où sera joué le spectacle.

Vous pouvez découvrir les détails du projet sur ce site: https://sites.google.com/view/le-gargilesseband-en-russie/

Vous pourrez suivre le festival en direct sur le blog que nous tiendrons en direct! (Nous vous communiquerons le lien dès qu’il sera en ligne!)

Lors de la soirée du 11 juillet au Centre de Russie pour la Science et la Culture à Paris

L’association “Pour Kungur”, depuis 2014, organise des projets d’aide materielle pour les orphelinats de la région de Perm.
En 2016, elle réalise son 1er festival “Amitié – les enfants du Monde”. L’enthousiasme des enfants et leur joie de rencontrer des français, venus spécialement pour eux jusqu’au fin fond de l’Oural n’a fait que nous motiver pour réïtérer le projet.
Site de l’association “Pour Kungur” : https://sites.google.com/site/associationpourkungur/home

A quoi servira l’argent collecté ?

– Offrir une collation aux enfants qui viendront voir le spectacle
– Offrir des cadeaux aux orphelinats de la région de Perm et au sanatorium pour enfants tuberculeux.
– Financer l’exposition des dessins des enfants du Monde (une copie de l’exposition  sera plastifiée et offerte à chaque orphelinat et structure pour enfants avec lesquelles nous collaborons dans la région de Perm.)

Dimanche 7 juillet a été annoncé que

La cité médiévale russe de Pskov

voit son patrimoine rejoindre

la liste de l’UNESCO

sous l’intitulé

«Églises de l’école d’architecture de Pskov»

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La liste de l’UNESCO comprend aujourd’hui une trentaine de noms d’objets et de monuments situés sur le territoire de la Fédération de Russie. Celles-ci incluent, par exemple, la Place Rouge, le monastère Solovki, le lac Baïkal, l’ensemble architectural Kizhi, la Trinité-Sergius Lavra, les volcans du Kamchatka et l’isthme de Courlande. Ce sont des endroits spéciaux, et une attention particulière est portée à eux. Des millions de touristes du monde entier viennent ici. Les photos de ces monuments ou de leurs symboles sont parmi les plus reproduites et les lieux eux-mêmes parmi les plus reconnaissables.

Pskov a demandé à plusieurs reprises son inscription sur la Liste du patrimoine mondial. Pour les habitants de cette ville frontalière qui défendait depuis des siècles les frontières de l’État, chaque monument, chaque recoin méritait cette attention. Initialement, l’application comprenait 18 objets. Mais en 2016, puis en 2017, les demandes de Pskov ont été rejetées. Argument: La documentation n’est pas complètement présentée.

Pskov est arrosée par la rivière Velikaïa et se trouve à 20 km de la frontière avec la Lettonie, à 263 km au sud-ouest de Saint Pétersbourg et à 610 km au nord-ouest de Moscou. La ville, d’abord appelée Pleskov, est mentionnée pour la première fois en 903 lorsqu’ Igor de Kiev épouse Olga de Kiev,  originaire de la ville. Les Pskoviens prennent parfois cette date pour la date de fondation de la ville, et un grand jubilé a eu lieu en 2003 pour fêter son 1 100eanniversaire. Le premier prince de Pskov fut le dernier fils de vladimir 1er de Kiev.

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Eglises, cathédrales, monastères, tours de fortification et bâtiments administratifs composent cet ensemble de monuments situé dans la ville historique de Pskov, sur les rives de la Velikaya, dans le nord-ouest du pays. Volumes cubiques, dômes, porches et beffrois font partie des caractéristiques de ces édifices produits par l’école d’architecture de Pskov, dont les éléments les plus anciens remontent au XIIe siècle. Les églises et cathédrales s’intègrent dans leur environnement naturel au moyen de jardins, de murs d’enceinte et de clôtures. Sous l’influence des traditions byzantines et de Novgorod, l’école d’architecture de Pskov, qui atteignit son apogée aux XVe et XVIe siècle, fut l’une des plus influentes dans le pays. Elle influa sur l’évolution de styles architecturaux en Russie pendant cinq siècles.

Parmi les monuments classés figurent la tour Pokrovskaïa (de l’Intercession), datant du XVe siècle, la tour Gremiatchaïa du kremlin de Pskov, érigée au XVIe siècle,

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Cathédrale Saint-Jean-Baptiste, monastère d’Ivanovo. Sa construction  date des années 1120-1130. Pendant longtemps, elle a servi de tombeau aux princesses Pskov. Elle ressemble à un navire de la foi avec des fenêtres rondes, des hublots.

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Ensemble du monastère Spaso-Mirozhsky (Cathédrale de la Transfiguration). La cathédrale fait partie du complexe monastique du XIIème siècle. Il y a sous le dôme noir du XIIe siècle des fresques peintes par des maîtres de Byzance. Elle est le seul endroit en Russie où les fresques pré-mongoles sont préservées.

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Ensemble du monastère de Snetogorski (Cathédrale de la Nativité de la Vierge). Monastère du XIIIe siècle. La cathédrale est remarquable pour le fait qu’elle a conservé la fresque de l’école de peinture d’icônes de Pskov.

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Église de Saint Michel Archange avec un clocher. Église  du XVe siècle accueille les invités de Pskov à l’entrée de la cathédrale de la Trinité.

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Église de l’Intercession de Prolom. Église  du XVème siècle.

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L’église de Cosmas et Damian avec Primotya (vestiges du clocher, porte et clôture). Une église  du XVe siècle, dominant le centre de Pskov, à deux pas du Kremlin.

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Église de Saint Georges. Église du XVe siècle,  construite dans les limites de la ville d’Okolnoy. Elle a été restaurée en 2016 et les offices religieux ont repris à cette date.

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Église de l’Épiphanie avec le clocher. Église du XVème siècle, rénovée en 2009.

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Église de Saint-Nicolas  et l’église de Basile-le -Grand . Église du XVème siècle, érigé au centre ville. Certains dise la plus belle de Pskov.

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Sortie en salle

 Mercredi 24 juillet 2019

“GIVE ME LIBERTY”

de Kirill Mikhanovsky

Le réalisateur Kirill Mikhanovsky livre son troisième film, une comédie touchante et vivifiante, inspirée par les expériences de sa propre jeunesse. L’action se déroule en une journée.

L’histoire de trois générations d’émigration russe, de petits spéculateurs et de charmants marginaux qui se retrouvent dans un minibus en route pour des commémorations bruyantes.

Chris Galust: VIC et Lauren “Lolo” Spencer: TRACY

” Vic, malchanceux jeune Américain d’origine russe, conduit un minibus pour personnes handicapées à Milwaukee. Alors que des manifestations éclatent dans la ville, il est déjà très en retard et sur le point d’être licencié. A contrecœur, il accepte cependant de conduire son grand-père sénile et ses vieux amis Russes à des funérailles.

En chemin, Vic s’arrête dans un quartier afro-américain pour récupérer Tracy, une femme atteinte de la maladie de Lou Gehrig. C’est alors que la journée de Vic devient joyeusement incontrôlable. “

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Kirill Mikhanovsky
Né en Russie, à Moscou, Mikhanovsky a immigré très jeune avec ses parents aux USA, où il a étudié la linguistique et l’anthropologie à UWM. Il enchaîne les petits boulots et a notamment été conducteur de véhicule pour personnes handicapées. En 1999 il est apparu au cinéma comme acteur.

 En 2006, il fait ses débuts dans la réalisation avec le drame ” Dreams of Fish “, Sonhos de Peixe, son premier long-métrage au Brésil, qui a remporté le prix Regards Jeune lors de la Semaine de la critique du festival de Cannes.

En 2012, Mikhanovsky est devenu l’un des auteur du scénario de l’adaption cinématographique moderne de l’histoire d’Alexandre Puchkine : ” Dubrovsky “.

Ancien étudiant du programme cinématographique de NYU et du Sundance Institute Screenwriters Lab, il a fondé Give Me Liberty Productions avec Alice Austen (scénariste et productrice de Give Me Liberty) en 2015.

Présentation de “Give me liberty” à la presse.

 Son court métrage Inhale Exhale est présenté au Festival du Documentaire d’Amsterdam IFF, au Festival de Clermont-Ferrand et au Festival de Khanty-Mansiysk (Russie) où il remporte le prix spécial du jury. Il prépare Coming To You, actuellement en postproduction, qui a bénéficié de la bourse du Sundance Institute.

7ème Festival International

de Musique Classique

“La Clé des Portes”

Concerts

du  mercredi 24 au Dimanche 28 juillet 2019

Clos du Tilleul, au château de Talcy 

et

à l’église de Mer.

Imaginé par le duo franco-russe, Ludmila Berlinskaïa et Arthur Ancelle, La Clé des Portes, installé sur les bords de la Loire entre Orléans et Blois, fête cette année sa 7è édition du 24 au 28 juillet 2019 au Château de Talcy, à l’Eglise de Mer et dans un nouveau lieu « Le Clos du Tilleul. Au cours de la saison 18/19, ils ont célébré Poulenc en interprétant son double concerto avec  plusieurs orchestres en Europe, tels l’Orchestre Philharmonique de Saint-Pétersbourg ou l’Orchestre Philharmonique de Freiburg ; ils proposeront également un nouveau format de concert où solo et quatre mains s’entremêlent étroitement dans une trame narrative originale.

Le duo Ludmila Berlinskaïa/Arthur Ancelle salle Cortot Paris. (Photo Laurent Bugnet)

Leur créativité et leur désir de partage s’exprime également chaque été durant le festival La Clé des Portes, dont ils assurent la direction artistique depuis 2012 et qui se déroule dans le cadre enchanteur des châteaux de la Loire, ainsi que par l’enseignement, Ludmila Berlinskaïa  et Arthur Ancelle enseignant à l’Ecole Normale de Musique de Paris, leurs élèves comptant de nombreux prix internationaux.

 

Programme:

 Mercredi 24 Juillet 2019 à 20h00

 Le Clos du Tilleul, 41370 Roches-Talcy

” Le Salon de Madame “

« Madame », c’est Ludmila Berlinskaïa, qui reçoit et invite les musiciens présents à partager avec elle d’enchanteurs moments musicaux dans un programme des plus romantiques.

Comme dans un salon du XIXe siècle, tous les artistes sont présents autour du piano. Le public pourra également participer : chacun peut proposer un court texte qu’il souhaite lire, à condition qu’il soit en lien avec le thème du concert. Les meilleures propositions seront retenues et les heureux élus invités sur scène à lire  le texte choisi.

Envoyez vos prpositions à :  contact@lacledesportes-festival.com

avec

Ludmila Berlinskaïa, piano – Alexeï Lundin, violon

Léa Hennino, alto – Vytautas Sondeckis, violoncelle

Louis Siracusa-Schneider, contrebasse – Arthur Ancelle, piano

Jean-Christophe Lanièce, baryton

Tarifs : 25€, réduit: 20€ et adhérent: 18€

Réservation : CLIQUEZ

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Jeudi 25 Juillet 2019 à 20h00

 Cour du Château de Talcy, 41370 Talcy

” Renaissance-Jazz ”

pour la 1ère fois en Région Centre Val de Loire

Ensemble Alta Capella

Lilia Gaisina, soprano – Alexandre Gorbunov, viola da braccio, percussions

Marina Belova, théorbe, guitare baroque – Andrian Prinzev, saqueboute

Ivan Velikanov – directeur de l’ensemble, cornet à bouquin et percussions

Tarifs : 25€, réduit: 20€ et adhérent: 18€

Réservation : CLIQUEZ

h

 Vendredi 26 Juillet 2019 à 18h00

Le Clos du Tilleul, 41370 Roches-Talcy
” Jeunes talents ”

Alexander Karpeyev, piano

Tarif unique : 7€

Réservation : CLIQUEZ

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 Vendredi 26 Juillet 2019 à 20h00

 Le Clos du Tilleul, 41370 Roches Talcy

 ” Café parisien. “

Arthur Ancelle, piano

Ensemble Ouranos

Alexeï Lundin, violon – Léa Hennino, alto

Vytautas Sondeckis, violoncelle – Jean-Christophe Lanièce, baryton

Ludmila Berlinskaïa, piano

Tarifs : 25€, réduit: 20€ et adhérent: 18€

Réservation : CLIQUEZ

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 Samedi 27 Juillet 2019 à 18h00

 Le Clos du Tilleul, 41370 Talcy Roches

” Concert Découverte ”

Toshihiro Takai, violon – Dmitri Berlinski, violoncelle

Cécilia Yui Kudo, piano

Tarifs unique : 7€

Réservation : CLIQUEZ

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 Samedi 27 Juillet 2019 à 20h00

 Le Clos du Tilleul, 41370 Talcy Roches

Rencontre avec Beethoven

François-Frédéric Guy, piano – Ensemble Ouranos

Nicolas Ramez, cor

Tarifs : 30€, réduit 25€ et adhérent 23€

Réservation : CLIQUEZ

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 Dimanche 28 Juillet 2019 à 17h00

 Église St Hilaire de Mer, Place de la Mairie
41500 Mer

” Chœur Synodal de Moscou”
pour la 1ère fois en Région Centre Val de Loire

5 siècles de musique russe sacrée. Direction d’Alexeï Pouzakov

Venez à la rencontre d’un chœur orthodoxe mythique  dont l’histoire commence au XVIème siècle et qui, aujourd’hui, participe à la fois aux offices religieux et aux cérémonies d’Etat en Russie. Il se produit en concerts à travers le monde entier.

Tarifs unique : 15€

Réservation : CLIQUEZ

 

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Plus de renseignements sur le Festival :

La Clé des Portes,

1 chemin de la Source 41500 Mer

Tél :  06.36.91.81.89.

www.lacledesportes-festival.com

Pour toute question relative à la billetterie :

contact@lacledesportes-festival.com

A 1h30 du centre de Paris, entre Orléans et Blois, au pays des châteaux des rois de France, le Festival de musique classique La Clé des Portes vous accueille.

20ème anniversaire des

Rencontres Musicales Internationales des Graves

CONCERTS-DÉGUSTATIONS du 16 au 26 juillet

Invité exceptionnel: Maxim Vengerov

 

CONCERTS-DÉGUSTATIONS du 16 au 26 juillet

Maxim Aleksandrovitch Vengerov

Maxime Aleksandrovitch Vengerov (Максим Александрович Венгеров) est un violoniste russe né le 20 de août 1974 à Novosibirsk. Il étude le violon à l’âge de quatre ans. Il suit les cours de Galina Tourtchaninova, puis de Zahar Bron. À cette époque, il donne déjà des concerts et à dix ans, il obtient en 1984 le Ier Prix au Concours de violon Junior Wieniawsk à Poznan.  Il participe ensuite à des récitals à Moscou t à Saint Petersbourg, jouant avec des orchestres comme celui du Consetgebouwn d’Amsterdam ou l’Orchestre philarmonique de la BBC

En 1995, ses enregistrements des concertos de Chaotokovitch et Prokofiev, il  remportent les Gramophone Awards  du meilleur enregistrement de l’année et du meilleur enregistrement de concert de l’année.

Maxime Vengerov enseigne la musique à la Royale Academy of Music de Londres. Il joue sur un Stradivarius, le Kreutzer (1727), dont il est le propriétaire depuis 1998.

Maxime a annoncé le 30 octobre 2009, qu’il lâchait l’archet de son violon au profit de la baguette pour prendre la direction du futur Gstaad Festival Orchestra. Maxime Vengerov a repris sa carrière de violoniste le 2 mai 2011, pour un premier concert à Bruxelles.

Maxime Vengerov,

Jeudi 25 juillet – Château Smith Haut Lafitte à Martillac,

Bach / Chostakovitch / Mendelssohn
 
Ensemble à cordes op.20 : Timothy Lees, Rachel  Sintzel, Lydia Becker, violon / Timothy Deighton, Jaques Perez, alto / Aurelienne  Brauner, Valerie Aimard, violoncelle

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Programme:

 

Mardi 16 juillet – Domaine de Chevalier à Léognan               

HOMMAGE à DIDIER LOCKWOOD

Ensemble ENHCO BROTHERS :
Thomas Enhco violon et piano, David Enhco trompette

”Sur scène, tout est énergie et improvisation. Thomas Enhco et David Enhco créent une musique sans frontières, dense en émotions, avec grâce, audace et virtuosité.”

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Mercredi 17 juillet – Château Haut Nouchet à Martillac
CHOPIN & BRAHMS
Chopin / Krystof Maratka /Chopin / Brahms
avec : Timothy Lees, violon, Catharine Lees, alto, Matthieu Lejeune, violoncelle

Emmanuelle Le Cann,  Kazuko Hiyama, piano

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Jeudi 18 juillet – Maison des Vins de Graves à Podensac
MOZARTIANA
Mozart / Nigel Keay / Mozart
avec : Vincent Balse, piano / Yulia Berinskaya, Max Zorin, Nina Millet, Lydia Becker, Anaïs Ponty, Violon / Timothy Deighton, alto / Richard Rimbert, Clarinette / Valerie Aimard,  Joëlla Becker, Violoncelle /

Esther Brayer, contrebasse

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Vendredi 19 juillet – Château Gravas à Barsac
LES CORDES ENCHANTEES
Kodaly / Offenbach / Mona Lei 
avec : Nina Millet, violon,  Aurélienne Brauner, Matthieu Lejeune, violoncelle

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Vendredi 19 juillet – Château Gravas à Barsac
LES CORDES ENCHANTEES
Kodaly / Offenbach / Mona Lei 
avec : Nina Millet, violon,  Aurélienne Brauner, Matthieu Lejeune, violoncelle

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Mardi 23 juillet – Château de Rochemorin à Martillac
VIVALDI, LE PRETRE ROUX
Vivaldi / Canat de Chizy  / Vivaldi
avec : Nina Millet, Zacharia Zorin, Rachel  Sintzel, violon / Vincent Balse, clavecin / Catharine Lees, alto / Joëlla Becker, Valerie Aimard, violoncelle / Esther Brayer, contrebasse

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Mercredi 24 juillet – Château de France à Léognan 
L’AME SLAVE
Borodine / Tchaïkovski / Ciesla / Dvořák
avec : Quatuor de saxophones ZAHIR :

Guillaume Berceau saxophone soprano / Sandro Compagnon saxophone / Florent Louman saxophone ténor alto / Joakim Ciesla saxophone baryton

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Jeudi 25 juillet – Château Smith Haut Lafitte à Martillac
SOIREE MAXIM VENGEROV
Soirée spéciale avec notre président et l’invité d’honneur Maxim VENGEROV
Bach / Chostakovitch / Mendelssohn
avec : Maxim Vengerov, violon 

Ensemble à cordes op.20 : Timothy Lees, Rachel  Sintzel, Lydia Becker, violon / Timothy Deighton, Jaques Perez, alto / Aurelienne  Brauner, Valerie Aimard, violoncelle

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Vendredi 27 juillet – Château Latour-Martillac à Martillac
LA FABRIQUE DES VIRTUOSES
Célébration de 20 ANS de musique, d’amitiés, de talents et de rencontres de notre festival
Brahms / Schumann / Bizet- Sarasate  / Kapustine
avec :  Max Zorin, Ana Millet, violon / Jaques Perez, alto / Brauner Aurélienne, violoncelle / Vincent Balse, piano

 

Tarif plein : 25 € / CE & Carte CEZAM – 20 € / Tarif réduit : 15 € / Gratuit pour les – 18 ans
PASS 5 concerts : 110 € – 5 concerts, 160 € – 8 concerts*
* Sʼadresser au bureau du Festival uniquement

RENSEIGNEMENTS
Bureau du festival : 06 42 47 70 15 , info@musiqueengraves.com

https://www.facebook.com/RencontresMusicalesInternationalesDesGraves

 

«Plein Air. Paysages historiques de Russie» 

 

du samedi 6 juillet au dimanche 10 août 2019

Centre Cultuel et Culturel Russe 75007, Paris

(1er étage).

 

L’exposition de peintures «Plein air. Paysages historiques de Russie» présente les œuvres des peintres français créées dans sept parcs historiques russes dans le cadre du projet «plein air».
Les auteurs sont Thierry Lefort, Olivier Desvaux, Barbara Petit, Laurence de Marliave, Sasha Céline Bokobza, Cyril Maurette et Emily Starck. Ils ont tous les styles de peinture différents. Plusieurs parmi eux arrivèrent en Russie pour la première fois, et en travaillant ils faisaient connaissance avec la culture russe, les particularités du climat et les traditions locales. Les peintures exposées représentent la beauté de la nature russe et de l’architecture des parcs des points de vue différents.
L’exposition est organisée en partenariat avec l’Association nationale «Restauration des jardins et parcs historiques».

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Entrée gratuite

Voir au 2ème étage

“Tsarskoïe Selo. Résidence du dernier empereur de Russie”)

 

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Centre Spirituel et Culturel Orthodoxe Russe à Paris

1, Quai Branly, Paris 75007
Horaires: mardi-dimanche 10:00–13:00, 14:00–19:00

Groupe Odessa

Concert russe d ‘hier et d’ aujourd’hui

Lundi 22 juillet 2019 à 18h

Eglise, 26560 Eygalayes

Le Groupe ODESSA est un orchestre dédié à la musique russe constitué au cours de l’automne 2014 par Léon Tourtzevitch à Montpellier, autour d’un Français d’origine russe.

Il se compose actuellement de six musiciens:    Ludcia Commoy-Guibadullina et Natalia Nutsubidze : chant, Catherine Delaunay : violon,  Elisabeth Carenco : contrebasse, Jean-Marc Torchy : accordéon,   Lev Tourtzevitch : Guitare et chant.

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Le village d’Eygalayes est situé à l’extrême sud-est de la Drôme Provençale en région Rhône Alpes. Ce village fait partie de la Communauté de communes “du Canton de Ribiers Val de Méouge”.
Les habitants et habitantes de la commune de Eygalayes sont appelés les Eygalayais et les Eygalayaises.
Les 70 habitants du village de Eygalayes vivent sur une superficie totale de 18 km2 avec une densité de 4 habitants par km2 et une moyenne d’altitude de 780 m.

Eygalayes est rattachée, depuis le 1er janvier 2013, à la Communauté de communes des Hautes Baronnies qui est située à Séderon.

Dans le village se trouvent 3 monuments :

  • Sur la place du village un monument aux morts de la première guerre mondiale dont la devise est « le droit prime la force ».
  • Une stèle commémorative du lieu où ont été fusillés 35 maquisards du ventoux le 22 février 1944. Ces prisonniers du maquis d’Izon-la-Bruisse ont été emmenés par un milicien à la ferme Bernard d’Eygalayes et ont été fusillés quatre par quatre. Un seul réussit à prendre la fuite protégé par un médecin juif d’origine polonaise.
  • Le Cimetière National Militaire d’Eygalayes « Aux morts du maquis » qui comporte les 35 tombes des maquisards fusillés par les Allemands le 22 février 1944.

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Eygalayes
le village 26560 Eygalayes
tel : +33 (0)4 75 28 41 73

Tarifs : 10€ et 5€

Réservation :+33 (0)6 42 80 26 40

Courriel : francois.decharge@wanadoo.fr

 

2ème Stage International en Auvergne

Chant Choral Orhodoxes Slaves

Du 29 juillet au 3 août 2019

Champagnat – le – Jeune, 63580

Organisé par le CHŒUR SLAVITSA de Clermont-Ferrand (63000) avec la collaboration de l’Association VIVRE à CHAMPAGNAT-le-Jeune

– 2 concerts le vendredi soir et le samedi soir clôtureront ce stage

Tarifs : 250 € – 330 € (+ repas midi) – 400 € (+ repas midi et soir)

RENSEIGNEMENTS ET INSCRIPTIONS
06 58 43 76 87 slavitsa63@gmail.com
www.choeur-slavitsa.fr

 

Rencontres Musicales Internationales des Graves

Duo concert & cinéma film « La Formule de l’amour »

Samedi 20 juillet de 17h00 à 19h30 

Cinéma Lux à Cadillac

Metteur en scène: Marc Anatolevitch Zakharov

Dialoguiste: Grégory Gorin

Compositeur: Gladkov Gennady

Acteurs: Elena Valyushkina, Alexandr Zakharova, Abdul Alexandr Gravilovitch, Nodar Mgaloblischvili, Elena Aminova, Alexandr Mikhaïlov, Semion Farada, Tatiana Peltzer, Léonid Bronevoy, Niclaï Skorobogatov.

PROGRAMME

Rossini   –   Sonate a Quattro No. 3,
Vivaldi   –   Le coucou (Il Cucù) – Concerto pour violon et cordes en La majeur

Projection de la comédie lyrique « La formule de l’amour » du réalisateur Mark Zakharov, 1984

Mark Anatolievitch Zakharov (Марк Анатольевич Захаров) est un scénariste et réalisateur soviétique et russe né le 13 octobre 1933 à Moscou. Diplômé de l’Académie ds Arts du Théâtre en 1955,  Zakharov devient acteur du Théâtre dramatique dans la région de Perm. L’occasion de faire sa première expérience de la mise en scène. Il rentre à Moscou en 1959 et travaille au théâtre dramatique de Gogom puis au Théâtre des miniatures (1960-1964), et au Théâtre des étudiants de l'(Université d’Etat de Moscou où il crée de  adaptations de Brecht et le dragon d’Evguini Scwartzqui  font sa renommée.

En 1965, il est metteur en scène du Théâtre de la Startire de Moscou  où il adapte Un emploi lucratif d’Alexandre Ostrovski qui rencontre un immense succès ainsi que d’autres parmi lesquels Réveille-toi et chante de Gyárfás Miklós, qui en 1974 sera filmé pour la télévision.

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En 1780, après une brève tournée frauduleuse à Saint Pétersbourg , le célèbre aventurier, le “magicien” et “le maître des forces secrètes”,  fut obligé de cacher le Comte Cagliostro de la chasse lancée par le tout puissant prince Potemkin . Avec lui ses compagnons – Lorenz, Margadon, Jacob. Dans le même temps, Cagliostro essaie de trouver la «formule» du seul sentiment qu’il est toujours incapable d’évoquer dans le cœur des hommes – l’amour.

Nodar Mgaloblishvili dans le rôle de Cagliostro

En chemin, Cagliostro arrive chez l’un de ses clients, un propriétaire malade. Il promet de guérir le patient s’il accepte d’envoyer sa fille Maria par l’intermédiaire de laquelle, selon Cagliostro, la connexion astrale avec le patient sera maintenue . Dans le domaine provincial, où par hasard les voyageurs se sont révélés être, un jeune homme vit amoureux d’une statue de marbre. Avec l’aide de Cagliostro, il espère faire revivre le marbre. Mais la rencontre avec la vivante Macha change tout

Elena Valyushkina et Nodar Mgaloblishvili

Après une brève hésitation, Masha est relâchée avec un graphique et Cagliostro repart…..

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Pendant le tournage, Nodar Mgaloblishvili s’est cassé la jambe, mais l’on n’a pas cherché à le remplaçer, et il a continué à tourner, bien que sa jambe fût dans un plâtre .

La première du film à la télévision a eu lieu le 30 décembre 1984. Un spectacle musical et cinématographique totalement dépaysant : de la musique italienne pétillante et sensationnelle suivi par l’histoire de l’aventurier et comte de Cagliostro sur trame d’amour rocambolesque au fin fond de la Russie du XIXe siècle.

Les spectateurs se souviennent de la chanson lyrique en langue “italienne”, interprétée par Jacob et Margadon chaque fois que Cagliostro tente de séduire une autre victime.

La musique et les paroles de cet air pseudo-italien ont été composées par le compositeur du film, Gennady Gladkov, qui l’a interprétée sur la bande originale du film avec Alexander Abdulov. Selon Julius Kim, qui est considéré comme l’auteur de cette œuvre, Gladkov a refusé de mentionner dans le générique l’auteur des mots, et l’auteur de la chanson a été attribué à Kim. Malgré toute la fantasmagorie de la chanson, les auteurs du film devaient l’approuver devant le comité littéraire, en donnant aux censeurs la «traduction» de son texte en russe.

La statue de Galatée, qui a été relancée par Cagliostro, elle est devenue une actrice à part entière. La sculpture de la jeune fille est apparue pour la première fois dans le film « Running», après quoi elle pouvait être vue devant Bublik dans “Office Romance”, dans les bains de la comédie “Old New year”, à l’hôtel dans le film ” Evening labyrinth” et à la salle de réception de Vassa Zheleznova dans le film ” Vasa “. Galatée n’est plus démise de ses fonctions. Elle est rentrée du centre de réquisition Mosfilm dans la cour du domaine moscovite Vandyshnikova-Banza sur le terrain de Vorontsov, où elle se trouvait avant le début de sa carrière d’actrice.

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Alexei Tolstoï.

Cette comédie musicale est basée sur l’histoire “Count Cagliostro” de Alexei Tolstoï.

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20h00 – 22h00 – Diner “Formule d’amour” avec l’animation musicale présentée par Duo “Baïkal”

Le Baikal Duo parcourt le monde depuis 1985 pour la promotion d’une musique qu’on ne saurait décrire sans l’avoir écoutée, créant un univers très particulier que d’aucun ont baptisé “culture Bayan”. Ce duo utilise l’accordéon de concert, crée en 1871 en Russie, pour suivre le chemin tracé par ses maîtres slaves, et se situer au carrefour des traditions populaires et des musiques nouvelles, unis par le même enthousiasme pour l’accordéon bayan, réputé pour la richesse de sa sonorité et de son registre.

Réservation: https://www.yuticket.com/…/467d07b5-20f0-4dbf-b634-f9eaf77f…

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 Vous pourrez visiter le Château de Cadillac avant notre ciné-soirée. Le château se trouve proche du cinéma Cinéma Lux à Cadillac.

 “Construit sous Henri IV puis Louis XIII, ce château d’architecture à la française allie faste et caractère militaire. Il conserve de riches décors : cheminées monumentales, tapisseries, plafonds peints. Cadet de Gascogne précurseur des mousquetaires, le duc d’Epernon connaît une ascension fulgurante à la fin du XVIe siècle, et les régicides d’Henri III puis d’Henri IV. Du XIXe siècle aux années 1950, ce palais à l’abandon devient une prison pour femmes”.

 Le château est ouvert de 10:00 à 13:15 et de 14:00 à 17:00.
Les Tarifs: plein – 6 euro, enfants et moins de 25 ans – gratuit.
Plus d’info sur le site officiel : http://www.chateau-cadillac.fr/

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Cinéma LUX

6 place de la Libération, 33 410 CADILLAC

Tarifs : Membres de l’association CFFR et Association Slave
– Film, Concert et Dîner 42 € par adulte, 48 € par adulte (non membres CFFR et AS),
– Film et Concert 15 € par adulte

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Dans le cadre du

Festival Off d’Avignon 2019

 

” KAPOUSTNIK “

Vendredi 5  au mardi 16 juillet 2019 à 18h 40

Maison de la Poésie d’Avignon.

 

Metteur en scène : Fabrice Carrey

Collaboratrice artistique : Sophie Lewish

Interprètes : Anouk Agniel, Carla Plesis, Ines Tripier Mondancin, Laurence Mazaudier, Louis Ferrand, Marina Gaullier, Rime Youssef, Tahaa Lopez, Alice Amalbert, Pauline Vincent, Léa Guerin, Nils Farre, Hélène Luizard.

Chargé de la communication : Denis Oustinov

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Programme :

Kapoustnik Tchekhov : les 5, 7, 8, 10, 11, 13, 15, 16 juillet 2019
Kapoustnik Cabaret Soviétique : les 6, 9, 12, 14 juillet 2019
Kapoustnik Parades : tous les jours… dans les rues d’Avignon

Pendant des siècles en Russie, le terme «Kapoustnik» a fait référence à une fête traditionnelle ayant lieu chaque année pour célébrer la fin de la récolte des choux. Par extension, les «kapustniki» sont devenus une tradition du théâtre soviétique , où s’entremêlaient textes et chansons. En russe, «kapoustnik» est un mot dérivé de «kapousta», qui signifie le chou. Nostalgique de ce légume traditionnel, cette troupe de comédiens de la Compagnie “Demain le Printemps”, tout juste revenue de Minsk, nous emmène avec elle dans sa récolte. Faisant renaître, selon les versions du spectacle : tantôt des personnages issus des pièces d’Anton Tchekhov, tantôt d’autres figures sorties tout droit d’un cabaret soviétique. A la manière des poupées russes, ils tenteront d’éplucher une à une les feuilles de chou, espérant ainsi en faire surgir la tête ! Un avant-goût savoureux et humoristique de la culture biélorusse, après une année passée sur ces terres.
Chaque année, l’association Demain le Printemps offre l’occasion à des artistes francophones de venir se former à Minsk, et d’y découvrir l’Ecole Théâtrale Soviétique. Au cours de cette formation d’un an, ces apprentis comédiens suivent le parcours classique et intensif des jeunes acteurs biélorusses. Et tout au long de l’année, ils traversent les étapes qui ponctuent le long chemin d’un artiste, dans l’héritage de grands maîtres russes, tels que Stanislavski et Meyerhold. Faisant, par la même occasion, la connaissance du public biélorusse. Et à la manière des poupées russes, ils tenteront d’éplucher une à une chaque feuille de chou, espérant ainsi en faire surgir la tête ! Un avant-goût savoureux et humoristique de la culture biélorusse, après une année passée sur ces terres.
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Le Festival d’Avignon 2019

Connu comme la plus grande manifestation de théâtre et de spectacle vivant du monde, le Festival d’Avignon accueillera cette année du théâtre, du cirque, de la danse, des mimes, de la lecture, de la musique, des one man show etc, pour tous publics, de tous âges. Plus de 3 500 artistes venant du monde entier seront présents pour vous proposer leurs prestations, vous rencontrer sur scène ou dans la rue.

Plus de 1600 spectacles seront produits cette année durant le Festival Off dans plus de 130 lieux de représentation. Vous retrouverez toutes les informations et la programmation ici.
La programmation de In se trouve ici
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Créée en 1986 par Marie Jouannic, la Maison de la Poésie se consacre depuis plus de trente ans à la diffusion et la promotion de la poésie.
De nombreux poètes sont passés en ses murs comme Aimé Césaire, Jacques Rebotier, Jean-Pierre Siméon, Jean-Claude Xuereb, Danièle Léon, Gabrielle Althen, Marie-Paule Grimaldi, Hamid Tibouchi, Véronique Kanor, et des dizaines d’autres…
Dès sa création elle s’est également intéressée aux arts plastiques en proposant chaque mois une exposition différente, puis il y a une quinzaine d’années elle a commencé à participer au Festival Off d’Avignon.

La Maison de la Poésie d’Avignon aujourd’hui

Au fil des années et des différentes équipes qui ont assuré sa direction, sans jamais quitter sa vocation première, la défense de la poésie, ses horizons se sont aujourd’hui élargis.
Depuis trois ans déjà, la Maison de la Poésie d’Avignon s’est ouverte à la poésie sous toutes ses formes, aussi bien le slam que la chanson francophone ou la prose poétique.
Tout en continuant à recevoir des poètes, des auteurs et des artistes confirmés, elle fait une part plus large à des poètes, auteurs et artistes en devenir. De cette nouvelle orientation découle un rajeunissement de son public.

 

MPA – repère 92
MAISON DE LA POÉSIE D’AVIGNON
6, rue Figuière 84000 Avignon

Tarifs : 12 €, 17 €

Réservations : +33 (0)4 90 82 90 66,

Gargilesse Band et l’Association “Pour Kungur”

Festival “Amitié – les Enfants du Monde”

Jeudi 11 juillet à 19h

(Veille du départ en Russie)

Centre de Russie pour la Science et la Culture

Paris

Au programme le spectacle “Le Petit Prince est de retour” et une exposition de dessins faits par des enfants de la région de Perm, et par des enfants adoptés dans cette région et vivant maintenant dans le Monde.
Le festival aura lieu du 13 au 20 juillet dans la region de Perm, pour les enfants des orphelinats, familles d’accueil, centres pour enfants malades.
Le Festival est parrainé artistiquement : par Mihail Chemiakine, Eva Zaïcik, Ekaterina Shpitsa, Bunny Godillot, Elena Starostina, Viatcheslav Tshuistov,  Laurent Levesque et Alain Figlarz.
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L’association “Pour Kungur” a pour origine   un collectif de familles ayant adopté leur(s) enfant(s), ou en cours d’adoption à la Maison d’enfants de Kungur (Russie). Depuis 2007,  un véritable lien s’est créé entre les familles  adoptives et le personnel de  l’orphelinat de Kungur, composé de femmes exceptionnelles, qui, avec très peu de moyens, aident les enfants qu’elles ont en charge à se reconstruire et à grandir.

En 2009, nous créons le collectif de familles “From Kungur”. Ces échanges entre familles, et avec la Maison d’enfants sont d’une grande aide psychologique pour les familles, et les enfants adoptés.
Les familles du collectif vivent en France, Espagne, Italie, Suisse, Royaume Uni, Irlande, USA, Argentine, Canada.
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Plus de renseignements : CLIQUEZ
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Participation libre
(pour offrir des cadeaux aux orphelinats de la région de Perm)
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Réservation obligatoire : crsc.paris@crsc.fr
(en précisant votre nom, le nombre de places reservées)
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L’argent de cette collecte servira à:

– Offrir une collation aux enfants qui viendront voir le spectacle
– Offrir des cadeaux aux orphelinats de la région de Perm et au sanatorium pour enfants tuberculeux.
– Financer l’exposition des dessins des enfants du Monde (une copie de l’exposition  sera plastifiée et offerte à chaque orphelinat et structure pour enfants avec lesquelles nous collaborons dans la région de Perm.)
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Centre de Russie pour la Science et la Culture
61 rue Boissière – 750116 Paris –

Téléphone : 01 44 34 79 79.   –   Réservation crsc.paris@crsc.fr

Métro : Boissière (6), Victor Hugo (2)

Bus : 22, 30, 52, 82

Parking : Victor Hugo, Kléber, Longchamp.

Vente Publique

” ART RUSSE “

Samedi 20 juillet 2019 à 15h

Expert Cyrille Boulay

Hôtel de Vente de Monte-Carlo, Monaco

Expositions publiques

Hôtel des ventes de Monte-Carlo
10 – 12 QUAI ANTOINE 1ER – 98000 MONACO

Du mardi 16 au Vendredi  19 juillet 2019

de 10H00 à 12h30 et de 14H00 à 18h30

Samedi  20 juillet 2019
de 10H00 à  12H30

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Sommaire de la vente :

Icônes, Souvenirs historiques, Bijoux, Objets de vitrine, Émaux polychromes, Étuis à cigarettes, Cristal, Argenterie, Porcelaine, Bronze, Mobilier et Tablaux.

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Extraits du catalogue :

LA RÉSURRECTION DU CHRIST.
Icône russe du début du XIXe siècle, tempera sur panneau de bois, encadrée de 12 scènes représentant les souffrances de Jésus et complétée de 16 scènes représentant les grandes fêtes de l’Eglise orthodoxe, ornée à chaque angle de saint Marc, saint Luka, saint Mathieu et saint Jean. H. : 35, 5 cm – L.: 30 cm. 600/800 €

h

VIERGE DE IVERSKAÏA.
Icône russe, tempera sur panneau de bois, conservée sous riza en vermeil à décor repoussé, surmontée d’une oclade ajourée. Usures du temps, mais bon état. Poinçon titre : 84, Moscou, 1860.
Poinçon du maître orfèvre : Alexis Froloff, actif de 1860 à 1897. H. : 23 cm – L.: 18 cm. Poids brut : 540 grs.

600/800 €

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ICÔNE QUADRIPTYQUE.
En bronze à patine brune. Représentant vingt scènes religieuses, sur fond d’émaux polychromes, illustrant les principales fêtes de la liturgie orthodoxe. Bon état. Travail russe du XIXe siècle.
Ouvert: H. : 18 cm – L.: 41 cm. Fermer: H. : 18 cm – L.: 11 cm.

200/300 €

h

CHRIST PANTOCRATOR.
Icône russe, tempera sur panneau de bois, conservée sous riza et oclade en vermeil (postérieur).Légères usures du temps, mais bon état général.
Poinçon titre : 84, Moscou, 181?.
Poinçon d’orfèvre : Alexandre Yarshinov, actif de 1795 à 1826. H.: 31, 5 cm – L.: 26, 5 cm.Poids brut : 1 k 290 grs.

1 800/2 500 €

h

LA CRUCIFIXION DU CHRIST.

Entourée de la Vierge Marie, de sainte Marie-Madeleine, de saint Jean et de saint Longin, surmontée à droite d’une scène représentant la Descente de la Croix et à gauche de la Mise au tombeau. Icône russe, tempera sur panneau de bois, conservée sous riza en argent, à décor repoussé d’arabesques et de motifs floraux, ornée au centre d’une croix en bronze doré sur fond émaillé bleu.
Petits manques, mais bon état général. Poinçon titre : 84, Saint-Pétersbourg, 1860. Poinçon du maître orfèvre : Mikhaïl Karpinsky.
H. : 43 cm – L.: 35, 5 cm.

3 500/5 000 €

h

SAINT NICOLAS ET SAINT PANTALÉON.
Icône russe, tempera sur panneau de bois, conservée sous riza en argent à décor repoussé et encadré d’une frise d’arabesques, avec oclades ajourées, surmontée d’une scène représentant la Mise au tombeau du Christ.
Usures du temps et manques. Poinçon titre : 84, Saint-Pétersbourg, 1865.
Poinçon du maître orfèvre : Pierre Ivanoff, actif de 1858 à 1875. H. : 18 cm – L.: 11 cm. Poids : 235 grs.

1 200/1 500 €

h

CHRIST EN MAJESTÉ (DÉISIS).
Entouré d’une assemblée de saints, icône russe triptyque de voyage, tempera sur panneau de bois, conservée sous riza en vermeil. Usures du temps, mais bon état. Poinçon titre : 84, Moscou, 1783. Poinçon d’orfèvre : illisible.
Ouvert: H. : 10 cm – L.: 27, 5 cm. Fermer: H. : 10 cm – L.: 11 cm.
Poids brut : 408 grs.

1 500/2 000 €

h

CHRIST PANTOCRATOR.
Icône russe de voyage, tempera sur métal, conservée sous riza en argent, surmontée d’une oclade en émaux polychromes cloisonnés. Usures du temps.
Poinçon titre : 84, Moscou, 1899-1908. Poinçon du maître orfèvre : C.K.Z., non identifié. H. : 9 cm – L.: 7, 5 cm. Poids brut : 105 grs.

400/600 €

h

CHRIST PANTOCRATOR.
Entouré de deux archanges protecteurs. Icône russe, tempera sur panneau de bois, conservée sous riza en argent à décor repoussé surmontée d’oclades. Accidents, mais bon état général. Poinçon titre : 84, Iaroslav, avant 1896.
Poinçon du maître orfèvre : illisible. H.:33,5cm-L.:27cm.

1 800/2 500 €

h

CROIX DE PROCESSION.
Représentant le Christ sur sa croix. Travail russe du XIXe siècle, en bronze doré sur fond d’un décor en émaux polychromes. Usures du temps, en l’état.
H. : 21 cm – L.: 11 cm.

300/500 €

h

COURONNEMENT DE LA VIERGE.
Entouré à sa gauche du Christ et à sa droite de saint Sava. Belle icône russe, tempera sur panneau de bois conservée sous riza en vermeil à décor repoussé de motifs foliacés en bordure et surmontée d’oclades en vermeil. Bon état. Poinçon titre : 84, Orel, 1833. Poinçon du maître orfèvre : A. D., non identifié.
H. : 34 cm – L.: 30 cm. Poids brut : 1 kg 830 grs.

3 000/5 000 €

h

SAINT NICOLAS LE THAUMARTUGE.
Surmonté du Christ Pantocrator et entouré à sa gauche de sainte Marie révérende d’Égypte et à sa droite de saint Nikita. Icône russe, tempera sur panneau de bois conservée sous riza en vermeil, à décor repoussé de motifs foliacés et surmontée d’oclades en argent. Bon état.
Poinçon titre : 84, Moscou, 1874. Poinçon du maître orfèvre : illisible.
H. : 31, 5 cm – L.: 27 cm. Poids brut : 1 kg 791 grs.

2 000/3 000 €

h

LAMPADA POUR ICÔNE EN ARGENT.
Par POTSOFF, Moscou, 1848. A décor de motifs floraux en filigrane d’argent sertie de six cabochons en pierres dures de l’Oural, retenue par trois chaînettes à maillons ajourés. Poinçons titre : 91, Moscou, 1848. Poinçon d’orfèvre : Vassili Potsoff, actif de 1816 à 1868. H. : 51 cm – Diam. : 10 cm.
Poids brut : 172 grs.

1 500/2 000 €

h

PIERRE LE GRAND, empereur de Russie (1672-1725).
Par KHLEBNIKOFF, Moscou, 1872. Plaque commémorative en argent, de forme rectangulaire, à décor repoussé et finement ciselé représentant le tsar portant secours à des pêcheurs pendant une tempête sur le lac Ladoga. Quelques usures du temps et petits manques sur les bords, mais bon état général.
Poinçon titre : 84, Moscou, 1872. Poinçon du maître orfèvre : Ivan Khlebnikoff.
H. : 17, 5 cm – L. : 27, 5 cm. Poids : 566 grs.

4 000/6 000 €

h

ÉCOLE RUSSE DU DÉBUT DU XVIIIe SIÈCLE. Plaque rectangulaire sculptée en os, ornée de quatre médaillons représentant les profils de l’empereur Pierre Le Grand (1672-1725), de son épouse l’impératrice Catherine Ière (1684-1727), de l’impératrice Elisabeth Ière de Russie (1709- 1762) et du tsarévitch Pierre, future empereur Pierre III (1728- 1762), au centre apparait le tsar Michel, premier souverain de la dynastie des Romanoff et à chaque angle, un ange aux ailes déployées et surmonté de la couronne impériale de Russie, conservée dans un encadrement moderne en bois doré. Quelques usures du temps, mais bon état général. Travail d’Arkhangelsk, circa 1760.
À vue: H. : 16, 5 cm – L.: 13 cm. Cadre : H. : 23 cm – L. : 19 cm.

1 000/1 500 €

h

ÉLISABETH Ière, impératrice de Russie (1709-1761). Grande coupe commémorative en cristal taillé et gravé, de forme évasée vers le haut à décor sur une face du monogramme entrelacé de l’impératrice Elisabeth Petrovna (E.P.) sous couronne impériale et sur l’autre face d’un cartouche orné de l’aigle bicéphale de l’empire Russe alterné de motifs floraux, reposant sur une base circulaire postérieure en argent. Bon état. Travail russe de la Manufacture impériale de cristallerie, Saint-Pétersbourg. H.:22cm–Diam.:11cm.

1 200/1 500€

h

CATHERINE II, impératrice de Russie (1729-1796). Par KOSINIFF, Moscou, 1787.
Tabatière commémorative souvenir du couronnement de l’impératrice, de forme ronde en argent, sertie au centre du couvercle d’une pièce ancienne en vermeil, datée du 22 septembre 1762, signée Samuel Youdin représentant un profil de la souveraine sur fond ciselé d’une plaque étoilée en vermeil, au revers apparait un motif gravé de trophées et de drapeaux, la bordure principale est bordée d’une frise ciselée de petites perles, intérieur vermeil. Légères usures du temps, mais bon état général. Poinçon titre : 84, Moscou, 1787.
Poinçon du maître orfèvre : Alexis Kosinoff, actif de 1762 à 1791. H. : 2 cm – Diam. : 10 cm. Poids : 241 grs.

3 000/5 000 €

h

GEORGES DE LA BARTH, attribué à.
Vue de Moscou depuis le balcon du Kremlin en regardant vers le pont Moskvoretsky. Aquarelle et encre sur papier conservée sous verre églomisé portant l’inscription « Vue de Moscou » en lettres d’or dans un encadrement d’époque sculpté en bois doré. Circa 1797. Légères rousseurs, accidents au cadre. À vue : H. : 51 cm – L. : 64 cm. Cadre : H. : 64 cm – L. : 77, 5 cm.

2 000/3 000 €

h

MARIA ALEXANDROVNA, impératrice de Russie (1824-1880).
Photographie signé Serge Levitsky (1819- 1898) à Saint-Pétersbourg, la représentant posant sur son lit de mort, le 3 juin 1880, avec annotations manuscrites en caractères cyrilliques au bas du document. Tirage albuminé d’époque, couleur sépia, contrecollés sur carton. Découpé sur les bords, rousseurs, mais bon état.
H. : 32 cm – L. : 20, 5 cm ; H. : 14 cm – L. : 9, 5 cm. H.:15cm–L.:11cm; H.:10,5cm–L.:16,5cm.

800/1 000 €

h

ALEXANDRE III, empereur de Russie (1845-1894). Grande plaque commémorative en bronze doré, à décor repoussé et ciselé représentant un profil du souverain, la tête tournée vers la droite dans un entourage de draperie et de rameaux d’olivier surmonté de la couronne impériale, reposant sur un important socle en malachite à pans coupés. Bon état. Travail russe de la fin du XIXe siècle. H. : 35 cm – L.: 27, 5 cm.

3 000/5 000 €

h

ALEXANDRE III, empereur de Russie (1845-1894). Ensemble de portraits photographiques le représentant à divers moments de sa vie signés par Serge Levitsky (1819- 1898) et par Alexandrovsky. On y joint un portrait le représentant posant avec son épouse, l’impératrice Maria Alexandrovna (1847-1928). Bon état. Tirages albuminés d’époque, couleur sépia, contrecollés sur carton. Formats cabinet.

800/1 000 €

h

MARIA FEODOROVNA, Impératrice de Russie (1847-1928).
Ensemble de quatre portraits photographiques la représentant à divers moments de sa vie signés par Charles Bergamasco (1830-1896) et par Serge Levitsky (1819-1898). Bon état. Tirages albuminé d’époque, couleur sépia, contrecollés sur carton. Formats cabinet.

800/1 000 €

h

Présent offert à la Pincese Alix de Hese-Darmastadt(1872-1918), future impératrice Alexandra Féodorovna à l’occasion de ses fiancailles avec le Grand-Duc héritier Nicolas Alexandrovitch de Russie le 5 avril 1894.
Coffret de voyage, en argent, de forme carrée, couvercle à charnières, avec poignée amovible en ivoire, à décor central du blason aux armes de la Maison grand-ducale de Hesse- Darmstadt en émaux polychromes surmonté d’un ruban portant l’inscription en caractères cyrilliques « à la princesse Alix de Hesse » suivie sur la partie basse de l’inscription en caractères cyrilliques : « fiancée du grand-duc héritier Nicolas Alexandrovitch, 1894 » et orné à chaque angle du monogramme de la princesse Alix de Hesse-Darmstadt sous couronne princière. Intérieur capitonné de tissu rose, avec sur le côté droit l’inscription en caractères cyrilliques : « offert avec dévouement par le capitaine K. Persky de l’artillerie impériale ». Bon état.
Poinçon titre : 84, Saint-Pétersbourg, 1894. Poinçon d’orfèvre : A. F., non identifié. Poinçon de maitre essayeur : Alexandre Syeviyer, actif de 1892 à 1895. L. : 30 cm – L. : 30 cm – H. : 15, 5 cm. Poids brut : 6 kg 200 g.

10 000/12 000 €

Historique : c’est lors du mariage du grand-duc Ernst-Louis de Hesse- Darmstadt (1868-1937), célébré le 9 avril 1894 au château d’Ehrenburg à Cobourg, avec la princesse Victoria-Mélita de Grande-Bretagne (1876-1936), que sa sœur cadette, la jeune princesse Alix de Hesse-Darmstadt (1872-1918), accepta la main du fils aîné de l’Empereur Alexandre III, le grand-duc héritier de Russie (1868-1918). Ainsi, la jeune princesse âgée de 22 ans, deviendra quelques mois plus tard l’impératrice Alexandre Féodorovna de Russie. C’est à cette occasion que la délégation russe accompagnant le tsarévitch Nicolas offrit à la future tsarine de nombreux présents. Dont celui-ci qui fût remis par Constantin Dimitriévitch Persky (1854-1906).

h

Maison Impériale de Russie. Brosse sculptée en ivoire, ornée du monogramme H (probablement au chiffre du futur empereur Nicolas II, à l’époque où il est tsarévitch, ou d’un autre membre de sa famille) sous couronne impériale. Tâches et usures du temps. Travail russe du XIXe siècle.
L. : 23 cm – L.: 9, 5 cm.

600/800 €

h

Portrait du tsar Nicolas II de Russie(1868-1918). MAKEÏEFF Nicolas Vassilievitch (1887-1975).
Dessin à la mine de plomb, signé en bas à gauche et daté 1924, conservé dans son encadrement d’origine en marqueterie de bois, appliqué au bas du cadre de l’aigle impérial des Romanoff en bronze doré, avec pied chevalet au dos. Porte au revers du dessin une dédicace manuscrite en caractères cyrilliques : « A mon cher Michel Mikhaïlovitch Pliguine de la part de Nicolas Makeïeff, Pâques, 1928 ». À vue : H. : 23 cm – L. : 17 cm. Cadre : H. : 27 cm – L. : 21 cm.

600/800 €

h

BROCHE DE CORSAGE. Par HOLMSTRÖM pour FABERGÉ, Saint-Pétersbourg, avant 1896. En or rose, ornée de deux anneaux plats entrelacés, dont l’un est émaillé de bleu translucide bleu sur fond guilloché de « grain d’orge » serti d’une émeraude (restauration) et l’autre émaillé de rouge translucide sur fond guilloché de « grain d’orge » serti d’un diamant. Bon état.
Poinçon titre : 56, Saint-Pétersbourg, avant 1896. Poinçon du maître orfèvre : Auguste Holmström (1829-1903). Numéro d’inventaire : 6922.
L. : 3, 5 cm – L.: 1, 5 cm. Poids brut : 6 g.

3 000/5 000 €

h

BRACELET SOUPLE. En or jaune, orné de maillons émaillés de bleu foncé translucide sur fond guilloché de « grain d’orge » serti au centre d’une rose de diamant. Légères usures du temps, mais bon état général.
Poinçon titre : 56, Saint-Pétersbourg, avant 1896. Poinçon du maître orfèvre : CXN, non identifié. L. : 1, 5 cm – Diam.: 5, 5 cm. Poids brut : 41 g.

3 500/4 000 €

h

BROCHE DE CORSAGE. Par HOLMSTRÖM pour FABERGÉ, Saint-Pétersbourg, 1908-1917. En or jaune, à décor d’une tête de cheval entièrement sertie de diamants, dont la crinière est finement ciselée en or jaune, avec une bride en or rose sertie d’une ligne de rubis. L’œil apparent est serti d’un rubis plus important. Manque un rubis sur la bride, mais bon état général. Poinçon titre : 56, Saint-Pétersbourg, 1908-1917. Poinçon d’orfèvre : August Holmström (1829-1903). L.: 4, 5 cm – L.: 4 cm. Poids brut : 18 g.

2 500/3 000 €

h

Montre de col pour dame. Par Perchin et Fabergé , Saint-Pétersbourg, avant 1896. En or jaune, de forme ronde, retenue par une broche de corsage à décor d’un motif floral ajouré serti de roses de diamant sur fond d’une plaque émaillée de bleu foncé translucide guilloché de rayons solaires, conservée dans son écrin d’origine à la forme, en bois d’érable, intérieur en velours et soie couleur champagne, avec tampon en lettres noires et en caractères cyrilliques : « Fabergé – Saint-Pétersbourg – Moscou – Londres ». Mécanisme probablement suisse ou français, cadran en émail blanc, heures en chiffres arabes couleur bleue, aiguilles ajourées en or. Bon état général, usures à l’écrin.
Poinçon titre : 72, Saint-Pétersbourg, avant 1896.
Poinçon de maître orfèvre : Mikhaïl Perchin (1860-1903), maître d’atelier travaillant pour la Maison Carl Fabergé. H. : 6, 5 cm – Diam. : 2, 8 cm.
Poids brut : 29 g.

12 000/15 000 €

h

Paire de bouton de manchette. Par Afanasieff pour Fabergé,  Saint-Pétersbourg, 1908-1917. En or jaune, de forme ronde, ornée de deux disques sertis au centre d’une pierre de lune cabochon entourée d’une frise à motif grec émaillée de blanc opaque sur une face et de noir opaque sur l’autre face, conservés dans son écrin d’origine de forme rectangulaire en maroquin rouge appliqué au centre d’un monogramme entrelacé en caractères cyrilliques K.B. en or jaune et en or rose [probablement le grand-duc Cyrille Wladimirovitch de Russie (1876-1938) voir son portrait ci- dessus], intérieur en velours et soie couleur champagne. Bon état général, usures à l’écrin.
Poinçon titre : 56, Saint-Pétersbourg, 1908-1917.
Poinçon de maître orfèvre : Fédor Afanassieff (1870-1927), maître d’atelier travaillant pour la Maison Carl Fabergé. L. : 4 cm – Diam. : 1, 8 cm.
Poids total brut : 20 g.

15 OOO/18 000€

h

Épingle à chapeau. Par Thieleman pour fagergé, Saint-Pétersbourg, avant 1896.
En or jaune, ornée à l’extrémité d’une tête de Maure finement sculptée dans un bloc d’obsidienne, portant à l’oreille gauche une boucle d’oreille pendentif sertie d’une perle et d’une rose de diamant et au cou un collier serti de diamants et de rubis. Conservée dans son écrin d’origine à la forme, en bois d’érable, intérieur en velours et soie couleur champagne, avec tampon en lettres noires et en caractères cyrilliques : « K. Fabergé, Moscou, Saint-Pétersbourg, Odessa ».
Bon état général, usures et manques à l’écrin.
Poinçon titre : 56, Saint-Pétersbourg, avant 1896.
Poinçon de maître orfèvre : Alfred Thielemann, actif de 1870 à 1910, travaillant pour la Maison Carl Fabergé. L. : 19, 5 cm – Diam. : 1, 5 cm.
Poids brut : 8, 20 g.

15 000/18 000 €

h

 

Bracelet tubulaire. En or jaune, de forme ovale, orné d’un médaillon ajouré serti au centre d’une importante émeraude cabochon de forme ronde, entourée de quatre diamants. Avec chaînette de sécurité. Accidents et usures du temps.
Poinçon titre : 72, Saint-Pétersbourg, avant 1896. Poinçon de maître orfèvre : non apparent. L. : 6, 5 cm – L.: 6, 5 cm. Poids brut : 25, 80 g.

3 000/5 000 €

Provenance : présent offert par Adolphe Dupuis (1824-1891) à son épouse lors de son séjour en Russie, lorsqu’il était directeur du Théâtre Michel (Théâtre français) de Saint-Pétersbourg de 1860 à 1877.

h

Pommeau d’ombrelle. Probablement par FABERGÉ, Saint-Pétersbourg, circa 1899-1908. En or, de forme tubulaire, en néphrite à décor d’une bague émaillée de violet translucide sur fond guilloché d’ondes verticales, encadré d’une frise de laurier ciselée en or jaune sur fond en or rose. Plusieurs manques et accidents. Sans poinçons apparents.
L. : 7 cm – Diam. : 2 cm.

2 000/3 000 €

h

Montre à gousset. Modèle à répétition des quarts, le boîtier intérieur est en or jaune rose. Il est orné de l’insigne de l’ordre du Saint- Esprit sous couronne royale serti de roses de diamant, sur fond émaillé de bleu translucide guilloché d’ondes. Le boîtier extérieur de protection est en laiton doré et porte le monogramme du propriétaire LRD. Mouvement a coq, échappement à verge, sonnerie des heures et des quarts sur timbre. Usures du temps, petits manques, en l’état. Travail français signé Lépine à Paris.
Diam.: 5 cm. Poids brut : 95 g.

2 000/3 000 €

Historique : Jean Antoine Lépine (1720-1814), devint maître-horloger en 1765 et nommé horloger du Roi. Il fût l’horloger de Louis XV, et de Louis XVI, puis de l’empereur Napoléon Ier.

h

Médaillon pendentif.  En or jaune, orné sur une face du blason de la ville de Saint- Pétersbourg en émaux polychromes entouré d’une guirlande de laurier en or rose surmontée de la couronne impériale de Russie et au dos est gravée l’inscription « Saint-Pétersbourg, 2 avril 1877 à Dupuis ». Important usures du temps, en l’état. Sans poinçons apparents. Diam.: 2, 5 cm.
Poids : 10, 40 g.

600/800 €

Provenance : présent offert par Adolphe Dupuis (1824-1891) à son épouse lors de son séjour en Russie, lorsqu’il fût directeur du Théâtre Michel (Théâtre français) de Saint-Pétersbourg de 1860 à 1877.

h

Ordre de Saint Vladimir.
Modèle commandeur, de 2ème classe, en or et émail rouge, conservé avec son ruban cravate d’origine en taffetas de soie moiré de couleur rouge et noir. Bon état. Poinçon titre : 56, Saint-Pétersbourg, avant 1896.
Poinçon d’orfèvre : illisible. H. : 5, 2 cm – L. : 5, 2 cm.
Poids brut : 22, 30 g.

3 000/5 000 €

h

TIMBALE. Par Fabergé, Saint-Pétersbourg, 1899-1908.
En argent, de forme bombée sur la partie haute, reposant sur une base circulaire entièrement émaillé, à décor de branches de trèfles de couleur vert sur fond d’un dégradé de couleur jaune. Intérieur vermeil. Petites restaurations et usures du temps. Poinçon titre : 88, Saint-Pétersbourg, 1899-1908.
Poinçon d’orfèvre : ФАЬЕРЖЕ : (Fabergé). Numéro d’inventaire : 6319.
H. : 7, 5 cm – L. : 5, 5 cm. Poids brut : 80 g.

4 000/5 000

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Cadre photographique. Par Perchin et Fabergé, Saint-Pétersbourg, avant 1896.
En vermeil, de forme rectangulaire, allongé aux angles du sommet, la face principale est émaillée de bleu translucide sur fond guilloché de « rayon de soleil », contenant au centre deux médaillons de forme ovale pouvant contenir des portraits photographiques cerclés d’une frise feuillagée retenue par une guirlande de laurier finement ciselée de nœuds croisés retenue par des boutons de fleurs ; la bordure d’encadrement est à décor d’une frise de feuillages d’acanthe. La partie supérieure est surmontée d’un nœud enrubanné (postérieur). Avec dos chevalet en vermeil sur fond ivoire (rapporté). Bon état.
Poinçon titre : 88, Saint-Pétersbourg, avant 1896.
Poinçon d’orfèvre : ФАЬЕРЖЕ : (Fabergé).
Poinçon du maître orfèvre : Mickael Perchin (1860-1903).
À vue : H. : 3, 5 cm – L. : 3 cm. Cadre : H. : 10, 5 cm – L. : 11 cm.
Poids brut : 155 g.

6 000/8 000 €

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Coupe-papier de bureau. En argent, lame ajourée à décor d’arabesques ornée au centre d’une partie rectangulaire en or rose, le manche est sculpté d’un personnage tenant dans une main une rose et dans l’autre main une coquille sertie au centre d’une petite perle fine, son corps est composé d’une importante perle fine baroque. Travail probablement russe de la fin du XIXe siècle, sans poinçon apparent. Porte un poinçon d’importation étrangère.
L. : 25 cm. Poids brut : 155 g.

16 000/18 000 €

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Stopa en vermeil. Par Ovtchinikoff,  Moscou, 1895.
De forme évasée vers le haut, à décor d’arabesques alternées de motifs floraux et de motifs géométriques en émaux polychromes cloisonnés sur fond émaillé et sur fond amati or, entourée d’une frise de perles blanches, reposant sur une base circulaire, intérieur vermeil. Bon état. Poinçon titre : 88, Moscou, 1895.
Poinçon d’orfèvre : Pavel Ovtchinikoff et marque du privilège impérial.
H.: 14 cm – Diam.: 8, 5 cm.
Poids brut : 320 g.

7 000/8 000 €

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Stopa en vermeil. Par Kuzmichoff, Moscou, 1895. De forme évasée vers le haut, à décor de motifs décoratifs alternés de bandes circulaires en émaux polychromes cloisonnés sur fond émaillé turquoise et blanc, entouré de part et d’autre d’une frise croisée émaillée de violet sur fond amati or, reposant sur une base circulaire, intérieur vermeil. Bon état.
Poinçon titre : 88, Moscou, 1895.
Poinçon d’orfèvre : Anti Kuzmichoff, actif de 1856 à 1897. H.: 13, 5 cm – Diam.: 6, 5 cm. Poids brut : 242 g.

7 000/8 000 €

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Important Kovsh en vermeil. Par le 20ème ARTEL, Moscou, 1908-1917.
De forme bombée, reposant sur une base ovale, à décor de motifs floraux et géométriques en émaux polychromes cloisonnés sur fond émaillé alterné de plusieurs couleurs, d’inspiration Art Nouveau, intérieur vermeil. Bon état. Poinçon titre : 84, Moscou, 1908-1917. Poinçon d’orfèvre : 20ème Artel.
H.: 12, 5 cm – L.: 27 cm – P. : 15, 5 cm. Poids brut : 663 g.

15 000/20 000 €

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Kovsh en vermeil. Par Fabergé , Moscou, 1908-1917.
De forme bombée, à décor de motifs floraux et géométriques en émaux polychromes cloisonnés sur fond émaillé, d’inspiration Art Nouveau, intérieur vermeil, gravé au revers 9/IX 1912. Bon état.
Poinçon titre : 84, Moscou, 1899-1908.
Poinçon d’orfèvre : K. ФАЬЕРЖЕ : (C. Fabergé) et marque du privilège impérial.
H.: 5, 5 cm – L.: 12, 5 cm – P. : 7, 5 cm. Poids brut : 138 g.

10 000/12 000 €

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Cache – soupière en argent. Par Ovtchinikoff, Moscou, 1874.
À décor en trompe-l’œil représentant une serviette de table, stylisant par une bande en émaux polychromes champlevés le motif de la dentelle.
Petits accidents, mais bon état général. Poinçon titre : 91, Moscou, 1874.
Poinçon du maître orfèvre : Pavel Ovtchinikoff et marque du privilège impérial.
L.:20cm-L.:50cm. Poids : 582 g.

3000/500€

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Étui à cigarettes en argent. Par Stepanoff, Moscou, avant 1896.
De forme rectangulaire, à décor ciselé sur chaque face de fines cannelures horizontales, le couvercle à charnières s’ouvre par une prise latérale, appliqué de cinq décorations miniatures en émaux polychromes représentant l’ordre de Saint- Stanislas, l’ordre de Léopold, l’ordre de la couronne, l’ordre Constantinien de Saint-Georges, l’ordre d’Orange-Nassau, avec compartiments pour amadou, allumettes et grattoir d’allumage, intérieur vermeil. Usures du temps.
Poinçon titre : 84, Moscou, avant 1896.
Poinçon du maître orfèvre : Alexis Stepanoff, actif de 1883 à 1895. L. : 10 cm – L. : 7 cm – E. : 1, 7 cm. Poids brut : 191 g.

1 500/2 000 €

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Étui à cigarettes en cuivre rouge. Par Fabergé, Saint-Pétersbourg, 1914-1915.
De forme rectangulaire légèrement arrondie sur les angles, couvercle à charnières s’ouvrant sur la partie gauche par deux prises en cuivre jaune, à décor repoussé d’un écusson rond orné de l’aigle bicéphale de l’empire de Russie et des inscriptions en caractères cyrilliques « Guerre 1914-1915 » et « K. Fabergé ». Légères usures du temps, petites bosses, mais bon état. Poinçon d’orfèvre : K. ФАЬЕРЖЕ : (C. Fabergé). L.: 9, 5 cm – L.: 6 cm – E.: 2 cm.

2 000/3 000 €

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Étui à cigarettes. Par Selenius, Saint-Pétersbourg, avant 1896.
À décor en trompe-l’œil à l’imitation d’une moufle traditionnelle russe, ciselé d’une frise géométrique en vermeil, l’ouverture se fait par un bouton poussoir en argent, intérieur vermeil. Légères usures du temps, mais bon état général. Poinçon titre : 84, Saint-Pétersbourg, avant 1896.
Poinçon d’orfèvre : Carl Selenius. L.: 12, 5 cm – L.: 7 cm – E.: 2 cm.
Poids : 126 g.

1 400/1 600 €

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Grande boîte à cigare en argent. Par Klingert, Saint-Pétersbourg, 1893.
De forme rectangulaire, à décor finement ciselé à l’imitation en trompe-l’œil représentant les boîtes en bois de 50 cigares commercialisées en Russie à l’époque, par la maison Hermann Upmann. Porte à l’intérieur gravée une dédicace en caractères cyrilliques : « A l’ami des souffrants Théophile Ignatievitch Vdovikovsky de la part d’un patient sincère et reconnaissant V. V. Navrotsky, Odessa, le 28 février 1895 ». Couvercle à charnières, intérieur vermeil. Bon état. Poinçon titre : 84, Saint-Pétersbourg, 1893.
Poinçon d’orfèvre : Gustave Klingert. H.: 6 cm – L.: 21 cm – P.: 12, 5 cm.
Poids : 800 g.

2 000/3 000€

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Boîte à cigares en argent. Par Osïevtroff, Moscou, 1908-1917.
De forme rectangulaire, arrondie sur les angles, couvercle à charnières s’ouvrant par une prise sertie d’un rubis cabochon, à décor d’une scène repoussée représentant un bogatyr en armure ayant tué un dragon, surmonté de l’inscription en caractères cyrilliques : «Dobrinia a fait couler le sang du dragon d’Est en Ouest » et d’un monogramme entrelacé, intérieur vermeil. Bon état.
Poinçon titre : 84, Moscou, 1908-1917.
Poinçon d’orfèvre : Vassili Osïetroff. H.:7,5cm-L.:13cm-P.:10,5cm.
Poids : 495 g.

2 000/3 000 €

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Sac pour dame en argent. Par le 2ème ARTEL, Moscou, 1908-1917.
De forme rectangulaire, retenu par une chainette à maillons, à décor repoussé de deux têtes de chevaux. S’ouvrant par un bouton poussoir serti d’une améthyste. Intérieur à compartiments en soie rouge. Bon état.
Poinçon titre : 84, Moscou, 1908-1917.
Poinçon du maître orfèvre : 2ème Artel de Moscou.
L. : 17 cm – L. : 6, 5 cm – E. : 1, 5 cm. Poids brut : 262 g.

1 200/1 500 €

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Étui à cigares en vermeil. Par Ovtchinikoff, Moscou, 1874.
De forme rectangulaire, couvercle à charnières s’ouvrant par un bouton poussoir, à décor champlevé entièrement émaillé de petits motifs géométriques blancs et bleus encadrant au centre un cartouche encadré d’une rosace, intérieur vermeil. Usures du temps, mais bon état général.
Poinçon titre : 88, Moscou, 1874.
Poinçon d’orfèvre : Pavel Ovtchinikoff et marque du privilège impérial.
L.: 13 cm – L.: 7, 5 cm – E.: 2, 5 cm. Poids brut : 220 g.

800/1 000 €

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Étui à cigarettes en argent. De forme rectangulaire, légèrement arrondi sur les angles, le couvercle s’ouvrant à charnières, à décor d’imitation en trompe-l’œil d’une boîte de cigares, avec bande niellée sertie de deux petits rubis, gravée de l’inscription « Souvenir » et appliqué du monogramme entrelacé A. L. sous couronne comtale. Petites usures, mais bon état dans l’ensemble. Poinçon titre : 88, Saint-Pétersbourg, avant 1899. Poinçon d’orfèvre : illisible.
L. : 7 cm – L. : 12 cm – E. : 3 cm. Poids : 199 g.

800/1 000 €

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Paire de coupes de présentation. Par Sazikoff, Saint-Pétersbourg, 1857.
De forme ronde, en cristal dépoli cerclé d’une frise d’arabesques feuillagées et fleuries, ornées de motifs coquilles de style Louis XV, reposant sur une base tripode finement sculptée du même décor en vermeil.
Bon état général. Poinçon titre : 84, Saint-Pétersbourg, 1857.
Poinçon d’orfèvre : Sazikoff. H. : 27, 5 cm – Diam. : 28 cm.
Poids total : 2 kg 295 g.

6 000/8 000 €

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Coupe de présentation.Par Fabergé , Saint-Pétersbourg, 1908-1917.
De forme ronde, en cristal taillé à décor d’étoiles et de fleurs en diamant, monture en argent ciselée de fines stries et de rubans croisés. Usures du temps, mais bon état général. Poinçon titre : 84, Saint-Pétersbourg, 1908-1917.
Poinçon d’orfèvre : K. ФАЬЕРЖЕ : (C. Fabergé) et marque du privilège impérial.
N° d’inventaire : 33292. H. : 9, 5 cm – Diam. : 22 cm.

2 000/3 000 €

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Paire de chopes en cristal bleu. Par Hertz, Saint-Pétersbourg, circa 1840.
Modèle à pans coupés, monture en argent finement ciselé de motifs feuillagés, couvercle à charnières surmonté d’une prise en forme de fleur au naturel avec anse ajourée figurant une branche d’arbre en trompe-l’œil, intérieur vermeil.
Petits manques, mais très bon état.
Poinçon titre : 84, Saint-Pétersbourg, circa 1840.
Poinçon d’orfèvre : Johan Hertz, actif de 1834 à 1855.
H. : 18 cm – Diam. : 10 cm. Poids total brut : 2 kg 370 g.

15 000/18 000 €

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Grande aiguière. Par Gratcheff, Saint-Pétersbourg, avant 1896. En cristal taillé à décor d’étoiles, de forme évasée vers le bas, monture en argent, couvercle gravé d’un monogramme entrelacé M.O., intérieur vermeil. Légères usures du temps, mais bon état. Poinçon titre : 88, Saint-Pétersbourg, avant 1896.
Poinçon d’orfèvre : Gratcheff avec marque du privilège impérial.
H. : 34, 5 cm – Diam. : 15 cm.

3 000/5 000 €

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Samovar en argent. Par Iwersen, Saint-Pétersbourg, 1827.
De forme rectangulaire, à décor de larges godrons surmontés de frises sculptées de roses, reposant sur quatre pieds boule, avec prises ajourées sur les côtés, intérieur vermeil. Bon état. Poinçon titre : 84, Saint-Pétersbourg, 1827.
Poinçon du maître orfèvre : Anton Iwersen, actif de 1811 à 1830. H. : 42, 5 cm – L.: 31, 5 cm – P. : 29 cm. Poids brut: 3 kg 426 g.

6 000/8 000 €

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Kindjal caucasien en argent. Garde avec deux rivets, fourreau en argent à décor d’arabesques feuillagées niellées en relief sur fond amati or, lame en acier à gorge. Usures du temps. Poinçon titre : 84, Kieff, 1908-1917.
Poinçon d’orfèvre : O.I.P., non identifié.
Lame : 34, 5 cm. Foureau : L. : 50 cm. Poids brut : 560 g.

2 000/3 000 €

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Importante boucle de ceinture en argent. Pour tenue traditionnelle caucasienne, à décor de motifs en relief sur fond niellé dans un entourage d’arabesques feuillagées. Usures du temps. Poinçon titre : 84, Kieff, 1908-1917.
Poinçon d’orfèvre : illisible. H. : 10 cm – L.: 33 cm.
Poids : 593 g.

800/1 200 €

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Ensemble de douze cuillllères à thé. En argent à décor d’arabesques niellées, manches en partie torsadés, l’ensemble est conservé dans son écrin d’origine en forme d’éventail à décor japonisant. Usures du temps. Poinçon titre : 84, Moscou, 1863. Poinçon d’orfèvre : A. E., non identifié.
L. : 13 cm. Poids total : 285 g.

600/800 €

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Important seau à vodka en argent. Par Akimoff, Moscou, 1896.
De forme évasée vers le haut, à décor en trompe-l’œil à l’imitation au naturel d’un baquet traditionnel russe en bois, gravé sur la face avant d’un cartouche feuillagé et fleuri orné d’oiseaux contenant au centre le monogramme entrelacé B.P., avec anse amovible, intérieur vermeil. Bon état. Poinçon titre : 84, Moscou, 1896. Poinçon d’orfèvre : V. Akimoff. H.: 19 cm – Diam.: 16, 5 cm.

Poids : 946 g.

5 000/7 000€

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PETIT PLATEAU DE SERVICE EN VERMEIL.
De forme ovale, à décor central ciselé du blason de la Maison impériale représentant l’aigle bicéphale de l’empire Russe dans un entourage de larges godrons et bordé d’une frise de feuilles de laurier. Bon état, revermeillé.
Travail étranger du XVIIIe siècle, sans poinçons apparents. L. : 34 cm – L. : 27 cm. Poids : 477 g.

2 500/3 000 €

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Important surtout de table en vermeil. Par SEMENOFF, Moscou, 1739.
De forme ovale, à décor repoussé et ciselé, représentant quatre chevaliers en tenue militaire soutenant par leurs bras une corbeille ajourée encadrée de quatre bras de lumières agrémentés de soldats portant d’une main un bouclier et de l’autre un étendard. L’ensemble repose sur une base à décor de médaillons ornés de profils dans un entourage d’arabesques feuillagées. Au revers apparait un rare décor de marqueterie de bois formant une étoile.
Plusieurs manques, mais bon état. Poinçon titre : 84, Moscou, 1739.
Poinçon du maître orfèvre : Pierre Semenoff, actif de 1739 à 1777.

H. : 50 cm – L. : 55 cm – P.: 41, 5 cm.
Poids brut total: 8 kg 885 g.

30 000/50 000 €

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Service Impériale pour table du tsar. Par Feuerbach, Saint-Pétersbourg, 1765.
Trois grands plats en argent de forme ovale, à contour chantourné gravé de filets et surmonté sur le haut du marli du blason aux armes de la Maison impériale de Russie.

Détail du blason de la Maison de Russie.

Porte au revers les numéros d’inventaires : ZC N° 7, ZC N° 8 et ZC N° 9. Bon état, repoli.
Poinçon titre : 74, Saint-Pétersbourg, 1765.
Poinçon du maître orfèvre : Johann Wendel Feuerbach, actif de 1763 à 1767.
Poinçon de maître essayeur : F.I., non identifié mais actif à partir de 1757.
L. : 38 cm – L.: 34 cm.
Poids : 1 kg 735 g.

4 000/6 000 € ,(par plat)

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Ménagère en argent. Par Fabergé, Saint-Pétersbourg, 1899-1908.
À décor de coquilles et de nœuds croisés, gravée sur chaque manche des initiales entrelacées M. H. Composée de 12 cuillères à glace, 11 cuillères à entremet, 12 fourchettes à dessert, 12 couteaux à fruits, 10 cuillères à potage, 12 grands couteaux (lame acier), 22 fourchettes, 6 petites cuillères à café, 1 pelle à tartes, 1 cuillère de service à cornichons, 1 couvert de service à salade, 1 couvert de service à découper, 1 couvert de service à entremet, 1 couteau de service à fromage, 1 pelle de service à entremet, 1 cuillère de service à glace. Usures du temps. Formats divers.
Poinçon titre : 84, Saint-Pétersbourg, 1899-1908.
Poinçon du maître orfèvre : K. ФАЬЕРЖЕ : (C. Fabergé), avec marque du privilège impérial. Poids total brut : 8 kg 400 g.

3 000/5 000 €

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Importante jardinière centre de table. Par Fabergé, Moscou, 1908-1917. En argent, de forme ovale et de style Néo-Rococo, ornée de part et d’autre d’un cartouche coquille gravé au centre d’un blason représentant un bras de chevalier armé d’un sabre sous couronne de marquis, avec anses ajourées ornées de feuillage.

L’ensemble repose sur huit pieds enroulés. La partie intérieure d’origine en métal est amovible. Conservée dans son coffret d’origine en bois naturel, intérieur gainé de velours couleur orange, avec tampon en lettres noires et en caractères cyrilliques : « C. Fabergé – Saint-Pétersbourg – Moscou – Odessa – Londres ». Bon état.
Poinçon titre : 91, Moscou, 1908-1917.
Poinçon d’orfèvre : K. ФАЬЕРЖЕ : (C. Fabergé), avec marque du privilège impérial. L : 77 cm – L. : 31 cm – H. : 24 cm.
Poids brut : 13 kg 800 g.

80 000/100 000 €

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Carafe en frome de kangourou. En argent, finement ciselé, avec tête amovible. Restauration à la charnière, mais bon état général.
Porte les poinçons : 88, Moscou, avant 1896, K. Fabergé. H.: 20, 5 cm – L.: 14, 5 cm – P.: 7, 5 cm.
Poids : 861 g.

6 000/8 000 €

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Six fourchettes à entremets en argent. Par Fabergé, Moscou, 1908-1917.
Manche plat à décor ciselé d’un cygne ailé et gravé d’un monogramme, pointes en vermeil. Bon état. Poinçons titre : 84, Moscou, 1908-1917.
Poinçon d’orfèvre : K. F. (Carl Fabergé). L. : 16, 5 cm. Poids total : 221 g.

600/800 €

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Service de table de l’Impératrice Maria Féodorovna de Russie.
Assiette plate en porcelaine, à décor central d’une fleur polychrome, identifiée au revers : « Narcissus Multiflorus », entourée d’une frise or alternée de motifs stylisés sur fond vert. Légères usures du temps, mais bon état. Marque au revers, aigle impérial noir.
Manufacture impériale de porcelaine, Saint-Pétersbourg, période Nicolas Ier (1825-1855).
H. : 3, 5 cm – Diam. : 24 cm.

10 000/12 000 €

Ce service fut commandé par l’empereur Nicolas Ier pour sa mère, l’impératrice douairière, Maria Féodorovna, née Sophie-Dorothée de Wurtemberg-Montbéliard (1759-1828).

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Service du train du prince Labonov-Rostovsky. Assiette plate en porcelaine, à décor sur le haut du marli d’un blason aux armes de la Maison Lobanov-Rostovsky sous couronne princière en or sur fond bleu foncé et bordée de liseré or. Bon état. Provenant du service utilisé par la famille lors de leurs déplacements dans leur wagon de train privé. Marque bleue au revers. Travail russe du début du XXe siècle, Manufacture de porcelaine de Saint-Pétersbourg.
Diam. : 24 cm.

200/300 €

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Service de table du Grand Duc héritier Alexandre de Russie(1818-1881)Rafraîchissoir à bouteille en porcelaine, provenant du service du pavillon de la Ferme impériale de Peterhof appartenant au tsarévitch Alexandre Nicolaïévitch de Russie, futur tsar Alexandre II (1818-1881). De forme cylindrique légèrement évasée vers le haut, en porcelaine blanche, à décor sur chaque face de son monogramme A (Alexandre) en lettre d’or sous couronne impériale polychrome et or, orné sur les côtés de prises or à décor de feuilles de palmier et de filets or, reposant sur un socle piédouche. Marques au revers dans la pâte en lettres bleues H.I. sous couronne impériale. Circa 1840. Bon état général. Manufacture impériale, Saint-Pétersbourg. Époque : Nicolas Ier (1825-1855).
H. : 17, 5 cm – Diam.: 18, 5 cm.

2 000/3 000 €

Ce service en porcelaine fut commandé en 1840-1841 par le grand-duc Alexandre Nicolaïévitch de Russie, futur empereur Alexandre II, pour la Ferme de Peterhof dans le parc Alexandre.

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Service du Kremlin. Ensemble de trois coupes de présentation (compotiers), légèrement creuses sur piédouche en porcelaine, à décor central de l’aigle bicéphale de l’empire Russe sur fond vert, entouré de l’inscription en caractères cyrilliques noirs « Nicolas, empereur et autocrate de toutes les Russies » entourée de boutons de fleurs, bordée d’une guirlande entrelacée de fleurs polychromes sur fond or.

La partie extérieure est ornée de fleurs polychromes sur fond or alterné de feuillages. Sans marques apparentes. Bon état.
Manufacture impériale de porcelaine, Moscou, période Nicolas II (1894-1917).
H. : 9 cm – Diam. : 22 cm.

5 000/8 000 €

Ce service fut commandé par l’empereur Nicolas Ier en 1836 à la Manufacture Impériale de Porcelaine, pour le palais du Kremlin à Moscou, pour servir lors des grands évènements impériaux. Il fut ensuite utilisé à l’occasion de tous les couronnements des souverains qui le précédèrent et la dernière fois qu’il fût utilisé fut en 1913 lors du grand dîner de gala à l’occasion du Tricentenaire de la Maison impériale des Romanoff. Le décor fut réalisé par Féodor GrigorievitchSolntsev (1801-1892), à partir de l’observation des collections médiévales stockées dans l’armurerie du Kremlin, mais les motifs des assiettes furent directement inspirés des pièces d’orfèvrerie en émaux polychromes cloisonnés en offert en 1667 à Natalia Kirilovna (1651-1694), née Naryshkine, épouse du second Tsar Alexis Mikhaïlovitch (1629- 1676), premier souverain de la dynastie des Romanov. Le service du Kremlin comprend deux parties: le service blanc, utilisé pour le souper, et le service or, destiné au dessert. Il était fait pour cinq cents personnes, avec deux mille assiettes à dîner, mille assiettes à soupe et mille assiettes à dessert. A cette époque les services à dessert étaient toujours plus élaborés que les services de table qui pouvaient par certains aspects paraitres plus simples.

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DANKO Natalia Yakovlevna (1892-1942).
La jeune femme et la diseuse de bonne aventure.
Groupe de personnages en porcelaine, à décor polychrome peint par Maria Alexandrovna Bryantseva (1885-1942), reposant sur une base ovale. Marque au revers en creux en caractères cyrilliques dans la pâte « N. Danko » datée 1922 avec marque en lettres bleue à l’emblème de la faucille et du marteau. Bon état.
Manufacture de porcelaine, époque soviétique.
H. : 20, 5 cm – L. : 11 cm – P. : 7, 5 cm.

4 000/6 000 €

Natalia Danko est considérée comme la fondatrice des modèles soviétiques en porcelaine. De 1919 à 1941, elle dirige l’atelier de sculpture de la manufacture de porcelaine d’État. Elle a créé plus de 300 œuvres qui constituent une sorte de chronique de porcelaine des premières décennies de la vie diversifiée de la Russie postrévolutionnaire. Le modèle que nous présentons est l’une des scènes de la vie colorée des rues de Petrograd au temps des Soviétiques, vue par l’auteur et talentueusement incarnée dans la porcelaine. Le travail est exécuté de manière réaliste avec une étude minutieuse des détails et des vêtements. La peinture délicate se combine harmonieusement avec la forme et revitalise la sculpture, lui conférant une décoration particulière.

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TROUBETZKOY Paul Petrovitch (1866-1938). La princesse Marina Nicolaïévna Gagarine (1877-1924), tenant dans ses bras sa fille Marina. Plâtre, non signé. Usures du temps et petits accidents. H.: 50 cm – L.: 20 cm.

8 000/12 000 €

Référence : cette étude préparatoire en plâtre est à rapprocher de la version réalisée en bronze datée de 1898 se trouvant au Musée russe à Saint- Pétersbourg, intitulée « La Mère et l’Enfant » ; une autre version en bronze fut réalisée en 1902.

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Le thème de la maternité est récurrent chez Troubetzkoy. Ce plâtre fait partie d’un important groupe d’œuvres réalisées durant les premières années de travail de l’artiste. Il représente la princesse Marina Gagarine, cousine de Troubetzkoy, qui posa pour lui à de très nombreuses occasions durant sa carrière d’artiste, et au moins trois bronzes la représentant sont connus.

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École russe du XVIIIème siècle. Pierre le Grand à cheval piétinant un serpent.
Bronze doré, monté sur bloc d’aventurine, l’ensemble reposant sur un socle rectangulaire en bronze doré. Ce modèle est une variante en réduction du célèbre monument commandé par Catherine II en 1782 à Falconet et se trouvant actuellement à Saint-Pétersbourg.
Usures du temps, mais bon état général.
Ateliers lapidaires impériaux, Peterhof, de la fin du XIXe siècle.

H.: 18 cm – L.: 16, 5 cm – P.: 13 cm.

1 200/1 500 €

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Ensemble de deux fauteuils de style Jacob. Beau modèle en acajou, dossier à croisillons ajourés avec accoudoirs, appliqué d’une garniture en laiton doré à décor de cannelures, reposant sur quatre pieds à section carrée. Légères usures du temps, en l’état. Travail russe du XIXe siècle.
H.: 87 cm.

1 000/1 500 €

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Ce type de mobilier en acajou fait référence au style Jacob Russe inspiré de l’ébéniste français Georges Jacob (1739-1814). Ce style est à la mode entre 1790 et 1830. Il n’y a pas de lien direct entre le travail de l’ébéniste français et le style russe portant son nom. Il semble que le nom Jacob ait été employé pour son impact commercial, en transposant les qualités des ébénistes français sur les meubles en acajou russes. Ce style connu un immense succès et fût développé dans toute la Russie et pas seulement à Moscou et Saint-Petersbourg.

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Encoignure meuble d’angle de Style Jacob. En acajou, en trois parties, ornée sur la partie haute de deux portes vitrées, s’ouvrant sur trois étagères et sur la partie basse de deux portes, appliquées de laiton doré ciselé de cannelures. On y joint une table à jeux de même style. Travail russe du XIXe siècle.
Légères usures du temps, en l’état. H.: 203 cm – P.: 75 cm – L.: 100 cm.
H.: 74, 53 cm – P.: 45, 5 cm – L.: 91, 5 cm.

1 000/1 500 €

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DI GOTTARDO GONZAGA Pietro(1751-1831). L’incendie de Rome.
Huile sur toile, signée en bas à droite « Petrus Calcu Pinxit Tau, 1791 », conservée dans un encadrement ancien en bois doré. Rentoilage, bon état.
À vue : H. : 36, 5 cm – L. : 28, 5 cm.
Cadre : H : 39 cm – L. : 47 cm.

8 000/12 000 €

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Pietro di Gottardo Gonzaga est né à Longarone en Italie en 1751. Il fut formé par Giuseppe Moretti et Antonio Visentini à Venise de 1769 à 1772. Il fut influencé par l’art de Canaletto, Bibiena et Tipolo, mais surtout par le Piranèse. Il commença sa carrière de metteur en scène à la Scalla en créant des projets de décor pour les ballets de Canziani et Gallet jusqu’en 1792. Sa vie changea après sa rencontre avec le prince Nicolas Yousoupoff, envoyé personnel de l’impératrice Catherine II de Russie pour les états italiens, qui fut basé à Turin de 1784 à 1789. Youssoupoff rentra à Saint-Pétersbourg en 1791 où il fut chargé de l’organisation des évènements culturels de la cour, ce qui le plaça à la tête de la société d’état des théâtres. Il est impossible d’affirmer si Gonzaga fut invité en Russie à l’initiative du prince Youssoupoff ou par Giacomo Quarenghi, mais en1792 il signa avec le prince Youssoupoff un contrat qui l’engagea comme chef décorateur pour tous les théâtres de Saint- Pétersbourg, contrat assorti d’une énorme rémunération. Youssoupoff resta son plus fidèle soutien jusqu’à la mort de l’artiste à Saint-Pétersbourg en 1831.

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AÏVAZOVSKY Ivan Constantinovitch (1817-1900). Vue de la côte napolitaine.
Huile sur toile, signée en bas à droite, conservée dans un encadrement ancien en bois doré. Bon état. À vue : H. : 77 cm – L. : 105 cm.
Cadre : H : 105 cm – L. : 134 cm.

60 000/80 000 €

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ÉCOLE RUSSE DU XIXe SIÈCLE. Portrait du comte Nikita Ivanovitch Panine(1718-1783). Huile sur toile, conservée dans son encadrement d’origine en bois doré. Avec identification du sujet au revers sur la toile. Bon état, accidents au cadre.
À vue : H. : 43, 5 cm – L. : 31 cm.
Cadre : H. : 65 cm – L. : 53 cm.

3 000/5 000 €

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Le comte entre très jeune dans l’armée impériale de Russie, et devient très vite officier. En 1741 il est nommé par l’impératrice Elisabeth Ière chambellan privé de la souveraine, puis devient diplomate en 1747 avant de devenir l’éducateur du grand-duc héritier Paul Petrovitch de Russie (futur tsar Paul Ier). Sous Catherine II il assurera les fonctions de ministre des Affaires étrangères durant près de 20 ans. Lors de cette période il se distinguera à l’occasion du traité signé entre Catherine II et Frédéric II, en vue de soutenir l’élection de Stanislas Poniatowski au trône de Pologne, élu le 7 septembre 1764, mais aussi lors de la guerre contre les Turcs et le traité de Koutchouk-Kaïnardji (1774), et lors de la déclaration de neutralité armée contre l’Angleterre (1780). Il est souvent considéré à juste titre, comme l’un des hommes les plus cultivés de son époque. Catherine II l’appelait « L’Encyclopédie ». Il reçut les plus hautes distinctions comme celles que nous pouvons apercevoir sur ce portrait, où il porte l’écharpe et la plaque de l’ordre de Saint-André et l’insigne de commandeur de l’ordre de Saint-Alexandre Nevski.

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ÉCOLE RUSSE DU DÉBUT DU XIXe SIÈCLE. Portrait du comte Gregory Gregoriévitch Koushelev(1754- 1833), posant près d’un buste de l’empereur Paul Ier de Russie. Huile sur toile, accidents et usures du temps.
H. : 49 cm – L. : 39 cm.

1 500/2 000 €

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Gregory Koushelev, haut fonctionnaire et militaire, commença sa carrière sous le règne de l’impératrice Catherine II, mais c’est sous le règne de l’empereur Paul Ier, qu’il accèdera aux plus hautes fonctions. Nommé le 7 novembre 1796, général-adjudant de la marine, puis vice-amiral et président des officiers supérieurs de l’Amirauté, il sera promu la même année, amiral de la Flotte impériale. Le 22 février 1799, le tsar le fait comte, en le décorant de l’ordre de Saint-André. A 45 ans sa gloire est faite, veuf, il épouse une jeune fille de 16 ans, la comtesse Liouboff Bezborodko (1783-1809), qui se trouve être la plus riche héritière de son époque en Russie. Après l’assassinat de Paul Ier, en 1801, il quitte ses fonctions officielles, car très ami de l’ancien souverain, il ne souhaite pas faire allégeance au nouveau souverain, soupçonné de complicité dans l’assassinat de son père et reste toute sa vie durant l’ami fidèle de l’impératrice Maria Féodorovna. Le mariage de sa fille Alexandra avec le prince Alexis Alexandrovitch Lobanov-Rostovsky établira ses liens familiaux avec cette famille princière. Il reçut les plus hautes distinctions comme celles que nous pouvons apercevoir sur ce portrait, où il porte l’écharpe et la plaque de l’ordre de Saint-André, l’insigne de commandeur de l’ordre de Saint-Vladimir, l’insigne de commandeur de l’ordre de Saint-Alexandre Nevski, l’insigne et la plaque de commandeur de l’Ordre de Malte.

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ROUBAUD Franz Alexïévitch (1856-1928). Lecture de la trêve signifiant la fin de la guerre du Caucase, par le Grand-duc Michel Nicolaïévitch devant les troupes tchétchènes dans la région de Kwaab, le 2 juin 1864.
Huile sur toile signée en bas à droite, identifiée « Munich Cuartielles » et datée 1900, conservée dans un encadrement ancien en bois doré. Bon état.
À vue : H. : 63 cm – L. : 96 cm.
Cadre : H. : 95 cm – L. : 123 cm.

60 000/80 000 €

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Ce tableau représente le moment historique de la proclamation de la trêve au cours de la Guerre Russo-Caucasienne en 1864 quand la paix tant attendue tombe enfin, et achève ainsi un long conflit armé, politique, et inter-ethnique dans le Caucase. L’image représente le gouverneur du Caucase, le Grand-duc Michel Nicolaïévitch de Russie, frère du Tsar Alexandre II lisant la proclamation de paix devant les troupes dans la région du Kwaab, à l’Est de la Mer Noire (Krasnaya Polyana).

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BOBROV Victor Alexeïevitch (1842-1918). Portrait d’une jeune gitane au foulard rouge. Huile sur toile signée en haut à gauche V. Bobrov en caractères cyrilliques et datée 1909, conservée dans un encadrement moderne en bois doré à riches moulures. Bon état.
À vue : H. : 58 cm – L. : 44, 5 cm.
Cadre : H : 79 cm – L. : 65 cm.

3 000/5 000 €

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KRACKOVSKIY Iosif Evstafevictch (1854-1914). Nature morte aux fleurs de pavot. Huile sur toile signée en bas à gauche Iosif Krackovskiy en caractères cyrilliques, conservée dans un encadrement en bois doré à décor ajouré de rinceaux feuillagés. Petits manques à la peinture, cadre fortement accidenté.
À vue : H.: 51 cm – L.: 73, 5 cm.
Cadre : H. : 71 cm – L. : 94 cm.

2 000/3 000 €

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PASTOUKOFF Boris Ivanovitch (1894-1974). Portrait d’une jeune élégante dans son salon. Huile sur toile signée en bas à gauche Boris Pastoukoff en caractères latins et datée 1935, conservée dans un encadrement moderne en bois doré. Bon état.
À vue : H.: 70 cm – L.: 60 cm.
Cadre : H. : 86 cm – L. : 76 cm.

2 000/3 000 €

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MALUTIN Serge Vassilievitch (1859-1937). Convoi de bois dans les steppes russes. Huile sur toile signée en bas à droite au monogramme de l’artiste en caractère cyrilliques et datée 1928, conservée dans un encadrement moderne en bois doré. Bon état.
À vue : H. : 41 cm – L. : 97 cm.
Cadre : H : 52 cm – L. : 108 cm.

800/1 000 €

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LAPCHINE Georges Alexandrovitch (1885-1950). Les pêcheurs de retour au port. Huile sur toile signée en bas à gauche G. Lapchine en caractères latins, conservée dans un bel encadrement ancien en bois doré à décor feuillagé.
Importantes restaurations mais bon état général.
À vue : H.: 53, 5 cm – L.: 83, 5 cm.
Cadre : H. : 87 cm – L. : 118 cm.

6 000/8 000 €

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CHIRKOFF Alexandre Innokeneff (1902-1946). Fête à la maison. Huile sur toile signée en haut à droite Chirkov en caractères cyrilliques, conservée dans un encadrement ancien en bois anciennement doré.
Manques à la peinture, accidents au cadre.
À vue : H. : 54 cm – L. : 74 cm. Cadre : H. : 80 cm – L. : 98, 5 cm.

12 000/15 000 €

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ZANKOVSKY Ilya Nicolaïévitch (1832-1919). Gunib. Huile sur panneau signée I. Zank en caractères cyrilliques en bas à gauche, conservée dans un encadrement ancien en bois doré mouluré. Porte au dos un cachet de collection au monogramme de la grande-duchesse Maria Pavlovna de Russie (1854-1920) : (M. P.) sous couronne impériale.

Accidents au cadre, restaurations et manques.
À vue : H. : 57 cm – L. : 63 cm.
Cadre : H. : 76 cm – L. : 83 cm.

20 000/30 000 €

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DELAUNAY Sonia (1885-1979).
Projet de costume pour le personnage d’Amnerispour l’opéra Aïda, joué en 1920. Gouache sur papier non signée mais datée XI (19)20, conservée dans un encadrement moderne à moulures dorées et bois noirci. Bon état, petits accidents au cadre. À vue : H. : 28 cm – L. : 17, 5 cm.
Cadre : H. : 58, 5 cm – L. : 48, 5 cm.

4 000/5 000 €

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TCHELITCHEFF Pavel Fédorovitch (1898-1957). Projet de costume pour un personnage masculin, joué dans un opéra mis en scène par Boris Kniazeff pour la compagnie de ballet de Zimine, joué sur la scène du Théâtre cabaret Strelna à Constantinople en 1920. Aquarelle et mine de plomb sur papier signée en bas à droite, conservée dans un encadrement moderne en bois naturel. Bon état.
À vue : H. : 29 cm – L. : 24, 5 cm. Cadre : H. : 50 cm – L. : 42, 5 cm.

6 000/8 000 €

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TCHEKONINE Serge Vassiliévitch (1878-1936).
Projet de costume pour l’un des personnages du ballet Islamey : « l’homme à la guitare », joué en 1928. Aquarelle et mine de plomb sur papier signée en bas à droite par l’artiste, conservée dans un encadrement moderne en bois naturel. Légère insolation, mais bon état général.
À vue : H. : 37, 5 cm – L. : 21, 5 cm.nCadre : H. : 42, 5 cm – L. : 26, 5 cm.

6 000/8 000 €

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SHTERENBERG David Petrovitch (1881-1948). Projet d’un costume pour un ballet russe joué en 1937. Gouache, aquarelle et mine de plomb sur papier, signée en bas à droite des initiales de l’artiste et datée (19)37, conservée dans un encadrement moderne à baguette dorée et bois noirci. Bon état.
À vue : H. : 27, 5 cm – L. : 18 cm. Cadre : H. : 58, 5 cm – L. : 48, 5 cm.

2 000/3 000 €

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EISENSTEIN Serguei Mikhaïlovitch (1898-1948). Projet de décor.
Aquarelle et crayon de bois signée en bas au centre et conservée dans un encadrement moderne en bois teinté vert. Pliures et usures importantes. Travail circa 1920.
À vue : H. : 20, 5 cm – L. : 37, 5 cm. Cadre : H. : 38, 5 cm – L. : 53, 5 cm.

1 000/1 200 €

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MENKOV Mikhaïl Ivanovitch (1885-1926), attribué à. Kino.
Gouache et collage sur papier, signée en bas à droite du monogramme MM et conservée dans un encadrement moderne en bois naturel. Bon état.
À vue : H. : 45 cm – L. : 31 cm. Cadre : H. : 63 cm – L. : 53, 5 cm.

4 000/6 000 €

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Hôtel des ventes de Monte-Carlo

10 – 12 quai Antoine 1er – 98000 Monaco

TÉL. : + 377 93 25 88 89 – FAX : + 377 93 25 88 90

Courriel :  info@hvmc.com

Expert : Cyrille Boulay, Membre de la FNEPSA

Tél: 00 33 (0)6 12 94 40 74

 

Concert exclusif

Orchestre «Bright Bows» de Novossibirsk

Jeudi 4 juillet 2019 à 16h

Église de la Madeleine,VIIIème Paris

 

Solistes:

Marina Kuzina, violon,Novossibirsk

Lauréate de violon et de musique de chambre, professeur de violon et responsable du département cordes au Conservatoire Supérieur de Novossibrisk

Nikita Tokarev, trompette, Moscou

 Né à Saratov en Russie, il a commencé la trompette à l’âge de 10 ans. Diplomé du Conservatoire de Tchaïkovski de Moscou. Il est professeur assistant aux instruments à vents au Conservatoire Tchaïkovski à Moscou.

Des surprises dans la programmation sont prévus.

Entrée libre, avec la possibilité de soutenir les échanges franco-russes par l’achat de disques d’orchestre et par l’adhésion à l’association ArtimA.

Pour toute information et inscription, contactez

L’association ArtimA au: +33(0)640111847

centreartima@gmail.com

Événement dans le cadre du Forum culturel Franco-Russe à Paris.

Entrée est gratuite.

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La Ville l’Évêque annexé à la Ville de Paris en 1722, bénéficia du développement du faubourg Saint-Honoré : son église paraissait bien modeste dans un quartier couvert de somptueuses demeures, telles que l’hôtel d’Évreux habité par Mme de Pompadour. La reconstruction de La Madeleine fut décidée en 1757, à l’emplacement de l’hôtel de Chevigny et des dépendances d’un couvent de bénédictines. S’inscrivant dans le vaste projet d’urbanisme de l’ouest de Paris.

En 1748, la Ville de Paris avait commandé la statue de Louis XV et décidé l’aménagement d’une nouvelle place royale. Les plans avaient été arrêtés en 1755 et la réalisation conduite en huit ans. On avait besoin d’un monument fort pour fermer la perspective de la rue Royale. Pierre Contant d’Ivry (1698-1777), l’architecte du duc d’Orléans, fut chargé des projets. Des lettres patentes signées par Louis XV en 1753 et 1757 attestent l’intérêt du roi pour La Madeleine : il en posa la première pierre, le 3 avril 1763, un an avant que le projet ne soit définitivement arrêté. A la mort de Contant, son élève Joseph-Abel Couture (1732-1799) reprit le chantier et le mena jusqu’en 1789 avec d’importantes modifications.

Dessin de la façade de Vignon.

Raccourcissant la nef pour allonger le chœur et il multiplia les colonnades. L’édifice actuel lui doit l’idée du péristyle élargi à toute la façade et bordant la nef de colonnes détachées, parti que Vignon étendra à tout le périmètre extérieur de l’église.

Il est à  signaler que c’est la seule église à Paris qui n’a pas de croix à son sommet.

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Paroisse de la Madeleine

Place de la Madeleine, 75008  Paris

Métro: Madeleine (ligne 8,; 12 & 14)

 

Théâtre Populaire  Ivanna Nechay

Association Culturelle Franco Biélorusse

Samedi 6 juillet 2019, 18h – 22h

Lac inférieur, Bois de Boulogne, Paris

 

Théâtre Populaire d’ Ivanna Nechay est un projet théâtral et musical unique qui popularise la culture slave dans toutes ses diversités : l’art, la culture, les métiers etc.

Fête Ivana Kupala 2018.

Le collectif des russophones de Paris a été créé en 2015 dont l’activité principale est la mise en scène des spectacles musicaux qui reflètent la culture des fêtes folkloriques essentielles du calendrier : les fêtes de Noël, Sviatki, Maslenitsa, la nuit de Saint Jean etc.

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Fête Slave Ivana Kupala 2019

( Équivalent slave de la fête de St Jean )

Programme de chants traditionnels, rencontre avec les personnages mythiques, chasse au trésor, jeux et buffet….

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Lac Inférieur, Bois de Boulogne,  Paris

Tarifs: 15€ enfants 10€, gratuit moins de 5 ans.

Renseignements & Informations: 06 71 10 85 01  –  06 20 34 51 42

Réservations: https://www.helloasso.com/associations/association-culturelle-amitie-franco-bielorusse/evenements/la-fete-slave-ivana-kupala-1

Réservations: theatre.populaire.paris@gmail.com