Evenements

Association franco-russe Perspectives

К 76-й годовщине Великой Победы
A l’occasion du 76e anniversaire de la Victoire 1945

projections
en ligne gratuites des films

Jusqu’au lundi 17 mai 2021

Films en russe, sous titrés en français

Association franco-russe « Perspectives » en partenariat avec
la Cinémathèque In Cinéma, les Studios « Mosfilm »,
studio 28 homme de Panfilov, la société de production
de cinéma « DocFilmDoc », la Maison russe
des sciences et de la culture (MRSC) à Paris,
avec le soutien du Consulat général de Russie
à Marseille, de la revue franco-russe « Perspective » .

Le programme présente une large palette de films du cinéma soviétique et russe : des très rares, tournés pendant la guerre, jusqu’aux longs métrages et documentaires contemporains.

d

РАДУГА
L’Arc en ciel


Studio Dovjenko, 93 min, noir et blanc
Réalisation : Marc Donskoi
Scénario : Wanda Wasilewska
Avec : Natalia Oujvy, Nina Alisova, Elena Tiapkina, Gans Klering

REGARDER LE FILM : CLIQUEZ 

T

НЕБЕСНИЙ ТИХОХОД
Le trainard du ciel

Studio Lenfilm, 78 min, noir et blanc
Réalisation : Semion Timochenko
Scénario : Semion Timochenko
Avec : Nikolaï Kru.

REGARDER LE FILM : CLIQUEZ

T

СУДБА ЧЕЛОВЕКА
Le destin d’un homme

Studios Mosfilm, 103 min, couleur
Réalisation : Sergueï Bondartchouk
Scénario : Iouri Loukine, Feodor Chakhmagonov
Avec : Sergueï Bondartchouk, Pavel Boriskine, Zinaida Kiriyenko.

REGARDER LE FILM : CLIQUEZ

T

БРЕСТКАЯ КРЕПОСТЬ
La Bataille de Brest-Litovsk

Belarusfilm, Central Partnership, 131 min, couleur
Réalisation : Alexandre Kott
Scénario : Vladimir Eremine, Alexandre Kott, Alexeï Doudarev
Avec : Andreï Merzlikine, Pavel Derevianko, Aliocha Kopachov.

REGARDER LE FILM : CLIQUEZ

T

ВАСЕРИР  документалый филм
Vassenine documentaire

 

DocFilmDoc, 57 min
Réalisation : Andreï Grigoriev
Scénario : Andreï Grigoriev.

REGARDER LE FILM : CLIQUEZ

T

ДОРОГА НА БЕРЛИН
Sur la route de Berlin

Studios Mosfilm, 82 min, couleur
Réalisation : Sergueï Popov
Scénario : Emmanuil Kazakevitch, Evgueni Nikichov
Avec : Yuriy Borisov, Amir Abdykalykov, Maksim Demtchenko, Mariya Karpova, Catherine Ageeva

REGARDER LE FILM : CLIQUEZ

T

ДВАДЦАТЬ ВОСЕМ ПАНФИЛОВЦЕВ
28 hommes de Panfilov

 

Studio «28 hommes de Panfilov» , 122 min, couleur
Réalisation : Andrey Shalopa, Kim Druzhinin
Scénario : Andrey Shalopa
Avec : Aleksandrr Oustiougov, Yakov Koutcherevski, Azamat Nigmanov, Oleg Fedorov, Alekseï Morozov.

REGARDER LE FILM : CLIQUEZ 

T

PLUS DE DÉTAILS sur les FILMS : CLIQUEZ

g h g

Association franco-russe Perspectives
La Sauvagère bât 26, 
253 bd Romain Rolland,  13010 Marseille
Courriel : perspectiva.as@gmail.com

Cercle philatèlique France-Russie

EXPOSITION

” CONQUÊTE de L’ESPACE “

du jeudi 1er au vendredi 30 avril 2021

Sur les panneaux et le site du CRSC Paris

Une exposition de timbres rares sur l’histoire de l’exploration spatiale sera présentée par la Maison russe à Paris à l’occasion du 60e anniversaire du premier vol spatial habité

Du 1er au 30 avril, la Maison russe des sciences et de la culture à Paris organise une exposition de timbres rares soviétiques et étrangers intitulée « La conquête de l’espace (1961–2021) ».

Le 12 avril 1961, l’homme est allé dans l’espace. Le premier humain à entrer en orbite était Youri Gagarine, 27 ans. Il y a 60 ans, Youri Alekseevitch ouvrait triomphalement une nouvelle ère, celle de la navigation spatiale.

Puis en 1961, Guerman Titov a réalisé le premier vol dans l’espace de plus de 24 heures, l’exploit que les États-Unis ne répétèrent qu’en 1963.

En 1962, les vaisseaux spatiaux soviétiques « Vostok–3 » et « Vostok–4 » ont effectué leur premier vol de groupe.

En 1963, la première femme-cosmonaute Valentina Terechkova est partie dans l’espace et le cosmonaute Valeri Bykovski a établi le record actuel du plus long vol spatial en solitaire d’une durée de près de 5 jours.

En 1964, le vaisseau « Voskhod » a permis de lancer le premier équipage multiple en orbite. Les vaisseaux multi-équipages américains sont apparus qu’en 1965.

En 1965, le cosmonaute Alexeï Leonov a réalisé la première sortie extravéhiculaire dans l’espace.

Le premier vol interplanétaire a été effectué en 1966 par l’engin soviétique « Venera–3 », qui a fait un atterrissage brutal sur la planète, y livrant le globe métallique de la planète Terre et le fanion avec les symboles de l’URSS.

Le plus long vol spatial a été réalisé par Valéri Poliakov. En 1994–1995, il a passé 437 jours et 18 heures à bord de la station orbitale Mir, établissant un record absolu du temps total passé dans l’espace en un vol.

Aujourd’hui, l’homme a exploré l’orbite terrestre, a créé la plus grande station spatiale et se prépare à conquérir les planètes.

La cosmonautique nationale s’est développée sur les vaisseaux « Vostok », s’est renforcée sur les « Soyouz », et les véhicules spatiaux « Oriol » l’aideront à trouver le chemin vers les espaces lointains de l’univers.

La coopération internationale dans le domaine des vols spatiaux habités a commencé en juillet 1975, avec la mise en œuvre du programme soviéto-américain « Soyouz–Apollo ».

De 1996 à 2020, 63 équipages de principales expéditions internationales vers l’ISS et 19 équipages de visiteurs ont été formés au Centre de formation des cosmonautes en Russie.

Le 20 juin 2021, la Russie et la France fêteront 55 ans de coopération dans le domaine spatial : la France est devenue le premier pays au monde avec lequel l’Union soviétique a signé un accord intergouvernemental de coopération dans l’exploration et l’utilisation de l’espace extra-atmosphérique à des fins pacifiques.

La France est une grande puissance spatiale, qui se place au troisième rang mondial en termes de développement de l’industrie spatiale (après la Russie et les États-Unis). La France possède sa propre base de lancement proche de l’équateur à Kourou (Guyane), les lanceurs « Ariane » et les professionnels réputés dans ce domaine. Le Centre national d’études spatiales mène des projets fructueux et coopère activement avec les autres puissances. La Fédération internationale d’astronautique et l’Agence spatiale européenne sont basées à Paris.

La France a commencé l’exploration spatiale en 1963 en envoyant un chat femelle qui se prénommait Félicette dans l’espace.

En 1983, la capsule soviétique « Soyouz–T–6 » est entrée dans l’espace avec le premier cosmonaute français à bord. Au total, Jean-Loup Chrétien a effectué trois vols spatiaux sur des vaisseaux russes, dont un avec une sortie extravéhiculaire.

Au cours des années suivantes, les astronautes français ont collaboré avec des équipages américains et soviétiques, et en 1999, le Français Jean-Pierre Haigneré a effectué une mission qui lui a permis de battre le record de durée de vol pour un astronaute non américain et non russe avec 188 jours et 20 heures dans l’espace. Son épouse Claudie Haigneré, née André-Deshays, est la seule femme dans le corps d’astronautes français. Médecin de sa profession principale, elle a effectué deux vols sur le vaisseau spatial soviétique « Soyouz ».

La Station spatiale internationale (ISS) est le plus grand projet international de coopération technologique jamais entrepris. Cette installation orbitale habitée est utilisée comme station de recherche spatiale polyvalente.

Les cosmonautes russes et français Andreï Borissenko, Oleg Novitski, Thomas Pesquet et d’autres ont également collaboré à bord de l’ISS dans le cadre d’une mission internationale.

Aujourd’hui, l’ISS est un projet conjoint impliquant les agences spatiales Roscosmos (Russie), NASA (États-Unis), JAXA (Japon), CSA (Canada), ESA (pays européens).

L’exposition philatélique parisienne racontera en détail ces étapes et d’autres jalons importants de l’histoire de la cosmonautique russe et étrangère.

La MRSC à Paris exprime sa gratitude aux représentants du club russo-français des philatélistes, présent en France depuis 1952, pour leur coopération à la préparation de ce grand projet.

T

Centre de Russie pour la Science et la Culture
61 rue Boissière, 75116 Paris

Tél : 01 44 34 79 79

Contacts : info@crsc.fr

Métro : Boissière (6), Victor Hugo (2)

Bus : 22, 30, 52, 82

Parking : Victor Hugo, Kléber, Longchamp

Concert de musique russe

avec l’ensemble

ZIMA

Dimanche 23 mai à 17h

Église de St Martin de Corconac, 30124, L’Estruche

RÉSERVEZ DÉS MAINTENANT ( Places limitées)

Zima, une rencontre orchestrée par quatre musiciens passionnés d’origine russe.

Nastassia, Youra,Tatiana et Etienne  se connaissent bien. Ils sont très amis, leurs frères et sœurs sont amis, et leurs parents le sont également, les grands-parents… Il y a 100 ans, leurs familles quittaient la Russie en pleine révolution et ont emporté dans leurs maigres valises un riche folklore, des châles à grosses fleurs rouges, du thé noir et surtout une balalaïka. Avec elle, des airs de voyages, tziganes, enflammés, un violon qui pleure et des romances russes à la fois nostalgiques et fougueuses.

Créé en 2012 par Tatiana à la balalaïka et à la guitare et Nastassia au violon et à la guitare, toutes deux chantent principalement.

Nastassia Jacquet-Apreleff est issue d’une famille de musiciens : ses parents sont tous deux balalaïkistes, sa soeur violoniste. Elle a grandi à Paris entourée de tous les musiciens russes de cabaret. A 6 ans elle commence le violon, son instrument de prédilection au conservatoire et a un parcours musical varié, du classique au jazz, de la musique du monde à la musique de film. Nastassia a aussi un autre métier qui la comble: ingénieur du son. Avec Zima où elle chante, joue de la guitare et bien sûr du violon elle retrouve le plaisir intact de jouer les mélodies de son enfance.

r

Tatiana Derevitsky, également issue d’une famille de musiciens, joue de la guitare depuis l’âge de 10 ans et s’est passionnée pour la balalaïka à ses 15 ans. Elle a d’abord étudié avec  Nicolas Kedroff puis a poursuivi son enseignement à l’école nationale de musique de Moscou, le prestigieux conservatoire Gnessine avec Valéry Zajigin. A son arrivée dans le sud de la France, Tatiana est heureuse de retrouver son amie d’enfance et les airs russes qu’elles partagent depuis toujours, le désir complice de jouer ensemble les a alors poussées à fonder Zima.

r

Etienne Plus-Falduzzi est un chanteur et bassiste qui a depuis son plus jeune âge l’amour des arts: du théâtre à la musique en passant par le cirque. Depuis 7 ans il est le chanteur leader d’un groupe de «crazy swing» renommé: « The Mitchi Bitchi Bar » et mène d’autres projets artistiques: quatuor vocal et musique latine. En intégrant Zima il a alors adopté avec enthousiasme la basse balalaïka et son plectre de cuir. Sa rencontre fortuite avec Nastassia et Tatiana l’a poussé à renouer avec ses origines russes, à en réapprendre la langue et à jouer ces mélodies lointainement connues.

Le duo « Zima » est vite devenu un trio avec l’arrivée fin 2013 d’Etienne à la basse balalaïka et au chant. En 2016, la famille s’agrandit encore avec l’arrivée de Youra à la guitare, à la balalaïka alto et au chant.

r

Youra Cabaret, de père français et de mère russe reçoit une formation de pianiste classique dès l’âge de 8 ans. Plus tard il apprendra seul à jouer de la guitare pour accompagner les chansons que sa mère chante lors des fêtes familiales. C’est tout naturellement qu’il mènera deux carrières parallèles, l’une au conservatoire et l’autre dans les cabarets russes de Paris. Il y a 15 ans Youra est descendu s’installer à Sète où il a continué sa carrière de musicien. Dans le sud il rencontre la fille de Pétia, son ancien collègue de cabaret… et le voilà embarqué à son tour dans Zima au complet  !

S

L’église romane de Saint-Martin-de-Corconac est située sur la commune de l’Éstruche. Elle fait partie du « circuit des églises romanes en Cévennes » et plus largement des églises romanes du Bas-Languedoc.

Église de St-Martin de Corconac
Saint-Martin de Corconac, 30124  L’Estréchure

Pour ce concert, vous pouvez venir sur place en réservant ou voir le direct sur YouTube, et dans les deux cas acheter votre billet dès à présent.
Tarifs : normal 10€, sreaming 7€, soutien aux artistes 15€ ou plus.

Billeterie en LIGNE : CLIQUEZ

Exposition de peintures

Anna Sokolova

« Que vos yeux voient-ils ? »

Du lundi 14 au jeudi 24 juin 2021

Galerie La Ville A des Arts, 75018 Paris

Au travers d’un mélange de couleurs, l’artiste nous entraine dans la nature par ses chemins de réflexions sur le thème « autour des arbres ». Avec sa série d’œuvres, Anna Sokolova a essayé d’arrêter le moment présent et de renouveler le regard du public sur l’arbre, à la fois tellement présent et tellement absent de notre quotidien que nous ne le voyons presque plus. En le mettant au centre de sa création artistique, elle a essayé de faire mesurer à chacun d’entre nous combien cette partie de la nature nous est indispensable. D’autant qu’on peut établir un certain parallélisme entre l’arbre et la création artistique. Créer une œuvre d’art, c’est un peu comme planter un arbre: on ne connaît jamais le résultat. Voir fleurir et éclore l’une comme l’autre est matière à émotion et à dialogue entre le public et les créateurs.

Anna Sokolova est née en 1976, à Moscou, dans une famille d’artistes de génération en génération. Son grand-père N.A. Sokolov est l’un des membres de la célèbre équipe créative KoUKRYNIKSA, son père V.N? Sokolov, est académicien de l’Académie des Arts de Russie.
Les traditions culturelles profondes qui ont été cultivées dans cette merveilleuse famille, l’excellent goût artistique inculqué par des années d’éducation ne pouvaient que se refléter dans le travail d’Anna.
Anna est dipômée de l’Ecole Supérieure d’Art de Moscou et de l’Institut d’Art de Moscou Sourikov, section Art Monumental.
Depuis 1995, membre de l’Association Internationale des peintres graphistes et designers IFA,  2001, membre de l’Union des peintres de Russie, membre de l’Associaton Internationale des Arts figuratifs de l’Unesco, en 2016, elle devient membre de l’Association française des artistes plasticiens (Maison des Artistes), membre de la Fondation Taylor depuis 2020.
Elle a longtemps travaillé comme designer et décoratrice d’intérieur.(Installation de vitrines pour des magasins de grandes marques, telles que Dior, Hermès, Salvatore Ferragamo, etc). Ses maquettes réalisées pour ces vitrines ont été présentées dans le cadre de concours européens et ont été publiées.  Elle a crée de peintures murales et de mosaïques pour des appartements privés et des hôtels particuliers.
Actuellement elle travaille  comme graphiste, peintre et paysagiste.

Ses œuvres sont exposées au Musée National d’Art de Vilnius, ainsi que dans des collections privées en Russie et à l’étranger.

EXPOSITIONS

Elle participe aux expositions à la Maison de Artistes de Moscou de 1996 à 1999, … 2010 Exposition à Vilnius, …. 2016 exposition Galerie de St Germain Paris,….. Orangerie, Art en Capital (Paris), 2018 Cannes, CRSC Paris, 2019 I.Gallery Paris.

6 7 6

Galerie La Ville A des Arts
15 Rue Hégésippe Moreau, 75018 Paris.
Horaires : du lundi au vendredi  de 15h à 19h,
samedi et dimanche de 14h à 18h.

Métro: La Fourche (ligne 13)

Pour le 60ème anniversaire du premier vol habité dans l’espace.

” Industrie spatiale.” 

Le passé, le présent et les perspectives du

développement dans l’avenir.

Lundi 12 avril de 14:00 à 17:00  heures  européenne 
(15:00–18:00 Moscou)

Conférence en russe, en français et en anglais

Connexion : CLIQUEZ

Le bureau de représentation de Rossotroudnichestvo au Danemark, la société d’État « Roscosmos », SA « Glavkosmos », avec le soutien des bureaux de représentation de Rossotrudnichestvo en Belgique, en Italie, au Luxembourg et en France, vous invitent à participer à un événement de grande envergure où les cosmonautes russes, européens et americains, des professeurs, des spécialistes, des experts de l’industrie spatiale, ainsi que des dirigeants d’organisations étatiques et à but non lucratif raconteront l’histoire, le présent et l’avenir de la cosmonautique mondiale, fourniront de nombreux nouveaux faits et résultats de la recherche scientifique, qui permettront à nous tous découvrir de nouvelles facettes de l’espace extraterrestre.

Andreas Morgensen (Danemark), cosmonaute

Sergueï Zaliotine (Russie), cosmonaute

Sergueï Avdeïev (Russie), cosmonaute

Vitali Safonov (Russie), SA « Glavkosmos »

John Leif Jorgensen (Danemark), Institut National de l’espace

Alla Razouvaeva (Russie), Sarl « Prosto Kosmos »

Emil Arenholt Mosekjaer (Danemark), « Politiken »

Morten Bo Madsen (Danemark), Institut Niels Bohr

Ole Hartnack (Danemark), Laboratoire « Terma A.S. »

Andreï Vedernikov (Belgique), Centre de recherche sur la microgravité

Angelique Van Ombergen (Belgique), Agence Spatiale Européenne

Lari Cujko (Luxembourg), Centre d’Innovation Européen pour les ressources spatiales

Jah Thoemel (Luxembourg), Laboratoire « Cubesat »

Frédéric Marin (France), Centre National de la recherche scientifique

En russe, en anglais et en français. 

Programme de la conférence

Projection du film

” Les Cloches d’Automne “
Осение Колакола

Dimanche 6 juin 2021 à 16h

Théâtre Alexandre III, 06400 Cannes

Film musical, inspiré du poème d’ Alexandre Pouchkine “Conte de la Princesse morte et des sept chevaliers.

Histoire très proche de celle de Blanche-Neige,  tout en incorporant des traits typiques des contes russes traditionnels. Le Conte de la Princesse morte et des sept chevaliers est un conte merveilleux, d’Alexandre Pouchkine, écrit en 1833 en vers. Le film-conte du poème écrit par le célèbre poète et écrivain Alexandre Pouchkine. 
Le 6 juin (dans le calendrier grégorien) 1799, est l’anniversaire de la naissance du grand poète, dramaturge et romancier russe.

Film de Vladimir Gorikkier, 1978, durée 1 h 40.

Avec : Irina Alferova (Tsarina), Alexandre Kirillov (Tsar), Lioudmila Drebniova (Machekha), Liouba Chirkova-Cherniaeva.

Grand Prix du XVIIe Festival international des Films pour enfants à Gijon (Espagne) en 1979.
Prix « Luchino Visconti » au Concours international « David Donatello » en Italie en 1979.
Prix special du ministère de l’Interieur de l’Italie au Festival international des Films pour enfants et adolescents à Salerno en 1979.

Vladimir Mikhaïlovitch Gorikker (né le 2 novembre 1925 à Moscou. Il a organisé une groupe de musiciens avec des lycéens et des artistes profesionnels Il a étudié dan les petites classes à Kungur. En 1943, il a été enrôlé dans l’armée. Il a servi dans les forces blindées. En 1947, il est diplômé avec distinction du département de théâtre de l’École supérieur au théâtre Mali.
En 1953, il est diplômé avec distinction du département de mise en scène du GITIS , le département de théâtre musical. 

Pendant ses études au département de mise en scène en 1951-1952, il a travaillé comme professeur à l’école de théâtre. Shchepkin.

De 1953 à 1956 – directeur des théâtres d’opéra et de ballet d’Odessa et de Kiev. Sur les scènes de ces théâtres, il met en scène des opéras en passant par Rigoletto de Verdi, Sadko de Rimsky-Korsakov …

1956-1959 – il est étudiant au cours de réalisation au Mosfilm. Son premier film a été ” Sonate de Bethoven” puis nous pouvons citer: “Musique de Verdi”, en 1965 ” l’épouse du tsar”, …. en 1979 “Cloches d’automne”, ses derniers films en 1991 ” Boris Godounov et en 1993 “Roméo et Juliette” .

r

Théâtre Alexandre III
19 boulevard Alexandre III
06400 Cannes

Renseignements :  07 81 99 91 81

 

Pour la sortie du nouvel album

Mardi 13 AVRIL 2021

” LETI  Envole toi ! “

de Véronica Bulycheva

Concert en live-tream Vendredi 2 avril 2021 à 19h

Vu la situation d’incertitude quant à la vie culturel en France, pour la sortie de l’album de Véronika Bulycheva,  elle vous offre le concert live en direct sur sa chaine YouTube le vendredi 2 avril à 19h.

Véronika sera seule à interpréter six nouvelles chansons avec le playback instrumental de l’enregistrement issus du studio. Ce serai aussi l’occasion de répondre à vos questions via le chat en direct et traduire les chansons en français.

S’enregistrer : CLIQUEZ

Veronika Bulycheva,

est proche de nous, comme si sa langue maternelle et la nôtre ne faisait qu’une. Dans un registre contemporain, la suavité et le ton léger de ses mots nous transportent au coeur de sa culture slave jadis si étroitement liée à la France.
En traversant les frontières qui nous séparent de son Oural natal, Véronika avait l’obsession d’atteindre l’espace de libre expression tant évoqué et souvent fantasmé par celles et ceux qu’elle a quitté.
Veronika est ce trait d’union artistique qui permet après murs et rideaux effondrés, de retrouver l’intimité et l’émoi d’un univers poétique commun.
Chanteuse guitariste et compositrice, elle nous emmène dans son univers poétique au fil de son histoire avec ses chansons, « où l’on sait rire d’un drame autant qu’en pleurer ».

Veronika Bulycheva est née d’un père russe et d’une mère oudmourte dans un petit village de l’Oural en Russie. À 15 ans, elle commence des études musicales au lycée de Votkinsk (la ville natale du compositeur P.I.Tchaikovski) : elle étudie l’accordéon, le chant lyrique et la direction de chœur. En 1989 elle entre à l’Académie des Arts de Saint-Pétersbourg où elle suit un cursus de guitare jazz et apprend la composition. Ses études achevées, forte de plusieurs années d’expériences de la scène et confiante dans son talent, elle quitte Saint-Pétersbourg en 1992 pour Paris.

À Paris, avec sa compatriote, chanteuse et violoniste, Natalia Ermilova elles forment le duo Mamouchka. Ensemble elles enregistrent plusieurs albums de chansons traditionnelles russes (label ARB music). En 2004 Veronika commence sa carrière solo et produit 4 albums de compositions (Sketis Music). Son dernier EP « Of the Ural » est accessible sur toutes les plateformes numériques.

Il vous faudra toutefois prendre votre mal en patience pour découvrir le nouvel opus de Veronika Bulycheva, dont la sortie sur les plateformes digitales est prévue pour le 13 avril 2021. Le projet paraîtra sous le label iMusician, un service indépendant de distribution de musique en ligne. Ce nouvel album de l’artiste verra le jour près de 3 ans après son dernier EP baptisé Of the Ural, disponible sur toutes les plateformes numériques. Cet opus revenait notamment sur les liens très forts qu’elle partage avec son Oural natal. Loin d’être novice dans cette industrie musicale, Veronika Bulycheva a d’ores et déjà 25 ans de carrière derrière elle, avec une belle discographie en prime. Membre fondatrice du groupe Mamouchka avec sa compatriote, la chanteuse et violoniste Natalia Ermilova, elles ont toutes 2 enregistré 4 albums de chansons traditionnelles russes et un album pour enfant. Elle s’est ensuite lancée dans une carrière solo en 2004, qui a débouché sur la réalisation et la production de 4 albums, 1 EP et 1 album de collaboration avec le groupe russe Izumrud. En outre, elle a également été sollicitée en 2019 par le label ARB music pour interpréter un album de berceuses russes, baptisé Berceuses de Lilouchka, dont le titre est un hommage à sa défunte mère. Un opus au succès d’estime conséquent puisqu’il fut auréolé du titre de “meilleur album pour enfants de l’année 2020” par les médiathèques de Paris…

Remise pour les adhérents d’Artcorusse de 15% sur la vente de mon nouvel album « Leti » format digipack avec un livret, textes de chansons en russe traduites en français .

INFO :
Concert en Direct 2/04/2021 à 19h : Youtube
Ecouter l’album « Leti » : SoundCloud
Acheter l’album « Leti » : Bandcamp
Page Facebook : Veronika Bulycheva
Courriel : contact@veronikabulycheva.com

Vente ART RUSSE

en ligne

Русскоу искусстово

Vente à Versailles

Samedi 13  mars à 14 h

Dimanche 14 mars 2021 à 14 h

Vente en ligne samedi  : CLIQUEZ

Vente en ligne dimanche : CLIQUEZ

Hôtel des Ventes du Château, 13 Av. de St Cloud,

78000 Versailles

Inscription avant le samedi 13 mars

pour bénéficier de tous les avantages :

c’est simple et c’est gratuit.

EXTRAITS du CATALOGUE


Samedi 13 Mars à 14h : Lots n°1 à 173
Livres rares et documents historiques

LOT 10. POKHORSKI Dimitri (1782-1836)
L’histoire de la Russie avec 62 portraits des Tsars. Seconde édition avec des ajouts. Ed. de la typographie de l’Université de Moscou, Moscou,
1823. 183 pp., 2 tableaux dépliants, in-12, reliure postérieure demi-cuir
(garde la couverture originale). B.E. (il manque un coin sur le portrait
d’Alexandre Ier, légères salissures et traces d’eau). Très rare.
Ce livre présente des biographies de tous les grands ducs, des tsars et des
empereurs russes, raconte les évènements principaux de leur règne.

ПОХОРСКИЙ Дмитрий (1782–1836)
Российская История с 62я портретами Великих государей. Издание второе, вновь исправленное и умноженное. Изд. В Университетской Типографии, Москва, 1823 г. 183 стр., 2 раскладные таблицы, 22 х 14 см., полукожаныйвладельческий переплет (с сохранением оригинальной обложки). Хор.сост.
(нехватка уголка на портрете Александра I, легкие загрязнения, следы
влаги). Редка. Первое издание «Российской истории с портретами Великих Государей» появилось в 1819 году и содержало (как и второе издание 1823-го года) 62 портрета, выполненных пунктиром и резцом гравером А. Афанасьевым
– одним из самых плодовитых и талантливых граверов первой трети XIX в. Книга была весьма популярна, составлялась на основе знаменитой
«Истории Государства Российского» Н.М. Карамзина. В книге кратко
изложены биографии всех великих князей, царей и императоров, рассказыва-ется о важнейших событиях в истории государства. Писатель одним из первых обратился к новейшей русской истории, осветив периоды правления Петра Великого, Екатерины II, Павла I, Александра I, Николая I и других.
Дмитрий Власьевич Похорский (1782–1836) – священник, пресвитер
Московского Благовещенского придворного собора, писатель и педагог
3 000/4 000 €

g

[Rarissime édition d’Eugène Onéguine
du vivant d’Alexandre Pouchkine]

LOT 12. POUCHKINE Alexandre (1799–1837)
Eugène Onéguine. Roman poétique d’Alexandre Pouchkine. Sixième chapitre. Ed. de la typographie du départementd’éducation. Saint-Pétersbourg, 1828. 46 pp., in-12, reliure demi-cuir d’époque. B.E. (tache au bord sur les pages 1-11). Cachet de la Société sociale de Kiev sur la page de titre (1913) et le même cachet sur la page 7.
Alexandre Pouchkine a commencé à écrire Eugène Onéguine sans vraiment espérer que le roman soit publié un  jour. Le roman a été pensé comme une vision satirique de la société de l’époque et Pouchkine avait raison de penser que la censure n’accepterait jamais une œuvre semblable. Le premier chapitre a été achevé assez rapidement, mais le roman en totalité a nécessité huit ans de travail du poète.
Pouchkine décide de publier « Eugène Onéguine » par chapitre sans attendre de terminer l’œuvre en entier. Le succès est extraordinaire. Les petits livres qui étaient assez chers partent en vente très rapidement. L’éditeur pense que ce roman permettra probablement de sauver la situation financière du poète et décide de publier Boris Godounov qui est presque terminé aussi.
Le fait que Pouchkine soit parvenu à publier entièrement Eugène Onéguine par chapitre est assez surprenant car au cours de ces huit années il a rencontré de nombreux problèmes avec la censure et avec le tsar Nicolas Ier lui-même pour d’autres poèmes. En 1833, le roman est publié dans son intégralité.

ПУШКИН АЛЕКСАНДР (1799–1837)
Евгений Онегин. Роман в стихах. Сочинение Александра Пушкина. Глава шестая. СПб.: в типографии Департамента Народного Просвещения, 1828. 46 стр. 16,3х10,5 см. В полукожаном переплете эпохи. В хорошем состоянии, временное пятно сбоку блока на с.1-11. На титуле штамп Киевского Общественного Собрания (1913). На с.7 еще один штамп Киевского Общественного Собрания.

20 000/30 000 €

g

[Rare édition du poème interdit de Mikhail Lermontov]
[Посмертное издание запрещенного М.Ю.Лермонтова]

LOT 15. LERMONTOV Mikhail (1814-1841)
Le Démon. Seconde édition (corrigée et complétée). Ed. Ferdinand Schneider, Berlin, 1857. 68 pp., les pages ne sont pas découpées, in-12, reliure de l’éditeur. B.E. (petit manque au bout du dos, légères taches sur les pages). Très rare édition du poème légendaire de Mikhail Lermontov.
Pendant dix ans Lermontov travaille à l’une des oeuvres les plus remarquables de sa vie. Après de nombreuses corrections imposées par la censure, Le Démon est interdit à la publication. Ce poème ne paraîtra jamais pendant la vie de l’auteur ; il circulait en copies manuscrites effectuées par les amis du poète. En 1856, Le Démon paraît pour la première fois à Berlin à partir d’une de ces copies. Tout le tirage
se vend rapidement suite à quoi l’éditeur reçoit plusieurs lettres d’amis du poète lui indiquant des corrections à apporter. La seconde édition, présentée aux enchères, peut ainsi être considérée comme
l’édition la plus proche de l’original de l’œuvre. Le Démon n’a paru en Russie qu’en 1860 et est devenu l’undes poèmes les plus importants de la littérature russe.

ЛЕРМОНТОВ Михаил (1814-1841)
Демон. Издание второе (исправленное и дополненное). Изд. Ferdinand Schneider, Берлин, 1857. 68 стр.,
страницы не разрезаны, 18 х 12,5 см., издательская обложка. Коллекционная сохранность (легкий надрыв
внизу корешка, легкие загрязнения обложки, лисьи пятна, владельческая отметка карандашом на обложке).
Редчайшее второе издание легендарной поэмы М.Ю. Лермонтова.

1 500/3 000 €

g

LOT 33. GRANDE DUCHESSE OLGA KONSTANTINOVNA (1851-1926)
Autographe
Jours après jours. Recueil des citations de M. Lermontov pour chaque jour. Saint-Pétersbourg, édition de la typographie d’état, 1886. In-4, pages
non numérotées, reliure postérieure (c.1920) en cuir rehaussé d’or. Chaque page est datée par un jour de chaque mois (365 jours) et porte une citation d’un des poèmes de Lermontov (poète préféré de la grande duchesse). Nombreux autographes aux personnalités connues de l’époque (S. Kotchubeï, M. Baryatinskaya et autres), dédicacé et offert à M. et Mme Strukov. T.B.E.
La grande duchesse Olga Constantinovna (1851-1926) – la petite-fille de l’empereur Nicolas Ier et la fille du grand duc Constantin Nikolaevich. Elle se maria à Saint-Pétersbourg, en octobre 1867, avec Georges Ier de Grèce. Dans la période difficile de la guerre russo-turque, elle devient régente en 1920 près de son fils.
Provenance : Nicolas Strukov (1861-1944) – secrétaire de la grande duchesse Élisabeth entre 1911 et 1917. Directeur de la manufacture de la porcelaine de Saint-Pétersbourg.

Великая княгиня Ольга Константиновна (1851-1926) – Автограф
Изо дня в день. Извлечения из сочинений Лермонтова на каждый день. Санкт – Петербург, Гос.тип. 1886 г., 28,5 х 20 см. В цельнокожаном переплете 1920х годов, на крышках и корешке тиснение золотом. Страницы в книге не пагинированы, а только датированы по дням года (365 стр.). На каждой странице приведена цитата из сочинений Лермонтова.

3 500/4 500 €

g

LOT 46. Précieux corpus diplomatique des 6 actes ayant permis d’instituer
ce Grand Prieuré de Russie, soit 3 signés par Paul Ier et 3 par ses
plénipotentiaires. Les premières tentatives de rapprochements entre l’Empire russe et l’Ordre de Malte datent du XVIIe siècle. Le Grand Maître de l’Ordre s’était adressé plusieurs fois à Catherine II en espérant obtenir un soutien financier et une protection de la Russie. Les discussions s’enlisèrent. Le Grand Maître trouvait l’impératrice trop exigeante ; Catherine II voyait en Malte la possibilité d’installer la flotte russe en pleine Méditerranée afin de renforcer ses positions en Europe. Catherine II ne souhaitait pas financer l’Ordre de Malte sans cette contrepartie. Les négociations recomencernt au tout début du règne de son fils Paul Ier avec lequel le rapprochement prirent une autre dimension.
Après la Révolution française, l’Ordre de Malte se trouve dans une situation très complexe.
En 1792, les révolutionnaires confisquent les biens français des Hospitaliers, comme ceux de tous les autres ordres religieux. Le Grand Prieuré de France est dissout cette même année et l’Ordre perd alors les trois quarts de ses revenus sur le territoire français. La
République essaie d’organiser un coup d’État à Malte en 1793. Le port situé au milieu de Méditerranée intéresse de plus en plus le jeune Bonaparte. En outre, après le troisième partage du royaume de Pologne en 1795, où se trouvait le dernier Prieuré de l’Ordre de Malte en dehors de l’île, la situation se complique. Une grande partie de la Pologne et les territoires du Prieuré d’Ostozhesk passent sous domination russe et le Prieuré cesse de
financer l’Ordre. Une nouvelle tentative de rapprochement avec l’Empire russe apparaît comme une dernière chance pour l’Ordre de Malte.

g

LOT 56. TOLSTOI Léon (1828-1910) – Autographe TOLSTOI Sofia (1844-1919) – Autographe Lettre autographe, écrite par Sofia Tolstoï et corrigée plusieurs fois par Léon Tolstoï. 4 pp., in-8, en français. 1er janvier 1910. Jasnaïa Poliana. Léon Tolstoï remercie l’orchestre pour le concert joué à Jasnaïa Poliana récemment. Nous y joignons la même lettre en anglais, tapuscrit. 1 pp., in-4. 1er janvier 1910. ТОЛСТОЙ Лев (1828-1910) – Автограф ТОЛСТАЯ Софья (1844-1919) – Автограф Письмо-автограф Софьи Толстой. 4 стр., 21 х 14 см., на французском. 1 января 1910, Ясная Поляна. Черновик письма с множественными исправлениями (рукой Л.Н.Толстого). Благодарственное письмо в ответ на выступление музыкального оркестра, специально приехавшего в Ясную Поляну по просьбе Толстых. Прилагаем машинопись данного письма на английском. 1 стр., 28 х 21,5 см. 1 января 1910, Ясная Поляна.

300/400 €

g

LOT 66. GOGOL Nicolas (1809-1852) Les Ames mortes. St. Pétersbourg, éd. A.F. Marks, 1900. – VIII, 572 pp., 36,5 х 29 cm. 10 ill. en technique d’héliogravure effectuées d’après des dessins de V. Andreev, A. Afanasiev, N. Bazhin, S. Solomko, N. Khokhryakov, des vignettes et des lettres par N. Samokish. Belle reliure demi-cuir de l’époque dans le style Art Nouveau. B. E. ГОГОЛЬ Николай Васильевич (1809-1852) Похождения Чичикова, или Мертвые души: Поэма; текст по послед. ред. акад. Н.С. Тихонравова. СПб.: А.Ф. Маркс, [1900]. – VIII, 572 с.: ил., 1 л. фронт. (портр.), 10 л.; 36,5х29 см. Портрет Н.В. Гоголя на фронтисписе выполнен в технике гравюры на стали. Десять иллюстраций на отдельных листах по рисункам художников В.А. Андреева, А.Ф. Афанасьева, Н.Н. Бажина, С.С. Соломко, Н.Н. Хохрякова и др. – в технике гелиогравюры. Буквы и виньетки выполнены Н.С. Самокишем. В полукожаном издательском иллюстрированном переплёте. Потёртости переплёта, реставрация краёв переплёта и корешка, незначительные загрязнения отдельных страниц от перелистывания. Золотым тиснением суперэкслибрис “Е.Л.” в нижней части корешка. Роскошное подарочное издание знаменитой поэмы Николая Васильевича Гоголя.
300/400 €

g

LOT 67. [De la bibliothèque de Nicolas Touroveroff] ORLOV Ivan (1870-1918) Les notices sur la collection des portraits gravés. Des ajouts pour le dictionnaire détaillé de Rovinski. Composés par I.Orlov à la base de sa collection particulière. Ed. Goliké et Vilborg, Saint-Pétersbourg, 1912. 91 pp. 42 pl. d’illustrations lithographiées, in-4, reliure posterieure (garde la reliure de l’éditeur). Ex-libris de Nicolas Touroveroff et D.Oznobshin. B.E. Rare. Provenance : Nicolas Touroveroff (1899-1972) – officier de l’armée blanche, cosaque.
[Из библиотеки Николая Туроверова] ОРЛОВ Иван (1870–1918) Заметки о некоторых гравированных портретах. Дополнение к подробному словарю Ровинского. Составил по своему собранию И. Орлов. СПб., тов-во Р. Голике и А. Вильборг, 1912 г. 91 стр. + 2 стр. предисловия , 8 стр. указ. упомянутых мастеров, 42 л. илл., воспроизведенных в техниках литографии и грав. на меди, 29,5 х 23 см. Двухцветная орнамент. обложка сохранена под владельческим цельнотканевым переплетом. На форзацах экслибрисы: Д. И. Ознобишина и Н. Н. Туроверова. Хор.сост. Провенанс: Николай Туроверов (1899-1972) – поэт, офицер, донской казак. Офицер русской и белой армии.
500/800 €

g

LOT 95. MEREJKOVSKY Dmitrii (1865-1941) – Autographe Les mystères de l’orient. Égypte-Babylone. Traduit du russe par Dumesnil de Gramont. Ed. « L’artisan du livre », Paris, 1927. 396 pp., pages ne sont pas découpées, in-12, reliure de l’éditeur (couverture détachée). B.E. Dédicacé par l’auteur en français à Elvire Choureau, présidente de Cercle des libraires. МЕРЕЖКОВСКИЙ Дмитрий (1865-1941) – Автограф Тайна трех: Египет и Вавилон. На французском. Перевод с русского Домениль де Грамон. Изд. « L’artisan du livre », Париж, 1927. 296 стр., страницы не разрезаны, 19 х 13 см., издательская обложка (верхняя крышка отделена от блока). Хор. сост. Дарственная подпись Эльвире Шуро, президенту круга книгопродавцов.
400/500 €

g

Lot de livres provenant de la bibliothèque du dernier haut-procureur du Saint-Synode et ministre des Affaires religieuses du gouvernement provisoire, théologien libéral et historien de l’Église orthodoxe russe Anton Kartachev. Après son émigration à Paris, Kartachov a joué un rôle important dans la vie de la communauté russe et était parmi les fondateurs et professeurs de l’Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge de Paris (1925-1960).
БИБЛИОТЕКА АНТОНА ВЛАДИМИРОВИЧА КАРТАШЕВА Представленные ниже книги происходят из библиотеки российского государственного деятеля и последнего обер-прокурора Святейшего синода. Богослов и историк русской церкви до эмиграции Антон Карташев занимал пост министра исповедания при правительстве генерала Юденича. В Париже играл важную роль в жизни русской эмиграции, преподавал на филологическом факультете Парижского университета. Был одним из основателей и профессором Свято-Сергиевского православного богословского института в Париже (1925—1960).

LOT 103. ZVORIKIN Nicolas (1853-1939) – Autographe Pour la renaissance de la Russie. Paris, 1929. 278 pp., 3 pl. d’illustrations, in-8, reliure de l’éditeur. Première édition. Dédicacé à Anton Kartachev. T.B.E. Le livre présente une étude approfondie et importante sur la vie du peuple russe et des paysans en Russie.

ЗВОРЫКИН Николай (1853-1939) – Автограф К возрождению России. Париж, 1929. 278 стр.. 3 л. иллюстраций, 22,2 х 13,3 см., издательский переплет. Первое издание. Дарственная надпись: «Дорогому и глубокоуважаемому Антону Владимировичу Карташову, признательный автор». Коллекционная сохранность. В настоящем труде представлены результаты 30 лет изучения быта и нравов русского крестьянства. Сверхзадачей, которую ставил перед собой автор, было ответить на вопросы об экономических причинах революции в России и прихода к власти большевиков и путях дальнейшего развития страны. Николай Зворыкин (1853-1939) – известный российский юрист (кандидат права), экономист, исследователь сельского хозяйства и положения крестьян, член ряда научных и экономических обществ Франции.
200/300 €

g

[DE LA BIBLIOTHÈQUE DU PHILOSOPHE NICOLAS BERDIAEV]
[ИЗ БИБЛИОТЕКИ ФИЛОСОФА НИКОЛАЯ БЕРДЯЕВА]

LOT 112. MOCHULSKÏ Constantin (1892-1948) – Autographe Vladimir Soloviev, la vie et la philosophie. Ed. «Ymca press », Paris, 1936. 264 pp., in-8, reliure de l’éditeur. Dédicacé à Nicolas Berdiaev. T.B.E. (notes du propriétaire sur les pages). Provenance : Nicolas Berdiaev (1874-1948) – un philosophe chrétien russe de langues russe et française. Entre 1942 et 1948 il a été présenté sept fois au prix Nobel.
МОЧУЛЬСКИЙ Константин (1892-1948) – Автограф Владимир Соловьев, жизнь и учение. Изд. «Ymca press », Париж, 1936 г. 264 стр., 23,5 х 16,5 см., издательская обложка. Дарственная надпись: «Дорогому Николаю Александровичу Бердяеву от любящего его автора. 24-XI-36 Париж». Хор.сост. (владельческие пометы на полях). Провенанс: Бердяев Николай (1874-1948) – русский религиозный и политический философ, представитель русского экзистенциализмa и персонализма. Автор оригинальной концепции философии свободы и концепции нового средневековья. Был семь раз номинирован на Нобелевскую премию по литературе (1942—1948).
400/500 €

g

LOT 126. OSSORGUINE Mikhail (1878-1942) Portrait d’une mère. Journal intime d’un père. Ed. « Source », Paris, 1929. 64 pp., in-12, reliure de l’éditeur. Exemplaire numéroté et signé par l’auteur (N13).

B.E. ОСОРГИН, Михаил (1878-1942) Вещи человека: Портрет матери. Дневник отца. Изд. кн. дела «Родник», Париж, 1929. 64 стр., 19,5х14,5 см. Тираж 150 экз., из которых 100 поступают в продажу, все за собственноручной подписью автора. Экземпляр № 13. В иллюстрированной издательской обложке работы А. Шема. Хор.сост. 150/200 €

zkz

Dimanche 14 Mars 14h : Lots n°174 à 319

Icônes, tableaux et objets d’art

LOT 174. COFFRET pour un livre de prières
Argent, repoussage
Poinçons : 84, contrôle et l’année (mail lisible). 8 х 6,5 cm. (fermé),
8 х 14 cm. (ouvert). XVIIIe siècle. Avec un fermoir d’origine.
A l’intérieur du coffret se trouvent huit icônes de petit format représentant les scènes de la passion du Christ. Tempera sur bois. Russie, XVIIIe siècle. B.E.

ФУТЛЯР ДЛЯ МОЛИТВЕННИКА
Серебро, рельеф.
Клейма: 84, пробирное и год (читаются плохо). 8 х 6,5 см. (закрытый),
8 х 14 см. (открытый). XVIIIй век. С оригинальной застежкой.
Открывается, в створках восемь маленьких икон, представляющих
Страсти Христовы. Темпера, дерево. Россия, XVIIIй век. Хор.сост.
1 500/2 000 €

g

LOT 176. Icône « Dormition de la Vierge Marie » Russie, XVIIIe siècle
Tempera sur bois 69 x 57 cm. A.B.E. (manques aux bords).
Икона «Успение Пресвятой Богородицы» Россия, XVIII век
Темпера, дерево 69 х 57 см. Общ.хор.сост. (нехватки по бортам).
1 000/1 500 €

g

LOT 189. Croix Russie, XIXe siècle Argent gravé
7 х 4,5 cm., 20 g.
Крест наперстный Россия, XIX век
Серебро, гравировка 7 х 4,5 см., 20 гр.
400/600 €

g

LOT 188. Icône de voyage «saint Nicolas» Bronze Russie, XVIIIe siècle
9,7 х 7 cm.
Икона «Святой Николай Чудотворец» Бронза
Россия, XVIII век
9,7 х 7 см.
50/80 €

g

Tableaux et dessins
Живопись и рисунок

LOT 192. ÉCOLE DE VLADIMIR BOROVIKOVSKI (1757-1825)
Russie, XVIIIe siècle
Projet de décoration pour une cathédrale à Nijni Novgorod. Cinq planches de dessins représentant des anges. Cachets avec un aigle bicéphale « Projet de la création d’une cathédrale à Nijni Novgorod » sur chaque feuille.
Aquarelle et crayon sur papier. Papier renforcé par un carton postérieurement. Notes à la main au crayon « L’État », « Les chérubins » sur trois planches. 37 x 24 cm.
НЕИЗВЕСТНЫЙ ХУДОЖНИК ШКОЛА В.Л.БОРОВИКОВСКОГО (1757-1825)
Россия, XVIIIй век
Проект оформления собора в Нижнем Новгороде. Пять листов рисунков с фигурами ангелов. Печать с двугла- вым орлом «Проект о построенiи собора въ Нижнем Новгороде» на каждом листе.
Бумага (укреплена более поздним картоном), акварель, карандаш
Подписи карандашом на трех листах: «Государство», «Херувимы».
37 х 24 см.
3 000/6 000 €

g

LOT 194. ORLOWSKY Alexander (1777-1832)
Turc à cheval Huile sur métal
31,5 x 23 cm.
ОРЛОВСКИЙ Александр (1777-1832)
Турок на коне Масло на металле
31,5 х 23 см.
3 000/5 000 €

g

LOT 201. SOKOLOWSKI Zygmund (1857-1888)
Dame sous un arbre, Aquarelle sur papier
Signé, daté et annoté en bas à gauche «Sokolowski 78 » « Salon 79 »
34 х 24 cm.
СОКОЛОВСКИЙ (1857-1888)
Девушка под деревом, Бумага, акварель
Подпись и дата слева внизу «Sokolowski 78 » « Salon 79 »
34 х 24 см. (в свету)
300/400 €

g

LOT 202. KOROVIN Konstantin (1861-1939)
Place de Clichy, Huile sur carton
Signé en bas à gauche « Constant Korovine Paris »
25 x 40 cm.
КОРОВИН Константин (1861-1939)
Площадь Клиши Картон, масло
Подпись слева внизу « Constant Korovine Paris »
25 x 40 см.
25 000/35 000 €

g

LOT 203. GRIGORIJEFF Boris (1886-1939)
Scène de plage, Aquarelle, crayon sur papier
Signé en bas à droite 34 x 42 cm.
Provenance :
Sotheby’s 8 nov. 1998, ill.p.25 Collection particulière, Paris
ГРИГОРЬЕВ Борис (1886-1939)
Пляж Бумага, карандаш, акварель
Подпись справа внизу 34 х 42 см.
2 500/3 000 €

g

LOT 211. STELLETSKY Dimitri (1875-1947)
Dans une chapelle. Dessin à la mine de plomb
Signé en bas à droite 29 x 29 cm.
Dessin préparatoire pour le tableau « Dans une chapelle » vendu par la maison des ventes Macdougall à Londres le 27/11/2013 pour 59 714 €.
СТЕЛЛЕТЦКИЙ Дмитрий (1875-1947)
В часовне. Бумага, карандаш
Подпись справа внизу29 х 29 см.
Представленный рисунок является подготовительным к картине «В часовне», проданной аукционным домом Macdougall 27го ноября 2013 г. за 59 714 €.
2 200/3 500 €

g

LOT 212. STELLETSKY Dimitri (1875-1947)
Kremlin de Moscou. Huile sur toile
Signé en bas à droite «Stelletski» 73 x 100 cm. Acidenté.
Provenance : Collection particulière, Fontainebleau. Le tableau n’a
jamais quitté la même famille depuis l’achat dans les années 1930.
СТЕЛЛЕТЦКИЙ Дмитрий (1875-1947)
Московский Кремль. Холст, масло
Подпись слева внизу «Stelletski» 73 х 100 см. Повреждения
30 000/50 000 €

g

LOT 213. ANNENKOFF Georges (1889-1974)
Abstraction. Gouache sur papier
Signé en bas à droite 19,5 x 25,5 cm.
АННЕНКОВ Юрий (1889-1974)
Абстракция. Бумага, гуашь
Подпись справа внизу19,5 x 25,5 см.
800/1 200 €

g

LOT 215. ANNENKOFF Georges (1889-1974)
LOT de deux dessins. Aquarelles, crayon, encre sur papier
Monogrammés en bas 31 x 23,5 cm. (à vue)
АННЕНКОВ Юрий (1889-1974)
Лот из двух рисунков. Бумага, карандаш, чернила, акварель
Монограмма внизу31 x 23,5 см. (в свету)
300/400 €

g

LOT 220. VARLA Félix (1903-1986)
Les pêcheurs. Huile sur toile
Signé en bas à droite 38 x 46 cm. Cadre en bois doré
ВАРЛА Феликс (1903-1986)
Рыбаки. Холст, масло
Подпись справа внизу 38 x 46 см.
3 000/5 000 €

g

ATELIER DU PEINTRE SAWELIJ SORIN
Œuvres héritées par la nièce du peintre.
АТЕЛЬЕ САВЕЛИЯ СОРИНА
Рисунки и живопись, унаследованные племянницей художника.

LOT 227. SORIN Sawelij (1878-1953)
Femme à la guitare. Crayon, sanguine, gouache sur papier monté sur carton
80 x 90 cm.
СОРИН Савелий (1878-1953)
Девушка с гитарой. Бумага на холсте, графитный карандаш, сангина, гуашь 80 x 90 см.
2 000/3 000 €

g

LOT 232. SORIN Sawelij (1878-1953)
Maison de village. Huile sur carton
46 x 55 cm.
СОРИН Савелий (1878-1953)
Деревенский дом. Картон, масло 46 x 55 см.
700/1 000 €

g

LOT 237. SORIN Sawelij (1878-1953)
LOT de quatre lithographies.
Princesse Melita Tcholokoshvilli ; princesse Dodiani ; Anna
Pavlova ; princesse Élisabeth (future reine Élisabeth).
37 х 28 cm.; 34,5 х 27 cm.; 31,5 х 27 cm.; 51 х 38 cm.(planche)
СОРИН Савелий (1878-1953)
ЛОТ из четырех литографий. Княгиня Мелита Чолокошвили;
княгиня Додиани; Анна Павлова в роли Сильфиды; принцесса
Елизавета (будущая королева Елизавета).
37 х 28 см.; 34,5 х 27 см.; 31,5 х 27 см.; 51 х 38 см.(лист)
300/500 €

g

LOT 264. [Souvenir de la guerre de 1812]
Porte-verre en argent décoré de trois portraits au centre :
Alexandre Ier, François Ier empereur d’Autriche et Frédéric- Guillaume III roi de Prusse. Deux portraits des généraux Mikhaïl Koutouzov et Pierre Wittgenstein sur les côtés.
Russie, Saint-Pétersbourg, circa 1818-1864 Argent, repoussage, ciselure
Poinçons : 84, Saint-Pétersbourg rond, contrôle postérieur 875
et une tête d’homme 11 x 7 x 13 cm. 89 g.
[В память войны 1812го года]
Подстаканник с портретами Александра I, императора Австрии
Франца II и короля Пруссии Фридриха Вильгельма III. По бокам
подстаканника представлены портреты генералов Михаила
Кутузова и Петра Витгенштейна. Россия, Санкт-Петербург, 1818-1864 гг. Серебро, чеканка, гравировка
Клейма: 84, Санкт-Петербурга круглый отдельно, поздний контроль: 875 с головой вправо. 11 x 7 x 13 см., 89 гр.
1 500/2 000 €

g

LOT 284. POIGNARD
Avec sa lame de combat et son fourreau d’origine, décoré de
plaques en acier gravé.
Acier, bois
50 cm. Deuxième moitié du XIXe siècle, Géorgie. A.B.E.
Provenance : Collection particulière, Europe.
КИНЖАЛ
С боевым клинком, с оригинальными ножными, украшенными
пластинами гравированной стали. Сталь, дерево, гравировка, чернение 50 см. Вт.пол XIXго века, Грузия. Общ.хор.сост.
Провенанс: Частная коллекция, Европа
500/700 €

g

LOT 293. MONTRE DE GOUSSET
de la marque Paul Bhuré, cadeau de l’empereur Nicolas II
Décorée d’un aigle bicéphale et des rubans bleus de saint Andreï
En or 14k et émail bleu Poinçons : écureuil, 14к, 14713
1901 D: 5 cm. 110 g. T.B.E.(en état de fonctionnement).
Accompagnée par son coffret d’origine, signée « Paul Bhuré
Saint-Petersbourg / Moscou » et une carte « Cabinet de Sa
Majesté l’Empereur 20 septembre 1901 à M. Ferndas à
Compiègne ».
[ИМПЕРАТОРСКИЙ ПОДАРОК]
КАРМАННЫЕ ЧАСЫ марки Павелъ Буре, украшены двуглавым
орлом. 1901 г. Золото 14к, черная и голубая эмаль
Клейма: белка, 14к, 14713 Д: 5 см. 110 гр.
Хор.сост. (функционируют)
Представлены в оригинальной коробке «Павелъ Буре С.Петербург
Невский проспект 23/ Москва на углу Кузнецкого моста. Прилагается
карточка на французском «Кабинет его Императорского Величества,
20 сентября 1901господину Ферндас в Компьень».

3 500/4 500 €

g

LOT 303. Lot de 7 SALIERES
4 paires et 3 dépareillées On y joint 3 pelles à sel (Saint-Pétersbourg et Odessa) Argent
Poinçons : ИК (Kononov Ivan), 84 et Saint-Pétersbourg; ЛС,
ЛО 1895, 84, saint Georges; tête de femme et 84 (dans une pelle), S.F
152 g., Saint-Pétersbourg et Moscou, XIXe siècle.
7 СОЛОНОК, 4 парные и 3 непарные на ножках
Прилагаем три лопатки для соли (СПб и Одесса)
Серебро, Клейма: ИК (Кононов Иван), 84 и Санкт-Петербург; ЛС, ЛО 1895, 84, св. Георгий; голова в кокошнике и 84 (в лопатке), S.F
152 гр., Санкт – Петербург и Москва, вт.пол. XIXв.
100/150 €

g

LOT 309. Ensemble comprenant :
Un PORTE VERRE avec l’inscription « Bon appétit » en russe et une PELLE à sucre émaillée
Argent gravé, émail cloisonné Poinçons : AA 84 et saint George ; ЛЮ* 916
129 gr., Moscou, fin XIX- début XX ; Leningrad époque soviétique.
АНСАМБЛЬ ИЗ ПОДСТАКАННИКА С НАДПИСЬЮ
« ПРИЯТНОГО АППЕТИТА» И ЛОПАТКИ ДЛЯ САХАРА
Серебро, гравировка, перегородчатая эмаль
Клейма : AA и Святой Георгий ; ЛЮ* 916
129 гр., Москва, конец ХIХ- начало ХХ, Ленинград, советский
период
100/150 €

zkz

CATALOGUE SUR DEMANDE

Mariia VIKHROVA
Département Art Russe
+33 (0)1 80 81 90 32
artrusse@osenat.com

HÔTEL DES VENTES du CHÂTEAU

OSENAT VERSAILLES
13 avenue de Saint-Cloud 78000 Versailles
Tél. : +33 (0)1 64 22 27 62
www.osenat.com

 

 

Exposition de dessins d’enfants de Russie, de France

et d’enfants russes adoptés dans le monde entier.

du Mardi 12 au dimanche 31 janvier 2021

 

Exposition en extérieure et en ligne : CRSC.fr

 

 

 

L’association “Pour Kungur” a pour origine un collectif de familles ayant adopté leur(s) enfant(s), ou en cours d’adoption à la Maison d’enfants de Kungur (Russie).

Depuis 2007, un véritable lien s’est créé entre les familles  adoptives et le personnel de  l’orphelinat de Kungur, composé de femmes exceptionnelles, qui, avec très peu de moyens, aident les enfants qu’elles ont en charge à se reconstruire et à grandir.
En 2009, nous créons le collectif de familles “From Kungur”

Ces échanges entre familles, et avec la Maison d’enfants sont d’une grande aide psychologique pour les familles, et les enfants adoptés.

Les familles du collectif vivent en France, Espagne, Italie, Suisse, Royaume Uni, Irlande, USA, Argentine, Canada

k
.
Derniers projets réalisés:
.
– Un bus pour la maison de enfants (avril 2014)
– Une pièce de motricité pour le enfants (fév 2015)
– Tous pour Perm (avril 2015)
– Une aire e jeux pour la maison des enfants de Kungur (octobre 2015)
– Fêtes de fin d’année 2015-2016
– Solidarité inondations ( mai 2016)
– Festival “Amitié les Enfants du Monde” Juillet et décembre 2016, 2017
– Carte de Noël “Un Sourire” décembre 2016-janvier 2017
– Partageons nos traditions 2017 ” Pâques”
– Quizz de l’Amitié (Avril 2017)
– Tous à Perm 2017
– Une carte de Noël “Un Sourire” décembre 2017-janvier 2018
– Vidéo collective ” danse des enfants pour l’Amitié Internationale”
– Expo et concours de dessins 2017 & 2018
– Voyage de printemps et projets 2018
– Soutien à la famille Okoulova  (février -mai 2018)
– Jeu vidéo franco-russe : Où? Qui? Quoi?
– Exposition Printemps /Été 2018
– Tous pour Perm (novembre décembre 2018)
– Une carte de Noël “Un Sourire” novembre 2018-févier 2019
– Concours / Expos 2018-2019
– Festival ” Amitié les Enfants du Monde ” (juillet – août 2019)
– Tous pour Perm 2019
– Expositions et spectacles 2019 – 2020
– – Une carte de Noël “Un Sourire” décembre 2019-févier 2020
.
i
.
Sélection de quelques dessins :
.

Ce diaporama nécessite JavaScript.

.
Plus de renseignements sur ” Pour Kungur” : CLIQUEZ
et sur : ARTCORUSSE
Exposition sur les grilles.
.
Plus de 700 œuvres (120 au final) d’enfants de Russie, de France et de nos enfants adoptés vivant aujourd’hui dans leers nouvelles familles dans de nombreux pays du monde.
Nous vous invitons à voter et à soutenir les jeunes artistes.
Pour eux, cela peut être une étape importante dans leur vie future!
.
.

.

Exposition sur les grilles extérieures du Centre Russe pour la Science et la Culture

61 rue Boissières, 75016 Paris

Métro : Victor Ugo et Boissière.

Exposition en ligne : CRSC.fr

 

Conférence en ligne

” Musée de l’Ermitage “

par Tatiana Prosycheva

Mercredi 24 février à 18 h 30

Le musée de l’Ermitage :
les plus grands chefs-d’œuvre de l’art européen,
vous pourrez visiter les salles d’exposition du musée de
l’Ermitage et ces chefs-d’œuvre les plus impressionnants !

Le musée de l’Ermitage est un des plus grands musées du monde. Plus de 3
millions d’objets sont répertoriés et conservés dans les réserves.
Lors de cette visite conférence, vous pourrez admirer les plus grandes merveilles
de l’art européen : les tableaux de Leonard de Vinci et de Raphaël, la peinture
hollandaise et notamment les 28 tableaux de Rembrandt…

Et l’incontournable : la collection des impressionnistes français, considérée la meilleure
en dehors de la France !  Nous parlerons aussi de l’architecture des salles
et de l’histoire de la collection. Comment les collections ont été constituées ? Pourquoi
autant de tableaux des impressionnistes se trouvent en Russie ?


Tatiana Prosychava, guide-conférencière russe, résidant à Saint Pétersbourg, vous proposera une sélection d’œuvres et d’images afin de découvrir les mareille de cette collection extraordinaire !

Conférence accessible pendant 1 semaine
Tarif : 8€

Réservez votre place : CLIQUEZ

Festival du Cinéma Russe d’Honfleur

” SPÉCIALE  DOCUMENTAIRES “

EN  LIGNE 

du vendredi 23 au jeudi 29 avril 2021

avant le 29ème Festival prévu du  23 au 28 novembre 2021, voici avec Cinedoc et la plateforme Festhome une série de Documentaires.
Ce programme spécial en ligne que nous avons le plaisir de vous présenter ici est pour nous une expérience tout à fait nouvelle. Le programme inclut trois films que nous avions prévu de montrer au Festival 2020, et six films des années précédentes. On y découvre les relations qui existaient entre l’Afrique et l’URSS, un portrait de la danseuse étoile du Théâtre Mariinsky, une histoire de la nourriture à l’ère soviétique, un reportage ethnographique sur un éleveur de chevaux du Grand Nord de la Russie, des cours à l’intention de jeunes femmes qui rêvent d’épouser un millionnaire, et encore d’autres sujets.

CALENDRIER

Vendredi 23

La Double Vie  – Petite
histoire de la sexualité en
URSS / Секс в СССР
Inara KOLMANE
2018, 60 mn

Peut-on contrôler la libido d’un peuple au profit de l’aliénation au travail ? Inara Kolmane, réalisatrice lettone née en URSS, dresse avec un regard impertinent une histoire inédite de l’URSS abordée par le prisme de la sexualité. Plongée dans l’intimité d’un peuple qui a vécu une double vie secrète pendant les 70 ans du régime communiste.

r


SAMEDI  24



Manger à la Soviétique /
Еда по-советски
Boris KARADZHEV
2017, 52 mn

Ce film raconte l’histoire vivante de la cuisine soviétique, un phénomène socio-culturel sans pareil dans l’histoire de l’URSS. Comme l’a noté le philosophe allemand Ludwig Feuerbach au 19ème siècle : «Un homme est ce qu’il mange». A travers ce voyage culinaire, Boris Karadzhev tente d’illustrer la mentalité et les motivations des peuples de la Russie soviétique et post-soviétique.

r


DIMANCHE 25


24 Neiges / 24 снега
Mikhaïl BARYNIN
2016, 91 min.

L’insoutenable climat de la partie arctique de la Yakoutie. Le gel permanent. La majeure partie de l’année les températures sont négatives et la terre est toujours froide. En hiver on atteint les soixante-cinq degrés en dessous de zéro. Ici il n’y a ni réseau ni électricité. Et l’absence de route complique les déplacements. La vie dans de telles conditions est une lutte permanente avec les éléments et avec soi-même, à plusieurs centaines de kilomètres de la ville la plus proche. Ces dures contrées attirent les gens à la recherche de liberté et d’indépendance. Serge y est éleveur de chevaux, la majeure partie de l’année il vit dans la toundra en s’occupant du troupeau. Année après année il passe toujours plus de temps loin du village, ne voyant sa famille que quelques fois par an lors de la fête des éleveurs et pour apporter de la viande à la maison. Il se sent étranger chez lui et perd pratiquement le lien avec ses proches. La vie éreintante dans le Grand Nord met la personne face à la question la plus dure qui soit, celle de savoir qui l’on est vraiment. Le film a reçu plus de dix prix lors de festivals internationaux.

r


LUNDI 26



Les Murs  / Стены
Mikhail ELKIN
2020, 44 mn

Au début des années 2000, un Français, Marc Ahr, arrive à Saint-Pétersbourg avec deux sacs : l’un contient de l’argent, l’autre des fragments du mur de Berlin. Il achète un appartement communautaire sur la place Nikolskay, à Elena Verkhovskaya, dont la famille vit là depuis l’époque antérieure à la révolution, et le transforme non seulement en son lieu de résidence, mais aussi en lieu d’attraction pour les musiciens et artistes de Saint-Pétersbourg. Marc Ahr décide de donner à chacun d’eux un mètre carré de son grand appartement. Le film «Les Murs» raconte l’histoire incroyable d’une personne extraordinaire, d’un appartement communautaire ordinaire et d’une époque révolue.

r


MARDI 27



Oulyana Lopatkina , ou la
danse semaine et jours fériés
/ Ульяна Лопаткина
Sergey LANDO
2006, 31 mn

Un document unique sur la célèbre danseuse étoile Oulyana Lopatkina pendant ses répétitions et ses spectacles au Théâtre Mariinski, dans l’exécution de son art et dans son quotidien. Vivre dans le monde de la danse classique demande une concentration particulière. L’art peut vous absorber complètement et vous isoler des autres — il en est beaucoup d’exemples. Oulyana s’est arrêtée au plus haut de sa carrière pour s’occuper de sa fille Macha. Celle-ci a grandi, et sa mère fait son retour sur scène. Mais l’art est un maître exigeant, et la danseuse doit refaire le chemin qui mène au sommet.

L’eau, Temps de Soif / Вода
Evgeny BEZBORODOV
2020, 39 mn

Le cycle éternel de l’eau dans la nature. Depuis mille ans, l’humanité vit en harmonie avec ce cycle. Et au 21e siècle, il est au seuil d’une crise mondiale. Le Kirghizistan est un pays de glaciers, de rivières et de lacs limpides. C’est l’un des premiers au monde à faire face à une crise de l’eau. Les problèmes de toute l’humanité se reflètent dans les troubles du pays.

r


MERCREDI 28

Plakaskart, Voyage
en 3e classe /
Плацкарт
Rodion ISMAILOV
2016, 82 mn

Un documentaire qui retrace la vie de passagers empruntant le plus long chemin de fer du monde. Le réalisateur raconte les histoires et les fortunes des Russes ordinaires rencontrés par hasard dans le train Moscou-Vladivostok. Ce voyage sans fin est une métaphore d’un pays en perpétuel mouvement, tandis que les histoires des passagers forment un portrait social de la société russe contemporaine.

r


Jeudi 29


Comment Devenir une Garce / Как стать стервой
Alina RUDNITSKAYA
2007, 31 mn

Des femmes russes participent à des séminaires où un professeur leur enseigne comment séduire les hommes, comment être sexy, comment avoir du succès. Chacune rêve de harponner un millionnaire. Le tournage a été une méthode d’observation. Par moments la caméra se fait oublier et les comportements deviennent tout à fait naturels. Ce film pourrait s’appeler «La meilleure comédie documentaire» sur les femmes. Nombreux prix en festivals (Allemagne, Autriche, Kazakhstan, Russie, Espagne, Portugal, Grèce, Italie, Danemark, Pays-Bas, Arménie, Norvège …dont le grand prix à Oberhausen «pour le reflet poignant de la reconstruction de la féminité dans la Russie post-communiste»).

Notre Afrique  / Африка
Aleksandre MARKOV
2018, 45 mn

1960. L’URSS lance des programmes d’aide humanitaire fondés sur l’idéologie marxiste dans plusieurs pays africains nouvellement indépendants. Pendant plus de 35 ans, les Soviétiques ont étendu leur influence en Afrique. Des cinéastes soviétiques sont envoyés sur tout le continent pour documenter l’avancée glorieuse du socialisme. Après la chute de l’empire soviétique, la Russie a perdu tout intérêt politique pour l’Afrique, mais des milliers de kilomètres de séquences tournées sur le sol africain ont subsisté. Avec l’aide des films d’actualités de cette période, «Notre Afrique» va recréer l’époque de la «grande utopie» et révéler les mécanismes derrière la création de films de propagande.

CONTACTS FESTIVAL du Cinéma Russe d’Honfleur
Renseignements +33 2 31 89 25 59
Mail : info@festival-honfleur.fr
Site Internet : festival-honfleur.fr

 

Entretien avec  Alexandre Filippenko

« Envoûté par l’auteur »

Artiste de théâtre et de cinéma

Dialogue avec le public (en russe)

Mardi 26 janvier à 16h ( heure de Paris )

sur le site du CRSC.

 

 

Filippenko Alexander Georgievitch, né le 2 septembre 1944 à Moscou, diplômé de l’école numéro 54 d’ Alma-Ata avec une médaille d’or. C’est au Kazakhstan que le jeune Alexander  s’est intéressé au théâtre. En 1962  il est membre de l’équipe étudiante du KVN MIPT  (champions du Club 1962/1963). Diplômé de l’institut de physique et de technologie de Moscou en 1967,  Faculté de physique moléculaire et chimique (FMHF) avec un diplôme en physique des processus rapides. Pendant deux ans, il a travaillé comme ingénieur principal à l’Institut de géochimie de l’Académie des sciences de l’URSS.

 Il était un participant actif dans des performances amateurs, des sketchs, KVN en 1962-63.
Depuis 1964, acteur principal du théâtre étudiant de l’Université d’État de Moscou “Notre maison”.
En 1969, après la fermeture du théâtre, il rejoint la troupe Lyubimov au Théâtre Taganka.
En 1970, il entre à l’école de théâtre Chtchoukine, dont il est diplômé en tant qu’acteur (en 1977) et réalisateur, tout en continuant à travailler sur scène et au cinéma.
En 1975, il s’installe au Théâtre Académique. Eug. Vakhtangov.
Depuis 1995, l’artiste travaille sous contrat dans différents théâtres de Moscou.
Depuis 1996, il est à la tête du Mono-Duo-Trio Theatre du Mosconcert.

Sa carrière cinématographique a commencé en 1969 et compte en tout plus de 80 films. Il incarne la plupart du temps les personnages maléfiques.

célèbre acteur de théâtre et de cinéma soviétique et russe, artiste du peuple de Russie. Connu pour ses rôles de personnages complexes dans les films “L’étoile et la mort de Joaquin Murieta”, “Il est difficile d’être Dieu”, “Le maître et Marguerite”, ” Paul Ier. Volonté”.

Le dernier film avec la participation d’Alexandre Filippenko est sorti en 2011. Mais dans les années suivantes, l’acteur a travaillé avec succès dans le domaine théâtral. Depuis 2015, l’acteur est apparu sur la scène du théâtre Mossovet avec une performance solo “Un jour à Ivan Denisovich” basée sur le travail d’Alexandre Soljenitsyne. En outre, l’artiste peut être vu à l’École des arts dramatiques dans le rôle du colonel Richard Cantwell dans la production “The Last Date in Venice”.

Dialogue avec le public.
En russe.

Inscription obligatoire : CLIQUEZ

 

 

 

 

Vente aux enchères publiques

Objets russes

Vendredi 29 janvier 2021 à 14 h

Hôtel Drouot salle 19, rue Drouot à Paris IX°

VENTE EN LIGNE : CLIQUEZ

 

 

Expositions publiques :

Mercredi 27 janvier de 11 h à 18 h

Jeudi 28 janvier de 11 h à 20 h

Vendredi 29 janvier de 11 h à 12 h

 

Catégories :


– Collection d’intailles

– Tableaux anciens

– Art d’Asie

– Mobilier et objets d’art

 

e

 

LOT 207 : Manche en argent au décor en émail polychrome cloisonné aux motifs symétriques de fleurs et de rosaces.

Poids brut 158,16 gr – L. 23,5 cm

Poinçon de titre : 84, Moscou, 1908-1917

.II-e artel.

200 / 300 €

 

eje

 

 

LOT 208 : Gobelet russe du XVIIIe siècle en argent à décor ciselé d’oiseaux et de rinceaux feuillagés reposant sur trois petites sphères.

Poids 49 gr – H. 6 cm – D. 6,3 cm

Poinçon de la ville de Yaroslav.

Poinçon d’orfèvre : MA, maître inconnu.

300 / 500 €

 

eje

 

 

LOT 212 :Triptyque, Russie, XIXe siècle Vierge à l’Enfant, Hodigiria surmontée d’un Père bénissant, dans chaque volet un archange.

Tempéra sur panneau dans un bel oklad en cuivre finement ciselé.

H. 28,5 cm – Larg. 1,5 cm fermé et 34 cm ouvert

400 / 600 €

 

eje

 

 

LOT 212 bis : Belle et importante chope et un présentoir au modèle à couvercle à charnière en argent et vermeil décorés de motifs ciselés de coqs et de frises géométriques reprenant les figures des tissages nordiques, au centre un décor d’isba, reprise du décor sur le plateau.

Poids total : 1 875 gr. Haut. de la chope : 29 cm. Diamètre du plateau : 29 cm

Chope : Poinçon de titre : 84 Saint-Pétersbourg, 1880

Orfèvre : maître inconnu

Présentoir : Poinçon de titre : 84, Saint-Pétersbourg, 1887

Orfèvre : Khlebnikov, avec marque du privilège impérial.

1 000 / 1 500 €

 

eje

 

 

LOT 212 ter : Plateau en argent légèrement chantourné à deux prises latérales formant un bel entrelac végétal.

Poids : 2050,40 gr. 36,5 x 55 cm

Poinçon de titre : 84, Saint-Pétersbourg, 1867

Orfèvre : Karl Jârveläinen

800 / 1 200 €

 

eje

 

LOT 213 : Trésor de la Laure Saint-Serge, XVIIe siècle Rare coupelle, bratina, du XVIIe siècle, région de Moscou, en argent uni, au rebord orné d’une frise gravée de motifs feuillagés entourant une l’inscription slave : « Les frères du monastère Trinité saint Serge » en vermeil.

Diam. 12 cm – H. 7,5 cm.Poids 219 gr.

2 000 / 3 000 €

 

 

Provenance : Ancien trésor de la Laure de la Trinité-Saint-Serge, N°6/7. Acquis dans les années 1930 par un diplomate français,dans les officines soviétiques chargées de vendre les biens confisqués à l’Église. C’est durant cette période que l’ancêtre du propriétaire actuel aurait acquis cette pièce majeure de l’histoire de l’orfèvrerie russe.

 

eje

 

 

HÔTEL DROUOT,  SALLE 1

9 Rue Drouot, 75009 Paris

Métro : Richelieu Drouot (ligne 8 & 9)

Vente en ligne : CLIQUEZ

 

 

 

Cabinet : 22 rue Drouot 75009 Paris

MATHIAS – BOURNAZEL : 01 47 70 00 36

Courriel : contact@jj-mathias.fr

OGER BLANCHET : 01 42 46 96 95

Courriel : contact@ogerblanchet.fr

Expert pour l’Art Russe : Ivan BIRR : 07 50 35 80 58

 

HORIZON

GALERIE DU VERT-GALANT

 

EXPOSITION d’ICÔNES, RESTAURATIONS

et ÉMAUX

Dom Georges-Marie Bourel,  Dom Arnaud de Saint – Chamas,

Georges Drobot, Marie-cécile Froment

 Lydia Khripouchine

Du mercredi 23 décembre 2020 au dimanche 10 janvier 2021

 

PROLONGATION 

jusqu’au  jeudi 28 janvier

 

Galerie du Vert Galant, 75001 Paris.

 

 

Exposition avec :

 

Rencontre de St Anne & St Joachim à la Porte Dorée.

Dom Georges-Marie Bourel, iconographe et
Maître de chapelle à l’abbaye bénédictine Notre-Dame de Fontgombault (Indre).
.
.i
.
Christ Pantocrator, grisaille d’or sur cuivre émaillé.
.
Dom Arnaud de Saint-Chamas, émailleur,
Moine à l’abbaye Notre-Dame de Fontgombault.
.
.
.i
.
.
(Photo : G. D. peignant une fresque à Cargese, Corse, 1990)
.
Georges Drobot,  icônographe ;
Membre de l’association “L’Icône”, Historien d’art,
Enseignant au Petit-Palais et à Paris-Ateliers, place Souham Paris XIIIe ;
Fils de l’archiprêtre Georges Drobot (iconographe et théologien).
.
.i
.
.
(Photo : M-C. F. commentant les fresques romanes d’Areines,
Loir-et-Cher, 1992)
.
Marie-Cécile Froment, iconographe ,
Commissaire de l’exposition,Membre de l’association “L’Icône”,
Historienne d’art ,
Enseignante au Centre Culturel Chrétien de Beaugrenelle Paris XVe.
.
.i
.
 L. Kh. restaurant la peinture murale de la chapelle Saint-Georges de Meudon, 2008
.
Lydia Khripouchine, iconographe ;
Secrétaire de l’association “L’Icône”, Historienne d’art ;
Restauratrice des peintures spécialisée en icônes ;
Enseignante à Meudon.
.
Lydia Lioudovikovna Khripouchina, descendante des “Russes Blancs”, développe depuis sa plus tendre enfance elle ses talents et son intérêt pour la création, l’étude, la conservation des œuvres d’art avec une préférence pour les arts sacrés.
.
Elle est initiée à l’iconographie byzantine et russe, au Centre d’Etudes Russes Saint-Georges de Meudon, dans l’atelier du père Egon Sendler (dit “père Igor”).
.
.
Puis elle se perfectionne auprès de l’iconographe russe Galia Bitty-Kicheev (diplômée des Beaux-Arts de Moscou). Puis elle se rend à l’atelier de l’archiprêtre mitré Georges Drobot – de l’école iconographique russe de Paris et, sur ses conseils, commence des recherches sur les icônes anciennes.
.
Elle passe simultanément les concours d’entrée des grandes écoles d’art et poursuit des études supérieures artistiques, à Paris.  Elle sort diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Appliqués et des Métiers d’Art – ENSAAMA (2d cycle)…et diplômée de l’École du Louvre en histoire générale de l’art et peinture étrangère (1er cycle) puis muséologie (2d cycle)…
Elle obtient, également, du Ministère du Tourisme, l’agrément professionnel de conférencière officielle en histoire de l’art.
.
Plus de renseignements : CLIQUEZ
.
k
.
Pour raisons sanitaires, la visite de l’exposition se fera sur rendez-vous en téléphonant au : 01 45 41 13 49. 
.
3
.
.
.
.
Galerie du Vert-Galant,
52, quai des Orfèvres, 75001, Paris,
Métro :  Pont-Neuf.
 

Téléconférence consacrée

au 77e anniversaire de la libération de Leningrad

du siège nazi

 

Jeudi 28 janvier 2021 de 10h à 11h (heures de Paris)

 

CLIQUEZ

 

Participation de vétérans vivant en France à une téléconférence avec Saint-Pétersbourg avec la participation des anciens combattants de la ville assiégée de 25 pays

Le 28 janvier, une téléconférence consacrée au 77e anniversaire de la libération de Léningrad du siège nazi se tiendra sur la plateforme-web du Musée-mémorial d’Etat du siège et de la défense de Léningrad (Saint-Pétersbourg).

La réunion en ligne est organisée par le Comité des relations extérieures de Saint-Pétersbourg avec le soutien de Rossotrudnichestvo dans le cadre d’une série d’événements programmés à l’occasion de cette date mémorable.

La téléconférence sera suivie par des témoins des événements tragiques — des vétérans de la Grande guerre Patriotique, des participants à la défense de Leningrad assiégée et leurs enfants vivant aujourd’hui dans 25 pays du monde.

Le gouverneur de Saint-Pétersbourg, Alexandre Beglov, diffusera un message vidéo spécial.

Le programme de la réunion comprend une diffusion du dépôt de gerbes au nom des anciens combattants au pied du monument de la Mère-Patrie au cimetière commémoratif de Piskarevskoye et aux monuments aux défenseurs de Leningrad en Russie et à l’étranger, discussion de questions d’actualité, un concert de gala.

La diffusion de l’événement en direct est prévue à 10h00 (Paris).

Vous pouvez suivre la diffusion via le lien:

https://vk.com/video-130580_456239925?list=25e5fc4e7895a35a13

 

Conférence en ligne pour la sortie le 12 janvier de

”  Le Syndrome de Petrouchka, ”

avec l’auteur Dina Rubina

accompagnée du traducteur Yves Gauthier.

Mardi 12 janvier de 20h à 21h

CLIQUEZ

 

 

Le Syndrome de Petrouchka nous entraîne dans un monde mystérieux, celui des marionnettes, et nous enveloppe d’une ambiance feutrée, nous habille de flanelle et de velours.

Petrouchka est le diminutif de Piotr, le héros de ce livre. Mais, en russe, Petrouchka est aussi l’équivalent du Polichinelle français, et désigne le syndrome d’Angelman – un grave trouble du développement neurologique, caractérisé par des difficultés motrices, une absence de langage oral et des rires fréquents.

Depuis l’enfance, Piotr est passionné par le théâtre de marionnettes et rêve d’en faire son métier. Alors qu’il n’est qu’un garçon, une rencontre chamboule son existence : une petite fille aux cheveux rouges, qu’il n’aura de cesse de venir visiter chaque été. La fillette, Lisa, grandit, fait du ballet, de la danse, tente de devenir adulte tandis que sa vie, autour d’elle, s’émiette. Sa mère met fin à ses jours, sa tante disparaît le même jour, son père commence à la considérer davantage comme un être charnel que comme son enfant… À ses 16 ans, Piotr vient la chercher et l’emmène avec lui, à Leningrad, pour l’épouser.

Leur vie devient alors un long chemin de bohème. Ils font la tournée des théâtres et voyagent dans toute l’Europe de l’Est, vivant de peu de choses, jusqu’au jour où Piotr imagine une danse dans laquelle Lisa est une marionnette vivante. Ce spectacle les sort de la misère, mais Lisa tombe enceinte et Piotr est contraint de la remplacer par une véritable marionnette, qu’il baptise Ellys. Tellement réaliste, et à l’image de Lisa, tous la croient réellement humaine. Pris au piège de son propre talent, Piotr tombe amoureux de sa création.

Pendant ce temps, la grossesse de Lisa arrive à terme, et elle accouche d’un garçon atteint du syndrome de Petrouchka. L’enfant ne survit que quelques jours avant de s’éteindre. Lisa reste inconsolable et refuse, dès lors, de danser. Pensant tous deux prendre un nouveau départ à Prague, ils s’engluent peu à peu dans une relation rendue toxique par la poupée qui prend la place de l’humain, et par la jalousie et la colère de Lisa. C’est dans leur passé qu’ils puiseront de quoi se reconstruire…

La fin de cette histoire est comme celle de tous les contes : pleine de philosophie, avec une profonde réflexion sur le sentiment amoureux et la perception que nous avons des êtres qui nous sont chers, ou de l’image que nous nous en faisons.

 

Natacha Fialkovsky interprètera deux chansons.

 

 

Issue d’une famille de Russes blancs, Natacha se passionne très tôt pour la musique russe que l’on pratique naturellement dans sa famille, lors du repas dominical. Après des études de balalaïka au conservatoire Rachmaninov de Paris, et une formation de chant auprès de Galina Danilina et Martina Catella, elle se produit avec les groupes slaves les plus connus du moment et intègre” la faculté tsigane” avec les Bratsch, le Cabaret Raspoutine, Ivan Rebroff, Marc de Loutchek, le Chœur tzigane Kazansky, l’Orchestre de balalaïkas Saint-Georges. En 1998, Natacha fonde « l’Ensemble Kalina » chants polyphoniques traditionnels russe à capella puis le groupe « Natacha et Nuits de Princes ». Natacha intervient également en tant que chanteuse et conteuse auprès de Gallimard jeunesse pour de nombreux albums.

Pour en savoir plus : Natacha et Nuits de Princes

 

y

 

 

Dina Rubina est une écrivaine israélo-russe, née en 1953, à Tachkent, en Ouzbékistan. Après y avoir passé sa jeunesse, elle emménage à Moscou en 1984, puis en Israël en 1990, où elle réside toujours. Elle a écrit 40 romans, traduits en plus de 18 langues partout dans le monde, et est devenue l’une des figures littéraires modernes incontournables. Elle est finaliste à trois reprises pour le prestigieux prix Booker russe, lauréate du Bolchaïa Kniga en 2007, elle a été récompensée pour son talent dans trois pays différents (Israël, Russie, Ouzbékistan) confirmant son statut d’écrivaine internationale.

De nombreux films ont été adaptés des romans de Dina Rubina. Ses livres sont tirés à cent mille exemplaires et sont traduits en allemand, anglais, bulgare, hébreu, polonais et maintenant en français.

.

.

La rencontre est organisée par Un endroit où aller et sera animée par la librairie Le Bookstore de Biarritz.

Pour accéder à l’événement mardi 12 janvier à 20h

rendez-vous sur le site web : CLIQUEZ

 

Éditions Macha Publisching :

38 rue de Berri, 75008 Paris

Plus de renseignements : CLIQUEZ

Sortie le 12 janvier

ISBN: 978-2-37437-063-7

Nombre de pages : 512

Prix : 21€ 50

 

 

 

 

 

 

Russkaya Literatura

 

6ème Édition

Le Salon du Livre Russe

“Femmes artistes et écrivains, un nouveau

souffle dans la Russie contemporaine”

 

La date du salon est déplacée au

Vendredi 18, samedi 19 et  dimanche 20 décembre

retransmis sur le site dès le 18 décembre

www.russkayaliteratura.fr

 

 

Cette 6ème édition du salon Russkaya Literatura se déroulera du 18-20 décembre 2020 mais, circonstances obligent, uniquement dans sa version en ligne. 

La programmation de cette année vous permettra d’écouter les interventions de très grands auteurs russes et français mais aussi d’acheter leurs livres, dont certains en avant première comme le dernier de Dina Rubina, “Le syndrome de Petrouchka” ou celui d’Andrei Astvatsatourov, “Il est interdit de nourrir les pélicans” (Ed Macha Publishing).

Citons parmi les auteurs invités: Anatoli KimMarina et Sergueï Diatchenko, Anna Berseneva, Thierry Marignac, Vladimir Sotnikov, Mariam Petrosyan, Cedric GrasAzari Plissetski.

En parallèle, nous organiserons une version en ligne, pour permettre aux auteurs et au public de se rencontrer virtuellement. 

Des interviews enregistrées, des conférences en direct et des dédicaces vous seront proposées dès le 18 décembre 2020. Certains livres pourront même être achetés en avant première comme le dernier ouvrage de Dina Rubina, “Le syndrome de Petrouchka” ou celui d’Andrei Astvatsatourov, “Il est interdit de nourrir les pélicans” (Ed Macha Publishing).

Nous vous proposerons également des documentaires inédits sur Edouard Limonov, grand écrivain récemment disparu, à qui nous rendrons hommage.

 

Cette 6ème édition aura pour thème “Femmes artistes et écrivains, un nouveau souffle dans la Russie contemporaine”. 

Nous célèbrerons également :

         – Le cinquantenaire de la disparition d’Elsa Triolet (née Kagan), première femme lauréate du Prix Goncourt en 1945.

Elsa Triolet (née Kagan) née le 12 septembre 1896 à Moscou, morte le 16 juin 1970 ; architecte, écrivain, journaliste de langue russe et de langue française, collaboratrice de Ce soir, (1937-1939 ; 1947-1953), des Lettres françaises (1953-1970) ; Prix Goncourt (attribué en 1945 pour l’année 1944) ; participa à la Résistance, notamment dans la Drôme ; membre du Comité national des écrivains (CNE), de son comité directeur (jusqu’en 1957), puis présidente d’honneur du CNE ; a développé les liens culturels entre l’URSS et la France ; sans jamais être membre d’un parti communiste russe ou français, elle fut, surtout à partir de la Résistance, « compagnon de route » du mouvement communiste.

Ella Kagan apprend le français dès six ans, le piano à l’École de musique Gnessine, voyagea  à l’étranger avec sa mère et sa sœur. En 1909, elle tient un journal intime qu’elle poursuivit jusqu’en 1940. Elle termina brillamment ses études au lycée en 1913, fait des études d’architecture et obtint le certificat de fin d’études section féminine des cours d’architecture de Moscou le 27 juin 1918. Elle rencontra en 1917, à Moscou, André Triolet, officier français, en 1919 elle arrive à Paris et devient Triolet en se mariant, après un séjour à Saint Pétersboug elle revient à Paris en 1922 et divorce. Elle part à Londres puis Berlin, revient à Paris rencontre Louis Aragon en 1928, devanant sa muse. elle traduit en russe se œuvres et d’autres auteurs français.Ils se marient en 1939 rentrent dans la résistance, Elsa écrit des nouvelles réunies sous le titre “Le premier accroc coûte deux cents francs”   (phrase qui annonçait le débarquement en Provence) et obtiennent le Prix Goncourt 1945 au titre de l’année 1944.

 

 

a j a

 

– Le bicentenaire de la naissance de grand poète Afanassi Fet (1820 – 1892)

Afanassi Fet, toile d’Ylia Répine

Afanassi Afanassievitch Chenchine Афана́сий Афана́сьевич Шенши́н, connu sous le nom de sa mère, Fet ou Foeth (Фет), né le 5 décembre 1820 à Novosselki, mort le 2 décembre 1892 à Moscou, poète lyrique russe, traducteur et mémorialiste, partisan de l’art pour l’art. En 1838, il entre à l’Université de Modcou, à la Faculté de droit, puis au Département d’histoire et de philologie (verbale) de la Faculté de philosophie, dont il est diplômé en 1844. Il publie des recueils de poèmes puis rentre dans le régiment des cuirassiers. Il édite le troisième recueil. Parolier les plus sophistiqué il étonne ss contemporains. Il est élu magistrat du district de Mtsensk en 1867.  Selon les mémoires de la secrétaire de Fet, Ekaterina Kudryavtseva, il est mort d’une crise cardiaque précédée d’une tentative de suicide à l’aide d’un coupe-papier. Il a été enterré dans le village de Kleimenovo, dans la propriété familiale.

 

r h r

 

Et un hommage sera rendu au grand écrivain Edouard Limonov disparu le 17 mars 2020.

 

 

Édouard Veniaminovitch Savenko, dit Édouard Limonov (Эдуард Вениаминович Лимонов), né  le 22 février 1943 à Dzejinsk (URSS), mort le 17 mars 2020 à Moscou , écrivain soviètique puis français russe et dissident politique,  fondateur et chef du Parti National-Bolchevique.

Bandit à Kharkov, poète à Moscou, sans-abri puis domestique à New-York, écrivain et journaliste à Paris, milicien pro-serbe pendant la guerre de Bosnie, dissident puis prisonnier politique en ex-URSS, Limonov fut empêché d’être candidat aux élection présidentielle russe de 2012. À partir le retour de la Crimée dans giron de l Russie et de la guerre du Donbas, il prend ses distances avec l’opposition et apporte son soutien à Vladimir Poutine pour sa politique étrangère.

Selon Emmanuel Carrère son biographe, « sa vie symbolise bien les rebondissements de la seconde partie du xxe siècle ».

 

Tables rondes, expositions, projections, signatures seront organisées tout au long de ces trois jours dans le strict respect des normes de sécurité liées au COVID.

 

PROGRAMME du SALON : CLIQUEZ

 

7

 

Centre Spirituel et Culturel Orthodoxe Russe

1 Quai Branly 75007, Paris

Métro : Alma Marceau.

RER: Pont de l’Alma, Musée du Quai Branly.

Bus: 63, 80.

 

 

 Soirées du Cinéma Russe de Bordeaux

NOUVEAU CINEMA RUSSE

FILMS  DE  FICTION  ET D’ ANIMATION

DOCUMENTAIRES

Du jeudi 10 au dimanche 13 décembre 2020

 

 

“9ème édition et demie” (*), le festival s’adapte aux mouvances du monde actuel et explore la forme du “Festival online”. Car, dans l’élan de Federico Fellini impulsé dans son film « Huit et demi » qui prônait de nouvelles voies dans le processus créatif, le festival s’adapte, à son tour, aux mouvances de notre monde ! Un monde qui n’en finit pas de se confiner et de se déconfiner, de se refermer et de s’ouvrir : “Ouvrons-nous donc à de nouvelles formes d’expression, nous aussi !”, lance Daria Tsoukanova, son organisatrice. “En préparant doucement mais sûrement la célébration de notre 10ème anniversaire que nous reportons à 2021, cette édition 2020 sera donc la 9ème et demie. Sous le patronage de la mairie de Bordeaux dont les représentants Céline Papin, adjointe au maire chargée des coopérations territoriales, européennes et internationales, ainsi que Jean-Luc Prigent, chargé de mission Europe et action internationale à la direction des relations internationales de l’agglo “Bordeaux Métropole”, ont chaleureusement accueilli le consul de Russie venu enregistrer son intervention pour l’ouverture du festival.

Le public est invité à découvrir un programme composé de films russes actuels et de l’époque soviétique souvent inédits en France.
Les projections exclusives seront accompagnées de rencontres interactives avec les réalisateurs, critiques de cinéma ou des membres des équipes de tournage en mode “live straming”. Le public aura une excellente occasion d’avoir un échange direct avec les créateurs ou experts en cinéma.

Le programme du festival est traditionnellement aussi vaste et varié que les grands espaces russes.
Cette année seront proposées 7 œuvres actuelles datant de 2019 et 2020 et dont certaines ont été distinguées par de nombreux prix ou nominés aux Oscars, une rétrospective de Léonid Gaïdaï – le maitre de la comédie soviétique – et une vingtaine de court-métrages de jeunes réalisateurs concourant en compétition « In Ciné Veritas ».
Tous les films sont projetés en version originale sous-titrée en français. Les rencontres live sont dotées de l’interprétariat de liaison.

 

Daria Tsukanova, organisatrice du Festival.

 

Organisateurs :
Centre des festivals France-Russie, Association Slave de l’Université Bordeaux Montaigne, en partenariat avec la Mairie de Bordeaux, avec le soutien du Ministère de la Culture de la Fédération de Russie et le Centre de Russie pour la science et la culture à Paris

8

Jeudi 10 décembre

 19 h & 20 h 45

FILMS DE FICTION ET D’ ANIMATION

 

 

“IL NE PEUT PAS VIVRE SANS L’ESPACE”

Réalisateur : Konstantin Bronzit, 2019, film d’animation, 16 min
Film nominé pour un Oscar.

Ce film parle d’un enfant qui cherche à réaliser son rêve et du fait que l’homme ne peut vivre sans le cosmos ! Ce court récit réunit le côté épique des tragédies grecques et la parabole évangélique du Fils prodigue. C’est aussi l’histoire d’une mère et de son fils unique. Et également celle de la destinée et de la vocation, l’histoire d’une petite vie en apparence indépendante, mais en réalité intimement liée à la figure de la mère. À l’extérieur de la maison – c’est déjà l’Espace, partir loin de sa mère – c’est comme faire un pas dans l’étendue intersidérale, en espérant y trouver sa vocation, pour ensuite se rendre compte que vouloir grandir n’est qu’un piège, et que le foulard rouge tricoté par ta mère, tel un cordon ombilical, t’accompagnera toujours, même dans l’espace de ton destin…

Présentation par le réalisateur Konstantin Bronzit
A la fin de la projection : RENCONTRE LIVE avec le réalisateur
Animé par : Irina Rossius, présentatrice des programmes d’information de la chaine TV « Rossia-1 »
Traduction – Olga Lugovskaya

 

h

 

20 h 45 & 22 h

7 films d’animation

 

 

“MAITRESSE DE LA MONTAGNE DE CUIVRE”

Réalisateur : Dmitri Geller, 2020, 13 min.

Dans l’Oural il existe une culture spécifique – la culture de forges. Et comme toute la culture cette dernière a aussi ses Dieux. Dans l’Oural c’est la Maîtresse de la montagne de cuivre. Elle gère le trésor souterrain, elle est la gardienne des secrets des professions du secteur minier. Mais elle ne les révèle pas à tout le monde, la connaissance de ces secrets peut coûter la vie. Chaque Dieu demande ses sacrifices.

 

h

 

“HOMME DE POMMIER”

Réalisatrice : Alla Vartanian, 2020, 10 min.

C’est un conte humoristique mais instructif sur les forces du bien et de l’entraide inspiré des légendes anglaises.
Dans certaines régions de l’Angleterre et de l’Ecosse le pommier le plus ancien dans le jardin était appelé l’Homme de pommier.

“10 000 TACHES VILAINES”

Réalisateur : Dmitri Geller, 2020, 08 min

Deux peintres qui ne se sont pas vus depuis longtemps vont à la rencontre l’un de l’autre.

 

h

 

“LONGUE PERCHE”

Réalisatrice : Anastasiia Zhakulina, 2020, 08 min.

C’est une histoire de la princesse qui a des difficultés dans la vie à cause de sa taille très haute. Le roi essaye de marier sa fille et organise un bal. Mais horrifiés par la haute taille de la princesse, tous les prétendants se sauvent. Le désespoir et le hasard amènent la Longue perche là où elle trouve son bonheur.

 

h

 

“ÉTOILE CHAUDE”

Réalisatrice : Anna Kuzina, 2020, 04 min.

L’oiseau responsable de la propreté du ciel, lors du ménage fait tomber par erreur une étoile. Des enfants la retrouvent par terre. Mais comment pourrait-on la faire revenir au ciel ?

 

h

 

 

“MEUTE”

Réalisatrice : Alina Natakhina, 2019, 08 min

C’est l’histoire d’une meute de loups et de leurs relations compliquées avec les gens. Ayant perdu les proches lors de l’une des battues contre les loups, le vieux chef Voï essaie de protéger sa famille contre le danger. Mais malgré ses efforts il est arrivé un malheur à l’un des louveteaux qui est tombé dans une chausse-trape. Le chef de meute doit prendre une décision douloureuse au moment où au loin apparait un homme …

 

h

 

 

“ANNA, JEU AU CHAT ET A LA SOURIS”

Réalisatrice : Varia Yakovleva, 2020, 05 min, 16+

Un homme espionne Anna, il pénètre dans sa maison, et dans une tentative de la posséder détruit tout ce qui entoure Anna.

 

8

 

 20 h 45 à  22 h

FILMS  DOCUMENTAIRES

 

 

“LIVREUR”

Réalisateur : Stepan Liubimov, 2019, 18 min

C’est l’histoire des jeunes talents de la Russie, qui pendant le confinement ont été obligés d’aller travailler comme livreurs pour survivre, tout en continuant d’organiser les répétions de spectacles, de faire le cinéma, de tourner des vidéos et de composer de la musique. C’est la réponse à la question : comment rester un artiste malgré les difficultés de la vie ?

 

h

 

“IL N’Y A PAS DE MINES ICI”

Réalisatrice : Evdokia Moskvina, 2019, 52 min.

La guerre est finie. Elles sont restées. Cinq petites filles de Russie restent toutes seules au milieu du désert syrien après la mort de leurs parents. Néanmoins les orphelines ont réussi à arriver au camp de prisonniers de guerre Al-Hawl situé au soi-disant « Kurdistan syrien ». Lors du tournage on a réussi à les retrouver et à les rendre à leurs proches en Tchétchénie.

 

h

 

 

“MUSIQUE VIT ICI”

Réalisatrice : Polina Stepanova, 2020, 26 min.

La musique vit dans les murs de la Philharmonie régionale d’Irkoutsk depuis plus de 80 ans. L’espace, les instruments et bien sûr les musiciens eux-mêmes sont remplis de la musique. Le film parle de la mission d’un musicien, de la transmission des valeurs d’une génération à l’autre et d’une façon dont la main d’un maître guide un élève. Le film parle aussi du rôle d’un chef d’orchestre symphonique, de la puissance de la musique populaire, des voix « volant vers le ciel ». La musique philarmonique voyage et se retrouve dans de différents coins du monde, et même le bruit du tram devient une partie intégrante de l’amour et de l’harmonie (de la Philharmonie).

 

h

 

 

“INSPIRATION”

Réalisateurs : Dmitri Gorbaty, Vladimir Zelenski, Tatiana Tchekhova, 08 min.

L’Histoire de trois jours du Festival de musique Red Bull Music Festival 2019 vus par les yeux de ses artistes et ses participants.

 

8

 

Samedi 12 décembre

 9 h 30 – 12 h 35

– FILMS  DE  FICTION 1

 

 

“INCOGNITO”

Réalisateur : Maxime Rojkov, 2020, 15 min.

Un jeune motard a eu un accident et a perdu sa jambe. Pour revenir au sport, il a besoin d’une jambe prothétique sportive qui coûte très cher. Pour gagner une somme nécessaire il commence à voler des gens dans la rue en étant armé d’un faux pistolet. Mais chaque braquage ne le rapproche pas de son objectif et, au contraire, crée de nouveaux problèmes. Et si le pistolet n’était pas faux et entre lui et la réalisation de son rêve il y aurait la vie de quelqu’un ?

 

h

 

“TIGRE PARMI BOULEAUX”

Réalisateur : Stanislav Svetlov, 2020, 30 min.

Le film parle d’un coup de foudre d’un tailleur provincial qui a bouleversé sa vie tranquille.

 

h

 

 

“LA LOUVE”

Réalisatrice : Svetlana Trebulle, 2020, 22 min.

Un jeune homme est tellement fasciné par l’héroïne d’un conte de son enfance qu’il menace de se perdre pour toujours en tentant de la retrouver.

 

h

 

 

“OREILLE”

Réalisateur : Petr Skvortsov, 2019, 11 min.

L’avenir alternatif qui ressemble beaucoup à un empire totalitaire du milieu du siècle dernier. Les clients d’un taxi spécial se confient sans prononcer un mot au chauffeur. Un jeune homme discret et taciturne ayant un sourire doux et un regard compréhensif écoute les confessions d’un homme « fort » et d’une dame riche.

 

8

 

10 h 50 – 12 h 25 

– FILMS  DE  FICTION  2

 

 

“THÉORIE DE PROBABILITÉ DES ÉVÉNEMENTS ALÉATOIRES”

Réalisatrice : Aleksandra Sarana, 2020, 21 min

Il arrive parfois que deux vies qui se sont parallèles doivent obligatoirement se croiser. Et aujourd’hui c’est le jour où deux personnes se rencontrent finalement grâce à une suite de hasards.

 

h

 

 

“FILLE DE LA NEIGE”

Réalisatrice : Asaad Abboud, 2020, 30 min

Le matin du 1er janvier deux acteurs-losers déguisés en Père Noël et de la Fille de Neige ont fini leur service de la Réveillon. Chacun a ses propres projets pour continuer la fête.
Mail il s’avère qu’une dispute banale devient un road movie dangereux.

 

h

 

“CONSOLATION”

Réalisatrice : Lina Asadullina, 2020, 21 min

La traductrice en langue grecque s’envoie en l’air de temps en temps la nuit avec les chauffeurs de taxis occasionnels dans leurs voitures sans se revoir jamais après.
Mais un jour, un chauffeur de taxi migrant veut la retrouver et finit à la place par être arrêté par la police.

 

h

 

 

“SERVICE DE LIVRAISON”

Réalisateurs : Vladimir Koptsev, Elena Koptseva, 2019, 13 min

Un coursier du service spécial de livraison fait son travail quotidien habituel : livre à domicile les commandes des clients. D’une première approche, une histoire banale, sauf que le contenu des colis ce sont des émotions pures. N’importe quelle personne peut envoyer à une autre personne une vraie joie, de l’amour ou les souvenirs du passé, et le courrier fera de son meilleur pour livrer la commande au destinataire. Mais ça ira-t-il vraiment mieux ?

 

8

 

 13 h  &  15 h 15

FILMS DE FICTION ET D’ ANIMATION

 

« ROBO »

Réalisateur : Sarik Andréassian, 2019 (films pour enfants)
Rôles principaux : Daniil Isotov, Vladimir Vdovitchenkov, Sergueï Bazroukov, Maria Mironova, …

Mitya Privalov, 12 ans, rêve de réaliser des bandes dessinées sur les super-héros. Mais les parents du garçon, ingénieurs en robotique, veulent qu’il suive leurs traces. Mitya trouve compréhension et soutien là où il ne s’y attendait pas : auprès du robot de sauvetage créé par ses parents, appelé A-112 ou simplement Robo. Des aventures inouïes les attendent, au cours desquelles Mitya apprendra à ce nouvel ami à croire en lui et en ses rêves, et Robo deviendra pour le garçon un exemple de courage et de responsabilité.

 

8

 

12 h 30 & 17 h 10

PATRIMOINE

Rétrospectives des perles rares et à (re)découvrir du cinéma soviètique,

en dehors des films de la propagande

 

 

« PRISONNIERE de CAUCASE »

Réalisateur : Léonid Gaïdaï, 1965, 1h35min (Comédie)

Comédie soviétique culte, dont les répliques sont sur les lèvres de nombreuses générations de cinéphiles.
Étudiant gentil et naïf, Shourik se rend dans les montagnes du Caucase pour collecter les coutumes folkloriques. Là, il rencontre une charmante jeune fille, Nina, venue passer l’été chez son oncle. Et cet oncle entraîne Shourik dans une affaire presque criminelle : Shourik se voit chargé de kidnapper une fiancée pour un patron local, le camarade Saakhov. On dit à l’étudiant que ce n’est qu’une plaisanterie qui fait partie des rites locaux : que la fiancée est d’accord, ainsi que ses parents. Mais il s’avère que rien ne se passe comme prévu et que la jeune fille en question n’est autre que Nina. Shourik se résout à agir.

 

8

 

17 h 30 & 19 h 15

FILM DOCUMENTAIRE

 

« JE SUIS LIBRE »

Réalisateur : Anastassia Yakoubek, 2019, 1h00 (documentaire)

Musique du film: compositeur, pianiste, chef d’orchestre
Vsevolod Petrovich Zaderatsky (1891-1953)

Le film raconte le sort du compositeur, pianiste, chef d’orchestre et professeur Vsevolod Zaderatsky (1891-1953). Son nom et sa musique ne commencent à être connus qu’aujourd’hui. Mentor musical du tsarévitch Alexeï, il participa à la Première Guerre mondiale et fut officier de l’armée de volontaires de Dénikine. En 1937, il fut condamné et envoyé au camp de Kolyma. Dans des conditions inhumaines, il créera une œuvre aujourd’hui jouée triomphalement dans le monde entier – 24 préludes et fugues. Il écrira sa musique sans instrument, sur des formulaires télégraphiques, avec un simple crayon à papier…

 

8

 

20 h & 22 h  43

FILM DOCUMENTAIRE

 

 

«MON RÊVE OUZBEK»

Réalisateur : Arnaud Frilley, 2020, 1h13 (Documentaire)

Gérard Depardieu fait un rêve : il marche dans un désert né d’une mer asséchée. Au réveil, il comprend qu’il s’agit de la Mer d’Aral (Asie Centrale) et se rend en Ouzbékistan pour mettre ce rêve à exécution. Cette quête de la mer disparue l’incitera à réaliser un voyage absolument unique à travers la si hospitalière terre ouzbèke, dotée d’une histoire millénaire et creuset de multiples cultures. Les paysages de ce pays, ses impressionnants monuments et les échanges avec sa population multiethnique susciteront chez l’acteur de nombreuses réflexions qu’il partagera avec sincérité et spontanéité devant la caméra poétique et philosophique d’Arnaud Frilley.

 

8

 

Dimanche 13 décembre

17 h 30  & 19 h

FILM DOCUMENTAIRE

 

«MARIUS PETIPA… 200 ANS PLUS TARD»

Auteur – le journaliste Victor Ignatov
Productrice – Tatiana Aleksandrova, chaine TV « Théâtre », 2020, 17min25’’’

« Il n’y a pas de meilleure école pour un chorégraphe que l’école Petipa. C’est pourquoi Petipa n’est pas aujourd’hui une légende, mais une partie intégrante de la vie et de la pratique moderne du théâtre de ballet » – Yuri Grigorovich.
Le film souligne et consacre l’immortalité de l’art du brillant chorégraphe Marius Petipa, dont le patrimoine créatif continue à vivre et se développer grâce aux liens culturels actifs entre la Russie et la France. Les dirigeants des principales compagnies de ballet des deux pays s’expriment tout au long du film. Il présente sous une forme passionnante un large panorama du théâtre chorégraphique moderne, dans lequel – avec les créations lumineuses de maîtres talentueux et les expériences audacieuses d’artistes d’avant-garde – les chefs-d’œuvre de ballet de M. Petipa, qui constituent toujours la base de l’art de la danse et du répertoire académique, sont soigneusement préservés. Le film développe en détail la thèse principale : Marius Petipa est l’histoire vibrante du ballet classique.

Présentation : Par le journaliste et auteur du film Viktor Ignatov

A la fin de la projection :
– Avis d’expert sur le film de figures culturelles,
– Rencontre avec l’auteur du projet critique musical, fondateur de l’affiche musicale : portail Paris – Europe, membre actif, Académie internationale de créativité – Académie internationale des efforts créatifs par Victor Ignatov.

Rencontre animée par la Présidente de Stella Art International, la musicologue : Stella Kalinina. Traduction : Olga Lugovskaya.

 

8

 

20 h & 22 h 08

 

 

« GRAND CANCAN »

Réalisateur Mikhaïl Kosyrev-Nesterov, 2019, 2 h 03, Drame musical.
Rôles principaux : Elena Zaïtseva, Pavel Ivanov, Yana Ivanova

L’idée originale du film, qui a déjà collecté toute une panoplie de prestigieux prix internationaux, est venue à l’auteur après avoir assisté à l’une des représentations du Théâtre d’Opérette de Moscou. Ayant rencontré sa talentueuse troupe, Mikhaïl Kosyrev-Nesterov a tourné un film musical très particulier basé sur le récit des principaux artistes du théâtre, des difficultés de leur vie, qui reste invisible au public. Ces vedettes ont magnifiquement joué leur propre rôle. Et comme l’action se déroule dans le théâtre, la musique d’opérettes et de comédies musicales fait partie intégrante de l’action et joue un rôle non négligeable dans la construction de la dramaturgie.

Présentration par le réalisateur Mikhaïl Kosyrev-Nesterov

 

6 7 6

TARIFS

1 séance : 4 Є // 3 séances – 8 Є //
5 séances – 14 Є // 7 séances – 19 Є //
9 séances (tout compris) – 25 Є
Remise de 30% pour les étudiants et demandeurs d’emploi pour toutes les séances.

Billets : CLIQUEZ

 

Plus de renseignements : CLIQUEZ

 

 

 

La Compagnie de la Lune

présente

” Le violon chante et le loup court  “

Lundi 28, mardi 29, mercredi 30, jeudi 31 décembre 2020

à 10 h 30 et 14 h 30

Centre Mandapa, 75013, Paris

 

” Le violon chante et le loup court ” 

Après le vif succès rencontré par notre spectacle “Voyage aux pays des contes“, autour des contes russes que nous avons donné notamment au Mandapa deux saisons, nous avons la joie de reprendre notre spectacle de contes tziganes, après cette période difficile.
Spectacle de contes poétiques où nous découvrons la naissance du violon chez les gitans. Ponctué de musique tzigane, de danses et de chansons nous vous contons le merveilleux “Violon Enchanté“; pour finir avec le conte du Caucase faisant jouer aux enfants l’histoire de ce loup Maigrelet qui rencontre des proies plus malines que lui !!!
 Un bon moment convivial et plein de rires!
Spectacle musical interactif et contes tziganes, tirés de la tradition populaire et des mythologies tziganes, ce spectacle raconte des histoires merveilleuses et terrifiantes, empreintes de poésie et de couleurs, où se mêlent des chansons et des danses. La violoniste et la conteuse-danseuse invitent les enfants à participer à la fête !
Durée : 55 minutes.
Extrait vidéo du spectacle : CLIQUEZ
3

Géraldine Hilaire, danseuse, chorégraphe, comédienne, auteure, conteuse, elle s’inscrit dans une lignée artistique et a commencé très tôt.

A  17 ans, elle intègre le Conservatoire, poussée par Claire Sombert, directrice du conservatoire, Géraldine incarne La Sylphide dans La Muse de Musset. La jeune artiste se destine définitivement à la danse et à ses onctueuses ascendances éthérées.

Très vite, elle prend des cours de théâtre au Verbe et Lumière chez Dominique Leverd qui lui désigne les grands textes.

Géraldine Hilaire est engagée par la compagnie du Théâtre des Nymphes, dirigée par Virginie Haudricourt. Dans, Le Voyage au pays des poux, spectacle pour enfants, elle incarne 8 rôles successifs. De Cendrillon à La Belle et la Bête, elle met à profit l’improvisation dansée, le théâtre et la relaxation.

Au Conservatoire, Stéphan Druet son professeur de théâtre, elle s’était déjà initiée à ces mises en scène artistiques et la chorégraphie devient la première réalisation de son rêve.

Vient le temps des contes. Après avoir joué la Fée Mélusine chez Virginie
Haudricourt, Géraldine Hilaire est engagée dans un spectacle de rue organisé par Handicap International Enchantée par les sortilèges et les mythologies, la danseuse-comédienne devient auteure et écrit la charmante histoire de Berlingot et Jolinote. Au fil de sa passion elle écrit des légendes poétique et créé :  Dolidoëne la légende Celte, Le Voyage de Babouchka, Le Voyage aux pays des contes russes, Le violon chante et le loup court conte tziganes et dernièrement La Perle de Lune…
Car le merveilleux, le rêve, la littérature, la musique et les rencontres artistiques nourrissent son inspiration prolifique.
j k j
Maria Christiany, violoniste française d’origine russe, elle a fait ses études musicales à l’école Gnessin pour les enfants précoces, puis au Conservatoire Supérieur de Tchaïkovski de Moscou. Diplômée, elle mène une carrière de concertiste en Russie et à l’étranger.
Installée à Paris depuis 2007 elle a obtenu le Certificat d’Aptitude au CNSM de Paris, ainsi qu’un Master de Musicologie à L’université Paris 8.
Aujourd’hui Maria dirige le Centre Musical des Pratiques Professionnels ArtimA où elle organise des programmes d’échange culturel entre la France et la Russie, ainsi que l’organisation de concours internationaux, de conférences et des enseignements de qualité. Maria est souvent invitée pour jouer des concerts en tant que soliste et chambriste. Elle s’intéresse à l’interdisciplinarité et participe à différents programmes mêlant musique, théâtre, danse, littérature, et notamment à travers son propre programme des “Concerts en couche” et des “Contes vivants“. Maria Christiany est professeur titulaire du CRD de Bobigny.

 

 

Crée en 1975, naissait le Centre Mandapa, au cœur du XIIIe arrondissement de Paris. D’abord dédié à la danse indienne, une des rares scènes de la capitale présentant régulièrement des spectacles de musiques et danses du monde.

Centre Mandapa
 6 rue Wurtz, 75013 Paris
Métro : Glacière ou Corvisart

Bus: 21 (Daviel), 62 (Vergniaud),
57 et 67 (Bobillot-Tolbiac)

Renseignements et réservation: 01 45 89 99 00

Tarif: à partir de 7€95
 
 

 

 

VENTE AUX ENCHÈRES PUBLIQUES PARIS

 

ÉTUDE MILLON

” VENTE ART RUSSE ”

Mercredi 16 décembre 2020

à Huis-Clos à 14 heures

 

 

 

Vente LIVE à HUIS-CLOS.Le département est à votre disposition pour toute demande de rapport de condition, d’ordre d’achat / enchères téléphoniques, visites (possibles par vidéo sur rendez-vous).  russia@millon.com     Tél : 01 40 22 66 33

 

EXTRAITS du CATALOGUE

Collection d’œuvres sur papier de Madame X.

 

 

LOT 4 : Ivan Petrovich MARTOSS (1754-1835).
La fête (1830).
Encre et lavis sur papier non signée. Porte au revers une étiquette d’exposition de la Collection Basmadjian.
H. 33 x L. 22,5 cm (à vue).
Exposition :
« Collection Basmadjian », Galerie Trétiakov,
Moscou Juillet-Août 1988, Musée de l’Ermitage,
Léningrad Août-Septembre 1988 (inv. 067826).
1 000/1 500 €

 

f k f

 

 

LOT 6 : Evgueni Evguenievich LANCERAY (1875-1946).
Vue d’une citadelle dans le Caucase.
Encre et lavis sur papier, monogrammé en bas à droite
« Е.Л. ». H. 18,3 x L. 29,5 cm.
Provenance :
Vente Coutau-Bégarie, 13/04/2005, lot n°313.
600/800 €

 

f k f

 

 

LOT 8 : Alexandre Nikoleavich BENOIS (1870-1960).
Le dernier des Mohicans (circa 1905).
Encre et mine de plomb sur papier, monogrammé en bas à droite « АБ » collé
sur une feuille cartonnée légendée en russe mentionnant le titre, la date de l’oeuvre et les références bibliographiques. H. 9,5 x L. 14 cm.
Provenance :
Vente Coutau-Bégarie, 13/04/2005, lot n°227.
800/1 000 €

 

f k f

 

 

LOT 12 : Pavel Varfolomeevich KUZNETSOV (1878-1968).
En Crimée (1926).
Aquarelle sur papier non signée. Porte une étiquette tapuscrite au
revers signalant la provenance de l’oeuvre. H. 22,5 x L. 18 cm (à vue).
Provenance
-Probablement collection de Elena Mikhailovna Bebutova (1892-
1970), femme de l’artiste.
-Probablement collection de Boris Davidovich Suris (1923-1991).
-Probablement collection de Yakov Evseyevich Rubinstein (1900-1983).
OEuvre en rapport
Landscape (1925), aquarelle sur papier, 33,2 x 27,7 cm, Vente
Christie’s New York, 21/10/2003, lot 116, adjugé 2800$.
1 000/1 500 €

 

f k f

 

 

LOT 17 : Youri Ivanovich PIMENOV (1903-1977).
Projet de décor de théâtre probablement pour Roméo et Juliette.
Huile sur papier non signée. Porte une étiquette au dos « 252 ».
H. 19 x L. 23,5 cm (à vue).
Œuvre en rapport
Une oeuvre comparable, intitulée Huts in the Forest, Set Design for the Boris Lavrenev Play, huile sur toile, 24 x 40 cm, a
été vendue chez Macdougalls Londres le 29/11/2017, lot n°126 (adjugé 16 600 £).
3000/5000 €

 

f k f

 

 

LOT 21 : Vadim Fedorovich RYNDIN (1902-1974).
Deux projets de costumes de théâtre.
Aquarelle, gouache et mine de plomb sur papier, une paire, non signées. Petites taches.
H. 31,5 x L. 21 cm (à vue) ; H. 35 x L. 22 cm (à vue).
600/800 €

 

f k f

 

 

LOT 26 : Alexander Alexandrov DEINEKA (1899-1969).
Portrait d’homme.
Mine de plomb sur papier non signée. Quelques taches.
H. 26,5 x L. 19,5 cm (à vue).
2 000/3 000 €

 

f k f

 

Tableaux

 

 

LOT 38 : Alexander Ivanovich SAUERWEID (1783-1844).
Scène de bataille.
Mine de plomb sur papier non signée. Porte au dos l’étiquette d’exposition tapuscrite « Collection Basmadjian Galerie Trétiakov – Moscou Juillet – Août 1988 » ainsi qu’un cachet de cire rouge de collection. Conservé dans son cadre d’origine en bois doré. Bon état, très légères taches brunes.
H. 24 x L. 34,4 cm (à vue).
Provenance :
Collection Basmadjian.
Exposition
« Collection Basmadjian » à la Galerie Trétiakov à Moscou de Juillet à Août 1988, numéro d’inventaire 068050.
800/1 000 €

 

f k f

 

 

LOT 39 : École russe du XIXe siècle, dans le goût d’Ilya REPIN (1844-1930).
Portrait d’un homme barbu.
Huile sur carton non signée.
Conservée dans un cadre en bois doré. Bon état. H. 27 x L. 19 cm.
1 500/2 000 €

 

f k f

 

 

LOT 41 : Mikhail Stepanovich TKATCHENKO (1860-1919)
Voilier.
Huile sur panneau non signée. Encadré. H. 21,5 x L. 13 cm.
1 500/2 000 €

M. S. Tkatchenko a reçu une éducation artistique sous la direction du peintre
D.I. Bezperchy. Puis, en 1879, il entre à l’Académie des Arts de Saint-Pétersbourg,
où jusqu’en 1887, il fut l’élève de maîtres tels que P. Chistyakov, M. Klodt, V. Orlovsky. Puis Tkatchenko poursuit ses études en France, à l’Académie des Arts de F. Cormon. Installé à Paris, le peintre n’en visite pas moins chaque année la Russie et l’Ukraine, où il peint beaucoup. Ses toiles ont été présentées à l’Exposition universelle de Paris en 1900 (deuxième médaille d’or) et au Salon de Paris de la saison 1911-1912. Il fut l’un des principaux peintres marins de l’Empire russe.
Exécutant les ordres impériaux, le maître a décrit de grands ports de plaisance pour des cadeaux importants du gouvernement. La plupart d’entre eux sont conservés dans des assemblées d’état en France ou encore dans le Musée naval central de Saint-Pétersbourg. Tkatchenko fut lauréat (médaille d’or) à l’Exposition Internationale de Liège en 1905. Il fut chevalier de l’Ordre de la Légion d’honneur (1895) et de l’Ordre de Saint- Stanislas 3ème classe (1909).

 

 

LOT 42 (à gauche) : Mikhail Stepanovich TKATCHENKO (1860-1919)
Navire au large.
Huile sur panneau, monogrammée en bas à droite.
Encadré. H. 14,5 x L. 23,5 cm
1 500/2 000 €

LOT 43  (à droite) : Mikhail Stepanovich TKATCHENKO (1860-1919)
La proue du Standart.
Huile sur carton signé en bas à gauche. Encadrée.
H. 25 x L. 14,5 cm
1 500/2 000 €

 

f k f

 

 

LOT 44 : Nicolaï Ivanovich FECHIN (1881-1955).
Portrait d’Eya Nicolaevna Fechin (1914-2002), fille de l’artiste (circa 1924).
Huile sur toile, signée en bas à gauche « N. Fechin ».
Nombreuses craquelures de la matière. Rentoilage. Encadré.
H. 66,5 x L. 56 cm.
Provenance :
Collection privée, Monaco.
Œuvres en rapport
– The Little Girl (the artist’s daughter, Eya), huile sur toile, 61 x 51.1 cm, vendu chez Doyle New-York, 10 Novembre 2010,
lot n°37 (adjugé 332.500 $).

80 000/120 000 €

 

f k f

 

 

LOT 51 : Serge IVANOFF (1893-1983).
Portrait de femme (1960).
Huile sur toile, signée et datée en haut à
gauche « Serge Ivanoff Paris 1960 ». Bon état.
H. 61 x L. 50 cm.
1 000/1 500 €

 

f k f

 

 


LOT 62 : Volodia POPOV-MASSIAGUINE (né en 1961).
Sur le balcon (2019).
Huile sur toile signée et datée en bas à droite.
H. 200 x L. 90 cm.
3 000/4 000 €

 

f k f

 

Peinture Géorgienne

 

 

LOT 63 : Basil DJORDJAZE (1883-1952).
Paysage lacustre caucasien.
Huile sur toile signée en bas à
gauche. Bon état.
H. 54 x L. 65 cm.
800/1 000 €

 

f k f

 

 

LOT 67 : Basil DJORDJAZE (1883-1952).
Paysage lacustre (1936).
Huile sur toile signée et datée en bas à
droite. Bon état.
H. 54 x L. 73 cm.
1 500/2 000 €

 

f k f

 

 

LOT 70 : Felix VARLAMICHIVILI dit VARLA (1903-1986).
Les trois chevaux dans la prairie.
Huile sur toile signée en bas à gauche « Varla ». Titrée sur le
châssis et annotée. Encadrée, bon état.
H. 33 x L. 41 cm.
Provenance :
– Œuvre acquise directement
auprès de l’artiste.
– Collection privée française
2 500/3 500 €

 

f k f

 

 

LOT 71 : Felix VARLAMICHIVILI dit VARLA (1903-1986).
Les musiciens (mai 1974).
Huile sur toile signée en bas à droite « Varla » en bas à droite. Titrée sur le châssis et porte une étiquette
d’exposition de la galerie Arts et Beaux-Arts de France. Encadré, très bon état.
H. 54 x L. 65 cm.
Provenance :
Collection privée française
5 000/6 000 €

 

f k f

 

 

75

LOT 75 : Felix VARLAMICHIVILI dit VARLA (1903-1986).
La nativité.
Gouache et crayon sur papier signée en bas à gauche
« Varla ». Encadré, bon état.
H. 39 x L. 32,5 cm.
Provenance :
– OEuvre acquise directement auprès de l’artiste.
– Collection privée française.
500/700 €

 

f k f

 

Art contemporain

 

LOT 76 : A.M. MAZLOVSKY, école russe du XXe siècle.
Femmes aux pivoines (1992).
Huile sur toile, signée et titrée au dos en russe. Bon état, encadré.
H. 59 x 49 cm (à vue).
500/800 €

 

f k f

 

Icônes

 

 

LOT 78 : Très rare ensemble de 3 barmas (barmi) en argent estampé,
brasé, gravé, filigrané et doré, en forme de bouclier et de mêmes dimensions, munis d’une bélière. Le médaillon central à décor gravé figurant une image en pied d’un archange, avec un nimbe autour de la tête, sur fond noirci ; les deux autres à décor niellé de croix dans un entourage de branches feuillagées qui s’élèvent vers
le haut. Bon état, usures et petits trous, nettoyées. Russie, fin du XIIe – début du XIIIe siècle.
H. 7,9 x D. 6,2 cm.
Provenance :
Collection privée depuis 1982.
6 000/8 000 €

HISTORIQUE : Les barmas (ou barmi) sont des bijoux précieux portés
sur les épaules du monarque, tenus par une chaîne ou une corde et fixés sur un large col tissé de soie, peut-être l’un des plus anciens de tous les symboles russes
traditionnels du pouvoir du monarque. Preuve éclatante du talent des maîtres de la Russie ancienne, elles font partie des vêtements princiers de cérémonie ornées
d’images à caractère religieux et parfois de pierres précieuses et d’émaux, comme celles conservées au Kremlin. Les barmas étaient portées par-dessus des
vêtements formels constituant l’ancien analogue russe de la tradition byzantine des “lorum”. – détails des vêtements impériaux cérémoniels. Dans les anciens
inventaires du Grand Trésor du Tsar, les barmas sont également appelées “diadèmes” (диадимами). Une barma complète avec des médaillons similaires aux nôtres est
conservée au Musée historique d’État de Moscou.

 

f k f

 

 

LOT 81 : Grande icône à deux registres figurant sur
le premier la Mère de Dieu à gauche et la tête de Saint Jean-Baptiste à droite, sur le premier registre Saint-Nicolas de Myre à gauche et la Mère de Dieu Miséricordieuse à droite.
Tempera sur bois. Fentes et restaurations. Russie, XIXe siècle.
H. 53 x L. 44,5 cm.
800/1 000 €

 

f k f

 

 

LOT 82 : Icône de Saint-Nicolas le faiseur de Miracles.
Tempera sur bois.
Figurant Saint-Nicolas de Myre flanqué du Christ et de la
Mère de Dieu. Dans son bel oklad en vermeil 84 zolotniks (875 millièmes) à
décor repoussé et gravé de motifs de rinceaux, la mitre ornée de trois médaillons ovales en nacre peinte figurant la Déisis, le nom du Saint inscrit en or sur émail bleu céleste. Bon état général, usures et chocs. Moscou, 1852.
Orfèvre : AM, possiblement pour Alexander MUKHIN.
Poids brut : 1866,0 g. H. 31 x L. 26 cm.
1 000/1 500 €

 

f k f

 

 

LOT 84 : Importante icône de voyage
triptyque figurant la Déisis. De gauche à droite la Mère de Dieu,
le Christ et Saint Jean-Baptiste. Laiton ou bronze doré, monté à
charnière. Très belle fonte en relief. Russie, XIXe siècle.
H. 16,5 x L. 41 cm (ouverte)..
200/400 €

 

f k f

 

 

LOT 88 : Icône de la Sainte Princesse Olga.
Peinture sur métal, monogrammée en bas à droite « OM ? ».
Dans son oklad en argent 84 zolotniks (875 millièmes), la bordure ciselée de feuillages. Gravée sur le dessous de la date en russe « 22 avril 1910 ».

 

Saint-Pétersbourg, 1908-1917. Orfèvre : VLADIMIROV.
Poids brut : 390,8 g. H. 16,5 x L. 12 cm.
Provenance :
Collection particulière française.
Historique :  La date du 22 avril 1910 correspond à la date à laquelle l’évêque de Trifon, au couvent des Saintes Marthe et Marie, consacre 17 soeurs du monastère dirigées par la grande Duchesse Elizabeth Feodorovna (1864-1918) au titre de soeurs de l’amour et de la miséricorde. Cette icône d’une grande pureté a pu être offerte à cette occasion et remise à une des soeurs qui portait le prénom d’Olga.
5 000/7 000 €

 

f k f

 

 

LOT 91 : Rare icône du Saint Prince Alexandre Nevsky.
Tempera sur bois.
Dans son bel oklad en vermeil et argent 84 zolotniks (875 millièmes), le fond rayonnant, le nimbe fixé autour de sa tête, le corps et les vêtements repoussés et finement ciselés. Le nom du Saint sur des cartouches émaillés bleus. Bon état général, légères usures.
Gravée sur le dessous de la date en russe « 22 avril 1910 ». Moscou, 1908-1917.
Orfèvre : Emelyan KUZNETSOV.
Poids brut : 958,0 g. H. 26,7 x L. 22,2 cm.
Provenance
Collection particulière française.
4 000/6 000 €

 

f k f

 

 

LOT 93 : Icône de la Mère de Dieu de Kazan.
Tempera sur bois.
Dans son très bel oklad en argent 84 zolotniks (875 millièmes) à décor repoussé
et gravé, les nimbes et les bordures émaillés polychromes cloisonnés à décor de
rinceaux et de motifs géométriques. Bon état. Moscou, 1891.
Orfèvre : probablement Semyon GALKIN.
Poids brut : 1055,0 g. H. 27 x L. 22,5 cm.
5 000/7 000 €

 

f k f

 

Orfèvrerie

 

 

LOT 103 : Tirelire en argent 84 zolotniks (875 millièmes) en forme de niche, le couvercle s’ouvrant à charnière et se fermant grâce à une serrure (clef manquante), gardée par un chien couché tenu par une chaînette.
Moscou, 1859.
Pas de poinçon d’orfèvre mais dans le goût de Nicholls
& Plincke.
Poids : 127,7 g. H. 6 x L. 9,5 x P. 6 cm.
800/1 000 €

 

f k f

 

 

LOT 108 : FABERGÉ
Carafe à panse balustre en cristal taillé à torsades, montée en argent 88 zolotniks (916 millièmes), le couvercle s’ouvrant à charnière par une feuille
d’acanthe, l’anse en forme de volute. Bon état. Moscou, vers 1890.
Orfèvre : Carl FABERGÉ.
Poids brut : 1358,0 g. H. 19 x D. 13,5 cm.
5 000/7 000 €

 

f k f

 

 

LOT 114 : Boîte ronde en argent s’ouvrant en deux parties à décor gravé, sur le couvercle du plan et d’une vue de la ville Tobolsk, au revers du plan de la ville de Tioumen et sur les côtés des plans des villes de Tourinsk, Omsk, Ichim, Tara,
Yaloutorovsk et Kourgan. Intérieur vermeil. Russie, fin du XIXe – début du XXe siècle.
Sans poinçon apparent.
Poids : 135,7 g. D. 8 x H. 2,1 cm.
1 500/2 000 €

 

f k f

 

 

LOT 121 : Étui à cigarettes en argent 84 zolotniks
(875 millièmes) de forme rectangulaire arrondie aux angles à décor ciselé et amati
imitant les feuilles d’automne, le couvercle s’ouvrant à charnière par un poussoir en or
serti d’un saphir cabochon, intérieur vermeil.
Bon état.
Dans son écrin d’origine. Saint-Pétersbourg, vers 1890.
Orfèvre : V.F en cyrillique, non identifié.
Poids brut : 152,4 g. L. 9,4 x P. 6 x H. 1,7 cm.
2 000/3 000 €

 

f k f

 

 

LOT 127 : Rare salière en bronze argenté de forme pyramidale s’ouvrant en
deux parties, serti au sommet d’un cabochon de pierre bleue, les quatre faces du couvercle à décor ciselé d’animaux fantastique, la base carrée à décor de vagues stylisées reposant sur quatre pieds boules en bois clair. Bon état.
Institut Impérial Stroganov pour les Arts Industriels, 1907-
1917. Marquée sous la base.
H. 12 x L. 6,5 x P. 6,5 cm.

Historique : L’école de Stroganov fut fondée à Moscou par le comte Sergei Grigoryevich Stroganov en 1825 et devint officiellement l’Institut Impérial
Stroganov pour les Arts Industriels en 1901 lorsqu’elle fut placée sous le patronat de la soeur de l’impératrice, la grande-duchesse Elisabeth (1864-1918). L’atelier de cuivre de l’Institut ouvrit ses portes en 1902, les étudiants suivaient alors
un cursus de 8 ans et étaient encouragés à créer leur propre style en plus de copier les œuvres de renom. Cette salière apparaît comme une composition originale.

4 000/6 000 €

 

f k f

 

Émaux 

 

 

LOT 129 : Rare vide-poche de forme oblongue en cristal taillé monté en vermeil 88 zolotniks (916 millièmes), la prise émaillée polychrome « en plein » au centre figurant une boyarina de profil dans un entourage émaillé cloisonné à décor de rinceaux, perles et motifs géométriques de style néo-russe. Bon état.
Moscou, 1908-1917.
Orfèvre : Ivan KHLEBNIKOV, avec marque de Fournisseur de la Cour impériale.
Poids brut : 823,0 g. L. 32 x P. 13 cm.
Œuvre en rapport
Un vide-poche comparable vendu chez Christie’s
Londres, le 05/06/2017, lot n°256 (adjugé 35 000 £).
20 000/30 000 €

 

f k f

 

 

130

LOT 130 : Carl FABERGÉ (1846-1920).
Boîte octogonale en vermeil 88 zolotniks (916 millièmes) émaillé polychrome
cloisonné sur fond brun et vert à décor de motifs géométriques, de rinceaux et de
feuilles de style néo-russe. Le couvercle s’ouvrant à charnière à décor d’une scène
émaillée en plein d’après l’oeuvre de Sergueï Sergeevich Solomko (1867-1928) intitulée, Scribe datant de 1910. Très bon état.
Moscou, 1910-1917.
Orfèvre : Feodor RÜCKERT pour Carl FABERGÉ.
Numéro d’inventaire gravé de la Maison Fabergé : 26468.
Poids brut : 82,10 g. H. 2,3 x L. 5 x P. 5 cm.
Provenance
Collection particulière, Paris.
Historique : Feodor Rückert a commencé à collaborer avec la maison Fabergé à partir de 1887
en imposant un style parfaitement reconnaissable. En effet, véritable virtuose de la technique du cloisonné, Rückert sublime chaque objet par des émaux qui rendent son style unique. À la fin du XIXe siècle, il s’attache plutôt à développer une technique des émaux aux nuances pastel puis, dès 1908, l’avènement des motifs néo-russes et l’usage des couleurs sombres et froides marque un tournant
dans la production de l’orfèvre. Par le biais de la technique de l’émail sur filigranes d’argent, Rückert révolutionne la technique des émaux de manière générale et de l’orfèvrerie, les cloisons ne servant.

Serguey Sergueevich Solomko (1867-1928) Reconnu par ses pairs comme un des meilleurs aquarellistes et illustrateur de la fin du XIXe siècle, ses oeuvres sont aujourd’hui principalement connues grâce aux cartes postales éditées par la communauté Sainte-Eugénie et grâce aux journaux de l’époque « Niva » ou « Le Soleil de Russie » qu’il illustre largement aux côtés d’Élizabeth Boehm
(1843-1914). A eux deux, ils révolutionnent ce nouveau domaine des Beaux-Arts et inscrivent ainsi leur art à rebours de la production de leurs contemporains. Solomko aime à dépeindre la Russie fastueuse et passée de l’époque des Boyards à travers un style symboliste et une palette délicate. Ces scènes empreintes de féerie seront très appréciées par la Maison Fabergé et orneront les couvercles de coffrets et autres objets recouverts d’émaux cloisonnés, à l’instar de notre
ravissante boîte dont la forme octogonale et le sujet sont totalement inédits.
8 000/12 000 €

 

f k f

 

 

132

LOT 132 : Carl FABERGÉ (1846-1920).
Rare kovch en vermeil 88 zolotniks (916 millièmes) émaillé polychrome cloisonné sur fond bleu marine, blanc et violet à décor de motifs géométriques, de fleurs, de losanges et de rinceaux stylisés de style néo-russe. De forme traditionnelle, la proue à décor d’une scène émaillée en plein figurant une vue du Kremlin depuis la Moskova.
Très bon état.
Moscou, 1908-1917.
Orfèvre : Feodor RÜCKERT pour Carl FABERGÉ.
Numéro d’inventaire gravé de la Maison Fabergé : 31572.
Poids brut : 162,40 g. H. 9 x L. 11,5 x D. 7 cm.
Provenance
Collection particulière française.
Œuvres en rapport
– Une boîte rectangulaire figurant exactement la même scène émaillée en plein est conservée dans la Royal Collection Trust (RCIN 32474), mesurant 3,1 x 7,9 x 5 cm, offerte au roi George V (1865-1936) en octobre 1920 par la fille de la Grande-Duchesse Maria Alexandrovna (1853-1920).
– Un étui à cigarettes figurant également la même scène émaillée en plein que notre kovch, mesurant 9 cm, a été vendu chez Jackson’s Auctioneers, le 15 novembre 2011, lot n°236 (adjugé 60.000 $).
– Un étui à cigarettes figurant également la même scène émaillée en plein,
conservé dans une collection privée et illustré dans l’ouvrage Feodor
Rückert – Karl Fabergé, Moscou, 2016, p.77.
– Un coffret figurant une vue similaire du Kremlin depuis la Moskova,
mesurant 18 cm, a été vendu chez Sotheby’s

Historique : Feodor Rückert a commencé à collaborer avec la maison Fabergé à partir de 1887 en imposant un style parfaitement reconnaissable. Ce fin travail des émaux cloisonnés servait de cadre et de faire-valoir à des scènes émaillées en plein à l’aspect mat dont seul Rückert avait le secret, permettant de faire ressortir la couleur et la brillance des émaux. Les scènes choisies étaient toutes des copies d’après des tableaux réalisés au début du XXe siècle en lien avec l’ère de « boyarmania » qui débute dès 1880 et qui prospère jusqu’au Tricentenaire, en 1913, de la dynastie des Romanov où l’aristocratie russe s’empare des traditions passées pour faire renaître les fastes d’une vielle Russie oubliée. L’atelier de Fabergé de Moscou, à la différence de celui de Saint-Pétersbourg, symbolisait par sa production l’âme russe et répondait à
une demande plus nationaliste et tournée vers des références propres à la tradition slave. Les tableaux les plus populaires sont les ceux de Makovsky, Vasnetsov ou Solomko mais dans le cas précis de notre kovch, la scène émaillée met en lumière un des monuments les plus emblématiques de l’histoire et l’architecture moscovite dont les origines remontent au XIe siècle. Véritable forteresse et résidence des tsars jusqu’au XVIIIe siècle, il incarne le berceau de la Vieille Russie à un moment de l’histoire où le pouvoir est encore installé à Saint-Pétersbourg. Au regard des divers objets d’orfèvrerie réalisés par Rückert décorés de cette même scène du Kremlin vu
depuis la Moskova, il semble aisé de reconnaître qu’elle a connu un certain succès dans la production de Rückert. Toutefois, elle orne pour la première fois un kovch, pièce emblématique de l’orfèvrerie russe, en devenant un véritable bijou d’orfèvrerie encore inconnu du marché et des ouvrages de références. Cette incroyable découverte met une nouvelle fois en lumière la virtuosité et l’excellence jusqu’ici inégalées du travail de l’émail par Feodor Rückert pour la célèbre maison Fabergé tout en participant à l’enrichissement de l’histoire de l’art.
40 000/ 60 000 €

 

f k f

 

LOT 149 :  FABERGÉ Paire de boutons de manchettes en or 56
zolotniks (583 millièmes) à décor émaillé bleu roi sur fond guilloché ornés d’une fleur de lys sertie de diamants taillés en roses. Usures à l’émail.
Saint-Pétersbourg, vers 1900.
Orfèvre : Edouard SCHRAMM.
Poids brut total : 13,1 g. L. 3 cm.
2 000/3 000 €

 

f kf

 

 

LOT 155 : Prince Paul Petrovich TROUBETZKOY (1866-1938).
Danseuse, Portrait de la comtesse Tamara de Svirsky
(1883-1972)
Bronze à patine brune, signé sur la terrasse en lettres
latines et daté « 1910 », cachet du fondeur « Cire C. Valsuani Perdue ».
H. 54 x L. 16 x P. 25 cm.
Provenance
Collection particulière française.

20 000/30 000 €

 

f k f

 

 

LOT 157 : LANCERAY Evgeny Alexandrovitch (1848-1886).
Berkutchi – Chasseur Kirghize de berkut. Important groupe en bronze à patine brune, signé sur la terrasse à droite en cyrillique “sculpté par E. Lanceray”. Bon état.
Fonte ancienne sans cachet de fondeur. Modèle datant de 1876-1877.

 

H. 54 x L. 43 cm.
Historique : Notre bronze de première grandeur, figure un berkutchi (беркучи en russe), un fauconnier qui pratique la chasse à l’aigle royal (berkut), cet art des steppes d’Eurasie pratiqué par les kazakhs et les kirghizes dans le Kazakhstan et le Kirghizistan actuels, mais aussi dans les pays d’accueil de leur diaspora comme Bayan-Ölgii, en Mongolie, et Xinjiang en Chine.
6 000/ 8 000 €

 

f k f

 

Porcelaine & verre

 

LOT 158 : Paire de vases balustres à pans coupés en verre lithyalin de couleur
verte, montés en bronze doré ciselé à décor de style rocaille. Bon état.
Travail français dans le goût russe, fin du XIXe siècle.
H. 36 cm (totale).
3 000/ 5 000 €

 

f k f

 

 

LOT 160 : Service du grand-duc Paul Pétrovich.
Rare assiette en porcelaine à bords contournés, à décor central polychrome de l’aigle bicéphale de la Russie impériale tenant les blasons des familles Romanov et Holstein-Gottorp, large filet or sur le bord.
Bon état.
Manufacture royale de porcelaine KPM, Berlin, circa 1778.
Marque en bleu sous couverte au revers. D. 24,5 cm.
Provenance
Service commandé par Frédéric II de Prusse le 5 juin 1778 pour être offert au grand-duc Paul Pétrovitch, futur empereur Paul Ier (1796-1801).
Historique Fils de Pierre III et de Catherine II, il est le petitfils du prince Christian-Auguste d’Holstein- Gottorp (1673-1726).
Littérature : Une assiette identique est reproduite dans:
Erich Köllmann et Margarete Jarchow, «Berliner Porzellan», Munich, 1887, vol. II, p. 449, fig. 291a.
1 500/ 2 000 €

 

f k f

 

Romanov & souvenirs historiques

 

 

LOT 165 : Ensemble de 3 lithographies sur soie rehaussées figurant l’empereur Napoléon Ier, le tsar Alexandre Ier sur le mont Poklonnaïa où, en 1812, il attendit en vain qu’on lui remette les clés du Kremlin. Légendes en russe. Encadrées.
Russie, fin du XIXe siècle.
H. 27,5 x L. 27 cm (à vue).
300/ 500 €

 

f kf

 

 

LOT 168 : Rare étui à cigarettes en or 56 zolotniks (583 millièmes) à fond uni, le couvercle s’ouvrant à charnière par un poussoir est orné du monogramme entrelacé JM de Joseph Minguine sous couronne princière serti de roses diamantées et de petits rubis. Il est gravé à l’intérieur d’une dédicace en russe : « À Joseph Felixovich Minguine de la part du commandant et des officiers de la troisième brigade d’artillerie 1875-1903 ».
Très bon état. Varsovie, 1899-1904. Orfèvre : JR, non identifié.
Poids brut : 161,0 g.
H. 9,5 x L. 6,5 x P. 1,5 cm.
Conservé dans son écrin d’origine en cuir rouge de la Maison Mankielewicz à Varsovie (Pologne). ON Y JOINT la lettre manuscrite signée par les membres de la
société des officiers de la 3e brigade d’artillerie offrant cet étui
à cigarettes en mémoire de son service, Varsovie, janvier 1904, 2 p. en russe, B.E.
Provenance : – Joseph (Iosif) Feliksovich MINGUINE (1855-1931).
– Puis par descendance.
Historique :  Joseph Minguine entra en service en 1872. Diplômé de la 2ème école
militaire de Constantin. Participant à la guerre russo-turque de 1877- 1878 où il a été blessé. Colonel en 1895. Général de division en 1903. Commandant de la 41e brigade
d’artillerie en 1905. Membre de la guerre russo-japonaise de 1904- 1905. Lieutenant-général en 1907. Chef de la 2e division d’infanterie à partir en 1912. Participant de
bataille en Prusse en 1914. En 1914 capturé avec les restes de la division en encerclant le corps central de la 2ème armée dans la forêt de Komussinsky. Plus tard il s’exile en
Finlande où il décède en 1931.
5 000/ 7 000 €

 

f k f

 

 

LOT 164 : Paul Ier, empereur de Russie (1754-1801)
Buste en bronze à patine brune, reposant sur un piédouche, représentant le tsar Paul Ier. Série de la dynastie des Romanov.
Porte le cachet du fondeur F. Chopin, daté 1868.
H. 24 x L. 13 cm.
800/ 1 000 €

 

f k f

 

 

LOT 178 :  Bataille de Tannenberg (1914). Mémoires de Joseph Feliksovich Minguine (1855-1931) intitulés “Souvenirs”, rédigés entièrement en russe sur la période du 10 au 18 août 1914 du calendrier Julien (23 au 31 août du calendrier Grégorien), concernant principalement la 2e division d’infanterie, dont il était le chef. Important manuscrit de 77 pp. in-folio, entièrement autographes et signées à la fin “I. Minguine”. En l’état. L’auteur commence son récit par un épigraphe écrit en italien : “Vous savez oh justes Dieux / Si mes voeux sont pures / Si ma nouvelle est sincère”. « Ces événements étaient si cauchemardesques qu’ils ne disparaîtront jamais de ma mémoire », écrit Joseph Minguine. Quelques mois après avoir écrit ces mots, il sera fait prisonnier et déclaré disparu. Provenance – Joseph (Iosif) Feliksovich MINGUINE (1855-1931). – Puis par descendance.

Historique :  La bataille de Tannenberg (aujourd’hui Stębark en Pologne) a lieu du 26 au 30 août 1914. Elle voit la victoire décisive de la 8e armée allemande sur la 2e, puis la 1e armée de l’Armée impériale russe. Cette bataille marque l’arrêt de l’avancée russe en Prusse Orientale allemande. Simultanément, sur le front ouest, l’avance de l’armée allemande en France sera stoppée deux semaines plus tard à la bataille de la Marne.

800/ 1 200 €

 

f k f

 

 

LOT 187 : Princesse Mikhaïlovna Gortchakoff (1883-1962). Tirage photographique par I.M Ponomarev, représentant la princesse sérénissime avec son fils Michel Alexandrovich Gortchakoff (1905-1996). H. 18 x L. 13 cm.

200/300 €

 

f k f

 

Lithographies & cartes

 

 

LOT 190 : Gravure titrée en russe et en français « Kremlin de Moscou » imprimée par l’Imprimerie Moderne à Moscou le 28 août 1882. Déchirures dans les angles supérieurs. Encadrée. H. 53 x L. 81,5 cm (à vue).

100/150 €

 

f k f

 

 

LOT 191 : Grande carte à l’aquarelle et encre sur papier titrée « Comte Vladislav Iosifovich Mlodetsky » et légendée « Indication de la superficie des domaines de 1902 » figurant les territoires situés dans la région de Kiev en Ukraine et ayant appartenus au comte Mlodetsky, à l’aquarelle et encre sur papier. Pliures et petites déchirures en bordure mais bon état général. H. 220 x L. 139 cm.

1 000/1 200 €

 

f k f

 

Livres & musique

 

 

LOT 194 : Ensemble de dizaines de partitions musicales des années 1930-1950, contenues dans une pochette de format in-folio, dont :  partitions du Démon de Rubinstein, plusieurs romances et mélodies de Rubinstein, Rachmaninov et Tchaïkovski, des partitions d’Eugène Oneguine et de la Dame de Pique de Tchaïkovski ainsi que celles de l’opéra Almast (1930) de Spendyarov et de l’Invité de pierre (1872) de Dargomijsky, etc. Une enveloppe annotée, portant l’adresse de Mme T. Velitchkovsky à Paris, permet de relier cet ensemble à cette famille. Le nom Velitchkovskaya apparaît également sur une partition, ainsi que celui de la chanteuse et artiste Marina Agabova Flamon. Apparaît aussi la date du 18 avril 1951, ce qui coïncide aux dates d’activité des couples Velitchkovsky à Paris.

Historique :  Tamara Antonovna Velitchkovskaya (1908-1990), poétesse, écrivaine, journaliste et danseuse, fût surnommée la « Voix de la diaspora » (première vague d’émigration). Elle quitta la Russie en 1920, et après un passage par les Balkans, arriva en France en 1923. Elle s’installa d’abord à Lyon où elle s’investit grandement dans les œuvres de bienfaisance pour la communauté russe exilée. Elle créa même avec les enfants une troupe de dance, avec laquelle elle se produisait. Après-guerre, Tamara Antonovna déménagea à Paris, et commença à écrire. Ses poèmes et recueils comme « À l’Ouest » ou « Estafeta » étaient lus lors des soirées de l’Union des jeunes poètes (1947-1948) ou du Cercle international des amies de l’Art (1954). Tamara Antonovna écrivait également un grand nombre d’articles pour les journaux russes de la diaspora, et devint une figure majeure de la vie artistique et intellectuelle de la diaspora blanche en France.  Anatoly et son frère Alexeï Evguenievitch Velitchkovsky, le premier mari de Tamara Antonovna, furent également des figures aimées et respectées de la diaspora blanche. Anatoly après s’être engagé à 19 ans aux côtés de son père dans l’armée blanche, devint dans le Paris des exilés, un poète reconnu. On appelait ses œuvres des « miracles de lyrisme » et lui-même « un digne héritier de Toutchev ». Il se lia d’ailleurs d’amitié avec Bounine, qui lui adressait ses encouragements et ses observations. La femme d’Anatoli, originaire de Kiev, se prénommait Nina Vladimirovna Rovskaya. En Union Soviétique, elle était chanteuse d’opéra, et écrivait des pièces en langue ukrainienne. En exil elle devint professeure de chant et écrivit des articles pour le journal « Renaissance » et « Le Nouveau Journal ». Une grande partie de la collection des Velitchkovsky se trouve en France, en la possession de M. René Guerra.

 

f k f

 

 

LOT 197 : Ivan Sergueïevitch Tourgueniev (1818-1883). Recueil de nouvelles, 6 tomes en 6 volumes format in-8, reliure en percaline verte. Texte en russe. Éditions d’État, Moscou, 1954.

80/100 €

 

f k f

 

 

LOT 198 : Feodor Mikhaïlovich Dostoïevsky (1821-1881). Les frères Karamazov, 3 volumes, format in-8, reliure en cuir bleu. Texte en français. Édition Rencontre, Lausanne, 1961.

50/80 €

 

f k f

 

Art populaire

 

 

LOT 203 : Cravache en bois et crins de cheval, le manche à décor incrusté d’argent à motifs de formes géométriques. Bon état, légères usures. Russie, début du XXe siècle. L. 45,5 cm (87 cm déployée).

200/300 €

 

f k f

 

 

LOT 206 : Kovsh en bois de forme traditionnelle à décor incrusté d’argent et d’os à motifs de volutes et de formes géométriques. Bon état. Russie, début du XXe siècle. H. 6,7 x L. 19,7 cm.

600/800 €

 

f k f

 

 

 

LOT 210 : Cadre en bois à décor peint de style néo-russe avec pied cheval au dos, contenant une aquarelle sur papier dans le goût d’Elisabeth Boehm (1843-1914) figurant deux enfants caucasiens. Russie, XXe siècle. H. 34,5 x L. 20 cm.

700/900 €

 

f k f

 

Militaria 

 

 

LOT 214 : Jeton en argent 84 zolotniks (875 millièmes) à décor émaillé polychrome guilloché décerné en l’honneur du 25e anniversaire de travail dans l’entreprise « Einem » qui était une entreprise de confiserie, entourée des dates « 1819-1904 ». Avec sa chaîne en argent à large maillons. Poids brut : 48,4 g. D. 3 cm. Sans marque apparente.

Historique : Après 25 ans de travail à l’usine de confiserie « Einem », l’employé recevait une médaille avec une retraite viagère et diverses aides sociales.

800/1 200 €

 

f k f

 

 

LOT 221 : Kindjal caucasien, pommeau en ivoire, la lame est Signé en Arabe “Rabadan”. Fourreau en cuir, virole en argent niellé. Dagestan, début de XXe siècle. L. 56 cm (avec fourreau).

1 200/ 1 500 €

 

f k f

 

 

LOT 222 : Chachka ottomane de type caucasien d’un officier de l’armée ottomane avec son porte épée en laine. Fourreau en cuir avec garniture en argent niellé orné du blason du Sultan Abdülhamid II (1842-1918). Début du XXe siècle. L. 94 cm (avec fourreau).

3 000/ 4 000 €

 

f k f

 

 

LOT 226 : Médaille « Pour la Foi et la Patrie. A l’armée du Zemstvo. 1807 » en bronze par K. Leberecht. Au profil d’Alexandre Ier (1801-1825), novodel. Tirage à 6287 exemplaires. Poids : 11,8 g. D. 28 mm. Conservée dans sa capsule NGC. Historique La médaille d’or a été établie par le rescrit de l’Empereur Alexandre Ier, donnée le 28 septembre 1807 où des médailles d’or ont été attribuées à tous les fonctionnaires (officiers) de la milice. 6287 médailles d’or ont été frappées, délivrées aux lauréats (par 1812) — 6145 médailles, dont 100 — sur le ruban de l’ordre de Saint-Georges (aux officiers qui ont pris part aux batailles). Références Diakov 319-1, Bitkin H579 (R2).

400/600 €

 

f k f

 

 

LOT 227 : Très rare médaille « À la prise de Vyborg. 12 Juin 1710 » en argent par T. I. Ivanov. Saint-Pétersbourg, dernier tiers du XVIIIe siècle. D. 47 mm. Poids : 51,5 g. Références Diacres 31.5 (R1).

4 000/ 6 000 €

 

f k f

 

 

Hommage à Gérard Gorokhoff, décédé le dimanche 27 septembre  2020, Spécialiste de l’histoire, collectionneur de militaria et auteur de plusieurs ouvrages et albums consacrés à l’histoire de Russie. Expert pour l’étude Millon.

Mariam, Maroussia et Maxime dédient ce catalogue à Gérard Gorokhoff (1943-2020), avec les plus affectueuses pensées pour sa famille.

 

C’était il n’y a finalement pas si longtemps mais, en un clin d’œil, nous nous sommes arrangés tous trois pour faire comme si cela avait toujours existé. Première rencontre, avenue d’Eylau, la bataille sans vainqueur, et tout s’enchaîna avec une déconcertante facilité. Maxime était celui que Gérard Gorokhoff avait choisi pour transmettre son savoir inépuisable d’historien et pour l’accompagner vers les enchères. Il aimait sa vivacité, sa passion précoce et déterminée pour ce pays chéri dont ils s’étaient faits tous deux une spécialité d’art et de cœur. Puis le duo s’accorda pour venir dans notre Maison qui, d’ailleurs… n’attendait qu’eux. « L’embarquement » validé, les ventes et les records prirent sans coup férir leur envol. Des pattes d’épaules, des kindjals caucasiens, des photographies, des bibliothèques entières, se mêlèrent aux vierges de Smolensk , aux bronzes fondus dans le réel slave ou aux portraits et paysages d’une Russie rêvée et sans concession. Blancs ou rouges, pas de politique, jamais, mais la vérité par l’expertise. Dès la première vente, un coup de tonnerre : l’Aigle blanc, la décoration suprême, transperça les nuages pour dépasser le million d’euros. Quelle fierté pour le département flambant neuf ! Quelle victoire pour son stratège… Son dernier ouvrage sur l’aviation russe, entièrement en cyrillique, je voulais plus que tout être le premier à recueillir sa dédicace. Et comme toujours, un trait d’humour… dévastateur. Gérard était notre arche qui légitimait chaque projet. Dans chaque conversation, nous étions des passagers à son bord. Cette élégance du verbe et de posture en toutes circonstances. Cette douceur de voix qui jamais ne s’élève. Ce regard qui vous enveloppe de bienveillance malgré les turbulences. Et pour les turbulences de ces derniers mois, je garde en mémoire son verre glacé, levé haut comme une chachka au clair, chez lui, entouré de quelques amis, d’une table généreuse et d’une balalaïka: Hurrah Gérard !”

Alexandre Millon

 

gjg

 

CATALOGUE COMPLET : CLIQUEZ

 

Vente LIVE à HUIS-CLOS. Le département est à votre disposition pour toute demande de rapport de condition, d’ordre d’achat / enchères téléphoniques, visites (possibles par vidéo sur rendez-vous).

Courriel : russia@millon.com

Tel : 01 40 22 66 33

 

MILLON Drouot

10, rue de la Grange Batelière, 75009 PARIS

Tél :  +33 (0)1 47 27 95 34

Fax : +33 (0) 1 47 27 70 89

Courriel : anad@millon.com

 

Expert Art russe :

Mariam VARSIMASHVILI

Tel : 01 40 22 66 33

 Courriel : russia@millon.com

 

 

 

 

Militaria

 

 

COUTAU-BÉGARIE & ASSOCIÉS

 

Vente ART RUSSE

 

Mardi 15 décembre 2020 à 14h

Exposition

Samedi 12 et lundi 14 décembre 2020
de 10h00 à 18h00

Galerie Deux6,  66, av. de la Bourdonnais
75007 Paris

 

Vente à huis clos en live

sur Drouot digital live ou invaluable,

par téléphone ou par ordre d’achat

 

 

 

EXTRAITS du CATALOGUE

 

 

LOT 2 : Attibué à Henri-François Viollier
(1750-1829).
Portrait de l’impératrice Catherine II de Russie (1729-1796), coiffée d’un diadème et d’une couronne de laurier. Miniature sur ivoire de forme ovale, conservée dans son
encadrement d’origine en bois sculpté et doré surmonté des grandes Armes de la Maison Impériale de Russie. Selon l’inscription manuscrite au revers du cadre, cette miniature provient des appartements de l’empereur Napoléon III au
palais des Tuileries et aurait été prise lors du siège de Paris, le 24 mai 1871 par James Burnley.
Usures du temps, mais bon état général.
À vue : H. : 6,5 cm – L. : 5,5 cm.
Cadre : H. : 23,5 cm – L. : 21 cm.
Historique : Né à Genève, Henri-François Viollier arrive à la cour impériale de Russie en 1780. Il y devient le protégé de l’épouse de l’empereur Paul Ier, l’impératrice Maria Féodorovna (1759-1828), pour qui il peint de nombreux portraits miniatures de la famille impériale et des membres de la Cour de Russie. Il meurt le 28 février 1829 à Saint-Pétersbourg, où il est enterré.

4 000 / 6 000 €

 

j k j

 

 

LOT 13 : ALEXANDRE Ier, empereur de Russie (1777-1825).
Miniature sur ivoire, de forme ovale, représentant un portrait du souverain en uniforme de l’armée impériale de Russie avec décorations militaires. Conservée sous verre bombé dans un encadrement ancien en bois noirci, cerclé d’une frise en laiton
doré. Usures du temps, manques, en l’état. Travail russe de la fin du XIXe siècle.
Médaillon : H. : 8,5 cm – L. : 6,5 cm.
Cadre : H. : 15,5 cm – L. : 14 cm.

300 / 500€

 

j k j

 

 

LOT 10 : ÉCOLE RUSSE DU MILIEU DU XIXe SIÈCLE.
D’APRÈS GEORGE DAWE (1781-1829), réalisé en  1818.
Portrait en uniforme de l’empereur Alexandre Ier de Russie (1777-1825).
Huile sur toile, marouflée sur carton. Restaurations, en l’état.
H. : 58 cm – L. : 52 cm.

1 000 / 1 200 €

 

j k j

 

 

LOT 17 : CADRE PHOTOGRAPHIQUE.
En bronze doré, formant une porte, dont la partie centrale s’ouvre en deux parties par des anneaux retenus par des têtes de lion, sur trois portraits photographiques anciens signés Charles Bergamasco (1830-1890) à Saint-Pétersbourg représentant
en médaillon l’empereur Alexandre II (1818-1881) et ses fils les grands-ducs Alexis Alexandrovitch (1850-1908) et Wladimir Alexandrovitch (1847-1909). À décor d’éléments en émaux polychromes cloisonnés. Avec pied chevalet au dos.
Bon état. Travail russe, milieu XIXe siècle.
Cadre : H. : 24,5 cm – L. : 20, 5 cm.
Historique : ce présent fut offert par l’empereur Alexandre II à un membre de
la délégation française lors de sa visite officielle à Paris en juin 1867, à l’occasion
de l’Exposition universelle. C’est accompagné de ses fils, que l’empereur Alexandre
II assistât au célèbre dîner « Des trois Empereurs », organisé pour l’évènement au
Café anglais (actuel Tour d’Argent) en présence de l’empereur Guillaume Ier de
Prusse et de l’empereur Napoléon III.

2 000 / 2 500 €

 

j k j

 

LOT 30 : SWERTSCHKOFF Georges de (1872-1957).
Portrait équestre du grand-duc Michel Nicolaïévitch de Russie
(1832-1909), avec ses barzoïs.
Huile sur panneau, signée et datée en bas à droite par l’artiste.
Bon état général, découpé sur les bords.
H. : 14 cm – L. : 20 cm.

200 / 300 €

 

j k j

 

 

LOT 35 :  ÉCOLE RUSSE DU XIXe SIÈCLE.
Portrait du grand-duc Nicolas Nicolaïévitch de Russie (1831-1891), posant en grande tenue d’officier et portant le grand collier de l’ordre de Saint-André.
Tirage photographique entièrement repeint, vers 1880. Huile sur carton, conservée dans son encadrement d’origine en bois doré à décor sculpté de branches de laurier retenues par des nœuds enrubannés. Bon état. Porte au dos l’étiquette du fabricant du cadre A. Beggroff fournisseur de la cour impériale à Saint-Pétersbourg.
À vue : H. : 53,5 cm – L. : 42 cm.
Cadre : H. : 78,5 cm – L. : 67,5 cm.

1 800 / 2 500 €

 

j k j

 

LOT 38 : COURONNEMENT DE L’EMPEREUR NICOLAS II.
L’album du couronnement de Leurs Majestés Impériales, publié
par la société des éditions russes, Moscou, 1896, in-folio,
couverture illustrée, dos en tissus, 80 pages, nombreuses
illustrations N&B. Texte en russe. Usures du temps à la
couverture, mais bon état général.
Provenance : ancienne collection du grand-duc Kyril Wladimirovitch de Russie
(1876-1938), puis conservée par descendance directe.

200 / 300 €

 

j k j

 

 

LOT 47 : ÉCOLE FRANÇAISE DU XIXe SIÈCLE.
LÉON F. Le grand-duc Wladimir Alexandrovitch de Russie (1847-1909)
et son escorte lors d’une inspection militaire au Caucase.
Huile sur toile signée en bas à droite et datée 1882, conservée
dans encadrement d’origine en bois sculpté et doré. Nombreux
manques sur la toile.
À vue : H. : 49 cm – L. : 61 cm. Cadre : H. : 65 cm – L. : 77 cm.

1 800/2 500 €

 

j k j

 

 

LOT 50 : WLADIMIR ALEXANDROVITCH, grand-duc de Russie (1847-1909).
Important et très intéressant ensemble d’environ 200 photographies (cartes de visite, cabinets, tirages postérieurs), cartes postales anciennes et documents historiques, dont
portraits, scènes de groupes, visites officielles représentant le grand-duc à divers moments de sa vie, son épouse la grandeduchesse Maria Pavlovna de Russie, ses fils les grands-ducs André et Kyril et la descendance de ce dernier le grandduc
Wladimir Kyrillovitch. Dont le voyage du grand-duc en Bulgarie en 1907, inauguration de monument officiel par la grande-duchesse Maria Pavlovna, visite de la grandeduchesse
à Contrexéville, à Venise et à Paris ; pique-nique de la grande-duchesse en 1917, funérailles de Maria Pavlovna à Contrexéville en 1920, funérailles du grand-duc Boris à
Contrexéville, portrait sur la plage du grand-duc Kyril en compagnie de son épouse et de leur fils Wladimir à Saint- Briac ; le grand-duc Wladimir à Saint-Briac ; mariage à
Madrid de la grande-duchesse Maria Waldimirovna, portraits de la grande-duchesse Hélène Wladimirovna, vue intérieure du palais Wladimirovitch à Saint-Pétersbourg, vues du palais Kousminski, etc. En l’état, formats divers.
Provenance : ancienne collection du grand-duc Kyril Wladimirovitch de Russie
(1876-1938), du fils de ce dernier, le grand-duc Wladimir Kyrillovitch (1917-
1992), puis conservé par descendance directe.

1 500 / 2 000 €

 

j k j

 

LOT 56 : WLADIMIR KYRILLOVITCH, grand-duc de Russie (1917-1992).
Ode (Hymne) en l’honneur du grand-duc, à l’occasion de sa fête, fait à Paris, le 28 juillet 1943, suivi d’un poème écrit par M. Makaroff et lu lors de l’évènement par le colonel P.
V. Korzhenevsky, officier du 15e régiment des Grenadiers de Tiflis du grand-duc Constantin Constantinovitch, texte en russe suivi de 58 signatures autographes des principaux représentants de la noblesse russe en exil basée en France,
dont : le prince Gendrikova, la princesse Olga Wiazemskaïa, le prince K. Shirinskiy-Shikhmatoff, le prince Dedaskilani, Mme M. Nabokova, Mme E. Katkova, etc. Reliure cartonnée ornée d’un dessin polychrome sur fond or signé A. Artamoff
et daté 1943, retenue par une cordelette en fils d’or.
Usures, en l’état.
H. : 38 cm – L. : 25,5 cm.
Provenance : ancienne collection du grand-duc Wladimir Kyrillovitch (1917-
1992), puis conservée par descendance directe.

180 / 250 €

 

j k j

 

LOT 69 : TIMBALE (STOPA) EN VERMEIL. De forme évasée vers le haut, à décor repoussé et ciselé d’arabesques et de motifs floraux, encadrant deux cartouches
où figurent les portraits stylisés de l’empereur Pierre le Grand coiffé en César et de son épouse l’impératrice Catherine, reposant sur une base cylindrique, intérieur vermeil. Bon état. Poinçon titre : Saint-Pétersbourg, 1732.
Poinçon d’orfèvre : H.T., non identifié. H. : 14 cm – L. : 10 cm.
Poids : 218 g.

1 800 / 2 500 €

 

j k j

 

 

LOT 71 : BELLE CHOPE COUVERTE EN ARGENT. De forme évasée vers le haut, à décor gravé d’un blason aux armes de la famille Orloff, le couvercle est gravé de l’inscription
en caractères cyrilliques : « Le cheval gris Nadir du haras du colonel P. V. Orloff, a remporté la course en faisant 12 verstes en 18 minutes, le 18 août 1840 à Taganrog », intérieur en vermeil reposant sur une base circulaire. Usures du temps.
Poinçon titre : 84, Moscou, 1840.
Poinçon d’orfèvre : H. I., non identifié, actif de 1835 à 1840.
H. : 20 cm – L. : 12,5 cm. Poids : 449 g.

1 500 / 2 000 €

 

j k j

 

 

LOT 77 : SERVICE DU TSAR PAUL Ier DE RUSSIE POUR LE PALAIS D’HIVER.
Par BERGSTRÖM, Saint-Pétersbourg, 1797. Cafetière en vermeil de forme droite, légèrement évasée vers le bas, reposant sur une base circulaire, à décor gravé de
son monogramme en caractère cyrillique P (Paul Ier) sous couronne impériale. Prise et poignée en ébène. Légères usures du temps, mais bon état général.
Poinçon titre : Saint-Pétersbourg, 1797. Poinçon d’orfèvre : Jonas Bergström, actif de 1764 à 1816. Numéro d’inventaire de collection : N° 9.
Poinçon du maître essayeur : Alexandre Yachinoff actif de 1795 à 1826.
H. : 19,5 cm – Diam. : 10 cm.
Poids brut : 700 g.

Historique : Jonas Bergström, natif de Stockholm, il vient s’installer à Saint-
Pétersbourg, en 1764. La forme de cette cafetière est typique des modèles anglais
de la fin du XVIIIe siècle et se trouve être le témoignage du mouvement des artisans
de cette époque entre l’Angleterre, la Suède et la Russie.
Référence : voir un modèle comparable de cafetière dans l’ouvrage de Z. Z.
Bernyayakovitch « Russian Silver Wares of the XVIIIth – Beginning of the XXth
Century in the State Hermitage Collection, Leningrad, 1977, page 82. Voir de
plus dans l’ouvrage « Russian Silver in América, surviving the Melting Pot »
d’Anne Odom, publié par le Museum Hillwood, 2011, page 27, un modèle de
cafetière de même forme ayant appartenu à l’impératice Catherine II, réalisé par
Johann Henrik Blohm, figurant dans l’inventaire des trésors des palais impériaux
fait par le baron Foelkersam publié à Saint-Pétersbourg en 1907. Voir enfin dans
le même ouvrage, en page 95 une autre cafetière provenant du Musée d’Art à
Dartmouth College réalisé par Johan Henrik Blohm datant de 1794, gravé du
monogramme P. M. (Paul et Maria) ayant appartenu à l’empereur Paul Ier et à sa
femme l’impératrice Maria Féodorovna.

8 000 / 10 000 €

 

j k j

 

LOT 74 : CORNET DE BAPTÊME EN ARGENT. Gravé d’une croix orthodoxe et de l’inscription en caractères cyrilliques : « Dieu est miséricordieux et protège les enfants ». Cet objet insolite était utilisé dans certaines régions de Russie, lors des baptêmes afin de chasser le diable. Il permettait de souffler dans les narines, les oreilles et la bouche (orifices) du nouveau-né avant son baptême afin d’en éloigner le diable définitivement. Petites bosses.
Poinçon titre : 84, Saint-Pétersbourg, 1868. Poinçon d’orfèvre : illisible.
H. : 13 cm – L. : 5 cm. Poids : 34 g.

200 / 300 €

 

j k j

 

 

LOT 100 : ÉTUI À CIGARETTES EN ARGENT. De forme rectangulaire, modèle bombé, appliqué sur chaque face de 17 fac-similés de signatures et de monogrammes en
or, de mémentos en or et en argent, dont un écusson émaillé aux couleurs de la Pologne, un écusson régimentaire émaillé, un écusson sportif émaillé, une patte d’épaule, une coccinelle, une bouteille de champagne, un éléphant, un rubis, etc., intérieur vermeil, gravés de l’inscription « offert à l’occasion du jour de fête le 9 novembre 1913 ». Quelques manques.
Poinçon titre : 84, Moscou, 1908-1917. Poinçon du maître orfèvre : Association des artels de Moscou.
L. : 10,5 cm – L. : 8 cm – E. : 1,5 cm. Poids : 182 g.

600 / 800 €

 

j k j

 

 

LOT 115 : COFFRET EN VERMEIL par OVTCHINIKOFF, Moscou, 1908-1917.
En forme rectangulaire, avec couvercle à charnières bombé, entièrement décoré de fleurs et d’arabesques en émaux polychromes cloisonnés sur fond amati or, avec poignées amovibles sur les côtés et serrure sur la face avant, intérieur vermeil. Usures du temps.
Poinçon titre : 84, ou, Moscou, 1908-1917. Poinçon d’orfèvre : Ovtchinikoff et marque du privilège impérial.
H. : 6 cm – L. : : 11 cm – P. : 7 cm.
Poids brut : 304 g.

3 000  /3 500 €

 

j k j

 

 

LOT 116 : MONTRE DE POCHE SAVONNETTE EN OR
ROSE. PRÉSENT OFFERT PAR LE TSAR NICOLAS II. Par BUHRÉ, Saint-Pétersbourg, avant 1896. De forme ronde, à doubles boîtiers guillochés, ornée sur la
face avant de l’aigle impérial des Romanoff niellé avec ruban émaillé bleu. Écran émaillé blanc, chiffres romains pour les heures, chiffres arabes pour les minutes, seconde à 6 heures, aiguilles en or. En état de fonctionnement. Bon état, manque
son verre. Poinçon d’orfèvre : Paul Pavlovitch Buhré [1842-1892].
Numéro d’inventaire : 19286. E. : 1,5 cm – Diam. : 5 cm.
Poids brut : 97 g.

4 000 / 4 500 €

 

j k j

 

Vente BABERGÉ

 

 

 

LOT 130 : ÉLÉPHANT MINIATURE.
Par FABERGÉ, Saint-Pétersbourg, 1908-1917. Taillé et polie dans un bloc de bowenite avec des yeux sertis de rubis. Accidents, en l’état.
H. : 2,5 cm – L. : 3 cm – P. : 1,8 cm.

Référence : un modelé similaire se trouve au Palais Gatchina à Saint-Pétersbourg,
entré dans les collections en 1926. « Die Welt von Fabergé », Sabine Haag,
2014, page 105. Voir également un autre éléphant dans la collection du grandduc
Ernest-Louis de Hesse, offert par sa sœur, la tsarine Alexandra Féodorovna de
Russie, (Catalogue de l’exposition « Fabergé Geschenke der Zarenfamilie », 2016,
Michael Imhof imprimeur. Page 145).

1 800 / 2 500 €

 

j k j

 

 

131. ÉCUREUIL MINIATURE RONGEANT
UNE NOISETTE TENUE DANS SES PATTES.
Par FABERGÉ, Saint-Pétersbourg, circa 1906-1908.
Taillé et poli dans un bloc de jaspe marron légèrement
marbré, avec des yeux en roses de diamant. Signé au revers en
caractères cyrilliques : Fabergé.
Conservé dans son écrin d’origine à la forme, intérieur en
velours et soie couleur ivoire, avec tampon en lettres noires
« Fabergé, Saint-Pétersbourg, Odessa ».
Bon état. Usures à l’écrin.
H. : 4 cm – L. : 4,5 cm.

Référence : La princesse Margaret de Grande-Bretagne (1930-2002), possédait
dans sa collection d’objets de vitrine, un écureuil sculpté par Fabergé en
cornaline, représenté dans la même pose que notre écureuil (voir le catalogue de
l’exposition Wartski, 2010, page 124 et 125). Le second fils de Carl Fabergé,
Agathon (1876-1951), possédait lui aussi un écureuil, en quartz brun avec des
oreilles particulièrement grandes, cet objet se trouve depuis dans la collection Léo
Wainstein (« The Fabergé Ménagerie », Philip Wilson Publishers, 2003, page
133). Il est également intéressant de pouvoir comparer notre écureuil à un modèle
réalisé par Cartier, inspiré des animaux en pierre dure de Fabergé. Dans les
archives de la Maison Cartier, figure un modèle similaire de plus petite taille,
mais taillé dans une autre matière et réalisée en 1910 (Fabergé/Cartier Rivalen
am Zarenhof, Géza von Habsburg, Munich, 2004, page 84). Dans la collection
Lindemann aux États-Unis se trouve un écureuil en agate gris clair, daté 1906,
sur un modèle similaire de Fabergé (Fabergé/Cartier Rivalen am Zarenhof, Géza
von Habsburg, Munich, 2004, page 344).

3 000 / 5 000 €

 

j k j

 

 

LOT 133 : SONNETTE DE TABLE. Par FABERGÉ, Saint-Pétersbourg, avant 1896.
De forme carrée, taillée et polie dans un bloc de quartz aventurine, enveloppée d’une résille finement ciselée de volutes rocaille en or jaune. La partie supérieure est ornée
d’un bouton-poussoir serti d’un saphir cabochon dans un entourage de roses de diamant. Bon état.
Poinçon titre : 56, Saint-Pétersbourg, avant 1896. Poinçon d’orfèvre : Fabergé.
Poinçon de maître orfèvre : Michael Perchin (1860-1903).
H. : 4 cm – L. : 4 cm. Poids brut : 131 g.

6 000 / 8 000 €

 

j k j

 

 

LOT 134 : POMMEAU D’OMBRELLE.
Par FABERGÉ, Saint-Pétersbourg, 1899-1908.
De forme tronconique, bombé au sommet, taillé et poli dans un bloc de rhodonite ciselé de canaux et appliqué de fleurons en or jaune, orné d’une bague émaillée de bleu translucide sur fond guilloché d’ondes ondulantes verticales encadrées de deux guirlandes de laurier en or jaune et de rubans croisés en or rose. Petits accidents sur la partie émaillée.
Poinçon titre : 56, Saint-Pétersbourg, 1899-1908. Poinçon d’orfèvre : K. F. (Carl Fabergé).
H. : 6 cm – Diam. : 3 cm.

1 500  /2 000 €

 

j k j

 

 

LOT 135 : CADRE POUR PHOTOGRAPHIE.
Par FABERGÉ, Saint-Pétersbourg, 1908-1917.
De forme rectangulaire, la face principale est taillée et polie dans un bloc de néphrite, la bordure d’encadrement est ornée d’une frise de feuilles de laurier en or jaune mat sur fond d’or rose et agrémenté de noeuds de rubans croisés en émail blanc opaque.
La partie haute est surmontée d’un noeud enrubanné en or rose. Au centre l’emplacement pour la photographie de forme rectangulaire est encadré de deux frises finement ciselées à décor de cannelures en émail blanc opaque agrémenté de noeuds croisés en or rose. Avec pied chevalet et attache ajourée au dos en or rose sur fond d’une plaque en ivoire. Bon état général, petits accidents au revers sur la plaque en ivoire, manque une vis.
Poinçon titre : 56, Saint-Pétersbourg, 1908-1917. Poinçon d’orfèvre : Fabergé.
Poinçon de maître orfèvre : Henri Wigström (1863-1923).
H. : 11 cm – L. : 9,5 cm.Poids brut : 148 g.

8 000 / 10 000 €

 

j k j

 

 

LOT 147 : BAÏKOFF Fédor Ilitch (1818-1890).
Cosaque à cheval au repos.
Huile sur panneau signée en bas à gauche et datée 1873, conservée
dans un encadrement moderne en bois doré. Bon état.
À vue : H. : 22,5 cm – L. : 30,5 cm.
Cadre : H. : 32 cm – L. : 40 cm.

1 000 / 1 200 €

 

j k j

 

 

LOT 154 : PLATOFF Matvieff (1753-1818).
Boîte commémorative, de forme ronde, en métal doré à décor repoussé, représentant un portrait du célèbre Ataman des Cosaques bordé d’une frise grecque et au revers apparaît l’inscription entourant un blason à ses armes : « Lieutenant général Hetman commandant des troupes du Don, chevalier de plusieurs ordres ». La bordure est ornée de trophées et motifs militaires. Bon état. Travail français, milieu XIXe siècle.
H. : 2, 8 cm – Diam. : 7,5 cm.

300 / 500 €

 

j k j

 

 

LOT 161 : ORDRE DE SAINTE-ANNE (RUSSIE), fondé en 1735.
Croix de commandeur, modèle de 2e classe avec diamants, les bras de la croix sont en or, bombé et émaillé de rouge translucide sur fond guilloché de « grains d’orge », retenus par des arabesques en vermeil serti de diamants et de roses de diamant, le centre est orné d’une représentation de Sainte- Anne en émail polychrome sur fond rose dans un entourage de dix-huit petits diamants, l’ensemble est surmonté d’une bélière sertie de sept diamants plus importants. Conservée dans son écrin d’origine rectangulaire en maroquin rouge orné au centre du couvercle de l’aigle impérial des Romanoff, intérieur à la forme en velours et soie, avec cachet à l’encre bleue en caractères cyrilliques : « Direction du Cabinet de Sa Majesté ». Accidents, usures du temps à l’écrin. Poinçon titre : sans poinçons apparents. Poinçon d’orfèvre : Karl Blank.
Époque : Nicolas II.
Croix : H. : 5 cm – L. : 5 cm. Avec bélière : H. : 7,2 cm – L. : 5 cm.
Poids brut : 32 g.

 

 

Historique : Les insignes de l’ordre de Sainte-Anne enrichis de diamants étaient
réservés aux étrangers, remis toujours par l’empereur en personne, ils constituaient
une marque de distinction particulière. Notre croix fut remise au général Louis-
Auguste Souchier (1853-1946), puis conservée depuis dans la descendance de ce
dernier. L’Ordre de Sainte-Anne fut fondé en 1735 par le duc Karl-Friedrich de Holstein-
Gottorp en l’honneur de sa femme la grande-duchesse Anna Petrovna, fille du tsar Pierre le Grand. Après que leur fils, le futur Pierre III, fut nommé par l’impératrice Élisabeth Ie comme son héritier au trône impérial à l’automne 1742, l’Ordre commença à être conféré aux Russes. Le 15 avril 1797, le fils de Pierre, Paul Ier, le rétablit comme une distinction purement russe, au bénéfice des membres à la noblesse héréditaire jusqu’en 1845. Mais à partir de cette date et ce jusqu’à la révolution russe, il fut aussi décerné aux non-orthodoxes et aux dignitaires étrangers.
Karl Karlovitch Blank, actif de 1882 à 1917, fut dans un premier temps le chef d’atelier de Karl Auguste Hahn, de 1882 à 1909. Blank a ensuite créé sa propre entreprise. De 1911 à 1917, il a fourni au cabinet de Sa Majesté : insignes en diamants pour dames et demoiselles d’honneur, insignes en diamants des ordres de Saint-André, Saint-Alexandre Nevski, l’aigle blanc, Sainte-Catherine, Sainte Anne 1re et 2e classe et Saint-Stanislas 1e et 2e classe avec épées et diamants. En 1915, il est nommé évaluateur du cabinet de Sa Majesté et deux ans plus tard, il devient citoyen honoraire héréditaire.

8 000 / 12 000 €

 

j k j

 

 

LOT 173 : FIGURINE EN PORCELAINE POLYCHROME.
Représentant une danseuse en tenue traditionnelle de larégion de Saratov, vêtue d’une robe à motifs fleuris, la tête tournée vers la droite, les mains posées sur les hanches,
reposant sur une base circulaire, d’après un modèle créé en 1913 par Paul Kamenski (1858-1923), appartenant à la série « Les nationalités de Russie », qui a été produite par la manufacture impériale de porcelaine de 1907 à 1917. Ce modèle fut à nouveau produit au cours de l’année 1923 par Ivan Kouznetsoff, entre mars et décembre 1923. Bon état.
Travail russe, manufacture d’État de porcelaine, XXe siècle, marques en creux dans la pâte IK (Ivan Kouznetsov), marque soviétique verte, marque bleue datée 1923 et le n° 504.
H. : 20 cm – L. : 10 cm.

1 000 / 1 500 €

 

j k j

 

LOT 186 : ÉCOLE RUSSE DU XIXe SIÈCLE.
Statuette équestre du tsar Pierre le Grand (1672-1725). Réduction miniature du célèbre monument de Pierre le Grand construit par Étienne Falconet à Saint-Pétersbourg. En bronze argenté et bronze doré, reposant sur un socle rectangulaire en placage de malachite. Petits accidents, mais bon état général. Travail des ateliers de Peterhof, circa 1840/1850.
H. : 12 cm – L. : 11,5 cm – L. : 9,5 cm.

Provenance : Sous le règne de l’empereur Nicolas Ier (1825-1855), ce monument
très emblématique de la capitale russe devient un cadeau traditionnel pour les
dignitaires étrangers de la part du souverain russe et des membres de la famille
impériale.

1 500 / 2 000 €

 

j k j

 

 

LOT 198 : PRESSE-PAPIERS.
En bronze doré, finement ciselé, formant une luge transportant un baquet, reposant sur un socle rectangulaire en placage de lapis-lazuli. Légères usures du temps et petits manques. Travail russe, XIXe siècle.
H. : 9,5 cm – L. : 14 cm – L. : 9,5 cm.

1 200 / 1 500 €

 

j k j

 

 

LOT 206 : ÉCOLE RUSSE DU XIXe SIÈCLE.
Portrait d’un membre de la cour impériale de Russie, portant les ordres de l’Aigle blanc, de Sainte-Anne et de Saint-Vladimir. Huile sur toile non signée. Bon état.
H. : 74,5 cm – L. : 63,5 cm.

1 800 / 2 500 €

 

j k j

 

 

LOT 212 : ALBUM AMICORUM DU PRINCE ALEXANDRE SCHAKOVSKOY.
Contenant 31 dessins, aquarelles et lithographies, représentant : portraits, une scène religieuse, des anges, un moujik, un oiseau sur une branche, une vieille dame assise,
une allégorie de l’amour, une jeune femme jouant du piano, l’entrée d’un village fortifié entouré de ruines, un pêcheur, etc.
Reliure ancienne vers 1840 en percaline rouge bordée d’une frise dorée, ornée au centre d’un médaillon en métal doré de forme ovale, avec attaches de fermeture sur les côtés à décor d’une tête, tranches dorées.
Usures du temps à la reliure, plusieurs manques à l’intérieur.
H. : 20,5 cm – L. : 16,5 cm.

400 / 600 €

 

j k j

 

 

LOT 213 : ÉCOLE FRANÇAISE DU XIXe SIÈCLE.
BEAUMONT A.
Vue de la cathédrale de l’Assomption à Moscou. Aquarelle et gouache sur carton signée en bas à gauche. Bon état.
À vue : H. : 36,5 cm – L. : 26 cm.

800 / 1 000 €

 

j k j

 

 

LOT 226 : ÉCOLE RUSSE DU XIXe SIÈCLE. KYSLZ G.
Traîneau au galop devant les remparts du Kremlin à Moscou.
Aquarelle signée en bas à gauche et datée en bas 8.3.46.
Bon état.
H. : 19,5 cm – L. : 30 cm.

200 / 300 €

 

j k j

 

 

LOT 230 : FOURNIER Louis-Édouard (1857-1917).
Portrait de la princesse Elim Demidoff, née comtesse Sophie Vorontzoff-Dashkoff (1870-1953), posant lors d’une expédition dans l’Himalaya.
Huile sur toile signée en bas à droite par l’artiste et datée
1912, conservée dans son encadrement d’origine en placage
de loupe de thuya. Petits accidents au cadre.
À vue : H. : 66 cm – L. : 53 cm.
Cadre : H. : 78,5 cm – L. : 66 cm.

1 500 / 2 000 €

 

j k j

 

 

LOT 251 : LANSKOY André (1902-1976).
Scène abstraite. Gouache sur carton signée par l’artiste en bas à droite,
conservée dans un encadrement moderne. Bon état.
À vue : H. : 24,5 cm – L. : 31 cm.
Cadre : H. : 62,5 cm – L. : 68 cm.

2 500 / 3 000 €

 

j k j

 

 

LOT 259 : POLIAKOFF Nicolas Gueorguévitch (1899-1976).
Études académiques de corps d’homme.
Dessin au fusain sur papier, porte en bas à droite un cachet
à l’encre : N. Poliakoff, conservé dans un encadrement
moderne. Bon état.
À vue : H. : 49 cm – L. : 45 cm.
Cadre : H. : 69 cm – L. : 49 cm.

200 / 300 €

 

j k j

 

 

262. ORDRE DE SAINT-GEORGES (RUSSIE).
Insigne de 4e classe, avec son ruban, portant le n° 412114,
conservé dans un encadrement moderne. Bon état.
Cadre : H. : 18,5 cm – L. : 15,5 cm. 180/250 €

 

Historique : Cette distinction fut remise à Karpoucha Ter-Abramoff (1888-
1977), lors de la Première Guerre mondiale, et conservée depuis par sa veuve. Membre de la société des auteurs-compositeurs, il réalisa de très nombreux récitals en France, mais aussi à l’international. Installé à Paris, durant les années trente, chaque soir il jouait avec ses solistes au Triomphe, célèbre restaurant-cabaret, avant dedevenir propriétaire du restaurant Karpoucha, rue Pasquier à Paris (1958-1971), où se pressait une foule prestigieuse de têtes couronnées, d’hommes d’État, d’artistes, de vedettes du cinéma, du théâtre et de la chanson, il fut aussi professeur honoraire du conservatoire Serge-Rachmaninoff à partir de 1970. Il fut par ailleurs récipiendaire de nombreuses décorations, notamment de la croix de Saint-Georges (Russie), de la croix de la Confédération européenne des anciens combattants, de la croix de Commandeur de l’Ordre du Mérite (France), de la médaille d’honneur pour acte de courage et de dévouement (France), etc. Les livres d’or que nous présentons ici à la vente sont de véritables trésors, et la mémoire vivante de ce que fut Karpoucha Ter-Abramoff : un
homme capable de réunir des gens de tous horizons en un seul lieu, grâce seulement à l’envoûtant magnétisme de son talent pur.

 

j k j

 

266. CHEMIAKINE Mikhaïl (°1943).
Personnage.
Épreuve d’artiste, signée en bas à droite. Bon état.
H. : 76 cm – L. : 55,5 cm. 200/300 €

 

j k j

 

 

LOT 276 : ICÔNE DES PROPHÈTES MOÏSE ET AARON.
Tempera sur bois, à décor de motifs floraux polychromes,
surmonté d’une couronne. Accidents et manques.
Travail russe, XIXe siècle.
H. : 83 cm – L. : 61 cm.

2 000 / 3 000 €

 

j k j

 

 

LOT 282 : ICÔNE DES SAINTS ÉLUS.
Tempera sur bois, conservée sous riza en métal doré à décor
repoussé. Bon état. Travail russe, XIXe siècle.
H. : 40,5 cm – L. : 28,5 cm.

600 / 800 €

 

j k j

 

 

LOT 283 : ICÔNE DE SAINT-NICOLAS.
Tempera sur bois, conservée sous riza en métal doré à décor
gravé et repoussé. Conservée dans un encadrement en bois
naturel. Bon état. Travail russe, fin XIXe siècle.
H. : 42 cm – L. : 37,5 cm.

400 / 600 €

 

j k j

 

 

LOT 295 : GRANDE CROIX DE PROCESSION DITE
« CROIX ÉTENDUE ».
En bronze doré, sur fond émaillé bleu et blanc, représentant le Christ sur la Croix, entourée de sainte Marie Kleopova, de la Sainte Vierge, de saint Jean et de saint Longin le Centurion et surmontée de seize scènes religieuses présentant les fêtes les plus importantes du calendrier orthodoxe surmonté de vingt et un archanges protecteurs. Bon état. Travail russe, XXe siècle.
H. : 37 cm – L. : 22 cm.

1 200 / 1 500 €

 

j k j

 

 

LOT 289 : ICÔNE DE LA SAINTE VIERGE DE KAZAN
ET DE L’ENFANT JÉSUS.
Tempera sur bois, conservée sous riza en métal doré serti de strass colorés et ornés à chaque angle d’un archange et dans son kiote d’origine en bois naturel. Usures du temps, petits manques, mais bon état général. Travail russe, début XXe siècle.
Icône : H. : 29 cm – L. : 22,5 cm.
Kiote : H. : 35 cm – L. : 29 cm.

800 / 1 200 €

 

j k j

 

 

LOT 312 : VALISHEVOKAGO K. L’impératrice Catherine II,
publiée aux éditions A. S. Souvorine, Saint-Pétersbourg,
1908, in-folio, 630 pages, illustré de 35 portraits hors texte,
demi-reliure d’époque en percaline verte, avec angle et dos
cuir, dos lisse orné de motifs dorés, titre en lettres d’or, texte
en russe. Usures du temps.

1 200 / 1 500 €

 

j k j

 

 

LOT 327 : COFFRET EN IVOIRE DE MORSE.
De forme rectangulaire, couvercle à charnières s’ouvrant par
une serrure sur la face avant, intérieur à compartiments. À
décor de placage d’ivoire de morse ajouré et ciselé représentant
une scène de chasse dans un entourage d’arabesques sur fond
de clinquant or. Usures du temps et petits manques.
Travail russe de la ville d’Arkhangelsk, milieu XVIIIe siècle.
H. : 5 cm – L. : 20 cm – P. : 16 cm.

500 / 800 €

 

j k j

 

 

LOT 341 : BOÎTE.
De forme carrée, en écorce de bouleau, à décor sculpté et ajouré
de motifs floraux sur fond de papier clinquant, couvercle à
charnières. Usures du temps, mais bon état général.
Travail russe, début XXe siècle.
H. : 8 cm – L. : 12 cm – P. : 11,5 cm.

80 / 100 €

 

j k j

 

 

LOT 358 : GOBELET COUVERT.
En bois teinté et sculpté, de forme ronde, orné d’une scène polychrome représentant un vieil homme sur une troïka dans un décor de paysage enneigé. Usures du temps.
Travail russe, période Nicolas II (1894-1917).
H. : 12,5 cm – Diam. : 8,5 cm.

80 / 120 €

 

j k j

 

 

LOT 370 : KOKOCHNIK.
En velours rouge orné de motif floral en perles de verre et bordé d’un large galon brodé en fils d’or, la partie arrière retenue par un large ruban de soie rouge et agrémenté par
un voile de crêpe de soie de couleur ivoire (rapporté). Petits manques et usures du temps, mais bon état général. Cette coiffe traditionnelle était portée par toutes les jeunes filles de l’aristocratie russe, lors de leur présentation officielle auprès de l’impératrice de Russie, puis ensuite lors des grands évènements à la cour impériale. Travail russe, XXe siècle. H. : 13 cm.

600 / 800 €

 

3

 

CATALOGUE COMPLET : CLIQUEZ

 

Exposition

les 12 et 14 décembre 2020 de 10h00 à 18h00

Galerie Deux6

66, av. de la Bourdonnais, 75007 Paris

 

 

Les lots sont visibles à l’étude du lundi 7 au vendredi 11 décembre 2020
de 10h00 à 18h00
uniquement sur rendez-vous:  01 45 56 12 20

OVV Coutau-Bégarie – Agrément 2002-113
Olivier Coutau-Bégarie, Alexandre de La Forest Divonne, commissaires-priseurs associés.
60, avenue de La Bourdonnais – 75007 Paris

Ordres d’achat :  information@coutaubegarie.com
24h avant la vente.

Expert de la vente : Cyrille Boulay
Membre agréé de la F.N.E.P.S.A. et de la C.E.D.E.A
Tél. : +33 (0)6 12 92 40 74
courriel  : cyrille.boulay@wanadoo.fr

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Spectacle du Nouvel An Russe

Samedi 26 à 15h et dimanche 27 décembre 2020

à 11h et 15h

Théâtre Toursky, 13003, Marseille

 

 

Nouveau spectacle du Nouvel An russe avec des personnages des contes, pour les enfants, leurs parents et grands-parents.
Le spectacle musical en langue russe avec la traduction ponctuelle en français.

Conte musical du Nouvel an russe.

Voyagez dans un nouveau monde féerique.

.

.

Spectacle interactif autour du sapin de Noël. Jeux, chants et danses avec des personnages de contes traditionnels russes : Père Gel, Fille des Neiges, la Sorcière, Ivan Tsarévitch…

Suite à la pandémie du COVID-19, cette année la vente de billets est possible uniquement à distance, sur le site du théâtre Toursky
.
.
Vous pouvez soit imprimer vos billets vous-mêmes, soit les présenter sur vos smartphones lors du contrôle.
Suite à la pandémie du COVID-19, cette année le spectacle se déroule avec le respect de toutes les mesures sanitaires.
– Les places ne sont pas numérotées, les spectateurs prennent place dans la salle de spectacle en respectant la distanciation sociale ;
– L’interactivité à distance : les spectateurs restent à leurs places dans la salle de spectacle lors de l’interactivité avec les personnages du spectacle (jeux, devinettes, etc.) ;
– La mesure de distanciation sociale exclut la possibilité de faire la ronde autour du sapin. Cependant, apprenez à vos enfants les chansons traditionnelles «В лесу родилась елочка» et «Маленькой елочке холодно зимой», nous les chanterons ensemble avec nos personnages de conte !
.
.
.

4 3 4

.

Théâtre Toursky

16  Passage Léo Ferré, 13003 Marseille

Métro : National

Réservation obligatoire Billetterie : CLIQUEZ

Entrée gratuite pour les enfants de moins de 3 ans
Plus d’informations : http://afrp.eu
Renseignements : sapinrusse@gmail.com

 

ANNULATION SUR ORDRE GOUVERNEMENTAL.

EN RAISON de la PENDÉMIE !

 

Conférence

”  Il était une fois le Conte russe

de 7 à 77 ans “

par Elisabeth Rossary

Mercredi 25 novembre à 16h 30

Maison des Associations, 42000 St Etienne

 

 

Le conte folklorique russe est un travail de créativité orale du peuple russe, l’un des types de prose folklorique. Vladimir Propp, un chercheur du conte de fées russe, estime que le ” conte de fées russe contient une sorte de valeurs éternelles et immuables “.

La profonde signification biblique, évangélique, orthodoxe et morale et psychologique des contes de fées russes a été identifiée par Alexandre Ouzhankov sur la base de l’approche qu’il a développée pour l’interprétation symbolique de leur texte.

Dans les contes de fées russes, on raconte toujours quelque chose d’invraisemblable dans la vie réelle, mais une fiction fantastique contient une idée, c’est-à-dire que dans la fiction, il y a aussi une vérité de la vie. Les contes de fées de différentes nations sont similaires les uns aux autres. Mais chaque nation a ses propres contes de fées. Tous les contes de fées russes portent l’empreinte de la vie ancienne, des coutumes, des ordres.

La littérature russe, ou conte est un genre épique littéraire en prose ou en poésie, est fondée sur la tradition du conte populaire russe, combinant l’originalité de l’auteur et les traditions folkloriques russes, absorbant le folklore et les principes littéraires. Le conte de fées littéraire russe a été créé par l’intention de l’auteur, reprenant l’expérience spirituelle, les idéaux, les idées sur le bien et le mal du conte populaire russe.

Le conte littéraire russe, avec le roman et l’histoire, était le genre le plus populaire et le plus répandu en Russie dans la seconde moitié du XVIIIe siècle.

 

Baba-Yaga 1900

 

Les créatures démoniaques sont Baba Yaga,  Koshei l’immortel, le Dragon Garinisch. Les personnage sont représentés soit par des hommes : Ivan le Fou, Ivan Tsrévitch, Emeylia,  soit par des femmes : Vassilissa la belle, Vassilissa la Sage, Elena la Belle, Maria l’Artisane, tous  des personnages de fiction.

y

Certainement le plus grand illustrateur en est Ivan Iakovlevitch Bilibine, né en 1876 à Tarkhovo prés de Saint Pétersbourg, mort en 1942 à Léningrad.

.

.

Peintre russe, illustrateur de livres et décorateur de théâtre, membre de l’association Le Monde de l’Art. Il quitte la Rusie en 1920 pour vivre en Egypte au Caire, puis s’installe à Paris en 1925, et revient en Russie devenu l’URSS en 1936 pour y mourir au moment du blocus de 1942.

.

.

Il est le premier dans l’histoire du livre russe à avoir réussi une synthèse des principes de la peinture et de ceux de l’art graphique imprimé. La fermeté de son trait lui avait valu le surnom d‘Ivan Main-de-fer.

 

RÉSERVATION OBLIGATOIRE

 

t

 

Maison des Association, Salle 4

Rue André Malraux, 42000 St Etienne

Réservation Obligatoire : 06 70 66 52 96

Une semaine de

Saisons du théâtre de Saint-Pétersbourg.

du 14 au 22 novembre 2020

En ligne.

En russe et en anglais.

Inscriptions sur le site : https://crsc.fr/

 

Samedi 14 novembre à

12 h

Conférence internationale en ligne sur des problèmes de gestion du théâtre et des festivals dans des conditions actuelles.

 

&k&

 

Lundi 16 novembre à

13 h

Master class en discours sur scène. Professeur Oleg Veledinsky, Institut d’État Russe des Arts de la Scène (RGISI).

18 h

Rencontre avec l’équipe de spectacle « Le mariage ». Théâtre National de Drama de Russie — Théâtre Alexandrinski.

20 h

« Le mariage » 12+.
Théâtre National de Drama de Russie — Théâtre Alexandrinski
Spectacle de Valery Fokin.

 

&k&

 

Mardi 17 novembre à

12 h

Master class « Le plastique comme clé de rôle».
Professeur Anna Beligh, Institut d’État russe des arts de la scène.

18 h

Réunion avec l’équipe du spectacle « Gros argent ».
Théâtre de Comédie Académique d’État N.P.Akimov.

20 h

« Gros argent » 12+.
Théâtre de Comédie Académique d’État N.P.Akimov.
Réalisateur — Tatiana Kazakova.

 

&k&

 

Mercredi 18 novembre à

18 h 

Rencontre avec l’équipe du spectacle « L’histoire des sept pendus».
Institut d’État Russe des Arts de la Scène (RGISI).

20 h

« L’histoire des sept pendus » 12+.
Institut d’État Russe des Arts de la Scène (RGISI).
Réalisateur — Andrzej Bouben.

 

&k&

 

Mercredi 19 novembre à

18 h

Réunion créative avec l’équipe du spectacle « Les âmes mortes».
Théâtre Académique d’État de Saint-Pétersbourg nommé après de Lensovet.

20 h

« Les âmes mortes » 16+.
Théâtre Académique d’État de Saint-Pétersbourg nommé après de Lensovet.
Réalisateur — Roman Kotcherjevski.

 

&k&

 

Jeudi 20 novembre à

18h

Réunion créative avec l’équipe du spectacle « Les joueurs».
Théâtre de Saint-Pétersbourg Andrei Mironov.

20 h

« Les joueurs» 16+.
Théâtre de Saint-Pétersbourg Andrei Mironov.
Réalisateur — Anton Yakovlev.

 

&k&

 

Vendredi 21 novembre à

18 h

Rencontre avec l’équipe du spectacle « L’homme de Podolsk».
Théâtre d’État de Saint-Pétersbourg « L’abri de comédien ».

20 h

« L’homme de Podolsk» 16+.
Théâtre d’État de Saint-Pétersbourg « L’abri de comédien ».
Réalisateur — Mikhail Bytchkov.

 

&k&

 

Samedi 22 novembre à

18h

Réunion avec l’équipe du spectacle « Hamlet. Paravent ».
Grand Théâtre des marionnettes.

20 h

« Hamlet. Paravent» 18+.
Grand Théâtre des marionnettes.
Réalisateur — Rouslan Koudachev.

 

Inscriptions sur le site : https://crsc.fr/

 

 Compte tenu des mesures de reconfinement national annoncées par les autorités françaises, suspension  de l’ensemble des événements culturels !!!

 

Conférence

“Ilia Répine (1844 – 1930), peintre du peuple russe”

par Elisabeth Rossary

Lundi 16 et vendredi 20 novembre 2020 à 14h

Salle Sainte Croix, 69002 Lyon

 

 

Cet artiste éclectique est peut-être le plus important de la moitié du 19ème siècle, son inspiration allant de Rembrandt à l’Impressionnisme. Il a été considéré comme le véritable chantre du peuple tel que le découvrait l’intellingentzia russe au temps de l’abolition du servage.

C’est le “Samson de la peinture” dit un critique de cette époque.

Cette conférence est complémentaire de les précédentes, les 2 et 6 novembre (voir artcorusse : CLIQUEZ), qu’elle approfondit en quelque sorte en traitant individuellement ce grand peintre.

Dans son travail de recherche sur ce peintre Elisabeth Rossary, Bibliothécaire et conférencière,  a retrouvé ses descendants directs habitant la région lyonnaise et stéphanoise : un témoignage hors du commun.

 

 

Salle Sainte Croix

30 rue de Condé, 69002 Lyon

Métro : Ampère, ou Perrache

Parking : Perrache Place Carnot;

 

 

 Compte tenu des mesures de

reconfinement national annoncées par les

autorités françaises, les

organisateurs sont

dans l’obligation de suspendre le

28ème Festival du Cinéma Russe Honfleur 2020

Du mardi 24 au dimanche 29 novembre 2020, Honfleur

Russes et français se retrouvent chaque année à Honfleur dans une même passion, pour mettre à l’honneur ce jeune cinéma russe.
Chaque année, une sélection de six à huit films récents est proposée au jury.
Des séances de dessins animés sont programmées pour les enfants, ainsi que des documentaires et courts-métrages.
Projections et animations ont lieu dans les Greniers à Sel, au Cinéma Henri-Jeanson, à l’Auditorium de la Médiathèque pour les dessins animés destinés aux plus jeunes, et à la CCPH pour les documentaires.

 Festival du Cinéma Russe

Greniers à Sel, 14600 HONFLEUR

RÉSERVATIONS

BADGES : 30 euros par personne.
Ce badge donne accès à toutes les projections du Festival.

Soirée Récital  : 20 euros.

Réservez vos badges et vos places de concert dès maintenant !
Par mail : cinerusse.honfleur@orange.fr
Par téléphone : + 33 2 31 89 25 59

 

En raison de la dernière décision du

Président de République

sur Covid-19, l’exposition est fermée.

 

Exposition

“Ivan BOUNINE à Grasse”

toiles de Nikolaï Kojoukhovski 

Du jeudi 22 octobre au jeudi 12 novembre 2020

Palais des Congrès 06130 Grasse

 

 

Ivan Alexeïevitch Bounine (Иван Алексеевич Бунин), né à Voronej (Empire russe)  le 10 octobre 1870 (22 octobre suivant le calendrier grégorien) et mort à Paris  le 8 novembre 1953,  écrivain russe, auteur de poèmes, de nouvelles et de romans, lauréat du Prix Nobel de littérature en 1933. Il est considéré comme l’un des plus grands prosateurs russes du XXème siècle.

Ses parents sont poétes, à dix-sept ans, il publie son premier poème dans un magazine littéraire de Saint Pétersbourg, La Patrie, et devient correcteur pour un journal local, Le Moniteur d’Orel.

 

Il publie à Orel son premier recueil de poèmes en 1891, puis Sous le ciel ouvert en 1898 puis Automne, pour lequel il reçoit le prix Pouchkine en 1901. En 1889, il suit son frère à Kharkov et correspond avec Anton Tchekhov, dont il fait la connaissance en 1895 et avec Maxime Gorki et Léon Tolstoï. Il voyage à travers l’Inde, la Palestine, l’Egypte l’Italie. Il fuit la révolution russe quittant Moscou en  pour s’installer dans le sud du pays, tenu par les armées blanches. Il quitte la Russie  1920 pour s’installer en France, où il vit à Paris dans le XVIème au 1 rue Jacque-Offenbach et à Grasse. Il publie son journal extrêmement critique à l’égard du régime bolchévique.

Villa Belvédère, Grasse

Bounine réside un temps dans la villa Belvédère. Démuni financièrement, il peut compter sur le soutien de Rachmaninov, ami de longue date, qui lui apporte l’aide pécuniaire et morale. Cet appui se maintient même après l’obtention du Prix Nobel de littérature en 1933 pour son livre La vie d’Arsénièv. Néanmoins, Yvan Bounine passe tout son temps à Grasse durant les beaux jours.

 

 

En 1939, Ivan Bounine quitte la villa Belvédère. Il s’installe dans la villa Jeannette sur la route Napoléon à Grasse. Cette villa appartient à ses amis anglais partis pour la Grande Bretagne à cause e l guerre. Il y demeure jusqu’en 1945, au retour de ses amis anglais  il quitte Grasse pour s’installer dans son appartement à Paris.

 

Nikolaï Kojoukhovski est né à Kiev,  il termine en 1972  I’école secondaire d’art de Kiev, il rentre à I’ Académie de peinture  d’Etat de Kiev. II est trés apprécié par ses maitres,  il décide en 1983 de s’installer et de travailler à Moscou. En 1986 il rejoint I’association des Peintres de la Russie, ce qui lui permet d’entrer dans les cercles d’artistes peintres célèbres et reconnus. II en tire une expérience fructueuse, tout en  restant fidèle à sa manière de peintre : réaliste, fine, vraie, un peu impressionniste.

 

Palais des Congrès
22 Cours Honoré Cresp
06130 Grasse

Horaires : Ouvert du mardi au vendredi de 9h à 17h et samedi de 10h à 18h
Fermeture exceptionnelle le 11 novembre

 

 

 Compte tenu des mesures de reconfinement national annoncées par les autorités françaises, suspension  de l’ensemble des événements culturels

 

Conférence

“La Peinture russe au temps de

Tolstoï et Dostoievski (1860 – 1905)”

Par Elisabeth Rossary

Lundi 2 et vendredi 6 novembre 2020 à 14h

Salle Sainte Croix, 69002 Lyon.

 

Isaac Levitan

 

Cette période de la prè-modernité qui annonce les avants-gardes du début du XXe siècle, est un pan de l’art russe totalement ignoré en Europe. Une génération de peintres comme Kramskoï, Lévitan, Pérov, Polénov, et bien sûr Répine,  a voulu rapprocher l’Art et la Vie, influencée par les écrits naturalistes de Dostoïevski et de Tolstoï.

C’est ce que va chercher à vous faire découvrir cette conférence d’Elisabeth Rossary, bibliothécaire et conférencière.

 

 

Salle Sainte Croix

30 rue de Condé, 69002 Lyon

Métro : Ampère ou Perrache

Parking : Perrache, Place Carnot.

 

 

 

 Compte tenu des mesures de reconfinement national annoncées par les autorités françaises, suspension  de l’ensemble des événements culturels !!!

 

Exposition exceptionnelle

“Alexandre Sérébriakoff, Paysages et intérieurs”

Jeudi 1er au vendredi 30 octobre 2020

PROLONGEMENT

RÉOUVERTURE le 15 décembre 2020
«Alexandre Sérébriakoff. Paysages et intérieurs»
Prolongation jusqu’au 24 janvier 2021

 

1er et 2ème étage du bâtiment Branly

CSCOR, VII° Paris

 

Alexandre Borisovitch Sérebriakoff (1907 – 1004)

Alexander Serebriakoff est un artiste, décorateur et aquarelliste russe.
Né en 1907 dans le village de Neskuchnoie près de Kharkov, décédé à Paris en 1994.
Alexander est né dans une famille d’artistes. Sa mère, Zinaida Serebryakova, est la première femme en Russie à être reconnue comme artiste.

Alexandre Sérebriakov étudiant,

par sa mère Zinaïda Sérebriakova Paris 1922

Alexander était le deuxième fils de Zinaïda et Boris Serebriakoff
Deux ans après la révolution d’octobre, le mari de Zinaïda Serebriakova est mort, la laissant avec quatre enfants sans argent et elle a été forcée de quitter la Russie pour la France. Alexandre a suivi sa mère à Paris en 1925.
Alexandre Serebriakoff a peint principalement des intérieurs, affichant dans ses peintures des preuves détaillées de décorations et de célébrations de la haute société française.
Il était l’une des plus belles aquarelles d’intérieur pour son sens unique du détail, de la lumière et du volume.

Place des Vosges, Paris 1926

 

Quai Henri VI, Paris 1940

 

Atelier de Sergeï Ivanov,  Paris 1944

 

Intérieur de l’appartement d’Alexandre Popoff, Paris 1945

 

Façade Galerie Popov & C°,  Paris 1946

Il était également scénographe et illustrateur de livres.

 

Il a créé un livre de ballet illustré pour enfants.

 

Ce diaporama nécessite JavaScript.

Bal Bal oriental donné par le baron Alexis de Redé, le en l’hôtel Lambert, à Paris.

Il y a aussi le catalogue Patrick Mauries – un livre illustré en français et en italien avec de brèves explications sur les intérieurs luxuriants.

Entrée gratuite.

Inscription obligatoire : CLIQUEZ

 

 

Centre spirituel et culturel orthodoxe russe

1, quai Branly, 75007, Paris

Horaires : mardi – dimanche 14 h – 19 h

Métro : Alma Marceau,  RER : Pont de l’Alma

On vous rappelle que le port de masque est obligatoire et la distanciation sociale
doit être respectée tout au long de l’évènement

 

 

Pionnières du Cinéma soviétiques

Rétrospectives

Mercredi 14 au  jeudi 29 Octobre 2020

Cinémathèque française, XII Paris

 

 

Mercredi 14 octobre 20 h

Dimanche 25 octobre 20 h 45

Ouverture de la rétrospective.
Séance présentée par Irène Bonnaud et Bernard Eisenschitz

 

” SOULIERS PERCÉS ” (RVANYE BACHMAKI)

de Margatrit Barskaïa
URSS/1933/85’/VOSTF/35MM
avec Vera Alekhina, Mikhaïl Klimov, Ivan Novoseltsev.

L’Allemagne prénazie vue par des yeux d’enfants. Splendidement chaotique
comme le cinéma soviétique savait encore l’être, son esprit de révolte, son anarchisme et son
amour des enfants séduisirent Henri Langlois :

« Un vrai chef-d’oeuvre », « Le meilleur film parlant soviétique ».

 

d

 

Samedi  17 octobre 19 h

Samedi 24 octobre 17 h

 

 

” VAVILA LE TERRIBLE ET TANTE ARINA “
(GROZNY VAVILA I TETKA ARINA)

de Nikolaï Khodataïev, Olga Khodataïeva
URSS/1928/6’/INT.FR./35MM

Le moujik Vavila bat sa femme, « tante » Arina. Quand lui et son copain voient les femmes partir
fêter le 8 mars et s’éduquer à l’école des travailleuses, ils comprennent qu’ils sont fichus.
Cet « agit-film » réunit quatre pionniers/pionnières de l’animation soviétique.

Suivi de

 

GAVROCHE
de Tatiana Louchevitch
URSS/1937/70’/VOSTF/35MM

avec Nikolaï Smortchkov, Ivan Novoseltsev, Nina Zorskaïa.

Adaptation très libre des Misérables qui met en valeur le contexte politique et l’opposition
à la monarchie de Juillet. Incarnation du petit peuple, pauvre, rusé, héroïque, Gavroche
monte sur les barricades parce que son père est assassiné dans les geôles du Roi.

d

 

Dimanche 18 octobre à 19 h

Samedi 24 octobre à 21 h 30

 

 

BUBA

de Nutsa Gogoberidze
URSS/1930/39’/INT. FR./DCP

La pauvreté ancestrale d’un village de montagne est bouleversée par l’arrivée
du pouvoir soviétique.
On pense au Sel de Svanétie de Mikhaïl Kalatozov. La vitalité
des avant-gardes géorgiennes n’avait alors rien à envier à
celles de Moscou et Léningrad.

Suivi de

” UJMURI

de Nutsa Gogoberidze

URSS/1934/56’/INT.FR./DCP

Avec  Koté Daouchvili, <merb Ichikovani, Nusa Tchkheidze .

Les autorités veulent assécher les marais de Mingrélie pour combattre la malaria. Les jeunes
communistes n’imaginent pas tenir tête à Ujmuri, la Reine des grenouilles, qui hante le marais.
Interdit après sa sortie en 1934, Ujmuri a été retrouvé et restauré en 2018.

Nutsa Gogoberidze . 1902-1966
Né à Saingilo, Géorgie. Diplômé de la faculté de philosophie de Yena, Allemagne. À l’âge de 25 ans, elle est devenue la première réalisatrice géorgienne. En 1927, elle réalise son premier documentaire «Leur royaume» avec Mikhail Kalatozoff;
Le deuxième film était «Buba» (1930) avec la contribution artistique de David Kakabadze. Son troisième film «Ujmuri» – «Desperate Valley» a surmonté de nombreux obstacles et est apparu sur les écrans en 1934. C’était le premier long métrage soviétique réalisé par une femme.

En 1937, pendant les purges staliniennes, elle a été arrêtée comme «membre de la famille de l’ennemi du peuple» et condamnée à 10 ans d’exil. Ses films étaient interdits. Après son retour d’exil, Nutsa n’a pas eu la possibilité de retourner dans l’industrie cinématographique et a plutôt travaillé dans le département de lexicographie de l’Institut de linguistique.

Elle mourut en 1966, à l’âge de 63 ans.
Ce n’est qu’après la mort de Nutsa que son travail de création fut redécouvert.

d

Dimanche 18 octobre à 21 h 30

Dimanche 25 octobre à 17 h

 

 l’Affaire des fermoirs (ДЕЛО С ЗАСТЁЖКАМИ)

Aleksandra Khokhlova
URSS / 1929 / 27 min
D’après la nouvelle L’Affaire des fermoirs de Maxime Gorki.

Avec A. Bavrine, Piotr Galadjev, Galina Ivanovskaïa.

Trois vagabonds sont recueillis par une dévote.

Dans cette satire de la bigoterie, sa première réalisation, Khokhlova met en valeur des acteurs jeunes, et filme en liberté les paysages de la vieille Russie.

Suivi de :

 

” Sacha “

D’Aleksandra Khokhlova
URSS/ 1930 / 42 min/ INT. FR./35MM
avec  M. Sapojnikova,  P. Iline, Andreï Faït.

Dmitry Kotov, le mari de Sasha, est accusé du meurtre d’un enseignant du village. Le vrai tueur, le poing de Smirenin, trompe la Sasha enceinte pour qu’elle quitte le village pour la ville. Confuse dans la grande ville, une jeune femme se retrouve dans la police. Là, elle trouve soutien et compréhension. Les miliciens l’aident à dénoncer Smirenin et à libérer Kotov, un autre la dénonce comme l’épouse d’un détenu accusé d’avoir tué l’instituteur de son village.

 

d

 

Mercredi 21 octobre 19 h

Dimanche 25 octobre 19 h

 

 

” K.CH.È. – KOMSOMOL À LA TÊTE DE L’ÉLECTRIFICATION ”
(K.CH.E. – KOMSOMOL, CHEF ÈLEKTRIFIKATSII)

D’Esther Choub
URSS/1932/59’/VOSTF/35MM

Documentaire tourné en son direct (célébré dans la séquence d’ouverture) sur l’inauguration de
deux centrales hydroélectriques en Arménie et en Ukraine, avec l’aide d’ingénieurs américains.
Pour Esther Ch plan quinquennal vont de pair avec les possibilités du cinéma sonore. Elle monte et mélange les sons industrielset la parole, langues et accents – russe, arménien,
ukrainien, et même américain.

Ce film est devenu une sorte d’hymne d’électrification, un hymne à l’enthousiasme ouvrier des premiers plans quinquennaux. Il capture à la fois le moment de la création de l’électricité et de nombreux exemples de son utilisation. Un trait caractéristique du film était que, pour la première fois en Union soviétique, un enregistrement sonore synchrone y était utilisé, c’est-à-dire que le tournage était réalisé simultanément avec l’enregistrement du son “en direct”.

Selon E. Shub, le film «était censé refléter la lutte du Komsomol pour l’électrification de l’économie nationale. J’ai filmé, dit-il, non seulement des images synchrones, mais aussi juste des bruits documentaires sonores, des bruits de voitures dans les usines, des bruits de chantiers, de l’eau, des foules, des échos, des chants d’oiseaux, des sons de gramophone se confondant avec le son de l’eau lorsque des spécialistes américains se baignaient sur les rives du Dniepr, et bien plus encore. Lorsque le film était prêt, j’ai monté ces sons et l’enregistrement synchrone avec le matériel visuel. Nous avons filmé les réalisations les plus importantes dans le domaine de l’électrotechnique, de la radio, les premières expériences à la télévision, le laboratoire des transmissions haute tension du professeur Tchernyshev et le laboratoire de l’académicien Ioffe, etc. Partout, nous avons reçu l’aide la plus active des comités du Komsomol, où notre tournage a eu lieu.

 

d

 

Jeudi 22 octobre 19 h 30

Mercredi  28 octobre 21 h 30

 

” PÈRE ET FILS ” (OTETS I SYN)

De Margarta Barskaïa
URSS/ 1936 / 72 min /VOSTF / 35MM

Avec lev Sverline, Viatcheslav Novikov.

Un drame psychologique sur la relation difficile entre un garçon de douze ans et son père, le directeur d’une usine, qui est complètement entré en production et ne fait pas attention à son fils. Le garçon abandonne ses études après une dispute avec son père, quitte la maison et affronte le monde criminel. Ce n’est qu’après une série d’incidents et de conversations avec différentes personnes que le père se rend compte de son erreur.

Un père accaparé par sa réussite professionnelle est incapable de communiquer avec son fils. Le garçon fugue et se retrouve mêlé à une bande de criminels.

Le film a été interdit, remonté et mutilé. Il n’existe que dans une version incomplète.

 

 

 

LA CINÉMATHÈQUE FRANÇAISE

51 Rue de Bercy, 75012 Paris

Métro : Bercy (Lignes 14, 6)

 

Tarifs : CLIQUEZ

 

” TOUT DOSTOÏEVSKI “

De Benoît Lambert et Emmanuel Vérité

du mercredi 14 octobre au dimanche 29 novembre 2020

Théâtre contemporain Lucernaire, VI° Paris

 

 

Auteurs :  Benoît Lambert et Emmanuel Vérité avec Emmanuel Vérité

Costumes : Marie Laroc

 Lumières : Antoine Franchet

Administration : Claire Lamarret et Alexandre de Lawarde

Diffusion : Ninon Difusio. Production déléguée : A4.

Coproduction : Théâtre de la Tentative, Panta Théâtre Dijon Bourgogne.

Coréalisation : Théâtre Lucernaire.

Un voyage poétique et décalé à travers l’œuvre de Dostoïevski.

Drôle de type, ce Charlie ! Personnage haut en couleur tout droit sorti de l’imagination de Benoit Lambert et d’Emmanuel Vérité, l’inclassable énergumène s’attaque ici à un monstre de la littérature russe : Fiodor Dostoïevski.

Affublé d’une chemise hawaïenne, ce clochard céleste, passé maître dans l’art du décalage et de l’autodérision, tente ici de rendre un hommage accéléré aux plus grands romans de cet auteur à la fois craint et admiré : Crime et Châtiment version enquête policière, intrigue condensée des Frères Karamazov… Mêlant érudition, simplicité et poésie, Tout Dostoïevski invite à (re)découvrir un auteur majeur de la littérature.

 

s

 

Benoît Lambert, auteur et metteur en scène. Il dirige le Centre Dramatique National de Dijon depuis 2013. Ancien élève de l’ENS, en sociologie avant de suivre enseignement théâtral de Pierre Debauche. Il fonde en 1993, avec Emmanuel Vérité, le Théâtre de la Tentative. Son travail alterne répertoire classique et écritures contemporaines. Auteur de quatre pièces : Le Bonheur d’être rouge écrit avec Frédérique Matonti, Que faire ? (Le Retour) écrit avec Jean-Charles Massera, Qu’est-ce que le théâtre ? écrit avec Hervé Blutsch et Bienvenue dans l’Espèce Humaine. Il a créé trois pièces de François Bégaudeau. Il entame un nouveau cycle de travail avec Antoine Franchet et Jean-Charles Massera.

Emmanuel Vérité, auteur et comédien.  Il suit les cours de l’école supérieure d’art dramatique de Pierre Debauche et Françoise Danell, et participe aux échanges entre cette école et le Rose Bruford College of Speech and Drama de Londres. En 1993 il fonde avec Benoît Lambert la compagnie La Tentative. Sous sa direction il joue Scapin, Lorenzaccio, Alceste, Perdican, Tartuffe. Il travaille avec Stéphane Braunschweig, Guy Delamotte, Ladislas Chollat, Sophie Renaud, Frederic Sonntag, Pierre Debauche, Robert Angebaud Jean-Charles Massera… Il réalise des courts-métrages dont Transfert, co-réalisé avec Patrick Azam.

 

s

 

 

Entre le vieux Montparnasse et le jardin du Luxembourg, se trouve un lieu singulier né au sein d’une ancienne usine désaffectée : le Lucernaire. Bâti comme une rue, où pavés, fontaine Wallace, bancs publics et réverbères se croisent, le Lucernaire est une ruche où les arts se rencontrent et se côtoient autour de 3 salles de théâtre, 3 salles de cinéma art et essai, une librairie, une galerie, un resto, un bar et une école d’art dramatique. Depuis sa création, il accueille des projets ambitieux dans diverses disciplines artistiques, et a pour ambition d’être un vivier de création.

 

Le Lucernaire

53, rue Notre-Dame-des-Champs 75006 Paris

Tarifs : 28€ normal, + de 65 ans  24€, étudiants 16€, -de 25 ans  10€ .

Réservations :

Internet : www.lucernaire.fr

Téléphone :  01 45 44 57 34, du lundi au vendredi de 10h à 13h et de 14h à 18h

 

Métro : ligne 12 (Notre-Dame-des-Champs), ligne 4 (Vavin ou Saint-Placide) et ligne 6 (Edgar Quinet)

Bus : Lignes 58, 68, 82, 91, 94, 96 /

Train : Gare Montparnasse

Station Vélib : 41 rue Notre-Dame-des-Champs, 75006 Paris (88 m) 18 rue Bréa, 75006 Paris (190 m) 90 rue d’Assas, 75006 Paris (350 m)

Parking : Vinci Park Services, 120 Boulevard du Montparnasse, 75014 Paris (318 m)

 

 

 

 

 

ANNULATION

en  NOVEMBRE

&

REPORT ?

 

Les Galitzine Sisters présentent

la comédie musicale

” Y’ a de l’embrouille dans l’air !  “

Cercle Suédois, 1er Paris

 

 

Interprétée par les Galitzine Sisters, Alceo Passéo, pianiste et Gwénaël Raillet, récitant,
c’est l’histoire pourrie et abracadabrantesque de deux chanteuses qui ne parviennent pas à faire décoller leur numéro de duettiste !

.

.

Sophie et Catherine Galitzine  vous proposons d’assister à la première de leur nouvelle comédie musicale, ” Y’a de l’embrouille dans l’air! “.

C’est l’histoire de deux sœurs, chanteuses de cabaret, qui tardent à rencontrer le succès. Fatalement, cela joue sur leurs relations… mouvementées. Toute ressemblance avec des personnages réels …

Spectacle accompagné musicalement par le merveilleux pianiste, Alceo Passeo. Le narrateur est le chanteur-comédien, Gwenaël Raillet.

Le livret et l’idée sont de Catherine Galitzine. Les musiques sont parmi les plus belles compositions de Bernstein, Gerschwin, Irving Berlin, Stephen Sondheim, Benjamin Britten et quelques autres…

 

Les sisters Galitzine, sont d’origine russe, issues de la deuxième plus grande maison princière de Russie.

.

Catherine Galitzine

  • Catherine est l’auteur de plusieurs livrets.

.

  • Sophie (soprano, opéra, musique sacré, mélodie russe), Titulaire d’une licence d’Études Théâtrales (Sorbonne), Sophie Galitzine a étudié le chant auprès de Simone Blanc, chef de chant de l’Opéra de Paris, de Gabriel Bacquier et de Marina Zviadadzé. Elle a participé à plusieurs productions lyriques en France et en Europe. Elle a notamment interprété les rôles de Constance dans L’Enlèvement au séraïI et  Suzanne dans Les Noces de Figaro de Mozart, de Clara dans La vie parisienne d’Offenbach, de Norina dans le Don Pasquale de Donizetti et créé le rôle de la Rose Noire dans l’ Opera CIown de Cecconi.

 

  • Alceo Passeo, pianiste-compositeur
    Italien, de formation classique, Alceo obtient son premier Prix de piano au conservatoire “V.Bellini” de Catane. Il suit les master-classes de J.Demüs, S.Perticaroli, V.Gornosteava, J.Martin et E.Heidsieck. En 1995 il s’installe à Paris. Disciple d’Aldo Ciccolini, avec qui il joue le double concerto de Poulenc sous la direction de M.Plasson, il obtient également le Diplôme d’Etudes
    Musicales français avec une médaille d’or du C.N.R. de Reims. Lauréat de nombreux concours, il enregistre son premier disque à la Salle Cortot de Paris avec des musiques de Chopin, Liszt et des pièces de sa propre production. Alceo s’intéresse aussi à la composition de musiques de films et participe à la réalisation de bandes-son d’une vingtaine de films dont : “La Môme” d’Olivier Dahan, “Les Enfants du Siècle” de Diane Kurys, et la série TV “Joséphine Ange Gardien”. Il accompagne les chanteurs lyriques, avec lesquels il enregistre les airs du grand répertoire.

 

  • Gwaenal Raillet, baryton et comédien, soliste de la trooupe d’opérette “Les Fous Lyriques”.

 

6

 

 

Cercle suédois

242 rue de Rivoli – 75001 Paris

Tarif : 30€

Réservaton : CLIQUEZ

 

DANS LE CADRE DE LA SEMAINE DES ARTS

A  AVIGNON

Zakouski poétiques en musique

« Je porte son anneau avec défi »

Vie et œuvre de Tsétaïéva

Samedi  24 octobre 2020 à 17h30

R

 

« Marina Tsvétaïéva et Anna Akhmatova : destins croisés »

Mercredi 28 octobre à 18h30

 

Théâtre de l’Étincelle, 84000 Avignon

 

 

Les compagnies IVA et Théâtre de l’Or bleu présentent 2 spectacles en avant – première des Saisons Russes prévues au Festival 2021, dans le cadre de la 1ère édition d’Indépendance.
.
– Samedi 24 octobre à 17h30 :
.
Zakouski poétiques en musique : « Je porte son anneau avec défi »
La vie et œuvre de Marina Tsvétaïéva
Texte avec chant lyrique et violon.
Le destin et la poèsie de Marina Tsvétaïéva, Eros et Psyché ,
en lecture – spectacle bilingue franco-russe.
Interprété par :  Natalia Conio,
Anna Kolosenok,  violoniste russe
Maroussia Vavilova, chanteuse lyrique
Récit de vie depuis la guerre civile, son exil en France jusqu’à son retour tragique en URSS.
Un récital poétique et musical d’aprés l’œuvre et le vie de la poétesse russe Marina Tsvetaïeva (1892-1941) : Fin du vingtième siècle, la Russie : elle a donné vie aux poètes Blok, Essenine, Pasternak, Mandelstam, Akhmatova, qu’on nommait aussi ceux du siècle d’argent …Et bien sur parmi ces noms se trouve celui de MarinaTsvétaïéva. L’œuvre et la vie de Marina Tsvétaïéva sont un puits sans fond qu’on ne finit jamais d’explorer. Et chaque personne qui tente de le faire y découvre sans cesse de nouvelles facettes et de nouveaux secrets de cette petite étoile de notre univers.

La Compagnie IVA, créé en 1985 par la comédienne Irina Vavilova et reprise par
Nathalie Conio, metteur en scène issue formée à l’Ecole Nationale de Chaillot et de
l’Académie Dramatique de Russie a depuis sa création été à la fois une compagnie
de production de spectacles originaux et internationaux axée notamment sur les
échanges culturels entre la France et la Russie.

Iva Company est représentant officiel des « Saisons culturelles russes » en France
pour le projet « Avignon russe » qui aura lieu en 2020 dans le cadre des « Saisons
russes » en France organisé par le Ministère de la Culture de Russie.

Nathalie Conio, comédienne et metteur en scène, formée à l’Ecole de Chaillot à Paris et à l’Académie d’Art Dramatique de Russie (GITIS) à Moscou. En France elle a été assistante à la mise en scène de Mikhaïl Mokéîév et de Tatiana Stépantchénko (Le Meurtre de Gonzague -2002- au Phénix de Valenciennes). Elle a mis en scène Sans Voix d’Estelle Lépine à la Maison des Comoni, Revest-les-eaux, Théâtre du Hublot à Colombes, la Scène Nationale de Valenciennes, Théâtre Le Sémaphore de Port de bouc, au Théâtre de Vélizy et à Bobigny.

Ensuite Le trio en Mi bémol d’Eric Rohmer au Théâtre du Chaudron et au Théâtre du Renard à Paris, puis en tournée à l’Opéra de ClermontFerrand, et aussi Les Bâtards de Vadim Lévanov au Théâtre du Hublot à Colombes. Elle crée en 2013 « Nos grand-mères » de Laurent Dubost d’après le récit de Jacqueline Auriol et Valentina Vavilova co – production du Centre des monuments nationaux et de la maison Georges Sand de Nohant et en résidence à la Gare Franche à Marseille.

Elle part en tournée en Russie en juillet 2016 avec le soutien de l’Institut Français de Moscou et l’AF de Nijni-Novgorod. Elle collabore avec Philippe Fenwick sur plusieurs spectacles dont « Transsibérien, je suis » co-production du Théâtre national de la Criée et du Théâtre National de Nice, et aussi «Cabaret d’Odessa – la lampe verte » créé en 2015 dans le cadre des journées d’Odessa du MuCEM (Marseille), à la BMVR Alcazar ainsi que : UTOPIK – sirènes et midi net (production Lieux publics), et Back in the USSR co-production de la Criée et des Friches. Et aussi le « Cabaret Nostalgya » créé au Théâtre Toursky en mars 2016. Elle a travaillé longtemps comme comédienne avec le Théâtre de l’Unité : Un Brecht pour Muguette, Térezin, Noce et banquet, BIT, Kapouchniks, ainsi qu’avec le Cosmos Kolej : Alpenstock, Koursk, et joue actuellement dans ses propres créations et celles de Philippe Fenwick.

.
r h r
.
Le mercredi 28 octobre à 18h30h :
.
Zakouski poétiques en musique
« Marina Tsvétaïéva et Anna Akhmatova : destins croisés »
Deux femmes russes au destin tragique, deux poètes mythiques, qui se connaissaient et s’admiraient ont choisi deux voies opposées : l’une est partie, l’autre restée subissant toutes les deux le sort des écrivains dissidents.
Texte, voix, violon et violoncelle
.
n    Spectacle suivi d’un buffet russe   n
.
3

     Le Théâtre de l’Étincelle depuis 1989 il est géré par la Compagnie La Tarasque. Il est le siège de nombreuses activités durant l’année : Formation Théâtre adultes, adolescents, enfants, Yoga, Gym douce, Danse indienne, etc … 

Il est ouvert à la création théâtrale tout au long de l’année et en particulier aux compagnies et artistes de la Région PACA. L’Étincelle accueille des spectacles d’Octobre à Juin : théâtre contemporain, musiques du monde, danse, compagnies en résidence.

Lieu de création théâtrale (La Compagnie LA TARASQUE a à son actif 28 créations). Il reçoit des associations d’aide aux personnes en difficulté, favorise les échanges culturels nationaux et internationaux, en particulier avec l’Inde et la Chine. 

Lieu off depuis 1989, il est connu durant le Festival pour sa programmation de qualité favorisant les auteurs contemporains mais aussi le théâtre jeune public, la danse, la musique et l’accueil de compagnies nationales, européennes et internationales ( Espagne, Belgique, Japon, Chine, Inde…)

.
Théâtre L’Etincelle – 14, place des Études
84000 Avignon
RESERVATIONS : 04 90 85 43 91
TARIFS : 14€ & 10€ réduit
.
.

 

 

Vente aux enchères d’œuvres d’art

ART RUSSE Online

Experts : Maxime Charron & Mariam Varsimashvili

 

Jusqu’au  au 13 octobre 2020 14h00

 

En bas du Kremlin – La Moskova, dans le fond la cathédrale Saint Sauveur (circa 1901), par Bouchard Paul-Louis (1853-1937)

Cette sélection d’œuvres d’ART RUSSE met en lumière un florilège de l’étendue artistique de la Russie, du XVIIIe siècle jusqu’à nos jours. La richesse de cette culture est ici représentée à travers des domaines variés tels que les souvenirs des Romanov, la porcelaine soviétique, les boîtes en papier mâché, les icônes, les tableaux et bronzes aux sujets typiquement russes. Des prix très attractifs accompagnent cette vacation online qui se terminera le 13 octobre, afin de permettre à chacun d’emporter un peu de Russie chez lui.

Frais de vente : 25 % HT ( 30 % TTC)
Experts:
Mariam Varsimashvili : russia@millon.com,  Tél : 01 47 27 95 34

 

g

 

EXTRAIT du CATALOGUE

 

 

Lot 2 : Icône portative en argent (800 millièmes) à décor repoussé figurant d’un côté la Mère de Dieu à l’Enfant et sur l’autre Saint Antipas de Pergame. Une trape s’ouvre au sommet et renferme une image de la Vierge sur papier. Légères usures.
Probablement Balkans, XVIIIe siècle.
Poids : 34,9 g. H. 5,5 x L. 5 cm.

Путевая икона, серебро, изображающая Богоматери с младенцем Иисусом и Антипа Пергамского. Износ.
Вероятно Балканский полуостров, XVIII в.

Estimation : 400 € – 500 €

 

d

 

 

Lot 7 : Icône sur trois registres figurant 22 saints et saintes.

Tempera et or sur bois. Bon état, légers manques et restaurations.
Le premier registre figure les saints Serge, Séraphin, Théodore, David, Constantin?, Jean Chrysostome et Nicolas. Le second registre figure les saints Samon, Gouri, Aviva, Blaise et Modeste. Le troisième registre d’autres saints parmi lesquels figurent Pierre, Paul, Basile le Grand, l’Archange Saint Michel, Sylvestre et sainte Eudoxie.
Russie, première moitié du XIXe siècle.
H. 44,5 x L. 37 cm.

Икона 22 святых, изображенных на трех регистрах. На деревe, золото, тeмпера.
Небольшие повреждения, реставрация. Общее сocтояние хорошее.
Россия, первая половина XIX в.

Estimation : 400 € – 600 €

 

d

 

Lot 13 : Icône de voyage triptyque.

Au centre la Mère de Dieu, sur les côtés deux groupes de quatre saints.
Tempera et or sur bois, dans son coffret a charnières en cuivre.
Russie, XVIIIe siècle.
H. 4 x L. 11 cm (ouverte).

Путевая икона триптих. В центре Божья матерь, по краям две группы из четырех святых. Россия, XVIII в.
4 x 11 см (в открытом виде).

Estimation : 180 € – 200 €

 

d

 

 

Lot 16 :  Lot de 9 œufs de Pâques. Verre et porcelaine.
Russie et Europe de l’Est, XXe siècle.
H. 9 à 14,5 cm.

Лот из 9 Пасхальных яиц. Стекло и фарфор.
Россия и восточная европа, XX в.
От 9 до 14,5 см.

Estimation : 50 € – 80 €

 

d

 

 

Lot 28  :  Icône de Saint Nicolas. Chromolithographie sur porcelaine rehaussée de peinture polychrome. Encadré. Allemagne, XX siècle.

H. 23,8 x 17,8 cm. Cadre : H. 29 x 22,8 cm.

 

Хромолитография на фарфоре подчеркнутая полихромной живописью. В раме.
Германия, XX в.
23,8 x 17,8 см. В раме: 29 x 22,8 см.

Estimation : 60 € – 80 €

 

d

 

 

Lot 35 : Lot de 3 lithographies figurant des vues de Saint-Pétersbourg :
-Vue du château des Ingénieurs prise du jardin d’été.
-Porte triomphale, sur le chemin de Peterhoff.
-Vue prise dans le parc de Pavlovsky.

D’après Karl Petrovich Beggrov (1799-1875), éditées par H. Prevost. Bon état général.
H. 37-27,5-37,5 x L. 27,5-37-27,5 cm

Три литографии с видами Санкт Петербурга:
-Вид Михайловского замка из зимнего сада.
-Триумфальные ворота на пути в Петергофу.
-Вид Павловского парка.
Литографии выполненные по произведениям Карла Петровича Беггрова (1799-1875). Издательство Превост. Состояние хорошее.
37-27,5-37,5 x 27,5-37-27,5 см.

Estimation : 150 € – 200 €

 

d

 

 

Lot 39 : École russe du XXIe siècle. Mars (2008).
Huile sur toile signée en russe en bas à droite « Korichev », contresignée et annotée au revers. Bon état.

H. 50 x L. 60 cm

Русская школа ХХ в. Март (2008).
Холст, масло. Подпись в правом нижнем углу “Коричев”, подпись на обратной стороне. Состояние хорошее.
50 х 60 см.

Estimation : 80 € – 100 €

 

d

 

 

Lot 41 :  Dmitrienko, École russe du XXe siècle. Nature morte aux pichets (1946).
Huile sur toile, signée en bas à gauche « Dmitrienko » et datée « 1946 », contresignée au dos sur le châssis. Bon état.
H. 73 x L. 50 cm

Дмитриенко, русская школа ХХ в. Натюрморт с кувшинами (1946).
Холст, масло. Подпись в левом нижнем углу “ Дмитриенко” и дата “1946”, подпись повторяется на подрамнике с обратной стороны. Состояние хорошее.
73 х 50 см

Estimation : 300 € – 500 €

 

d

 

 

Lot 42 :  BIRTCHANSKY Raphael (1883-1953).

Paysage imaginaire de Russie. Huile sur toile signée en bas à droite. Encadrée, bon état.
H. 54 x L. 65 cm

Бирчанский Рафаил Петрович (1883-1953).
Воображаемый русский пейзаж.
Холст, масло, подпись правом нижнем углу. Оформлена в раму, состояние хорошее.
54 х 65 см.

Estimation : 200 € – 300 €

 

d

 

 

Lot 50 : ZBANOV, école russe du XIXe siècle, d’après James SANT (1820-1916).

L’enfant Samuel. Aquarelle sur papier, signée en bas à droite en russe « Zbanov » (?).
Encadrée. Bon état, légères taches.

H. 22 x L. 18,5 cm (à vue).

ЗБАНОВ, русская школа XIX века, по картины Джемса САНТ (1820-1916).
Самюель в детстве
Бумага, акварель, подпись внизу справа на русском «Збанов»(?).

Собственная рамка. Состояние хорошее.

Estimation : 500 € – 700 €

 

d

 

 

Lot 72 :  POPOV-MASSIAGUINE Volodia (né en 1961). Révélation du soir
Huile sur toile, signée et datée en bas à gauche, contresignée et annotée au dos en russe. Bon état.
H:116 х L: 89

Попов-Масягин Володя (1961 г.) ВЕЧЕРНИЕ ОТКРОВЕНИЯ
Масло, холст, подпись.

Estimation : 2 000 € – 2 500 €

 

d

 

 

Lot 81 : Morozov A., école russe du XXe siècle. Bateaux sur le fleuve (1940).
Huile sur toile signée en russe et datée en bas à droite. Encadrée, bon état.
H. 30 x L.48 cm

МОРОЗОВ А., Русская школа XX в. Лодки на реке (1940).
Холст, масло, подпись на русском языке и дата в правом нижнем углу. Оформлена в раму, состояние хорошее.
H. 30 x L. 48 см

Estimation : 150 € – 200 €

 

d

 

 

Lot 90 : Ensemble de 4 tasses de forme évasée et leurs soucoupes en porcelaine, à décor noir et or sur fond violet ou vert représentant la flèche de l’île Vassilievski à Saint-Pétersbourg et d’un trophée à la Marine avec ancres dans des cartouches de style néoclas Manufacture Lomonosov, Léningrad, époque soviétique (marquées).
H. 9,5 x D. 16 cm.

4 Чашки в форме факела и блюдце. Фарфор с черным и золотым орнаментом на фиолетовом фоне. Памятник гавани и трофей с якорями, для морского флота.
Состояние хорошее.
Ломоносовский фарфоровый завод, Ленинград, советская эпоха.
К этому прилагается еще три чайные пары.
9,5 x16 см.

Estimation : 400 € – 600 €

 

d

 

 

Lot 100 : Ordre de Saint Wladimir. En or 56 zolotniks, croix de 4e classe avec glaives, avec son ruban. Très bon état. Saint-Pétersbourg, avant 1908.
Contrôleur : Yakov Liapounov. Orfèvre : A. Brylov (Maison Edouard).
Poids brut : 17 g. L. 39,6 mm.

Орден Св.Владимира, крест 4-й степ. c мечами. Золото. Фирма Эдуард, клейма АБ = А. Брылов. Петербургский кокошник до 1908 г «56».
Оригинальная лента, 39,6 мм. Вес: 17. Сост. очень хорошее.

Estimation : 1 200 € – 1 500 €

 

d

 

 

Lot 104 : Bicorne de grande tenue d’officier de marine. Chapelier : C. Schiffler à Saint Petersbourg, fondé en 1852. Monogramme du propriétaire : T.F
Très bon état. Époque Nicolas II (1894-1917).

Шляпа морского офицера. Царствование Николая II. Шляпник : С.Шиффлер в СПБ. Фирма осн. В 1852 г. Вензель хозяина шляпы : Т.Ф Состояние очень хорошее

Estimation : 1 200 € – 1 500 €

 

d

 

 

Lot 113 : Kindjal caucasien. Garde entièrement recouverte en argent niellé, deux boutons. Lame à trois pans travail Damas. Fourreau cuir et bois entièrement recouvert d’argent niellé, ouvragé sur les deux faces. Très bon état.
L. 51,5 cm.

Кинжал кавказский. Рукоять, целиком покрытa серебром, украшенная чернью, две пуговки. Трехлезвийный клинок. Дамаск. Ножны, деревo, кожa. Полностью покрыты серебром, украшенным чернью.
Общая длина: 51,5 см. Состояние oчень хорошее

Estimation : 2 300 € – 2 500 €

 

d

 

 

Lot 119 : Boîte rectangulaire s’ouvrant à charnière en bois recouverte de papier mâché polychrome, à fond noir et rehauts dorés, le couvercle orné d’une scène de banquet d’après les contes populaires russes. Bon état, dans son coffret d’origine.
Manufacture de Palekh, époque soviétique (1984). Signée par D. Kraïkine.

H. 3,5 x L. 12,5 x P. 10 cm.

Прямоугольная коробка с крытой деревянной петлей из папье-маше.
Палехская мануфактура, советские времена.

Estimation : 50 € – 80 €

 

d

 

 

Lot 125 : Lot de 4 boîtes rectangulaires en papier mâché laqué polychrome, les couvercles ornés de scènes tirées des contes populaires russes. Bon état. Russie, époque soviétique, XXe siècle.

Набор из 4 коробoк из лакированного папье-маше с полихромной отделкой. Крышки украшенный сюжетами из русских народных сказок

Estimation : 30 € – 50 €

 

d

 

Lot 129 : Samovar de forme cylindrique en laiton doré et martelé, garnitures en bois noirci. Bon état général.
Fabrication des Frères Baranov à Toula, avec marques des diverses médailles d’or, d’argent et de bronze décernées en 1907 et 1909 aux expositions de l’industrie.
Russie, début XXe siècle.
H. 55 cm.

Самовар цилиндрической формы, Позолоченная латунь, почерневшее дерево, состояние хорошееПроизводство братьев Барановых, Тула.
Россия, начало 20 века. Самовар – банка.
Фабрика братьев Барановых. Тула.
Имеется несколько вмятин. Укомплектован, с краном.

Estimation : 200 € – 300 €

 

d

 

 

Lot 139 : Carnet de bal en argent 84 zolotniks (875 millièmes) à décor émaillé polychrome champlevé et niellé de fleurs dans des entrelacs. Il s’ouvre à charnière par un fermoir en trompe l’œil, intérieur en tissu rouge. Travail français pour le marché russe.
Poinçon tête de Mercure d’exportation et poinçon d’importation russe.
Poids brut : 85,8 g. H. 6,5 x L. 10,2 cm.

Бальный блокнот. Серебро, проба 84. Полихромные выемчатые эмали. Цветoчный орнамент. Закрывается на шарнирax, застежкa «тромплей», выстлана красной тканью. Французская работа для российского рынка.
Французское экспортнoe и русское импортное клейма.

Estimation : 400 € – 600 €

 

d

 

 

Lot 148 : Sonnette de table de forme circulaire quadripode en vermeil 84 zolotniks (875 millièmes), à décor émaillé bleu guilloché à motifs de rayons, le bouton poussoir serti d’un cabochon de pierre de lune dans un entourage de roses diamantées. Conservée dans son Travail dans le goût de Fabergé, poinçons de prestige, XXe siècle. Poids brut : 180,9 g.
H. 5 cm x D. 7.5 cm.

Настольный звонок. Серебро позолоченное 84.
Работа в стиле Фаберже.

Estimation : 2 200 € – 2 500 €

 

d

 

 

Lot 155 : Pendule en forme de violon

en argent 84 zolotniks (875 millièmes) à décor émaillé rouge et incrustation d’ivoire s’ouvrant à charnière par un bouton poussoir, l’intérieur orné de deux cadrans amovibles. Bon état. Porte des marques de prestige, dans le goût de Fabergé, XXe siècle.
Poids brut : 342,6 g. L. 18 cm.

Часы в форме скрипки из серебра 84 золотника (875 тысячных) с красной эмалью и инкрустацией из слоновой кости, открывающийся на шарнирах с помощью кнопки, внутренняя часть украшена двумя съемными циферблатами. Состояние хорошее.
Имеются престижные клейма, в стиле Фаберже, XX в.

Estimation : 1 000 € – 1 200 €

 

d

 

 

Lot 158 : WOLFF Albert Moritz (1854-1923). Troïka attaquée par des loups.
Bronze à patine brune, signé sur la terrasse A. M. Wolf. fec(it).
Marque du fondeur allemand : “Aktien Gesellsch Gladenbeck Berlin”.
L. 30,5 x P. 14,5 cm.

ВОЛЬФ Альберт Мориц (1854-1923). Тройка атакованная волками.
Бронза с коричневой патиной, подпись

Estimation : 1 600 € – 1 800 €

 

d

 

 

Lot 167 : Lot de catalogues de ventes russes Sotheby’s et Christie’s des années 1980 et 1990.

Лот каталогов Sotheby’S и Christie’s (русское искусство) 1980-х и 1990-х годов.

Estimation : 80 € – 100 €

 

d

 

 

Lot 179 : Lot de 2 revues « La Russie Illustrée » consacrées à Pouchkine. On y joint une revue « Boris Godunov, Opéra russe à Paris ». En l’état.

Лот из 2 журналов “Иллюстрированная Россия”, посвященных Пушкину. К нему прилагается журнал “Борис Годунов, Русская опера в Париже”. Состояние удовлетворительное.

Estimation : 50 € – 80 €

 

d

 

 

Lot 188 : POTIECHINE P., école russe vers 1900. Portrait du tsar Nicolas II (1901).
Huile sur toile, signée en bas à droite « P. Potiechine » et datée « 1901 ». Accidents, en l’état.
L’oeuvre a probablement été réalisée d’après un portrait du tsarévich Nicolas Alexandrovitch, futur Nicolas II, puisqu’il est en uniforme de l’artillerie à cheval de la Garde où il a servi à la première batterie de la première brigade en 1890. Le ruban de
sa croix de Saint Wladimir devrait être rouge et noir et non pas rouge et blanc.

H. 53,5 x L. 44 cm.

Потешин, Русская школа около 1900 года. Портрет Николая II (1901).
Холст, масло, подпись внизу справа “П. Потешин”

Estimation : 1 000 € – 1 200 €

d

 

CATALOGUE COMPLET : CLIQUEZ

 

Artprecium est une marque du groupe MILLON .

Crée en 2011, par la rencontre de 3 commissaires-priseurs dynamiques bénéficiant d’une longue expérience du marché de l’art.

Artprecium est spécialisée dans estimation en ligne  et  l’expertise des  œuvres d’art,

L’équipe Artprecium assistée des experts du groupe MILLON met à votre service toutes les ressources nécessaires pour promouvoir et vendre aux mieux vos œuvres .

 

 

 

 

 

 

 

Le Shtandart, « étendard »

du dimanche 11 au vendredi 23 octobre 2020.

Port de la lune, 33000 Bordeaux

 

 

Mythique navire-école russe et à visiter, et il est même possible d’embarquer pour une traversée Bordeaux-Ile d’Yeu-La Rochelle, 4 jours à bord.

Voir article sur ARTCORUSSE : CLIQUEZ

Pour ceux qui rêvent d’embarquer sur un navire du genre,

une traversée est proposée, à laquelle il faut s’inscrire : CLIQUEZ

Port de départ: Bordeaux Embarquement : 23.10.2020 à 16:00
Départ: 24.10.2020 à 00:30 Port de destination : Île d’Yeu — La Rochelle
Arrivée: 26.10.2020 à 14:00
Tarifs : 360€ .

 

Port de la Lune 33000 Bordeaux

Visite jusqu’au 23 octobre : de 10h à 12h30, et de 13h30 à 20h30

Tarifs : Adultes : 4 €, enfants : 1€, et moins de 5 ans, gratuit

 

 

ANNULATION 

 

Venue exceptionnelle à Paris

de la ” tsarine de la danse ”

Svetlana Zakharova

pour célébrer l’univers de Gabrielle Chanel.

Samedi 24  à 20 h et dimanche 25 octobre à 16 h

Théâtres de Champs Elysées, VIII° Paris

 

 

 

Voilà bien deux dates automnales qui feront courir le tout Paris tant l’événement est somptueux et exceptionnel. En premier lieu, la présence de la « tsarine de la danse » Svetlana Zakharova, immense artiste pour laquelle tous les superlatifs d’excellence sont insuffisants. Entourée des solistes du Ballet du Bolchoï, elle vient présenter un spectacle qui lui tient particulièrement à cœur, celui de célébrer « l’amitié entre le ballet et la mode » au travers de la personnalité et de la vie de Gabrielle Chanel. Pour cela, 85 costumes ont été créés dans les ateliers de couture du temple de la danse moscovite sur les « croquis exclusifs » de la Maison Chanel. Pour autant, il ne faudrait pas réduire le projet à un défilé de mode car il s’agit bien d’un ballet qui retrace la vie de Gabrielle Chanel, symbole du chic à la française et figure de la libération de la femme, une femme qui aux yeux de l’Etoile a doublement « révolutionné la notion de mode féminine et celle de liberté ». Tout est ainsi réuni pour que ces deux soirées soient l’événement « le plus chic et le plus couru » de la danse cette saison.

.

H g G

.

 

Svetlana Iourievna Zakharova (Светлана Юрьевна Захарова), prodigieuse ballerine russe surnommée « La tsarine de la danse ». Elle est prima Ballerina du ballet Bolchoï et de la Scala de Milan, considérée comme l’une des plus grandes danseuses classiques.

Svetlana Zakharova est née le 10 juin 1979 à Loutsk (Ukraine), époque où ce pays faisait partie de l’URSS  Elle est donc de nationalité russe. Âgée de 10 ans, Svetlana Zakharova est admise à la Kiev Choreographic School.  Svetlana doit quitter l’école de danse quatre mois plus tard pour suivre ses parents, lorsque la famille revient en Ukraine, elle se présente de nouveau au concours d’entrée et réintègre la Kiev Choreographic School où elle étudie sous la houlette de Valeria Souleguina.

En 1995, elle remporte la médaille d’argent du Concours international des Jeunes Danseurs de Moscou, ce qui lui permet de prétendre à la classe de promotion de l’Académie Vaganova,  vivier des futurs danseurs de la troupe du Mariinky. À 17 ans, Svetlana Zakharova rejoint l’effectif de la compagnie du Mariinsky, son ascension au sein de la troupe sera fulgurante, puisqu’elle n’attendra qu’un an avant d’être nommée « principale », c’est-à-dire danseuse étoile.

La carrière de Svetlana Zakharova ne prend véritablement son essor qu’en 2003, lorsqu’à la suite d’un différend avec le Mariinski elle rejoint la compagnie rivale, Le Théâtre Bolchoï (qui l’avait déjà invitée alors qu’elle débutait au Mariinsky) . Elle commence alors à travailler avec Ludmila Semenyaka (également diplômée de l’Académie Vaganova). Elle est également sous contrat avec la Scala de milan, devenant la première Russe à y obtenir le titre de Prima Ballerina, et y danse régulièrement : Le Lacdes cygnes, Giselle, La Belle au boia dormant et la Baladay§re avec Roberto Bolle, partenaire privilégié.

.

H g G

.

PROGRAMME

COME UN RESPIRO

Georg Friedrich Haendel | musique
Mauro Bigonzetti | chorégraphie
Helena De Medeiros | costumes
Carlo Cerri | lumières
Svetlana Zakharova | Etoile du Bolshoï Ballet

avec Denis Savin, Jacopo Tissi, Mikhail Lobukhin, Vyacheslav Lopatin, Ana Turazashvili, Anastasia Stashkevich, Victoria Litvinova, Marfa Fyodorova, Tatiana Osipova, Anita Pudikova, Karim Abdullin, Alexei Gaynutdinov, Anton Gaynutdinov

 

GABRIELLE CHANEL

Ilya Demutsky | musique
Yuri Possokhov | chorégraphie
Alexei Frandetti | livret
Maison Chanel | costumes originaux
Maria Trebugova | décors
Ilya Starilov | vidéo
Ivan Vinogradov | lumières
Svetlana Zakharova | Etoile du Bolshoï Ballet

avec Ana Turazashvili, Mikhail Lobukhin, Jacopo Tissi, Nelli Kobakhidze, Svetlana Pavlova, Victoria Litvinova, Anita Pudikova, Vyacheslav Lopatin, Denis Savin, Karim Abdullin, Vasily Danilchuk, Dmitry Efremov, Alexei Gaynutdinov, Anton Gaynutdinov, Marfa Fyodorova, Anna Grigorieva, Tatiana Osipova

La deuxième partie est consacrée au ballet « Gabrielle Chanel », une histoire basée sur la vie et le travail de la grande couturière, figure emblématique de la mode du XXe siècle. Gabrielle Chanel entretenait des liens forts avec la Russie : elle a aussi vécu une aventure amoureuse avec le Grand-Duc Dimitri Pavlovich en 1922-23 et a fait travailler la Grande-Duchesse Maria Pavolvna en tant que brodeuse. Elle a également financé la reprise du Sacre du Printemps, le ballet de Serge de Diaghilev sur une musique d’Igor Stravinsky et elle a hébergé le compositeur russe et sa famille pendant plusieurs mois dans sa maison de Garches.

.

Conçu spécialement pour Svetlana Zakharova, le ballet retrace le parcours de la jeune provinciale inconnue à la fondatrice de l’une des maisons de mode les plus influentes de la planète. Les 85 costumes ont été créés à partir de « croquis exclusifs » de la Maison CHANEL et conçus par les ateliers du Bolchoï.

La danseuse de 40 ans, au Bolchoï depuis 2003, fait revivre sur scène une Gabrielle Chanel « majestueuse et solitaire » et parle d’une femme « qui a révolutionné la notion de la mode féminine, la notion de sa liberté ».

(Musique enregistrée)

.

Tout est aménagé au sein du théâtre pour vous assurer de passer une belle soirée dans les règles de sécurité et distanciation. Port du masque obligatoire et gel hydroalcoolique à disposition dans la salle et les parties communes.

.

Théâtre des Champs-Elysées

15 avenue Montaigne, 75008 PARIS

Métro station Alma-Marceau (ligne 9) ou Franklin-Roosevelt (ligne 1)
RER station Pont de l’Alma (ligne C)
Bus lignes 42, 63, 72, 80, 92

Station de taxi Place de l’Alma, angle avenue George V
Station Vélib’ en face du Théâtre

Parc de stationnement Alma-George V

Téléphone réservation :01 49 52 50 50

Billeterie : CLIQUEZ

Tarifs : de 20€ à 130€

 

Projection en avant-première du film

” Michel Ange “

d’ Andreï Konchalovsky

en sa présence

Mardi 15 septembre à 19h45
Cinéma L’arlequin, VI° Paris
.
Projection en avant première de MICHEL-ANGE, dernier film du cinéaste russe Andreï Konchalovsky, en présence du réalisateur (une rétrospective lui est consacrée à la Cinémathèque Française du 14 septembre au 17 octobre. 51 Rue de Bercy, 75012 Paris,
renseignements : CLIQUEZ )
Durée : 2 h 14 min
avec  : Alberto Testone, Jakob Diehl, Orso Maria Guerrini.
.
Michel-Ange (1475-1564), échevelé, barbu, les mains sales, les ongles cassés, les cheveux pleins de poussière – interprété par Alberto Testone choisi pour sa ressemblance physique et totalement habité par son personnage exalté . «J’ai voulu montrer non seulement l’essence de Michel-Ange, mais également les couleurs, les odeurs et les saveurs de son époque, sanglante et cruelle, mais pleine d’inspiration et de beauté», précise encore Andreï Konchalovsky.
Michel-Ange à travers les moments d’angoisse et d’extase de son génie créatif, tandis que deux familles nobles rivales se disputent sa loyauté. ce Michel Age est d’une toute autre matière, œuvre complexe et rugueuse qui trace du maître italien un portrait riche et contrasté. Le cinéaste russe a d’ailleurs…
f d f
;

Andreï Sergueievitch Mikhalkov, (en russe : Андрей Кончаловский, transcrit Andrei Konchalovsky à l’anglo-saxonne, du fait de sa carrière hollywoodienne), né le 20 août 1937 à Moscou, est un scénariste, réalisateur, producteur, acteur et compositeur soviétique, puis russe. Il est le fils de l’écrivain Sergueï Mikhalkov, et le frère du cinéaste Nikita Mikhalkov. Il se consacre à la musique en qualité de pianiste, sa rencontre en 1960 avec Andreï Tarkovski, avec qui il coécrit plusieurs scénarios (Le Rouleau compresseur et le violon, L’Enfance d’Ivan, Andreï Roublev), l’oriente vers le cinéma.  Académicien de l’Académie nationale des arts et des sciences cinématographiques (2002), Officier de l’Ordre des arts et des lettres de France (2005), Ordre de la Légion d’honneur de France (2010). Président de la Nika Film Academy (2013).

Il fait son premier long-métrage en 1964: Le Premier Maître. Cinéaste prolifique, Kontchalovski se tourne alors vers l’adaptation de classiques russes, Tourgueniev et Tchekhov, avant de réaliser la fresque épique Sibériade qui remporte un succès d’estime ainsi que le Prix spécial du jury au Festival de Cannes 1979, rendant possible son exil aux États-Unis en 1980. Son long-métrage La Maison de fous (2002), décrivant la vie d’un asile psychiatrique en Tchétchénie, lui vaut le Grand prix du jury à la Mostra de Venise. Il obtient ensuite le Lion d’argent du meilleur réalisateur pour “Les nuits blanches du facteur” (2014), narrant la vie d’un facteur qui est le seul lien entre les habitants d’un village reculé de Russie et le monde extérieur.

Concernant sa biographie créative, Andrei Sergeevich Konchalovsky a écrit 34 scénarios, tourné 27 films, réalisé 8 représentations théâtrales sensationnelles, dont 5 productions d’opéra, publié 6 livres et plus de 100 articles journalistiques, reçu de nombreux prix, récompenses, titres.

Pendant plus de cinquante ans, Andrei Konchalovsky a travaillé avec dignité et professionnalisme dans le grand cinéma et le théâtre, restant toujours un artiste moderne qui a de grands projets créatifs.

 

f

Le cinéma, ouvert vers 1930, ayant pour nom le Lux-Rennes, en raison de l’immeuble appartenant à EDF (Lux = Lumière) dans lequel il est logé. Jacques Tati décide de reprendre la salle en 1962, la rebaptise « L’Arlequin ». Il fait refaire la décoration parGeorges Peynet et y réalise en 1964 la première projection de la deuxième version en couleur de Hour de Fête. Le cinéma est ensuite exploité dans lesannées 1970 par Parafrance Films (Circuit Paramount des frères Siritzky).

De 1978 à 1993, la salle est programmée par l’organisme d’exportation du cinéma soviètique  par le biais de sa filiale française Les Films Cosmos afin de lui servir de vitrine, permettant de faire découvrir des réalisateurs comme Andreï Tarkovski ou Andreï Kontchalovski. Durant cette période, le cinéma se nomme Le Cosmos et programme principalement les films Sovexport russes, géorgiens et des pays baltes.

Redevenu L’Arlequin durant les années 1990, elle est actuellement l’une des rares salles parisiennes équipées pour accueillir les malvoyants et les malentendants. L’Arlequin accueille chaque année le festival du cinéma russe.

Cinéma L’Arlequin
76 rue de Rennes 75006 Paris
Tél : 01 45 44 28 80
Métro : St Sulpice (ligne 4)
Bus :  48, 83, 84, 89, 94, 95, 96
Tarifs : 9,80€,  7,50€ réduit,  5€ -de 15ans
Réservation : CLIQUEZ

 

Vente à Drouot

” Haute décoration ”

Mercredi 23 septembre 2020, à 13 h 30

Drouot – Salle 11

 

 

Exposition :
Mardi 22 septembre de 11 h à 18 h
Mercredi 23 septembre de 11 h à 12h

ORFÈVRERIE

OBJETS DE VITRINE

PIERRES DURES

CHINOISERIES

 

Quelques objets russes ( lot 48 à 54),

(extraits du catalogue)

 

 

 

LOT 48 – Encrier décoratif quadripode en néphrite à monture en argent fondu ciselé. Vermeillé à l’intérieur, émaillé sur fond rouge dans deux médaillons ovales de part et d’autre, il porte les mentions en russe : « En souvenir du Couronnement » et sur l’autre face un chiffre imitant celui de Nicolas II. Il repose sur des pieds griffes prolongés de feuilles d’acanthe et de la représentation d’un animal fantastique ailé, lié aux autres par des guirlandes de fleurs et de fruits. Le couvercle à charnière présente un décor de larges godrons sommés de deux dauphins.
Porte des poinçons apocryphes.
Poids brut : 2724,78 g – hauteur : 14 cm

Estimation : 2 000 / 2 500 €

 

h

 

 

LOT 49 – Ensemble de quatre boîtes de Fedoskino, les couvercles peints de miniature.
– OLEG IVANOVITCH CHAPKINE (NÉ EN 1955)
Combat de coqs. Situé et daté 1990 en bas à gauche, signé et numéroté (415) en bas à droite.
Boîte rectangulaire. Longueur 12,5 cm – hauteur : 4,5 cm – largeur 7,5 cm.

– O. DAVYDOV; Aliona et Kiribeevitch (protagonistes du « Chant du tsar Ivan Vassiliévitch, du jeune opritchnik et du vaillant marchand Kalachnikov » de M. Yu. Lermontov)
Situé et daté 1995 en bas à gauche, signé en bas à droite. Boîte ovale.
Longueur : 7,5 cm – hauteur – 3 cm – largeur : 9,7 cm.

– E. PANARINA, Sur le chemin de la source Daté 1995, situé titré et signé en pied.
Boîte ovale. Longueur : 7,5 cm – hauteur : 3 cm – largeur : 9,7 cm.

– MARGARITA PITCHOUGUINA, Princesse Zinaïda Nikolaïevna Youssoupova en costume russe (d’après le tableau de Konstantin Egorovitch MAKOVSKY)
Situé, daté 1995 et signé en pied. Rectangle ovalisé à angles coupés Longueur : 6,5 cm – hauteur : 4 cm – largeur : 5,5 cm

Estimation : 120 / 180 €

 

h

 

LOT 50 – MARIA KOROLIOVA (NÉE VERS 1970 ?) Fedoskino. Trois boîtes en papiermaché,
les couvercles peints de portraits miniatures.

Alexandra Ossipovna Smirnova née Rosset (d’après une aquarelle de Petr Fedorovitch SOKOLOV)
Situé, daté 1995 et signé en pied. Longueur : 6 cm – hauteur : 3 cm – largeur : 7,3 cm.

Comtesse Varvara Petrovna Chouvalova née princesse Shakhovskaya (d’après une miniature de Pierre de ROSSI) Situé, daté 1995 et signé en pied. Longueur : 6,1 cm – hauteur : 2,9 cm –
largeur : 7,2 cm

Natalia Nikolaevna Pouchkina née Gontcharova (d’après une aquarelle de Alexandre Pavlovitch BRIOULLOV) Situé, daté 1995 et signé en pied. Longueur : 6,3 cm – hauteur : 3 cm –
largeur : 7,4 cm

Estimation : 150 / 200 €.

 

h

 

 

LOT 52 – IGOR ALEXANDROVITCH ISSAEV (NÉ EN 1956) Fedoskino. Trois boîtes en papier-maché, les couvercles peints de portraits en costumes folkloriques.

Inconnue au costume russe (d’après un tableau de Ivan Petrovitch ARGOUNOV) Situé, daté 1994, titré et signé en pied. Boîte ovale Longueur : 9 cm – hauteur : 3 cm – largeur : 11,5 cm

Christinia, paysanne de Torjok (d’après un tableau de Vladimir Loukitch BOROVIKOVSKY) Situé, daté 1994, titré et signé en pied. Boîte ovale Longueur : 7,5 cm – hauteur : 3 cm – largeur : 9,5 cm.

Princesse Zinaïda Nikolaïevna Youssoupova en costume russe (d’après le tableau de Konstantin Egorovitch MAKOVSKY) Situé, daté 1994, titré et signé en pied. Rectangle ovalisé.
Longueur : 8 cm – hauteur : 2,4 cm – largeur : 10,5 cm

Estimation : 180 / 250 €

 

h

 

 

LOT 54 – IGOR ALEXANDROVITCH ISSAEV (né en 1956) Fedoskino. Deux boîtes en papier-maché, les
couvercles peints de portraits de femmes de l’aristocratie.

Idalia Grigorievna Poletika née d’Obertey, fille illégitime du comte Grigory Alexandrovitch
Stroganov (d’après une aquarelle de Petr Fedorovitch SOKOLOV) Situé, daté 1994, titré et signé en pied. Rectangle ovalisé. Longueur : 8 cm – hauteur : 3,2 cm – largeur : 10,5 cm

Princesse Sophia Grigorievna Volkonskaya, née princesse Volkonskaya (d’après une miniature de
Jean-Baptiste ISABEY) Situé, daté 1994, titré et signé en pied. Boîte ovale.
Longueur : 8 cm – hauteur : 3 cm – largeur : 9 cm

Estimation 120 / 180 €

 

h

 

 

Hôtel Drouot
9, rue Drouot 75009 Paris

 

ADER, Société de Ventes Vo l o n t a i re s
3 , r u e F a v a r t 7 5 0 0 2 P a r i s
www.ader- p a r i s . f r – contact@ader- p a r i s . f r
Tél. : 01 53 40 77 10 – Fax : 01 53 40 77 20

Expert Nicolas FILATOFF
russie.expertise.ngf@gmail.com
Tél. : 07 82 55 60

TÉLÉCHARGER le catalogue : CLIQUEZ

 

 

Projection du film et dîner

” Enfances Nomades”

La Ferme aux Rennes

Jeudi 1 octobre 2020 18 h

Auberge du Schantzwasen, 68140 Stosswihr

 

 

Un voyage initiatique … des steppes au monde moderne. Trois histoires d’enfants nomades en Sibérie, au Tibet et en Mongolie. Dans les steppes d’Asie centrale, où les éleveurs survivent dans un climat hostile, les enfants peuplent un monde aride de leurs désirs et de leurs rêves. Ils sont à la croisée des chemins, héritiers d’une tradition qui disparaît et inventeurs d’un nouveau mode de vie.

Trois histoires retracent trois destinées étonnantes : celle d’Amraa, le jeune Mongol qui part rejoindre son amoureuse en ville; celle d’Apo, le bébé sibérien perdu dans la neige; et enfin celle de Lhamo, l’enfant tibétaine qui voulait vivre avec son yak…

“Enfances Nomades” a été sélectionné dans plusieurs festivals, à savoir, celui des films du Monde se déroulant à Montréal (2014), au Festival international du film asiatique de Barcelone (2014), au Festival International du film de Calgary (2014), au Festival international du film de Varsovie (2014), et pour finir au Festival de la culture sâme de Riddu (2015).

 

 

 Emilie Maj, ethnologue, spécialiste de la Yakoutie, une république située dans l’Extrême –Orient russe, Emilie Maj est aussi la fondatrice de Borealia, une maison d’édition qui a pour objectif d’éditer des œuvres des écrivains autochtones du Nord.

Plus de renseignements sur Borealia : CLIQUEZ

 

h d h

 

 

 

Auberge du Schantzwasen,

Lieu dit Schantzwasen Massof du Tanet, 68140 Stosswihr

Tarif : film & repas 30€

Réservation : 03 89 77 99 10

 

 

OUVERTURE DE SAISON PIAS  2020 – 2021

Concert exceptionnel

” Jeu de miroir entre les répertoires russe et françai “s

Boris Berezovsky, piano

Vendredi 25 septembre 2020 à 20h

 

Figure de colosse à la technique fulgurante, acquise au conservatoire de Moscou, incarne le piano russe dans la plus pure tradition. Virtuosité et poésie illustrent ainsi brillamment ses interprétations à la scène comme au disque. Fidèle du Théâtre des Champs-Elysées, l’artiste est de retour à Paris avec un programme spécialement remanié, pour vous offrir 1h10 de musique sans entracte.

.

Programme

Scriabine 3 préludes op.16 – Fantaisie op.28 – 2 )àèmes op. 51 – Sonates n°5

Ravel Miroirs (Noctuelles – Oiseaux tristes – Une barque sur l’océan – Alborada del gracioso – La vallée des cloches) , Sonatine
Messiaen 3 préludes – La Colombe – les sons impalpables du rêve – un reflet dans le vent
Gershwin Rapsody in Blue

 

r u r

.

 

 

Boris Vadimovitch Berezovsky (Борис Вадимович Березовский) est l’un des plus grand pianistes russes actuels, il est né le 4 janvier 1969 à Moscou,  commence le piano à l’âge de cinq ans. Il entre au Conservatoire de Moscou dans la classe d’ Elisabeth Virssaladze. Il fait ses débuts à Londres à l’âge de 19 ans, puis se produit à Leipzig et Dresde lors d’une tournée de l’Orchestre Symphonique de Leningrad. En 1990, il reçoit son Premier Prix au Concours International Tchaïkovski de Moscou lance sa carrière. Il joue avec des orchestres
et des chefs prestigieux : le Philharmonia de Londres avec Leonard Slatkin, l’Orchestre symphonique de la Radio de Francfort avec Dmitri Kitaïenko, l’Orchestre symphonique national du Danemark avec Leif Segerstam, ou encore l’Orchestre de l’Oural avec lequel il tourne régulièrement. Il donne des récitals dans le monde entier, à Londres, Berlin, Amsterdam, Salzbourg, Montréal, Vienne, Budapest, Tokyo. En France, le public l’applaudit souvent au Théâtre des Champs-Elysées, à la salle Pleyel ou à la Roque d’Anthéron.
Ses disques sont encensés par la critique : Chopin (Intégrale des Etudes ), Ravel (Gaspard de la nuit, Sonatine, La Valse …), Liszt (Concertos pour piano ). Il s’associe avec le violoniste Vadim Repin pour l’enregistrement des sonates de Prokofiev, Ravel et Medtner, et forme aussi un trio avec le violoniste Dmitri Makhtin et le violoncelliste Alexander Kniazev. En 2004, les trois musiciens enregistrent le Trio op 50 « A la mémoire d’un grand artiste » de Tchaïkovski en vidéo. Le DVD est récompensé par un Diapason d’Or puis diffusé sur Arte. La même année, leur CD de Chostakovitch et Rachmaninov est récompensé par la presse internationale. En 2006, Boris Berezovsky enregistre la révision des Etudes de Chopin par Godovsky. L’année suivante, il découvre la musique de Karol Beffa. La révélation est telle qu’il commande au compositeur un concerto qu’il crée en 2009. Berezovsky a une fille, Evelyne (née en 1991), qui est aussi pianiste. Après avoir un temps vécu à Bruxelles il s’est installé depuis à Moscou. Boris est un excellent pianiste de jazz et en joue régulièrement avec son trio.

 

3

 

Costruit en 1913 par un groupe d’artistes (Henry Van de Velde, les frères Perret, Antoine Bourdelle, Maurice Denis), il est le premier théâtre parisien à être entièrement construit en béton armé et perpétue depuis un siècle la tradition d’une programmation éclectique et de haut niveau (opéra, récital, orchestre, danse). Sa naissance reste marquée par le « scandale » de la création du Sacre du Printemps de Stravinsky et Nijinski, une œuvre qui choqua tout autant par sa musique que par sa chorégraphie. L’aventure artistique du Théâtre des Champs-Élysées est depuis illustrée par la présence des artistes les plus prestigieux de l’histoire de la musique, de l’opéra et de la danse. Le bâtiment abrite en réalité trois salles : le Théâtre des Champs-Élysées (1 905 places), la Comédie des Champs-Élysées (601 places) et le Studio des Champs-Élysées (230 places) et un restaurant : le Restaurant Maison Blanche avec vue panoramique.

 

Tout est aménagé au sein du théâtre pour vous assurer de passer une belle soirée dans les règles de sécurité et distanciation. Port du masque obligatoire et gel hydroalcoolique à disposition dans la salle et les parties communes.

 

Bénéficiez de l’offre tarifaire pour ARTCORUSSE

-30% avec le CODE RSBORIS, cliquez sur le lien :

https://cutt.ly/wfK6zIJ

Théâtre des Champs Élysées
15 Avenue Montaigne, 75008 Paris

Tarifs CAT. 1 :  75 €,  CAT. 2 : 55 €,  CAT. 3 :  40 €

CAT. 4 : 28 €CAT. 5 : 10 € CAT. 6 : 5 €
TARIFS Jeunes 10€ pour les moins de 26 ans.
.

Réservation : 01 49 52 50 50 de 11h à 18h

Métro:  station Alma-Marceau (ligne 9) ou Franklin-Roosevelt (ligne 1)
RER:  station Pont de l’Alma (ligne C) / Attention : station fermée jusqu’au 25 août 2019
Bus: lignes 42, 63, 72, 80, 92

Station de taxi: Place de l’Alma, angle avenue George V

 

 

” La  GATOMAQUIA “ (La Bataille des chats) !
ISRAEL GALVAN (Dansuer de Flamenco)
et le CIRQUE TZIGANE ROMANES
Du  mardi 15 au dimanche 27 septembre 2020
Espace Chapiteaux, La Villette, XIX° Paris

 

La star du flamenco Israel Galván et le cirque tzigane Romanès de Paris ont beaucoup en commun : le sens de la fête, de l’accueil, de l’autodérision, de l’irrévérence.

Alors, quand Galván crée un solo au cirque Romanès, il ne danse pas tout à fait seul. Outre son génial et historique acolyte, le guitariste Caracafé, toute la famille danse et chante avec lui, tandis que les numéros de cirque se succèdent et que les chats rôdent, défient, ignorent ou observent.

 

Alexandre Romanès et Israel Galvàn.

 

Dans cette famille spontanément recomposée, dans cette chaleur complice, Galván excelle avec simplicité, juché sur des socques japonais ou des talons. Sur le métal ou sur le bois, il joue, frappe, percute ou griffe, résonne, frôle puis suspend le silence.

.

 

Israel Galván dansant avec Daria Romanes.

(Cirque Romanes 2018)

Fils des danseurs José Galván et Eugenia de los Reyes, Israel Galván, né en en 1973 à Séville, grandit dans l’atmosphère, des tablaos, des académies de danse flamenco et des fêtes. En 1994, il intègre la Compañía Andaluza de Danza de Mario Maya. En 1998, il crée son premier spectacle, ¡Mira! / Los zapatos rojos, immédiatement salué par la critique spécialisée.

Suivent notamment La Metamorfosis (2000), Arena (2004), La Edad de oro (2005), El Final de este estado de cosas (présenté au Festival d’Avignon en 2009), La Curva (2010), Lo Real/Le Réel/ The Real (2012), FLA.CO.MEN (2013), La Fiesta(2017 – présenté dans la Cour d’honneur du Festival d’Avignon), Coplas Mecánica (2018) avec Niño de Elche, Gatomaquia avec la Famille Romanès (2018), El Amor Brujo de De Falla. Il se forge une stature internationale grâce à des créations audacieuses nées d’une parfaite maîtrise de la culture chorégraphique flamenca, composées à partir de ses états intérieurs. Ouvert à toutes les audaces stylistiques, le chorégraphe alterne formes intimistes, grands spectacles et collaborations avec des artistes contemporains tels qu’Enrique Morente, Pat Metheny, Sylvie Courvoisier, et Akram Khan (TOROBAKA, 2015). De nombreux prix honorent son travail dont le Prix national de Danse (Espagne), le New York Bessie Performance Award, le National Dance Award for Exceptional Artistry (UK). En 2016, il est promu chevalier dans l’ordre des Arts et des Lettres en France. Israel Galván est artiste associé au Théâtre de la Ville, Paris, et au Teatros del Canal, Madrid.

 

 

RESTAURATION sur place – ouverture des portes 1H avant le spectacle.

 

Chapiteau du Cirque Romanès
211 avenue Jean-Jaurès Parc de La Villette – 75019 Paris 19e
Métro :  Porte de la Vilette (7)
En bus : Porte de la Villette (Cité des Sciences) : 75, 139, 150, 152, PC2
PC3, Station Porte de la Villette
26 € plein tarif, 15 € abonnés et adhérents, 10 € jeunes.
Réservation : 01 40 03 75 75

Du mardi au vendredi à 20h, Samedi à 15 h &19h
Dimanche à 15h,   Relâche lundi

 

 

 

4ème Édition de

” Journée Littéraire au Château de Meslay “

plus de 20 auteurs.

Table ronde animée par :

Patrick Tudoret, écrivain du Vendomois

avec

Nicolas de la Bretèche pour son ” A la Table des Tsars”

Guillemette de Sairigné pour son “Pechkoff le magnifique”

Goudji  pour le “Goudji” de Jacques Sautrot

Dimanche 13 septembre 2010 de 13h à 18h

 

  Débat aura lieu à 14h30sur la terrasse du château.

– Nicolas de la Bretèche animera une table-ronde dédiée à l’âme russe avec

À la Table des Tsars

L’histoire extraordinaire de Pierre Cubat, chef des cuisines impériales à la Cour de Russie sous les tsars Alexandre II, Alexandre III et Nicolas II.  Il est né en 1844 et mort à Alet-les-Bains en 1922, Pierre Cubat a régné sur les cuisines des trois derniers tsars de Russie.

(Voir sur Artcorusse : CLIQUEZ)

 

6

 

– Guillemette de Sairigné pour son livre “Pechkoff le magnifique”, l’histoire du fils adoptif de Gorki.

 

Fils adoptif de Gorki, héros de la Légion étrangère, homme d’influence, ambassadeur de France, grand séducteur, Zinovi Pechkoff, surnommé le ” Manchot magnifique “, est une légende oubliée du XXe siècle. Nijni-Novgorod, années 1900. Un adolescent traîne sur les bords de la Volga. Il est pauvre, il est juif, un moins que rien dans la Russie tsariste. Mais il croise la route de l’immense Maxime Gorki qui en fait son assistant et l’adopte. Yeshua Sverdlov devient Zinovi Pechkoff.

 

6

 

–  L ‘orfèvre Goudji  pour le livre “Goudji l’orfèvre du sacré”  de Jacques Sautrot

À sa manière si singulière, Goudji a élaboré un art sans limites, sans limites dans le temps puisqu’il regarde à la fois vers le passé, le présent et le futur ; sans limites dans ses racines puisqu’il récapitule toutes les traditions, de l’orfèvrerie des Achéménides à l’orfèvrerie des Carolingiens, selon une vision placée, de fait, au-devant de nous, comme Salah Stétié l’a si bien défini : Goudji possède le privilège de faire une oeuvre éternelle. La netteté physique de son travail a une résonance métaphysique.

 

6

 

Le débat sera animé par Patrick Tudoret, écrivain du Vendomois et coorganisateur de cette journée littéraire.

 

3

 

 

Le château de Meslay fut construit pour Jean François de la PORTE (fermier général et proche du Cardinal de Fleury, principal ministre de Louis XV) lors d’un chantier gigantesque : démolition de l’ancien château (où logea Henri IV lors du siège de Vendôme en 1589), déplacement du village autour de l’église et du presbytère actuel, et création d’une manufacture de cotonnades vendues jusqu’à Paris et à la Cour à Versailles. Entrez au cours de la visite guidée dans l’intimité d’une famille prestigieuse : vous découvrirez les magnifiques salles de réception au mobilier remarquable d’origine familiale , et un rarissime gnomon (calendrier solaire) incrusté dans le parquet. Vous visiterez 400 m2 de cuisines en cave très spectaculaires. Videos, fonds sonores, hologrammes rythmeront votre visite.

 

Château de Meslay
19, allée du château
41100 MESLAY
Tél :02.54.89.50.42
Courriel : amisduchateaudemeslay@gmail.com

Entrée : Visite des dépendances + film : 4€, gratuit enfants _ 15 ans.

Visite guidée du château (selon tarifs habituels) :  8€ – Tarif réduit : 6€ – Enfants 4,5€
– Groupe 5,5€ – Famille 18€ (2 adultes / 2 enfants)